remanier, à la lumière d'observations personnelles, l'histoire de ces
affections
nombreuses et va-riées qui ne se rencontrent et n
. De là vient la distinction établie entre les maladies aiguës et les
affections
chroniques, qui répond évidemment aux données de
aisonnement très-simple, ou plutôt par une intuition directe, que ces
affections
n'étaient pas isolées, qu'elles devaient se ratta
longtemps émise par un chirurgien français. Mais on peut dire que les
affections
à lente évolution lui échappent le plus souvent.
que l'on est parvenu à reproduire chez les animaux à l'imitation des
affections
correspondantes de l'homme. Rappelons également l
ailleurs, la plupart des maladies de la poitrine, celles du cœur, les
affections
chroniques de la peau étaient une terre à peu prè
vons les matériaux qui nous serviront à faire l'histoire clinique des
affections
de l'âge sénile. La seconde catégorie comprend de
re, la première description spé-ciale qui ait jamais été tracée d'une
affection
que nous ren-controns à chaque pas dans nos salle
sant déjà qu'elle diffère de la goutte vraie. C'est là,messieurs, une
affection
redoutable en raison des infirmités qu'elle en-tr
remier a pour but d'établir que l'asthme des vieillards n'est pas une
affection
nerveuse, mais l'un des symptômes d'une lésion or
e 1. Mémoire sur cette question: l'Asthme des vieillards est-il une
affection
nerveuse ? (1817). Recherc/ies sur une maladie en
échappe point à cette règle ; car il est probable que cette dernière
affection
se rattache, au moins fort souvent, à des rupture
ien faite pour nous étonner. Prenons d'abord pour exemple l'une des
affections
les plus fréquentes dans cet hospice ; nous voulo
nt chez les ivro-gnes. On peut rapprocher ce type de plusieurs autres
affections
graves ; ne sait-on pas, par exemple, que la vari
llons exposer, nous choisi-rons pour type la pneumonie lobaire, cette
affection
fébrrle au plus haut degré, et commune à tous les
par la vieillesse à l'un des principaux symp-tômes de la plupart des
affections
aiguës. La fièvre, dit Gillette (2) dans un pas
s, au début d'une pneumonie, d'un érysi-pèle ou d'une fièvre synoque,
affection
très commune à la Salpétrière, à certaines époque
-pneumonie et la fièvre catarrhale. 11 est rare, d'ailleurs, dans les
affections
de ce dernier type, de voir la température s'élev
générale dans cette phlegmasie, que nous avons choisie pour type des
affections
fébriles de la vieillesse. II. Le frisson a m
lé l'existence d'une fièvre à type rémittent ou intermittent dans les
affections
du foie. (Arch. de niéd., 1861.) 1. Il existe pre
fois d'avantage. Si vous songez en môme temps que dans cette dernière
affection
la température s'élève lentement, par degrés succ
tout dans Vâge sentie. Chez l'adulte, nous pour-rions citer plusieurs
affections
(les. fièvres éruptives et le typhus exanthématiq
leur s'élève au-desssus du taux normal. Mais il est un grand nombre d'
affections
(surtout chez les vieillards) qui donnent naissan
universellement connus, nous pouvons citer comme exemples, certaines
affections
du cœur, la péricardite, les gangrènes séniles, l
: goutte aiguë, goutte chronique. — Hématologie pathologique de cette
affection
. — Les tophus de la goutte sont composés d'urate
; aujourd'hui, je me propose d'appeler votre attention sur l'une des
affections
chroniques qui se rencontrent le plus communément
l faut convenir que c'est surtout dans la forme chronique de ces deux
affections
que la ressemblance devient frappante, et peut em
ique souvent à ces cas obscurs qui sont placés sur la limite des deux
affections
, semble renfermer implicitement un aveu d'impuiss
de la goutte. Grâce aux travaux récents dont elle a été l'objet cette
affection
nous est mieux connue que le rhumatisme, à beauco
leurs, nous la considérons à quelques points de vue comme un type des
affections
constitutionnelles, comme une maladie modèle. En
attention bienveillante. Car, lorsqu'on est en présence d'une de ces
affections
qui offrent à nos recher-ches une base matérielle
généraux de la diathèse que nous allons étudier. La goutte est une
affection
chronique et constitutionnelle, le plus souvent
intures, soit dans les parties voisines. Mais indépendamment de ces
affections
articulaires, et de cet état particulier du sang,
et de cet état particulier du sang, la goutte peut donner lieu à des
affections
viscérales nombreuses et variées, tantôt organiqu
e classique de la maladie. Cependant, même ici, nous ren-controns des
affections
viscérales ; tantôt elles se manifestent brusquem
parler de goutte aiguë et de goutte chronique. Or, la goutte est une
affection
essentiellement chronique, et qui ne peut jamais
eux éprouvera d'abord des accès articulaires, ayant les allures d'une
affection
aiguë, et dont les retours sont plus ou moins rég
ignets. Dans l'intervalle des accès, il peut se manifester d'autres
affections
, placées sous la dépendance de la diathèse goutte
nnels qu'on peut attribuer à la ré-trocession de la maladie; mais les
affections
viscérales liées àdes lésions matérielles appréci
intérieurs ; c'est dans la goutte chronique qu'on trouve surtout ces
affections
viscérales, profondes, qui sont en général la cau
tions anatomiques qui en sont le cortège obligé ; et comme dans cette
affection
générale l'état du sang semble dominer toute la s
e, c'est du moins ce qui semblerait résulter de la fréquence de cette
affection
chez les ouvriers en plomb de Londres (Garrod).
l'albumine du sang diminue dans la goutte chroni-que, s'il existe une
affection
des reins : en pareil cas, on ren-contre un excès
poignets, pourra être difficile à distinguer, au lit du malade, d'une
affection
pure-ment rhumatismale. Parmi les cas rares et
s uretères chez divers animaux. Messieurs, Si la goutte était une
affection
plus commune dans nos hô-pitaux, il est probable
l. Mais il est d'autres lésions qui paraissent se rattacher à cette
affection
et qu'on a rencontrées chez des sujets atteints d
des sujets atteints de goutte soit aiguë, soit chronique, lorsqu'une
affection
inter-mittente ou les progrès de la maladie avaie
ent être divisées en deux espèces* En premier lieu, nous trouvons l'
affection
désignée paf M. Rayer sous le nom de néphrite g
La substance corticale est notablement atrophiée. Jamais, dans cette
affection
, on ira vu les reins présenter l'état lardacé.
ou huit accès. Dans un cas observé par Traube, les symptômes de cette
affection
rénale se sont mon-trés un an seulement après les
d par la négative ; il fait observer, avec raison, que la plupart des
affections
qui ont été désignées sous ce nom doivent être ra
ntestable, en tous cas, que chez certains animaux il se développe une
affection
fort analogue à la goutte de l'hom-me, et caracté
moins étonné de trouver, chez ces deux grandes classes d'animaux, une
affection
qui présente quelque ressem-blance avec la goutte
outte aiguë en goutte chronique. — Ca-chexie goutteuse. — Gravité des
affections
intercurrentes. — Goutte chro-nique succédant à l
Mais la goutte, ainsi que nous l'avons déjà fait observer, est une
affection
essentiellement chronique, même dans sa forme aig
que. Nous allons étudier maintenant les carac-tères de cette dernière
affection
. Goutte chronique. — Cette forme de la goutte a
es degrés divers, quand la maladie est arrivée à ce point. Aussi, les
affections
intercurrentes ont-elles, en pareil cas, une grav
a pneumonie, le typhus ont ici une marche insolite, et cette dernière
affection
est presque toujours mortelle (Schmidtmann, Murch
ce de cette altération que paraît se dessiner la tendance à certaines
affections
viscérales organiques, du côté des reins, du foie
xclusivement de la présence de dépôts plus ou moins volumineux. Les
affections
viscérales graves se prononcent ici de bonne heur
ères ou larvées de la goutte ; elles empruntent souvent le masque des
affections
les plus diverses, les plus étrangères à la diath
ntée. — La goutte viscérale peut-elle exister indépendamment de toute
affection
articulaire ? Affections du tube digestif. — Sp
e peut-elle exister indépendamment de toute affection articulaire ?
Affections
du tube digestif. — Spasme de l'œsophage. — Dyspe
onnels du rein. — Néphrite goutteuse. — Indication de quelques autres
affections
abarticulaires qui se rattachent à la goutte. M
prédilection marquée pour l'étude des métamorphoses que subissent les
affections
à longue portée. Depuis Galien jusqu'à Roderic
C'est là un scepticisme trop arbi-traire. La goutte viscérale est une
affection
relativement peu fréquente, mais elle existe : no
e à toutes les maladies dont le goutteux peut se trouver atteint; ces
affections
, — dont les unes sont purement accidentelles, tan
ts morbides un caractère homogène, on ne doit y faire rentrer que les
affections
viscé-rales qui, sous tous les rapports essentiel
en a rassemblé plusieurs observations. Dans les cas de ce genre, l'
affection
viscérale paraît consister en un trouble purement
ut, imprégnés d'urate de soude sans offrir de dépôts cristallins. Ces
affections
offrent un caractère essentiellement mobile : ell
la majorité des cas, on les voit alterner avec eux. Dans le cas où l'
affection
viscérale est antérieure à la goutte articulaire
de l'hypothèse que nous nous efforçons de défendre. En second lieu, l'
affection
viscérale se présente souvent sous l'une des form
te avec la goutte articulaire. En troisième lieu, il est des cas où l'
affection
des jointures se montre à l'état rudi-mentaire, e
s lé-sions organiques, qui succèdent presque toujours à la longue aux
affections
delà première espèce, et occupent le même siège.
ous commencerons par le tube digestif, car c'est sur ce point que les
affections
de ce genre se développent de préfé-rence ; et l'
umatisme est au cœur (1).» A. Nous ne dirons qu'un seul mot sur une
affection
assez rare de l'œsophage, signalée parStoll et Ga
de l'estomac précède les accès et peut même se développer avant tout
affection
articulaire : chez un grand nombre de sujets, aus
Mais, à un plus faible degré la goutte remontée à l'estomac est une
affection
assez commune ; elle se rencontre surtout dans le
e large part aux erreurs de diagnostic, nous croyons que les diverses
affections
qu'on peut invoquer à cet égard sont loin de rend
montrer la justesse de cette opinion. Il existe indubitablement des
affections
du foie qui sont liées à la dyspepsie goutteuse,
Mais nous ne savons pas encore, d'une façon positive, s'il existe des
affections
permanentes du foie qui résultent de la diatlièse
-hépatique subissait l'influence de la goutte et deve-nait le siège d'
affections
permanentes. On sait du reste que, d'après les tr
ù se forme l'acide urique. Mais les caractères anatomiques de cette
affection
viscérale, si elle existe,ne nous sont pas encore
ient-ils des goutteux. 'j III. L'influence de la goutte sur les
affections
du cœur ne saurait être contestée; mais il ne s'a
s ici, comme dans le rhu-matisme, d'endocardite, de pericardite, ni d'
affections
valvu-laires. Ces lésions, lorsqu'elles se rencon
aird-ner, Garrod, se réunissent pour l'affirmer. A l'origine, cette
affection
n'existe qu'à un faible degré et l'on ne constate
l'angine de poitrine, qui elle-même est souvent considérée comme une
affection
d'origine goutteuse. Enfin la mort subite est i
et des connexions que présentent les arthropathies multiples avec les
affections
du système nerveux ; autrefois, la plupart des ac
qui n'existe pas dans le rhumatisme (si nous faisons abstrac-tion des
affections
du cœur et des embolies consécutives) se rencontr
emens, survenant au moment d'un accès (Marcet), ni avec le délire des
affections
aiguës intercur-rentes, ni enfin avec les symptôm
ue peuvent développer, du côté des centres nerveux, la dyspepsie, les
affections
du cœur et l'urémie, bien plus fréquente dans la
atisfaisant. Il ne faut point oublier d'ailleurs que, s'il existe des
affections
médul-laires liées à la goutte ou au rhumatisme,
matisme, ce qui n'est pas encore démontré, il est indubitable que des
affections
articu-laires très prononcées peuvent se développ
ons les passer rapidement en revue. 1° Asthme goutteux. — Parmi les
affections
thoraciques qui peuvent mériter cette désignation
dence fortuite. Toujours est-il que, d'après le môme auteur, ces deux
affections
peuvent coexister, sans exercer aucune influence
luence l'une sur l'autre. Nous reviendrons sur ce point. VII. Les
affections
des voies urinaires sont fréquentes dans la goutt
is sans leur appartenir d'une manière exclusive. Mais il existe des
affections
urinaires qui correspondent directement à la gout
ments dignes de foi sur les phénomènes qu'il avait éprouvés. B. Les
affections
permanentes du rein deviennent presque la règle,
arrhée, Mais, comme nous l'avons déjà fait pressentir, la marche de l'
affection
est plus lente, et son pronostic moins grave qu
Cependant on a quelquefois observé de l'urémie dans le cours de cette
affection
: Basham, ïodd, Deschamps (de Bor-deaux), et d'au
principe, comme nous l'avons déjà vu pour les reins, il s'agit d'une
affection
passagère, d'un trouble dyna-mique, caractérisé p
lication calculeuse (Todd) ; ces phénomènes peuvent alterner avec les
affections
articulaires. Mais, à un degré plus avancé, c'e
. VIII. Goutte abarticulaire non viscérale. — Indépendam-ment des
affections
internes qui peuvent se développer dans le cours
araître brusquement et de s'évanouir de même, et d'al-terner avec les
affections
articulaires. D. Affections cutanées. — Brodie
anouir de même, et d'al-terner avec les affections articulaires. D.
Affections
cutanées. — Brodie et M. Civialeont depuis longte
eux caractérisés de goutte. Telles sont, pour le moment, les seules
affections
cutanées dont la corrélation avec la goutte soit
exanthèmes divers qui se rattachent au rhumatisme et à la goutte,deux
affections
qu'ils confondent en une seule (arthritis). Il fa
accidents. Enfin, M. Garrod, dans un article récent (1), a décrit une
affection
goutteuse de l'œil qui n'avait pas encore fixé l'
, et, dans la prochaine conférence, nous nous occu-perons de quelques
affections
qui offrent un certain degré de parenté avec la g
ffrent un certain degré de parenté avec la goutte. HUITIÈME LEÇON
Affections
concomitantes de la goutte. Sommaire. — Acciden
ique. — Phlegmons et érysipèles de mauvaise nature. Gangrène sèche.
Affections
intercurrentes dans la goutte. — Traumatisme, phl
te critique. — Action des médicaments, plomb, mer-cure, opium, etc.
Affections
concomitantes de la goutte. — Ses affinités avec
s, Le cadre dans lequel j'ai cru devoir circonscrire l'histoire des
affections
goutteuses abarticulaires ne m'a pas permis de vo
Marchai, loc, cit., p. 39. II. Nous allons parler maintenant des
affections
intercurrentes dans la goutte. Il ne s'agit plu
s affections intercurrentes dans la goutte. Il ne s'agit plus ici d'
affections
subordonnées à la dialhèse goutteuse, mais bien d
cations qui peuvent survenir dans le cours de la maladie. Comment les
affections
intercur-rentes sont-elles modifiées par la goull
ard, établir un parallèle entre la maladie de Bright, le diabète et l'
affection
qui nous occupe en ce moment. En effet, le trau-m
us venons de signaler. Voilà déjà un point de contact entre ces trois
affections
. Les pblegmasies, d'après Prout (1), prennent sou
. Relativement aux phlegmasies, on peut distinguer trois cas : 1° L'
affection
intercurrente (pneumonie, pleurésie, angine, érys
diathèse goutteuse, en raison de son association fréquente avec les »
affections
du rein, est une complication très grave du typhu
ille circonstance, l'explosion de l'accès n'a pas été provoquée par l'
affection
intercurrente ; s'il en était ainsi, l'apparition
pparition de la goutte ne serait point un phé-nomène critique. 2° L'
affection
inflammatoire suit sa marche concurremment avec l
ression brusque des phénomènes extérieurs de la goutte au moment où l'
affection
intercurrente se déve-loppe. Ce cas est grave ; i
ints de goutte chronique, s'il existe chez eux quelques indices d'une
affection
rénale ; car on voit ce médicament déterminer alo
aibuini-nurique (2) ? IV. Nous allons maintenant nous occuper des
affections
conco-mitantes de la goutte, qui présentent avec
pe que, lorsque l'organisme est envahi par une diathèse, aucune autre
affection
générale ne peut coexister avec celle-ci ; en d'a
on générale ne peut coexister avec celle-ci ; en d'autres termes, une
affection
constitutionnelle, une fois établie chez l'indivi
sujet; il faut aussi, comme on l'a fait avec tant de succès pour les
affections
du système nerveux, étudier la trans-mission héré
it rarement coexister la goutte et le diabète confirmé; mais ces deux
affections
alternent et se succèdent. La gravelle urique ou
n delà gravelle urique est un signe favorable (1); cependant ces deux
affections
peuvent coexister sans s'amender mutuellement.
Mais il existe en même temps un certain antagonisme entre ces deux
affections
; il est rare, en effet, de les rencontrer si-mult
; il est donc permis de se demander si ce n'est pas à cette dernière
affection
qu'il faut rapporter ce que l'on avait attribué à
de parents goutteux sont exposés à la phthisie (1). Cette dernière
affection
, peu commune dans le rhumatisme articulaire aigu
excep-tionnel (1). I). Goutte et cancer. —La goutte exclut-elle les
affections
cancéreuses? en favorise-t-elle, au contraire, le
y a quelques années, dans un journal anglais (2), prouve que ces deux
affections
peuvent se réunir chez le même sujet. 11 s'agit d
toire et la géographie de la goutte ; car, puisqu'il s'agit ici d'une
affection
éminemment constitutionnelle, et qui se rattache
pareilles conditions ne se trouvent guère réalisées qu'à l'égard des
affections
épi-démiques, qui ont autrefois exercé de grands
tout l'attrait que peut offrir au médecin philosophe l'histoire d'une
affection
prête à s'évanouir, après avoir joué un si grand
peut-être, 4 l'extinction de la lèpre. Certains patholo- Parmi les
affections
dont l'étude historique peut offrir un intérêt vr
et l'immutabilité des principaux caractères sympto-matiques de cette
affection
. Du ine au vi6 siècle, l'état des choses paraît
s historiques nous démontre que, pendant plus de vingt siècles, cette
affection
a maintenu son empire dans les contrées que nous
recherches sur la goutte. Et cependant, malgré sa décadence, cette
affection
n'a subi aucun changement dans son évolution symp
n ordinaire des popu-lations. Il est certain, d'ailleurs, que cette
affection
ne règne que dans les régions tempérées. Près de
aladie ubiquitaire. Il y a là une différence frappante entre ces deux
affections
parallèles : il importe de le faire ressortir.
s de dix-sept ans. 11 rapporte aussi quelques cas dans lesquels cette
affection
s'est développée chez des vieillards de soixante
qu'une nourriture trop animalisée favorise le développement de cette
affection
, et que les gros mangeurs sont souvent au nombre
lusieurs jours, les urines d'un cer-tain nombre de malades atteints d'
affections
diverses, pour constater le taux normal de l'acid
a goutte (1), mais crée seulement une prédisposi-tion marquée à cette
affection
. Il faut donc étudier les diverses circonstances
natomiques. Sommaire. — Le rhumatisme articulaire chronique est une
affection
essen-tiellement nosocomialc. — Nature de cette a
que est une affection essen-tiellement nosocomialc. — Nature de cette
affection
. — Ses rapports avec le rhumatisme aigu. — Princi
— Né-cessité d'étudier avec soin les lésions locales. Unité de cette
affection
. — Indication des premiers travaux qui se rapport
ir approfondi l'histoire de la goutte, nous allons nous occuper d'une
affection
si voisine de cette maladie, que bien des fois el
e l'opinion que je soutiens, les uns déclarent qu'il s'agit ici d'une
affection
spéciale, et complète-ment indépendante de la gou
parence, que plu-sieurs auteurs ont cru avoir sous les yeux plusieurs
affections
différentes. Nous n'y voyons, au contraire, que l
ue, mais qu'ils se refusent à reconnaître l'origine rhumatismale de l'
affection
, lorsqu'elle se localise sur une seule jointure,
souvent, en pareil cas, un volu-me exceptionnel. Au contraire, les
affections
viscérales ou ab-articulaires sont ici peu fréque
enir, chez quelques-uns de ces sujets, certaines formes d'asthme et d'
affections
cutanées. Il en est tout autrement dans la form
en est tout autrement dans la forme maligne, qui ne com-porte guère d'
affections
viscérales, et dans laquelle toute la maladie sem
que, tantôt le trifacial, tantôt d'autres troncs nerveux. Parmi les
affections
viscérales qui se rattachent à cette va-riété, no
thologique nous permet, en premier lieu, de démontrer Yunité de cette
affection
; car les diverses formes qu'elle peut revêtir se
e avec la goutte, et l'on a pu se demander si la première de ces deux
affections
n'était pas une de celles qui appartiennent aux t
Musgrave et les premières monographies consacrées à l'étude de cette
affection
datent du commencement de ce siècle ; nous citero
à propos de Y ostéopsathyrose arthri-tique, a reconnu que dans cette
affection
, il existait une fragi-lité spéciale des os ; que
des caractères fondamentaux de l'arthrite rhumatismale chronique. L'
affection
que nous allons étudier porte sur l'ensemble des
sous le nom de rhumatisme ar-ticulaire subaigu, nous désignerons une
affection
dont l'évo-lution est, à la vérité, plus lente qu
isme articulaire chronique. Ainsi, dans cette forme de maladie, les
affections
articulai-res ont plus de fixité : la fièvre est
ue le contraire a lieu dans le rhumatisme articulaire aigu. Enfin les
affections
viscérales , ou tout au moins certaines d'entre e
ne époque, au sujet des lésions du rhumatisme articulaire aigu. Cette
affection
peut-elle se terminer, oui ou non, par suppu-rati
is, 1845, t. I, p. 32 vestiges chez des sujets qui succombent à des
affections
orga-niques du cœur, après avoir eu autrefois plu
et ceux où, par suite de la prolongation ou du retour incessant de l'
affection
rhumatismale, la maladie est devenue décidément c
même espèce morbide. II - ALTÉRATIONS DES JOINTURES DANS CERTAINES
AFFECTIONS
INDÉPENDANTES DU RHUMATISME. Un mot maintenan
uscules cellulaires. C'est là l'altération du cartilage au début de l'
affection
. Il existe cependant des analogies entre ces de
ut de l'affection. Il existe cependant des analogies entre ces deux
affections
. Dans certains cas d'arthrite scrofuleuse, il y a
ent l'arthrite déformante. Ainsi les lésions élémentaires de ces deux
affections
diffèrent les unes des autres; mais il existe des
e jamais la moindre trace d'un dépôt d'u-rate de soude, soit dans les
affections
articulaires qui relè-vent du rhumatisme, soit da
ne séparation tranchée, toujours au point de vue ana-tomique, entre l'
affection
qui nous occupe en ce moment et les autres arthro
rtilages diarthrodiaux, se rencontrent aussi, comme on sait, dans des
affections
articulaires qui sont étrangères au rhuma-tisme.
es Vieillards. i3 une cause lente qui détermine le caractère de l'
affection
lo-cale? Rappelez-vous ce qui se passe, à cet éga
les sujets atteints de la goutte. Toujours est-il que, lorsque les
affections
articulaires sont multiples (et c'est le cas le p
ur. — Tuméfaction. — Rougeur. — Température. — Durée. — Mobilité de l'
affection
. État général dans le rhumatisme. — Fièvre. — M
e que nous avons institué, sous le rapport anatomique, entre ces deux
affections
; et en nous plaçant à ce point de vue nouveau, n
râce aux règles de diagnostic que nous établirons plus loin, ces deux
affections
peuvent presque toujours être nettement dis-tingu
a coexistence fréquente, nous pourrions dire habituelle, de certaines
affections
viscérales. L'endocardite et la péricardite, par
ce caractère contribue en grande partie à nous faire envi-sager cette
affection
comme une maladie générale ou du moins à siège in
s elle s'accompagne de crampes musculaires, comme dans cette dernière
affection
. 2° Tuméfaction. — Elle a lieu surtout pour les
ure de trois à quinze jours environ (2). Considérons maintenant ces
affections
articulaires dans leurs rapports mutuels. En gé
articulaire. On sait que, dans la goutte aiguë, il est rare de voir l'
affection
se généraliser dès le début. Pour ce qui concer
symptômes articu-laires coïncide avec le développement soudain d'une
affection
viscérale. Mais c'est là plutôt l'exception que l
utte. Enfin, l'un des traits cliniques les plus essentiels de cette
affection
est la mobilité excessive qui lui permet de saute
pendant le jour, et le maximum pendant la nuit (2). En somme, cette
affection
ne procède pas suivant un type régulier, et n'off
ais elle est pres-que toujours entretenue, en pareil cas, par quelque
affection
viscérale latente : une endocardite, une péricard
de l'insuffisance aortique. Il est bien entendu que s'il survient un
affection
cardiaque, ces carac-tères sont profondément modi
cependant, l'anémie est tout aussi pronon-cée; d'une autre part, les
affections
articulaires ont plus de fixité, ce qui contraste
dans les veines des chiens, a trouvé des lésions articulaires et des
affections
du cœur chez ces animaux. Mais ses expériences on
étées en Allemagne, et l'on a constaté que, dans l'espèce canine, les
affections
du cœur sont d'une fréquence excessive, en dehors
entre les deux points extrêmes, ne sont au fond qu'une seule et même
affection
. Nous avons cherché à le dé-montrer par l'étude d
cérales que nous allons aborder maintenant. QUATORZIÈME LEÇON Des
affections
viscérales dans le rhumatisme arti-culaire aigu e
isme arti-culaire aigu et chronique Sommaire. — Parallèle entre les
affections
viscérales de la goutte et celles du rhumatisme a
et celles du rhumatisme aigu ou chronique. — Développement tardif des
affections
vis-cérales dans la goutte ; développement prémat
ffections vis-cérales dans la goutte ; développement prématuré de ces
affections
dans le rhumatisme aigu. — Ces lésions ne se mani
nature des lésions viscérales dans le rhumatisme et dans la goutte -
Affections
du cœur dans le rhuma-tisme. — Péricardite rhumat
canalisation. — Etat typhoïde. — Période chronique de la maladie. —
Affections
multiples qui sont la conséquence de ces lésions.
— Néphrite. — Albuminurie. — Cystite. — Lésions du système nerveux. —
Affections
cérébrales. — Affections médullaires. — Lésions a
. — Cystite. — Lésions du système nerveux. — Affections cérébrales. —
Affections
médullaires. — Lésions abarticulaires de diverse
ure. — Douleurs musculaires. — Névralgies. — Troubles de la vision. —
Affections
cutanées : eczéma, psoriasis, prurigo, lichen, et
s : eczéma, psoriasis, prurigo, lichen, etc., etc. Messieurs, Les
affections
abarticulaires du rhumatisme vont nous occu-per a
peu près inverse. En effet, l'un des ca-ractères principaux de cette
affection
(au moins dans sa forme aiguë), c'est le développ
ue primitif diffère à cet égard de la forme aiguë. L'existence de ces
affections
viscérales est assez rare ici pour avoir été révo
rs. Un autre fait qu'il importe de mettre en lumière, c'est que les
affections
viscérales du rhumatisme ne présentent, avec cell
aisseuse que l'on observe. Dans le rhumatisme articulaire aigu, les
affections
du cœur se traduisent, au contraire, par des lési
squ'on voit coexister l'endocardite ou la péricardite aiguës avec une
affection
articulaire d'ailleurs mal définie, on est le plu
e, que nous concentrerons prin-cipalement notre attention. Les autres
affections
viscérales du rhumatisme offrent un moins grand i
rhumatisme articulaire aigu. La péricardite rhumatismale est une
affection
depuis long-temps connue; tous les points de son
ans une très grande proportion, le chiffre des coïncidences entre les
affections
du cœur et le rhumatisme. C'est surtout dans la f
oin dans ce volume. Mais nous voulons auparavant dire un mot de ces
affections
multiples qui relèvent de l'endocardite; c'est là
, au contraire, que de très petits vaisseaux ayant été oblitérés, une
affection
cérébrale se soit développée, sans qu'il ait exis
n intéressante, dans laquelle cette lésion se montra à la suite d'une
affection
rhumatismale du cœur. Le sujet était un homme de
n volume consi-dérable ; il mourut avec les symptômes habituels d'une
affection
cardiaque. A l'autopsie, on trouva des végétati
isme subaigu, dans lesquels l'autop-sie a eu lieu, coïncider avec des
affections
du cœur. Un de ces faits est consigné dans la thè
ueux. Io II faut se rappeler que Y endocardite rhumatismale est une
affection
très souvent latente pendant la vie ; mais elle l
it des signes évidents d'une maladie de cœur. Les symp-tômes de cette
affection
s'étant rapidement aggravés, la mort ne tarda pas
actérisée par des bruits de frottement à la région précordiale. Cette
affection
, du reste ne persista pas longtemps. Le rhumatism
lement dans quelques cas de rhumatisme articulaire chro- nique; ces
affections
offrent les mômes caractères que dans le rhumatis
les se dévelop-pent dans le rhumatisme chronique. III. — Des autres
affections
abarticulaires dans le rhumatisme chronique.
utres affections abarticulaires dans le rhumatisme chronique. Les
affections
cardiaques ne sont pas les seules manifes-tations
ue, par contre, cette dernière forme de la maladie comporte certaines
affections
presque complè-tement étrangères au rhumatisme ai
é un cas fort remarquable dans sa thèse d'agrégation (1). Certaines
affections
thoraciques se présentent surtout dans les formes
articu-laire. L'asthme suivi d'emphysème est aussi commun dans cette
affection
que dans la goutte. J'ai vu moi-même cette compli
ès cette époque que l'oppression a commencé à paraître. Au début de l'
affection
pulmonaire, elle était restée deux mois environ s
ermanente; elle augmentait beaucoup pendant la marche. Depuis que l'
affection
thoracique avait acquis une telle intensité, les
encontrent toujours chez des sujets profon-dément cachectiques. Les
affections
de la vessie ne, sont pas très communes dans le r
matisme chronique ; du moins, je ne l'ai jamais rencontrée dans cette
affection
. Mais plusieurs maladies qui se rattachent à la
et il faut bien se garder de confondre les douleurs articulaires des
affections
spinales avec le rhu- 1. Consulter à ce sujet l
s vous avons déjà parlé de Yiritis et de la sclérotite goutteuse. Les
affections
des yeux dans le rhumatisme aigu sont rares ; mai
ouvent une alternance évidente entre les phé-nomènes oculaires et les
affections
des jointures. Enfin les affections de la, peau
es phé-nomènes oculaires et les affections des jointures. Enfin les
affections
de la, peau, si bien connues dans la goutte et le
matisme chronique partiel, M. Bazin fait remarquer, du reste, que les
affections
cutanées sont d'autant plus tenaces et opiniâtres
us avons plusieurs fois retrouvé chez les rhumatisants chroniques les
affections
cutanées décrites par M. Bazin : Y eczéma, le pso
ire chronique que par un seul côté. L'anatomie patholo-gique de cette
affection
a été jusqu'à présent l'objet de son éludes: ma
aurons à décrire en premier lieu les arthropathies résultent de cette
affection
, en second lieu, les symptômes qui se rattachent
unes sujets de seize à trente ans, on voit souvent au contraire cette
affection
se généraliser d'emblée: chez les sujets plus âgé
que de la ménopause, on voit les symptômes débuter brus-quement, et l'
affection
prendre d'abord les allures d'une mala-die aiguë.
ont très intenses ; la rougeur, la tuméfaction sont assez vives, et l'
affection
est moins mobile que dans le type opposé. Les s
antes. C'est surtout dans les cas de cette espèce qu'on rencontre les
affections
cardiaques. On pourrait admettre ici que le rhu
us âgés, ayant de quarante à soixante ans: on rencontre souvent cette
affection
vers l'époque de la méno- pause. Cette forme a
emblée. — Déformations articulaires. — Manifestations diathésiques. —
Affections
cutanées. — Lésions viscérales. Mode de dévelop
ntures de la main souvent affectées, mais à un moindre degré. — Cette
affection
se rattache à la diathèse rhumatismale.— Elle peu
un autre siège, les noms à'Arthrite sénile, d1Arthrite sèche. C'est l'
affection
qui produit les difformités, les mieux caractéris
us caractéris-tiques qui séparent ces deux formes d'une seule et même
affection
. 1° Les articulations sont prises en petit nomb
e externe : on s'est plus spécialement occupé des cas dans lesquels l'
affection
s'est localisée sur une seule articulation. En ef
pré-sente un grand intérêt pour le médecin; en effet, il s'agit d'une
affection
presque toujours diathésique, qui peut sou-vent c
e la localisation du mal sur une seule jointure, le début latent de l'
affection
, l'énorme exubé-rance des bourrelets osseux de fo
ois me dispenser de vous faire connaître ceux des caractères de cette
affection
qui, au point de vue où nous sommes pla-cés, nous
ques se manifestèrent aux deux mains et l'on constata le passage de l'
affection
au rhumatisme noueux. C. Au contraire, le début
l'origine, sur une seule jointure : mais le véritable carac-tère de l'
affection
se révèle à la longue par l'apparition d'une ou p
hrite sèche à la hanche, fut atteinte, à une époque ultérieure, d'une
affection
semblable au ge-nou. Chez une autre malade, âgée
ntraire, dans le rhumatisme généralisé, on voit prédo-miner une seule
affection
articulaire, et dans la jointure af-fectée, les l
manifestèrent à la hanche gauche. Le docteur Percival mourut d'une
affection
de la vessie; et, conformément à ses dernières vo
Quelle que soit d'ailleurs l'origine du rhumatisme partiel, lorsque l'
affection
s'est constituée à l'état chronique, c'est plutôt
int oublier qu'il se produit quelque-fois des exacerbations aiguës. L'
affection
articulaire, pendant longtemps indolore, finit pa
nomènes chroniques. Les phénomènes purement articulaires, lorsque l'
affection
s'est régulièrement constituée, sont les suivants
Il existe toujours des craquements plus ou moins pro-noncés. Cette
affection
ne menace point la vie, lorsqu'elle est exempte d
rigidité, mais point de craquements. En général, le début de cette
affection
est très obscur ; cependant, il y a, par accès, d
onstitutionnel, qui n'est autre que la diathèse rhumatismale. Cette
affection
, très fréquente à la Salpêtriôre, appartient surt
u-velle de la parenté qui réunit ces trois formes d'une seule et même
affection
. Le rhumatisme d'Heberden coexiste souvent avec
èle cidre l'étiologic du rhumatisme et celle de la goutte. — Ces deux
affections
ne sont pas identiques, mais il existe entre elle
clusivement à la goutte : ils confondaient d'ail-leurs cette dernière
affection
avec le rhumatisme, sous le nom de maladie articu
s pôles et de l'équateur. Cependant, on rencontre assez souvent cette
affection
dans les climats chauds ; elle est fréquente en E
on offre une grande importance pour la théorie du rhumatisme, car les
affections
héréditaires ne sont pas des maladies accidentell
indispensables. Toutefois, ce que l'on sait tend à établir cpie cette
affection
procède souvent par voie d'hérédité, soit du rhum
es. Voilà donc trois géné-rations successivement atteintes de la même
affection
. Pour le rhumatisme d'Heberden, l'hérédité me p
ie, d'après mes observations personnelles : c'est là bien souvent une
affection
de famille. C'est d'ailleurs un poinlque Garrod a
umatisme articulaire air/u s'étend de quinze à trente ans; mais cette
affection
n'est pas rare aux premières années de la vie ; o
let, et de quarante à soixante ans, époque de la ménopause, que cette
affection
se manifeste le plus volontiers. Haygarth avait d
l'âge moyen de la vie. C'est seulement chez les jeunes sujets que ces
affections
sont vraiment exception-nelles. Cependant on en a
ou d'un coup; et il est difficile de déterminer s'il s'agit là d'une
affection
générale, ou d'une maladie purement locale, consé
ant, un érysipèle de la face, contracté pendant une épidémie de cette
affection
, fut le point de départ d'un rhumatisme articulai
isme articulaire aigu. On connaît la connexité qui existe entre les
affections
arti-culaires et la scarlatine. Il faut distingue
deux espèces de cas. Tantôt la scarlatine provoque l'explosion d'une
affection
articulaire qui ne se distingue en rien du rhumat
nt, lorsqu'il se produit des symptômes arti-culaires à la suite d'une
affection
uréthrale, on voit se mani-fester quelques arthro
suis même convaincu qu'il en est bien des fois ainsi. Mais souvent l'
affection
articulaire qui naît dans ces circonstances est b
irconstances est bien le rhumatisme, développé consé-cutivement à des
affections
qui ont aussi, dans certains cas, le pouvoir de f
La dysménorrhée pseudo-membraneuse a été signalée par Todd parmi les
affections
qui coïncident avec le rhumatisme noueux. 11 n'es
rhumatisme noueux. La grossesse est aussi l'une des causes de cette
affection
. Dans un travail qu'il a bien voulu me communique
ais le contraste devient plus frappant encore, si nous com-parons aux
affections
qui s'associent volontiers avec la goutte celles
vec le rhumatisme ; de l'autre côté, la scrofule (3), la phthisie,les
affections
cancéreuses (4) fréquentes dans lerhuma- 1. Sur
aux avaient présenté des signes évidents de phtisie pulmonaire. Cette
affection
, je puis l'affirmer, vient souvent emporter les i
t rare (XVunderlich, Hamernjk). Cependant, la coïncidence de ces deux
affections
est possible : M. Danjoy, qui a appelé l'attentio
lations en apparences inti-mes, prouvent-elles l'identité de ces deux
affections
? Non, certes: fout au plus admettrons-nous qu'il
ès. — Eaux minérales. — Toniques et reconstituants. — Traitement de l'
affection
locale, des tophus et de la rigidité des jointure
-conisé le colchique, déjà remis en honneur par Storck, pour d'autres
affections
que la goutte. Plus tard, ses efforts ont été bie
phénomènes cérébraux inquié-tants, et même provoquer, dans des cas d'
affection
rénale, l'apparition d'accidents urémiques. On de
est cependant utile chez les goutteux dans les cas où il existe, une
affection
hépatique, suivant Garrod (1). Mais il est une
s eaux, en général, sont contre-indiquées chez les malades atteints d'
affections
organiques du cœur et des reins. Quant aux sour
ipes actifs du Portland-powder, et le quinquina. D. Traitement de l'
affection
locale, des tophus et de laridigité des jointures
s réelle : mais, il faut en convenir, le rhumatisme chronique est une
affection
que toutes lesressources de la médecine, dans la
'ailleurs observer des irrégula-rités non moins remarquables dans des
affections
qui ne s'ac-compagnent pas de fièvre, mais qui se
ief; il est cependant, surtout chez le vieillard, un certain nombre d'
affections
qui donnent naissance au phé-nomène inverse en pr
t une fièvre intense, peut ne pas s'élever pendant tout le cours de l'
affection
au-dessus des tem-pératures fébriles moyennes, 39
pour eux dans l'organisme. Ajoutez que dans les cas de fièvre avec
affection
locale certains troubles qui résultent du fonctio
ger. Remarquons d'abord, avec M. Liebermeister, que la plu-part des
affections
fébriles, quelle qu'en soif d'ailleurs la nature,
ous l'occasion de passer en revue, à ce point de vue particulier, les
affections
qui, chez le vieillard, produisent la fièvre. D
dans quelques maladies des centres nerveux. — Tétanos. — Epilepsie. —
Affections
hystériformes. — Attaques apoplectiformcs de la p
ont je me propose de traiter dans la leçon prochaine. La principale
affection
de ce groupe, c'est la pneumonie lobaire, qui, ma
'à 40 degrés par exemple. Ce ca-ractère suffit déjà pour distinguer l'
affection
de celles qui ap-partiennent au groupe suivant, e
uemment dans cet hospice des fièvres intermit-tentes symptomatiques d'
affections
des voies urinaires ou des canaux biliaires. Ces
ins profond. On a aussi cité quelques cas à'hystérie ou tout au moins
affections
hy'Steriformes avec ou sans convulsions, qui se s
la pathologie mentale, s'ils ne trouvaient leurs analo-gues dans les
affections
qui sont plus particulièrement du res-sort de la
du cerveau. Or, il n'est pas rare chez elles, devoir s'établir une
affection
marquée par des accès tantôt apoplectiformes, tan
rveux où se rencontrent les hautes tem-pératures ultimes je passe aux
affections
où existent des lésions récentes, en commençant
s Sommaire. — Abaissement do la température centrale dans certaines
affections
des vieillards. — Choléra indien. — Inanition et
e, surtout chez les vieillards, d'observer dans le cours de certaines
affections
le phénomène-inverse, c'est-à-dire un abaissement
latifs à des maladies chroniques. Au premier rang, on doit placer les
affections
cancéreuses, mais seulement dans certaines condit
ne vous étonnerez pas de retrouver ce même caractère dans cer-taines
affections
organiques ou fonctionnelles du cœur. 11 est de f
ganiques ou fonctionnelles du cœur. 11 est de fait que la plupart des
affections
qui amoindrissent l'action du cœur tendent à prod
des circonstances où les choses sont poussées moins loin. Parmi les
affections
du cœur lui-même s'accompagnant d'une diminution
degrés. Vous n'ignorez pas que, dans les cas ftasystolie liés à une
affection
organique du cœur, il se produit de temps à autre
, li dee-). TROISIÈME PARTIE Études pour servir à l'histoire de l'
affection
décrite sous les noms de goutte asthénique primit
ique (forme primitive), etc. ÉTUDES POUR SERVIR A L'HISTOIRE de l'
affection
décrite sous les noms de GOUTTE ASTHÉNIQUE PRIM
s. Un bon nombre de ces infirmités reconnais-sent pour cause diverses
affections
chroniques des jointures. Placé comme élève int
cachet de gravité qui n'autorisent pas, sans doute, la création d'une
affection
distincte, mais qui motivent, du moins, une descr
as, nous n'avons assisté ni au début, ni auxpremiôres périodes de l'
affection
. Les nodosités reconnaissent des causes diverse
emmes infirmes par suite d'atrophie cérébrale congénitale ou acquise,
affection
qui a été autrefois bien étudiée par M. Cuzauvi
s malades, dis-je, en général, arrivées aune époque très avancée de l'
affection
, la rigidité articulaire persiste encore, bien qu
ures qui sont prises simultanément. Cependant, même dans les cas où l'
affection
s'est généralisée, ils peuvent passer inaper-çus.
iques de ferme. Le père est mort à l'âge de cinquante-cinq ans, d'une
affection
d'estomac, sans avoir eu de rhumatismes. La mère
à l'examen plessimétrique et stethoscopique les signes évidents d'une
affection
du cœur. L'une de ces malades est âgée de soixant
araît pas que la mort sur-vienne souvent sous l'unique influence de l'
affection
des join-tures. On pourrait supposer que les infi
is nous n'avons pas pu savoir s'il n'existait pas dans ce ras quelque
affection
viscérale capable d'expliquer cette ter-minaison
hronique. Etiologie. Presque tous les auteurs qui ont écrit sur l'
affection
qui nous occupe, font étudiée dans les établissem
n n'ont paru avoir d'influence particulière sur le développement de l'
affection
. L'hérédité a été notée, dans nos observations, 1
sam-ment précis sur ce sujet, et nous avons trouvé que quelque-fois l'
affection
articulaire se développe, alors même que la cause
s fait à la Salpètrière, avec notre collègue et ami M. ïrastour cette
affection
motiverait un vingtième des admissions dans les d
s n'avons rencontré qu'un petit nombre d'hommes qui présentassent une
affection
en tout semblable à celle que nous avons si fréqu
aques de rhumatisme articulaire franchement aigu, avant le début de l'
affection
dont le déve-loppement a été la cause de déplorab
tie de notre travail sont au nom-bre de six; elles ont succombé à des
affections
viscérales très diverses (pneumonie, phtisie, ent
s relevées à l'hospice de la Salpêtrière reconnaissent pour cause une
affection
primitivement chronique, qui a pour siège de préd
successivement et dans un certain ordre. Nous avons rencontré cette
affection
chez des femmes d'une 1. Nous avons trouvé de b
s, comme nous l'avons montré, à deux types à peu près cons-tants. L'
affection
a présenté une marche très lente et a déterminé p
ni même les phénomènes viscéraux particuliers qui sont l'apanage des
affections
gout-teuses. Ajoutons, d'après les auteurs, que
tat actuel, nous avons à étudier chez le malade, 1° les vestiges de l'
affection
habituelle des articulations, qui est dans ce mom
tions, qui est dans ce moment dans une période, de rémission ; 2° une
affection
pectorale. Voici d'abord dans quel état nous trou
s actuellement la maladie principale. Nous, avons parlé du début de l'
affection
pectorale. Le trois mars, jour d'entrée, nous c
ères. ses articulations présentent tous les degrés imaginables de l'
affection
qu'on a appelée, dans ces derniers temps, du nom
st impossible de savoir d'elle à qu'elle époque remonte le début de l'
affection
actuelle. On dit que, depuis plusieurs jours M.
t un type parfait des défor-mations qui sont propres à cette dernière
affection
, et qu'il n'existait aucun signe apparent de toph
goutteux mort à sa huitième attaque, peu de temps après le début de l'
affection
. Dans ce cas, le rein était sain en apparence, sa
cela même, un caractère spécifique et diffère entière-ment des autres
affections
articulaires. Le dépôt d'urates a lieu dès les
fut complètement délivré au bout d'une quinzaine de jours ; mais son
affection
cardiaque et pulmonaire resta dans le même état.
té la cause occasionnelle, l'épine qui a déterminé la production de l'
affection
rénale qui s'est montrée avec tout l'ensemble cli
hiffre ne comprend-il pas les individus admis pour être traités d'une
affection
saturnine, et dont plusieurs avaient eu la goutte
re le mode de connexion qui rattache l'un à l'autre les deux ordres d'
affections
(1). Chez douze individus atteints d'une maladie
les dix autres cas, il n'y avait jamais eu la moindre apparence d'une
affection
goutteuse, et cependant, dans tous ces cas, deux
sang par excès d'acide urique. Dans cette altération du sang, due aux
affections
saturnines, y a-t-il, en réalité, production exag
es eaux de Bath sont de la plus grande utilité dans le traitement des
affections
goutteuses qui succèdent quelquefois à la colique
excès d'acide urique, rencontrée chez certains sujets atteints d'une
affection
saturnine. Sans doute, la statistique établit que
ourg, où l'on a cherché à vérifier les propositions de M. Garrod, les
affections
saturnines, au rapport du professeur Christison,
401.) — On sait que Ma-gnus Huss ne signale point la goutte parmi les
affections
qui, en Suède, ré-sultent de l'abus prolongé de l
s. Plusieurs accès du même genre se sont reproduits par la suite. L'
affection
goutteuse s'est manifestée pour la première fois
ès intelligent, vif; il s'exprime avec volubibité. Jamais il n'a eu d'
affections
cutanées, si ce n'est la gale, il y a fort longte
à peu à devenir continue et prend enfin décidément les allures d'une
affection
chronique. Par suite, la plupart des articulation
toire. Aucun doute ne saurait donc exister con-cernant la nature de l'
affection
dans ce cas d'une intensité presque exceptionnell
trois de ces cas où l'intoxication saturnine s'était compliquée d'une
affection
articulaire, j'ai recherché, avec l'assistance de
ouvait semblable chose. Après quoi, il se plaignit d'asthme nocturne,
affection
dont il avait été atteint autrefois à plusieurs r
u même titre que le ver-tige dit de Ménière paraît se rattacher à une
affection
du nerf auditif dans le labyrinthe. Ce serait don
at actuel, nous avons à étudier chez ce malade : 1° les vestiges de l'
affection
habituelle de l'articulation qui est en ce mo-men
culation qui est en ce mo-ment dans une période de rémission ; 2° une
affection
pectorale. Voici d'abord dans quel état nous tr
as actuellemeut la maladie principale. Nous avons parlé du début de l'
affection
pectorale. Le 3 mars, jour d'entrée, nous const
nture, et ils en ont conclu que cette sorte d'arthrite est tantôt une
affection
locale, tantôt une maladie constitutionnelle. p
e passées en revue peuvent, par elles-mêmes, provoquer l'apparition d'
affections
articulaires qui différeront, à certains égards,
tions muqueuses ou pituiteuses. Les anciens, néanmoins, ont connu les
affections
variées qu'on a rassemblées de nos jours sous le
le même pas qu'aucun d'eux ait jamais songé à établir, entre les deux
affections
, une séparation tranchée. « Certains médecins »,
. Le premier, cet auteur a décrit, comme distincte de Yarthritis, une
affection
à laquelle il a donné, on ne sait trop pour quell
inaisi! existe des preu-ves d'un autre ordre pour démontrer que cette
affection
exis-tait, au moins dès te premier siècle de notr
i portent encore les traces parfaitement reconnais-sablés de diverses
affections
pathologiques. Or, quelques-unes de ces altératio
2, p. 134). — Il n'est peut-être pas sans inté-rêt de remarquer que l'
affection
décrite par Landré-Beauvais, dans sa dissertation
x pour servir à une mono-graphie sur la goutte. Paris, 1802, p. 7), l'
affection
a occupé le côté droit. La goutte paraîtrait avoi
humatisme noueux. — A ne considérer même que le siège primitif clos
affections
locales ainsi que le mode d'envahissement success
ous avons nous-même fait ressortir (Etudes pour servir à l'hist. de l'
affection
décrite sous les noms de goutte asthénique, pri
quent qu'elles soient respectées pendant toute la durée du cours de l'
affection
, ainsi que cela a lieu d'ailleurs, le plus souven
ne, la hanche après le genou. Sans doute, cet ordre de succession des
affections
articulaires n'est pas toujours 1. Voir plus ha
en consé-quence d'une sorte d'action réflexe morbide excitée par les
affections
articulaires. Les autres reconnaissent pour cause
noueux; mais c'en est assez pour établir que la distinc-tion des deux
affections
ne saurait être fondée d'une manière absolue sur
es à deux espèces bien distinctes : I. En premier lieu, on trouve l'
affection
décrite par M. Rayer sous le nom de Néphrite gout
acée, ne sont autre chose que des accidents urémiques subordonnés à l'
affection
rénale qui se développe si fréquemment sous l'inf
es eaux de Bath sont de la plus grande utilité dans le traitement des
affections
goutteuses qui succèdent quelquefois à la colique
Dans trois cas où l'intoxication saturnine s'était compliquée d'une
affection
articulaire mal déterminée, j'ai recherché, avec
contri- NOTES SUR LA GOUTTE 537 buer puissamment à faire naître l'
affection
goutteuse (p. 341). Accroissement de l'acide ur
rtrophie de la rate. — En dehors de tout état fébrile, dans certaines
affections
-qui s'accompagnent d'une hypertrophie de la rate
manifesté des symptômes de goutte irrégulière, sans accompagnement d'
affection
des jointures, on a reconnu la présence d'un excè
r, par le seul fait de cette intoxication et indépendam-ment de toute
affection
goutteuse, le sang peut, comme on l'a vu, se tr
illeurs aucun signe de maladie rénale. Deux jours après le début de l'
affection
hydrargyrique, survint une attaque de goutte bien
aladies des reins et dans la goutte. — Chez les sujets atteints d'une
affection
quelconque du paren-chyme rénal, mais en particul
es vésicatoires peuvent être employés avec avantage, alors même que l'
affection
est de date récente et que les articulations roug
e articulaire aigu (Arch. gén. de méd., 4e sér. , t. IV, 1844). Cette
affection
se sépa-re donc encore profondément de la goutte
ui, pour cette rai-son, peut-être, a été souvent considérée comme une
affection
d'origine goutteuse. Il est certain également que
acée ne sont autre chose que des accidents urémiques, subordonnés à l'
affection
rénale qui se développe si fréquemment sous l'inf
de la goutte. Il y a là un point important de diagnostic (p. 564).
Affections
gastro-intestinales liées à la goutte. — Les expé
'urates dans les cas de saturation unique. Ce serait une cause de ces
affections
gastro-intestinales qu'on trouve si fréquemment l
seul fait où « des accidents de cette nature aient été suivis d'une
affection
« cardiaque. Mais dans les cas où il y a eu des
trouvent à peu près exactement reproduites dans la goutte (p. 586).
Affection
spinale liée à la goutte. Dans un cas rapporté pa
ès que la goutte eut été appelée aux extrémités. Plusieurs exemples d'
affection
spinale, liés, suivant toute vraisemblance, à la
1866, p. 24, obs. XIII et VIV). Il ne faudrait pas rapporter à une
affection
de la moelle épi-nière ou de ses enveloppes, cett
sie n'a pas eu lieu, mais il est on ne peut plus vraisemblable qu'une
affection
de la colonne vertébrale, suivie de compression d
des auteurs. Les cas de ce groupe se distinguent surtout en ce que l'
affection
présente habituellement une ten-dance presque inv
sèche, de morbus coxœ senilis, etc. 3° Nodosité d'Hc-berden. C'est l'
affection
décrite par Heberden sous le nom de digitorom nod
du rhumatisme articulaire pri-mitif. Paris, 1899. — B. Malherbe, Des
affections
viscérales dans la goutte et le rhumatisme chroni
ut au rhumatisme articulaire chronique généralisé que s'associent les
affections
dont il s'agit, et on les rencontre là dans deux
a suite, manifestées de nouveau, à l'occasion d'une exacerbation de l'
affection
articulaire ; tantôt, au contraire, le rhumatisme
rigine, la forme chronique, et l'on est conduit à reconnaître que les
affections
du cœur se sont développées sous sa seule influen
ière en 1852, deux présentaient les symptômes les mieux accusés d'une
affection
organique du cœur. — Il y a quelques années, dans
chronique a eu une influence réelle sur le premier déve-loppement des
affections
du cœur. Les faits qui vont suivre sont sous ce r
ue généralisé. Sur un total de neuf sujets atteints de cette dernière
affection
et dont l'autopsie a été pratiquée, dans mon serv
auriac. De tout ce qui précède, on peut conclure, je pense, que les
affections
du cœur, telles que l'endocardite et la péricardi
e de voir les malades, atteints des diverses formes de cette dernière
affection
, porter au cou des cicatrices caractéris-tiques.
Rhumatisme noueux et migraine. — Il faut citer la migraine parmi les
affections
qui paraissent avoir une certaine relation avec l
avec le rhumatisme noueux; sur 30 femmes atteintes de cette dernière
affection
, 12 avaient éprouvé autrefois des migraines inten
es arthropathies, pour ne pas reconnaître qu'il existe entre ces deux
affections
une certaine connexité. Sur les maladies de l'œ
Berliner klinisch. Wochenschr., 27 nov. 1865, u° 48), les signes de l'
affection
rénale ont été constatés un an à peine après les
oin de pressentir cette affinité, soutenait au contraire que les deux
affections
dont il s'agit se rattachent à des causes tout op
firmé coexister dans le même temps, chez le même sujet, mais ces deux
affections
alternent ou se succèdent. Il est de règle que la
accès de goutte. J'ai vu cepen-dant plusieurs fois les deux ordres] d'
affection
coexister sans s'amender mutuellement. Il est un
q ans; obésité à trente-cinq ans, puis diabète. Mort à la suite d'une
affection
cérébrale. — 3e fils : Tempérament lym-phatique,
it remarquer M. Charcot, le tremblement dit sénile n'est pas la seule
affection
que l'on ait considérée alors comme un apanage de
: goutte aiguë, goutte chronique. — Hématologie pathologique de cette
affection
. — Les tophus de la goutte sont composés d'urate
outte aiguë en goutte chro-nique. — Cachexie goutteuse. — Gravité des
affections
intercurrentes.— Goutte chronique succédant à la
-tée. — La goutte viscérale peut-elle exister indépendamment de toute
affection
articulaire ? — Affections du tube digestif. — Sp
e peut-elle exister indépendamment de toute affection articulaire ? —
Affections
du tube digestif. — Spasme de l'œso-phage. — Dysp
onnels du rein. — Néphrite goutteuse. — Indication de quelques autres
affections
abarti-culaires qui se rattachent à la goutte....
se rattachent à la goutte..................... 87 HUITIÈME LEÇON
AFFECTIONS
CONCOMITANTES DE LA GOUTTE. Accidents qui parai
que. — Phlegmons et érysipèlesde mauvaise nature. — Gangrène sèche.
Affections
intercurrentes dans la goutte. — Traumatisme, phl
Goutte critique. Action des médicaments, plomb, mercure, opium, etc.
Affections
concomitantes de la goutte.— Ses affinités avec l
nique et de ses lésions Le rhumatisme articulaire chronique est une
affection
essentiellement nosocomiale. —Nature de cette aff
nique est une affection essentiellement nosocomiale. —Nature de cette
affection
. — Ses rapports avec le rhu-matisme aigu. — Princ
— Né-cessité d'étudier avec soin les lésions locales. —Unité de cette
affection
. — Indication des premiers travaux qui se rappo
ur. — Tuméfaction. — Rougeur. — Température. — Durée. — Mobilité de l'
affection
. Etat général dans le rhumatisme. — Fièvre. — M
rhumatisme articulaire aigu et subaigu. 194 QUATORZIÈME LEÇON des
affections
viscérales dans le rhumatisme articulaire aigu et
ns le rhumatisme articulaire aigu et chronique. Parallèle entre les
affections
viscérales de la goutte et celles du rhuma-tisme
et celles du rhuma-tisme aigu ou chronique. Développement tardif des
affections
viscérales dans la goutte, dévoppement prématuré
es affections viscérales dans la goutte, dévoppement prématuré de ces
affections
dans le rhuma-tisme aigu. — Ces lésions ne se man
nature des lésions viscérales dans le rhumatisme et dans la goutte. —
Affections
du cœur dans le rhumatisme. — Péricardite rhumati
canalisation. — Etat typhoïde. — Période chronique de la ma-ladie. —
Affections
mutiples qui sont la conséquence de ces lésions.
— Cystite. — Lésions du système nerveux. —? Affec-tions cérébrales.—
Affections
médullaires. — Lésions abarticulaires de diverses
s musculaires. — Névralgies. — Troubles de l'appareil de la vision. —
Affections
cutanées : eczéma, psoriasis, prurigo, lichen, et
mblée. — Déformations articulaires. — Manifes-tations diathésiques. —
Affections
cutanées. — Lésions viscérales. Mode de dévelop
tures de la main souvent affec-tées, mais à un moindre degré. — Cette
affection
se rattache à la dia-thèse rhumatismale. — Elle p
èle entre l'étiologic du rhumatisme et celle de la goutte. — Ces deux
affections
ne sont pas identiques, mais il existe entre elle
és. — Eaux minérales. — Toniques et reconstituants. — Traitement de l'
affection
locale, des tophus et de la rigidité des join-tur
dans quelques maladies des centres nerveux. — Tétanos. — Epilepsie. —
Affections
hystériformes. — Attaques apoplectiformes de la p
s vieillards. Abaissement de la température centrale dans certaines
affections
des vieillards. —Choléra indien. —Inanition et ma
, . . . 330 TROISIÈME PARTIE Études pour servir à l'histoire de l'
affection
décrite sous les noms - de goutte asthénique prim
— dans la goutte, 98, 546; — abaissement de la tempé-rature dans les
affections
du —, 545. Colchique : dans la goutte, 274, 541 ;
oplexie, convulsions, folie,100,463;— aphasie, 10; — cérébrale, 10; —
affections
de la moelle dans la —, 101, 549; — asthme, 102;
ge laryngé, 478; — douleurs musculaires, 107; — né-vralgies, 107; —
affections
cutanées, 107; — ulcères dans la—, 515; — iritis,
on-viscérale, 106; — douleurs musculaires, 107; névral-gies, 107; —
affections
cutanées,107. Goutte aiguë, 76, 203 ; — prodro-
5 ; — difficultés de la —, 294 ; — anoma-lies de la —, 296. Peau :
affections
de la — dans le rhu-matisme, 223. Péricardite d
synoviale, 185; — synovite aiguë, 185; — lésions ana-logues dans les
affections
du cœur, 186 ; — absence de suppuration, 192 ; —
avec la goutte, 125. Stalactites osseuses, 187. Stéatose, dans les
affections
fébriles, 313. Stout, 150, 527. Sueurs, dans
par l'injonction de substances chimiques, 336; — abaissement dans les
affections
or-ganiques ou fonctionnelles du cœur, 340 Ther
ole, 318. Vertige laryngé et goutte, 478. Vessie irritable, 105 ; —
affection
de — dans le rhumatisme, 227. fin de la table a
Celle deuxième partie est subdivisée en sections se rapportant aux
affections
des muscles, des nerfs, de la moelle, des méninge
d'une paralysie banale, niais PARALYSIE DIPHTÉRIQUE 17 bien d'une
affection
ayant sa physionomie propre, au même titre que
u nystagmus, trouble le vertige voltaïque comme le font parfois les
affections
auriculaires, mais seulement d'une manière transi
cette idée on peut invoquer l'état des pupilles dans l'héméralopie,
affection
produite par une altération du pourpre (Pari- n
- celle raison d'une part, d'autre part à cause de la fréquence des
affections
capables d'y apporter des troubles et de la val
aminant systématiquement un grand nombre de sujets exempts de toute
affection
du système nerveux, j'ai pu redresser des erreu
our l'exagération des réflexes tendineux qui, souvent, dans maintes
affections
spinales, sont égaux et très forts des deux côt
il suffit de choisir quelques individus ne présentant aucun signe d'
affection
nerveuse, ayant simplement des réflexes tendine
ément chez les tuberculeux ne présentant, du reste, au- cun signe d'
affection
organique du système nerveux. » Les données ci-
u tabes, qu'il est une manifestation plus précoce de cette dernière
affection
que le signe de Westphal, ce qui aujourd'hui es
égligée, ont apporté des éléments nouveaux pour la localisation des
affections
de la moelle cervicale et de ses racines. J'ai
inversion dans la forme du réflexe cutané plantaire est liée à des
affections
diverses de l'encéphale ou de la moelle. Or, ce
e à des affections diverses de l'encéphale ou de la moelle. Or, ces
affections
, à tant d'égards si différentes, ayant pour car
envahir les cordons latéraux ; sa fréquence prouve que, dans cette
affection
, l'envahissement de la sub- stance blanche est
en igo4, et relatif aux perturbations des réflexes cutanés dans les
affections
du système pyramidal, j'ai fait observer que ch
ceci d'important qu'il peut permettre de déceler l'existence d'une
affection
grave de l'encéphale, se distinguerait des autr
mise ; il n'y a presque pas une observation clinique relative à une
affection
du système nerveux dans laquelle sa présence ou
pertise médico-légale, l'absence de tout signe objectif classique d'
affection
organique du système nerveux avait conduit les
nication avec présentation de malades sur les « formes latentes des
affections
du système pyramidal » j'ai écrit ceci : « Ce
es paralysies d'origine spinale que dans celles qui dépendent d'une
affection
cérébrale. » Il n'existe pas, du moins à ma con
de de ce signe. Mais, dans maintes obser- vations ayant trait à des
affections
organiques du système nerveux central atteignan
Jarkowski (188). Mais il est à remar- quer que dans cette dernière
affection
les réflexes de défense se comportent d'une man
outeau, j'ai observé avec Chauvet etJarhowslci (202), au début de l'
affection
, une disposition diffé- rant en partie, au poin
ant le signe d'Argyll et n'ayant, sauf ce trouble, aucun symptôme d'
affection
organique du système nerveux. Nous avons eu rec
des, les divers signes objectifs qui peuvent se manifester dans les
affections
organiques du système 62 SÉMIOLOGIE nerveux,
ymplo- maticluc identique à celui de la contracture dépendant d'une
affection
organique de la voie pyramidale; on pensait d'a
contracture, observée dans la syringomyélie et qui, imputable à une
affection
orga- nique de la moelle, doit cependant être d
entant aucun signe d'intoxication, aucune manifestation objective d'
affection
organique du système nerveux, qui depuis denombre
hidien et fourni une statistique portant sur 120 cas pris parmi les
affections
nerveuses les plus variées (75). Nous avons été
se d'erreur qu'il est bon de connaître et de savoir éviter. » II.
AFFECTIONS
DES MUSCLES MYOPATHIE PRIMITIVE A. Corrélatio
face, l'orbiculairc des yeux cl, l'orbiculairc des lèvres sont 7'1
AFFECTIONS
DES MUSCLES prédisposés, les muscles moteurs du
ciation des divers modes de l'excitabilité musculaire (181). III. -
AFFECTIONS
DES NERFS NÉVRITES Dans le Traité île Médecin
re considérées comme constituant tout le substratum anatomique de l'
affection
, dont elles représentent seulement les altérati
mentionné déjà par Slernberg dan- ! deux obsci valions, mais il 76
Affections
des neRfS n'avait pas retenu l'attention des cl
e, mais aussi chez des malades atteints de la forme légère de cette
affection
, que l'on appelle sciatique névral- gie, épithè
iceps brachial ; abolition du réflexe du tendon de ce muscle. Cette
affection
a été souvent méconnue, sans doute parce qu'ordi-
eut reproduire et qui sont étrangers à la symptomatologie des tics,
affection
psychique. J'ai vérifié l'exactitude de ces idé
ingulière est la suivante : en même temps que le 1 BABINSKI. 6 82
AFFECTIONS
DES NERFS muscle orbiculaire de l'oeil fonction
te figure aucun des caractères qui sont relevés sur la fig. 8. 84
AFFECTIONS
DES NERFS à celui qui résulte de l'électrisatio
; il s'agit peut-être, au moins dans bien des cas de cette dernière
affection
, de mouvements d'un tout autre ordre. « Je ne c
son degré d'intensité, donner naissance à l'une ou à l'autre de ces
affections
; j'ajoute, à l'appui de cette opi- nion, qu'on
accepté ma manière de oir en ce qui concerne la pathogénie de cette
affection
. Ernest Dupre et JuIcsLomaire, rapportant un fa
nant quelcs irritations d'origine sensitive peuvent provoquer cette
affection
,dit : « \I. Babinski croit que l'hémispasme facia
trajet, depuis son noyau d'origine jusqu'à sa terminaison. » IV. -
AFFECTIONS
DE LA MOELLE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE EN FLEXION
qui unit ces deux phénomènes est comparable à celui qui rattache 88
AFFECTIONS
DE LA MOELLE l'exagération des réflexes tendine
re a une stabilité relative, car le mot spasme a été appliqué à des
affections
telles que le torticolis dit mental où la raide
sur un cas de tabes à systématisation exceptionnelle » (120). 90
AFFECTIONS
DE LA MOELLE Dans le fait que nous avons rappor
bilatérale du réflexe achilléen chez tous ces malades, sauf dans 92
AFFECTIONS
DU LA MOELLE un cas où le trouble n'était qu'un
e, une forme de rétrécissement du champ visuel particulière à cette
affection
. « 2° Dans la grande majorité des cas, le champ
roubles trophiques liés aux altérations nerveuses du tabès, mais 94
AFFECTIONS
DE LA MOELLE cette conception, énoncée d'ailleu
ues) et, à aucun moment, le malade n'avait eu d'hématémèse ou de 96
AFFECTIONS
DE LA MOELLE mélaena. Le malade étant mort de g
ysie générale et dont l'autre, ne présentant aucun signe objectif d'
affection
organique, aucune manifestation de syphilis, a,
yphilis est vraisemblablement une condition sine l3auwssi. 7 98 -
AFFECTIONS
DE LA MOELLE quâ non du tabes. Aujourd'hui, c'e
observations : « Je considère aussi le labes, ai-je dit, comme une
affection
moins grave qu'on ne le pensait autrefois. Il e
« Il y a lieu de se demander si le tabes est devenu réellement une
affection
moins grave et, dans ce cas, de rechercher la cau
elle enraye dans une certaine mesure l'évolution du tabes. » 100
AFFECTIONS
DE LA MOELLE J'ai été, je le rappelle, un des p
c l'existence d'une sclérose papillaire. 3° Enfin, l'évolution de l'
affection
, l'atténuation notable des troubles visuels son
fait l'objet de ma Thèse de Doctoral, m'ont conduit à soumettre 102
AFFECTIONS
DE LA MOELLE à la critique certains points cont
t les cellules migratrices jouent vraisemblablement ici un rôle 104
AFFECTIONS
DE LA MOELLE prépondérant. Il est à remarquer q
u rectum, escarres). Il y a peut-être lieu de désigner une pareille
affection
sous le nom de sclérose en pla- ques à forme de
euses, ainsi que j'ai cherché à l'établir avec Jarkowski (171). 106
AFFECTIONS
DE LA MOELLE La hauteur du territoire cutané do
i s'était développé aux dépens des méninges molles fut aisément 108
AFFECTIONS
DE LA MOELLE extrait. L'examen histologique mon
tit graduellement à une guérison complète. RADIOTHÉRAPIE DANS LES
AFFECTIONS
SPINALES J'ai relaté, en i go6, l'observation d
rie et la thermo-anesthésie permettent d'affirmer l'existence d'une
affection
organique de la moelle cervicale..... Vraisembl
énote la persistance d'une perturbation du système pyramidal. 110
AFFECTIONS
DE LA MOELLE « Y a-t-il coïncidence purement fo
té le point de départ des tentatives de radiothérapie dans diverses
affections
de la moelle (tabes, sclé- rose en plaques, etc
efficacité de la méthode n'est pas encore nettement établie. V. -
AFFECTIONS
DES MÉNINGES MÉNINGITES A. Méningite cérébro-
ière rachicentèse, pratiquée environ trois mois après le début de l'
affection
, donna issue à un liquide louche contenant un gra
particulier de celles de notre collègue Netter, mais aussi quand l'
affection
a une évolution subaiguë ou chronique. » Un a
tendineux, en particulier, ont toujours été normaux» » (8fi). 112
AFFECTIONS
DES MENINGES B. Méningite hémorragique fibrineu
nge passent en effet au second plan et celles 13ABINSKI. 8 : 111.
AFFECTIONS
DES MÉNINGES de l'arachnoïde prédominent au poi
s des cas de ce genre ? Dans l'espèce, l'évolution très rapide de l'
affection
est la cause qui nous a empêchés d'avoir recours
présentons, aujourd'hui, notre malade complètement guéri. » VI ?
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE ET DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE
pensait-on, en tenant compte des circons- tances dans lesquelles l'
affection
s'est développée et de l'état général du malade
dence l'hypotonicité dans les muscles du membre supérieur : 118
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE Lorsqu'on imprime à l'avant-bras
aît dans les mouvements synergiques où les peauciers entrent en 120
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE jeu et se manifeste par la prédo
testable car, lorsque le malade, se trouvant couché sur le dos, 122
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE cherche à maintenir ses membres
ue la paralysie du membre supérieur soit assez marquée : jamais 124
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE je n'ai perçu cette sensation da
Vous constaterez alors que chez le premier malade le bras para- 126
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE lysé retombera immédiatement com
dans un article intitulé : ce Contribution à l'étude de l'atro- 128
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE phie musculaire chez les hémiplé
cillé, je puis affirmer que l'activité musculaire BA81\SKI. 9 130
AFFECTIONS
DE L'ENCEPHALE est intervenue, car, en vertu de
papillaire peuvent faire dé- faut, même à une période avancée de l'
affection
. J'ai publié (127) l'observation anatomo-cliniq
éphale peut avoir des caractères permettant de la distinguer de 132
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE l'hémiplégie vulgaire accompagné
temps ; ce n'est que depuis peu qu'un revirement s'est produit. 134
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE Dans plusieurs notes, dont la pr
n maintes circonstances, une merveilleuse opération palliative. »
AFFECTIONS
DU CERVELET Les connexions anatomiques et fonct
é étroite que SYNDROME CÉRÉBELLEUX . 13.'i la symptomatologie des
affections
cérébelleuses présente avec celle des affection
ymptomatologie des affections cérébelleuses présente avec celle des
affections
labyrinthiques. Cette relation a été mise en évid
ères cli- niques que l'on assigne, dans les traités classiques, aux
affections
du cervelet, appartiennent aussi aux affections
tés classiques, aux affections du cervelet, appartiennent aussi aux
affections
de l'appareil vestibulaire. Il en est ainsi des
tains points - comme appartenant en propre à la symptomatologie des
affections
du cervelet. Ce sont : l'asynergie, l'adiadococ
ns. Mes travaux ont apporté, j'espère le montrer, des notions 136
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE nouvelles sur la pathologie du c
vement un point situé en deçà du but ; mais, dans les premiers 138
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE essais, ils commettent des erreu
sans mesure, mais ils se distinguent de ceux qui dépendent d'une
affection
cérébelleuse : Avant d'arriver au but, le pied
frénatrice suffisante et, comme ces mouvements s'observent dans les
affections
cérébelleuses, je suis amené à dire que le cervel
physiologistes les ont observés chez les animaux. Luciani, qui 140
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE les a bien étudiés, a donné à ce
ou hypermé- trie terme que je préfère à celui de dysmétrie dans les
affections
cérébelleuses chez l'homme datent de mes travau
tiori accomplir une succession rapide de ces deux mouvements. 142
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE Jusqu'à présent l'adiadococinési
icale. Le fait est d'autant plus intéressant qu'il s'agit ici d'une
affection
cérébelleuse tout à fait pure. Siemerling (Be
ns les tumeurs intra-cérébelleuses et extra-cérébelleuses ». l'il
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE 1\leczko\\ski (Neurol. Centralbl
e la jambe sur le pied et de la cuisse sur la BABINSIiI. Io 116
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE jambe, qu'un individu normal acc
é de développement et qu'elle peut être très nette ou fruste. 148
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE Quand elle est bien caractérisée
n conjuguée normale. Le retard était mesurable et pour une tor- 152
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE sion du visage de 5o degrés, se
ait à t,li ? 8 seconde. L'examen permit d'écar- ter le diagnostic d'
affection
labyrinthique. Gall mit alors ce trouble en par
ation de catalepsie cérébelleuse et que l'on peut observer dans les
affections
de l'appareil cérébelleux est caractérisé par l
ne secousse musculaire, contrairement à ce qui se voit chez les 154
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE sujets les plus vigoureux que j'
on et que les lésions cérébelleuses troublent cette fonction. 156 6
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE « Cela est incontestable, mais i
enir immobile sur une jambe que de sauter à cloche-pied. « Dans les
affections
cérébelleuses, l'équilibre volitionnel cinétique
les données classiques sur les troubles de l'équilibration dans les
affections
du cervelet ne sont inattaquables que pour ce q
lleux de conserver longtemps des attitudes une fois prises... » 158
AFFECTIONS
DE L'ENCEPHALE AFFECTIONS DU BULBE Hémiasyner
des attitudes une fois prises... » 158 AFFECTIONS DE L'ENCEPHALE
AFFECTIONS
DU BULBE Hémiasynergie, latéropulsion et myosis
a déglutition. L'examen pratiqué quelques jours après le début de l'
affection
décèle les troubles suivants. On constate de l'
s localisées (voir fig. 23, 24, 25, 26, 27). Babinski. il I 162
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE Ces trois sortes de lésions offr
t jusqu'au noyau de Deiters; ce sont probablement des fibres du 161
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE faisceau cérébelleux descendant
eau froide a provoqué une réfrigération d'une durée de quelques 166
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE minutes seulement à gauche et de
engendrer une anesthésie caractérisée par des troubles de la sensi-
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE 167 bilité profonde
la majorité des cas une hémianesthésie à forme syrin- gomyélique.
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE Diagnostic. Troubl
bles du vertige voltaïque. Depuis quelques années le diagnostic des
affections
de l'appareil vestibulaire a acquis une sûreté
andis qu'à l'état normal, avec un courant peu intense, de i à 3 168
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE milliampères, ces ph
ets non moins pénibles que ceux de l'électrisation. Par contre, les
affections
destructives du laby- rinthe ont pour conséquen
on provoquée par ce courant-est ordinairement exagérée et, dans les
affections
bilatérales, c'est là le caractère le plus sailla
e fort bien la dénomination de « nystagmus céphalique ». Dans les
affections
vestibulaires qui siègent exclusivement ou pré-
Dans les affections vestibulaires qui siègent exclusivement ou pré-
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE 169 dominent d'un cô
n de quelques centimètres cubes de liquide céphalo-rachidien. 170
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE Les modifications du
es qui n'ont plus trace de nystagmus calorique. La sémiologie des
affections
de l'oreille a été enrichie par l'acquisi- siti
ants éléments d'appré- ciation lorsqu'il s'agit de différencier une
affection
auriculaire vraie d'un trouble imaginaire ayant
ts du travail. Ils peuvent contribuer à établir le diagnostic d'une
affection
organique du système nerveux central et compten
ique ne donnant lieu qu'à des troubles subjectifs insignifiants ;
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE 171 « 2° De différen
les réactions électriques, voici les points que je relève dans 172
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE la première observat
De plus, dans l'étude des troubles provoqués, nous avons employé,
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE 173 entre autres moy
avons recherché les modifications que peuvent leur faire subir les
affections
de l'appareil vestibulaire. Nous avons fait con
ltaïque pratiquée sur des malades nullement atteints, d'ailleurs, d'
affections
auriculaires, et que je soumettais à la rachice
Je m'y suis cru d'autant plus autorisé que les moyens employés 174
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE d'ordinaire contre l
riori, tenté de voir là l'effet d'une suggestion, il est admissible
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE 173 que les troubles
on (Thèse, Bordeaux, igo3. Contribution à l'étude du traitement des
affections
auriculaires par la ponction lombaire) rapporte q
précédées d'un aura auditif. La soustraction de 15 centimètres 176
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE cubes de liquide cép
dernier lieu la surdité. » Helsmoortel (Ponction lombaire dans les
affections
de l'oreille. Société médico- chirurgicale d'An
ne des orteils. A moins de supposer la coexistence fortuite de deux
affections
bien différentes, on est conduit à admettre que l
ntraire à l'hypothèse d'un trouble mental et cadre avec celle d'une
affection
organique. Depuis, j'ai eu l'occasion d'observe
leur déci- sive, vient à l'appui de l'opinion que la chorée est une
affection
orga- nique intéressant le système pyramidal. »
assez souvent chez les choréiques les signes cliniques propres aux
affections
orga- niques du système nerveux. D'autres argum
ne semble parfois exercer sur la chorée de Sydenham (i31). VII. -
AFFECTIONS
DES GLANDES A SÉCRETION INTERNE SYNDROME HYPO
titre de mon travail joint aux deux photographies qui y sont 181
AFFECTIONS
DES GLANDES A SÉCRÉTION INTERNE annexées (voir
éveloppé aux dépens de l'épithelium de la glande pituitaire, en 186
AFFECTIONS
DES GLANDES A SÉCRÉTION INTERNE pleine évolutio
en igoi : « Il s'agit d'une jeune femme de 28 ans, chez laquelle l'
affection
, ayant débuté vers le milieu de 1898, avait aug
avait diminué, et le poids s'était accru de plusieurs livres. 188
AFFECTIONS
DES GLANDES A SÉCRÉTION INTERNE « A un nouvel e
irmer les résultats favorables donnés par cette médication. » VIII.
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE ANÉVRISME DE L'
n des réflexes achilléens, ce qui venait à l'appui de l'hypothèse d'
affection
organique du système nerveux. J'émettais l'idée
ille n'étaient nullement sous la dépendance de l'anévrisme, que 190
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL CARDIO-vASCULA1RE cependant il ne
nt dénommé syndrome de Babinski a une si grande importance. » 192
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL CAliUlO-VASCULA1R Paul Vautier, d
généra- lisée, et, d'une façon générale, tout malade porteur d'une
affection
cardio-vasculaire. Notre deuxième observation p
ui lui sont propres, mais susceptible aussi de prendre les traits d'
affections
diverses, voire do maladies organiques. On la d
sonne n'accepte plus maintenant, que sa sphère d'action englobe des
affections
organiques. Elle admettait cependant que les tr
paralysie ; de même, la présence ou l'absence de signes soit d'une
affection
cardio-vasculaire, soit de la syphilis, ne donne
pareils malades venaient déclarer ultérieurement que la marche de l'
affection
les contraignait d'aban- donner leur première h
connaître que, conformément à mon opinion, il s'agissait de quelque
affection
organique. D'autres fois, l'erreur avait une or
ravaux que je viens de résumer ont eu pour effet de restituer à des
affections
organiques, aujourd'hui bien connues, ce que l'hy
encore être réfractaires au traitement chez un sujet atteint d'une
affection
mentale telle que l'hébéphrénie. Le deuxième gr
, dans ce cas, à présenter un aspect symptomatique qui rappellera l'
affection
en question, soit grâce à la faculté d'imi- tat
ournis par les malades, enclins, même quand ils sont atteints d'une
affection
organique, à faire dépendre de quelque émo- tio
D'autre part, l'erreur qui consiste à prendre pour pithiatique une
affection
organique expose à négliger le traitement qu'un t
ation, en déterminant exactement ce qui revient à l'hystérie et à l'
affection
concomitante. on acquiert le moyen de se confor
ydenham va nous servir de témoin, quand, dans sa disserlation sur l'
affection
hystérique, il nous déclare que celle-ci « est la
a plus fréquente de toutes « les maladies chroniques » et que « les
affections
hystériques font la moitié du « troisième tiers
ec les maladies du système nerveux, les névroses et diverses autres
affections
(Id., r novembre 1892). 37. Des crampes muscula
ovembie .805). 43. Sur le réflexe cutané plantaire dans certaines
affections
organiques du sys- tème nerveux (Société de Bio
n à l'étude du cytodiagnostic du liquide céphalo-rachidien dans les
affections
nerveuses (en collaboration avec Nageotte. Id., 2
taïque (Société de Biologie, 14 mars Tclo3). ;) ? Du traitement des
affections
auriculaires par la ponction lombaire (Société
dicale des Hôpitaux, 1 1 décembre igo3). io5. Sur le traitement des
affections
de l'oreille et en particulier du vertige auric
été de Neurologie, 12 janvier I 10). i i ! l. Formes latentes des
affections
du système pyramidal (Id.). t t5. De la flexion
11). 228 INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 182. Du vertige voltaïque dans les
affections
de l'appareil vestibulaire (Société de Neurolog
lexes tendineux dans la myopathie progressive primitive 75 III. -
AFFECTIONS
DES NERFS 76 Névrites 76 Névrite sciatique 77
g Paralysie faciale 80 Ilémispasme facial périphérique 81 IV. -
Affections
de la moelle 8r. Paraplégie spasmodique en flex
5 Traitement chirurgical. Laminectomie 107 Radiothérapie dans les
affections
spinales 108 V. - Affections des méninges 1 l 1
inectomie 107 Radiothérapie dans les affections spinales 108 V. -
Affections
des méninges 1 l 1 Méningites lit 1 Méningite
rophique 113 Hémorragie méningée 11 4 TABLE DES MATIÈRES 233 VL
AFFECTIONS
DE l'encéphale et DE l'appareil ESTIBULAIRE ....
e. 133 Rachicentèse. 133 ' Craniectomie.................... 133
Affections
du cervelet 134 Mouvements démesurés. Hypermétr
................. 141 Asynergie 144 Catalepsie cérébelleuse 152
Affections
du bulbe 158 Hémiasynergie, latéropulsion et my
baires l6fj Hémianesthésie bulbaire à forme syringomyélique.. 166
Affections
de l'appareil vestibulaire.. 167 Diagnostic 167
................. 180 Pathogénie . 180 Traitement .. 182 VIl. -
AFFECTIONS
des glandes A SI-CIi13TI0\ ¡¡.¡ II : R1'(I : . 18
ne on y trouve l'ensemble des principales notions concernant chaque
affection
du système nerveux. Et cependant, quelque .exce
our la place qu'il tient dans le tableau clinique de telle ou telle
affection
; et par cela même ils nous niellent à même de r
couleurs. (Scolontes centraux pour les couleurs.) Dans certaines
affections
nerveuses, l'oeil ne voit pas la couleur de l'o
és cristallinienncs). ' Rétinite. Choroïdite. - Choriorétinite. Ces
affections
de la rétine et de la choroïde sous-jacente don
e des lésions ner- veuses dont traite-cet ouvrage, mais ce sont des
affections
qu'il faut éliminer avant d'affirmer que le tro
LYOPIES ET AMAUROSES Diminution de la vision. Innombrables sont les
affections
qui peu- vent produire une diminution de la vue
es milieux transparents intraoculaires (cornée, cristallin, vitré);
affections
des membranes qui tapissent l'inférieur de la c
ans un sens restreint. On ne regarde pas comme des amblyopies : les
affections
du globe visibles à l'oeil nu, comme les kérati
ératites, les iritis, l'épisclérite, l'herpès cornéen,' etc.... Ces
affections
accompagnées de lésions anatomiques. évidentes
bientôt, parce qu'elles ne sont certainement pas le fait d'une même
affection
nerveuse. Aussi, est-ce sans conviction et seulem
\DHL'AÏ't'.\t : H ! LOOELA ! ! u ? Amblyopies réflexes. - Certaines
affections
de l'organisme, paraissant agir par action réfl
suels avec dimi- nution de la vue. A) Troubles oculaires dans les
affections
du système utérin. Au cours d'une affection de
les oculaires dans les affections du système utérin. Au cours d'une
affection
de l'utérus (augmentation de volume, déplace- m
exerce sur eux une bonne influence. B) Troubles visuels dans les
affections
de la face (nerf trijumeau). Les névralgies den
ir un peu sombre. Il a besoin pour voir d'un grand éclairage. Cette
affection
qui s'accompagne de lésions rétiniennes périphé
étiologiques actuelles. n LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL côté des
affections
qui atteignent la totalité des fibres de la voie
et du siège des lésions pro- ductrices des lacunes. En effet, les
affections
qui entamant. le .champ visuel ne le font pas a
laire dans l'étendue de laquelle la vision est conservée. Plusieurs
affections
, autres que l'hystérie, peuvent donner un rétréci
e, hémorragie, décollement, etc.). Le diagnostic entre ces diverses
affections
se fait par l'ophtalmoscope. Les lésions rétini
res troubles visuels éprouvés par l'hémiano- pique conscient de son
affection
, mais nous devons nous borner ici aux symptômes
uire à un moment donné l'hémianopsie. Ne pouvant étudier toutes les
affections
cérébrales dans leurs relations avec l'hémianop
des yeux. Céphalées.- Acromégalie. Il faut faire une place à cette
affection
particulière qui, lésant le chiasma, donne lieu
de la tumeur. Certaines hémorragies peuvent être produites par une
affection
car- diaque ancienne d'origine rhumatismale ou
Certaines tumeurs sont des néoplasmes. Mais aussi, beaucoup de ces
affections
sont le fait de la tuberculose et de la syphili
entes d'hémia- nopsie. La syphilis est si souvent en cause dans les
affections
nerveuses qu'il faut, en présence d'un cas dout
re le résultat d'aucune cause organique et se développer au cours d'
affections
dans lesquelles on n'a trouvé jusqu'ici aucun sub
e gravité, elles guérissent toujours; toute leur gravité vient de l'
affection
qui les produit (affection rénale, éclampsie, e
toujours; toute leur gravité vient de l'affection qui les produit (
affection
rénale, éclampsie, etc.). Il en est autrement d
La diplopie et le mouvement des objets provo- quent, au début de l'
affection
, un vertige oculaire très marqué qui peut s'acc
orme aiguë est la poliencéphalite aiguë hémorrhagique- de Wernicke,
affection
grave, accompagnée de. symptômes généraux (céph
tendance au sommeil). ' Dans la forme chronique, plus fréquente, l'
affection
peut rester sta- tionnaire ou devenir progressi
ie en ren- voyant le lecteur aux chapitres consacrés il chacune des
affections
. Traumatisme. Fractures de la base : signes de
e baser sur la constatation des symptômes concomitants, propres aux
affections
causales. Il importe de remarquer le rôle impor
journalière, cherche à étahlir avec pré- cision le diagnostic d'une
affection
nerveuse. Dilatation PUPILLAIIOE, Myimuase. A
perle ou la diminution de la contractililé pupillaire. Certaines
affections
du globe. Dans le glaucome, la pupille se di- I
dont on recherche la cause, il est toujours facile d'éliminer les-
affections
du globe. Action de certaines substances médica
ns que pour la paralysie de l'accommodation (Voir Accommodation).
Affections
du système nerveux. Excitation du sympathique c
système nerveux. Excitation du sympathique cervical. Dans certaines
affections
du sympathique cervical (com- pression, etc.),
tique de l'hLlI11cranic les accès de dyspnée, les vomissements, les
affections
de l'intestin et des organes génilo-urinaires,
te de son étiologie. 11 importe de mettre en évidence celles de ces
affections
qui la provoquent le plus souvent. En pratique,
constatez une mydriase paralytique, recher- chez l'existence d'une
affection
nerveuse organique. Dans la plupart des cas, vo
de l'encéphale (1 u meur' ou méningite). Si vous ne trouvez aucune
affection
nerveuse systématisée, rappelez-vous que la syphi
dix une mydriase para- lytique est le fait de la syphilis ou d'une
affection
nerveuse comme le tabès ou la paralysie général
nsidé- rable et momentanée. Rétrécissement pupillaire (myosis).
Affections
du globe oculaire : Lésions irritatives de l'iris
syphilis, dans certains cas, agit peut-être de la même manière. '
Affections
du système nerveux. On rencontre le myosis dans l
sis pourrait se rencontrer excep- tionnellement. En dehors de ces
affections
rares du système, nerveux, il en est d'autres b
xistence d'un myosis doit attirer l'attention d'abord sur ces trois
affections
. La paralysie du sympathique cervical provoque
s adénopathics cervicales, les tumeurs du médiastin, le goitre, les
affections
bronchiques et hlcuro-hulrrm- naires. L'irrit
Déformations pupillaires. La déformation pupillaire, rare dans les
affections
nerveuses, se ren- contre au contraire très sou
ctions nerveuses, se ren- contre au contraire très souvent dans les
affections
du globe oculaire. La cause la plus fréquente d
ale, le tabès, on a même pensé en faire un signe de videur pour ces
affections
. En réalité, on les rencontre souvent chez des pe
de la portion centripète de l'arc réflexe sera réalisée dans toute
affection
de la rétine ou du nerf optique détruisant la tot
omme un signe de syphilis nerveuse. Et, de fait, presque toutes les
affections
nerveuses dans lesquelles on le rencontre ont é
syphilis. On ne peut cependant affirmer qu'il n'existe pas dans les
affections
nerveuses non syphilitiques. On l'a rencontré d
e s'est vu, rarement d'ailleurs, que chez des personnes atteintes d'
affections
nerveuses (tabès, paralysie générale). On n'en
gressif du cristallin qui perd peu à peu son élasticité. Certaines
affections
du globe. Petites poussées de glaucome. Luxatio
n. Aphakie congénitale. Début de cataracte. Ce sont la les seules
affections
du globe oculaire qui puissent détruire l'accom
te une. absence d'accommodation, se trouve en présence d'une de ces
affections
du globe. Dans toutes les autres circonstances,
isolée ou associée à d'autres troubles de, inutilité des globes.
Affections
du système nerveux. Excitation du sympathique cer
que- fois très légers. Ce double ptosis est le plus souvent une
affection
congénitale. Le ptosis unilatéral (iig. 50) e
alytique de la paupière peut être confondu avec un certain nombre d'
affections
. Certains neurasthéniques se plaignent souvent
et d'examiner superficiellement la paupière. Dans beaucoup d'autres
affections
, avec abaissement réel de la paupière supérieure,
distinction du vrai ptosis est beaucoup plus difficile. Certaines
affections
palpébrales, amenant un épaississement de la pa
eurs, d'autres stigmates d'hystérie. En réalité, il s'agit là d'une
affection
spasmodique, ou dans laquelle l'élément spasmo-
Souvent c'est la syphilis. Vertige paralysant de Gerlier. - Cette
affection
débute par des dou- leurs cervicales et s'accom
certaines myopathies progressives. Traitement. Il faut traiter l'
affection
qui a causé le ptosis (syphilis, intoxications,
II ' . EXOPHTALMIE L'exophtalmie, symptôme commun à de nombreuses
affections
, con- stitue la manifestation principale d'une
'exophtalmie bilatérale peut être réalisée ou simulée par certaines
affections
dyspnéiques comme l'asthme, les troubles circulat
très accusés. L'exophtalmie unilatérale peut être produite par des
affections
nombreuses que je me contente de signaler : tes
II. Nystagmus acquis. A part le nystagmus des mineurs et celui des
affections
de l'oreille dont les causes, encore mal connues,
centués du champ visuel, tous les autres nystagmus accompagnent des
affections
nerveuses. Le nys- tagmus est donc avant tout u
d'une intoxication du système nerveux oculaire. Nystagmus dans les
affections
de l'oreille. Une injection trop .NYSTAGMUS OU
maladies nerveuses, mais avec une fréquence inégale. Dans certaines
affections
, il est une manifestation rare, dans d'autres,
es dernières particularités sont intéressantes à constater dans une
affection
dont l'un des principaux symptômes, le tremblemen
x, du oc ventricule, des corps restiformes, des couches optiques.
Affections
des couches optiques, du 4e ventricule, corps res
lie, etc. : Il n'existe guère dans le tabès, si ce n'est dans cette
affection
décrite par Friedreich, sous le nom de tabès hé
mus. Le nystagmus se rencontre encore dans l'agonie, dans certaines
affections
dyspnéiques. On voit aussi une variété spéciale
t les causes sont encore mal connues, à part le nystagmus lié à une
affection
oculaire diminuant la vision (presque toujours
nitale), tous les nystagmus accom- pagnent ou sont la conséquence d'
affections
nerveuses que nous avons ? énumérées. En outre,
es de l'oreille, sans causes professionnelles, il faut penser à une
affection
nerveuse, à l'une de celles que nous avons énumér
'APPAREIL OCULAIRE PffËXOMÈXES DOULOUREUX DANS L APPAREIL VISUEL.
Affections
inflammatoires des annexes de ruz<7 : Une infl
es. Le zona ophtalmique s'accompagne habituellement de névralgie.
Affections
du globe : Une kératite (inflammation de la corné
ie testiculaire fréquemment constatée au cours du tabès et d'autres
affections
nerveuses. Cependant, par anesthésie de l'oeil,
microphtalmie, colo- bomes, nystagmus, altérations du nerf optique,
affections
qui dénotent l'existence de troubles graves pen
troubles graves pendant la vie intra-utérine. C'est d'ailleurs une
affection
très rare, s'accompagnant toujours d'une grande
a pas de lésion concomitante de l'appareil nerveux sensoriel. Les
affections
rétiniennes amènent à des degrés variables la dys
pendant une exception doit être faite pour la rétinite pigmentaire,
affection
caractérisée, en dehors des signes ophtatmoscopiq
rs, qui précède en général le rétrécis- sement pour le blanc. Les
affections
du nerf optique (atrophie, névrite), altèrent trè
on intracrànienne. Elle peut exister sans hypertension et même sans
affection
intracrànienne. De Gracie, l'auteur de la théorie
des malades pour la plupart déjà âgés, ayant eu la syphilis et des
affections
diverses du naso-pharynx. (i° Lésions des nerfs
s des cas où le nerf est directement lésé par le développement de l'
affection
auriculaire, détermine divers troubles auricula
s de l'accès de migraine. On l'a signalée également dans quelques
affections
du système ner- veux, au début de la paralysie
interne ou du nerf, dans le tahes, par exemple (Erb), ou dans les.
affections
llltl'a-Cl't111e1111eS, les méningites et lés t
u'ils reconnaissent connue origine toute l'étiologie générait ! des
affections
de l'oreille. Comme conditions plus prochaines
use, goutte, hémor- rhoïdes, intoxications diverses), soit passive (
affections
du coeur et du poumon, compression du lIIédiast
miner, et dn bouchon de cérumen, facile à constater, il n'y a pas d'
affection
apyrétique susceptible de produire une surdité au
u sinus latéral. On peut dire, d'une manière très générale, que les
affections
aiguës de l'oreille donnent plus facilement la
tions aiguës de l'oreille donnent plus facilement la méningite; les
affections
chroniques, l'abcès cérébral. Les abcès extra-d
a vue, et certains auteurs, comme Urbantschilsch, admettent que les
affections
de l'oreille diminuent fréquemment l'acuité vis
is semaines à deux mois et demi, parallèlement à l'atténuation de l'
affection
otique. Il va de soi que cette forme bénigne n'
e, un jugement moins vif. En dehors des troubles intellectuels, les
affections
de l'oreille déter- minent facilement des troub
nes formes de névralgie localisée doivent toujours faire songer aux
affections
du nez et des sinus : on fait trop facilement le
laire, etc. Les complications orbitaires ne sont pas rares dans les
affections
du nez; elles sont de première importance dans
s les affections du nez; elles sont de première importance dans les
affections
des sinus. En dehors de la propagation, des inf
apitres spéciaux pour l'étude de ces complica- tions cérébrales des
affections
du nez. Rappelons seulement qu'une sta- tistiqu
ne conséquence de l'angoisse due au vertige, soit un symptôme d'une
affection
qui, comme l'artério-sclérose par exemple, peut
pneumonie, les oreillons, la variole. Il est plus marqué quand ces
affections
s'accompagnent de bourdonnements et, de tinteme
se développerait dans le fumier fermenté; Ladame cousi- dère celle
affection
comme une névrose. A B. LA CAUSE DU VERTIGE N'E
signes des différentes lésions de l'oreille, ni sur les signes des
affections
provocatrices des troubles auriculaires (maladi
sthénie est un des principaux arguments qui ont fait regarder celte
affection
par J. Teissier (de Lyon) et son élève Delmas c
déterminé; il ne se rencontre d'ail- leurs presque jamais dans les
affections
organiques de l'estomac, cancer ou ulcère (Char
morbide intense que l'examen extérieur n'explique point. Certaines
affections
cérébrales déterminent également avec le coma l
n grand intérêt. - , Les hémorragies méningées sont du nombre des
affections
qui peuvent amener des convulsions localisées.
ntrin- sèque ou extrinsèque. La goutte, l'éclampsie, le cancer, les
affections
gastro-hépatiques s'accompagnent fréquemment d'
malades, et celle prolongation est de première importance dans une
affection
où le médecin est réduit il suivre au jour le j
ieure, aiguë, s'observent également des périodes de somnolence. Ces
affections
sont, à vrai dire, de la plus grande rareté.
ème ner- veux; mais elle peut être de cause générale, dépendre dune
affection
systématisée, ou provenir d'une maladie stricte
e dorment peu et dorment mal; il en est de même encore au cours des
affections
cardiaques, dans les grandes maladies de l'appa
il digestif (notamment dans le cancer gastrique). Un grand nombre d'
affections
aiguës chassent également le sommeil. Dans un c
nt de règle au cours des névralgies. L'insomnie symptomatique d'une
affection
nerveuse particulière est rare; il n'est guère
(surdi-mutité) ou de; surdité labyrinthique. Dans ce dernier cas, l'
affection
débute souvent par nn ictus; les phéno- mènes f
ntime de l'idéation. C) Le malade ne veut pas parler. Dans quelques
affections
men- tales s'observe un mutisme voulu. Ces fait
udierons plus loin. La parole est néanmoins, dans un grand nombre d'
affections
nerveuses organiques, scandée, répétée, spasmod
à lme hémiplégie concomitante peuvent se rencontrer encore dans des
affections
méningées du bulbe ou dans des compressions 1pa
BLES DE LA PAROLE. 201 dans les myopathies. Dans la première de ces
affections
, le malade s'exprime d'abord avec facilité et n
son est impossible chez le sourd. On observe dans un grand nombre d'
affections
mentales la bradylalie, la logorrhée, la verbig
nts, les prodromes, le mode de début, la marche et l'évolution de l'
affection
mentale actuelle. Nous ajouterons. d'ailleurs,
alades debout et non au lit, à l'exception toutefois des cas où une
affection
générale nécessite le repos absolu au lit. ,
hallucina- tiens. Si ce symptôme persiste longtemps, il indique une
affection
chro- nique tendant à la déchéance intellectuel
ies dépendant de matforma- 11l1l1S congénilales, de tremblements, d'
affections
organiques du système nerveux, etc. Troubles
ologique très importante, ils aident bien souvent au diagnostic des
affections
mentales. Certains psychopathes, comme les inve
dans le tableau clinique et réalisent une forme spé- ciale de cette
affection
, la mélancolie hypochondriaque; elles s'accom-
paralysie générale, elles peuvent même apparaître au début de cette
affection
. Elles ont le carac- tère d'absurdité, d'incohé
parler. » (Séglas.) . Les idées religieuses s'observent dans des
affections
mentales très différentes. Certains malades a
uranisme).Les idées érotiques sont observées dans un grand nombre d'
affections
mentales. Elles sont fréquentes dans la phase i
ont un rôle dans la psychologie des persécuteurs THÉRAPEUTIQUE DES
AFFECTIONS
MENTALES. 247 amoureux qui poursuivent des pers
qu'en réalité ils voient pour la première fois. ' THÉRAPEUTIQUE DES
AFFECTIONS
MENTALES Nous n'avons pas l'intention d'envisag
r dans tous leurs détails les multiples modalités du traitement des
affections
mentales; notre but est d'indiquer les principa
des névroses et des psychoses. La thérapeutique proprement dite des
affections
mentales comporte des moyens différents. [G.
miner des phénomènes de congestion encéphalique;. THÉRAPEUTIQUE DES
AFFECTIONS
MENTALES. 249 La douche tiède il ;)2°, ;)1 ? 50
OGIE PSYCHIATRIQUE. ; . .. Ergotinine : , , , . THÉRAPEUTIQUE DES
AFFECTIONS
MENTALES. 251 252 SÉMIOLOGIE PSYCHIATRIQUE. t
oment de la naissance, et d'autre part l'irliolie acquise due à une
affection
de la première enfance, c'est-à-dire de la naissa
de soin. On trouvera souvent dans les antécédents héréditaires une
affection
.du système nerveux, l'aliénation mentale, l'ép
e en un mot sur la voie du diagnostic, et partant du pronostic de l'
affection
en cause. L'importance séméiologique de l'étude
diquement l'évolution progres- sive ou régressive de telle ou telle
affection
, et pour tirer de cet examen des renseignements
nducteurs spéciaux (dissociation des deux sensations dans certaines
affections
médullaires, Strumpeit, Marinesco, etc.) ('). 1
re employés dans les recherches cliniques courantes. Dans certaines
affections
du système nerveux, on peut observer une prolon
la sensibilité dite syringo- myélique). D'autres fois, au cours des
affections
centrales -de la moelle ou de l'encéphale, c'es
La sensibilité électro-musculaire peut être diminuée dans certaines
affections
médullaires, comme le tabès; d'autres fois elle p
troubles de la baresthésie se rencontrent dans un certain nombre d'
affections
cérébrales, médullaires ou périphériques (Strii
ette modalité de la sensibilité se rencontrent dans les différentes
affections
du système nerveux, de la moelle, du cerveau et
ndre l'ataxie, des altérations des sensibilités profondes, dans les
affections
nerveuses péri- phériques et dans un grand nomb
les affections nerveuses péri- phériques et dans un grand nombre d'
affections
centrales, comme le tabes ou les lésions cérébr
un facteur de grande valeur dans la discussion du diagnostic d'une
affection
nerveuse. On peut avoir affaire à une localisat
tives que l'on peut rencontrer en clinique au cours des différentes
affections
du svstème nerveux. . ÉTUDE SÉMÉIOLOGIQUE T
. ÉTUDE SÉMÉIOLOGIQUE T DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES
AFFECTIONS
. DU SYSTÈME NERVEUX En se reportant aux donn
nsitives susceptibles d'être rencontrées en clinique : '1" dans les
affections
de ['encéphale (hémi- sphères cérébraux, pédonc
- sphères cérébraux, pédoncule, protubérance, bulbe); 2° dans le*
affections
de la moelle; 5° dans les lésions des racines rac
moelle; 5° dans les lésions des racines rac Indiennes ; 4° dans les
affections
des nerfs périphériques. A côté de ces troubles
ILITÉ OBJECTIVE. ;;0 : . t 1. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES
AFFECTIONS
DE L'ENCÉPHALE HÉMIANESTHÉSIE CÉRÉBRALE La pe
misphère cérébral. Début. Le début des troubles sensitifs, dans les
affections
céré- brales peut se faire brusquement comme ce
s partie du tableau symptomatique quelques mois après le début de l'
affection
: ce sont des troubles fugaces, dont la cause ana
Y : 'i(})\(HOE bulbaire). Il. - TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES
AFFECTIONS
MÉDULLAIRES f' Dans les myélopathies, les tro
ie se montrera le plus marquée dans le membre sur lequel a débuté l'
affection
. La paraplégie sensitive peut accompagner la pa
ifs à type paraplégique n'existent guère sans troubles mo- dans les
affections
organiques de la moelle (exception faite pour l
te disposition des troubles de la sensibilité est réalisée dans les
affections
médullaires limitées à la substance grise (hémato
lement au clinicien, dans la recherche des causes et du siège d'une
affection
médullaire. , A part les cas de lésions intéres
on.) TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 525 rencontre dans les
affections
de la moelle qui suivent : compressions médulla
ll Robertson, permettre de porter un diagnostic précis. Lorsque l'
affection
est cons- tituée, ils manquent rarement. Au d
sidère aujour- d'hui (Laehr, Dejerine, van Gehuchten), que dans les
affections
limitées de l'axe gris, aussi bien que dans les
ifs est topographiée sui- vant le type radiculaire. Au début de ces
affections
, le fait est facile à constater; dans la suite,
dite dissociation syringomyélique, presque pathognomoniquc de cette
affection
. Rappelons s cependant qu'une telle dissociatio
clair). 554. SENSIBILITÉ.. - .... plus rarement, dans d'autres
affections
nerveuses, comme le tabès, les paraplégies par
sensi- bilité à distribution radiculaire dans le cours de certaines
affections
cérébrales. Leurs manifestations sont particuli
de ces troubles de sensibilité du v< type spinal », au cours des
affections
strictement limitées à l'encéphale, doit. condu
la topographie de la distribution des zones anesthésiques dans les
affections
de la moelle, rappelons en quelques mots ce qu'
isposition segmentaire des troubles sensitifs au cours de certaines
affections
de la moelle, et en particulier de la syringo-
tif). 550 SENSIBILITE. III. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES
AFFECTIONS
DES RACINES RACHIDIENNES Les lésions des racine
ence d'un processus infectieux ou toxique. Ces radiculites sont des
affections
dans lesquelles l'atteinte des racines et de leur
de ces faits est importante pour le praticien. Tandis que dans les
affections
spinales proprement dites et les névrites péri-
, par exemple). La topographie des troubles sensitifs, dans les
affections
des troncs nerveux, répond, d'une façon génér
ce(re,1886). 550 ' " SENSIBILITÉ.. .. troubles sensitifs dans les
affections
centrales. Enfin, les modifications de la sensi
tte variété de distribution est tout à fait exceptionnelle dans les
affections
des nerfs périphériques. On ne la rencontre, et
la tétanie, dans le goitre exophtalmique, et sont dus, soit il ces
affections
elles-mêmes, soit plus vraisemblablement à leur
présentant les mêmes caractères que dans les névroses, au cours des
affections
organiques du système nerveux, par association
temps encore, la première place dans le tableau symptomatique de 1
affection
et qu'ils semblaient être, comme on l'a dit, la
t exagérée et que, loin de cons- tituer un symptôme primordial de l'
affection
, ils ne sont que le résultat du degré de SlIgge
ns le goitre exophtalmique et la tétanie, comme, du reste, dans les
affections
précitées, les troubles sensitifs sont le plus so
diagnostiquer l'hys- térie, et que c'est par l'absence de signes d'
affection
organique, par exclusion pour ainsi dire, que c
ent dans le tabès, où ils font partie du tableau svmptomatique de l'
affection
. On ne les a pas notés jusqu'ici dans les autre
que de l'affection. On ne les a pas notés jusqu'ici dans les autres
affections
nerveuses organiques. Dans l'hystérie on peut obs
ROUSSY.] 51)0 SENSIBILITÉ. LES HYPERESTHÉSIES CUTANÉES DANS LES
AFFECTIONS
VISCÉRALES Un célèbre neurologiste anglais, Hen
tion sur la présence des zones ly-perestllésidues cutanées dans les
affections
viscé- rales, et sur l'importance pratique qui
ue qui découle de celte notion pour la détermination du siège d'une
affection
profonde. Quoique les idées du médecin anglais
ser sous silence. On trouve toujours, suivant cet auteur, clans les
affections
viscérales, des zones d bypcrestbesie cutanée s
és à ce niveau sont exagérés. Ces zones d'hyperesthésie clans les
affections
viscérales présentent la même topographie et le
érup- tives du zona; l'élude de la sensibilité dans cette dernière
affection
a donc pu servir à établir les limites exactes
astoïdienne, sterno-nucbalc. Ces zones cepilaiiqucs répondent à des
affections
de voisinage : du nez, de (le l'oreille, etc. D
voisinage : du nez, de (le l'oreille, etc. De plus, dans plusieurs
affections
des viscères thoraciques ou abdominaux, on obse
- thésiques. Ilead insiste également sur le siège occupé dans les
affections
viscé- rales par la douleur réfléchie (douleur
es zones hyperes- thétiques décrites par Ilead dans les différentes
affections
viscérales; affections cardiaques, gastriques,
ques décrites par Ilead dans les différentes affections viscérales;
affections
cardiaques, gastriques, rénales, pulmonaires, uté
constituerait une méthode qui servirait à déterminer le siège d'une
affection
viscérale. Malheureusement, jusqu'ici, les zones
u'on a 'quelque peu l'habitude d'interroger un malade atteint d'une
affection
du système nerveux. On saura ainsi tenir compte
ns, en se souvenant que tout malade, surtout s'il est atteint d'une
affection
nerveuse (aussi bien organique que fonction- ne
IVE. 565 I. - LES DOULEURS On peut observer des douleurs dans les
affections
les plus diverses ; ¡ nous n'avons à étudier ic
; ¡ nous n'avons à étudier ici que les douleurs notées au cours des
affections
du système nerveux. En présence d'un malade s
s, par ses carac- tères généraux, une particularité propre à chaque
affection
, et que si les douleurs fulgurantes, par exempl
urtout dans le tabes, ce même type peut se rencontrer dans d'autres
affections
de la moelle ou des racines. Un type de douleur
élément précieux et qu'il faudra toujours rechercher au cours d'une
affection
nerveuse. Si elles ne permettent qu'exceptionne
réquente, au début de la maladie, elles aident souvent à dépister l'
affection
en cause ; associées il d'autres symptômes sensit
lles concourent à compléter le tableau clinique d'un grand nombre d'
affections
du système nerveux. Il n'entre pas dans le cadr
leur. Nous ne devons que passer rapidement en revue les principales
affections
du système nerveux dans lesquelles la douleur p
céphalalgie est un symptôme qui se rencontre dans un grand nombre d'
affections
; aussi sa valeur séméiologique en clinique est-el
vons il envisager ici la céphalalgie que dans ses rapports avec les
affections
du système nerveux, en laissant de côté les cépha
uvent, elle n'est qu'un des symptômes cardinaux ou accessoires de l'
affection
, et par ses caractères, son évolution, son mode
crâniens. La céphalée en neuropathologie se rencontre : 1° dans les
affections
de l'encéphale et de ses enveloppes (céphalée o
soit à la période d'état, soit à la période prodromique. Dans les
affections
du cerveau, la céphalée accompagne les congestion
deux tiers environ des cas, au cours de la période prodromique de l'
affection
; elle est persistante et peut durer des semaines
s constante, est souvent le premier en date de tous les signes de l'
affection
. Elle fait partie des signes communs, des tumeu
SENSIBILITÉ. céphalée, très prononcée dans la première période de l'
affection
, peut s'atténuer ou même disparaître dans la su
apo- physaires spontanées ou à la pression se rencontrent dans les
affections
dcs vertèbres et en particulier dans le mal de
algie il la douleur diffuse de la région rachidienne. En dehors des
affections
générales, que nous n'avons pas il étudier ici,
des méninges au processus morbide, la rachialgie s'observe dans les
affections
aiguës et chroniques de la moelle et de ses env
e, et après élimination de toutes causes locales, aux névrites, aux
affections
des plexus et des racines, aux affections médulla
ocales, aux névrites, aux affections des plexus et des racines, aux
affections
médullaires et tout particulièrement au ta/;es
leurs des viscères (viscéralgies). Elles sont fré- quentes dans les
affections
du système nerveux et s'observent : 1° dans les
de la moelle en particulier) ; '2" dans les névroses. 1° Dans les
affections
médullaires, on rencontre surtout les vis- cera
On observe des douleurs généralisées il tout le corps dans quelques
affections
un peu particulières, telles que (akinésie algère
maladie de Dercum, la douleur est un des symptômes primordiaux de l'
affection
. Tout d'abord localisée aux membres, (die peut
opathologie et doivent nous arrêter plus longuement.. 1° Dans les
affections
des extrémités, comme l'acroparesthésie, l'éryt
esthésie, les dysesthésies constituent le principal sym- ptôme de l'
affection
. Les fourmillements; les engourdissements et les
s souvent, plus rarement les pieds ou la pointe de la langue. Cette
affection
se rencontre surtout chez les femmes. Aux dyses
es phlyctènes, le parchemine- ment et les escarres. , 2° Dans les
affections
des nerfs) les phénomènes dysesthésiques sont '
es; dans les névralgies. Elles font partie du tableau clinique de l'
affection
dite méralgie paresthésique (Roth) ou paresthésie
one d'innervation cutanée du nerf fémoro-cutané. .... 5" Dans les
affections
de la moelle, surtout à la période prodromique,
vir dans la recherche diagnostique. On les observe clans toutes les
affections
de la moelle et des méninges : méningite, compr
médullaire, tabès, etc.... - Mais c'est principalement au début des
affections
spinales par trouble circulatoire, par artérite
aissent après un temps de marche variable suivant l'ancienneté de l'
affection
, temps de plus en plns court à mesure que la ma
st appelée à fournir un travail quelque peu prolongé. 4° Dans les
affections
du cerveau, comme du côté de la moelle, les dys
le, les dysesthésies peuvent faire partie de la symptomatologie des
affections
constituées du cerveau (lésions cérébrales en f
ièrent plus d'importance séméiologique dans la période initiale des
affections
dues - aux troubles de la circulation artériell
ces sensations internes peuvent se rencontrer au cours de certaines
affections
du système nerveux, liées ou non à des altérati
ce sens peut être partiellement troublé dans l'hystérie et dans les
affections
organiques du système ner- veux s'accompagnant
et des sen- sations internes organiques n'est pas marquée dans les
affections
orga- niques du système nerveux ; elle devient
toires, trophiques. , J'élimine des névralgies proprement dites les
affections
douloureuses des nerfs de la vie organique (l'h
ie, la gastralgie, l'entéralgie, l'ovaralgie, etc.). L'étude de ces
affections
appartient en réalité il la pathologie viscéral
ves et très intenses, sont souvent la première manifes- tation de l'
affection
. Ces accès douloureux se traduisent par des sensa
es est en général facile. Je ne puis ici passer en revue toutes les
affections
douloureuses qu'il ne faudra pas con- fondre av
abitude relèvent de la pathologie mentale. Vakinesia n/</c ? Y/,
affection
décrite par Mobius, se caractérise par des doul
quentes parmi les névralgies. Elle reconnaît des causes multiples :
affections
dentaires, affections du nez et des sinus de la
algies. Elle reconnaît des causes multiples : affections dentaires,
affections
du nez et des sinus de la face, affections de l'o
: affections dentaires, affections du nez et des sinus de la face,
affections
de l'oeil (herpès de la conjonctive, ulcère de
s les plus fréquentes des névralgies cervico-occipitales sont : les
affections
de la colonne cervicale (tuberculose, syphilis, t
xus hrachial. Les causes principales de ces névralgies sont : les
affections
du rachis, les tumeurs cervicales, les compress
crit sous le nom de névralgie professionnelle de l'épi- condyle une
affection
douloureuse déjà signalée par Remak. Vépicondgl-
(maîtres d'armes, violonistes, cochers, cor- royeurs, etc.). Cette
affection
n'est pas une névralgie, elle ne peut être ratt
prunte des libres sensitives au plexus cervical, s'observe dans les
affections
du coeur et de l'aorte, du foie, de la rate, da
causes les plus fréquentes des névralgies intercostales sont : les
affections
du poumon et de la plèvre, spécialement la tuberc
c de l'aorte (2), les tumeurs du mediastin, les frauma- tismes, les
affections
des côtes (ostéites, fractures), les tumeurs du s
ffections des côtes (ostéites, fractures), les tumeurs du sein, les
affections
du rachis (mal de Pott, scolioses), les tumeurs i
his (mal de Pott, scolioses), les tumeurs intra-rachi- diennes, les
affections
de la moelle dorsale, certaines cardiopathies.
eurs provoqués par une névralgie ilr'o-scrotale; il faut dans cette
affection
distinguer deux formes cliniques : tantôt il s'
arestliésie du nerf fémoral cutané externe de Bl'I'I1hardt, est une
affection
assez rare, qui se carac- térise par des sensat
e l'utérus et de ses annexes, les fumeurs de la région crurale, les
affections
osseuses du bassin, les anévrismes des artères
du nerf honteux interne semble dépendre souvent de causes locales (
affections
du rectum, de l'urètre;, du périnée, etc.), ell
sciatique est liés variable et dépend de la cause (pu conditionne l'
affection
. La durée varie de quelques semaines à plusieurs
is, la résul- tante d'un processus névritique;. Dans certains cas l'
affection
est fugace et bénigne, dans d'autres elle est p
Le mal de tête est un symptôme fréquent et commun à de nombreuses
affections
. Certaines céphalées sont diffuses, donnent au ma
coup de maladies infectieuses, telles que la fièvre typhoïde et les
affections
para- typhiques, la grippe, etc. Ces céphalées
dans les cas où la syphilis, le paludisme et que)ques rares autres
affections
permet- tent d'employer des médications spécifi
e aux malades qui souureut de névralgies, du moins au début de leur
affection
, car de telles injections ont souvent été le po
que d'ailleurs il existât chez aucun des ces malades de signe d'une
affection
nerveuse. Chez les nouveau-nés, les réflexes te
otulien et achilléen. C'est par ces symptômes que débutent quelques
affections
médullaires dont l'évolution entraîne plus tard t
éflexes rolldiens et achilléens est donc un symptôme précoce de ces
affections
. La plus fréquente d'entre elles est le tubes.
es se manifeste le plus souvent dès les premières périodes de cette
affection
. , Cependant il y a des exceptions à cette règl
systé- matiquement ce réflexe toutes les fois qu'on suspecte cette
affection
: on pourra, grâce il lui. dépister des cas fru
Yhérédoataxie cérébel- leuse de Pierre Marie. En effet; dans cette
affection
, l'exagération des réflexes est la règle et ce
bolis, mais ils sont quelquefois tout à fait normaux. De tontes les
affections
médullaires que nous venons de mentionner, cell
a immédiatement après aux névrites des membres inférieurs. Dans ces
affections
, en effet, l'affaiblissement ou l'abolition des r
ies nerveuses du diabète, mais aussi dans les accidents nerveux des
affections
hépatiques. M. Léopold Lévi [Société de Biologie,
n de l'excitabilité médullaire. Nous venons de voir les principales
affections
médullaires et les prill- pales affections des
de voir les principales affections médullaires et les prill- pales
affections
des nerfs dans lesquelles on constate l'abolition
ulien ou du réflexe achilléen. Il est cependant un certain nombre d'
affections
de la moelle que nous avons laissées de côté et d
in, l'abolition des réflexes peut s'observer non seulement dans les
affections
médullaires et névritiques. mais on l'a encore co
s médullaires et névritiques. mais on l'a encore constatée dans les
affections
des muscles : les myopathies. Dans les myopathies
ition généralisée des réflexes tendineux peut s'observer au cours d'
affections
cérébrales. Elle apparaît dès le début de Y apo
arde contre les difficultés de la recherche des réflexes dans cette
affection
où la rigidité est si marquée. D'autre part, Alqu
exagération des réflexes dans la grande majorité des cas de cette c
affection
. - L'abolition des réflexes peut s'observer à u
eur du réflexe patellaire pour le diagnostic et le pronostic de ces
affections
. Dans les maladies mentales, la paralysie génér
ion des réflexes. Ce symptôme a été noté à toutes les périodes de l'
affection
, quelquefois il persistait pendant un certain t
légie spasmodique. L'exagération des réflexes se rencontre dans les
affections
suivantes : La sclérose en plaques, qu'elle se
des réflexes des membres supérieurs peut s'ob- server au cours des
affections
articulaires des deux épaules. 5" Exagération d
use de l'hémiplégie : l'hémorragie. le ramollissement, les diverses
affections
nerveuses (scfe- rose en plaques. tabès, epifep
ion généralisée des réflexes tendineux peut s'observer au cours des
affections
(fejàuten- tiolnées ci-dessus : sclérose latéra
Elle est également un symptôme de la paralysie générale. Dans cette
affection
les réflexes tendineux sont exagérés dans plus de
de la maladie et dès que le malade devient grabataire. , Dans les
affections
labyrinlliiques, le réflexe patellaire peut être
'action des poisons néoplasiques sur l'appareil réflexe. Dans les
affections
hépatiques, M. Léopold Lévi a trouvé l'exagératio
lexes peut porter sur un seul membre, elle est alors causée par une
affection
articulaire (hémarthrose du genou, entorse du'
d'une perturbation dans le système pyramidal, qu'il s'agisse d'une
affection
cérébrale ou d'une affection spinale et il para
ystème pyramidal, qu'il s'agisse d'une affection cérébrale ou d'une
affection
spinale et il paraît pathognomonique d'une affe
brale ou d'une affection spinale et il paraît pathognomonique d'une
affection
organique du système nerveux. Cette; conception
le système pyramidal, il nous reste à passer en revue dans quelles
affections
se rencontre ce phénomène. 1 Chez les enfants,
n peut considérer que, si l'extension persiste, c'est qu'il y a une
affection
du système nerveux. 2° Hémiplégie. Les première
de Friedreich, dans l'hérédo-ataxie cérébelleuse : on sait que ces
affections
sont caractéri- sées par une sclérose des cordo
s la chorée, ni dans la sciatique, etc.. en un mot, dans aucune des
affections
où le faisceau pyramidal est intact. Le signe d
. Léopold Lévi considère qu'il existe dix fois sur vingt dans cette
affection
: on sait du reste avec quelle fréquence on y r
pied : ce réflexe aurait une grande valeur pour le diagnostic d'une
affection
organique du système nerveux. Réflexe du fasc
ncider avec l'extension des orteils. Il a été observé dans diverses
affections
du système nerveux lrw Renaalt ( Thèse de Paris,
rition du réflexe : abdominal a été aussi constatée élans certaines
affections
abdominales, dans l'appendicite (Sicard) et dans
nes affections abdominales, dans l'appendicite (Sicard) et dans les
affections
utérines ou purintérines. RÉFLEXES CUTANÉS. M
ystérique. Il peut se manifester d'une façon variable dans diverses
affections
du système nerveux. Réflexe pharyngé et réflexe
de le rechercher comme un des stigmates caractéristiques (le cette
affection
. Le réflexe pharyngé l'ait également, défaut da
nt les traumatismes graves cérébraux ou médullaires, les comas, les
affections
aiguës diffuses du cerveau où la disparition de
réflexes cutanés et les réflexes tendineux dans un certain nombre d'
affections
: c'est ainsi que dans l'hémiplégie, où les libre
le; ces variétés sont d'ailleurs beaucoup plus appréciables quand l'
affection
remonte au moins à quelques mois. Parfois l'hém
rtance, un paragraphe spécial lui est consacré plus loin. Une autre
affection
, qui peut dans certains cas en imposer pour l'hém
gie spinale, ce sera de dépister l'existence, chez le malade, d'une
affection
médullaire bien caractérisée, telle qu'un traum
miplégie avant l'âge de 50 ans, et chez lequel on ne constate pas d'
affection
cardiaque, doit être forte- ment soupçonné de s
les plus importants dans la production de l'hémiplégie. Certaines
affections
du système nerveux, telles épie le tahcs, la para
chez les enfants athrepsiques ou débilites en dehors même de toute
affection
systématisée des centres nerveux : cela tient à c
lus souvent dans des cas pathologiques et, en particulier, dans les
affections
des méninges spinales. 11 peut se produire quel
rès grande valeur séméiologique, et nous allons passer en revue les
affections
dans lesquelles on les rencontre. Nous étudierons
ions des ménin- gitesspinalcs. C'est plus particulièrement dans les
affections
qui atteignent les méninges spinales qu'il a ét
cependant, la fréquence n'est pas absolument la même dans les deux
affections
. Ncller, qui l'a constaté dans 25 cas, le trouv
à pneumocoques. Le signe de Kernig peut se rencontrer dans d'autres
affections
: gastro- entérite infantile (Monod). tuberculo
du système nerveux. Le signe de Kernig a été rencontré au cours des
affections
médullaires : dans le tabès, Salrrazès a pn le
ue et le signe de Kernig. On a constaté le signe de Kernig dans les
affections
du cerveau en foyer sans réactions méningées, d
es, mais, en dehors de ces cas, il a pu se rencontrer dans quelques
affections
médullaires ou quelques affections du système c
a pu se rencontrer dans quelques affections médullaires ou quelques
affections
du système cérébral dans lesquelles les lésions
s sont presque normaux. Ce symptôme se rencontre seulement dans les
affections
d'origine médullaire; on le voit notamment avec t
ulaire diffère selon les cas, et sera mieux exposée au chapitre des
affections
où son évolution, sa topographie et son intensité
'origine centrale. Les escarres sont fréquentes, en effet, dans les
affections
aiguës, à marche fébrile, rapide, telles que le
ctioreiquc esquisse seulement. La démarche dans l'athétose double,
affection
distincte de l'alhétosç post-hémiplégique, est ex
e. PARAPLEGIE. '. 49;¡ La sclérose latérale amyotrophique est une
affection
systématisée du faisceau pyramidal. Elle présen
nalons ici la pachy- méningile cervicale hYPl'1't¡,oplâqlll'. Cette
affection
présente un syn- drome clinique caractérisé par
ion caractéristique de la sensibilité. Le diagnostic entre les deux
affections
est alors difficile. On admet qu'il n'y a jamais
lles ne se rencontrent pour ainsi dire à ce degré dans aucune autre
affection
, si ce n'est peut-être dans le mal de Pott. Elles
on aiguë. Poliomyélites. Poly- névrites. Il existe tout un groupe d'
affections
médullaires aiguës, dépendant nettement de proc
res se forment, bientôt profondes, plus vastes que dans toute autre
affection
nerveuse. La fièvre, qui existe souvent d'emblé
gisse de paralysie infantile ou de paralysie chez l'adulte, est une
affection
fébrile, frappant d'une façon brusque et massiv
re une des principales manifestations cliniques de tout un groupe d'
affections
de causes diverses pourtant. L'altération des m
lopathique, tantôt d'origine myopathique. Nous serons brefs sur ces
affections
qui ne réalisent un syndrome paraplé- gique qu'
a marche plutôt qu'une impuissance véritable. On peut définir cette
affection
, au point de vue clinique, un tabès débutant dans
ité, mais ce ne sont en général que des paresthésies subjectives. L'
affection
aboutit donc rarement, et de toutes façons lent
pseudo-hype¡'- trophique de Duchenne et du type Leyden-Môbius. Ces
affections
étant décrites en d'autres parties de cet ouvra
ns organiques par infection ascendante. Paraplégies de l'enfant. 1°
Affections
congénitales. Les enfants présentent un certain
e, exagérés avec extension de l'orteil dans la spina bifida. , 2"
Affections
acquises. On peut chez l'enfant observer des para
ne participe point la tète. Une telle description montre que cette
affection
peut rappeler de -près certains cas de sclérose
n outre de bien se rappeler de combien de façons multiples une même
affection
peut réaliser un syndrome à peu près analogue.
érencier totalement des paralysies palu- déennes. D'autre part, les
affections
que l'on a signalées dans les antécé- dents n'o
aciale congénitale sont causés par l'agénésie du rocher. Toutes les
affections
inflammatoires de l'oreille moyenne peuvent se co
après l'accès. 1.'ancstliésic du larynx se rencontre après quelques
affections
graves comme le choléra ou la diphtérie : dans
touchés. La marche est variable : incurable et progressive dans les
affections
bulbaires, elle disparaît peu il peu lorsqu'il
HATIQUE NEUIIOL. 41 [LA 1Y l\'Ors.] ] 642 MALADIES DU LARYNX. L'
affection
est tenace et récidive pour un rien. Souvent les
aresthésies, la névralgie peut être un réflexe dou- loureux lié aux
affections
du nez et du naso-pharynx. La névralgie du lary
latateurs est exceptionnelle. Mais c'est surtout le tabès qui est l'
affection
médullaire se compliquant le plus souvent de tr
s rapports étroits du sommet du poumon droit avec le récurrent. Les
affections
du coeur et surtout la péri- cardite avec épanc
coeur et surtout la péri- cardite avec épanchement, mais aussi les
affections
valvulaires s'accom- pabnant de grosses dilatat
ais les premiers, bien qu'ils puissent se rencontrer dans certaines
affections
du système nerveux, n'ont qu'une importance trè
ulbaires qui précède la paralysie. Aussi retrouverions-nous ici les
affections
que nous avons énumérées à l'étiologie des para
adjoindre le spasme des adducteurs de telle sorte qu'il n'est pas d'
affection
centrale où l'on trouve plus fréquemment un des t
ferons que l'indiquer ici brièvement car en réalité il s'agit d'une
affection
qui est loin d'être limitée du larynx et qui do
que de Grawilz. 2" Toux nerveuse. La toux nerveuse laryngée est une
affection
rare si on réserve ce nom aux cas dans lesquels
finit par disparaître alors que les ictus spasmodi- ques liés à des
affections
bulbaires, surtout au tabès, ou à la présence de
la névrose. C'est aussi il l'hystérie qu'il convient de rattacher l'
affection
NÉVROSES DU LARYNX. 655 que Schriitter avait
rale ou le chanteur émettre une note. C'est d'ailleurs ainsi que l'
affection
débute le plus souvent. On ne peut s'empêcher d
s'il y a voix de fausset enrouée, de l'adduction dos cordes. Cette
affection
ne se modifie pas et la voix parlée reste toujo
on de volume des muscles, soit quand il s'y joint certains signes d'
affection
nerveuse. Dans le premier cas, l'affaiblisse- m
ies secondaires sont localisées soit dans les muscles voisins d'une
affection
locale (atrophies dites réflexes, d'origine artic
e toujours elle est seulement l'un des symptômes prédominants d'une
affection
nerveuse que ses autres signes permettent de cl
(d'origine probablement congénitale). Le caractère capital de ces
affections
, celui qui en l'ait vraiment un groupe il part
- Marie. Verdni-IIo(l'Inann, Gomhault-Dejerine. Connue toutes les
affections
héréditaires ou familiales, maladie de Fl'icdre
Dejerine, myopathie, et l'atrophie Charcot-Marie, myélopathie : ces
affections
débutent le plus souvent dans la seconde enfanc
que débutent le plus souvent pendant l'adolescence : c'est dans ces
affections
que manque le plus fréquemment l'hérédité, dans
araissent pas, d'après Erb, jouer un rôle dans la palhogénie de ces
affections
. Touche a signalé un cas avec autopsie de myopa
, dans ces cas qui ne semblent pas héréditaires ou familiaux, que l'
affection
débute plus tardivement (2J ans dans un cas de Li
6), Gï ans dans un cas de Linsmayer) (7). Ces cas exceptionnels d'
affections
non héréditaires et à début tardif n'infirment
ilection est maxima pour la paralysie pseudo-hypertrophique : cette
affection
ne frappe que 10 ou 11 filles sur 100 malades (
nb a plus récemment fourni une obser- vation très analogue (3), L'
affection
se transmet parfois par les femmes alors qu'elles
encontrent au niveau de tous les tissus et semblent démontrer que l'
affection
est une maladie de dégéné- rescence « beaucoup
adie de Thomsen et la myoplégie de la paralysie familiale périodique,
affections
auxquelles Oddo donne le nom de « myopathies fa
mbre 1901. lcoh. Salpèlr., 1902. [A LÉRl.] Fig. 1. - Myopathie. L'
affection
a envahi les membres inférieurs, puis les mem-
a myopa- thie ne diffère pas à cet égard de la presque totalité des
affections
héré- ditaires d'origine congénitale. Pourtant
ré au professeur Joffroy (') 'une très inté- ressante leçon sur les
affections
qu'il a dénommés « myopsychies » (cho- rées deS
tat actuel et dans les antécédents dès myopathiques (°). - Diverses
affections
nerveuses familiales ou héréditaires ont été si
dinaire un signe différenciant la myopathie de la neurasthénie. . L'
affection
héréditaire et familiale qui a été le plus fréque
Pelilzeus, Kornhold, Bernard, Nonnes et Siro) (association des deux
affections
). Aussi on a tendance à considérer la myotonie
nt plus ou moins accusés, d'ordi- naire d'autant plus marqués que l'
affection
débute il un âge moins avancé, c'est-à-dire qu'
uée à un trouble fonc- tionnel du système nerveux (Erb), voir à une
affection
organique des centres nerveux encore inaccessib
issement et pseudo-hypertrophie semblent évoluer simultané- ment. L'
affection
n'attire généralement l'attention des parents que
hésie (Goetz), paresthésies, douleurs (lTohinsun). L'évolution de l'
affection
est lente, elle dure cinq, dix, vingt ans; elle
is dans ces cas on est en droit de se demander s'il ne s'agit pas d'
affections
fébriles intercurrentes mal caractérisées qui d
ncées, succombent à des maladies intercurrentes, en particulier des
affections
de l'appareil respiratoire, tuberculose ou pneumo
vers l'extrémité; la seule diffé- rence qu'elle présente avec cette
affection
est l'absence ou le très faible degré de la pse
e. La durée est extrêmement longue, 50, 40 ans et plus, parce que l'
affection
n'oblige jamais que très tardivement les malade
une des fonctions viscérales. La mort est ordinai- rement due à une
affection
intercurrente portant surtout sur l'appareil re
'I : I,UI'ATllt(lUl;s. 691 l extrêmement lente et que la durée de l'
affection
est presque illimitée, parce qu'elle n'est pas
cée, qui peut aller jusqu'à la vieillesse quand ne survient pas une
affection
intercurrente, pulmonaire ou autre. Après avoir
t indé- pendantes de l'atrophie des muscles et de l'ancienneté de l'
affection
. Dans tous les cas de Werdnig et de Hoffmann le
s petits mouvements des mains sont souvent le signe révélateur de l'
affection
, alors même que l'atrophie est déjà beaucoup pl
es de la vie semble bien plus facile dans ces cas que dans d'autres
affections
médullaires avec amyotrophie semblable (syrin-
it très rapide- ment les membres inférieurs; d'après llaincl (5), l'
affection
pourrait rester limitée aux membres supérieurs,
domaine du facial inférieur (Dejerine). Ce qui caractérise cette
affection
, c'est l'association à l'atrophie (plus ou moin
ie, Sain- ton. On peut discuter seulement sur la nature réelle de l'
affection
, sur l'ordre de subordination des lésions des n
syndrome d'Aran-Duchenne s'observe presque exclusivement, dans des
affections
de Y âge adulte, et avec une prédilection marquée
PIIIES TYPE ARAi'I-DUCIIEi'i],;E. lï9O de cueillir une fleur, que l'
affection
se révèle. Parfois, c'est par les épaules que l
AN-UUCHENNE. 705 La pachyméningite cervicale hypertrophique est une
affection
qui n'a plus guère d'autonomie ; le plus grand
ans le tabès peut n'en pas être une complication, mais que les deux
affections
peuvent reconnaître une cause commune la élite
jourd'hui que' l'on connaît la constance de la méningite dans cette
affection
, on s'ex- plique parfaitement l'amyotrophie spi
henne d'ori- gine saturnine à sa véritable cause. Ces différentes
affections
causales du syndrome Aran-Duchenne étant élimin
voir dans le service de noire maître, le U Mosny, un malade dont l'
affection
complexe nous paraît être la meilleure démonstr
dépendent essentiellement de la nature et de la localisation d'une
affection
primitive avec laquelle elles doivent être étud
ne médullaire. Ces atrophies s'observent à la suite de toutes les
affections
aiguës de la moelle où les cornes antérieures se
yélopathique, les amyotrophies qui surviennent dans le cours de ces
affections
. Nous ajou- terons seulement que, si le type Ar
s amyotrophies, on peut à titre exceptionnel voir survenir dans ces
affections
une amyotrophie à locali- sation différente, te
e des paralysies amyotro- phiques diversement localisées dans cette
affection
sont dues à des com- pressions radiculaires.
ou intoxication ne peut parfois être retrouvée à l'ori- gine d'une
affection
qui évolue comme une névrite, et le plus souvent
entrale, myélite : il est pro- bable que, dans beaucoup de cas où l'
affection
évolue comme une maladie infectieuse indépendan
u sur et à mesure que l'hystérie est mieux délimitée et séparée des
affections
multiples qu'elle englobait à tort, et au sur e
il n'y pas plus à faire que pour pré- venir ou retarder toutes les
affections
congénitales, héréditaires ou fami- liales, mal
sont pas toujours pro- portionnées a la durée et à la gravité de l'
affection
causale : la relation n'est nullement absolue.
muscles préalablement paralysés associée aux symptômes propres à l'
affection
paralytique : a) D'origine médullaire : paralys
éments essentiels de la maladie de Thomsen ou myotonie congénitale,
affection
tuuseu- taire qui. en dehors de l'hypertrophie,
mment chez les emphysémateux et chez tous les sujets atteints d'une
affection
dyspnéisante chronique. Les hypertrophies physi
nous dirons que ces caractères ne paraissent plus avoir dans cette
affection
ni la constance ni la valeur séméiologique excl
ophie musculaire est en effet un des caractères essentiels de cette
affection
. Parfois plus ou moins localisée, surtout à la mu
t en propre et qu'ils peuvent tous s'observer dans certaines autres
affections
et notamment dans les myopathies, d'autre part qu
pure et la maladie de Thomsen pure et, si l'on ajoute que les deux
affections
sont familiales et héréditaires, on comprend qu
s lésions des fibres musculaires sont très semblables dans les deux
affections
, 'fout d'abord, à côté des fibres hypertrophiée
onique et parfois par l'époque, plus ou moins tardive du début de l'
affection
. Les indications histologiques que nous avons a
iérison spontanée; il parai ! donc vraisemblable qu'il s'agit d'une
affection
différente. 'l'A 13LI ? U DES CARACTÈRES ET VAR
s faisceaux cérébelleux directs. C'est ainsi qu'un certain nombre d'
affections
héréditaires ou congénitales empruntent leurs pri
rt semblables au tabes et dont l'ataxie fait, partie. Aucune de ces
affections
ne provoque des lésions étroitement systéma- ti
gènes à l'exclusion des fibres radiculaires : il en résulte que ces
affections
ne provoquent pas d'ataxie ou que l'ataxie n'en
e médullaire dont nous allons parler. Suivant que ces différentes
affections
provoquent ou non, en même temps qu'une lésion
écents de Italo Rossi ont montré que la lésion essentielle de cette
affection
consistait en une atrophie des cellules de Purkin
cer- velet : l'incoordination est donc vraisemblablement dans cette
affection
d'origine surtout cérébelleuse. Dana a décrit
favorable. La paraplégie ataxique subaiguë, décrite aussi par Dana,
affection
qui se termine par la mort en l'espace de moins
ent facile, mais il ne faut pas perdre de vue que souvent, dans ces
affections
, l'incoordination paraît devoir reconnaître pou
iège cérébelleux de la lésion. Le syndrome s'observe : l Dans les
affections
du cervelet, mais, ainsi que Babinski l'a reconnu
C('1'Glllll(SG, isolée par Dejerine et Thomas et étudiée par l.aew,
affection
dont l'étiologie est inconnue, ne se manifeste
organes voisins, du nerf vestibulaire en particulier. 2° Dans les
affections
des voies cérébelleuses, en particulier au ni-
des troubles de l'équilibre dans la marche et dans la station. Ces
affections
forment un groupe, non seulement par suite de l
e Friedreich. « Il est possible, dit P. Marie, que l'une et l'autre
affection
ne soient que des modalités différentes d'une m
ation n'a rien à voir avec l'astasie-abasie : les variétés de cette
affection
sont à décrire avec les troubles de la marche.
[A,LÉRL] 784 ' INCOORDINATIONS. Variétés topographiques : a)
Affections
du cervelet : Atrophie ou sclérose : syndrome p
, signes de compression cérébrale, souvent aiaxie labyrinthique. b)
Affection
des voies cérébelleuses, bulbo-protubérantielles
uvent excellents qu'on en peut obtenir dans le traitement d'une des
affections
organiques les plus fréquentes du système nerve
soit l'étiologie en cause, il quels symptômes reconnaitra- t-on une
affection
bulbaire ? On sait que les altérations protubér
ni chez les pseudo-bulbaires (V. les chapitres spéciaux à ces deux
affections
). La paralysie des lèvres et des joues réduit e
o-glosso-laryngé il marche lente s'observe également dans certaines
affections
familiales ; mais il est avant tout caractérist
sement associés, mais contrairement il ce que l'on observe dans les
affections
nucléaires systématisées, l'hémiplégie SYNDROME
S. 805 croisée de type bulbaire fait rarement défaut. Le début de l'
affection
est à peu près toujours violent, soudain, apyré
le plus délicat intéresse la myasthénie d'Erb-Goldttam. Dans cette
affection
également, les troubles sont irréguliers, fugac
rès un ictus unique, ce qui demeure exceptionnel. Plus souvent, ' l'
affection
se développe insidieusement, sans qu'une attaque
m de lacunes de désintégration. Quel que soit le mode de début de l'
affection
étudiée, le syndrome mor- bide est, à la périod
caractéristiques indispen- sables au diagnostic 'différentiel de l'
affection
. Il existe en outre des troubles considérables
aux formes observées chez l'adulte, est variable et irrégulière. L'
affection
peut demeurer stationnaire après un nombre vari
ent en général le diagnostic assez facile. Du reste dans toutes ces
affections
ne s'observent jamais le rire ou le pleurer spa
encontre à titre de symptôme épisodique dans un très grand nombre d'
affections
, et d'une façon toute spéciale dans un syndrome
. Myasthénies épisodiques. -Nous rangerons dans ce paragraphe des
affections
très disparates dans lesquelles la myasthénie n'e
sculaires des désordres ou maladies de l'abdomen. ptôses, diarrhée,
affections
ovariennes ou utérines, grossesse, etc. Un très
térines, grossesse, etc. Un très grand nombre, sinon la plupart des
affections
nerveuses, s'accompagnent de phénomènes dé- pre
endant plusieurs heures de suite. Le diagnostic de cette singulière
affection
ne saurait être difficile. On la rencontre sous
les se- condaires de l'équilibre. Myasthénie bulbo-spinale. Cette
affection
porte divers noms : asthénie bulbo-spinale, par
ope ou par suffo- cation. ," . Le syndrome d'Erb-Goldflam est une
affection
sporadique, atteignant surtout la femme et la f
elle[, des nianifeslations fréquentes; de plus, elles annoncent des
affections
le plus souvent très sérieuses et qui, dans que
e chez un des parents pondant la conception. On a signalé enfin les
affections
trauinatiques (coup sur le ventre, etc.). les é
l'éclamp- sie. On recherche alors minutieusement les signes de ces
affections
en se rappelant que les crises convulsives y so
ous mettront immédiatement sur la voie : grossesse, lièvre intense,
affection
cérébrale ancienne et notoire, albuminurie. App
fait leur apparition. En dernier lieu, il faut savoir penser à une
affection
qu'on a trop long- temps méconnue, l'encéphalit
ques. Le diagnostic des convulsions est encore facile dans d'autres
affections
cérébrales et méningées, apyrétiques, et dont l
t permanent : dans le second cas il y a lieu de passer en revue les
affections
cérébro-spinales. les affections nerveuses sans
il y a lieu de passer en revue les affections cérébro-spinales. les
affections
nerveuses sans lésions organiques connues, les in
sions organiques connues, les intoxica- tions, en un mot toutes les
affections
qui peuvent provoquer le trem- blement : c'est
ou tremblements chroniques s'observent au cours d'un grand nombre d'
affections
du système nerveux. On peut les diviser, comme le
ement de ces tremblements celui observé par Babinski dans certaines
affections
de l'appareil cérébelleux, nous faisons allusio
a période de contracture ou le précède et est caractéristique d'une
affection
orga- nique du système nerveux. Nous l'avons du
emblement soit consi- déré comme un clonus vrai symptomatique d'une
affection
organique, il faut, comme l'a montré Babinski,
lquefois au tremblement de forme parkinsonienne symptomatique d'une
affection
cérébrale : tels sont les tremblements parkinso
mblement de la maladie de Basedow est un symptôme cardinal de cette
affection
: aux trois symptômes caractéristiques qui étai
as une seule entité morbide, il peut s'appliquer au contraire à des
affections
multiples : il y a des chorécs et non pas une.
niques, mais ne sert qu'à désigner le symptôme commun il toutes ces
affections
et d'autres particularités cliniques ont servi à
xcoriations qui peuvent être l'origine d'abcès ou phegmons diffus d'
affections
secondaires variées. La force musculaire est en
a chorée et quand ils existent, ils sont liés à l'hystérie ou à une
affection
concomitante. Cependant Triboulet admet que la
Triboulet admet que la sensibilité générale est diminuée dans cette
affection
.. La chorée est souvent accompagnée de troubles
Sydenham, c'est qu'elle est importante dans le diagnostic de cette
affection
: c'est en effet par l'âge du malade ou par la
ultés intellectuelles, diminution de l'affectivité, diminution de l'
affection
et de l'assiduité au travail : l'enfant, change
vements involontaires qui étaient isolés deviennent prédominants, l'
affection
est alors constituée. A la période d'état, les
s vu qu'ils se manifestent par les modifications du caractère, de l'
affection
, de la mémoire; , , . 2° Au contraire les troub
t été atteint à l'âge de 7 ans d une chorée présentait encore celle
affection
il 00 ans. La mort est rare dans la danse de Sa
toucher vaginal augmentent les mouve- ments choréiques (Blocq) ; l'
affection
disparait avec la grossesse. Suivant Blocq, il
ndants qui sont épargnés peuvent cependant être sujets à d'au- tres
affections
nerveuses sans que cependant ce soit une règle ab
z eux non seulement la présence de myoclonies, mais encore d'autres
affections
nerveuses : la maladie des tics connue, dans de
es tics est souvent difficile, car y a souvent association des deux
affections
, et il y a une parenté entre elles. C'est ainsi
n'est pas une entité morbide, il est symp- tomatique de nombreuses
affections
cérébrales (Murri, Progrès médical, - l 002; ()
ectrique de Bergeron s'observe surtout chez les enfants; (,'est une
affection
qui frappe également les deux sexes et qui appara
x sexes et qui apparaît dans la seconde enfance. La nature de cette
affection
a été très discutée : nous avons vu que certain
Société Médicale des Hôpitaux (le Lyoll. 1902). Le début de celle
affection
est le plus souvent brusque : ce sont, ('0 III
réflexes ni de la sensibilité, l'état mental est indemne. Enfin, l'
affection
, en général, a une évolution rapide et elle se
ne par la guérison. CHORÉE ÉLECTRIQUE DE DUBINI Le début de cette
affection
est le plus souvent brusque : il se fait par de
n'y a pas de troubles de la sensibilité ni de réflexes. C'est une
affection
de l'adolescence. dont l'étiologie est assez obsc
ractère familial a été rencontré par nombre d'autres auteurs. Cette
affection
évolue le plus souvent chez les dégénérés. MYOC
nts athétosiques peuvent simuler la sclérose en plaques. Dans cette
affection
le tremblement et la dysarthrie peuvent en effe
elle survient chez des sujets qui sont en général prédisposés à une
affection
nerveuse par leur hérédité, mais sans cependant
comme on le sait, sont souvent des lésions infectieuses, tantôt une
affection
caractérisée comme dans le cas d'Ollivier, tant
une affection caractérisée comme dans le cas d'Ollivier, tantôt une
affection
indéterminée à localisation encépha- lique, tan
e : ce sont les travaux de Charcot, d'Oulmont, qui ont séparé cette
affection
de celle que nous venons de décrire et les travau
itive tout au moins en apparence comme l'athétose double, c'est une
affection
secondaire à l'hémiplégie, elle ne s'observe pas
e comparaison entre une maladie il progression ana- tomiclue et une
affection
à progression physiologique : le tic envahissant
t représenté par la maladie des tics (Gilles de la Tourette). Cette
affection
débute dans l'en- fance comme un simple tic de
à celui du torticolis mental et dépendant vrai- semblablement d'une
affection
organique du système nerveux central dont [A. L
mptomatiques (maladies contagieuses et toxiques, syphilis, épilepsie,
affections
centrales; une classe à part est formée par le
es torti- colis rythmiques, également essentiels ou symptomatiques (
affections
centrales, épilepsie, toxi-infections, troubles
e d'irritation organique : or il n'est nulle- ment démontré que ces
affections
soient toujours organiques ou toujours dynamiqu
lus prolongés, l'écriture devient plus difficile et irrégulière : l'
affection
peut s'arrêter ta. elle peut aboutir il l'incap
es; la durée du pouvoir inhibiteur diminue au sur et a mesure que l'
affection
progresse. Les préoccupations, la fatigue. l.es
on d'esprit. Ce qui augmente tout particulièrement l'intensité de l'
affection
, c'est Vidée d'écrire, surtout en public ; si l
pe des écrivains, une douleur tout à fait analogue à celle de cette
affection
, mais sans phénomène spasmodique ni faiblesse m
ertains malades, ayant appris il écrire de la main gauche, ont vu l'
affection
envahir cette main après l'autre. Chez tous ces
t l'origine du processus, sont surtout frappés, comme dans nombre d'
affections
paralytiques ou atrophiques, les muscles auxquels
des muscles, (lui permet aux membres des attitudes anormales. Cette
affection
se rencontre plus particulièrement dans le tabè
tisse- ment du pied par hypotonie. Elle est aussi un symptôme des
affections
cérébelleuses (Dejerine) ; on l'a rencontrée da
; on trouve là le phénomène que Babinski a décrit comme un signe d'
affection
organique : il y a flexion exagérée de lavant-b
s que les trophonévroses seront relativement rares dans cer- taines
affections
comme la sclérose en plaques ou la paralysie géné
térations n'intéressant que l'épiderme et le derme Dans cer- taines
affections
nerveuses, la peau présente seulement des changem
lie ou sclérodermie des extrémités. Dans cette très singulière
affection
, la peau ri- gide, dure, immobi- lise dans un
sedis, comme le viti- ligo. ne relevant de façon évidente d'aucune
affection
nerveuse classée, sont-elles étroitement liées
le tabes, et tout particulièrement au niveau du tronc dans nombre d'
affections
méningées ou vertébrales, notamment chez les t'ot
de neurofibromatose généralisée ou maladie de Recklinghausen. Cette
affection
est congénitale, mais il survient d'ordinaire d
rouble trophique chez les hémiplégiques ou les paraplégiques, que l'
affection
en cause soit une maladie chronique ou une affe
égiques, que l'affection en cause soit une maladie chronique ou une
affection
aiguë du cerveau ou de la moelle. On observe so
rapide. Nous en avons fini avec les oedèmes épisodiques au cours d'
affections
classées. Il nous reste à mentionner certaines
oute adipose exagérée ne rentre pas en effet dans le cadre de cette
affection
. Il h agn namtuenement ue temmes aux alentours
ulcéreux des téguments s'il ne nous restait à mention- ner une
affection
cuta- - née d'ailleurs excep- tionnelle, la p
les de cet ordre. On les observe égale- ment au cours de nombreuses
affections
, névrites infectieuses (lèpre, tuberculose), ou
ils sont fréquemment symétriques en ce cas. Le traitement de cette
affection
commune est souvent délicat, ainsi qu'il est de
apparaître, à vrai dire, chez les malades alités quelle que soit l'
affection
causale, typhoïde ou démence, mais ce sont surt
). L'escarre est typique au niveau du sacrum, qu'elle soit médiane (
affections
médullaires) ou latérale (affec- Fig. 7. - Esca
matismes, de brûlures sou- vent graves puisque ces doigts, de par l'
affection
nerveuse en cause (névrite lépreuse ou cavité m
tes à de lamentables moignons amputes de tous leurs doigts. Les
affections
mutilantes des membres sont en somme assez fré-
lus bas degré de l'échelle se trouve la maladie de Raynaud. Cette
affection
n'arrive pas; à vrai dire, à tronquer les doigt
qui paraissent bien démontrées actuellement entre la pelade et les
affections
de la VC paire. Dans la sclérose en plaques,
trouble neurotrophique ou il la dystrophie glandulaire dans des
affections
comme l' acro mlgalie, la maladie de Paget, p
de la " syringomyélie, le tho- rax en bateau de cette dernière
affection
. Dans certains cas, à la suite de trauma-
coup sûr est l'Iaémiatroplzie faciale de Romberg. Cette singulière
affection
est des plus simples à diagnostiquer, tout au m
ns sudorales ou vaso-motrices sont également signalées. Au début, l'
affection
commence par une étroite PRATIQUE NEOROL, 59
d'émergence du trijumeau, le sous-orbitaire souvent. L'effet rie l'
affection
dnment caractérisée est saisissant : la face se
uhérnn- ticlles. - En dehors de l'atrophie osseuse massive, les
affections
du système nerveux peuvent déterminer de la r
ans t'osteopsathyrosis de Lobstein ? La parenté de celle singulière
affection
avec la dysplasie périostale de Durante permet
s, liées à l'atrophie des muscles des gouttières vertébrales. Les
affections
des tendons n'ont pas grande individualité; les r
ée dans le zona ophtalmique, la kératite neuro-paralytique dans les
affections
du trijumeau. Notons à ce propos qu'une tumeur ir
de caractéristique. La fièvre peut s'observer encore dans d'autres
affections
organiques telle est la température de 1'(pil(,
ophiques de l'hystérie ; il faut se méfier de la tuberculose, d'une
affection
méconnue ou de la simulation si fréquente chez
s, chromidrose, et hématidrose qui sont quelquefois associées à des
affections
nerveuses. TROUBLES DE LA PRESSION ARTÉRIELLE
tes ces modifications de la respiration peuvent s'observer dans les
affections
diverses du système nerveux, nous allons les pass
tachycardies il peut exister des tachycardies réflexes au cours des
affections
abdominales par irritation du sympathique abdo-
amental de la maladie et son évolution persiste tant que persiste l'
affection
, elle s'ac- compagne du tremblement auquel elle
un calcul vésical peut donner des sensations rénales, ainsi que les
affections
de la prostate, un cancer par 'exemple. Le réfl
es concrétions, surtout dans le rein goutteux. Presque toutes les
affections
douloureuses de la moelle peuvent déter- miner
'hystérie caractérisée, mais on retrouve chez eux des traces de ces
affections
. Symptômes. Le début est variable. Ordinairemen
s. On arrivera ainsi à retrancher des névralgies rénales beaucoup d'
affections
qu'on y rangeait autrefois. .NÉVRALGIES VFSIC :
gie; mais plusieurs personnes désignent ainsi à peu près toutes les
affections
douloureuses de la vessie; il en résulte une co
aru avec la lésion soumise il un traitement approprié. . Toutes les
affections
de la prostate peuvent retentir par voie réflexe
t être séparées des névralgies vésicales; niais on voit souvent une
affection
de cet organe laisser à sa place, après sa guéris
de l'intestin, d'une coxalgie, etc.. sur la vessie, mais les seules
affections
dont l'action est manifeste et fré- quente sont
trop facile de méconnaître les névralgies vésicales, car toutes les
affections
de la vessie peuvent donner lieu il des douleur
ifficile à éviter quand il y a coïncidence de névralgie et d'autres
affections
qui sont l'origine du réflexe, comme une urétro
une rareté pathologique; ce n'est qu'après exclusion de toute autre
affection
voisine qu'on sera en droit d'y croire. Il faut
es et bactériolo- giques ; enfin rechercher les moindres signes des
affections
médullaires, et en particulier du tabès. Dans c
gie. La rétention est un symptôme ou une complication de nombreuses
affections
du système nerveux. Dans l'hémorragie cérébrale
e le col (voir rétention). Ces variétés se retrouvent dans diverses
affections
du système nerveux. " Étiologie. Pour éviter
iter les redites, je renverrai à l'article rétention pour plusieurs
affections
dans lesquelles les deux états de rétention et
at, polypes ou tumeurs urétrales chez la femme, plus rarement à une
affection
rénale (calcul, tuberculose, sarcome, etc.).
voisinage (oxyures, polypes du rectum, vulvite). 4° Il existe une
affection
nerveuse bien caractérisée (épilepsie, spina- b
urs reprises que l'infection se produisait plus facilement dans les
affections
vésicales dépendant dune lésion du sys- tème ne
ins résistants et les troubles trophi- ques observés dans plusieurs
affections
nerveuses en sont l'expression la plus élevée.
er la pénétration des germes; aussi ne, devra-t-on sonder, dans une
affection
du système nerveux, que, lorsque le diagnostic et
La prostatite ne présente pas de carac- tères particuliers dans ces
affections
nerveuses. L'infection vésicale revêt ici deux
distendu par pyonéphrose. Cette com- plication est commune dans les
affections
graves du système nerveux el constitue pour ces
La polyurie existe il un moment quelconque de presque toutes les
affections
du système nerveux, mais c'est tantôt un phénomèn
attache à la lésion première. On la constate dans un grand nombre d'
affections
cérébrales et médullaires, dans presque toutes
l'épilepsie. Plus souvent la spermatorrée est symptomatique d'une
affection
de la moelle dont l'influence sur l'éjaculation
nous occuper du dyspermalisme fonctionnel, sous l'in- fluence d'une
affection
psychique ou nerveuse. L'anesthésie des organes
équente dans les maladies de la moelle, on l'observe dans certaines
affections
graves de l'encéphale, telles que l'hémorragie
tabétiques dont nous avons décrit les désirs exagérés au début de l'
affection
. - A cette classe on peut rattacher les effets
sont de deux ordres, les uns rentrent dans le cadre banal de toute
affection
gastro-intestinale, dou- leurs, phénomènes vaso
is un a peine à comprendre les mots qu'il forme incomplètement. L'
affection
a débuté généralement par un ictus. Le malade s'a
oubles de l'oeso- phage. Mais le clinicien doit songer à toutes les
affections
(angines ulcérations tuberculeuses ou syphiliti
façon générale, il la névropathie isolée. Les spasmes réflexes des
affections
organiques de voisinage (cancer du cardia, ané-
elle. On s'efforcera enfin de l'améliorer, soit en s adressant il l'
affection
organique occasionnelle, soit en allant atteindre
'obnubilation improprement appelée vertige. C'est, en tout cas. une
affection
rare, très rare même, et Mathieu et Habinsky ne
roire à la névrose. Nous n'insisterons pas sur le mal de mer. Cette
affection
n'est autre qu'un syndrome bulbaire avec troubl
reuse parce que souvent émétisante. On la rencontre dans toutes les
affections
gastriques, ulcère, cancer, dyspepsie. L'ingestio
oubles de la motricité. -.On décrit sous le nom de gastroplégie une
affection
rare, consécutive à un traumatisme ou à une lapar
s dyspeptiques. " THÉRAPEUTIQUE La plupart des malades atteints d'
affections
digestives sont des névro- pathes, soit parce q
e, parfois persistant, parfois épisodique, dans un certain nombre d'
affections
diverses de /'( ? (;(' cél'éúJ'o-spil1(/l. Sa v
el sans grande valeur diagnostique pendant l'évolution d'une de ces
affections
, elles peuvent constituer dans l'ensemble d'un
nte pneumique. Clrirornégalie. Doiyts hippocratiques. Cyanose. h)
Affections
irrégulières qui déforment la main ou les doigts
tériques. ErythromH- lalgie. -- Névrome plexiforme de la main. C)
Affections
mutilantes : Main de Morvan : syringomyélie, lè
erve une main en araignée. . Il. DIFFORMITÉS ACQUISES A) DANS LES
AFFECTIONS
OSSEUSES SYSTÉMATISÉES, IiYPERTROPHL1\TES -- -
ien classée. Dans l'ostéa-arthropathie hypertrophiante pneumique,
affection
décrite par Pierre Marie, les mains sont grosses,
les mouve- ments sont gênés, les articles sont douloureux. L'
affection
est secondaire à une infection de l'1p- par
pareil pleuro-pul- monaire troublant l'hématose, surtout à une
affection
sup- purante, point de départ de toxines :
nt signalé aussi la cirrhose hypertrophiquc hiliaire, Bamberger les
affections
cardiaques, d'autres auteurs la pyélo- ' néphri
saud, ressemble à l'acromégalie : elle est caractérisée comme cette
affection
. par une hypertrophie des mains et surtout des do
ans la tuberculose pulmonaire, on le trouverait aussi dans nombre d'
affections
provoquant au niveau du doigt un trouble de la
termédiaires le diagnostic n'est pas tou- jours aisé. B) Dans les
affections
OSTGO- : 1RTICUL : 11RES irréguuères, déformantes
me temps qu'elle se renverse en arrière. Le spina ventosa est une
affection
tuberculeuse qui détermine des déformations trè
rien à la main de ce qu'elles sont partout ailleurs. C) Dans LES
affections
dystrophiques DES parties molles. La main succu
ré par les uns comme un oedème congénital, par les autres comme une
affection
inflammatoire de la main qui lui avait valu une i
ent en bourrelet, au niveau du poignet en bracelet. - D) Dans LES
affections
mutilantes. La main de Morvan (fig. 12) caracté
urs suppura- lions prolongées empêcheront de les confondre avec les
affections
muti- lantes que nous venons d'envisager. Il.
e produisent un syndrome tout il fait analogue a la première de ces
affections
; l'atteinte secondaire des faisceaux pyramidaux
hétosiques il leur extrémité. Dans l'athétose double (fig. 19),
affection
très ordinairement congeni- tale, on observe so
xtrémité supérieure. 10 a Sl.)11;10t.OGli : DU PIED. 13) Dans les
affections
OS'fi : 0- : 11t'l'ICUL : IIItI : S irrégulières,
arse, déviation angulaire du gros orteil en dehors. C) Dans LES
affections
DYSTRO- PHIQUES DES PARTIES MOLLES. . Le pied
t en général de faire assez facilement ce diagnostic. D) Dans LES
affections
mutilantes. 17 Les mutilations produites par la
t pédicule, finit par tomberai ! bout de plusieurs années. Jamais l'
affection
ne s'étend ni au au reste du pied, ni aux doigt
ité, il existe entre ces formes des intermédiaires nombreux, et ces
affections
méritent d'autant plus d'être réunies sous le n
. Le pied-bot acquis paralytique s'observe dans un grand nombre d'
affections
: a) cérébrales, b) médullaires, c) névritiques,
lit : c'est un pied-bot total ou un pied paralytique. b) Parmi les
affections
médullaires, certains pieds-bots ont un aspect
reidreich, exceptionnellement dans certaines myopathies ou dans des
affections
variées de la voie pyramidale (Cestan). On obse
interstitielle /¡ype1'll'o- phique de Gombault, Dejerine et Sottas,
affection
qui s'accompagne toujours de lésion médullaire
-plat valgus dou- loureux ou tarsalgie des adolescents. : c'est une
affection
, presque spé- PItATIQUG NEUIIOl. 67 , , [A. L
fil). Dans le coin de droite, la même à 20 ans, avant le début de l'
affection
(d'après Launois). GIGANTISME. 1 UXJ L'examen
itale ou acquise (ané- vrisme), soit le plus habituellement quelque
affection
pulmonaire chro- nique. Il peut être utile de c
xuels secondaires, ils dépendent de t'age du malade au début de son
affection
. Il n'en existe aucun si le myxoedème a été préco
strophiques étudiés, celui-ci est à coup sur le plus disparate. Des
affections
tout à l'ait différentes provoquent le nanisme
La glossite exfoiialrice marginée a été considérée aussi comme une
affection
qui se plait sur le terrain syphilitique et qui p
e plait sur le terrain syphilitique et qui porte à rechercher cette
affection
. L'examen du malade suspect de syphilis devra p
é considéré, pariiabinski et Charpentier comme un stigmate de cette
affection
. L'association du signe de Robertson à l'inégal
par conséquent toute influence étiologique à cette maladie dans une
affection
du système nerveux. Il est nécessaire d'avoir tou
alie et constitue même un élément important de l'étiologie de cette
affection
. Conséquemment l'hydrocéphalie peut être consid
IS DU NÉVRAXE. 1117 7 stitué, mais il semble qu'il puisse enrayer l'
affection
et éviter le dévelop- pement de lésions nouvell
sont poursuivies sur le traitement de la syphilis du névraxe et des
affections
parasyphilltiqucs par le dioxydiami- doarsénohe
nulle d'après Arthus et. Schmid, peut être augmentée dans certaines
affections
des centres nerveux suivant Sicard, Quincke, et
de Duflos ; ils ont été confirmés par Nissl, en Allemagne, la seule
affection
qui fasse exception à la règle, est, semble-t-il
ation jaune verdâtre a encore une très grande valeur; en dehors des
affections
nerveuses, cette teinte n'a a été observé que d
in, qui ont fixe la cytologie du liquide céphalo-rachidien dans les
affections
broncho-pulmonaires. Leurs recher- ches ont sur
s broncho-pulmonaires. Leurs recher- ches ont surtout porte sur ces
affections
compliquées de symptômes ménin- gés. Dans la mo
xistence d'une lymphocytose dans le tabes et la paralysie générale,
affections
dont la nature syphilitique est incontestable,
cours de la syphilis des centres nerveux. Cyto-diagnostic dans les
affections
oculaires. Nous avons vu plus haut à propos de
L'effet de cette évacuation est très heureux dans un grand nombre d'
affections
que nous allons rapidement passer en revue. Pon
r Carrière Hbodes. Celte étude est faite à propos de chacune de ces
affections
. Ponction lombaire dans les tumeurs cérébrales.
ux (i')05-)')04), admet aussi que la ponction lombaire agit sur les
affections
labyrinfhiques con- sécutives il une exagératio
er des cas analogues. Ponction lombaire thérapeutique dans diverses
affections
ner- veuses. La ponction lombaire a été pratiqu
iennes ont été abandonnées dans le traitement d'un certain nombre d'
affections
douloureuses du système nerveux, il reste néanm
e ne nous permet pas encore de tracer une semiotiquc définitive des
affections
épendymaires, elle nous montre du moins qu'à cô
une maladie du système nerveux central ou périphérique, soit à des
affections
dyslrophiautes diverses généralement classées p
urs, il tort, ou à raison, parmi les maladies du sys- tème nerveux,
affections
dont l'origine est en réalité peu connue, sou-
mations des névrites et des myopathies. , Parmi les secondes dé ces
affections
, il faut placer, d'une part les déformations pl
6 RADIOLOGIE. B. L'ASPECT RADIOGRAPHIQUE a ' DANS LES DIFFÉRENTES
AFFECTIONS
NERVEUSES t Nous passerons rapidement en revue
pidement en revue les applications radiographiques dans l'étude des
affections
suivantes : 1° Traumatismes de la moelle et du
iques osseuses et articulaires des extrémités, con- sécutives à des
affections
du système nerveux central ou périphérique; 4°
ves à des affections du système nerveux central ou périphérique; 4°
Affections
osseuses dystrophiantes, soit systématisées, soit
clérose en plaques, etc. ; la radiographie n'a rien à voir avec ces
affections
. Il pourra s'agir de la détermination locale au
enne, dans l'achondroplasie : nous les décrirons plus loin avec les
affections
osseuses dystrophiantes systé- matisées. Nous
ADIODIAGNOSTIC. Il 73 loses, avec ou sans déformations, dans deux
affections
longtemps con- fondues, le rhumatisme vertébral
établir la différenciation anatomique et pathoge- nique de ces deux
affections
(') : nous avons constaté que le rhumatisme ver
OGIE. 3" DÉFORMATIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES CONSÉCUTIVES A DES
AFFECTIONS
DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL OU PÉRIPHÉRIQUE Le
t faire penser que le'tissu osseux prend une certaine part dans ces
affections
il la dégénérescence diffuse qui atteint essentie
semblant se continuer sans l'intermédiaire d'articu- lations. 4°
AFFECTIONS
OSSEUSES DYSTROPHIANTES Les affections osseuses
re d'articu- lations. 4° AFFECTIONS OSSEUSES DYSTROPHIANTES Les
affections
osseuses dystrophiantes ne sont pas toutes dues à
hypertrophiante pneumi- que, etc.). Quelle que soit la cause de ces
affections
dystrophiantes, c'est, à tort ou à raison, parm
ns en signalant ici leurs aspects radiographiques. Certaines de ces
affections
sont nettement systématisées, c'est-à-dire frap
tels sont le rachitisme, l'ostéomalacie, jusqu'à un certain point l'
affection
niai connue dite exostoses osléogéniques. etc.
mêmes. Une exception doit seulement ètreilfaite pour l'acromégalie.
affection
dans laquelle l'aspect radiogra- phique tout sp
ons R(111tgetl montrent dans les cas dou- teux ou au début de cette
affection
des lésions bien spéciales et qui ne peuvent êt
erver tout d'abord d'une manière constante, dans la première de ces
affections
, un aspect spécial déjà signalé par les auteurs
ographie et qui a peut-être une, importance dans la pathogénie de l'
affection
. L'ostéomalacie, débutant par une cyphose ou un
- ment encourageants. Enfin le goitre exophtalmique et, parmi les
affections
du système ner- veux périphérique, les névralgi
en l'absence de toute autre médication l'évolution progressive de l'
affection
est arrêtée, la sen- sibilité reparait ou redev
le tabès. Les paraplégies spasmodiques ont été parmi les premières
affections
médullaires traitées, sur l'initiative de Habinsl
ore quelque* renseignements intéressants. RADIOTHÉRAPIE. 1187 l'
affection
d'origine traumatique (enfant de 1 ans. victime d
même tenter d'appliquer la radiothérapie au traitement de certaines
affections
de l'encéphale et notamment aux; affections de l'
traitement de certaines affections de l'encéphale et notamment aux;
affections
de l'hy- pophyse. Nous avons éliminé au début d
à l'état normal. Il n'obtint toutefois qu'un résultat passager et l'
affection
reprit son évolution malgré un nouvel essai de
chmidl : et Rolland, notamment, dans une. vingtaine de cas de cette
affection
, ont enregistré de très heu- reux résultats : l
actif de remarquables succès obtenus peut-être précisément dans les
affections
les plus rebelles jusqu'ici à toute autre théra
mains autorisées, et souvent du caractère difficilement curable des
affections
auxquelles justement on l'oppose. APPLICATIONS
FARADIQUE ET GALVANIQUE DANS LES ÉTATS PATHOLOGIQUES . Dans les
affections
du système nerveux et dans les affections de l'ap
ATHOLOGIQUES . Dans les affections du système nerveux et dans les
affections
de l'appa- reil moteur, l'excitabilité faradiqu
plus ou moins accentués. Il en est de même dans un certain nombre d'
affections
du système nerveux central, particulièrement da
ctrique, faradique et galva- Li - nique, peut s'observer dans des
affections
du système nerveux central, encéphale et moelle
re plus marquée avec un genre de courants qu'avec l'autre. Dans les
affections
du système nerveux central qui atteignent plus pa
apidement leurs fonctions. A des périodes éloignées du début de ces
affections
on peut aussi ne plus trouver que de la Cllllllll
on simple de l'excitabilité électrique se rencontre encore dans les
affections
primitives des muscles. On l'observe dans les div
cence dans les PROCESSUS AIGrs. t Lorsqu'elle se développe dans des
affections
qui suivent un processus aigu, la Ull affecte s
DU n'est bien caractérisée qu'un certain temps après le début de l'
affection
ou après l'établissement de la lésion qui la prod
. 1247 La DR ne reste donc pas immuable pendant toute la durée de l'
affection
qui lui a donné naissance; elle suit une certai
tes (plus particulièrement dans la para- lysie faciale) et dans des
affections
aiguës portant sur les cornes antérieures de la
On observe plus particulièrement cette évolution de la DR dans les
affections
nerveuses à marche progressive, comme la scléro
dernière se montre plus ou moins rapidement suivant la nature de l'
affection
et suivant la marche des lésions; dans certains
ependant, lorsqu'on a à examiner les réactions électriques dans les
affections
à processus chronique devant entraîner de la DR
est en droit de conclure que l'on se trouve en présence soit d'une
affection
à évolution progressive, comme on l'observe dan
ffection à évolution progressive, comme on l'observe dans certaines
affections
de la moelle, soit d'une affection procédant pa
mme on l'observe dans certaines affections de la moelle, soit d'une
affection
procédant par étapes successives, ainsi qu'on le
eu- rones moteurs périphériques, il est facile de voir dans quelles
affections
du système nerveux elle doit se rencontrer et d
es souvent à des auto- intoxications. Leur diagnostic avec d'autres
affections
du système ner- veux comme la poliomyélite anté
ut faire défaut dans les formes légères de ces paralysies. Dans les
affections
primitives des muscles, il est de règle que la DR
associations morbides, telles que hématomyélies, névrites ou autres
affections
comportant la DR dans leur symptomatologie habitu
lète indique une rétrocession des altérations nerveuses. Dans les
affections
nerveuses d'ordre plus spécialement médical on
médical on doit faire valoir des considérations analogues. Dans les
affections
il marche progressive, comme la sclérose 1;U ?
arrêtant plus ou moins longtemps dans leur évolution. S'il s'agit d'
affections
dont la cause n'est que transitoire, l'absence ou
des troubles de l'excitabilité électrique observés dans un genre d'
affections
qu'il a appelées myasthénie pseudo-paralytique.
thénie pseudo-paralytique. Ces troubles ont été rencontrés dans les
affections
particulièrement étudiées par Erb et Goldflam aux
épuisement a été rencontrée, plus ou moins prononcée, dans d'autres
affections
, telles que des paralysies cérébrales (1 ? ened
is intérêt à explorer ainsi l'état de la sensibilité dans certaines
affections
cérébrales et spinales, dans des compressions ou
dant d'une otite interne, ou d'une névrite du nerf acoustique, ou d'
affections
augmentant la pression intra-cranienne comme le
f. Le vertige voltaïque se produit de cette dernière façon dans les
affections
de l'oreille qui atteignent le labyrinthe; dans
e et l'autre direction du courant, du côté de l'oreille malade si l'
affection
est unilatérale, du côté de l'oreille la plus m
affection est unilatérale, du côté de l'oreille la plus malade si l'
affection
est bilatérale. Toutefois dans les cas où tous
gique presque égale à celle des autres symptômes cardinaux de cette
affection
. On a contesté cette opinion de Vigoureux en mo
OTEURS CENTRAUX DANS L'ENCÉPHALE ET DANS LA MOELLE Comme type des
affections
atteignant plus spécialement dans l'encé- phale
l'encéphale peuvent s'appliquer en grande partie au traitement des
affections
de la moelle dont il est actuellement question.
n voudra particulièrement soumettre à l'action du courant. Dans les
affections
médullaires il y a souvent lieu d'électriser de
appliquée aussi, dans les conditions déjà dites, au traitement des
affections
par lésions des neurones centraux intra-médutta
parfois encourageants, la radiothérapie à un certain nombre de ces
affections
, notamment dans des scléroses en plaques et dan
en général beaucoup plus d'un traitement par l'électricité que les
affections
portant sur les neurones moteurs centraux. Pour
ant à ce point de vue nous réunirons dans un premier groupement les
affections
, qui en suivant un processus aigu, atteignent s
ées et des para- lysies limitées à un ou plusieurs nerfs ; puis des
affections
à processus chronique (atrophies musculaires my
ons portées directement sur la langue sont égale- ment possibles.
Affections
à processus chronique portant sur les neurones mo
Les résultats obtenus ont été en général peu satisfaisants dans ces
affections
qui suivent pour la plupart une évo- lution pro
ppement de leurs fibres restées saines. Comme type principal de ces
affections
nous pouvons considérer \' atrophie musculaire
itement électrique pourra se montrer plus utile; la marche de cette
affection
est beaucoup plus lente et subit parfois des te
r qu'avec réserves d'aussi bons résultats et de se rappeler que des
affections
de nature différente peuvent donner lieu à des pa
olynévrites et certains cas de mal de Pott. Les myopathies sont des
affections
qui par leur nature. suivent une marche plus ou
externes des courants sans recourir à leur application NÉVROSES ET
AFFECTIONS
DIVERSES. 9.'n ? : , interne intra-urétrale ou
ontre l'incontinence. Syringomyélie. Nous avons déjà parlé de cette
affection
à propos du traitement des troubles qu'elle ent
ouvent employée, comme nous l'avons dit dans le traitement de cette
affection
. La radiothérapie, au contraire, parait s'être
est le mode de traitement le plus recommandable. IV. - NÉVROSES ET
AFFECTIONS
DIVERSES, GOITRE EXOPHTALMIQUE, ' , PARALYSIE A
fluence de l'hystérie peuvent simuler plus ou moins nombre d'autres
affections
; on sait aussi combien les accidents hystériques
fficacité réelle et intrinsèque d'un traitement électrique dans une
affection
déterminée. [E HUET.] 17d6 6 f ? LECTlto']'l
es cas de goitre basedowiue. L'exophtaimie est un des , NÉVROSES ET
AFFECTIONS
DIVERSES. 1559 symptômes les plus tenaces quand
traitement électrique même. ' Chorée. La Chorée de Sydenham est une
affection
qui guérit géné- ralement par les moyens pureme
l'électricité il y a d'ailleurs lieu d'ajouter le pins NÉVROSES ET
AFFECTIONS
DIVERSES. 15 il souvent une sorte de rééducatio
ilepsie, que je considère non pas comme une névrose mais connue une
affection
créée soit par une lésion cérébrale soit par une
ation. Exploration, ? 25. - TIIOUBLES, 96. Paralysie, ses causes.
Affections
du globe, 96. Action de substances médicamenteu
Action de substances médicamenteuses, infections, intoxications,
affections
du système ner- veux, 97. - CoKTnACTUr.H, 98.
ésie réti- nienne, stigmates oculaires, 55. ré- flexes ; dans les
affections
du système utérin, dans les affections de la fa
55. ré- flexes ; dans les affections du système utérin, dans les
affections
de la face, par vers intestinaux, 56. par doubl
es et fasciculaires, avec hémiplégie croisée, 804. Diagnostic des
affections
bulbaires, 806. Réac- tion de dégénérescence, 1
t des aliénés, 2C4. Cerveau (Lésions du -) vertiges. 1 Li ! ). (
Affections
du -). Troubles de la sensibilité, 505. Ataxie
118. - Dysesthésies. Modalité. Siège. Séméiologie, 574. Dans les
affections
des extré- mités,. 575. Dans les affections des
ologie, 574. Dans les affections des extré- mités,. 575. Dans les
affections
des nerfs, 370. de la moelle.-du cerveau, 577
lynévrites, '1501. Névrites, z1505. Atrophies musculaires, z1310.
Affections
des neurones sensilifs, Névral- gies, 1514. -'1
a lèvre supérieure, innervation, physio- logie, 586. , Encéphale (
Affections
del'-). Troubles de la sensibilité, 505. radiot
ées hypocondriaques, 243. Hypoesthésie du larynx, 640. Hypophyse,
affections
, radiothérapie, 1188. Hyposécrétion lacrymale
7. - (Lésions du ), ), syndrome de Ménière, 1 GG. Ataxie, 765. - (
Affections
du -). ). Ponction lombaire, thérapeutique, 114
embres. 10 i v. - de la taille, 1075. Mentales (Thérapeutique des
affections
- ). 1'o ? Aliénés. Méralgie pareslhésique, 5
14. - descriptive, 214. - Troubles chez les aliénés, 252. Moelle (
Affections
de la ). Troubles de la sensibilité, 31 ;1. - (
: Innervation, phy- siologie, 540, 541.. w Mutisme voulu dans les
affections
men- tales, 197. - vésanique, 230; Myasthénie
thénique. S'ciy. Réaction myasthé- nique... Mydriase, ses causes.
Affections
du globe, action de substances médicamenteuses,
oclonies épilep- tiques. familiales, 869. - Myoclo- nies dans les
affections
diverses, 869. - llol : ymies, 870. - Traitemen
on lente, 674. - Symptômes non muscu- laires, 675.-Concomitance d'
affections
INDEX ALPHABÉTIQUE. familiales ou héréditaire
iétés étiologiques. - congénital, acquis. - des mineurs, dans les
affections
de l'oreille, ho. - dans les maladies ner- ve
ications oculaires INDEX ALPHABÉTIQUE. - t595 et orbitaires des
affections
nasales, 151. - Cytodiagnostic dans les affecti
t orbitaires des affections nasales, 151. - Cytodiagnostic dans les
affections
oculaires, 1l ! 0. OEsophage, 985. - Spasmes,
technique. ,11 ü5. - Aspect radioora- i'iiique dans les différentes
affections
nerveuses. - Traumatismes de la moelle et du
ues du crâne et du rachis, i 171.- Déformations osseuses dans les
affections
nerveuses, ] )7t.Afïcctions osseuses dystrophia
plaques, compressions médullaires, un. - Spondylose rhizomélique,
affections
de l'encéphale, affections de l'hypophyse, 1
laires, un. - Spondylose rhizomélique, affections de l'encéphale,
affections
de l'hypophyse, 1 188. - Tumeur du cervelet, go
troubles objec- tifs de la sensibilité, 504. - Troubles dans les
affections
du système nerveux, 0 . - Affections de l'encép
té, 504. - Troubles dans les affections du système nerveux, 0 . -
Affections
de l'encéphale, 305. - de la moelle, 515. - des
. - dans les névroses, 552. - dans les psychoses, 558. - dans les
affections
viscérales, 560. - osseuse ou vibratoire, 294.
rébrale, 597. - insulaire des troubles de la sensibilité dans les
affections
des nerfs, 351. - dans l'hystérie, 355. - méd
a sensibilité, 548. - radiculaire des troubles sensitifs dans les
affections
médullaires, 319. - ra- diculaire de l'innervat
l Topographie segmentaire des troubles de la sensibilité dans les
affections
des nerfs, 550. -- dans l'hystérie, 555. Tort
5 in. - Viscères. Troubles des sensibilités viscé- rales, 558. - (
Affections
des -), liy- peresthésies cutanées, 560. Visi
ladies nerveuses ou mentales, ainsi que les travaux ayant trait aux
affections
cutanées ou syphilitiques dans leurs rapports a
ut ce qui parait en Neurologie ; la seconde, choisis- sant dans les
affections
neuropathologiques les cas les plus intéressants
ie ; la sémiologie; les tumeurs et les compressions cérébrales; les
affections
non pyramidales ; les affections du cervelet, d
t les compressions cérébrales; les affections non pyramidales ; les
affections
du cervelet, du bulbe et du labyrinthe ; les pa
ons du cervelet, du bulbe et du labyrinthe ; les paraplégies et les
affections
de la moelle ; les affections des nerfs ; les a
u labyrinthe ; les paraplégies et les affections de la moelle ; les
affections
des nerfs ; les affections des muscles ; l'hyst
ies et les affections de la moelle ; les affections des nerfs ; les
affections
des muscles ; l'hystérie et le pithiatisme ; les
prentissage, un travail assidu, au même titre que la sémiotique des
affections
du poumon ou que celle des affections cardiaques.
e titre que la sémiotique des affections du poumon ou que celle des
affections
cardiaques. Les symptômes peuvent être divisés
riques, des nausées et des vomissements. De quoi s'agit- il ? d'une
affection
organique ou d'un état purement névropathique, de
roubles ophtalmoscopiques sont des manifestations fort communes des
affections
les plus courantes du système nerveux, de la sy
s nerveuses ; il est dans bien des cas la seule manifestation d'une
affection
méningée capable de conduire au tabès, à la par
plus susceptible d'être créé par la volonté ? ' ? Enfin, il est une
affection
nerveuse, l'intoxication diphtérique du système
ne joue qu'un rôle d'importance secondaire et qu'on a affaire à une
affection
organique. JO LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE La rec
nt, parce qu'ils subissent des perturbations dans un grand nombre d'
affections
nerveuses et donnent des indications fondamenta
ion épileptoïde du pied, permettra de reconnaitre l'existence d'une
affection
organique, car ces symptômes ne peuvent être pr
i la 12 LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE surdité est réellement due à une
affection
organique du labyrinthe, ou bien si elle est, s
on rouge violacée, vous pouvez affirmer que vous avez affaire à une
affection
organique. Ce sont encore des troubles circulat
eil cas de certifier sans examen plus approfondi qu'il s'agit d'une
affection
nerveuse de nature organique, car il est possib
parlant pas encore, constituent les premiers avertisse- ments d'une
affection
commençante ; mais ces manifestations, parfois tr
emier exemple de signe subjectif, prenons la céphalée. Entre autres
affections
dont elle est très souvent symptomatique, je relè
s'annoncent souvent l'appendicite, l'ul- cère pylorique, certaines
affections
cardiaques, la claudication inter- mittente, et
s, mais surtout prononcée le soir, la nuit, doit faire songer à une
affection
de nature syphilitique. Je pourrais multiplier
le dans ses fonctions et ne conservant plus comme séquelle de cette
affection
qu'une abolition du réflexe achilléen, pourrait
e premier jour où il essaie de se lever, encore très affaibli par l'
affection
grave qu'il a subie, il s'affaisse. Son père le
s après le début des troubles. Ne constatant aucun signe objectif d'
affection
organique du système nerveux, je porte le diagnos
au niveau de l'articulation du genou et de celle de la hanche. L'
affection
, dont je ne puis rapporter ici l'histoire en déta
hystérique, pourra tout aussi bien se suggérer qu'il souffre d'une
affection
du coeur, de l'estomac ou de tout autre organe.
ils les interprètent d'une manière inexacte en les attribuant à une
affection
organique grave dont ils ont vu souffrir ou mou
OGIE ORGANIQUE 1 SUR LE RÉFLEXE CUTANÉ PLANTAIRE DANS CERTAINES
AFFECTIONS
ORGANIQUES DU SYSTÈME NERVEUX CEN- TRAL, i.r.
in nombre de cas d'hémiplégie ou de t monoplégie crurale liée à une
affection
organique du système ner- veux central une pert
eut subir dans les paralysies crurales reconnaissant pour cause une
affection
organique du système neigeux central non seulemen
mon attention, je vais passer en revue d'une manière méthodique les
affections
dans lesquelles on peut observer le phénomène d
de Friedreich. Je dois vous indiquer maintenant quelques-unes des
affections
du système nerveux dans lesquelles le signe des
ster, ainsi que vous l'avez vu, dans des cas de tabes associé à une
affection
du système nerveux, telle qu'une hémiplégie org
inversion dans la forme du réflexe cutané plantaire est liée à des
affections
diverses de l'encéphale ou de la moelle. Or, ce
e à des affections diverses de l'encéphale ou de la moelle. Or, ces
affections
, à tant d'égards si différentes les unes des au
pertise médico-légale, l'absence de tout signe objectif classique d'
affection
organique du système nerveux avait conduit les
la volonté est incapable de modifier, en raison de la fréquence des
affections
qui les troublent et de la valeur des renseigne
des réllexes achilléens et des réflexes rotuliens sans autre signe d'
affection
du sys- tème nerveux (Nouvelle Iconographie de
, de plus, ne donne pas nécessairement la mesure de la gravité de l'
affection
à laquelle il est lié. AFFECTIONS QUI PRODUIS
ent la mesure de la gravité de l'affection à laquelle il est lié.
AFFECTIONS
QUI PRODUISENT DE L'IRRÉFLECTIVITÉ OU DE LA SUBRE
ourrions adopter un ordre méthodique et examiner successivement ces
affections
en commençant par celles qui atteignent la part
éflectivité en deux groupes. Au premier appartiennent trois grandes
affections
pour le diagnostic desquelles l'absence des réf
oindre fréquence. Dans le deuxième groupe nous rangerons toutes les
affections
dans la symptoma- tologie desquelles l'irréflec
progressivement. Elle peut constituer la seule manifes- tation de l'
affection
; pourtant cela paraît beaucoup plus rare que dan
yélites, ce qui d'ailleurs eût pu être prévu, étant donné que cette
affection
présente des variétés nom- breuses que je n'ai
é qui, elle-même, n'apparaît pas nécessaire- ment dès le début de l'
affection
dont l'amyotrophie peut être le premier signe o
e de Friedreich, variété de sclérose combi- née. Quoique dans cette
affection
, aux lésions des arcs tendino-réflexes s'associ
tances diverses ; ils pourront être abolis ou exagérés, selon que l'
affection
sera de date récente ou ancienne ; c'est là un
a myopa- thie, est due à une altération particulière au muscle. L'
affection
décrite par Erb en 1878, communément appelée aujo
par l'étude des réflexes tendineux dans la paralysie pério- dique,
affection
très rare en France, observée surtout en Allemagn
nts à l'appui de cette idée. C'est pour ce motif que je range cette
affection
à la suite de la dys- (') J. Babinski. - Pseudo
disparaissent petit à petit comme ils ont apparu. Parmi toutes les
affections
connues, c'est la seule dans laquelle les réfle
il suffit de choisir quelques individus ne présentant aucun signe d'
affection
nerveuse, ayant simplement des réflexes tendineux
unément chez les tuberculeux ne présentant, du reste, aucun signe d'
affection
organique du système nerveux. Si je suis entré
t : ' a) La surréflectivité unilatérale, liée le plus souvent à une
affection
du système pyramidal siégeant dans l'encéphale
tivité bilatérale des membres pelviens, liée presque toujours à une
affection
spinale, mais pouvant être exceptionnellement c
ection spinale, mais pouvant être exceptionnellement causée par une
affection
encéphalique bilatérale, corticale ou sous- cor
lectivité limitée à un membre inférieur. Ce type, parfois lié à une
affection
corticale, dépend bien plus souvent d'une lésion
est au contraire affaibli ou aboli : il s'agit alors sûrement d'une
affection
spinale; nous reviendrons sur ce point. f) Enfi
lle se lie inévitablement à une gène dans les fonctions motrices.
AFFECTIONS
QUI PRODUISENT DE LA SURRETLECTIVITE. Nous allo
DE LA SURRETLECTIVITE. Nous allons passer en revue les principales
affections
du système nerveux central dont la surréflectiv
ge dans ses relations avec ce symptôme. Lésions de l'encéphale. Des
affections
diverses de l'encéphale : hémorragies, ramollis
que nous n'avons pas à discuter ici. Quoi qu'il en soit, diverses
affections
spinales diffuses : syphilis médul- laire, sclé
de celui de tabès dorsal spasmodique. Cependant, en envisageant ces
affections
au point de vue des réflexes tendineux, qui seu
érose multiloculaire comme d'ailleurs les autres symptômes de cette
affection
est sujette à des fluctuations. Elle peut régre
traction du néoplasme, ainsi que les autres troubles par lesquels l'
affection
s'était manifestée. L'exagération des réflexes
écouverte par mon illustre maître Charcot. C'est surtout dans cette
affection
que la recherche du réflexe massélerin, souvent
ar de l'affaiblissement des réflexes achilléens. I)ans les diverses
affections
spinales que nous avons considérées jus- qu'à p
but par de la sur- réflectivité. Il n'en est pas de même dans les
affections
spinales à début brusque. Si, par exemple, un a
excep- tionnel, car, comme je l'ai déjà fait remarquer, dans cette
affection
il est très rare que le réflexe achilléen soit
rien à dire d'intéressant au point de vue qui nous occupe. Diverses
affections
sont capables de faire disparaître les réflexes q
normal. Pour le deuxième groupe il en va autrement. Dans certaines
affections
du système nerveux central, les mouvements réfl
use. Voici, par exemple, un malade atteint de paraplégie liée à une
affection
spinale intéressant les faisceaux pyramidaux, s
ù je me suis occupé des perturbations des réflexes cutanés dans les
affections
du système pyramidal, j'ai fait remarquer que c
t (') Sur la transformation du régime des réflexes cutanés dans les
affections
du système pyramidal, par J. Babinski (Revue ne
riter de fixer l'attention. C'est l'association fréquente, dans les
affections
atteignant le système pyramidal, de trois phénomè
ce genre, le réflexe cutané plantaire reste normal, à moins qu'à l'
affection
périphérique se joigne un trouble du système py
ion suffisante. Mais ne peut-il pas se développer aussi, au cours d'
affections
où les faisceaux pyramidaux sont intéressés, qu
l'instabilité de la raideur musculaire qu'on observe dans diverses
affections
auxquelles on a donné le nom de « spasmes ». Il
que » est un des termes dont on s'est servi aussi pour dénommer une
affection
caractérisée par delà rigidité mus- culaire sta
(Revue neurologique, n° 4, rgiz, p. 229). Dans les cas types de cette
affection
les réflexes tendineux ne sont pas exagérés et
ni- festations hystériques et, bien entendu, exempts de toute autre
affection
, on ne constate aucune différence entre les deu
us parfait, mais aucun d'eux n'a été vu une seconde fois guéri de son
affection
, et en ce qui concerne la plupart d'entre eux,
ystérie, s'il est syphili- tique, ou s'il présente les signes d'une
affection
cardiaque, en particulier d'un rétrécissement m
s ce n'est là qu'une règle qui souffre beaucoup d'exceptions. Les
affections
cardiaques, plus spécialement le rétrécissement m
e et que, d'autre part, ainsi que le simple bon sens l'indique, une
affection
organique de l'appareil circulatoire ne conféra
as l'immunité contre l'hystérie, un individu porteur d'une pareille
affection
est susceptible tout comme un autre d'être frappé
es paralysies hystériques et l'hystérie ne mettant pas à l'abri des
affections
organiques. Il suffit du reste de se rappeler que
x derniers, permet presque d'affirmer que l'hémiplégie dépend d'une
affection
organique, mais ou bien ils sont transitoires,
dies organiques du système nerveux, les névroses et diverses autres
affections
», par J. Babinski, Bull, de la Soc. méd. des hôp
exagération des réflexes du côté paralysé est plus rare clans cette
affection
que dans l'hémiplégie organique, elle peut pour
dont les réflexes tendineux sont exagérés à cause de quelque autre
affection
concomitante. Voici par exemple une malade atte
tes et qu'ils sont recherchés d'une manière sys- tématique dans les
affections
du système nerveux, l'étude des réflexes a été
juste ; je ne crois pas que l'hystérie puisse, au même titre qu'une
affection
organique de l'encéphale, abolir le réflexe cut
j'estime que, si son absence ne permet pas d'écarter l'hypothèse d'
affection
organique du système nerveux central, sa présence
l, sa présence donne le droit d'affirmer l'existence d'une pareille
affection
. Sa valeur sémiologique est surtout grande dans
in, il est tout naturel que, contrairement à ce qui a lieu dans les
affections
organiques de l'encéphale, la paralysie hystériqu
tre si l'hémiplégie dépend de l'hystérie, ou si elle est liée à une
affection
organique du système nerveux central. VII CON
16 SÉMIOLOGIE dans les tumeurs de la moelle et dans quelques autres
affections
de cette partie du névraxe, mais ils n'en indiq
sont, comme les réflexes tendineux, généralement exagérés dans les
affections
de la voie pyrami- dale. J'ai moi-même, dans un
défense exagérés explique qu'on puisse les observer dans toutes les
affections
atteignant la voix pyramidale. Nous les examinero
ée plus ou moins longue ; c'est ce qui a lieu surtout au début de l'
affection
, quand les spasmes apparaissent. Dans ces phase
de se rapporte à des observations faites sur des malades atteints d'
affections
organiques intéressant la voie pyramidale. Mais
ation et qui resterait pour moi un signe mystique et inexplicable d'
affection
du faisceau pyramidal. Je répondrai à cela que, s
eur existence dans les tumeurs de la moelle et dans quelques autres
affections
de cette partie du névraxe, mais ils n'en indiq
l'état normal, peut en déterminer une dans l'hémiplégie organique,
affection
dans laquelle la voie pyramidale est intéressée
nheim sous la dénomi- nation d' « Unterschenkelphaenomen » dans les
affections
pyramidales sont identiques aux précédentes. Vo
é : « Sur la transformation du régime des réflexes cutanés dans les
affections
du système pyramidal. » Bechterew en 1906 (Neur
qui est capital c'est que, chez cette malade, où l'existence d'une
affection
organique de la moelle inté- ressant les faisce
des réflexes tendi- neux a été noté, dans ce cas, dès le début de l'
affection
et n'a pas été pré- cédé de l'exagération de ce
RÉFLEXES DE DÉFENSE 1/13 lésions cérébrales et spinales. Dans les
affections
spinales occupant un seul côté, la réflectivité
modique en flexion, laquelle correspond à un stade plus avancé de l'
affection
. En France, ma manière de voir a été généraleme
t un « allongement » du membre inférieur. On voit donc que dans ces
affections
l'ordonnance des mouvements 160 SÉMIOLOGIE vo
elles ces mouvements deviennent particulièrement apparents dans les
affections
de la voie pyramidale. La contracture permane
uvements conjugués doivent être particulièrement apparents dans les
affections
du système pyramidal, ils peuvent se manifester é
s erreurs, car une anesthésie psychique s'associe quelquefois à une
affection
organique. Aussi serait-il précieux de posséder
sensitifs à la jambe gauche et de lourdeur dans le bras droit. L'
affection
progresse insidieusement, sans rémission, ni aggr
des, les divers signes objectifs qui peuvent se manifester dans les
affections
organiques du système nerveux, je fus frappé pa
atif ; le trouble en question ne me parait donc pas lié à quel- que
affection
oculaire. La pseudo-abolition du réflexe à la lum
du réflexe à la lumière, n'ayant d'ailleurs aucune manifestation d'
affection
oculaire ou de méningite chronique syphilitique
iences faites sur une vingtaine d'in- dividus n'ayant aucun signe d'
affection
oculaire ni de maladie organique du système ner
ion on peut encore invoquer l'état des pupilles dans l'héméralopie,
affection
produite par une altération du pourpre (Parinau
le aucune mani- festation fonctionnelle, aucun caractère objectif d'
affection
organique du système nerveux ; les réflexes ten
n'a aucun autre signe objectif, aucune manifesta- tion subjective d'
affection
organique du système nerveux. Voici un homme âg
ux ans, ne présente que le signe de Robertson comme manifestation d'
affection
organique du système nerveux. Elle ne se rappel
u reste tous les intermédiaires entre les cas où l'une de ces trois
affections
est dans son complet développement et les faits o
its où l'abolition des réflexes pupillaires est le seul signe d'une
affection
organique du système nerveux. Comme l'abolition
porté pen- dant la vie le diagnostic, confirmé par la nécropsie, d'
affection
cérébel- leuse chez la malade qui fait le sujet
le cervelet et le labyrinthe non-acoustique. La symptomatologie des
affections
cérébel- leuses présente de ce fait une parenté
ébel- leuses présente de ce fait une parenté étroite avec celle des
affections
labyrinthiques. Bien souvent, on est amené à se
xposer les phénomènes qui se présentent chez l'homme dans les cas d'
affections
cérébelleuses et labyrinthiques, et pour les me
ordres de faits que nous envisageons. Pour distinguer nettement les
affections
du cervelet de celles du laby- rinthe il faut f
s. Nous devons au contraire recher- cher ceux qui sont spéciaux aux
affections
cérébelleuses. DEUXIÈME PARTIE n Parmi les sy
'ont guère été observés jusqu'à présent, chez l'homme, que dans les
affections
de l'appareil cérébelleux. MOUVEMENTS DEMESURES
. MOUVEMENTS DEMESURES : HYPERMÉTRIE. Chez les malades atteints d'
affections
cérébelleuses on peut constater que les mouveme
ou moins démesuré. D'autre part, il est à remarquer que, lorsque l'
affection
est encore récente, les sujets ont de la peine
uvements volontaires, à la fois rapides et démesurés, dans d'autres
affections
? Et si oui, peut-on les distinguer des mouveme
En ce qui concerne la pathogénie des mouvements démesurés dans les
affections
cérébelleuses, les opinions sont encore partagées
ce titre, dans les traités, tout ce qui concerne les symptômes des
affections
cérébelleuses, le syndrome cérébelleux au compl
céré- belleuse, c'est seulement pour dire qu'elle survient dans les
affections
du cervelet. D'autres, au contraire, estiment q
e tabétique. Parmi les nombreux documents relatifs à l'histoire des
affections
cérébelleuses, il en est peu qu'on puisse utili
contraire, entre les symptômes de l'ataxie locomotrice et ceux des
affections
cérébelleuses des différences trop grandes pour p
e droit de nier à priori que, par suite de circonstances rares, une
affection
cérébelleuse ne puisse reproduire chez l'homme le
is l'indubitable insignifiance des troubles de sensibilité dans les
affections
cérébelleuses peut s'expliquer par une série de r
tion de catalepsie cérébelleuse, et que l'on peut observer dans les
affections
de l'appareil cérébelleux, est caractérisé par
ir immobile sur une jambe que de sauter à cloche-pied. « Dans les
affections
cérébelleuses, l'équilibre volitionnel cinétique
es données classiques sur les troubles de l'équilibration clans les
affections
du cervelet ne sont inattaquables que pour ce qui
ur quand il coexiste .avec une ou plusieurs autres manifestations d'
affection
cérébel- leuse. D'ailleurs il est rare qu'un
'un hémisphère. Dans quelles conditions et pour quelles raisons une
affection
du cer- velet reste-t-elle latente ? Dans une
x sans interrompre leur continuité. Dans une seconde catégorie, l'
affection
n'est pas latente dès le début ; primitivement
- gnostic de sclérose en plaques ». Dans certaines observations d'
affections
du cervelet, et surtout de tumeurs de l'angle p
u nystagmus, trouble le vertige voltaïque comme le font parfois les
affections
auriculaires, mais seulement d'une manière tran
e exagérée que pendant les premiers jours qui suivent le début de l'
affection
. Les faits que je vais rapporter montrent que c
drocéphalie ? Ce qui est incontestable, c'est qu'on a affaire à une
affection
organique intra- crânienne grave, dont la stase
quable que j'ai observé. Il s'agit d'une femme atteinte aussi d'une
affection
organique intra-crânienne, caractérisée par de'
t les choses se passent d'habitude : dans une première période de l'
affection
, le malade qui se plaint de lourdeur, de douleu
miroir. L'omoplate gauche est abaissée ; son angle inférieur se 256
AFFECTIONS
NON PYRAMIDALES détache de la paroi thoracique
auxquelles ils donnent lieu reproduisent le tableau classique de l'
affection
connue sous les dénominations d'hyperkinésie du
es de torticolis spasmodique, on est conduit à cette idée que cette
affection
doit dépendre, sinon toujours, au moins parfois
res identiques à ceux que l'on observe dans les cas ordinaires de l'
affection
connue sous la dénomination d'hyperkinésie du spi
rt de coliques hépatiques. Il n'a jamais été atteint d'aucune autre
affection
. Il déclare, et sa femme confirme ce qu'il dit,
s dans cette altitude. Il a été aussi amené, en quelque sorte 2Go
AFFECTIONS
NON PYRAMIDALES instinctivement, à soutenir sa
iens à le faire remarquer, si je suis très porté à croire que cette
affection
est liée à une perturbation organique des centr
même attitude générale que celle qu'il présente actuellement. 264 4
AFFECTIONS
NON PYRAMIDALES paume; les doigts et le pouce é
onnèrent, pour la plupart, des résultats normaux (N. d. 1. IL). 266
AFFECTIONS
NON PYRAMIDALES Il a des exostoses ostéogénique
in d'être probant : on sait que des troubles de ce genre, dus à une
affection
organique, sont susceptibles de subir des alter
aquelle le torticolis dit mental peut être sous la dépendance d'une
affection
organique du système nerveux central : on tend
t (') Voir Revue neurologique, tf)0 ? page 1208 et suivantes. 268
AFFECTIONS
NON PYRAMIDALES presque entièrement atrophié et
appui de leur manière de voir, la nature prétendue mentale de cette
affection
, idée qui jadis était généralement admise et qu
s troubles sont mêmes susceptibles de s'accentuer ultérieurement, l'
affection
pouvant continuer à évoluer comme elle aurait p
ue, p2r, l. 367. (v) Revue neurologique, 1910, t. XX, p. 129. 272
AFFECTIONS
NON PYRAMIDALES gralement pendant plus de 10 an
ur décisive, vient à l'appui de cette opinion que la chorée est une
affection
organique intéressant le système pyramidal. V
cées et que les troubles atteignent leur intensité maxima. 27fi '
AFFECTIONS
NON PYRAMIDALES S On observe chez elle des phas
12 février 191 4. Voir aussi Revue neurologique, n" 5, p. 4o5, 2j8
AFFECTIONS
NON PYRAMIDALES certains égards, peut être rapp
t. Bernard. Société Médicale des Hôpitaux, 27 juillet 1922. 280 -
AFFECTIONS
NON PYRAMIDALES En pareil cas, on observe à la
s mouvements anormaux caractérisant la maladie des tics convulsifs,
affection
absolument indépendante de l'hystérie, faisait re
temps, les arrêter par un effort de volonté. » CINQUIÈME PARTIE
AFFECTIONS
DU CERVELET, DU BULBE ET DU LABYRINTHE AFFECT
QUIÈME PARTIE AFFECTIONS DU CERVELET, DU BULBE ET DU LABYRINTHE
AFFECTIONS
DU CERVELET I OBSERVATION PRINCEPS [J. BABI
aussi à partir de ce moment et devint difficile à comprendre. 286
AFFECTIONS
DU CERVELET La paralysie motrice du membre supé
apidement à se convaincre que cette perturbation n'est pas liée à une
affection
mentale; le malade, en effet, à la jouissance c
bes des mots ne sont pas fondues les unes avec les autres, de 288
AFFECTIONS
DU CERVELET plus, certaines syllabes sont prono
e à la Société de neurologie de Paris. Séance du n mai 1902. 203 9,
AFFECTIONS
DU CERVELET tement, mais qui, dans le cas contr
is, comme les phénomènes en question ne sont pas constants dans les
affections
atteignant l'appareil cérébelleux, que leur pré
ons capillaires ; en d'autres points, elle est le siège d'une 2\)/1
AFFECTIONS
DU CERVELET hyperplasie névroglique rappelant l
ntraîné à gauche et il tomberait de ce côté s'il était ahan- 3gô ".
AFFECTIONS
DU CERVELET donné à lui-même. Dans la marche le
de faisceau compact et occupent toute la région désignée par 298 ~
AFFECTIONS
DU CERVELET. . IIEdIlASYNERC1E, LATÉROPU LSION
18, 19, 20. Coupes du Bulbe. Fig. 21. Coupe de la Protubérance. 3oo
AFFECTIONS
DU CERVELET tudinaux dégénérés qui cheminent en
miasynergie, de la latéropulsion et du myosis du côté de la lésion.
AFFECTIONS
DU BULBE IV ? THERMO-ASYMÉTRIE D'ORIGINE BULB
malade, à l'aide du pléthysmographe dont il est l'inventeur. 3nli
AFFECTIONS
oS DU BULBE E Voici la note qu'il m'a remise re
té, des phéno- mènes de ce genre ne sont pas exceptionnels dans les
affections
du sys- tème nerveux central et il n'est pas ra
erturbation peut être brièvement dénommée une tltenno-asymp trie.
AFFECTIONS
DU LABYRINTHE V AFFECTIONS DE L'APPAREIL VEST
t dénommée une tltenno-asymp trie. AFFECTIONS DU LABYRINTHE V
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE ¡J. Babinski.] Pub
i depuis établi que les perturbations du vertige voltaïque dans les
affections
labyrinthi- ques se présentent sous divers aspe
, susceptibles de se prolonger pendant des heures. Par contre les
affections
destructives du labyrinthe ont pour consé- quen
fort bien la dénomination de « nys- tagmus céphalique ». Dans les
affections
vestibulaires qui siègent exclusivement ou prédo-
nes dont j'ai fait l'exposé expriment tous un trouble de l'appareil
AFFECTIONS
DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE 3og vestibulaire et
ants élé- ments d'appréciation lorsqu'il s'agit de différencier une
affection
auricu- laire vraie d'un trouble imaginaire aya
la simulation. Ils peuvent contribuer à établir le diagnostic d'une
affection
organique du système nerveux central et compten
ces des tumeurs ponto-cérébelleuses. SIXIÈME PARTIE PARAPLÉGIES
AFFECTIONS
DE LA MOELLE 1. SCLÉROSE EN PLAQUES. PARAPLÉGIE
ntégrité n'est pas complète, il se développe, comme dans les autres
affections
destruc- tives du système nerveux central, des
u rectum, eschares), Il y a peut-être lieu de désigner une pareille
affection
sous le nom de sclérose en plaques à forme destru
aire à une forme aiguë de la sclérose en plaques. 10° Il existe une
affection
dont la symptomatologie est exactement celle de
lleuses. P. Ch. extrémité du plexus choroïde. 318 PARAPLÉGIES
AFFECTIONS
DE LA MOELLE au sacrum, aux cuisses, aux jambes
Babinski. Semaine médicale, 27 juillet 1898. 320 PARAPLÉGIES
AFFECTIONS
DE LA MOELLE grêles, plus flasques et moins rou
a GB paire lombaire. Plaque de sclérose légère. 322 p9RAPLÉGIES -
AFFECTIONS
DE LA MOELLE La situation n'a pas notablement c
s réflexes tendineux ('). L'examen anatomique ayant fait voir que l'
affection
consistait en un néoplasme intra-crânien et que
n irritative, dont il reste à déterminer la nature. S'agit-il d'une
affection
inflammatoire ou néoplasique siégeant dans l'inté
pitaux de Paris, séance du 24 mars 189g. . 328 . PARl'lPLÉÇ1ES -.
AFFECTIONS
DE LA MOELLE première crise, une cure hydrargyr
même des circonvolutions était peu vraisemblable, car une pareille
affection
est généralement destructive, et j'avais été ains
éralité des cas, du moins à une période avancée de l'évolution de l'
affection
. Dans quelles circonstances se développe la for
t pas très prononcée. Le plus souvent elle apparaît dans le cours d'
affections
à évolution lente. Ordinairement, elle est précéd
ronisme parfait des contractions des muscles lisses de 34o .UMPLHCS
AFFECTIONS
DE LA MOELLE la peau (innervation sympathique)
le tabes, sur son importance au point de vue du diagnostic de cette
affection
et permettre d'établir, à cet égard, un parallè
faits de cet ordre et j'ai actuellement deux exem- plaires de cette
affection
, recueillis dans ces derniers quinze jours; je le
; elles présentent, en effet, des signes caractéristiques de cette
affection
. La première est sujette à des douleurs lancina
nfusion, de rappeler que cette dénomination a déjà été donnée à une
affection
distincte du tabes, la maladie de Friedreich. C
, ni à celui des médecins qui l'avaient soigné, qu'il pût avoir une
affection
du système nerveux ; si, après avoir (') J. Bab
vation I, le père ne se doutait pas que sa fille fut atteinte d'une
affection
grave du système nerveux, et ce n'est que sur m
ique prolongé, inten- sif, institué à temps, peut exercer sur cette
affection
une influence aussi grande que sur le tabes ord
xamen, dépendre du tabes, qui doit être pourtant distingué de cette
affection
, ainsi que je vais cher- cher à le démontrer, e
ennent au tabes. En effet, contrairement à ce qui a lieu dans cette
affection
, on note ici, du côté droit, une acuité visuelle
vue du diagnostic et surtout au point de vue du pronostic de cette
affection
. Disons de suite que notre étude porte exclu- s
a façon suivante que les auteurs sont BAli ? 33 354 PARAPLÉGIES -
affections
de La moelle loin d'être d'accord sur la forme
e façon aussi différente de la forme habituellement fatale de cette
affection
. 3" Du scotome central dans l'atrophie tabétiqu
portance au point de vue du diagnostic et surtout du pronostic de l'
affection
. Et cette distinction augmente encore de valeur
e, une forme de rétrécissement du champ visuel particulière à cette
affection
; 2° Dans la grande majorité des cas, le champ
entales, leur netteté et leur régularité les distinguant des autres
affections
de la moelle. Il est donc important d'enregistr
a régressé. Nous avons donc pu connaitre toute l'évolution de cette
affection
. Il nous a paru intéressant de rapprocher notre
le 20 mars, l'impotence était presque absolue. 362 PARAPLEGIES
AFFECTIONS
DE LA MOELLE Il entre à cette époque à l'hôpita
e cas des deux précédents, et considérant qu'il existe des signes d'
affection
médullaire, nous pensons que l'hypothèse d'une
exes tendineux est Fig. 33. - Obs. Il. Froid. 366 PARAPLÉGIES
AFFECTIONS
DE LA MOELLE encore un signe important qui infi
10. (2) Société de Neurologie, 10 mars 1910. 368 PARAPLÉGIES
AFFECTIONS
DE LA MOELLE inférieur gauche est plus faible q
aire. Troubles de la sensibilité lhcr- nuque. 37o PARAPLEGIES
AFFECTIONS
DE LA MOELLE bras (les fléchisseurs surtout), c
des Hôpitaux de Paris, 14 octobre 1910). 372 2 P : 1R.tPLlGIR8 -
AFFECTIONS
DE LA MOELLE Il en est autrement des réflexes c
x côtés une extension réflexe du gros orteil. 376 PARAPLÉGIES
AFFECTIONS
DE LA MOELLE des fausses côtes, un point doulou
itua, ainsi que cela a déjà été dit, la première manifestation de l'
affection
; de plus, par moments, surviennent les douleur
s à une année d'intervalle nous avait montré qu'il s'agissait d'une
affection
à marche progressive, à évolution relativement
début, quadriplé- gie progressive par la suite, Le début de cette
affection
par des troubles radiculaires précédant les sym
on à cette étude. Observation I. Mme B..., 62 ans. Elle dit que l'
affection
dont elle est atteinte a débuté dans l'hiver 19
araplégie spasmodique en flexion avec signe des 3g8 PARAPLÉGIES
AFFECTIONS
DE LA MOELLE orteils, exagération des réflexes
e nous avons constatés dès notre premier examen et l'évolution de l'
affection
conduisirent au diagnostic extrême- ment probab
ccompagné pendant 4 jours de forte fièvre ; c'est à la suite de cette
affection
qu'elle a commencé à ressentir des douleurs à l
. C'est en igoi qu'appa- raissent les premières manifestations de l'
affection
dont elle est atteinte. Elle s'aper- çoit à cet
ulaires, et les sphincters fonctionnèrent toujours normalement. L'
affection
évolue lentement, progressivement. En décembre,
là un fait sur lequel nous aurons à revenir. Les mois passent, l'
affection
s'aggrave rapidement. Vers la fin de mai iga6, la
la voie sous-occipitale. (Cliché de M. Foix.) 4d¡ PARAPLEGIES S
AFFECTIONS
DE LA MOELLE sus de la ligne mamelonnaire. Au-d
l'injection du lipiodol. (Cliché de M. Foix.) 416 PARAPLÉGIES
AFFECTIONS
DE LA MOELLE Déjà quelques heures après l'opéra
é objective, à l'état des réflexes de défense et à l'évolution de l'
affection
. Fig. 65. Vlme G... Schéma des troubles de la
ue les troubles moteurs et sensitifs, par lesquels se traduit cette
affection
, sont déjà très caractérisés. Si l'on ne tenait
reuses (sclérose multiloculaire). Ce qui per- met de distinguer ces
affections
les unes des autres, c'est que dans les dernièr
ons. En dehors des données classiques fournies par l'évolution de l'
affection
, par la radiographie, et qui peuvent déjà condu
evue Neurologique, yuQ-y5 et 1922. Fig. 68. 428 PARAPLÉGIES
AFFECTIONS
DE LA MOELLE tumeurs en question, il nous est a
bles vésicaux et le phénomène des orteils, sous la dépendance d'une
affection
organique spinale qui devait siéger dans la régio
». Gazette des Hôpitaux, igo3, p. 1005. 432 P : 1R : 11'LGGIES -
AFFECTIONS
DE LA MOELLE l'une par la naissance d'un enfant
sidère que dans la paralysie générale progressive et dans le tabes,
affections
dont les liens intimes avec la syphilis ne sont p
re vérifiées à l'aide de nouvelles observations. SEP TIÈME PARTIE
AFFECTIONS
DES NERFS 13ADI,"U. 28 I DES NÉVRITES [J.
considé- rées comme constituant tout le substratum anatomique de l'
affection
, dont elles représentent seulement les altérati
s représentent seulement les altérations les plus apparentes. » 436
AFFECTIONS
DES NERFS S NÉVRITE SCIATIQUE J'ai fait parai
ue cette scoliose des diverses déformations provoquées par d'autres
affections
, la coxalgie, par exemple, et qui peut servir, da
e, mais aussi chez des malades atteints de la forme légère de cette
affection
, que l'on appelle sciatique névralgie, épi- thè
eps brachial ; abolition du réflexe du tendon de ce muscle. Cette
affection
a été souvent méconnue, sans doute parce qu'ordin
autres apportent, si je ne m'abuse, des notions nouvelles sur cette
affection
. Voici un malade atteint d'un hémispasme de la
ui sont spéciaux, qui sont étrangers à la symptomatologie des tics,
affection
psychique, et que la volonté ne peut reproduire.
entretenir la Société, mais chez un autre sujet, atteint de la même
affection
, que j'ai pu soumettre à une observation de nuit,
i j'en juge par mes observations, ils semblent constants dans cette
affection
, et parce qu'il est impossible de les reproduir
t impossible de les reproduire sous l'influence exclusive de la 440
AFFECTIONS
DES NERFS volonté ; on peut à la rigueur simule
tripète de cet arc pourra produire un spasme oculaire ('). » Dans l'
affection
dénommée « tic douloureux de la face » les mouve-
; il s'agit peut-être, au moins dans bien des cas de cette dernière
affection
, de mouvements d'un tout autre ordre. Mon ami M
gnements que m'a fournis M. Meige, rien ne prouve que dans ce cas l'
affection
n'ait eu pour siège le bulbe même ; or, dans cett
(') Brissaud, Leçons sur les maladies nerveuses, r8g5, p. 200. 442
AFFECTIONS
DES NERFS dessus du noyau facial, telle qu'une
son degré d'intensité, donner naissance à l'une ou à l'autre de ces
affections
; j'ajoute, à l'appui de cette manière de voir,
ne grande analogie avec l'hémispasme primitif. HUITI/ti1lE PARTIE
AFFECTIONS
DES MUSCLES 1 MYOPATHIE PROGRESSIVE PRIMITIVE
rches que nous avons faites et qui ont trait à la localisation de l'
affection
dans telle ou telle région, dans tel ou tel mus
elle suffisante ou non pour faire de ces variétés de myopathies des
affections
indépendantes ? Nous ne discuterons pas ici cet
ns cités, car nous ne nous occupons ici que de la localisation de l'
affection
, (') Pour l'historique de la question et la des
t Déjerine dans la Revue de médecine (février et avril 1885). 446
AFFECTIONS
DES MUSCLES et, à ce point de vue, ce que nous
e triceps ; à la jambe : les muscles de la région antéro-externe. L'
affection
peut envahir ensuite les autres muscles des mem
récédente. Il y a enfin des formes de transition, dans lesquelles l'
affection
débute à la fois par les membres inférieurs et
iel de faire remarquer que, en ce qui concerne la localisation de l'
affection
, ce qui différencie les formes les unes des autre
Pourquoi, au contraire, certains muscles sont-ils réfractaires à V
affection
? } Ce sont là des questions qui doivent être p
Partant de cette hypothèse, nous avons fait des investigations 448
AFFECTIONS
DES MUSCLES dans cette voie, et nous sommes arr
localisation de la myopathie dans certains BAui.NsKi. 29 9 450 '.
AFFECTIONS
DES MUSCLES muscles, tiendrait ainsi sous sa dé
la prédisposition de certains sujets, de certaines familles à cette
affection
? Nous venons de voir que chez les myopathiques
onsi- dérons comme essentiels. Homme âgé de 41 ans. Le début de l'
affection
remonterait seulement à la vingtième année de s
soldat, qu'il aurait commencé à éprouver aux membres supérieurs 452
AFFECTIONS
DES MUSCLES et aux membres inférieurs une faibl
opathie pro- gressive primitive pouvant servir à différencier cette
affection
de l'amyo- (') li. Thomas a observe déjà (Revue
à dire que l'hystérie ne se distingue par aucun caractère d'autres
affections
nerveuses et qu'il y a lieu de rayer cette pré-
t exclusivement à cette névrose. Il existe, en effet, bien d'autres
affections
qui sont fonction- nelles, mentales. L'hystérie
ie qu'il est inutile d'insister sur ce point. Enfin il y a d'autres
affections
nerveuses qui ne retentissent pas gravement sur
e qu'ils résultent d'une auto- suggestion. Au contraire, aucune des
affections
actuellement bien classées hors du cadre de l'h
opre à inspirer au malade l'espoir de la guérison ('). Aucune autre
affection
ne se comporté de cette manière et, si l'on n'a p
lme, mais elle est incapable de le gué- rir. Il n'y a pas une seule
affection
nerveuse bien définie et située hors des limite
à fait satisfaisante au point de vue nosographique, car, parmi les
affections
névropathiques et mentales, il n'y en a pas une
? z On est même en droit de dire que l'hystérie ainsi définie est l'
affection
mentale qu'il importe le plus au point de vue d
acte ; néanmoins, on conserva le terme « hystérie » parce que cette
affection
semblait tout au 3AllIS9Sl. Où 466 Il YS TÉRI
ur conception un peu nuageuse de l'hystérie, suivant laquelle cette
affection
serait causée par un agent d'une essence inconn
ertainement pas, à cet égard, un seul contradicteur. Or, aucune des
affections
classées aujourd'hui en dehors de l'hystérie ne p
« la neurasthé- nie » ; mais, un médecin versé dans l'étude de ces
affections
ne s'y lais- serait pas prendre : il lui suffir
ropre à inspirer au malade l'espoir de la guérison('). Aucune autre
affection
ne se comporte de la même manière et, si l'on n
on que le nosomane arrive à la convic- tion qu'il est atteint d'une
affection
incurable, ou que le persécuté s'ima- gine qu'u
Je pense qu'une comparaison vous en montrera la justesse. Parmi les
affections
organiques de l'encéphale chez l'homme, la syphil
intensif qu'il soit, ne parvient pas à arrêter l'évolution de cette
affection
. 3° On m'a encore objecté que la psychothérapie
Désirez-vous être fixé sur l'action de la psychothérapie dans cette
affection
? Choisissez un sujet type chez qui la maladie
ulateurs, ou ont attribué à l'hystérie ce qui appartenait à quelque
affection
concomitante. J'ai cherché à reproduire par sugge
nt perfectionnés les procédés permettant de déceler l'existence des
affections
organiques viscérales. L'hystérie peut provoq
ù elle existe, non pas à l'état de pureté, mais associée à d'autres
affections
, que ce soient des névroses, des maladies organi-
e avec la rigueur scientifique qu'on peut apporter dans l'étude des
affections
orga- niques. Un simulateur habile et éduqué à
dies organiques du système nerveux, les névroses et diverses autres
affections
, par J. Babinski (Société médicale des Hôpitaux d
e qu'il ne présente aucun des signes qui dénotent l'existence d'une
affection
grave, je lui affirme qu'il est victime d'une i
mis des erreurs de diagnostic, en considérant comme hystériques des
affections
organiques ; 2" on a méconnu l'importance de la s
s causes d'erreur que je viens d'énumérer. il' Pour prouver que des
affections
organiques ont été souvent consi- dérées comme
trinsèques, tels que l'âge du sujet, la présence ou l'absence d'une
affection
cardiaque concomitante, d'antécédents syphilitiqu
estement organique qui, cependant, sont jeunes, n'ont aucun signe d'
affection
car- diaque, ne paraissent pas syphilitiques, o
des cas d'hémiplégie hystérique chez des individus âgés, atteints d'
affection
car- diaque, n'ayant aucun trouble de la sensib
samment compte de l'influence de cet agent sur le développement des
affections
organiques. On aurait pu cependant dire, a prio
méconnu dans sa valeur, permet d'affirmer que l'on a affaire à une
affection
organique du système nerveux central. Je n'ai p
que ou bien peut-il appartenir aussi à des troubles liés soit à une
affection
organique, soit à une maladie fonctionnelle aya
tions de la suggestion d'avec les troubles qui dépendent des autres
affections
. Il faut reconnaître, du reste, qu'aujour- d'hu
mon opinion que les circonstances de ce genre n'exercent sur cette
affection
qu'une action très limitée. Ce qui le prouve d'
tiques puissent exister à l'état de pureté ou s'associer à d'autres
affections
qu'ils sont capables de masquer ou par lesquels
andue autrefois, encore admise maintenant par quelques-uns, que des
affections
indépendantes de l'hystérie peuvent être guérie
de pareils cas il s'agit d'associations de l'hystérie avec d'autres
affections
et que les troubles guéris par la psy- chothéra
ies les plus diverses, qu'ils peuvent s'associer, non seulement aux
affections
nerveuses, mais à toutes les affections viscéra
associer, non seulement aux affections nerveuses, mais à toutes les
affections
viscérales, thoraciques et abdominales, qu'ils
xposé à négliger les moyens thérapeutiques que peuvent réclamer les
affections
non pithiatiques. 5° Possédant des notions plus
e n'a été portée contre elles. Bien souvent des malades atteintes d'
affections
organiques, vivant dans les mômes salles, venaien
ournis par les malades, enclins, même quand ils sont atteints d'une
affection
organique, à faire dépendre de quelque émotion, a
ins hystériques. Nous touchons ici aux confins de la névrose et des
affections
organiques et 522 11 YS TÉ[ ? Il-PITI-11,I TI S
ydenham va nous servir de témoin, quand, dans sa dissertation sur l'
affection
hystérique, il nous déclare que celle-ci « est la
la plus fréquente de toutes les maladies chroniques » et que « les
affections
hystériques font la moitié du troisième tiers d
paralysie ou toute contracture ne présen- tant aucun des signes des
affections
organiques classées était, sans hési- L'HYSTÉRI
réalisés par une constriction volontaire, et des oedèmes liés à des
affections
organiques avaient été mis sur le compte de l'h
ues peuvent être réfractaires au traitement chez un sujet atteint d'
affection
mentale telle que l'hébéphré- nie. Il n'est pas
e s'accompagnent d'aucun des signes qui appartiennent en propre aux
affections
organiques classées, aux lésions du système ner
sentiel, un groupe à part, intermédiaire en quelque sorte entre les
affections
organiques à proprement parler et les désordres h
rcot, sont susceptibles de se déve- lopper à la suite de toutes les
affections
articulaires quels qu'en soient la nature, l'in
ution. « Il n'y a aucune relation nécessaire entre l'intensité de l'
affection
articulaire et celle des phéno- mènes paralytiq
s deuthéropathiques (paralysie et atrophie) après la cessation de l'
affection
protopathique (arthrite) c'est en quelque sorte l
lite de paralysies provoquées dans certaines régions du corps par l'
affection
d'un organe qui en est plus ou moins éloigné. C
les. Ce sont, par exemple, les paraplégies observées à la suite des
affections
inflammatoires du rein (Rayer, Stokes, Leudet), à
on rouge violacée, vous pouvez affirmer que vous avez affaire à une
affection
organique. » Dès nos premières communications s
s tendineux du membre malade étaient conservés. L'hypothèse d'une
affection
organique des centres ou des nerfs péri- phériq
tre d'origine trau- matique, de ne pouvoir être attribuées ni à une
affection
organique du système nerveux, ni à l'hystérie,
ésentent aucun des signes objectifs par lesquels se manifestent les
affections
organiques du cerveau, de la moelle et des nerfs,
ent observée en pareil cas. Il est à remarquer que dans certaines
affections
organiques du sys- tème nerveux central comme l
de motilité d'ordre réflexe peuvent être reconnus. Si les diverses
affections
qui produisent des paralysies et des contractur
que l'assimilation avec un phénomène réflexe est complète. « Les
affections
articulaires, lorsqu'elles retentissent sur le ce
s certains cas, plusieurs semaines après la guérison apparente de l'
affection
, des phénomènes spasmodiques reproduisant le tabl
ésentent aucun des signes objectifs par lesquels se manifestent les
affections
organiques du cerveau, de la moelle et des nerfs,
l'utilité de la ponction lombaire, comme procédé de diagnostic des
affections
du système nerveux, n'est plus à démontrer, l'imp
arqué l'heureux effet de la ponction lombaire dans cer- tains cas d'
affection
du nerf optique. Nous voudrions montrer, par nos
ques d'origine intra-crânienne. l3em ssi. 38 III TRAITEMENT DES
AFFECTIONS
DE L'OREILLE ET EN PARTICULIER DU VERTIGE AUR
ltaïque pratiquée sur des malades nullement atteints, d'ailleurs, d'
affections
auriculaires, et que je soumettais à la rachice
ration : la résistance diminue souvent d'une manière TRAITEMENT DES
AFFECTIONS
DE L'OREILLE 595 encore plus marquée que chez l
pie ne parait avoir amené aucune modification dans l'évolution de l'
affection
. Ces observations sont trop peu nombreuses pour
e entre les 5e et 6" racines. Les premières manifestations de cette
affection
dataient de juillet 1916 et avaient consisté en d
flexion permanente, laquelle correspond à un stade plus avancé de l'
affection
. En effet, chez ces quatre malades, la guérison
embres du Congrès.) C'est probablement à cause de l'ancienneté de l'
affection
que la régres- sion des troubles a été si lente
ments du tronc. Un médecin, consulté à cette époque, attribua à une
affection
gastrique ces douleurs, qui auraient constitué
malades chez lesquels elles ont été obtenues étaient atteints d'une
affection
qui, abandonnée à elle-même, ne guérit jamais e
trie et la thermoanesthésie permettent d'affirmer l'existence d'une
affection
organique de la moelle cervicale. D'autre part,
ard par un médecin étranger, elle ne présentait plus aucune trace d'
affection
spinale et je sais qu'au- jourd'hui elle est en
ngite. La radiothérapie mise en oeuvre six mois après le début de l'
affection
et appliquée sur la région cervicale avait été
début du traitement, était déjà en mesure de faire quelques pas. L'
affection
a continué à s'atténuer et les progrès ont été
ils sont toujours présents. Il est incontestable qu'il s'agit d'une
affection
organique de la moelle atteignant particulièrem
troubles fonctionnels sont exclusi- vement sous la dépendance de l'
affection
organique, ou s'ils ne sont pas dus, pour une p
male au point de vue psychique et il n'y a eu dans l'évolution de l'
affection
aucune de ces bizarreries propres à l'hystérie.
ffection aucune de ces bizarreries propres à l'hystérie. A quelle
affection
organique avons-nous affaire ? Il n'y a aucune
n'apportèrent pas une grande amélioration, et depuis le début de l'
affection
la malade absorbait des médicaments analgésiques
ec les maladies du système nerveux, les névroses et diverses autres
affections
(Id., 11 novembre 1892). 3. Des crampes muscula
vembre t 8g5). 43. Sur le réflexe cutané plantaire dans certaines
affections
organiques du système nerveux (Société de Biolo
n à l'étude du cytodiagnostic du liquide céphalo-rachidien dans les
affections
nerveuses (en collaboration avec Nageotte. Id., 2
ltaïque (Société de Biologie, III mars igo3). g3. Du traitement des
affections
auriculaires par la ponction lombaire (Société mé
dicale des Hôpitaux, t décembre igo3). io5. Sur le traitement des
affections
de l'oreille et en particulier du vertige auri-
106. Sur la transformation du régime des réflexes cutanés dans les
affections
du sys- tème pyramidal (Société de Neurologie,
(Société de Neurologie, 12 janvier igo5). 114. Formes latentes des
affections
du système pyramidal (Id.). n5. De la flexion c
arkowski. Id., ) ? juin 19 ! t). 182. Du vertige voltaïque dans les
affections
de l'appareil vestibulaire (Société de Neu- rol
ale, 9 juillet 1917)' 249. Hypotonie et laxité articulaire dans les
affections
organiques et physiopathiques du système nerveu
ologie organique. I. Sur le réflexe cutané plantaire dans certaines
affections
organiques du système nerveux central 27 II.
- De la craniectomie décompressive. 246 ` . , , QUATRIÈME PARTIE
AFFECTIONS
NON PYRAMIDALES 1. - Sur un cas d'hémispasme..
ncéphalitique. Troubles respiratoires... 279 ' CINQUIÈME PARTIE .
AFFECTIONS
DU CERVELET, DU BULBE ET DU LABYRINTHE - Affect
IÈME PARTIE . AFFECTIONS DU CERVELET, DU BULBE ET DU LABYRINTHE -
Affections
du cervelet. I. - Observation princeps 285 IL
bulbaires avec hémianesthésie et hémi- 1' . plégie croisées z95 `
Affections
du bulbe. IV. - Thermo-asymétrie d'origine bulb
ections du bulbe. IV. - Thermo-asymétrie d'origine bulbaire 302 ;
Affections
du labyrinthe. y : ' . . V. Affections de l'app
e d'origine bulbaire 302 ; Affections du labyrinthe. y : ' . . V.
Affections
de l'appareil vestibulaire ,...... ? 307 TABLE
s lombaires. Traitement mercuriel, guérison 43o SEPTIÈME PARTIR
AFFECTIONS
DES NERFS 1. - Des névrites.. 435 IL - Hémisp
s.. 435 IL - Hémispasme facial périphérique 438 HUITIÈME PARTIE
AFFECTIONS
DES MUSCLES L Myopathie progressive primitive s
d'origine intra-cranienne.................. 5go III. Traitement des
affections
de l'oreille et en particulier du vertige auricul
eprésentés par de nombreux exemplaires qui permettent de considérer l'
affection
du même coup, d'une façon pour ainsi dire permane
ogiques délicates qui seules marquent parfois les débuts de certaines
affections
chroniques. D'ailleurs, quel espoir peut-on conse
e clinique. Néanmoins, quelques auteurs continuaient à penser que l'
affection
est à son origine une névrose. Toute illusion se
in avec celte apparence de solidité, d'objectivité qui appartient aux
affections
désormais rattachées à une lésion organique appré
que appréciable. Quelques-uns même ne voient, dans plusieurs de ces
affections
, qu'un assemblage de phénomènes bizarres, incohér
es en général et de l'hystérie en particulier qui montre bien que ces
affections
ne forment pas, dans la pathologie, une classe à
fois désigné, sous le nom de neuromimésie, cette propriété qu'ont les
affections
sine materia de simuler les maladies organiques.
. Tracé du tambour à réaction. tant quand il s'agit d'hystérie ou d'
affections
connexes, n'est à tout prendre, dans l'état actue
, avec prudence sans doute, mais aussi avec confiance, l'étude de ces
affections
redoutées, pénétrés que nous sommes de la sûreté
usculaire simple. — Pas de relation nécessaire entre l'intensité de l'
affection
articulaire et celle des phénomènes paralytiques
prédominante. — Les lésions musculaires sont sous la dépendance d'une
affection
spinale deutéropathique. Messieurs, Par son o
affection spinale deutéropathique. Messieurs, Par son origine, l'
affection
dont souffre le malade qui va vous être présenté
naissance. Mais, par le fait de ce traumatisme, il s'est produit une
affection
spinale, d'un genre particulier, qui persiste enc
appétit, toutes les fonctions organiques s'exécutent parfaitement. L'
affection
dont il est atteint consiste exclusivement dans u
professeur Erb, les réactions électriques des muscles dans les cas d'
affections
articulaires (de l'épaule, du genou, etc.). Il a
ntale), Thèse de 1877. — Darde, Des atrophies consécutives à quelques
affections
articulaires, Thèse de 1877. — Guyon et Féré, Not
de 15 jours. Eh bien, cet ordre de causes et cette relation entre l'
affection
musculaire et l'affection de la jointure peuvent-
t ordre de causes et cette relation entre l'affection musculaire et l'
affection
de la jointure peuvent-ils être invoqués dans not
ut. Ainsi, une simple entorse bientôt guérie, une simple hydarthrose,
affection
non inflammatoire, non douloureuse, et, comme dan
nts deutéropa-thiques (paralysie et atrophie) après la cessation de l'
affection
protopathique (arthrite), c'est en quelque sorte
eut être la raison physiologique de cette singulière complication des
affections
articulaires ; cette connaisance pourra peut-être
contemporains paraissent d'ailleurs fixés sur ce point de théorie : l'
affection
articulaire a, par la voie des nerfs articulaires
L'hypothèse de l'atrophie par repos prolongé n'est pas admissible; l'
affection
articulaire est souvent assez peu intense pour ne
ve de l'atrophie aux extenseurs ? On est donc réduit à admettre une
affection
spinale deuté-ropathique, et c'est en conséquence
affection spinale deuté-ropathique, et c'est en conséquence de cette
affection
que la paralysie et. l'atrophie se produisent. Ma
galvanique et dépression de l'excitabilité faradique; à moins que, l'
affection
étant très avancée, le muscle soit tout à fait dé
Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux. 3 Dans ce cas, l'
affection
spinale d'origine articulaire s'est présentée sou
cela est le cas habituel. Il est possible que, dans certains cas, l'
affection
spinale et l'affection musculaire consécutive soi
uel. Il est possible que, dans certains cas, l'affection spinale et l'
affection
musculaire consécutive soient plus profondes. I
tres cas, l'atrophie et la contracture se combinent. Ces variétés d'
affections
spinales, produites sous l'influence d'une cause
contracture, en particulier. On sait depuis longtemps que certaines
affections
, subor données à une maladie diathésique, se dé
à l'occasion d'une lésion traumatique. Il est habituel alors que ces
affections
se localisent tout d'abord dans les parties mêmes
des membres chez les hystériques, ou celles qui ne relèvent d'aucune
affection
spinale matérielle, des paralysies spasmodiques h
remier à les faire connaître, en 1837, dans son livre sur certaines
affections
nerveuses locales, cite des contractures du membr
'agit ou il paraît s'agir d'un tic non douloureux de la face ; mais l'
affection
se présente chez elle avec des caractères spéciau
remplie l'histoire de l'hystérie. Il faut dire tout de suite que l'
affection
actuelle a été précédée, il y a un an, d'un spasm
eut le répéter du rhumatisme articulaire chronique. — Dans toutes ces
affections
articulaires, aiguës ou chroniques, l'amyotrophie
i la lésion siège au coude, etc. Cette relation entre le siège de l'
affection
articulaire et la localisation de l'atrophie musc
appelé l'attention sur cet aplatissement de la fesse, dans certaines
affections
chroniques de la hanche. Le cas que je vais vous
rois types fondamentaux les formes très variées sous lesquelles cette
affection
se présente 1 : 1° Rhumatisme articulaire chron
la réaction fébrile fait défaut. 3° Nodosités d'Heberden. — C'est l'
affection
décrite par He-berden, sous le nom de digitorum n
fessiers sont considérablement aplatis, et cela est en rapport avec l'
affection
des articulations coxo-fémorales. A la cuisse, le
encore sur celui qui est sain en apparence ; et j'en concluais que l'
affection
spinale, quelle qu'elle soit, développée en consé
nière de voir ; les arthropathies sont en réalité le fait primitif, l'
affection
spinale, d'où dérive l'amyotrophie, n'est que sec
, on ne retrouve aucun autre phénomène qui puisse être rapporté à une
affection
spinale. Aussi, aucun trouble de la sensibilité c
cas précédent, le fait capital, il n'en est pas de même dans d'autres
affections
articulaires, où, au contraire, la contracture sp
ntures ; que ces amyotrophies, comme ces contractures, relèvent d'une
affection
spinale déterminée par voie réflexe ; et de mettr
ons articulaires du rhumatisme chronique reconnaissent pour cause une
affection
spinale développée suivant le mécanisme des actes
coudre, dont elle s'est servie pendant longtemps, d'avoir déterminé l'
affection
actuelle de la hanche droite. La maladie a débuté
d cubital de la main (Fig. 4). 1. Charcot. — Etudes pour servir à l'
affection
décrite sous les noms dégoutte asthênique primiti
uation fixe. En examinant les malades pendantla période d'acuité de l'
affection
, on reconnaît que, loin de rechercher ces attitud
bles, qu'on pourrait s'y méprendre, dans des cas où il n'existe pas d'
affection
articulaire, et où la rigidité des muscles est se
e chronique, les déviations articulaires reconnaissent pour cause une
affection
spinale développée suivant le mécanisme des actes
es réflexes. Et ceci nous conduit à relever encore une fois que les
affections
articulaires, lorsqu'elles retentissent sur le ce
he la paralysie amyotrophique. 11 faut ajouter que ces deux modes d'
affection
spinale peuvent se trouver combinés sur un même s
ophie ne sont pas, tant s'en faut, un fait unique dans l'histoire des
affections
spinales. Nous la retrouvons très accentuée dans
tisme chronique. — Dessin de M. P. Richer. montrer un malade dont l'
affection
est d'un ordre tout à fait différent. Salpêtriè
pu, en les considérant à l'état d'isolement, comme appartenant à une
affection
le plus souvent bénigne, tandis qu'il s'agissait,
dis qu'il s'agissait, ainsi que la suite l'a montré, des débuts d'une
affection
inexorable. Je n'entrerai pas aujourd'hui dans
it demandé s'il n'y avait pas là épilepsie vraie ou consécutive à une
affection
encéphalique grave, une tumeur cérébrale, par exe
r dans son pays. Dès le premier examen, nous avons pu le rassurer ; l'
affection
n'est pas grave, non seulement l'enfant vivra, ma
Y hérédité de transformation, les parents étant affectés d'une autre
affection
du système nerveux, de folie, d'épilepsie, etc.
voyez que cette suite de considérations permet déjà de présumer que l'
affection
est de nature hystérique. Mais cette présomption
xication saturnine ; mais comme nous ne retrouvons aucun signe de ces
affections
chez notre malade. 1. Ch. Féré. — Sur quelques
D ceux du simulateur. suffisamment probantes de la légitimité de l'
affection
. Je pense que j'ai suffisamment insisté, et qu'il
stériques on rencontre, à Paris du moins, un homme atteint de la même
affection
. Ce chiffre, je l'avoue, me paraît un peu fort ;
, tout au moins, que, chez l'homme, l'hystérie n'est pas vraiment une
affection
très rare. Un fait mis en lumière par le même t
on pourrait s'étonner, si on n'était point prévenu, de rencontrer une
affection
considérée par beaucoup comme exclusivement propr
nt l'état hystérique, lorsqu'on a soin de faire le départ de quelques
affections
qui quelquefois la produisent (lésions capsulai
emble **ffilé en fuseau. Ch. F. NEUVIÈME LEÇON «h Exemple d'une
affection
spinale consécutive à une contusion du nerf sciat
on d'aujourd'hui offre, à mon avis, un exemple fort remarquable d'une
affection
spinale organique développée en conséquence d'une
nce qu'on puisse invoquer comme ayant contribué au développement de l'
affection
spinale dont il souffre à présent, ou de la doule
oi consistent les premiers phénomènes produits. Il s'est agi là d'une
affection
limitée, exclusivement limitée au nerf sciatique.
te d'une sciatique n'est point chose rare, vous le savez, alors que l'
affection
névralgique a été intense. Elle s'accompagne, en
xemple à la suite de l'iner tie prolongée, ou encore dans certaines
affections
spinales dynamiques développées à la suite de cer
ondant à un état grave de la nutrition des muscles se voient dans les
affections
des nerfs périphériques (sections, lésions trauma
Sommaire. — I. Sciatique double ; conditions dans lesquelles cette
affection
peut se présenter ; diabète, certaines méningo-my
ans la division des incurables et dans la salle spéciale réservée aux
affections
cancéreuses. Sur la porte de cette salle, on pour
dit le Dante, au-dessus des portes de l'Enfer. Le fait est que ces
affections
sont, quant à présent, vous le savez, au-dessus d
de notre malade. L'intérêt est d'un autre côté. Depuis 4 mois, son
affection
est entrée dans une nouvelle phase. La santé géné
s? S'agit-il d'une sciatique vulgaire, complication accidentelle de l'
affection
cancéreuse du sein et sans gravité par elle-même?
st, en général, une névralgie symptoma-lique, c'est-à-dire liée à une
affection
protopathique plus on moins grave. Cela ne veut p
que. Mais, quelle en est la cause? Passons en revue les principales
affections
qui peuvent provoquer la sciatique double; a) D
ieurs reprises, n'a révélé aucune trace de sucre. b) Dans certaines
affections
spinales, il existe des douleurs sur le trajet de
ésentent avec des caractères que nous ne retrouvons pas ici. Dans les
affections
méningo-myéliti-ques, nous aurions une paralysie
ints de cancer stomacal et dans d'autres circonstances encore. 2° L'
affection
carcinomateuse établie et siégeant au sein, par e
ts. II. Le deuxième sujet que je vous présente est un exemple d'une
affection
connue aujourd'hui, en nosographie spinale, sous
justement sur cette intervention utile de la chirurgie dans un cas d'
affection
spinale développée spontanément, que je veux surt
ler en quelques mots les caractères anatomiques et cliniques de cette
affection
, tels que je les ai esquissés dans une communicat
axie, et il n'y a pas à s'étonner, dès lors, que ce ne soit point une
affection
caractérisée par une lésion systématique. Au po
on du creux poplité une induration et une rétraction qui, alors que l'
affection
spinale est guérie, met obstacle à l'extension de
ier (80), son cœur aie volume normal, sans bruit de souffle. La seule
affection
qui mérite d'être signalée, c'est une migraine qu
nt il traduit sa pensée par l'écriture, couramment et correctement. L'
affection
dont il s'agit, vous disais-je, a été, dans ces d
nements qui ne manquent pas d'intérêt. 1° En général, le début de l'
affection
a été subit, et il s'est produit, à l'origine, un
ge du sujet, la seconde par ce fait qu'il n'existe aucune trace d'une
affection
organique du cœur. ' :. ¦ Je me bornerai donc a
çais, et aussi le lai i 11 et le grec classiques. Jusqu'au début de l'
affection
qui l'a amené près de moi il lirait à livre ouver
ive, soit visuelle, représente en quelque sorte les premiers degrés d'
affections
qui, lorsqu'elles sont portées au plus haut point
e d'atrophie musculaire progressive comprend, disions-nous alors, des
affections
différentes que rapprochent seulement des ressemb
on du bulbe, bien que réelle, y est plus rare que dans cette dernière
affection
et surtout en ce qu'il y a absence complète de l'
que du muscle, d'une myopathie primitive. Comme exemple de ce genre d'
affection
, on peut citer la paralysie pseudo-hypertro-phiqu
urs peuvent se prendre à leur tour ; mais quel que soit le degré de l'
affection
, les mains sont généralement respectées. Enfin, l
pris, dont les parents ou les collatéraux peuvent présent ter la même
affection
. Le nommé Gai... est âgé de 19 ans. L'affection
présent ter la même affection. Le nommé Gai... est âgé de 19 ans. L'
affection
dont il est atteint et qui revêt chez lui les car
'est pas, à tout prendre, un élément essentiel à la constitution de l'
affection
dite paralysie pseudo-hypertrophique. Je suis en
de variétés représentant divers modes d'évolution d'une seule et même
affection
, la myopathie progressive primitive. Voilà donc
e j'ai eu récemment l'occasion de vous le démontrer. Le début •de l'
affection
a eu lieu à l'âge de 14 ans, par les membres infé
-même, et représentant la face de plusieurs malades atteints de cette
affection
. Ici, le début de la maladie se fait, suivant la
(fig. 30), l'atrophie est apparue bientôt et ici la description de l'
affection
musculaire rentre absolument dans celle de la for
de cette jeune fille. Il est âgé de 44 ans, et est atteint de la môme
affection
qu'elle. Entre le père et la fille, vous le voyez
pourrait confondre le tremblement à peu près caractéristique de cette
affection
. J'ai insisté sur les çajraclèresjarticuliers du
nts ou mouvements involontaires, je vais maintenant vous parler d'une
affection
qui constituera notre troisième groupe. Elle port
lement, ainsi que vous allez le voir, de la chorée de Sydenham et des
affections
connexes. Cela nous éloigne un peu de la sclérose
llogiques, contradictoires, comme dans la chorée vulgaire ; mais si l'
affection
est caractérisée, elle aussi,par des mouvements i
ait l'objet d'une leçon, l'an passé. C'est dire qu'il s'agit là d'une
affection
rebelle, dont on débarrasse difficilement les mal
ettre d'affirmer la nature ou tout au moins l'origine hystérique de l'
affection
dont elle est atteinte aujourd'hui. Le début de
cet exemple, que la chorée rhythmée peut être, dans certains cas, une
affection
grave, non qu'elle menace directement la vie, mai
ler et sans pouvoir remuer sa langue. Ici l'origine hystérique de l'
affection
est encore plus nettement accusée que chez les de
dents pathologiques : néanmoins, à l'âge de 13 ans, il souffrit d'une
affection
fébrile au début, et à la suite de laquelle il eu
insi de sa mère, morte au mois de mars 1884, à l'âge de 72 ans, d'une
affection
cérébro-spinale, et qui, tous les ans, avait à de
e fille. C'est chez celte dernière, âgée de treize ans et demi, que l'
affection
a débuté, le 28 août 1884, àla suite d'une séance
, tout au moins en ce qui concerne le traitement de l'hystérie et des
affections
connexes. C'est, en somme, l'isolement qui représ
nos jeunes malades ; je voudrais vous montrer ce qu'est devenue leur
affection
depuis six semaines, époque à laquelle a été inst
qu'on le pense. — Rôle du traumatisme dans le développement de cette
affection
: Railway-spine. — Ténacité des stigmates hystéri
es sous la direction de M. le Dr Olivier, a pu réunir 80 cas de cette
affection
. Depuis ont paru les importantes publications de
mme. Chez le mâle, en effet, la maladie se présente souvent comme une
affection
remarquable par la permanence et la ténacité des
e, les phénomènes sont mobiles, fugaces et la marche capricieuse de l'
affection
est fréquemment interrompue par les coups de théâ
en quelque sorte, pour permettre d'affirmer la nature hystérique de l'
affection
. Il présente, en effet, des deux côtés un rétréci
s que Beard lui assigne dans sa remarquable monographie est l'une des
affections
nerveuses qui se développent le plus fréquemment,
véré, et sa mère encore vivante, qui paraît n'avoir jamais souffert d'
affections
nerveuses. Il a eu sept frères et sœurs ; un seul
dans la zone motrice, au centre brachial et consécutive elle-même à l'
affection
valvulaire du cœur. Mais une étude plus attentive
t encore de ramollissement déterminé par embolie, en conséquence de l'
affection
organique du cœur, foyer qu'on pouvait supposer l
geait complètement de caractère; nous n'étions plus en présence d'une
affection
de cause organique, peut-être incurable: nous pou
t qui est entré dans le service de la clinique le 15 avril dernier. L'
affection
remonte à plus de quatre mois et ne s'est pas du
aleur un instant, il est expressément relevé, qu'à aucune époque de l'
affection
, même au début,' ni la face, ni la langue, ni le
ticale avec dégénération descendante, quatre mois après le début de l'
affection
. Enfin, Messieurs, les troubles de la sensibili
sivement à l'hystérie ; mais elle se présente, en général, dans cette
affection
, avec des caraclères spéciaux, qui permettraient,
cien, particulièrement intéressant ; car si la nature hystérique de l'
affection
est, par ce qui précède, actuellement bien établi
est clair que celui-ci sera infiniment moins grave dans le cas d'une
affection
de ce genre que dans le cas où il s'agirait d'une
t suivant un mécanisme de ce genre que se développe la plupart de ces
affections
nerveuses variées, souvent si durables et si tena
périmentale, il soit souvent possible de reproduire plus fidèlement l'
affection
que l'on s'est donné pour but d'étudier. Les co
omme !. Sommaire. — .^X^ayaux de Brodie et d'autres auteurs sur les
affections
hys-tériques^des jointures,3r- Caractères des art
er que cet homme vigoureux placé devant vous est un hystérique, que l'
affection
douloureuse de la hanche dont il se plaint, depui
uloureuse de la hanche dont il se plaint, depuis près de trois ans, —
affection
survenue à la suite d'un traumatisme et qui le me
savent aussi qu'elle peut se révéler tout d'abord sous la forme d'une
affection
purement locale en apparence, telle que, par exem
— c'est du moins l'avis que je vais essayer de faire prévaloir — de l'
affection
pour la première fois décrite par Brodie, en 1837
tion pour la première fois décrite par Brodie, en 1837, sous le nom d
affection
hystérique des jointures1. C'est une affection
1837, sous le nom d affection hystérique des jointures1. C'est une
affection
assez peu connue encore, je le crois, bien qu'à l
1. Sir B.-G. Brodie, Lectures illustrative of certain local nervous
Affections
. London, 5 837. Lect. II. Various forms of local
ffections. London, 5 837. Lect. II. Various forms of local hysterical
Affections
, p. 35 et seq. Les leçons de Brodie, sur les affe
al hysterical Affections, p. 35 et seq. Les leçons de Brodie, sur les
affections
nerveuses locales, ont été traduites en français,
F.-C. Skey. Hysteria... Local or surgical Forms of Hysteria, Hysteric
affection
of Joints, 3e lecture. London, 1867. — Sir Paget,
Leçons de clinique chirurgicale. Trad, du Dr L.-II. Petit. 3e leçon,
affections
neuromimétiques des articulations, p. 274. Paris,
le, rien changé d'essentiel. Donc il s'agit là, selon Brodie, d'une
affection
douloureuse, d'une névralgie, d'une hyperesthésie
C'est surtout quand elle siège à la hanche que le diagnostic de cette
affection
est difficile; une coxalgie non organique peut êL
ombre d'autopsies. Oui, bien que cela puisse vous surprendre dans une
affection
que j'annonce aussi bénigne, il en existe un cert
ite d'une singulière tournure d'esprit, les malades atteints de celte
affection
réclament parfois à grands cris une intervention
nt : il s'agissait d'une jeune fille souffrant depuis trois ans d'une
affection
du genou; la jambe restait fléchie sur la cuisse
, mais je crois en avoir dit assez pour vous montrer qu'il existe des
affections
douloureuses des jointures, non matérielles, pouv
ions douloureuses des jointures, non matérielles, pouvant simuler des
affections
articulaires à lésions profondes, et conduire ain
qui suivent nous sera sans doute plus utile pour distinguer ces deux
affections
. 3° La douleur présente des modalités spéciales
température ne s'élève pas, et que, quelle que soit la durée de cette
affection
, il ne subit aucune espèce d'atrophie, nous verro
uvons dans ce premier examen rien qui soit contraire à l'idée d'une
affection
articulaire avec lésions plus ou moins étendues e
en sommes parvenus, — c'est-à-dire près de 3 ans après le début de l'
affection
, — de répondre à cette question d'une façon catég
nté générale, ne s'accorde guère, on en conviendra, avec l'idée d'une
affection
arliculaire organique grave, datant de longs mois
conduit à conclure : 1° Que notre malade est un hystérique; 2° que l'
affection
articulaire dont il souffre présente un bon nombr
Tout serait donc de nature hystérique chez notre malade aussi bien l'
affection
générale que l'affection locale. L'origine trauma
re hystérique chez notre malade aussi bien l'affection générale que l'
affection
locale. L'origine traumatique des accidents n'est
s, les suivantes : 1° 11 n'existe pas, chez ce sujet, de traces d'une
affection
organique de la jointure ; 2° cet individu, très
ndre, beaucoup moins sombre qu'il ne l'eût été dans l'hypothèse d'une
affection
organique. Sans doute, une coxalgie hystérique pe
dans notre dernière leçon, comme offrant un exemple remarquable de l'
affection
qu'on est convenu d'appeler du nom de coxalgie hy
es trois cas, la première impression avait été qu'il s'agissait d'une
affection
hystérique; mais un examen plus attentif a montré
se produit une rémission complète qui fait croire à l'existence d'une
affection
purement nerveuse et on laisse, en conséquence, l
ssez, je crois, pour montrer que chez un sujet hystérique, lorsqu'une
affection
organique se développe, les symptômes relatifs à
ion organique se développe, les symptômes relatifs à chacune des deux
affections
peuvent se combiner de manière à constituer un mé
ter de nouveau. Mais ici, ce que je veux relever surtout, c'est que l'
affection
a été produite par nous, volontairement, artifici
on puisse nettement reconnaître chez elles, sous une forme bénigne, l'
affection
décrite par Brodie. Chez une de ces femmes, c'e
itement en découle, en quelque sorte, tout naturellement. C'est d'une
affection
surtout psychique qu'il s'agit, c'est donc un tra
e malade se sera retiré..... Cette circonstance est la suivante : l'
affection
dont souffre cet homme a, comme je vous l'ai dit,
de, que nous venons d'étudier ensemble, avec quelque soin, guéri de l'
affection
dont il souffre depuis près de trois ans 1. 1.
omme d'une apparence vigoureuse; il présente un nouvel exemple de ces
affections
hystéro-traumatiques sur lesquelles nous avons pa
r les opposer l'un à l'autre que je vous présente deux malades dont l'
affection
respective comporte un pronostic essentiellement
les jours, — essentiellement transitoire. Cependant, Messieurs, les
affections
dont ils souffrent présentent entre elles quelque
pleine lumière les caractères cliniques distinctifs des deux ordres d'
affections
. Sommairement, les traits communs sont les suiv
lques mots, ce que nous savons de plus important sur cette singulière
affection
. C'est d'ailleurs là, je vous le rappelle, un suj
ns dont six nous appartiennent. Le mutisme hystérique n'est pas une
affection
extrêmement rare ; il en a été souvent parlé, et
est pas sur cette base que s'établirait la distinction entre les deux
affections
; — mais, dans l'aphasie organique, la symptomato
le pourrait supposer *. Il ne faut pas oublier toutefois que, si l'
affection
hystérique chez un sujet donné se montre le plus
e, leur connaissance seule nous donnera la possibilité de dépis 1er l'
affection
, lorsqu'elle est ainsi réduite à sa plus simple e
e faits et d'expériences, est applicable, vous le savez, à beaucoup d'
affections
hystériques, particulièrement à celles qui naisse
ix semaines après l'accident. Là on reconnut tous les caractères de l'
affection
monoplégique qui vont être décrits dans un instan
ne fille, je vais vous raconter dans quelles circonstances a débuté l'
affection
dont elle est atteinle. Le 29 novembre, dans la n
ces atrophies hystériques. Les amyotrophies qui sont consécutives aux
affections
articulaires sont aujourd'hui considérées par la
ille, voici ce qu'il nous apprend : Grand-père paternel, mort d'une
affection
de l'œsophage. Les frères et sœurs de ce grand-pè
eune fille de 22 ans, gardant le lit depuis plus d'une année pour une
affection
de la moelle. Six mois avant de prendre le lit, e
rrent, nous serons autorisés à admettre la nature hystérique de cette
affection
. » Je ne saurais admettre ces conclusions. Que la
usculaire simple. — Pas de relation nécessaire entre l'intensité de l'
affection
articulaire et celle des phénomènes paralytiques
prédominante. — Les lésions musculaires sont sous la dépendance d'une
affection
spinale deutéropa-thique.........................
ons articulaires du rhumatisme chronique reconnaissent pour cause une
affection
spinale développée suivant le mécanisme des actes
raumatique..................... 108 NEUVIÈME LEÇON. exemple d'une
affection
spinale consécutive a une contracture du nerf s
qu'on le pense. — Bôle du traumatisme dans le développement de cette
affection
: Bailway- Charcot. Œuvres complètes, r. m, Sys
l homme. Sommaire. — Travaux de Brodie et d'autres auteurs sur les
affections
hystériques des jointures. — Caractères des arthr
professeur Charcot, par M. Pierre Marie. 511 TABLE ANALYTIQUE A
Affection
hystérique des jointures, 371. Aimant contre la
Hystérique (Contracture), 37, 80, 97, 108, 399; — Amblyopie, 83; —
Affection
— des jointures, 370; — Chorée —, 216, 225; -cara
ique (Paralysie), 322. Psychique (Influence) sur la terminaison des
affections
hystériques, 359, 360, 397. — Paralysies —, 335.
double chez une cancéreuse). 140 ; — double dans le diabète, dans les
affections
spinales ot méningées, les lésions vertébrales, 1
maladies nerveuses (Légitimité de la —), 7. Spinale (Exemple d'une
affection
— consécutive à une contusion du nerf sciatique),
ŒUVRES COMPLÈTES DE J. M. CHARCOT MALADIES INFECTIEUSES
AFFECTIONS
DE LA PEAU, KYSTES HYDATIQUES ESTOMAC ET RATE, TH
s les avons groupés en cinq parties : 1° Maladies infectieuses ; — 2°
Affections
du tégument ex-terne; — 3° Des Kystes hydatiques;
1853, p. 8S. régulière se manifesta. Tout porte à croire que cette
affection
a été assez grave. La figure a été extrêmement tu
la fin de la maladie, il s'est mani-festé une salivation abondante. L'
affection
variolique paraît avoir duré en tout dix-sept jou
ité, le 16 avril, pour y être traitée d'une ophthalmie, reliquat de l'
affection
variolique et siégeant à l'œil gauche. La face es
térin et a envahi même une partie du vagin ; les premiers signes de l'
affection
utérine remontent à un an environ. La malade est
à Paris, môme pour les sujets atleints de varioles ou de ioute autre
affection
non moins incontestablement virulente); ;'est en
qu'ils y entrent, pour la plupart, au début ou pendant le cours d'une
affection
fébrile aiguë ; autant de conditions qui rendent
ès les conditions personnelles relatives à l'âge, notons encore les
affections
tristes, les excès de tout genre, etc., et faison
lance qu'il faut ajoutera ceux qui relient déjà la dothiénentérie aux
affections
incontestablement virulentes. On a cependant rapp
la convalescence d'une autre maladie aiguë, ou pendant le cours d'une
affection
tébrile, d'une phlegmasie, par exemple. F. Dist
ou mêmes ataxiques, peut encore être confondue avec les nombreuses
affections
qui, habituellement s'accompagnent de cet ensembl
fant comme chez l'adulte, la fièvre typhoïde se montre rarement comme
affection
deutéropathique 1731. E.). Le choléra pestilentie
qui nous occupe, parmi les symp-tômes les plus caractéristiques de l'
affection
typhoïde choléri-que : 1° Des urines rares, toujo
quels caractères on peut le distinguer de notre dothiénentérie. — Les
affections
qui peu-vent simuler les fièvres typhoïdes et ren
ar son développement ultérieur, par l'intervention d'épiphénomènes, d'
affections
deutéropathiques, le plus haut degré de gravité e
° la carphologie, les soubresauts de tendons très prononcés. 8. Les
affections
deutéropathiques rendent presque toujours le pron
le mé-léorisme excessif, des selles involontaires, la présence d'une
affection
deutéropalhique, d'une splénisalion du poumon,
ifs jouait anciennement un rôle éminent dans la thé-rapeutique de ces
affections
fébriles que l'on peut aujourd'hui rapporter aux
re suffisamment reçu la sanction de l'expérience. H. Epiphénomènes.
Affections
deutéropathiques : Quand il s'agit de remédier au
eloppent, de l'état général du malade. Les indications rela-tives à l'
affection
locale deutéropathique, doivent, dans la ma-jorit
rax, elles seront saupoudrées de poudre de quinquina, etc. V. Des
affections
laryngées dans la fièvre typhoïde 1. Une observ
en France et pourtant très digne d'intérêt : nous voulons parler des
affections
laryngées qui accompagnent ou suivent les fièvres
compris la trachéotomie. Nous venons de dire que cette catégorie d'
affections
est peu connue en France, et c'est pourtant à un
x, qui les dispose à l'ulcéra-tion ; en sorte que, sous ce rapport, l'
affection
typhoïde est aux autres maladies aiguës ce qu'est
ouvent la laryngite typhique, qu'on est forcé de se demander si cette
affection
est plus commune en Allemagne qu'en France, ou si
dant une épidémie de typhus dont Vienne a été le théâtre en 1853, les
affections
laryngées concomi-tantes étaient extrêmement rare
ement (Pathol. Anat., 3e Bd. Ie lief., p. 19) une des formes de cette
affection
, Yulcère laryngé étyphique(typhase larynxgeschwùr
est quelquefois douloureux à la pression. Mais à côté de ces cas où l'
affection
peut rester et reste en effet souvent latente, il
st presque exclusivement pendant la convalescence que se montre cette
affection
. La déglutition devient difficile, le larynx est
queux ou d'un fragment de cartilage en partie détaché. La marche de l'
affection
est en général très rapide. Sestier a recueilli d
insi que nous l'avons dit en commençant, dans des cas où ces diverses
affections
ont déterminé la suffocation, on a tenté la trach
okes et ses adhérents, le typhus fever et la fièvre typhoïde sont des
affections
consanguines. Ce ne sont pas deux maladies absolu
ent entre eux de nombreux intermédiai-res, où les caractères des deux
affections
viennent pour ainsi dire se fondre, en formant de
téchial. On a pu, dans ces pays-là, étudier compara-tivement ces deux
affections
, et reconnaître qu'elles présen-tent habituelleme
faut dans la seconde. Mais on a vu, par contre, assure-t-on, les deux
affections
se présenter avec des symptômes tellement identiq
s qui tendraient à faire admettre que les causes spécifiques des deux
affections
n'ont entre elles rien de commun, et qu'on ne voi
égard de la variole, de la rougeole, de la scarlatine. Chacune de ces
affections
peut, sous certaines influences, per-dre la physi
onc pas à elle seule pour autoriser à séparer définitivement ces deux
affections
. Le caractère distinctif tiré de la présence ou d
serait sans cesse, pour prouver leur non-identité de nature, ces deux
affections
l'une à l'autre, sous le double point de vue des
vice versa , si l'on fait voir qu'une atteinte de la première de ces
affections
ne crée pas une immunité contre la seconde, on au
spèces ou de variétés de ce genre. Les caractères qui distinguent ces
affections
suffiront toujours pour motiver une pareille dist
n longueur et dure plu-sieurs semaines ou plusieurs mois. — Parmi les
affections
deutéropathiques et consécutives, les escharres d
ncipaux caractères à l'aide desquels on pourra dif-férencier les deux
affections
, qui pendant longtemps ont été réunies par les au
ée de la proportion dans laquelle se montrent habituellement ces deux
affections
dans les diverses parties de l'Angleterre, si l'o
'il en soit, les études entreprises dans le but de savoir si ces deux
affections
sont ou ne sont pas le produit d'une même cause s
cle Typhus (1571), le paragraphe consacré à la thérapeutique de cette
affection
. Nous avons dit, lorsque nous avons parlé du trai
els elle règne de concert (voy. l'art, consacré à l'histoire de cette
affection
, dans le British and Foreign Medico-chirurgical-R
xer l'atten-tion des médecins, que, dans sa forme bilieuse, c'est une
affection
grave et qui fait de nombreuses victimes. Consi
sure qu'il a vu 40 cas de la maladie épidémique qu'il rapproche d'une
affection
observée par lui en Amérique, en 1857 et 1858. En
urgent, ce nous semble, de réunir tous les documents relatifs à cette
affection
singulière et redoutable, afin que nous ne soyons
ent distingué la peste proprement dite, ou peste à bubons, des autres
affections
épidémiques qui sévissaient dans le même temps qu
aladie. Cependant, si on a le soin d'élaguer les épiphénomènes et les
affections
deutéropalhiques qui donnent à chaque épidémie no
e dans des cas infiniment rares, la peste doit donc être reconnue une
affection
générale incontes-tablement essentielle. L'érupti
6. Les charbons pestilentiels, contrairement à ce qu'on voit pour les
affections
gangreneuses cutanées communi-quées des animaux à
lammatoire (Lachèze, loc. cit.). B. Analogies entre la peste et les
affections
charbonneuses. — Il n'est, sans doute, pas hors d
os de faire ressortir ici l'analogie qui existe entre la peste et les
affections
charbon-neuses considérées chez les animaux et ch
conscrite ou diffuse, se mon-trent sur diverses parties du corps. Ces
affections
locales, sont considérées comme une éruption crit
t uniquement d'abord, ainsi que l'admettent quelques auteurs, par une
affection
gangreneuse toute locale de la peau. voit plus
rve, la constitution pestilentielle est, en général, précédée par des
affections
plus ou moins graves, fièvres paludéennes simples
lupart des malades en réchappent. — Pendant le règne de la peste, les
affections
intercurrentes deviennent fort rares, souvent mêm
nt pas réclamer d'autres soins que ceux qu'on dirige contre ces mêmes
affections
, lorsqu'elles apparais-sent dans des maladies aut
à Java, etc. ; mais rien ne prouve qu'on ne se soit pas mépris sur l'
affection
qu'on a rencontrée dans ces diverses contrées : l
ra peut-être pas hors de propos d'y faire figurer un certain nombre d'
affections
dont l'histoire peut être, pour un instant au moi
typhoïde. (Voyez l'article qui a été con-sacré à l'histoire de cette
affection
dans British and foreign medico-chirur-gical Revi
utes qui la caractérisent. S. C'est à l'époque où nous étudierons l'
affection
qui a été décrite sous le nom d'ictère grave, et
st de la fièvre jaune comme de la peste; dans certains cas, c'est une
affection
très bénigne et qui peut être presque inaperçue
bd., 1850, n° 6, p. 100). Cette remarque, applicable à la plupart des
affections
épidémiques, l'est surtout à la fièvre jaune, qui
notamment un point sur lequel de modernes recherches con-cernant les
affections
hépatiques, faisaient désirer que l'atten-tion se
du rapproche-ment qui a été déjà fait entre le typhus ictérodes et l'
affection
connue sous le nom à'ictère grave. Dans cette der
82 ans, Rien portante anté-rienreme: t. É l'OQUE DU DULit de l'
affection
cholérique. 24 octobre. 24 octobre. 20 octo
30 ans, Ilystéro-épilepsie, para-plégie. ÉPOQUE du début de l'
affection
cholérique. 19 octobre 23 octobre. o novemb
que dans le choléra, — et pareille chose s'observe également dans des
affections
d'un tout autre ordre, — la température s'élève q
e l'Académie des sciences, 1881, t, XCIX, p. 224. DEUXIÈME PARTIE
Affections
du tégument externe. AFFECTIONS DU TÉGUMENT EXT
, XCIX, p. 224. DEUXIÈME PARTIE Affections du tégument externe.
AFFECTIONS
DU TÉGUMENT EXTERNE i. Note sur quelques cas
erne. AFFECTIONS DU TÉGUMENT EXTERNE i. Note sur quelques cas d'
affections
de la peau, dépendant d'une influence du système
en particulier, que dans son enfance il ait présenté aucun symptôme d'
affection
scrofuleuse. Dans le courant de l'année 1852, à
ue ceux que nous venons d'indiquer, qui puissent être rapportés à une
affection
du système nerveux; les membres inférieurs foncti
écrite dans l'observation précédente a été signalée dans des cas où l'
affection
doulou-reuse d'un nerf avait pris naissance à la
sous quelques rapports, de ces éruptions herpétiques conséculives aux
affections
doulou-reuses des nerfs. Il serait difficile, tou
dans toutes les parties para-Charcot. Œuv. compl., t. vin, 2e part.,
Affections
cutanées. 12 les deux cas, l'éruplion cutanée n
ubliée le docteur V. Baeruns-prung. Seulement, dans ce dernier cas, l'
affection
des nerfs paraît s'être développée spontanément,
rtébraux qu'il faut rapporter, dans les cas de zona consécutifs à une
affection
des nerfs, le dévelop-pement de l'éruption cutané
l s'agit a été publié par M. Charcot dans une Note sur quelques cas d'
affection
de la peau dépendant dune influence du système ne
s doute, pour établir que les éruptions vésiculaires consécutives aux
affections
de certains nerfs peuvent se déve-lopper par le s
it de l'altération de ces nerfs et sans l'in-tervention obligée d'une
affection
des ganglions des racines postérieures. Mais quel
Mais quelles sont les conditions particulières qui font que certaines
affections
des nerfs déterminent des érup-tions de la peau,
des nerfs déterminent des érup-tions de la peau, tandis que d'autres
affections
de ces mêmes nerfs, semblables aux premiers, du m
connaître immédiatement que les cas où une névrite s'accompagne d'une
affection
de la peau sont relativement peu nombreux. La que
814). Elle n'est pas mentionnée Charcot. Œuvr. comp. t. vin, 2' pl.
Affections
de la peau. 13 — Les faits qui précèdent peuven
é tout particulier, qui indique une tendance à la généralisation de l'
affection
, plus grande qu'on ne le croirait d'abord, en se
einte, on ne de-vrait point rejeter du cadre de la sclérodermie cette
affection
bornée uni-quement aux extrémités. Ce qu'Alibert
est pas une condition nécessaire pour la production de celte dernière
affection
; car il y a tels individus qui en sont atteints
* Hertwig, Berlin, 1850, p. Charcot. Œuvres complètes, t. viii, 2° p.
Affections
de la peau. 14 2° C'est là le premier cas d'icl
ulté plus ou moins grande d'uriner, qu'il supposait le résultat d'une
affection
calcu-leuse, mais que les gens qui l'entouraient
it rien observé pendant la vie qui eût attiré l'attention sur quelque
affection
. Six fois le kyste a été trouvé intact ; trois fo
par la guérison. Les remèdes sont inutiles, sinon nuisibles, dans ces
affections
qui ont une tendance naturelle vers une solution
. Malheureusement l'art est quelquefois im- puissant, et il est des
affections
qui sont au-dessus de ses ressources. Le mieux à
hérapeutique, ne saurait être érigée en principe. Cependant, dans les
affections
bénignes, on pour-rait être autorisé à la mettre
aux seules ressources delà nature, sans intervenir dans le cours de l'
affection
par une mé-dication active, et en se bornant, tou
ité (spécificité'pathogénique desecondordre, Requin)2, telles que les
affections
rhumatismales et goutteuses, les ma-ladies dartre
f'érysipèle snonlané, la grippe, etc. — Ce n'est pas que, dans'j ces
affections
-là, on ne rencontre fort souvent des indications
Elle risque souvent, en intervenant mal à propos, de mener à mal une
affection
qui eût peut-être guéri avec les seules forces de
utes ses phases, quoi qu'on fasse? Heu-reusement pour l'humanité, les
affections
de ce groupe ont, pour la plupart, une tendance n
ntendu, les cas de contre-indications particulières, alors même que l'
affection
se montrerait douée d'un caractère d'extrême béni
r : dès que, le diagnostic étant fixé, il connaît le caractère de l'
affection
et soupçonne ses tendances, il peut aussi, jusqu'
t aux maladies qui s'en rapprochent, surtout à celles de ces diverses
affections
qui ont une longue durée. — Pour ce qui est des m
istique ; il serait facile de donner ainsi une sorte d'échelle où ces
affections
seraient rangées d'après leur plus ou moins grand
us ou moins certains ou probables on pourra reconnaître celles de ces
affections
qu'il convient d'abandonner ainsi aux efforts de
ur aura bien pu englober plusieurs maladies diffé-rentes. 1Y. Les
affections
subordonnées à certaines maladies constitu-tionne
sont trop sou-vent la conséquence de la suppression imprudente de ces
affections
. On sait, pour ne citer que quelques exemples, co
u siècle passé les ont conduits peut-être à exagérer le nombre de ces
affections
, qu'il faut respecter ou même entretenir; il n'en
bien ob-servés. Cette proposition est surtout vraie relativement aux
affections
dartreuses. Je pourrais m'appuyer d'un bon nombre
stic étiologique. 11 s'agit, en effet, de savoir si la gourme est une
affection
purement superficielle, ou si au contraire elle e
ar les modernes ont rendu un véritable service à la thérapeutique des
affections
cutanées, en démon-trant la nature parasitaire d'
cutanées, en démon-trant la nature parasitaire d'un bon nombre de ces
affections
; aujourd'hui la teigne faveuse, la teigne tonsur
es hémorrhoïdes 3, pourraient encore être cités comme exemples de ces
affections
qu'il est dangereux de guérir, ou dont il faut se
men-tale, doivent rentrer dans cette catégorie. C'est à propos de ces
affections
-là surtout qu'il serait juste de dire : « L'aveni
quarte ne guérit point l'épilepsie ; mais on sait aussi que certaines
affections
aiguës peuvent amender ou même guérir des maladie
est souvent aussi chose fort difficile que de prédire, au début d'une
affection
, quelle sera exactement, soit sa durée, soit enco
n. Une opinion qui pousse beaucoup de médecins à diriger contre les
affections
aiguës une thérapeutique très active, c'est que c
re les affections aiguës une thérapeutique très active, c'est que ces
affections
acquièrent une tendance prononcée à pas-ser à l'é
le plus remarquables par leur longue durée et leur ténacité sont les
affections
qui débu-tent lentement, sourdement, progressivem
termine à instituer une thérapeutique très active dans le cours d'une
affection
du genre de celles auxquelles nous faisons allusi
la connaissance non-seulement du genre, mais encore du caractère de l'
affection
, est souvent si difficile à apprécier, et cependa
essaire de comparer entre eux un assez grand nombre de cas d'une même
affection
au même de-gré, les uns relatifs à des sujets don
st interdite au médecin ; mais il n'en est pas de même dans plusieurs
affections
légères qui ne mettent pas la vie en dan- 1. Re
. Recherches sur la fièvre typhoïde, t. II, p. 379. ger; contre ces
affections
, on emploie tous les jours différents agents thér
es cir-constances de ces maladies. Dans les cas, je le répète, où les
affections
sont graves, ou bien lorsqu'on connaît des moyens
antés tour à tour, et tour à tour répudiés, dans le traitement de ces
affections
. De même, certains médecins ont pensé qu'il ser
citerai les effets du changement de pays et de cli-mat sur certaines
affections
, sur la dyssentérie, sur la fièvre in-termittente
loir pendant longtemps, au su-jet delà pneumonie, c'est que c'est une
affection
d'une grande gravité et qui réclame nécessairemen
ur à tour été préconisées comme héroïques dans le traitement de cette
affection
; toutes peuvent montrer leur liste de succès. De
la marche, la durée et la terminaison la plus fréquente de cette même
affection
, lorsqu'on n'emploie contre elle qu'une médecine
entes; ou bien, si c'est dans l'intensité plus ou moins grande de l'
affection
, dans la forme qu'elle revêt, dans l'influence de
prolongé des préparations arsenicales dans le traitement de certaines
affections
chroniques, se sont au-jourd'hui en partie évanou
dans le courant d'une même année. Toujours à la suite de ces cures, l'
affection
cutanée s'amendait ; les plaques pâlissaient ou m
nctions faites sur les plaques à l'aide d'une pom-made mercurielle. L'
affection
cutanée se reproduisit cinq ou six ans après dans
n arsenicale, l'anaphrodisie disparut peu à peu; mais en même temps l'
affection
cutanée reprit une grande intensité. En mai 1859,
oit, qui se dévia en même temps en dehors, sans qu'il y ait eu aucune
affection
apparente de cet œil. C'est six mois après sa s
t par l'électricité détermine encore une légère amélioration ; mais l'
affection
re-prend bientôt après sa marche progressive, et
e la Salpètrière ; toutefois, depuis quelques jours, est survenue une
affection
intercurrente, bronchite très aiguë, expec-torati
leurs dans la région hypogastrique, dysurie, urines purulentes. Cette
affection
intercurrente s'apaise et disparaît peu à peu, au
; les mouvements de la marche sont déréglés. Pendant le cours de l'
affection
intestinale et vésicale qui l'a amenée à l'infirm
ant les douleurs qui n'ont cessé delà tourmenter depuis le début de l'
affection
: constriction à la base du thorax, barre traversa
déjà, nous a fait prendre ce parti, c'est que lorsqu'il s'agit d'une
affection
généralement réputée pour incurable, — et l'ataxi
ière, atteinte de paraplégie complète, son état était aggravé par une
affection
in-terne des plus sérieuses. Une dyspnée considér
il est possible de noter, d'après les indications de la malade. Cette
affection
dura environ dix-huit mois, et, entre autres moye
e d'employer le nitrate d'argent dans le traitement de cette dernière
affection
, était un bel exemple de paralysie hystérique.
la trinité mystérieuse qui reliait Vargent à la lune, et la lune aux
affections
cérébrales, qu'on a songé, pour la première fois,
etc.), comme dérivatif et comme purgatif, dans les hydropisies et les
affections
encéphaliques. Cependant plusieurs auteurs de cet
, et par Cappe en Amérique ; c'est sur-tout contre l'épilepsie et les
affections
du système nerveux que ces auteurs en ont vanté l
omissements. Chez deux de ces animaux, qui ont été emportés par une
affection
intercurrente, après avoir été soumis pendant un
de vue pratique, le chlorure, l'albuminale ou l'oxyde d'argent, I.
Affections
du système nerveux. Parmi les maladies qu'on s'
e principe, ce médica-ment avait été employé à l'intérieur contre les
affections
des centres nerveux. Sans revenir sur la partie h
si remarquables et aussi peu conformes à la marche ordinaire de cette
affection
redoutable, auraient besoin d'être confirmés par
s que Wunderlich fut amené à prescrire le nitrate d'argent dans cette
affection
, par l'observation des.phénomènes singuliers que
e ; et, en 1861, il publiait cinq observations, dans lesquelles cette
affection
avait été traitée avec succès par l'azotate d'arg
es. Quelques mots sur le mode d'action des sels d'argent dans les
affections
chroniques de la moelle épinière. — D'après les f
l'intérieur peut souvent améliorer, et quelquefois guérir, certaines
affections
chroniques de la moelle épinière, qui ont été ran
elle de la strychnine au contraire est immédiate, mais éphémère. IL
Affections
du tube digestif. A. Dyspepsie, gastralgie. — L
inistre surtout en lavements, et c'est principalement en vue de cette
affection
que M. Délioux avait composé des lavements à l'
r les enfants, et de 15 à 20 centigrammes pour les adultes. Lorsque l'
affection
persiste, il prescrit des pilules ren-fermant 1 c
opinion de S Lille, auquel nous empruntons ces renseignements. III.
Affections
des voies respiratoires. A. Phthisie pulmonaire
ins recommandent l'azotate d'argent dans la dernière période de cette
affection
: Balstow a réussi à diminuer la quantité de l'ex
onique, dans la cachexie et la débilité qui se ratta-chent à diverses
affections
chroniques. Neligan Moore en recommande l'emploi
hisie pulmonaire, ainsi que dans l'affaiblissement qui accompagne les
affections
chroniques de l'estomac, surtout lorsqu'il existe
chenschrift, n» 45, 1838. — Schneider. Nitrate of Silver inspas-modic
Affections
of the Heart. In Dublin Journ. 1838, t. XIII. — S
selles diarrhéiques. Dans aucun de nos 17 cas il ne s'est produit d'
affections
car-diaques appréciables, mais dans un cas très i
peutique................................................. 29 V. Des
affections
laryngées dans la fièvre typhoïde................
verses communications relatives au choléra..... 165 DEUXIÈME PARTIE
Affections
du tégument externe. I. Note sur quelques cas d
E PARTIE Affections du tégument externe. I. Note sur quelques cas d'
affections
de la peau dépendant d'une influence du système
429; — dans les affec-tions chroniques de la moelle, 430; — dans les
affections
du tube digestif, 431 ; — dans la dys-pepsie et l
rcure, 38; — thérapeutique des complications, 39 ; — eschares, 40 ; —
affections
laryngées, 41 ; — ulcérations la-ryngées, 42; — l
cules, 261; — chez le cheval, 261. (Voir Hydatides.) L Laryngées (
Affections
— dans la fièvre typhoïde), 41; — ulcéra-tions, 4
8; — trophiques, 188. Nerveux (Système) : influence sur certaines
affections
de la peau, 171. Névralgie accompagnée d'herp
ement. (1) Première leçon, 18 mai 1855. bouvier. 4 Ainsi, toute
affection
du système nerveux locomoteur fait sentir ses eff
s du système osseux qui dérivent des lésions des muscles, une série d'
affections
musculaires et osseuses dont la source est dans l
ivement son origine. Considérées dans l'enfance en particulier, les
affections
de l'appareil locomoteur diffèrent, à plusieurs é
dilection des maladies convulsives aiguës et chroniques; pourquoi les
affections
cérébrales compliquent presque toutes les maladie
ralysie, éclatent alors si soudainement, si inopinément; pourquoi ces
affections
ont une marche si rapide, tantôt emportant les pe
t, des désordres nutritifs des os et des muscles, celle de toutes les
affections
irrilatives du squelette. On comprend les trouble
uberculeuse, si commune dans l'enfance, jouent un grand rôle dans les
affections
dont nous devons nous occuper. On pourrait croi
urgicales dans l'enfance. Or, ce fait se reproduit souvent dans les
affections
chroniques de l'appareil locomoteur. Sans doute l
dire à l'état de momie, et s'éteignent ou sont enlevés par la moindre
affection
intercurrente. Quand nos maladies chroniques se r
lle qui a reçu le nom de mal vertébral ; c'est comme si l'on disait l'
affection
vertébrale par excellence. Je lui laisserai cette
ion et nature de la maladie. — On peut définir le mal vertébral : une
affection
des ligaments intervertébraux et du corps des ver
t celle de Delpech, qui attribuait la destruction des vertèbres à une
affection
tuberculeuse. C'est là effectivement une forme tr
e quelque incertitude sur la nature constamment tuberculeuse de cette
affection
. On a aussi décrit une altération des ligaments
kysté, par exemple. Ce qu'il y a de plus vraisemblable, c'est que l'
affection
vertébrale n'est pas toujours de la même nature,
sance aussi complète que possible de la nature et des effets de cette
affection
. lre période. Invasion de ta maladie. — La mala
Avant même la publication de travaux récents, on avait déjà dit que l'
affection
a son siège primitif dans les ligaments. D'autres
us voyons sur cette pièce un angle très-obtus ; c'est l'exemple d'une
affection
commençante. La déformation peut même manquer, la
nom de gibbosité, bosse, gibbus, ôëoç. La gibbosité dépendant d'une
affection
vertébrale est, en géné -ral, comprise tout entiè
ne partie centrale formant une pointe, qui apparaît dès le début de l'
affection
. Souvent la colonne vertébrale ne présente encore
ns excusables que le chirurgien anglais, que le mal vertébral est une
affection
ordinairement mortelle, que les abcès par congest
duisent des déplacements latéraux, des subluxations. Le cal, dans l'
affection
vertébrale, présente, comme celui des fractures,
l'état fibro-cartilagineux. La colonne vertébrale, divisée par une
affection
des disques osseux qui la composent, se réunit au
couvra le mouvement deux années après. Il n'y avait plus trace de son
affection
ancienne lorsqu'elle fut admise dans mon service.
comitantes. — Voilà ce que j'avais à vous dire sur-la réparation de l'
affection
vertébrale. Je passe aux lésions existant dans un
cou, et qui est, au fond, semblable à celui des autres régions ; 2° l'
affection
des deux premières vertèbres et de l'occipital ou
ité sur les différents malades que vous avez sous les yeux, et dont l'
affection
occupe les régions dorsale ou lombaire, nous pour
olonne rachidienne, lorsque vous avez quelque motif de soupçonner une
affection
vertébrale. Il y a un fait qui montre entre tous
des vertèbres. Laënnec auscultait tous les malades et découvrait des
affections
thoraciques qui avaient passé inaperçues. Explore
uche leurs enfants, méconnaissent le plus ordinairement le début de l'
affection
(1) Troisième leçon, lpr juin 1855. vertébral
dans quelques déformations essentielles du rachis; 2° dans certaines
affections
étrangères aux déviations essentielles ; ce sont
vient, au contraire, d'une jeune fille qui a succombé lentement à une
affection
vertébrale. Comment distinguerons-nous ces deux
ent à une affection vertébrale. Comment distinguerons-nous ces deux
affections
? Dans la déviation essentielle du rachis, on n'ob
opposé ; mais il n'y a pas là de gibbosité proprement dite. Dans l'
affection
vertébrale, vous retrouvez ordinairement notre pe
hitisme est propre à l'enfance ; c'est une maladie générale ; l'autre
affection
ne s'accompagne d'aucune altération du tissu osse
des signes de rachitisme dans un cas, et non dans l'autre. Les deux
affections
pourraient être combinées ; on aurait alors comme
lissent la distinction. J'aurais à vous parler d'une foule d'autres
affections
qui offrent quelques traits de ressemblance avec
lésion. — Encore un mot sur la diagnose de la lésion qui constitue l'
affection
vertébrale; on a ici plusieurs points à éclaircir
nt lui, une carie superficielle ; quand il y a déformation, c'est une
affection
en partie différente et profonde. Cette distincti
tubercules dans quelque partie du corps? il est presque certain que l'
affection
osseuse est de nature tuberculeuse. Chez l'adul
e lésion traumatique, d'un coup, d'une chute; probablement alors, une
affection
ligamenteuse marque le début des accidents. Mais
ouve réunie à une altération superficielle ; ils peuvent être dus à l'
affection
tuberculeuse. On les distingue, en général, à l'i
e du pus. Ce pus résulte souvent de la fonte de tuber cules; d'autres
affections
, l'ostéite, l'arthrite, la carie, en produisent é
superficielle, mais très-étendue. Ces abcès, se voient plutôt dans l'
affection
tuberculeuse; mais d'autres lésions, la carie, la
s ce cas, on éprouve de l'hésitation à déterminer à laquelle des deux
affections
doit être rapportée la production du pus. D'aut
l-Hall, sens équivoque, qui pourrait faire croire à l'existence d'une
affection
cérébrale proprement dite, tandis que le physiolo
avec la cavité du thorax. Ainsi, point de doute : il s'agit ici d'une
affection
tuberculeuse entourant les vertèbres, et les ayan
vant l'arrivée du chef de service, on a méconnu pendant deux années l'
affection
vertébrale; aucun traitement local n'a été dirigé
ersement du tronc ; je vous le présente toutefois comme exemple d'une
affection
qui, quoique abandonnée à elle-même, a suivi une
s, opposez-lui un traitement convenable; vous guérirez du même coup l'
affection
vertébrale. Dans nos hôpitaux d'enfants, la dia
sent d'une efficacité réelle contre certains symptômes dominants de l'
affection
vertébrale. Nichet a pratiqué trente autopsies
L'enfant n'a point eu d'abcès. Vous voyez la marche favorable de l'
affection
abandonnée à elle-même chez ces malades. Que pens
os salles, offre un cas analogue au précédent, tant par le siège de l'
affection
osseuse que par celui de la paralysie. Celle-ci e
r l'abondance de la suppuration. — La membrane du kyste d'une part, l'
affection
osseuse de l'autre, sont les deux sources de la s
r la diminuer, nous n'avons pas de moyen plus direct que de traiter l'
affection
vertébrale. Je ne pourrai donc que répéter ici ce
nc que répéter ici ce que j'ai dit des moyens qui s'adressent à cette
affection
elle-même, en parlant du premier cas, c'est-à-dir
s de répéter avec Stoll : Stimulus, non suppuratio prodest. Lorsque l'
affection
est tuberculeuse, cas le plus ordinaire parmi nos
bandonner ce sujet. L'étiologie doit être toujours consultée dans l'
affection
vertébrale. J'ai déjà dit que si l'on trouvait un
soit montré supérieur à aucun de ceux qu'on a opposés directement à l'
affection
des vertèbres; néanmoins il faut tenir compte des
ans, morte dans nos salles la semaine dernière. Sa maladie était une
affection
vertébrale dont vous voyez ici les traces. Cette
die est rarement mortelle par elle-même. Ici la malade a succombé à l'
affection
du poumon ; elle a passé par tous les degrés du m
issé de côté une région de la colonne vertébrale pour en examiner les
affections
à part; c'est la partie supérieure ou les deux pr
de même, dans l'ordre pathologique, on observe une prédominance de l'
affection
diarthrodiale. Une première classe d'affections
ne prédominance de l'affection diarthrodiale. Une première classe d'
affections
de la région sous-occipitale comprend l'arthrite
épine, qu'aux apophyses articulaires, et à un bien moindre degré. Les
affections
osseuses, cartilagineuses et ligamenteuses formen
us-occipitales, ainsi que je l'ai établi plus haut : la synovite et l'
affection
osseuse. I. Synovite. — Je commence par l'étude
la membrane synoviale des diverses articulations sous-occipitales. L'
affection
atteint plus particulièrement celle de l'atlas et
tantôt bilatéral, tantôt unilatéral, c'est-à-dire qu'il peut y avoir
affection
des articulations droite et gauche ou d'une seule
glions lymphatiques peuvent offrir des altérations secondaires. II.
Affection
osseuse. — Les lésions primitives qui lui donnent
arthralgie sous-occipitale. On n'en a fait mention que pour les cas d'
affection
osseuse; mais on l'observe plus souvent encore da
is offre des traits de ressemblance avec celui que produit une simple
affection
musculaire; nous verrons comment le diagnostic pe
dernière séance, les destructions partielles qui sont produites par l'
affection
sous-occipitale. Ces destructions déterminent des
sons en divers sens, sans destruction osseuse. Ce qui différencie l'
affection
sous-occipitale du mal vertébral proprement dit,
me vertèbres. Si la disparition de ces os est bien réellement due à l'
affection
osseuse, ce fait serait unique dans la science. M
érieurs. La moelle était comme ramassée et revenue sur elle-même. L'
affection
osseuse sous-occipitale ne peut durer quelque tem
t cette terminaison est rendue plus facile par le siège primitif de l'
affection
, lequel est plus rapproché de la dure-mère, Là
ble dans tous les sens dans le mal sous-occipital, tandis que, dans l'
affection
des vertèbres inférieures , elle n'a lieu ordinai
t d'hémorrhagie centrale du cordon rachidien survenue à la suite de l'
affection
des premières vertèbres. Mécanisme de la guéris
hements s'étaient formés entre les vertèbres , ils sont résorbés. L'
affection
osseuse sous-occipitale guérit, comme le mal vert
crirai celte forme d'ankylose. La déformation résulte ici de ce que l'
affection
est uni latérale, ou du moins occupe principale
e. DÉFORMATION DE LA TÊTE ET DU RAGHIS. — Les lésions causées par l'
affection
sous-occipitale ne se bornent pas à produire seul
chis. La nutrition et la forme de la tête sont modifiées. Lorsque l'
affection
dure quelques années et produit une inclinaison l
blir la rectitude du tronc. g IL — Diagnostic. Le diagnostic de l'
affection
sous-occipitale comprend celui de la synovite et
affection sous-occipitale comprend celui de la synovite et celui de l'
affection
osseuse. Il est basé sur les symptômes suivants :
e pendant les mouvements. Ceux-ci sont surtout très-douloureux dans l'
affection
osseuse; la moindre secousse, la marche sont une
faisant passer sous vos yeux les malades de nos salles atteints de l'
affection
sous-occipitale. Ier cas. — Garçon de treize an
émotion vive. Il s'ensuivit une chorée qui dura quelques mois. Cette
affection
a reparu il y a cinq à six mois, et a obligé l'en
ine chez ce malade, c'est donc la rotation ; on peut en induire que l'
affection
réside dans une des articulations de l'atlas avec
cédé à l'application d'un vésicatoire. En mars suivant, récidive de l'
affection
, qui, cette fois, se montre plus tenace. La tête,
ostérieurs, fortement tendus, se contractent davantage par moments. L'
affection
sous-occipitale n'est pas ici la seule cause du r
, ont pu seules nous porter à admettre l'existence concomitante d'une
affection
sous-occipitale. Quand tous les ligaments sont
sont les causes de ces attitudes diverses de la tête et du cou dans l'
affection
sous-occipitale? J'ai parlé du mouvement réflexe;
t là une première cause. On a voulu déduire tous les symptômes de ces
affections
de ce qu'on a appelé paralysie organique, phénomè
aines attitudes et notamment la rotation en dehors du tibia, dans les
affections
chroniques du genou : c'est la rétraction des lig
a même explication pourrait s'appliquer aux attitudes produites par l'
affection
sous-occipitale , si l'on constatait anatomiqueme
II. Déformation (i). — J'ai exposé deux des principaux symptômes de l'
affection
sous-occipitale, la douleur et les modifications
able nature du mal. C'est surtout en ayant égard à la marche des deux
affections
, qu'on peut résoudre ce problème. La contracture
cou, en effet, concourt avec la tête à l'expression des passions, des
affections
de l'âme humaine. Différents moralistes, des poèt
é, conserve ce pli. Je crois qu'on ne confondra pas ce cas avec notre
affection
sous-occipitale. 2° Torticolis pathologique. —
celui-ci, à son tour, est continu ou intermittent. Ce dernier est une
affection
nerveuse, spasmodique, dans laquelle des mouvemen
entait la maladie d'un enfant; ils vont nous servir pour distinguer l'
affection
osseuse du torticolis musculaire continu. Ce que
n osseuse du torticolis musculaire continu. Ce que je vous dirai de l'
affection
des os s'applique également à la synovite unilaté
scles affectés et en rapport avec le mode d'action de ces muscles ; l'
affection
osseuse donne lieu à une attitude différente, tel
it jamais dans le torticolis musculaire. Les symptômes propres de l'
affection
osseuse vertébrale sont aussi un moyen de diagnos
t, vous voyez un muscle contracté d'une manière permanente, lorsque l'
affection
est purement musculaire; dans le torticolis osseu
met de distinguer ce cas. La douleur est un phénomène commun aux deux
affections
; dans un cas elle a pour siège les muscles, et le
ire, une tension extrême du muscle, et une tension moins forte dans l'
affection
osseuse; dans celle-ci on peut, avec de la douceu
uit par un simple vice de conformation , qui peut être la suite d'une
affection
des muscles ou d'une maladie articulaire. Celle-c
la suite de la rétraction du muscle sterno-cléido-mastoïdien ou d'une
affection
articulaire ayant produit une simple rigidité ou
muscle tendu et raccourci. Parfois cependant il existe entre ces deux
affections
un certain rapport; c'est qu'à la longue elles do
tale succède aux tractions du sterno-cléido-mastoïdien , et de même l'
affection
osseuse donne souvent lieu au raccourcissement de
i le produisent après la naissance : le fœtus peut être atteint d'une
affection
musculaire, d'un mal sous-occipital; il peut naît
cette forme. La plupart de ces caractères peuvent exister dans une
affection
arthralgique ancienne, et le diagnostic serait al
e. Qui nous dit que le sujet représenté par ce buste n'ait point eu d'
affection
articulaire dans le sein maternel? Cela est possi
la tête, la rigidité du cou est toujours moins prononcée. D'autres
affections
pourraient être confondues avec le mal vertébral
r symptôme de la lésion médullaire. Quand il rencontre l'une de ces
affections
, le chirurgien peut souvent rester dans le doute.
EMENT. Je le divise en traitement de la synovite et traitement de l'
affection
osseuse. Ce que j'ai à vous dire s'appliquera à c
ection osseuse. Ce que j'ai à vous dire s'appliquera à chacune de ces
affections
présumées seules. Vous savez, en effet, qu'elles
constant de la maladie primitive. Je déclare que je ne connais pas d'
affection
sous-occipitale occupant d'abord exclusivement le
gie des articulations elles-mêmes, et il n'existe pas d'exemple d'une
affection
semblable offrant les symptômes de la synovite so
se traduisent par des symptômes analogues. Il n'y a presque jamais d'
affection
nerveuse articulaire simple. Je distinguerai qu
née générale. 2e Quelques auteurs ont voulu faire du rhumatisme une
affection
tout à fait inconnue dans sa nature ; pour moi, c
lammation ne se termine pas constamment par la suppuration. Plusieurs
affections
, l'érysipèle, l'ophthalmie simple, auxquelles on
a même force que dans le torticolis musculaire. II. Traitement de l'
affection
osseuse. — La lésion osseuse sous-occipitale est
tômes dominants, je l'ai déjà accordé. Que faire donc en face d'une
affection
osseuse sous-occipitale? Recourir aux mêmes moyen
itale droite. Le traitement interne a la même importance que dans l'
affection
vertébrale du reste de l'épine. Il consiste dans
l'avoue, à tenter de pareilles réductions. Enfin le traitement de l'
affection
sous-occipitale comprend aussi ctlui de l'abcès,
eut suffire dans certains cas. M. Legrand a rapporté deux guérisons d'
affection
sous-occipitale avec paralysie, par l'emploi du
PSEUDARTHROSES COXO-FÉMO RALES. (1) Nous avons terminé l'étude des
affections
vertébrales. Arrêtons-nous ici un instant pour po
es à un grand nombre de lésions. Ainsi, en vous faisant connaître les
affections
du corps des vertèbres, j'ai eu l'occasion d'expr
s à ceux dont j'ai parlé. Les généralités exposées à l'occasion des
affections
articulaires du rachis sont de même applicables a
on des affections articulaires du rachis sont de même applicables aux
affections
articulaires du reste du squelette. J'ai aussi in
ticulaires du reste du squelette. J'ai aussi indiqué un grand ordre d'
affections
osseuses à propos du diagnostic de l'affection so
iqué un grand ordre d'affections osseuses à propos du diagnostic de l'
affection
sous-occipitale; les considérations auxquelles le
Il tient à la grande loi générale de l'attitude des membres dans les
affections
articulaires. Les coxalgies sont douloureuses et
pour la physiologie, la pathologie et même la thérapeutique de cette
affection
. Cette structure rappelle celle de l'ancienne cap
fectuée dans le bas âge, et il a pu aisément recueillir le récit de l'
affection
qui l'avait produite. C'est ce qui arrivera toute
ns, je distingue deux phases successives, la période douloureuse de l'
affection
et la période indolente. C'est ce qu'on a déjà vu
articulaires chroniques. Je clos ici, pour cette année, l'étude des
affections
chroniques du système osseux. Mais je désire ne p
s, sans vous avoir au moins présenté un spécimen de ces intéressantes
affections
. Un fait capital se remarque dans le mode d'act
bstituées à l'harmonie normale de l'action de ce système. C'est une
affection
de cette nature qui va faire l'objet de nos étude
abrégé complet de toutes les formes de maladies musculaires. Cette
affection
est le strabisme. ARTICLE IV. STRABISME. Da
tiques sur l'objet qu'on regarde. I. Variétés du strabisme. — Cette
affection
présente nécessairement des différences nombreuse
celle de la paralysie elle-même. On ne confondra pas d'ailleurs cette
affection
avec la faiblesse consécutive au strabisme, que p
il louche est très-bornée. La diplopie est un symptôme curieux de l'
affection
dont je m'occupe. Vous savez comment on explique
de est un garçon de onze ans, admis dans une des salles destinées aux
affections
chroniques, pour y être traité d'une tumeur blanc
; ce diagnostic demande de l'attention. Dans la première de ces deux
affections
, on remarque des oscillations de l'œil plus ou mo
terne de l'œil gauche du troisième degré. L'autre œil participait à l'
affection
; il y avait presque strabisme double. Les mouvem
la plus fréquente de ce genre de déviation des pieds réside dans les
affections
des muscles eux-mêmes, soit qu'elles proviennent
nnent de leurs lésions propres ou des lésions du système nerveux. Ces
affections
ont pour conséquence immédiate l'excitation de la
fférentes; chez l'un, le foyer de la maladie est dans la moelle, sans
affection
vertébrale; chez l'autre, la tendance au pied équ
es convulsions, et que les mouvements spasmodiques produits par cette
affection
étaient la cause du plus grand nombre des pieds b
part, il peut être la suite de divers états pathologiques, surtout d'
affections
du système nerveux ; d'autre part, il peut dépend
bsence d'une cause héréditaire, que le pied bot a été produit par une
affection
convulsive intra-utérine. Si l'exploration des
'une même cause, comme la main bot, produite avec le pied bot par une
affection
cérébrale hémiplégique. D'autres fois, il n'y a p
urtout par l'ensemble des symptômes, et en observant la marche de ces
affections
, qu'on distinguera leur effet local du vrai pied
de sa grossesse. Il est probable qu'il est survenu chez l'enfant une
affection
convulsive durant la vie intra-utérine, affection
u chez l'enfant une affection convulsive durant la vie intra-utérine,
affection
qui a eu pour résultat un affaiblissement des mus
ême frappée. Il est probable que l'enfant a éprouvé dans l'utérus une
affection
convulsive. Avant cette grossesse, la mère a eu n
d bot et le rachitisme, tout est contraste. La première de ces deux
affections
est une lésion purement mécanique , qui n'affecte
l'os, qu'elle frappe dans sa continuité, dans sa diaphyse ; c'est une
affection
primitive des os. Définition. — Je définirai le
nt à imiter! dit Van Swieten. Il fallait un nom pour désigner cette
affection
, que les nouveaux observateurs ne trouvaient décr
es auteurs allemands des quinzième et seizième siècles ont décrit une
affection
cardiaque de l'enfance, dans laquelle ils mention
lles fournissent une nouvelle preuve en faveur de l'identité des deux
affections
. Si tous les rachitiques congénitaux n'ont pas
oncer, c'est que, d'après la théorie que je suis disposé à adopter, l'
affection
se développe dans l'utérus, chez un certain nombr
e dans le rachitisme, et le contraste qu'il forme avec cette dernière
affection
vous rendra plus sensibles encore les faits que n
ité entre celte explication et la supposition d'un mal de Pott, d'une
affection
tuberculeuse ou d'une carie qui aurait guéri par
degré du rachitisme thoracique, le chapelet, existe dès le début de l'
affection
; on le trouve chez tous les rachitiques sans exc
hapelet à peine sensible au thorax, ce qui vient de l'ancienneté de l'
affection
et de sa guérison partielle. Au rachis, vous voye
plus grandes déformations du bassin sont produites par cette dernière
affection
. Je distinguerai quatre espèces de déformations
omalacie, quand il est très-marqué. C'est sans doute à cette dernière
affection
qu'on doit rapporter cette forme de resserrement
me nerveux; de là une vive irritabilité nerveuse, une disposition aux
affections
cérébrales; de là aussi cette intelligence précoc
faire croire à une pneumonie. Les sujets sont exposés à de fréquentes
affections
de l'appareil respiratoire, maladies toujours gra
endant on ne doit pas toujours, dans ce cas, juger de la gravité de l'
affection
pulmonaire par le degré de la dyspnée, parce que
ganglions mésentériques, ne paraissent pas plus fréquents dans cette
affection
que dans d'autres conditions de l'organisme. E.
tisme, p. 74, 78 et suiv., 1797. simplement le rachitisme parmi les
affections
scrofuleuscs. Les tubercules et les scrofules peu
crofules ou les tubercules. Mais il n'y a pas d'antagonisme entre ces
affections
; je dirai même qu'il y a une certaine (1) Gaz.
e des maladies éruptives, des fièvres aiguës, des entérites et autres
affections
du tube digestif, ou bien après les orages de la
ue se seraient perpétués les bassets à jambes torses, par suite d'une
affection
rachitique des premiers individus de cette variét
e pas le confondre avec les accidents de la première dentition et les
affections
vermineuses, si communes dans l'enfance. Quand
porté à croire à l'influence d'un autre état morbide qui constitue l'
affection
principale. Il est des déformations du squelett
ent plusieurs années au delà de l'époque où on observe cette dernière
affection
, et à ce qu'elle n'est accompagnée d'aucun autre
ces de rachitisme, le chapelet, par exemple. L'ostéomalacie est une
affection
très-analogue au rachitisme; mais il existe des d
davantage du rachitisme ; mais, pour admettre l'identité de ces deux
affections
, il faudrait mieux connaître leur nature intime.
ours une durée énorme. Depuis quelques années, le traitement de cette
affection
a fait des progrès considérables (1). » Quels son
tique, l'attention du médecin devant se porter ici, avant tout, sur l'
affection
principale. § IL — Lordose. (3) Je distinguer
mesurée, atteint de courbure vertébrale avec déformation du thorax et
affection
pulmonaire chronique. Quinze mois de traitement r
s ; elle donne lieu à une véritable lordose cervicale. Mais c'est une
affection
aiguë dans laquelle la difformité, l'inclinaison
onfondre cette altitude, chez les enfants, avec celle qui dépend de l'
affection
sous-occipitale. La lordose dorsale se voit pre
r peu qu'on la cherche avec soin ; elle se trahit par les signes de l'
affection
primitive. Voici quelques exemples de lordose d
et de l'atlas sur la deuxième vertèbre du cou; elles constituent une
affection
distincte, le torticolis. J'en ai indiqué les esp
e torticolis aigu, le lombago, la pleurodynie, dans un grand nombre d'
affections
thora-ciques et abdominales, à la suite de la ple
La durée de ces scolioses symptomatiques est subordonnée a celle de l'
affection
qui les produit. Elles persistent toute la vie, s
l'affection qui les produit. Elles persistent toute la vie, si cette
affection
est incurable et si l'on ne peut en pallier les e
que j'ai indiqués. L'affaissement cunéiforme n'est pas propre à cette
affection
, comme le croyait Del-pech (1). L'existence de l'
sion sont le plus souvent réunies; mais l'une prédomine au début de l'
affection
; l'autre appartient surtout aux périodes plus ava
itisme (2), sur le sens des déformations pelviennes causées par cette
affection
. Je ne m'arrête pas au plus ou moins de saillie
—intervertébraux. Il supposa, plutôt qu'il ne la vit réellement, une
affection
primitive de ces ligaments, suivie de leur ramoll
s fort rares de contracture rhumatismale, de rétraction primitive par
affection
nerveuse, analogue à celle de quelques fœtus rend
dans un sens que dans l'autre par l'effet d'une attitude qui, sans l'
affection
du squelette , serait par elle-même incapable de
nmoins il laisse la colonne vertébrale parfaitement droite, lorsque l'
affection
osseuse ne porte pas sur les vertèbres. Nous ne
anée s'est développée à huit ans, et a sans doute été favorisée par l'
affection
rachitique et par une certaine influence hérédita
s précédentes. La déviation, due au rachitisme, a commencé avec cette
affection
dès le bas âge. Ces enfants à courbure dorsale
la scoliose ; de là de nouveaux traits à ajouter au tableau de cette
affection
, ceux qui dérivent des altérations fonctionnelle
tion, chez les sujets gibbeux, donne une physionomie spéciale à leurs
affections
thoraciques. La dyspnée, les phénomènes d'asphyxi
sur les caractères extérieurs de la courbure, sur les symptômes de l'
affection
qui la produit, et sur la résistance même que l'o
uestion. Ce dernier caractère manque s'il y a à la fois scoliose et
affection
douloureuse du rachis ou des parties voisines. C'
orsion ne laissaient point de doute sur l'existence de la scoliose. L'
affection
destructive des vertèbres, qui s'y joignait, n'ét
ficultés sérieuses que lorsque la saillie en pointe de cette dernière
affection
vient à manquer, en même temps que l'attitude du
sser le tronc, il n'y a là rien qui ne puisse en effet dépendre d'une
affection
douloureuse, (1) Voyez dans les journaux de méd
e dois à son obligeance, font voir l'aspect du tronc dans cet ordre d'
affections
. Une des omoplates est fortement élevée et rappro
être étrangère à ces accidents ou les avoir provoqués par suite d'une
affection
morbide des os ou d'une simple compression de la
ionnelle, il faut d'abord rechercher quelle est la fin naturelle de l'
affection
; il faut examiner s'il n'y a pas une thérapeutiq
heuse, lorsque les jeunes malades ne présentent aucune trace de celte
affection
. Il faut que les praticiens soient bien pénétrés
decins étrangers, a trouvé un appui dans l'hypothèse de Delpech sur l'
affection
primitive des ligaments inter-vertébraux, que cet
à d'autres moyens, elle rend de grands services dans la cure de cette
affection
. En laissant les malades levés pendant un nombre
scles inertes. Vous avez vu que la vraie scoliose n'est nullement une
affection
musculaire, et même en admettant que la con« trac
, et ne seront admis comme un accessoire, dans le traitement de cette
affection
, que sur quelque indication particulière, et lors
ipathique? Assurément non. Il faut avoir égard aux circonstances de l'
affection
: si elle est à son début, il faut s'enquérir de
................ 70 I. Synovite.......................... **• II.
Affection
osseuse..................• • • 71 Mécanisme de
I. Traitement de la synovite................. ¦ II. Traitement de l'
affection
osseuse.............. 92 ART. III. -pseud arthr
, n'est-il pas déjà bien vaste ? D'un côté, il offre à nos études les
affections
de l'âge sénile^ qui méritent bien qu'on s'y arrê
ritent bien qu'on s'y arrête quelque temps. En second lieu, parmi les
affections
chroniques, il nous livre, réunies en grand nombr
t hospice une consultation con-sacrée surtout aux malades atteintes d'
affections
chroniques(1) et une salle où elles pourront être
nent, par la voie des nerfs, des troubles variés de la nutrition. Ces
affections
secondaires constituent un groupe pathologique de
ronostic d'une certitude presque absolue. Les eschares sacrées, les
affections
des reins et de la vessie qui se produisent avec
es de X atrophie muscu-laireprogressive considérées naguère comme des
affections
pri-mitives des muscles, et dont le point de dépa
res partagent ce privilège avec les nerfs qui émanent d'eux. Mais les
affections
consécutives résul-tant des lésions protopathique
ndes; de telle sorte que, pour le clinicien appelé à recon-naître ces
affections
, la question de savoir quelle a été la circon-scr
essé. Ces lésions passives, que nous verrons figurer dans différentes
affections
paralytiques, n'ont rien de sont pas sous l'inf
exclusivement à la cinquième paire (1). 1. Note sur quelques cas d'
affection
de la peau, dépendant d'une influence du système
la section d'une moitié latérale de la moelle épinière au dos. Les
affections
de l'œil ulcérations, fonte delà cornée, conjonct
ciens élèves, le regretté Mougeot, une étude très remarquable sur les
affections
cutanées, développées sous l'influence des lésion
y sont rela-tifs ont été rassemblés avec le plus grand soin (2). a)
Affections
de la peau,. Les accidents que les lésions trau-m
eot. — Recherches sur quelques troubles de nutrition con-sécutifs aux
affections
des nerfs. Paris, 1867. temps un très bel exemp
d'éruptions eczéma-teuses, les chirurgiens américains ont décrit une
affection
delà peau qui peut être rapprochée de la forme pr
ur la peau des par-ties douloureuses. » 'Charcot. — Surquelques cas d'
affection
de la peau, dépen-dant d'une influence du système
ton, qui simule le phlegmon (faux phlegmon) (1). 4° Vient ensuite l'
affection
cutanée qui a été décrite par les chirurgiens amé
i aboutit à l'atro-phie du derme et qui rappelle ce qu'on voit dans l'
affection
désignée sous le nom de sclévodermie. b) Affect
u'on voit dans l'affection désignée sous le nom de sclévodermie. b)
Affections
des muscles. Les muscles s'atrophient, de leur cô
est là un sujet qui sera l'objet d'une étude toute particulière. c)
Affections
des articulations. Vers les jointures, les lésion
ut d'abord, — comme Paget Pavait fait d'ailleurs avant eux, — que ces
affections
consécutives sont presque toujours précé-dées ou
nomè-nes qu'on observe en pareil cas. Il faut ajouter enfin que les
affections
périphériques qui relèvent de l'irritation des ne
organiques des nerfs, où l'on peut voir apparaître toute la série des
affections
périphériques que nous avons appris à connaître c
ait pressentir, nous allons voir se reproduire ici toute la série des
affections
que nous venons à l'instant de passer en revue. C
nerfs et des trou-bles de nutrition consécutifs. que, a déterminé l'
affection
du nerf. — C'est évidemment d'après ce dernier mo
EÇON Troubles trophiques consécutifs aux lésions des nerfs (suite).
Affections
des muscles. Troubles trophiques consécutifs au
ssus inflammatoire. Je me bornerai à citer un exemple. On connaît les
affections
articulaires décrites par MM. Tessier et Bonnet e
à la longue, résultent de l'inaction(1). liien différentes sont les
affections
des nerfs auxquelles se rattachent, chez l'homme,
on dans les cas de section pure et simple des troncs nerveux (2) .Les
affections
développées spontanémentprê-tentàdes considératio
quel'hématomyélie, la myélite aiguë centrale, la paralysie infantile,
affections
dans lesquelles lalésion initiale occupe plus par
vent aplanies, et par suite, il y a lieu de reconnaître, à propos des
affections
des muscles, la distinction fondamentale entre le
ide du système nerveux, que nous avons fait valoir déjà, à propos des
affections
cutanées et arti-culaires (1). termes s'exprime
moelle épinière et du cerveau. Nous traiterons en premier lieu des
affections
musculaires, puisque l'étude que nous venons de t
ie. Les considérations que nous allons développer relative-ment à ces
affections
, concernent seulement les lésions de la moelle et
t de la plus haute importance. Lésions musculaires consécutives aux
affections
de la moelle épinière. — Parmi les lésions spinal
rapports avec l'atrophie musculaire qui com-plique quelquefois celte
affection
. In Archives de Physiologie,eic, ;t. III, p. 599.
ercée par une tumeur, par le mal vertébral de Pott, etc. Ces diverses
affections
mont pas d'influence directe sur la nutrition des
ant les nerfs périphériques (1). B. Le second groupe comprendra les
affections
de la moelle épinière qui ont pour conséquence, à
(hématomyélie)do\l être mentionnée en second lieu. Il s'agit là d'une
affection
qui, au point de vue de la pathogénie et de l'ana
euvième jour dans un fait rapporté par Duriau (2) L'apoplexie est une
affection
en général rapidement mortelle ; elle n'a pas enc
ilité électrique dans les muscles des membres paralysés (3). 2° Les
affections
qui composent la seconde catégorie relèvent de lé
e infantile spinale est, quant à présent, le type le plus parfait des
affections
qui forment cette catégorie. Les 1. Les vues qu
à en juger par les symptômes, il est au moins fort pro-bable que ces
affections
se rattachent, elles aussi, aune lésion des cellu
volume et leurs fonctions (1). Lésions musculaires consécutives aux
affections
du bulbe. — C'est là un sujet encore peu exploré.
e l'hématomyélie, la myélite aiguë centrale et, en un mot, toutes tes
affections
irritatives de la moelle dans lesquelles l'axe gr
relatifs aux troubles trophiques qui se mon-trent consécutivement aux
affections
du système nerveux, j'es-pérais que ma tâche pour
ux lésions de la moelle épinière et du cerveau (suite). Sommaire. —
Affections
cutanées dans la sclérose des cordons postérieurs
dies du cerveau et de la moelle épinière. — Mode d'évolution de cette
affection
de la peau : Erythème, bulles, mortification du d
lésions des nerfs périphériques, jô vous ai laissé pressentir que ces
affections
consécutives se trouvaient représentées, pour l
r origine. Mais il est des circonstances où la ressemblance entre les
affections
de cause centrale et celles qui dépendent d'une l
utanées qui surviennent parfois dans le cours de l'ataxie. I. Les
affections
cutanées auxquelles nous venons de faire al-lusio
cas auxquels je faisais allusion plus haut, tantôt ia production des
affections
papu-leuses, tantôt celles des affections vésicul
t, tantôt ia production des affections papu-leuses, tantôt celles des
affections
vésiculeuses, pustuleuses ou enfin gangreneuses.
t l'irritation soit capable de déterminer la production de semblables
affections
? Cette question pour le moment doit rester sans r
pour attirer votre attention d'une façon toute spéciale sur une autre
affection
de la peau, à laquelle revient un rôle très impor
d'un bon nombre de maladies du cer-veau et de la moelle épinière. L'
affection
cutanée dont je vais vous entretenir se montre, à
u de tout autre cause occasionnelle du même genre (1). C'est là une
affection
bien différente de toutes les éruptions, d'ailleu
s jours et parfois même quelques heures seulement après le début de l'
affection
cérébrale ou spinale, ou encore à la suite d'une
rale ou spinale, ou encore à la suite d'une brusque exacertion de ces
affections
, il se mani-feste sur certains points de la peau
ler ici les remarques don.' R. Bright t'ait suivre les observations d'
affection
delà moelle épinière avec for matïon rapide de bu
ance à la formation de vésicules ou de bulles, qui se montre dans les
affections
de ce genre. Ces vésicules, ces bulles apparaisse
ation des bulles pouvait quelque jour éclairer la pathogénie de cette
affection
singulière qu'on désigne sous le nom d'Herpès Zos
à les voir figurer souvent dans la période ultime d'un grand nombre d'
affections
du cerveau, et surtout de la moelle épinière. L
e gangrènes pulmonaires, observées chez les alié-nés et dans diverses
affections
des centres nerveux, sont cau-sées parle « transp
s les pou-mons. 2. Delà coïncidence des gangrenés viscérales et des
affections
gangreneuses extérieures, in Union médicale, 26 e
ci. Dans ce but, nous passerons suc-cessivement en revue les diverses
affections
du cerveau et de la moelle qui peuvent donner lie
la région sacrée, ainsi que cela a lieu si communément dans les cas d'
affection
spinale, qu'il se développe, non plus que sur un
aire remarquer, chemin fai-sant, que, d'après mes observations, cette
affection
de la peau ne se montre que fort exceptionnelleme
du même ordre. Le développement à peu près simul-tané de ces diverses
affections
consécutives rend vraisemblable, déjà, qu'elles r
utefois, que cette règle est loin d'être absolue. En effet, certaines
affections
spinales ont pour carac-tère que toujours l'atrop
paralysie infantile spinale et dans la paralysie spinale de l'adulte,
affections
qui sont caractérisées anatomique-ment par des lé
fréquemment pour.siège les jointures. Les variétés que présentent ces
affections
articulaires, suivant la nature des 1. Rayer. —
de physiologie, t. I), qu'il s'agit dans la note dudocteur Alison; l'
affection
a pour caractère de rester limitée aux membres pa
es et des articulations qui, bien à tort, est souvent rapportée à une
affection
rhumatismale. Cette subin-flammation qui survient
rthropathie dont il s'agit paraît ne devoir pas être confondue avec l'
affection
articulaire qui a été décrite, dans ces derniers
t du diagnostic, le rhumatisme arti-culaire aigu ou subaigu étant une
affection
à laquelle se lient souvent certaines formes de r
miner un ébranlement des centres nerveux. D'un autre côté, beaucoup d'
affections
de la moelle épinière sont rattachées à tort à la
Permettez-moi d'arrêter un instant votre attention sur cette espèce d'
affection
articulaire à laquelle j'at-tache un intérêt pate
une atrophie rapide des masses musculaires sur les membres où siège l'
affection
articulaire. L'arthropathie des ataxiques occup
les lé-sions de l'arthropathie des ataxiques. mais chez laquelle l'
affection
de la jointure remontait à une époque beaucoup pl
t par la suite. Ce qui sera dit suffira, j'espère, pour montrer que l'
affection
articulaire dont il s'agit est, elle aussi l'expr
ondant sur des observations cliniques, bien des fois répé-tées, que l'
affection
articulaire dont il s'agit se développe en généra
rités que l'on ne trouveréunies, si je neme trompe, dans aucune autre
affection
articulaire. Fig. 6. — A, Corne antérieure du c
e 1 arthropathie en question est une lésion trophique consécutive à l'
affection
delamoelle épinière, nous ne pouvion s cependant
ieurs, a pu, chez nos deux malades, occasionner le développement de l'
affection
articulaire. Si, par la suite, les ré-sultats obt
es surrénales dans la myélite. — Néphrite et cystite consécutives aux
affections
spinales irritatives, à début brusque, traumatiqu
sur-viennent fréquemment, comme on sait, dans le cours de cer-taines
affections
encéphaliques, dérivent en pareil cas, d'une infl
atteints de ramollissement du cerveau meu-rent presque toujours d'une
affection
pulmonaire et il cite à ce propos une statistique
. Ilf. p. 146). paraissent être d'un ordre à part. En revanche, les
affections
des reins et de la vessie sur lesquelles je veux
ue la néphrite et la cystite sont des complications très communes des
affections
spinales irritatives, à début brusque, qu'elles s
ons vésico-rénales. 11 n'en est plus de même lorsqu'il s'agit d'une
affection
déve-loppée spontanément dans la moelle épinière,
très circonscrite, de la moelle épinière, suffit pour dé-terminer une
affection
plus ou moins grave et plus ou moins généralisée
i rapide de lésions inflammatoires des voies urinaires à la suite des
affections
aiguës, spontanées ou traumatiques de la moelle é
absence d'action des diverses parties de ce système ; loin de là, ces
affections
se-raient, leplus souvent, la conséquence de l'ir
rmique. Cet abais-sement a pu être observé à toutes les périodes de l'
affection
du nerf; on l'a constaté aune époque voisine du d
S). D'après tout ce qui précède, ce n'est pas, vous le voyez, à une
affection
, soit paralytique, soit irritative des nerfs vaso
ne le fait pas disparaître. En réalité, pendant la veille, lorsque l'
affection
est intense, il n'y a pas de relâche pour ces mal
ître. C'est pour ne les avoir pas pris en con-sidération que les deux
affections
qui doivent faire l'objet de nos premières études
aler un trait distinctif qui permettrait déjà de poser entre les deux
affections
une ligne de démarcation tranchée. Toutefois, ce
0rdenstein(2). Il importe donc d'établir un parallèle entre ces deux
affections
, en les comparant l'une à l'autre sous le triple
. Le terme fatal survient ou parles progrès de l'âge,ou par le fait d'
affections
intercurrentes soit accidentelles,soit occasionné
â récriture des caractères qui ont quelque chose de spécial. Quand l'
affection
est au début, l'écriture, au premier abord, sembl
dangereux, si on ne prend des précautions. ; B. ] c'est encore une
affection
cruelle par suite des sensations péni-bles qu'épr
variations de la température centrale qui s observent dans cer-taines
affections
convulsrves et sur la distinction qui doit être é
lieu, d'après M. Bence-Jones, dans la chorée et le delirium tremens,
affections
dans lesquelles il y aune grande dépense musculai
ée par M. Ben-ce-Jones, à propos de la chorée. D'ailleurs, dans cette
affection
même, Leh-mann et Grimer ont toujours trouvé une
te delà 2" édition . que l'on pourrait appeler période terminale. L'
affection
pour-suivant sa marche, la difficulté des mouveme
. En pareil cas, les malades succombent par les seuls progrès de leur
affection
, par une sorte d'épuisement du système nerveux, e
ssieurs, que, d'une façon générale, la paralysie agitante est une des
affections
graves du système nerveux dont la durée est la pl
e constitue, encore aujourd'hui, à peu près toute l'histoire de cette
affection
. Les rares autopsies pratiquéesjusqu'à présent
s qui per-mettent de distinguer aujourd'hui cette maladie d'une autre
affection
jusqu'alors confondue avec elle, la sclérose en p
fondue avec elle, la sclérose en plaques disséminées. C'est à cette
affection
, qui nous fournit un spécimen du trem-blement du
frose enplaquesdisséminées,je vous l'ai dit, Messieurs, n'est-pas une
affection
exclusivement spinale. Elle envahit le cerveau, l
vasculaires ne joue ici qu'un rôle accesssoire. En quoi consiste l'
affection
de la névroglie qui marque le début de cette séri
linique, il est pos-sible de la rencontrer; c'est là, en réalité, une
affection
poly-morphe par excellence. L'étude anatomo-pat
uvent dans la pratique. Eh bien, même considérée dans ce seul type, l'
affection
peut prendre des masques très variés. Permettez-m
M. Ordenstein, alors notre élève, à oppo-ser dans un parallèle cette
affection
à la paralysie agitante, afin de mieux faire ress
..., âgée de trente-un ans, est atteinte depuis huit ans environ de l'
affection
qui fait l'objet de la présente étude. Admise à l
des caractères à peu près semblables, s'observe quelquefois dans des
affections
autres que la sclérose en plaques,par exemple dan
illeurs, nous avons observé les malades à une épo-que avancée de leur
affection
: alors, il e-t à peu près impossible d'obtenir a
niquement la sclérose multilo-cnlaire des contres nerveux de quelques
affections
qui s'en rapprochent assez pour que la confusion
près général dans la paralysie agitante : j'ajouterai que, dans cette
affection
, les secousses du trem-blement sont beaucoup moin
i eu l'occasion d'observer, ont présenté, à une certaine période de l'
affection
, un faciès vraiment particulier. Le regard est va
elle a remarqué avec peine qu'ils augmentaient depuis le début de son
affection
. (B). 2. Ueber multiple inselformige Sklerose d
e multilo-culaire régulière et les malades atteints de cette dernière
affection
peuvent, les yeux fermés, déterminer avec précisi
es muscles des membres, — ce qui établit un contraste avec beaucoup d'
affections
spinales où l'on voit, au contraire, de très bonn
u, dans plusieurs cas, d'ailleurs parfaitement ca-ractérisés de cette
affection
, survenirune atrophiede certains muscles ou group
ntraire dans l'ataxie locomotrice progressive et dans quelques autres
affections
spinales. La contracture permanente des membres
à part, d'une façon générale et dans leurs rapports avec les diverses
affections
de la moelle épinière où ils peu-vent se manifest
s lésions. Etiologie. — Influence du sexe et de l'âge.— Hérédité. —
Affections
nerveuses antérieures. — Causes occasionnelles :
eu propre à la sclérose multiloculaire. 11 se présente dans nombre d'
affections
qui intéressent à la fois plusieurs points de l'a
pas douteux qu'en se multipliant, les observations relatives à cette
affection
permettront un jour de compléter le tableau. Pa
toujours présentes dans l'isthme est un caractère commun à toutes les
affections
en appa-rence si disparates auxquelles se surajou
rmes et épileptiformes de la paralysie générale et de quelques autres
affections
cérébro-spinales,c'est qu'à mon sens, on trouve l
es inférieurs est un symptôme quelque peu banal, commun à une foule d'
affections
diverses; elle se présente pourtant dans la sclér
la dysenterie, peuvent être comptées parmi les plus fréquentes de ces
affections
terminales (1). J'ai réservé, pour la mentionne
as qui ont été publiés récemment, nous retrouvons le plus souvent les
affections
terminales indiquées par Al. Charcot. Il ressort
ais, vous vous en souvenez sans doute, démontrer comment bon nombre d'
affections
du système musculaire, jusque-là rattachées à une
ertaines régions bien déterminées de l'axe gris spinal. Ce groupe d'
affections
musculaires, que j'ai proposé d'appeler myopathie
d'être épuisé, et j'aurai l'occasion de signaler, relativement à ces
affections
, plusieurs faits nouveaux ou connus d'une ma-nièr
ière entrevue: c'est, —si je ne m'a-buse, — un exemple légitime d'une
affection
rare, très rare, et dont l'existence même est con
e, quelque part, on fait de l'hystérie une maladie de lu-bricité, une
affection
honteuse, propres à rendre les hystériques des ob
urs si 1. Brodie. — Lectures illustratives of certain local nervous
Affections
, 1837. Nous avons fait traduire ces leçons en fra
grier. — Recueil de faits pour servir à l'histoire des ovaires el des
affections
hystériques de la femme. Angers, 1858, p. 168, 16
dont le Recueil de faits pour sertir à l'histoire des ovaires et des
affections
hystériques chez la femme, publié en 1858, ne par
16 ans. On ne sait trop à quelle cause il faut, chez elle rattacher l'
affection
. Quoi qu'il en soit, au point de vue de l'hysféri
nous renseigner d'une façon véridique sur le mode d'évolution de son
affection
. Voici, en quelques mots, son histoire. Il n'y
t pas, tant s'en faut, j'espère vous en donner bientôt la preuve, une
affection
incurable. Chez les malades sur lesquels je vie
tuelle-mentdexùngt-deuxans,trèsnerveuseetappartenantàunelàmill où les
affections
nerveuses prédominent,fut prise,il yatroisans, to
rme épileptique y apparaîtrait comme elle apparaît dans tant d'autres
affections
du système nerveux, à titre d'élément accessoire,
ations ne changent rien au fond des choses. Le plus souvent, les deux
affections
, dans l'hystéro-épilepsie, existent simultanément
des membres, de la tète, de la langue. — Chorea major. — Nature de l'
affection
: elle relève de l'hystérie. — Preuves à l'appui,
avez vu assez,Messieurs,je pense,pour être amenés à reconnaître que l'
affection
que vous avez sous les yeux peut être appelée une
eption la plus large, en tant, par exemple, qu'il sert à désigner les
affections
de nature diverse où il existe des gesti-culation
, est en outre, légitimement applicable, ou, en d'autres termes,que l'
affection
choréiforme est là, au premier chef, sous la dépe
aire, à la diathèse hystérique, par des liens très étroits, comme une
affection
subordonnée, au même titre que les pa-ralysies,le
s équivalents, pouvant se substituer l'un à l'autre dans la série des
affections
hystériques ? Cet arrêt si remarquable des mouv
I et III ; passim. parmi les circonstances propres à caractériser l'
affection
, en outre des symptômes hystériques antécédents o
e rythmique. Le cas de Mlle de LaB., en particulier, montre que cette
affection
peut, quelquefois persister, comme le fait trop s
cun des membres de sa famille qu'elle a connus n'aurait été atteint d'
affections
nerveuses et en particulier de tremblement. Gav
opre. 11 est, en effet, singulier de donner le nom de paralysie à une
affection
dans laquelle, pendant longtemps, la force muscul
Ces considérations ont amené M. Charcot à proposer d'ap-peler cette
affection
: maladie de Parkinson, du nom du mé-decin anglais
lésions anatomiques et les symptômes morbides qui caractérisent cette
affection
. 11 a insisté ensuite sur deuxpoints encore peu c
lte clairement de ce rapprochement qu'on ne saurait sé-parer ces deux
affections
pour en faire deux maladies de nature différente,
II. Traumatisme et paralysie agitante ». 1. On sait que certaines
affections
, subordonnées à une ma-ladie diathésique, peuvent
etit livre intitulé : Lectures illustrâtives of certain local nervous
affections
(London, 1837(3); il est, dit M. Charcot, peut-êt
vre cité plus haut (p. 77), son ex-posé du traitement chirurgical des
affections
locales hysté-riques. «Leseonseils'que j'aurai à
EÇON troubles trophiques consécutifs aux lésions des nerfs (suite).
affections
des muscles. troubles trophiques consécutifs aux
lésions de la moelle épinière et du cerveau (suite). Sommaire. —
Affections
cutanées dans la sclérose des cordons postérieurs
es du cerveau et de la moelle épinière. — Mode d'évolution de celte
affection
de la peau : Erythème, bulles, mortification du
fs aux lésions de la moelle épinière et du cerveau (suite et fin). —
affections
des viscères. partie théorique. Sommaire. — H
es surrénales dans la myélite. — Néphrite et cystite consécutives aux
affections
spinales irritatives, à début brusque, traumatiqu
les lésions. Etiologie. — Influence du sexe et de l'âge.— Hérédité. —
Affections
nerveuses antérieures. — Causes occasionnelles
des membres, de la tête, de la langue. — Chorea ma-jor. — Nature de l'
affection
: elle relève de l'hystérie. —Preuves à l'appui :
e, 113; — lésions, 120; — caractères cliniques, 119. Articulations (
Affections
trophiques des), 25. (V Artropathies.) Ataxie l
fections trophiques des), 25. (V Artropathies.) Ataxie locomotrice (
Affections
cuta-nées dans 1'), 76; relation ertre ces affect
ie locomotrice (Affections cuta-nées dans 1'), 76; relation ertre ces
affections
et les douleurs ful-gurantes, 76 ; — différences
amphre, 188. Bulbe rachidien. Lésions muscu-laires consécutives aux
affections
du - . 72. — Lésions du — dans la paralysie agita
cle Saint-Guy, 459. Décubitus aigu, 83. — Mode d'évo-lution, 86. —
Affections
consécu-tives au —, 88 ; — dans l'apoplexie sympt
pinière (Effets de la section transversale de la), 11, 19. Muscles (
Affections
trophiques des), 36 ; — dans la paralysie infanti
s, 283. — Durée, 284. — Gravité, 293. Oligurie hystérique, 278. Os (
Affections
trophiques des), 25, 32 Ovaire (Siège de 1'), 327
dies du système nerveux, aux maladies mentales, aux rapports de ces
affections
avec la syphilis et la der- matologie. Comme
es circonstances qu'il est fort important de 'relever à propos de l'
affection
dont vous allez le voir, noire malade est attei
econnus pour la plupart, Messieurs, la des- cription qui précède, l'
affection
dont il s'agit chez notre malade. C'est une des
vons ai présenté tout a l'heure la migraine oplilhahniquc comme une
affection
bénigne, d'un pronostic favorable, non seulement
e de ces deux observations ne laisse aucun doute sur la nature de l'
affection
dont les enfants qui en sont l'objet étaient atte
n- génial ou maladie de Little. Comme la symptomatologie de cette
affection
est encore assez sujette à controverse, nous si
es de l'hérédo-syphilis. Toutes les apparences sont donc pour que l'
affection
nerveuse dont il souffre soit sous la dépendanc
e avis, ce caractère familial juge l'origine, sinon la nature, de l'
affection
spasmodique, au moins dans ces cas particuliers
les procédés thérapeutiques ont échoué jusqu'à ce jour contre cette
affection
, nous pensons qu'il y aura tout inté- rêt dans
vaient été signalées dans l'ouvrage du professeur A. Fournier : Les
affections
parasyphilitiques, Paris, 1894, p. 336, vient de
c. 1891, p. 141G) dans lequel l'origine liérédo-syphili- tique de l'
affection
est également manifeste. \ DE LA PARALYSIE GÉ
.bientôt par l'anatomie. patho- logique, que les rapports de cette
affection
avec la paralysie générale pu- rent être envisa
en voit fréquemment dans la pathologie nerveuse, mais que les deux
affections
étaient différentes et que l'une ne pouvait êtr
Pierret envisage le tabes associé a la paralysie générale comme une
affection
systématique intéressant tout le système sensit
- rale ne puissent s'associer comme le l'ont souvent la plupart des
affections
du système nerveux, mais celte association est
D. Savill sur la peau d'un malade ayant succombé au cours de cette
affection
]. . N. D. L. R. f*J0UV. jCONOCin. DC L.A pAL.
uvé que les lésions variaient proportionnellement à la gravité de l'
affection
. Dans ces observations, les symptômes furent mo
T Cw ÉDITEURS NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL A PROPOS DE DEUX CAS DE C
UR LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL A PROPOS DE DEUX CAS DE CES
AFFECTIONS
. PAR F. RAYMOND Professeur de Clinique des
t de celle qui suivra, est atteinte, selon toute probabilité, d'une
affection
encore mal connue et dont l'étude est à peine e
complètement sous silence. Il s'agit, pour le dire de suite, d'une
affection
de la queue de cheval. Je me trouve ainsi amené
ur la signification diagnostique de cetle distribution. \ SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CUEVAL 67 * s . 1 En poursui
vous faire connaître dans quelles circonstances s'est développée l'
affection
dont est atteinte noire malade. Celle-ci est âg
ésion de la queue de cheval. L EATTAILLE ET C" F ? FURS SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 71 5 francs en argent. Du
e Y atrophie de la fesse droite. A cause de la violence des SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE C EVAL 73 douleurs, je ne pus ét
à première vue, éveiller dans l'esprit du médecin le soupçon d'une
affection
delà queue de cheval. 74 NOUVELLE ICONOGRAPHI
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIÈRE . si 'r -- Dans quelles
affections
pouvez-vous rencontrer un ensemble sympto- mati
c- tum, l'anesthésie peut passer inaperçue. Quelles sont donc les
affections
dans lesquelles vous voyez dominer des douleurs
membre inférieur et la région sacro-lombaire ? Dans le groupe des
affections
où prédominent les phénomènes doulou- reux de s
t peu instruit, d'éviter une erreur de diagnostic. Avec une autre
affection
douloureuse de la région sacro-fémorale, cette
tères suffisants pour vous mettre à l'abri d'une bonfusion avec une
affection
de la queue de cheval. La sciatique névrite p
OT, Clinique des maladies du système nerveux, t. I, p. 179. SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 75 Par contre, il y a lie
75 Par contre, il y a lieu de faire le diagnostic différentiel des
affections
de la queue de cheval avec une forme spéciale d
te ; la gibbosité, qui constitue par excellence la signa- ture de l'
affection
, peut manquer. Il en est toujours ainsi quand l'a
ture de l'affection, peut manquer. Il en est toujours ainsi quand l'
affection
est simulée par l'hystérie. J'ai eu autrefois l
in instruit de confondre la maladie dont elle est atteinte avec une
affection
de la queue de cheval. C'est une jeune fille de
éprouverez pas plus d'embarras pour rattachera sa véritable cause l'
affection
du malade qui s'avance devant vous, lorsque, en q
me anal ; sa puissance génitale s'est mise à baisser. , SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 77 Actuellement, la press
incu, qu'il est facile de distinguer cette forme de polynévrite des
affections
de la queue de cheval. Il est une autre forme d
t plus qu'il n'en faut pour différencier celte forme de myélite des
affections
de la queue de cheval. On en peut dire autant d
bilatéraux. Enfin une confusion du tabès dorso-lombaire avec une
affection
de la queue de cheval serai inexcusable, car da
eux premiers malades. C'est que, chez eux, nous avons affaire à une
affection
qui emprunte des traits en partie aux paralysie
lle j'étais arrivé à la fin de ma dernière leçon était celle-ci : l'
affection
de la malade qui est devant vous, et que vous con
lombo-sacre, parce qu'elle réunit, ai la fois, les caractères d'une
affection
périphérique et d'une affection centrale ; dans
t, ai la fois, les caractères d'une affection périphérique et d'une
affection
centrale ; dans' cette région seulement, en eff
ois obligé de faire une étude un peu détaillée de la pathologie des
affections
de la queue de cheval. / 1 Ces affections de
ée de la pathologie des affections de la queue de cheval. / 1 Ces
affections
de la queue de cheval nous intéressent à un doubl
ès que les chirurgiens ont déjà obtenus en inter- venant contre des
affections
qui occasionnent souvent des souffrances atroce
eçon, qu'à l'état tout à fait embryonnaire dans quel- " / SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 79 ques traités didactiqu
asion que me fournit notre malade, pour vous exposer l'histoire des
affections
de la queue de cheval, avec quelques dé- velopp
ivra. Il ressortira d'ailleurs, de ce préambule, que l'histoire des
affections
de la queue de cheval se confond, dans une cert
vous mon- trerai qu'en tenant compte des symptômes attribués aux
affections
du cône terminal, il est de toute nécessité de
t été réséquées ; G queue de cheval ; 1.1 filuum terminale. SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 81 hier, il est admis que
la Société de biologie, en 1892. \ /ItiV/vi 0Usi& » , 4 SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE' CHEVAL 83 serez à même de vous
E . RÉSUME DE L'INXERVATIOX DES PLEXUS LOMBAIRE ET SACHE. SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CUEVAL 85 RÉSUMÉ DE L'INNEIWATIO
érieur, t5, musculo- cutané du sciatique poplité externe. SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 87 plexus sacré, de même
s anatomiques. Je vais aborder mainte- nant l'histoire clinique des
affections
de la queue de cheval el, du cône ter- iiiiial.
bord la symptomatologie qu'on trouve réali- sée dans les cas où une
affection
, telle qu'une tumeur, un processus méningitique
le très complète des éléments qui composent le tableau clinique des
affections
de la queue de cheval. Cela dit, voyons un peu
ensibilité. a) 77eh ? e.S ! <M ; douleurs. Quand il s'agit d'une
affection
sponta- née, non traumatique, de la queue de ch
uent que les douleurs s'atténuent ou s'apaisent pendant des SUR LES
affections
DE la QUEUE DE CHEVAL 89 périodes de temps plus
thésie. L'anesthésie est une manifestation constante dans les cas d'
affection
de la queue de cheval. Elle porte sur les différe
ces du plexus sacré ; c'est, ajoute- rais-je même, un caractère des
affections
de la queue de cheval, sans participation du re
s ce que l'on peut dire des troubles de la démarche, dans les cas d'
affections
de la queue de cheval. Troubles de la démarch
se fatiguent très vite. Il faut que vous sachiez aussi que dans les
affections
de la queue de cheval, la démarche n'est pas se
a parésie motrice se complique d'une atrophie plus ou moins SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 91 1 prononcée de quelq
aver la cachexie terminale, qui est un des modes de terminaison des
affections
de la queue de cheval. SYMPTOMATOLOGIE SPÉCIALE
es affections de la queue de cheval. SYMPTOMATOLOGIE SPÉCIALE DES
AFFECTIONS
LIMITÉES AU CÔNE TERMINAL ET AU FILAMENT TERMIN
e des troubles des fonctions génito-urinaires el du rectum dans les
affections
qui intéressent la queue de cheval et la portion
primait exclusive- ment les nerfs destinés à la vessie. ' SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 93 C'est ce qui explique
sseur RosentUal, de Vienne, n'a pas hésité à porter le diagnostic d'
affection
du cône terminal. Vous voyez donc que j'avais r
ami Ricklin, en vue de celte leçon, le relevé des principaux cas d'
affections
de la queue de cheval et du cône terminal, publ
pose ainsi, eu égard à la nature del'élémentétioloictne : SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 95 sur le siège. Dans un
sciatique. ' MODE DE DÉBUT ; MARCHE ; TERMINAISON. PRONOSTIC. Les
affections
de la queue de cheval présentent deux principaux
e paralysie sensitive et motrice de la vessie et du rectum. Quand l'
affection
n'a pas une origine traumatique, il est de règle
En général ils évoluent avec plus de lenteur que dans le cas d'une
affection
traumatique de la queue de cheval. Une fois l
ni1 : ea7¿ tant soit pen élevé, les acci- dents, dans le cas d'une
affection
de la queue de cheval, ne subissent que raremen
-dire montrent de quel degré d'amélio- ration sont susceptibles les
affections
de la queue de cheval. D'autre part, les malade
s de la queue de cheval. D'autre part, les malades, clans les cas d'
affections
de la queue de che- val, conservent l'intégrité
ous faire voir sous un jour relativement favorable le pronostic des
affections
de la queue de cheval : dans deux cas, une inte
dont nous disposons pour calmer les souffrances physiques, SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 97 mais dont vous n'êtes
icité, dirigée contre les douleurs et les autres manifestations des
affections
de la queue de cheval ? c'est ce que je ne saur
leau que j'ai mis sous vos yeux, en vous exposant l'élio- logie des
affections
de la queue de cheval, vous avez pu voir que la s
eval, à la suite d'une luxation, d'une fracture ou de quelque autre
affection
du ra- chis ; tumeur comprimant la queue de che
ns grand risque de vous tromper, que votre malade est atteint d'une
affection
du contenu de la por- SUR LES AFFECTIONS DE LA
re malade est atteint d'une affection du contenu de la por- SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE C ? «J` 99 tion terminale du rac
oir quelle partie de ce contenu intra-rachi- dien est le siège de l'
affection
dont vous aurez ensuite à déterminer la nature
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE Dans ces conditions, vous diagnostiquerez une
affection
de la queue de cheval ou de la partie correspon
ue la portion de moelle d'où émanent ces raci- nes sont indemnes. L'
affection
à laquelle vous avez affaire, intéresse les s r
re de la jambe, proviennent surtout des racines supérieures SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CUEVAL 101 du plexus sacré, tand
us sacré devaient être intéressées, tandis, que, chez le premier, l'
affection
devait être limitée aux racines supérieures de
est susceptible d'une triple interprétation, eu égard au siège de l'
affection
intra-rachidienne. 1° Il peut y avoir en cause
e de l'affection intra-rachidienne. 1° Il peut y avoir en cause une
affection
du cône terminal ayant désor- ganisé le centre
r une sorte de gamme, d'échelle des symptômes qui correspondent aux
affections
ayant pour siège la portion inférieure du conlenu
n inférieure du conlenu intra-rachi- dien. Au sur et à mesure que l'
affection
remonte, depuis la portion infé- rieure dit can
trice de la région cutanée et des muscles innervés par le péronier (
affections
des racines inférieures du plexus sacré). d)
les sciatiques, mais respecte le domaine d'innervation du péronier (
Affection
des racines supérieures du plexus sacre') . e)
êmes symptômes, avec cette différence, qu'aux membres infé- SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 103 rieurs, la paralysie
n plantaire, ou de toute la surface du pied, moins le bord interne (
Affection
de toutes les racines du plexus sacré, ou de la
nnervés par des branches (crural et obturateur) du plexus lombaire (
Affection
ayant occasionné une paralysie complète des racin
eure du ventre et du dos, avec paralysie de la vessie et du rectum (
Affection
intra-spinale remontant jusqu'au renflement lom
(Affection intra-spinale remontant jusqu'au renflement lombaire, ou
affection
, extra- spinale intéressant à la fois les plexu
de rnédico-chiT1lr,qical. J'ai insisté sur ce que, dans deux cas d'
affection
de la queue de cheval, l'intervention opératoire
aut d'abord qu'une opération ne soit pas tentée à une époque où une
affection
de la portion inférieure du contenu intra-rachidi
mand, Valentini, qui a publié un très inié- ressant mémoire sur les
affections
du cône terminal de la queue de cheval (Zeitsch
tschrift für klin. Medicin, 1893, t. XXI fasc. 3, p. 245)' : '1 Les
affections
intra-vertébrales qui siègent au niveau de la 12°
décubitus mettent l'existence des malades en péril. 2.° Lorsque l'
affection
siège au niveau ou en aval de la 2° vertèbre lom-
symplomatologie que nous connaissons pour appartenir en propre aux
affections
de la queue de cheval (catégorie e) : Aux membr
fessière, à la partie postérieure de la cuisse, il la par- SUR LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 105 tie postéro-latérale
rations de décubitus n'acquièrent pas la même gravité que lorsque l'
affection
siège plus haut. 3° Si l'on s'en rapporte à une
tra- duiront par les mêmes symptômes que ceux qui caractérisent les
affections
de la queue de cheval, et, en plus, par une par
raduira par les symptômes que nous connaissons comme étant ceux des
affections
de la queue de cheval, sauf que le territoire inn
e, Messieurs, de revenir au cas de notre malade. Le diagnostic de l'
affection
dont elle est atteinte comporte la solution des
t supposer, selon toute vraisemblance, étant donné l'évolution de l'
affection
, qu'il s'agit d'une plaque de méningite chroni-
Professeur agrégé à la Faculté de Paris, médecin des hôpitaux. L'
affection
que nous allons décrire, doit être, à notre avis,
ite d'être sérieusement médité. La physio- nomie ordinaire de cette
affection
y est très nettement esquissée et la forme à tu
te un cancer ». ' Astley Cooper (5) rapporte plusieurs cas de cette
affection
. Celui d'lJ- lisabeth Pollard, entrée dans le s
is trois azzs. 1 r- démonstration, t. I. (3) P. Pomme, Traité des
affections
vaporeuses des deux sexes, t. 1, p. 24. Paris, an
du sein. « Quelques jeunes femmes, dit-il (1), sont sujettes à une
affection
du sein présentant une grande ressemblance avec
à une affection du sein présentant une grande ressemblance avec les
affections
articulaires de nature hystérique. M. A. Cooper
culaires de nature hystérique. M. A. Cooper, dans ses notes sur les
affections
du sein, a relaté plusieurs de ces cas. La mala
du bras. On ne perçoit au- cune tumeur dans l'orgaue, mais quand l'
affection
est de date un peu an- cienne, le sein devient
ra disparaître toute douleur, mais cette (1) Brodie, Leçons sur les
affections
nerveuses louches, trad. franc., p. 36. 110 NOU
APIIIE DE LA SALPÊTR1ÈRE assurance n'aura aucun effet dans un cas d'
affection
hystérique vérita- ble ». La description de B
ous ne connaissons pas d'exemple de sein hystérique chez l'homme. L'
affection
hystérique du sein n'est pas très rare et cependa
in, car il considère comme ayant une origine hystérique, toutes les
affections
douloureuses du sein dans lesquel- les les pres
conges- tions douloureuses, comme il les appelle, sont liées à des
affections
des organes du bassin. « J'ai observé, dit-il
s directement à la névrose, autrement le sein hystérique serait une
affection
tout à l'ait exceptionnelle, ce qui est loin de
relaté des observations où les deux mamelles étaient le siège de l'
affection
. Nous avons nous-même abservé un cas analogue ave
83, vol. XIII, p. 11. LE SEIN HYSTÉRIQUE 113 Dans son ensemble, l'
affection
hystérique du sein consiste en une aug- mentati
la durée du paroxysme lui- même. Dans les cas simples, ou lorsque l'
affection
ne fait que débuter, le gonflement disparaît av
e la palpation révèle des particularités intéressan- tes. « Quand l'
affection
est de date un peu ancienne, dit Brodie, le sein
crits, il existait de la gnl((clo1'1'hée. Il est vrai de dire que l'
affection
était survenue au cours d'une grossesse et que la
très problématique d'applications locales d'huile de chènevis. L'
affection
hystérique du sein, en tenant compte des périodes
7 cularisé, sous l'influence d'une zone de ce genre. D'autant que l'
affection
est presque toujours entretenue par une thérape
ces excitations localisées. En résumé, le sein hystérique est une
affection
parfaitement caractéri- sée qui est sous la dép
r, pour lequel on proposa l'amputation, fut porté dès lé début de l'
affection
. La même interprétation s'applique au « miracle
ux ans ». D'après ces deux cas, on peut juger que le pronostic de l'
affection
hys- térique du sein est relativement grave, pu
quelques jours. Pas de syphilis, de rhumatisme, de paludisme. Son
affection
actuelle a débuté en janvier z1891, sans cause ap
T DE L'ECZÉMA CURONIQUE AVEC L'ANESTHÉSIE DE LA PEAU 165 ' dans les
affections
de la peau où, pour une raison quelconque, on peu
x auteurs (Weir-Mitchel, Leloir, Bulkley et autres) indiquent cette
affection
comme corrélative de troubles primitifs dans le
sorte que, d'un côté, il n'a pu présenter le tableau géné- ral de l'
affection
nerveuse, et de l'autre, il n'a pu exactemenl déc
(1) Rendu. Recherches sur les altérations de la sensibilité dans les
affections
de la peau. Annales de derm. et de syph. l8ll-l
ées que sur celles où la sen- sibilité était normale. \ Des trois
affections
: la paralysie périphérique de la sensibilité, l'
sur ces derniers, tandis que, dans les cas moins graves où domine l'
affection
cutanée, les dermoloues, ne soupçonnant pas la po
Leloir, Recherches cliniques e<atta<OH ! o-jM ? 0o ? tM.'w les
affections
cutanées d'origine nerveuse. Paris, 1sus2. (2
ures qui ne peuvent dès lors que favo- riser et non provoquer cette
affection
. ZONA GÉNÉRALISÉ A LA PRESQUE TOTALITÉ DE LA
eunes filles », telles sont les principales dénominations cle cette
affection
pour laquelle Jean Varandal, professeur à Montpel
t MARINESCO. Nous avons eu l'occasion de faire deux autopsies d'une
affection
assez rare, la Maladie osseuse de Paget, et deu
homme de 49 ans exerçant la profession de mégissier, chez lequel l'
affection
paraissait avoir débuté, huit ans auparavant, par
son sens géné- ral etnon spécial, ou mieux spécifique, applicable l'
affection
décrite par M. P. Maire. Le malade mourut d'a
'établir des rapprochements enlre la maladie de Page ! et certaines
affections
spi- nales il déterminations osseuses (exemple
ue jamais il ne présenta de phénomènes pouvant faire soupçonner une
affection
du système nerveux : paralysies, douleurs diver
unissent cette anomalie de développement du corps humain aux autres
affections
dystrophiques congénitales. L'infantilisme a ét
u musculaire sont atteints pour leur part; et toutes les variétés d'
affections
, dites familiales, qui sont la conséquence d'un
e l'infantile. . L'infantilisme existe isolé ou associé il d'autres
affections
dystrophiques. La plus fréquente de ces associa
rachitisme, à l'obésité (Féré), à l'atrophie musculaire, etc. Les
affections
osseuses inflammatoires sont d'ailleurs fréquente
n groupe important est constitué par les peintures représentant des
affections
dont la nature morbide, alors ignorée par l'artis
des signes in- discutables d'un oedème généralisé consécutif à une
affection
cardiaque ou rénale . Pareillement, la Malade
ne.seraint- ils pas tombés entre les mains des chirurgiens pour des
affections
céré- brales sans lésion apparente. Autrement d
sement », d' « en- dormissenent» etc., représentent aujourd'hui des
affections
dites nerveu- ses ou mentales. Ainsi, dans l'
ent des plaies ou fractures du crâne, ou au traitement de certaines
affections
du ressort de la patho- logie nerveuse (céphalé
roce et persistante est un des symptômes les plus pénibles de cette
affection
. Pour se guérir du « casque de plomb » qui les éc
thérapeutique attribué aux incisions vasculaires du crâne dans les
affections
douloureuses de la tête. Mais, pour une clientè
ouir de la faveur singulière qui fait se propager si rapidement les
affections
et les procédés thérapeutiques il la mode. Le
t donner une bonne description de ce syndrome. La tétanie est une
affection
paroxystique sujette à récidives. De la forme b
a- nie fut longtemps méconnue et l'on s'efforça d'attribuer à cette
affection
'les causes les plus variées dont on trouvera l
même auteur (3) étudiant un homme de trente-deux ans atteint d'une
affection
convulsive dont il discutait le diagnostic, s'e
s avec spasme de la glotte rentreraient donc dans le cadre de cette
affection
. Or, on sait que ces attaques de spasmes ont pa
ens qui exerça sur lui une heureuse in- fluence. Il prit Teniers en
affection
, le fit collaborer il plusieurs de ses oeuvres,
réconisées contre les maux de tête, et en général contre toutes les
affections
nerveuses ou mentales. (1) Tous les barbiers po
x malades dont nous allons rapporter l'histoire étaient atteintes d'
affections
aiguës de la moelle bien différentes par leur é
ie, variée à l'infini, des formes anatomiques et cliniques de cette
affection
. A l'autre extrémité de la série nous placerons
au des différentes articulations, elles semblent indépendantes de l'
affection
et peuvent être rapportées au rhumatisme chroni
t caractéristique qu'il suffit d'avoir vu un sujet atteint de cette
affection
pour être en mesure de faire le diagnostic des
es paralytiques agitants ; un coup d'oeil suffit pour reconnaître l'
affection
qui les amène. Aussi, bien des détails passent-
nt être la cause de la rigidité continue carqcté- rustique de cette
affection
, rigidité qu'elles maintiennent par l'effort d'un
Van Hoogstraaten, 192. Queue de cheval (Etude d'ensemble sur ses
affections
), par F. RAYMOND, 65. Sein hystérique, par GILL
9. Paralysie bilatérale du deltoïde, 13. Étude d'ensemble sur les
affections
de la queue de cheval, 65. > Ophtalmoplégi
aux recherches dirigées dans cet esprit, l'histoire d'un bon nombre d'
affections
spinales, dont la pathogénie était demeurée jusqu
diane ou sclé-rosée des cordons de Goll; elle existe tantôt à titre d'
affection
consécutive (sclérose ascendante, consécutive), t
tion consécutive (sclérose ascendante, consécutive), tantôt à titra d'
affection
primitive. On ignore, quant à présent, quels symp
pouvoir établir, en premier lieu, qu'elle s'observe dès le début de l'
affection
, même à l'époque où les douleurs fulgurantes comp
, et il y a lieu de distinguer, dans la description clinique des deux
affections
: 1° des symptômes spinaux ; 2° des symptômes cep
uleurs peuvent composer à elles seules, toute la symptomatologie de l'
affection
. Les douleurs fulgurante s se rencontrent d'ail
a sclérose en plaques dissé-minées. Il n'est pas rare que, dans cette
affection
, divers symptômes tabétiques, et en particulier l
n qui lui semblait exister entre certains symptômes gastriques et une
affection
de la moelle qui se rapporte évidemment à la desc
ieure, par exemple dans la paralysie générale spinale. Celte dernière
affection
, lorsqu'elle prédomine dans les mem-bres supérieu
écessité de l'examen oph-talmoscopique dans le diagnostic de quelques
affections
cérébrales. Existence isolée de l'amaurose tabé
aison de la grande fréquence de leur altération et de la gravité de l'
affection
que cette lésion déter-mine. Nous allons donc ent
ent, de pouvoir reconnaître pour ce qu'elle est, dès l'origine, cette
affection
du nerf optique qui, dix, quinze ans après s'être
ôt ou tard, d'une façon à peu près inévitable, ou si, au contraire, l'
affection
du nerf optique demeurera isolée. Recherchons d
ersistant en effet beaucoup plus longtemps dans le cas de la dernière
affection
. L'induration grise des nerfs optiques, dans l'at
e chronique diffuse. Je me borne à signaler brièvement ces diverses
affections
, me proposant d'attirer toute votre attention su
te sèche. Lésions anatomiques. — Des arthropathies consécutives aux
affections
d'origine spinale. — Mécanisme de la production d
ptique. Il convient de rapprocher de ces grises gastriques d'autres
affections
vis-cérales qui peuvent encore, dans la période d
ont bien cependant leur intérêt. Je veux insister à présent sur une
affection
dont j'ai signalé l'existence et que j'ai l'ha-bi
s d'entre vous. J'ai proposé de désigner sous ce nom tout un groupe d'
affections
arti-culaires qui paraissent être sous la dépenda
épinière auxquelles elles se rattacheraient par conséquent à titre d'
affection
symptomati-que. Les lésions irritatives de la moe
de l'ataxie locomotrice, suivant moi, seraient une des formes de ces
affections
articulaires, développées sous l'in-fluence plus
présent, il n'est pas inutile de vous faire remarquei que toutes ces
affections
articulaires, qui surviennent chez un malade atte
es tout spéciaux, comme vous allez le reconnaître, et qui en font une
affection
vrai-ment à part. J'ajouterai encore qu'il ne s
ntre la période dite prodromique et la période d'incoordination. Si l'
affection
apparaît quelquefois à une époque tardive, ce qui
je vous entretiens. Pour que vous vous rendiez bien compte comment l'
affection
se présente à l'observateur, laissez-moi rapporte
est montrée qu'en 1866. Plus tard (1870), l'ataxie ayant progressé, l'
affection
articulaire, au con-traire, avait disparu sans la
s crises de douleurs fulgurantes. De même que dans le der-nier cas, l'
affection
aujourd'hui ne se décèle par aucun indice, et l
n lumière l'origine névropathique, tout au moins, sinon spinale, de l'
affection
. III. Je me bornerai, Messieurs, à cette expo
éciable, sans coup ni chute, en dehors d'un traumatisme quelconque, l'
affection
locale apparaît. A ce moment, l'incoordination n'
nce du froid, soit un état diathésique, goutte, rhumatisme, etc., les
affections
articulaires propres à ces maladies ayant d'aille
demande, existe-t-il quelque part, dans les cadres pathologiques, une
affection
qui rentre exactement dans cette description? Il
ier plan la connexité indéniable qui existe entre notre arthrite et l'
affection
spinale, connexité offrant surtout ceci de remarq
fection spinale, connexité offrant surtout ceci de remarquable, que l'
affection
articulaire survient à une époque bien déterminée
lieu, je ferai valoir cette particularité, à savoir que l'existence d'
affections
articulaires subordonnées plus ou moins directeme
on incomplète. A. On connaît, d'ailleurs, fort bien aujourd'hui les
affections
articulaires qui résultent des lésions des nerfs
cent *, sont très instructives à cet égard. B. On connaît aussi ces
affections
articulaires singulières qui se développent dans
ssujettie qui ne puisse provoquer, dans certaines circonstan-ces, une
affection
articulaire relevant évidemment à titre de symptô
trer la liaison qui existe, suivant moi, entre la lésion spinale et l'
affection
articulaire c'est celui des lésions traumatiques
em-bre affecté s'observe fréquemment, comme phénomène conco- là une
affection
articulaire à type aigu, apparaissant constam-men
opathie des ataxiques serait, à l'état chronique, le représentant des
affections
articulaires à type aigu qui éclatent à la suite
cherches, l'atrophie des cornes antérieures du côté correspondant à l'
affection
articulaire n'a pu être reconnue au niveau des po
clame des investigations nouvelles. Tou-tefois, la subordination de l'
affection
articulaire à l'affection spinale n'en reste pas
ouvelles. Tou-tefois, la subordination de l'affection articulaire à l'
affection
spinale n'en reste pas moins établie, je crois, p
problème de physiologie. Cliniquement vous apprendrez à connaître une
affection
qui, si vous vous placez au véritable point de vu
pathie, en méconnaître la véritable nature et toutes préoccupées de l'
affection
locale, ou-blier même absolument que, derrière la
on intention ne pouvait être de vous exposer l'histoire complète de l'
affection
; j'ai toujours voulu me borner à traiter le suje
e change en faisant croire qu'il s'agit d'une hématomyélie primitive,
affection
rare et dont la réalité même a pu être mise en do
ar un mécanisme spécial et qui diffère de la compression ordinaire. L'
affection
qui produit ces accidents n'est pas rare, et il e
èrement au mal de Pott (carie vertébrale) et au cancer vertébral. Ces
affections
peu-vent être comptées, en effet, parmi les cause
pas dans tous les détails que comporterait l'histoire complète de ces
affections
; je m'attacherai d'une manière exclusive aux p
ur différencier la pa-raplégie dérivant de la compression lente d'une
affection
spi-nale primitive. B. Des pseudo-névralgies da
enir ; mais, en général, elles ne sont pas in-surmontables. Parmi les
affections
qui, en raison des dou-leurs dont elles s'accompa
e aussi, de douleurs assez analogues; on peut en dire autant de cette
affection
bizarre, singulière, qu'on désigne quelquefois so
pour ainsi dire, pendant ce temps, la seule révélation clinique de l'
affection
spinale. a) Vous n'ignorez pas que des troubles
es, après quoi elle reprit progressivement ses dimensions normales. L'
affection
osseuse, chez ce malade, paraissait occuper la de
us, leur caractère cli-nique le plus saillant. D'un autre côté, les
affections
musculaires dont il s'agit paraissent devoir être
verses régions de la substance grise. C'est là justement le cas des
affections
que nous allons dé-crire. Elles sont déterminées
its suivants qui appartiennent à la première et non aux secondes. L'
affection
musculaire est, dans celles-ci, bornée aux mus-
, en outre, lésés plus ou moins profondément dans leur texture. Les
affections
, que nous allons réunir sous une même ru-brique,
ici tout à fait séparées, en noso-graphie, comme s'il s'agissait là d'
affections
radicalement dis-tinctes. Qu'il me suffise de cit
myotrophies spinales) à deux groupes fondamen-taux. Dans un groupe, l'
affection
évolue anatomiquement suivant le mode aigu ou mêm
on peut voir se développer chez l'adulte, et même dans l'âge mûr, une
affection
qui ne diffère en rien d'essentiel de la pa-ralys
ais rapporter en quelques mots les symptômes qui ca-ractérisent cette
affection
et, pour plus de clarté, nous recon-naîtrons dans
à reproduire exactement ce qu'on observe dans la période ultime de l'
affection
décrite par Duchenne (de Boulo-gne), sous le nom
pements. Beaucoup d'auteurs, vous ne l'ignorez pas, ont considéré l'
affection
dont il s'agit, comme siégeant dans les partiespé
, au dernier terme du processus, disparais-sent sans que le mode de l'
affection
dont elles sont le siège, se révèle par des carac
ctive, qui, suivant moi, seraient un fait secon-daire, consécutif à l'
affection
des cellules nerveuses. Dans les cas de date anci
aliques, myélites aiguës partielles. — Conditions dans lesquelles ce3
affections
déterminent l'atrophie rapide des muscles. I.
ant en dernier lieu sur ce qu'enseigne l'histoire naturelle, de cette
affection
, je crus pouvoir avan-cer que la rétrocession des
nfants ayant succombé l'un 2 mois, l'autre 6 mois après le début de l'
affection
et ils ont reconnu dans ces deux cas que, sur les
le et elle contri-bue, pour une bonne part, à séparer nettement cette
affection
des diverses formes de la myélite aiguë diffuse ;
encontrer à des degrés divers, dans toutes les autres formes aiguës d'
affection
spinale, parce que toutes elles reconnaissent pou
fébrile plus ou moins intense. Si l'on compare, d'ailleurs, les deux
affections
sous le rapport des symptômes locaux, on remarque
oute à une lésion spinale de siège variable. — Aperçu des principales
affections
spinales qui peuvent produire l'amyo-trophie prog
veloppements à l'histoire des amyotrophies spinales chroniques. Les
affections
que comprendra cette appellation sont aujourd'hui
e et d'où procède, à proprement parler, toute la symptomatologie de l'
affection
. B. Les choses sont plus compliquées dans un se
, à marche progressive, viendra figurer dans la sympto-matologie de l'
affection
4° Il existe aussi plusieurs exemples de tumeur
rose en plaques. En général, dans les cas ordinaires relatifs à cette
affection
, la substance grise n'est pas profondément attein
quelques considérations relatives à la physiologie pathologique de l'
affection
. a) Le premier trait à faire ressortir dans la
ans ce cas, un exemple d'ataxie locomotrice ; on sait que, dans cette
affection
l'atrophie progressive des membres frap-pés d'inc
rvation VI, remarquable par le début fébrile et la marche rapide de l'
affection
, me semble se rapporter naturellement au type cré
rophie musculaire spinale protopathique. Symptômes communs aux deux
affections
: amyotrophic progressive, con-tractions fibrilla
e traits fondamentaux, qui nous ont permis plus tard de reconnaître l'
affection
pendant la vie. Telle a été, du reste, l'histoire
ins mon opinion, tous les caractères cli-niques fondamentaux de cette
affection
4. II. 1° Un premier trait distinctif qui sép
s. Un tiers peut-être des malades rapportent le développe-ment de l'
affection
à l'influence du froid et de Yhitmidite', à laque
rai, pour exciter davantage votre intérêt, qu'il ne s'a-git pas d'une
affection
nécessairement incurable et l'on peut voir actuel
ve ; toutefois, en opposition à ce qui se produit dans cette dernière
affection
, la contracture des membres inférieurs, dans la p
les rapprochent de sé-parer cliniquement, l'une de l'autre, les deux
affections
dont il s'agit. C'est ainsi que l'ensemble des sy
que, pour mon compte, je ne connais encore que cliniquement2. Cette
affection
, jusqu'à ce jour, n'a pas la place qui lui re-vie
dans sa pro-duction, mais quelquefois, de même que dans tant d'autres
affections
spinales, on a consigné l'influence du froid, du
itions de tout genre ont été faites relativement à la pathogénie de l'
affection
dont il s'agit. Dans ces derniers temps, beaucoup
nom d'atrophie nerveuse progressive, on a tracé la description d'une
affection
que caractériserait une amyotrophie à évolution p
ois aucun motif qui permette de nier a priori l'existence d'une telle
affection
i. Mais je dois avouer 1 Lancereaux. — Société
vous avez pu vous convaincre, si je ne m'abuse, que l'histoire de ces
affections
s'est éclairée d'un jour nouveau, en présence des
se trouve constitué, dans la pathologie spinale, un certain nombre d'
affections
élémentaires dont la combinaison produit les form
rsal spasmodique et tabès dorsal ataxique. — Parallèle entre ces deux
affections
. — Caractères tirés de la démarche. De la contr
des chez lesquelles vous pourrez étudier à loisir les symptômes d'une
affection
spinale particulière, foncièrement distincte, à m
mon avis, de toutes les autres formes de la myélite chroni-que. Cette
affection
, que je vous proposerai de désigner, au moins pro
tout à l'heure d'accepter pour distinguer cette forme pathologique. L'
affection
dont il s'agit reconnaît, j'en conviens, cela d'a
articipation des cornes antérieures est le substratum anatomique de l'
affection
bien distincte de celle que M. Charcot a décrite
attachée, peut s'appliquer assez bien pour désigner tout au moins une
affection
spinale primitivement chronique qui, comme celle
forme spinale. Il peut, en d'autres termes, être séparé de toutes ces
affections
spinales qui, dans la description, d'ail-leurs re
bien longtemps avant que ne paraisse l'incoordina-tion motrice d'où l'
affection
tire son nom, des troubles divers delà sensibilit
ujets atteints de tabès spas-modique. La démarcation entre les deux
affections
s'accuse plus pro-fondément encore peut-être dans
mier. Quoi qu'il en soit, nous devons envisager maintenant les deux
affections
que nous opposons l'une à l'autre, au moment où e
le. Celle-ci survient presque toujours par l'in-tervention de quelque
affection
intercurrente. Une de nos malades présente, depui
le. C'est pourquoi vous les voyez figurer dans la symptomatologie des
affections
très diverses où les faisceaux en question sont e
ordre : car on peut dire qu'à moins de complication for-tuite, toute
affection
spinale dans laquelle des troubles de la sensibil
'espèce, n'offre pas de difficulté sérieuse, pour ne m'arrêter qu'aux
affections
qui pourraient égarer quelquefois un œil même exe
vous pourriez croire qu'il s'agit ici d'un exemple de cette dernière
affection
. 1 Sur le diagnostic de la contracture hystériq
e, au der-nier lerme, des symptômes bulbaires. D'ailleurs, dans celte
affection
, ce sont, dans la règle, les membres supérieurs q
oppe-ment: gonorrhée, rétrécissement de l'urèthre, cystite, néphrite;
affections
de la prostate ; — pyélo-néphrite calculeuse. — U
nerfs périphériques. — Fausses paraplégies. — Névrite descen-dante. —
Affections
de l'intestin et de l'utérus. Messieurs, Je v
t de l'utérus. Messieurs, Je veux vous entretenir aujourd'hui des
affections
variées qui sont quelquefois désignées sous le no
lus particulièrement intéressant de rechercher par quel mécanisme une
affection
préexistante des voies urinaires peut retentir su
régu-lières les caractères cliniques et anatomo-pathologiques de ces
affections
spinales conséculives. Sans doute, l'interpréta
es paraplégies urinaires. Vous savez que, sous ce nom, on désigne des
affections
paré tiques ou paralytiques des membres inférieur
abord, il est nécessaire, bien entendu, de rejeter de notre cadre les
affections
des reins ou de la vessie, qui se pro-duisent non
tenant, par nos études antérieures, sur la nature et la genèse de ces
affections
consécutives des voies génito-urinaires ; il n'es
le cours de la maladie uri-naire, reconnaît pour cause, non plus une
affection
spinale, mais bien une lésion des nerfs du plexus
spinaux apparaissent plusieurs années seulement après l'invasion de l'
affection
urinaire, sou- 1 Leyden, Centralblatt, 1865, 1e
les symp-tômes de la maladie des voies urinaires à laquelle succède l'
affection
spinale; je ne m'arrêterai pas non plus longuemen
pper quelquefois comme conséquence plus ou moins directe de certaines
affections
des voies urinaires. Il convient de rechercher ma
e des accidents paralytiques, sous l'influence d'un amendement dans l'
affection
des voies urinaires. En somme, Messieurs, vous
ISIÈME VARIÉTÉ genre de -celles que nous venons d'étudier. Diverses
affections
de l'intestin ou de l'utérus peuvent, elles aussi
me très accentuée, mais anormale à quel- ques égards; si bien que l'
affection
qui est en cause en est rendue, jusqu'à un certai
ujourd'hui G... est âgée de SI ans. — 11 s'est agi tout d'abord d'une
affection
de l'oreille gauche, marquée sur-tout par des éla
qui se rattache à la maladie de xMénière, mais dans cette dernière
affection
il acquiert, au moment de l'accès, une prédominan
sistent seuls. Mais, dans le cours naturel des choses, à mesure que l'
affection
progresse, les cris tendent à se rapprocher, à se
isparaître sous l'in-fluence du traitement vulgaire de cette dernière
affection
; c'est le lieu de vous remettre en mémoire le ca
xclusivement à un seul état morbide, il peut se montrer com-mun à des
affections
très diverses. La situation à cette époque, c'e
n'appartiennent plus à la vulgaire danse de Saint-Guy. En somme, l'
affection
s'est, à l'origine, présentée chez R... sous la f
ie, etc., etc. ; en somme la différence qui sé-pare ces deux ordres d'
affections
si radicalement distinctes au point de vue nosogr
The Lancet, 21 feb. 1874. — T. Buzzard. — Aspects of philitic nervous
affections
. London, 1874. autres. Par contre, en France, s
egré d'amaigrissement, un état cachectique assez prononcé, qu'au-cune
affection
viscérale ne semblait motiver et, enfin, une céph
e (de Belfast), dans un passage intéressant de son livre : Syphilitic
affections
of ?the nervous System. Loudon, 1867, p. 18. gé
estin s'étant modifié de la façon japlus heureuse, le traitement de l'
affection
convulsive put être repris sérieusement et prolon
s avec une cer-taine précision, dans une observation relative à cette
affection
publiée par Todd, en 1851 *. Deux planches chromo
mains, ne présentent les déformations qui se lient en général à cette
affection
. Mouvements, sensibililité. — On constate que l
aucune des lésions qui, cliniquement, peuvent servir à caractériser l'
affection
désignée sous le nom d'osléomalacie ; enfin, et c
ivité fonctionnelle prolongée des membres, consé-cutive elle-même à l'
affection
spinale. Tous les détails de l'observation établi
s, etc. » Ce malade a été successivement traité comme atteint d'une
affection
cérébrale mal déterminée, d'épilepsie, de vertige
ains égards, au vertige de Ménière, qui lui paraît se rattacher à une
affection
des nerfs du labyrinthe. Sous cette impression il
'a retenu au lit pendant près de trois mois. Peu après se déclara une
affection
bronchique qui, d'abord aiguë, ne tarda pas à s'é
é paraît s'être produit comme une conséquence plus ou moins directe d'
affections
laryngo-bronchiques développées sous l'in- 1 Da
d'importance, car il s'est produit bien longtemps avant le début de l'
affection
; de plus, il ne survenait qu'à de longs in-terva
ts, ses frères et ses sœurs, au nombre de cinq, n'ont présenté aucune
affection
digne d'être notée et tous jouissent d'une bonne
r jusqu'à l'âge de 28 ans, époque à laquelle elle place le début de l'
affection
actuelle. Accouchée à terme, le 2 septembre 1864,
oi qu'il en soit, au moment où elle a été admise à la Salpê-trière, l'
affection
semblait être rentrée dans une période d'arrêt, e
ait le tableau des symptômes au mois de septembre 1865, un an après l'
affection
. Depuis cette époque jusqu'au mois de fé-vrier 18
ère (service de M. Crarcot). Renseignements fournis par son fils. L'
affection
dont elle est atteinte ne paraît par avoir débuté
isceaux primitifs sont bien celles qui appartiennent à cette dernière
affection
, et l'on trouve là, tantôt la dégénération granul
ssaires à l'édification d'une théo-rie quelque peu satisfaisante de l'
affection
telle qu'elle s'est présentée dans notre observat
d'en faire l'examen. Elles provenaient d'un jeune sujet atteint de l'
affection
décrite sous le nom de paralysie pseado-hypertro-
e l'invasion du tissu graisseux se produit à une certaine époque de l'
affection
, d'une manière fatale, au moins dans quelques mus
nche de la moelle chez un sujet guéri de la para-plégie et mort d'une
affection
intercurrente. —a, Tissu scléreux; — 6, c, tubes
Nécessité de l'examen ophtalmoscopique dans le diagnostic de quelques
affections
cérébrales. Existence isolée de l'amaurose tabé
te sèche. Lésions anatomiques. — Des arthropathies consécutives aux
affections
d'origine spinale. — Mécanisme de la production d
ractures des vertèbres du cou. — Pouls lent permanent lié à certaines
affections
organiques du cœur (rétrécissement aortique, dégé
tiques, myélites aiguës partielles. — Conditions dans lesquel-les ces
affections
déterminent l'atrophie rapide des muscles........
oute à une lésion spinale de siège variable. — Aperçu des principales
affections
spinales qui peuvent produire l'amyo-trophie prog
rophie musculaire spinale protopathique. Symptômes communs aux deux
affections
: amyotrophic progressive, con-tractions fibrilla
sal spasmodique ; — tabes dorsal ataxique. — Parallèle entre ces deux
affections
. — Caractères tirés de la démarche. De la contr
ement : gonorrhée, rétrécissement de l'urèthre, cystite, néphrite ; —
affections
de la prostate ; — pyélo-néphrite calculeuse. — U
nerfs périphériques. — Fausses paraplégies. — Névrite des-cendante. —
Affections
de l'intestin et de l'utérus................. 322
a-tomie topographique de la —, 7, 294. (V. Cordons, Goll, Turck). —
Affections
élémentaires de la —, 294. — Hypertrophie de la —
, 350, 409. — Laryngé, 407. — Faits cliniques, 407, 409. — Causes :
affections
la-ryngo-bronchiques, 412 ; — ataxic locomotrice,
ns à la loi de l'hérédité « aux âges correspondants ».. Parmi les
affections
familiales, il en est une particulièrement intére
formes hybrides, où la maladie emprunte de nouveaux symptômes à des
affections
qui lui sont voisines dans le cadre nosologique
nique, à dégager une conception générale et syn- thétique. Pour les
affections
familiales et héréditaires du système ner- veux
t âgé de 78 ans et se porte bien ; la mère est morte à 53 ans d'une
affection
car- diaque sans avoir présenté de phénomènes n
lade ne présentait en outre des symptômes sortant du cadre de cette
affection
: le nystagmus, l'embarras de la parole, l'atax
e en plaques ne s'est pas présentée davantage à votre esprit. Cette
affection
plus fréquente à l'âge adulte, débutant souvent p
signe d'Argyll-Robertson, communément observés dans cette dernière
affection
. Enfin cette sorte de paraplégie ataxique que n
re stati- que ce dernier est au contraire fortement altéré dans les
affections
médul- laires, et c'estle cas chez Louise V...
vomissements, des troubles de la vue, des vertiges. Il est bien une
affection
cérébelleuse qui se rapproche davantage de la m
nt est venu de nous demander quelle place revient au juste il cette
affection
dans les cadres de la nosologie ; en d'autres ter
s de Spire, fit connaître les traits es- sentiels de cette nouvelle
affection
des centres nerveux. En 1863, il affir- ma son
grossière analogie symptomatique qu'il avait relevée entre les deux
affections
, mais encore parce que l'autopsie lui avait dém
n 1887, font époque dans l'histoire de l'anatomie pathologique de l'
affection
et jusqu'en ces derniè- res années, on vécut su
me pour Frie dreich, l'ataxie héréditaire est liée réellement à une
affection
primitive du névraxe rachidien et des racines m
érences essen- 16 Ô RAYMOND tielles anatomiques et cliniques, une
affection
dont P. Marie a donné la première description :
es deux côtés. De cet exposé résulte que nous pouvons exclure toute
affection
purement fonctionnelle, hystérie, paraplégies r
on plus d'une polynévrite, ni d'une paralysie spinale ascen- dante,
affections
qui n'ont rien à faire avec le syndrome Brown-Séq
ait des cures à Brides et Marienbad. Son père est mort à 77 ans,d'une
affection
du cervelet, son oncle à 66 ans d'une hémorragi
achis. Mais nous avons à discuter si nous n'avons pas à faire à ces
affections
méta- traumatiques, cunséquence lointaine des t
p négligé les autres myélopathies attribuables à la même cause, ces
affections
spi- nales combinées, diffuses, plus ou moins c
n'est guère habitué à observer dans les scléroses en général et les
affections
chroniques de la moelle en particulier. C'est d
lité. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1899. 38 HALIPRÉ
affections
pulmonaires qui ont laissé subsister de l'oppress
t aucune influence sur la durée de la vie, et la mort est due à une
affection
intercurrente sans rapport avec le syn- drôme q
déclaré avoir toujours eu une excellente santé, d'autres ont eu des
affections
banales dont ils ont d'ailleurs guéri. Quelques
e est normal, le coeur est également sain, et l'on ne trouve aucune
affection
pul- monaire. Nous avons quelquefois noté un pe
DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA MALADIE DE PAGET 77 d'
affections
mal précisées encore en certains points, il convi
début de la maladie de Paget ou dans des formes atténuées de cette
affection
. Plus tard en effet, en plus des caractères com
faire le diagnostic. Après avoir étudié les signes communs aux deux
affections
, après avoir vu les caractères différentiels sp
ns en effet qu'en dehors de l'aplatissement latéral commun aux deux
affections
, l'on trouve chez nos malades une dépression mé
ins hâtée par elle. Les pseudo- Paget au contraire succombent à des
affections
indépendantes des déformations de leur squelett
ec laquelle des confusions ont pu et peuvent s'établir encore entre l'
affection
nettement définie par Paget et d'autres déforma
celles qui apparaissent comme phé- nomène secondaire au cours d'une
affection
bien déterminée comme la paraly- sie agitante,
tissu osseux éburné. Quant à la spondylose rhizomélique, c'est une
affection
tout à fait éloignée, tant de la maladie de Pag
que nous avons signalée. D'ailleurs le thorax en entonnoir est une
affection
qui semble ordinairement congénitale et ne s'ac
cie des vieillards et l'ostéoporose sénile..... La se- conde de ces
affections
est une hypoplasie qui paraît nettement liée à l'
peut s'observer dans les états pathologiques les plus différents :
affections
organiques de l'encé- phale, intoxications, hys
re étudié dans son évolution, ses variétés et ses rapports avec les
affections
au cours des- quelles il apparaît. Un de mes él
ertitude,concernant la nature et l'ana- tomie pathologique de cette
affection
. A mesure qu'au type d'ataxie hérédo-spinale,dé
naître, sous le nom de névrite interstitielle hyper- trophique, une
affection
ressemblant,par plus d'un symptôme, à la maladie
es, et d'étudier, à ce propos, les rapports existant entre les deux
affections
. Avant de faire entrer ce malade, Henri R..., j
bles de la marche, puis du langage ; le malade prévoit, dès lors, l'
affection
dont il va être at- teint. Les progrès de la ma
al nous permet d'éliminer, sans plus de contrôle, un grand nombre d'
affections
où les troubles de l'équilibration surviennent
me de Ménière, ou bien les maladies organiques, comme le tabes, les
affections
cérébelleuses liées à des lésions en foyer, la pa
à des lésions en foyer, la paralysie pseudo- bulbaire. Parmi les
affections
essentiellement ou fortuitement familiales, il en
ntre quelquefois. Enfin, à une date encore rapprochée du début de l'
affection
, les réflexes sont considérablement affaiblis, al
897 (2), Mélie F..., dont la soeur, atteinte au même âge de la même
affection
, ne possédait plus le réflexe rotulien. Messi
s de Fraser et Nonne, la consécration définitive était apportée à l'
affection
décrite par P. Marie. Il n'en a rien été; ces e
m de la maladie de Friedreich ; c'est ainsi que dans cette dernière
affection
, on observe,en général, une dégénération plus c
les de maladie de Friedreich. Les premières obser- vations de cette
affection
qui se contentent de simples constatations macros
a entre 15 et 18 ans. Bref, les premiers symptômes apparents de son
affection
nerveuse ne se signalent guère avant la 18e ann
ich au point de vue clinique, réalisant le tableau morbide de cette
affection
dans sa presque absolue pureté et vous voyez, d
mas ont décrit sous le nom d'atrophie olivorponto-cérébelleuse, une
affection
non familiale, différant par plusieurs points de
des distinctes. L'évolution souvent complètement distincte des deux
affections
, le dé- but fréquent de la maladie de Friedreic
it dans un même groupe des types de localisation différente, toutes
affections
familiales dont la relative fréquence trouve u
cérébelleux commun. Messieurs, la variabilité des.types dans cette
affection
familiale n'a rien qui puisse étonner si on la
en 1895, tan- dis qu'il était sous les armes, il fut atteint d'une
affection
gastro-intestinale. Il y a un an (1900), le mal
é, lorsqu'elle se présente comme un symptôme isolé, cons- titue une
affection
très rare signalée la première fois par Parinaud
ès rare signalée la première fois par Parinaud en 1883 (1). Cette
affection
peut débuter par un ictus et persister l'état sta
t, le rôle joué par le corps pituitaire dans la pathogénie de cette
affection
est devenu classique. Néanmoins bien des points
s d'acromégalie 177 Antécédents héréditaires, - Sa mère est morte d'
affection
cardiaque avec hydropisie. Son père, à l'âge
laignait assez fréquemment de maux de tête. Son mari est mort d'une
affection
aiguë qui évolua en 18 jours. Ses deux enfants,
urrénales ou cirrhose surrénale hypertrophique avec adénomes, ces
affections
de trois glandes à fonctions antitoxiques, les
ller les questions en rangeant sous un même titre nosographique des
affections
différentes. Donc, nous n'admettons pas, par dé
tique, le plus souvent unilatéral et qui n' est nullement lié à une
affection
cardiaque ou aux troubles de l'hématose. Hirsch
néralisée et d'une façon plus géné- rale, tout malade porteur d'une
affection
cardio-vasculaire. Notre observa- lion -Il prou
évropa- thique dans la famille. A l'âge de 12 ans elle présenta une
affection
caracté- risée par des oedèmes passagers qui ne
tour de main spécial. L'origine et la pathogénie de cette bizarre
affection
sont encore peu éluci- dées. On sait seulement
eulement que c'est au moment même que la personne atteinte de cette
affection
doit se servir de sa plume, que le spasme a lieu.
e le spasme a lieu. Plusieurs auteurs ont cherché d'assimiler cette
affection
aux autres affections d'origine nerveuse. Brück
lusieurs auteurs ont cherché d'assimiler cette affection aux autres
affections
d'origine nerveuse. Brück, par exemple, la comp
conserve jusqu'à nos jours. Pour Duchenne de Boulogne, qui étudia l'
affection
en question le plus complètement possible, la c
ec raison, pour les moyens prophylactiques, destinés à éviter cette
affection
. Ainsi, l'ataxie professionnelle présente une a
viter cette affection. Ainsi, l'ataxie professionnelle présente une
affection
, où plusieurs causes morbides concourent peut-ê
hique qui accompagne l'ataxie professionnelle permet de rattacher l'
affection
aux névroses. L'ataxie professionnelle aurait p
tonicité des antagonistes qu'il faut chercher la cause initiale de l'
affection
en. question. Voici une écriture (fig. 6), qui
nt qu'il ne travaille pas, il ne pense plus ou il pense moins à son
affection
. Mais son effet serait ici comparable avec l'ef
qu'un phénomène secondaire. Pour cet auteur, ainsi que pour Poor, l'
affection
dépendrait des altérations des fibres musculair
Pour Poor la crampe professionnelle serait un résultat direct de l'
affection
des muscles de l'avant-bras et des interosseux
sseur Hoffa a obtenu des améliorations très encourageantes de cette
affection
en réunissant le massage méthodique et la gymna
ceu qui ont à coeur la bonne tenue des écrivains. Dans le cas d'une
affection
établie, nous ne pensons pas que ces moyens puis-
par la parole et par le fait l'élément psychique de son malade. L'
affection
dont.nous nous occupons à présent présente des re
des rechutes, qui sont plus difficiles à soigner et à guérir que l'
affection
initiale. Il est vrai que ces rechutes sont moi
persévérance du médecin arrivent pourtant au bout de cette fâcheuse
affection
et les musiciens tirent également un véritable
'un plexus. » Les déviations du tronc sont donc fréquentes dans les
affections
névral- giques du plexus lombo-sacré. Charcot e
and compte du rôle que joue la vigilance musculaire dans toutes les
affections
dou- loureuses. 1 . Des muscles, dont les ner
mparables, comme l'a dit M. Brissaud, à ceux qu'on observe dans les
affections
qualifiées de « spasmes fonctionnels ». L'analo
fession de garçon de magasin. M... aurait eu, il y a dix ans, une
affection
douloureuse des voies urinaires inférieures pou
leurs lésions, tend à se substituer une idée plus large faisant des
affections
nerveuses, que la clinique distingue, de simples
nne certaine qu'on appelle « la maladie des chiens », montre qu'une
affection
cérébrale à lésions bien définies peut être produ
s dans l'hémiplégie cérébrale infantile. Au cours de cette dernière
affection
, les positions prises par les membres peuvent ê
che) est encore à l'heure actuelle à l'étude. La nature exacte de l'
affection
, les raisons de sa gravité nous échappent encor
ans le service du professeur Dejerine, une malade atteinte de cette
affection
, que nous avons présentée à la Société de Neuro
lusieurs mois. Cette malade a fini par succomber aux progrès de son
affection
; nous avons pu faire sa nécropsie et son observa
cette Société savante ont beaucoup hésité sur la nature réelle de l'
affection
, et que certains d'entre eux ont émis le diagnost
'écarter le diagnostic d'hystérie; mais l'évolution ultérieure de l'
affection
fut conforme à notre diagnostic de myasthénie gra
agrin. C'est à cette date que remontent les premiers symptômes de l'
affection
actuelle c'est-à-dire une sen- sation de faible
ssemblances qu'elle offre avec les cas jusqu'ici publiés de la même
affection
. Par l'absence de toute étiologie saisissable, pa
accidents ultimes ; la malade, qui n'avait présenté au cours de son
affection
qu'un minimum de symptômes bulbaires, meurt tou
tifier la conception gé- nérale de la nature bulho-spinale de cette
affection
, même lorsqu'elle a une expression presque pure
phénomènes cutanés que nous étudions étaient symptomatiques d'une
affection
bien connue du système nerveux, nous rappelons l'
té les expériences de Heidenhain dans l'élude pathogénique de cette
affection
sans arriver pourtant à une conclusion précise.
e qui est dans ce cas bien connu. Il s'agit donc cliniquement d'une
affection
qui peut se présenter dans plusieurs régions du
phologique; mais nous désirons avant de voir la pathogénie de cette
affection
dont l'étiologie et l'anatomie sont bien connue
caractère métamérique. Eléphantiasis et trophoedèmes sont donc deux
affections
analogues du côté morphologique : cette analogi
u'elles peuvent être considérées comme les divers degrés d'une même
affection
la- quelle sous l'influence des mêmes facteurs
u- ments en faveur de notre théorie, l'anatomie pathologique de ces
affections
est très peu connue. Nous n'avons pas d'autop
s les- quelles' les phénomènes cutanés étaient symptomatiques d'une
affection
anatomiques de la moelle seraient la preuve de
édé par des oedèmes passagers. Le fait que la syringomyélie est une
affection
exclusivement médullaire est une preuve de notr
u'un petit nombre d'observations, une centaine à peu près, de cette
affection
. Il est rare que deux cas aient été constatés dan
ères présentent, eux, d'une façon indiscutable, les signes de cette
affection
. Dans quelques-uns des cas déjà publiés on sign
ir le nombre des cas où la maladie de Paget s'est montrée comme une
affection
familiale et héréditaire, en apparence du moins
anée des deux frères doit faire chercher une origine commune à leur
affection
, et qu'il est naturel d'invoquer l'hé- rédo-syp
ri- celle dont il porte encore des cicatrices sur la face. Ces deux
affections
sem- blent ne pas avoir eu de suites. Il prés
d'une façon précise et concise les quatre signes princi- paux de l'
affection
. Nous reproduisons (PI. XLIII) les photographies
ux toutefois on retrouve des observations plus ou moins nettes de l'
affection
. Guzzoni degli Ancarani qui a eu la patience de c
r le premier signale les anomalies crâniennes, mais l'hérédité de l'
affection
lui échappe,et il faut arriver aux communicatio
du syndrome, sans parler cependant du ca- ractère héréditaire de l'
affection
. Wolff, cité par Sachs (2), trouve ces mê- mes
mann, Gross et les nôtres) et trois autopsies (Scheutauer, Todd). L'
affection
n'est donc pas si rare que le prétendaient cert
mble de plus que la largeur des fontanelles, ainsi que d'ailleurs l'
affection
, soient moins marquées chez les enfants que che
actère extrêmement important, la dysostose cléido-crdnienne est une
affection
héréditaire. Gegenbaur insiste déjà sur ce poin
mière communication,MM. Pierre Marie et Sainton avaient appelé leur
affection
hydrocéphalie héréditaire tout en montrant combie
é leur affection hydrocéphalie héréditaire tout en montrant combien
affection
s'éloignait de l'hydrocéphalie vulgaire (3). Dans
e le canal central de la moelle puissent être intéressés dans cette
affection
. (1) GEGENBAUR, Anat. comparée. Traduction Vogt
enne dé- signe, avec de Vries, sous le nom de mutations ». Les deux
affections
se- raient, d'après cet auteur, deux variations
enté enfin nous autorisent à faire de ce type une forme fruste de l'
affection
au même titre que l'aplasie claviculaire unilat
es peut rendre des services dans la détermination de la nature de l'
affection
(voirfig.); leur image très peu visible par rap
une enfanta clavicules normales. 7° Le caractère héréditaire de l'
affection
nié par certains auteurs est par- ticùli8rement
ac- téristiques que possible. 9o A côté des signes cardinaux de l'
affection
existent des signes secon- daires qui ont leur
pui que lui apporta Jules Guérin, pour qui l'anencéphalie était une
affection
destructive et convulsive des centres nerveux (
qui indiquent une différence marquée, non dans la nature même de l'
affection
, mais dans sa marche générale. La face présente
nement eu une influence sur les théories relatives à la genèse de l'
affection
qui nous occupe. Or, parmi les nombreux auteurs q
sau- rait être prise pour une indication relative à la genèse de l'
affection
. Nous verrons que l'hémicrânie ne répond pas pl
s dans un canal rachidien clos. C'est là que se trouve la clef de l'
affection
congénitale désignée sous les noms de pseudencé
enfin on pourra étudier la structure fibrillaire des cylindraxes.
AFFECTION
SP ASTIQUE BULBO-SPINALE FAMILIALE. PAR GIL
eux malades (1), frère et soeur, atteints à des degrés divers d'une
affection
spastique à symptomatologie spinale et bulbaire
rs d'une affection spastique à symptomatologie spinale et bulbaire,
affection
dont souffrait également une autre soeur qui est
). NOUVELLE Iconographie DE la SALP$'1'RIRE T. XVIII. Pl. XLVII
AFFECTION
SPASTIQUE BULBO-SPINALE FAMILIALE (G. Ballet et
BULBO-SPINALE FAMILIALE (G. Ballet et F. Rose). Obs. I Obs. II
AFFECTION
SPAST1QUE BULBO-SPINALE FAMILIALE 405 dieusemen
ière enfance. N'a jamais été malade. Intelligence ? Le début de l'
affection
remonterait à l'année 1893 suivant la mère, mais
les mouvements passifs, mais qu'on arrive à vaincre complètement.
AFFECTION
SrASTIQUE BULBO-SPINALE FAMILIALE 407 Pas d'ata
ctère colère par moments. Nous nous trouvons donc en présence d'une
affection
familiale spasmo- dique à symptomatologie spina
voile du palais. C'est par une démarche cérébello-spasmodique que l'
affection
débuta chez lui, tandis que chez la soeur, des tr
n'est pas suffisamment intense pour empêcher les mouvements actifs
AFFECTION
SPASTIQUE BULBO-SPINALE FAMILIALE 409 des membr
du malade fut d'abord très nettement ébrieuse, faisant penser à une
affection
cérébel- leuse, et qu'ensuite elle offrit le ty
x ; c'est même eux qui constituèrent le symptôme initial ( ? ) de l'
affection
. IL s'agit de changements du caractère qui est
ans quelles catégories de maladies familiales pouvons-nous ranger l'
affection
de Georges et de Jeanne H.... ? AFFECTION SPAST
s pouvons-nous ranger l'affection de Georges et de Jeanne H.... ?
AFFECTION
SPASTIQUE BULBO-SPINALE FAMILIALE 411 Certains
teinte de plusieurs membres de la même famille ne prouve pas qu'une
affection
du système nerveux ne soit pas héréditaire. Obs
PIIAL (Arch. f. Psychiatrie, 1883). Joseph M..., 18 ans. Début de l'
affection
il y a un an et demi. En 1866 : mouvements des
Il nous semble prudent de ne parler en présence d'une maladie sem-
AFFECTION
SPASTIQUE BULBO-SPINALE FAMILIALE 413 blable à
AMILIALE 413 blable à celle de nos malades, d'autre chose que d'une
affection
spastique bulbo-spinale familiale, dénomination
binée. ' Bâumlin, à l'examen d'une des deux soeurs, atteintes d'une
affection
spasmodique dans laquelle il voit un exemple fa
usieurs reprises. - ' Quant à l'étiologie et à la pathogénie de l'
affection
qui frappa les trois enfants H... nous ne pouvo
dif- ficulté de la marche et le tremblement peut faire penser à une
affection
'spasmodique. ' Le tableau clinique présenté
omination de paraplégie spastique fa- miliale celle plus générale d'
affection
spastique familiale. Notre cas, avec l'étendue
et Guillain, et en particulier dans la leur, la ressemblance de - l'
affection
avec la sclérose en plaques est grande : en effet
sclérose multiple. Ainsi dans la fameuse observation de Pelizoeus,
AFFECTION
SPASTIQUE BULBO-SPINALE FAMILIALE 415 si diffic
illaires. La ressemblance plus ou moins grande entre certains cas d'
affections
spastiques familiales et la sclérose en plaques
c réflexes normaux ou abolis. Aussi Edinger veut-il réunir les deux
affections
sous le nom d'hérédo- ataxie, en faisant du Fri
ch la forme spinale, du type Marie la forme cérébelleuse d'une même
affection
. D'après Edinger, la plupart des affections chr
cérébelleuse d'une même affection. D'après Edinger, la plupart des
affections
chroniques du système ner- veux seraient dues a
mlin) ; des troubles du caractère et de l'intelligence au cours des
affections
spastiques familiales (Trénel, Dinard etFressan,
Ou encore, fait plus curieux, on peut observer au cours d'une même
affection
, d'abord des troubles d'origine cérébelleuse (dé-
ce malade on a fait, et on devait le faire, le diagnostic d'hérédo-
AFFECTION
SPASTIQUE BULBO-SPINALE FAMILIALE 417 ataxie cé
e (1). Un autre fait qui, lui aussi, tend à rapprocher beaucoup des
affections
familiales, c'est la sclérose combinée que l'on
ons familiales, c'est la sclérose combinée que l'on trouve dans des
affections
telles que maladies spastiques familiales, mala
à forme de sclérose en plaques, on veut seulement rappeler que les
affections
spastiques fa- miliales peuvent parfois simuler
des formes spinale, bulbo-spinale et bulbo-cérébello- spinale, des
affections
spastiques familiales. BIBLIOGRAPHIE ACHARD e
tres apportent, si je ne m'abuse, des notions nou- velles sur cette
affection
. Voici un malade atteint d'un hémispasme de la
i sont spéciaux', qui sont étrangers à la symptomatologie des tics,
affection
psychique, et que la volonté ne peut reproduire.
entretenir la'Société, mais chez un autre sujet, atteint de la même
affection
, que j'ai pu soumettre à une observation de nui
i j'en juge par mes observations, ils semblent constants dans cette
affection
(Pl. XLVIII, A et C), et parce qu'il est imposs
tripète de cet arc pourra produire un spasme oculaire (1). » Dans l'
affection
dénommée « tic douloureux de la face » les mouve-
; il s'agit peut-être, au moins dans bien des cas de cette dernière
affection
de mouvements d'un tout autre ordre. Mon ami M.
gnements que m'a fournis M. Meige, rien ne prouve que dans ce cas l'
affection
n'ait eu pour siège le bulbe même ; or, dans cett
n degré d'in- tensité, donner naissance à l'une ou à l'autre de ces
affections
; j'ajoute, à l'appui de cette opinion, qu'on p
nt, insidieux, comme il est classi- que de le rencontrer dans cette
affection
. Chez l'aîné la maladie a com- mencé à l'âge de
rès, mais jamais le malade n'a quitté le lit depuis le début de son
affection
. Chez le cadet, le début de la maladie a été au
ttait d'emblée d'éliminer toute affec- tion chronique ou même toute
affection
à début lent. On éliminait ainsi toute arthrite
la scoliose hystérique. Mais plus encore que dans n'importe quelle
affection
, chaque malade a ses allures originales, d'où d
urs de ces dernières années, réuni sous le nom d'achondroplasie des
affections
très dissemblables, ce qui n'a pas peu contri-
mineuse. M. Müller (1860) distingue, comme deux variétés de la même
affection
, le rachitisme de l'enfance et le rachitisme in
c Bouchut (1862), Scharlow (1867), Fischer (1875) identifient cette
affection
au rachitisme vrai, simple ou compliqué de crét
côté de ces deux états morbides, sous le nom d'achondroplasie, une
affection
bien distincte dont les caractères cliniques ét
lberg (1882), Rode (1882) persistent à soutenir l'identité de cette
affection
avec le rachitisme en s'appuyant sur les recher
. Il adopte le terme d'achondroplasie, montre qu'il s'agit là d'une
affection
spéciale, distincte du rachitisme, et confirme,
is imperfecla, concluent également à la séparation absolue de cette
affection
d'avec le rachitisme vrai. Depuis lors les obse
iplient rapidement et confirment l'exis- tence chez le foetus d'une
affection
osseuse distincte du rachitisme vrai et de la s
its, établit que l'on a confondu sous le terme d'achondroplasie des
affections
histologiquement et cliniquement disparates, et
n'avait p;IS encore été décrit. t. L'achondroplasie n'est pas une
affection
nouvelle. Les anciens n'avaient pas manqué d'êt
connus sous l'appellation «d'Augustes». Synonymie ET division. - L'
affection
qui nous occupe paraît avoir aujour- d'hui acqu
mployé est celui de Rachitisme (oe- tal, que l'on oppose en tant qu'
affection
spéciale au rachitisme vrai intra-uté- rin ; ma
rac- téristiques de l'achondroplasie. L'étude histologique de cette
affection
, en éclaircissant sa pathogénie, nous permet au
races syphilitiques. Le sexe féminin serait plus prédisposé à cette
affection
que le sexe mascu- lin d'après Kassowitz qui, s
un achondroplasique ayant maigri ou d'un enfant atteint d'une autre
affection
? Nous sommes loin d'avoir élucidé toutes les d
stic doit, nous semble-t-il, demeurer en suspens, car diffé- rentes
affections
osseuses, particulièrement le rachitisme et le my
iques qui peuvent être réalisés, au moins en partie, par d'au- tres
affections
et prêter ainsi à confusion. L'examen histologiqu
chondroplasie. La micromélie est le seul symptôme commun à ces deux
affections
. Malgré leurs caractères opposés, ces deux dyst
agit ici de deux localisations d'une même entité morbide ou de deux
affections
différentes. Mais les caractères de la dys- pla
os longs représentent d'ancien- nes fractures et il s'agit là d'une
affection
différente du rachitisme. C'est également dans
ie et la dysplasie périostale peuvent se compliquer encore d'autres
affections
et particulièrement du rachitisme et du myxoedème
dérés à ce point de vue, a mis en question la possibi- lité, pour l'
affection
héréditaire qui nous occupe, de donner naissance
t vrai que le type rhizomélique fait géné- ralement défaut dans ces
affections
, mais il est loin d'être constant dans l'achon-
droplasie vraie et paraît être une lésion pathognomonÙ/lte de cette
affection
il sa période d'état. A propos du diagnostic, n
ie. On ne saurait, du /reste, trop attirer l'attention sur ces deux
affections
qui viennent souvenL £ a-- ! jouter aux dystrophi
érieurs ne suffit donc pas pour affirmer la noiî-exisience de cette
affection
. Peut-être cela explique-t-il pourquoi certains a
Voy. p. 521). Ainsi que l'on peut en juger, les caractères de ces
affections
sont assez tran- chés pour pouvoir en établir l
dans les formes dites frustes qui peuvent être simulées par d'autres
affections
, et combien l'on ne saurait rester encore sur u
ts de diagnostic. Il importe, enfin, de ne pas oublier que les deux
affections
peuvent coïncider et qu'il n'y a aucune raison
aphique la Dyschondroplasie en l'opposant à l'achondroplasie/ Cette
affection
qui, selon ces auteurs, relève de troubles de l'o
e. Le genu valgum et le coxa vara coïncideraient souvent avec cette
affection
. Quelque incomplets que soient ces caractères,
lades en at- { tendant des raisons plus probantes pour en faire une
affection
particulière. Il I se peut aussi que la syphili
os dont l'ossification périostale s'effectue ré- gulièrement. Cette
affection
touche essentiellement les épiphyses des os longs
alotte crânienne ne constitue pas une forme partielle de cette même
affection
. Dans la dysplasie périostale l'absence de tiss
psathYI'osis, larges cadres anatomo-pathologiques qui renferment des
affections
de natures très diverses, et sont caractérisés
ades se frac- turent, tantôt en un point, tantôt en un autre. Cette
affection
, qu'il ne faut pas confondre avec les ostéoporo
morbides, ou ne constituent-elles que des formes spéciales d'autres
affections
banales ? L'assimilation de l'achondroplasie au
pothèse avancée. Les différences évidentes observées entre les deux
affections
étaient attribuées soit à des complications, so
naissances plus exactes concernant l'anatomie pathologique de cette
affection
et ses caractères chez l'adulte, cette hypothèse
e maladie acquise. L'achondroplasie, au contraire, est toujours une
affection
con- génitale. Le rachitisme guérit quand les m
dire, des formes frustes ou anormales, des cas limites où les deux
affections
se rapprochent singulièrement par effacement de c
n patho- logie, il se rencontre des cas difficiles à classer. Telle
affection
parfaitement définie peut revêtir, à s'y mépren
ux qui traduisent clini- quement les caractères essentiels des deux
affections
. Au point de vue histologique, l'opposition ent
. Si, en 1900, nous avons relevé certaines analogies entre ces deux
affections
, l'étude ultérieure d'un plus grand nombre de c
me la localisation sur le cartilage et sur le pé- rioste d'une même
affection
. La dysplasie périostale respecte le cartilage
, il ne faudrait pas, croyons-nous, cher- cher à"aïsimiler ces deux
affections
, puisque l'une, la dysplasie périostale relève
ogénie de l'achondro- plasie est celle de Parrot qui en faisait une
affection
locale, une dyst1'ophie congénitale du cartilag
ndant, récemment reprise par de Bück et par Mayet qui placent cette
affection
au rang d'un stigmate de dégénérescence et cons
sons qui ne permettent plus actuellement de rapprocher ici ces deux
affections
. Ce sont deux processus morbides qui peuvent (acc
s que nous serions tentés de chercher l'étiologie première de cette
affection
, et cette hypothèse nous paraît confirmée par la
lésions achon- . droplasiques. La syphilis semble donc, en tant qu'
affection
sclérosante,suscep- tible de déterminer des lés
ant qu'agent sclérosant, mais partage cette propriété avec d'autres
affections
. La tuberculose entraîne également des sclérose
érose, base anatomique de l'achondroplasie. La syphilis étant une
affection
essentiellement sclérosante, sera souvent la» c
analogie avec les myopathies. Comme dans celles-ci, il s'agit d'une
affection
systématisée il un tissu, à une espèce de cellu
chitisme ou de myxoedème. - XVIII 35 530 PORAX ET DURANTE ' Une
affection
maternelle sclérosante ne se localisera-t-elle pa
e cause uni- que à ces formes complexes, on peut admettre que telle
affection
maternelle, lésant directement l'ossification c
ien l'étiologie et la pathogénie que nous proposons ici. Dans toute
affection
, deux points sont à étudier séparément : ' a) L
s ignorons encore le mécanisme intime. Il en est de même dans les
affections
congénitales. Tantôt tous les systèmes paraisse
veux, chez d'autres sur le système musculaire. Il y a hérédité de l'
affection
fondamentale, mais variété personnelle dans sa
syphilis, tubercu- lose, alcool) ; mais la caractéristique de cette
affection
est la localisation osseuse LES M1CR0MÉL1ES CON
ésions achon- droplasiques vraies afin de les distinguer des autres
affections
osseuses de nature ou de siège différents que l
hui à l'achondroplasie. Sous ce terme, on trouve encore réunies des
affections
disparates dont le seul symptôme commun est la
par hyperactivité des ostéoclastes. 4° Il ne faut pas confondre ces
affections
: a) Ni avec le micromèle rachitique congénital
rachitisme ou le myxoe- dème, et peuvent être considérées comme des
affections
spéciales. Quoique les agents sclérosants diver
de la Salpêl1 ? 1901). - Le myxoedème et l'achondroplasie sont deux
affections
totalement différentes (Soc. de Biol., 1902).
se rapproche de l'achondroplasie par les caractères suivants : 1° L'
affection
semble être congénitale. 2° Petite taille due à l
absolument un lien incontestable et in- time entre l'infection et l'
affection
nerveuse (2). (1) Elle a été décrite par P. hlm
ke, l'observation d'un officier qui, en 9 79, vit se développer une
affection
paraissant répondre à l'atrophie mus- culaire p
etc.), qui eut enfin l'idée que la syphilis jouait un rôle dans son
affection
, se mit au traitement ioduré, vit l'atrophie s'
cot et qu'on peut souvent la soupçonner en raison de stigmates ou d'
affections
concomitantes comme le tabes ou la paralysie gé
sclérose postérieure ou de symptômes de méningo-encéphalite,est une
affection
très fréquemment syphilitique. Dans le démembre
20 ans : sa paillasse, dit-il, était tou- jours pourrie. A 7 ans,
affection
oculaire de nature indéterminée. A 18 ans, hernie
nctivite et des suppurations des oreilles. L'atrophie musculaire,
affection
pour laquelle il vient consulter, a débuté il y
syphilis, et il faut espérer qu'il donnera quelques succès dans une
affection
contre laquelle nous étions jusqu'alors si comp
imagination souvent frappée peut agir sur les corps et soulager les
affections
physiques » (1). OEuvre de recon- naissance pie
éralisée que celle que Poncet (1) considère comme ' (I) A. PocvcsT,
Affections
rattachées aux tumeurs des os, in Traité de chiru
père, très vigoureux, a succombé à 35 ans ; il était atteint d'une
affection
cardiaque. Il a un frère aîné, âgé aujourd'hui
plus, indépendamment de ce fait, il n'est pas nécessaire de voir l'
affection
se reproduire d'une façon inté- grale du père o
r, dans certains cas, un rôle dans l'apparition et l'évolution de l'
affection
chez leurs descendants ; que ce rôle consiste à
r, surtout si on a recours à l'exploration radiographique. La seule
affection
, qui puisse prêter à confusion, est l'enchondrome
rver au cours de ma pratique médicale. Un des premiers à signaler l'
affection
en question fut, selon Poncet ( ), ), A. Cooper
rès A. Cooper, quelques observations similaires furent publiées ; l'
affection
conservait néanmoins son caractère de rareté. P
u on peut simultanément trouver des exemplaires tant de la première
affection
que de la seconde. Dans le cas de Weber (Vircho
bassin, dit qu'on sait bien peu de chose « sur l'étiologie de cette
affection
. Il semble que les hommes soient affectés un pe
ant leur évolution, à l'âge de 20 ans. Passant à la pathogénie de l'
affection
qui nous occupe, je ferai ressortir 646 SIMONIN
vation. Du reste, tous les auteurs sont d'accord pour assurer que l'
affection
est essentiellement héréditaire. Cependant dans
s en- core parfaitement connue, elle est peut-être dépendante d'une
affection
non pas encore localisée du système nerveux (su
oniques m'a fait me demander un mo- ment si, dans le cas spécial, l'
affection
en question pouvait ;dépendre d'une assimilatio
alade que chez ses ascendants ou collatéraux ; la cause réelle de l'
affection
semble devoir être considérée comme un processu
relativement nombreuses. L'origine héré- ditaire possible de cette
affection
s'affirme seulement par quelques obser- vations
e seulement externe ne suffit pas pour attribuer avec certitude à l'
affection
une origine nucléaire. Cependant dans les cas d
lmoplégie congénitale il paraît établi par quelques autopsies que l'
affection
relève d'un arrêt de développe- ment, d'une apl
ux : père et mère, cinq frères et une soeur en bonne santé ; aucune
affection
nerveuse dans la famille ; pas d'alcoolisme ni
sules surrénales (6 fig.), par Ballet et LAIGNfiL-LAVASTINE, 176.
Affection
spastique bulbo-spinale fami- liale (1 pl.), pa
ils dans l'art (1 pl. ), par LAIGNEI.-LA VASTINE, 117. Familiale (
affection
spastique bulbo-spi- nale -) (1 pl.), par Balle
e même famille. ll ypo- thèse nouvelle sur la pathogénie de cette
affection
(2 pl.) par OETT1YGER et AGASSE- LAFONT, 292.
et des capsules surrénales (6 ng.),n6. Ballet (G.) et Rose (F.).
Affection
spasti- que bulbo-spiuale familiale (1 pl.), 40
ES Achondroplasie ( PARII01\'. Shunda et ZAL I'L,1CIITA), LVII.
Affection
spastique bulbo-spinale fami- liale (Ballet et
dination, et c'est uniquement quand ces fibres sont lésées dans une
affection
spinale que l'ataxie se mani- feste. Où sont ce
ties sont exposées. Le tabes, tout le monde le recon- naît, est une
affection
des neurones. Il est fort douteux que les cellule
t, comme l'admettent P. Marie et Marinesco, le point de départ de l'
affection
, car on s'expliquerait diffici- lement que le p
maladie générale du système nerveux; mais ce n'est pas non plus une
affection
uniquement limitée à la moelle épinière3. Dans
à fait indemnes, on ne saurait non plus désigner le tabès comme une
affection
systématique. » Quant au point de départ de l'a
comme une affection systématique. » Quant au point de départ de l'
affection
, voici les différentes par- ties du système ner
rsalis de 1827 à 1894, il résulte et demeure acquis que, dans cette
affection
, les fibres ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQU
dégénération systématique au sens de Strumpell et de Flechsig, une
affection
élective des racines postérieures, au sens de M
ines postérieures, au sens de Mayer. S'agit-il, au contraire, d'une
affection
des racines postérieures intéressant cer- tains
lément cérébel- leux accompagne nettement la forme spinale de cette
affection
; les troubles du sens musculaire n'y sont point
anière générale, la sensibilité cutanée est moins affectée dans les
affections
du système nerveux que la motilité. Ainsi la se
à la conduction des impressions de la sensibilité. Dans certaines
affections
des nerfs périphériques, par exemple dans la poly
ines postérieures, provoquent de très vives manifestations de cette
affection
. C'est ce qui arrive, dans le tabes, quand les
ions du système exogène étaient au minimum, contrairement au tabes,
affection
qui se caractérise par un maximum de lésions du s
t en contradiction avec l'opinion classique qui veut que dans toute
affection
aiguë avec hyperthermie, la réapparition des cr
ve dans son Traité de l'épilepsie dit « qu'en thèse générale, toute
affection
intercurrente, quelque peu sérieuse et aiguë, p
suspendant les accès et cela*aeu lieu surtout lorsqu'il.s'est agi d'
affections
aiguës ayant déterminé une maladie fébrile. L'o
Thèses DE Lyon 1899-1900. Acuann (L.) : Contribution à l'étude des
affections
multiples des nerfs crâniens compliquant le zon
1 ; un autre pavillon distinct est réservé aux alié- nés atteints d'
affections
somatiques (infirmerie). La question des pavill
cide, les- agités, les paralysés, les gâteux, les sujets atteints d'
affections
somatiques et enfin tous les malades pour lesqu
du cerveau et de l'organisme tout entier, dans le traitement de ces
affections
. C'est dire combien considérable est, dans une
ifférente de la démence symptoma- tique terminale de la plupart des
affections
mentales) : a) altéra- tions séniles : 1° Athér
tale. R. DE nIUSGRAVE-CL.1Y. XV. Notes pathologiques sur quelques
affections
cardiaques obser- vées.à l'asile du comté de Du
ux aussi sont capables de déterminer la méninge encéphalite. Cette -
affection
devrait être considérée non comme parasyphiliti
e, semblent normaux. Mais la lésion absolument pathognomonique de l'
affection
se voit au niveau de la macula lutea. Entourant
l'autre enfant, il est de race sémitique, fait habituel dans cette
affection
. Les lésions ophtalmiques sont, dans ce deuxièm
a colonne latérale. L'étiologie, le cours et la pathologie de cette
affection
sont décrits d'après l'expérience personnelle d
a moelle épinière; par E.-A. Homén, d'Helsinnfors (Finlande). Les
affections
accompagnées -d'une altération sinon exclusive,
uites, soit à l'alcoolisme, etc. ; 2° Remarquons que dans les cas d'
affection
des zones endogènes ces altérations sont en gén
ystématique des deux groupes (méthode Marchi et autre) montre que l'
affection
atteint en premier lieu les racines post-intra-
lication ou à la raison du l'ait, que dans un nombre considérable d'
affections
diverses les cordons postérieurs sont ou bien s
ANA (de New-Yorl : ). La plupart de mes observations touchant cette
affection
ayant déjà été publiées dans le cours du mois d
ie. Dans mes observations, je note souvent l'existence d'une courte
affection
initiale, telle que grande crise de diarrhée, fiè
e delà moelle et de ses enveloppes. Sur la systématisation dans les
affections
du système nerveux et en particulier dans le ta
taines aptitudes pathologiques des neu- rones. Le tabès et quelques
affections
similaires rentrent dans cette dernière catégor
deux statuettes reproduisent entièrement nus deux sujets atteints d'
affections
éminemment plastiques pour ainsi dire[; c'est u
et CESTAN (de Paris). Ces auteurs ont pu étudier deux cas de cette
affection
. La mala- die a débuté par les membres inférieu
sie spinale antérieure subai- guë, niée par certains auteurs. Cette
affection
consisterait en une atrophie simple des cellule
altérations cellulaires des cornes antérieures qui, dans ces trois
affections
, ne diffèrent que par leur évolution. Des relat
oujours adéquate à la quantité de tissu musculaire atrophiée et une
affection
(sclérose latérale amyotro- phique) où l'associ
dans l'atrophie muscu- laire progressive du type Aran-Duchenne une
affection
exclusi- vement spinale, dont les lésions se ca
ait donc admettre la prétention de ceux qui confondent en une seule
affection
la maladie de Charcot et la maladie de Aran-Duc
iniques de la paralysie géné- n«le spinale subaiguë. Dans les trois
affections
on constate des altérations cellulaires spécial
e l'atrophie mus- culaire progressive du type Aran-Duchenne est une
affection
sys- tématique limitée au protoneurone moteur,
du tendon d'Achille constituent les seuls signes objectifs d'une
affection
organique du système nerveux. Si ces signes n'ava
oses combinées qui représentent probablement le premier stade d'une
affection
qui, abandonnée à elle-même, deviendrait très g
l'émergence de la troisième racine sacrée. Les signes cliniques des
affections
du cône se composent, d'un côté, de l'intégrité
, de l'intégrité absolue des membres inférieurs et de l'autre d'une
affection
des sphincters avec anesthésie en selle. L'aute
U Intégrité des sphincters (limite inférieure) ; Symptôme positif :
affection
du plexus sacré, spécialement affection grave e
ure) ; Symptôme positif : affection du plexus sacré, spécialement
affection
grave et durable du nerf sciatique poplité extern
a spondylose rhyzomélique. Il peut être aussi symptomatique : d'une
affection
médullaire (Farges), d'une affection cérébrale
re aussi symptomatique : d'une affection médullaire (Farges), d'une
affection
cérébrale (Morvan). M. Léopold Lévi a observé p
88 SOCIÉTÉS SAVANTES. miner l'état de la dure-mère dans toutes les
affections
mé- dullaires. Recherches sur les lésions des
les lésions des cordons postérieurs dans le tabes, dépendent d'une
affection
primitive du centre trophique des fibres radicu
se mirent à augmenter de volume, si bien qu'on pouvait craindre une
affection
organique. Par suggestion je pus distraire ces
lligente, êtres frappés, l'un de démence pré- coce et l'autre d'une
affection
cérébrale mortelle d'origine alcoolique'. Je re
LIE GÉMELLAIRE. 103 le père est mort d'une pyrexie et la mère d'une
affection
organique de l'estomac. La mère, d'apparence
relativement à l'ancienne manière de considérer le tabes comme une
affection
primaire dégénérative des cordons postérieurs d
que la lésion des racines et des cordons postérieurs impliquait une
affection
cellulaire préexistante, car une lésion d'un pr
ux ? centre trophique des racines postérieures- dans le tabes ? Une
affection
de ces cellules devrait amener la dégénéra- tio
latifs aux cellules des ganglions spinaux « le point de départ de l'
affection
tabétique de la moelle épinière doit être cherc
us les éléments histolôgiques de la corne antérieure. La cause de l'
affection
cellulaire qui détermine ainsi, à distance, une
selon Schaffer, la raison d'être de l'amyotrophie tabétique est une
affection
des cellules trophomo- trices des cornes antéri
une affection des cellules trophomo- trices des cornes antérieures,
affection
due à la dégénérescence des collatérales des pr
ent touchant la pathogénie de l'amyotrophie tabétique : celle d'une
affection
des cellules des cornes antérieures, celle d'un
t et la réaction de dégénérescence fait défaut; histologiquement, l'
affection
se caractérise par des altérations fines qui ne
s spinaux chez des malades décédés tout à fait au commencement de l'
affection
des cordons postérieurs ; même en ces cas, il e
en ces cas, il est bien vraisemblable qu'il ne s'agirait pas d'une
affection
à l'état naissant, au sens strict du mot. Du mo
la syphilis doive être considérée comme la cause de la plupart des
affections
tabétiques, il reste un certain nombre de cas q
mptômes, qui s'expliqueraient par une combinaison du tabes avec une
affection
des cornes antérieu- res ou une dégéuération de
usqu'ici rassemblées suffisent pour permettre d'identifier ces deux
affections
. Ce que les deux maladies ont surtout en commun
g. Neurol. Centralbl., 3 i" sept. 1891. z 126 REVUE CRITIQUE. .
affection
, la destruction des éléments de l'écorce qui sont
progressive, et cela dès la période préataxique du tabes. Les deux
affections
, dans d'autres cas, débutent simultanément'. Da
distinguer ceux où la dégénération typique du tabes avait précédé l'
affection
cérébrale d'avec ceux, plus rares, où ces cordo
vec ceux, plus rares, où ces cordons avaient dégénéré au cours de l'
affection
cérébrale. » ' , Quelle que soit la cause des
s du tabes traumatique), on doit se rappeler que la production de l'
affection
dans les régions les plus éloignées du système
avec P. Marie, pour lequel s'est déclaré Leyden, que l'origine de l'
affection
soit périphérique (ganglion spinal), car, dit-il,
u tabes soit capable d'expliquer la lésion caractéristique de cette
affection
, la dégénération des cordons pos- térieurs. M
pinaux dans le tabes. » Tout le monde convient que le tabès est une
affection
du protoneurone centripète. Si la fonction de c
la méningite des méninges de la moelle, mais sans considérer cette
affection
comme la cause du tabes, ce que fit Arndt. Mais
es postérieures. Minor et'Sachs (1894) ont montré ensuite comment l'
affection
tabétique des cordons postérieurs pouvait être
es comme l'effet d'une intoxication post-syphilitique, analogue aux
affections
post-diplnéritidues : sous l'influence de l'inf
u dans ces derniers temps que le z tabes n'était pas uniquement une
affection
de la moelle épinière,. mais peut-être du systè
u le tabès cérébral. Il admet que dans cette forme l'évolution de l'
affection
puisse rester assez bénigne pour ce qui concerne
e la paralysie générale est encore pendante. Pour Moebius, les deux
affections
ne sont qu'un symptôme différent de la métasyphil
statistiques, plai- dent contre l'hypothèse de l'identité des deux
affections
. Ajoutez que la dégénération des cordons postér
OLOGIQUES DU 'TABES. 133 bien'le nerf auditif qui est atteint par l'
affection
: « Il existe, dit .Marie, une névrite auditive
mie et de la pathologie du tabès : - Le mode de distribution de l'
affection
tabétique des cordons postérieurs est-il systém
i Redlich dans son premier travail sur la matière, qu'au début de l'
affection
tabétique, des territoires radiculaires entiers
lésions en foyer de la dégénérescence tabétique parait véritable. L'
affection
tabétique des cordons postérieurs de la moelle n'
ection tabétique des cordons postérieurs de la moelle n'est pas une
affection
systématique, au sens ordinaire du mot; c'est tou
tion systématique, au sens ordinaire du mot; c'est tout "au plus un
affection
systématique des racines postérieures, une 'aff
es, la syphilis doit être considérée comme la cause efficiente de l'
affection
. Les autres infections elles intoxications peuven
La variabilité des nerfs intéressés serait plutôt spéciale à cette
affection
. Les troubles surviennent à des périodes divers
rès défavorable à cause de la rareté des complications bulbaires. L'
affection
est longue toutefois à rétrocé- der ; dans les
lle s'est développée progressivement, à la suite'de la variole, une
affection
du pied gauche, Ipcalisée presque exclusivement
a pesanteur et vice versa. Si l'érecteur de droite, par suite d'une
affection
de ses nerfs moteurs, perd de sa force, comme d
Bourneville et Crouzon pensent- ils qu'il s'agit peut-être là d'une
affection
familiale sans formuler toutefois de conclusion
« fléchisseur ». Dans l'hémiplégie organique, et dans toutes les
affections
des faisceaux pyramidaux, le réflexe plantaire es
e, si rien n'oblige à admettre une association de l'hystérie avec l'
affection
orga- nique. La genèse, l'étiologie vraie de
gnent la contraction volontaire des muscles subissent dans ces deux
affections
. Depuis Dubois-Reymond on sait que toute contra
des faits excessivement carac- téristiques et variés dans les deux
affections
à la période de la contracture. Dans la contr
férents mécanismes de la production de la contracture dans ces deux
affections
du système nerveux. Il est probable que dans l'
érence dans le caractère de la courbe galvanométrique dans les deux
affections
, différence qui peut être utilisée comme signe
aux troubles de la vue que l'on observe dans l'hystérie et dans les
affections
organiques du système nerveux. Il y a plus de d
oecer BLocu (de Paris). On a décrit sous le nom de microsthésie une
affection
du tou- cher caractérisée par une altération sp
ensations de poids et de volume. Lorsqu'un malade, atteint de cette
affection
, tient dans sa main un objet quelconque, un pre
tant de deux ans, et je me propose de le rechercher dans toutes les
affections
pouvant déterminer de la paralysie spasmodique :
. L. était mort de syphilis alors que celui-ci avait succombé à une
affection
cancéreuse. AI. Watte- let n'en fut pas moins c
. Touche présente les pièces provenant d'un malade atteint de cette
affection
et qui avait présenté comme symptômes la grifle
térale à type sensitif. M. Touche présente un malade chez qui cette
affection
a eu un début identique à celui de la pachymeni
galité pupillaire constatée chez le malade plaidant en faveur d'une
affection
médullaire siégeant dans la région supérieure.
quelles hypothèses on a eu recours pour expliquer cette singulière
affection
. Ayant eu l'occasion d'observer trois sujets fr
s les trois cas, après une période d'acuité plus ou moins longue, l'
affection
disparaît pour-ainsi dire sans laisser de trace
moment de l'examen aucun signe permettant de reconnaître la bizarre
affection
qui l'avait atteint tout jeune : Peut-être avai
eur gauche : le tout persistant neuf ans encore après le début de l'
affection
. Le sujet de l'observation lII'est au con-- tra
n nous paraît difficile à trancher. Par certains de ces côtés cette
affection
rappelle la sciatique. On a signalé la possibil
euse, soit par une maladie intercurrente peut- être favorisée par l'
affection
principale. Enfin les observa- tions du profess
phie musculaire progressive qui peut parfois se présenter comme une
affection
familiale et héréditaire et dont le début a gén
seule autopsie a été publiée par Strumpel'.Au premier abord, cette
affection
semble se diffé- rencier nettement de nos obser
n'empêche de supposer qu'il peut en être ainsi dans cette dernière
affection
; l'absence de systématisation absolue peut exi
r son polymorphisme sans qu'aucun des caractères fondamentaux des
affections
familiales ne soit foncièrement lésé. . C'est e
ce complète : , aucune, n'offre le moindre. rapport avec la bizarre
affection
présentée, par les membres de, la famille G...
ète de toutes les extrémités se produisait de temps en temps. Cette
affection
, frappant les individus jeunes, se caractérisai
rés d'une façon caractéristique dans les paralysies familiales. L'
affection
aurait ainsi de grandes analogies avec la maladie
s présentent, des difformités physiques : Tant qu'ai lâ3nature de l'
affection
, elle a été appréciée d'une façon très" différe
ne inhibition des centres spinaux..Donath la considère. comme. une.
affection
des- racines- motrices; médullaires : . A', côt
sen : L'atL teur insiste ensuite sur la bizarrerie d'allures- de. l'
affection
; ilirappelle-Kopinionide Goldflamm mettant eu p
est pas dans ses attributions de soigner les maladies mentales, ces
affections
exigeant le placement dans un établissement spé
e cinq;semaines, un professeur, traite complètement tout'un genre d'
affections
. Un petit opuscule, est publié en fin, février
s les meilleures conditions l'hospitalisation des sujets atteints d'
affection
du cerveau, ces établissements ne sont pas moin
n seulement dans les maladies mentales, mais encore dans toutes les
affections
nerveuses et particulièrement dans celles que l
oxiqués. Les unes et les autres peuvent se rencontrer dans d'autres
affections
que la rage. La rage est constituée par une tox
f dans les cas de thrombose seule directe d'un traumatisme ou d'une
affection
locale bien déterminée, il n'est pas possible a
vent le malade REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 245 5 succombe à une
affection
intercurrente. Hammond déclare qu'il n'a vu que
de l'irritation, et dans un grand nombre de cas le simulacre d'une
affection
organique. M. Elsner pense que le plus souvent
s écrivains, l'auteur a été conduit à nommer crampe des liseurs une
affection
qui se caractérise par un spasme ou une crampe de
rès la ménopause. On a beaucoup disserté sur la pathogénie de cette
affection
sans 256 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'écla
lairer : on l'a considérée comme- un trouble vaso-moteur, comme une
affection
névralgique, comme le résultat d'un excès d'aci
en ou de l'expert ont à s'exercer. 11 passe en revue la plupart des
affections
mentales, insiste sur les simulateurs et les di
eur température pour être sur qu'ils ne sont pas sous le coup d'une
affection
aiguë, auquel cas il est sursis au transfert. I
t de malades chez lesquels on ne put découvrir aucun signe formel d'
affection
organique du système nerveux central ou phériph
la structure. et de la fonction est mise en lumière pour certaines
affections
mentales caractérisées par des altérations céré
le sel sont des signes qu'on peut trouver aussi bien au début de l'
affection
que plus tard et quel que soit 1 âge où la mala
upéiieur à celui des cas observés dans les prisons en commun. Les
affections
mentales que l'on constate dans les prisons cellu
çoit la démence précoce à la façon de Kroepelin et range dans cette
affection
tous les cas d'affaiblissement intellectuel pri
gêné) aie; pour les femmes dont 7 seulement ont suc- combé à cette
affection
, elle est encore un peu élevée. La mortalité de
vait donc tubercu- lose. mais celle-ci n'avait aucun rapport avec l'
affection
cérébrale. L'autopsie a en effet montré des lés
stiques. Injections 17zlra-cercaclarzoïdienrzes de cocaïne dans les
affections
douloureuses. M. ACIIAIID a ainsi traité troi
présente une malade dont un cousin germain a été atteint de la même
affection
. La démarche est spastique, le visage - SOCIÉTÉ
rs constituée par un syndrome que l'on rencontre dans de nombreuses
affections
psy- chiques. Ce syndrome. chez l'adulte, ne pe
malgré la constante découverte d'un ver dans le sang des malades. L'
affection
reste endémique dans l'Ouest africain où elle r
Archives, 2° série, t. XI. 23 354 BIBLIOGRAPHIE., voir dans cette
affection
inflammatoire des centres nerveux un ac- cident
mière ligue, l'auteur passe aux grands syndromes communs à diverses
affections
pour terminer par 12s affections des enveloppes
rands syndromes communs à diverses affections pour terminer par 12s
affections
des enveloppes nerveuses des nerfs périphérique
ertini; Contribution à l'étude dct)'6) ! Sfo ? K ? ? ee<s autres
affections
cavitttii-es de la moelle, par Philippe et Oberth
l'absence de paralysies et de bruits dans les oreilles, indique une
affection
du cervelet (douleur occipi- tale à la percussi
électrique et de l'excitabi- lité réflexe force à exclure ici toute
affection
cérébro-spinale ou REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
mps compro- mise, l'équilibre réflexe étant lui-même plus lésé. Les
affections
médullaires portant sur le point de conjugaison
les propositions suivantes, qui ont trait à la pathogénie de cette
affection
: ♦ 1° Les cas d'acromégalie associée à une tum
s muscles des yeux sont douteuses et se rapportent plutôt à quelque
affection
concomitante. La blépharoptose hystérique est u
1900.) Tableau clinique et anatomo-pathologique complet de cette
affection
avec les caractères particuliers suivants : Au po
et 3, 1900.) Comme suite à une communication antérieure sur cette
affection
, non encore décrite en France, les auteurs ont
identiques permettant de les ranger dans le cadre de cette curieuse
affection
, dont le tableau clinique peut-être résumé comme
ique il parait donc possible de tracer l'histoire clinique de cette
affection
: apparition de troubles nerveux à la période sec
tion à ajouter à toutes celles qu'a déjà permis d'enregistrer cette
affection
si fertile en incidents et qui rentre dans la c
senstellung). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 405 Le pronostic de l'
affection
fut plutôt favorable et a cédé facile- ment à u
hez un homme dont le père et la soeur avaient déjà présenté la même
affection
. Cette paraplégie s'est développée lentement à
generis, mais qu'il se rencontre dans le cours d'un grand nombre d'
affections
mentales. R. de Mugraves-Clay. XXXVIL, L'alcool
du deuxième mode d'action de la syphilis, qui se manifeste dans les
affections
dites parasyphilitiques, à savoir, la paralysie
héréditaire, mais qui est parfaitement capable de donner lieu à des
affections
parasyphilitiques. Enfin l'auteur cite la forme j
aux plaident en faveur de l'hérédité au même titre que les autres
affections
familiales. Des remarques ont été faites par MM.
du canal central ; 5° Les altérations qui forment la base de cette
affection
peuvent être présentées de la façon suivante :
11° La syringomyélie n'a rien de commun avec la lèpre. Ce sont deux
affections
absolument différentes ; 12° La cause immédiate
s'appuie pour l'établir sur les maladies périodiques y compris les
affections
mentales, viscérales, etc., sur la périodi- cit
ure des excès alcooliques ont joué un rôle dans l'éliologie d'une
affection
, et servir ainsi à préciser le diagnostic. Il nou
la santé et la folie, incomparablement plus fréquente que dans les
affections
soma- tiques. Quelques maladies mentales, telle
és depuis une maladie qui a nui au système nerveux, depuis môme une
affection
mentale incomplètement guérie, ou sont, sous le
er. Hyper- tonie peu importante des muscles ciliaires. Ce n'est une
affection
organique classée ni du cerveau ni de la moelle
sentait des signes très nets d'hérédo-syphilis et d'infantilisme. L'
affection
mentale débuta à dix-sept ans par un affaibliss
mi, six mois après l'entrée à l'asile, huit ans après le début de l'
affection
. L'autopsie permet de relever une atrophie céré
L'excitation maniaque, la dépression mélancolique sous lesquelles l'
affection
s'est manifestée au début chez cette malade, aura
de et en particulier au tic mental. Je faisais remarquer que dans l'
affection
dénommée torticolis mental ou spasme du cou, le
ndonner ce diagnostic. Il soutient seulement qu'il s'agit non d'une
affection
organique, mais d'un trouble fonctionnel qu'il
est qu'elle existe nettement pour le moment, a été consécutive à l'
affection
oculaire. Du reste, que le malade soit ou ne so
épression qui n'existe ni dans la syringomyélie, ni dans les autres
affections
médullaires serait due à un trouble de l'innervat
égie aiguë d'origine syphilitique, ayant l'apparence clinique d'une
affection
parenchymateuse systématisée. Phénomène de Cala
aux correspondants. L'intérêt du cas pré- sent réside dans ce que l'
affection
des vaisseaux (car il s'agit ici sans nul doute
e l'affection des vaisseaux (car il s'agit ici sans nul doute d'une
affection
vasculaire) qui s'est constituée en deux repris
rfaitement symé- trique, qu'on n'observe ordinairement que dans les
affections
dégé- nératives primitives. 3° Paralysie pset
la clinique de M. Bekhtereff 45,2 p. 100 sont morts à la suite des
affections
pulmonaires (l ? 7 p. 100 de la pneumonie, 11,9
tion donnée I au traitement des -, par Wilson, 479. Cardiaques.
Affections
- dans l'asile du comté de Durham, par Cllnch,
a colonne vertébrale dans la -, par Nal- baudow, 434. (]ans les
affections
nerveuses, par Kageotte. 70. Système nerveux.
thotogiques du -, parJ. Soury, 1 115. Systématisation dans les
affections
ne) veuses, en particulier dans le-, par kNageo
nt plus particulièrement la sensibilité et le mouvement. I. Les
affections
du système nerveux qui ont les pre- mières paru
re elles par un lien de parenté que trahissait l'hérédité, sont les
affections
mentales. L'hérédité de l'aliénation dans ses d
. 8 PATHOLOGIE .GÉNÉRALE. Il faut noter d'ailleurs que, parmi les
affections
dites mentales, il en existe une, la seule dont
alysie générale constitue en quelque sorte une transition entre les
affections
mentales et les affec- tions cérébro-spinales à
us verrons qu'elle a de fréquents rapports avec les névroses et les
affections
spinales, sans compter l'ataxie locomotrice, av
puisse toujours faire la part de ce qui est propre à chacune de ces
affections
'. Quant aux coïncidences pathologiques de l'ép
epsie, on peut dire qu'elles comprennent le plus grand nombre des
affections
du système nerveux; mais les affections mentale
le plus grand nombre des affections du système nerveux; mais les
affections
mentales occupent incontestablement le premier
du Saulle. - Les hystériques, etc., 1883. 12 PATHOLOGIE GÉNÉRALE.
affections
combinées chez le même sujet, comme le peuvent
- lent, le génie, le tempérament artistique, se trouvent unis aux
affections
mentales par une parenté facile à mettre en évi
llement isolée se trouve en connexions fré- quentes avec les autres
affections
du système nerveux, qu'il s'agit maintenant de
'aliénation par hérédité. Les lésions cérébrales de tout genre, les
affections
ner- LA FAMILLE NÉVROPATHIQTJE. 23 veuses don
ayer de faire. On peut dire que toutes ces névroses et toutes les
affections
dites spontanées du système nerveux sont unies
lésion. Pour ce qui est de la chorée, sa parenté avec les autres
affections
nerveuses a été fréquemment signa- lée5; elle a
que souvent la maladie de Parkinson est en rapport avec d'autres
affections
nerveuses existant soit chez le sujet lui-même,
uvent, on le trouve associé dans la même généalogie avec d'autres
affections
nerveuses. Quant à la maladie de Basedow, les r
athique par les mêmes liens. Elles sont fréquem- ment associées aux
affections
nerveuses, à l'hystérie, en particulier. Elles
ces cas, la déformation du cou n'est point la consé- quence de l'
affection
cérébrale, comme les phéno- mènes hémiplégiques
e la maladie est trahie par plusieurs caractères importants'. Cette
affection
a d'ailleurs des liens étroits avec la famille
us occupent sont tabétiques et aliénés; ils sont atteints de deux
affections
combinées, mais non subordonnées l'une à l'autr
. Observation L. - M. M..., peintre, ataxique. Père atteint d'une
affection
de la moelle épinière ( ? ). - Oncle sui- cidé.
que de l'infance affecte aussi des liens de parenté avec les autres
affections
du système nerveux. Duchenne (de Boulogne) cite
s chroniques et l'épilepsie, l'idiotie, l'aliénation, et les autres
affections
de la moelle, comme l'ataxie. - On peut en dire
fections de la moelle, comme l'ataxie. - On peut en dire autant des
affections
aiguës. Observation LXII. - Les deux enfants de
lle : nous avons connu deux frères et une soeur atteints de cette
affection
; on n'avouait aucun antécédent ner- veux. D'ai
ailleurs la parenté de la sclérose multilocu- laire avec les autres
affections
nerveuses ne saurait être mise en doute. Obse
plaques; pas d'antécédents avoués. A eu, à quatre ou cinq ans, une
affection
méningitique ( ? ). Observation LXX. D..., ving
nt ,dans ses antécédents; les LA FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 41 1 deux
affections
se sont développées sur le même sujet en raison
lle épileptique. Cousin germain épileptique. Il n'est pas jusqu'aux
affections
réputées acciden- telles qui ne puissent être r
sujets atteints de maladies nerveuses. Mais nous pensons que ces
affections
ne peuvent être rattachées à la famille névropa
orte qu'un accident. Si les liens de parenté qui existent entre les
affections
nerveuses sont souvent difficiles à mettre en l
ralysies, les convulsions de l'en- fance, etc., un certain nombre d'
affections
que les préjugés font considérer comme accident
l'alcoolisme, le satur- alisme" etc., le générateur primordial des
affections
nerveuses. L'influence de ces causes incessamme
de Burdach), sert à la conduite des impressions sensitives et a son
affection
propre, qui cliniquemeiit s'appelle l'ataxie lo
et sclérose latérale amyotrophique, telles sont, en somme, les deux
affections
parfaitement définies symptomatiquement et anat
utonomie et permettent à la fois d'en déterminer les limites. Ces
affections
, dont l'une (l'ataxie locomotrice) est très com
elle n'était pas accompagnée, comme cela a lieu dans cette dernière
affection
, de l'atrophie des cellules antérieures. Aussi
n suspecte elle-même son mari d'avoir été atteint de celte dernière
affection
, En ce qui la concerne personnellement, elle ne
la maladie de Duchenne la plus légitime. Comme dans cette dernière
affection
le faisceau de Burdach est envahi dans les part
es à l'aire du faisceau pyramidal. Toutefois, le début brusque de l'
affection
1 F. Jubineau. Etude sur le tabès dorsal spasmo
e mesure, l'absence de lésions dégénératives secondaires dans cette
affection
. Au contraire, dans le cas de Westphal, il est
malade, dont il est ques- tion dans l'observation de cet auteur, l'
affection
avait débuté à l'âge de quarante-quatre ans, pa
- sième année commença à se manifester l'atrophie des papilles; l'
affection
dura quatre ans; en der- nier lieu l'état était
lle qu'a formulée Westphal. « Lorsqu'il existe, dit cet auteur, une
affection
com- binée des cordons postérieurs et latéraux,
santé. Deux soeurs dont l'une a cinq enfants et l'autre deux, sans
affections
nerveuses. Pas de névro- pathes, de difformes,
ne intelligence ordinaire. Elle ne présente ni troubles nerveux, ni
affections
cons- titutionnelles ; elle est atteinte d'un p
trois enfants; une soeur en a deux; tous sont bien portants. Pas d'
affections
nerveuses dans la famille]. -Pas de consanguini
re affectueux. La mémoire semble avoir diminué depuis le début de l'
affection
( ? ). Le sommeil est facile, calme, et n'est p
uelques névralgies dentaires. [Père : pas d'excès alcooliques, ni d'
affections
nerveuses. Mère : asthmatique, morte à soixante
art certains cas exceptionnels, le me- rycole vit et meurt avec son
affection
. En meurt-il ? non. Le pronostic du mérycisme e
mémoire spécial. BIBLIOGRAPHIE. 135 tement les symptômes de cette
affection
. Du reste, ils préconisaient dans cette monogra
s un hospice d'aliénés, il ne peut être à même d'étudier toutes les
affections
pathologiques,, et on peut dire qu'un homme qui
de mé- decine, 1882, p. 858.) Femme de vingt-sept ans. Début de l'
affection
en 1817 : perte de connaissance qui dure trois
VII. I I 162 PATHOLOGIE NERVEUSE. Antécédents personnels. - Pas d'
affections
sérieuses. Excès alcooliques et vénériens; pas
uses. Excès alcooliques et vénériens; pas de syphilis. Début de l'
affection
actuelle, il y a deux ans. Subitement, sans per
de la réaction de dégénéres- cence, tels qu'il les signale dans les
affections
où les 1 ,II '1..... * 1 .. l" ? t muscles on
ollis- Hi, i|l>ll«'-i m . . 1 . ""V,' 1 1 sèment, soit par une
affection
intercurrente du pou- . 1 - 41.1,, j·)1/. >.
dans via famille, soit ''chez1' les' sujets' eux-mêmes, avec les «
affections
nerveuses 'que nous' 1 avons.lpasséesl en'revue
ncontre souvent à des degrés va- riables chez les sujets atteints d'
affections
nerveuses ou dans leurs familles... , 1 1 , V
roupe psychopathiqueen particulier a été depuis longtemps relié aux
affections
scrofuleuses et tuber- culeuses, au rachitis. «
ocalisa- tions médullaires. M. Lancereaux en passant en revue les
affections
névropathiques, névralgies, viscéralgies, etc.,
de goutte, et se développent de préférence lorsque l'évolution de l'
affection
articulaire a été troublée, soit . 1 La.ncHre
cha Legrand du Saulle 3. Spencer Vells toutefois professe que les
affections
convulsives ne sont pas fréquentes dans la gout
e mouches volantes, etc. Dans quelques cas la nature goutteuse de l'
affection
con- vulsive est des mieux démontrée par sa dis
hez les goutteux 5, et Rayner arrive à peu près aux 1 Malherbe. Des
affections
viscémles dans la goutte et le rhumatisme chron
p. G40). Péter Hood. - A Treatise of gout, 1'hll/natism, and allied
affections
, London, 1871. I . 3 Tardteu. - Etude médico-
de l'intelligence ; il répond correctement aux questions. Parmi les
affections
médullaires développées chez les goutteux, sign
ritings- London, 1825, t. 1, p. 2'il. - Russell Reynolds. - On some
affections
o/ the ne,'vous sgstenz dépendent of goût. (Bri
subite de la douleur articulaire; mais, en somme, la plupart des
affections
dites goutteuses de l'oeil (conjonctivites avec
Nous dirons seulement 1 Ganté. De l'influence de la goutte sur les
affections
cl les opéra- lrorzs de l'reil. 'fLèse, 1681.
ne prouvent pas, comme le veut M. Duckworth, que la goutte est une
affection
du système nerveux et aussi le diabète', montre
froid aura mis en jeu leurs différentes opportunités morbides. Les
affections
aiguës ou chro- niques n'agissent pas autrement
sans être, bien entendu, propre au tabes, doit faire songer à cette
affection
chaque fois qu'on la rencontre. Nous avons été
mort à trente-huit ans d'hémorrhagies multiples. / Histoire de l'
affection
. - En 1863, un matin, le malade, qui avait alor
lade, n'osait pas se prononcer affirmativement sur la nature de l'
affection
dont Lucien Gér... était atteint. M. Char- cot,
s extrémités des os ne se voit pas d'ordinaire dans l'ataxie. Cette
affection
dé- termine plutôt, on le sait, une atrophie qu
ieuses. Pas d'intoxications (satur- nine ou autre). Histoire DE l'
affection
. Les premiers symptômes se sont manifestés, il
phie linguale ne se voit pas très fré- quemment en clinique, et les
affections
susceptibles de la produire sont, à tout prendr
. 07 glais, W. Fairlie-Clarke' a fait un relevé assez complet des
affections
en question, et voici les conclusions qui resso
avail. L'hémiatrophie de la langue peut s'observer à la suite des
affections
cérébrales, des affections bulbaires ou des lés
la langue peut s'observer à la suite des affections cérébrales, des
affections
bulbaires ou des lésions périphériques intéress
on peut s'expliquer aisément si l'on se rappelle que la plupart des
affections
bulbaires (para- lysie glosso-Iabio-Iaryngée, c
s, elle devient un signe de présomption en faveur de cette dernière
affection
, chaque fois qu'on la constate. Donc, nous po
res, on doit tout d'abord songer à l'ataxie. C'est du côté de cette
affection
qu'il faut en premier lieu diriger son attentio
Il n'y a aucun inconvénient à ce que, jetant les yeuxau delà de l'
affection
pour se préoccuper de la notion de mala- die, o
s sa libération du ser- vice militaire, le 1 : , mai 1882, débute l'
affection
actuelle. Ce 2 : : 10 RECUEIL DE FAITS. jour-
e. C'est la seule attaque épi- leptoïde observée dans le cours de l'
affection
. Admis à la Salpêtrière le 1 cr mai 1883, Fauv.
naît les personnes qui viennent le voir, leur témoigne gratitude et
affection
. Aucune paralysie. Au- cune attaque épileptifor
e, tant pour le diagnostic que pour le pronostic. Mais s'il est une
affection
dans laquelle ils sont surtout com- muns et var
nstallera l'état plus ou moins per- manent dans un certain nombre d'
affections
du mésocéphale. M. Leudet l'a signalée dans un
nombre de cas de lésions de l'encéphale et en particulier dans les
affections
du mésocéphale (Schiff, Brown-Séquard, Gubler),
s affections 1 Bary. - Vu diagnostic des lésion* des reins dans les
affections
des voies urinaires. Thèse, 1880, p. 20, - Ma
entation de l'urée et des urates peut se rencontrer dans toutes les
affections
qui se caractérisent par une agitation plus ou
nes. La rétention par paralysie se rencontre encore dans quelques
affections
traumatiques de la moelle, quelquefois dans la co
lativement. C'est ici le lieu de faire remar- quer que si, dans les
affections
du système nerveux, les lésions locales des voi
e, et principalement des épileptiques. Il est plus rare que cette
affection
se transmette directement par hérédité. Pour Trou
taxie. Nous avons passé en revue, chemin faisant, les différentes
affections
dans lesquelles on observe les troubles de la mic
er que ces troubles n'existent d'une ma- nière continue dans aucune
affection
cérébrale; la paralysie générale des aliénés, q
qui parait dans certains cas faire excep- tion, est en réalité une
affection
cérébro-spinale. D'autre part, il s'en faut de
re subaiguë de Duchenne, dans quelques myélites centrales. Si les
affections
de la moelle épinière retentissent fréquem- men
e le faire , ™, .. .. "II .d al t .. q. " > . , remarquer, les
affections
des voies urinaires ont aussi quel- quefois sur
acci- dents paralytiques, sous l'influence d'un amendement dans l'
affection
des voies urinaires (Charcot). On a expliqué ces
rulente; mais ce trouble de sécrétion n'est pas en rapport avec l'
affection
primitive, il est sous la dépendance de la pyélo-
hésie vésicale et uréthrale,constituent autantde Charcot et Féré. -
Affections
osseu.es et articulaires du pied chez les tabet
es et ces divers symptômes peuvent se ren- contrer dans différentes
affections
spinales ou cérébro-spinales. M. Fournier avait
ladies des voies urinaires, ces signes doivent faire soupçonner une
affection
du système nerveux et en particulier l'ataxie,
et les troubles dont ils sont affectés reconnaissent pour cause une
affection
du système nerveux; mais il reste à chercher, e
ant de la connais- sance des associations symptomatiques, de quelle
affection
spé- ciale il s'agit. , Ce qu'il importerait
nérale, que le malade fut envoyé à l'hôpital comme atteint de cette
affection
. G. D. IX. Paraplégie hystérique ; par M. Moiza
ation cérébrale trop active. Les enfants qui sont atteints de cette
affection
, habituellement d'origine héréditaire, peuvent,
nstances qui favorisent ou déterminent l'apparition de l'ictus. Une
affection
locale sans importance, telle qu'une pharyngite
rrait pa- raître ici déplacée. Ni les maladies infectieuses, ni les
affections
localisées à la moelle ne figurent en effet au
sions que la maladie de Duchenne appartient à la grande famille des
affections
du sys- tème nerveux, mais aussi par ses accoin
emblaient jouer un rôle prépondérant ou effacé, dans la genèse de l'
affection
. Pour se convaincre du contraire, il suffirait
le même malade, de l'ataxie locomotrice progressive et d'une autre
affection
ner- veuse, hystérie, vésanie ou autre maladie
quent paralysie générale et ataxie ne sont pas, dans l'espèce, deux
affections
distinctes nées sous l'influence d'une cause co
s) qui lui ont permis de faire une étude nouvelle de la question. L'
affection
débute avec ou sans ictus par une impotence gradu
re et demi pour cent des ' ¡ aliénés travaillent. Comme il s'agit d'
affection
» chroniques, FAITS DIVERS. z87 le mouvement d
cédents héréditaires. Père et mère morts vers soixante-quinze ans d'
affections
indéterminées. Frère goutteux. Soeur actuelleme
ans l'Observation III rappellent encore plus ceux de cette dernière
affection
, puisqu'en même temps que la glossoplégie et la
tinale. Début du mérycisme à dix-sept ans. Symptômes et marche de l'
affection
. Rémissions. - Traitements divers. M. N..., étu
croit que la cause en est dans ce qu'il ne s'intéressait plus à son
affection
,- n'observait plus de diète et ne prenait plus
ent spontanément par la guérison, le mérycole vit et meurt avec son
affection
. En meurt-il ? non. Le pronostic du mérycisme e
Nervenk., XII, 3.) M. Westphal rapporte d'abord deux observations d'
affection
de la moelle, caractérisées par une paralysie d
tabes dorsalis. La clinique nous apprend, dit l'au- teur, que cette
affections
est toujours caractérisée par les mêmes 1 V. le
n a affaire à un vrai tabes. Mais les cas dans lesquels la fin de l'
affection
est marquée par de la paraplégie s'accompa- gne
gotiniques et saturnines), entraine l'auteur à qualifier le tabès d'
affection
systématique combi- née. Malgré cela, son auton
ptique, mars des altérations vasculaires pathogénétiques. Quoique l'
affection
cérébrale soit unilatérale, les deux faisceaux py
USE. XXIV. DE L'OEDÈME circonscrit COMME cause DE SYMPTOMES D'UNE
affection
EN FOYER; par A. HOLLOENDER.. (Jah2b. Psych., I
r le Dl JORISSEN (Ann. de la Soc. méd. chir. de Liège, 1882.) Les
affections
de la moelle dont les lésions sont localisées aux
ité où il a si bien décrit les manifestations délirantes de la même
affection
. Il en est de même de ces vertiges si fréquents
ous. Disparu, nous le cherchons toujours; il manque a notre sincère
affection
, comme il manque à nus séances où il apportait,
es de l'oeil chez les aliénés avec présentation de ma- lades. Cette
affection
encore peu connue mérite d'être étudiée dans se
uchés par la paralysie bulbaire, est en rapport d'une part avec une
affection
spinale, d'autre part avec une psychose ca- rac
démence paralytique, dans les autres formes de la démence, dans les
affections
mentales séniles, dans les démences terminales.
Deux classes de malades se présentent à vous. Les uns, à la suite d'
affections
organiques de longue durée (génitales, maremmat
fond de l'oeil Dans trois de ces cas, il y avait en même temps des
affections
fébriles (péri- cardites, phthisies). La quatri
rencfnmateux ? Un ne put arrivera le déterminer. Dans vingt types d'
affections
cérébrales non paralytiques, l'examen du fond d
lien, tandis que. chez celles qui se trou- vaient indemnes de toute
affection
intra-oculaire, la proportion, dans l'absence d
un traité complet des maladies du système nerveux comprenant les
affections
du cerveau, de la moelle, des nerfs périphériques
esquels le délire alcoolique éclate chez des buveurs à l'occasion d'
affections
médicales (choléra, pneumonie, érysipèle, verti
Bernhardt, 335. OEdème circonscrit comme cause de symptôme d'une
affection
en foyer, par Holloender, 332. OEil (du traje
ses antécédents héréditaires, qui ait un semblant de rapport avec l'
affection
dont il est atteint. Vers l'âge de 10 ans, le m
ctifs que nous constatons chez notre malade s'observe dans les deux
affections
que je suis en train d'opposer l'une a l'autre
oliomyélite antérieure aiguë, se montrent à la seconde.période de l'
affection
, sous les dehors d'une cyanose et d'un refroidi
onem ad infegrlllll, qu'une poliomyélite antérieure aiguë. Les deux
affections
comportent des dangers de mort, et dans les deu
fonctionnelle et celle atrophie constituent la note dominante de l'
affection
de notre malade et lorsqu'on l'examine, ce sont
ité électrique sans réaction de dégénérescence. En présence d'une
affection
à évolution lente et progressive présentant les
u- laires progressives eut abouti à la division fondamentale de ces
affections
en deux espèces différentes : 1° l'atrophie d'o
its muscles des pieds qui sont indemnes chez X,... Mais où les deux
affections
diffèrent essentiellement, c'est dans l'absence
t indemnes ; ce qui nous permet d'éliminer en même temps toutes les
affections
où ceux-ci sont plus ou moins atteints : poliom
et de concilier tous les symptômes présentés par X... Sans'doute, l'
affection
de notre malade n'est ni héréditaire, ni familial
ellerons les sensations de raideur survenues à un moment donné de l'
affection
et la difficulté qu'avait X.... à faire les pre
a ma- ladie de Thomsen, du moins nous autorisent-ils penser à cette
affection
. Nous ne trouons pas en effet, comme dans celle
us n'hésiterons pas cependant à conclure à un cas de cette dernière
affection
. Quelques symptômes tels que : l'atrophie muscu
e rencontre que dans la maladie de Thomsen. Et d'ailleurs, les deux
affections
ne pourraient-elles pas coexister chez le même
om d'ataxie cérébelleuse héréditaire, le symptôme complexe de cette
affection
, à en juger par les données de la littérature,
iste pourtant une série de questions se rattachant à celle nouvelle
affection
, qui sont loin d'être suffisamment élucidées et q
elet et de ses connexions, à la physionomie spéciale familiale de l'
affection
, aux cas sporadiques du symp- tôme complexe de
as sporadiques du symp- tôme complexe de Marie, au rapport de cette
affection
avec la maladie de Friedreich (dans les cas de
c la maladie de Friedreich (dans les cas de combinaison de ces deux
affections
, cas de Alentzel, d'Erb, de Seeligmüllerj, au c
ler d'autres symptômes. z 20 Sclérose en plaques, qui n'est pas une
affection
familiale et diffère sensiblement dans son évol
es plié- nomènes paréto-spastiques et non ataxiques ; 4° Diverses
affections
cérébelleuses acquises (tumeurs, abcès du cerve-
ressive et à caractère fami- lial (P. Marie). Nous trouvons cette
affection
chez nos malades dans le stade précoce de son d
e maladie qui évolue ordinairement pendant des dizaines d'années. L'
affection
n'est encore que dans la pre- mière période, pé
a marque de famille. Cest d'abord la distribution particulière de l'
affection
des muscles des globes ocu- laires, et notammen
dans les autres cas de cette maladie, on rencontre plus sou- vent l'
affection
des muscles droits externe et supérieur). C'est e
ambe avec immobilité consécutive durant trois mois, dans l'obs. I ;
affection
fébrile ayant duré 2 mois, dans l'obs. II ; enfin
bosses frontales sont un peu plus saillantes qu'à l'état normal. L'
affection
de l'enfant est caractérisée en général par une c
cherchons pas plus avant. Notre malade me semble atteinte de cette
affection
à la mode qui, pénétrant par les yeux, va se lo
de côté les emplâtres et les potions. Ils ne sauraient déloger les
affections
qui attaquent ainsi le coeur... Je n'en dirai pas
ulement dans de certaines conditions préparée et déterminée par une
affection
préalable des différents appareils nerveux, cen
ées d'un processus névropathe- que. Vous reconnaîtrez que certaines
affections
périphériques des nerfs se révèlent exclusiveme
ez que la plupart des maladies de la peau a l'exception de quelques
affections
parasitaires, mais non pas de toutes - peuvent se
eul responsable. C'est ainsi que nous voyons se produire nom- bre d'
affections
cutanées, sortes de trophonévroses fortuites, de
on de la moelle. Plusieurs étages de racines sont en cause ; donc l'
affection
s'est can- tonnée sur plusieurs métamères radic
quelle succèdent des macules saillantes de teinte brunâtre. Cette
affection
procède par poussées successives et sa durée es
es peu- 7&K ? no vs. vent avoir pour cause prochaine, comme ces
affections
, une altération métamérique (1). » « Nous voy
iokéralome : « On donne, avec Mibelli, le nom d'angiokeratomc à une
affection
caractérisée par le développement, sur les doig
on rouge ou violacée disparaît par la pression prolongée. « Celte
affection
encore désignée parfois sous les noms défectueux
voyez où ces considérations vont nous conduire. Un certain nombre d'
affections
dont l'origine remonte à la période embryonnaire
l ne s'ensuit pas que la monstruosité cutanée soit secondaire à une
affection
primitive d'un ou plu- sieurs myélomères. Le té
re avec une admirable précision la disposition métamérique de cette
affection
extraordinaire (Fig. 16). C'est le portrait d'u
eulement dans les maladies du sys- tème nerveux central et dans les
affections
des nerfs périphériques, mais 'encore au cours
s dans la moelle ne sauraient en aucune façon être attribuées à une
affection
cérébrale ; une sclérose des faisceaux pyramida
pas ici. Il s'agit donc indubitablement, dans le cas actuel, d'une
affection
systé- matisée de le moelle, d'origine purement
ux sont susceptibles d'être modifiés à distance, secondairement aux
affections
ostéo- articulaires qui s'accompagnent d'atroph
les fractures multiples dont il a été successivement victime et les
affections
ostéo-articulaires qui en ont résulté ont certa
nsuffisant en clinique, car il ne nous indi- que que* le genre de l'
affection
sans en spécifier la forme ni la phase.- Il imp
el qualificatif qui définira la forme cli- . nique ou la phase de l'
affection
tabétique. C'est pourquoi aussi le terme de tab
oelle,et il n'y a aucune raison à priori de ne pas admettre que les
affections
systématiques de la moelle ne se retrouveront p
nnable de cherchera porter la systématisation .caractéristique de l'
affection
tabétique aussi haut que possible vers le cerve
songe guère à attribuer à la lésion de l'appareil labyrinthique, se
affections
labyrinthiques les plus banales et les plus diver
nthiques, on a signalé, et j'ai quelque peu contribué, au cours des
affections
, auriculaires les plus diverses, les plus banales
n- ' tribution de l'appareil labyrinthique à la symptomatologie des
affections
nerveuses en général, et plus particulièrement
leurs centres primaires. De par l'anatomie normale, s'il existe une
affection
qui frappe systématiquement ce qu'on appelle le
ranches afférentes et efférentes, extra et intra médullaires, cette
affection
nepourra manquer d'intéresser, par sa systémati
n'est pas primitive, il faudrait la considérer secondaire à quelque
affection
périphé- rique de l'oreille elle-même, labyrint
ique de l'oreille elle-même, labyrinthe ou oreille moyenne. Or, les
affections
de l'oreille sont extrêmement fréquentes chez les
elques causes plus spéciales interviennent ici dans l'étiologie des
affections
auriculaires chez les tabétiques. L'âge auquel
a toujours quelque droit à figurer dans la symptomatologie de cette
affection
. L'anatomie systématique et l'anatomie patholog
artie clinique de cette étude qu'en donnantà la symptomatologie des
affections
labyrinthiques toute son éten- due, aucun appar
mptomatologie du tabes. Physiologie. Le caractère systématique de l'
affection
tabétique est apparu tout d'abord par l'analyse
excrétion angio-endothéliale , mais la systé- matisation même de l'
affection
tabétique ne peut pas ne pas intéresser les fon
épendamment des fonctions auditives, qui exposent l'o- reille à une
affection
systématique qui atteint si profondément toutes l
toneurone, irri- tabilité qui caractérise les phases initiales de l'
affection
. Il semble que dès que le protoneurone est lésé
qui peuvent apparaître comme symp- tômes fonctionnels ou irradiés d'
affections
labyrinthiques absolument in- dépendantes du ta
riphérique ou central. Ils sont d'une trop grande banalité dans les
affections
auriculaires pour que j'y insiste; ils indi- qu
uriculaires pour que j'y insiste; ils indi- quent, dans une foule d'
affections
générales, la contribution cochléaire au comple
e la forme brutale du vertige de Menière, n'est pas rare dans cette
affection
. Comme vertiges d'irradiation internu- cléaire,
aires. Cette forme de signe de Romberg est de règle dans beaucoup d'
affections
de l'appareil labyrinthique périphérique ou cen
observer, quand on songe à le chercher, dans un très grand nombre d'
affections
auriculai- res moyennes ou internes, et dans be
'affections auriculai- res moyennes ou internes, et dans beaucoup d'
affections
générales aiguës ou chroniques chez des individ
signe de Romberg, se trouve fréquemment et passagèrement au cours d'
affections
labyrinthiques troublant l'appareil ampullaire.
es, si elle n'appartenait pas, dans la grande majorité des cas, aux
affections
labyrinthiques, tabétiques ou non. Le noyau ocu
oyau et la diplopie qui en résulte, ne sont pas bien rares dans les
affections
labyrin- thiques. Je rappellerai les observatio
xterne du même côté (2). Un autre phénomène assez fréquent dans les
affections
labyrinthiques, celui-là même qui produit l'ill
oncordé sur ce point et il m'est habituel de présumer le siège de l'
affection
auriculaire vertigineuse en l'attribuant au côt
existe un cas d'Urbantscbitsch est généralement limité au côté de l'
affection
auriculai 162 . PIERRE BONNIER re. Urbantschi
jamais rencontré le signe d'Ar- gyl-Robertson unilatéral, dans une
affection
labyrinthique pure. J'ai pu- blié un cas de mgd
réglée par la vue elle-même, me semblent donc symptomatiques d'une
affection
de l'appareil ampullaire périphérique ou centra
les variations dans l'excitabilité réflexe de la moelle au cours d'
affections
labyrinthiques, et particulièrement les variati
ien, et l'inégalité patellaire apparaissant et disparaissant avec l'
affection
auriculaire (1). ce qui s'ac- corde avec la thé
RRE'BONNIER certains symptômes qui se retrouvent également dans les
affections
laby- rinthiques ; et vu la presque constance d
u plutôt confondu, sous le nom de paralysies du grand dentelé, -une
affection
complexe dans laquelle un ou plusieurs faisceaux
certainement impos- si)))ede soupçonner l'existence de celle grave
affection
musculaire chez les sujets représentés dans les
ulres peuvent en être rapprochés. La sclé- rodermie parait être une
affection
rare chez l'enfant puisqne les' plus récents tr
Père et mère bien portants. Grand-père maternel mort à 42 ans d'une
affection
médullaire. Un frère âgé de 9 ans bien portant.
, avec desquamation lamelleuse de l'épiderme palmp-plantaire. Cette
affection
difficile à classer est-elle une forme de début d
ons notées dans nos premières observations. Notons encore que cette
affection
s'est déve- loppée sans cause connue chez les d
fficile, dans le cas particulier, de donner une autre étiquette à l'
affection
en question. La syphilis ne semble pas pouvoir
rodermie et nous ne voyons pas ce qui peut s'opposer à ce que cette
affection
si obscure d'ailleurs débute pendant la vie int
dans le service de M. le Dr Pierre Marie un sujet atteint de cette
affection
. Nous avons pu examiner les pièces provenant de
liation et d'instituer un traitement rationnel. On sait combien les
affections
du système nerveux, et particulièrement la méni
eur. Plusieurs auteurs, d'ailleurs, ont signalé la fréquence de ces
affections
nerveuses survenant chez les enfants issus d'as
ont morts tous entre 18 et 20 mois, et tous de la même façon, d'une
affection
déclarée méningite par les médecins traitants,
Demandons-lui donc de nous révéler les secrets de cette mystérieuse
affection
. C'est en l'année 1724 que 'François Boissier d
nnaît déjà un trouble psycho-physiologique, ayant, à la façon d'une
affection
morbide, des causes, des symptômes, des compli-
nde, que de très vieux médecins ont au- trefois signalé une sorte d'
affection
engendrée par l'amour contrarié qui présente en
ordinaire avec les « pâles couleurs ». A son plus haut degré, cette
affection
devenait la suffocation utérine, « procédant d'
oie dans le myxoedème franc ou fruste. Il faut toujours, dans ces
affections
, penser aux congestions du foie el il la présen
tôt au myxoedème franc. Il est certain pourtant que beaucoup de ces
affections
ne s'aggravent qu'avec une extrême lenteur et s
hles ; elles jouent le rôle d'agent provocateur dans l'étiologie des
affections
cutanées et bon nombre de troubles trophiques s
t plus souvent limité quand il se présente à titre réflexe dans des
affections
très diverses d'ailleurs : maladies organiques de
d (2), sous le nom de trichotillomanie (rv),),oNav, j'arrache), une
affection
carac- térisée par un prurit intense sur toutes
une variété de prurigo, car les éruptions caractéristiques de cette
affection
font complètement défaut. Cet état morbide est
n'avait jamais eu de trouble nerveux ou mental jusqu'au début de l'
affection
pour laquelle il est entré. Il ne porte aucune tr
nt dans la plupart des cas d'atrophie musculaire qui relèvent d'une
affection
nerveuse. I,6wentlial qui a fait une étude très
re dans le- quel ils ont décrit la maladie, il s'agit bien là d'une
affection
d'origine spinale, et c'est ce point capital qu
ères et trois soeurs, vivants et bien portants. On ne signale pas d'
affections
nerveuses chez les collatéraux. La malade est l
psychique et qui siège sur un organe assez rarement atteint par des
affections
de ce genre, sur le pied. * OBs. 1. - Cette d
t la marche, d'horribles souffrances depuis plusieurs années, car l'
affection
a débuté insidieusement, il y a sept ans, et s'
reau (obs. II). Bien plus, c'est par la main gauche qu'a dé- buté l'
affection
dans certaines professions surmenant plus spécial
l s'agit d'une ma- ladie curable, ou au contraire s'il s'agit d'une
affection
de la moelle incu- rable souvent, parfois morte
a eu ni frères, ni soeurs. Dans ses antécédents, il n'existe aucune
affection
ner- veuse particulière et son père était, para
ulaire à type scapulo-liuméral le ma- lade ne présente aucune autre
affection
. 11 n'a aucun stigmate d'hystérie. 390 G. GUILL
croyons d'ailleurs pas pour cela il une simple coïncidence des deux
affections
; nous pensons au contraire que le terrain de dég
contredirons point cette interprétation, encore que nombre d'autres
affections
, plus graves et aussi « déformantes » que l'a-
st mort à 63 ans accidentellement, sa mère est morte à 74 ans d'une
affection
pulmonaire aiguë. Elle a eu cinq frères et soeu
ortance de ces troubles de la sensibi- lité dans le tableau de leur
affection
; un coup d'oeil jeté sur les figures sché- mat
ur absolue pathognomonique ces phénomènes se montrent dans d'autres
affections
. Le ralentissement dans la transmission des imp
dans le tabès, on ne l'observe qu'à titre exceptionel dans d'autres
affections
du système nerveux. Le caractère dissocié des a
ouve dans la syringomyélie, dans la sclérose en plaques et dans les
affections
générales qui comportent une altération de la s
-il la raison ? Peut-être ? Mais il s'agirait alors de la variété d'
affection
engendrée par cet amour prosaïque qui se termine
s de Jan Steen ou de Gérard Dow, étaient.par la nature même de leur
affection
, enclines « aux défaillances » et il la « perte d
Est-ce le mal d'amour ? Est-ce le mal d'enfant ? Est-ce toute autre
affection
capable de provoquer une syncope ? Mieux vaut ne
at (il n'y a pas trace d'al- bumine dans les urines) ; d'ailleurs l'
affection
est franchement unilatérale. Nul souvenir de rh
venus successivement à l'esprit des médecins traitants : phlébite,
affection
car- diaque ou rénale, et jusqu'au myxoedème.
XXII). C'est une travailleuse, alerte et bien portante, sans aucune
affection
cardiaque ni rénale ; elle n'a jamais été malad
de Fe... et de Ar..., présente déjà les signes du début de la même
affection
. Son pied droit, le cou-de-pied et la moitié in
même famille, atteints, à des degrés divers, de la môme singulière
affection
. Et ce n'est pas tout encore.... Observation
ions, dont cinq actuellement vivantes , sont at- teintes de la même
affection
singulière : un oedème chronique, blanc, dur et
exceptée). 11 Pareille hérédité n'est pas chose vulgaire dans les
affections
oedéma- teuses, et suffirait à mettre hors de c
mphangites résiduelles ne sont pas, non plus que les phlébites, des
affections
familiales, transmissibles héréditai- rement. t
hantiasis, on n'ou- bliera pas que celui-ci s'applique encore à des
affections
qui ne semblent nullement d'origine parasitaire
ique peut sans doute offrir plus d'une ressemblance avec celui de l'
affection
qui nous occupe. Mais, au point de vue étiologi
diffère notablement des nôtres par la marche et les caractères de l'
affection
. Les phénomènes douloureux ont été très accentu
émoglobine réduite. Tcbirkoff croit que ces oedèmes dépendent d'une
affection
des centres vaso-moteurs, due le plus souvent à l
tepurpuraconsécutifaux intoxications. Notons ici qu'il s'agit d'une
affection
transitoire, et que ni l'oxyde de carbone, ni l
résentant certaines apparences cliniques de l'une et l'autre de ces
affections
. Ce cas curieux offre un grand intérêt. Mais il
les lipomes symétri- ques et les pseudo-lipomes arthritiques. Ces
affections
, d'ailleurs incurables, ont pour lien principal l
t-il de proposer le le nom d'oedème segmentaire pour désigner cette
affection
. ' A propos de cette communication, M. Mathieu
ème fort curieuse, mais notablement diffé- rente des précédentes. L'
affection
se décomposait en deux phases : la pre- mière d
roxystique du plexus rénal (2). Malgré le caractère familial de l'
affection
, celle-ci ne saurait être con- fondue avec la m
jambes, et s'arrêtant au genou. Les caractères cliniques de cette
affection
sont résumés ainsi : 1° Elle est congénitale et
soit au cou-de-pied, soit au genou, soit il la racine de la cuisse,
affection
indolore, apgrélique, chronique et permanente qui
sister jusqu'à un âge avancé. Nous proposerons cle désigner cette
affection
sous le nom de Il'ophoedème ch l'onique Icérédi
d'autre but que de servir à désigner d'un seul mot une catégorie d'
affections
oedémateuses décrites jusqu'ici sous des vocables
lusieurs segments du corps, et qui ne semble imputable à aucune des
affections
connues comme pouvant être productrices d'oedèm
t transitoires. Ce n'est pas non plus l'oedème observé au cours des
affections
du sys- tème nerveux, lésions organiques ou néc
effet une déli- mitation comparableà celles que réalisent certaines
affections
de la moelle et tout spécialement la syringomyé
les trophonévroses, au zona, à la sclérodermie, et à la plupart des
affections
cutanées (lichen, urticaire, purpura, vitiligo,
prête encore à quelques remarques : Dans toutes nos observations, l'
affection
a commencé, ponctuellement, (1) Voy. no 3, 1899
ctuellement, (1) Voy. no 3, 1899. (2) On peut encore rapprocher l'
affection
décrite par DEUCUM sous le nom d'Adipose doulou
e nom d'Adipose douloureuse. L'adéao-Li ? omatosP, cette curieuse
affection
décrite par L.\Un015 et BENSAUDE (Presse méd ?
t-il pas autant ? Si l'on veut voir dans la myopathie primitive une
affection
commandée par une altération congénitale des ce
rès supportable. L'inefficacité des traitements employés contre cet
affection
tendrait à confirmer qu'il s'agit là d'une anom
Dans toute la famille on ne connaît personne ayant ou ayant eu une
affection
similaire. (IN CAS DE TORTICOLIS MENTAL PAR
les observations de tortico- lis mental se sont multipliées. Cette
affection
nerveuse, sans être donc une rareté, n'est cepe
asme ne se produisant pas. Du mois de novembre pendant lequel cette
affection
s'est installée d'une façon permanente, jusqu'à c
r ha- bitudes. Le spasme involontaire qui constitue aujourd'hui son
affection
n'est pas le résultat de la répétition de ces m
ait lui-même. Quoiqu'il en soit, nous avons affaire chez X... à une
affection
spéciale clans laquelle l'état psychique joue u
i constitue un argument de plus en faveur de la valeur mentale de l'
affection
dont il est atteint. Bom- paire a d'ailleurs si
mère est morte ci 48 ans hydropique. Un frère a été emporté par une
affection
indéterminée. Une soeur, âgée de 71 ans, jouit
, conti- nue, d'où un rapetissement très marqué de la taille. Cette
affection
évoluait cependant sans douleur. H... fut con
'une d'entre elles et arriver à la distinguer des autres, de quelques
affections
qui ont pour caractère commun de produire des alt
es auteurs. En troisième lieu, il pourrait être question aussi de l'
affection
dite gangrène symétrique des extrémités, doigts,
exposerai plus loin. Enfin, nous traiterons plus spécialement d'une
affection
tout récemment introduite (1883) dans la clinique
ieux faire ressortir, par contraste, les caractères de cette dernière
affection
. Vous savez combien j'emploie volontiers, dans la
éthode en faisant passer sous vos yeux, à côté de quelques exemples d'
affections
mutilantes des mains, un cas typique de maladie
maladie, après nos récentes leçons sur la syringomyélie, car les deux
affections
ont certains traits de ressemblance et sont confo
Mais, avant d'entrer au cœur du sujet, parlons en premier lieu de ces
affections
qui entraînent des mutilations de la main et des
hirial. C'est le sclérème des adultes, avec cette particularité que l'
affection
est limitée aux doigts et à la face. En 1871, à l
re dans la syringomyélie et qui est caractéristique de cette dernière
affection
. Vous savez, Messieurs, d'après nos dernières l
plus bornées. On aurait pu croire, d'après le nombre de cas de cette
affection
, qui n'est pas très fréquente en somme, observés
inant (1). J'ajouterai que s'il existe des différences entre les deux
affections
au point de vue clinique, il en existe aussi au p
et la maladie de Morvan serait surtout, comme le dit cet auteur, une
affection
de la trophicité. Vous êtes maintenant en mesur
ons scléreusesde l'oreille, qui ne paraît pas avoir de rapport avec l'
affection
qui nous occupe actuellement. Sorti de l'hôpita
autre part, à ne considérer que les autres signes de chacune des deux
affections
, que de différences entre elles ! Je ne parle pas
ns matérielles n'ont pas encore été reconnues et la syringomyélie une
affection
caractérisée par les lésions les plus grossières
cette courte digression sur la syringomyélie, si dans cette dernière
affection
les tren^? bles de la sensibilité se manifestent
our la main et l'avant-bras, ce qui ne se voit pas en général clans l'
affection
cavitaire de la moelle épinière. Un autre point
as une pareille mobilité, et qu'il se distingue au contraire dans ces
affections
-là, surtout la première, par une désespérante tén
xposés plaident déjà bien éloquem-ment pour la nature hystérique de l'
affection
, chez notre homme. A la vérité, il n'est pas rare
istance électrique, pour reconnaître qu'il ne s'agit pas ici de cette
affection
. Le mode de début de ce tremblement va d'autre
ientôt l'occasion d'étudier sur nature les principaux caractères de l'
affection
dont je parle, chez la malade en question. Bien q
ralytique. Mais vous auriez, Messieurs, une idée fort imparfaite de l'
affection
si je n'insistais pas actuellement sur ce qui est
entanément plus accentuées. Aussi, à partir de ce deuxième accès, l'
affection
migraineuse semble tendre à prendre ce caractère
t de l'ophthalmoplégie externe, et aussi le caractère unilatéral de l'
affection
plaident en faveur de cette opinion contre l'hypo
re l'hypothèse d'une altération nucléaire. On peut même ajouter que l'
affection
, quelle qu'elle soit, ne porte pas sur la partie
érence, sous l'influence de l'état diathésique et indépendamment de l'
affection
migraineuse, les produits néoplasiques. Existe-
enflure, qui est quelquefois causée par la névrose en question. « L'
affection
hystérique, dit-il (1), ne s'en prend pas seuleme
mais en réalité d'une façon fort discrète et il est singulier qu'une
affection
, qui probablement n'est pas très rare, ait passé
anchés pour mériter une description spéciale. L'historique de cette
affection
n'est pas bien long. Je l'ai pour la première foi
t, de coloration bleu-clair. Un chirurgien, croyant, paraît-il, à une
affection
du périoste, fit deux longues incisions au niveau
oelle épinière. Remak (2) et Roth (3) signalent dans cette dernière
affection
une certaine bouffissure, un œdème indolent, acco
nie hystérique, qui peut-être n'eût pas eu une bien longue durée, une
affection
tenace qui pourra longtemps encore résister à tou
convulsif. Mais il ne s'agissait point, chez elle, de cette dernière
affection
. Il y avait en effet, à ce moment, dans les salle
de vint à la Salpêtrière, où l'on reconnut la nature véritable de son
affection
. Le second est un exemple typique de coxalgie h
se à en dire. Par Cotugno, qui sut la distinguer de toutes les autres
affections
douloureuses ou névralgiques du membre inférieur,
tement conformes à la vérité, non plus à l'accouchement, mais à une
affection
du petit bassin, consécutive à un phlegmon du lig
présente aucun signe de diabète. Il n'a jamais eu de symptômes d'une
affection
cardiaque, jamais d'oedème des jambes. Il n'a j
accident, et deux sœurs dont l'une est morte à trente-sept ans d'une
affection
du rectum (?) et l'autre âgée de cinquante-huit a
dent incontestable les caractères de la douleur, la longue durée de l'
affection
, Fanes-thésie du territoire sciatique poplité ext
ui sortent de l'ordinaire ainsi qu'un élément étiologique spécial : l'
affection
paraît (1) Par MM. J.-B. Charcot, interne du se
achine à coudre. Plusieurs fois on a relevé l'existence de diverses
affections
du système nerveux déterminées par l'abus de la m
dans le côté droit ; cette douleur fut traitée par son médecin comme
affection
du foie. Parfois, la nuit, elle éprouvait des c
ontrer de quelles difficultés est parfois entouré le diagnostic d'une
affection
réputée simple. C'est avec les apparences d'une p
ne sciatique double. Vous me direz peut-être que la sciatique est une
affection
bien vulgaire; sans doute, mais à côté des cas ex
oute, mais à côté des cas exceptionnels, nous devons vous montrer les
affections
que vous rencontrez le plus communément dans la p
ontrairement à la règle, n'être ni sympto-matique, ni secondaire ; qu'
affection
primitive du nerf, elle est susceptible d'une gué
c ; la sciatique double étant presque tou jours symptomatique d'une
affection
grave, il y a un intérêt capital à établir d'une
ait naturellement penser chez notre malade, au mal de Pott. C'est une
affection
qui n'est pas rare à cet âge. Tout récemment enco
t propre à l'une ou à l'autre variété; elle réside dans la durée de l'
affection
, la scoliose, les troubles trophi-ques ; elle tie
ciatique double également primitive. Nous sommes donc en face d'une
affection
relativement bénigne et, ce qui me confirme dans
n'ai pas discuté l'hypothèse d'une méningite spinale, bien que cette
affection
puisse occasionner une sciatique double. Elle ne
res et antérieures de l'âge gris, le trait d'union nécessaire entre l'
affection
des fibres nerveuses sensitives et motrices. X.
ans laquelle on trouve des corps granuleux et dans certains cas, si l'
affection
a duré quelque temps, une destruction des cellule
ulbaires paraît d'autant plus légitime que l'on voit parfois les deux
affections
se confondre l'une dans l'autre. Ainsi la paralys
so-laryngée non accompagnée de sclérose latérale. Ainsi comprise, l'
affection
subaiguë ou chronique comporte dans son étude plu
s son étude plusieurs variétés : 1° L'ophthalmoplégie constitue une
affection
isolée, autonome, indépendante, dont l'étiologie
autres fois, la maladie reste stationnaire. Birsdall cite2 faits où l'
affection
ne change pas au bout de 2ans; Hutchinson rapport
ment un cas de ce genre ; enfin Strümpell en publie un semblable où l'
affection
n'a pas progressé au bout de 25 ans. Plus rares
piieptiques ?), il aurait souffert également des coliques de plomb. L'
affection
a débuté par de la parê-sie atrophique des muscle
aillées des malades qui ont été présentés dans cette leçon. (G. G).
affection
connexe, la syringomyélie avec atrophie musculair
! le pronostic de l'amyotrophie progressive du type Duchenne-Aran. L'
affection
marche lentement, mais progresse à peu près fatal
ixante-deux ans. Père en bonne santé, ni alcoolique ni nerveux. Pas d'
affections
^ nerveuses dans la famille du côté des ascendants
musculaire pourrait être confondue avec un certain nombre d'autres
affections
, avec les maladies amyotrophiques en particulier.
sont même considérés comme des signes diagnostiques de cette dernière
affection
. Nous voulons parler de l'absence d'anomalies des
nesthésie qui constitue un caractère presque pathognomonique de cette
affection
. Une fois ce signe constaté on ne sera plus embar
signes oculaires qui ne permettent de différencier nettement les deux
affections
, l'œil étant immobile dans l'une et au contraire
ce qui concerne le diagnostic de la polioencéphalomyélite. C'est une
affection
que l'on devra toujours reconnaître assez facilem
aladie de Morvan. Travaux de M. Joffroy démontrant l'unicité des deux
affections
. Anatomie et physiologie pathologiques de la sy
r, ou s'il s'agit là au contraire tout simplement d'une seule et même
affection
. Dans ce 1) Leçon du mois de mars 1891, recueil
ypique de la syringomyélie. Mais, de même que dans les autres grandes
affections
bulbo-spinales (le bulbe est envahi dans la syrin
tard, 15 ans après seulement, se dévoilent les caractères propres à l'
affection
syringomyélique (Charcot et Brissaud) ; on peut c
ortait à peine des limbes, lorsque M. Morvan, en 1883, découvrait une
affection
particulière qu'il désignait sous le nom de parés
nom de parésie analgésique avec panaris des extrémités supérieures. L'
affection
, d'abord unilatérale, mais pouvant avec le temps
ement par des névrites périphériques primitives, n'était autre qu'une
affection
de nature infectieuse ou toxique, spéciale vraise
une marque caractéristique absolue. Le caractère non symétrique des
affections
à l'origine dans le syndrome de Morvan n'est pas,
quelques détails au sujet des relations qui existent entre certaines
affections
du système nerveux et le diabète. C'est un sujet
e voir dans toute glycosurie, même dans la glycosurie diabétique, une
affection
des centres nerveux et de chercher à démontrer da
onsécutives au diabète que je veux insister aujourd'hui, mais sur une
affection
organique ou dynamique, c'est ce qu'il s'agira de
ci a des caractères particuliers qui permettent de les distinguer des
affections
analogues. J'ajouterai enfin que ces deux ordres
alors? Doit-on faire intervenir une névrite périphérique ou même une
affection
spinale dynamique? La première hypothèse, dans le
iagnostics erronés en prenant pour une maladie à lésion organique une
affection
qui n'en comporte pas, et inversement. Faut-il
fièvre jaune et autres maladies exotiques, bien que ce soient là des
affections
que beaucoup d'entre nous n'ont jamais rencontrée
hez les hystériques et comment, jusque dans ces derniers temps, cette
affection
qui paraît, quoi qu'il en soit, être un fait asse
dans la face, est un argument en faveur de la nature hystérique de l'
affection
: car bien que la paralysie hystérique puisse occ
passez-moi le mot, non ce syndrome lui-même et qu'en fin de compte l'
affection
qui a donné lieu à ce concours troublant de phéno
ions organiques et que nous nous trouvions au contraire en face d'une
affection
toute dynamique. L'hystérie serait-elle donc en c
mblable, parce que, si la simulation hystérique d'un certain groupe d'
affections
organiques cérébro-spinales nous est parfaitement
t nous concluons que l'intervention d'un traumatisme à l'origine de l'
affection
qui nous occupe, n'a rien de contraire à l'hypoth
le sensitif anormal, mais il faut compter avec les inconnues de cette
affection
et une sembable anomalie ne saurait suffire, si t
, non, cette dissociation n'appartient pas en propre à cette dernière
affection
. Plusieurs observations en démontrent l'existence
âgé de 25 ans, officier, vient consulter M. Charcot en 1875 pour une
affection
nerveuse consistant en une incoordination de la m
M. Charcot en 1875. De ce qui précède, il résulte évidemment que l'
affection
dont il s'agit n'avait rien de commun avec le tab
affirme donc à M. X... qu'il y a eu erreur de diagnostic, qu'il a une
affection
spinale spasmodique, sur l'origine de laquelle il
e, sur l'origine de laquelle il ne pe it se prononcer, mais que cette
affection
n'est certainement pas le tabès. Le traitement hy
lication comme un incident fortuit ou la rattacher à l'évolution de l'
affection
spinale ? Les récentes discussions soulevées à
e qu'elle suffit souvent seule à faire le diagnostic étiologique do l'
affection
. (I) Leçon recueillie par le docteur Parmentier
, quoique d'apparence grêle et chétive. Les différents stigmates de l'
affection
qu'elle porte ne sautent pas aux yeux tout d'abor
au, il en est un certain nombre qui sont par hérédité prédisposés aux
affections
cérébrales vulgaires. Notre cas vient évidemment
dié ensemble un cas de syphilis cérébrale (2) qui vous a montré cette
affection
sous un aspect favorable. Vous n'avez certainemen
ce n'est pas tout. L'artériosclérose, le diabète, l'albuminurie, une
affection
cardiaque ne seraient-ils pas en jeu ici ? Non, c
acement. Messieurs, La sclérose en plaques cérébro-spinale, cette
affection
que caractérisent anatomiquement des lésions sing
'on puisse « tout voir » en un mot dans la sclérose en plaques. Cette
affection
est régie, comme les autres maladies chroniques
ntraste vous le retrouverez dans la symptomatologie oculaire des deux
affections
. Dans le tabes, même si le sujet est un syphiliti
la voie et finalement vous ferez appel à la marche si originale de l'
affection
. Une investigation ainsi conduite doit mener pres
rébelleuse, à la maladie de Friedreich. Détrompez-vous ; ces diverses
affections
ne sont point en cause. Rappelez-vous seulement
cours d'un rhumatisme articulaire aigu, vers le douzième jour, que l'
affection
a débuté (1} P. Marie. Sclérose en plaques et m
lérose disséminée. Depuis cinq ans que je connais cette malade, son
affection
est restée stationnaire, et la grippe qui l'a for
ermanent et la malade,- se croyant atteinte d'une péritonite ou d'une
affection
des organes génitaux, vint consulter le Dr Auvard
aladie de Morvan. Travaux de M. Joffroy démontrant l'unicité des deux
affections
. Anatomie et physiologie pathologiques de la sy
on de l'anesthésie dans l'œdème bleu des hystériques, 107. Doigts :
affections
déformant les —, 2. E Épilepsie : bâillements
s mesurés, toujours les mêmes, l'impossibilité de les rattacher à une
affection
quelconque, autre que la névrose hystérique, et b
en d'attaques hystériques de la grande forme hystéro-épilepsie. Une
affection
^ désignée sous le nom de chorée, a paru également
nier genre. Le tic convulsif passe encore assez généralement pour une
affection
à laquelle il n'y a pas lieu d'attacher une très
tic et la chorée, il y a un abîme ; ne l'oubliez pas, car il s'agit d'
affections
auxquelles on donne quelquefois, bien à tort, le
homme, observée cette fois sur deux autres sujets atteint de la même
affection
(fig. 9 et fig. 10). Cette déformation sur laquel
qu'en effet elle paraît appartenir en propre à certaines formes d'une
affection
d'ailleurs fort vulgaire puisque c'est de la scia
non seulement l'existence de la sciatique, mais encore de localiser l'
affection
sur l'un ou l'autre côté du corps. Pour plus de
omiste doublé d'un clinicien pour déterminer exactement le siège de l'
affection
douloureuse à laquelle il serait juste, comme on
voir nettement accusé l'existence de deux formes bien distinctes de l'
affection
: l'une relativement bénigne, quelque intense et
agnement de troubles trophiques de siège musculaire ou cutané et où l'
affection
paraît devoir être rattachée non plus cette fois
oire de la sciatique car il s'agit là, ne l'oubliez pas, d'une de ces
affections
vulgaires que l'on rencontre à chaque pas dans la
connaître quelques détails complémentaires relatifs à la marche de l'
affection
; et en même temps aux circonstances qui peuvent
ne voie de guérison, que se manifestèrent les premiers symptômes de l'
affection
nerveuse dont notre homme souffre actuellement à
des recherches à faire pour arriver à établir la caractéristique de l'
affection
nouvelle, aujourd'hui surajoutée à la névrite sci
chez notre malade l'existence de la neurasthénie, comme on l'appelle,
affection
assez bien déterminée aujourd'hui symptomatiqueme
menage intellectuel en particulier; aussi chez les enfants est-ce une
affection
rare, parce que les enfants ne se laissent pas su
eurasthénie ; on peut observer comme l'a fait M. Westphal, dans cette
affection
-là, surtout au moment des vertiges, des rétréciss
s conditions-là les névroses qui nous occupent, bien qu'il s'agisse d'
affections
sans lésions organiques appréciables, se montrent
oc nerveux ou le traumatisme. Quelques auteurs cependant donnent, des
affections
nerveuses qui se manifestent dans ces conditions-
te reste toujours essentiellement la même ;la cause provocatrice de l'
affection
,qu'elle soit le traumatisme ou autre chose, ne dé
été déterminées par d'autres causes. En ce qui concerne la dernière
affection
je pense qu'il n'est nullement légitime d'admettr
s caractères vraiment particuliers et qui permettront de distinguer l'
affection
ainsi produite, de toutes les névroses toxiques d
sieurs, nous avons justement sous les yeux un pauvre homme chez qui l'
affection
nerveuse dont il souffre actuellement a été évide
de carbone, et nous allons être mis à même par conséquent d'étudier l'
affection
dans tous ses détails. Mais, messieurs, je crois
s conduira pas à trouver exactement ce que nous cherchons ; c'est une
affection
nerveuse vulgaire, très vulgaire qu'elle va mettr
nt après une attaque apoplectiforme a été la première révélation de l'
affection
nerveuse dont il s'agit de déterminer maintenant
trice, qui seuls pourront permettre de déterminer nosographiquement l'
affection
. Malheureusement, ces détails ne se rencontrent p
de ce genre seuls sont caractéristiques de l'hystérie dans certaines
affections
, en effet, comme dans l'épilepsie par exemple : a
arées qu'il y a de causes capables de provoquer le développement de l'
affection
, j'admets cependant naturellement dans l'hystérie
ue par eux pour ce qu'elle est. L'hystérie serait donc d'après cela l'
affection
qui se développe le plus fréquemment en conséquen
servateur attentif. En résumé donc, il existe vraisemblablement des
affections
du système nerveux relevant directement de l'acti
vapeurs du sulfure de carbone et qui mériteraient de porter le nom d'
affections
nerveuses sulfo-carbonées. Il faudra s'applique
s sulfo-carbonées. Il faudra s'appliquer, à l'avenir, à décrire ces
affections
plus minutieusement qu'on ne l'a fait jusqu'ici,
mais seulement d'un ensemble symptomatique pouvant se rattacher à des
affections
très diverses. Ainsi en dehors de l'hémisection i
e n'est pas d'hystérie qu'il est question cette fois, mais bien d'une
affection
d'un ordre tout différent. Il s'agit, vous le r
ustement dans l'exercice de sa profession ingrate qu'il a contracté l'
affection
dont aujourd'hui encore il porte les traces. Vo
pécialement au malade que nous avons sous les yeux. L'histoire de l'
affection
articulaire qui, chez notre homme, a été la cause
il s'agissait ici et cette amyotrophie développée en conséquence de l'
affection
articulaire s'était accusée bien rapidement, puis
er. Elle consiste,vous le savez, à admettre que sous l'influence de l'
affection
de la jointure, les nerfs articulaires centripète
ire que, même en dehors des particularités relatives à la marche, ces
affections
ont bien des traits en commun. Ainsi le steppage
cela ne sera pas, je pense, très difficile à démontrer. Toutes ces
affections
toxiques qui peuvent produire la démarche du step
ed sont détruits en partie seulement. Cette inégale répartition des
affections
musculaires est chose vulgaire dans la paralysie
ans toute leur intensité. Il paraît au moins fort vraisemblable que l'
affection
à laquelle elles appartiennent et dont elles cons
e d'où pourra naître, par le concours de circonstances appropriées, l'
affection
convuisive. Il n'en est pas tout à fait de même
ore bien montré M.Magnan, est un convulsivant ; il y a en réalité une
affection
épileptiforme qui mérite vraiment de porter le no
ez celui-là la paraplégie alcoolique et préparé le développement de l'
affection
hystérique que des causes morales ont, à un momen
ronostic et au traitement. C'est l'hystérie qui aujourd'hui est ici l'
affection
dominante vraiment active ; les lésions de la par
rend irrégulier et oublieux. C'est ici le lieu de rappeler que les
affections
nerveuses d'ordre dynamique, sans lésions appréci
^parfois nos opinions diffèrent sur certains points relatifs à cette
affection
de celles professées par quelques auteurs autoris
s'agisse ici d'une chorée mortelle. Est-ce donc que la chorée, cette
affection
que j'ai eu l'occasion fréquente de vous présente
rition des mouvements choréiformes, comme aussi pendant le cours de l'
affection
, par des troubles psychiques plus profonds que ce
éveloppement delà chorée et quelques médecins,après constatation de l'
affection
articulaire,désigneront le cas sous le nom de cho
tre considérée comme un « équivalent » dans les centres nerveux, de l'
affection
articulaire, ou des affections viscérales de la «
valent » dans les centres nerveux, de l'affection articulaire, ou des
affections
viscérales de la « fièvre rhumatismale » ; il me
ent douteux; mais la coïncidence fréquente, l'alternance même de deux
affections
ne suffit nullement à montrer qu'elles sont ident
n'est pas à titre de chorée associée au rhumatisme articulaire que l'
affection
, chez notre infortuné malade, s'accompagne de sym
ne chorée chronique qu'il a dû s'agir à cet âge. Quoiqu'il en soit, l'
affection
serait survenue chez lui à la suite de l'émotion
n, la chorée ait pu prendre, presque dès l'origine, les allures d'une
affection
grave, et s'accompagner d'accidents de fâcheuse a
avoir du reste provoqué chez notre jeune malade le développement de l'
affection
. Ajoutons en passant les traits suivants qui la
e de ces cas. Il n'est point, vous ai-je dit et répété, une seule des
affections
nerveuses dontl'ensemble forme ce que j'appelle l
un peu spéciales dés collisions de trains, s'il y a production d'une
affection
nerveuse purement dynamique, c'est-à-dire ne rele
est vrai qu'antérieurement à l'accident il n'a jamais souffert d'une
affection
nerveuse quelconque, il faut relever que, par con
ctif (voyages de Paris à la frontière jour etnuit), et prédisposé aux
affections
nerveuses par son hérédité. Mais, même chez les a
in gauche. Rien n'est plus tenace quelquefois, vous le voyez, que ces
affections
nerveuses purement dynamiques cependant, et mieux
cés sous vos yeux, sont l'un et l'autre atteints à divers degrés de l'
affection
assez bien connue aujourd'hui que l'on désigne as
antérieure aiguë. — Cornual myelitis, etc. Défait, dans un cas de l'
affection
dont il s'agit, se trouvent réalisées en quel-, q
moins tardivement se développer à titre de complications, ou mieux d'
affections
secondaires, diverses lésions médullaires et en p
oucher à un point fort peu discuté encore, relatif à l'étiologie de l'
affection
qui nous occupe. J'ai été conduit par l'étude des
t d'une paralysie obstétricale. Lui, n'avait jamais été malade et l'
affection
dont il souffre aujourd'hui est attribuée, à tort
; mais même encore aujourd'hui,trois mois et demi après le début de l'
affection
, il existe une certaine sensibilité à la pression
t guère, ainsi que je vous l'ai fait remarquer souvent, que dans deux
affections
en apparence fort éloignées l'une de l'autre, à s
ont la durée n'a pas dépassé quatre jours, qui a marqué le début de l'
affection
. A la malade : Parlez-nous de ce qui s'est pass
mbre de ;as: mais il ne faut pas oublier d'un autre côté que les deux
affections
, ataxie ît hystérie, représentent deux membres de
s'agit en effet, là encore, d'une combinaison de l'hystérie avec une
affection
organique bulbo-spinale, à savoir la sclérose en
ulenbourg, de Gnauk). 0. 0. Troubles fonctionnels consécutifs à l'
affection
du nerf optique ou à celle des centres visuels.
ue. Il faut ajouter que l'achromatopsie qui se lie aux deux dernières
affections
du nerf optique n'est pas la même, si l'on peut a
r toute une série de faits inattendus et conduire ainsi à démasquer l'
affection
organique, qui jusque-là s'était tenue dissimulée
vélation, n'a fait qu'établir plus solidement encore l'existence de l'
affection
organique cérébro-spinale dont il s'agit. C'est
inférieurs, de trépidation spinale provoquée. Bien qu'elle soit une
affection
organique, ces amendements temporaires de divers
jour ou l'autre. Ces allures singulières, en tant qu'il s'agit d'une
affection
caractérisée anatomiquement par des lésions organ
je l'ai maintes et maintes fois fait ressortir, il y a entre les deux
affections
une sorte d'affinité qui fait qu'on les rencontre
d'après ce quej'ai vudumoins, lasclérose en plaques est de toutes les
affections
organiques des centres nerveux celle qui se combi
M. le Dr Gellé, fait il y a quelques semaines, a donné ce qui suit :
Affection
purement nerveuse. Aucune lésion organique,conser
Connaissez-vous quelqu'un de vos parents qui ait souffert de quelque
affection
nerveuse, de la goutte, du rhumatisme ? La mère
e lorsque les choses sont ainsi, quel que soit du reste le genre de l'
affection
spinale dont il s'agisse (1), la paraplégie spasm
achent. Et d'abord,jevous rappellerai que dans l'évolution de cette
affection
, les pseudo-névralgies (symptômes radiculaires)do
mécanisme dont nous aurons à parler tout à l'heure ont mis en jeu une
affection
purement dynamique, fonctionnelle comme on dit en
ynamique, fonctionnelle comme on dit encore; et c'est justement cette
affection
qui, aujourd'hui, sur la scène morbide occupe le
s,qu'il y a là un. ensemble de symptômes qui, dans la catégorie des
affections
organiques spinales ne pourraient guère se rencon
lièrement favorable au développement ou à la réapparition de diverses
affections
, soit organiques soit purement dynamiques et pour
. Application de la suspension des malades au traitement de quel fues
affections
de la moelle épinière par Motchoutkowski.Extrait
utkowsky avait appliqué la suspension au traitement de certains cas d'
affection
spinale ou cérébro-spinale autres que le tabès. D
ssayé l'emploi de la suspension dans le traitement de quelques autres
affections
organiques des centres nerveux, autres que l'atax
ont la description ne laisse subsister aucun doute sur la nature de l'
affection
. Ces douleurs articulaires en effet, ont eu pou
depuis laquelle les fluxions articulaires n'ont plus reparu, — d'une
affection
de l'oreille gauche, peu douloureuse il est vrai,
plus je pense, que la paralysie faciale périphérique n'est jamais une
affection
toute locale, ne relevant d'aucune tare nerveuse,
sans aucun doute Basedow se fût refusé à reconnaître chez ce malade l'
affection
qu'il a le premier décrite. L'argument ne me para
d'être déraciné. 11 est parfaitement avéré, cependant, que ces mêmes
affections
,du moins dans les villes, s'observent sur une gra
résentent pour l'admission dans les hôpitaux des malades atteints des
affections
les plus diverses, sans sélection aucune. Est-ce
remarquable que chez les sujets rustiques des classes ouvrières, les
affections
nerveuses sans «substratum» organique, la neurast
voir un homme vigoureux, mais à la vérité prédisposé par hérédité aux
affections
nerveuses, et, en outre, affaibli par une maladie
pas nécessaire d'entrer dans des développements, pour affirmer que l'
affection
du membre inférieur gauche n'est autre qu'une con
plus homogènes, bien que sous le rapport des agents provocateurs de l'
affection
, il y ait lieu de relever entre les divers cas, d
ignalés par tous les auteurs qui se sont occupés particulièrement des
affections
du système nerveux déterminées par les accidents
d'autant plus que ce fils était de sa part, paraît-il, l'objet d'une
affection
profonde. Aussitôt il s'évanouit et resta inconsc
porter sur lui, expliquant dans tous ses détails les caractères de l'
affection
, et cette fois ce certificat portera le cachet de
ande réputation d'habileté. Pas de maladies nerveuses antérieures à l'
affection
dont il va être question, pas d'épilepsie en part
tre attention, quelques exemples d'automatisme ambulatoire relevant d'
affections
autres que l'épilepsie. Plusieurs d'entre vous
mitive de l'estomac, mais bien de troubles gastriques subordonnés à l'
affection
spinale. L'erreur commise et entretenue pendant
rra naître, en conséquence, dans l'esprit du clinicien, que c'est une
affection
cérébrale organique, une néoplasie intracranienne
qui concerne ces dernières, de tomber dans le diagnostic erroné d'une
affection
organique de l'estomac. La chose vous parait évid
é de tous ses mouvements et ne présente aucun des signes révélant une
affection
spinale connue, soit de l'ordre organique, soit d
Je rappellerai en premier lieu, l'absence chez tous les sujets où l'
affection
se présente dégagée de complications, d'une altér
voient dans l'ataxie locomotrice, la paraplégie spasmodique, diverses
affections
choréiformes, la paraplégie hystérique, etc., etc
cas particulier, il y aura à se demander si 1. Blocq, loc cit. l'
affection
qui vient troubler l'accomplissement du fonctionn
cette assertion il nous faut passer rapidement en revue les diverses
affections
du système nerveux qui peuvent être considérées c
bornent, pour le moment, nos connaissances précises relativement aux
affections
du système nerveux qui peuvent survenir en conséq
ements cérébraux dont nous parlions tout à l'heure ; de ces dernières
affections
, on peut dire qu'elles relèvent immédiatement de
acé de tomber à terre. Il n'est guère douteux qu'il s'agisse là d'une
affection
tabétique. Ce frère a eu six enfants dont quatr
être ». Son meilleur ami, celui chez lequel il avait placé toute son
affection
, toute sa confiance et qu'il considérait comme le
organique. Il bénéficiera donc du caractère purement hystérique de l'
affection
, et, laissant de côté les réserves qu'il convient
Brésil ou de l'isthme de Panama, —dans certains cas de Béribéri-Sec,
affection
essentiellement exotique, que, dans le diagnostic
tique, qui, si fréquemment, concourt au développement héréditaire des
affections
névropathiques. A l'âge de douze ans, il aurait
jet qui, dans l'enfance, avait été frappé de paralysie spinale aiguë,
affection
dont il porte encore les reliquats. De quel genre
el genre d'atrophie musculaire à marche progressive s'agit-il ici ? L'
affection
myopathique est-elle la conséquence d'une lésion
spinales chroniques progressives, comme je l'ai appelé, comprend des
affections
diverses autrefois confondues sous la dénominatio
res et d'où procède à proprement parler toute la symptomatologie de l'
affection
. b). Les choses sont plus compliquées dans une
t d'y déterminer l'atrophie des cellules motrices. Parmi les diverses
affections
qui peuvent venir figurer dans cette classe des a
spinales deutéropathi-ques? Evidemment non. En effet, les différentes
affections
spinales, — tabès syringomyélie, sclérose en plaq
deux événements pathologiques l'un à l'autre : il est possible que l'
affection
la plus récente procède directement de la plus an
ctérise le type Duchenne-Aran. Certes il n'en serait pas de même si l'
affection
des muscles se rattachait à la sclérose latérale
sachez-le bien, peut se combiner, s'associer avec une foule d'autres
affections
et en particulier avec l'épilepsie. Eh bien, chez
ue, car elle estabsurde. Voilà un malade qui est sous le coup de deux
affections
foncièrement différentes, et elles portent le mêm
produit le 7 mai dernier, c'est-à-dire il y a vingt jours à peine. L'
affection
qui en a été la conséquence est donc, vous le voy
ccidents hystériques, tout comme elles détermineraient l'apparition d'
affections
nerveuses d'un autre ordre, la chorée, l'épilepsi
nguer, à coup sûr, la maladie des tics de toutes les autres espèces d'
affections
convulsives. « Vous voyez, » disais-je après l'
c et la chorée il y a un abîme : ne l'oubliez pas, car il s'agit là d'
affections
auxquelles on donne quelquefois, bien à tort, le
les tics et la chorée représentent bien, comme je vous l'ai dit, deux
affections
radicalement distinctes, en même temps que, clini
a désormais occuper un rang distingué ; car il ne s'agit pas là d'une
affection
beaucoup plus rare, sans doute, que ne l'est, par
le neuropathologique, il en est un qui n'appartient pas au groupe des
affections
organiques, et qui peut, cependant — je saisirai
1885, p. 1162, sous ce titre significatif: Essai de diagnostic d'une
affection
hauteur ; que.quefois cependant elle reste limi
région dont les altérations se traduiraient par la production de ces
affections
cutanées, sous-cutanées et autres qu'on désigne a
e les lésions dont il s'agit relèvent plus ou moins directement d'une
affection
de certaines parties des centres nerveux ou des n
dre, d'un pronostic moins sombre que ne l'est celui de la plupart des
affections
organiques spinales dont elle peut être cliniquem
abes, telles sont, sans parler de la lèpre anesthésique, les diverses
affections
organiques du système nerveux que, dans la pratiq
de 24 ans, et une pleurésie à la même époque. Pas d'hémoptysîes. L'
affection
d'aujourd'hui auraiteommencé en 1879. La malade a
. — C'est un homme vigoureux, solide. Jamais il n'avait été atteint d'
affection
nerveuse jusqu'à il y a trois années; et on n'a p
gique, nous ne devrons jamais oublier que les types les plus divers d'
affections
organiques cérébrales ou spinales, avec lesquelle
la maladie, quelle qu'en soit la cause, se présente souvent comme une
affection
remarquable par la permanence et la ténacité des
2 il s'agit, est en effet complètement guérie depuis trois ans de l'
affection
dont elle a souffert et qui l'a immobilisée au li
s nosographiques fort éloignés, puisque, dans l'un il s'est agi d'une
affection
organique par excellence, la pachyméningite cervi
ypertrophique, tandis que dans l'autre il s'agit, au contraire, d'une
affection
purement dynamique, sans lésions matérielles appr
n possède aujourd'hui un certain nombre de cas de guérison dans cette
affection
, qui ont été récemment réunis par M. EdgardHirtz,
ité spasmodique des muscles n'existait plus et que, par conséquent, l'
affection
spinale n'était plus en jeu. Cependant une flexio
pas la moindre trace de paralysie spasmodique, et comme vestige de l'
affection
dont elle a souffert, il ne reste plus qu'une dif
chyméningite, je puis vous montrer un autre cas du même genre. Ici, l'
affection
a été moins grave, la paralysie spasmodique n'a j
uisinière, qui a habité pendant deux ans un rez-de-chaussée humide. L'
affection
a débuté il y a quatre ans. Après une période dou
s'il est vrai, comme il faut l'admettre, que le point de départ de l'
affection
doit être cherché dans la moelle, celle-ci, cepen
tous les hémiplégiques que l'on pourra suivre dès le début de leur
affection
, ce symp- tôme apparaîtra comme très fréquent.
res ner- veux. Cet état peut être aussi symptomatique ci d'autres
affections
cérébrospinales comme, par exemple dans la neur
sibilité morale et psychique de l'individu. La mélancolie est une
affection
connue depuis bien long- temps : ainsi le mot m
us aurons des formes diverses de mélancolie. Lamélancolie est une
affection
curable : ai0 et plus p. 100 de guérisons. Il n
élancolie tend à devenir chronique et a finir par la démence si une
affection
intercurrente ne vient hâter la fin du malade.
'est coupé le cou, nous dit Je nom de son mari et de ses enfants. L'
affection
pour ses enfants est exagérée, elle pleure quan
malade. - Grand'mère paternelle, morte à soixante-seize ans, d'une
affection
chronique de la poi- trine et de diabète. Oncle
ant avec lui on s'aperçoit que l'enfant est tout à fait calme, et l'
affection
qu'il nous témoigne nous fait supposer qu'il a
ces deux points du microhe trouvé par \1'eiscbselbaum dans la même
affection
, lequel ne se cultiverait pas sur pomme de terre
ation élective des éruptions cutanées sur le côté intéressé par une
affection
nerveuse unilatérale d'origine cen- trale ; par
.) L'auteur rapporte plusieurs observations de malades atteints d'
affections
nerveuses unilatérales d'origine centrale (hémipl
s et des fièvres éruptives apparaissant chez des malades atteints d'
affections
spnsmo-paralytiques, ont respecté, complète-
corps, la sécheresse de la peau sont des signes communs à ces deux
affections
. L'assoupisse- ment existe aussi dans la maladi
le nom de a sleeping dropsy», hydropisie qui endort. Dans les deux
affections
, s'observent des troubles menstruels. L'une et
ne pourrait suffire à établir une différence radicale entre celle
affection
et le myxoedème, si l'existence d'un lieu de pare
et le myxoedème, si l'existence d'un lieu de parenté entre les deux
affections
était bien démontrée. Mais cette démonstration
11 s'agit d'un syphilitique héréditaire de dix-huit ans, chez qui l'
affection
a revêlu une forme rapide : en effet, la durée n'
rébrale chez un nègre de trente-sept ans. Les manifestations de l'
affection
sont multiples : hémiplégie droite et hémianops
neux, achilléen et patellaire, sont épuisés dèsle commencement de l'
affection
. Cette coïncidence est pathognomonique du stade
de la vue ne s'exerce pas dans la maladie de Friedreich et dans les
affections
cérébelleuses. Le genre et le degré de l'ataxie
ses unilatérales de Raymond et Kaiser. Aux hyperhidroses dues à des
affections
du système nerveux, l'auteur ajoute une observa
ne diminution de la motilité des globes des yeux. Depuis ce temps l'
affection
paralytique des muscles oculaires a augmenté pr
e les muscles oculaires intérieurs sont intacts, l'auteur regarde l'
affection
comme une ophthalmoplégie de nature nucléaire,
une marche tout à fait égale, rend pro- bable la supposition d'une
affection
congénitale ou héréditaire. Le résultat de l'op
ire, envisager : 1° Les délires d'origine médicale, dépendant d'une
affection
antérieure du malade (les centres nerveux excep
ofesseur Raymond présente d'abord un cas typique, complet, de celte
affection
. Quatre autres malades présentent une forme fru
en plaques, par l'ataxie cérébelleuse ». C'est donc avec ces trois
affections
qu'il faut s'efforcer de faire le diagnostic ;
n père est atteint de tabes dorsal classique ; le fils présente une
affection
hybride qui emprunte ses traits à la fois au ta
on cas est un hybride. L'atrophie héréditaire de la papille est une
affection
héréditaire et familiale encore peu connue. Le
appartient à la pathologie nerveuse. Elle rentre dans le cadre des
affections
névrotrophiques. L'association avec la maladie
iculier, car elles 80 BIBLIOGRAPHIE. montrent que, si, dans les
affections
du système nerveux le traite- ment est souvent
agnostic; aussi, l'auteur établira-t-il longuement, pour toutes les
affections
dont il s'occupera dans ce volume, un aperçu cl
it exister de nombreuses ressemblances dans la forme entre ces deux
affections
: état neurasthénique vrai et neurasthénie cons
l'épilepsie tardive et l'épi- lepsie précoce sont une seule et même
affection
. Toutefois l'épilep- sie développée dans l'enfa
oit toujours être énergique et sévère quelle que soit la forme de l'
affection
, mais en se guidant sur la tolérance de l'indi-
de la Tourelle décrit les symptômes du tic douloureux de la face,
affection
éminemment paroxystique et qu'il faut différencie
spasmodiques ou paralytiques. La preuve que ceux-ci sont liés à une
affection
du système ner- veux n'est plus à faire pour le
que les myélites syphilitiques compren- nent plus de la moitié des
affections
de l'axe spinal, mais encore parce que les idée
nsabilité devant la loi pénale. M. BiBENT : L'hystérie simulant les
affections
organiques chez l'enfant et l'adolescent. M. BÉ
raux et 542 autres aliénés. Sur les 84 paralytiques généraux dont l'
affection
était nettement confirmée, 44 présentaient le s
les maladies mentales à type dépressif, et principalement dans les
affections
à lésions soit d'organisation, soit de désorgan
ire aigu et le delirium tremens soient caractéristiques de ces deux
affections
? Nullement puisque ces alté- rations se retrou
'on puisse dire si cette intoxication fait partie du processus de l'
affection
ou si elle est secondairement amenée par lui. (
rtains cas une dépendance entre l'irritation génito-urinaire et les
affections
des fosses nasales ; 5° l'histoire des parfums mo
e, on peut constater que : 1° chez certaines femmes atteintes d'une
affection
nasale, la maladie est aggravée au moment des r
erce parfois une influence importante sur l'histoire clinique d'une
affection
nasale. Les recherches de Fleiss semblent mon
ie énervée de ce muscle. F. BOISSIER. XII. Pseudo-appendicites et
affections
pseudo-viscérales; parle professeur Albert Abra
et un rétrécissement apparent du diamètre transverse du crâne. Son
affection
mentale était essentiellement caractérisée par de
de toute évi- dence que, quel que soit le degré de gravité de leur
affection
, tous les deshérités de l'intelligence appartie
ison de l'altération des filtres rénal et hépatique. Voilà donc une
affection
convulsive, que plusieurs auteurs ont rapproché
était de l'épilepsie aiguë (Vogel, Jacquemier s) ; voilà donc une
affection
épilepliforme qui a, pour cause occasionnelle d
t constamment nus. C'est sur- tout aux périodes intermédiaires de l'
affection
paralytique qu'on constate cette bizarre tendan
même des sujets gâteux, par conséquent à la deuxième période de l'
affection
paralytique, avec un minimum de troubles moteur
relevées dans nos constatations, étaient au nombre de douze ; or, l'
affection
paralytique a eu pour deux une durée d'un an, u
t absente à la phase initiale, augmente de fréquence à mesure que l'
affection
paralytique marche pour atteindre son maximum à
r, sont très fréquentes chez les ascendants des épi- leptiques. Les
affections
cérébrales, la méningite en particu- lier, se r
mais rarement par la possibilité du développement de celles-ci. Les
affections
cutanées qui engen- drent le plus souvent et le
drent le plus souvent et le plus facilement des phobies sont les
affections
parasitaires, celles qui peuvent faire craindre a
celles qui peuvent faire craindre aux malades d'être atteints d'une
affection
parasitaire, et celles qui occupent le visage o
de Mil. Pitres et Régis); ceux-ci, en effet, ne dépendent pas d'une
affection
cutanée, mais sout la conséquence de l'exagérat
par une hyperthri- cose réelle ou par la crainte de cette dernière
affection
, au visage ou sur toute autre partie du corps,
érale pour conclure que le tabes et la paralysie générale sont deux
affections
différentes mais possédant de nombreux points d
if. Enfin, M. Klippel applique à la physiologie pathologique de l'
affection
la théorie du neurone et fait intervenir les auto
des ictus transitoires si fréquents au début comme au cours de ces
affections
, ainsi que des variétés en apparence contradict
s à faire pla- cer leurs malades, à la période la plus curable de l'
affection
. D'autre part, ces hôpitaux spéciaux pourraient
gitation, l'auteur, dans un travail intéressant, passe en revue les
affections
mentales au cours desquelles peut se présenter
ections mentales au cours desquelles peut se présenter l'agitation,
affections
qui constituent trois grands groupes, les psych
r- sonne en Norvège n'a aucune idée de l'existence d'une pareille
affection
, pour la bonne raison que le cerveau n'eat,jamais
u apporter de Terre- Neuve le germe infectieux dans les aliments. L'
affection
, étendue à 534 malades en trois épidémies, affe
uccessifs le dia- gnostic et les symptômes à différents degrés de l'
affection
, les modifications locales et mentales consécut
r P. Marie. (Revue de médecine, 1898.) M. Marie appelle ainsi une
affection
chronique à évolution très lente et caractérisé
ons coxo-fémorale et scapulo- humérale. Les observations de cette
affection
sont encore peu nombreuses; l'auteur n'en a enc
d'établir une symptoma- tologie définitive. Dans son ensemble cette
affection
débuterait vers l'adolescence (15 a 20 ans) ; l
étiologique toute cause infectieuse et à faire de celle maladie une
affection
par trouble de nutrition. Spilliiiez et 1,'Ii
deux membres du même côté ; enfin quinze ans après le début de l'
affection
, survinrent des attaques convulsives épilepliform
logie frappante qui lui a paru exister entre les symptômes de cette
affection
et ceux des états myxoedé- mateux et crétinoïde
ans le myxoedème et l'hypnosie pour admettre l'identité de ces deux
affections
. Au reste, tandis que la tendance au sommeil es
tablir en se basant, non sur la violence du traumatisme, cause de l'
affection
, mais sur l'état de l'excitabilité électrique d
st précédée d'une étude intéressante sur la localisation de cette
affection
et par une revue de cas semblables. XXXVI. L'al
vation de névrite alcoolique qui peut servir de description à cette
affection
. (Ame- rican Journal of insanity, oct. 98.) E.
re les phénomènes convulsifs, mais il n'a pas d'effet curatif sur l'
affection
elle-même en éloignant la cause. L'exercice sys
deux derniers ont été présentés à la Société), atteints de la même
affection
, et dont l'hérédité, en dehors de l'alcoolisme
t d'abord exa- minée dans la clinique du professeur Kojewnikow. Son
affection
a débuté vers la fin de 1895, par des panaris m
milieu les infirmités céré- brales l'emportent constamment sur les
affections
délirantes vraies comme si la dégénérescence hé
n systématisées. On peut classer en deux sous-groupes distincts les
affections
mentales où s'observe un délire systématisé de
signalé la mélancolie religieuse des épiteptiques au début de leur
affection
et fait ressortir ce fait ' Cotard. Loc. cil.,
démique. Avec les délires systématisés, l'hystérie est, en effet, l'
affection
où la dissociation de la personnalité s'ob- ser
insi que le dit Brodie, « l'hystérie doit être considérée comme une
affection
dynamique. Il y a inhibition, anéan- tissement,
exprime ainsi au sujet de ce qu'il appelle le délire gé2lé- ralisé,
affection
qui correspond jusqu'à un certain point, à la c
tre fois il n'y avait érection, les deux premiers mois et demi de l'
affection
que quand on sondait le malade. Trois fois le
. Influence microbienne, et des toxines dérivées dans la genèse des
affections
nerveuses centrales et périphériques; par Th. B
s de sa convalescence, fut pris d'une paralysie ascendante aiguë. L'
affection
commença par les membres inférieurs, envahit le
u point de vue clinique aucun signe ne permet- tait de songer à une
affection
cérébelleuse. Un point très spécial indiqué par
ites sont dues à de l'oedème des cellules. Le fait que les diverses
affections
dans lesquelles ont été trouvées ces altération
ctions dans lesquelles ont été trouvées ces altérations étaient des
affections
favorisant l'oedème, est en faveur de cette hyp
u point de vue anatomo-pathologique, les différents stades de cette
affection
. Ce travail, appuyé sur des coupes macroscopiqu
anatomiques qui permettent d'établir la palhogénie propre de cette
affection
. Les conclusions suivantes résument très claireme
Piso, rompant avec toutes les erreurs entassées jusque-là sur cette
affection
, émit cette idée révolutionnaire pour l'époque,
e par Willis, et en 1681, Sydenham donna une bonne description de l'
affection
. Il n'était pas possible de maintenir plus long
te pour les REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 323 victimes de cette
affection
. Il était nécessaire de montrer que l'hystérie
s SI observations complètes qui constituent la littérature de cette
affection
depuis celle de Jonh Frecke (1740) jusqu'à cell
cette monographie : 1° La myosite ossifiante progressive est une
affection
de tout l'appareil locomoteur ; elle se caracté
en est qui ne le sont jamais (coeur, diaphragme, sphincters); 11° l'
affection
offre un épaississe- ment de tout le système co
des cas observés et des opinions émises sur la pathogénie de cette
affection
montre qu'elle ne s'accompagne pas de troubles
t sur l'étiologie, l'évolution rapide et le tableau cli- nique de l'
affection
, l'auteur la considère comme rhumatisme articul
reconnue par tous autrement que comme syndrome commun à plusieurs
affections
de nature très différente, la confusion n'est m
que, est une DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT N1 : VROPATÜIQUE. 343
affection
habituellement aiguë, consécutive à l'action d'un
toire (Hallucinatorische ireî-ivii-iilieit). Kreepelin2 range celle
affection
parmi les états aigus d'épui- sement, à la suit
inion de Meynert, se refuse à faire de ce délire hallucinatoire une
affection
dégénérative. Kraft-Ebing* est du même avis, pu
prévoir, maladie due à une prédispo- sition temporaire (par exemple
affection
physique grave et causes occasionnelles puissan
, mais normal dans ses fonctions ». Mayser3 trace encore de cette
affection
un cadre plus large ; il fait rentrer dans la f
rs, à un examen plus détaillé, il semble bien qu'il y ait eu dans l'
affection
de M-11 II... deux phases distinctes : une prem
usses et, actuellement, c'est-à-dire trois mois après le début de l'
affection
, la malade est encore en plein délire ; elle s'
me une entité morbide autonome, mais bien comme un syndrome d'une
affection
plus générale : la dégénérescence mentale, et à
pétrière, n° 1, 1890.) Les observations de cas multiples de cette
affection
, suivis en même temps dans la même famille, son
ATHOLOGIE NERVEUSE. 361 l'attention (distribution particulière de l'
affection
des muscles des globes oculaires atteignant les
iques ayant précédé l'éclosion de l'ataxie héréditaire traumatisme,
affection
fébrile, masturbation forcée.) R. Ciiaron. LX
irurgie chez les femmes aliénées au Canada ; par le Dr BUCKE. Les
affections
utéro-ovariennes sont susceptibles d'intervenir
ales, il y eut seule- ment 3 améliorations du trouble mental. Les
affections
les ovaires, du col utérin et de la muqueuse ut
a production des troubles mentaux un rôle plus actif que les autres
affections
utéro-ova- riennes, puisque leur guérison a été
t importante sans doute, mais elle s'observe dans un grand nombre d'
affections
mentales, notamment dans la paralysie générale,
Avions-nous affaire à une névrite d'origine périphérique ou à une
affection
de la moelle ? Chez notre malade, les membres par
e. Avions-nous affaire à la poliomyélite antérieure aiguë ? Cette
affection
se développe souvent à la suite d'une maladie inf
te, mais cette polynévrite était-elle seule ou associée à une autre
affection
.' En effet, les membres inférieurs furent les
aires reconnaissent-elles la même origine toxique que ces dernières
affections
. a Discussion. M. Rossolimo affirme que dans un
utres restés en vie, un frère, âgé de 29 ans est atteint de la même
affection
que le malade, l'affection ayant débuté chez ce
re, âgé de 29 ans est atteint de la même affection que le malade, l'
affection
ayant débuté chez celui-là à l'âge de 12 ans et l
se montre de la glycosurie. En automne 1897 le malade supporta une
affection
fébrile, à la suite de laquelle il accuse de l'
tes les médications mériteraient le même reproche, car toutes les
affections
sont susceptibles de rechutes, si l'on n'y prend
service militaire. On peut être surpris au premier abord, que cette
affection
ait paru assez grave à l'autorité mili- taire p
as d'exemption du service militaire VARIA. ' 429 9 pour cause d'
affection
nerveuse à ceux d'exemption pour bégaye- ment,
ue montre plus clairement, chaque jour, que le bégayement est une
affection
nerveuse. Dès lors il n'y a rien d'extraordinaire
ors il n'y a rien d'extraordinaire à lui voire suivre la marche des
affections
nerveuses. La statistique a montré à M. Chervin
tion. Si l'on envisage l'aspect symptomatique et l'évolution de l'
affection
, on peut distinguer : 1° des cas à évolution chro
ue l'attention de l'entourage ait été attirée sur l'existence d'une
affection
mentale avant l'appa- rition du délire. L'exp
nts systématiques ordi- naires. Le symptôme le plus saillant de l'
affection
une fois cons- tituée, se trouve dans l'existen
Les considérations précédentes sur le mode de développe- ment de l'
affection
considérée dans son ensemble et dans ses rappor
ve néanmoins les traits fonda- mentaux et caractéristiques de cette
affection
. Quel est, en pareil cas, l'avenir des malades
énumérer les différents symptômes que l'on peut rencontrer quand l'
affection
est une fois consti- tuée, nous retrouverions à
astes principaux. Tout d'abord, il importe de noter que là encore l'
affection
se développe sur ce terrain spécial, que nous a
. Dans les cas un il est impossible d'agir sur la cause même de l'
affection
, le traitement du mutisme consiste à dévelop- p
ale chez les enfants très jeunes est habituellement provoqué parles
affections
du labyrinthe ou de l'oreille moyenne, par les
t incriminer les causes accidentelles : les troubles de l'ouïe, les
affections
de la cavité naso-pha- ryngienne, etc. Voilà ce
infanterie légère d'Afrique. On y a réformé toujours pour les mêmes
affections
: En 1893, 5 chasseurs sur un effectif de i.8Gl
hâteau d'Oléron. Et je dois reconnaître que le dia- gnostic de leur
affection
est souvent difficile, car il peut arriver que
leur affection est souvent difficile, car il peut arriver que cette
affection
soit simulée, ainsi d'ailleurs qu'il m'a été donn
opos de cette observation les auteurs passent en revue les diverses
affections
pouvant présenter le tableau symptomatique cons
complète. Nous voyons le malade deux jours après le début de cette
affection
. Etat général bon, pas de fièvre, intelligence
ocalisation élective des ciitatiéeq sur le côté intéressé par une
affection
nerceuse unila- térale d'origine centrale, par
Influence microbienne et des toxi- nesdélivees dans la genèse des
affections
nerveuses centrales et périphériques, par Blizz
e la , par Souk- llanoff et Orloff, 41 f. Pseudo -appendicites et
affections
pseudo-viscél alcs , par Abrams, 152. PsEUD
ulaire inférieur. Malheureusement la sclérose amyotrophique est une
affection
à marche progressive, le plus souvent même à ma
main et de lé- gères douleurs lancinantes au niveau de l'épaule. L'
affection
progresse lente- ment. En janvier 1902, la main
. Il pa- raît dès lors possible d'établir le rapport qui dans cette
affection
unit les altérations musculaires aux altération
beaucoup de cas. Le groupe Duchenne-Erb est parfois lésé dans cette
affection
, la distribution de l'atrophie est la même que
frère sont aussi nerveux, mais on ne trouve pas, dans la famille, d'
affection
myopathique. L'enfant n'a jamais présenté de mouv
res qui le portent à mettre en doute la nature myopathique de cette
affection
. M. Pierre Marie rapproche ce cas de celui du j
le sont dans la myopathie surtout après une aussi courte durée de l'
affection
. Mais dans l'hypothèse de M. Marie, comment exp
age, un fils et une fille (Louise) ; elle est morte elle-même d'une
affection
Cancéreuse, et le père s'é- tant remarié a eu d
de vue de l'amplitude des contractions. Bien, que chez ce malade, l'
affection
soit plus ancienne que chez son frère, l'excita
e initiale d'infiltration fibreuse. Mais le caractère familial de l'
affection
, le début sans étiologie manifeste dans le jeun
similitude d'aspect qui a fait craindre à la mère une similitude d'
affection
et l'a déterminée il nous conduire ses deux fil
façon de voir paraît très arbitraire, car je ne vois pas pourquoi l'
affection
ne pourrait pas se limiter aux membres inférieu
dre qu'il ne s'agirait plus d'une myopathie pri- mitive, mais d'une
affection
organique ou potentielle du système nerveux, pa
e satisfaisante, il fallait attribuer la cause essentielle de cette
affection
à une lésion des muscles eux-mêmes. Mais la thé
'appareil moteur, et ne fait accepter qu'une seule explication de l'
affection
, d'après laquelle le tissu musculaire (ce qu'on
E LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX sun LES
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL ET DU SEGMENT INFÉRIE
dans le cours de mon enseigne- ment à la Salpêtrière, Il s'agit des
affections
qui intéressent la portion la plus inférieure d
end, en sus des manifestations qui composent la symptomatologie des
affections
du cône terminal : -. 1° Une paralysie motric
queue dn cheval. Voire que la queue de cheval comprend également L
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 83 la 1'" paire lombaire
de la- moelle (fig. 2). Cela dit, vous concevrez sans peine qu'une
affection
intéressant l'en- semble des racines de la queu
t venu à réserver, jus- qu'à un certain point, cette dénomination d'
affection
de la queue de cheval Fig. 1. Les lignes vertic
ignés sur ce qu'il faut entendre par ces mots : symptomatologie des
affections
du cône terminal. Symptomatologie des affection
ymptomatologie des affections du cône terminal. Symptomatologie des
affections
de la queue de cheval. Ces questions de termino
typhoïde; elle remonte à l'époque où le malade avait 18 ans. Son
affection
actuelle a eu une origine traumatique ; retenez b
dans l'étendue de ces membres (la sensibilité scrotale n'a pas été
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CUEVAL 85 explorée). L'inspectio
a distribution. Dès cette époque, nous avions porté le diagnostic d'
affection
de la queue de cheval. Dans la quinzaine qui a
un ensemble symptomatique des plus nets. En voici les éléments :
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 87 1" Une paraplégie motr
our la première fois le malade, j'avais diagnostiqué, chez lui, une
affection
de la queue de cheval. Ce diagnostic, je le mai
névraxe, dont émanent ces racines. Nous aurions donc affaire à une
affection
de la queue de cheval ou de la portion correspo
Sans contestation aucune. Pour vous en convaincre, il me suffira de
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 89 vous rappeler, dans se
9 vous rappeler, dans ses traits essentiels, la symptomatologie des
affections
de la queue de cheval, telle que j'ai été un de
anesthésie des testicules ne figure pas dans la symptomatologie des
affections
de la queue de cheval. d) Des troubles des réfl
ritoires cutanés tirant leur innervation sensitive du plexus sacré.
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 91 En thèse générale, le
... réalise, d'une façon complète, la symptomato- logie commune aux
affections
de la queue de cheval et aux affections de la p
mptomato- logie commune aux affections de la queue de cheval et aux
affections
de la portion correspondante de la moelle. J'
n correspondante de la moelle. J'ai dit symptomatologie commune aux
affections
de la queue de cheval et de la portion correspo
l faut aller plus loin. Il faut trancher la question de savoir si l'
affection
en cause implique seulement une lésion des raci
rrespond au foyer A. Donc, les deux Fig, 5. - (D'après SchulLze).
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 93 foyers A et B donneron
il, pour trancher la question de savoir si nous avons affaire à une
affection
médullaire, une affection de la portion de la moe
ion de savoir si nous avons affaire à une affection médullaire, une
affection
de la portion de la moelle, qui correspond au f
ion de la portion de la moelle, qui correspond au foyer A, ou à une
affection
extra-spinale, que nous qua- lifierons de radic
s aurons à tenir compte des circonstances du début. S'agit-il d'une
affection
survenue brusquement, à la suite d'un trauma- t
ilités seront en faveur d'une lésion médullaire, intra-spinale. Une
affection
qui intéresserait, à ce niveau, l'ensemble des
ière présomption en faveur du siège intra-spinal, nucléaire, de son
affection
. b) Inversement, les plus grandes chances sont
faveur de l'existence d'une lésion exclusivement radiculaire, d'une
affection
proprement dite de la queue de cheval, quand la
nte et progressive des accidents, parlent plutôt dans le sens d'une
affection
extra-spinale, ra- diculaire. e) Il y a lieu,
de douleurs spontanées ou provoquées ne se voit guère que dans les
affections
intra-spinales de la portion inférieure du névrax
quées par les mouvements, s'observent indifféremment dans les cas d'
affection
de la queue de cheval et dans ceux où les lésions
sciatique. C'est pourquoi je suis porté à croire que, chez lui, une
affection
nucléaire, primitivement cantonnée dans la port
toujours symp- tomatique d'une compression de la queue de cheval.
AFFECTIONS
DE L4 QUEUE DE CHEVAL 95 g) La disposition parf
r, dans un cas comme celui de notre malade, entre l'hypothèse d'une
affection
proprement dite de la queue de cheval et l'hypoth
crois pas, pour ma part. Donc, nous nous trouvons en présence d'une
affection
incurable et elle condamne le malade à une infirm
ltat complet de cet examen histologique sera publié ultérieurement.
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 97 Infection septique, ay
générale, les choses se passent tout autrement, dans les cas d'une
affection
proprement dite de la queue de'cheval,dans les ca
décubitus s'obser- - vent beaucoup plus rarement, dans le cours des
affections
névritiques,que dans les myélopalhies qui intér
ance grise cenlrale. D'autre part, les sujets atteints d'une simple
affection
de la queue de cheval sont rarement privés de l
ement des ulcérations de décubitus. , Enfin, dans certains cas, les
affections
de la queue de cheval sont jus- ticiables d'une
n. Il concerne un jeune homme chez lequel on avait diagnostiqué une
affection
de la queue de cheval, en rapport avec une tume
anglais Thorburn (1) était intervenu, et avec succès, dans un cas d'
affection
de la queue de cheval consécutive à une luxatio
ans les cas où, chez un malade qui réalise la symp- tomalologie des
affections
de la queue de cheval, toutes les présomptions
la plus inférieure ' 1 du névraxe. Traitement. Le traitement des
affections
de la portion inférieure du contenu du canal ra
nférieure du contenu du canal rachidien et en particulier celui des
affections
de la queue de cheval comportent des indication
auda equina ; removal, recovei-y. Médical Record, 6 janvier 1900.
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 99 ou une fracture de ver
écédents, toute une série de maladies : coqueluche, scarlatine, une
affection
cutanée prolongée, qui n'a pas laissé de cicatric
degré d'intensité et d'étendue. Il est aisé de se convaincre que l'
affection
connue jusque dans ces der- niers temps sous le
eure définition des tabes spasmodiques, montrer la multiplicité des
affections
réunies sous le même nom de « Maladie de Little »
eux chapitres, l'auteur considère surtout la valeur esthétique de l'
affection
, qu'il distingue cependant en congénitale ou ac
outefois faire intervenir l'élé- ment nerveux dans l'origine de ces
affections
. Erb et Charcot appellent « paralysie spinale s
aralysie spinale spastique » et « tabes dor- sal spasmodique », des
affections
caractérisées par des contractures dans les mem
our la faci- lité clinique, on avait fait de la maladiedeLittle une
affection
congénitale non héréditaire, avec naissance pré
tica cerebralis, tandis que les auteurs antérieurs en faisaient des
affections
médullaires. Actuelle- ment, le faisceau pyrami
érébrale et tendance à la guérison spontanée et progressive». Cette
affection
serait due au manque de développement du faisceau
sous un terme moins général que « Syndrome de Little » les diverses
affections
qui s'y rapportent. BIBLIOGRAPHIE 1. Brissaud
beaucoup de cas. Le groupe Duchenne-Erb est parfois lésé dans cette
affection
, la distribution de l'atrophie est la même que
dela3e frontale,et qui depar sa nature et l'évolution clinique de l'
affection
, parait s'être développée assez rapidement, n'a
au point de vue de la symptomatologie, qui a pu faire penser à une
affection
bulbaire. Comme on l'a vu, les lésions sont con
es de la déglutition, on fait songer pendant un certain temps à une
affection
basi- laire ; or l'examen histologique nous a m
cas, il ne présente pas actuelle- ment de traces visibles de cette
affection
. Un examen clinique minutieux ne revèle mainten
rès anciennement et elle témoigne de l'ex- trême fréquence de cette
affection
chez les Hollandais d'il y a un ou deux siècles
ntreprises, qui ont élargi le domaine analomo-pathologique de cette
affection
. Déjà Bour- don et Luys (1861) avaient attiré l
de la fibre nerveuse, ou d'une altération secondaire due soit à une
affection
du centre LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRE
tion des deux extrémités du neurone sensitif, voit dans le tabesune
affection
systématisée du protoneurone centripète ; et da
e chose qu'un syndrome assez banal, pouvant se présenter au cours d'
affections
mentales très différentes les unes des autres (1)
déjà tenté d'établir une distinction entre l'état catatonique et l'
affection
dite catato- nie (2). C'est dans la négligenc
sion et poser la question de l'existence de la catatonie en tant qu'
affection
mentale autonome. C'est à Kroepelin que nous se
catatonie ne sont que de simples variétés symptomatiques d'une même
affection
mentale, la démence précoce. La manière de voir d
la stéréotypie. Que le syndrome catatonique puisse exister dans des
affections
mentales diverses : mélancolie, folie circulair
ession dans leur voisinage. Quant à la nature de cette singulière
affection
, elle reste encore bien obscure ; les notables
l'ostéite raré- fiante, des exostoses ont été signalées dans cette
affection
: Déjerine, sur un de ses malades de Bicêtre, a
priori, une origine nerveuse ; en d'autres termes, selon moi, cette
affection
serait liée à un trouble trophi- que consécutif
japonais a une crédulité exagérée il possède également une certaine
affection
pour le saké (eau-de-vie de riz). Le kiyôghen qui
réquence des déviations de la colonne vertébrale, au cours de cette
affection
. Nulle part, dans les traités anciens, comme da
rale dont elle est atteinte,- ait augmenté depuis le dé- but de son
affection
. Dans les onze autres cas, les malades présentent
ces déviations. L'examen clinique ne permet pas de soup- çonner une
affection
osseuse de la colonne vertébrale : des radiograph
u dernier Congrès de Toulouse (1), deux malades atteints d'une même
affection
qui se rapproche des maladies héréditaires par
eich et l'hérédo-ataxie cérébelleuse. Comme dans ces deux dernières
affections
, l'intégrité de la force muscu- laire contraste
mène capital, dans toute l'acception du terme qui caractérise cette
affection
, si bien que nous serions tenté de la désigner
plégie spasmo- dique familiale, et chez un homme présentant la même
affection
. « Il nous a paru intéressant, disent ces auteu
grand-père, il n'y a jamais eu, dans la famille, de tics, ni autres
affections
nerveuses. Antécédents personnels.- Né à terme,
er les liens de parenté qui unissent nos deux malades à un groupe d'
affections
« hérédo-ataxie, maladie de Friedreich héréditair
s mouvements du bras. La seule différence,c'estque, dans ces deux
affections
, y a de l'incoor- dination fonctionnelle et, ch
ême, et l'on peut dire des deux, avec M. Brissaud (1) : « c'est une
affection
qui n'est pas mortelle, et qui n'est, au total,
r du caractère familial, qui d'ailleurs n'est pas constant dans les
affections
de ce nom. La coexistence de la paraplégie spas
e des écrivains, les spasmes dits fonc- tionnels dans le groupe des
affections
héréditaires, et à les rattacher, comme ces der
'hérédité nerveuse est le fond commun sur lequel germent toutes les
affections
nerveuses, tant psychiques qu'anatomiques. « C'
anatomiques. « C'est, dit M. Raymond, l'aptitude à faire éclore des
affections
ner- veuses,conférée à un organisme vicié dans
028. . LE SYNDROME DU TORTICOLIS SPASMODIQUE 409 Mais,de ce que l'
affection
nerveuse ne correspond pas encore à une al té-
M. Raymond admet donc la relation possible des myoclonies avec les
affections
organiques du système nerveux. Ajoutons que pou
organiques du système nerveux. Ajoutons que pour cette catégorie d'
affections
le caractère héréditaire et familial a été démo
de Friedreich, et c'est le cervelet dans l'hérédo- atoxie, ces deux
affections
présentent cependant la plus grande ressem- bla
assary (1) l'a retrouvée chez des individus non tabétiques, morts d'
affections
diverses (fièvre typhoïde, tuberculose pulmonaire
cavité sous-arachnoïdienne. Le tabes nous apparaît donc comme une
affection
beaucoup plus com- plexe qu'on ne l'admet ordin
ans ; un frère de la malade âgé de 48 ans était atteint de la même
affection
avec une localisation iden- tique. D'après la d
travail de Tooth, on constate qu'aucun des 3 cas dans les- quels l'
affection
a été limitée aux membres inférieurs n'est famili
r grand'mère àgée de qlta- tre-vingts ans était atteinte de la même
affection
; ses membres supérieurs n'avaient jamais prése
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE SUR LES
AFFECTIONS
z'" DE LA QUEUE DE CHEVAL ET DU SEGMENT INF
n présence de la sym- ptomatologie qu'on est convenu d'assigner aux
affections
de la queue de cheval. Vous vous rappelez peut-
us sacré et sacro- coxygien. Or on applique couramment les termes d'
affection
de la q1e1te de cheval à des cas pathologiques
érieurs, lundis qu'on a pris l'habitude de réserver le diagnostic d'
affection
de la queue de cheval aux cas où, aux membres i
ns un cas la lésion intéresse un certain groupe de centres spinaux (
affection
nucléaire), et dans l'autre, les seules racines d
de la queue du cheval qui tirent leur origine de ces mêmes centres (
affection
radiculaire). J'ai insisté sur l'importance qu'
une affec- tion nucléaire de la portion inférieure du névraxe d'une
affection
radi- culaire limitée à un certain nombre de ra
à propos d'un malade chez lequel j'ai été amené à diagnostiquer une
affection
nucléaire de la partie inférieure du névraxe rach
malade qui, elle, esl atteinte, selon toutes probabili- tés, d'une
affection
radiculaire de la queue de cheval, ces mots étant
elles la malade se mettait à pousser des cris. Je note expressément
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 475 qu'elle n'avait subi
lontaires, on retire de sa vessie jusqu'à 4 et 500 grammes d'urine.
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 477 11 est à noter que le
e j'ai tracée, dans une précédente leçon, de la symptomatologie des
affections
de la queue de cheval, ont dû se dire déjà que ce
que cette fois nous avons affaire, selon toutes probabilités, à une
affection
des racines qui composent la queue de cheval, e
ffection des racines qui composent la queue de cheval, et non à une
affection
du segment médullaire qui donne naissance à ces
le d'une amyotrophie qui, elle également, a progressé avec lenteur,
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 479 et qui est restée dif
é chez notre malade. Je conclus, en définitive, à l'existence d'une
affection
radiculaire de la queue de cheval, et pour que
, celle qui donne naissance aux plexus sacré et sacro-coccygien :
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 481 482 RAYMOND " affec
-coccygien : AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 481 482 RAYMOND "
affection
radiculaire de la queue de cheval, qu'il s'agit t
che; les mouvements qu'il exécute ainsi sont empreints d'une grande
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 483 faiblesse. Il lui est
une bande dont la largeur va en diminuant, de -haut en bas.1 .. ,
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 485 L'anesthésie se retro
Messieurs, après ce que je vous ai dit, de la symptoma- tologie des
affections
de la queue de cheval, vous ne doutez pas, je sup
ez pas, je suppose, que nous n'ayons affaire, chez cet homme, à une
affection
de pareil siège. Nous sommes de nouveau en prés
place à des douleurs assez vives ; cela se voit couramment dans les
affections
névritiques. Le malade a eu, à titre purement t
vrite radiculaire. Aussi bien, je crois que, chez R..., c'est cetle
affection
qui est en cause. Rappelez-vous que cet homme e
ma- lade ? Je ne le crois pas, Messieurs, et voici mes raisons :
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 487 Dans un cas de névrit
édent. A première vue il peut sembler que dans les deux cas la même
affection
soit en cause. Or je compte vous convaincre que
ns. Puis, après un séjour à l'hôpital Boucicaut, B... est venu nous
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 489 consulter à la Salpêt
fin, il n'est pas jusqu'à la marche des accidents, qui ne plaide en
AFFECTIONS
DE LA QUEUE DE CHEVAL 491 faveur de l'hypothèse
ord quelques déduc- tions relativement au mode de développement des
affections
syphilitiques du système nerveux, puis nous che
s. Elle aurait eu yv v 34 522 LANNOIS et paviot un frère mort d'
affection
inconnue. Une soeur s'est mariée ; elle a eu une
e de 33 ans, atteinte d'acromégalie à forme géante, chez laquelle l'
affection
avait débuté à 25 ans, la main était plus longu
rès avoir décrit les hypertrophies localisées caractéristiques de l'
affection
, Woods Hutchinson s'exprime ainsi au sujet des mo
taille moyenne dans beaucoup de cas, et spécialement dans ceux où l'
affection
s'est montrée à un âge relativement peu avancé.
Freund, qui en fait le principal facteur étiologique et considère l'
affection
comme due à un arrêt de développement sexuel. M
Il est commun de trouver que la menstruation a cessé au début de l'
affection
. Dans la forme géante de l'acromégalie, comme d
ient leur .stalure la plus imposante, et avant que les progrès de l'
affection
aient amoindri leur taille en épaississant leur c
9. Queue de cheval et du segment inférieur de la moelle (sur les -
affections
de la) (5 fig.), par F. Bnxxoao), 81, 473. Se
et (1 fig. 2 pl. en photocollogr.), 512. RAYMOND (P. F.). Sur les
affections
de la queue de cheval et du segment inférieur
x mémoires bien connus, James Paget (1) eut donné droit de cité à l'
affection
osseuse qui porte aujourd'hui son nom, et que H
damental de Lancereaux(4) (1883). L'ostéite déformante est donc une
affection
relativement rare. Mais ce n'est pas seulement
eau symptôme aidera peut-être à mieux comprendre la pathogénie de l'
affection
. (1) James PAGEOT. On a forme of chi-onic infla
de Neurologie de Paris (1) une malade âgée de 56 ans atteinte de l'
affection
il en question. Le début remontait à onze ans ;
malaises thoraciques. La malade venait nous trouver, moins pour son
affection
osseuse, que pour des palpitations qui lui empê
cas, qui permettra peut-être de différencier la maladie de Paget d'
affections
os- seuses analogues (ostéomalacie, syphilis, e
n avant, la malade se voûta et s'ankylosa dans cette posi- tion ; l'
affection
évolua lentement et progressivement, s'accompagna
; la malade, nous l'avons dit, ren- seigne mal sur le début de son
affection
, et sa fille nous a été utile pour le pré- cise
n'a jamais éprouvé le moindre symptôme morbide jusqu'au début de l'
affection
actuelle ; rien dans son histoire ne peut faire s
se pose au sujet de notre malade . quelle est la pathogénie de son
affection
? C'est malheureusement là un point difficile à
ous ne saurions le faire, mais nous voulons montrer que si ces deux
affections
se ressemblent beaucoup par certains points, qu
abadie-Lagrave [cité en thèse Fréchou (4)], a arrêté la marche de l'
affection
dans un cas de Lannelongue. Mais dans toutes ce
les maladies de Paget ne sont pas d'origine syphilitique, que celle
affection
n'est pas « parasyphilitique » (Fournier). Une pr
icité. Pour être pagétique, on n'en est pas moins voué à toutes les
affections
possibles du fond de l'oeil. Enfin, on a décrit
c. cit. NOUVELLLE Iconographie de la Salpêtrière T. XXII. PI. V
AFFECTIONS
DYSTROPHIANTES DES OS 1 (A. Léri el G. Legros).
aire. NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊRRIÈRIR. T. XXII. Pl. VI
AFFECTIONS
DYSTROPHIANTES DES OS (A. Léri et G. Legros).
, d'ostéomalacie. C. - Un tibia et un péroné de maladie de Paget.
AFFECTIONS
DYSTROPHIANTES DES OS (A. Léri ci G. Legros) .
s) . Nouvellle Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. VIII
AFFECTIONS
DYSTROPHIANTES DES OS 1 (A. Léri G. Legros). J
ours du rhumatisme chronique. On sait en effet qu'au cours de cette
affection
certains symp- tômes ont pu être notés, qui, in
Cousin, De quelques symptômes communs au rhumatisme chronique el aux
affections
nerveuses. Thèse de Paris, 1890. (3) Cités pa
artérielle » de la maladie osseuse de Paget explique bien comment l'
affection
peut rester localisée à un os (Thibierge, Lance-
ans une même famille. Hypothèse nouvelle sur la pathogénie de cette
affection
. Nouv. leonogr. de la Salpêtrière, 1905, mars-a
la suite d'un second traumatisme son tibia droit s'incurva ; puis l'
affection
envahit le fémur gauche, et la clavicule droite
5 NOVEMBRE 1908. ÉTUDE RADIOGRAPHIQUE COMPARATIVE - DE QUELQUES
AFFECTIONS
DYSTROPHIANTES DES OS (MALADIE DE PAGET, SYPHIL
ns signa- ler aujourd'hui ceux que nous a fournis l'étude de quatre
affections
osseuses dystrophiantes qui présentent entre el
raphie nous a montré que ces processus prennent en fait suivant les
affections
considérées des orienta- tions nettement distin
donnent aux os atteints des aspects absolument différenciés. Une
affection
qui nous a donné des lésions très curieuses et de
est la maladie de Pagel. L'examen d'os atteints de ma- DE QUELQUES
AFFECTIONS
DYSTROPHIANTES DES OS 25 laclie de Paget montre
tains aspects tout à fait typiques une différenciation des diverses
affections
osseuses préci- tées, différenciation qui assur
» sur le corps. Elle soupçonne son mari de lui avoir communiqué une
affection
vénérienne. Elle n'a suivi aucun trai- tement.
grossesse depuis cette époque. La malade n'estjpas alcoolique. L'
affection
, pour laquelle la malade vient à l'hôpital, sembl
soulevait de terre et chargait sur son épaule gauche. Début de l'
affection
. Il y a deux ans et demi, c'était en mars 1906,
t faire dans ce cas ? 2 Au premier abord, en songeant au début de l'
affection
, on serait porté à croire qu'il s'agit d'une lé
générescence accentué. Or à l'époque de notre examen, le début de l'
affection
remontant à 20 mois en arrière, les trou- bles
, tandis que chez notre malade nous nous trouvons en présence d'une
affection
systématique et progressive. Dans toute la litt
ilà autant de symptô- mes qui cadrent bien avec le diagnostic d'une
affection
myélopathique. Parmi ces dernières on pourrait
cas il faut étudier avant tout le moment étiologique, le début de l'
affection
et son évolution, nous étudierons ensuite la sémé
le transport de très lourds sacs de blé ou de farine. Le débat de l'
affection
chez notre malade demeure toujours exception- n
en essayant de mettre un peu d'ordre dans la classification de ces
affections
souvent fort différentes les unes des autres, d
rs résultats, abandonne son malade à lui-même en lui disant que son
affection
est incurable ; il nous a donc paru utile de gr
r, malade et médecin doivent unir leurs efforts pour triompher de l'
affection
et obtenir, dans bien des cas, la guérison f 1).
crampe des écrivains est la plus commune et la mieux connue de ces
affections
. C'est elle qui, la première, semble avoir attiré
les : « J'appelle spasmes et impotences fonctionnelles, dit-il, des
affections
caractéri- sées, soit par des contractures cont
anatomique quelconque ». Aussi Gallard propose-t-il de donner à ces
affections
le nom d'impotences fonctionnelles. Mais ce mot
parait être celui qui s'appliquerait avec le plus de justesse à ces
affections
si différentes les unes des autres. Toutefois, ce
tremblements : car le désordre du mouvement, qu'on observe dans ces
affections
, résulte principalement de secousses convul- si
armes ; tous ont une émoti- vité extrême ; tous se frappent de leur
affection
, et, sous l'influence de cette idée fixe, augme
atteint de crampe des écrivains, avait un oncle atteint de la même
affection
; un malade de Cassirer, pianiste, souffrant d'
es professionnelles, il semble bien qu'on puisse classer toutes ces
affections
- que leur origine soit périphéri- que ou centr
aissances, affirmer la nalure anatomique ou purement psychique de l'
affection
. ' La distinction de deux groupes de crampes pr
onctionnels augmentèrent d'intensité. M. B... très inquiet de cette
affection
qui le gênait dans sa profession, souffrant de pl
leurs, M. B..., robuste, bien constitué, ne présentait aucune autre
affection
, et tous ses autres organes paraissaient normau
compressions nerveuses. Mais ce qui différencie essentiellement ces
affections
d'origine névriti- que des crampes professionne
mènes viennent à l'appui de l'origine ou cor- ticale ou mentale des
affections
qui nous occupent. Nous allons donc passer en r
a toujours joui d'ailleurs d'une excellente santé ; il n'a pas eu d'
affection
sérieuse, sauf des palpitations de coeur à la m
lade faisait d'efforts pour s'en débarrasser, plus il pensait à son
affection
, plus la crampe était tenace et angoissante. Si
res objectifs sont faciles à recon- naître par l'examen visuel, les
affections
meniales sont rarement justicia- bles de ce pro
l'historique, à l'anatomie pathologique et à la pathogénie de cette
affection
, qu'il nous semble tout à fait superflu de traite
issances sur le substratum anatomo-pathologique de cette singulière
affection
. Luigi Lusti, âgé de 25 ans, de Vallombrosa (To
t-être est-elle même un fait d'ordre général et constant dans cette
affection
; mais je ne peux l'affirmer car je ne ne suis
nt entre achondroplasie et acromégatogigantisme ; c'est-à-dire deux
affections
qui, selon certains au- teurs, auraient des ana
x au- tres enfants étaient normaux. L'achondroplasie est donc une
affection
à caractère assez souvent héré- ditaire et fami
- ractéristiques de l'achondroplasie. L'étude histologique de cette
affection
, en éclaircissant sa pathogénie, nous permet au
ement dans la classe des infections,l'étiologie pre- mière de cette
affection
, et cette hypothèse serait confirmée par la pré-
ie doive être, avec une relative probabilité, interprétée comme une
affection
secondaire à une hérédo-intoxication venant de
raient être les agents étiologi- ques primitifs de cette singulière
affection
et comme ces mêmes agents sont le plus souvent
que le caractère congénital est inséparable du diagnostic de cette
affection
, mais aussi parce que les symptômes cliniques d
courante sont exécutés sans aucune gêne. Il n'existe aucun signe d'
affection
périphérique. M. Mal... a appris à écrire de la m
nombre de preuves, on est amené tout naturellement à rapprocher ces
affections
d'autres maladies dont l'origine mentale est bi
en peine pour la moindre des choses ; il se frappe vivement de son
affection
. Cette influence des intoxications sur la déter
toire (Cazenave), bégaiement des muscles de la main (Debout), celte
affection
« consiste dans l'impossibilité d'écrire, par s
t et exécuter quelques dessins. Inquiet devoir les progrès de cette
affection
qui l'empêchait de remplir ses fonctions,M. Pet..
idées de persécution. Ses nuits sont agitées depuis le début de son
affection
, à laquelle il pense sans cesse. On peut élim
te aucun signe. Il n'est pas là non plus question d'hystérie, car l'
affection
résiste à la suggestion, et à l'hypnotisme. On
plus sévère pour toutes les crampes des écrivains, et regardent ces
affections
comme presque toujours incurables. C'est là un
sque toujours incurables. C'est là un pronostic trop grave pour une
affection
qui, prise à ses débuts, est au contraire assez s
is obtenue peut se maintenir définitivement. Le diagnostic de ces
affections
est en général facile ; le plus souvent les mal
, pourra toujours montrer les si- gnes cardinaux de ces différentes
affections
, et permettra d'éviter une erreur. Toulefois il
n d'intervenir dans ce cas pour indiquer la nature épileptique de l'
affection
, qui se distinguait de la crampe des écrivains
éité de ces crampes montre bien l'étroite parenté qui unit ces deux
affections
. Meige (234) a-de même tout récemment observé un
ture par l'autre, assombrit singulièrement le pronostic de ces deux
affections
. Crampe des télégraphistes. La manipulation d
eiss (153), puis par Oppenheim sous le nom de Kei- rospasmus, cette
affection
consiste en une crampe de la main et des mus- c
tre personne. Régis a vu trois autres coiffeurs atteints de la même
affection
, dont deux frères qui se contagionnèrent l'un l'a
out les premières danseuses, les « étoiles Il, qui présentent cette
affection
. Pour exécuter des pointes, XXII 15 222 MACÉ
ue tiop éloi- gnée de lui et mal éclairée. Tranjen a décrit la même
affection
chez des habitants des montagnes (Nystagmus der
boulique, un psychopathe avéré ; s'il se frappe outre mesure de son
affection
qui devient ainsi obsédante ; s'il se persuade d'
ns, issu d'une famille dont plusieurs membres sont tubercu- leux. L'
affection
débute à 4 ans par les membres inférieurs. Actuel
exes ne peuvent être obtenus. 6° Dar..., 21 ans. Début précoce de l'
affection
. L'enfant marche tard, vers 6 ans seulement; ju
dans la famille 14 frères ou soeurs; sept d'entre eux sont morts d'
affections
aigués ou d'accidents, les six autres ont eu de
e sur elles. Nous l'examinons 9 années et demie après le début de l'
affection
. Aspect général du malade au repos. Le malade,
st entrée dans un cadre nosographique nettement distinct des autres
affections
du système osseux et dans ces dernières années
caractères propres qui permettent de la dia- gnostiquer, même si l'
affection
n'est pas arrivée à ses dernières limites. L'ob
ntracture de Dupuytren, pensent que dans leurs cas, à la suite de l'
affection
spinale (syringomyélie), il se fit une solution
e trophoedème furentpubliés, et actuellement on considère que cette
affection
peut être congénitale ou acquise dans l'enfance
8), Testi (9). Jousset (10)] ; enfin, suivant le mode évolutif de l'
affection
, on dit que le trophoe- dème est progressif ou
hoedème de Meige sont les formes les plus tranchées. Entre ces deux
affections
, il existe toute une série de formes intermédia
tre les lipomes, l'adipose douloureuse, l'adéno-lipo- matose et les
affections
ou productions similaires. Il Morgagni, nOS 8 et
Oppenheim, Lévi) et elles peuvent coexister avec différentes autres
affections
fonctionnelles et organiques du système nerveux,
présente souvent, est un excité, qui se frappe outre mesure de son
affection
. Puisque le repos seul est insuffisant à assure
anoeuvres massothérapiques destinées à combattre les symptômes de l'
affection
traitée ». Ainsi Kouindjy a posé comme règle gé
parler de la crampe des écrivains qu'on lui a représentée comme une
affection
incurable. Or, tout son avenir est orienté vers
pique, se préoccupant de façon exagérée des consé- quences de cette
affection
anodine, suivant avec une crainte scrupuleuse,
a conquis bien vite le premier rang dans le traitement de certaines
affections
nerveuses. Les moyens sont infiniment variés, v
lao-motrice. CONCLUSIONS I. Les crampes professionnelles sont des
affections
, caractérisées soit par des convulsions tonique
t cet acte habituel. IL Le mot de crampes par lequel on désigne ces
affections
est en réalité inexact. Les expressions similai
certains écrivains, les névralgies et les paralysies d'occupation,
affections
provoquées par l'exercice d'une profession, mais
r les névralgies et paralysies d'occupation, de même que toutes les
affections
organiques, qui se tra- duiraient d'ailleurs pa
L. - D. mil. Ztschr., 1895, h. 6. 103. NOIlSTIIOM, - A sludy of the
affection
writer's cramp.N. Y. med. j., 1904, p. 491, 104
cot. Th. de Paris, 1908. 240 bis. PoonE. Electricity in spasmodie
affections
and Writer's cramp. The Lancet, 23 janvier 1875
s, infectieuses ou autres, par la marche progressive et fatale de l'
affection
. Mme Miclielon, veuve Aubert, domestique, née à
ismales ; son frère est en excellent état, sa soeur est morte d'une
affection
qu'elle ne peut pré- ciser. Histoire de la ma
s nerfs crâniens, y compris ceux de la 2e paire. Plus fréquemment l'
affection
se localise aux membres supé- rieurs ou inférie
symptomatique ? L'hésitation n'était guère possible qu'entre trois
affections
: la myélite, la poliomyélite ou la polynévrite
de paraplégie flasque est d'autant plus difficile que cette dernière
affection
peut également être accompagnée d'amyotrophie.
nt plus fréquentes, plus profondes et plus étendues qu'au cours des
affections
polynèvritiques. Or, dans notre cas, les troubl
rs permettraient de faire le diagnostic de polynévrite. . Enfin l'
affection
de notre malade pouvait se distinguer de la polio
Ces lésions ne peuvent pas être considérées comme spécifiques de l'
affection
polynévritique, mais se rapportent vraisemblabl
rapportent vraisemblablement aux lésions banales résultant de toute
affection
grave. Les cellules capsulaires entourant les c
inflammatoires intenses dont le nerf a a été le siège au début de l'
affection
. Les seconds sont les noyaux provenant des anci
La survie de la malade nous a fait constater non pas l'état aigu de l'
affection
, mais une des phases de la guérison. A un point
une partie de la symp- tomatologie et de l'évolution clinique de l'
affection
. Malheureusement, à notre connaissance, il n'ex
es formes de névrites telles que la névrite segmentaire juvénile. L'
affection
frappe ici les cellules satellites du neurone, ta
ganglions rachidiens ne sont guère altérés. La guérison de cette
affection
se fait par un mécanisme analogue à la réparati
issances des trou- bles respiratoires qui sont la conséquence d'une
affection
de la moelle et du bulbe. En outre, mes obser
amené trop rapidement la mort pour que le tableau clinique de cette
affection
ait pu se développer. » Ces citations nous mont
pouvons le plus facilement nous faire une idée sur l'intensité de l'
affection
de la moelle. Comme on l'a déjà dit, les cas qu
symptômes méningitiques. En conséquence, il est bien évident que l'
affection
des méninges en ce cas constitue à plusieurs égar
produisent des troubles per- sistants qui sont la conséquence de l'
affection
des nerfs crâniens ou de leurs noyaux, , Par
cas avec le tableau clinique d'une tumeur cérébrale causée par une
affection
tuberculeuse où les symptômes de la ma- ladie s
thénie et d'autre part qu'on peut l'observer dans un grand nombre d'
affections
. En ce qui concerne le résultat de l'autopsie,
tériel, comblant ainsi une lacune absolue de la pathologie de cette
affection
. Résumé clinique (PI. XLIX et L). Gigantisme
rtionnés au reste du corps. Notre géant ne présente non plus aucune
affection
bien déterminée des organes de la vie végétativ
ons plus tard que, selon la très grande majorité des auteurs, cette
affection
doit être mise en corrélation avec la lésion d'
il n'y a entre ces deux processus que la différence qui sépare une
affection
aiguë d'une affection chronique. A la lueur de
ux processus que la différence qui sépare une affection aiguë d'une
affection
chronique. A la lueur de cette notion infectieu
i : le naevus lié à une altération vasculaire et le nævus lié à une
affection
du système nerveux. Celle dernière variété se r
ques. Arch. de Neurologie, 1883. 476 KLIPPEL ET PILRIIE-AVEIL des
affections
du système nerveux périphérique ou central, faits
t le nmvus-névrite rappelle par ses analogies cli- niques une autre
affection
à point de départ nerveux et à manifestations c
ais cela en somme ne doit pas surprendre si on pense que le naevus,
affection
congénitale, tra- duit, dans sa forme radiculo-
len- tement, pendant des années. On cite parmi les causes de cette
affection
, le traumatisme, l'hérédité, une prédisposition
n entrée à l'hôpital parlent en faveur de l'origine nerveuse de son
affection
. Si nous admettions chez notre malade une infla
lysie générale progressive. Dans le premier cas, il s'agirait d'une
affection
locale en rapport avec les lésions gommeuses des
à propos d'une ancienne syphilitique et rhumatisante atteinte d'une
affection
mentale. Schaikevilch a supposé une sclérose di
s les symptômes observés chez noire malade par l'existence de celte
affection
. Il faut donc chercher d'autres causes détermin
t peut-être un état rhumatisant des muscles dorsaux. En tout cas, l'
affection
a eu au début une évolution aiguë : le malade pri
oyons que ces dernières représentent les points extrêmes d'une même
affection
. Il est indiscutable que des études anatomo-pat
rimé l'idée que ces deux formes ne sont que des variétés d'une même
affection
, mais Bechterew et Marie insistent sur l'indivi
culier de formes analogues, qui pourraient constituer une variété d'
affections
tabé- tiques, est chose possible à cause des no
non douloureuse et une forme douloureuse. Si la longue durée de l'
affection
(15 années) avec un bien-être général relatif,
psies cinq néoplasies malignes, pensa à une relation entre ces deux
affections
; mais une telle coïncidence étant devenue beau
contre une forme tubercu- leuse, tandis que la durée prolongée de l'
affection
et le fait que le malade avait constaté des amé
nsante à la fois ; cela ne nous peut rien dire sur l'étiologie de l'
affection
. D'après Lévi et Legros le résultat radiographi
QUE, PAR H. NOUET et L. TREPSAT. La démence précoce est une des
affections
mentales où les troubles physiques sont les plu
degré de déséquilibre mental. Il eut durant son existence plusieurs
affections
graves : des fièvres paludéennes contractées en
uche à 2 ans 1/2 et des épistaxis qui accompagnèrent cette première
affection
. Br... fréquente l'école, s'y montre, un élève
une paralysie aiguë et presque complète de la respiration due à une
affection
spinale (pas bulbaire), le fait que la conscience
xiste des formes de paralysie de la respiralion se rapportant à une
affection
du bulbe autre que la forme décrite ci-dessus,
r principe pour le traitement des parésies considérables dues à une
affection
du neurone pél iphérique a été, autant que je le
amené trop rapidement la mort pour que le tableau clinique de cette
affection
ait pu se développer ». Pour ma part, je ne dou
du diabète. On a beaucoup discuté sur l'origine de cette der- nière
affection
, mais on ne peut nier que souvent son origine est
alisation. Nous savons que le gigantisme et l'acromégalie sont deux
affections
dont la pathogénie est probablement liée à la f
s en général le sont bien plus en rapport à notre cas, car dans les
affections
qui nous intéressent, on a remarqué non seule-
que l'examen clinique nous a appris sur l'unicité possible des deux
affections
constituent un ensemble de preuves tout à fait
tance du canal crânio-pharyngien est un fait fréquent dans ces deux
affections
. Si les résultats de cette révision portent à l
ent, mais aussi en faveur de la pathogénie hypophysaire de ces deux
affections
. CONTRIBUTION A LA CONNAISSANCE DU GIGANTISME 5
UTION A LA CONNAISSANCE DU GIGANTISME 583 La pathogénie de ces deux
affections
a élé largement discutée dans de nombreux mémoi
sme, car nous sommes convaincus de l'identité d'origine de ces deux
affections
; la théorie uniciste soutenue par MM. Brissaud
hanges organiques peu- vent influencer le développement de ces deux
affections
. Bibliographie La bibliographie est limitée a
de longues années loin de lui. Elle atteste de la part de S... une
affection
filiale qu'un éloignement de plusieurs années n
ises du petit cerveau et de l'axe cérébro-spinal. Aussi l'étude des
affections
systématisées du cervelet est-elle du plus haut
pinal d'une part et les noyaux cérébelleux d'autre part. - De ces
affections
qui aboutissent à la dégénération d'un ou de plus
ous avons été ainsi conduits à pro- poser une classification de ces
affections
. `OBSERVATION (PI. LXIII à LXVIfI). Il s'agit
tions proposées jusqu'ici pour les atrophies du cervelet. Parmi les
affections
du cervelet, tumeurs, kystes, abcès ou inflamma-
us récemment M. G. Holmes a proposé une nouvelle classification des
affections
du cervelet (1). Il en distingue six classes :
poque de leur développement ; de plus les atrophies secondaires aux
affections
du cerveau ou de la moelle ne trouvent pas plac
tumeurs encéphaliques. Observation. I. - EVOLUTION clinique DE l'
affection
. Examen fait au début de l'année 1907. Albert D
paternels : vivants, bien portants. Grand'mère maternelle : morte d'
affection
inconnue. Grand-père maternel : bien portant.
t morbide, ne fit aucune chute grave, ne subit aucun traumatisme.
Affection
actuelle. - Les parents ne peuvent préciser très
ts ne peuvent préciser très exactement l'ori- gine et le début de l'
affection
. D'après le père, l'enfant, très gros, aux jambes
existence de symptômes nouveaux dénotant les progrès rapi- des de l'
affection
. . Au repos la fente oculaire gauche est un peu
véla aucune lésion du fond de l'eeil. Pen- dant toute la durée de l'
affection
on ne put jamais observer de papille de stase.
succomba au progrès des lésions bni- baires, sans avoir présenté d'
affection
intercurrente. La durée totale de l'affection p
sans avoir présenté d'affection intercurrente. La durée totale de l'
affection
peut être approximativement évaluée il trois an
mence à engraisser en même temps que sa maladie fait des progrès. L'
affection
(maux de tôle, diminution de la vue, etc.) et l
du café. Il y a deux ans environ, no- tre patient fut atteint d'une
affection
broncho-pulmouaire,dont le diagnostic fut bronc
pontanément : existe t-il un lien entre cette nouvelle maladie et l'
affection
dont le patient a souffert dans son enfance ? C
observations comme des raisons de conclure à une analogie des deux
affections
. A cet égard, il est très remarquable que Wickm
a encore une raison qu'on a citée en faveur de l'analogie des deux
affections
; c'est le fait qu'on a quelquefois observé que l
t qu'il était « possible » qu'il eût existé une paralysie due à une
affection
cérébrale (qui avait d'ailleurs disparu). Cependa
Lasègue a été regardé comme un signe presque sûr qu'il s'agit d'une
affection
des nerfs périphériques, mais cette conception
n à l'étude du cytodiagnoslic du liquide cdphalo-rachidren dans les
affections
nerveuses, Bull, et mém. de la Soc. méd. 1901,
ès avancé. On ne peut découvrir dans les antécédents héréditaires d'
affections
mentales, ni nerveuses. Th. W... fut dans son e
' Dystropltiantes [Elude radiographiqub com- parattve de quelques
affections
- des os) (4 1'1.), par LEGROS et Léri, 24. ,
ar Zosin. 114. Os (Etude radiographique comparative de quelques
affections
dystrophianles des ), (4 pi.), par Legros et Lé
t PmIlIlE-WEIL,413, Radiographique (Etude comparative de quelques
affections
dystrophiantes des os) (4 pl ), par Legros et L
- flexes, 693. Legros et Léri. Etude radiographique de quelques
affections
dystrophiantes des os (maladie de Paget, syphil
5. Léri et Legros. Etude radiographique com- parative de quelques
affections
dystro- phiantes des os (maladie de Paget, sy-
XXXVII. Dupuytren (Maladie de ) (ItouDNE\v),XXXV. Dystrophiantes (
Affections
des os) (A. Léri et G. L>GROS), V à VI II.
s. Non seule- ment, dans les quelques lignes qu'il consacre à cette
affection
, il qualifie les mouvements des tiqueux de « co
s symptômes que l'on croyait les mieux propres à différencier telle
affection
trouvent leur sosie dans telle autre. Les quatr
ularité sur l'étiologie, la symptomato- logie ou le diagnostic de l'
affection
. Groupés ensemble, ils donnent, croyons-nous, u
ctère doux, mais très méfiant. ' Début de la maladie. Le début de l'
affection
remonte à l'âge de quatre ans, à la suite d'une
On y retrouve tous les caractères nosographiques assignés à cette
affection
. Certains points, cependant, méritent de nous a
ntre, pas le moindre rhumatisant. Quant au début et à la durée de l'
affection
, il y a lieu de faire observer que la maladie n
Ici, cette hypothèse a pour elle la nature du terrain sur lequel l'
affection
s'est développée. Chez la malade, en effet, l'h
J... rentrent dans le cadre nosographique qui a été tracé de cette
affection
. Quelques-uns cependant manquent au tableau; ma
rsque les symptômes observés ne concordent avec ceux d'aucune autre
affection
. D'ailleurs, les caractères qui font défaut son
Gilles de la Tourette et G. Guinon, peut être définie de la sorte :
affection
héréditaire, produit de la vésanie, très tenace
nts; elle est affirmée par l'asymétrie de la face. La ténacité de l'
affection
est mise en évidence par la longue période écou
s circonstances qui ont précédé leur manifestation témoignent que l'
affection
est survenue dans le jeune âge, à la suite d'un
ient pas encore pris rang au nombre des tares dont se réclament les
affections
neuropathiques. Ainsi, dans le cas actuel, pour
cence des cellules nerveuses; mais est-ce que dans l'une et l'autre
affection
les émotions psychiques ne tiennent pas le prem
aladie des tics, il résulte que J... est atteinte de cette dernière
affection
. C'est une hystérique chez laquelle s'est décla
actères distinctifs de la maladie des tics sont tirés du début de l'
affection
, de son évolution, des qualités du mouve- ment
urgiens célèbres; la plupart de ceux-ci considérèrent, parait-il, l'
affection
du sein comme étant de nature organique et prop
d'Odessa) utilisa le pre- mier la suspension dans le traitement des
affections
de la moelle. Depuis, ce procédé a pris une gra
elle fit deux tentatives de suicide. A cette première période de l'
affection
en a succédé une seconde, caractérisée par un c
urine des aliénés n'avait aucun point d'attache avec telle ou telle
affection
mentale. Malgré leur affir- mation de l'existen
ème nerveux central est électivement frappé de déchéance, et où les
affections
nerveuses sont prédominantes, sinon exclusives.
ive à une endométrite chronique (ulcéra- tions du col). On guérit l'
affection
delà matrice; la psychose cède. Trois ans plus
tres par des intervalles de santé. Quant à vouloir considérer cette
affection
comme un cas de « paranoïa secondaire », l'hypo
ompression d'autres régions craniennes. Chez les malades atteints d'
affections
cérébrales chroniques, la sensibilité des sutures
st consacrée aux altérations des plaques motrices dans les diverses
affections
du système nerveux central et périphé- rique :
vropathies Mais ils sont fréquents aussi au début ou à la suite des
affections
générales. Il en est de même des émotivités sys-
cliniques qui distinguent la sclérose laté- rale amyotrophique de l'
affection
désignée sous le nom d'amyotrophie spinale prog
au des atrophies progressives en vous signalant un certain nombre d'
affections
qui intéressent également le système musculaire
nique. A cet égard, la seule différence qui existe entre les deux
affections
, c'est, vous le savez, que dans la maladie ATRO
is, ainsi que je vous l'ai fait sentir l'autre jour, il n'est pas d'
affection
spinale à évolution lente, qui occupant primiti
er ici que les cas principaux et non tous les cas dans lesquels une
affection
spinale qui n'a pas pour caractère essentiel de
sive, peut, par circonstance, réaliser ce symptôme. De toutes ces
affections
, celle peut-être qui le plus souvent crée la di
de poliomyélite antérieure chronique. S'agit-il ici encore de cette
affection
? Nul- lement, car si vous poursuivez votre exa
pas question de cela chez noire malade. Il faut donc en venir aux
affections
spinales silencieuses quant à la sensibilité, m
hez un hystérique, les cas où la névrose s'associe à telle ou telle
affection
du système nerveux sont loin d'être rares. En e
TION III qui le concerne. La mère du père était atteinte de la même
affection
. La mère de Léonie a eu six enfants et une faus
de Léonie a eu six enfants et une fausse couche; deux sont morts d'
affections
non nerveuses. Parmi les quatre qui restent, Léon
fréquentée cette année' par un grand nombre de malades.1 Parmi les
affections
variées de l'appareil et de la fonction de l'ou
la crise ; ou bien une oreille seule reste anesthésiée; ou enfin l'
affection
change de côté et l'oreille la meilleure peut d
crier, fait répéter toute question; soignée il y a six ans pour une
affection
douloureuse de la matrice : elle a son oreille
e l'hyperten- sion vasculaire au début de l'artério-sclérose et des
affections
cardiaques, rénales et cérébrales de nature scl
adie. Le traitement quinique suffit encore dans le premier cas. Les
affections
utérines ont aussi de sé- rieux contre-coups su
si énervants et si tenaces (bourdonnements et vertiges) dans les
affections
auriculaires les plus franches et les surdités le
et progressent, entretenus par un état neurasthénique, soit par une
affection
utérine ou par toute autre cause d'affai- bliss
labyrinthiques et de leurs retours tenaces. C'est le résultat de l'
affection
otique du commencement de l'année dernière. Aut
ionnelle d'irritation. L'hypéresthésie du labyrinthe à la suite des
affections
de l'oreille est un fait démontré, et elle pers
yrinthiques s'expliquent naturellement quand ils accom- pagnent une
affection
de l'oreille moyenne manifeste; on a plutôt ten
tendance à tout rapporter à la maladie constatée et à à négliger l'
affection
du labyrinthe. On les reconnaît comme otiques à
ses parties accessibles. Il faut cependant encore attribuer à une
affection
de l'oreille interne l'ensemble des troubles su
délire, perte de la connaissance durant vingt-quatre heures). Celte
affection
avait été précédée du- rant plusieurs jours d'u
a seconde fois. Mère, non nerveuse, morte à vingt-quatre ans, d'une
affection
pul- monaire à la suite de sa quatrième couche.
quatrième couche. Dans le reste de la famille du père, aucune autre
affection
psychique, nerveuse, arthritique, etc.] Mère,
qu'il n'avait pas d'ongles et -qu'il avait les yeux malades; cette
affection
guérit-au bout de deux mois. A six semaines, le
er de telles craintes. 3° L'homme sain d'esprit a une plus grande
affection
pour ses parents immédiats que pour ceux d'autr
une supériorité quelconque pouvant faire concorder une plus grande
affection
avec la vérité objective. 4° On peut déduire di
ature pathologique ab initia ; que nos facultés de con- fiance et d'
affection
sont si ridiculement au-dessous de ce que de- m
fait comme étant d'un pronostic défavo- rable. Il est vrai que les
affections
chroniques s'accompagnent aussi de cette consta
démontre, dans l'im- mense majorité des cas, la complication d'une
affection
nerveuse et les troubles intellectuels n'y sont
ls n'y sont point rares. P. KERAVAL. VI. Contribution A l'étude des
affections
syphilitiques DU système nerveux central; par R
it le sujet de cette observation était malade de- puis dix ans. Son
affection
se traduisait surtout par d'atroces et continue
ordinaire et conclut en disant « qu'on ne peut alléger le cadre des
affections
nerveuses du syn- drome de Friedreich et de Mor
ntralbl., 1892.) Revue critique. Conclusion. - La tétanie est une
affection
de tout le système nerveux dont quelques symptô
nguent ? Il faudra l'observer. - 3° Parmi les formes nombreuses des
affections
spinales syphilitiques, cette 270 REVUE DU PATH
bl., 1892.) L'auteur croit qu'il faut rattacher ces accidents à une
affection
du cerveau; mais le cerveau ne présentait pas d
olents accès d'é- touffement. Mort quinze jours après le début de l'
affection
. Autopsie. Léger oedème de la pie-mère. Anémie
éance du 28 mai 18921. - Présidence DE : \1, LEBER. M. LEBER. - Des
affections
périphériques des nerfs optiques chez les hysté
fectieuses. M. Moos. Des troubles de l'équilibre consécutifs ci une
affection
organique des canaux semi-circulaires. Ces lési
rlatineuse. C'est au moment de la con- valescence de cette dernière
affection
que se produisirent : une surdité complète avec
uit ; chez l'autre, sur six enfants, il y en eut deux d'atteints. L'
affection
débute à la première année de la vie, par une p
psychologie de l'idiot, qui n'est autre qu'un malade .atteint d'une
affection
chronique du cerveau, fait partie de la patholo
fier cette mission à un pathologiste. Pour connaître et traiter les
affections
intercurrentes qui hantent. les enfants et les
ction naturelle il celle de la pathologie du cerveau, puisque cette
affection
représente la vivisection à telle ou telle phas
Burdach. Le tabès est donc aussi au point de vue embryogénique, une
affection
systématique, et, le plus habituellement, une a
énique, une affection systématique, et, le plus habituellement, une
affection
systématique combinée. Discussion : M. H. Sacs.
suites d'une maladie étendue. Shrimple a donné à cette catégorie d'
affections
le nom de polio-encéphalite, à cause de sa ress
eur séméiologique au point de vue du diagnostic et du pronostic des
affections
mentales où ils se rencon- trent. En tout ce qu
eut observer dans cette fonction. Il expose rapidement dans quelles
affections
du système nerveux on rencontre des troubles de
r les examiner, puis arrive à leur description dans les différentes
affections
du système nerveux, en n'entrant, bien en- tend
épidante. La marche titubante non spasmodique se rencontre dans les
affections
du cerveau et du cervelet, dans la maladie deMé
ière seclion M. Gowers a surtout en vue d'en poser le pronostic des
affections
nerveuses d'origine syphilitique. Nombre de sym
n 1891. (Sem. méd.) Nouvelle maison de santé pour LE traitement DES
affections
MEII- tales ET nerveuses. 11. le D'' PACHOUD, a
up moins accentuées et beaucoup moins fréquentes qu'au début de l'
affection
. La langue présente un tremblement fibrillaire tr
, et il est parfois difficile de sé- parer dans les cas où ces deux
affections
se trouvent asso- ciées les symptômes appartena
ce même de la clinique qu'il était bien réellement atteint de cette
affection
bien longtemps avant l'accident dont il a été r
ions s'accomplissent régu- lièrement. Etat général bon. Dès que l'
affection
a commencé à s'établir, divers traitements ont
s altérations pro- fondes comme cela a été rencontré dans certaines
affections
ner- veuses (syringomyélie, tabès, etc.). A par
rcher du côté des ascendants ou des collatéraux les causes de cette
affection
familiale. Les renseignements que nous avons pr
Nous devons encore signaler l'analogie très grande qu'a présentée l'
affection
comme évolution chez les trois sujets qui ont d
iniciens français ont démontré que ce phénomène est plus propre aux
affections
hystériques chez l'homme que chez la femme. Rel
intéressantes, MM. Ray-' mond et Arnaud reprennent l'histoire de l'
affection
dénommée par le plus grand nombre des auteurs :
E PATHOLOGIE MENTALE. Les divergences qui existent encore sur cette
affection
tiennent à ce que chaque auteur a presque exclu
malade, varient aussi chez un même malade, selon les périodes de l'
affection
et sans qu'il soit possible, le plus souvent, d
, subissent des variations d'inten- sité aux diverses périodes de l'
affection
, les troubles' moteurs qui correspondent au dél
xie locomotrice de Friedreich se distingue assez nettement des deux
affections
voisines : la sclérose en plaques et l'ataxie de
rsonnels, on note deux attaques de rhumatisme et la syphilis. Cette
affection
vaso-motrice a-t-elle un rapport avec l'affecti
a syphilis. Cette affection vaso-motrice a-t-elle un rapport avec l'
affection
mentale du malade ? Ces deux affections se sont
a-t-elle un rapport avec l'affection mentale du malade ? Ces deux
affections
se sont développées parallèlement sans paraître s
in- fluencer mutuellement. Peut-être pourrait-on ramener les deux
affections
à une même cause : trouble vaso-moteur survenant,
ons rapportées par l'auteur sont à rapprocher des autres cas où une
affection
aiguë intercurrente a provoqué la rémission ou
nts intéressants sur l'histoire et l'anatomie pathologique de cette
affection
. R. M.-C. L. Sur l'affection dite « Paranoïa »
et l'anatomie pathologique de cette affection. R. M.-C. L. Sur l'
affection
dite « Paranoïa » ; par E. L. DUNN. (The journa
, janvier 1893.) La première question qui se pose dans l'étude de l'
affection
men- tale désignée sous le nom de Paranoïa cons
n pareil cas, par exemple le catarrhe des sinus frontaux, certaines
affections
oculaires et plus spécia- lement les anomalies
qui ont été consacrés à la maladie de Huntington montrent que cette
affection
est loin d'être aussi rare que l'avaient 394 SO
ement àla démence vraie, et le malade meurt, le plus souvent, d'une
affection
intercurrente à laquelle l'a singulièrement prédi
té, les jésuites, le téléphone, le magnétisme, l'hypnotisme, etc. L'
affection
a débuté sans prodromes prémonitoires. Du jour
nse que ces anomalies prédisposent au plus haut degré à la genèse d'
affections
spinales. De plus, pour lui, ces hétérotopies s
ne par la mort : celle-ci est due toujours à une complication, soit
affection
organique quelconque, soit délire aigu, chez les
p. 3. = B. Iirodie. Lectures illuslraling of certain local nervous
affections
. London, 1837. DÉFINITIONS RÉCENTES DE L'HYST
ans. Chez eux, comme chez les collatéraux, on ne trouve pas trace d'
affection
nerveuse ou diathésique quelconque. Mention- no
de propulsion, de rétropulsion. Par rapport à l'âge, aux causes, l'
affection
s'est déclarée à cinquante-trois ans, à la suit
s antécédents du malade, car on ne saurait rapporter à aucune autre
affection
la crise convulsive qu'il a valeur dans le diag
ie de développement, dont tout l'intérêt réside dans l'âge auquel l'
affection
a débuté, dans la manifestation du tremblement
otématome et cela n'a aucune valeur certaine pour le pronostic de l'
affection
. L'ouverture de la cavité de l'othé- matome et
DE PATHOLOGIE MENTALE. et de coup de chaleur) dans l'étiologie des
affections
mentales, surfout dans les pays chauds. Mais so
oulager la douleur, et que l'on pourra probablement l'étendre à des
affections
nerveuses très diverses. Dans l'aliénation ment
ithéliaux dans l'urine avec de l'oedème dans quelques cas. 3° Cette
affection
rénale peut être temporaire, disparaissant avec l
re temporaire, disparaissant avec la cause. Si la cause persiste, l'
affection
rénale peut devenir chronique. 4° Contrairement
. Séance du 25 septembre 1892. I. Darkchévitch et Fikhonof. - Des
affections
consécutives du sys- tème nerveux central. Aprè
r tous ces complexes de symptômes sous la déno- mination générale d'
affections
consécutives du système nerveux cen- tral surve
es modifications des centres de la moelle épinière consécutives aux
affections
périphériqueslesauteurs croient que, dans les a
ence d'un état psychopathique qui doit être considéré non comme une
affection
psychique acquise par un cerveau bien développé
s'annonça par le retour des règles qui avaient cessé au début de l'
affection
mentale. M. NEISSER présente un malade affecté
usieurs nerfs crâniens ; aphasie, et qui n'était autre chose qu'une
affection
organique du cerveau d'origine proba- blement s
ienne (Autriche). J.-B. Boillier. Sous ce nom, l'auteur a réuni des
affections
déjà décrites sous le nom de rigidité généralis
complète. Les convulsions sont aussi très fréquentes au début de l'
affection
. Les conditions de la chorée et de l'athétose n
irconstanciées (étiologie, symptomatologie, termi- naison, etc.), d'
affections
exclusivement attribuables à l'abus du tabac. L
orcl Smith, 1·JJ. Equilibre, troubles de 1' consécu- tifs à une
affection
des canaux semi-circulaires, par Ioos, 276. E
Système nerveux, corpuscules amy- loïdes du -, par Redlich, 114;
affections
consécutives du central, par Darkchévitch et Fi
es qu'est fondé ce qu'on pourrait appeler le {diagnostic régional des
affections
encéphaliques, cetudril Vers lequel, dans la sect
le cours de sa troisième année, de paralysie spinale infantile. Cette
affection
avait atteint et atrophié plus ou moins tous les
tuées, dans la pathologie de la moelle épinière, un cer-tain nombre d'
affections
élémentaires. L'analyse fondée sur la connaissanc
'affections élémentaires. L'analyse fondée sur la connaissance de ces
affections
élémentaires est d'un grand secours pour débrouil
cerveau. Je viens d'énumérer, Messieurs, les causes anatomiques les
affections
organiques les plus vulgaires de l'encéphale. C
mollissements, déterminées par des lésions vasculai-res.Ces dernières
affections
s'accusent plus encore dans la pro-tubérance, don
ui se produit à la suite d'une lésion du système cortical. En tant qu'
affection
spinale ou bulbaire, la sclérose latérale, dans c
PREMIÈRE LEÇON Introduction. — Topographie delà moelle épinière. -
Affections
systématiques. Sommaire. — Introduction. — Prog
de développement de l'organe. — Recherches de Pierrot, de Flechsig.
Affections
élémentaires. — Localisations bulbaires et médull
La description qu'a donnée Duchenne (de Boulogne) des symp-tômes de l'
affection
qu'il a appelée Yataocie locomotrice, est inconte
ortée au type clinique. Mais quelques auteurs pensaient en-core que l'
affection
, à son origine, pouvait être une névrose. Toute i
s, que nous venons de citer, doivent être con-sidérées comme autant d'
affections
élémentaires, dont la connaissance approfondie po
la connaissance approfondie pourra être appliquée à l'élucidalion des
affections
plus complexes, non systématiques, ou, en d'autre
Du faisceau pyramidal. — Développement de ce faisceau. Sommaire. —
Affections
systématiques de la moelle épinière. — Elles répo
on nerveux ; que ces maladies constituent, en quelque sorte, autant d'
affections
élémentaires, dont l'étude appro-fondie devra fou
fondie devra fournir de précieux documents pour l'élucida- tion des
affections
plus complexes, anatomiquement non sys-tématisées
s affections plus complexes, anatomiquement non sys-tématisées. Ces
affections
élémentaires ou systématiques, comme vous voudrez
ccupées par la lésion, dans une des formes les plus intéressantes des
affections
systématiques que nous nous proposons d'étudier e
lequel j'aurai à insister par la suite), qui se développent à titre d'
affections
primitives, protopathiques, c'est-à-dire en dehor
d'hui. Les travaux récents ont suffisamment mis hors de doute que ces
affections
-là tiennent à tous égards une place importante
pathologique, ce n'est pas un phénomène banal, puisque dans certaines
affections
spinales il fait défaut, tandis que dans d'autres
rie que ceux qui ont été récemment intro-duits dans la sémiotique des
affections
spinales par M. West-phal, puis par M. Erb, sous
ue nous considérons actuellement, dans le cours de nos études sur les
affections
organiques cérébrales et spinales, nous retrouvon
est de règle qu'il fait absolument défaut ou s'atténue dans certaines
affections
spinales, l'ataxie locomotrice par exemple, les p
ile, atrophie musculaire progressive spinale protopathique, et toutes
affections
de la même catégorie), tandis que, dans d'autres,
question et qui ont été récemment, introduits dans la séméiotique des
affections
cérébro-spinales par M. Westphal d'abord, puis pa
ons, je le répète, avec tous leurs caractères, dans un grand nombre d'
affections
organiques cérébro-spinales autres que celle qui
es les particularités que nous allons décrire, dans un grand nombre d'
affections
spinales autres que celle qui nous occupe en ce
re profondément et dès l'origine. C'est un des grands caractères de l'
affection
. J'ai observé précisément, il y a pende jours,
te lésion cérébrale en foyer, de toute encéphalite. Il s'agit d'une
affection
que j'ai plusieurs fois déjà étudiée avec vous, e
plégie spasmodique. Il aconsidéré même comme très vraisemblable que l'
affection
dont il s'agit se rattache à une sclérose primiti
parlé en faveur de son autonomie. S'il s'agit là effectivement d'une
affection
à part, l'autopsie révélera une lésion également
Je me propose de poursuivre et de terminer aujourd'hui la revue des
affections
spinales organiques dans lesquelles la contractur
ite. Mais il ne faut pas ignorer qu'il existe des cas dans lesquels l'
affection
revêt, dès l'origine, les allures d'une maladie c
leurs pseudo-névralgiques, sans accidents céphaliques concomitants. L'
affection
se caractérise particulièrement aussi par une é
sentant, comme on dit, sous la forme fruste ; mais qu'il s'agit d'une
affection
particulière, d'une maladie autonome, se rattacha
vi, ainsi qu'en témoignent mes leçons de 1876. M. Erb a désigné cette
affection
prétendue spéciale sous le nom de paralysie spina
la paraplégie spasmodique, de telle sorte que sous cette apparence, l'
affection
dont il s'agit pourrait être et a été en effet co
rte, d'ailleurs ; qu'il nous suffise, pour le moment, de considérer l'
affection
exclusivement par le côté clinique. D'abord, no
traste bien tranché, sous Fig. 89. tous les rapports, entre cette
affection
et la paralysie spinale infantile, et ainsi nous
la colonne vertébrale ne présente rien d'anormal. La pathogénie de l'
affection
est par consé-quent extrêmement vague. M. Seeligm
t donner lieu à cet ensemble, qui ne représenterait plus dès lors une
affection
spéciale. A l'appui de cette théorie, on a publ
ui précède, que. la contracture permanente est un symptôme commun aux
affections
organiques spinales — et elles sont nombreuses —
nt aiguës, subaiguës ou chroniques. -- Caractères fondamentaux de ces
affections
. — Troubles de la motilité. — Troubles trophiques
rticulier , et, conséquemment, ainsi le veut la logique des choses, l'
affection
de chacun de ces organes doit, dans les con-ditio
systématiques, dans le domaine de la moelle épinière, comme autant d'
affections
élémentaires, dont la connaissance approfondie de
connaissance approfondie devra être appliquée au débrouil-lement des
affections
plus complexes, non systématisées, ou, autrement
urs la même, et cette région est celle des cornes anté-rieures. Les
affections
dont il s'agit ont donc, vous le voyez, pour ca-r
ieure peut être affectée incidemment, se-condairement, dans des cas d'
affections
spinales d'Un autre ordre. Il faut ajouter encore
aut ajouter encore le qualificatif aiguë ou chroni-que, suivant que l'
affection
évolue selon l'un ou l'autre de ces deux mots.
in nombre de traits com-muns et propres aies distinguer de toutes les
affections
spinales occupant dans le cordon médullaire un si
ile d'en don-ner la raison physiologique. 3° Il n'existera dans ces
affections
aucune modification, si-non accidentelle et trans
cidentelle et transitoire, de la sensibilité. Ce trait dis-tingue les
affections
systématiques de celles qui occupent, d'une façon
épilepsie spinale non plus que la contracture n'appartiennent pas aux
affections
de ce groupe, seulement en raison de la distribut
re, on appellera amyotrophies spi-nales deutèropathiques les diverses
affections
de la moelle épiniôre dans lesquelles la lésion d
Le groupe des poliomyélites antérieures systématiques renferme des
affections
qui appartiennent à la clinique jour-nalière, et
r. 2° Poliomyélites antérieures subaiguës. Celles-ci répon-dent à l'
affection
décrite par Duclienne sous le nom de para-lysie g
trophie musculaire progressive. Cruveil-hier avait reconnu dans cette
affection
une lésion des racines antérieures spinales. Les
-quer un contraste, il convient de faire figurer un instant di-verses
affections
spinales dans lesquelles la lésion des cornes ant
t à appeler votre attention est la sclérose latérale amyotrophique. L'
affection
reconnaît, je vous l'ai dit, deux éléments anatom
latérale amyotrophique. — Autonomie et caractère spasmodique de cette
affection
. Observations. Dès le début de l'étude que M.
détaillée d'un cas typique de sclérose latérale amyotrophique. Cette
affection
, dont la première description date à peine de cin
ans et demi que la femme Den... a éprouvé les premiers symptômes de l'
affection
, qui, aujourd'hui, touche à sa dernière période.
uchard, dans un service de l'hôpital Laënnec, et l'on peut dire que l'
affection
était alors arrivée à sa période d'état. Elle éta
ler, pour ce qui concerne l'état de la malade dans cette phase de son
affection
, c'est que tous les accidents spasmodiques possib
ppants, à mesure qu'on analyse avec plus de soin les cas si communs d'
affections
spinales, décrits jadis sous la désignation colle
harcot de faire voir la ressemblance étonnante des deux cas. Ici, l'
affection
est de date beaucoup plus récente. L'homme dont i
t d'abord incontestable que ces deux malades sont atteints de la même
affection
, à cette différence près que, chez le second, les
gai, Huchard, Seguin, Nixon, Pick et Kahler. Ce n'est pas que, dans l'
affection
dont il s'agit, il existe des symptômes vrai-ment
mille façons, cons-tituer les formes si nombreuses et si variées des
affections
qu'on rencontre dans la clinique des centres nerv
e alors qu'elle prononce moins bien que par le passé. En octobre, l'
affection
progresse rapidement. La femme Mal... prononce as
Au mois d'avril, c'est-à-dire quatre mois environ après le début de l'
affection
, les membres inférieurs s'affaiblirent et le mala
Au mois de novembre 1876, c'est-à-dire onze mois après le début de l'
affection
, la contracture a diminué dans les membres supéri
de de la province qui a été perdue de vue par M. Charcot, mais dont l'
affection
était as-sez avancée déjà, pour que le doute fut
e malade remar-que qu'il ne peut plus cracher... et ainsi de suite. L'
affection
évolue, et voici, en quelques mots, sa situation
statistique est donc loin d'infirmer le caractère spasmodique de l'
affection
. Mais il existe, dit-on, des cas contradictoire
observée, on eût été amené à découvrir le carac-tère spasmodique de l'
affection
, en analysant avec soin les caractères des réflex
le, pour qu'on fut en droit de conclure à la nature systématique de l'
affection
. Pour ce qui est de la coexistence d'une altéra
sure que le nombre des faits grossira, l'unité nosographique de cette
affection
ressortira avec plus d'évi-dence (1). Il en sera
EMIÈRE LEÇON. Introduction. — Topographie de la moelle tïpinière. —
Affections
systématiques. Sommaire. — Introduction. — Pr
de développement de l'organe. — Recherches de Pierrot, de Flechsig.
Affections
élémentaires. — Localisations bulbaires et médull
Du faisceau pyramidal. — développement de ce faisceau. | Sommaire. —
Affections
systématiques de la moelle épinière. — Elles répo
ont aiguës, subaigues ou chroniques. — Caractères fondamentaux de ces
affections
. — Troubles de la motililé. — Troubles trophiques
atérale amyotrophique. -- Autonomie et caractère spasmodique de cette
affection
..................................................
........................... 415 APPENDICE. TABLE ANALYTIQUE A
Affections
Elémentaires, 47, 189, 191. Amblyopie chez les
mot, 3 ; — Conditions indispen-sables pour l'étude des —, 45 ; — des
affections
systématiques, 48, 183 ; — dans les maladies céré
séance, joue un rôle très important dans l'anatomie pathologique des
affections
du parenchyme pulmo-naire. Yous ne trouverez pa
ës, subaiguës, ou chroniques, tuberculeuses ou non tuberculeuses, ces
affections
majeures dans le grand chapitre de la pathologie
anière convenable les^ diverses phases du pro-cessus morbide dans les
affections
que nous venons d'énumé-rer, si nous ne sommes pa
t de vue de la nosographie, une espèce distincte, d'une autre forme d'
affection
rénale, appartenant, elle aussi, à 1 Voir les L
ues, circonstance qui ne saurait surprendre, puisqu'il s'agit de deux
affections
ayant pour substratum principal le même organe l.
de ressemblance qui permettent de rappro-cher sous un chef commun des
affections
1res diverses par le nom de l'organe qu'elles occ
article accessoire où nous étudions aussi, fort brièvement, quelques
affections
du poumon qui ont été plu-sieurs fois considérées
étouffer complètement, au moins dans les degrés les plus avancés de l'
affection
. On peut alors désigner avec M. le professeur Cru
ques un peu détaillées que nous avons compulsées, et où le début de l'
affection
remontait à une époque éloignée, on a noté un cer
certainement réuni dans une même catégorie des formes très diverses d'
affections
pul-monaires. Quoi qu'il en soit, les questions r
, rend le plus souvent douteux si c'est bien la pneumonie qui a été l'
affection
primitive, ou si c'est, au con-traire, la gangrèn
joui d'une bonne santé, lorsque, if y a quatre ans, il fut pris d'une
affection
de poitrine qui nécessita son séjour à l'hôpital
t qui imite le bruit de taffetas lointain. Quatre ou cinq selles. L'
affection
est considérée d'abord comme une pneumonie aiguë
dans des observations où l'on a pu assister aux premiers débuts de l'
affection
, mais ce ne serait point là un caractère d'une va
ù l'abondance et la grosseur des râles humides, jointes au siège de l'
affection
sous la clavicule droite, avaient fait porter le
à tous les rameaux d'un lobe, la pleurésie chronique, telles sont les
affections
avec lesquelles on pourra surtout la confondre.
bron-chique intense, râles humides nombreux à timbre métallique ; l'
affection
siège surtout au niveau des lobes inférieurs l. M
ore toute à faire. Dans les cas très peu nombreux d'ailleurs où cette
affection
a été observée, elle avait simulé la phtisie pulm
distinguer de la pneumonie chronique proprement dite. Si cependant l'
affection
s'était développée à la suite d'une fièvre érupti
plutôt venir à l'esprit que celle d'une pneumonie chronique. E. Une
affection
d'ailleurs fort rare, Y infiltration cancéreuse d
rvations rassemblées par M. le docteur Lagneau, dans sa thèse Sur les
affections
pulmonaires causées ou influencées par la syphili
aériens, elle est un accompagnement habituel de ces formes variées d'
affections
pulmonaires que les anciens appelaient fausses pn
natomiques, la carnificalion en diffère donc encore par la nature des
affections
auxquelles elle se rattache et d'où elle dérive.
naire fréquente chez les vieillards, et qui semble se lier soit à une
affection
organique du cœur, soit à une affec-tion chroniqu
tant à l'enfance ou à la jeunesse, dont le début a été marqué par une
affection
aiguë ou subaiguë (rougeole, coquelu-che, fièvre
aura-t-il avantage à envisager tout d'abord la sidérose pul-monaire,
affection
beaucoup moins commune que l'anthracose, assuréme
u corps étran-ger, reproduit fidèlement celle de la sidérose. Cette
affection
est connue et étudiée depuis longtemps, en Anglet
deux groupes : 1° Le groupe des tailleurs de pierre et de grès. L'
affection
thoracique particulière dont ces ouvriers sont at
ison ; 3° des cavernes de guérison. Laënnec savait parfaitement que l'
affection
tuberculeuse n'est pas ab-solument incurable ; ma
ot se croit autorisé à déclarer que « la phtisie pneu-monique est une
affection
tuberculeuse au premier chef. » Elle l'est dès l'
et à la forma-tion des cavernes. Les variétés, dans l'évolution de l'
affection
considérée dans son ensemble, semblent déterminée
-sons pas cependant qu'on puisse voir dans la coexistence de ces deux
affections
l'effet d'une coïncidence fortuite. Si nous en ju
onsciencieuses. Presque toujours, si-non dans tous les cas, c'est une
affection
qu'on peut faire dé-river d'une autre affection,
us les cas, c'est une affection qu'on peut faire dé-river d'une autre
affection
, l'altération d'un viscère, delà rate, par exempl
Il se manifeste d'ailleurs aux époques les plus variées du cours de l'
affection
cancéreuse primitive ; tantôt quelques mois tout
eines qui se présentent si communément dans les périodes avancées des
affections
cancéreuses, en général, et, plus par-ticulièreme
tions bien authentiques que possède la science sur cette intéressante
affection
sont encore peu nombreuses. M. le Dr Utile (de Le
mineuse, d'une consistance molle et friable, principalement lorsque l'
affection
est de date récente , elle est au contraire, pe
usqu'àprésent,rienne prouve que la mélanémie puisse exister à titre d'
affection
primitive et in-dépendante de toute autre maladie
en géné-ral, et en particulier celui de l'encéphale. Quelquefois l'
affection
cérébrale se montre, comme il a été dit, indépend
ui ont subi autrefois l'intoxication palustre, il faudrait mettre ces
affections
en parallèle avec 1 Torti. — Therapeutice apeci
remarquer M. le docteur Dccharnbre l, les méde-cins qui ont étudié l'
affection
des capsules surrénales ont exa-miné, dans beauco
e: Tumeurs fibrineuses, contenant du pus dans le cœur des phtisiques;
Affection
singulière non décrite.) Obs. V et VI. — 1° Pht
de mes deux malades. a) Dans la première observation, nous voyons l'
affection
du cœur rester complètement latente: aucune anoma
uite. Le pouls, il est vrai, s'est montré pendant toute la durée de l'
affection
aiguë qui a mis fin aux jours du malade, extrêmem
legmasie aiguë qui a terminé son existence. Avant l'invasion de celte
affection
, la cavité gau-che du cœur, réduite à la moitié a
omme familiarisé avec cette sorte d'infirmité acquise. La venue d'une
affection
aiguë fébrile a dû jeter un trouble extrême dans
souffle dans deux circons-tances principales : tantôt il se lie à une
affection
de l'aorte thoracique (anévrisme, rétrécissement,
ment de cette malade sur sa santé antérieure et sur les débuts de son
affection
actuelle, elle est déjà dans le délire. Cependant
ur l'endocardite ulcéreuse aiguë à forme typhoïde à propos d'un cas d'
affection
ulcéreuse de la valvule tricuspide avec état typh
mes rappelant ceux qu'on observe dans les fièvres typhoïdes ou dans l'
affection
purulente et qui semblent devoir être rat-tachés
développer sur des valvules qui préalablement étaient déjà le siège d'
affections
subaiguës ou chroniques. Avec ces altérations c
ensemble de symptômes graves qui se manifestent pendant le cours de l'
affection
, dans le temps même où. s'opère la destruction de
mène de seconde date. Toujours il est de quelques jours précédé par l'
affection
de l'endocarde qui seule peut en expliquer le dév
ppement et à laquelle conséquem-ment il paraît se rattacher à titre d'
affection
secondaire. Les symptômes locaux sont ceux de l
cardite ulcéreuse typhoïde, il nous reste à faire remarquer que cette
affection
paraît se développer surtout chez des sujets débi
s encore, que nous ferons connaître che-min faisant. Observation. —
Affection
ulcéreuse de la valvule tricuspide. — 1 L'endoc
-laires, il y a de la bronchite ; mais en même temps les signes d'une
affection
cardiaque se dessinent, de plus en plus. Il y a u
r la connaissance de faits analogues, on songe à la possibilité d'une
affection
ulcéreuse de l'endocarde à forme typhoïde. Pendan
e l'agitation et du délire pen-dant la nuit, mais les phénomènes de l'
affection
cardiaque de-viennent de plus en plus marqués et
irmé le dia-gnostic qui avait été posé. L'apparition de symptômes d'
affection
cardiaque, chez un homme qui, jusque là, n'avait
pulmonaire se rencontre assez fréquemment chez des sujets atteints d'
affections
rénales2, ont supposé que la rétention des matéri
e des parois artérielles, paraît devoir être observée, à la suite des
affections
les plus diverses, pourvu que ces affections soie
observée, à la suite des affections les plus diverses, pourvu que ces
affections
soient compliquées de phlébite oblitérante, ou de
ement à l'extrémité supérieure, très inégale, du caillot veineux. L'
affection
primitive, dans les cas qui précèdent, paraît avo
hez une femme atteinte d'oblitération veineuse, consécutivement à une
affection
cancéreuse de l'es-tomac et du pancréas. Obs. X
s états pathologiques ou physiologiques qui prédisposent à ce genre d'
affection
, pourraient en particulier conduire à penser que
lots fibri-neux, consécutive à la phlébite oblitérante, n'est pas une
affection
rare. Sur 76 autopsies faites dans l'espace d'un
il peut devenir le siège. Il est, partant, difficile, en étudiant les
affections
de l'aorte, de ne point empiéter quelquefois sur
des altérations athéro- mateuses et des dépôts calcaires, était une
affection
des plus fréquentes. En France, JBroussais et M
férente. Pour le célèbre professeur de Vienne, il s'agirait ici d'une
affection
spéciale, et pour ainsi dire idiopathique du syst
formation de foyers purulents. Dans un intéressant travail sur cette
affection
peu connue, M. Leudet (de Rouen) en a rassemblé q
qu'on a conseillé d'opposer à l'aortite aiguë; le diagnostic de cette
affection
est encore trop obscur pour qu'on puisse songer à
i-gine d'une lésion dont l'étude appartient à l'histoire générale des
affections
artérielles; il nous suffira donc défaire observe
s les plus directes des altérations de ce genre, il faut placer les
affections
concomitantes du cœur. L'hypertrophie du ventricu
ociété anatomique ; mais de tels phénomènes sont si sou-vent liés aux
affections
valvulaires du cœur qu'il nous paraît bien diffic
diagnostiquer une calcification des parois aorfiques (Piorry). Cette
affection
s'accompagne d'ailleurs d'une lenteur plus ou moi
ue, ne se révèlent par aucun symptôme extérieur. La marche de celte
affection
est essentiellement chronique, et permet souvent
et que les anévrismes de l'aorte sont aujourd'hui comme toujours, une
affection
presque fatalement mortelle. On ne saurait oublie
tion d'un bouchon fibrineux peuvent en fermer la lumière. Quant aux
affections
cardiaques, très fréquentes en pareil cas (25 foi
confondre ces souffles anévrismatiques avec ceux qui résultent d'une
affection
valvulaire du cœur. Il est très utile, à ce point
es symptômes un sifflement venu d'en bas, qui n'existe point dans les
affections
locales du larynx. L'inspection laryngoscopique
précision la durée d'un ?anévrysme de l'aorte, puisque le début de l'
affection
remonte à une époque inconnue, on peut mesurer l'
l'asthme, l'angine de poitrine, les indurations pulmonaires; avec les
affections
du larynx; avec les affections du péricarde et du
les indurations pulmonaires; avec les affections du larynx; avec les
affections
du péricarde et du cœur ; avec les lésions des gr
berger). b) Les abcès du médiastin se rattachent très souvent à des
affections
chroniques du système osseux : du sternum, des cô
as d'ané-vrisme. f) 11 est souvent très difficile de distinguer les
affections
chroniques du larynx des lésions anévrismatiques
inspirations, sans gêne aucune dans l'expiration. Dans les diverses
affections
que nous venons de signaler, le pouls conserve ha
habituellement ses caractères normaux. Il n'en est pas ainsi dans les
affections
du cœur et des gros vaisseaux, qui produisent aux
méthode de Brasdor, Dans les anévrismes de ce genre, la marche de l'
affection
est plus rapide que dans ceux de l'aorte, selon D
permettront d'en préciser le siège, et les symptômes géné-raux d'une
affection
constitutionnelle en démontreront la na-ture. A
es abdominales sous-cutanées, qu'on ren- contre si souvent dans les
affections
viscérales de l'abdomen, n'existent point dans le
tions de Gairdner. Le cancer du pylore est peut-être, de toutes les
affections
abdominales, celle qui simule le mieux un anévris
t inutile d'insister sur la gravité des ané-vrismes de l'aorte. Cette
affection
, presque toujours mortelle, suit une marche régul
aucune prise sur une lésion pareille. Cependant, dans le cours d'une
affection
souvent lon-gue, et toujours douloureuse, il est
fois capable de rendre de grands services dans le traitement de cette
affection
. E. Narcotiques. — Les préparations opiacées pe
de com-battre les accidents les plus pénibles qui résultent de cette
affection
. « Il s'agit là du cas, cité plus haut en note
; le seconde survécut sept à huit ans, et succomba aux progrès d'une
affection
du cœur. — Des 20 cas, rassemblés par Rokitansky,
ux longues et rudes guerres de 'Empire. On admet généralement que les
affections
du cœur m des poumons offriront, chez les sujets
d'une rétraction spontanée, soit d'une pression extérieure. a) Les
affections
diverses dont les tuniques artérielles peu-vent d
isseau est le point de départ des accidents observés, la gravité de l'
affection
dépen-dra du siège et de l'étendue du rétrécissem
'Université de Padoue, Carlo Patini, souffrait depuis longtemps d'une
affection
étrange dont les plus habiles médecins n'avaien
que du cœur et venant obstruer le canal de l'aorte : il considère une
affection
pareille comme incurable et prédii en conséquence
ie et atrophie des tuniques de l'aorte. Par suite d'une multitude d'
affections
diverses, les tuniques constituantes de faorte pe
cèle du membre a jamais été observé comme conséquence ultime de cette
affection
. A cet ensemble de symptômes, répond constammen
plomb, qui n'ont d'ailleurs pas été très intenses, étaient les seules
affections
médicales de quelque importance qu'il eut ja-mais
ls puissent paraître, les traits essentiels et caractéristi-ques de l'
affection
n'en sont pas moins, chez notre malade, très nett
jet d'un travail important, nous voyons que la maladie, au début de l'
affection
qui devait aboutir à une paralysie complète, n'a
ation artérielle, dénomination empruntée à la médecine hippique, où l'
affection
est depuis longtemps connue »?„ On pourrait tout
ons anatomiques qui, chez le cheval, pré-sident au développement de l'
affection
. Le plus souvent il s'agit d'une oblitération d
u gros orteil aurait pu être évitée si on eut reconnu dès l'origine l'
affection
, et si l'on eut pris, en temps opportun, les préc
mique, chez lesquels, malgré l'évidence des symptômes, la nature de l'
affection
avait été jusque là méconnue. Je suis resté par l
culièrement l'épaule gauche. Le malade a été déjà traité pour la même
affection
, à plusieurs reprises ; mais il a joui, dans les
ents colorés du sang, si la malade eût pu résister plus longtemps à l'
affection
à laquelle elle a succombé. Nous avons vu dans un
eint de rhumatisme articu-laire aigu, avait succombé à la suite d'une
affection
cérébrale à marche aiguë, et caractérisée surtout
ous inexplicables. Nous penchions à croire qu'on pouvait comparer les
affections
loca-les qui ont été trouvées à l'autopsie à cell
s derniers temps, jeter définitivement quelque lumière sur ce genre d'
affection
, qu'il n'est sans doute pas très rare de rencontr
chez des individus qui, pendant la vie, ont présenté les signes d'une
affection
organique du cœur, et chez lesquels, après la mor
'autres encore. — 3° Il arrive parfois aussi que les premières de ces
affections
locales soient les seules qui coexistent avec les
n ne nous permettent pas de croire que l'inflammation, ou toute autre
affection
des artères du membre inférieur gauche, aient exi
t-elle primitive, ou, au contraire, faudrait-il la su-bordonner à une
affection
des organes? Ce sont là des ques-tions que nous n
voit par l'histoire de notre malade, qu'une des manifesta-tion d'une
affection
qui, dès l'origine, frappe à la fois plusieurs po
gies interstitielles, est, pour ainsi dire, exclusivement pro-pre aux
affections
organiques du cœur, de longue durée. Elle paraît
ne certaine forme de pneumonies des vieillards: elle s'applique à ces
affections
thoraciques qui se déve-loppent à l'époque où les
e sur l'endocardite ulcéreuse à forme typhoïde, à propos d'un cas d'
affection
ulcéreuse de la valvule tricuspide avec état typh
cope (Examen au — dans les anévrismes de l'aorte), 504. Larynx (
Affections
chroniques du—) 518. Leucocythémie (Observation
uë ? .. Adénopathie ? .. Toujours est-il que c'est à dater de cette
affection
restée indéterminée que, la croissance et toutes
la maladie, en l'absence de signes phy- siques, le diagnostic de l'
affection
fondamentale ne soit pas sans offrir quelque di
Faculté de médecine. Chef de clinique de la Faculté. L'histoire des
affections
vertébrales ne comprenait jadis que deux cha- p
ère ni mère ! le père est mort de pneumonie à 62 ans, la mère d'une
affection
cardiaque à 52 ans ; elle reste seule de 4 enfa
s lors de la période la plus accentuée de la première atteinte de l'
affection
qui nous occupe ; elle n'a jamais eu de pertes bl
l'apparition des premières règles, à l'âge de 18 ans, que débute l'
affection
. Très lentement, très insidieusement, s'installe
que, ossification partielle des disques intervertébraux. A quelle
affection
avons-nous affaire ici ? ' Il est une maladie d
t publié quelques cas. Entre la myosite ossifiante progressive et l'
affection
présentée par notre malade, il y a bien quelque
cédents desquels en dehors du rhumatisme, on ne trouve aucune autre
affection
capable d'expliquer le développement de l'ostéo
elle accuse par contre, des symptômes que l'on n'observe pas dans l'
affection
décrite par cet auteur. Nous conclurons donc qu'i
, 1905, p. 44. 40 RAYMOND ET BABONNEIX Il existe une singulière
affection
, caractérisée par l'ankylose symétri- que et pr
membres pour atteindre en dernier lieu la colonne vertébrale. Cette
affection
, dont l'un de nous a présenté deux cas dans ses L
existe des analogies incontestables entre la synarthro- physe et l'
affection
qu'a présentée notre malade. Mais, dans celle-ci,
nom de spondylose rhizomélique, M. Pierre Marie (4) a décrit t une
affection
qui se caractérise essentiellement par « la coïnc
hèse. Paris, 1900. (2) P. Berger, Sur une forme encore peu connue d'
affection
ankylosante. Bull, méd., 5 avril 1905. (3) PE
débute par des douleurs, qui persistent pendant toute la durée de l'
affection
; mais ces douleurs constituent le seul phénomè
même : « Si on veut considérer la spondylose rhizomélique comme une
affection
définie, on ne peut en établir les limites avec
eole à 3 ans, la scarlatine à 7, et la variole à 4 1. Peut-être ces
affections
ont-elles été la cause originelle de la maladie
r Dejerine et Sottas dans la névrite interstitielle hypertrophique,
affection
familiale dont M. Dejerine a repris récemment l
familiales et maladies congénitales, 1907. 62 LONG rieure, d'une
affection
acquise ou d'un accident de la vie intra-utérine.
le résumé de notre étude anatomique, a présenté deux malades dont l'
affection
montre les plus grandes analogies avec celle du
us observées. Sans vouloir donc entrer dans l'étude clini- que de l'
affection
en question, nous croyons qu'il est d'un certain
les trois malades, ainsi que l'époque de début et l'évolution de l'
affection
. 1 Observation I. - Il s'agit dans ce premier
eu une bonne santé, jamais d'accidents de plomb. Pas de syphilis. L'
affection
actuelle débuta vers 1902, à l'âge de 70 ans, par
yante. Les notes ultérieures jointes à l'observation montrent que l'
affection
avait progressé. Le malade en effet qui était a
ccusé. ' Mort le 4 décembre 1905. Il s'agit, comme on voit, d'une
affection
débutant à un âge très avan- cé, à 70, à 60 et
olution est lentement progressive. Ce qui caractérise surtout cette
affection
ce sont les troubles particuliers de la démarch
les de la synergie musculaire, dont la valeur diagnostique dans les
affections
cérébelleuses a été mise en relief par Babinski
turne. L'intelligence est chez tous intacte. L'étiologie de cette
affection
est obscure. La syphilis n'existe dans aucun de
II) l'anamnèse nous fournit quelques renseignements ; dans ce cas l'
affection
aurait débuté à la suite d'une affection intest
eignements ; dans ce cas l'affection aurait débuté à la suite d'une
affection
intestinale ayant duré 6 semaines. Nous reviendro
ormations grises et de ces voies. L'àge très avancé auquel débuta l'
affection
, dont la plus grande partie relève du syndrome
à expliquer la présence de phéno- mènes d'ataxie tabétique dans les
affections
cérébelleuses nous nous bor- nerons à constater
es difficultés aussi dans la recherche de la cause étiologique de l'
affection
cérébelleuse, cause d'ailleurs qui dans beaucoup
let n'a pas pu être établie ou même présumée. L'âge avancé auquel l'
affection
a débuté dans notre cas rend déjà peu probable
velet par lui observées comme étant dues aux produits toxiques de l'
affection
intestinale. Peut-être pourrait- on invoquer au
pé- cialement ce point. Elle a eu deux soeurs mortes étant jeunes d'
affections
banales. ' Antécédents personnels. - Née à te
et de Fournier, se sont rattachés à l'origine syphilitique de cette
affection
. Il faut dire que c'est surtout l'hérédo-syphil
ESC0111t'S « de l'influence syphilitique dans le développement de l'
affection
osseuse ». Le dernier cas nous est fourni par M
vec des troubles cérébraux et survenus précisément à la suite d'une
affection
ayant intéressé le contenu de la cavité crânienne
sont surtout l'oeuvre des sécrétions internes. Dans les cas où une
affection
aiguë intéresse le contenu du crâne, déter- min
anomalies de la forme, de la station ou de la marche dans certaines
affections
, comme les myopathies, la paralysie agitante (2),
ont joué un rôle important dans la découverte d'un certain nombre d'
affections
dystrophiantes où les anomalies corporelles ont
spect pleurard qui caractérise la physionomie dans cette der- nière
affection
(PI. XXIV, fig. 1). Il est manifeste que cet aspe
dans le domaine du facial. S'il s'agit, dans le cas présent, d'une
affection
pro- gressive, comme je le crois, ce fait n'a r
ques et surtout étiologiques que cette analogie anatomique des deux
affections
, envisagée au point de vue de leur lésion primiti
qui lui ont été faites, la doc- trine de l'analogie entre le» deux
affections
en question s'appuie sur tant d'arguments et de
x localisations du même processus morbide et les symptômes des deux
affections
. Or cette coïncidence avait été prévue par Pier
s publiés dans la littérature, présen- tant la coïncidence des deux
affections
, survenues en même temps chez le même individu.
à l'âge de 6 mois. Il a été impossible d'ohtenir sur le début de l'
affection
des renseignements détail- (1) FREUD, Die infan
, même dans sa première enfance, n'a jamais souffert d'aucune autre
affection
. Dès sa plus tendre jeunesse il dut recourir a
r un très puissant appui à la doctrine de l'analogie entre ces deux
affections
.Cette analogie avait été déjà entrevue par Vizi
deux causes : soit d'une atteinte passagère et fruste au début de l'
affection
du côté en apparence sain, avec participation lég
ébrale, Il Morgagni, 1880, p. 568. 132 ITALO ROSSI entre ces deux
affections
, et d'avoir attiré d'une façon particulière l'att
considérer la poliomyélite que comme la localisation spinale d'une
affection
générale toxi-infectieuse capable de frapper au
délimité de l'hémiplégie cérébrale infantile, présen- tait avec une
affection
spinale à processus anatomique bien défini, la
anatomique bien défini, la paralysie spinale infantile. Les deux
affections
,en effet, frappent de préférence des enfants,dans
ncluai t que dans l'hé- miplégie cérébrale infantile, le siège de l'
affection
devait se trouver dans (1) STRllMPELL, Tageblai
substance grise de la zone motrice de l'encéphale est le siège de l'
affection
dans la forme clinique d'hémiplégie cérébrale inf
n même temps (1885) soutenait aussi de son côté l'analogie des deux
affections
; pour Pierre Marie l'analogie n'est pas seulem
la plupart des cas les processus sont très analogues dans les deux
affections
et que la seule différence consiste probablemen
vec Strümpell sur la nature du processus anatomique commun aux deux
affections
. Pour Pierre Marie, il ne s'agit ni dans l'une ni
ierre Marie, il ne s'agit ni dans l'une ni dans l'autre de ces deux
affections
d'une lésion pure et primitive de la substance gr
, des observateurs démontraient que la poliomyélite n'était pas une
affection
systématisée et localisée à la subs- tance gris
pinale infantile suivis d'autopsie peu de jours après le début de l'
affection
qui devaient nous éclairer sur la pathogénie de
its sur lesquels s'appuie la doctrine de la nature infectieuse de l'
affection
en cause. Assez souvent en effet la poliomyélit
légie cérébrale infantile, constitue un caractère commun à ces deux
affections
. Elle établit ainsi entre elles une analogie ét
ine de ces auteurs. Les liens étiologiques et cliniques de ces deux
affections
trouvent leur meilleure confirmation et dans le
ans les cas qui, comme le nôtre, présentent la coïncidence des deux
affections
chez le même individu. A la première catégorie
ILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE 139 ques existant entre ces deux
affections
, Buccelli publie une intéressante statistique b
quantité d'observations, établissant la fré- quence relative de ces
affections
durant les divers mois de l'année. Il résultera
le infantile, la mort ne survient que longtemps après le début de l'
affection
, et que dans ces conditions il est très diffici
résidus une cicatrice ou une sclérose, et, comme symptômes de cette
affection
en foyer, une hémiplégie. » En faveur, de cette
iomyéli le,Hoppe-Seyler( 4) considère au moins comme tel son cas d'
affection
bulbaire intéressant les VU", XII8 et XI" paire
é aussi que la poliencéphalite supérieure de Wernicke n'est pas une
affection
exclusivement limitée à la substance grise, que b
ite (supé- rieure et inférieure) et la poliomyélite constituent des
affections
bien caractérisées, à symptomatologie bien défi
cit.), Concetti (3), Taylor (4), Batten (loc. cit.), considérer ces
affections
comme identiques,ayant la même origine toxi-in-
meilleure confirmation dans les cas' cités de coïncidence des deux
affections
sur le même individu, dont le nôtre est un exem
e, une « congestion pulmonaire » ; sa mère serait morte aussi d'une
affection
aiguë. En tout cas, il n'a jamais entendu dire
concernent également des aliénés. Voyons maintenant avec quelles
affections
le trophoedème pourrait être confondu. ' C'es
u membre inférieur du côté opposé. , Le début brusque, fébrile de l'
affection
, l'alternance des troubles trophi- ques font su
PRUNIER Interne à l'asile d'Evreux. L'adipose douloureuse est une
affection
relativement rare, cependant un certain nombre
ns examinée présente assez nettement les symp- tômes cardinaux de l'
affection
que nous avons en vue, pour justifier la public
s, elle n'a jamais été obli- gée de garder le lit par le fait d'une
affection
intercurrente, d'asthénie ou de douleurs aiguës
intes et c'est le plus souvent à l'âge de la ménopause que débute l'
affection
; la pathogénie ovarienne a de plus pour elle q
ie. Notre malade est en outre épileptique ; la coïncidence de cette
affection
avec l'adipose douloureuse a été plusieurs fois
és évoluer d'une façon pathologique pour leur propre compte. Dans l'
affection
qui nous occupe elles demeurent au contraire no
onstatations trop inconstantes pour que l'on puisse voir dans cette
affection
une névrite périphérique, le tableau et l'évoluti
que le malade fut obligé de s'aliter dix jours après le début de l'
affection
. Pendant ce temps la paupière gauche s'était comp
varié. L'oeil gauche resta fermé pendant 5 mois après le début de l'
affection
, puis le malade put le rouvrir petit à petit ma
intervention pour hernie étranglée, soit 28 ans après le début de l'
affection
. AUTOPSIE. - A l'examen macroscopique du cervea
IIe paire. L'examen fait dans le'service 27 ans après le début de l'
affection
, en 1903, a permis de constater : 1° une hémipl
gence conservée. Le malade qui a survécu 28 ans après le début de l'
affection
, est mort d'un étranglement herniaire en 1906.
qu'il observa était très vraisemblablement sous la dépendance d'une
affection
de l'artère cérébrale postérieure, n'est pas sout
cérébrale syphilitique ; il peut encore expliquer l'évolution de l'
affection
présentée par notre malade, chez lequel les sym
tons n'a été recueillie qu'en 1903, soit 25 ans après le début de l'
affection
et c'est à ce moment qu'on note l'absence des tro
rtaine de troubles sensitifs cons- tatée 23 ans après le début de l'
affection
nous montre que si ceux-ci ont existé, ils n'on
n'ont pas persisté jusqu'à une période aussi éloignée du début de l'
affection
. Nous ne retrouvons pas dans notre observation
CÉ DE LÉPINAY et INFROIT. Les cas de dysostose cléido-crcznienne, l'
affection
décrite pour la pre- mière fois par MM. Pierre
pêtrière une jeune fille de 16 ans, qui est un bel exemple de cette
affection
(PI. XLII). Elle fit l'objet d'une présentation
le thorax. L'aspect de la tète est étrange, caractéristique de l'
affection
. Le front bombé, olympien,les bosses frontales
pas longs, effilés, comme on les trouve habituel- lement dans cette
affection
. Le rapport des doigts entre eux est normal, mais
taire. Il est à remarquer que chez les malades atteints de cette
affection
les troubles de la dentition sont assez fréquen
résente une luxation congénitale double du radius eu arrière. Cette
affection
est excessivement rare, puisque Kirmisson en 18
tisme et de dysostose cléido- crânienne. Le mécanisme de ces deux
affections
est en effet bien différent, ainsi que l'ont mo
bien l'origine thyroïdienne. Ainsi se trouveraient rapprochés cette
affection
et le rachitisme (Po- rak et Durante) qui parai
on interne. Ainsi pour- rait s'expliquer la coexistence de ces deux
affections
chez le même malade. En tout cas, à la base de
ortants ; sa femme u'a pas fait de fausse couche. Il n'a eu d'autre
affection
oculaire qu'un orgelet, l'an dernier, et on ne lu
tes ou trop peu explicites pour servir utilement à l'étude de cette
affection
; on peut néanmoins établir que la forme paraly
s psychoses et névroses sont ici comme pour les autres toxiques les
affections
les plus fréquentes et les plus sérieuses. Ayan
^MTT Chez ce malade, il s'est donc développé depuis quatre ans une
affection
complexe constituée surtout par des symptômes m
omyélie s'impose. ' Mais il ne nous suffit pas d'avoir catégorisé l'
affection
dont souffre ce malade, il faut préciser le siè
10 ans, d'un iritis, dont la nature resta indéterminée. Cette même
affection
récidiva il y 3 ans. En mars 1901, eczéma humide
é à 14 mois et toujours bien. Elle eut la rou- geole à 2 ans. Cette
affection
exceptée, la santé fut parfaite. Bon état général
n a constatés chez notre malade : c'est-à-dire la longue durée de l'
affection
, les signes simulant une simple sténose du cardia
cinations désagréables, parfois terrifiantes. D'autres avaient pour
affection
l'angoisse et le désespoir. Le malade P... voyait
urant de la semaine qui suivit la capitulation. Les formes de cette
affection
cérébrale étaient les suivantes. Dans trois cas
ours ordinaire, une amélioration progressive se fit remarquer ; les
affections
de tristesse et d'angoisse devinrent plus rares
s de Pau et de Montpellier sont presque les seuls où subsiste cette
affection
dans les statistiques ; c'est que le maïdisme n
spéciale à tous égards et ne peut être confondue avec aucune autre
affection
. Les premiers auteurs qui eurent l'occasion d'ob-
hewnikoff, Recklinghausen admirent ainsi la combinaison de ces deux
affections
pour expliquer les cas qu'ils eurent l'occasion d
u'il puisse exister certains points de rapprochement entre les deux
affections
ainsi que le fait remarquer Rectdinghausen : lési
symptôme de la syringomyélie et est tout à fait indépendante d'une
affection
surajoutée, comment expliquer la genèse de ce tro
et ce n'est qu'au (1) Faisans, Des hémorragies cutanées liées à des
affections
du système nerveux el en particulier du purpura
AR CHARON, DEGOUY et TISSOT, d'Amiens. L'achondroplasie est une
affection
aujourd'hui bien connue tant dans son aspect cl
d'autres, mais qui semble plus profonde-encore quand il s'agit des
affections
congé- nitales. Le cas qui fait l'objet de cett
mité physique (pied-bot congénital); quatre sont morts en bas-âge d'
affections
banales, un autre n'a vécu que deux jours, un der
sing (5) a publié trois cas de porencéphalie ; il conclut que cette
affection
est la conséquence de processus pathologiques var
- thétose et la chorée familiales, etc. On aurait ainsi un groupe d'
affections
à début insidieux dans le jeune âge, à évolutio
radius il l'extrémité du médius). (1) IIAusHALTEB et COLLIN, Les
affections
spasmodiques de l'enfance ; classification et p
et 1900. 438 JIALIPRÉ ET UÉBERT Son père était atteint de la même
affection
. Sur 9 enfants dont 4 sont vivants (un (ils et
faisons allusion à l'achondroplasie, c'est que le souvenir de cette
affection
nous est revenu en mémoire en apercevant le premi
nt s'imposait à première vue. Bien que très dissemblables, les deux
affections
ne défient pas toute comparaison. Il semble que
consécutives à l'ingestion d'écrevisses, de moules, de fraises, aux
affections
de foie, etc... » N : TT1m (8), auquel nous emp
e « torticolis mental ? Le malade, M. B..., âgé de 44 ans, a vu son
affection
débuter au mois de septembre 1905. D'un naturel
n, c'est qu'à dater de cette époque l'attention s'est fixée sur les
affections
consulsives de la têle et du cou, assez peu étu
a- tion sera poursuivie pendant une longue durée. Car il s'agit d'
affections
tenaces, changeantes, capricieuses, dont la mar
; il me tardait d'arriver et l'attente exaspère généralement notre
affection
; je me suis trouvé mieux à domicile. Ma famill
malade atteint de torticolis mental a besoin d'être éclairé sur son
affection
, et non seulement sur le traitement à exécuter, m
psychiques est en faveur de l'existence d'un facteur mental dans l'
affection
. 3 février 1903. 1° « Je traverse en ce moment
jours. On retrouve ensuite son efficacité correctrice. 2° Quand l'
affection
se prolonge, il est bon de recommencer les pre-
ne crise très violente, comme il s'en produit parfois au cours de l'
affection
. La situation des malades der vient intolérable
ffraie pas encore ; je me suis en effet rendu compte que dans cette
affection
il ne faut s'étonner, s'alarmer ni trop se réjoui
e je n'avais à ma disposition qu'une faculté déjà en- dommagée, mon
affection
me rangeant dans la catégorie des abouliques ?
t. Je ne puis incriminer que l'état pathologique auquel est due mon
affection
. Remarques. 1° Voici un nouvel exemple de rechu
- sements articulaires que l'on observe pendant toute la durée de l'
affection
ces bruits ne s'accompagnent d'ailleurs pas de
première manifestation au moins sensible de l'état mental que cette
affection
comporte, et cet état aurait été cependant en ger
er un baume, elle était de bon conseil et recommandait la femme à l'
affection
du mari. Elle constitua le premier personnage t
ait entendu dire qu'on donnait du sulfate de quinine pour certaines
affections
de l'oreille (vertige auriculaire), fut frappé
sterait pas une certaine constance dans'l'ordre des causes de cette
affection
nerveuse. C'est ainsi que dans un cas très signi-
me clinique per- met d'éliminer, dans la recherche de la cause de l'
affection
, aussi bien la théorie de l'aplasie lamineuse q
° 1, 1903.) Les auteurs pensent qu'il y a lieu de distinguer dans l'
affection
décrite par Brissaud et Meige, deux variétés :
vrai de considérer l'ostéomalacie comme un syndrome que comme une
affection
indépendante. G. C. XXIV. Du crâne ostéomalaciq
s infectieux, peuvent très probablement la produire. mais parmi les
affections
susceptibles de produire cette polyar- thrite a
litérantes qui paraissent être la caractéristique de la plupart des
affections
syphilitiques tertiaires, de toutes les cirrhos
e Vilna). - Il s'agit d'une enfant de dix ans. A six ans elle a une
affection
fébrile qui dura huit jours. Aussitôt après, el
seur agrégé Jeanselme, mettre sous vos yeux un malade atteint d'une
affection
relativement rare dans nos climats, mais qui po
demeurée endémique, tend à devenir de plus en plus fréquente. Cette
affection
, il importe de la bien connaître parce qu'elle
diagnostic très grave dans ses con- séquences. C'est qu'en effet l'
affection
que je vise en ce moment est contagieuse, trans
- tueuse. C'est donc; Messieurs, un des syndromes nerveux d'une
affection
bacillaire pouvant être beaucoup plus généralisée
s quinze enfants du ménage, neuf sont morts de fièvre typhoïde ou d'
affections
indéterminées; des six vivants actuellement, ci
tteint d'acné hypertro- phique, si la coloration rouge vif de cette
affection
ne faisait ici défaut. 1 1 Fig. 17. tUb CLI
nce. C'est que ces deux cas relèvent en réalité d'une seule et même
affection
, dont je veux devant vous déterminer la nature
uelques développements à l'examen de ce problème du diagnostic de l'
affection
causale en pré- sence de laquelle nous nous tro
us vos yeux, cette autre malade atteinte en effet de cette dernière
affection
: chez elle comme chez les deux précédents nous
sculaire par poliomyélite est donc à rejeter. Mais il est une autre
affection
qui se rapproche assez du l'atrophie musculaire
ins n'est pas non plus tout à fait celle que réalise cette dernière
affection
; du côté des membres inférieurs, nous n'avons p
es anormales; cette même maladie et ceci m'amène à vous parler de
affection
qui a donné lieu à de longues discussions, je va
re la maladie de Morvan. Jen'insisterai pas sur la description de l'
affection
décri le po la première fois par Morvan sous le
, notamment MM. Joffroy et Achard ont-ils voulu identifier les deux
affections
, et ratta- cher la maladie de Morvan à la syrin
, mais demeurant par sa nature et son agent pathogène identique à l'
affection
que l'on désigne sous ce même nom dans d'autres
vos yeux une de nos malades du service atteinte de cette der- nière
affection
et que je vous ai présentée dans une de mes leç
rencontrons une cypho-scoliose extrêmement accusée, de plus, cette
affection
est une maladie familiale : voilà donc autant d
ion par le plomb pas plus que par l'alcool. En présence de quelle
affection
nous trouvons-nous donc ? Vous ferez de vous-mê
e. ' Mais ce n'est pas assez que d'avoir déterminé la nature de l'
affection
en cause dans le cas présent et le diagnostic ser
, mais rien jusqu'ici ne nous autorise à admettre la contagion de l'
affection
elle- même durant la vie intra-utérine. Comme
considérés comme insuffisants pour permettre d'identifier les deux
affections
. En outre, les lésions de sclé- rose décrites a
lade qui fait l'objet de celte leçon. Connaissant bien maintenant l'
affection
dont il est atteint, quel pronostic convient-il
e et heureux avec son mari. Deus, au milieu de la perplexité de ces
affections
, n'est point jaloux, il garde une sérénité surh
e celui que je l'envoie.» Deus arrive ainsi à se confondre auec ses
affections
profanes et pas plus qu'elle il n'y voit une in
ner des tables, elle n'a plus d'hallucina- tions, elle a repris une
affection
normale et vive pour son mari. Elle cultive la
à quelques centimètres de sa tête. Il n'a plus de lui-même que son
affection
pour les siens; son moi qui l'a fui n'habite plus
des épileptiques ; par C. CirNi. Contribution à la patho- logie des
affections
cérebrales toxiques ; pal' W. 1 LTEIt. - Contri-
ent. Elle ouvre la voie à une thérapeutique spécifique de certaines
affections
men- tales. On peut s'efforcer de pousser à la
ants, s'exagère de concert avec les autres réflexes dans toutes les
affections
cérébrales et dans les affections cérébrospinal
s autres réflexes dans toutes les affections cérébrales et dans les
affections
cérébrospinales siégeant au-dessus du ren- flem
jusqu'à ce jour a été observée presque exceptionnellement dans les
affections
organiques graves du système nerveux. P. IiEnAV
maladie du foie progressait plus vite. Nous n'avons pas rencontré d'
affection
hépatique dans les cas de naevi multiples, et n
qui nous tombâmes, était une timide. Ma timidité est donc bien une
affection
héréditaire. « Développement de la timidité. L'
s, consécutifs aux psychoses. Les démences vésaniques sont donc des
affections
essentiellement secondaires, et 212 SOCIÉTÉS SA
u point qu'il devient très rapidement impossible de reconnaître l'
affection
initiale dont elles dérivent. Aussi se borne-t-on
liniques, anatomiques et étiologiques qui empêchent de considérer l'
affection
étudiée, sur- tout en Allemagne, depuis une diz
ajorité des cas par la perte complète de la raison. Le début de l'
affection
est habituellement marqué par des trou- bles né
précoces, en effet, incomplet, quoique global, au point de vue de l'
affection
, se manifeste d'abord dans la sphère des sentim
fisante. Lorsqu'il existe à l'état isolé pendant tout le cours de l'
affection
, sans conceptions délirantes, sans hallucinatio
er en dehors de la démence précoce, mais c'est seulement dans cette
affection
qu'ils se présentent sans relation avec des idé
démence précoce, à passer en revue les signes phy- siques de cette
affection
, mais comme ils n'ont pas encore acquis une rée
é morbide. Aussi bien n'est-ce pas la valeur nosographique de cette
affection
qui est aujourd'hui en discussion, mais uniquem
us détaillée de celle déjà donnée par Morel, ou si, au contraire, l'
affection
doit être élevée au rang d'entité nosologique n
a paralysie générale et, cependant, l'origine accidentelle de cette
affection
n'en est pas moins proclamée par la grande majori
ut peut-être en chercher la cause dans la brusque interruption de l'
affection
par une maladie intercurrente, ainsi que le fait
quise, est, au même titre et dans la même mesure que cette dernière
affection
, une maladie fortuite et accidentelle . Après l
isons qui nous empê- chent d'envisager la démence précoce comme une
affection
secon- daire ou consécutive à certaines psychos
c., ont également établi que la mélancolie n'exis- tait, en tant qu'
affection
autonome, que comme manifestation 222 SOCIÉTÉS
i sur les caractères différents que présen- tent ces idées dans les
affections
que nous venons de citer (imbé- cillité, débili
s conditions, est-on réellement fondé à séparer aussi nettement des
affections
qui reconnaissant un même substratum, ne différ
sychiques, indépendamment de toute autre manifestation morbide. Ces
affections
mentales, que l'on appelait jusqu'ici manie, mé
discussion ne parait porter que sur les limites à assigner à cette
affection
. Pour ma part, je pense qu'il y a lieu de réser
30 malades atteints de démence précoce à différentes périodes de l'
affection
. Nous avons pu constater, au début de la maladi
outre, dans la majorité des cas, on trouve, aux divers stades de l'
affection
, une leucocytose très modérée, portant de préfé
se des dégénérés, etc.). Qu'elles soient symptomatiques ou non, ces
affections
sont trop solidement éta- blies par la traditio
rance pendant de longues années, je déclare au contraire, que cette
affection
est extrêmement fréquente. Toutefois, les argumen
mentale pour en déduire l'origine toxé- mique de la première de ces
affections
. Fussent-elles même com- parables à celles de l
ttribuées à une intoxication secondaire, tout à fait en dehors de l'
affection
céré- brale et sous la dépendance de la stéatos
i enlever encore la démence précoce; mais, pour établir que cette
affection
est une psychose accidentelle et non constitution
ères psychologiques de la Démence précoce et des . limites de celte
affection
. Le or René 11ASSELON (de Pau). Les caractères
négativisme... etc., ne sont que des symptômes secondaires de cette
affection
: ils ne sont que les manifestations de l'affai
stic; le second a voulu démêler les limites psychologiques de cette
affection
. Mais avec M. Paul Garnier (de Paris), dont le
enir compte, dans l'anatomie pathologique de la moelle humaine, des
affections
qui ont nécessité l'intervention opératoire, l'
opératoire, l'amputation d'un membre, par exemple, ainsi que des
affections
ou infections associées diverses, intercurrentes
er la théorie si rationnelle, qui fait de la paralysie générale une
affection
due surtout à l'usure cérébrale, les autres cau
vient générale- ment avant la plupart des symptômes du tabes ; 3° l'
affection
à laquelle on donne le nom de « tabes avec céci
u dehors, si on avait soin de les hospitaliser dès le début de leur
affection
menr tale, on les, empêcherait dans l'immense m
100). Ce phénomène, se rencontrant dans un grand nombre d'autres
affections
et même à l'état normal, constitue un facteur ban
s anesthésies (63,63 p. 100) ; Son existence dans un grand nombre d'
affections
toxiques infectieuses et même à l'état normal n
e la cause du' syndrome. Du moins nous verrons qu'en guérissant ces
affections
nous supprimerons du même coup la douleur épiga
ses, le traitement général de la neurasthénie étant institué et les
affections
concomitantes soignées, s'il y a lieu, le seul
ur 4 (voir thèse Privât). L'utérus n'est pas toujours le siège de l'
affection
; il existe parfois des foyers secondaires : ar
e chez les prédisposées. D'autre part, il est probable que d'autres
affections
abdominales (utérines, ovariques, etc.) pourrai
ajorité de nos malades était arrivée à un stade déjà avancé de leur
affection
, ce qui explique ce pourcentage de beaucoup sup
rencontré une association de cette maladie particulière à d'autres
affections
du système nerveux (ictus cérébral, etc.) dont
nasales, Paris, n° 161]. On con- nait de lui un Traité pratique des
affections
nerveuses et anémiques considérées dans les rap
ail dans lequel l'auteur étudie successivement l'état normal et les
affections
dans lesquelles on rencontre des anoma- lies de
moyens de traitement. 7° On les observe de loin en loin dans les
affections
organiques du cerveau. Quand il n'existe pas de
nts dont l'aîné est bien portant et le plus jeune a eu une fois une
affection
pulmonaire ( ? ). Sa femme a avorté deux fois.
re normale des deux côtés. On a donc sous les yeux les traces d'une
affection
spinale aiguë. L'atrophie de la jambe gauche, s
e de la jambe gauche, sans accidents paralytiques, tient à ce que l'
affection
est survenue pendant la période de développe- m
ssemblant à celles de la myélite aiguë. , P. KERAVAL. XXXIII. Des
affections
mentales et nerveuses à la période secon- daire
2.) Observations de trois jeunes filles chez qui la crainte d'une
affection
pulmonaire détermina des crises nerveuses alterna
es lésions syphilitiques à forme de méningo-encéphalite et dans les
affections
d'origine vasculaire. Parfois même les processu
eu d'oedème ni aucun phéno- mène morbide pouvant faire supposer une
affection
des reins. Est-ce de la myoclonie ? Cela y ress
es convulsions choréiques. Les muscles de la face étant épargnés, l'
affection
côtoie la myoclonie de Friedreich. Ce sujet a aus
s au cerveau. Minkowski, Grawitz, Krewer font de la myoclonie une
affection
cérébrale. Lorsqu'elle se produit dans l'épilepsi
photothermothérapie est appliquée avec succès à un nombre énorme d'
affections
constitutionnelles, de troubles de la nutrition
l'estomac ni l'intestin. Mais ce n'est pas un spécifique de quelque
affection
mentale : il faut pour que la substance agisse
tions morbides, l'évolution, le pronostic et le diagnostic de cette
affection
, l'auteur étudie les diverses théories pathogén
et clair pour l'étude de la maladie la plus répandue de toutes les
affections
du système nerveux. Pierre Roy. VARIA. Les
re de potassium ou les bromures associés, n'en voit pas moins son
affection
s'aggraver à tel point que, en janvier 900, un
leur faisant connaître toutes les phases que peut parcou- rir leur
affection
et en les amenant non seulement à accepter tout
E pathologiques. d'aliénés de Volières un séjour d'un mois pour une
affection
mentale aiguë et qui présentait depuis sa naiss
éléments cliniques clairs. Les cinq autres se décomposent en : une
affection
syphilitique des vaisseaux du cer- veau ; une p
ans les diverses maladies. L'angoisse s'observe : dans les diverses
affections
du système nerveux ; dans les affections des vo
bserve : dans les diverses affections du système nerveux ; dans les
affections
des voies respiratoires; dans les maladies du c
lysies bulbaires, les lésions méningo-encéphaliques basilaires, les
affections
médullaires, du cervelet, dans la paralysie gén
oisse est un symptôme classique de l'angine de poitrine; toutes les
affections
cardio-aortiques peuvent donner lieu à des vari
ions ou auto-intoxications s'accompagnent d'angoisse, ainsi que les
affections
qui intéressent le sympathique. De cette étud
com- mandent ce syndrome sont directement atteints : 2° Quand une
affection
quelconque retentit par influence sur ces mêmes
té nerveuse, la suggestion hypnotique, l'autosuggestion. Mais cette
affection
semble assez résistante. P. Keraval. XIII. La f
XIII. La folie hallucinatoire qui se développe à l'occasion d'une
affection
commune de l'ouïe ; par W.-M. Bechterew (Obozréni
W.-M. Bechterew (Obozrénié psiclaiutrü, VIII, 1903.) Entre toutes
affections
des organes des sens, celles de l'ouïe présente
es ou autres interprétations analogues y jouent un grand rôle. Si l'
affection
de l'ouïe ne guérit pas, si les hallucinations
udo-tumeur cérébrale avec guérison. L'auteur a observé 12 cas d'une
affection
caractérisée par l'en- semble symptomatique dû
oubles moteurs, ni les troubles sensitifs caractéristiques de cette
affection
. 420 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Malgré ces
s un exposé historique et critique de la catatonie considérée comme
affection
autonome, l'auteur relate les observations de tro
ir examiné l'hypothèse d'une paralysie faciale antécé- dente, d'une
affection
protubérantielle ou bulbaire absente, dia- gnos
au peaucier du cou. Ce jeune homme aurait eu, il y a sept ans, une
affection
faciale semblable. Sa guérison s'effectue en de
signe physique de dégénérescence, état général très bon. Début de l'
affection
à douze ans, par des tics de la face; ces tics
leptiques (34 p. 100) et des paralytiques généraux (20 p. 100). Les
affections
du second groupe se répartissent comme suit : 1
uent les phénomènes caractéris tiques de l'hallucinose. Certaines
affections
des organes des sens peuvent, peut-être, dans c
ientifiquement et qui, réunis, constituent la symptomatologie d'une
affection
mentale. Bien que soumise à une force qui opp
'origine mus- cataire locale (traumatique ou infectieuse), de cette
affection
; 2- que l'absence de lésions au niveau du systè
s du sympathique cervical) ne permet pas non plus d'attribuer cette
affection
à une lésion névritique; 3° qu'il existe une lé
mes présentant les caractères cliniques et l'allure évolutive d'une
affection
organique, ils leur donnent le nom dhé- mispasm
iologie des malades, de violentes névralgies faciales ou dentaires,
affection
ou lésion ayant intéressé quelques-unes des ter
yant intéressé quelques-unes des terminaisons de la V" paire. Ces
affections
ont pu produire, à la longue, des lésions dégéné-
la plupart des auteurs (Freud, Rosenthal, Lannois) est rattaché aux
affections
spasmo- paralytiques de l'enfance, aux diplégie
ente des troubles intellectuels font penser qu'il s'agit bien d'une
affection
organique. - Dans la seconde observation il s'a
iceps. Le malade'ne présente aucun trouble de la conscience, aucune
affection
organique, il est seulement émotif et violent,
e sujet jeune fille de dix-huit ans des symptômes cliniques de deux
affections
différentes, résul- tant de l'insuffisance de d
la nature des rapports qui unissent les deux termes principaux de l'
affection
, myélite aiguë et névrite optique, de nombreuse
de choline dans le liquide céphalo-rachidien permet d'affirmer une
affection
organique. Noter enfin 21 indications bibliogra
s'était passé, n'attribua la mort de E... qu'aux effets de la grave
affection
organique si visible sur les pièces anatomiques.
dipose. Un cas d'- douloureuse, par Raymond et Guillain, 74. >
Affections
céhlbrales. Contribution à la pathologie des --
caractères psychologiques de la - précoce et des limites de cette
affection
, par Masselon, 231. de la pu- berté, par Mari
et Robineau, 249. De la - de l'arcade zygomatique, comme signe d'
affection
organi- que des parties essentielles du cerve
réditaire tardive à forme cérébro-spinale, par Richon, 57. - Voir
Affections
mentales. et divorce, par Mor- rouir, 4'9.
troubles des mouvements volontaires. « Le symptôme capital de cette
affection
, celui qui pour ainsi dire la constitue toute ent
tout en montrant quelquefois un peu de diminu- tion ; enfin, cette
affection
s'accompagne parfois d'un état psychique assez
qui peut donner lieu (1) Fricdreich (Buda-Pesth) a observé dans les
affections
des reins, des hématuries oc- casionnées par la
he treatement by suspension of locomotor ataxy and some others spinal
affections
London 1889. Neurol. Cent. Bl., 7, p. 204, 1889
des passions 40 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ou à des
affections
opposées ne produit pas une résultante expressive
dislance de plus de cinq mètres. Nous ne pouvons pas admettre que l'
affection
de l'oreille droite soit la cause de la contrac
la peine ! La sueur lui coulait du visage ; on a beau dire que les
affections
di- tes hystériques ne sont que des supercherie
commun avec ces deux maladies, qui les sépare nettement des autres
affections
caractérisées ou des mouvements involontaires rhy
dies du système nerveux (1), Il nous sera permis de citer parmi ces
affections
: la maladie de Friedreich, la sciatique, la ma
roge toujours l'écriture, lorsqu'il s'agit d'un sujet atteint d'une
affection
nerveuse avec des troubles de la parole ou du m
rents n'auront pas su faire la différence. Chez un de mes malades l'
affection
a débuté par une attaque apoplectiforme au dire
re ou des déformations articulaires. Dans le seul stade ultime de l'
affection
, l'impotence peut-être assez marquée pour mérit
uue mère morte à 53 ans dans un état de démence con- sécutive à une
affection
mélancolique prolongée. Ilaunesueur aînée âgéede2
là renvoyé à Paris où il arrive le 21 (11 jours après le début de l'
affection
). Son médecin ordinaire l'examine et diagnostique
des fractures de même nature qui se produisent fréquem- ment dans l'
affection
spinale dont il s'agit. La modification anatomiqu
, voici un malade chez lequel un mois a peine après le début de son
affection
nous avons pu dépister le lattes bien qu'il se ma
ns pathogéniques proposées par certains auteurs il propos de chaque
affection
particulière. Cela fait, nous examinerons l'ens
, qni est véritablement monstrueuse, relève bien et dûment de celle
affection
et il ne saurait être question d'une déviation in
us de 10 ans, se porte bien. Les quatre autres ont suc- combé à des
affections
aiguës. Pas de maladies nerveuses connues dans la
ément invoqué ces modifications du rachis, semblables dans les deux
affections
, comme un argument en faveur de leur identité.
'est dire que ces dernières appartiennent à la symptomatologie de l'
affection
. Laborde (3) leur consacre dans sa mo- nographi
QUES. 159 Sans parler des faits cle Friedreich, qui constituent une
affection
particu- lière, distincte du talles, on relève
de nouveaux cas surgiraient. Cependant les déviations liées à cette
affection
cérébro-spinale sonl, à n'en pas douter, relative
laquelle la scoliose paraît d'ailleurs être au moins fort rare, les
affections
médullaires énumérées s'accompa- gnent toutes d
tions il est facile de déduire le pronostic de l'athétose double. L'
affection
persiste toujours sans amélioration appréciable,
sidère l'athétose double comme un simple syndrome, en particulier d'
affections
cérébrales, discuta l'indication chez les athét
die de Friedreich, la sclérose en plaque, paralysie agitante, etc.,
affections
autonomes et bien distinctes et enfin les mouve-
les éléments nécessaires pour reconnaître l'athétose double. ` Il
AFFECTIONS
POUVANT SIMULER L'ATHÉTOSE DOUBLE Chorée de S
ER L'ATHÉTOSE DOUBLE Chorée de Sydenham. En ce qui concerne cette
affection
, il faut établir une distinction, suivant que l
ères de mouvements involontaires diffè- rent beaucoup dans les deux
affections
, qu'il nous suflise d'indiquer quel- ques-uns d
n'a aucune influence sur les mouvements involontaires dans les deux
affections
. Les impressions morales les augmentent aussi d
nt. Chorée chronique. La chorée chronique est à peu près la seule
affection
avec laquelle il soit facile de confondre l'athét
ier, en 1881, en lui donnant le nom de paramyoclonus multiplex, une
affection
ca- ractérisée aussi par des mouvements involon
ant eux, echolalie, echokinésie. Enfin l'état mental, dans ces deux
affections
est bien différent, chez les malades atteints de
date ancienne peut survivre longtemps, peut-être indéfiniment, à l'
affection
primitive. Il y aurait lieu de penser, en parei
ègle que la guérison de la difformité aille de pair avec celle de l'
affection
douloureuse. De ce que la déviation a sur- vécu
n douloureuse. De ce que la déviation a sur- vécu quelque temps à l'
affection
première, on ne saurait conclure qu'elle (1) Vo
senté à la Société mé- dicale des hôpitaux, un malade chez lequel l'
affection
s'était dénoncée de cette manière. Il sera pa
tient la scoliose pour très exceptionnelle dans la première de ces
affections
: il en cite pourtant un cas : il s'agissait d'
déviations latérales du rachis clans l'hémiplégie infantile. Cette
affection
détermine une attitude vicieuse, que personne ass
vertébrales sont en effet fréquentes, comme on sait, dans plusieurs
affections
spinales, et d'autre part il n'est pas rare de
te et dorso-lombaire gauche. De ces deux malades, l'un avait vu son
affection
apparaître dès l'âge de ans ; âgé de 19 ans, il
cromégalie, si toutefois cette maladie doit prendre place parmi les
affections
nerveuses. M. Broca (2) a étudié le rachis d'un
naction relative. Au contraire, pendant presque toute la durée de l'
affection
ils marchent, ils se tiennent debout ou assis e
ullaires. Nous ferons observer qu'elles appartiennent surtout à des
affections
systématisées, avec lésions le plus souvent sym
paralysie infantile, la maladie de Friedreich, le tabes. Toutes ces
affections
attei- gnent, à des degrés divers, la substance
t comme la plupart des chirurgiens français, nous croyons que cette
affection
relève d'un trouble portant sur le squelette du
énération se manifester, dans une même fa- mille, à la fois par des
affections
nerveuses, et par des malformations diverses, 2
seule nous intéresse directement, nous ne saurions la rattacher à l'
affection
pleurale. Si cette 'relation existait, si un trav
ses, dans certaines familles, l'association de la scoliose avec les
affections
ner- veuses. M. Tuffier de son côté nous en cit
résenté concurremment avec deux au- tres sujets atteints de la même
affection
, bien que présentant un aspect exté- rieur diff
tout le côté droit du tronc, dos membres et du cou furent pris et l'
affection
resta unilatérale jusqu'en novembre 1891 ; dans c
au membre supérieur, il a été impossible de préciser la nature de l'
affection
, et l'on s'explique aisément les soupçons de cont
t cette réaction paraît de plus en plus réellement spéciale à cette
affection
. -Aussi, pour terminer cette étude, croyons-nou
ravail, examiné titre de comparaison de nombreux malades atteints d'
affections
diverses du système nerveux ou du système muscu
ce qui concerne l'évolution, à l'encontre de ce qui se passe dans l'
affection
athétosique, on peut observer de grandes amélio
sains. En ce qui concerne les autres symptômes de l'une et l'autre
affections
, la plupart se confondent. L'étiologie est la m
e avec la tétanie. La tétanie, dans sa forme commune, est aussi une
affection
de l'enfance et cle l'adolescence ; cette règle
le, la genèse de la tétanie. C'est surtout chez les nourrices que l'
affection
se montre avec prédilection, au point que Trousse
doubles,. nous ne voyons en réalité rien qui simule cette dernière
affection
. Paralysie infantile. Tout récemment, Massalong
il était impossible chez son malade de soupçonner l'existence d'une
affection
autre que la pa- ralysie infantile et cela du f
des malades atteints ÉTUDE CLINIQUE sur l'athétose DOUBLE. 261 d'
affections
nerveuses. L'hystérie de la mère a été observée p
est d'ailleurs à cette époque qu'apparaissent généralement nombre d'
affections
cérébrales : scléroses, pachyméningites, méning
je veux vous entretenir au- jourd'hui : le traitement de certaines
affections
du système nerveux parles vibrations mécaniques
es triomphent de l'insomnie lors- que celle-ci n'est pas liée à une
affection
organique de l'encéphale. - Dans trois cas, la
particulier les vertiges et le casque douloureux si spécial à cette
affection
. Ce qui semble bien montrer que les vibrations ag
des phénomènes qui forment un si douloureux cortège à cette cruelle
affection
. M. Enrico Morselli s'est placé à un autre poin
lus encourageants d'autant qu'on s'est adressé à des malades dont l'
affection
avait jusqu'alors résisté aux mé- dications les
eux. DEUX CAS D'ANOREXIE HYSTÉRIQUE L'anorexie hystérique est une
affection
qui ne s'observe que chez les jeunes filles, en
ndes pour qu'on puisse y songer dans ce cas. II y a par contre deux
affections
qui ne sont pas sans analogie avec l'ob- servat
ésie et sans douleur. Il a quitté St-Antoine en 1888. Depuis lors l'
affection
a continué à évoluer lentement. Du côté des mai
très rare. Nous croyons, avec Massalongo, Osier et Audry, que cette
affection
n'est pas si rare que çà. Nous savons, d'autre
ait la que d'un syndrome. Tout le monde convient qu'il s'agit d'une
affection
de l'encéphale. Mais les divergences d'opinions
te qu'en réalité l'athé- tose double peut être considérée comme une
affection
céréGro-spiaccle; mais les autopsies ne permett
roscopique de la moelle n'a pas révélé d'altération. En résumé, l'
affection
décrite pour la première fois par Clay-Schaw est
ment si nous considérons à part chacun des termes qui constituent l'
affection
, nous pourrons retrouver ces termes épars dans d'
e fixe, à pronostic connu, à diagnostic certain ; comme toute autre
affection
, il est incontestable qu'elle présente des degr
OSE DOUBLE. 307 CONCLUSIONS. 1° L'athétose double paraît être une
affection
autonome, sur les lésions de laquelle nos conna
ière les mouvements athétoïdes existeront toujours les si- gnes des
affections
qu'ils viennent compliquer (tabes, paralysie infa
acilement en général d'après les symptômes propres à chacune de ces
affections
. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Adsersen. Bildrag til
ui montre bien qu'il n'y a pas la, dans la pathologie, une classe d'
affections
à part, gouvernées par d'autres lois physiologiqu
1859, marque décidément une phase nouvelle dans l'histoire de cette
affection
. Il suffit, pour s'en convaincre, de se reporte
e chorée ou chorée anormale, suffit à expliquer et à cataloguer les
affections
les plus dispara- tes du système nerveux. Voici
deviennent plus rares. Raulin, nous dit Briquet, a cité trois cas d'
affections
hystériques hé- réditaires qu'il avait vus chez
s'identifient au point d'être souvent confondues ; tant pis si ces
affections
s'associent parfois d'une façon si intime en mêla
pris, du docteur Fabre (de Mar- seille) sur l'hystérie simulant les
affections
cérébrales (1). Plus loin, au chapitre des pseu
vec pru- dence sans doute, mais aussi avec confiance l'étude de ces
affections
redou- tées, pénétrés que nous sommes de la sûr
e et un fumeur. Il y a environ dix ans, on a dû le soigner pour une
affection
du fond de l'oeil qui a laissé après elle un affa
r ce jeune malade ; M. Simon étant alors absent, le diagnostic de l'
affection
, tel que nous le formulerons plus loin, fut por
e encyclopédique, reposaient dans leur ensem- ble sur la forme de l'
affection
qui était nettement hémiplégique et sur les car
nt nombreuses, quand on étudiait le mode de début et la marche de l'
affection
; nous y reviendrons plus loin. Ce que nous vou-
ntile débuter après l'âge de 4 ans. Quant aux caractères mômes de l'
affection
, ils présentaient des notes discordantes. En pr
vulsires. Nous insisterons davantage sur le début et la marche de l'
affection
. L'hémichorée qui dure depuis 7 ans a suivi une
tard, subitement, il la suite d'un choc traumatique, en sorte que l'
affection
ac- tuelle a évolué par saccades et brusqueries
cédents personnels, il se rappelle avoir souf- fert seulement d'une
affection
fébrile dans son enfance ; d'épistaxis fré- que
en delà faradisation modérée et prolongée des artères dans diverses
affections
où ce procédé promettait un succès d'après des lo
onstrictrice ou non ? Quelle doit être la méthode s'il s'agit d'une
affection
d'un centre nerveux ou d'un viscère ? Le grand
e l'efficacité de la faradisation vaso- constrictrice dans diverses
affections
. Je préviens le lecteur que ces inter- prétatio
temps que je faradisais la région cervicale supérieure du côté de l'
affection
. On pose suivant Remak, pour galvaniser le gran
ations me manquent. Les altérations anatomiques qui constituent ces
affections
ne promettent pas de succès à notre traitement.
éophore ne soit pas trop gros. Passons maintenant au traitement des
affections
qui siègent dans le canal vertébral. Il faudr
tout le monde est d'accord sur la nature de la maladie ; c'est une
affection
inflammatoire. Tout en reconnaissant que ce n'e
nt que ce n'est pas la fluxion seule qui constitue anatomiquement l'
affection
, tous les auteurs recommandent des moyens qui t
e de séances. ,' L'atrophie musculaire décrite par Duchenne est une
affection
dans le genre de la myélite. Je n'ai pas eu l'o
s latéraux qui, comme on le suppose, constitue anatomiquement cette
affection
, ne tend pas à détruire les éléments nerveux ra
tend à resserrer les vaisseaux dilatés ne soit indiquée dans cette
affection
. Mais l'effet immédiat d'une séance sur les mou
' Dernièrement, nous avons vu une malade de Pologne atteinte d'une
affection
douloureuse de la vessie, à laquelle le professeu
l'être, non seulement dans l'épilepsie, mais dans un grand nombre d'
affections
du sys- tème nerveux. 1 . Observation I. ÉPIL
r deux cas de méningite et l'épilepsie de notre malade, II. Cette
affection
aurait été précédée de nombreuses con- vulsions
iopathique, nous ont permis de constater, à certaines périodes de l'
affection
, la présence .constante d'un microorganisme. '
que la dégénérescence corticale de la paralysie géné- rale est une
affection
élective de l'écorce du cerveau, qu'elle obéit à
âter et n'en témoignait pas de regret. Sa cécité, la gravité de son
affection
, ne l'ont jamais frappé ; il n'en disait rien,
des yeux ne s'y rattachait plus. On opina pour l'indépendance de l'
affection
cérébrale et de l'affection ocu- laire, ayant c
plus. On opina pour l'indépendance de l'affection cérébrale et de l'
affection
ocu- laire, ayant cependant pour cause commune
te observation doit en cette manière être rapprochée des exemples d'
affection
cérébrale ou spinale compliqués de névrite opti
conjonctive est énorme et les tubes, nerveux sont très raréfiés. L'
affection
était familiale et, fait curieux, le ' phénomèn
yphilis fût prouvée. La névrite hypertrophique serait donc la seule
affection
pouvant donner le signe d'Argyll sans syphilis.
lade meurt le 20 mars 1901, quatre mois environ après le début de l'
affection
. Autopsie. Les organes ne présentent pas de lés
caractères de lenteur, de scansion les trou- bles dysarthriques des
affections
cérébelleuses tels que sclérose en plaques, hér
nerveux ou d'une alté- ration de l'appareil de la vision. Parfois l'
affection
se retrou- vait chez plusieurs membres de la mê
récédents. Nous avons donc cherché à leur assigner un rang dans les
affections
du système nerveux, et nous avons tenté, d'aprè
tenté, d'après leur tableau clinique, de les enchaîner aux grandes
affections
mieux connues parce qu'on avait pu déterminer l
antage à supprimer ces dénominations inexactes et à réunir ces deux
affections
en une seule sous le nom de tremblement essenti
connus. John Thomson 2 a étudié sous le nom de spasme nuant une
affection
qu'il considère comme une névrose fonction- nel
beaucoup d'analogie avec la chorée. Il s'agit là évidemment d'une
affection
tout à fait étrangère au tremblement essentiel
durée paraît être indéfinie. En outre il y a dans cette dernière
affection
plus qu'une manifestation isolée d'une simple n
le grand-père et un oncle aveugles-nés. 11 s'agit donc ici d'une
affection
à manifestations cérébrales variables apparaissan
usement éliminé de cette étude les nystagmus symptomatiques d'une
affection
nerveuse caractérisée et ceux qui pouvaient être
une ophtalmie purulente probable au moment de la naissance : cette
affection
s'est du reste bien terminée. Il a eu quatre
n dehors de l'absence de signes plus caractérisés de cette dernière
affection
, le nystagmus est apparu dès les premiers jours
normaux. Il ne présente pas de troubles nerveux ni de signes d'une
affection
des centres ner- veux. Il offre une asymétrie
xe. Il ne nous semble pas que jusqu'à présent on ait envisagé cette
affection
sous ce point de vue ; du moins nous ne connais
l'hérédité similaire que l'on peut ins- crire en tête de toutes les
affections
familiales du système nerveux se retrouve ici f
trayons cette donnée : le symptôme a pu se rencontrer dans nombre d'
affections
céré- brales sans que la lésion paraisse avoir
publiées dans la thèse du professeur Lan- douzy, où, dans certaines
affections
cérébrales accompagnées de troubles de la motil
remble- ment dans la sclérose en plaques par exemple : dans cette
affection
les cylindraxes sont conservés, leur gaine 'de
mus et les trem- blement infantiles familiaux qui rattacheraient en
affections
congénitales à certaines des maladies familiale
jour se rendre compte de l'état des centres nerveux au cours d'une
affection
somme toute aussi légère que celle que nous ven
un mo- ment donné de leur existence des symptômes nouveaux d'une
affection
nerveuse nettement caractérisée comme la maladi
ution à moins qu'on ne considère comme une ébauche de ces grandes
affections
les symptômes surajoutés. Il est probable aussi q
xes des maladies héréditaires. Il est de - fait qu'à mesure que les
affections
.nerveuses sont mieux connues, 'des faits jusqu
de vue anatomique et séméiologique. En outre, il est rare qu'une
affection
en somme légère préoccupe les personnes atteintes
étranger d'accidents paludéens ; sa mère est morte des suites d'une
affection
cardiaque à cinquante-deux ans; elle était suje
le nous en fera le récit plus tard, lorsque, la période active de l'
affection
ayant disparu, laissera l'esprit en repos et pe
cette période de maladie : elle garda le lit durant trois années. L'
affection
, qui avait été 'précédée soit à la maison pater
'un soldat arabe profondément hystérique : un modèle classique de l'
affection
avec tous ses symptômes se succé- dant comme da
s, sont produits par l'état maladif du sujet; ils naissent dans les
affections
des centres nerveux, surtout des cornes postéri
XXVI. La conductibilité des os du crâne à l'égard des sons dans les
affections
du cerveau et de ses membranes ; par F. WANNER et
e divers diapasons et flûtes formant la gamme), à la. recherche des
affections
du cerveau et des méninges. On constate, par ex
es os est très raccourcie, alors qu'il n'existe pas de signes d'une
affection
de l'oreille interne et que l'acuité auditive e
nt ce raccourcissement t de la transmission osseuse indépendant des
affections
de l'oreille interne ? Avant tout les adhérence
rologie, 1901, n°23.) Il s'agit d'un homme de trente-six ans dont l'
affection
débuta par des douleurs au niveau de l'épaule e
o-spizccle. Quoique d'ordre fonc- tionnel et partant curable, cette
affection
peut entraîner la mort par paralysie respiratoi
rodermie en plaques, qui pré- sente quelque ressemblance avec cette
affection
. NI. Hoffmann avait proposé à la malade, qui so
», il reste, aujourd'hui encore, un des meilleurs travaux sur cette
affection
dont la bibliographie est si vaste. Jules Fal
irement les études sur la Catalepsie (185î), sur la Séméioloqie des
affections
cérébrales (1860), sur les Principes à suivre dan
par sa valeur scientifique, Jules Falret attirait la sympathie et l'
affection
par sa constante bienveillance, par son absolue
. - Dans la deuxième partie, l'auteur passe en revue les diverses
affections
gynécologiques : pour les unes, il reconnaît qu'u
e traitement et il l'expose dans tous ses dé- tails ; pour d'autres
affections
, il croit que les modalités électri- ques peuve
ant de ceux qui passent, se cachant le visage avec ses mains. Cette
affection
ayant débuté après un trau- matisme cérébral gr
ent la gravité du mal, et leur aspect suffit seul pour annoncer une
affection
cérébrale. Leur expression est généralement sin
nsion habituelle ; la contraction peut se montrer dès le début de l'
affection
. La dilatation et la contraction de la pupille so
un traumatisme crânien, ou bien encore dans le marasme dénouant une
affection
encéphalique, les états stupides, le délire aig
e influence morbide indiscutable. 5° Il semble que le pronostic des
affections
auxquelles se rapporte la dépression kératique
à l'asile dc 13ron. Sous le nom de sein hystérique on a décrit les
affections
les plus disparates n'ayant de commun que le te
en présenté d'anormal ; mère morte à l'âge de quarante- neuf ans, d'
affection
indéterminée, était mal portante et est restée
et en bonne santé aussi ; sept frères ou soeurs morts en bas âge d'
affections
indéterminées. Aucun des enfants, morts ou encore
le ne se montra pas, mais pendant un an l'enfant fut atteinte d'une
affection
cuta- née générale, et depuis quelques années s
A la mort de notre pauvre mère nous nous sommes réfugiées dans une
affection
mutuelle. Nous avons continué d'habiter l'ap- 3
à ce phénomène, le malade arfir- mant qu'il a eu il y a dix ans une
affection
oculaire de ce côté. On ne remarque pas à ce mo
atures rectales correspondantes. 312 RECUEILS DE FAITS. ' cette
affection
; 3° Produire une paralysie générale qui ne diff
si bien décrits que les médecins de l'époque, ignorants de cette
affection
, auraient pu trouver des documents complets pour
vec une jouissance qui absorbe toute l'intelligence et toutes les
affections
. L'accès dure de dix minutes à une demi-heure,
ostic de la paralysie générale. Ce sont ceux où il existe une autre
affection
capable d'expliquer la présence des élé- ments
rès considérable à la question si importante du diagnostic de cette
affection
. Discussion : M. Joffroy. Je désire attirer l'a
ar la ponc- tion chez les P. G. semble plus fréquente au début de l'
affection
et dans les phases de poussées aiguës. 1 II n
les personnes qui ont assisté aux premières mani- festations de son
affection
mentale ; le moindre bruit l'émotionne, un rien
de « neurofibrosarcomalose multiple » que nous proposons pour cette
affection
néoplasique, parce que le terme nous paraît bie
bromatose mul- tiple avec la neuro-fibro-sarcomatose. Dans ces deux
affections
, le système nerveux périphérique est envahi par
périphérique est envahi par des noyaux néopla- siques. Dansies deux
affections
, le système nerveux central peut être atteint,
la structure et l'histogenèse des noyaux néoplasiques dans les deux
affections
sont à rapprocher sur bien des points; dans la
ticulé M. Pailiias (d'Albi). Ce syndrome-a été noté dans diverses
affections
de l'axe cérébrospinal : paralysie générale, déme
ation des états neurasthéniques. Ce ne sont que des symptômes d'une
affection
somatique, symptômes derrière lesquels il faut
la fin (psychoses asthnéiques de la convalescence de Kroepelin) des
affections
les plus diverses, et en dehors de leur importa
M. Ducosté, il y a : 1° des états neurasthéni- que ? , symptômes d'
affections
diverses; 20 la neurasthénie consti- tutionuell
ble . M. Georges Carrier (de Lyon). Il s'agit d'une malade dont l'
affection
a évolué de l'âge de sept à dix-sept ans. Dans le
a été à l'école où elle a appris à lire et à écrire. Le début de l'
affection
se fit à sept ans par une monoplégie bra- chial
que du tabes, théorie qui a été préjudiciable au traitement de ces
affections
. Toute paralysie générale doit être soumise à u
e de la paralysie générale, et, d'autre part, la fréquence de cette
affection
chez les débiles. Etude histologique de l'écorc
s négations de Cotard n'est pas seule- ment un synchronie, mais une
affection
mentale distincte avec une - étiblo-ie. une sym
c et même une anatomie, pathologique tout à fait spéciales. Cette
affection
serait secondaire à des accès successifs de mélan
terminaisons relatées dans 32 cas dont 8 personnels ; 12 fois cette
affection
se termina par la mort six mois au plus après l
e,; mais seulement un symptôme susceptible de se montrer au cours d'
affections
mentales diverses. Voici les photographies d'un
our n'étudier que l'atrophie simple telle qu'elle s'observedans les
affections
des nerfs, des centres et dans la myo- pathie p
p- tures du coeur, établissent comme facteurs principaux de cette
affection
la dégénérescence graisseuse du myocarde et les'
ter soit en l'état isolé (5 cas), soit en association avec d'autres
affections
: l'hémiplégie cérébrale (6 cas), la méninge-my
des vésanies proprement dites, des folies ne se rattachant à aucune
affection
physique et à déter- miner enfin l'évolution de
tout la tête haute. Depuis la mort de notre mère, nous avons vécu d'
affection
mu- tuelle et d'habitudes mutuelles (sic). D.
que, rp<7ep<M ? mort interné en démence.- Mère, rhumatisante,
affection
cardiaque, goitre exoph- talmique probable ; ca
endant quelque temps elle perdait la respiration et s'évanouissait.
Affection
cardiaque. Goitre exophtal- mique probable ; ca
Castaigne. (Nouv. Icolaogr. de la Sulpéfière, n° 3, 1899.) Cette
affection
tellement rare que, en 18415, Lewinski n'en tenai
gr. de la Salpêtrière, n° 5, 1899). Le tableau classique de cette
affection
(maladie de Duchenne- Aran) est caractérisé par
e des tics à l'àge de prédi- lection de la chorée fait que ces deux
affections
sont assez fré- quemment confondues ; il existe
ituait l'élément principal. Ils estiment que l'exis- tence de cette
affection
ne saurait être mise en doute ; d'après eux, il
ébro-spinale épidémique est rare, en tant que contagion directe ; l'
affection
se transmet surtout par les locaux et les objets
pas se propager facilement. La nature du germe pathogène de cette
affection
n'a pas encore été établie avec certitude ; parmi
la ponction lombaire comme le meilleur moyen de diagnostic de celte
affection
; grâce à cette opération, inoffensive si elle
lable que l'analgésie oculaire puisse se rencon- trer dans d'autres
affections
que le tabès, elle n'en vient pas moins se join
u porter pendant la vie le diagnostic, confirmé par la nécropsie, d'
affection
cérébelleuse chez le malade qui fait le sujet d
° il faut aliter séparément tranquilles, agités, malades atteints d'
affections
somatiques et gâ- teux ; 30° tous les établisse
érée de la glande thyroïde, M. Libotte conseille de combattre cette
affection
par l'application des courants continus à haute
pondance privée contient de nombreuses lettres où l'on voit toute l'
affection
et toute l'estime que ces savants avaient pour
posé critique de la méthode, en analyse les résultats dans nombre d'
affections
(méningites aiguës, paralysie générale, tabès,
n'avait pas même l'usage de la parole. La vieille femme la prit en
affection
. Elle ne la quittait pas, la soignait comme une
usement installé, où l'obsession s'est .définitivement imposée, une
affection
mentale s'est désormais constituée. » Histori
ètes allant au cer- velet. La maladie de Friedreich n'est pas une
affection
combinée des cordons postérieurs et des cordons
combinée des cordons postérieurs et des cordons latéraux. C'est une
affection
systématique des faisceaux centripètes et centr
atéral des pyramides. La maladie de Friedreich compliquée est une
affection
systéma- .tique combinée. Aux précédentes lésio
y- ramides dans les cordons antérieurs et latéraux, ou encore une
affection
diffuse de la moelle et du tronc du cerveau. Ces
e Clarke, parle du reste nettement en faveut de l'exis- tence d'une
affection
cérébelleuse dans tout tabès. P. 1CL a Avnt.
éissance en faisant appel à leur nature impressionnable, et à leurs
affections
; 3° enfants t esprit actif et brillant, ayant une
. R. DE jMfJaGRAVË CL\Y. XIII. Troubles mentaux dans le cours des
affections
cardiaques, par A. ZEDERUAUM. (The t1'eea 7o)'/
paraissent les deux formes les plus communément en' rappot avec les
affections
cardiaques, et il est remarquable que ces deux
ême sens. ZD Contre l'opinion qui fait de la paralysie générale une
affection
para-syphililique, il n'y a qu'un seul argument
but de la para- lysie générale, que l'auteur a recherché dans cette
affection
, et qu'il a rencontré trois fois sur vingt-six
re d'épisode transitoire, de complication. Le tableau clinique de l'
affection
se trouve ainsi brusquement modifié dans ses ph
jeunes gens de quinze à vingt-cinq ans, survient fré- quemment une,
affection
mentale qui se termine rapidement par la démenc
fection mentale qui se termine rapidement par la démence. A cette
affection
s'applique, mais dans une certaine mesure seule
e. La difficulté réelle, c'est de se prononcer au début même de l'
affection
: il faut alors se rappeler que les jeunes gens v
ne symptomatologieetune évolution déterminées et que c'est de cette
affection
qu'il s'agit chez son malade. G. D. XXV. Évol
ans la Saxe prus- sienne. Son père souffrit pendant onze mois d'une
affection
cérébrale et mourut quand il avait cinq ans. Ol
une maladie fonctionnelle, sans grande tendance à se transformer en
affection
plus, grave : elle s'accompagne sou- vent, et c
s (pieds et jambes) avec une semblable localisa- tion anatomique. L'
affection
avait commencé à faire de cinquante- deux ans p
la conséquence d'une lésion cérébelleuse.' Il fait défaut dans les
affections
des autres parties du système ner- veux ; les t
ouvent voués d'em- lilée à la chronicité par la nature même de leur
affection
. » Il n'y a eu, en 1901, qu'un convoi d'aliénés
oce ; cette proportion élevée classe la démence pré- coce parmi les
affections
fréquentes. Sur ces 40 malades, le diagnostic d
et la catatonie avec la concep- tion de démence précoce qui est une
affection
se développant géné- ralement dans le jeune âge
S Acroniégalie et dégénérescence men- tale, par Farnarier, 429.
Affections
cardiaques. Voir troubles mentaux. AGENÉSIE.
e - mentaux infectieux, par Faure, 447. mentaux dans le cours des
affections
cardiaques, par Zederbaum, 511. Evolution com
On observe souvent aussi des rémissions suivies de rechutes, mais l'
affection
à une évolution nettement et continuellement prog
PAR GEORGES GASNE et V. COURTELLEMONT. Legenurecurvatum est une
affection
caractérisée par une hyperextension de la jambe
s années. Depuis sa coxalgie, le malade déclare n'avoir jamais eu d'
affection
autre que les troubles suivants : à quatre repr
u membre (2) ; d'autre part, aucune manifestation même fruste d'une
affection
médullaire ou névritique. On a pu incriminer da
nt trait à des malades couchés, examinés au lit, et chez lesquels l'
affection
était « décelée » soit à l'aide de pressions dest
on est survenue un certain temps, des années après la guérison de l'
affection
coxo-fémorale,alors que celle-ci n'avait laissé
tre défendue avec succès, puisqu'il n'y a au début et au cours de l'
affection
ni paralysie vraie, ni contracture; on pourrait
non fait jouer à l'hyperextension du membre dans la pathogénie de l'
affection
, on inclinera à penser que ces déviations du ge
HEITZ doigt du Christ, touchant l'oeil du vieillard, nous indique l'
affection
dont souffre ce dernier. Rien dans son attitude
n. Ce détail semble indiquer que le mendiant est atteint de quelque
affection
du cuir chevelu : le même serre-tête se retrouv
d'une odeur répugnante. Ce malade est sans doute affligé de quelque
affection
cutanée malodo- rante. Serait-ce un lépreux ? P
t empe- reur. C'est là aussi, sans doule, qu'il fut atteint d'une
affection
cutanée à la- quelle l'histoire a consacré le n
de son importance pour le pro- nostic et la thérapeutique de cette
affection
. L'anatomie pathologique fournit des résultats
paraît plus probable. DE LA CRAMPE DES ÉCRIVAINS ET DES AUTRES
AFFECTIONS
NERVEUSES PROFESSIONNELLES OBSERVATIONS DE PARA
ez facile de guérir ou tout au moins d'arrêter dans leur marche les
affections
nerveuses professionnelles par la suppression com
euvre utile en étudiant ici quelques-uns d'entre eux. Sous ce nom
affections
nerveuses professionnelles, nous comprenons tous
a crampe et la paralysie des écrivains sont les plus connues de ces
affections
; mais celles-ci se rencontrent aussi fréquemment
e du même mouvement. Après avoirétudié quelques cas typiques de ces
affections
, nous en discuterons la pathogénie, l'étiologie
très connus, . il est mieux d'étudier ici quelques autres types des
affections
nerveuses professionnelles. OBSERVATION ! .
comme on le sait, par le pouce. Mais dans aucun cas, cette dernière
affection
ne s'accompagne de trouble de la sensibilité et
ement nor- male. L'anesthésie n'accompagne pas habituellement les
affections
nerveuses pro- fessionnelles. Dans le cas prése
se servir de ciseaux courts et fort incommodes. Dans la genèse de l'
affection
, la difficulté du mouvement, et la force employée
a complètement cessé les mouvements spéciaux, cause première de son
affection
: il se sert exclusi- vement de la main gauche.
oré, mais nous ne pouvons garantir la disparition complète ' de son
affection
. , Observation II. Notre second cas concerne
est un facteur de la plus grande importance dans l'étiologie de son
affection
. Quand elle est venue nous trouver, il y a quelqu
halalgie, boule et autres symptômes hystériques. Le pronostic des
affections
nerveuses professionnelles est en général bon, et
ous en assurer par les auteurs classiques, en tant que symptôme des
affections
ner- veuses professionnelles. On peut cependant
n jette un jour nouveau sur la localisation et la pathogénie de ces
affections
. Observation III. Une femme de 32 ans, profes
dans un autre service. Cependant cela ne devait pas voir cesser son
affection
, car, un mois plus tard, il lui fut impossible d'
cile de combattre. Ces quatre cas sont des exemples typiques de ces
affections
nerveuses professionnelles que nous rencontrons
t survenir avant, que le malade ait conscience de la gravité de son
affection
. Le diagnostic est en général facile pour les a
té de son affection. Le diagnostic est en général facile pour les
affections
nerveuses profes- sionnelles, qui sont toujours
fession. A leur début, on peut les confondre avec beaucoup d'autres
affections
. organiques ou fonctionnelles, névrites périph
aincre par un examen attentif que les premières manifestations de l'
affection
ne se montraient pas exclusivement à l'occasion
mais ces cas ne rentrent pas dans notre cadre. La pathogénie des
affections
nerveuses professionnelles est encore très obsc
là l'ordre dans lequel nous observons les différents symptômes des
affections
nerveuses professionnel les. Enpremierlieu, nous
bes dorsualis. Il peut sembler étrange, à pre- mière vue, que cette
affection
, 'due à une lésion destructive, soit plus fré-
on des différents stades que nous avons établie dans la marche de l'
affection
(crampe avec ou sans hypertrophie, tremblement,
forte que tout travail est rendu impossible. Dans ce dernier cas, l'
affection
en restera à ce stade, à moins que le malade co
r le tempsnécessité par les diverses profes- sions, pour produire l'
affection
nerveuse professionnelle. Notre premier malade
t le temps. Ce mode d'existence peut contribuer à la genèse de leur
affection
, mais leur occupation spéciale en est la cause
oxines qu'elle provoque, c'est ce qui aggrave le pro- nostic de son
affection
. Il faut aussi tenir compte de la situation socia
fère dans ses grandes lignes, suivant le stade auquel est arrivée l'
affection
. S'il y a du spasme (avec ou sans hypertrophie)
n pourra se, mon- trer moins rigoureux dans les premiers temps de l'
affection
. Lorsqu'on autorisera de nouveau le mouvement i
ades tenaient leur porte-plume d'une façon impropre et gauche. Si l'
affection
a duré trop longtemps, le malade devra se servir
apides quand on n'en faisait pas usage. En somme, il s'agit d'une
affection
parfaitement curable. LES DÉMONIAQUES ET LES MA
tranquillement assis. L'inscription nous indique la nature de leur
affection
. Une fois prévenu, on remarque leurs yeux fermés,
gauche présente au contraire les coutours normaux. Il s'agit d'une
affection
unilatérale. Or la sclérodermie est ordinaireme
- bilent pas à des déments. Ce n'est qu'à la période terminale de l'
affection
que leur état mental ne peut plus être distingu
auteur a retrouvé des altérations identiques dans toute une série d'
affections
d'ordre toxi- infectieux : rage, botulisme, tét
s frappés par une toxi-infection ; comme le malade n'offrait aucune
affection
organique capable de donner naissance à des pro
le même phénomène phagocytaire se cons- tate dans toute une série d'
affections
où la cellule nerveuse est atteinte de façons d
re du père. Bien portant. A deux enfants dont l'un à la suite d'une
affection
de la jambe gauche, subit, vers 26 ans, une opé
othié- nentérie très grave. Depuis six ans, elle est atteinte d'une
affection
de la hanche droite. Le membre inférieur droit
a lésion cutanée que présente notre malade peut éveiller l'idée des
affections
suivantes : 1° La maladie de Raynaud ; 2° l'éry
s'agit pas de contracture artérielle, mais de paralysie veineuse. L'
affection
neprocèdepas par accès et ne s'associe pas avec
médiane. Mais de plus, et bien qu'il ne s'agisse pas d'oedème bleu (
affection
qui rélève aussi d'ailleurs d'une lésion des. n
nt, selon moi, dans t'hyperamiboïsme des neurones (2). En résumé, l'
affection
de notre malade résulte d'une absence de déve-
e à 32 ans. Un frère et deux soeurs de la malade ont succombé à des
affections
indéterminées. Deux soeurs sont actuellement vi
e ait donné lieu à des hallucinations vraies au moins au début de l'
affection
. ' . Lorsque les premiers troubles psychiques a
ont diverses. La première, la plus topique, c'est qu'en effet cette
affection
se montre relativement assez rare; la seconde,
jamais présenté des troubles digestifs. On peut donc affirmer que l'
affection
est congénitale. Dès le premier aspect, on est
faits, on devrait donc admettre que l'achondroplasie peut être une
affection
héréditaire. Nous avons donné plus haut les raiso
s, avant d'exposer les diverses théories sur la pathogénie de cette
affection
, devons-nous in- diquer les caractères principa
et anormale du cartilage de conjugaison. Aussi, à notre avis, cette
affection
n'est-elle donc pas créée par une dystrophie du
ent du quart. En somme, on peut dire que l'achondroplasie est une
affection
congéni- tale caractérisée par une diminution c
onstitués par des os plats ou courts restant à peu près normales. L'
affection
est congénitale. A la naissance de ces sujets,
a réduction de la longueur de cet axe. Enfin, chez le rachitique, l'
affection
n'est pas limitée aux membres ; on constate des
e des achondroplases accentue encore la différence qui sépare celte
affection
du rachitisme. Sur les radiographies (PI. XLI)
toujours une maladie acquise. L'achondroplasie au contraire est une
affection
toujours congénitale ; la malformation est cons
ntine, chèvres do Guinée,moutons ancons). On ne signale pas la même
affection
chez les oiseaux ; le mode d'ossifica- tion par
n peut se demander avec M. P. Marie « si ce n'est pas du côté d'une
affection
, d'un trouble de la fonction ou du développemen
fait que l'achondroplasie est héréditaire et se présente comme une
affection
toujours semblable à elle-même ou ne présentant
mations osseuses qui ne laissent aucun doute sur 'l'existence' de l'
affection
pendant son jeune âge. Au surplus, dans sa généra
directe, et ils attribuèrent la production de la dys- trophie à des
affections
telles que la tuberculose, la scrofule, la syphil
le rachitisme pourra se développer chez chacun d'eux. Pourtant l'
affection
n'atteindra pas fatalement chaque enfant, et tel
ffre rien de spécial au rachitisme et s'applique aussi bien à toute
affection
du jeune âge, l'athrepsie par exemple. Rester
s n'y insisterons pas car l'histoire des rapports de cette dernière
affection
avec le rachitisme a été faite dans un même numér
. Longueur : 310 BÉGOUIN ET SABRAZÈS comme étant atteinte d'une
affection
du coeur s'accompagnant de dyspnée et d'une ten
ique qui éluciderait l'origine première et l'évolution de certaines
affections
du système nerveux ». En appliquant ces idées t
d'un tel processus : et c'est d'ailleurs la règle générale dans ces
affections
, 1 Cette hypothèse de l'intoxication du cortex
te. Mais il faut toujours, pour expliquer les symptômes diffus de l'
affection
kystique, recourir à l'hypothèse d'une action tox
appartenant au même groupe nosographique. M. Marie a appelé cette
affection
hérédo-ataxie cérébelleuse, pour la dis- tingue
e de cette maladie a été complété. L'anatomie pathologique de cette
affection
est beaucoup moins connue que le syndrome clini
réditaire, familiale, ne s'agisse pas dans les trois cas de la même
affection
, surtout avec des symptômes aussi semblables. N
aine médicale, 1893. KLIPPEL ET DubANiE, Contribution à l'élude des
affections
nerveuses familiales et héré- ditaires, Revue d
mpossible d'obtenir aucun renseigne- ment sur la date du début de l'
affection
, ainsi que sur les symptômes subjec- tifs que l
seraient alors d'un grand secours pour le diagnostic, au début de l'
affection
. Dans sa communication à la Société médicale des
lles. Que conclure, sinon que l'ostéite déformante de Paget est une
affection
qui n'est pas toujours semblable ci elle-même, et
itale,.si nous nous plaçons au point de vue de la patho- génie de l'
affection
qui nous occupe. Nous le verrons bien en examinan
ts, angio-1teU1'otiques, névro-va.cC2G- laires, intermittents, etc.
affections
oedémateuses transitoires, accompa- gnées parfo
IEDIsMG 467 7- 7 individus, sur 3 générations, naquirent avec cette
affection
portant tantôt sur un membre inférieur, tantôt
l puisse être aussi congénital. * . Quelle est la nature de celle
affection
? Le terme même de tl'ophoedème donne à entendr
cas de trophoedème des deux membres inférieurs, coexistant avec une
affection
nerveuse organique, hémiplégie gauche. L'affect
xistant avec une affection nerveuse organique, hémiplégie gauche. L'
affection
s'est développée len- tement, chez une femme, q
urs chez une de nos malades. La coexistence du trophoedème avec une
affection
choréiforme, chez un 'sujet hémiplégique n'est
arenté anatomo-pathologique avec les oedèmes qui accom- pagnent les
affections
organiques du système nerveux (oedèmes des hémi-
laquelle la dystrophie oedémateuse serait survenue à la suite d'une
affection
fébrile, évolution que l'auteur rapproche judic
s. Le caractère familial se retrouve dans plusieurs cas; souvent, l'
affection
suit une marche progressive; les cas qui débute
ulaire, aucun traitement n'est capable de modifier les progrès de l'
affection
. Si l'on admet, comme les faits tendent à le dé
localisation sur les membres supérieurs. Chez sa première malade, l'
affection
semble même croisée (bras droit et jambe gauche
as se rapproche des exemples d'eedémede Nonne et de Tobiesen, car l'
affection
ici est congénitale, et depuis sa naissance, cell
calisations. Mais, jusqu'à plus ample informé, pour conserver à l'
affection
ses carac- tères cliniques distinctifs, je croi
miques peu- vent confirmer la nature et l'origine attribuée à cette
affection
, l'existence du groupe nosographique que nous a
on par un phénomène révélateur qui nous indi- querait la place de l'
affection
dans le cadre nosologique, tout en parais- sant
née de leur cause première. Si maintenant nous passons en revue les
affections
plus particulières à l'enfance et que nous les
! vouloir comprendre dans la paralysie atrophique de l'enfance une
affection
qui a l'hypertrophie pour caractéris- tique et
sans trop .d'efforts, l'on pourra être conduit à voir dans les deux
affections
deux modalités de la même entité morbide ? \i0 ?
ins cas, à représenter, à elle seule, toute la symptomalologie de l'
affection
. Au nombre des effets bien connus de la poliomy
n que son observation ne porte pas spécialement sur les reliquats d'
affections
myélopathiques, l'auteur se préoccupe beaucoup de
té l'accumulation des tissus conjonctif et graisseux dans certaines
affections
médullaires avec amyotrophie. C'est ainsi que dan
rge graisseuse accompagnant l'atrophie musculaire sympto- matique d'
affections
de la moelle est un sujet qui a été l'objet d'un
, jusqu'à présent, l'examen de la moelle n'ait rien révélé et que l'
affection
revête le type familial. SUR UNE FORME D'IIYP
ou tel phénomène. La variété des symptômes qui caractérisent cette
affection
médullaire et l'inégalité de leur expres- sion,
0 Les impressions subjectives si pénibles de chaleur dans certaines
affections
nerveuses SUR UNE FORME D'HYPERTROPHIE DES MEMB
pas propres par elles-mêmes à suggérer à l'observateur l'idée d'une
affection
médullaire, comparable à celle que nous connais
nt. La cuisse, la jambe et le pied sont atteints au même degré et l'
affection
s'arrête d'une façon très nette aux limites de
e l'hypertrophie. Toutefois, il est inléressant de remarquer qu'une
affection
fébrile a été notée par le pro- fesseur Debove,
ement à la suite de lésions nerveuses, soit d'iniquement au cours d'
affections
névropathiques anatomiquement définies. Et de ces
opluedème chro- nique. M. Henry Meige a nettement différencié cette
affection
, en la sé- parant de plusieurs états oedémateux
uté qu'à la puberté. Il faut noter en outre que chez notre malade l'
affection
s'accompagne d'autres troubles trophiques : la
t à guérir le trophoedème, il ne s'en suit pas fatalement que cette
affection
ne puisse être due primitivement à un affaiblis
t souvent les jam- bes enflées. On ne notait cependant chez elle ni
affection
cardiaque, ni troubles rénaux. X... indique e
ge (in Iconographie delà Salpê- trière, novembre 1899) qui étudie l'
affection
qui nous occupe sous le nom de « Trophoedème ch
rouble trophique analogue à celui que l'on rencontre dans certaines
affections
de la moelle. C'est la théorie de la « métaméri
icile de faire la part exacte de ce qui revient dans la genèse de l'
affection
au système cérébral d'un côté ou au système spi
rophie conjonclive, un trophaedème qui, se- lon les cas, serait une
affection
héréditaire, familiale, aiguë ou chronique. DEU
on purement symptomatique l'état de ce malade, j'avais qualifié son
affection
de spondylose olonéligue (Société de Neurologie
peut causer d'ankylose vertébrale dans cette posilion et en outre l'
affection
ne paraît pas congénitale chez notre malade. Je n
a musculature, la sensibilité, les réflexes. La généralisation de l'
affection
à la totalité des (1) Apert, Société anatomique
de tissu spongieux qu'il s'agit. Nous sommes donc en présence d'une
affection
osseuse systématisée, épargnant le tissu compac
s os longs et les corps verté- braux. Si l'on veut donner à cette
affection
un nom caractéristique, il faudra s'attacher à
ollogr.),305. SAVILL TH. De la crampe des écrivains et des autres
affections
nerveuses profes- sionnelles, 149. Sérieux (P
us, leur caractère clinique le plus sail-lant. D'un autre côté, les
affections
musculaires dont il s'agit parais-sent devoir êtr
lle épinière. Avant d'entrer dans l'étude particulière des diverses
affections
qui constituent ce groupe, permettez-moi de vous
verses régions de la substance grise. C'est là justement le cas des
affections
que nous allons décrire. Toutes sont déterminées
d'une modification de la sensibilité est un trait qui différencie les
affections
du groupe des diverses formes de myélites que nou
ts suivants, qui appartiennent à la première et non aux secondes. L'
affection
musculaire est, dans celles-ci, bornée aux muscle
, en outre, lésés plus ou moins profondément dans leur texture. Les
affections
que nous allons réunir sous une même rubrique ava
ici tout à fait, séparées, en nosographie, comme s'il s'agissait là d'
affections
radicalement distinctes. Qu'il me suf-fise de cit
on peut voir se développer chez l'adulte, et même dans l'âge mûr, une
affection
qui ne diffère en rien d'essentiel de la paralysi
ais rapporter en quelques mots les symptômes qui caractéri-sent cette
affection
et, pour plus de clarté, nous reconnaîtrons dans
-geaient à s'aliter depuis quelque temps. C'est, en effet, de cette
affection
(bronchite tuberculeuse) que l'on fut d'abord pré
considérable; et, quoique le malade n'appelât pas l'at-tention sur l'
affection
qui avait fait de lui absolument un infirme, on d
depuis quelques années d'accident, et d'une mère qui a succombé à une
affection
de poitrine, il se se-rait tout d'abord développé
is. Il marchait; il ne souffrait pas avant, quand il fut pris d'une
affection
où l'on aurait remarqué surtout des convulsions,
1869. Ce fut presque immédiatement après ses couches que commença son
affection
. — Le mal débuta par une douleur modérée dans la
parenchyme du foie, on d'une atrophie jaune aiguë. La première de ces
affections
a quelque rapport avec celle décrite par MM. van
uvent de pair et peuvent se montrer l'une et l'autre dans une foule d'
affections
. Il en est de même des vomissements qui, du reste
e tendance marquée à la guérison. Telle est, en résumé, la nouvelle
affection
décrite par MM. van Lair et Masius ; son individu
sation ne s'effectuant plus, il survenait un engorgement permanent, l'
affection
traînait en longueur et de- venait dangereuse.
es forces, en diminuant la sécrétion morbide. Les enfants, dans cette
affection
, tolèrent souvent de grandes quantités du médicam
lle Sainte-Pauline, n° 21, le 14 dé-cembre 1871. Avant de décrire l'
affection
qui a motivé son admission, l'opé-ration que nous
à reproduire exactement ce qu'on observe dans la période ultime de l'
affection
décrite par 1 Volkmann, loc. cit., p. 5. 2 Vo
, au dernier terme du processus, disparaissent, sans que le mode de l'
affection
dont elles sont le siège, se révèle par des carac
ctive, qui, suivant moi, seraient un fait secondaire, consécu-tif à l'
affection
des cellules nerveuses. Dans les cas de date anci
the Med. Sciences, n° cxx, p. 440). II. Note sur la. tricoptilose,
affection
des cheveux non décrite, par M. A. Devergie. — Ma
tte personne, alors âgée d'environ 30 ans, commença à être atteinte d'
affections
cutanées légères, mais multiples. Fréquemment, ma
ur base, purulents au sommet. En même temps (1858) que ces diverses
affections
cutanées, cette dame, « qui lors de son mariage a
purgatifs, les pré-parations amères et ferrugineuses. Actuellement, l'
affection
des cheveux persiste encore, mais à un degré très
constances l'ont empêché d'avoir l'histoire complète. Pour lui, cette
affection
n'a aucun rapport avec la plique, dans laquelle «
ent totalement parleur nature. Telles sont les espèces suivantes : I.
Affections
acnôiques (molluscum granuleux de Bazin ou acné m
nom de fibromes généralisés ; — cancer mollusciforme de Rayer) ; III.
Affections
fibromateuses (molluscum pendulum ; M. éléphantia
çon efficace dans les névroses douloureuses, convulsives, et dans les
affections
congestives de la moelle, au début. Doses théra
git-il du muscle ? nous aurions affaire, dans cette hy-pothèse, à une
affection
rhumatismale, développée dans l'âge adulte. Je
, et amène des ruptures telles qu'on en ob-serve dans le lumbago. L'
affection
rhumatismale du muscle peut avoir une durée suffi
t actuellement dans nos salles a eu probablement dans son enfance une
affection
fébrile avec convulsions. Nous écar- tons le rh
avant de poser notre diagnostic d'une manière absolue, di-sons qu'une
affection
osseuse primitive nous paraît ici invraisem-blabl
, le DrFanoa eu à cœur d'insister avec plus de détails sur celles des
affections
qui appartiennent plus spéciale-ment au domaine d
e, pour laquelle M. le docteur Moissenet lui donna ses soins. — Cette
affection
, tout à fait indépendante de l'opération, guérit
forme particulière du ventre, il pensa qu'on avait à faire à quelque
affection
spéciale, peut-être à un kyste. De là l'idée d'in
outes émis sur la cause de l'ascite. Après avoir éliminé l'idée d'une
affection
cardiaque, d'une néphrite albumi-neuse, on songea
s la plu-part des cas, faisait de la tuberculisalion du testicule une
affection
purement locale ; si maintenant l'opinion est una
mars 1872, à la Salpêtrière (service de M. Ciiarcot) à la suite d'une
affection
thoracique. — Elle portait à la jambe droite une
PATHOLOGIE COMPARÉE Des maladies de la rate chez les animaux. — Les
affections
de la rate sont fréquentes chez les animaux. Cet
ture, à des discussions sans nom-bre. Diathèse typhoïde pour les uns,
affection
, maladie typhoïde pour les autres, analogue absol
is si, poussant plus loin l'analogie, on veut absolument comparer ces
affections
à la fièvre typhoïde de l'homme, nous l'avouons,
ntérite épizootique de forme spéciale. Quoi qu'il en soit, dans cette
affection
générale, la rate est hypertrophiée, gorgée de sa
rie de nombreuses bulles de gaz, et souvent un liquide huileux. Les
affections
charbonneuses se voient chez le cheval, le porc,
s, vous vous en souve-nez sans doute, de montrer comment bon nombre d'
affections
du système musculaire, jusque-là rattachées à une
ertaines régions bien déterminées de l'axe gris spinal. Ce groupe d'
affections
musculaires, que j'ai proposé d'appeler myopathie
n d'être épuisé et j'aurai l'occasion de signaler, relativement à ces
affections
, plusieurs faits nouveaux ou connus d'une manière
mière entrevue : c'est — si je ne m'abuse — un exemple légitime d'une
affection
rare, très-rare, et dont l'existence même est con
bles d'anomalie des reins, des bas-sinets et des artères rénales. L'
affection
générale n'avait pas paru influencer, dans son se
trophique du col avec le prolapsus utérin. En effet, ou bien ces deux
affections
exis-tent isolément, et, dans ce cas, la situatio
e, rien n'est plus simple, et il semble impossible de méconnaître une
affection
dont les signes ont, en quelque sorte, une ligueu
tant sur la portion sous-vaginale du col. Cette variété constitue une
affection
parfaitement distincte, se manifestant par des ca
blier néanmoins que, mal gré ces différences symptomatiques, ces deux
affections
ont presque toujours un point de départ commun, c
indiquant les résultats obtenus donne une idée de la gravité de celte
affection
: dans 55 cas les malades se rétablirent, dans 25
populeuse; 5° une forme pustuleuse. » (Leç. the'or. et clin, sur les
affections
cutanées artifi-cielles,]). 201). Il faudrait don
à M. Nélaton que revint l'honneur de diagnosti-quer le premier celte
affection
sur le vivant. Les circonstances de cette observa
le cependant possible d'établir nettement la symptomatologie de cette
affection
. La connaissance exacte de la lésion et des consé
es chirurgiens moins expérimentés que M. Nélaton de diagnostiquer une
affection
qui semble avoir été si longtemps méconnue. Les
n de la veine ophthal-mique qui est le phénomène caractéristique de l'
affection
. Le développement des symptômes est graduel. La
t la confondre. Il ne peut trouver de signe pathogno-monique de cette
affection
, mais l'ensemble des symptômes, leur marche rapid
fait de sa tumeur, par les médecins les plus compétents en matière d'
affections
cutanées, qu'il s'agit dans ce cas d'un molluscum
même assez fréquemment des fluxions de poi-trine. La dernière de ces
affections
aiguës est survenue pendant le siège. Elle marcha
-pations l'obligeaient même à faire chaque jour de longues courses. L'
affection
qu'elle eut alors, et qu'elle nomme fluxion de po
nférieurs ni fourmillements ni sensation anormale d'aucune sorte. L'
affection
des voies respiratoires, cause vraisemblable de l
non douteux de deux vastes excavations. — A partir de cette époque, l'
affection
pulmonaire va en s'aggravant; l'affaiblissement f
etc. IV. Nécrose phosphorée de la mâchoire inférieure. — Parmi les
affections
osseuses qui ont attiré l'attention des chirurgie
assi-milé l'érysipèle à une maladie exanthématique et en ont fait une
affection
spontanée dans laquelle la lésion traumatique, qu
donne naissance, soit à un érysipèle, soit à une angioleu-cite, deux
affections
qui sont, pour M. Verneuil, une seule et même mal
f des voies biliaires, et qui forme une brochure de cent pages. Cette
affection
très-rare est à peine étudiée dans les ouvrages c
'il est plus facile de reconnaître la nature que le siège précis de l'
affection
. — M. Villard étudie cependant assez longuement l
te irrégularité jointe au développement congé-nital différencie cette
affection
de l'éléphantiasis des Arabes, dans lequel l'hype
te. Enfin, l'hypertrophie peut se compliquer de diverses lésions ou
affections
utérines plus sérieuses : tantôt celles-ci vienne
s'il n'existait point de rapport de causalité entre ces deux ordres d'
affections
. L'élongation du col a-t-elle une tendance à prod
vations, dont quelques-unes entièrement inédites, de celte singulière
affection
que Marion Sims définit ainsi : hyperesthésie de
nisme, il a du moins le mérite de présenter l'histoire complète d'une
affection
dont plusieurs livres classiques ne parlent même
rnes tuberculeuses sont une cause de dènudalion des artères, mais ces
affections
produisent rarement la perforation des vais-seaux
tions ne changent rien au fond de» cho-ses. Le plus souvent, les deux
affections
, dans l'bystéro-épilepsic, existent simultanément
xemple frappant de l'influence de l'électrisation des centres sur les
affections
périphériques. Ces paralysies saturnines me ser
seul indiquait que la maladie faisait des progrès ; si au contraire l'
affection
avait rétrogradé, la contractilité galvano-muscul
'atrophie musculaire pro-gressive, et à une certaine période de cette
affection
, dans les para-lysies traumatiques; nous n'avons
t cela ne nous étonna pas, car nous n'étions qu'au deuxième jour de l'
affection
. Vous savez que, dans les paralysies faciales pér
. Cette complication du côté des yeux est une preuve évidente d'une
affection
centrale, et nous nous trouvons justement devant
plus lentement et moins incomplètement. (A suivre.) 1 Leçon sur les
Affections
du bulbe, 1872. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPI
. 37J,2. Je lui demande de m'écrire ce qui lui est arrivé : « Rhumes,
affections
grave, diarrhée, contre R (barrés) C'est touj la
t cet alcaloïde au point de vue thérapeutique. C'est surtout dans les
affections
du système nerveux que l'hyoscyamine a été em-plo
de la glande. — 3" Ramollissement de la rate : on l'observe dans les
affections
d'une gravité extrême : fièvres pernicieuses inte
ur des contractures, sur des anesthésies, et même dans quelques cas d'
affection
chronique de la moelle, en un mot, dans tous les
pouvait plus exécuter. Quand on songe au pronostic terrible de celte
affection
, et à sa marche toujours progressive, on peu!, av
rt de la péritonite. Sans nul doute, on avait eu affaire à une de ces
affections
latentes, annexes de l'utérus, affections insidie
ait eu affaire à une de ces affections latentes, annexes de l'utérus,
affections
insidieuses dans leur allure et auxquelles une ma
e de cette assertion est la facilité avec laquelle on méconnaît cette
affection
dans son stade de début. Nous avons observé souve
ine, combattent d'une façon efficace les névroses douloureuses et les
affections
spasmodiques ; elles peuvent être d'une grande ut
, comme M. Cornil le fait remarquer «on ne sau-rait dire quelle est l'
affection
primitive, ou de la parotidite, ou de la néphrite
mes entrés pré-cédemment font prévoir la concomitance possible de ces
affections
; nous avons vu en effet le coït occasionner au ni
ois de la poche sont assez résistantes pour permettre de supposer une
affection
ancienne et parfaitement localisée. Vagin. Le c
XIII. ÉLONGATION HYPERTROPHIQUE DU COL UTÉRIN et du rectum, cette
affection
n'a-t-elle pas été reconnue sur le vi-vant. La
s rétro-utérin compliqué de pelvi-péritonite. La dernière de ces deux
affections
ne nous semble avoir été que secondaire pour les
que d'accouchement de la Faculté lui ont donné l'idée d'étudier cette
affection
. D'autres faits assez nombreux communiqués par MM
ice, l'acide carbonique libre. Plus loin, les auteurs énumèrent les
affections
qui se traitent avec succès à Plombières ; ce son
a donné de la digitaline Nalivelle à vingt-trois malades atteints d'
affection
du cœur, a vu que l'on n'en pouvait donner, sans
à l'histoire pathologique de l'ergotisme, que l'auteur définit : une
affection
le plus souvent épi-démique, occasionnée par une
vent par la mort. — L'étiologie, la symptomatologie de celte terrible
affection
sont décrites avec tous les développements nécess
de vue clinique. D'après M. G. Sée, l'auteur définit l'ictère: « Une
affection
symptomatique caractérisée: l°par des troubles co
ises poussées d'eczéma ( ? ) du cuir chevelu. Une fille morte d'une
affection
stomacale. L'affection actuelle a débuté il y a
? ) du cuir chevelu. Une fille morte d'une affection stomacale. L'
affection
actuelle a débuté il y a environ six ans ; à celt
convexité du cerveau. Cette rareté des hallucinations au cours des
affections
encé- phaliques est un fait très remarquable, m
arquable, mais quand elles existent elles peuvent survenir dans les
affections
les plus di- verses. Il est à supposer qu'elles
altérations du système nerveux central, que nous observons dans les
affections
organiques du cerveau, où nous pouvons à l'oeil
x ans, présentant une paraplégie douloureuse avec contractures. L'
affection
a débuté il y a deux ans par des sensations de co
antes pour déchaîner l'épilepsie, telles que adhérences du prépuce,
affections
de l'ovaire. Enfin l'auteur préconise le systèm
ais guéri une maladie de la moelle. Elle n'est indiquée dans aucune
affection
aiguë de la moelle; mais il n'en est pas de même
mais il n'en est pas de même en ce qui concerne les reliquats de l'
affection
aiguë. C'est ainsi que dans la poliomyélite ant
pathogénie de la rigidité spasmodique des muscles dans cer- taines
affections
des centres nerveux est un sujet sur lequel M. le
aisceaux de la moelle. Le tabes spasmodique étant rayé du cadre des
affections
de l'adulte quelques auteurs lui assignent un d
d'importance secondaire et il fut admis que l'une et l'autre de ces
affections
s'associent à la paralysie labio-glosso-laryngée
d'atrophie musculaire progressive. Toutefois, l'existence même des
affections
qui nous occupent fut contestée. Aux auteurs qn
hémorrhagies sous-méningiennes. Aux symptômes prin- cipaux de cette
affection
l'auteur rapporte : 1° la paralysie spasmo- diq
ie ; 3° l'affaiblissement des symptômes morbides dans le cours de l'
affection
. Aux symptômes accessoires se rapportent : 1) l
rès remarquable des polyné- vrites. Chacun sait l'histoire de cette
affection
, niée par les uns, et vaillamment soutenue par
c'est toujours le même organe qui est touché; toutes trois sont des
affections
du neurone moteur péri- phérique. Si sur le ter
e professeur Raymond sou- tient l'existence et l'autonomie de cette
affection
dont il présente une autopsie confirmative. U
linicien, le professeur Raymond insiste sur les grandes lignes de l'
affection
, les signes cardinaux qui ne man- quent pour ai
- sies. » Professeur B. Sachs (de New-York) : z Hereditary spinal
Affections
. » I)r A. Raichline (de Paris) : « Communication
3U4 : « On ne sait rien de certain concernant l'étiologie de cette
affection
. »- Myélites chroniques, p. 0 : « Dans des obse
l'auteur de cette injustice. Dès qu'un lien a été créé entre une
affection
somatique et une anomalie mentale, les lois de l'
Le capitaine C.-R. L..., âgée de cinquante-quatre ans, souffrant d'
affection
mentale depuis septembre 1895, mourut en février
ourd, et depuis lors son humeur se trouve quelque peu dépri- mée. L'
affection
mentale commença par une grande dépression mora
pillaires et patellaires, l'ataxie, etc. Il fut alors évident que l'
affection
mentale était un cas bien caractérisé du type n
xtrême variété des interventions chirurgicales tentées contre cette
affection
depuis la trépanation pure et simple jusqu'à l'
jeunes de bronchite; des deux autres qui vivent encore, l'un a une
affection
de la moelle l'autre est bien portant. La tumeu
se posent chaque fois qu'on veut aborder l'étude anato- mique d'une
affection
cérébro-spinale. Les dénominations (topographie
lisations médullaires de la maladie; à ce titre, le tabès reste une
affection
de la région sensitive de la moelle. DES LOCA
toujours songer, quand 'on fait l'étude anatomo-pathologique d'une
affection
ner- veuse quelconque ? Ce sont les questions p
es cordons et des racines postérieurs. Un grand nombre de maladies (
affections
médullaires proprement dites, intoxications div
eurs, nous devons déclarer, que le tabes représente, pour nous, une
affection
vraiment spéci- fique dans sa symptomatologie,
s la première atteinte du mal; et les autres, jusqu'où peut aller l'
affection
dans l'envahisse- ment successif des cordons po
donner ici la conclusion générale : le tabes médul- laire reste une
affection
très variée dans ses localisations anatomiques,
inférieur gauche. L'auteur discute avec détails le diagnostic de l'
affection
. Une lésion de la moelle peut-elle produire ce
. La malade n'offrait rien de particulier dans ses antécédents. L'
affection
a débuté brusquement à l'âge de trente-trois ans.
. Il est difficile de s'expliquer cette absence de soudure dans une
affection
où la for- mation du tissu osseux est exagérée.
sécrétion thyroïdienne ? A ce point de vue, la coexistence des deux
affections
offre un grand iutérêl, car elle fait soupçonner
ubles de la sensibilité et de la motilité permettent d'éliminer une
affection
spinale; mais les accidents portent en eux le c
t être directement actionnés par des agents nocifs; ainsi, dans les
affections
cérébro-spinales, dans 1'liv-térie, la neuras-
s abdominaux, les organes sexuels de la femme ; plus rare- ment les
affections
respiratoires. Voici un cas dans lequel l'excita-
nus à la flexion dorsale du pied ainsi qu'il a été dit plus haut. L'
affection
, pour être fonctionnelle, n'en est pas moins ch
. La paralysie générale, maladie intermédiaire aux psychoses et aux
affections
organiques du cerveau, est caractérisée par une
ertain nombre de paralytiques géné- raux qui à aucun moment de leur
affection
n'ont présenté de concep- tions délirantes. Sur
ès fréquemment impossible et qu'il faut attendre l'évo- lution de l'
affection
pour se prononcer. M. GIRAUD. - Ce n'est pas se
s lésions anatomiques de la maladie, comme cela a été fait pour les
affections
de la moelle aujourd'hui mieux connues. Après tou
ngement de la phase des hallucinations, et qu'il faut prendre cette
affection
pour ce qu'elle est, c'est-à-dire pour une mala
e règle : sur les trente-six cas que j'ai observés, dix-huit fois l'
affection
existait dès le. bas âge, dix-huit fois elle s'
résenté une étude détaillée de la thérapeutique suggestive de cette
affection
. - M. Doutrehente, s'appuyant sur son expérienc
HIATRIE DE MOSCOU. Séance du 22 novembre 1896. M. MINOT. - De l'
affection
multiple des nerfs crâniens (combinée avec une
difficulté du diagnostic différentiel dans certains cas, entre une
affection
intra-cérébrale ou basale ; en faveur de cette'
englobe, en effet, sous la dénomination « paralysie générale », des
affections
ou des intoxications qui n'ont de commun, et ap
, indispensable, de chercher les causes et l'évolution première des
affections
dites paralysies géné- rales, et de les opposer
s- tater, cumme je l'ai dit ailleurs, que l'on ne connaît pas les
affections
ou les intoxications auxquelles appartient le gro
ecueillis dans ma clientèle, dans un pays précisément très riche en
affections
nerveuses, en fai- sant suivre ces faits de que
e des manifes- tations : I. Manifestations hystériques simulant les
affections
médullaires. II. Manifestations hystériques sim
fections médullaires. II. Manifestations hystériques simulant les
affections
cérébrales. 111. Manifestations hystériques simu-
s. IV. Manifestations hystériques qui ne sont la copie d'aucune des
affections
signa- lées plus haut et qui ne se retrouvent q
fuse ce qu'il demande. Cris fréquents, sommeil agité. Le début de l'
affection
qu'il présente actuellement et pour laquelle on
seignements donnés par la famille sur la chute et sur le début de l'
affection
me font penser à l'hystérie. Je recherche s'il
artient qu'à l'hystérie, et ne peut se rencontrer dans aucune autre
affection
, et ici il est intéressant de constater quel rô
A marché à treize mois et a parlé à douze mois. 1894. 18 août. L'
affection
pour laquelle je suis appelé, débute subitement
algré les remerciements dont on m'avait accablé lorsque la première
affection
s'était produite. Je ne peux donc pas donner de
l'urée, qui nous suffi- sent dès maintenant pour classer le genre d'
affection
et en faire du diabète insipide hydrurique. Q
spect chétif qu'il présentait dans les deux premières années de son
affection
, il était très bien développé pour son âge, faciè
de l'organisme, il jouit d'une excellente santé. Au début de son
affection
on pouvait craindre une issue fatale et prochaine
tir cette assertion, puisqu'il est atteint depuis quatre ans de son
affection
, et il se porte beaucoup mieux que dans la prem
heures, l'explication d'une santé maintenue excellente, malgré une
affection
considérée comme grave, le plus souvent mortell
ggestion. Pour moi, dans le cas de Grand, la nature hystérique de l'
affection
ne semble pas faire de doute. Pierre Erhardt
sur la paralysie nettement hystérique présentée dans le cours de l'
affection
diabétique, sur les caractères de cette hydruri
il y a des altérations des derniers rameaux sensitifs soit dans les
affections
cutanées, soit dans le tabès et notamment dans
n tremblement persis- tant, qu'il est impossible de rattacher à une
affection
déterminée. Un tel tremblement peut atteindre p
on apparition précoce et en l'absence d'autres signes indiquant une
affection
organique, constitue bien un cas de tremblement
ment disparue aujourd'hui. Se fondant sur le mode de début de cette
affection
, sur la marche et la localisation des accidents
us de la discipline. thérapeutique chez les épileptiques atteints d'
affections
du coeur, ou arrivés à un âge où le coeur s'aff
s NLS avant terme ; par le Dur Van GEUUCUTEN. ' Un grand nombre d'
affections
nerveuses de l'enfance sont accom- pagnées de r
riables d'un cas à l'autre, ni de l'âge de l'en- fant au début de l'
affection
, ni des symptômes multiples et graves qui peuve
ntelligence, du langage, etc. L'auteur adopte l'idée de séparer des
affections
spasmo-paraly- tiques infantiles un groupe spéc
s spasmo-paraly- tiques infantiles un groupe spécial comprenant les
affections
spas- modiques survenant chez des enfants nés a
ssaud (maladie de Little). Mais au lieu d'attribuer à ces dernières
affections
une origine cérébrale comme le font Marie et Br
asmodique spinale des enfants nés avant terme. Un second groupe d'
affections
spasmodiques pourrait comprendre les états spas
avec absence complète de symptômes d'origine cérébrale. Ce sont ces
affections
spasmodiques que Erb a décrites sous le nom de
idaux qui ont existé avec leur développement nor- mal ; aussi cette
affection
ne montre-t-elle aucune tendance vers la guéris
le aucune tendance vers la guérison. A côté de ces deux groupes d'
affections
spasmodiques dont la cause anatomique se trouve
oie motrice corlieo-médullaire, on observe encore un grand nombre d'
affections
nerveuses dans lesquelles la triade symptomatiq
férenciation des états hypersthéniques et hyposthéniques dans les
affections
nerveuses, mentales et autres. Finalement il arri
à l'hystérie mono-symptomatique ou au phréno- âlottisme de l'adulte
affections
qui se ressemblent tant - qu'on puisse rattache
s qui se ressemblent tant - qu'on puisse rattacher cette singulière
affection
. 33G SOCIÉTÉS SAVANTES. Etiologie et pathogén
ue l'a1'lhl itisme produit la paralysie générale, et dans ces cas l'
affection
prend, en général. tous les caractères de la pa
KOJEW.NIKOFF. Séance du 14 février 1897. 1). M. n10L1·CriAnOFF ?
Affection
des vaisseaux (des veines) pro- venant d'une lé
avec cicatrice osseuse consécutive. Un an avant le début de cette
affection
le malade tomba sur un verre et eut une blessure
ié le rôle de l'élé- ment nerveux dynamique psychique dans diverses
affections
ner- veuses. C'est la vieille question, toujour
amique psychique cons- titue seul la maladie, ou bien il dénature l'
affection
organique à laquelle il est surajouté, ou bien
on organique à laquelle il est surajouté, ou bien il précède cette,
affection
et lui prépare accès. ' Les crises convulsive
é, je trouve la grand'mère qui me parle de mon ancien malade. « Son
affection
ne s'est pas reproduite, mais je crois bien que
hystérie, est le traite- ment par excellence ; mais dans les autres
affections
nerveuses, neurasthénie, dégénérescence mentale
ce que cet enfant présente un bel exemple d'hystérie associée à une
affection
organique. Voici les quelques notes recueillies
us trouvons donc ici association d'une chorée hysté- rique avec une
affection
médullaire. J'aurais pu ajouter bien d'autres o
evêtir toutes les formes, je dirai même que la forme somatique de l'
affection
est la plus fréquem- ment notée. On le comprend
re (thèse Souques 1891) ', elle peut également simu- a u aj 1er les
affections
des autres organes. Dans les observations relat
ne pas avoir démêlé cette union intime de la névrose avec d'autres
affections
organiques que l'on est souvent entraîné à des
mplement les manifestations dues à là névrose sans avoir touché à l'
affection
qui lui est associée 1. 6° Le diagnostic de l'h
e rien en elle qui se rapporte aux maladies connues, je regarde l'
affection
dont elle est atteinte comme une hystérie. » Je
ela on s'exposerait à de graves mécomptes; on pourrait annoncer une
affection
très sérieuse, très inquié- tante quand ce n'es
dents convulsifs semblables. Indécis sur la véritable nature de son
affection
, était-ce une arthrite organique du genou ou un
veille; il faut convaincre son petit malade de la bénignité de son
affection
, de sa guérison certaine. Si l'on devait se bor
brales a fait faire un grand pas au traitement chirurgical de cette
affection
. Le cas suivant est fort intéressant, en raison
M. L. miner, de Moscou. Dans les cas graves, suivis d'autopsie, d'
affections
traumatiques de la moelle (par suite de fracture,
cette constatation se trouve vérifiée dans d'autres observations d'
affections
trauma- tiques de la moelle, à l'exclusion des
8 SOCIÉTÉS savantes. et qui nous font considérer le tabès comme une
affection
métasy- philitique (dans le sens de \foehius),
dons postérieurs de la moelle dans le tabès dorsalis n'est pas une
affection
primaire, mais un phénomène secondaire. Deux pr
les autres, a paru être la grippe. Au reste, la pathogénie de cette
affection
, sans doute de nature infectieuse, reste encore à
la plénitude de la santé. Rare, parce qu'elle est ignorée, cette
affection
peut devenir plus fréquente, quand on saura dis
de fluxion de poitrine;, il était porteur d'un goitre léger (cette
affection
est d'ailleurs presque endémique dans la locali
à faire ici un diagnostic différentiel de la maladie avec d'autres
affections
qu'on pour- rait confondre avec elle, savoir le
D'autres auteurs nient au con- . traire tout rapport entre les deux
affections
. Logiquement, il semblerait que la forme d'alié
à forme dépressive, alors que logiquement l'état cérébral de cette
affection
semble conduire naturellement à la lypémanie. D
e n'en saurait être non plus rendu responsable : pourquoi effet une
affection
vasculaire, et laquelle, surviendrait-elle d'em
celles de Russel Rey- nold et d'Unveruicht. Il montre que c'est une
affection
familiale, comparable il ce qui se passe à la s
ingo- mvélie. La grande ressemblance du tableau clinique des deux
affections
n'autorise nullement l'admission du même proces
complexe symptomatique de Morvan », qu'on peut rencontrer dans des
affections
centrales (syringomyélie) et dans des affections
encontrer dans des affections centrales (syringomyélie) et dans des
affections
du système nerveux périphérique (de nature lépr
et moteurs disposés en seg- ments ; on doit admettre par contre une
affection
lépreuse en face d'une paralysie faciale périph
es, il examine les moyens à employer eu égard aux causes de cette
affection
. Dans les cas de tabes précédés de syphilis, le t
équent, le traitement spécifique, en tant qu'il est dirigé contre l'
affection
tabélique elle-même, en l'absence d'autres indi
rocède de maladies d'autres tissus de l'organisme animal, que comme
affection
de la branche même nerveuse, doit être prise en
tion moléculaire. Cette thèse est juste surtout quand il s'agit des
affections
du système nerveux sur un terrain syphilitique,
pas pour cela faire du sympathique même le p ? ,iinuni movens de l'
affection
. Celle- 524 SOCIÉTÉS SAVANTES. ci peut se pré
c.), prouvent que le traitement de choix du goitre exoph- talmique,
affection
si tenace en général, doit être la tésection du
penser qu'il ne s'agit pas de dyspepsie nerveuse, mais d'une autre
affection
gastrique (gastrite, dilatation) qui a pu d'ail
27 ne se rapportaient pas à la dyspepsie nerveuse, mais à d'autres
affections
stomacales et dans 11 seulement se rencontraient
'un symqtôme cérébral. Râle du spasme et de la contracture dans les
affections
des organes digestifs. Description, diagnostic,
ue musculeuse, par contre il faut bien recon- naître que toutes les
affections
de ces organes retentissent sur elle par la voi
and le tube digestif est affecté de spasme et de contracture, que l'
affection
soit primitive ou secondaire, la circulation inté
aladies accidentelles qui se manifestent et viennent compliquer les
affections
cérébrales, afin d'en informer le médecin lors
a paralysie générale ont les carac- tères du délire dans cette même
affection
; ils sont multiples, mobiles, absurdes, contrad
diaires du dans les pyramides, par de Bechterew, 155. Crâniens.
Affections
multiples des nerfs , par Minor, 282. Déforma
: , 144. Digestifs. Rôle du spasme et de la contracture dans les
affections
des organes -, pai@Geofli-oy, 528. Diphtériqu
- péllphériques, par Balla- bene, 442, 512. Névrite péhiphéhique.
Affection
des vaisseaux provenant d'une -, par Moltchan
i0, tenta d'établir le diagnos ? tic clinique différentiel des deux
affections
qu'il dit avoir ren- contrées réunies. Il n'ava
is- cela est loin de suffire pour conclure à l'association des deux
affections
. Sur cette difficulté qu'il y a d'établir un di
es de la paralysie géné- rale éclatent chez un malade atteint d'une
affection
locale du cerveau, ou d'une maladie de la moell
ans. A neuf mois, il a été très malade; la mère ne peut spécifier l'
affection
, toutefois elle affirme que l'enfant n'a pas eu
e, un pronostic particulièrement grave, ou du moins la gravité de l'
affection
est due à d'autres causes (âge, persis- tance d
négations sont tout à fait élémentaires. Il en est autrement ici, l'
affection
men- tale préexistante est déjà ancienne même s
chronique ; ce n'est d'ailleurs là que l'évolution inévitable d'une
affection
qui, au dire de la malade elle-même, préexis- t
ent héréditaire vésanique ni ueuropaLhiqne. Sa mère est morte d'une
affection
cardiaque. Elle-même a toujours été d'une bonne
t ajoutées des douleurs, assez peu intenses il est vrai, dues à son
affection
utérine et les préoccupa- tions de l'opération.
sensibilité géné- rale et les illusions de la vue dès le début de l'
affection
. Le délire a pris ainsi dès l'origine un aspect
imaire de la puberté. Dans ces cas, avec début d'apparence aiguë, l'
affection
est inconstante, semble peu sérieuse, et ne for
ique, qui forme le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1L t fond de l'
affection
. Dans les cas spuranoïques, les impressions sont
Plus tard il devint de plus en plus mou, perdit la mémoire et toute
affection
pour sa famille et ses amis. Plus tard encore
lalmoplégie nucléaire, remarquable surtout par son étiologie. Cette
affection
s'est manifestée chez une enfant de vingt-huit
l'exemple de maintes autres REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 4 ? 1
affections
de la moelle, du tabes, en particulier, la syring
lyencéplialite inférieure. Mais aux symptômes classiques de cette
affection
se sont ajoutés des manifestations relevant de la
t la patho- génie de lamaladie de Basedow. L'auteur considère celte
affection
comme une névrose pure ; il trouve la confirmat
des colonies ont permis de donner une description générale de cette
affection
. Elle survient presque toujours à la suite d'im
ment dans la zone . z du sciatique poplilé interne. Plus rarement l'
affection
atteint les membres inférieurs, dans ce cas, il
a recherche des antécédents et par exclusion des autres causes. L'
affection
suit une marche progressive ascendante pouvant
possible si l'on dirige un traitement appro- prié dès le début de l'
affection
. La quinine a peu d'action, on est obligé d'avo
As- tros, vraisemblablement analogue dans la migraine et dans les
affections
organiques susceptibles de la produire; selon lui
réaction rnyotonique ». Après trois semaines de traite- ment, cette
affection
, datant de l'enfance, s'est considérablement am
du massage s'expliquent du reste facilement, puisqu'il s'agit d'une
affection
musculaire. et que la gêne n'existe qu'au début
a discussion a trait à l'étiologie et à la géographie médicale de l'
affection
. A. M. CONGRÈS des MÉDECINS aliénistes ET neuro
rtrophie de l'extrémité supérieure droite peut être expliquée par l'
affection
des articulations avec oedème et hypertrophie c
ment de Moscou où la lèpre s'observe très rarement. La durée de l'
affection
était de dix ans. Vers la fin de sa vie, l'anes
la paralysie générale. La clinique nous laisse entrevoir que cette
affection
doit se caractériser anatomiquement par des alt
bâillement, l'acte de se moucher. Ni douleurs, ni paresthésies, ni
affection
mentale. Ce tic occupe tout le facial, mais surto
iques, l'oeil demeure normal (Senator). Evidemment, il s'agit d'une
affection
périphérique de l'oculomoteur, puisque la paral
part des cas d'athétose hémilatérale avec autopsie, on a trouvé une
affection
en foyer de l'hémisphère céré- bral du côté opp
oisinage de la capsule in- terne. Trois observations concernent une
affection
corticale, mais sans qu'on puisse, comme le dit
ptique. Il n'est guère admis- sible de rattacher cette atrophie à l'
affection
corticale car, si l'un des hémisphères était en
ui permettent, d'après le Dr Bonjour, de décider de la nature d'une
affection
convulsive, mais dans les cas difficiles il con
association fonctionnelle et anatomique constitue un métamère; 6° L'
affection
des neurones moteurs donne naissance à l'atro-
y avait une grande différence entre le degré de développement de l'
affection
cutanée et celui de l'affection muscu- laire. L
ntre le degré de développement de l'affection cutanée et celui de l'
affection
muscu- laire. Les altérations cutanées n'exista
ation offre, en effet, de grandes ressemblances avec cette dernière
affection
, dans les deux cas, il n'y a pas de phéno- mène
ion est la suivante : le tabes et la paralysie progressive sont des
affections
éminemment dégénératives, et la syphilis est un
nt, tout cela peut jeter quelque lumière sur la pathogénie de ces
affections
. Tels sont les motifs qui nous encouragent à pu-
erfs cruraux, obturateurs et cutanés externes. Rétention d'urine. L'
affection
fait des progrès rapides : vers le 1°1' janvier
Consti- pation opiniâtre. Pas de troubles mentaux. Evolution de l'
affection
. Malgré le traitement (révulsifs sur le rachis,
), la malade ne bénéfi- ciait d'aucune amélioration; la marche de l'
affection
était toujours progressive. Au bout de deux m
sible de tracer même à grands traits un tableau cli- nique de cette
affection
, étant donné le nombre si restreint d'observati
également dépour- vus d'un caractère défini. Lorsqu'il s'agit d'une
affection
des méninges spinales, nous nous attendons à de
inverse : la paralysie s'étendait de bas en haut. La marche de l'
affection
est aussi variable suivant le cas. D'après l'av
une marche bien différente dans le cas d'Ollivier, où la durée de l'
affection
a dépassé six mois ; dans ceux de Busch, de Bru
n'est pas à discuter, se - trouvait aussi dans le cas de Hippel : l'
affection
nerveuse étant déjà bien installée, on a vu se
que jusqu'à l'au- topsie nul doute n'a été émis sur la nature de l'
affection
. Dans les autres cas on croyait avoir affaire à
on supposa une spondylite, mais un examen minutieux fit exclure une
affection
de la colonne vertébrale. A l'entrée de la mala
atoire (myélite) que nous étions enclins à supposer. Mais quand l'
affection
, après avoir envahi la partie infé- rieure de l
nde donc fut notre surprise, lorsque l'autopsie a fait voir que l'
affection
s'était développée justement dans les méninges, e
nvahi la substance médullaire. Les conditions étiologiques de cette
affection
sont très obscures. Impossible cependant de ne
ux de la tumeur, est Ilippel, et justement dans son obser- vation l'
affection
était essentiellement chronique (elle durait se
sclérose latérale amyotrophique. Pendant longtemps, celte dernière
affection
avait été considérée comme à peu près purement sp
énie, migraine oph- thalmique, etc.; 7° troubles mentaux liés à une
affection
des centres nerveux (traumatisme, lésion en foy
aîtres, comme j'ai gardé pour mes camarades d'autan la plus sincère
affection
. Quoi de meilleur que ce retour vers le passé !
sque toujours avec des caractères purement inflammatoires. Dans les
affections
inflammatoires aiguës : encpphalo-myétites, pol
restent souvent longtemps étrangères au pro- cessus. Lorsque ces
affections
offrent un caractère subaigu, c'est-à-dire dans
sions d'artérite au niveau des artères d'un certain volume dans les
affections
inflammatoires chroniques, la complexité des ph
rent des lésions qui a été cause de la division tout arbitraire des
affections
inflammatoires ou intersti- tielles et parenchy
l'un ou sur l'autre, suivant la réceptivité individuelle. Dans les
affections
chroniques dites systématiques, on ne voit pas
elles relèvent toutes de la même cause. ' Nous en dirons autant des
affections
qui ont pour substratum la dégénérescence primi
paraissent pas sous la dépendance de l'artérite. Quant aux autres
affections
du système nerveux et aux névroses, nous connai
le rôle de l'artérite parait bien restreint dans la pathogénie des
affections
du système nerveux, il est, en revanche, considér
ardiaques, cause de l'angor pectoris, ou à la maladie de Parkinson,
affection
pseudo-1>ulbaire d'après Brissaud. L'alcoo
lle quand la valeur intellectuelle de l'entourage et la nature de l'
affection
autoriserait cette mesure. Pour cela, afin de p
Terrien, appelé en dernier lieu, constate la nature psychique de l'
affection
; aussi fait-il de la suggestion en employant une
même, ne semble avoir eu aucune influence sur l'évolution de son
affection
mentale ; et c'est surtout dans ses rêves actuels
t bon; dans le quart qui reste il y a beaucoup de vieillards. Les
affections
dont les malades sont atteints sont : démence s
ques. Il croit donc qu'il y a exagération à classer comme lèpre des
affections
peu étudiées du système nerveux et uni- quement
lèpre mutilante et indépen- dante, uniquement caractérisée par des
affections
nerveuses et leurs conséquencès, ou d'une lèpre
des affections nerveuses et leurs conséquencès, ou d'une lèpre sans
affection
cutanée.» à c Selon la grande expérience du D''
ses, peut déterminer chez les enfants qui y sont prédis- posés, des
affections
incurables du système nerveux, dont la véritabl
centres nerveux vis-à-vis du parasite. Le tableau clinique de celte
affection
a été, d'une façon géné- rale, celui de la mala
British medicaL Journal, avril 1898.) Deux observations : l'une d'
affection
médullaire traumatique au niveau de la région s
Parmi les dermatolo- gistes qui, depuis Ilebra, ont traité de cette
affection
, les uns ne parlent pas de l'étiologie, les aut
liées antérieure- ment), l'auteur conclut qu'on ne peut pas, dans l'
affection
en ques- tion, constater un processus inflammat
simples modalités cliniques (Leyden, Kakler et Pick) d'une même -
affection
portant sur les neurones des cornes antérieures (
mentés, de soite qu'il n'est pas douteux qu'il s'agisse ici d'une
affection
myélopathique, c'est bien là la paralysie spasmod
ical répondant par exemple à l'origine arthritique héréditaire de l'
affection
. A. Marie. LXVI. Notes cliniques SUR la maladie
erew fait remarquer que sous le titre : « Propriété de rougir comme
affection
particulière », il a décrit dans laRevzce de ps
et Régis. D'accord avec ces derniers. M. Bechterew trouve que cette
affection
se rencontre tout particulièrement chez les jeu
l'évolution.générale,- dans un cas deM. Bech- terew, le début de l'
affection
remonte à l'âge de onze ans. Les malades restan
e accompagnée de lésion simultanée des cornes anté- rieures, ni une
affection
systématique combinée des cornes anté- rieures,
ue, mais il ne faudrait pas en induire que cette maladiè-là est une
affection
plus diffuse que systématique. C'est un cas fru
ication des dixièmes ou centièmes de milliampères au diagnostic des
affections
uni ou bilatérales. B. Courant faradique. - Les
ications histologiques correspondantes, ni par une évolu- tion de l'
affection
dans laquelle on constate telle ou telle forme de
iques, par exemple. L'anémie ou même la cachexie symptomatique de l'
affection
qui rend nécessaire l'intervention, paraissent
e traumatisme psychique ou comme cause déprimante, et dans ce cas l'
affection
qui en dérive a les caractères des psycho- ses
logique. «Ces opérations ne se justifient que par la gravité des
affections
des organes sexuels, sans qu'on puisse en espér
ongtemps dans l'incertitude du nom qu'il convenait de donnera à une
affection
que nous regardons maintenant comme une folie é
ami de nos pères et nous prodigua ainsi que vous, des témoignages d'
affection
, par le Dr Archambault dont le frère vivait à A
émastérien font également défaut. t. . Le symptôme essentiel de l'
affection
en question est l'immobilité limitée ou absolue
ou exaltation). 340 SOCIÉTÉS SAVANTES. Quant à l'étiologie de l'
affection
, M. Schataloff pense qu'elle relève probablemen
s pupilles à la lumière ; inconti- nence d'urine; constipation. L'
affection
date de cinq-six ans. A partir de janvier 1896, c
entaux. Nous citerons plus loin une observation de folie liée à une
affection
calculeuse du ,foie. Hammond, en 1880, constata
, la lésion du foie paraît d'une importance telle que' sans elle, l'
affection
mentale n'existe- rait pas ; ce sont ces dernie
pendu quinze jours après sa sortie de l'établissement. Seule une
affection
hépatique nous semble pouvoir être incriminée d
u'en dernier lieu, et seulement quelques jours avant la mort, que l'
affection
mentale prit nettement l'aspect du délire confu
fille de cousins germains ; son père et sa mère sont morts jeunes d'
affections
indéterminées. C'est une femme grande et forte,
ns, subordonné au premier. Mais alors que dans le cas précédent l'
affection
du foie était d'une nature complexe, nous avons
d'intérêt est que l'éclosion, au cours d'une folie chronique, d'une
affection
du foie n'en modifie ordinai- rement ni la marc
e, la psychose préexistante semble s'effacer sous l'influence d'une
affection
hépatique intercurrente. Observation VI. La veu
dies infectieuses et aux auto-intoxications. L'intervention d'une
affection
organique du foie dans le cours de la folie chr
érale n'était pas pure, se compliquait d'une névrose ou d'une autre
affection
du système nerveux, afin d'obtenir des données
première heure et par une thérapeu- tie rapide de montrer que cette
affection
traitée à temps n'est pas peut-être fatalement
existe quelquefois au début disparaît graduellement à mesure que l'
affection
progresse ; mais, suivant Lasègue, il n'en est
ion des diverses altérations en plus ou moins selon les phases de l'
affection
; dans quelles formes mentales ce sens est le p
estant par suite d'une évolu- tion exceptionnellement lente de leur
affection
paralv ! ique, ils sont restés à la phase initi
s atteints, d'où l'apparition plus ou moins tardive des débuts de l'
affection
. R. C. XC. De l'origine congénitale DE certai
rait-on, en autopsiant systématiquement la moelle d'enfants morts d'
affections
quelconques, trouver les traces médul- laires d
ÉE ÉLECTRIQUE ; par le Dr 130NaRDI. En raison de la rareté de cette
affection
, l'auteur publie un cas de chorée électrique ou
es des cornes antérieures de la moelle d'un malade atteint de cette
affection
un nombre considérable de ruptures des prolonge-
pronostic ainsi que le traitement sont, dans l'une et dans l'autre
affection
, diamétralement opposés. Malgré les difficultés
les tiqueurs. Toutefois, l'analyse des mouvements, le début de l'
affection
, et enfin le fait que les accidents, qui offren
une description de la syringomyélie avant la lettre, cette dernière
affection
constituait environ un tiers des cas de s'en at
grand obstacle au placement des malades à l'asile dès le début de l'
affection
, c'est le paiement du prix de pension. La fréqu
plus souvent que des incidents, des épisodes survenus au cours de l'
affection
mentale dont les malades sont atteints. Les deu
idérations sur la fréquence, l'étiologie, le développement de cette
affection
, l'auteur en décrit les symptômes primordiaux (
es maladies du système nerveux forment un tout inséparable dont les
affections
désignées sous le nom de maladies mentales ne f
eil général de la médecine aux étudiants de l'avenir, d'étudier les
affections
mentales pendant les cinq années que durent leu
vention. Les vésanies touchent, en effet, de très près à toutes les
affections
organiques, de plus près encore à ces états que
Xs., N. F., vin, 1897.) Un homme fort intelligent, même pendant son
affection
men- tale sur tout ce qui n'a pas de rapport av
éter la lésion des cordons postérieurs comme secondaire, soit à une
affection
des ganglions spinaux ou des racines postérieur
r d'une lésion ascen- dante du faisceau pyramidal consécutive à une
affection
des cellules des cornes antérieures; quant au t
ne dépasse pas le bulbe et que rien ne permet de l'attribuer à une
affection
cérébrale, il reproduit ce que l'on a observé d
sée des cordons postérieurs peut se montrer consécutive- ment à une
affection
localisée de l'encéphale ou du bulbe, et ces
velles recher- ches relatives à la grande classe encore obscure des
affections
tabé- tiformes (Revue neurologique, juin 1898.)
de diverses longueurs. P. KERAVAL. LX. Contributions A l'étude DES
affections
DES segments LES PLUS inférieurs DE la. moelle
tion à la psychopathologie des imposteurs », « la Statistique des
affections
du système nerveux dans l'armée russe », « Traite
nettes ; les vaisseaux étaient nor- maux. Cet état indicateur d'une
affection
scléreuse et atro- phique du tronc des nerfs op
s identifier aux lésions oculaires que l'on rencontre dans d'autres
affections
, dans le tabes par exemple ? Ainsi que nous l
e ; demi-sphère interne normale. L'oeil gauche paraissait normal. L'
affection
évolua rapidement et le malade mourut dans le m
nerveuses de la rétine de celles que l'on rencontre dans les autres
affections
et plus particulièrement dans le tabes. Pour ce
ères années, en effet, l'étude des troubles de la motilité dans les
affections
chroniques du système ner- veux a été poussée p
apeutiques aux cas de maladies nerveuses ; pour ce dernier groupe d'
affections
, le besoin ne se faisait même pas sentir de dem
les plus.variés; aussi bien pour le coeur et les vaisseaux dans les
affections
du système circulatoire, que pour nos moyens de
mes récemment décou- verts, le tabès, la maladie de Friedreich, les
affections
céré- belleusés, les tics, les chorées, les tre
n, l'athétose, les myôclonies, les crampes fonc- tionnelles, toutes
affections
caractérisées par de gros trou- bles de la moti
la non-abolition des contractions volontaires, 52 THÉRAPEUTIQUE.
affections
dans lesquelles la perte de la fonction semble
Le rapprochement devait être tôt ou tard opéré entre de pareilles
affections
et les notions que nous avons rappelées relativ
à faire bénéficier égale- ment des procédés de rééducation d'autres
affections
dans lesquelles non seulement les adaptations s
générale ; mais la rééducation, pour être opposée avec succès à des
affections
très différentes entre elles, devra approprier
ue les divers facteurs des anomalies des mouvements pour toutes les
affections
justiciables de la rééducation, on est frappé p
iaire du système nerveux, or il s'agit en cas de troubles moteurs d'
affections
essentiel- lement chroniques et elles-mêmes J'o
le d'exercices appli- cables à tous les malades atteints d'une même
affection
. Pour diriger utilement le traitement, il faut,
hodiques. Il nous resterait pour terminer à indiquer pour quelles
affections
on peut employer la rééducation motrice. Pour c
s d'é- numérer en les classant d'après la fonction intéressée les
affections
dans lesquelles la rééducation motrice trouve ses
ladie de Parkinson, l'astasie-abasie, la maladie de Friedreich, les
affections
cérébelleuses ( ? ), la sclérose en plaques ( ?
traiter le tabes, nous ne considérons plus cette maladie comme une
affection
à évolution fatalement progressive, nous sommes
'évolution, quand on assiste à une poussée plus ou moins aiguë de l'
affection
, c'est celle-ci qu'il convient avant tout de tr
ccès. Une étude analogue devrait être entreprise pour chacune des
affections
judiciables de la rééducation motrice, on ver-
eau clinique complet, mais le tableau anatomo-pathologique de cette
affection
ne repose encore que sur quelques rares autop-
années, ce qui parait une indication pronostique favorable de cette
affection
. R. C. VII. Ankyloses généralisées de la colonn
x; par J. 111AREK. (Veurolog. Cen- tralbl., XIX, 1900). C'est une
affection
contagieuse par le coït, dont l'incubation dure
te, que les branches d'un noyau ou des deux soient affectées, que l'
affection
soit plus prononcée d'un côté que de l'autre, l
on du coude faisaient entendre des craquements à distance. Les deux
affections
articulaires étaient comme les troubles de la s
ordre spécial et qui peuvent faire soupçonner sinon diagnostiquer l'
affection
. Les mêmes faits existent chez les animaux et n
ctifs, ceux-ci, lorsqu'ils existent, étant sous la dépendance d'une
affection
de l'oreille; le rôle d'appel important pour la
e (asphyxie au charbon); une autre soeur est morte à quarante ans d'
affection
indéterminée. Dans les antécédents personnels,
ait bien ressortir la patho- génie et l'évolution clinique de cette
affection
. Il met en évidence l'influence réciproque des
e nourricière de l'os, et concluent que la lésion initiale de cette
affection
reste obscure. IV. Sur le trophoedème ; par H
supra, parce qu'elle ne préjuge ni du siège, ni de la nature de l'
affection
et qu'elle indique le symptôme dominant. Elle est
que de para- lysie. Il croit que le degré de ces désordres dans les
affections
cor- ticales dépend notablement de la manière d
Lyon, 27 février 1901.) ` M. Josserand présente un cas typique de l'
affection
qu'Erb a décrite sous le nom de paralysie bulba
la polieucéphalite supérieure de Wernicke. Elle diffère de ces deux
affections
par l'absence de lésions des noyaux bulbaires,
fois en 1895 présentait une hémiplégie spasmodique infantile. Cette
affection
avait débuté à l'âge de huit ans et s'était acc
scléroses cérébrales dont la traduction clinique répond au diverses
affections
spasmo-paralytiques infantiles. G. C. XXIV. De
es. M. Legrain croit que la paralysie générale n'est pas la seule
affection
dans laquelle on constate l'envahissement du liqu
qui, pour tous les médecins, est considérée exclusivement comme une
affection
de la moelle et parfois du bulbe. Nous avons
Nous avons cependant observé qu'arrivés à une phase avancée de leur
affection
, les syringomyéliques présentaient des troubles
l'hydrocéphalie. Ils appartiennent à la symptomatologie propre de l'
affection
primi- tivement médullaire, ils sont un symptôm
ât de ce cadre les psy- choses d'ordre médical pur, dépendant d'une
affection
anté- rieure du sujet, ainsi que des délires to
'après les éléments précédemment indiqués. Mais il reste encore des
affections
mentales coïncidantes dont la confusion, avec l
ervir dans la mobile en 1870. Devant l'apparente bénignité de son
affection
, M... avait toujours refusé de se laisser opére
voir sa mère , ni ses parents ni moi-même, pour qui elle avait de l'
affection
, et dans son délire, le thème dominant est qu'e
ique après avoir été opéré. Il est à remarquer, à ce sujet, que les
affections
des organes génito-urinaires chez l'homme prédi
uve de ce traitement un certain nombre de malades atteints de cette
affection
qui se sont présentés à la consul- tation de la
nséquent), la névralgie faciale épileptiforme se comporte comme une
affection
possédant véritablement une autonomie propre, a
e comme une affection possédant véritablement une autonomie propre,
affection
dans laquelle le symptôme douleur tient sans do
rès certaine par les moyens appro- priés ; de l'autre au contraire,
affection
caractérisée par des phénomènes douloureux inte
le et sous-maxillaire est décrite parmi les symptômes courants de l'
affection
. Mais si l'épiphora est fonction de l'hypersécr
e type grave que nous avons observés, jamais à aucun moment de leur
affection
, les ma- lades n'ont présenté ce symptôme. Cett
, et il est impossible de savoir auquel des deux types appartient l'
affection
traitée. ' Sans doute les auteurs ont eu toujou
ute les auteurs ont eu toujours soin de noter la date du début de l'
affection
, mais cette indication ne donne qu'un renseigne
ine peut, par irritation, léser les vaisseaux et produire ainsi une
affection
en foyer, dont les conséquences dépendent de la
et tous ceux qui virent le malade diagnostiquèrent à ce moment une
affection
cérébelleuse. M. Lépine n'admit pas toutefois c
auteurs pensent qu'il y a lieu, dans l'étude du développement de l'
affection
, de faire place à l'irritation primitive des élém
, ou aidé de quelque processus hémorrhagique actionné par quelque
affection
toxi-infectieuse passée de la mère à l'enfant, ne
ERVEUSE. ques indications sur l'étiologie et le diagnostic de cette
affection
. {Revue neurologique, septembre 1901.) E. B.
ent à celle de Massalongo qui voit dans le rhumatisme chronique une
affection
plutôt une au point de vue clinique et anatomiq
e moins une entité morbide qu'un syndrome abritant sous son nom des
affections
de nature et d'origine différentes. {Revue neur
près, aux divers agents morbides qui l'atteignent. La gravité de l'
affection
est naturelle- ment subordonnée à l'intensité d
u plexus cardiaque. A la suite d'ac- cès fréquents et douloureux, l'
affection
évolua vers la dilatation cardiaque avec ectasi
les tra- vaux de Clark sur le sujet. XLIX. Du pronostic dans les
affections
du système nerveux; par IUDSON l3oaY. (Brit. na
appartenant à une famille de cinq personnes ayant présenté une même
affection
nerveuse et dont les troubles ont été déjà décr
e Monnesco (1889) et celui qui est rapporté dans cette étude. Cette
affection
, si elle est extrêmement rare, n'en est pas moi
sous la dénomination de myopa- thies familiales paroxystiques. Deux
affections
peuvent être ran- gées dans ce groupe : la mala
bomsen et la paralysie familiale périodique. D'autre part, ces deux
affections
ont une parenté évidente avec les amyotrophies
par le microscope. Ces malades ont présenté, depuis le début de l'
affection
jusqu'à la mort, un état mélancolique grave, un
ment démontré, et pour M. de Massary et lui-même le tabès reste une
affection
spéciale de l'ectoderme frappant de dégénéresce
s mouvements plus particulièrement appropriés à un certain nombre d'
affections
courantes. Ce petit livre pourra avan- tageusem
ement de sang qui m'incommoda fort. » Il est difficile de dire si l'
affection
que révèle ce symptôme fut la cause ou l'effet de
. on peut dire avec Ch. Monod, qu'un an de bien-être au cours d'une
affection
qui impose de véritables tortures, constitue un
tifs sans grande importance il est vrai, eu égard à la gravité de l'
affection
, et des troubles moteurs, mais aussi, et surtou
date de cette époque serait d'après la malade en corrélation avec l'
affection
qu'elle présente. On lui a fait plusieurs trait
Fibromatose et paralysie générale; ParleD.l. CUf.L>JIiR);. L'
affection
connue sous le nom de maladie de Reckling- haus
hotographie ci-dessus donne une idée suffisante de cette singulière
affection
. La malade nous a affirmé qu'elle « avait ça de
e dans cette observation, c'est la coïnci- dence de la fibromatose,
affection
congénitale et familiale, d'après les dires de
s à cinq jours, absolument normal pendant les premières années de l'
affection
, il est teinté maintenant tantôt de gaité, tan-
le est d'observation très ancienne. le fait de l'intervention d'une
affection
grave dans la guérison d'une vésanie est plus dig
qui tendent à prédominer à l'heure actuelle dans la pathogénie des
affections
mentales. L'effet incontestable d'une infecti
sur 18 cas de démence précoce, les auteurs concluent que dans cette
affection
: 1° parmi les globules blancs, les éosinophile
trouvaille d'autopsie, alors que la forme spasmodique de cette même
affection
correspond à une description précise et peut êt
es de l'hospice de Bicètre, soit dans une proportion de 1/13. Cette
affection
est donc plus fréquente qu'on ne le croit génér
t BAUER. L'embarras peut être grand quand on trouve en dehors d'une
affection
nerveuse caractérisée le symp- tôme trépidation
e et du tronc et peut-être du signe de Babinski de con- clure à une
affection
organique, probablement plaque de sclérose rhum
duelles. Mais le signe essentiel, qui consti- tue le fond même de l'
affection
, qui lui donne son nom et la différencie des au
ivité est profondé- ment troublée. Il semble donc que le siège de l'
affection
réside dans le système sympathique dont les fon
à ce jour. Le seul point litigieux est celui de l'autonomie de l'
affection
réclamée par Freud et par moi-même. La plupart
n reste pas moins vrai qu'il se présente des cas où le tableau de l'
affection
existe à l'état pur, sans aucune parti- cipatio
r, peut être d'une stéatose cardiaque chez une vieille femme obèse,
affection
qui se serait aggra- vée a la suite d'une longu
lus facile de faire, à deux siècles de distance, le diagnostic de l'
affection
dont mourut Pierre- Thomas du Fossé qu'on ne le
me, neuvième, dixième, onzième et douzième paires crâniennes, cette
affection
frappe surtout les individus du sexe masculin e
es, tout en étant obligé de les inter- rompre plusieurs fois. Cette
affection
progressive et incurable dure en moyenne de deu
a post-posté- rieure, ou, du moins, sur l'aptitude à contracter ces
affections
, sur le terrain, en un mot. C'est assurément
et accou- chent ensuite en présentations anormales. Guéries de leur
affection
nerveuse, elles accouchent de nouveau normaleme
dans les cas de vaginsme. Son absence peut être le symptôme d'une
affection
organique du cône médullaire et de la queue de
cedia- "" gnostic, pour eux la malade est nettement atteinte d'une
affection
organique. Chimisme du liquide céphalo-i-achi
de soixante ans atteint vraisemblablement de chorée chronique. L'
affection
a débuté chez ce malade à l'âge de sept ans; il n
ans sa famille aucune hérédité similaire. Ce début précoce de cette
affection
est exceptionnel. Paralysie radiculaire du type
du caractère et les phéno- mènes nerveux qui résultent des diverses
affections
de l'estomac, en particulier des dyspepsies par
Sa mère était fille unique, elle est morte à trente-huit ans d'une
affection
aiguë de poitrine. Deux enfants nés avant elle
léchaient sur la bouche. Elle avait onze ans lorsqu'en raison d'une
affection
pulmo- naire de sa mère, on l'envoya pour quelq
rès cinq ans de mariage,- son mari succomba en quelques jours à une
affection
aiguë de poitrine.. Bien qu'elle l'estimât à to
n'est pas hystérique. Le spasme musculaire qui accompagne certaines
affections
organiques (Rétrécissements de 1'urèthre, de l'
n clinique de la définition émise par l'auteur puisque ces diverses
affections
, distinctes les unes des autres, le sont aussi
es organiques du système nerveux, les névroses et diverses autres
affections
2 ; Contractures organique et hystérique3; Para
térie avec les maladies organiques, les névroses et diverses autres
affections
». Avec Charcot, l'au- teur montre que « l'hyst
ons ». Avec Charcot, l'au- teur montre que « l'hystérie est une des
affections
les plus répandues et que bien peu d'individus,
ie avec les maladies organe- ques, les névroses, et diverses autres
affections
» ? Dans tous les cas, combien l'auteur est loi
tales; 7° observation de névroses psychiques ; 8° alcoolisme ; 9°
affections
neurasthéniques ; 10° observation de nervo-arthri
on de troubles menstruels; 12° névral- gies ; 13° rhumatismes ; 1r°
affections
spinales ; '15° Troubles liés à des affections
3° rhumatismes ; 1r° affections spinales ; '15° Troubles liés à des
affections
organiques diverses ; 160 troubles menstruels ;
que 32 sous la dépen- dance de l'hystérie. (Nous avons souligné les
affections
net- tement organiques qui, d'après l'auteur, a
it non seulement hypnotiser tout le monde, mais encore guérir des
affections
très diverses, qu'il n'appelait pas hystéri- qu
nous rappellerons les lignes que M. Bernheim écrivit à propos d'une
affection
, étiquetée cérébelleuse (Obs. CII : Psychothéra
anté ? » Il faut s'étonner que ce procédé si simple pour guérir les
affections
cérébelleuses n'ait pas obtenu plus de faveur d
Sommer possède une riche collection de types cliniques des diverses
affections
du système nerveux c de sorte qu'à l'occasion d
auteurs qui ont trouvé des lésions ner- veuses dans cette dernière
affection
. G. C. LXXX. Cas d'hémiatrophie progressive de
'aîné et qui dans les deux cas se sont manifestés dès le début de l'
affection
. R. C. LXXXIV. Sur un nouveau cas d'amyotrophie
,1902) Femme de quarante-six ans ayant un père atteint de la même
affection
: amyotrophie, réaction de dégénérescence, troubl
faiblissement de tous les réflexes tendineux. R. C. LXXXVI. Sur les
affections
de la queue de cheval et du segment inférieur d
incertain dans le tableau clinique et anatomo-pathologique de cette
affection
, il rappelle la définition proposée par Van Geh
sous un terme moins général que « syndrome de Little » les diverses
affections
qui s'y rapportent. R. C. ' LXXXIX. Diplégie
ux nouvelles observations dans lesquelles, au lieu de syphilis et d'
affection
spinale, existait diabète sucré et alcoolisme, qu
omsen, et, d'ailleurs, la raréfaction d'un muscle ne prouve pas une
affection
musculaire idiopathique. M. Saenger insiste sur
omène. 1° Il est des cas où la cause doit en être cherchée dans une
affection
du système ner- veux central : on a affaire alo
nsformation du caractère et des goûts après l'é- masculation). Si l'
affection
somatique chronique passe à l'état aigu, il y a
ié droite du corps et des extrémités droites. Diabète. Diagnostic :
Affection
de la moelle allongée. Cas 11. Malade B..., qua
morbides sous l'influence d'un traitement spécifique. Diagnostic :
Affection
spécifique du tegmentum du pont de Varole. Ca
ement du goût sur toute la moitié droite de la langue. Diagnostic :
Affection
du tegmentum du pont de Varole et de la moelle
gauche de la langue un léger affaiblissement du goût. Diagnostic :
Affection
spécifique du tegmentum du pont de Varole. Se
e régression alternent avec des périodes d'accroissement, même si l'
affection
date de longues années. L'application de la m
l'épuisement et la conduction ralentie se trouvent daus toutes les
affections
de la voie sensitive, mais principalement dans
ions de retraites, par 0'\eill, j7 : . ( Queue de chevu.. Sur les
affections
I de)aet du segment inférieur de la moelle, p
mmation dans le - bentral, par Storch, 259. Du pronostic dans les
affections
du , par .ludson Bury, 280. Tabès. Voir Systè
re folie circulaire. Alternant dans des phases successives, cette
affection
, typique en effet, semble avoir suggéré à notre
manie. Raimbaud n'avait ni idée fixe ni impulsions déterminées. Son
affection
se composait d'une série de paroxysmes comparab
t comme tout le monde. Ce n'est certes point le cas de Justine. Son
affection
rentre nécessairement dans la catégorie des dél
nostic et le traitement doivent eux-mêmes à l'idiosyn- crasie de l'
affection
des chances relatives. Dans des cas où le cerve
a plus eu rien de ce genre; il ne se rappelle pas avoir jamais eu d'
affection
cutanée quelconque. En 1868, à t'age de trente-
age d'une articulation'. Il résulte de ces faits que dans les cas d'
affections
spinales à tendances spasmodiques, il faut évit
malade, peuvent avoir les plus regrettables conséquences. Dans ces
affections
les révulsifs et notamment les pointes de feu l
xophthalmique ou maladie de BASEDOSV, nature ET traitement de cette
affection
; par F. Panas. (AT- chives d'ophtalmologie, n°
n et de l'avant-bras droit à la suite d'une contusion, puis d'une
affection
semblable du côté gauche à la suite d'une fractur
e est mort depuis deux ans, d'une maladie deBright; il n'a pas eu d'
affection
nerveuse. Il avait deux frères, dont l'un est m
c. Le deuxième enfant était une fille qui est morte à dix ans d'une
affection
fébrile. Le troisième est un fils, il a trente-
xistence chez leurs parents directs ou collatéraux, non seulement d'
affections
médullaires, mais encore d'affections cérébrale
collatéraux, non seulement d'affections médullaires, mais encore d'
affections
cérébrales ou de troubles psychiques. Cn. F.
, d'origine épileptique, d'avec les démences émanant de toute autre
affection
. Telles sont sa non-continuité (du moins au déb
une certaine conscience de sa faiblesse et de l'incurabilité de son
affection
le rend pessimiste, misanthrope, bigot, obséqui
cins. Comme étiologie, il faut signaler d'abord l'existence d'une
affection
douloureuse qui a nécessité l'emploi de la morphi
itives, tactiles, qui, apparu au qua- trième ou cinquième jour de l'
affection
pulmonaire, se prolonge des semaines, des mois
nitiaux (formes de pas- sage) ; puis ceux de la période d'état de l'
affection
: c'est alors qu'interviennent progressivementl
lle dans laquelle on compte plusieurs cas d'aliénation mentale et d'
affections
nerveuses. Son père a suc- combé à une maladie
age serait un re- mé3e a ce désordre d'esprit et de conduite, que l'
affection
d'une femme dévouée, les devoirs d'abord d'épou
bablement à la suite d'une chute, à toutes les manifestations d'une
affection
cérébrale grave. Comme le patient chancelle sans
n aucune région du corps. M. Richter est d'avis dans l'espèce que l'
affection
mentale, si elle peut retarder la SOCIÉTÉS SAVA
symptôme observé provienne d'un simple trouble fonctionnel ou d'une
affection
du cerveau ? A inten- sité égale, l'aphasie par
le premier acte. ? (6 : <m : MU}'tee<fK< ! Ct symptôme de l'
affection
mentale d'autant qu'il n'y avait pas d'oedème e
, l'excitabilité motrice, doit prendre rang parmi les symptômes des
affections
cérébrales. Bof. Rieger admet que l'on puisse c
parents et les amis de ces malades avaient pour eux suffisamment d'
affection
, ils pourraient les soigner à la maison. Le Dr
ne différence de degré entre ces états d'hypochondrie morale et les
affections
mélancoliques avec idées de culpabilité, de rui
NILLO, médecin (le la Clinique de Samt-Pétershourg. L'influence des
affections
génitales sur la production et la marche de la
s plus essentielles de la folie et ont une influence sérieuse sur l'
affection
mentate(Marcé, Falret, Guislain, Mairet, Boyé,
mentale). D'autres, enfin, traitant la question sur le rapport des
affections
utérines, citent des faits positifs qui indique
utérines, citent des faits positifs qui indiqueraient que diverses
affections
sexuelles, soit aiguës, soit chroniques, peuven
arzual o/' psychological medicine, 1862. - .L-C. Skene. Rapport des
affections
utérines à la folie. Extrait dans les Archives
. DES MALADIES SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES. 177 mairement que les
affections
utéro-ovariennes seraient fréquentes chez les a
cas. J.-C. Howard2, sur cent vingt-sept autop- sies, a constaté les
affections
de l'ovaire et de l'utérus dans vingt-quatre ca
t d'aborder plus systématiquement la question de la fréquence des
affections
sexuelles chez la femme dans le cours de la fol
en pleine vigueur de leurs fonctions physiologiques sexuelles, les
affections
gynécologiques étaient représentées comme suit,
e la même catégorie qui n'ont pas eu de couches, on rencontre les
affections
génitales dans trois cas, tandis que sur qua- r
ne influence sérieuse de l'irri- tation périphérique causée par les
affections
sexuelles, même peu prononcées, affections qui
iphérique causée par les affections sexuelles, même peu prononcées,
affections
qui doivent toujours produire un effet irritant
r état* dépressif. Il est enfin un troisième mode de début de cette
affection
qui peut offrir la même particularité, c'est la
ans que M ? B... a été confiée pour la seconde fois à mes soins, l'
affection
paralytique n'a plus offert de rémission, et l'
riode de début ne se retrouve plus ici. Entre ces deux stades des
affections
mentales existe donc, à ce point de vue, une di
Par Cn. FÉRÉ. · Depuis que M. Charcot a appelé l'attention sur les
affections
articulaires et osseuses développées chez les a
amélioration considérable ou guérison. Il ne faut pas oublier que l'
affection
peut récidiver et que le traitement agit alors
trou\é le son de la voix chez cent soixante-deux malades atteints d'
affections
mentales : trente-neuf fois exagéré, trois fois
ation ; non plus qu'entre ces dernières et les différentes formes d'
affections
mentales. Il pense que la transmission de la
on céphalique pourra être d'un grand secours dans le diagnostic des
affections
mentales. P. M. XVII. SUR LE centre cortical DE
rmés), signe qui n'apparait qu'as- sez tard et existe dans d'autres
affections
. E. CH. XIX. ETUDE SUR LES HéMORRAGIES primitiv
du système nerveux tel que progressive- ment s'est développée cette
affection
cérébrale La manifesta- tion d'un exanthème aus
dit-il, des faits déjà constatés aux dernières années à propos des
affections
rhumatoïdes ; les uns et les autres témoignent
t la psychose, à l'exemple de Kroepelin ', mais c'est précisément l'
affection
cutanée qui n'aurait rien à voir avec la campag
rées enrapport avec l'ensemble fonctionnel du cerveau. Le type de l'
affection
à perte de connaissance est 1't,ilepsie; qu'il
e plus facilement l'observation et de faire passer le malade dont l'
affection
aurait subi une trans- formation du quartier de
Westphal présente un cas de maladie de Thomsen. Il s'agit de cette
affection
consistant en l'apparition d'une raideur avec cou
tphal pense également que le ramollissement peut être indépendant d'
affections
vasculaires, les Français l'ayant admis comme t
ce D; : M. Westphal. 11. Rrvah préscnte zttt znalarle atteint d'une
affection
de la protu- bérance. L'homme de quarante-six a
à cette époque, d'ailleurs barbare, on ne s'est pas soucié de cette
affection
. Aminci, à Cuba, où il reste un assez grand nom
tiqué uue sclérose d'origine syphilitique (le malade avait eu cette
affection
jadis), siégeant dans la moitié postérieure dro
ucune hallucination de la vue, mais que longtemps avant sa dernière
affection
il se pourrait qu'il eut été atteint de dcliriu
ur forme, leur étendue et leur nombre varient avec l'intensité de l'
affection
. Leur température est la même que celle des rég
evised édition, London. 1882. Des hémorrhagies cutanées liées à des
affections
du système nerveux, et en particulier du purpur
uditif, et il' a institué un traitement précieux de cette cruelle
affection
. Au point de- vue nosologique, il a égale- ment
'une lésion exclusive des canaux, il faudra donc admettre que cette
affection
a guéri juste au moment où le reste du labyrint
oreilles si caractéristiques que M. Charcot en fait un signe de l'
affection
" et que les malades le reconnaissent comme avan
chute, il existe des périodes franches de calme dans lesquelles l'
affection
de l'oreille moyenne se trahit sou- vent et'peu
de plus, elle permet de constater l'existence du vertige dans des
affections
auriculaires manifestes et de tout ordre, dans
igeons. Il n'est donc pas nécessaire d'admettre l'existence d'une
affection
préexistante du labyrinthe pour que la producti
par contre, on a vu ce syndrome survenir au milieu de l'évolution d'
affections
catarrhales de la, caisse, et même des cellules
ellules mastoïdiennes (Guy, d'Amsterdam), et il n'est pas jusqu'aux
affections
les plus communes de l'oreille externe, dans le
inutieuse de l'oreille moyenne, et de ses annexes, conclut à, une
affection
de l'organe labyrinthique. Mais , prouver qu'un
est de reconnaître si ce qu'on observe n'est pas le résultat d'une
affection
des fenêtres ovale et ronde. Divers signes diff
e de vingt-quatre ans, jolie et pour laquelle il éprouvait une vive
affection
. La première nuit des noces, il reste impuissan
a pas le courage, dit-il, de le faire; il hésite aussi à cause de l'
affection
qu'il éprouve pour sa femme. Il éprouve égaleme
mbago. Elle peut être poussée assez loin pour éveiller l'idée d'une
affection
médullaire (Lasègue). La marche s'embarrasse, l
u fond de l'oeil, qui, améliorée par le régime, n'empira pas avec l'
affection
, fait qui contredit bien des opi- nions admises
igne du diabète, c'est-à-dire apparaître quand tous les signes de l'
affection
font encore défaut, la glycosurie même. Raremen
ine analogie avec les troubles trophiques que l'on observe dans des
affections
spinales.,On a noté, par exemple, le mal perfor
r le rôle prépondérant de l'appareil génital dans la pathogénie des
affections
nerveuses de la femme. Il est d'avis, non seule
res de toute espèce, rechercher avec soin et traiter les moindres
affections
locales de l'appareil utérin, mais il est convain
et la syphilis jouent aussi un rôle important dans l'étiologie des
affections
de l'oreille. Si on rapproche de cette fréquenc
t déterminer, on reconnaîtra l'importance méritée attribuée à cette
affection
. Ce sont ces complications qui font l'objet du
e l'épilepsie. Chez les sujets de trois à quinze ans, en dehors des
affections
rénales, les convulsions sont presque toujours
ice dans les extrémités inférieures. Symptômes prédomi- nants d'une
affection
médullaire unilatérale. Ultérieurement paralysi
ers scléreux, serait pour l'auteur en rapport avec l'intensité de l'
affection
(dilata- tions vasculaires, liémorrbagies). Il
raînent l'hypergenèse du tissu connectif ? Enfin est-ce bien là une
affection
systématique ne portant que sur certains faisce
inement à la suite d'une insolation, d'une lésion de la tête, d'une
affection
fébrile aiguë, ainsi qu'à la première période de
cinations de l'ouïe comme caractéristiques de l'incurabilité des
affections
mentales ; c'est pourquoi l'auteur a pensé que l'
à l'amélioration ou au soulagement de l'état des malades atteints d'
affections
mentales; 4° rompre la monotonie de la vie de l
XXII. Localisation SPINALE.- lésions destructives DE L'EN- céphale.
AFFECTION
DE LA MOELLE; par W. JULIUS Mickle. (Tlce Journ
veloppement de la paralysie générale; dans la seconde il étudie les
affections
chirurgicales traumatiques ou spontanées qui peuv
est complexe, se montre à l'âge où se développe ordinairement cette
affection
; une certaine prépa- ration de l'organisme semb
GUILLE'ic. Thèse de Paris, 1882. De la chute des ongles dans les
affections
nerveuses et en particulier dans l'ataxie locom
Paris, 1882. Observations de mal perforant annonçant le début d'une
affection
spinale; par DLANCHAM. Thèse de Paris, 1882.
uillamié, 52. Moelle (lésions unilatérales de la), 369. Moelle (
affections
de la), localisa- tion, 395. Moelle (dégénére
Prix Esquirol, 237; Aubanel, 237; Belhomme, 117. Protubérance (
affection
de la), par Resali, 249. Psychopathies chroni
syndrome syringo- myélique et qui a été observé dans bien d'autres
affections
du système nerveux. Dès lors on a pu constater
sant d'une santé assez normale jusque deux ans environ avant ort, L'
affection
morbide commença à se manifester en 189 : 1 (le
attaques apo- plectiformes, ainsi que de la marche irrégulière de l'
affection
. On ne pensa pas à l'existence d'un anévrysme d
rature avec conservation de la sensibilité au contact. t, Ainsi l'
affection
; qui était restée latente pendant des années, ne
des hôpitaux. Nous apportons un nouveau document il l'histoire de l'
affection
géné- ralement désignée sous le nom de neuro-fi
Il6tel- Dieu, a suffisamment insisté sur l'allure clinique de celte
affection
pour que nous puissions nous dispenser d'y reve
fibromatose -qui réalise l'uni té patlio('éiiiqtie et clinique de l'
affection
désignée, sous le nom de « neurofibromatose gé-
lté. Au mois d'avril 1898 nous avons attiré l'attention (1) sur une
affection
non encore décrite en France, caractérisée par
idence les caractères cliniques et anatomo-patho- logiques de cette
affection
. Elle constitue en effet une véritable entité m
rieur des malades atteints d'adéno-lipomatose symétrique- lorsque l'
affection
est arrivée à une certaine période de son dévelop
soin par des auteurs qui soutenaient l'origine névropathi- que de l'
affection
. , Par contre chez plusieurs malades il existai
présentait aucune alté- ra lion digne d'être notée. Le début de l'
affection
est généralement insidieux ; comme l'évolution
autres masses graisseuses sont situées au niveau des avant-bras. L'
affection
ne cause aucune gêne au malade. OBS. IX (Pl. VI
tale et dans l'aine. Perle de la mémoire dans ces derniers temps. L'
affection
aurait débuté il y a 12 ans, sans cause appréci
egré d'émaciation peuvent atteindre des malades chez lesquels nulle
affection
organique ne vient entraver la nutrition ; la p
pas manger, puis par l'ex- plication véritablement frappante de son
affection
: « je n'éprouvais en aucune façon le besoin dé
ystérie, ils ne s'observent à peu près exclusivement que dans cette
affection
. D'autre part, l'état mental de S... est bien c
'est pas que la simulation n'ait jamais été tentée dans cet ordre d'
affections
: d'assez nombreux sujets ont réussi à faire pé
qui entra à la Charité le 26 septembre 1899. Le père est mort d'une
affection
gastrique : la mère, bien portante, a eu 8 enfa
, médecin grec des temps héroïques, avait guéri Hercule d'une grave
affection
nerveuse, folie ou épilepsie, on ne sait trop, en
s doigts, les orteils, la mâchoire inférieure, la présence de cette
affection
que les Anglais avaient déjà nommé Charcot's jo
et s'occupent surtout dans leur travail, de la pathogénie de cette
affection
. Incidemment, dans le chapitre consacré a l'éti
int-André de Bordeaux, service de M. Demons, le 6 mai 1885 pour une
affection
du gros orteil. Son père et sa mère sont mort
ues, véritables ataxies de nutrition. Dans ces cas, il semble que l'
affection
médullaire, fruste par ailleurs, s'épuise dans
l'article ne s'était pas fistulisé depuis quatre ans que durait son
affection
; enfin, peu satis- faits par ce diagnostic, no
ns le service de M. le professeur Raymond une malade présentant une
affection
congénitale dont les obser- vations sont très r
entourés et pelotonnés dans le tissu cellulaire sous-cutané. Cette
affection
est congénitale.Notre malade est née à terme.L'ac
u qu'elle consulta plus tard lui donna le conseil de vivre avec son
affection
et de ne recourir à aucune opération. Ce cons
h en ont toutefois rapporté des exemples. La pathogénie d'une telle
affection
, d'une telle malformation vasculaire est absolu
a malade marche, lequel, dans mon opinion, est caractéristique de l'
affection
hystérique. Si vous considérez une personne souff
t l'hémiplégie hystérique et les trou- bles de la marche dans cette
affection
, c'est la paralysie flasque de tous les muscles
lus q'une simple ressemblance. Il existe quelques analogies entre l'
affection
que nous décrivons et les pseudo-lipomes sus-cl
e que nous avons également notés parmi les symptômes possibles de l'
affection
qui nous occupe. Le même auteur a vu le pseudo-
. Cette observation ne rentre pas, à notre avis, dans le cadre de l'
affection
que nous décrivons. Il s'agit, comme le dit d'a
le » a l'avantage d'indiquer les caractères les plus saillants de l'
affection
et sa localisation la plus fréquente. Dans sa réc
do-lipomes sus-claviculaires, « puisqu'il semble que celte dernière
affection
ne s'observe guère en leur absence » (Potain).
peut plus soutenir aujourd'hui, comme le faisaiLiladeliiiio-, que l'
affection
ne coïncide jamais avec l'obésité; il ne s'agit p
c l'obésité; il ne s'agit pas cependant d'une obésité locale, car l'
affection
se montre surtout chez des sujets dont l'embonp
cas de Stoll), ne semblent jouer aucun rôle. La cause intime de l'
affection
nous échappe. Si, dans un cas, M. Delbet a cons
adénome, nous croyons que, pour admettre l'origine microbienne de l'
affection
, il faut attendre le résultat de recherches ult
othèses ont été émises pour expliquer la nature de cette singulière
affection
. C'est ainsi que Madelung s'était demandé s'il
demandé s'il ne s'agirait pas d'une dystrophie en rapport arec une
affection
ou une disparition du corps thy- roïde. Il n'av
effet retrouvé le corps thyroïde chez un de ses opérés. De plus, l'
affection
s'observe presque ex- clusivement chez les homm
prédisposés que les femmes aux maladies du corps thyroïde. Enfin l'
affection
, au dire des auteurs allemands, aurait été obse
a polysarcie avec une abondante hyperidrose huileuse. Maissi dans l'
affection
spéciale qui nous intéresse, l'hypersécrétion c
is, 1899) se demande aussi s'il ne faut pas chercher l'origine de l'
affection
dans un ralentissement général des échanges nut
ique des tumeurs et sur leur coexistence dans quelques cas avec des
affections
plus ou moins graves du système nerveux, telles
adie comme une véritable tropho-névrose et peut-être même comme une
affection
d'origine myélopathique. On pourrait ainsi être
ine myélopathique. On pourrait ainsi être amené à appliquer à notre
affection
l'ingénieuse théorie du métamérisme spinal de B
onnaît pas la nature. La dernière hypothèse consiste à considérer l'
affection
comme ayant pour origine une maladie des glande
déno-lymphocéle et l'adéno-lipomatose corroborent l'hypothèse d'une
affection
primitivement lymphatique. La ressemblance entr
affection primitivement lymphatique. La ressemblance entre ces deux
affections
peut être telle que le diagnostic différentiel
e du système lymphatique (gan- glious et vaisseaux), mais que cette
affection
est absolument distincte dé la Lytltphadénie, a
imaux de manifestations tuberculeuses. Peut-être a-t-on saisi ici l'
affection
au stade d'hypertrophie ganglionnaire simple, ava
nsi qu'on pourra le voir, les observations déjà nombreuses de cette
affection
remontent des dates relativement an- ciennes ;
aumatique se compliquant souvent d'hémianopsie, la description de l'
affection
nous retiendra quelque temps à cause de cet int
e ne sont pas très rares. Les traumatismes qui donnent lieu à cette
affection
sont extrêmement variés. Sur les 47 cas dont no
un bloc de charbon projeté par un coup de mine ; le plus souvent l'
affection
succède à une Rebute et c'est pourquoi la plupa
t des blessés s'améliore et la guérison survient ou le passage de l'
affection
à l'état chronique. Nous nous,occuperons au cha
u soeurs, six sont encore vivants ; les autres ont suc- combé à des
affections
indéterminées. Le frère aîné de la malade s'est
l'âge de quarante-neuf ans d'une pneumonie. Sa mère succomba à une
affection
pulmonaire encore vers l'age de trente-neuf ans :
res inférieurs. Son père ést mort à l'âge de soixante-dix ans d'une
affection
pulmonaire. Sa mère est morte de vieillesse à q
formations vertébrales. Il dit n'avoir jamais eu dans son enfance d'
affections
osseuses ou articulaires quelconques : en parti
e de préciser s'il s'agit de rhumatisme articulaire aigu franc. L'
affection
, pour laquelle la malade est venue consulter et e
ences qui peut être d'une si grande utilité pour le diagnostic de l'
affection
que nous étudions et que nous avons mise à exécut
sager l'atrophie olivo- ponto-cérébelleuse constatée ici, comme une
affection
congénitale ; son début tardif et la constatati
il n'a eu qu'une soeur qui est morte jeune et il ne sait de quelle
affection
. In- terrogé à maintes reprises sur ses ascenda
s avions déjà eu l'occasion d'observer un malade atteint de la même
affection
, dont l'observation clinique et l'examen anatomiq
atrophie oliuo-pocato-cérébelleuse. L'atrophie cérébelleuse est une
affection
assez rare, le type anatomo- clinique que nous
on anatomique est si particulière. Au point de vue symptomatique, l'
affection
que nous venons d'étudier présente plus d'une a
s ces deux familles sur l'hérédité similairc, aucun indice de cette
affection
n'ayant été relevé dans les ascendants directs;
CÉRÉBELLEUSE 357 ; cérébelleuse ; il s'agit vraisemblablement d'une
affection
différente ; pour les observations de Klippel e
Spiller peuvent être, il est vrai, considérés comme atteints d'une
affection
fami- liale dont le substratum anatomique est u
t le substratum anatomique est une sclérose du cervelet; mais cette
affection
n'est sûrement pas la même lIue celle du malade d
me lIue celle du malade de Nonne ; il ne s'agit pas davantage d'une
affection
aussi nettement systématisée que dans nos obser
ataxie cérébelleuse concernant deux frères. 1 Leur mère avait une
affection
semblable, la marche était incertaine, la parol
un de ses cousins. Le frère aîné du ma- lade est atteint de la même
affection
; ses deux soeurs ont des maladies d'yeux. Dans
t dans les atrophies non familiales ; et il existe d'autre part des
affections
familiales qui se manifestent cliniquement par de
hérédo-ataxie cérébelleuse n'est qu'un syndrome commun il plusieurs
affections
familiales du système nerveux et due à une lési
ra lit qu'un élément de présomption et non une certitude absolue. L'
affection
dont notre première malade est atteinte ne peut p
ancé auquel sont apparus les premiers symptômes, l'absence de toute
affection
similaire dans les antécédents de la malade sont
es antécédents de la malade sont peu favorables à l'hypothèse d'une
affection
héréditaire ou familiale ; d'autre part rien da
'équilibre, analogues à ceux des atrophies cérébelleuses au cours d'
affections
dans lesquelles le cervelet n'est pas direc- l'
gnostiquer une atrophie cérébelleuse. Le diagnostic avec d'autres
affections
du cervelet telles que tumeurs, abcès, ne compo
ne de Boulogne (1) a le premier tenté d'établir le diagnos- tic des
affections
cérébelleuses et de l'ataxie locomotrice : bien q
caractéristiques, quelques-uns cependant lui sont communs avec les
affections
cérébelleuses, et parmi eux la titubation ; c'est
on ne doit plus guère être admise que pour une certaine catégorie d'
affections
cérébelleuses, et plus spécialement pour celles
arole scandée, le tremblement intentionnel appartiennent à ces deux
affections
; le tremblement intentionnel est moins constan
essant d'interroger doréna- vant à cet égard les malades atteints d'
affection
cérébelleuse. Cependant chez quelques malades l
croyons pouvoir poser les conclusions sui- vantes : Il existe une
affection
cérébelleuse caractérisée anatomiquement par l'at
nséquence l'hémianopsie. Or nous savons avec quelle fréquence cette
affection
accompagne l'hémiplé- gie. Il s'agit là d'une
ieurs années. L'hémiplégie traumatique semble d'ailleurs être une
affection
qui a une grande tendance à la guérison. Nous a
servé pendant plus d'un an espérant trouver dans l'évolution de son
affection
quelques traits qui m'auraient permis de la ratta
s de toute maladie infectieuse, de tout mouvement fébrile, de toute
affection
vénérienne qu'il se produisit. Sans aucun troub
ntinuation du bon état général. Nous restons donc en présence d'une
affection
singulière caractérisée exclusivement par la fo
t aux conséquences ré- flexes des lésions ostéo-articulaires. ' L'
affection
s'est établie lentement, elle n'est pas symétriqu
e Duchenne et se retrouve avec ses mêmes caractè- res dans d'autres
affections
médullaires. Aussi, bien que l'âge de notre suj
e l'âge de notre sujet et sa santé antérieure écartent l'idée d'une
affection
acquise,' bien que l'absence de tout antécédent
é qu'il une première manifestation très anor- malement isolée d'une
affection
qui pourrait se développer plus tard. Quoi qu'i
es fonctionnels multiples et la marche lentement progres- sive de l'
affection
, le malade n'en va pas moins à l'école et peut se
VERTÉBRALES DANS LE TABES 427 raisons à la première période de leur
affection
vertébrale, à celle que nous désignerons sous l
ire en- tièrement défaut. Le malade parcourt tous les stades de son
affection
sans en avoir jamais la moindre conscience et l
ion insuffisants incapables de trouver des données aussi exactes. L'
affection
est redevenue silencieuse et indolore : à peine e
dou- leurs irradiées ; le malade ne se plaint à aucun moment de son
affection
vertébrale. Celle-ci continue à évoluer avec so
vent se 438 ABADIE reproduire à plusieurs intervalles éloignés. L'
affection
reprend bientôt sa marche torpide et indolente.
se faire une compensation osseuse, qui, étant donné la nature de l'
affection
, équivaut à une guérison. C'est le cas d'un mal
urs hystériques et les vertiges, la poudre était interdite dans les
affections
du poumon ». Le tabac, d'après les théories régna
pas le sa- tisfaire je lui citai ces paroles de Magnen : Dans les
affections
des yeux, il faut éviter le tabac, car il excite
si il est impossible de préciser la date du commen- cement de cette
affection
. - Etat de la malade au 14 juin 1900. - Fille b
as non plus un processus des os crâniens comprimant les nerfs ; une
affection
pa- reille devrait produire plus de symptômes q
de symptômes que la lésion isolée de deux nerfs. Ce n'est pas une
affection
périphérique des nerfs endommagés. L'absence de
s permettent d'éliminer ce diagnostic. Ce ne peut être non plus une
affection
radiculaire, puisqu'il n'y a au- cun symptôme d
isqu'il n'y a au- cun symptôme de lésions qui puissent produire une
affection
pareille. Ce n'est pas une paralysie corticale
ments associés. Il s'agit incontestablement chez notre malade d'une
affection
nucléaire : quant à la lésion on doit éliminer
que les autres symptômes de ces ma- ladies manquent. C'est donc une
affection
isolée, autonome des noyaux. Le fait que toutes
des et déjà au bout de quel- ques mois, on trouve régulièrement une
affection
des autres nerfs du bulbe, la paralysie bulbair
le goître exophthalmique ont des rapports fréquents avec les autres
affections
qui constituent la famille névropathique, Les cri
convulsions. Elle survit seule : une soeur est morte à 25 ans d'une
affection
aiguë de poitrine et un frère est mort à 44 ans
ection aiguë de poitrine et un frère est mort à 44 ans, aussi d'une
affection
aigué de poitrine, mais il était alcoolique.
uelque temps auparavant, elle avait été traitée à Lourcine pour une
affection
qu'elle ne décrit pas clairement; mais qui parut
e fausse couche de trois mois, sans cause appréciable. Début de l'
affection
il y a vingt ans par une paralysie du droit inter
- nelles n'est pas davantage de nature à jeter sur l'étiologie de l'
affection
un (1) 13EGN.IIiD, Soc. de Biologie, 1880. LE
riques dont la fréquence est si 508 JEAN ABAD1E grande dans cette
affection
. Dans cet ordre d'idées, Marinesco (1) donne un
ES VERTÉBRALES DANS LE TABES 509 pour parvenir au terme même de son
affection
, parcourir différentes éta- pes que la clinique
long, fixé seulement par l'intensité du processus dystrophique. L'
affection
va se localiser : une vertèbre de la région lomba
tissu osseux vertébral. Elle le sera surtout dans le tabes : cette
affection
comporte en effet des lésions névritiques fréquen
pement insuffisant des lésions, soit encore à l'indolence même de l'
affection
, qui le laisse dans l'ignorance complète de son
toute une longue série de déviations rachidiennes symptomatiques d'
affections
différentes dont la connaissance n'est pas sans
entes formes de l'arthro- pallie vertébrale tabétique, ces diverses
affections
elles-mêmes compli- quent rarement le tabes et
IE les déformations dues à des traumatismes anciens, il n'est pas d'
affection
vertébrale comparable à l'ostéo-arthropathie ta
lles seules pour établir une différence fondamentale entre les deux
affections
. Et, si les crises douloureuses du tabès jointe
sentir. Il n'importe guère en effet de remédier au plus vite à une
affection
qui gêne à peine le malade, qui ne met nullement
on par un foyer restreint si rare, peut être sans exemple lorsque l'
affection
cérébrale se forme indépendamment des blessures
itution moyenne. Antécédents héréditaires : sa mère, atteinte d'une
affection
cardiaque, est morte à 55 ans, d'une hémiplégie
d'une bonne santé. Ses grands-parents paternels ont succombé à des
affections
pulmonaires indéterminées. B... a une soeur bie
qui doit dominer l'histoire des myélites, c'est que pre toutes ces
affections
sont essentiellement secondaires. Il n'y a pas,
'une maladie générale, ou encore à l'extension dans la moelle d'une
affection
locale siégeant dans un organe plus ou moins rapp
dies familiales et la sclérose latérale amyotro- phique, toutes les
affections
de la moelle sont dues soit à une infection, so
exemples des plus démons- tratifs de la nature infectieuse de cette
affection
et des myélites en général. Toutefois, dans la
cadre un peu trop vaste que leurs devanciers avaient inspiré cette
affection
. Pour Oppenheim comme pour P. Marie, comme pour
ladie rare, tandis que Leyden et Gowers avaient admis que c'est une
affection
relativement fréquente et bien connue. Dans l
e sujet ont fait rentrer dans le cadre de la névrite ascendante des
affections
très différen- tes. Aussi, quelques neurologist
robes dans la pathogénie de la myélite, la plupart des cas de cette
affection
.étaient dus au froid et au traumatisme. Aujour-
de notre exposé une observation des plus typiques de cette curieuse
affection
(pour les détails consulter la thèse de l'un de
anté ; cette dernière nous ap- prend qu'elle a perdu son père d'une
affection
de poitrine à l'âge de 51 ans, mais que sa mère
portante. Elle n'a jamais connu dans sa famille de gens porteurs d'
affections
oculaires congénitales analogues à celle de sa
é. Ses parents sont très affirmatifs sur l'origine congénitale de l'
affection
oculaire qu'elle présente. Elle est née les yeu
résenté par le chiffre de 35 0/0. Dans la moitié des cas environ, l'
affection
est héréditaire et familiale ; très exceptionnell
à peine avoir 18 à 19 mois. . Évolution.-On ignore entièrement (l'
affection
étant d'origine intra-uté- rine) dans quel ordr
ra- lysies musculaires sont contemporaines. Quoi qu'il en soit, l'
affection
ne frappe pas toujours à la naissance l'at- ten
e commença à devenir manifeste que 15 jours après la naissance. L'
affection
ainsi constituée reste ordinairement stationnaire
héréditaire (1), cherchant à indiquer sous ce nom les traits d'une
affection
encore peu connue. C'est, dit-il, « une affecti
les traits d'une affection encore peu connue. C'est, dit-il, « une
affection
oedémateuse héréditaire et familiale, capable d'e
soit au cou-de-pied, soit au genou, soit à la racine de la cuisse,
affection
indolore, apyrétique, chronique et perma- nente
faits que je publie ici à titre de contribution à l'histoire d'une
affection
rare. OBs. Il La nommée P... (Virginie), femme
..., âgée de 55 ans, est la mère de la précédente. Elle dit que son
affection
est sans importance, ne la gêne pas et elle ne
rices superficielles, la peau a un aspect blanc et luisant. Pas d'
affection
cardiaque, ni rénale. uns. III. Célestine P...,
e 21 ans, est la soeur de notre première malade. Elle n'a eu aucune
affection
grave dans l'enfance. Elle a toujours été nerve
de l'observation IV ne fût que passager et le premier indice d'une
affection
devant évoluer seulement dans plusieurs années :
notre diagnostic fut hésitant.. , Il n'existait pas de signes d'une
affection
primitive des' vertèbres pou- vant provoquer un
des taches pig- mentaires et de petits fibromes mous papuleux. L'
affection
fût-elle depuis la première enfance, lentement pr
ière est loin d'être faite, pas plus qu'elle ne l'est sur l'étrange
affection
qu'est la maladie de Recklinghausen. D'ailleurs l
mas de granu- lationsjaunâtres. CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDE SUR UNE
AFFECTION
NERVEUSE CARACTÉRISÉE PAR DE L'INCOORDINATION M
l'époque où Bouteille publiait son livre jus- tement apprécié, les
affections
nerveuses dans lesquelles l'incoordination motr
Je donne le nom de pseudo-claorées ou chorées fausses à différentes
affections
nerveuses, spasmodiques,convulsives, hystérique
procher de cas similaires, pas plus qu'à la différencier des autres
affections
choréi- formes. Et même, Sandras, le dernier de
une mention, plutôt même qu'une des- cription très succincte, de l'
affection
que nous allons décrire; et encore la place-t-i
américaine, une observation concluante quoiqu'incomplète de cette
affection
. Nous avons nous-même, sur les conseils de notr
es officiers américains en Sibé- rie n'étaient qu'une seule et même
affection
. Nous donnions en même temps le résumé d'un cas
ordinairement produite par la maternité. Quoi qu'il en soit, cette
affection
convulsive qui, si l'on en excepte dix-huit ou
t général de sa santé parait se ressentir fortement de cette longue
affection
convulsive, comme le prouvent un amaigrisse- me
, il eut une angine qui dura trois ou quatre jours; pendant cette
affection
, qui s'accompagna de fièvre, les mouvements fur
mar- quer cependant, qu'à plusieurs reprises, ayant eu de légères
affections
fébriles, ces mouvements se seraient amendés pen-
a mère, grande, blonde, apa- thique, perdit en 1868 un enfant d'une
affection
aiguë qui dura seulement quatre ou cinq jours.
que. Il est vrai que, pendant quelque temps, nous attribuions à son
affection
nerveuse le défaut de pronon- ciation qui ne pr
. La soeur de la grand'mère maternelle aurait eu la chorée ou une
affection
analogue ( ? ). Père tonnelier, non alcoolique,
veuse, asthmatique ; une soeur qui, depuis cinq ans, aurait la même
affection
que le malade. Pas de maladies d'enfance : n'au
placés dans le service de l'un de nous à l'hospice de Bicétre. Leur
affection
nous a paru d'autant mieux se prêter à celte mé
eptoïde du pied avec des ré- flexes rotuliens normaux dans diverses
affections
chirurgicales de la jambe et du cou-de-pied du
illien. D. B. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 63 VIII. Un cas d'
affection
du trijumeau. (Contribution à la connais- sance
e jamais de nécrose de la cornée, puisque enfin il existe des cas d'
affection
du trijumeau avec anesthésie de l'oeil sans ulcèr
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. qu'on s'explique leur relation avec l'
affection
du trijumeau même par la théorie des vaso-moteu
a REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 67 nature de cette dyspnée et de l'
affection
qui lui a donné naissance. Maladie du poumon, d
ement désigné sous le nom de manie a pour substratum anatomique une
affection
, fonctionnelle ou organique, des plexus coordon
pre, plutôt que comme le résultat des excitations mal réglées d'une
affection
nerveuse. D'auho part, il est certain, et l'aut
ême que dans les cas d'hyperthcrmie fébrile. Le second groupe des
affections
mentales de cet ordre relève de REVUE DE PATHOL
Cinq avaient eu jadis une maladie grave. Absence de syphilis. Une
affection
organique du coeur. En général, la psychose avait
dressés orment le fond du travail dont voici les conclusions. Les
affections
les plus graves se sont montrées dans les famille
aconit ; les fonctions du coeur se régularisent en même temps que J'
affection
cutanée disparait. Quelques mois plus lard, le
les, faciles à construire à l'aide du schéma précé- dent. Quant aux
affections
difficiles à interpréter, qui paraissent en con
urasthénie qui cause de tels symptômes ? Est-on toujours sûr qu'une
affection
organique de l'estomac ne constitue pas le corp
chiatriques, anomalies observées surles yeux d'individus atteints d'
affections
mentales et nerveuses et rattachées aux signes
stsouverit qu'une maladie résultant de diverses localisations d'une
affection
intra- utérine à nous inconnue. Quant aux relat
es faits ne se plient à aucune explication. On a bien affaire à une
affection
cérébrale, car la paralysie débute par de la cé
s un séjour d'hiver et la Ri- viera est indiqué sont avant tout les
affections
pulmonaires. Parmi les maladies du système nerv
hérédité à travers quatre générations et diagnostiquer le début des
affections
mentales. Aussi, pendant quatorze ans de pratiq
s anciens qui, en somme, ont été les premiers signes originels de l'
affection
. Presque toujours, il y a eu des causes psychiq
es nerveux; et pour l'homme, il assigne comme siège nosofogiquo à l'
affection
les ganglions spermatiques, dont l'état de souf
e en particulier. 136 BIBLIOGRAPHIE. Puis l'étude des différentes
affections
des nerfs périphériques, sections nerveuses, né
oit abdominal (névralgies viscérales, colique de plomb) et d'autres
affections
des nerfs tro- phiques, vaso-moteurset sécrétoi
es vaso-mo- teurs,sclérodermie, asphyxie symétrique des extrémités,
affections
articulaires d'uriginevaso-motcice,liy pérbydro
elle s'aggrave jusqu'à la mort en passant par toutes les phases des
affections
organiques du coeur, et cependant il n'existera
ée aussi abondante dans des matières vomies au cours de toute autre
affection
que l'hystérie et l'urémie et l'abondance des l
l'urine, aux larmes, à la salive anormalement sécrétées dans cette
affection
. Les arthro- pathies hystériques avec les altér
des hommes qui les ont observés. CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDE SUR UNE
AFFECTION
NERVEUSE CARACTÉRISÉE PAR DE L'INCOORDINATION M
rhythmées se ressemblent, elles sont les mêmes depuis le début de l'
affection
. Au com- mencement il a eu pendant dix mois une
moment où nous comparerons entre elles toutes ces observations. L'
affection
que nous allons décrire débute généra- lement à
Ces tics sont bien souvent héréditaires, » a dit Trousseau. « Cette
affection
, écrit Beard, est aussi héré- ditaire que la fo
classes de la société paraissent d'ailleurs payer tribut à cette
affection
. Quant à l'influence du climat et de la situati
à notre observation, il en est trois qui, à partir du début de leur
affection
, eurent à sup- porter des affections aiguës (Ob
qui, à partir du début de leur affection, eurent à sup- porter des
affections
aiguës (Obs. III, angine simple; Obs. IV, fièvr
onstituer à elle seule toute DE L'INCOORDINATION MOTRICE. 171 I V
affection
. (Dans les observations I, IX, les symptômes au
rèrent approximativement que quatre ou cinq ans après le début de l'
affection
; dans l'observation II, cinq mois après; dans l
nt à l'état moral, il est va- riable suivant l'âge de l'individu. L'
affection
débutant presque toujours entre sept et dix ans
premier chef : c'est là un des symptômes les plus constants de leur
affection
, un de ceux qui, en parti- culier, ont le plus
, dans les conditions que nous allons indi- quer, dans aucune autre
affection
. Itard s'exprimait ainsi en 1825 (Obs. 1) : « A
sédons l'histoire, à différentes époques du développe- ment de l'
affection
, ce symptôme existait cinq fois (Obs. I, II, II
ne paraît donc pas être très rappro- chée de l'époque du début de l'
affection
; c'est, du reste, nous l'avons dit, le dernier
ts que peut créer un état aussi anormal. §111. La marche de cette
affection
, ainsi qu'on a pu en juger en suivant la descri
ité, nous dirons néanmoins que la des- cription qu'ils donnent de l'
affection
chez les gens âgés, alors qu'ils nous disent qu
s musculaires partielles, si tant est qu'on puisse considé- rer l'
affection
comme constituée à cette période; mais, lorsqu'
avant d'établir le diagnostic, le pronostic et le traitement de l'
affection
que nous venons de décrire, de comparer ses sym
juillet 1881, p. 68-75. 188 CLINIQUE NERVEUSE. avaient trait à l'
affection
que nous décrivions : il nous faut maintenant d
ns d'abord quelques-uns de ses symp- tômes fondamentaux : 10- cette
affection
est héréditaire; elle se caractérise par une in
avons énoncés pour ne pas laisser de doutes sur l'identitédes deux
affections
. 1° « Cette affection est aussi héréditaire que
pas laisser de doutes sur l'identitédes deux affections. 1° « Cette
affection
est aussi héréditaire que la folie ou l'épileps
ils sont intelligents. » Leur état physique est satisfai- sant : l'
affection
semble incurable et débuter de bonne heure. T
croyons que nous devons et de suite conclure à l'identité des deux
affections
. Signalons, pour y insister, le fait que les sa
uent, que le jumping, le Lata7a et le mgriaclail sont analogues à l'
affection
que nous avons observée et décrite. Nous conclu
e nous avons observée et décrite. Nous concluerons donc que cette
affection
existe dans beaucoup de pays et que, n'ayant pa
à de grandes distances les uns des autres. Il est évident que cette
affection
doit exister dans toute l'Europe, de même qu'el
ence; il mourra dans un âge avancé s'il ne contracte pas d'autres
affections
; mais en revanche il a bien des chances pour co
uentes. Il s'établit une sorte de statu quo, le malade vit avec sou
affection
, tout en s'en trouvant incommodé, et son entour
es divisions d'après les diverses périodes par lesquelles passe l'
affection
: 1" cas. L'individu n'est affecté que d'incoor
ment elle ne se traduit que par ce seul symptôme. Avec quelle autre
affection
pourrait-on la confondre ? Il en est une qui
dérables; nous voulons parler de la chorée, surtout lorsque notre
affection
a débuté, ce qui est le cas le plus fréquent ch
ses convulsions. Et encore, ne pourrait-on guère confondre les deux
affections
que lorsque la chorée passe à l'état chronique,
localisation constante per- mettront d'éviter l'erreur, car, dans l'
affection
que nous avons décrite, les secousses musculair
chorée dite diaphragmatique , peuvent exister seules. Dans notre
affection
, il ne faut pas perdre cela de vue que, chaque
ment, il a un caractère obscène. Il n'existe pas, croyons-nous, d'
affection
présentant cet ensemble symptornatique si spéci
e l'hémichorée ou de l'athétose ? Le traitement de cette singulière
affection
, ou tout au moins son traitement radical est en
ieurement de nouvelles confirmations. Quant à la nature intime de l'
affection
, que dire en l'absence de toute donnée anatomo-
pas d'excès de boisson habituels; n'a jamais eu de migraines, ni d'
affections
de la peau, etc.; marié depuis qua- torze ans,
vres éruptives. ' Jusqu'en décembre 4S9, llul... ne présenta aucune
affection
nerveuse. A cette époque, on constata les accid
evergnes (il a deux fils chétifs, et une fille qui n'auraient pas d'
affections
nerveuses); deux tantes maternelles s'adonnent
ité de la sensibilité; signe de Romberg. Diagnostic de Friedreich :
affection
médul- laire ; deErb : chorée minor. Après disc
ysie totale des jambes, presqu'absolue des bras. Dans le cours de l'
affection
, on a noté des douleurs spontanées très faibles
ne ce travail. P. K. XXV. Appendice au mémoire intitulé : Sur une
affection
semblable au tableau SYIYTOll9TIQU de la DÉGÉNÉ
une dégénérescence des cordons latéraux pyramidaux et cérébelleux;
affection
commençante des cordons postérieurs; pyélonéphr
es au cours de leur peine, à raison d'une pré- disposition ou d'une
affection
antérieure. L'épilepsie, le tic con- vulsif de
ant de graves manifesta- tions de commotion impliquent l'idée que l'
affection
psychique sera plus dangereuse. 9o La blessure
aucoup d'atliéromateux, des scrofuleux souffrant depuis longtemps d'
affections
osseuses ou articulaires prolongées, de tous ce
ntribution à l'étude de l'action de l'élongation des nerfs dans les
affections
médullaires, (I ? evite (le chirurgie, ISSI.) a
varia- tions de la température du corps durant diverses formes d'
affections
mentales, beaucoup d'autres auteurs ont étudié
à conclure qu'une psychose par elle-même, sans complication d'une
affection
organique, peut modifier la courbe normale de l
la température du corps, et que parmi les fonctions lésées dans les
affections
psychiques doivent figurer celles des centres t
e suivante les recherches qu'il a faites : « En général, dans les
affections
cérébrales chroniques, la quantité d'acide phos
l'on ne destine pas aux soins domestiques et les malades atteints d'
affections
somatiques. Le directeur peut aussi procéder à
notamment de l'état sanitaire de la maison du nourricier; une seule
affection
s'y déclare-t-elle, on réintègre le malade à l'
a de manger tant que l'enfant pour lequel il avait conçu une vive
affection
demeura souffrant. Tout cela signifie-t-il que,
qui concerne notamment la surveillance des pen- sionnaires et leurs
affections
intercurrentes ou leurs modifications psychique
es mélancoliques. En 4869, elle se brûle dangereu- sement. En 1870,
affection
utérine. En 1871, agitation maniaque, puis unio
dents qui, eux, auraient pu être rattachés à la diphthérie et à une
affection
centrale. L'auteur élimine l'idée de la chorée
une dégénérescence grise pure des cordons postérieurs. Un exemple d'
affection
tabétique semblant consécu- tive à un empoisonn
étiques non syphilitiques que chez les tabétiques syphilitiques des
affections
des nerfs de l'oeil (surtout des nerfs qui comm
erveaux de para- lytiques généraux morts aux divers stades de cette
affection
, on cons- tate trois espèces d'étalsanatomo-pat
ses les plus multiples, qui préside forcément à la t'enèse de cette
affection
. Jamais elle n'apparaît sur un terrain indemne
s; malheureusement on sait combien est sombre le pronostic de cette
affection
. Il existe encore un grand nombre de maladies,
. Ces escarres sacrées, qui se rencontrent dans un grand nombre d'
affections
nécessitant un décubitus prolongé, déterminent so
thie, par Knecht, 267. Dégénérescence grise cérébro-spi- nale (
affection
analogue à la), par Westphal, 258. Démence pa
, la suspension serait un traitement chronique, appliqué contre une
affection
chro- nique. Outre ces deux savants neurologist
pension puisse faire retrocéder la marche anatomo-pathologique de l'
affection
médullaire. Comme conséquence, ce savant ne fai
pension a une influence réelle active sur la marche générale des
affections
nerveuses, et surtout sur l'évolution du tabes
agents thérapeutiques obligatoires dans le traitement de toutes les
affections
du centre nerveux. Introduite dans la thérapeut
ur la suspension. On soigna tout par la suspension et pas une seule
affection
n'a échappé à l'application de l'appareil de Sa
r pouvoir seprononcer sur l'action d'un moyen chronique destiné aux
affections
choniques. En ce qui con- cerne le professeur G
environ cinq ans, l'attention des cliniciens a été attirée sur une
affection
que l'on a dénommée méralgie paresthésique, et
relate avec soin l'observation détaillée d'un cas atypique de cette
affection
, ayant présenté quelques particularités intéressa
étaient : 1° la participation du facial supérieur; 2° le début de l'
affection
d'abord d'un côté,-puis de l'autre, sans aucun
GASnE. (Nouv. Iconogr. de la Sal¡J/ ! t1'ièl'e, n° 4, i 900.) . z
Affection
singulière caractérisée par la fonte relativement
tions détaillées conduit l'auteur à une des- cription complète de l'
affection
: les déformations vertébrales s'accusent progr
es noyaux des troisième et septième paires n'étant pas en effet une
affection
nouvelle, mais son observation est intéressante
peut jamais la localiser d'une façon précise. Il peut au début de l'
affection
exister une anesthésie réelle sans suggestion pré
lée des mouve- ments choréiques est l'exception. Quand on observe l'
affection
à son début, on voit qu'elle envahit d'ordinair
ont en même temps que des douleurs fulgurantes marqué le début de l'
affection
. M. H. XXIII. Formes frustes de sclérose en p
'origine périphérique ; par DECROBY. (Policlinique, août 1900.) .
Affection
survenue assez rapidement sans cause connue chez
trice; par Glorieux. (Poli- clinique de Bruxelles, janvier 1900.)
Affection
s'étant développée chez un sujet atteint d'une tu
ême numéro une étude de Punton sur la pathogénie et prophylaxie des
affections
nerveuses et dans le numéro précédent du 14 oct
es complications syphilitiques ou autres du tabès. Celui-ci est une
affection
systématique qui porte presque exclusivement sur
la syphilis tertiaire du système ner- veux ; soit le résultat d'une
affection
parasyphilitique ou métasy- philitique du tissu
nicieuse. Les observations 11 et 12 concernent un tabes grave, avec
affection
syphilitique des vais- seaux du cerveau, parce
M. Bechterew croit qu'ils'agit d'un état épileptique, enté sur une
affection
organique du cerveau antérieure. La prescription
tion favorable sur bien ÎO REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. d'autres
affections
nerveuses, mais l'amnésie rétroactive a été déj
'une noisette. il. C. LIV. De la crampe des écrivains et des autres
affections
nerveuses professionnelles; par Thomas D. SAVIL
ations originales sur la patho- génie et l'étiologie de ce groupe d'
affections
nerveuses. A côté de l'influence de la répétiti
fois médico-légale et clinique du dia- gnostic précoce de certaines
affections
organiques du système 'nerveux, y compris la pa
pendant la marche. Ces malades seraient des neurasthéniques dont l'
affection
peut. se comparer aux trou- bles inverses de l'
e complète. Sa définition serait la suivante : « L'hystérie est une
affection
psychique qui consiste en ce que le sujet qui e
r localisation à la - fois a la colonne vertébrale et aux membres l'
affection
que M. P. Marie a dénommée spondylose rhizoméli
arche plutôt régressive que progressive montrent qu'il s'agit d'une
affection
voisine au point de vue symptomatique, mais tou
nsibilité. Il semble donc qu'un pareil état ne puisse relever d'une
affection
définie des cen- tres nerveux. Il ne s'agit pas
ant qui a une tout autre allure. Je crois plutôt qu'il s'agit d'une
affection
ostéo-articulaire dis- tincte de la spondylose
opa- 86 SOCIÉTÉS SAVANTES. thiques, type juvénile chez lesquels l'
affection
débuta par les quatre membres. Glycosurie et
influence directement ou indirectement sur la marche générale de l'
affection
et rend un service indéniable. Nous n'avons pas
a malade n'a jamais empiré. Elle marche aussi bien qu'au début de l'
affection
, continue à travailler et vaque à ses affaires.
des lésions atrophiques et d'autres du nerf optique, dépendant des
affections
médullo-cérébrales. « Elle occasionne, dit-il,
eloppement de l'atrophie et en éloignant la marche progressive de l'
affection
. » Une telle - action de la suspension sur les
communiqué, en 1889, plusieurs cas où la suspension agit sur les
affections
aiguës des yeux des tabétiques. M. Darier ' W.
contre-indications seront par conséquent les mêmes pour toutes les
affections
nerveuses, M. le professeur Ray- mond les formu
comme la suspension rend des réels services dans le traitement des
affections
médullo- cérébrales et doit être essayée chaque
es et doit être essayée chaque fois, qu'on est appelé à soigner ces
affections
. Elle doit être guidée et faite par l'homme de
énérescence du cordon postérieur, attri- buées par Struempell à une
affection
systématique combinée, c'est- à dire primitive;
rds. Voici maintenant un homme de quarante-cinq ans atteint d'une
affection
des cordons -postérieurs relativement récente. A
mme de vingt-cinq ans, de famille né- vropathique, indemne de toute
affection
nerveuse ou physique. Est, dès la première jeun
bro-spinale ont été constatés, sauf un seul : le signe de Kernig. L'
affection
, tout en débutant d'une façon aiguë monta lenteme
est parfois difficile de faire la part de la névrose et celle de l'
affection
organique. On a rapporté un certain nombre de g
, ce propos, un certain nombre de faits desquels il résulte que des
affections
somatiques ont été améliorées ou guéries, soit
, qui voient une analogie entre la chorée d'Huntigton et les autres
affections
diffuses dégénératives du système nerveux (para
elques- - unes de ces altérations sont artificielles. Dans d'autres
affections
diffuses du système nerveux, on ne trouve pas n
les éléments essentiels au diagnostic et surtout au traitement des
affections
des nerfs périphériques; il est appelé, par sui
elle, a pour point de départ, pour cause, le trouble vaso-moteur,
affection
physiologique », en d'autres termes que, dans l
triction qu'à de la vaso-dilatation. Observation (personnelle) 2. L'
affection
dont je suis atteint étant continue, est liée à
quera l'importance qu'il faut accorder à mon éreuthophobie. Cette
affection
est caractérisée : 1° par une facilité extrême de
é de rougir, sans préoccupation dans l'intervalle des rougeurs. L'
affection
est allée croissant, c'est-à-dire que les circons
ir de 1889 (date qui marque mon entrée dans la vie d'étu- diant), l'
affection
reste stationnaire pendant quelques années. Ell
4. Je m'explique sur le sens que je donne au mot : décroître. Cette
affection
est. continue, mais avec des périodes de crises
qui est un symp- tôme, non un prodrome. Eh bien ! quand je dis : l'
affection
est en décroissance, je veux dire que, d'une fa
stances extérieures Ce qui sert de révulsif, c'est le souvenir de l'
affection
, qui provoque une douleur aiguë et vous réveill
ctuelle, a pour point de départ, pour cause le trouble vaso-moteur,
affection
physiologique. , . Quelle est alors l'origine
- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 3)7 ï la paralysie générale. Cette
affection
serait due surtout aux excès de toutes sortes e
mentale survenu au cours d'une convalescence avancée de typhoïde. L'
affection
mentale fut traitée et guérie complètement en t
thique permanent. Et c'e : t souvent l'épilepsie ou l'hys- térie. L'
affection
sensitive prend alors la signification d'un aura,
rmes mentales les plus différentes n'ayant rien decom- mun avec des
affections
organiques du cerveau, peuvent présenter à un p
le dérive de l'essence même du processus patho- logique, en tant qu'
affection
syphilitique, post-infectieuse; - 6° actuelleme
. Chipault. L'auteur, en se basant sur six observations, décrit une
affection
douloureuse caractérisée par de l'hyperalgésie su
oire hyperalgésique. Ces crises peuvent s'accompagner de tic. Cette
affection
se présente indépendamment de tous autres sympt
durait encore, je ne voulais donc pas m'arrêter longtemps malgré l'
affection
infinie que j'avais pour ceux chez qui je me tr
sseur Gessler avait pensé que la maladie de Thomsen était due à une
affection
des plaques terminales et des fibres des muscle
phie artificielle constatée n'a que très incomplètement influencé l'
affection
. Par contre il en est résulté des troubles de la
x hémiplégiques peuvent-ils tenir les stigmates électriques de leur
affection
cérébrale ? Non, car il. est très rare d'observ
tabes dorsal et la spondylite plus fré- quents que dans les autres
affections
cérébrospinales : ils se mani- festent, dans le
considérée pendant longtemps comme un signe très important dans les
affections
mentales, n'a pas la valeur qu'on lui a attribu
vement depsychose à base d'in- tCl1J1'élatio11s, Il n'est guère d'
affection
mentale dont il soit plus malaisé de préciser l
é des cas observés à Bicètre, ' où n'entrent que des malades dont l'
affection
est déjà depuis long- temps constituée au momen
vue dans le service de \l. Eb il Heidelberg, 400 malades atteints d'
affections
nerveuses diverses, a confirmé pleinement mon o
Fiiedreich, on a là un nouveau caractère servant à distinguer cette
affection
du tabes. M. Marie ne s'en étonne pas, car, dan
laire se ren- contre il peu près constamment et uniquement dans les
affections
où la motilité de l'iris est ou va être atteint
nt été publiées, reconnaissent que le signe d'Argyll, ainsi que les
affections
dont je viens de par- sociétés savantes. 333
chancre, on ne trouve pas non plus de blennorragie, cette dernière
affection
n'a pourtant aucun rapport étiologique. Si on n
Si on ne trouve pas de chancre, c'est que le malade est de par son
affection
mis dans l'impossibilité d'agir sexuellement, d
s à l'au- topsie ; ils ne peuvent pas non plus être attribués à une
affection
vasculaire, puisqu'ils se sont montrés très pas
s observations de M. Monratoff, peuvent se rencontrer dans d'autres
affections
du système nerveux et, par conséquent, ne peuve
rencontré les lésions décrites par M. Mou- raton', dans différentes
affections
du système nerveux. .AI. Butzke fait remarquer
es, ne permet pas encore de conclure à l'identité des causes de ces
affections
. BIBLIOGRAPHIE. 343 M. SERBSKY attire l'atten
e lèpre ayant servi depuis le moyen âge à couvrir un grand nombre d'
affections
disparates : gale, maladies vénériennes, syphil
u de la vérité de l'opinion de'Xambaco-Pacha qui confond toutes ces
affections
dans le même groupe. Il est moins aflirmatif en
e premier ordre pour le diagnostic entre les psychoses pures et les
affections
il substra- tum anatomique, qui peuvent les sim
urs, n'existe pas, il n'est pas extrêmement rare de voir « les deux
affections
marcher l' pour ainsi dire de pair, les crises
turel était donc de chercher l'explication de ces derniers dans les
affections
nerveuses dont souffrait la malade. Dans l'ép
érale progressive à forme lypémaniaque avec délire des néga- tions.
Affection
causée d'après l'entourage du malade par le cha
tion, c'est d'abord l'apparition chez les deux frères de la même
affection
, la paralysie générale, survenant sans cause ap
un intervalle de temps considérable, huit années, s'écoula entre l'
affection
de l'un et celle de l'autre. ' Faut-il admett
é ourlienne unilatérale, ce qui permet d'adoucir le pronostic d'une
affection
considérée jusqu'à ce jour comme incurable.G. C
e thèse, inspirée par Destol, sur les altérations osseuses dans les
affections
nerveuses, l'auteur concluait que l'hypertrophie
; le choix des muscles frappés d'atrophie, incapable, en aucune des
affections
en question, d'atteindre un tel degré d'arbitra
de la cornée. Il en concluait que, si la transmission héréditaire d'
affections
accidentelles du système nerveux est possible,
ont celles qui ne le sont pas. Nous ne connaissons d'ailleurs pas d'
affection
ana- tomique de l'écorce susceptible de s'insta
. Or c'est justement de ces caractères-là que doit être douée toute
affection
corticale ayant la prétention d'être le substra
des muscles des yeux. Genèse lentement progressive à la suite d'une
affection
aiguë fébrile, infectieuse. Pronostic favorable
'est une syphilis héréditaire tardive, avec symptômes spinaux d'une
affection
syphilitique vraie et non métasyphililique de l
but, se joint, plus tard, l'émotion, l'obsession. Quelle est donc l'
affection
, si répandue, où l'on trouve si fréquemment l'h
me nerveux, et aussi combien il est difficile de recueillir sur une
affection
syphilitique ancienne des données tant soit peu
nifestations purement syphilitiques peuvent simuler une tumeur ; 3°
Affections
à foyers multiples : dans ces cas, la syphilis
grande altitude, on le fait descendre au niveau de la mer. Dans les
affections
organiques du système nerveux, il est évident q
s myopathies n'est pas encore résolue : on se demande encore si les
affections
décrites comme primitivement myopathiques sont
es et l'identité des . lésions musculaires avec celles de certaines
affections
organiques du système nerveux, le nombre croiss
que la mort est survenue après les diverses phases connues de cette
affection
, confirmant le diagnos- tic qui pouvait être do
i vicient tous les actes signés par le malade pendant la durée de l'
affection
, même pendant les rémissions. E. B. SOCIÉTÉS SA
intervalle, la première a permis de diagnostiquer la seconde de ces
affections
par la proportion réciproque des mono et polynu
t touché. ill. 13. BIBLIOGRAPHIE. XIV. De la mort subite dans les
affections
organiques des centres nerveux. Le traumatisme
Le traumatisme léger cause déterminante de la mort subite dans ces
affections
au point de vue medico-légal ; car Vieille (Eug
. (Th. Lyon, 1900-1901.) Après avoir passé en revue les différentes
affections
organiques des centres nerveux où la mort subit
ue à l'anémie encéphalique et bulbaire, déterminée par les diverses
affections
des centres, laquelle provo- querait la mort su
ésarticulation tibio-tarsienne) M. Ililoff reprend l'étude de cette
affection
dont l'histoire ne remonte pas audelà de 1880-1
és dans les ouvrages qui traitent du diagnostic topo- graphique des
affections
de l'encéphale : L'hémiach1'on.wtopsie, la pert
oeur. Il a toujours été d'une santé parfaite, avant le début de son
affection
actuelle. On ne voit trop pour quelle raison et
omatologique bien défini et ne rentrerait pas dans la catégorie des
affections
mor- bides, s'il avait, ce que nous avons répét
ble de l'acuité visuelle qui font songer au médecin traitant, à une
affection
médullaire, il institue le traitement ioduré, m
énérale progres- sive en pleine évolution, de forme mélancolique. L'
affection
évolue rapidement et la malade meurt le 1er mai
Hallucinations et craintes imaginaires. Evolution progressive de l'
affection
, poussées congestives. attaques épileptiformes.
lirantes faisaient place à la dé- mence. Evolution progressive de l'
affection
, gâtisme, cachexie, mort deux ans et demi après
mps après quelques troubles cérébraux. Deux ans après le début de l'
affection
chez le 492 RECUEIL DE FAITS. mari, elle étai
cateur de l'apparition des troubles cérébraux chez le mari. i. L'
affection
de la femme est attribuable aux chagrins et à la
parition chez elle de la paralysie générale. Dans les cinq cas l'
affection
évolua à peu près simultané- ment chez les conj
aladie dure au moins depuis cette époque. C'est, pour l'auteur, une
affection
sui generis, au même titre qu'une affection systé
est, pour l'auteur, une affection sui generis, au même titre qu'une
affection
systéma- tique combinée. Elle aurait pour éléme
is de ceux qui sont persuadés que le mercure peut exercer sur cette
affection
une action favorable, qu'il peut en arrêter dan
umatisme médullaire est en effet fréquent dans l'étiologie de cette
affection
soit comme cause initiale, soit LU SOCIÉTÉS SAV
téressantes du service. Le premier chapitre est consacré à un cas d'
affection
familiale à symptômes cérébro-spiazaux : diplégie
ont reconnu les bons effets de la médication arsénicale dans cette
affection
, ils diffèrent sur la manière de l'administrer.
e Rapports entre le contenu mental et l' -, par Delabaire, 116.
Affections
organiques des CENTIMES nerveux. De la mort sub
eluar et Scaluha, 516. Crampe. La - des écrivains et des autres
affections
nerveuses pro- fesslonnelles, par D SavllI, 73.
Marie, 513. Système neraeux. Diagnostic pré- coce de certaines
affections
du - par L. Corning, 70. Difformités du - cen
eçons cliniques. Le premier d'entre eux est un exemple typique de l'
affection
décrite pour la première fois par M. Morvan (de L
verra, la maladie n'est pas isolée ; elle se complique d'une autre
affection
nerveuse à laquelle la maladie de Morvan a serv
titre, tout d'abord parce qu'elle présente un exemple typique d'une
affection
dont les cas publiés n'abondent pas encore aujour
on scléreuse de l'oreille qui ne parait pas avoir de rapport avec l'
affection
qui nous occupe actuellement. Sorti de l'hôpita
bides à considérer chez ce malade. D'une part la maladie de Morvan,
affection
distincte, on peut déjà le 8 NOUVELLE ICONOGRAP
ÊTRIÈRE. dire aujourd'hui, et- d'autre part l'hystérie. La première
affection
a été constatée avec certitude antérieurement à
r des doigts, avec des panaris simples, non plus qu'avec 'une autre
affection
quel- conque pouvant produire aussi des déforma
déformant chez; les très jeunes enfants. 2° La généralisation de l'
affection
et l'arrêt de développement sur- venu chez- la
hystériques peu- vent simuler les tremblements propres à certaines
affections
organiques ou inorganiques du système nerveux p
othalmie font défaut et où le tremblement vibratoire propre.à cette
affection
en est le seul symptôme apparent. Mais la const
èrent le début de son 44 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
affection
. C'est un homme d'une taille au-dessus de la moye
ues, mais un oeil exercé permet absolument de différencier les deux
affections
, alors qu'elles semblent le plus intimement uni
isparu pour ne plus revenir, sans préjudice bien entendu des autres
affections
auxquelles sont prédisposés les nerveux hérédit
peu intelligent et serait hydrocéphale; le cinquième est mort d'une
affection
intestinale à trois semaines. P... a eu, à l'âg
ermanent et la malade se croyant atteinte d'une péritonite ou d'une
affection
des organes génitaux vint consul- ter le Dr Auv
'exception de rencontrer chez un même sujet tous les symptômes de l'
affection
dont il est atteint. Mais peut-être n'est-il pa
maladies du système nerveux pour être traités, par la suspension, d'
affections
d'ailleurs très variées. Trois groupes de malad
istons sur ce fait qu'il ne faut pas, au début du traitement, que l'
affection
soit arrivée à la période d'impotence complète.
prédominance du sexe masculin, ainsi qu'il est de règle pour cette
affection
. D'une façon générale, nous n'avons rien à ajou
s étendue, nous dirons : 100 ataxiques à la période moyenne de leur
affection
, soumis à la suspension, peuvent, après trente
l'hôpital Moabit, dit M. Gutlmann, on a traité un certain nombre d'
affections
nerveuses par la suspension : 10 cas de tabes, 2
tat a été négatif pour 3 cas de tabes; dans 5 autres cas de la même
affection
il a été, au contraire, très remarquable. Les p
ite aiguë centrale diffuse et de la poly- névrite, « qu'il s'agit d'
affections
extrêmement voisines résultant de l'action tant
ë. N'ayant pu recueillir de documents personnels sur cette dernière
affection
nous la négli- gerons volontairement ici. Nou
s crâniens ni bulbaires. Enfin on ne constate pas de fièvre, ni d'
affection
quelconque des organes thoraciqucs et abdominau
e part, notre cas s'éloi- gnant par quelques traits du tableau de l'
affection
tel qu'il a été dressé par M. Marie, nous avons
la malade. Pour bien faire ressortir les symptômes primordiaux de l'
affection
, nous extrayons du tableau des mensurations ann
de présenté par Alphonsine Prev... et font tout de suite songer à l'
affection
si magistralement décrite par M. P. Marie, à l'ac
t méritent l'attention : ce sont, d'une part, le début précoce de l'
affection
et d'autre part l'accroissement total du corps. O
ndérante aux extrémités, y est moins étroitement cantonnée ; 3° L'
affection
paraît revêtir alors une marche plus rapide. '
bliés jusqu'aujourd'hui, il s'agit toujours de malades présentant l'
affection
dans son entier développe- ment. Le cas que nou
'agir d'ostéo-arthropathie hypertrophiante en raison de l'absence d'
affection
broncho-pulmonaire, de la prédominance des lési
face et des déformations peu accusées des mains. Toutes les autres
affections
qui prêtent à confusion avec l'acromégalie peuven
e génératrice, j'ai été frappé de la coïncidence très fréquente des
affections
pulmonaires avec l'habi- tude du narghilé chez
rôle de cause prédisposante à l'égard de la pathogénie de certaines
affections
pulmonaires, soit en facilitant l'éclosion d'un
er la part qui revient à chacune de ces causes dans l'étiologie des
affections
pulmonaires ? Dans l'état actuel des choses, il
a poliomyélite. Ce sont ces exemples, pris en dehors de toute autre
affection
du système nerveux, et les observations recueil
a se voit parfois dans celle paralysie, il y avait des signes d'une
affection
périphérique du trijumeau : sensibilité à la pr
pelant que Kussmaul décrit sous le nom de poliomyélite antérieure l'
affection
systématique des cornes antérieures de la moell
a moelle, Wernicke propose par analogie d'appeler poliencéphalite l'
affection
correspondante des noyaux sous-jacents au planc
prochement, d'autant plus légi- time que l'on voit parfois les deux
affections
se confondre l'une avec l'autre. La paralysie d
et du muscle ciliaire. Fond de l'oeil normal. Le développement de l'
affection
s'était fait len- tement : deux ans auparavant,
anormaux de la sensibilité, ou encore d'une combinaison de ces deux
affections
? C'est ce que nous discuterons après avoir expos
suivantes. D'une part, les signes tabetiques sont rares dans cette
affection
et, d'autre part, ils sont très nettement accus
stématique l'élat des différents modes de la sensibilité dans cette
affection
. La dissociation syringomyélique n'a guère été re
e remarquer que les anesthésies cutanées si fré- quentes dans cette
affection
se produisent sur des surfaces générale- ments
élie et du tabes, n'est-il pas admissible de considérer la première
affection
comme une conséquence de la seconde, comme un eff
io- rité pour son propre compte. Il rappelle qu'il a constaté cette
affection
la première fois en 1878, à la clinique chirurg
la rubrique de « scoliose névropathiclue; scoliose à la suite d'une
affection
musculo- nerveuse ». Dans un de ces cas, grâce
il séjourne une quinzaine de jours et où, dit-il, on aurait parlé d'
affection
osseuse des vertèbres et porté un pronostic gra
0. POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES. 273 ' Dans notre observation, l'
affection
a débuté insidieusement, et non pas brusquement
te à faire ressortir les particularités qui plaident en faveur de l'
affection
connue sous le nom de polynévrite; quelques-uns
thie psychique toxhémique » ou « psychose polynévritique ». Cette
affection
a été décrite mais n'a pas été différenciée, jusq
un cas tout à fait récent de Kahler2 ainsi qu'un fait de Pollc 3. L'
affection
, après ce stade aigu, d'une durée variant entre
lisé des paralysies toxiques particulièrement intenses ? Mais cette
affection
générale elle- même n'est pas déterminée. La
e de remarque. Aucun membre de sa famille n'a jamais pré- senté une
affection
analogue àla sienne; ses parents n'ont jamais qui
de l'éléphantiasis des Arabes. Elle est classique en ce sens que l'
affection
siège aux membres inférieurs, qu'elle est rigou
remarquable les accès éléphantiasiques dans d'autres contrées où l'
affection
s'observe à un degré plus intense'. » En résumé
éléphantiasiques douloureux ayant revêtu le masque de ces diverses
affections
. L'examen du sang, de la sérosité et des urines
s longtemps. » Dans ces cas l'ophthalmoplégie externe constitue une
affection
isolée, autonome, vivant d'elle-même ; elle n'a
aradisation et de l'iodure de potassium, amélioration et arrêt de l'
affection
, qui persiste depuis deux ans. Cette diminution
parésie du facial (Roseu- Stein Domestique de .vingt-deux ans. L'
affection
a débuté à l'âge de quinze ans par la chute des
igoureux, sanguin. Pommettes rouges, un un peu oedématiées. - Pas d'
affection
cardiaque. - Jamais d'oedème des membres inféri
ble de le porter en dehors, quelque effort qu'il fit pour cela. L'
affection
s'était produite brusquement quelques jours aupar
bo-protubérantiels. Dans la première, qui appartient à Rosenthal, l'
affection
commence par la mydriase et la paralysie de l'a
cause centrale (Licli- theim). Jeune fille de vingt et un ans. L'
affection
actuelle a débuté il y a trois ans par une chut
s symptômes de paralysie ocu- laire décrits huit mois auparavant; l'
affection
oculaire n'a donc pas progressé. En revanche, l
présentant sous une forme achevée et indé- pendante de toute autre
affection
du système nerveux, poliomyélite, tabes, etc.
nquante-huit ans, ouvrier carrossier; n'a jamais été malade avant l'
affection
actuelle. On ne trouve dans ses antécédents ni rh
osso-pharyngien moteur (douteux), vague moteur, vague accessoire. L'
affection
commença par la parésie de l'accommodation. La ma
nerfs crâniens, il est à remarquer que, le lendemain du début de l'
affection
(paralysie de l'accommodation), il existait déj
noyaux nerveux étages dans la moitié supérieure du 4e ventricule, l'
affection
s'attaque surtout aux cellules ganglionnaires i
bulbaire inférieure, et que dans les deux cas il s'agit d'une même
affection
systématique frappant les noyaux moteurs du qua
marche tantôt subaiguë, tantôt lente et progressive : c'est à cette
affection
spinale et bulbo-protubérantielle qu'on a donné l
moplégie avec l'atrophie musculaire, indépendamment de toute autre
affection
du système nerveux; il fit sa communication à la
ère les caractères cliniques et différentiels de cette intéressante
affection
. 308 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
ui puisse expliquer l'ensemble des phénomènes. Il s'agit donc d'une
affection
systématisée, causée par un processus topographi-
poliencéphalomyélite n'étant en somme qu'une combi- naison des deux
affections
, nous pouvons, à défaut d'autopsie com- plète,
t quelle est la cause qui le produit. Ici, comme dans bien d'autres
affections
du système nerveux, la cause nous échappe. La s
ale, elles peuvent être observées dans toutes les périodes de cette
affection
, mais principalement dans la période de démence
paralysie générale. Cela tient peut-être, d'une part, à ce que l'
affection
évoluant avec rapidité ne permet pas à l'hallucin
ie générale au début ou au déclin de périodes de calme relatif de l'
affection
, dans les cas de rémissions plus ou moins compl
antécédents personnels, on relève la syphilis, le malade a eu cette
affection
en pleine adolescence, à seize ans. A eu une ex
des excès alcooliques et génitaux très nombreux, et depuis 1895 une
affection
intestinale qui semble être de l'entérite muco-
sté que quelques semaines; l'état général est actuellement bon et l'
affection
est pour l'instant station- naire (démence simp
prévaut : c'est une altération purement trophiqué, qui dépend de l'
affection
du système nerveux. P. KERAVAL. III. Des formes
Hippel et de Bechterew, montrent que la sclérose en plaques est une
affection
multiloculaire ; que les cas typiques sont cara
ong et minutieux qui a conduit l'auteur aux conclusions suivantes :
affection
rare en Italie (3,43 p. 100 des parai, géné- ra
rès l'infection. Les lésions anatomiques réunissent celles des deux
affections
tabes et paralysie générale. L. D. XI. Sur l'an
ts peuvent facilement passer inaperçus et laissent croire que cette
affection
est plus fréquente qu'on ne le croit. La patien
ntéressant toutes les racines qui constituent la queue de cheval; l'
affection
a été à la fin suivie d'atrophie. ' - Arthrop
n aient eu le temps de collaborer avec lui pour produire ces deux
affections
. Mais celles-ci deviendront leur apanage quand il
es Arabes syphilitiques n'infirme pas l'origine spécifique de cette
affection
, puisque les gommes du cerveau elles-mêmes sont
les hypochondriaques, dans l'asthénie bulbaire et enfin dans les
affections
organiqups vraies les paralysies bulbaires. Chez
de traumatisme, ni d'alcoolisme dans les anté- cédents du malade. L'
affection
a débuté, il y a quinze ans, par des accès de p
de malades examinées nous a donné une proportion de 96,72 p. 100 d'
affections
gynécologiques, deux sujets sur ce nombre étant
u Mairet avaient insisté sur les relations étiologiques entre les
affections
pelviennes de la femme et la folie, opinion qui s
es devoirs des médecins dans ' le traitement des malades atteints d'
affections
mentales et confiés à la société. N'est-il pa
prochainement d'envisager' sous ce rapport toutes les catégories d'
affections
chirurgi- cales dans leurs indications spéciale
dom. de méd., juillet 1895.) 1 Avramoff. Contribution ù l'élude des
affections
nerveuses chroniques consécutives aux inloxical
ontinue de l'amnésie a été signalée par différents auteurs dans des
affections
où l'hystérie ne pouvait être invoquée. En outr
c être considéré comme un processus de vaso- dilatation active et l'
affection
pourrait être définie : névrose vaso- motrice à
ière à la maladie d'l : rb-CoIdPamm. Si on peut la trouver dans les
affections
organiques du système ner- veux, on peut la ren
réflexe tendineuse," abolition des réflexes cutanés, etc. Les deux
affections
susceptibles de donner lieu à ce complexus symp
apparaître chez elle d'abord de l'épilepsie, ensuite de la chorée,
affections
qui sont rares pendant l'état puer- péral, et r
ie pathologique précise, le fait même de la curabilité de ces trois
affections
montre qu'elles sont essentiellement des névroses
es suivantes : 1° Aphémie ou impossi lité de parler par suite d'une
affection
du centre de coordinati des muscles producteurs
'appareil vas- culaire, de l'appareil respiratoire, la phtisie, les
affections
du tube digestif, la glycosurie, et il montre l
aître qu'il y a probablement une certaine connection entre les deux
affections
, et que ce n'est pas simplement une réunion for
pilep- tique, il faudra connaître mieux la pathologie de ces deux
affections
. Il peut se faire que la migraine complexe et l
lésions pathologiques montrent une connection serrée entre cette
affection
d'une part, la névrite multiple et la poliomyélit
ique, elle diffère du type habituel de l'une et l'autre de ces deux
affections
. La marche de la poliomyé- lite antérieure habi
la maladie de Landry peut elle-même le faire, par des signes d'une
affection
fébrile aiguë, elle affecte un nombre consi- dé
s nerfs crâniens sont d'ordinaire épargnés. Dans aucune de ces deux
affections
-nous ne notons la marche nettement progres- si
a priori, si les notions modernes touchant la symplo- matologie des
affections
nerveuses sont justes, qu'il doit résulter de c
E PATHOLOGIE NERVEUSE. 151 -agir comme causes prédisposantes. Cette
affection
se rencontre souvent chez les déments auxquels
nale des buveurs, la paralysie des porteurs de béquilles sont des
affections
analogues bien que souvent plus sévères. Symptô
la position des doigts ou l'ataxie du mouvement sans aucun signe d'
affection
nerveuse périphérique ou médullaire, il sera as
brusquement en pleine santé, mais aussi souvent dans le cours d'une
affection
pulmonaire (douleurs de tête ; asthénie physiqu
diques constatés en clinique. La maladie de Friedreich est bien une
affection
médu ! - laire différente du tabes et indépenda
articulièrement frappée de ce fait que les lieux où sévissait cette
affection
redoutable étaient relati- vement limités, et q
sychique exclusive. Hartemberg. La lécithine dans le traitement des
affections
du sys- tème nerveux. - Granjuz. Les épileptiqu
té suivies d'aucun phénomène anormal, elle n'a jamais eu d'au- tres
affections
. Jamais de convulsions ou de crises de nerfs. h
l'oeil. Nous songeons alois, vers il heures du matin, à utiliser l'
affection
particulière qu'a Marthe pour la couleur rouge;
OLOGIE PATHOLOGIQUES. 223 phénomènes peut être utile dans certaines
affections
nerveuses et spécialement dans la paralysie Dén
of Nervous and Mental Deseasc, août 1900.) L'adipose douloureuse,
affection
qui porte encore le nom de l'auteur de cet arti
la diplégie permanente ou par suite de dégénérations comme dans les
affections
combinées du système nerveux. Ce réflexe est al
ontre dans des cas qui, ne sont pas conformes aux types reconnus' d'
affections
pyra- midales (méningite, hydrocéphale, intoxic
e m'associer avec lui à l'hommage rendu à l'auleur des psychoses et
affections
nerveuses, de l'hygiène des neurasthéni- ques,
ais- sante. Aujourd'hui, les cadres de la neuro-pathologie et des
affections
mentales sont mieux dessinés et mieux remplis.
mieux remplis. Mais que de divisions et de subdivisions, depuis les
affections
des cordons nerveux et de l'axe médullaire, jus
uisit ce parti pris à peu près géné- ral d'ennoblir l'esprit et ses
affections
: à sanctifier les aliénés d'abord, àles brûler
tion, c'est-à-dire la cause originelle aux causes accidentelles des
affections
du névraxe, c'est, ce me semble, se laisser pre
électrique ù-la main, et fixant les caractères symptomatiques d'une
affection
, en présence de laquelle notre impuissance thér
es et la paralysie générale vont nous appa- raître, sinon comme des
affections
curables, au moins comme des affections évitabl
- raître, sinon comme des affections curables, au moins comme des
affections
évitables. Evitable le tabes ! qui encombre les c
ments vieillis et à demi usés. La goutte, le diabète et toutes les
affections
de même famille, dont on a pu dire avec raison
s-nous le plus possible vers la prophylaxie. La prophy- laxie d'une
affection
suppose la connaissance des conditions de sa ge
ion de le signaler là où il n'est pas. N'oublions pas qu'il y a des
affections
du système nerveux accidentelles et que rien ne
ie 248 SOCIÉTÉS SAVANTES. pathologique, la bactériologie de cette
affection
viennent corrobo- rer d'une façon très nette l'
pathologie mentale. Avant 1881, les opinions sur la nature de cette
affection
furent les plus diverses. Pour Calmeil, Foville,
- toire du délire àigu. S'appuyant sur l'aspect clinique de cette
affection
et sur des recherches anatomiques qui lui permire
oler des micro organismes, cet auteur rapprocha le délire aigu Ides
affections
microbiennes ou toxi-infectieuses. Depuis cette
i-infectieuses. Depuis cette 'époque, les travaux publiés sur cette
affection
établissent que l'on doit considérer sa nature
à dire, pour cela, qu'on doive considérer le délire aigu comme une
affection
spécifique caractérisée par l'envahissement d'u
ec abattement. Le terrain était donc préparé par l'arthritisme et l'
affection
psy- chique antérieure. Peut-être ces antécéden
guë, nous avons remarqué que, dans lés accès survenus au cours de l'
affection
oculaire, la vascularisation de la conjonctive
e présente dans ses antécédents héré- ditaires ou personnels aucune
affection
nerveuse ou mentale, ni syphilis, ni alcoolisme
s à l'auto-intoxi- cation. La lécithine dans la thérapeutique des
affections
du système nerveux. M. P. HARTENBERG (de Pari
. M. Har- tenberg a expérimenté la lécithine dans le traitement des
affections
du système nerveux. Le produit est retiré du ja
s, à doses assez élevées, telles que 1 gramme par jour; 3" Dans les
affections
du système nerveux, son action thérapeu- tique
al chez des aliénées, observations relatives au traitement de cette
affection
. M. Etienne MARTIN (de Lyon). Le premier cas es
colique avec idées hypochon- driaques. 3 mois après le début de son
affection
, et sous l'influence de ses idées délirantes, l
e dégénérés dont le déséqui- libre n'est que peu apparent et dont l'
affection
semble en entier constituée par le torticolis d
ns tous les cas et on aura d'autant plus de chance de réussir que l'
affection
physique dépen- dra d'un état mental moins atte
sont souvent dus à la trop courte durée dut i traitement. C'est une
affection
qui n'apparaît que chez des dégé- nérés, tant a
e non seulement dans le torticolis mental, mais que dans beaucoup d'
affections
du système ner- veux, l'influence de la gymnast
jusqu'à dix-sept ans. A dix-sept ans, première manifestation de l'
affection
, qui est méconnue : il commet des vols sans impor
et Brissaud sont persuadés en effet que la paralysie générale, les
affections
parasyphiliques, de même que les manifes- tatio
e influence utile pour combattre certains états morbides : quelques
affections
nerveuses trouve- raient en elle un adjuvant pu
ladies légè- res. L'alcool est la cause directe d'un grand nombre d'
affections
mortelles. L'usage habituel de l'alcool, même à
clzicatrü, IV, 1899.) Trois observations. Elles ont de commun que l'
affection
se déve- loppa pendant l'enfance, avant dix ans
rapport avec la cicatrisation de la plaie de l'or- gane central. L'
affection
étant uni-latérale, la lésion doit siéger au ni
rétiniennes, particulièrement dans les formes syphilitiques de l'
affection
, montrent des lésions périvasculaires; les veines
i puissent être donnés au clinicien pour établir le diagnostic de l'
affection
, il faut signaler : le regard vague, sans but,
ui joint aux observations semblables déjà publiées, font de cette
affection
une entité morbide distincte. La périodicité des
ité à divers degrés. Il faut préalablement avoir soin d'exclure les
affections
de l'oreille moyenne. P. REVUE DE PATHOLOGIE
diagnostic dillé- rentiel de la syphilis cérébrale avec les autres
affections
organiques intra-craniennes. Enfin le mémoire s
comitant de phobies et d'obsessions diverses. D'après Frend cette
affection
serait le plus souvent liée il des habitudes an
e manière générale, ils sont surtout supprimés dans le tabes et les
affections
spasmodiques. Ils n'ont pas une grave valeur di
ments qu'on rapporte à une péritonite ou à une appendicite. Quand l'
affection
abdominale aiguë est passée, les vomissements s
Ces délires sont souvent consécutifs à un état infectieux (grippe,
affections
broncho-pulmonaires, etc.). Ils disparaissent ave
chancre mou, la syphilis avec ses accidents divers, les principales
affections
de la peau sont successivement passées en revue,
spéciale. Toujours est-il que l'auteur voit dans cette maladie une
affection
générale ayant sa source dans les racines les p
sujets n'était atteint d'urticaire, d'eczéma, ni de, toute autre
affection
cutanée. Nous avons pu en outre vérifier l'exac
é que celle-ci était plus intense au moment des recrudescences de l'
affection
cutanée. Aucun de nos sujets n'ayant de manifes
, d'une faculté génésique exagérée. Il a été atteint de plu- sieurs
affections
vénériennes sur lesquelles on n'a pas de rensei-
'une violente céphalalgie, qui persista jusqu'au développement de l'
affection
mentale, qui a commencé en 1854. A cette époque
e dans cette observation. Il est non moins rare de voir, dans cette
affection
, la cavité de l'arachnoïde oblitérée par des tr
s, à soigner la dyspepsie et la débilité, à enrayer les progrès des
affections
organiques d'origine alcoolique; 2° à remédier
a pathologie de la paralysie générale, il semble qu'il y ait là une
affection
primitive des cellules ner- veuses de l'écorce
ions organiques qu'elle comporte est favorable au développement des
affections
mentales ou convul- sives. L'auteur toutefois n
enfin sur le traitement. R. de Musgrave-Clay. XXIII. Sur quelques
affections
cutanées assez rares chez les aliénés ; par The
e sébacé, les maladies simulées : il entre à propos de ces diverses
affections
dans des détails intéressants, et son texte est
faites. II termine par quelques considérations sur les rapports des
affections
de la peau avec les modifications des maladies
i : on voit assez souvent les maladies men- tales alterner avec les
affections
cutanées; des récidives d'aliéna- tion coïncide
d'abord dans ce but une infirmerie destinée aux malades atteints d'
affections
intercurrentes. Mais la promiscuité des sujets
irection du travail combat- tront les auto-suggestions nuisibles. L'
affection
et le respect que saura inspirer tout maitre di
les reins ont perdu presque la moitié de leur poids normal. Cette
affection
n'a pas été diagnostiquée pendant la vie, sans
de mon interne Guélou : Des psychoses dans leurs rapports avec les
affections
des reins. Bordeaux, 1897. Fiy. 1/, 45 i as
es, 2' série, t. XII. ' 32 498 PATHOLOGIE NERVEUSE. Le début de l'
affection
est assez mal 'déterminé. En tous cas, quatre m
t observé le mutisme hystérique. « La femme de Polémaque, ayant une
affection
arthritique, éprouva une douleur subite de la h
gralement. Il s'agit d'un homme atteint de surdi-mutité hystérique,
affection
très rare, d'après M. Gilles de la Tou- rette q
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 513 propre des
affections
hystériques de survenir et de dispa- raître ave
lis cérébrale, l'alcoolisme, l'épilepsie et les psychoses à grosses
affections
en foyers, il nous reste pour sujets d'études des
ie qui se trouvent résu- mées dans ces conclusions. « Il existe une
affection
cérébelleuse caractérisée anatomiquement par l'
mmuns de la myélite aiguë, qu'il faut attendre la guérison de cette
affection
. R. C. IX. Sur l'acroparesthésie et son traitem
s de sérum chez les aliénés. - Le sérum'est applicable à toutes les
affections
mentales. C'est SOCIÉTÉS SAVANTES. 539 un sti
n dans le traitement de 37 cas 544 BIBLIOGRAPHIE. des différentes
affections
du système nerveux. Les résultats obtenus par l
es anémiques, les tuberculeux et chez tous ceux qui souffrent d'une
affection
pouvant s'aggraver, par les modifications précé
ine légale des , par Krafft- Ebing, 361. Juif , par Beadles, 406.
Affections
cutanées chez les - , par llyslop, 413. Société
ysiologie pathologiques. 39 manque. etc., sans parler des multiples
affections
des arcs réflexes primaires ou de ceux qui ress
et Devaux. Les caractères histologiques différen- tiels de ces deux
affections
permettent le diagnostic à l'examen des prépara
dans les articulations, qui sont le plus souvent atteints de cette
affection
, ce sont les arthritiques dont l'acide urique s
ostéite tuberculeuse du sa- crum comme facteur étiologique de cette
affection
est très rarement citée.Dans la thèse de Dufour
onnée les études ultérieures de Raymond et d'autres auteurs sur les
affections
du co- nus et de la queue de cheval. A la suite
u- lose sacrée ou lombo-sacrée comme facteur étiologique de cette
affection
, il est à prévoir que les observations du même
bler la lacune qui reste encore dans l'ana- tomie pathologique de l'
affection
de la queue de cheval par tuberculose sacrée ou
gnes de tuberculose pulmonaire, des manifestations exté- rieures d'
affection
osseuse sacrale, sacro-lomlmire ou de la symphy
loureuse au niveau du sa- crum ou des vertèbres lombaires, signes d'
affection
de la symphyse sacro-iliaque. C'est ainsi que
hes les plus célèbres, est restée cependant, jusqu'à nos jours, une
affection
à étiologie obscure. Les théories multiples, qu
psychiatres de notre époque. La mélancolie, dit Marcé (l),est une
affection
mentale, caractérisée par un délire de nature t
e ; tous les auteurs, ou la plupart, ont fait delà mélancolie une
affection
purement psychique. Les auteurs allemands, Kral
nt la mélancolie parmi les psycho-névroses, c'est-à- dire parmi les
affections
mentales qui surviennent chez des gens d'appare
l n'est cependant pas exact de considérer la mélan- colie comme une
affection
exclusivement psychique ou psycho-névrosique. '
ie mentale en géné- ral, l'est particulièrement pour la mélancolie,
affection
où l'organisme entier est atteint, où toutes le
a maladie. - Ayant accepté cliniquement que la mélancolie est une
affection
de l'organisme entier, il nous fallait chercher
paraît être atteint en premier lieu. Dans la mélancolie et dans les
affections
psychiques CHOLÉMIE ET MÉLANCOLIE.. 90 déprim
les divers traités, l'on trouve des descriptions sur le rapport des
affections
hépatiques avec ces psychoses (1). Les thèses d
des travaux avec observations, qui concluent à un rapport entre les
affections
hépatiques et les psy- choses. ' Quant aux ét
On relève chez les ascendants et les collatéraux, des ictères, des
affections
du foie, des cirrhoses biliaires, la lithiase b
cle, le rôle considérable de la dégéné- rescence dans la genèse des
affections
mentales. Magnan et ses disciples ont repris ce
générescence men- tale et, d'autre part, les signes cliniques d'une
affection
biliaire familiale. La dégénérescence ne s'es
rale (4 cas, 8 ponctions), ou entre une maladie organique et une
affection
fonctionnelle (3 cas, II ponctions), ou enfin de
ans, atteinte il y a 4 ans de syphilis secondaire, in- demne d'une
affection
syphilitique du système nerveux central, REVUE
'obnubilation crépusculaire, dont 4 devaient très probablement leur
affection
à un traumatisme, une accusait, un érysipèle de l
s ne sauraient être considérées comme les symptômes physiques d'une
affection
mentale en par- ticulier et l'on peut observer
x nerfs optiques ou des deux bandelettes optiques ; seulement cette
affection
est si rare qu'elle ne peut guère entrer en lig
une papille étranglée considérable. Celle-ci est très rare dans les
affections
inflammatoires pures ; elle se montre au contra
iation thermique et de la sensation algique dans les blessures et
affections
de la moelle; par,). PILTZ. (-ATeu2-olog. Central
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 125 ticales dans les blessures et
affections
de la moelle, dans la compression, les blessure
. 1. Le sérum des épileptiques emprunté à ceux des malades dont l'
affection
évolue régulièrement pendant les phases paroxysti
' sur aliénés épileptiques, hystériques, neurasthéniques ; dans les
affections
mèningo-cèrèhrales, mé- ningo-spinales, névrifi
, de la diminution du réflexe pharyngé. Aucun autre symptôme. Cette
affection
du- re depuis deux ans.. Cette onde musculaire
indre qu'on n'ait été en présence d'un syndrome ressortissant à une
affection
profonde jusque là latente du système nerveux c
S. 131 M. f3RrssauD considère la maladie de Parkinson comme une i
affection
pseudo-bulbaire à localisation sous-thalamique. I
ne maladie de Thomsen, c'est là une forme exception- nelle de cette
affection
, soit que l'atrophie musculaire ait évolué para
asmodique pottique. MM. Dur ré- et Camus rapportent un cas de cette
affection
sans compression de la moelle, ni leptoméningit
écriture peut ser- vir à établir le diagnostic précoce de certaines
affections
, telles, par exemple, que la paralysie générale
mais non profondément. Cot2clvsimts. - Le KlilWllschcgttCO est une
affection
entée sur la névrose hystérique. Elle dépend de
e un événement capi- tal dans l'histoire de l'hypochondrie et celte
affection
n'ap- partient plus exclusivement aujourd'hui i
ur lequel l'hypochondrie, comme toute autre psycho-névrose, est une
affection
purement psychique, à symptômes exclusivement p
émoire de Head sur certains troubles mentaux qui ac- compagnent les
affections
viscérales. A l'hôpital de Victoria Park pour l
rie toute une catégorie de symptômes psychiques en rapport avec les
affections
vis- cérales. Mais d'autres auteurs, en particu
pement de l'idée hypochondriaque, peuvent se rencontrer dans les
affections
les plus variées : dans presque toutes les mala
ochondrie proprement dite : L'hypochondrie n'existe pas, en tant qu'
affection
distincte, justifiant sa spécificité par quelqu
ue lous les états hypochondriaques sont symptomatiques de quelque
affection
déterminée ». Si celte formule a paru excessive
re ont été poursuivies sans plus de succès par M. Guillain pour les
affections
du coeur et des pou- mons par M. J. Ch. Roux po
oux pour les maladies do l'estomac ; par il. Dupuy-Dulemps pour les
affections
oculaires. Chez les aliénés hypochondriaques, l
tend sans cesse des voix affirmant qu'elle est atteinte de diverses
affections
orga- niques, annonçant sa mort prochaine, comm
normales. Valeur séméiologique des troubles pupillaires dans les
affections
cérébro-spinales. DI' JocQS (de Paris). Les tro
ayant argué, lors de l'établissement des tableaux de recensement, d'
affections
soit nerveuses,soit mentales, soient, avant les
ante qui, d'après M. Sicard, marquerait l'étape périphé- rique de l'
affection
: ce syndrome ne nous paraît donc pas obligatoi
aduire une lé- sion uniquement centrale. Or, la paralysie générale,
affection
des centres cérébraux et des méninges cérébrale
ment l'habitude d'attri- buer à l'hérédité seule la production de l'
affection
mentale et, parfois, on néglige de signaler et
on-lieu. Chez cet enfant, on observa dans sa première enfance des
affections
multiples et un arrêt de développement physique
ltération du liquide céphalo-rachidien plus mar- quée au début de l'
affection
et dans les phases de poussées ai- guës. - Re
a crise avec le degré d'ancienneté et les chances de curabilitéde l'
affection
. La crise aiguë de chro- nique invétéré ou incu
ion débilitante et l'état de dépression organique inhérente à cette
affection
. Et l'on conçoit que Brierre de Boismont et Bai
nd à se transformer en délire aigu. D. Etats organiques. Dans les
affections
mentales liées BALNÉATION ET HYDROTHÉRAPIE. 215
à la chorée, à la maladie de Basedow, etc. Nulle part le sujet et l'
affection
ne sont empreints d'une individualité plus tran
ique, comme la paralysie générale et celles qui coexistent avec des
affections
cardiaques on pulmonaires, contre-indiquent tou
nefous, Reinhard, Alter). 11° Aux états subaigus prolongés ou aux
affections
aiguës tendant très lentement à l'apaisement de
pisodes aigus, mélancoliques ou maniaques, surve- nant au cours des
affections
chroniques, seront soumis aux ' BALNÉOTHÉRAPIE
bstitué à l'accès intermittent. On peut donc établir entre ces deux
affections
un rappro- chement qui permet d'interpréter les
eantes, car l'amyotrophie progressive spinale était jusqu'alors une
affection
contre laquelle nous étions tout à fait désarmés.
ailler à l'aiguille, etc. 11 est à noter qu'à aucune période de son
affection
, la malade n'a attiré notre attention sur l'exi
jectivation, leur réalité. Mais ces malades étaient tous atteints d'
affections
auri- culaires ,dc lésions labyrinthiques ; or,
liales l'essai de syn- thèse clinique qui a été tenté pour d'autres
affections
et qui expri- me en particulier nos conceptions
histologique et la décoll- verte de formes de transition entre des
affections
considérées jusqu'ici comme des types pathologi
14 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de localisation différente, toutes
affections
familiales dont la re- lative fréquence trouve
r Il, nE LÉOr` (1\'oteo. 1co11001'. de la Salpêtriére, 190'i, n 4).
Affection
rare, mais souvent méconnue, quoique cliniquement
aladie de Frie- ili-eicli, des symptômes et des lésions de ces deux
affections
se retrouvant dans les trois observations. F. T
l'origine de ces granulations. F. T. X. Analyse de quelques cas d'
affections
cérébrales ; par 31. J. FÉDOROW. (Obozréuié psi
re du corps ; c'est il l'occasion d'un rhume, d'une grippe ou d'une
affection
quelconque de l'ap- pareil respiratoire que l'o
1. X..., âgé de 60 ans, employé, nous a raconté qu'à la suite d'une
affection
aiguë, il est devenu anémique à un degré pro- n
338 CLINIQUE NERVEUSE. (vin, absinthe). Il a eu dans l'enfance une
affection
nerveuse qui a nécessité des applications de gl
' Sa famille. Son père buvait beaucoup (vin) et serait mort d'une
affection
du foie. Sa mère a succombe aux suites de l'inl
ère mort d'une maladie de foie (non alcoolique). In frère atteint d'
affection
hépatique. Une tante maternelle morte aliénée.
use. Cholémie. (Résumée). .. manche S..., u4 ans. Père mort d'une
affection
cardiaque ; mère morte aliénée dans un asile. P
maladie dans l'enfance. Pendant son service militaire, il a eu une
affection
cérébrale (1885). Pas de renseigne- ments sur c
il y a 15 mois. Pas d'enfant. Aucun renseignement sur le début de l'
affection
actuelle. Quand on l'a vue, quelques jours avan
ervations s'élève à plus de 70. Nous osons presque affirmer que les
affections
biliaires et la cholémie simple familiale ont u
LE. Il nous est donc permis de conclure que la mélancolie est une
affection
générale et simultanée des organes in- ternes e
ômes nerveux de la mélancolie. En instituant un traitement contre l'
affection
biliaire on peut diminuer la cholémie. Mais il
ionnel de la mélancolie comprend deux parties, le traitement de l'
affection
organique et le traitement des symptômes psy- c
; les ouvriers. L'orateur s'est attaché surtout à montrer que cette
affection
, beaucoup plus fréquente dans la classe des pro
taux des phosphates plaident en laveur de la nature organique de l'
affection
. On peut en dire autant de la haute teneur en a
e semble appelée àun avenir sérieux dans le traitement de certaines
affections
des centres nerveux. La modération de ces concl
tout praticien doit pouvoir employer. Actuellement, c'est dans les
affections
méningées que cet examen Iromeson application l
ité de la rachicentèse per- met d'en essayer l'emploi dans diverses
affections
, entre autres la choréc, la coqueluche, l'éclam
potension intra-rachiclienne du même liquide, serait l'indice d'une
affection
bullaire En Ici' - minant, l'orateur a insisté
hiques, mais n'ayant pas d'existence propre, ne constituant pas une
affection
autonome ; les seconds au contraire, tout en re
communication majeure dont Morel et J. Falret ont déjà frappé cette
affection
au siècle der- nier. D'ores et déjà on peut aff
la connaissais l'histoire de sa fi1117111c,j'alaiê craint que celte
affection
se changeât en cécité. Le traitement que je lui
iqur. Les auteurs se rangent il cetle opinion, Ils rattachent cette
affection
, chez leur malade, à la scrofule. Ils signalent
ent toujours par se cachecli"cr; les pseudo-Paget succombent il des
affections
intercurrentes. Dans le syndrome décrit parles
omplet, mais il constitue toujours le ca- ractère pathogénique de l'
affection
. VARIA. 409 Les délirantes, c'est-à-dire débu
s des psychoses paralytiques et hébéphréniques. Le pronostic de l'
affection
doit toujours être réservé, les mala- des pouva
ileptifol'J11es, etc., ou plus lard, de tuberculose pulmonaire et d'
affections
gastro-intestinales. Quelquefois le stade initial
ent la reproduire. L'auleur parle, en terminant, du diagnostic de l'
affection
avec la paralysie générale, muntrant que dans l
'"l'dé- ])l'[lIl', 182G, (3) ECIIE\'Ll\ItIA, - S1l1'la nature des
affections
dites tuberculeuses des vertèbres, Thèse de Pai
M. Lignières dans la Tristeza et par M. Le- mierre dans différentes
affections
, permet de tourner la difficulté et donne des r
tlu coeur.at.)'sics,et.c. Ces malades sont sujets à de nombreuses
affections
somali- ques et a\ ant tout des inflammations (
e Chondrodystrophia foetalis. Mais le pro- blème de savoir si cette
affection
se rapporte à la maladie de la thyroïde reste i
lande thyroïde. Le myxædème qualifié de fruste peut être dû à une
affection
plus ou moins prononcée de la glande ! thyroïde,
adémie combien nous sommes d'or- dinaire désarmés en face d'une des
affections
les plus cruelles, les plus douloureuses parmi
ntes formes de maladies mentales et aux diverses époques d'une même
affection
; au même titre que l'écriture, cette notion pe
personnelle qui a plusieurs points d'analogie avec la précédente. L'
affection
a évolué plus lentement, car elle a duré 14 ans
res, pas de maladie du jeune âge chez les deux malades ; début de l'
affection
à l'âge de 25 ans ; affaiblis- sement rapide de
premier sujet avait eu une enfance et une adolescence normales, son
affection
débuta par de violents maux de tète et des accè
ond malade était atteint manifestement de débilité mentale et son
affection
survint à la suite d'excès alcooliques ; pendant
tc., etc. ' , Les troubles graphiques particuliers à chacune de ces
affections
sontligurés par de nombreux spécimens d'écritur
t douleurs réflexes, ces der- nières ayant pour point de départ une
affection
des poumons, du coeur, de l'estomac, de l'intes
r de ses premiers chefs. Dès le début, il se consacra à l'étude des
affections
du système nerveux. Interne des asiles d'aliéné
de la coenesthésie, 20 que l'hypo- chondrie n'existe pa, en tant qu'
affection
distincte et auto- nome, justifiant sa spé( inc
ques symptomatiques qui peuvent s'observer au cours de toutes les
affections
où se rencontrent une constitution psychique sp
guéri, était entré, de- puis quelques jours, à l'hôpital, pour une
affection
de poitrine. Il paraissait fort calme, mais, ce
par Lannois, p. 399. Absinthe, p. 413. Acrohégalif. Voir Sang.
Affections
cérébro - spinales. Voir timibles qicyullaires.
iation thermique et de la sensation algique dans les olepsures et
affections
de la -, par l'iltz p. 12. l : ui- théiioma d
urles pupillaires. Valeur l' oéllléiolog1<jl1e de" - dan., les
affections
céréb¡ 0 - opinala." pa r J ocqs, 11. 187. Une
I INTRODUCTION . La grande névrose est la grande simulatrice. « L'
affection
hystérique, « disait Sydenham en 1681, n'est pa
propre à tel organe, « les symptômes qui dépendent uniquement de l'
affection
hystérique. » Deux siècles se sont écoulés, et
r en connaissance de cause. L'hystérie peut tout simuler : diverses
affections
des systèmes respira- toire, digestif, etc., co
isquerions d'être incomplet : la bibliographie de l'hystérie et des
affections
de la moelle est beaucoup trop riche pour qu'on
ois désigné sous le nom de neuromimésie, cette propriété qu'ont les
affections
sine materia de simuler les maladies organiques
logne et les recherches anatomo-cliniques de l'École française, les
affections
de la moelle épi- nière ne sont plus confondues
long- temps servi de lignes de démarcation entre l'hystérie et les
affections
1. Charcot, Leçons sur les maladies du syst. ne
jusqu'aux phénomènes accessoires que l'on constate parfois dans les
affections
spinales : troubles digestifs, res- piratoires,
elques exemples démonstratifs. Dans ces cas d'association, les deux
affections
évoluent chacune pour leur propre compte, paral
pas d'hystéries symptomatiques. La névrose peut en effet précéder l'
affection
spinale, elle peut aussi lui survivre. Elle en
ent liée à la solution du problème. Dans la règle, le pronostic des
affections
spinales est sombre et fatal; les manifestation
ent établi. En réalité, les syndromes hystériques simulateurs des
affections
de la moelle peuvent durer des années, devenir
guérison absolue, rétrocession com- plète, sans qu'il persiste de l'
affection
spinale le moindre vestige orga- nique, la moin
rit jamais com- plètement. » . Nous ne voulons parler ici que des
affections
organiques spinales qui appartiennent à la gran
sente le type des maladies organiques. Ce sont pourtant là les deux
affections
« névropathiques » qui présentent le plus d'analo
rose multiple. Ce malade est un nerveux héréditaire ; le début de l'
affection
a été la con- séquence d'une terreur horrible;
des deux rôles ;l'ouïe abolie adroite, mais il y aurait une vieille
affection
de l'oreille ( ? ). Le champ visuel est manifes
symptômes et l'évolution delamaladie avaient fait diagnostiquer une
affection
organique du système nerveux, et l'autopsie ne
tre de nouvelles névroses simulatrices, quand on a déjà l'hystérie,
affection
essentiellement polymorphe, qui remplit ce même
Durant les premières semaines, on ne constate aucun signe évident d'
affection
spinale. Vers le milieu de septembre, il se plaig
e à foyers multiples. Mais la guérison radicale de cette singulière
affection
après ses intermittences, ne contredit-elle pas l
le travail de Westphal et je fus très surpris de voir s'amender une
affection
que j'avais supposée incurable. » Ce sont là de
2 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. il rappelle que nombre d'
affections
organiques ont été prises pour de l'hystérie; e
coup de symptômes, rattachés jusqu'ici à l'hystérie, relèvent d'une
affection
organique, et que le domaine de l'hystérie est
ante-deux ans. Père en bonne santé, ni alcoolique ni nerveux. Pas d'
affection
nerveuse dans la famille du côté des ascendants
le considèrent comme un boute-en-train. Mais depuis le début de son
affection
, il n'estplus le même homme; il est devenu tris
ème hystérique. Il présente d'ailleurs tous les caractères de cette
affection
. Mais trois points nous ont paru devoir être mi
ou pénurie des eaux de l'amnios. J'ai rapporté dans mon Traité des
affections
congénitales un certain nombre d'exemples où le
océphalie, car j'ai hâte d'arriver à un dernier groupe défaits, aux
affections
du cerveau lui-même. Je ne parlerai pas des alro-
pe qui m'occupe. Je ne saurais m'arrêter plus longtemps ici sur ces
affections
, causes certaines d'un retard dans l'évolution
agé. L'étude du malade, le diagnostic aussi exact que possible de l'
affection
dont il est atteint, de son degré d'intensité, de
u près exacte le parler lent et comme scandé symptomatique de cette
affection
. Enfin, si l'on considère le tremblement en lui
oient l'ouvrier trembleur comme on ferait d'un malade atteint d'une
affection
contagieuse. Nous avons vu un ouvrier doreur
at de repos. Lorsqu'on est en présence d'un malade atteint de celte
affection
, tranquillement assis, les avant-bras reposant su
eraient cependant capables comme elle d'imiter trait pour trait les
affections
organiques du système nerveux. Mais il faut bie
de M. P. Marie, l'hystérie et la sclérose en plaques sont les deux
affections
du système nerveux qui coexistent le plus souve
sociations s'explique donc tout naturellement, sans compter que ces
affections
appartiennent à la même famille. Il faut avan
nsacré à 1. Brodie, Lectures illustratives or certain local nervous
affection
, London, 1837, p. 47. 2. Mesnot, Etude sur les
e est souvent malaisée faire la part respective de chacune des'deux
affections
coexistâmes. Quelle que soit sa cause première,
n est un jeune homme de vingt-quatre ans, n'ayant souffert d'aucune
affection
grave jusqu'au jour où il a fait une chute. Il
Il n'y a donc pas de mal de Pott. et toutes les apparences de cette
affection
s'évanouissent devant l'étude des seuls symptôm
bles de la sensibilité. L'état général du malade est excellent et l'
affection
, dont le début remonte à quinze ans, est complè
lennorrhagie et la syphilis. On ne trouve du reste pas trace de ces
affections
. Il ne fait pas d'excès de boisson ni d'excès vén
dorsal comme dans le cas de Westphal; mais tous les signes de cette
affection
font défaut. La perte des réflexes à gauche, sa
se rapproche de la précédente par la marche extrêmement lente de l'
affection
. Caractère particulier, l'atro- phie des membre
n Bristowe, Cases of ophthalmoplegia, complicated with various otleer
affections
of the nervous sgslenz (Rrain, october, 313-314
Les seuls renseignements qu'on'obtienne sont ceux se rapportant à l'
affection
actuelle. L'enfant et la mère rapportent l'orig
que confirmer les détails du premier et montre en outre l'élat de l'
affection
dix ans après. Ous. II (personnelle, avril 18'J
somme, ni son père ni sa mère n'ont vu ni connu dans leur famille d'
affection
analogue à celle de leur fille, et, dans ces anté
ditaires. Père, mort d'accident, pas nerveux. -1}1 ère, morte d'une
affection
cardiaque (quarante-neuf ans), rhumatisante, migr
érédité névropathique ou arthritique. Antécédents personnels. Son
affection
actuelle est sa première ma- ladie ; auparavant
nté parfaite. Aucune 200 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
affection
d'ordre névropathique ou autre, seulement quelque
ystéro- épileptiques. Antécédents personnels. Avant le début de l'
affection
actuelle, sa santé a toujours été parfaite. Une
ne fille avait toujours joui d'une bonne santé, avant le début de l'
affection
actuelle. La varioloïde et une fluxion de poitr
l'examen du crâne. - Principales déformations du crâne. Dans les
affections
qui relèvent du domaine de la médecine générale,
l, non pas qu'à lui seul il suffise pour établir le diagnostic de l'
affection
que vous cherchez, mais il acquiert de l'import
ournir des rensei- gnements sur le terrain qui a donné éclosion à l'
affection
mentale, en nous y révélant les traces d'anomal
uables leçons, a étudié en détail toute la séméiologie générale des
affections
mentales. Cette question doit cependant être d'
nt à ce groupe ont un caractère commun, la lenteur remarquable de l'
affection
. L'invasion de la colonne motrice se fait tantô
epos. Après un temps d'arrêt de six mois, un an, quatre ans même, l'
affection
reprend sa marche progressive et gagne la colon
ce que l'on observe dans la réaction de dégéné- rescence. Dans une
affection
connexe de la poliomyélite antérieure chronique
te chronique est des plus variables. Chez deux malades, en effet, l'
affection
remonte à douze et quinzeans (cas de Bristowe e
sie et à l'amyotrophie, constitue le trait caractéristique de cette
affection
, qui peut débuter indifféremment par les accident
alisée, c'est-à-dire, dans l'hypothèse où nous nous placions, d'une
affection
systématique de la plus grande partie de la col
nt même considérés comme des signes diagnostiques de cette dernière
affection
. Nous voulons parler de l'absence d'anomalies d
sthésie qui constitue un caractère presque pathognomonique de cette
affection
. Une fois ce signe constaté on ne sera plus emb
gnes oculaires qui ne permettent de différencier nettement les deux
affections
, l'oeil étant immobile dans l'une et au contrai
qui concerne le diagnostic de la polio- encéphalomyélite. C'est une
affection
quel'on devra toujours reconnaître assez facile
hilitique fut appliqué dès l'apparition des premiers accidents et l'
affection
n'en poursuivit pas moins son cours. Enfin nos
où l'amyotrophie s'et montrée nettement unilatérale dès le début, l'
affection
est restée localisée. Dans la forme subaiguë,
oire a une guérison complète. La polioencéphalomyélile est donc une
affection
des plus graves : par son évolution fatalement
n bel exemple de polioencéphalite subaiguë. uns. XLI (résumée). -
Affection
encéphalique (encéphalite diffuse pro- bable) l
vation, ce qui fait au total sept cas. L'histoire clinique de cette
affection
peut se résumer ainsi. Les malades sont de gran
ormaux. Le réflexe rotulien est plutôt exagéré. Cinq fois sur six l'
affection
s'est terminée rapidement par la mort dans un l
préambule, M. Charcot établit un parallèle magistral entre les deux
affections
, met en évidence leurs analogies, réduit à néant
l'ophthal- moplégie ou par l'atrophie musculaire. t 8° C'est une
affection
des plus graves qui entraîne la mort ou fait ¡
otions pour le diagnostie de lésions papil- laires symptomatiques d'
affections
coexistantes avec la folie (ataxie locomotrice,
us pourrez trouver des cicatrices par traumatismes (épilepsie) ou d'
affections
accidentelles, en particulier la syphilis dont le
, outre les difformités consécutives à des trau- matismes, ou à des
affections
chirurgicales ou à des maladies antérieures ou
n agent provocateur quelconque : intoxication, maladie infectieuse,
affection
locale ou générale, peut en favoriser l'apparit
técédents personnels. -Dans son enfance, pas d'autre maladie qu'une
affection
nen euse ( ? ) à l'âge de deux ans et qui aurait
mois ou un mois et demi, le malade guérit encore de cette nouvelle
affection
... Enfin, au mois de juillet de cette année (18
d'anévrysme. La malade a deux tantes maternelles qui sont mortes d'
affections
cérébrales de nature indéterminée. Elle a deux
e de début et les caractères de paralysie écartent toute idée d'une
affection
organique de la moelle. Et pourtant, dans des c
ccidents abdominaux persistèrent, marquant la véritable nature de l'
affection
. Le Dr Empis consulté porta le diagnostic d'entér
, sans que rien puisse faire attribuer une cause spécifique à cette
affection
. Elle accouche le 26 février 1887 d'un enfant r
s précédentes attaques de parésie ni depuis le début de la présente
affection
. Cette malade qui était menstruée depuis l'âge
éréditaires et personnels du malade, sur le début et la marche de l'
affection
, qu'il faudra se baser dans les cas difficiles.
et la cautérisation ponctuée. Pas d'amélio- ration, au contraire, l'
affection
progresse : « C'est alors (in) février 1890) qu
et même les individus atteints de cette anomalie, présentaient des
affections
psychiques, de l'épilepsie, ou d'autres difform
ans. Etant enfant, il n'a eu aucun trouble névropathique, ni aucune
affection
scrofuleuse, il n'était pas sujet aux engelures.
il y a cinq ans, ce qu'il appelle un panaris du pouce gauche. Cette
affection
n'a pas été très douloureuse, n'a pas néces- si
ente, sauf la sensation perma- nente de froid. Il n'a aucun signe d'
affection
cardiaque ou pulmonaire. Le 12 novembre dans la
es bizarres firent émettre un doute sur la nature tuberculeuse de l'
affection
. Au coma fit place une agitation excessive, du dé
lt;6[M ? rétention,incontinenced'urine, etc., sont communs aux deux
affections
; l'incontinence est plus rare dans l'hystérie.
oujours déterminer quelle est la part de paraplégie qui revient à l'
affection
des organes génito-urinaires et la part d'affecti
qui revient à l'affection des organes génito-urinaires et la part d'
affection
génilo- urinaire qui relève de la paraplégie.
NDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DU TABES Il est un certain nombre d'
affections
morbides qui peuvent offrir un tableau clinique
a... (Jledic. conteruh., 1883, n° 1, p. G). 8. P. 131ocq, Sur une
affection
caractérisée par de l'aslasie et de l'abasie (Arc
, qu'il s'agit, dans ce cas, d'hystérie simulatrice. La marche de l'
affection
, l'état psychique spécial, l'intégrité de l'état
ie interne, la diplopie, pourraient bien dépendre de cette dernière
affection
. OBs. LVI (Pitres, in Gaz. iiiéd. de Paris, 20
hystérique. « Celle malade était hys- térique, dit Vulpian, mais l'
affection
pour laquelle elle est entrée à l'hôpital ne pa
Friedreich au même titre, du reste, qu'elle apparaît dans d'autres
affections
par arrêt de déve- loppement, les myopathies pa
rrêt de déve- loppement du système nerveux central ou bien d'autres
affections
orga- niques cérébro-spinales (tabes, sclérose
cces- sions morbides ne sont pas rares. Mais il y a plus : les deux
affections
peuvent coexister en même temps chez le même su
rique. D'après lui, cette observation démontre que, dans toutes les
affections
orga- niques du système nerveux, on peut voir s
indépendants l'un de l'autre. » 2° Quel est le rôle de la première
affection
en date sur l'apparition de la seconde ? Il fau
ations de la seconde maladie. On risquera fort de les attribuer à l'
affection
première qui semble seule et qui en réalité n'est
lles ne sont pas suffisamment nettes pour permettre de soupçonner l'
affection
dont elles sont les avant-coureurs, savoir atte
ent de voir, en matière de pathologie nerveuse, les symptômes d'une
affection
préexistante s'atténuer, s'effacer lorsqu'une s
l'un, il la catégorie des maladies organiques, l'autre, à celle des
affections
dites dynamiques, c'est-à-dire qui sont l'un mobi
e et l'organopathie spinale coexistent chez un même sujet, les deux
affections
restent indé- pendantes, c'est-à-dire qu'elles
Moussons, Conlrib. ri l'élude des atrophies musculaires succédant an
affections
arli- culaires. Thèse de Paris, ]88 ? 2. Déro
te réaction pour éliminer l'hystérie et rapporter les lésions à une
affection
spinale ou à une névrite périphérique. Il nous
uropatliologique, il en est un qui n'appartient t pas au groupe des
affections
organiques et qui peut cependant je saisirai bi
ans la syringomyélie est donc parfaite. Ce n'est pas tout; ces deux
affections
ont encore d'autres traits communs. L'atro- phi
se qu'il n'y a pas de bonnes raisons pour les rattacher à une autre
affection
: Et cependant il ne peut se défendre d'une arriè
roits que nombre d'auteurs ont de la tendance à identifier ces deux
affections
. Mais, du reste, l'association de l'hystérie et
r M. le professeur Charcot. « Il n'est point, dit-il, une seule des
affections
nerveuses dont l'ensemble forme ce que j'appell
térique simulateur de la syringomyélie présente avec cette dernière
affection
des analogies si grandes que la confusion est d
s'effritèrent d'abord ; puis ceux de certains doigts ; peu à peu l'
affection
s'est étendue et maintenant les extrémités de tou
osisme familial. Alcoolisme très accusé des ascendants. De quelle
affection
s'agit-il ici ? La déformation unguéaledu doigt h
uste est assez sé- duisant, mais l'absence des signes capitaux de l'
affection
nous porte plu- tôt à ranger, au moins à l'heur
lude radiographique permettent seuls un diagnostic précoce. Enfin l'
affection
peut s'installer insidieusement par un simple gon
rties molles, l'ongle et l'os. Ce qui est manifeste, ce n'est pas l'
affection
de l'os, mais celle des parties molles, aussi n
ge les diverses dystro- phies encore énigmatiques. . Origine de l'
affection
. On peut d'abord supposer qu'il s'agit d'une ma
ée, est la suivante : s'agissait-il d'une lésion organique ou d'une
affection
en partie organique et en partie fonctionnelle ?
ion en partie organique et en partie fonctionnelle ? ou enfin d'une
affection
entièrement fonctionnelle ? Distinguons avant tou
re psychique et somatique. En opposition- au type classique, où l'
affection
cérébrale se manifeste d'une manière brutale au
t qu'aucun trouble circulatoire objectif ne peut faire songer à une
affection
cardiaque ou vasculaire locale ; on ne relève e
hausen n'est pas sans étroite relation, comme nous le verrons, avec l'
affection
médullaire, qui t'amenait à l'Hôpital. Au moi
s donnant, à première vue, l'impression d'être symptomatiques d'une
affection
cutanée. En 1912, les forces physiques ayant au
iques, mais que ces effets disparais- sent rapidement à moins que l'
affection
causée par le choc ne se maintienne par un proc
les moyens possibles les symptômes par lesquels s'extériorisent les
affections
du sys- tème nerveux, afin de joindre nos const
uissent revêtir tou- tes les formes qu'on rencontre dans les autres
affections
nerveuses. Si dans la région douloureuse il n'y
s labyrinthiques, soit d'une manière paroxys- tique dans le cours d'
affections
auditives, l'instabilité du labyrinthique a que
pruntait celle dernière épithète à Aran qui, en 180, décrivit celle
affection
, en grande partie d'ailleurs d'après les faits
rnant soit l'histoire clinique, soit 1 histoire anatomique de cette
affection
. La seule condition éliologique bien établie qu
le point de vue individuel et social. Quand et comment débute celte
affection
? Son début est précoce, et se fait le plus sou
e Sainton, le début s'échelonne entre deux et trente- neuf ans. L'
affection
débute, dans le type classique qui est de beaucou
upérieurs. Dans ce dernier cas, il semble que, le plus sou- vent, l'
affection
gagne rapidement les membres inférieurs Quand, au
hant, etc... Voici le premier de nos deux malades, S... Chez lui, l'
affection
a débuté aux membres inférieurs, vers l'âge de
de dégénérescence dans les muscles en voie d'atrophie. « Début de l'
affection
le plus souvent dans l'enfance, souvent chez plu-
en jarretière», comme disent Charcot et Marie, caractéristique de l'
affection
, tout au- moins pendant une très longue période
ent limi- tés aux membres inférieurs, quelle que soit la durée de l'
affection
. Enfin, dans quelques rares cas, l'amyotrophie
st un homme de 29 ans, dans la famille duquel on ne retrouve aucune
affection
analogue à la sienne. Le début s'est fait dans
uels sont les arguments apportés en fa- veur de l'unité de ces deux
affections
? Leurs différences cliniques, dit-on, ne tiend
t âgé de douze ans et en bonne santé. Histoire de la maladie. - L'
affection
'actuelle semble remonter à l'année NOUVELLE Ic
s se sont proposé aux derniers congrès a été celui de définir cette
affection
. La définition pourtant, observe justement Clap
tre le couronne- ment et non point le fondement de l'étude de toute
affection
. On ne peut donc définir l'hystérie sans fixer
ut donc définir l'hystérie sans fixer auparavant la nature de cette
affection
, sans étudier le mécanisme de ses phénomènes mo
omènes morbides Or, une étude essentiellement pathogénique de cette
affection
n'a pas encore été faite. On a admis qu'elle es
un réflexe émotif exagéré ? Il ne suffit pas de nous dire que celle
affection
est caractérisée 258 SALMON par la suggestibi
ompris ceux que quel- ques auteurs ont éliminés du tableau de cette
affection
. Enfin je cher- cherai à esquisser une théorie
er les ténèbres qui enveloppent la pathogénie de celle intéressante
affection
. Les données les plus importantes résultant de
suivantes : 1° L'importance des émotions dans la détermination de l'
affection
. Les hystériques appartiennent généralement à d
se distinguant de la suggestibi- lité qu'on remarque dans d'autres
affections
par le fait que les idées sug- gérées ou auto-s
pouvoir plastique et impulsif des idées affectives, propre à celle
affection
. 4° Le mécanisme purement automatique par leque
ensorielles, motrices et viscérales. La condition fondamentale de l'
affection
est, à mon avis, une vive impures- sionnabilité
à la cénesthésie dans l'étude de l'hystérie, par le fait que cette
affection
, d'après Sollier, est le résultat -vit d'une to
us les phénomènes vaso-moteurs, sécrétoires qui caractérisent notre
affection
, tandis que ces faits trouvent leur plus complè
à mon avis, une des particularités les plus intéressantes de cette
affection
, à savoir la plasticité des centres nerveux, pa
tionnelle, qui peut-être constitue le fait le plus saillant de leur
affection
, ne peuvent pas s'expliquer, à mon avis, si l'o
quence spéciale des troubles vaso-moteurs et sécrétoires dans cette
affection
. La théorie cénesthésique que j'ai décrite écla
sans doute la dis- position la plus favorable au déclenchement de l'
affection
. En admettant un élément' intermédiaire entre l
yroï- dienne créait par le moyen de l'émotivité une disposition à l'
affection
. Beaucoup de gastralgies hystériques ont leur o
t de syphilitiques.il n'est pas rare que l'hystérie se joigne à une
affection
organique des centres cérébraux et médullaires ;
ntrent très perplexes entre le diagnostic d'hystérie et celui d'une
affection
vaso-motrice. Or, les rapports que j'ai cités e
uver d'explication dans une théorie purement psychologique de celle
affection
, tandis qu'ils s'éclaircissent parfaitement par
actes volontaires et automatiques. La con- dition fondamentale de l'
affection
est, à mon avis, l'hyperesthésie ou une vive im
es causes affectives, de l'émotivité dans la détermination de cette
affection
. Les images cénesthésiques constitueraient, d'a
térique, ce qui éclaircirait d'une part l'absence ou la rareté de l'
affection
après les émotions très intenses déterminant d'
ystérie, rapports que les théories purement psychologiques de cette
affection
ne sauraient nullement expliquer. La théorie cé
suggestibilité plastique et de la mythoplastie caractérisant cette
affection
(Hartemberg, Dupré). Ma thèse éclaircirait égal
les théories principales qui ont été avancées dans l'étude de cette
affection
, mais qu'elle éclaircit les points les plus obscu
ièrement par les auteurs dont le nom est lié à cette intéres- sante
affection
. Le gérant : P. Bouchez. Imp. J. Thevenot, Sa
gré le fait que le corps strié est un lieu de prédilection pour des
affections
de toute sorte, le problème de la fonction de c
buant les mouvements involon- taires de caractère athétosique à une
affection
du corps strié, et deMeynert (voyez son manuel
miplégie sont dus à la même lésion que celle-ci, c'est-à-dire à une
affection
du faisceau pyramidal. De nos jours cependant
ion avec les noyaux rouges peut provoquer les mêmes symptômes que l'
affection
du faisceau rubro-cérébelleux lui-même. Après
Quelques-uns de ces cas, examinés auato- miquement, montraient une
affection
des corps striés fort prononcée, les TROUBLES D
mptômes, qui parfois ne se distinguent guère de ceux causés par les
affections
des brachia conjunctiva, est inacceptable pour
s cérébelleux), des faisceaux pyramidaux et des rubans de Reil, une
affection
des centres infra-corticaux peut conditionner u
arice.De dans sa jeunesse, surtout une fièvre ty- phoïde en '1suc9,
affection
ayant duré quatre mois environ et ne paraissant p
n cérébrale causée par une mauvaise digestion ( ? ) Cependant cette
affection
ne s'était accompagnée ni d'embarras de la parole
. Le malade ne s'est pas marié, n'a pas eu d'enfants. Le début de l'
affection
actuelle semble remonter il 1900. Vers cette époq
res. C'est ce caractère insolite d'une guérison dans l'histoire des
affections
de la moelle épinière qui nous avait engagé à l
gies réflexes, les seules, pour ainsi dire, qui, dans le dédale des
affections
spi- nales, peuvent se prévaloir d'un pronostic
ais je dois reconnaître dans lés symptômes actuels les restes d'une
affection
médullaire de nature douteuse, comme lors de la
rite. Je ferai d'au- tant moins d'hypothèses sur la nature de cette
affection
qu'elle est en bonne voie de guérison. C'est là
6 ans, notre malade vit se développer les premiers symptô- mes de l'
affection
actuelle. Il y a neuf ans, des troubles révolutio
s tumeurs'et la pigmentation qui sont les stigmates essentiels de l'
affection
: chez elle l'évolution a été celle d'une dystr
u'elle pré- sente sont légers. Son fils semble atteint de la même
affection
sous une forme plus fruste. Il présente une tum
). Mais dans aucun de ces cas on ne constatait la coexistence d'une
affection
nerveuse telle que la neurofibromatose. On a si
d'acromégalie ? On a relevé 6 fois déjà la coexistence de ces deux
affections
, cas relevés dans le travail de Wolssohn et Ernst
e pouvait, en aucun cas, parler d'épilepsie essentielle, mais d'une
affection
cérébrale primitive quelconque, accompagnée par
fait me conduisit à la ferme conviction que, dans ce grand nombre d'
affections
qui, cliniquement, se comportent absolument comme
une beaucoup plus grande pro- portion, pour le diabète sucré : des
affections
d'organes très différents (pancréas, foie, rein
ente, il est nécessaire en premier lieu d'écarter toute une série d'
affections
, qui sont bien caractérisées par le symptôme n at
uvoir être regardées comme épileptiques. Au nombre de cette série d'
affections
il faut compter : l'hy- drocéphalie interne, da
halite diffuse primitive ; toutefois, en déterminant celle dernière
affection
on a décidé en même temps que l'épilepsie est sym
d'épilepsie essentielle, sans symptômes de foyer préalables et sans
affection
cérébrale anatomique, nous ne pouvons guère, suiv
hémisphérique : si les phénomènes épileptiques sont causés par des
affections
(inflammation) corticales primitives diffuses,
nheim dit . : ce sujet : « De nombreuses recherches prouvent qu'une
affection
céré- 374 . BOLTEN brale organique ayant exis
Freud, vont jusqu'à vouloir rame- ner l'épilepsie en général à une
affection
cortico-cérébrale organique, mais il manque, to
e peut aussi se dévelop- per chez un sujet atteint déjà d'une autre
affection
cérébrale quelconque et ainsi la véritable épil
ième la paralysie cérébrale infantile et dans un troisième ces deux
affections
réunies. Si les phénomènes épileptiques se présen
sentielle. » Ici la manière de raisonner n'est plus exacte : Si les
affections
en foyers se sont étendues si diffusément qu'elle
lepsie cérébrale et non épilepsie essentielle ; si, par contre, les
affections
sont assez diffuses pour causer l'épilepsie, ma
sie essen- tielle. Ce n'est pas un raisonnement solide : s'il a des
affections
diffuses dans l'écorce et dans les méninges (c'
ngite, ou mieux cette encéphalite, est alors, quant aux attaques, l'
affection
primitive et les attaques appartiennent donc à la
e qu'au moins l'épilepsie traumatique se montrât toujours comme une
affection
cérébrale primitive localisable, ou à ce qu'au mo
qui l'accom- pagnent et par la réaction de Wassermann. Parmi les
affections
cérébrales primitives, qui peuvent causer des att
et l'acromégalie (tumeur de l'hypophyse) ; même dans cette dernière
affection
, des attaques sans caractère unilatéral ne sont
lepsie après scarlatine et après pneumonie (méningite), de cha- que
affection
, un cas. Epilepsie. après encéphalite, respecti
elle et qu'il faudrait finalement rapporter toutes les formes à des
affections
cérébrales (Redlich, Heilbronner). , Il résul
résente- ront pas chez'les malades, atteints d'épilepsie cérébrale (
affections
corti- cales diffuses, ayant atteint un certain
psie essentielle (maladie du métabolisme) et l'épilepsie cérébrale (
affection
cérébrale organique primitive) peuvent se ressemb
yspnée, du ma- laise, d'où leur tendance à se croire atteints d'une
affection
cardiaque. Du côté de la sphère génitale, à l'e
ge en proie il une lésion gastrique; B se croit atteint d'une grave
affection
cardiaque, parce qu'il sent des douleurs, des pal
t fréquemment les étudiants, après la lecture d'un chapitre sur les
affections
cardiaque, nerveuse, pulmonaire, consulter leur
ascendants ou collatéraux. Antécédents personnels et histoire de l'
affection
. - Cab... exerce depuis longtemps la profession
us que les autres avec leur régu- larité habituelle. ülmclae de l'
affection
. - Le malade est resté dans le service du 29 no
autre renseignement précis. Antécédents personnels et histoire DE l'
affection
actuelle. - A l'âge de H ans aurait eu une fièv
Pas d'autres antécédents. - Antécédents personnels et histoire DE l'
affection
. Fièvre jaune en Cocbinchine en 1873, et scorbu
ole dus à la névrose, soit avec ceux que produisent diverses autres
affections
du système nerveux, soit avec le bégaiement vul
sé. Cette malade reproduit le type, aujourd'hui bien connu, d'une
affection
curieuse, récemment étudiée, assez fréquente, e
nos leçons sur l'astasie-abasie, mais les grands caractères de l'
affection
n'ont point été modifiés. Il suffit pour s'en ren
urologie (u°5 25 et 26), la première description sous la rubrique «
Affection
nerveuse caractérisée par de l'in- coordination
l'étiologie 56 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. de l'
affection
dans les deux cas et d'autre part, il n'est poi
alcoolique. L'épilepsie ne peut, chez lui, être rattachée à aucune
affection
cérébrale, elle est bien idiopathique. 11 a e
te particulièrement les muscles extenseurs, forme opisthotonos. L'
affection
se montre avec une grande intensité, le pronostic
s ce qui se passe le plus souvent dans l'épilepsie compliquée d'une
affection
aiguë intercurrente, pendant les périodes les p
dent cette observation intéressante sont : 1° la marche rapide de l'
affection
(moins de deux ans); 2° la paralysie des muscle
successivement, puis, étant devenue stationnaire. La précocité de l'
affection
(le sujet a actuel- lement vingt ans) permet de
Ces deux savants croient à l'origine infec- tieuse d'une semblable
affection
; cette origine expliquerait la dissémination e
ayant rien de commun avec la paralysie générale, notamment dans les
affections
cérébrales dues à la sénilité; dans ces cas, -l
s exceptionnelles, reparaître manifestement ; 4° que dans certaines
affections
mentales, le langage réflexe s'observe sous un
ntralbl., 1886.) . Diagnostic. Embolie de Tarière sylvienue gauche;
affection
car- diaque ; syphilis. Autopsie, pleurésie sér
nser à la démence primitive. Les signes physiques indiquaient une
affection
généralisée ou au moins très étendue des centre
es membres et leur résistance aux mouvements' passifs annonçait une
affection
des cordons latéraux, landis que d'autre part,
ulaire progressive et les tremblements fibrillaires indiquaient une
affection
tropho-irritative des cellules nerveuses des corn
es des cornes antérieures, et les nécroses cutanées indiquaient une
affection
ir- ritative dea parties postérieures de la sub
s d'expansion et de satisfaction que l'on observe communément, leur
affection
simulait à s'y méprendre la paralysie générale.
es faits montrent une fois de plus avec quel soin on doit, dans les
affections
cérébrales et mentales, étudier l'enchaîne- men
ntal sous le nom de « folie affective. » R. M. C. XII. ACTION des
affections
fébriles sur des psychoses; par .1. WAGNOE. (J,
lepsie, sont le plus heureusement influencés dans l'es- pèce, que l'
affection
fébrile passagère doit se tenir en des limites
é fait pendant la vie qu'en les seuls cas où il s'agissait de cette
affection
. BIBLIOGRAPHIE. 121 L'historique de la syring
ont quelques-unes tendent à rattacher la paréso- analgésie. à cette
affection
, NI. llorvan a revu avec soin ses malades an po
se de Doctorat, Paris 1890; aux bureaux du Progrès médical. Cette
affection
reconnait comme lésion anatomique des cavités c
de la commissure postérieure. Pour l'auteur la glioillatose est une
affection
spéciale à la névroglie ; c'est une hypertrophi
en dire. Par Cotugno,. qui sut ia distinguer de toutes les autres
affections
douloureuses ou névralgiques du membre inférieu
ent conformes à la vérité, non plus à l'accouchement, /mais à une
affection
du petit bassin, consécutive à un ( phlegmon du
résente aucun signe de diabète. Il n'a jamais eu de symptômes d'une
affection
cardiaque, jamais d'oedème des jambes. Il n'a j
ident, et deux soeurs dont l'une est morte à trente-sept ans, d'une
affection
du rectum ( ? ) et l'autre âgée de cinquante-hu
nt incontestable les caractères de la douleur, la longue durée de l'
affection
, l'anes- thésie du territoire sciatique poplité
ès de colère et qui dura un an. La malade ne peut fournir sur cette
affection
aucun détail précis. Elle affirme seulement que
nements incomplets. Une soeur, la seule d'ailleurs, est morte d'une
affection
chronique ( ? ) qui a duré un an et s'est dével
, ou chorée héréditaire. Vous trouverez une étude complète de cette
affection
dans la récente thèse de Huet, un interne disti
père, également médecins, présentent cette particularité qu'à toute
affection
qui survient chez un de leurs membres, s'ajoute
énération est épargnée, la ten- dance choréique cesse d'exister ; l'
affection
ne se reproduit pas, comme pour d'autres maladi
et, après discussion approfondie, identifie complètement les deux
affections
et conclut : « Il existe principalement chez l'
aiguë, est encore inconnue. « Selon toute vraisemblance, c'est une
affection
cérébrale ou céré- 1ro-splIJale; nous sommes po
mouvements anormaux, à. l'âge de vingt-huit ans; la chronicité de l'
affection
, dès à présent constituée, puisqu'elle date déj
ntieux. Elle est presque heureuse d'être malade et de présenter une
affection
curieuse. Elle ne perd aucune occasion d'accuse
Je vous rappellerai, enfin le début, brusque et émotionnel, de l'
affection
à la suite de la mort de son père, cette histoire
les lecteurs de la Revue de Médecine de l'urologie spéciale à cette
affection
. Ils ont démontré, par des analyses répétées, p
09 il n'est pas déraisonnable d'admettre qu'une malade atteinte d'
affection
organique devienne à son tour une névrosée. Dans
Surtout accusée et fré- quente entre trente et soixante ans, cette
affection
compte son plus grand nombre de patientes entre
portde lourds fardeaux sur la partie postérieure de l'épaule gauche
Affection
durant depuis trop longtemps pour qu'on puisse
ture simple. P. K. 4 XXXVII. DES symptômes hystériformes dans LES
affections
SYPHILI- TIQUES DE l'encéphale; par E. E. MOKAV
ierson. Mais rien n'est encore assez fixé dans les allures de cette
affection
pour qu'on ne doive se montrer extrêmement rése
odeà à la force de 5 à 6 milliampères appliquée sur le patient) ; l'
affection
persiste. P. K. LVII. SUR quelques cas INSOLI
muscle cardiaque ou des artères du coeur. En effet, l'étiologie des
affections
organiques du coeur est la même que celle-de so
héréditaire dans certaines familles et ne sévit qu'à un âge avancé.
Affection
incurable. La volonté peut passagèrement en int
Zeitsch. f. Psychiat., XLIV, 2, 3.) Douze femmes atteintes de cette
affection
, dont six présentaient la forme circulaire, ont
à l'asile. De plus, la phtisie n'attend pas pour se produire que l'
affection
psychique dure depuis longtemps; . .. elle se m
te à déterminer comparativement chez cinq malades atteints de cette
affection
et chez trois individus quelconques (pachyméningi
malades porteurs de ces déplacements anor- maux succombèrent à une
affection
n'ayant absolument rien à voir avec la moelle,
l'in- fluence de la syphilis sur la genèse et l'évolution de cette
affection
. II sépare nettement la syphilis cérébrale de l
e générale, admettant que celle-ci n'est nullement influencée par l'
affection
syphilitique. Il ne faut pas confondre les coïn
qu'il existe une véritable relation de cause à effet entre ces deux
affections
. Le nombre des paralytiques généraux syphilitiq
ie. Il faut intervenir rapidement, car la marche et la gravité de l'
affection
mentale ne sont pas tou- jours en rapport avec
aliénés chroniques, mais il nous arrive aussi en nombre notable des
affections
mentales récentes. Nous n'avons pas ou n'avons
d leurs parents ont été frappés soit d'apo- plexie soit d'une autre
affection
cérébrale grave. Je crois qu'il y a lieu de son
s, enfin lorsqu'on a noté soit des attaques d'apo- plexie, soit des
affections
convulsives chez les grands parents et les frèr
es; elle en a réveillé le germe. Chez deux paralytiques généraux, l'
affection
mentale paraissait avoir été produite par l'inf
nce d'hallucinations de l'odorat. Il était évidemment atteint d'une
affection
catarrhale de l'espace nasopharyngien, mais il
, dans certains cas, comme le précédent, servir au diagnostic d'une
affection
coexistante, telle que les formes frustes de la
........ 1 fr. 35 ED1VARDS (B.-A.). - De l'hémiplégie dans quelques
affections
nerveuses (ataxie locomolrice progressive, sclé
oumis aux variations indivi- duelles que ceux qui appartiennent aux
affections
ner- veuses organiques. La connaissance de ce
stic diffère essentiellement de celui que comportent la plupart des
affections
organiques, et dans laquelle on peut bien souve
e l'attaque hystérique et le mu- tisme, la disparition brusque de l'
affection
, sont les raisons qu'on peut faire valoir pour
arguments qu'on invoque tour à tour, quand on veut établir qu'une
affection
relève de l'hystérie. On peut les ran- ger en c
aux suivant qu'ils se rap- portent 1° à l'aspect symptomatique de l'
affection
dont on s'occupe; 2° à son évolution; 3° à son
quer qu'on peut être hystérique et être atteint en même temps d'une
affection
nerveuse indé- DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYST
UE. 313 pendante de l'hystérie, comme on peut aussi présenter une
affection
hystérique sans avoir aucun des stig- mates de
erveux qui se manifestent sous forme d'accès. 2° L'évolution de l'
affection
peut fournir des argu- ments précieux. a) Le
à démontrer que l'hystérie est en cause; c'est là une erreur ; les
affections
hystériques se déve- 1 Voir Gilles de la Touret
et la brusquerie dans le début appartiendrait plutôt à quel- ques
affections
organiques du système nerveux. b) Le mode de te
dans ce cas, à présenter un aspect sympto- matique qui rappellera l'
affection
en question, soit grâce à la faculté d'imitatio
lus récemment M. Blocq' ont rapporté des faits du même genre. Cette
affection
peut aussi entrer en combinaison avec le tabes
comme il habite Paris, il aurait vraisemblablement reparu, si son
affection
s'était renouvelée. Observation II. - Jeune fil
ies dans l'enfance, mais aucune manifestation névropatliique. - L'
affection
dont elle souffre actuellement remonte- à trois m
observer que le bromure a exercé une influence favorable sur celle
affection
, tandis que, le plus souvent, les manifestation
commune l'hémiopie est si fréquente que Mauthner a désigné cette
affection
sous la dénomination de sco- tome scintillant h
ondante dans sa fonction. Or, il se trouve jus- tement que dans les
affections
où il s'agit d'actions destructives, nous n'avo
ande valeur pour le diagnostic différentiel des troubles liés aux
affections
rétiniennes, - diagnostic souvent assez dif- fl
as d'intoxication alcoolique, chez les ataxiques et dans d'autres
affections
cérébrales de cause organique; 2° Ceux dans les
me on pouvait le croire au premier abord, nous sommes en face d'une
affection
de pronostic moins grave, nous dirons presque m
ômes. On verra par exemple que, quoique les lésions qui causent une
affection
du membre supérieur soient groupées principalem
inite est l'effet non de l'augmentation de tension produite par une
affection
réduisant le volume de l'espace intra- cranien,
ination en particulier, quand ils ont leur point de départ dans une
affection
oculaire, dépendent géuéf aloment d'une lésion
n'est pas d'emblée suffisant pour affirmer l'incapacité; 3° que les
affections
organiques du cerveau provoquent un affaiblisseme
mporal gauche; puis, diffusion du foyer; ramollissement- embolique,
affection
organique du coeur. Pas d'autopsie. Observation
SENTRAL. (Centralbl. f. Nervenheilk, 1889.) Comme dans les autres
affections
en foyer, l'altération de l'in- sulat de la pre
'usage de la morphine, puis le reprend à la suite de céphalalgie. L'
affection
actuelle débute le 23 janvier 1890 par des doul
tenu quelque temps au con- tact de leur corps; Vandevoir y voyait l'
affection
dont ils souffraient et prescrivait un remède a
our une bronchite ; un abcès pelvien pour de l'al- bumie (sic); une
affection
cardiaque pour une eau sur les nerfs; une épile
ection cardiaque pour une eau sur les nerfs; une épilepsie pour une
affection
de la lurette (sic). Les experts lui présentère
e d'être une maison hospitalière où les aliénés sont traités avec l'
affection
et les égards que mérite leur sort,pour devenir
........... 1 fr. 35 EDWAHDS (B.-A.). De l'hémiplégie dans quelques
affections
nerveuses (atnxie locomotrice progressive, sclé
es attributs de la scrofule, et cependant il est atteint d'une de ces
affections
qu'on regarde généralement comme carac¬térisées p
arti¬culation, que des moyens médicamenteux employés pour combattre l'
affection
. On trouve, en effet, autour du moignon scapula
ument être débarrassé de sa maladie. Il s'agit de savoir au juste l'
affection
dont il est atteint pour y porter remède, et c'es
ière fusée n'établirait pas positivement que nous avons affaire à une
affection
articulaire. Effectivement, comme je l'ai dit, el
de, que l'articulation l'est elle-même. J'arrive au diagnostic de l'
affection
elle-même. C'est une affection articulaire, mais
le-même. J'arrive au diagnostic de l'affection elle-même. C'est une
affection
articulaire, mais il faut savoir si elle porte pl
vité glénoïde. Il s'agit maintenant d'établir le pronostic de cette
affection
. Ce n'est pas tout d'avoir étudié le diagnostic,
J'entrevois une seule possibilité de guérison, ce serait le cas où l'
affection
serait de nature syphilitique. Peut-être alors, p
ez combien les malades qui vivent dans les hôpitaux sont sujets à ces
affections
générales qui entraînent quelquefois la mort. V
ariés du rhumatisme ont été considérés par quelques auteurs comme des
affections
différentes. M. Charcot ne voit là que les formes
a valvule mitrale, de dépôts fibrineux polypiformes. Durant la vie, l'
affection
cardiaque n'a donné lieu à aucun phénomène physiq
; de telle sorte qu'un chirurgien ayant à statuer sur la nature d'une
affection
développée dans un point de l'économie, trouve da
obuste, ce malade dit se bien por¬ter d'ordinaire; il n'a jamais eu d'
affections
syphilitiques. 11 y a environ huit ans, apparut
l'écriture, de la signa¬ture, etc., des sujets atteints de certaines
affections
nerveuses, ou d'un aliéné dans les cas d'interdic
l'eczéma et du lichen les trois stades principaux d'une seule et même
affection
. Tantôt l'apparition de la première de ces lésion
à la production et au développement de cet érythème ; le siège de l'
affection
au voisinage des parties génitales sollicite d'un
e sorte de traitement l'eczéma invétéré des parties génitales : cette
affection
procède par poussées, et, dans ses recrudescences
iver immédiatement à certaines for¬mes rares que peut présenter celte
affection
: nous voulons parler de l'aphasie provenant de l
as borné à cette simple constatation, que, dans les cas précédents, l'
affection
cérébrale avait une origine syphili¬tique, et que
psie et que par suite il ne peut guère discuter sur l'existence d'une
affection
syphilitique du cerveau. Cependant avouons que, a
orons pas que l'apha¬sie varie singulièrement selon les causes ou les
affections
qui lui donnent naissance ; mais est-il nécessair
ance pour voir survenir l'état fongueux1. Voilà pour la nature de l'
affection
; indiquons maintenant quel en est le siège précis
rmer en synovite fongueuse lorsqu'elles sont négligemment traitées. L'
affection
qui nous occupe pourrait en effet être appelée hy
aines de séjour à l'hôpital, cette femme suc¬comba aux progrès de son
affection
hépatique ; voici les résultats fournis par son a
Brinton a raconté lui-même comment il avait été conduit à faire des
affections
gastriques une étude approfondie. " La perte d'un
usement l'insuf¬fisance et le vague de nos connaissances en matière d'
affections
abdo¬minales. Son idée fut de détacher de la mass
é malade environ trois ans, si l'on ad¬met, ce qui est douteux, que l'
affection
n'existait pas auparavant. En l'absence de détail
as moins de huit leçons; c'est dire que rien de ce qui concerne cette
affection
n'est oublié. Nous ne saurions nous en plaindre.
surdités qui ne pouvaient être attribuées ni à une otorrhée, ni à une
affection
quelconque du conduit auditif externe. Deux leç
Leçons sur le traitement des maladies chroniques en général et des
affections
de la peau en particulier, par l'emploi des eaux
traité des maladies, ou, pour parler le langage du professeur, des
affections
de la peau. On trouve dans chacune des parties qu
cliniques d'un grand prix, des aperçus originaux. Les leçons sur les
affections
génériques delà peau (1862, 1865), sur les affect
leçons sur les affections génériques delà peau (1862, 1865), sur les
affections
parasitaires (1862, 2e édition), sur les affectio
2, 1865), sur les affections parasitaires (1862, 2e édition), sur les
affections
artifi¬cielles et les "difformités de la peau (18
ux ans sont à peine écoulés depuis l'apparition de ses leçons sur les
affections
cutanées de nature arthritique et dartreuse, que
om¬pléter son œuvre, livre au public ses Leçons sur le traitement des
affections
de la peau par l'emploi des eaux minérales, de l'
ors il n'était plus nécessaire de faire suivre aux malades atteints d'
affections
parasitaires un traitement interne, soit dans les
dans les hôpitaux, soit aux eaux minérales. M. Bazin fait rentrer les
affections
cutanées se rattachant aux maladies constitutionn
fournie par la lésion, mais aussi et surtout combattre la nature de l'
affection
. En présence d'une dermatose, il s'agira de savoi
le est interne, elle sera aiguë ou chronique. Enfin, dans le cas où l'
affection
est chronique, on aura à la placer dans l'une d
tre, bien au-dessus de la méthode de Priesnilz lorsqu'il s'agit d'une
affection
cutanée de cause interne, tout en reconnaissant,
¬lamment appliquée par M. le docteur L. Fleury dans un grand nombre d'
affections
sur lesquelles les agents les plus actifs ont peu
es maladies : — hydrothérapie ; — traitement des maladies et de leurs
affections
: hydrologie ; — traitement des cachexies, surtou
x sulfureuses. C'est que précisément les leçons sur le traitement des
affections
de la peau ont pour but, sinon de détruire, au mo
a été écrit et montrer que l'auteur distingue dans le traitement des
affections
chroniques de la peau le spécifique et le traitem
aux minérales dont on n'obtient aucun succès dans le traitement d'une
affection
, la guériront ou au moins la mo¬difieront dans d'
lera et écrira beaucoup encore sur la pathologie et le traitement des
affections
de la peau avant de s'entendre. Reconnaissons néa
traumatiques ou spontanées des nerfs : a. éruptions cutanées, (zona,
affections
eczémateuses, pemphigoides, érythème pernio, peau
trophiques dus aux maladies de la moelle épinière et du cerveau : a.
affections
cutanées (éruptions pustuleuses ou lichenoides pu
examen clinique, don¬nées à peu près négatives en ce qui concerne une
affection
rénale, 1 La température prise comparativement
ant, dans de telles circonstances, on a pu reconnaître la nature de l'
affection
, ainsi que le prouve une observation rapportée pa
sur l'existence de ces deux derniers phénomènes, on diagnostiqua une
affection
cal-culeusedu rein. A l'autopsie, on trouva cet o
geur, quoique exagérée, indique cepen¬dant qu'en Egypte le nombre des
affections
oculaires est considé¬rable. L'ophlhalmie est en
'Egypte et nous en a laissé une bonne description : il attribue cette
affection
à la poussière nitreuse qui irrite continuellemen
e de l'expédition française, Larrey et Desge-nettes observèrent cette
affection
. La chaleur brûlante du jour, la réfraction des r
aucune ne le satisfait pleinement et il ter¬mine en disant que cette
affection
doit reconnaître pour point de départ des conditi
'ophthalmie égyptienne. Pendant quatre mois, nous avons observé cette
affection
sur les bords du Nil : nous en avons étudié la ma
nt là des causes banales qui sont invoquées pour expliquer toutes les
affections
des pays tro¬picaux. Quant à l'opinion qui a été
cher ailleurs les conditions qui président au dé¬veloppement de cette
affection
. Ces conditions ne sont ni météoro¬logiques, ni c
, et qu'elle s'est propagée depuis leur retour. Pour Mackensie, cette
affection
peut être le résultat de vi¬cissitudes atmosphéri
ois ; dans la seconde, les métrorrhagies survenant, dès le début de l'
affection
, dans certaines pyrexies (cette cause n'est menti
ital Saint-Louis, il a soigné un certain nombre de malades atteints d'
affections
nerveuses de nature et d'origine diverses. Ainsi
courants continus sont plus efficaces dans le traite¬ment de quelques
affections
, telles que l'atrophie musculaire pro¬gressive et
lottant dans l'air, sont capables à eux seuls de faire naître la même
affection
dans les yeux des autres personnes. Dans ces cas,
es lois que l'hygiène prescrit pour se préserver de cette re¬doutable
affection
, nous trouvons un nouvel argument en faveur de l'
— Leçons sur le traitement des mala¬dies chroniques en général et des
affections
de la peau en particu¬lier, etc., par E. Bazin (a
er dans ses moindres ma- nifestations et à la distinguer des autres
affections
cérébrales. Cette étude est bien faite partout;
ns la syphilis des artères cérébrales comme dans presque toutes les
affections
encéphaliques, il y a un mélange de phénomènes
e. Aucune cause d'intoxication. Pas de surme- nage. Histoire de l'
affection
actuelle. Il y a un an, subitement, sans prodro
ellement survenues dans la moelle épinière ». Pour ces auteurs, les
affections
de la peau qu'on observe sont « en raison même
1 Mougeot. - Rech. sur quelques troubles de nutrition consécut. aux
affections
des nerfs (Thèse de Paris, 1867). 2 Artiozon. -
adie connue sous le nom d'ostéo-périostite alvéolo- dentaire. Cette
affection
est produite par un ou plusieurs parasites. Si
le pemphigus, le zona, les bulles, les vésicules, etc., tantôt des
affections
chroniques : ichthyose, alopécie, etc. Troubles
ysie générale a marché il grands pas : six mois après le début de l'
affection
, l'affaiblissement intellectuel et physique éta
troubles trophiques de toutes sortes, par la nature même de leur
affection
. La malpropreté ne fait qu'accroître cette tendan
'ordinaire dans les cas avancés de tabes, et manquant au début de l'
affection
, tandis que l'hypotonie a l'air de croître avec l
ce. P. KERAVAL. V. Du PHÉNOMÈNE ROTULIEN COMME SIGNE DIAGNOSTIQUE D'
AFFECTIONS
NERVEUSES ET D'AUTRES MANIFESTATIONS DU MÊME GE
, la sclérose latérale amyotro- phique, la sclérose en plaques, les
affections
cérébrales et spinales en foyer, toutes les foi
le clonus podalique, avec ou sans ce dernier, quelquefois dans des
affections
fonctionnelles avec hyperexcitabilité réflexe (hy
és d'une forte exagération des réflexes tendineux l'existence d'une
affection
organique du système nerveux central, car, d'or
uches. , Cela ne veut pas dire que ces anomalies prédisposent à e
affection
du système nerveux; pour décider de la question i
aravant, dans le jeune âge, présenté de symplômes qui dénotassent d'
affection
nerveuse. Point à noter, ce génie de préparatio
le. rôle de neurophages. Il existe aussi, dans la plupart des cas d'
affections
primitives des centres nerveux, des lésions vascu
des nerfs a démontré qu'il s'agissait d'un cas d'atrophie numérique
affection
caractérisée par le seul défaut du nombre des é
mer l'opinion que les mo- difications des cellules nerveuses dans l'
affection
en question, mal- gré leur profondeur, sont cap
ns-le-Saunier, 1896. Imprimerie L. Declume. Gerest (J.-1L). - Les
affections
nerveuses systématiques el la théorie des neuro
e sont un peu hypertrophiés et ses cheveux tombent. Histoire de l'
affection
actuelle. Juillet 1893. Etourdissement, brouill
atations des cliniciens qui montraient qu'on trouvait soit dans les
affections
céré- brales, soit en dehors d'elles, tous les
t ni lire, ni écrire, n'a jamais appris aucun métier. Histoire de l'
affection
actuelle. Elle aurait débuté il y a un mois par
né comme tel, la soi-disant paralysie générale proprement dite, une
affection
surtout d'origine spécifique, d'origine syphili
mais ils arrivent peu à peu à indiquer aussi que cette soi- disant
affection
progressive peut être interrompue dans sa march
ogique de considérer l'anasarque, phase ultime com- mune à diverses
affections
organiques, comme une entité morbide. A-t-on ja
nification très incomplète puisque l'ascite peut être conséquence d'
affections
cardiaques, de cancer du foie, etc. Cette faç
es générales alcooliques et saturnines devaient être restituées aux
affections
d'origine toxique dont elles ne sont que phases
rès l'ensemble symptomatique de la paralysie générale. C'est là une
affection
dont la nature n'offre aucun doute et dont on p
comme un nouvel argument en faveur de la nature similaire des deux
affections
. (The alienist and î2ezii,ologist, jan- vier 18
. aned. OUT7t., 25 septembre 1897.) L'auteur ne considère pas les
affections
pelviennes comme une cause directe de la folie
âge, le climat, etc. Mais les chirurgiens spé- cialistes ont vu des
affections
pelviennes chez presque foutes les malades et e
tions à tort et à raison. D'abord les statistiques montrent que ces
affections
ne sont pas plus fréquentes chez les aliénées q
et fait les opérations nécessaires. Sur 100 femmes ' 93 avaient des
affections
pelviennes et 69 avaient besoin d'une opération
s soit 17 p. 100, l'état menlal fut amélioré 10 de laparotomie pour
affections
de l'ovaire ou des annexes don- nèrent 6 guéris
t passé l'état de fait acquis. , A. V. XX. Relation étiologique des
affections
PI·.L\IIsNNIs3 des femmes sur leur folie; par G
ut les désordres des organes pelviens. La question de savoir si ces
affections
sont plus fréquentes chez les aliénées que chez
Il faut noter, en outre, que les malades qui sont atteints de cette
affection
ne portent aucune trace appréciable de dégénéresc
son. (The Journal of Mental Science, janvier 1897.) On sait que l'
affection
mentale qui est presque exclusivement annexée a
148 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. l'opinion généralement adoptée, l'
affection
mentale n'a nullement revêtu la forme de la par
'aliénation mentale, un retour régressif à des formes inférieures d'
affections
cérébrales, une déchéance progressive morale et
° Des symptômes occasionnels. Ce sont des altérations orga- niques (
affections
thoraciques, abdominales, neuro-somatiques) ou
'expression c confusion mentale primitive idiopathique. désigne une
affection
ordinairement aiguë, consécutive à l'action d'une
marquées de l'état émotionnel n. A propos de l'étiologie de cette
affection
, M. Séglas discute la valeur de l'hypothèse d'a
de la paralysie générale ; en effet, il est rare que cette dernière
affection
se greffe sur des névroses essentielles. Il s'a
(Bull. de la Soc. de med. mentale de Belgique, septembre 1897.) L'
affection
que M. Francotte désigne sous le nom de délire gé
antécédents syphilitiques et les conditions du traitement de cette
affection
jouent un rôle dans l'étiologie du tabès. Dans
nt insuffisant ou tardif de la syphilis pré- ~dispose, ainsi qu'aux
affections
syphilitiques directes du système nerveux, auss
x affections syphilitiques directes du système nerveux, aussi à des
affections
post ou parasyphilitiques comme le tabes. Quant
moelle épinière. Il s'agit d'une fillette de quatorze ans, dont l'
affection
débuta en octobre 1895 par des douleurs légères
ls que l'ichthyose, l'alopécie, les troubles des ongles, toutes des
affections
consécutives à, « une modification du système n
- nences thénars sont envahies d'abord ; mais il a vu un cas où l'
affection
a commencé par une atrophie considérable de la
rale, et constitue un des principaux troubles trophiques de cette
affection
. CHAPITRE V Les troubles trophiques généraux.
durant nos examens. En présenteront-ils plus tard. au cours de leur
affection
? peut-être. D'ailleurs nous les avons étudiés
tribuer à expliquer la déchéance générale de l'organisme dans cette
affection
. J. SÉGLAS. XL. Un phénomène important observé
est probable que, si on les cherche, on les trouvera dans d'autres
affections
mentales. On rencontre à l'état de liberté dans
e cyclone qui ai dévasté la ville de Saint-Louis a eu son cortège d'
affections
névro- pathiques. A côté de divers troubles m
de l'acromégalie chez les enfants, l'auteur relate un cas de cette
affection
qu'il a observé chez un nègre âgé- de quatorze
rante-sept ans, atteinte de fmxoedème depuis dix à douze ans. Cette
affection
semble avoir été provoquée par le surmenage (alla
é l'interruption du traitement. A. FENAYRou. VII. DU DIAGNOSTIC DES
AFFECTIONS
ORGANIQUES OU FONCTIONNELLES DU système nerveux
s, hystérie entre autres, qu'en réalité étaient la phase initiale d'
affections
organiques des plus manifestes, puis après exem
points de ressemblance indiquent une étroite parenté entre ces deux
affections
, mais des caractères importants permettent de l
tômes d'une myélite subaiguë dorso- lombaire. Cliniquement, cette
affection
s'est écartée du type du genre décrit par Raymo
M. Sommer a appliqué ce schéma à une série d'individus atteints d'
affections
différentes (imbécillité, épilepsie, etc.) et a n
e se déclare à la suite d'un traumatisme crânien, ou au cours d'une
affection
cérébrale telle qu'une tumeur, le diagnostic peut
trouble cérébral. On sait que l'hystérie se combine avec toutes les
affections
cérébrales, et plus spécialement avec les affec
vec toutes les affections cérébrales, et plus spécialement avec les
affections
cérébro-spinales. Du reste, conclut l'auteur, p
u'elles guérissent, soit qu'elles ne soient nul- lement signe d'une
affection
mortelle. On peut établir trois types principau
paralysie ascendante aiguë, les auteurs rapportent un cas de cette
affection
qu'ils ont observé. Il s'agit d'une femme de
Sans vouloir préciser la place dans un cadre nosologique de cette
affection
dont la vérification anatomique manque, les auteu
re une forme de transition entre l'béréduataxie cérébelleuse et les
affections
décrites sous le nom de sclérose en plaques ou
rfont l'attention sur les amnésies spéciales qui accompagnent cette
affection
et qui sont presque pathognomo- niques. Ces tro
re est affaiblie, il existe des pseudo- réminiscences, tandis que l'
affection
des troncs périphériques ne se traduit que par
e. 262 BIBLIOGRAPHIE. 3. De la gynécologie conservatrice dans les
affections
inflammatoires pelviennes; par Georges DrzoN.
luence sur.les facultés mentales de l'ablation des organes dans les
affections
pelviennes, qui s'y trouve incidemment étudiée.
ts que l'on peut retirer de 1'usaze de la bicyclette dans certaines
affections
du système ner- veux. Mais si le cyclisme possè
ettre au moins chaque soir. Son amie, qui paraissait lui rendre son
affection
, lui écrivait très rarement, et dans quelques l
ans; elle avait une soeur jumelle morte l'année suivante de la même
affection
. Un oncle paternel est d'une santé parfaite à soi
on mari pour lequel à défaut d'amour elle avait de l'estime et de l'
affection
, finit par triompher de ses répugnances physiqu
nératrice, elle s'accuse d'avoir, malgré ses soins, mal répondu à l'
affection
de son mari et elle conclut qu'elle aurait fait
la, d'une grande sobriété. Il n'a jamais eu d'autre maladie que'son
affection
ultime qui a duré cinq mois. Il était sanguin,
ajorité des cas se présentent entre vingt-cinq et quarante ans et l'
affection
est huit fois plus fréquente chez l'homme que che
neurasthénie, les théo- ries les plus plausibles considèrent cette
affection
comme la résul- tante d'une condition toxique d
èrement compliqué quand la neurasthénie est accompagnée d'une autre
affection
, organique ou fonctionnelle. Le traitement cons
e D1' DcRCUM. Trop souvent la neurasthénie est considérée comme une
affection
vague, composée de facteurs pathologiques varié
s symptômes nerveux associés à l'anémie, à la chlorose, à certaines
affections
des organes pel- viens ou de l'estomac : ces sy
e la neurasthénie vraie, essentielle. La neurasthénie n'est pas une
affection
vague et mal définie, comme tendrait à le faire
dans ce cas, une topoalgie névropathique. E. B. XLII. Quatre cas d'
affection
cérébelleuse A rapprocher DE l'ataxie cérébelle
e ans, débilité mentale, trois pneumonies antérieures au début de l'
affection
. Névrite optique. Elocution scandée, explosive
iéré; diphtérie et scarlatine à cinq ans ayant marqué le début de l'
affection
. Démarche titubante, vertiges, steppa2e ; visio
s DE la sensibilité au point DE vue spécial DE la douleur dans. les
affections
viscérales; par Il. IIEAD. (B7·(1L72, part. LXX
Dans cette observation, intéressante à cause de la rareté de cette
affection
dans l'enfance et surtout à cause de l'existence
et plus délicat. Il y à d'ailleurs une relation manifeste entre les
affections
somatiques et la névrose. Il y a l'hé- rédité d
, de même elle l'ouvre à l'hérédité nerveuse et dans celle-ci à des
affections
encore spécialisées. C'est amsi que cer- taines
de l'alternance d'une génération à l'autre, d'une névrose et d'une
affection
diathésique montrent encore l'indissoluble soli-
même temps quelqu'un des autres symptômes plus importants de ces
affections
. La fréquence à peu près la même dans le tabès et
lie ne datant que de six mois, il est permis de voir entre les deux
affections
des rapports de cause à effet. (American iourna
et mélancolie) ; 2° la folie pério- dique; 3° le délire généralisé,
affection
qui correspond jusqu'à un certain point à la co
e s'exprime dans la conscience par une sensation, ou plutôt par une
affection
permanente vaguement localisée dans tous les po
s tant attention que lorsqu'ils cessent, ce qui est le cas dans les
affections
menta- les qui nous occupent. La communication
ifférents à tout, ils prétendent qu'ils n'ont plus de coeur, plus d'
affection
pour leurs parents et amis, ni même pour leurs
par Esquirol 2, distingue déjà les manifes- tations délirantes de l'
affection
mélancolique proprement dite, le délire et les
dite, le délire et les impulsions étant, selon lui, secondaires à l'
affection
mélancolique. Leuret 3 regarde la perturba- tio
us de dix ans. Sa première admission date de l'année 1886, mais son
affection
remonte à l'année 1882. C'est à partir de cette
tous les procédés de traitement ont com- plètement échoué contre l'
affection
. Il n'y a pas lieu de s'attarder à décrire les
qu'une partie du système nerveux et chez des sujets humains morts d'
affections
aiguës ou infectieuses, et qu'ils n'avaient ten
toute pièce pour les besoins de la cause qu'elles défendent. Cette
affection
, qui est beaucoup moins rare qu'on ne le croyait
istian croit que, puisqu'il y a identité de` lésions entre les deux
affections
, le traitement spécifique devrait être efficace
mbre 1897. î. Sous le titre de goitre exophtalmique, on a rangé des
affections
d'origine diverse ; mais quelle que soit la cau
re primitive, caractérisant la forme essentielle, idiopathique de l'
affection
. Dans la majorité des cas on peut admettre, en
York), survenue le 19 février dernier, à la suite d'une douloureuse
affection
chronique du foie, dont il sui- vait la marche,
termittentes. Il est un peu suspect d'alcoolisme (vin, absinthe).
Affection
actuelle. Les premiers symptômes se sont montrés
dire de Plater, on reconnaît qu'un aliéné est affecté de ce genre d'
affection
lorsqu'il reste pendant des intervalles plus ou
s, ou bien lorsqu'ils étaient L encore en proie à la plus poignante
affection
2. Au xv° siècle, les grandes épidémies de lyca
reuses déceptions auxquelles les interventions opératoires dans les
affections
cérébrales, et notamment dans l'épi- lepsie, on
ningite spinale syphilitique, évoluant isolément en dehors de toute
affection
médullaire. Beaucoup d'auteurs affir- ment même
moins la scène des accidents médullaires. Cliniquement, c'est une
affection
apyrélique qui présente une évolution spéciale.
opique de Char- cot et Joffroy. Elle est souvent confondue avec les
affections
rhu- matismales ou simule une névrose : d'où le
l'étiologie d'une maladie doit expliquer toutes les formes de cette
affection
: l'hérédité pure, le surmenage, l'alcoolisme p
le au début, et confirme encore l'étiologie syphili- tique de cette
affection
. Dr F. DLIVAY. XVJ. Thèses de la Faculté de méd
inédites. De cette étude il résulte que l'on peut conférer à cette
affection
une certaine individualité clinique. La symptomat
être très utile à certains aliénés indigents, convalescents de leur
affection
psychique, pour qui le retour hâtif dans la fam
ixes dès - dans le tétanos, par Cliantemesse et Mari- nesco, 483.
Affection
- à rappro- cher de t'ataxie, par Spiller, 315.
. Etude sur la lucidité et la - par J. Dumaz, 499. Diagnostic des
affections
du sys- tème nerveux, par Bury, 266. Douleur.
médecine, parMeige, 426. Pelviennes. Relations étiologiques des
affections
chez les femmes sur leur folie, par Robe, 144.
ls habitent la Pologne; on ne sait si leurs enfants sont atteints d'
affections
nerveuses. 4 soetti,,q : 1 45 ans, 7 enfants vi
'interpré- tations. Pour les uns, la folie dépend uniquement de l'
affection
goitreuse ; il y a entre l'une et l'autre une r
x observations dans les quelles les troubles psychiques précèdent l'
affection
goi- lreuse.La seconde implique la coexistence
a mala- die, à son évolution et à ses symptômes, a) Le début de l'
affection
est exclusivement psychique : les troubles psy-
erturbation somatique d'origine thyroï- dienne. b) L'évolution de l'
affection
ne présente aucune synergie ontre le syndrome b
r la précédente, il serait abusif d'in- voquer l'intervention d'une
affection
parasite. Par contre, un examen attentif révèle
dre autonome de la neuro- logie ou de la psychiatrie. Sans doute, l'
affection
goi- treuse, comme source toxique.doit être cap
rches de laboratoire et rompus aux diffi- cultés de la pratique des
affections
mentales. -Le Ministre de l'Inférieur, signé :
e. du pronostic et des ictus apoplectiques, épileptiqucs de cette
affection
. G. DENY. Il. Sur la présence d'un réseau spéci
sie générale est une deutéropa- thie syphilitique, c'est-à-dire une
affection
provoquée chez un sujet prédisposé par des néop
e maladie de Bayle, devenir syphi- litiques. Quant à la rareté de l'
affection
en Afrique ou en Asie, l'absence de la civilisa
syphilitique qui veut procréer quel que soit l'ancien- neté de son
affection
, car un enfant bien portant n'est pas un signe
che aiguë et l'issue mortelle d'une psychose, tout comme celles des
affections
somatiques, dépendent à la fois de l'intensité
cile entre le delirium tremens et l'hallucinose alcoolique. Cette
affection
s'observe habituellement chez des sujets qui ont
érieure 54 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. sous la dépendance de l'
affection
, dont les principaux symp- tômes apparaissent p
sonne sobre dit à l'auteur, sous l'empire d'un bon souvenir, qu'une
affection
spasmodique de cette nature, et dont elle souff
ité réapparaisse de nouveau. Ces récidives s'observent à la suite d'
affections
diverses, au cours de la neurasthénie, à la sui
st excellente, et contribuera à faire mieux connaître en France une
affection
dont l'intérêt est capital au point de vue du d
e sur l'éclosion des hallucinations auditives et de la folie. Ces
affections
auriculaires sont des lésions banales de l'oreill
rne), de l'oreille moyenne (otites simples, puru- lentes ou sèches,
affections
de la trompe, de la caisse, de l'apophyse masto
, de l'action combinée de ces deux mécanismes. Ils empruntent à l'
affection
génératrice un certain nom- bre de caractères q
récemment un malade atteint de la maladie de Thomsen : comme cette
affection
est assez rare, j'ai cru utile de présenter ici
psychiques que divers auteurs ont observé concurrem- ment avec l'
affection
fondamentale. 3° Dans le cas actuel, la myotoni
itaires au point de vue nerveux. Le père serait mQrt à 24 ans d'une
affection
cardiaque. Le malade nie la syphilis. Comme sig
que depuis l'âge de 28 ans idécédé à 42 ans). Sa mère était morte d'
affection
du coeur. Il avait 4 enfants bien portants (de
ie. Voici, d'après la thèse de Gasoul, la proportion des diverses
affections
nerveuses compliquées de mal per- forant : Nomb
le 17 ; Alcoolisme 8 ; traumatisme4. Les autres coïncident avec des
affections
diverses (diabètes .surtout.) C'est M. Christia
avoriserait les ré- missions de la maladie. , Outre l'action de l'
affection
elle-même, le rôle des indications dans la genè
.. 1.- Des mouvements de compensation ou de remplacement dans les
affections
cérébrales, par W. M. de BECHTEREW, (0&o :
. P. KERAVAL. XV. Pseudomélie paresthésique symptomatique d'une
affection
cérébrale dans le territoire du noyau lenticu-
le ; parl : ATOL.1. (llevucde Médecine, nu d'octobre 1904.) Cette
affection
, isolée pal')1. Pierre Marie en 1901, a été étudi
l'excitabilité réflexe générale est plus grande : elle relève p des
affections
nerveuses fonctionnelles. Dans certaines affect
relève p des affections nerveuses fonctionnelles. Dans certaines
affections
organiques, le heurt du la même ré- gion dorsal
eil ; alors le réflexe de 13ahinski existe (hémiplégies organiques,
affections
protubérantielles, myélites, sclérose en plaque
ie hystérique. La flexion plantaire des orteils décèle sûrement une
affection
organique : par contre, la flexion dorsale n'él
exe de Babinski, conslituerun signe diagnostique important pour les
affections
organiques des voies pyramidales ; elle peut, a
e du réflexe de Babinski. Enfin il y a toute une catégorie de cas d'
affection
organique (avec ou sans le réflenede Babinski),
rgoulés. (7cu. de médecine, numéro d'oc- et novembre 1904.) Celte
affection
a été décrite en 1887 par Wagner, qui la considé-
inique médicale du prof. Bernheim, de Xancy. Sous l'influence d'une
affection
cardiaque parvenue il sa période ultime, une ma
s malades ont leurs hons ut leurs mauvais jours, ce qui distingue l'
affection
delà chorée chronique. 3 observations à l'ap- p
s accusée apparaissant vers l'Age de 6 à 7 ans souvent à la suite d'
affections
fébriles, qui augmente pendant un certain temps
ACQUISE PAR ÉPUISE- MENT ou compensation et des rapports (le cette
affection
avec les maladies organiques du cerveau et de l
rganiques du cerveau et de la moelle. P. KERAVAL \\ ? D'une forme d'
affection
nerveuse présentant les si- gnes extérieurs de
ère de M. Séglas, concerne une dame âgée de 31 ans. Le début de son
affection
remonte à son premier accouchement qui eut lieu
r au tabès, n'est accompagnée d'aucun des signes essentiels à cette
affection
. (le la malade dans le service, l'agitation mot
quitte la clinique le lendemain, dans un état de calme relatif : l'
affection
nerveuse a repris les caractères et la marche q
e son- ger à la chorée vulgaire de Sydenham, malgré le début de l'
affection
dans le jeune Age de la malade : c'est, d'une p
quents que dans le reste du corps. La forme clinique affectée par l'
affection
choréique de notre malade diffère absolument de
celle-ci et quelles modifications elle était capable d'imprimer aux
affections
préexistantes. De l'ob- servation on peut dédui
ier qui a prévalu. De là, l'association, chez notre malade, de deux
affections
essentiellement convulsives : épilepsie et chor
une femme mal équilibrée, dépensière et qui ne lui porté que peu d'
affection
. A la fête d'un commerce d'horlogerie à Rodez,
s d'oedème qui peuvent être c i-idérées comme des degrés d'une même
affection
, car elles surviennent chez les individus de mê
uction d'oedèmes circonscrits, pas- sagers ou persistants, dans les
affections
de l'axe cérébro-spinal. Et à ce propos, l'aute
ont amené cet auteur à considérer la para- lysie générale comme une
affection
parasyphilitique. Puis il rapporte un certain n
à une autre cause. 3° La syphilis peut constituer à elle seule l'
affection
causale de la paralysie générale, mais elle peu
l peut être mo- difié : exagéré, diminué ou aboli. Dans certaines
affections
nerveuses, le réflexe peut être un signe différ
mentale. Florence, avril 190, t. X., fas. 4.) Dans un cas de celle
affection
, l'auteur utilisa sur les pièces nécropsiques l
e. En terminant, l'auteur attribue les symptômes cliniques de cette
affection
aux lésions diffuses que l'on trouve disséminée
sme articulaire aigu il y a trois ans. Pas de syphilis acquise. L'
affection
actuelle a débuté il y six uns ;ulle esL'swlionil
ltés pratiques où l'on sc trouve habiluelleinunl pour étudier celle
affection
. Puis il ap- porte un certain nombre de cas, qu
ût 190b, vol. X, fase. 8.) Les auteurs rapportent deux cas de cette
affection
, et donnent l'examen anthropologique, physiolog
( que le diagnostic, différentiel d'avec un grand nombre d'autres
affections
nerveuses est pour ainsi dire impossible et qu'il
Ils ne le croient pas. Ils pensent plutôt que sous l'action de l'
affection
intercurrente, de la lièvre qui l'accompagne, il
il cas, le périnée remonte haut et atteint les plateaux du tibia.
Affection
familiale congénitale. MM. Ballet et L'AGUET. -
'aux formes complexes ou trustés se confondant à la limile avec des
affections
voisines comme as- lu : cl. Dus observations pr
ieux avec asphyxie, l'étiologie ne permet pas de différen- cier tes
affections
spasmo-paraly tiques un des espèces morbides di
ir que rendent bien douloureux des liens d'amitié et de fraternelle
affection
qui n'ont fait que se resserrer de jour en jour
ceux qui l'ont connu, entouré par tous ses anciens camarades d'une
affection
fraternelle qui ne s'étein- dra pas au bord de
as bien comprendre ce qui se dit autour de lui, mais encore par son
affection
chronique des yeux. Il 25G THÉRAPEUTIQUE PEDA
ande si, étant donnés des traumatismes plus ou moins anciens, une
affection
cérébrale déterminée quelconque (folie, dé- men
cial, dans leur symptomalogie. Elle peut en effet se rattacher, aux
affections
organiques dé- mence par lésions diffuses (P. G
sions diffuses (P. G.) ou localisées avec ou sans épilepsie, ou aux
affections
psychiques autres (déli- res plus ou moins syst
rhumatismes graves en rapport avec sa profession. Père mort d'une
affection
médullaire ; mère démente ayant été internée ;
ans, stucateur. Entré paralytique générale, le ? si décembre 1901.
Affection
confir- mée par l'autopsie du 28 janvier 1902.
hydrocarbures, virus, pous- sières, air comprimé, ankylostomiase et
affections
contagieuses.) FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDEN
HOLOGIE NERVEUSE. - personne est normale et intelligente. C'est une
affection
cyclique congénitale de l'oculomoteur, ou, si l
pu ? telles les lé- sions traumatiques des nerfs, les myélites, les
affections
en foyer de la moelle et du cerveau. L'exagérat
en d'autres, ces réflexes demeurent sans changements. Dans quelques
affections
convulsives, les réflexes musculaires sont augm
s une même famille, hypothèse nouvelle sur la pa- thogénie de cette
affection
; par ŒTTINGEH et AGASSE-LA- font. (N
lérose latérale amyotrophique, après avoir suivi i l'évolution de l'
affection
à la clinique de la Salpètrière. Ils in- diquen
ière, 1905, n° 2.) Les déviations du tronc sont fréquentes dans les
affections
né- vralgiques du plexus lomho-sacré; il en exi
il est intéressant de noter l'influence de l'hypno- tisme dans une
affection
cura nxateria ; on comprend que cette lésion ai
mpulsion de celui-ci, à élucider l'étiologie et la pathogé- nie des
affections
du système nerveux consécutives à un trauma- ti
ains points spéciaux, état nerveux particulier, longue durée de ces
affections
, marche progressive dans certains cas, avec sig
illejuif, le 3 août 1904, par suite demé- ningo-encéphalite ; cette
affection
était consécutive à un trauma- tisme remontant
leptique. Haig (3) estime que l'épilepsie et la migraine sont des
affections
absolument identiques, dans lesquelles on peut
e qu'au début. Sa gentillesse, ses manières affables lui attirait l'
affection
de tous ceux qui l'entourent Au point de vue in
e quelquefois à l'entourage une illusion sur une amélioration (le l'
affection
; cette rémission est passa- gère et dure quelqu
éningite tuberculeuse suit la loi des autres syndromes tuberculeux.
Affection
presque toujours mortelle, elle peut être entre
me formant, en quel- que sorte, partie du tableau clinique de cette
affection
: ce seraient surtout des phénomènes démentiels
facultés psychiques est certainement un fait constant dans cette
affection
, mais variable suivant les cas et, le plus souv
chez les vieillards porteurs de lésions corticales. A mesure que l'
affection
progresse, de nouveaux signes 438 CLINIQUE ME
s sans antécédents névropathiques puisque son père a succombé à une
affection
épileptique. OBS. lI. - M ? Marie, femme B ? 48
: « Est atteint d'idiotie liée à un ramollissement cérébral. Cette
affection
, absolument incurable, exige une surveillance de
rédigé : « Est atteint de dé- mence mélancolique consécutive à une
affection
organique des centres nerveux : perte de la mém
ificat de vingt-quatre heures est ainsi conçu : « Est atteint d'une
affection
organique des centres nerveux (sclérose latérale
maladie. Dans cette observation, nous voyons évoluer à la fois l'
affection
médullaire et un trouble mental dont la physio-
rs. Si comme nous le pensons avec d'éminents neurolo- gistes, les
affections
du système nerveux ne sont pas des maladies ; s
sonne. Il fal- lait à cette nature qui paraissait indomptable, de l'
affection
et beaucoup d'exercices corporels. 1905. -- L
Elle raisonne bien, s'exprime de mieux en mieux et sait s'attirer l'
affection
de tout le monde. Elle s'inté- resse beaucoup à
plus obéissante et beaucoup plus douce. Répé- tons en passant que l'
affection
est un sentiment qu'il faut chercher à conquéri
ès continuent sous tous les rap- ports. Marguerite sait s'attirer l'
affection
de ses compagnes et organise les jeux. Elle est
x dont la cause de la mort a pu être déterminée, l'une mourut d'une
affection
pulmonaire, probablement d'une pneumonie, une a
E et de PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. - Dans le premier cas, c'est une
affection
accidentelle d'origine inflammatoire ou toxique
int de vitiligo qui ne présentait à l'examen clinique aucun signe d'
affection
du système nerveux. Mais l'examen histo- logiqu
ltérées ; 2° des lésions légères ; 3° des lésions très légè- res, l'
affection
clinique est d'autant plus rapidement mortelle
t toxiques ai- guës, des mononucléaires et des lymphocytes dans les
affections
subaiguës ou chroniques ; l'éosinophilie est pa
dans les sentiments et dans les actes des malades atteints de cette
affection
. Plus souvent noté en clini- que que l'éaoisiii
ubles sympnthi- ques, par Courmont, Lesieur et 'l'hevenot, 215.
Affections
cérébrales. Voir Mou- vements de compensation.
Mouvements de compensation. Des - - ou de remplacement, dans les
affections
cérébrales, par de Bechterew, 122. Muscle. Au
ir Troubles. Myotonie congénitale, par \feens, 108. p'tne forme d'
affection
nerveuse présentant les signes extérieurs de
e paresthésique sym- 520 TABLE DES MATIERES. ptomatique d'une
affection
cé- rébrale dans le territoire du noyau lenti
1 Gowers. - Drain, t. I, p. 48. UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU. 3 L'
affection
qui amène ce malade dans nos salles parait avoir
arié que dans l'épilepsie. Chacun a voulu apporter son remède à une
affection
aussi redoutable, et cette profusion de médica-
qui déterminent la maladie. La conception pathogé- génique de cette
affection
ayant été variable et même dissem- blable selon
ns la moelle (Jaccoud). Le tabes et la paralysie générale sont deux
affections
qui s'as-ocient fréquemment, elles ne constitue
ladie unique (Raymond). Le tabes et la paralysie générale sont deux
affections
différentes, elles peuvent coexister chez le mê
que la plupart des cas présentés comme des associations des deux
affections
ne sont en réalité que des cas de paralysie génér
ristique du tabes. Exemple : Homme syphilitique depuis douze ans. L'
affection
débute par des symptômes nettement tabétiques,
quand ces crimes sont commis en dehors des périodes aiguës de leur
affection
. Krafft-Ebing a fait voir, par la seule observa
e manie périodique, n'est pas aujourd'hui dans un accès aigu de son
affection
, il est dans un état raisonnant qui, pour lui,
re objective, qui doivent faire supposer l'origine traumatique de l'
affection
. Les troubles nerveux tantôt se développent imm
e ou les troubles fonctionnels nerveux s'ajoutent fréquemment à des
affections
graves du cerveau et de la moelle (paralysie gé
cordons postérieurs. Etudes comparatives à ce point de vue d'autres
affections
y compris les troubles et névrites du nerf cubi
le traitement. 64 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. En somme donc, l'
affection
répond au diagnostic de pachymé- ningite cervic
balle de revolver, mais il peut aussi être sous la dépendance d'une
affection
organique du rachis, des méninges ou de la moel
assez prononcée, contracte la syphilis huit ans avant le début de l'
affection
. Aucun traitement. L'alfeclion débute par de l'
s deviennent faibles et les épaules saillantes, c'est le début de l'
affection
qui, depuis, n'a fait que progresser. A vingt-c
servation. Femme, vingt-sept ans à l'époque de l'examen. Début de l'
affection
de très bonne heure par l'orbiculaire des pau-
et on peut déjà saisir la raison des troubles trophiques dans cette
affection
. Du reste le tabes est loin d'être la seule malad
rthrites surviennent à des époques variables, souvent au début de l'
affection
, elles peuvent être multiples et bilatérales, les
léments connexes L traumatisme au début ou pendant l'évolution de l'
affection
ner- veuse, infection surajoutée, troubles trop
n surajoutée, troubles trophiques graves, nature. chirurgicale de l'
affection
nerveuse causale.. Viennent d'abord quelques ob
Viennent d'abord quelques observations de traumatisme au début de l'
affection
nerveuse, ou pendant le cours de celle-ci. Suit l
rtie des symptômes du mal perforant. Les arthrites consécutives aux
affections
chirurgicales de la moelle et des nerfs compren
migraine ophtalmique. Homme, trente ans, père tabétique. Début de l'
affection
il y a quinze ans par de fréquentes céphalalgie
ls) prédominent tellement qu'on ne voit qu'eux et qu'on méconnaît l'
affection
véritable. C'est ainsi qu'on a diagnosti- qué d
aussi que la migraine ophtalmique peut être symptomatique d'autres
affections
protopathiques, la paralysie générale, par exem-
els l'hérédo-syphilis semble être un des éléments étiulogiques de l'
affection
. Première observation. L'enfant, un petit garço
as de maladie de Little. Sans préjuger de la nature intime de cetle
affection
, ni de ses lésions cérébrales ou médullaires, san
ES. 7 \} de la vie foetale »ou de l'enfance, ont été atteints d'une
affection
du cerveau ayant eu pour conséquence l'arrêt de
en dépit de leur parenté phylogénétique avec la dégénérescence, des
affections
mentales ? La réponse doit être affirmative. La
par suite d'instincts endogènes, sans cependant être atteints d'une
affection
mentale. Caractère criminel endogène et maladie
er pour la guérison et le soulagement des malades atteints de cette
affection
tenace devant laquelle on est souvent désarmé,
levé convenablement son premier enfant, mais elle l'entourait d'une
affection
si réelle que le danger couru par cet enfant lors
se rétrécit le champ de la conscience. La femme, autrefois pleine d'
affection
et de solli- citude pour ses enfants, les délai
il est le préliminaire nécessaire de toutes les recherches sur les
affections
générales du squelette, des articulations et de
s cordes vocales et une atrophie des interosseux des mains; pas d'
affection
des muscles de l'oeil, ni de ceux de la masticati
7 fois chez les ascendants, 3 fois chez les malades eux-mêmes. - 6°
Affections
fébriles aiguës : notées 17 fois. 7° Hémiplégie
11 fois. 9° Longueur de l'ac- couchement, dystocie : 10 fois. - 10°
Affections
ycestro-intestinales : 4 fois. 11° Action des h
malade dans un asile a une grande influence sur la terminaison de l'
affection
mentale : plus on met de promptitude à interner
de un à trois ans avant l'apparition des symptômes classiques de l'
affection
pour- raient permettre, s'ils étaient confirmés
s auteurs appellent la folie cardiaque. En effet, à première vue, l'
affection
cardiaque parait bien antérieure à l'apparition d
suffit pas pour expliquer l'apparition des phobies au cours d'une
affection
cardiaque ; en d'autres termes, on peut être un p
on peut être un prédisposé vésanique et en même temps porteur d'une
affection
du coeur sans avoir pour cela des phobies penda
on s'exposerait trop souvent à-être démenti par la persistance de l'
affection
psychique. M. Charpentier pense que les trouble
n psychique. M. Charpentier pense que les troubles mentaux liés aux
affections
168 SOCIÉTÉS SAVANTES. du coeur sont rares. C
nts examens microscopiques de la moelle atteinte ou suspectée d'une
affection
tuberculeuse. La tuberculose de la moelle épini
pyramidaux et, discutant de nouveau son premier cas, montre que les
affections
de la base du cerveau se compliquent presque to
sées ; mélancolie anxieuse. Double tentative de suicide. Début de l'
affection
actuelle à quatre-vingt-neuf ans. Hérédité. V..
de l'hé- rédité, l'état des facultés intellectuelles, au début de l'
affection
, leur intégrité persistante malgré l'existence
des, en particulier, la guérison est sans doute .problématique et l'
affection
chez l'un et l'autre a passé à l'état chronique
I (de Paris). On doit entendre, par psychoses de la vieillesse, les
affections
mentales qui se développent chez des individus
e cerveau sénile aux ictus' moraux et autres. - Le pronostic de ces
affections
n'est pas absolument défavorable. La guérison d
re et musculaire, dyspepsie, artères scléreuses et athéro- mateuse,
affection
vésicale, bronchite, artérite, intégrité du coeur
tômes de la maladie de Basedow ; on ne peut dire qu'on détermine l'
affection
elle-même dans son intégralité. En dehors de la r
ou déficit selon que l'on aurait atfaire à l'une ou l'autre de ces
affections
, basedowienne ou myxoedémateuse. Il est diffici
r la lumière dans les parties obscures caractérisant la plupart des
affections
mentales. Le monde savant applaudit à la consci
de Neurologie, n° 101. SOCIÉTÉS SAVANTES. zou faire rejeter celte
affection
; mais la réunion de ces diverses altéra- tions
qu'actuellement l'anatomie pathologique ne sait pas distinguer les
affections
syphi- litiques des vaisseaux (l'artérite gomme
plupart des médecins. La paralysie générale n'est pas pour cela une
affection
syphilitique : l'infection ne fait que préparer
l'éloigner de la paralysie générale. Mais la démence sénile est une
affection
diffuse, tandis que l'atrophie artério-scléreus
oncée, en cas de maladie mentale, quand le malade, par suite de son
affection
, est incapable de surveiller ses intérêts. 1\1,
Congrès les propositions suivantes : 1° Feldmann est atteint d'une
affection
mentale (paranoïa) depuis 1881; 2° les affirmat
rapports qui unissent le tabes à la paralysie générale et même aux
affections
syphilitiques loca- lisées des centres nerveux.
; il est infiniment probable pourtant que c'est par la moelle que l'
affection
a débuté, pour envahir ultérieu- rement le cerv
n ultérieure. - Pendant tout le séjour du malade à l'hô- pital, son
affection
évolue d'une façon lente, monotone; les crises
- tionner la présence de la même méningo-myélite diffuse dans des
affections
qui sont bien différentes au premier abord, et qu
s'agit là d'un processus diffus, et, de plus, commun à plusieurs
affections
, qui ne saurait entrer en ligne de compte dans la
t, pour amener la dégénérescence systématique qui caractérise cette
affection
, une atteinte bien autrement puissante portée s
reprendre le travail après chaque accès de névrite. Actuellement l'
affection
est à l'état chronique : les symptômes moteurs
a71jourizal of insanity, 189.) Les rapports de l'influenza avec les
affections
nerveuses ont été l'objet, au cours de ces dern
ec plura. P. KERAVAL. XXI. CONTRIBUTION casuistique au diagnostic d'
affections
CÉRÉDROSPI- NALES A HÉSIIFARÉSIE SPASMODIQUE DE
LES TROUBLES DE la sensation ET principalement la DOULEUR dans LES
affections
viscérales; par Henry HEAD. (Brain, part. LXVII
1894, p. 339.) Dans un article précédent l'auteur a établi que les
affections
viscérales produisaient de la douleur dans cert
r se propose 320 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de montrer que les
affections
des viscères thoraciques et abdomi- naux ne pro
l'âge de neuf ans il contracte la scarlatine et consécutivement une
affection
cardiaque. Vers la même époque il s'adonne à l'
te et stupide. Depuis l'âge de quatorze ans, époque du début de son
affection
, jusqu'à présent, son état n'a fait que s'affir
rras de la parole, et comme d'autre sociétés savantes. 333 part l'
affection
a commencé à l'âge de quatorze ans et que le ma-
ces mouvements comme étant ceux de la chorée vulgaire : dans cette
affection
, les troubles moteurs sont d'abord limités à un
'est l'appa- rition de l'athétose double tout à fait au début d'une
affection
démentielle chez un enfant de quatorze ans : c'
cepte ne saurait avoir rien d'absolu sauf dans la thérapeutique des
affections
nerveuses, dans lesquelles le traitement moral
tait épileptique et la mère nerveuse. Elle a eu deux frères morts d'
affections
cérébrales suspectes. Elle-même, à l'âge de dix-
t été en droit d'exiger. Sachant que, dans ces dernières années, -l'
affection
qui porte le nom des deux médecins français ava
phies mus- culaires. Duchenne (1847), puis Aran (1850), décrivent l'
affection
qui porte leur nom; Cruveilhier, Luys, en font
UES. Or, en neuropathologie, voici ce que l'on remarque. Dans les
affections
du cerveau, quand les méninges sont prises, la tr
ité pariétale des épileptiques, sensibilité occipitale de certaines
affections
cérébrales), les syphilis locales anciennes de
, fonds de syphilis héréditaire, arrêt de dévelop- pement cérébral,
affection
spinale semblable à celle des observations de M
R. L'épilepsie idiopathique est-elle une auto-intoxication ou une
affection
d'origine purement centrale ? N'est-elle pas plut
e, l'alcool est un médicament très dangereux. Il ag- grave nombre d'
affections
aiguës, telles que le typhus et la pneu- monie.
tiuns des persécutés. En résumé un vaste groupe de psychoses, - les
affections
psy- chiques secondaires, y compris l'idiotie -
épendance d'une atrophie des fibres corticales. Pour ce qui est des
affections
mentales primaires, l'apparition des symptômes di
tenant en propre à la démence paralytique. Cependant cette dernière
affection
serait caractéri- sée par la prédominance de la
s. - Les recherches de l'auteur ont porté sur 99 femmes atteintes d'
affections
mentales chroniques, dont l'âge variait pour la
opathe, facilement irritable. Mais rien ne montre l'existence d'une
affection
mentale. L'absence de mémoire constatée chez lu
11 renferme cinq chapitres qui sont une introduction générale aux
affections
de l'axe bulbo-spinal. Le premier chapitre est co
onclure à la combinaison possible de la paralysie générale avec ces
affections
spinales diverses et à l'existence fréquente de
ganiqne de tel ou tel symp- tôme, spasme ou contracture, commun aux
affections
spinales et à la méninge-encéphalite - A. M.
émet des doutes sur les relations qu'on a voulu établir entre cette
affection
et les lésions de sénilité du système nerveux.
les troubles mentaux multiples si singuliers qui accompagnent celte
affection
, , 6° Acromégalie. A propos de la nature et de
double. On consultera avec profit la monographie consacrée à cette
affection
qui a déjà fait l'objet de plusieurs con- tribu
es plus émi- nents et les plus écoutés en matière d'hypnotisme et d'
affections
nerveuses. ' La municipalité d'Orléans n'en a
ces de Pickman, dans la salle de l'Institut, viennent révéler cette
affection
. D'autant plus que non seulement l'hypnotisme l
re. Ces chambres seront destinées à recevoir les aliénés atteints d'
affections
incidentes graves, quoique non 444 asiles d'ali
. De sorte qu'à l'intérêt offert par la relative bénignité de cette
affection
, rangeable parmi les cas de la maladie de Landr
x faits récents aussi bien antérieurs que postérieurs au début de l'
affection
. C'est une amnésie isolée, parfois indépendante
e; tantôt généralisée très rapidement en revêtant l'apparence d'une
affection
spéciale aiguë, b). Désordres de la sensibilité
upeur. J. Séglas. L. La SUGGESTION A l'état DE veille dans QUELQUES
affections
oculaires; par P. SGROSSO. (Aîii2ali di rzevrol
vent être atteints, sans que les autres soient troublés. Dans les
affections
de l'écorce, les troubles de la sensibilité gé-
il s'agit de déterminer nettement la forme particulière que revêt l'
affection
mentale. (Annales médico-psychologiques, août 1
nce du réflexe rotulien peut être un signe important en faveur de l'
affection
spinale sans en être toutefois exclusive; que d
de névrose traumatique conserver, même dans les stades avancés de l'
affection
, la conscience de leurs défectuosités psy- chiq
cité corticale et de l'asymbolie et qui seraient le substratum de l'
affection
. La malade dont il s'agit, après une période pr
passagère; aussi l'alcool est-il le grand pourvoyeur du groupe des
affections
mentales. D'après M. Legrain, le tiers à peu pr
ste de voir, dans bien des cas, au delà .de toit le p1 onostic de l'
affection
, comme un gynécologiste de soigner la femme en
Absence d'un hémis- phère -, par Hahn. 478. CI : RCnao-srmel.ES.
Affections
-, à hémiparésie spasmodique des ex- trémités
u sys- tème nerveux périphérique par Westphall, 135. Encéphale.
Affections
multiloculaires de l ? par Koeppen, 137. Epel
sation. Troubles de la-et prin- cipalement de la douleur dans les
affections
viscérales, parllead, 319.. . SI31LLATCU11. U
, par P. Bicher, 146. SUGGESTION à l'état de veille dans quelques
affections
oculaires, par Sgross, 466. Suicide d'un alié
s avons eu l'occasion de faire l'autopsie d'un sujet atteint de l'
affection
décrite par M. le professeur Charcot sous le no
laboratoire d'iiiutomie pathologique de la Faculté.) 1 Certaines
affections
chroniques des nerfs, primitives ou consécutive
e fait est aujourd'hui bien établi; et la liste est déjà longue des
affections
dans lesquelles l'atrophie dégénérative des tub
es carac- tères analogues ou identiques, dans un certain nombre d'
affections
chroniques du système nerveux. Pour ce qui est
es paraplégies. Ce clinicien éminent distin- gua des paralysies une
affection
dans laquelle la force musculaire était intacte
ant et rend plus apparents, sans les modi- fier, les symptômes de l'
affection
première; d'autres fois, au contraire, atteigna
ove- nir d'un seul des ascendants possédant lui-même cette double
affection
. Dans ces circonstances, les états maladifs ont
e de M. DELASIAUVE le 16 octobre 1877. Antécédents (1877). Aucune
affection
nerveuse chez les ascendants directs ou collaté
ent. « C'était surtout dans la tête que cela se passait. » Aucune
affection
scrofuleuse. Jamais Marie n'a marché ni parlé.
, des nausées, du ptosis et du strabisme, indiquaient nettement une
affection
cérébrale. Les douleurs s'exagéraient par inter
lésions somatiques de la folie. On remarquera aussi que, dans les
affections
mentales d'origine congénitale, la température
t aux variations de température que l'on peut observer au cours des
affections
nerveuses et mentales, après avoir vu cette the
rtout compter sur les faits indiscutables que l'on observe dans les
affections
de la corde du tympan chez l'homme. Si la paral
divers, surtout du côté des poumqns. A l'autopsie, sauf le cas où l'
affection
secondaire guérit, on retrouve, suivant les cas
f cas, il est difficile de ne pas admettre, avec M. Dufour, que les
affections
secondaires aiguës constatées pendant la vio ou
t au trai- ; * tement spécifique. Le malade présentait en outre une
affection
hépatique et des signes de tuberculose pulmonai
ena une rapide amélioration. La mort était survenue par suite d'une
affection
intercurrente; des lésions syphilitiques multip
ointimportant de ce mémoire est celui qui a trait à l'importation d'
affections
contagieuses dans les asiles, faute d'avoir pu
admettre dans les grands établissements des sujets en puissance d'
affections
contagieuses et l'on se trouverait en mesure d'is
rie couverte, ouverte à tous les vents, et où seraient traitées les
affections
contagieuses se manifestant chez les malades pe
ie, eunuques). Viennent ensuite les maladies des organes génitaux :
affections
vulvaires (scrofules, arthritis, herpétis) ; af
génitaux : affections vulvaires (scrofules, arthritis, herpétis) ;
affections
utérines (cancer, ulcération du col, métrite);
sme, aux premiers rapprochements conjugaux (post- connubiales), aux
affections
utéro-ovariennes. La grossesse est omise. L'h
être aussi affirmatif on convient du moins aujour- d'hui que cette
affection
n'a point son origine exclusive dans l'appareil
pitre, comme dans le précédent, on trouvera réunies côte à côte les
affections
les plus disparates. Les deux derniers chapitre
scuter l'influence étiologique de la syphilis sur quelques-unes des
affections
du système nerveux central et non pas de décrir
en somme une donnée étiologique à mettre en lumière pour certaines
affections
ner- BIBLIOGRAPHIE. 165 veuses, à rejeter pou
générale, mais il admet que des symptômes analogues à ceux de cette
affection
peuvent être occasionnés par des lésions syphil
paralysies motrices survenant à titre d'épiphénomène au cours d'une
affection
aiguë, et de passer successivement en revue tou
ne affection aiguë, et de passer successivement en revue toutes les
affections
aiguës. De même il fallait s'occuper des. « par
des maladies aiguës et des «para- lysies-provoquées» par les mêmes
affections
, comme le dit M. Landouzy dans son introduction
res suivants, M. Landouzy passe en revue les paralysies liées aux
affections
typhoïdes, intestinales ( dysenterie, entérite, c
dont les premiers symptômes avaient été à tort con- fondus avec une
affection
génitale ou urinaire protopathique. La deuxième
n point nous paraît intéres- sant à examiner : . Dans ce groupe d'
affections
, ainsi que depuis long- temps l'a établi M. Cha
ment chez l'homme et paraît jouer un rôle important dans certaines
affections
des nerfs périphériques où l'on n'avait signalé
ire,' l'anéantissement des manifestations mo- rales : ' sentiments,
affections
, instincts. La vie physique subit elle-même des
ant quelques heures,; pas de nausées., [Pète, mort à 70 ans d'une
affection
du pylore ; pas d'excès de boisson ; buvait du ci
nts. Renseignements fournis par la mère. - Père mort en 1871, d'une
affection
dont on ne peut préciser la na- ture. Il n'avai
es sont très pronon- cées, l'anémie aiguë, l'adynamic profonde, les
affections
congestionnelles intenses et la dégénérescence
-, de. 27 ans., HfPoEte au cou des,cicatrices, d'abcès,strumeux. ,L'
affection
! actuelle, a débuté^il y-Bjdeux ans, sans caus
t;, sans 1 perteI de connaissance, mais avec perte de, la parole. L
affection
icon- siste en une contraction tonique et cloni
eil complet,- lai malade se, trouva définitivement délivrée* de son
affection
, mais on, put constater tous- les signes d'une
un^cas, type de paralysie 1 pseudo-hyplrtroplliqlïe;)jJ1ensúitê'/ l'
affection
s'est développée chez un' hfant;'fils"deÏ : Jatèh
ctiôntbilatérale desb b adducteurs de la cuisse qui paraît être une
affection
analogue. La maladie semble due à un vice congé
de Lacombe [Un. méd., déc., 1850), un cas de Piorry(tl9ém. sur les
affections
du rachis), deux cas de Gérard, cités dans l'ou-
t r il ? iH"J f L masculin,1' f , |() , ('\\''\Ut' \\, 'v ri ,^ L'
affection
peut' enfin procéder de causes multiples ? toutes
des aneotions nerveuses du réflexe, rotulien dans le diagnostic des
affections
nerveuses . y u1)1LL1 1 .flü s')71 clJ1 Li rJil
exemple dé diathèsé nerveuse, tous les parents du malade ayant des
affections
des centres nerveux. Des dix observations qu'il
e l'ataxie, que c'est même parfois un symp- tôme précoce dans cette
affection
, mais que- cependant ce symptôme n'estpas patho
? t J'on, di j i- .1 (1 . . L oedème muqueux (7ycB6te ! Ka) est une
affection
encore peu connue, mentionnée pour 'la, premièr
! ' 'Les malades ont les paupières plis- sées et on songerait à une
affection
rénale, si l'on' ne constatait l'absence d'albu
seraient des in- dividus dont l'état cérébral a,été troublé par une
affection
encé- phaliquo'ântérieure et chez lesquels : se
rëhtiêJ ! 'àux crânienne originelle imprimeront un 'cachet le aux
affections
, cérébrales' qui]1 surgiront, .plus' tard. Une pr
a- cique ou d'une' malformation crânienne ? dans les, deux cas, l'
affection
seconde sera nettement distincte] de 1'affectionp
autres; cas, peut-on affirmer avec certitude ! que lai prétendue
affection
seconde n'est pas simplement un réveil où^une nou
n'est pas simplement un réveil où^une nou- velle manifestation de l'
affection
'< primitive 'temporairement latente ou évol
ise ; on dirait les' cérébraux pour désigner les malades atteints d'
affection
cérébrale, comme on dit les cardiaques, pour no
des manifestations. L. LANDOUZY. IV. Soulagement apporté dans DES
affections
NERVEUSES graves , par l'énucléation du GLOBE D
s faits sont intéressants pour servir de contribution à l'étude des
affections
réflexes, et pourraient sans doute être comparé
é des cas, se trouvent en même temps que l'intempé- rance, soit des
affections
organiques telles que la paralysie .générale, s
e peut trouver aucune autre raison à laquelle on puisse attribuer l'
affection
, ou du moins l'ivrognerie est tellement évident
des aliénés pré- senter des attaques épileptiques au début de leur
affection
, l'alcoolisme n'était alors qu'un symptôme; lor
attribuer, surtout dans cette catégorie d'individus, la plupart des
affections
à l'alcool sans faire assez la part de la misèr
ale, mais on ne peut dire non plus que son influence sur ce genre d'
affections
soit complètement nulle; le délirium tremens et
ogie existant entre le phéno- mène en question et le purpura ou lés
affections
voisines. M. 'I-IAèK Tuke (Londres) propose de
e de démence ; d'après M ? Hack Tuke, on compterait cette seconde
affection
comme 'une récidive de la première. Il' ne faut p
. - Fratelli Rechiedel, editori Milano. Bnoute (B.). Leçons sur les
affections
nerveuses locales, traduites de l'anglais, par
ooliques très prononcées et sa famille présentait de nombreux cas d'
affections
mentales. A 8 mois, X... eut sa première attaqu
iniâtre, l'affaissement du ventre, qui marquent le dé- but de cette
affection
; nous avons vu que les poumons ne dénotaient a
permettre de formuler une opinion précise sur la pa- thogénie de l'
affection
. Tantôt la lésion occupe une seule partie d'un
ue dans le fond des sillons ou des scissures. C'est donc plutôt une
affection
de la surface du cerveau qu'une affection de l'
es. C'est donc plutôt une affection de la surface du cerveau qu'une
affection
de l'écorce propre- ment dite. Nous n'avons p
gite, facteur pathogénique à peu près constant de la plupart des
affections
analogues chez les idiots et les épileptiques,
ctures tardives. Il n'envisage d'ailleurs que le côté clinique de l'
affection
, et tout 442 REVUE DE pathologie NERVEUSE. d'
tête et d'humeur noire. Depuis quelque an- nées, il est sujet aune
affection
particulière des membres infé- REVUE DE PATHOLO
is observations relatées par M. Russell se rapportent à un groupe d'
affections
dont les caractères principaux sont : 1° l'exag
bien développé (ses parents bien portants ne présentent pas trace d'
affection
constitutionnelle). L'appétit, la digestion, le
ur termine par une discussion des opinions émises sur le siège de l'
affection
, et principalement de celle qui le place dans l
miner. Il n'existait alors aucun symptôme local ni général d'une
affection
thoracique. Le 4e jour seulement, se produisit
omparaison suivie avec un malade de la même salle, atteint de cette
affection
. H. D'O. LU. Convulsions puerpérales ; par ALEX
peu- tiques ressortent clairement de cette théorie. II. D'O. LUI.
Affections
NERVEUSES SYPHILITIQUES PRÉCOCES; par CH. MAURI
rs symptômes s'aggravèrent encore.pendant la convalescence de cette
affection
. L'examen laryngoscopique permit alors de const
ces au sujet de ces deux mala- dies, dues toutes les deux à quelque
affection
du système ner- veux, et toutes les deux aussi
die dans ce travail les différentes conditions des muscles dans les
affections
articulaires, dans les contractures hystériques
différentiel de la contracture hystérique et de la contracture des
affections
articulaires chroniques, n'a pas de valeur par
die disparut brusque- ment.) H. D'O. LXII. Danse DE SAINT-VITU ET
affections
analogues. ÉPIDÉMIE RÉCENTE dans UN COUVENT d'U
AVY, de Cincinati. (Cincinati Lancet and Clinic, 8 mai 1880.) Une
affection
nerveuse épidémique, présentant les caractères
ravail de M. Beard est consacrée à une revue détaillée des diverses
affections
dont la neurosthé- nie peut devenir le point de
dans leur désespoir, pire encore que leurs souffrances; 5° diverses
affections
des organes génitaux, irritation de la pros- ta
jugement pour avoir exactement conscience de sa situa- tion, de son
affection
convulsive. Il était également sujet aux délire
M. M'Bride et James mentionnent dans l'ordre sui- vant les diverses
affections
de l'oreille pouvant produire le vertige : lési
marquer le Dr Fiedler, deux aspects différents. Ou bien il s'agit d'
affections
mentales dérivant de maladies somatiques ordina
espaces fermés » ; elle constitue en quelque sorte le pendant' de l'
affection
décrite par Westphal et par M. Legrand du Saull
ppelle la fréquence et la variété de ceux-ci dans le cours de cette
affection
et les explique en admettant que les lésions qu
éthose, c'est faire là un étrange abus d'un mot qui caractérise une
affection
absolument différente. M. XLI. DE L'ENCÉPHALOPA
marche du mal a des caractères absolument inverses dans les deux
affections
. La paralysie générale débute lentement, insidieu
alyse on découvre en eux des nuances spéciales à chacune des deux
affections
. Mais ces nuances, le travail actuel de M. Régis,
igées dans leur acti- vitéparles passions qu'a fait surgir en lui l'
affection
pathologique du cerveau. Du coup, la folie mora
l'alcoolisme justiciable des mêmes agents thé- rapeutiques que les
affections
palustres et spécialement du quinquina. Cette m
mportante dans ce traitement. H. D'O. XXV. SUR la thérapeutique DES
affections
DE la 5° paire des NERFS crâniens ; De21tsches
n ob- serve.-parfois dans le. cours de rataxie. M 3')'J wq j^Les,
affections
cutanées,'1 dit il , peuvent être grou- pées3ai
er l'aimant ou les vibrations. Action des xstlaészbgènes dans les
affections
autres que 1liys- térie. En 1875, avant que la
publiées depuis. Ils ont même été considérés comme distinctifs des
affections
de cause organique. Mais nous avons vu plus hau
ette distinction n'est pas absolue. Des hémianesthésies ou d'autres
affections
unila- térales indubitablement hystériques ont
différencie l'action des oesthésio-ènes de ce qu'elle est dans les
affections
hystériques. Nous voyons, dans les deux catégorie
bien qu'elles ne fussent pas en voisinage direct, ce qu'il appelle
affection
systématique des trajets périphériques d'appare
ces anatomiques exa- minées à une période récente du début de cette
affection
(ô et It mois), grâce à une maladie intercurren
les différences entre les altérations nerveuses ressor- tissant aux
affections
spinales et celles du domaine des para- lysies
draxe comme relevant des maladies médullaires, tandis que pour les
affections
périphériques c'est à la destruction delà myéli
DE la SYPHILIS avec LE tabès DORSALIS ET D'UNE FORME particulière d'
affection
parenchymateuse DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA M
cile, comme on n'est pas toujours en droit d'exclure cliniquement l'
affection
spéci- fique, l'absorption du mercure n'exerçan
'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 583 cirrhose hépatique vulgaire, et non une
affection
parenchyma- teuse des cordons postérieurs ; ce
blanche : telle cette sclérose latérale amyotrophique accompagnée d'
affection
bulbaire dans laquelle on rencontra au milieu d
'état mental;- 8° Phosphaturie, symptôme commun à beaucoup d'autres
affections
nerveuses ; 9° Appétit vorace. D'après Lawson e
affaibli. On a aussi pensé que la scrofule était une cause de cette
affection
, mais l'auteur pense qu'elle n'est que cause in
jeune. Cette conséquence est à craindre jusqu'à l'âge de 7 ans. Les
affections
qui entraînent la surdité dans l'enfance se cla
a surdité dans l'enfance se classent ainsi par ordre de fréquence :
affections
cérébrales, convulsions, méningite cérébro-spin
yphoïdes, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 595 scarlatine, rougeole,
affections
idiopathiques des oreilles, affections traumati
595 scarlatine, rougeole, affections idiopathiques des oreilles,
affections
traumatiques de la tête, maladies diverses. Les
. 3, p. 676 du même recueil, contient sous le titre II, l'étude des
affections
systématiques combinées de la moelle. On y lira
de nouvelles observations : I. De sclérose latérale amyotrophique (
affection
combinée des faisceaux pyramidaux et de certain
res maladies ; on peut cependant l'observer dans une foule d'autres
affections
céré- brales ou spinales, dans la syphilis, etc
s les crises reviennent à de courts intervalles. Berger croit que l'
affection
est d'origine spinale. Putnam pense que ces phé
s aliénés. P. IL REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 607 L. Rapports DES
affections
UTÉRINES ET DE la FOLIE; par ALEX. J.-C. SKENE.
ediccize, New-York; fév. 1880.) L'auteur signale la fréquence des
affections
utéro-ovariennes chez les aliénés. Ces affectio
la fréquence des affections utéro-ovariennes chez les aliénés. Ces
affections
sont d'ailleurs les mêmes que chez les femmes s
ie mentale. LU. SUR LES hémorrhagies stomacales dans LE COURS DES
AFFECTIONS
MENTALES AVEC PARALYSIE par Julius KRUEG. (A1'c
dans l'articulation des mots. La guérison de la blessure et de l'
affection
mentale avait lieu bientôt complètement et la mal
er cite l'observation d'un homme que l'on traita longtemps pour une
affection
obscure du cerveau, jusqu'à ce qu'un jour un ex
nt des nègres et que la race noire est spécialement prédisposée aux
affections
nerveuses à forme convulsive. Celui qui est mor
hystérie, et elle a fréquemment des syncopes sans d'ailleurs aucune
affection
cardiaque, ni autre mala- die organique. Lorsqu
Thompsou, 153. Enucléation de l'oeil (1'), soulageant certaines
affections
nerveuses graves, par Stevens, 328. Encéphale
l, par Fadon, 2s ? 1 Phtisie pulmonaire (rapports delà), et des
affections
cérébrales, par Baumler, 608. Picrotoxine (ép
tération pathologi- que du), par Blanchi, 284. Syphilis nerveuse.
Affections
pré- coces, par Mauriac, 463 - Syphilis (rapp
par Rousseau, 496; - des aliénés chez eux, par Gray, 494 ; - des
affections
du trijumeau, 493. Travail intellectuel (excès
I. Les oreillons ont été considérés par quelques auteurs comme une
affection
locale relevant de causes locales ; mais cette
ANT UN SYNDROME CLINIQUE SPÉCIAL; Par II. PARINAUD et P. MARIE. L'
affection
dont il s'agit n'a pas encore été décrite en Fr
as de di- plopie dans la moitié inférieure du champ visuel. Cette
affection
est donc caractérisée, d'abord par une périodic
tions qui suivent, les mêmes symptômes ont été cons- tatés et que l'
affection
s'est dans tous les cas montrée sous un aspect
ues, sans d'ailleurs vouloir établir aucune relation entre les deux
affections
. A la suite de la communication de Thomsen, Rem
vation comme un cas de tumeur, et qu'il est plus probable que cette
affection
doit être rapprochée de la migraine. névralgi
tiniennes. D'après les renseignements donnés par le malade, cette
affection
, dont il a fréquemment éprouvé les atteintes, aur
localisée. Un an auparavant, il avait été dans cet hôpital pour une
affection
semblable ; sur le livre des observations on trou
il n'a pu étudier le malade que plusieurs jours après le début de l'
affection
), comme un cas de « migraine récurrente avec pa
il apublié dans la Lancet un cas beaucoup plus accen- tué de cette
affection
, le seul dont il ait connaissance jusqu'à prése
e « Lettres d'Angleterre » l'indication de deux autres cas de cette
affection
: l'un de Suell chez une fille de huit ans qui
tout spécialement en lumière, c'est l'âge du début; toujours cette
affection
commence à se manifester dans l'enfance, et que
ble être assez ordinaire. Reste la question de la nature de cette
affection
. Il est un point sur lequel insiste avec raison
ngulière et qui ne revêt guère les caractères ordi- naires de cette
affection
, car ici la douleur est limitée non seulement à
Weiss' (résumée). - Femmè phthisique reçue à l'hôpital sans aucune
affection
oculaire (2 septembre 1884). - Le, 8 septembre
ce qui nous semble le plus probable, c'est l'origine centrale de l'
affection
et l'analogie du processus qui la produit avec
is reprises différentes, de la diplopie, longtemps avant que leur
affection
se caractérise. C'est ce qui a fait méconnaître
us le ré- pétons, il fait bien de confondre tous ces faits avec l'
affection
spéciale dont il est ici question. PATHOLOGIE N
ladie bien nette, bien caractérisée, présentant comme toute autre
affection
somatique soii étiologie, ses symptômes, sa mar
rès médical. TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 75
Affections
aiguës intercurrentes. Dans d'autres cas, l'acé-
tres cas, l'acé- tonémie apparaît dans le cours ou à la suite d'une
affection
intercurrente ou d'une complication qui épuise
DOUZY et Déjerink. (Revue de inéd., février et avril 1885.) Cette
affection
, que Duchenne (de Boulogne) a décrite sous le n
itue, dans le domaine des atrophies musculaires protopathiques, une
affection
spéciale aussi bien au point de vue anatomique
ontrer que le trauma- tisme n'est pour rien dans la pathogénie de l'
affection
. D'autre part, l'état général des sujets permet
R la présence ET l'importance DE L'AtiESTHiSIE SENSORIELLE DANS LES
AFFECTIONS
DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL; parR. THomsrN et H.
ne caractérisent pas l'hystérie; on la rencontre dans bien d'autres
affections
du système ner- veux central. 2»Elleconstitue u
ique de la dégénéres- cence grise cérébro-spinale sans lésion), les
affections
organiques de l'en- céphale; enfin, à la suite
, en tant que tableau morbide autonome; II de concert avec d'autres
affections
du système nerveux cen- tral ; névroses et psyc
n appareil sensoriel du côté droit (acuité auditive) cadrait avec l'
affection
prédominante d'un autre appareil sensoriel du c
tel organe sensoriel ou tous les organes sensoriels participent à l'
affection
. B. Chorée. Sur vingt faits, trois témoignent d
epsie vraie (Ous. X1XVIII-XLVI). V. Anesthésie sensorielle dans les
affections
qui évoluent en pré- sentant le tableau cliniqu
s affections qui évoluent en pré- sentant le tableau clinique d'une
affection
en foyer cérébro-spinale multiloculaire (Obs. 1
uelques préceptes au sujet du traitement de la prophylaxie de cette
affection
. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. La MANI
Il y a donc, en certains cas, une relation pathogénétique enlre une
affection
sexuelle et une psychose. Mais cette relation n
erturbation mentale s'établissant et cessant sans modification de l'
affection
sexuelle. Fréquemment celle-ci est consécutive
et d'onanisme. En réalité, il n'y a que peu de cas dans lesquels l'
affection
génitale est démontrée être la cause du trouble
pratiquer l'examen gynécologique que lorsqu'il existe des signes d'
affection
génitale et quand on n'a pas à lutter contre la
l'hyperesthésie psychique et somatique générale, produite par cette
affection
, du trouble de nutrition de même ori- gine, d'u
ypochondrie, états d'excitation ou de faiblesse, maladies de coeur,
affections
chroniques des poumons) autorisent les conclusion
nfants (poliencéphalite aiguë, paralysie infantile c'6('f(t). Cette
affection
, proche pareille de la paralysie infantile spin
e l'étiologie, la caractéristique que Friedreich veut trouver à ces
affections
dans le seul fait de l'hé- rédité, et nous verr
tes d'accès, les membres du malade dans les premières périodes de l'
affection
, et qui était parfois assez intense pour l'empê
es-avec phéiio ? 7z. cpilept, pendant les pre- mières périodes de l'
affection
. (Revue de mérlec.), 18S ? , 142. 164 PATHOLOGI
faisceaux postérieurs; mais les autres symptômes et la marche de l'
affection
ramenaient presque invinciblement au diagnostic
e sujet quatre fois (nous 8, 10, 22, 24), plus une fois n° 14), une
affection
pulmonaire chronique avec dia- bète sucré, la s
uxion de poitrine; à partir de quarante-huit ans, souf- frait d'une
affection
cutanée, excepté sur les parties exposées à l'a
postérieur du même côté. Pas d'autopsie. P. K. XIX. SUR un cas d'
affection
spinale avec cécité ET paralysie géné- RALE. Di
vidus normaux devenus, à la suite soit d'un traumatisme ou d'une
affection
aiguë, comparables aux héréditaires propres. C'es
s trop étendus. J'estime, par exemple, que la folie du doute, celte
affection
qui entre cer- tainement dans le cadre des foli
ublié ce qui suit : En 1882, il est mort 108,774 malades atteints d'
affections
nerveuses ou mentales, soit environ 16,26 p. 10
ment ne peut permettre de tirer le chiffre absolu concernant les
affections
psychiques. Ces nombres ne fournissent pas non pl
à l'exception naturellement des agités, ou des individus atteints d'
affections
somatiques. Trois repas par jour; mets japo- na
Tôkiô, il n'existe, pour le moment, pas de quartier sépare pour les
affections
psychiques : on garde simplement les malades da
proportion de 95 p. 100, mais ce dernier a rangé dans la classe des
affections
syphilitiques la gonorrhée, ce qui surcharge le
syphilis, pas plus que la paralysie générale, ne constituaient des
affections
si fré- quentes. Du reste, la syphilis constitu
es qui ne sont pas de la paralysie générale; elles représentent des
affections
en foyer avec démence. Mais il est extrêmement
du sang constituent la source la plus féconde en perturbationset en
affections
du système nerveux, tant dans ses départements
t rapidement, tautot lentement, et générale- ment aboutissent à des
affections
spécifiques du système nerveux. Un groupe de dy
si- cien né en 845, indemne d'hérédité et de syphilis. Début de l'
affection
médullaire en 1870, par de violentes douleurs dan
ychique était assurée. Quelques années plus tard, il mourait de son
affection
thoracique et de l'abus des injections morphi-
un asthme nerveux qui joue, par rapport àla psychose, le rôle d'une
affection
métastatique vicaciante, et suppose, par suite,
M. ERB. Les casd'Edinger n'excluent pas tout à fait l'idée d'une
affection
des muscles; les altérations chimiques de la subs
rieurement, ont eu la syphilis (abstraction faite naturellement des
affections
en foyer et des lésions vasculaires), car le sy
part les démences terminales, a une allure toute différente dans l'
affection
qui nous occupe et dans la paralysie générale.
int de vue pathogénétique, permettent d'être envi- sagées comme des
affections
proches parentes, cette confirmation renversera
attaques nocturnes. Les observations de Tuczek se rapportent a des
affections
épileptoïdes. M. TuczEK. Dans mon cas, il y a e
ur 8 à 10 femmes semi-agitées, deux pavil- lons isolés destinés aux
affections
intercurrentes, pour les deux sexes, une buande
rée encore dans la paralysie diphthéritique et chez un sujet dont l'
affection
avait évolué clinique- ment sous la forme d'une
us d'un titre. Il concerne un tuberculeux qui, dans le cours de son
affection
- pulmonaire, contracte une diphthérie cutanée
cité, a classifié les névroses en élevant les distinctions de ces
affections
à la hauteur actuelle, et M. Hcigyes a fait un
vroses; on la considère comme une entité morbide sine mater ta, une
affection
fonctionnelle à la suite d'une déviation des pr
- sives de l'épilepsie, et sont loin d'être constantes dans cette
affection
. De plus Meyer constate les mêmes particularité
eur en bonne santé. Quatre frères et soeurs morts en bas âge. Pas d'
affection
nerveuse, ni d'antécédents rhumatismaux dans la
lade sont encore vivants et bien portants. Le père a succombé à une
affection
pulmonaire à un âgé in- déterminé. Mère morte
flux cata- ménial. Variole à quatorze ans n'ayant pas réagi sur son
affection
. Etat actuel. Indice céphalique 0,81. L. M... e
upère, et qui ont trait à deux individus qui pendant le cours d'une
affection
cérébrale présentèrent des crises épileptiforme
técédents héréditaires : père mort d'une attaque d'apoplexie. Pas d'
affection
nerveuse du côté de la mère. Antécédents person
FAITS. CORNES POSTÉRIEURES OCCIPITALES. autopsies de sujets morts d'
affections
variées que nous avons eu à pratiquer depuis. N
l, l'auteur plaide la cause de l'électricité dans le traitement des
affections
mentales; il retrace en quelques- tirais )'hisL
La congestion cérébrale idiopathique, terminée par la mort, est une
affection
très obscure, bien que décrite dans les livres cl
uestions de détail sont traitées incidemment'. R. n1. C. XIV. Les
affections
utérines ET la folie; par Joseph WiGLESWORTH. (
ne puisse citer aucun « cas où le diagnostic et le traitement d'une
affection
utérine « aient eu, pour conséquence, la guéris
ne affection utérine « aient eu, pour conséquence, la guérison de l'
affection
mentale, « je pense que l'on n'en sera pas éton
oit se présenter « des cas dans lesquels, faute d'avoir reconnu une
affection
uté- « rine, on laisse passer à l'état incurabl
une affection uté- « rine, on laisse passer à l'état incurable une
affection
primiti- « vement curable grossissant ainsi le
s, est assurément un fait rare. La mère à la vérité est morte d'une
affection
cérébrale, mais qui parait avoir été d'un carac
n soi (self-u6sory7tion) aboutissant à la vacuité mentale, avec une
affection
bien définie du système musculaire constituée p
ns notre service à Bicêtre (B.). 432 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
affection
inflammatoire primitive des cellules nerveuses, l
aiguë est un groupe peu homogène, dans lequel on a fait entrer des
affections
très différentes : il s'est proposé dans ce mém
par W. B. Neftel (Ai-ch. f. Psych., XVI, 1). ). I. Névralgies et
affections
douloureuses du même ordre. A. Traite- ment gal
. VI. Réflexions pratiques sur l'emploi DE l'électricité dans LES
affections
mentales ; par A. de Watteville. (The journal of
ile : cependant on peut dès maintenant constater que c'est dans les
affections
caractérisées par la dépression nerveuse, que l
ymptômes d'origine spasmodique, tels que le hoquet, et sur quelques
affections
nerveuses à manifestations convulsives, soit qu
ouveaux documents pour l'histoire anato- mique et clinique de cette
affection
. La première partie de cette étude est consacré
ntégrité n'est pas complète, il se développe, comme dans les autres
affections
destructives du sys- tème nerveux central, des
u rectum, eschares). Il y a peut-être lieu de désigner une pareille
affection
sous le nom de sclérose en plaques à forme dest
à une forme aiguë de la sclérose en plaques. Enfin, il existe une
affection
dont la symtomatologie est exacte- ment celle d
,-i(Itte, 95, Sopor, par Fi iediiianti, 315. 25s, 44s. Spinale (
affection
avec cécité et paralysie générale),parWestpha),
ntale et interné au cours d'accidents alcooliques qui présente deux
affections
cutanées intéressantes : l'une, de nature paras
d'une véritable névrose vaso-motrice de la peau. La première de ces
affections
est connue des dermato- logistes sous le nom d'
musicien, vivant et bien portant. Six frères, morts tout jeunes d'
affections
indéterminées. ' Les antécédents héréditaires d
attaque de nerfs, ni accès d'épilepsie, ni agitation choréique, ni
affections
vénériennes. ' Depuis l'âge de vingt-quatre ans
Le malade ne sait a quelle époque faire remonter le début de cette
affection
qui ne s'accompagne d'ailleurs que d'une déman-
stes : il réunit, en effet, par une coïncidence assez heureuse deux
affections
rares de la peau, l'une parasitaire, ]'autre, d
imbécile sans prétention tel que R... le pronostic de l'érythrasma,
affection
toute locale, indo- lente et très peu contagieu
il que les médecins apprennent à connaître et à guérir cette petite
affection
dont la gravité est bERMONEUROSE 51'GRCOGRAPllI
tteints de pyrexie, adyna- miques, telle que la dothiénenterie et d'
affections
cen- trales ou même périphériques du système ne
e de la ma- ladie comme caractères partiels, enfin la marche de l'
affection
qui est dans la plupart des cas rétrogres- sive
les symptômes négatifs de l'étape ultérieure, enfin la marche de l'
affection
qui, dans la majorité des cas, est rétrogressiv
même stationnaire, mais presque jamais progressive, nous avons une
affection
spéciale qu'on ne saurait, sans la dénaturer, f
e, notée depuis longtemps, qui a servi à M. Charcot pour dénommer l'
affection
. Les ongles sont difformes et cassants. - IDI
de développement et de la cachexie pachyder- mique elle-même. Cette
affection
, on le sait, produit toujours, même chez l'adul
s vaso-moteurs, c'est en elle que consiste celte prédisposition aux
affections
psychiques. Ce triangle offre les dis- position
e et de lésions transversales permettent d'éliminer l'idée de toute
affection
exclusivement et primitivement spinale. En reva
de manie aiguë : dans les quatre autres cas, on avait affaire à des
affections
mon- tales chroniques de dégénérescence plutôt
sychologique, se résume dans les conclusions suivantes : . 10 Les
affections
cardiaques se rencontrent plus fréquemment chez
augmentation de fréquence est en partie réglée par la fréquence des
affections
cardiaques parmi la population saine d'esprit r
résidant au voisinage de l'asile où est faite l'observation. 3° Les
affections
cardiaques sont plus fréquentes chez les aliénés
des sujets sains d'esprit est le plus élevé. 4° La distribution des
affections
cardiaques chez les sujets sains d'esprit est r
s analogues paraissent exercer une influence sur la fré- quence des
affections
cardiaques chez les aliénés. 50 La différence n
s cardiaques chez les aliénés. 50 La différence numérique entre les
affections
cardiaques chez les aliénés et ces mêmes affect
rique entre les affections cardiaques chez les aliénés et ces mêmes
affections
chez les sujets sains d'esprit n'est pas consid
Il résulte des observations que j'ai recueillies à l'asile, que les
affections
cardiaques se rencontrent chez 12,94 p. 1110 des
cliniques du reflux mitral chez les aliénés vivants, et ceux d'une
affection
mitrale avec hypertrophie à gauche à l'autopsie
on mitrale avec hypertrophie à gauche à l'autopsie, constituent les
affections
les plus communes. 8, Le coeur est plus lourd c
ie que par l'âge du malade. 11° Chez les sujets sains d'esprit, les
affections
cardiaques paraissent exercer une influence con
ent lieu soient ceux de la folie véritable. 12° Non seulement les
affections
cardiaques modifient le type et les délusions d
subies à l'asile peut et doit être écartée. Il succombabientôt à l'
affection
cérébrale qui avait motivé son internement, età
es progrès faits depuis vingt ans dans le trai- tement des diverses
affections
mentales, dus en grande partie à la connaissanc
festant par des troubles des sens. L'orateur se base .')Ur ce que l'
affection
commence par des hallucinations puis desillusio
halie peut être congé- nitale ou acquise. L'hypertrophie cérébrale,
affection
rare est due d'après Hokitansky à une augmentat
e séméiologie des Maladies du système nerveux sans y comprendre les
affections
mentales proprement dites. Il se place à un poi
estations à une maladie générale (intoxication, auto- intoxication,
affection
fébrile, septique aiguë, chronique, etc.), ou b
uestion a déjà été traité ou observé par un autre médecin pendant l'
affection
actuelle, on y joindra, s'il est possible, un r
es ; elle ne se souvient pas d'avoir jamais été atteinte de quelque
affection
nerveuse ou de quelque autre maladie grave. I
iron une année, puis tout alla bien jusqu'au moment où se déclara l'
affection
dont elle est actuellement atteinte. Observat
le appartient à la classe aisée. Son père est mort, déjà âgé, d'une
affection
pulmonaire ; sa mère, d'une hy- dropisie. Pas d
s toute une semaine ; dans le but de se débarasser de cette pénible
affection
, elle se rendit à Eranzensbad et à Marienbad, e
té nerveuse n'existait justement pas, mais dans lesquels la seule
affection
grave formant époque dans les antécédents des m
it considérablement moindre que celui des Russes atteints des mêmes
affections
. Voulant être encore plus exact dans mes conclu
ix, je n'ai pu prendre dans mon journal que 383 sujets atteints d'
affections
nerveuses, se divisant en 260 Juifs et 123 Russ
découlent des faits très simples : /). Parmi les malades atteints d'
affections
nerveuses, le tabes et la paralysie progressive
seulement dans l'anamnèse du tabes, mais aussi dans celle d'autres
affections
nerveuses comme, par exemple, l'hémiplégie, nou
de chose près avec une fréquence égale chez les malades atteints d'
affections
nerveuses (sur le même nombre de malades, soixa
ente, nous y voyons en effet que : 1). Parmi les malades atteints d'
affections
nerveuses, le tabes et la paralysie se rencontr
Bastian avait, auparavant, reconnu com- plètement la nature de ces
affections
, et, quoiqu'il ne leur eut pas donné un nom spé
ots ou surdité ver- bale (Worttaubheit) '. Surdité verbale. Cette
affection
peut être définie une amnésie auditive, ou la p
ges auditives est la condition pathogénique de cette singu- lière
affection
. Le cas suivant, rapporté par M. Giraudeau, don
d'aphasie sensorielle sont comparativement rares, de même que~cette
affection
est souvent, sinon fréquemment associée à la cé
extrêmement probable que beau- coup de personnes souffrant de cette
affection
ont pu être envoyées dans un asile de fous. Les
! 4 PATHOLOGIE NERVEUSE. auditives des mots ; mais à côté de cette
affection
, il y a un désordre plus léger, dont j'ai déjà
sie verbale et la snrdité verbale, l'aspect symptomatique des' deux
affections
est bien diffé- rent. Dans l'amnésie, l'idée
, 1. 111., p. 15. 218 PATHOLOGIE NERVEUSE. Le diagnostic de cette
affection
peut, parfois, don- ner lieu à quelques difficu
pable de parler très nettement du siège exact de la lésion dans ces
affections
, et nous devons nous contenter d'hypothèses pfu
mpression ; pas de fatigue toutefois; pas de refroidissement; pas d'
affections
pulmonaires, pas de repas avant l'immersion. Im
cas plus de quinze à vingt minutes. Pas de refroi- dissement, pas d'
affections
pulmonaires; pas de repas avant l'im- .mersion.
iques de la moelle (myélites chroniques, scléroses multiloculaires,
affections
combinées des cordons); dans les lésions hémila
bcès par congestion. Etude critique. Le fer rouge, mauvais dans les
affections
de la moelle, convient aux affections de ses mé
e fer rouge, mauvais dans les affections de la moelle, convient aux
affections
de ses méninges. P. K. Vill. DE la 1.11'LI1L de
tique, avant même qu'elle ait augmenté de volume. La cause de cette
affection
glandulaire doit être un poison organique (leuc
nheilk., 1887). Observation complète avec discussion du diagnostic.
Affection
en foyer du côté droit du pédoncule cérébral (m
es photographies montrent les principales psychoses pellagreuses, l'
affection
cutanée les troubles trophiques de la langue (f
est pas là un compiexus morbide bien arrêté; c'est plus souvent une
affection
symptomatique de l'hébéphrénie, un double de dé
ériechez un individu de plus de trente ans, par le traitement d'une
affection
nasale da- tant de la puberté. M. Tuczek. Les
CnEne. rapporte un fait dans lequel, à un traitement prolongé d'une
affection
nasale, notamment par cautérisation succéda imm
dans les cas d'hérédité, de lacunes du côté du système ner- veux, l'
affection
progressera souvent rapidement et d'une manière
considérable. L'étude du pronostic, toujours défavo- rable dans les
affections
mentales périodiques, mérite plus ample. observ
générales; l'alcoolisme des parents peut encore développer d'autres
affections
nerveuses, soit des névroses (hystérie, épileps
iu-8" de 279 pages. - Paris, 1888. z Babé. Kxapp (P.-C.). Neruous
affections
followit7 Iiij'iti,y, Concusson of the Spine. R
son fatale est survenue souvent après peu de jours ; la marche de l'
affection
a été souvent obscure; tout enfin conduirait à
le Dr Korsakoff, com- bien de malades, Russes ou Juifs, atteints d'
affections
nerveuses, avaient élé anciennement infectés de
tait en parfaite santé, est en réalité fils de parents atteints d'
affections
nerveuses et proche parent d'hystériques, ÉTUDE
r sa maladie. Tous les médecins ont vu de ces cas dans lesquels des
affections
nerveuses anatomiques, la myélite, par exemple,
ès et de la paralysie pi'agressive n'est pas une tendance innée aux
affections
nerveuses et mentales, mais la syphilis. Quant
avons émis l'avis qu'il est possible de regarder le tabes comme une
affection
nerveuse post-sypliili tique, analogue aux para
n faite par lui qu'il n'a jamais eu ni la syphilis, ni aucune autre
affection
véné- rienne. Un examen minutieux fait sur tout
e et la fièvre intermittente. Laissant de côté les cas des diverses
affections
ner- veuses intermittentes, spécialement des pa
idérer dans le cas donné la fièvre intermittente comme la cause des
affections
nerveuses que nous avons relevées ; et il ne no
ie. du TAI3Eg,. 383 a saturnine qui a été la cause fondamentale des
affections
nerveuses apparues plus tard. Mais qu'est au
t dans des cas contraires, etc. » M. Eulenburg, dans son manuel des
affections
nerveuses dit que dans un tiers de ses sujets i
- laisse dans ce dernier une prédisposition singulière - de. graves
affections
nerveuses qui portent en elles des signes carac
central tout particulièrement prédis- posée à subir l'influence des
affections
toxiques et épuisantes de l'organisme et, par c
ns une période plus ou moins an- térieure, au sur et à mesure que l'
affection
progresse, 400 CLINIQUE NERVEUSE. que nous vo
elles de la moelle ; en d'autres termes nous sommes en présence des
affections
cérébro-spinales. La forme cérébro-spinale ne p
. · Analyse. On aura certes remarqué que nous avons affaire à une
affection
cérébro-spinale, car le tableau clinique est co
RES. 425 rent absolument en rien de ceux qui s'observent dans les
affections
spinales de toute autre origine. On a pu remarq
viserons en quatre groupes les troubles oculaires observés dans les
affections
cérébro-spinales. Les trois pre- miers groupes,
Le quatrième groupe comprend les cas qui ne se rapportent pas aux
affections
précédentes. Nous ne consignons dans ce compte-
chez 1'.homme. Dans 9 cas, l'hystérie était associée à une autre
affection
nerveuse, déterminant des troubles visuels propre
'attention sur les cas où l'hystérie se trouve associée à une autre
affection
et où nous voyons les deux affections se* reflé
se trouve associée à une autre affection et où nous voyons les deux
affections
se* refléter dans l'oeil par leurs symptômes pr
ions de la polyurie en rapport avec la loca- lisation bulbaire de l'
affection
(polycéphalite supérieure de Vernick). C'est là
ur les autres éléments. La nature atrophique des lésions dans cette
affection
indique un trouble profond dans la nutrition de
pt filles. Parmi celles-ci, l'une est morte jeune, succombant à une
affection
que l'on n'a pu m'indiquer, une autre est hémip
création de nouvelles espèces. li'y en a d'autant moins que chaque
affection
garde, dans cette évolution simultanée, ses car
1° jour : 18 septembre t888. M. le D'' PHILIIIC. Knapp (de Boston).
Affections
nerveuses consé- cutives ci un traumatisme. Le
chroniques et insidieuses, à des processus de dégénérescence, à des
affections
fonction- nelles (psychoses, phénomènes hystéri
eurasthéniques). Ces deux derniers accidents peuvent compliquer des
affections
organiques, d'où obscurité du diagnostic. M.
W. JACOBY (de : Vew-Yorl;). Polynzosile progressive subaiguè. Cette
affection
débute par les muscles du membre inférieur, pui
utre au courant des toutes dernières recherches. P. KERAVAL. XVI.
Affections
nerveuses consécutives à un traumatisme (commotio
e tiendra cette année à Jéna, les 12 et 13 juin. Knapp (P.-C.). Z
affections
following injury. Concussion of th spine. Railw
nts, par Knapp, 498 ; psychologie physiologique, par Sergi, 498 ;
Affections
nerveuses consécutives au traumatisme, par Kn
ques qui cherchent, pendant la période douloureuse du début de leur
affection
, sans cesse une explication à leur étal ; voici
is, ni épilepsie. Aucun des symp- tômes prémonitoires des premières
affections
n'a, du reste, été relevé. Les traitements les
lors l'éner- gie suffisante pour apparaître et pour l'emporter. L'
affection
mentale, « interrompant les associations nor- i
eloppement du squelette (nanisme). A propos de l'étiologie de cette
affection
, il se demande REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 53
es cas où, dans la même famille, il y a plusieurs sujets atteints d'
affections
d'origine thyroïdienne, plusieurs, infantiles,
se médicale, 1 ? mars 1899.) L'auteur rapporte une observation de l'
affection
décrite en 1895 par Bernhardt sous le nom de pa
héorique, un intérêt pratique au point de vue de la prophylaxie des
affections
nerveuses et men- tales en particulier, en mont
L1BILLE. Comme M. Régis, je crois que les caractères men- taux de l'
affection
décrite par ICorsakoff sous le nom de psychose
ai que l'alcool de vin a été rarement signalé dans l'étiologie de l'
affection
en question. Du RÔLE DE L'HYGIÈNE ET DE LA GY
sans le moindre filet d'eau destiné aux usages de la toilette. Les
affections
gyné- cologiques chez les femmes aliénées sont
aux aliénées. Nous avons été frappés par l'énorme pro- portion des
affections
de l'utérus ou de ses annexes, chez les femmes
en dirigé ? Ont-ils le droit d'ignorer ou de laisser sans soins des
affections
utérines curables, et de laisser s'ajouter à des
es asiles, les médecins doi- vent se préoccuper de plus en plus des
affections
organiques de tout genre et surtout des affecti
plus en plus des affections organiques de tout genre et surtout des
affections
utérines et de l'hygiène sexuelle. (13.) ° Nous
il reste certainement au-dessous de la vérité en disant que sur dix
affections
médullaires plus de la moitié reconnaît la véro
la moitié reconnaît la vérole pour cause immédiate ». Mais si ces
affections
découlent J'un même processus anatomo-pathologiqu
on ne constate aucune antre interprétation délirante, aucune autre
affection
mentale. M. Wiîrnicke fait remarquer que le déb
re affection mentale. M. Wiîrnicke fait remarquer que le début de l'
affection
a été constitué par une idée prévalente ayant e
nstatés et surtout l'histoire de la phase aiguë et infan- tile de l'
affection
ne vont pas avec une arthrite primitive. Pour l
premiers mois de l'existence de l'enfanta C'est certainement une
affection
du système nerveux qu'il fallait rechercher à l
s croisements qui auront présidé à leur conception, être atteints d'
affections
diathésiques plus ou moins graves. G. D. SOCI
deux myotolliques. L'auteur pense que la maladie de Thomsen est une
affection
congénitale. Secrétaires des séances : A. 13E
ie de courte durée du nerf moteur oculaire externe du côté droit. L'
affection
consiste en une parésie à évolu- tion progressi
Quand on groupe ces malades d'api ès la durée ascendante de leur
affection
mentale, on obtient le tableau suivant qui indiqu
ndique, par période de dix ans, la période il laquelle remonte leur
affection
, et le nombre des malades se rapportant à chacu
s décennales : 11 résulte de ce tableau que d'après la durée de l'
affection
le nombre des malades subit une progression déc
épouse une jeune fille pour laquelle il éprouvait, dit-il, une vive
affection
. Ses relations conjugales sont normales; deux e
été faite. La plus jeune a eu, dans so-i enfance, une otite; cette
affection
l'effraya; la crainte d'une opération fit que q
'une paralysie ou d'une contracture, comme on peut aussi guérir ces
affections
par sugges- tion. Mais, pour qu'il y ait sugges
dité chargée, ni antécédents personnels morbides. Au cours de cette
affection
, elle a eu deux rémissions à la suite de deux é
éro-orga- nique, constituée par l'association de l'arthralgie à une
affection
préexistante de nature inflammatoire. Dans la
nduite à tenir. Quant au pronostic il est sérieux par la durée de l'
affection
, par sa ténacité, par la possibilité de diverse
aler dans ce travail. 4. Des psychoses dans leurs rapports avec les
affections
des reins; par le D' 6U £ 'LOLI. Les affectio
rapports avec les affections des reins; par le D' 6U £ 'LOLI. Les
affections
des reins agissent par auto-intoxication et peu-
ment pratique; par le D1' '1·nou.s-DEnEVOC. Le bégaiement est une
affection
gênante qui met celui qui en est atteint en éta
ctérise plutôt la pré- dominance d'un syndrome que la totalité de l'
affection
, en tant qu'entité isolée et bien tranchée. Ain
t trois formes qui répondent aux conditions suivantes : 1° Les deux
affections
suivent une marche parallèle ; 2U La phtisie et
, d'après M. Crocq, le remède le plus efficace pour combattre cette
affection
, dans la généralité des cas. G. Dknv. XI. Vomis
f. 6e ? : /te ? XXII, N. F. X, 1899.) Ces maladies, de même que les
affections
des nerfs, des vais- seaux, des viscères, sclér
orenz et Hoffa, se sont occupés spécialement du traitement de cette
affection
. L'aspect caractéris- tique c'est la contractur
s héréréditaires. Pas de syphilis ni d'alcoolisme. Il y a cinq ans,
affection
stomacale de nature indéterminée. En octo- bre
iscussion. M. MouRATOrr croit qu'il s'agit plutôt dans ce cas d'une
affection
fonctionnelle ou toxique diffuse, que d'une encé-
récèdent, accompa- gnent ou suivent l'exécution, de diagnostiquer l'
affection
. Parfois la difficulté de reconnaitre l'insanit
'ont révélé en aucune façon les lésions matérielles propres à cette
affection
. 13. Le délire dmac la jalousie affective ; par
: ; automatiques rythmiques. Gayzal (André). De l'insomnie dans les
affections
cardiaques et enparticulier de l'insomnie d'origi
dans la syringomyélie. Sa valeur comme symptôme initial dans celte
affection
. - Rousseau (Louis). Contri- bution à l'élude d
post-opératoires, et, par suite, sur la constitution de ce groupe d'
affections
mentales. Trois opinions principales sont en pr
1898. Antécédents héréditaires. Le père du malade est mort d'une
affection
pulmonaire, à un âge assez avancé ; au cours de s
vait présenté de troubles mentaux. La mère, décédée par suite d'une
affection
cardiaque, a toujours joui de la plénitude de s
réoccupa pour ainsi dire pas des consé- quences fâcheuses que cette
affection
et l'intervention chirurgicale nécessitée par e
dans le dortoir dans un costume des plus sommaires. Malgré cette
affection
incidente, qui, du reste, parait bénigne, l'éta
acte; ceux au contraire, qui remontent à la période de début de son
affection
n'ont laissé, pour la plupart, dans son esprit,
ant pour la plupart à des faits qui se sont passés, au début de son
affection
, ont persisté et persistent encore dans sa mémo
. de la Sctllrc7lrière, n° 2, 1899.) Dans la description de cette
affection
à manifestations si variables, les observateurs
e symptomatique du tabes, et souvent se manifeste dès le début de l'
affection
, mérite à ces divers titres de servir à désigne
question reste posée, en tout cas la chorée essentielle serait une
affection
infectieuse du cerveau dont le siège exact est
mygdales inspire à cet égard un doute d'autant plus justifié qu'une
affection
de l'oreille moyenne et, par suite, du facial,
ériodes intervallaires sont lucides en général dit le D1' Trénel, l'
affection
est aiguc, subaiguë, prolongée ou chronique. El
alysie générale, admettant seulement une coïncidence entre les deux
affections
; une opinion intermédiaire considère que la sy
l'hypophyse réagit sur le système nerveux et détermine l'éclosion d'
affections
nerveuses ou mentales variées. , Un cas de para
s, alteiuts au mois d'août, à quatre jours d'intervalle, de la même
affection
: début par frisson et fièvre, le lendemain, para
e disséminée. Discussion. 1. Mocratoff croit qu'il s'agit ici d'une
affection
d'origine infectieuse : la longue durée de la f
alisation du foyer dans le corps optique. M. KOR1\ILOFF pense que l'
affection
pourrait êlre d'origine post- infectieuse. Le
e présentée à la société il y a deux mois. Actuellement, bien que l'
affection
fondamentale per- siste (même hypertrophie des
ticulier de lésions médullaires, caractérisées principalement par l'
affection
du nerf musculo-outané (peroneus). La localisatio
on du nerf musculo-outané (peroneus). La localisation présumée de l'
affection
se trouve dans ces. cas immédiatement au-dessus
e M. Minor peut avoir une grande valeur dans la symptomatologie des
affections
de la moelle épinière. M. KORNILOFF prend part
rvir de point de départ pour diagnostiquer la forme fruste de cette
affection
. Discussion. - M. POSTOWSKY fait remarquer que
examinés d'épilepsie (8 cas), de syphilis cérébro-spinale (6 ca), d'
affections
diverses du neurone moteur ' (névrite multiple,
les états d'épuisement général. Le rapport de ce phénomène avec l'
affection
du premier neurone moteur est douteux. Le bourrel
bourrelet musculaire ne peut servir de preuve d'autonomie de cette
affection
. M. Korniloff dit que les nombreuses recherches
wxorF et 1\IouRAToFF. M. MOLTSCHANOFF. - Contribution à l'élude des
affections
blf11nOI'- rhagiques du système nerveux (avec p
onnaissances actuelles relatives à la question de la pathogénie des
affections
blennorra- giques du système nerveux, M... expo
e, du moins d'une amélioration pro- gressive (I3rissaud). C'est une
affection
d'origine médullaire, exclu- sivement due à l'a
0ler, llac Nult, Sachs, Freud, Raymond, Massalongo), considèrent l'
affection
décrite par Little comme un simple syndrome lai
, alcoolisme et surmenage ; ils sont d'autre part prédis- posés aux
affections
du système cérébro-spinal (paralysie infantile,
osés aux affections du système cérébro-spinal (paralysie infantile,
affections
convulsives), et à toutes les variétés des maladi
Il ést aussi un certain nombre de points sur la pathogénie de ces
affections
, sur leur bactériologie, sur l'étendue et la vale
ires ; il peut nous dire cependant qu'il n'était pas malade avant l'
affection
actuelle. Des parents nous ont appris ultérieur
cornes anté- rieures, et l'on sait que dans la paralysie infantile,
affection
où celte pathogénie vasculaire a été mise en av
ressant de rapprocher au point de vue pathogénique ces différentes
affections
des méninges rachidiennes et de la colonne motr
Ce dernier auteur n'ayant pas donné de subs- tratum anatomique à l'
affection
qu'il décrivait, puisqu'il croyait à l'intégrit
cette opinion en 1889 « on n'a pas fourni la preuve certaine qu'une
affection
des centres, de la moelle et du bulbe en partic
- semblable diversité des lésions médullaires décrites dans celte
affection
en concluaient au peu de valeur de ces observa-
eptocoque méningocoque), rapproche au point de vue pathogénique ces
affections
de la moelle et des méninges. CLINIQUE MENTALE.
, alcoolique, boit du rhum tous les matins à jeun. Mère morte d'une
affection
cérébrale, encépha- lite ( ? ) suivant les méde
ille ¡Jutemelle. -1llèl'e, nerveuse, morte ci trente-deux ans d'une
affection
cardiaque. - Grand'mère maternelle, crises net-
nerfs. Caractère peu commode. Morte onze jours après son mari d'une
affection
cardiaque à trente-deux ans. Grand-père materne
ité faible, comparée à la compression, per- mettait de croire à une
affection
tuberculeuse de la colonne verté- brale. Cette
ement l'interruption spinale. Mais il n'y avait aucun autre signe d'
affection
tuberculeuse, et par contre les symptômes cons-
e l'efficacité du traitement hydrique sur le cerveau que dans cette
affection
. Sur 21 cas traités par l'hydrothérapie, 6 étai
. Strumpell désigne le tabes et la paralysie générale sous le nom d'
affections
, para, méta ou post-syphili- tiques, qui sont à
ccèdent aux diph- téries pharyngées préalables. Mais la plupart des
affections
tabé- tiques progressent continuellement, il es
diplégie faciale ; on ne lui trouve aucune cause ; ni syphilis, ni
affection
auriculaire ; point de signe de lésion des méni
ant M. Fou- quet s'est assuré que de nos jours, en Egypte, diverses
affections
sont traitées par de petits tatouages exécutés
pouvait être si sérieusement atteinte. Il souffrait en effet d'une
affection
hépa- tique et une crise devrait l'enlever, en
teuse, sont les moyens thérapeutiques que nous pouvons opposer aux
affections
mentales : aussi la croyance à l'incu- rabililé
es sujets - ceux atteints de psychoses aiguës que la nature de leur
affection
rendait inaptes au travail. On en arriva ainsi
valoir le scepti- cisme de certains, démontrent que, pour de telles
affections
, la guérison survient dans environ 60 p. 100 de
, sont inapplicables ou contre-indiqués chez les malades atteints d'
affections
mentales aiguës. Ces états sont en effet toujou
e, démences, délires systématisés, ètc). Les sujets atteints de ces
affections
doivent être considérés comme des malades, non
solement en cellule dont on a tant abusé devient exceptionnel ; les
affections
organiques incidentes ne Archives, 21 série, t.
d'aliter les aliénés, comme on le fait des individus atteints d'une
affection
viscérale quel- conque, et de traiter par le re
doivent être maintenus au lit pendant certaines périodes de leur
affection
, considérés comme malades physiquement et soi-
ue à suivre son traitement pendant l'année 189j et peut, malgré son
affection
de la moelle, s'occuper comme chauf- feur dans
t établi que, si ce mode respiratoire peut se produire au cours des
affections
les plus diverses, lésions méningo-encéphaliques
, rappelant des troubles semblables dans les maladies fébriles, les
affections
des reins, les maladies du coeur, ou autres aff
ébriles, les affections des reins, les maladies du coeur, ou autres
affections
organiques, mais en dif- férant par ce fait qu'
s limites a complètement disparu. Sept semaines après le début de l'
affection
, la vision périphérique pour le blanc et les co
ère, anciennes. Il est à penser que celles-ci ont en pour origine l'
affection
rénale commençante qui, se greffant sur un mauv
plus tard, et tout à fait indépendamment de l'accident, il a eu une
affection
organique. En admettant l'exactitude du diagnos
t l'exactitude du diagnostic de M. Francke, entre l'hystérie et une
affection
spinale à lésion, il ne saurait y avoir de rela
s progrès de l'irritation inllammatoire des cordons nerveux, mais l'
affection
n'a point passé à droite. P. KERAVAL. LXXI. Con
bles de fonction- ner, dans la glande thyroïde ; 4° il s'agit d'une
affection
congéni- tale, car la malade avait dès sa naiss
- nique se fût accompagnée d'autres perturbations. C'est donc une
affection
périphérique, difficile d'ailleurs à expliquer. I
des ganglions et la région s'y opposent) mais par propa- gation. L'
affection
pharyngée a enflammé les ganglions qui, a leur
longue durée de l'évolution, l'absence de signes d'abcès ou autres
affections
(auriculaires ou nasales) expliquant l'oedème,
inatoire, états maniaque et mélancolique) et les épisodes aigus des
affections
chroniques (paralysie générale, lésions cérébra
dolescents. Après avoir dans le premier chapitre, déclaré que cette
affection
doit toujours être considérée comme grave, par
qu'il faudra s'adresser (massages, exercices, etc.). Au contraire l'
affection
est- elle déclarée ? c'est alors contre la caus
pris si subitement qu'il ne pouvait guère être atteint que d'une
affection
aiguë du cerveau, mais en supposant même que c'eû
évritiques, par Ma- bille, 59. Des - dans leurs rapports avec les
affections
des rems, par Guélon, 165. De la phtisie et e
yphilitique que nous venons de décrire que du tabes vrai; souvent l'
affection
reste stationnaire n'évoluant pas d'une façon pre
892, salle Henri IV, no 10, hôpital St Louis. A. H. Parents morts d'
affections
pulmonaires. , A. P. Sujette depuis l'adolescen
myotrophies n'é- taient que des formes diverses d'une seule et même
affection
: la myopa- thie progressive. Je ne reviendrai
oitrine. Il a eu 7 frères et soeurs, dont 4 sont morts en bas âge d'
affections
inconnues de lui. Une soeur est morte il '18 au
sa jeunesse pour traitement d'hystérie il forme dé- lirante. Cette
affection
s'atténue pendant sa seconde grossesse et diminue
émia- nesthésie complète ne peut dépendre, dans certains cas, d'une
affection
organique de l'encéphale n'en serait pas moins
à, l'apparition d'accidents hystériques, il est tout naturel qu'une
affection
organique ou dynamique du système nerveux, qu'un
lesquelles le sys- tème cérébro-spinal ne paraissait pas atteint d'
affection
grave. M. IIu- chard (3) en 1882 avait décrit «
contractures dites réflexes par lésions des nerfs : traumatis- mes,
affections
articulaires qui sont en général faciles à consta
ui, mieux que tous les autres accidents de la névrose, simulent les
affections
chirurgica- les ou les maladies organiques du s
t le mieux étudiés. Les contractures sont en effet le type de ces «
affections
nerveuses locales » si bien décrites par l'aute
noplégie. Plus tard, la marche alternante, la guérison brusque de l'
affection
ne font que confirmer ce diagnostic et il ne saur
ntrent pas dans les aphasies organiques, et ceux où, la marche de l'
affection
étant intermittente, on a eu affaire il des aphas
cile par l'ignorance de la cause ou du mode de début et celles où t'
affection
a suivi une marche progressive, un certain embarr
entrent les associations patholo- giques de l'aphasie avec d'autres
affections
: syphilis, fièvres éruptives, lé- sions du lar
es deux syndromes et à leurs variétés qu'on peut ramener toutes les
affections
de la protubérance. On entend par syndrome de W
ne pouvait qu'avancer des hypothèses sur le siège et la nature de l'
affection
primitive. Le doute est donc bien permis quand,
rement dynamiques. Car l'hystérie est le type le plus commun de ces
affections
qui, intéressant l'appareil sensitif dans son e
e des membres supérieurs. Je pose les rhéophores du côté opposé à l'
affection
pour éviter l'excitation du plexus brachial du me
e les rhéophores du côté de l'hémisphère lésé; et s'il s'agit d'une
affection
de la moelle épinière, je faradise les deux rég
ussi des troubles trophiques analo- gues à ceux des névrites. Cette
affection
est, vous le savez, caractérisée par des lésion
e. Il semble donc qu'il y ait plus que de l'analogie entre les deux
affections
, et qu'on puisse regarder la maladie de Morvan
il orthopédique qui produit une amélioration passagère. A 15 ans, l'
affection
ayant fait de nouveaux progrès, on fait une sec
é de lever tous les doutes. - C'est ainsi que le début brusque de l'
affection
, la superposition des trou- bles de sensibilité
données suffisantes pour aborder main- tenant la comparaison de ces
affections
organiques avec les affections hys- tériques de
r main- tenant la comparaison de ces affections organiques avec les
affections
hys- tériques des muscles de l'oeil. Une prem
faire entrer en ligne de compte dans le diagnostic différentiel des
affections
organiques ou hystériques des muscles de lui) ;
- nant à nous occuper, c'est la méningite. Il n'est peut-être pas d'
affection
plus difficile à décrire en pathologie, parce q
, et certes, plus importantes, dans le diagnostic clinique de cette
affection
? L'erreur est surtout facile chez les enfants
a variété et la mobilité de leurs symptômes. Le diagnostic des deux
affections
n'en devient alors que plus ardu. Avant donc d'
dans l'hystérie; mais il suffit qu'on l'y observe pour que les deux
affections
dont nous faisons le parallèle aient une analog
le nom de ménillgo-encéphrtlite chro- nique, un type particulier d'
affection
chronique de l'encéphale bien distinct des autr
entre à la salle 16 de l'hôpital St-André le 31 mars 1892, pour une
affection
principalement caractérisée par des mutilations s
bas àge. Il a perdu deux frères, l'un à 10 ans, l'autre à 21 ans, d'
affections
inconnues. Rien à signaler au point de vue névr
nge. Puis l'annulaire et l'auriculaire gau- ches paient tribut ci l'
affection
. L'hiver dernier (1892), une phlyctène ap- para
piratoire et circulatoire fonctionnent tout à fait normalement. L'
affection
est surtout localisée aux mains et aux pieds. Nou
t rien de caractéristique ; on les re- trouve dans l'une et l'autre
affection
avec leurs localisations et leurs formes variée
nt qu'on pourrait tirer de l'âge auquel a débuté ou a paru débuté l'
affection
est des plus spécieux ; en effet la lèpre peut se
es malades un antécédent susceptible d'être mis sur le compte d'une
affection
médullaire. 3. Dans les trois cas de lèpre à
le de la face et des muqueu- ses ne serait donc pas rare dans cette
affection
. La plupart des nerfs crâniens peuvent d'ailleu
été publiée avec un examen histologique détaillé (1). Le début de l'
affection
médullaire, dans ce cas, remontait à 10 ans. Au b
r non seulement dans la démence apathique, mais aussi dans d'autres
affections
savoir : 1° dans les polioencéphalites et dans
lle, émotionnelle ou physique ; 4° dans la masturbation. Dans les
affections
bulbaires, l'affaiblissement du muscle orbitaire
e à savoir : l'âme du malade ayant conservé la faculté de certaines
affections
, une expression mimique correspondante s'imprim
ression mimique correspondante s'imprime sur le visage; lorsque les
affections
se sont affaiblies au contraire, ou qu'elles so
symptômes d'une méningite spinale chronique, contribue à donner à l'
affection
un ca- ractère très particulier et qui se retro
ses aussi peu importantes souvent invoquées dans l'étiologie de ces
affections
spinales. En dépit des différences importantes
(1), montrait que, dans certains cas, la rachialgie qui précède les
affections
syphilitiques de la moelle et les annonce, présen
insi dire, sur la précédente, en ce qui concerne les prodromes de l'
affection
médullaire. Seulement ici, les premiers acciden
races; et le tableau clinique se rapporter à un moment donné, à une
affection
exclusivement médullaire : tel est le cas dans
grêles. Elle ne tousse pas cependant et ne présente aucune espèce d'
affection
viscérale. Elle se présente dans l'état suivant
nte. - Dans un grand nombre de cas, les troubles prémonitoires de l'
affection
médullaire offrent des caractères beaucoup moin
harcot, le 25 mai 1892. Salle Prus. N° 8. Le malade n'a jamais eu d'
affection
grave antérieure, et n'a jamais présenté en par
ail- leurs admettre, suivant la remarque du professeur Erb, que les
affections
syphilitiques de la moelle épinière ont contrib
qu'une attaque soudaine d'angine de poi- trine vient d'enlever à l'
affection
de ses élèves, à la vénération du monde scienti
n'est qu'un ' spécialiste, génial il la vérité dans le domaine des
affections
nerveuses, alors que parmi ses collègues il éta
les lignes de démarcation qui séparent le rhumatisme chronique de l'
affection
goutteuse. Son livre sur les maladies des vieilla
pé- rieurs, des nerfs crâniens ou des fonctions cérébrales. Enfin l'
affection
présente une tendance très manifeste à s'amélio
la connaissance du malade. Lui-même n'a jamais eu antérieurement d'
affection
grave. Il n'a pas présenté d'accidents nerveux
jamais le malade n'a été obligé de garder le lit. La marche de l'
affection
a été graduellement progressive, sans phase aiguë
ulsifs, sur la co- lonne vertébrale depuis son entrée, sans que son
affection
se soit modifiée sen- siblement. DE LA MÉNING
érieurs, la paralysie motrice à proprement parler existe à peine. L'
affection
peut, il est vrai, s'aggraver momentanément, tr
s'agit pas là d'une maladie différente : les traits essentiels de l'
affection
sont les mêmes, l'ordre d'évolution des différe
etc.. Il reste encore à établir s'il s'agit là aussi d'une forme d'
affection
spinale syphilitique ». Actuellement cependant
ope ne laissent aucun doute sur la relation possible d'une pareille
affection
avec la syphilis. Nous citerons en particulier le
tiques se partagent en deux catégories : celles dans lesquelles une
affection
plus ou moins analogue au tabes s'est montrée, so
ire que la syphilis médullaire n'affecte jamais les al- lures d'une
affection
systématisée de la moelle épinière, de même que l
les hôpitaux, d'abord ceux de son pays où il a été traité pour les
affections
les plus diverses. A St-Pétersbourg, il est resté
ALPÊTRIÈRE. Tous leurs enfants sont bien portants et aucun n'a eu d'
affection
nerveuse. Sigmund S. est le quatrième enfant :
nt Fig. 49. OSTÉO-AHTliROPATllIE AIGUË CHEZ UNE ALIÉNÉE 329 une
affection
somatique chez une aliénée, telle que celle de l'
s'attache à la détermination des rapports qui existent entre cette
affection
et la maladie qui en est la cause, j'apporte en o
sychomotrice ; en outre le complexus symptomatique psychique et les
affections
somatiques, que nous avons notées, doivent être
le mal perforant. La littérature fournil peu d'indications sur les
affections
des articula- tions chez les aliénés; nous ne c
sidérations théoriques et sur l'observation clinique de trois cas d'
affection
simultanée de psychose et d'arthritis dé- forma
pisodique de la tem- pérature du corps, le développement subit de l'
affection
, et son cours éphémère avec terminaison par la
ensemble de ces modifications nous donne le droit de désigner cette
affection
sous le nom d'ostéo-arthropathie. Ici plu- sieu
e. Ici plu- sieurs questions se présentent. De quelle manière celle
affection
s'est- elle développée ? Est-elle l'indice de q
a et arlhritis sub trauma, et si elle n'appartient il aucune de ces
affections
, comment s'expli- que alors sa pathogénie ? (
ui nous occupe, nous n'avons eu affaire ni à une maladie chronique,
affection
tuberculeuse, syphilitique ou rhumatismale de l
e ne permet pas d'admettre, en effet, que nous ayons eu affaire aux
affections
appartenant à la première de ces catégories; qu
symptômes cardinaux se rapportant aux troubles qui accompagnent ces
affections
. En outre l'is- sue de la maladie, qui s'est ef
tions, ou plutôt la possibilité des conditions, dans lesquelles ces
affections
ont pu être observées, ontsous ce rapport une i
-patho]ogi- ques récentes démontrent que, sans certains rapports, l'
affection
en ques- tion présente par elle-même une unité
RIÈRE. est donc impossible de nous arrêter à aucune des formes de l'
affection
inflammatoire habituelle de l'articulation. Nou
rticulation. Nous n'avons pas davantage le droit de rapporter cette
affection
à une lésion de la moelle épinière, les symptôm
a peau) l'ostéo-artI1l'0pathie, nous obligent à reconnaître que ces
affections
prises dans leur ensemble, ont un élément patho
ogie que l'existence de ces troubles et leur développement dans les
affections
des centres nerveux et des nerfs (Charcot) où se
multiples. On voit se suivre ou s'entrecroiser les névroses et les
affections
organiques, l'arthri- tisme et le diabète. Dans
ervation I les phénomènes restent peu accusés pour l'une et l'autre
affection
. En remontant pour un instant à la légende, il
ut savoir faire le Diagnostic. - En première ligne, il faut citer l'
affection
que M. Charcot a décrite sous le nom d'« Automa
ement tenaces, et presque incurables : bien qu'il ne s'agisse pas d'
affections
organiques, une neurasthénie profonde, compliquée
s d'où naissent les veines. Celles-ci peuvent devenir vari- 1 Des
affections
cltil,lt1'yicales des nerfs. Th. agrég., 1866.
es délirants chroniques sont des sujets normaux jusqu'au début de l'
affection
mentale (Magnan). Les persécutés de ce type ne
ément des persécutés génitaux. Je laisse de côté les malades dont l'
affection
est récente; et je prends seulement, parmi mes
laquelle est un sien neveu, qui n'a jamais été pour lui que plein d'
affection
et de défé- rence. Ce neveu s'est affilié à l'o
aucune idée ambitieuse quelconque. Enfin je viens de perdre d'une
affection
organique du coeur, un vieux malade, notre pens
rniaire. Il a eu cinq frères ou soeurs qui sont tous morts jeunes d'
affections
inconnues de notre malade. Il ne peut donner de
reuse et emportée. Il a eu six frères ou soeurs; trois sont morts d'
affections
n'ayant rien de - : -spécial à noter. Parmi les
s sa famille. Tous les mem- bres qu'il connaît n'ont ou n'ont eu ni
affection
nerveuse, ni goutle, ni diabète, ni rhumatisme,
. ZD pas que le sucre disparaît des urines dans le cours d'une
affection
inflammatoire ? Trousseau ne signale- t-il pas
ient fou le sucre disparaît parfois de l'urine ? Du reste, dans les
affections
du système nerveux, l'atté- nuation, l'arrêt ou
bes suffit à expliquer cette succession, chez le même individu, d'
affections
pathologiques distinctes quoique unies par des
arrêts de développement, que diverses infirmités physiques, que des
affections
dites organiques du système nerveux, voire même
ement cérébral, ataxie locomotrice), victimes en outre de certaines
affections
diathésiques (goutte, diabète) présentent enfin
l'hystérie, peuvent se manifester en dehors d'elle, dans d'autres
affections
du système nerveux, sans lésions organiques app
, peut-être, être provoquée à dessein. Mais c'est, en tous cas, une
affection
généralement très tenace, très rebelle, qui peu
rend aisément, l'apparition, chez un des mem- bres du groupe, d'uae
affection
reproduisant un aboie- ment, un miaulement, pou
pport avec une lésion probable du grand sympathique : le début de l'
affection
par une pâleur d'une moitié de la face, l'appar
culaires postérieures/ Il est probable que le type se compose d'une
affection
systématique de la moelle entée sur un arrêt de
çon immédiate, mais lente et con- tinue, les phénomènes morbides; l'
affection
cérébelleuse, joue le rôle d'un élément pathogé
lution du cubital, voire du radial et du médian. Intégrité du tact.
Affection
symétrique mais inégalement symétrique quant à
. (central. f. Nervenheilk., 1890.) , Mémoire écrit en anglais.
Affection
sévissant chez des hommes et des femmes de plus d
diminué. Aucun trouble de la sensibilité ni des réflexes. C'est une
affection
de même nature que la paralysie agitante; très
CONTRIBUTION A la question DES TROUBLES DE la SENSIBILITÉ dans les
affections
EN foyer du CERVEAU; par L. D.1BESCHEIVITSCH. (
eu- vent être également notées au début ou dans le cours de cette
affection
; - 3° la rigidité musculaire indiquant un premie
a maladie de Parkinson, et non à des complications étran- gères à l'
affection
; 4° sans pouvoir actuellement se prononcer sur
agnostic de névrite périphérique, et, pour écarter toute idée d'une
affection
médullaire. La grippe doit donc être rangée au
emière observation s'est présentée cliniquement sous la forme d'une
affection
spinale, dans la seconde il semblait qu'on eût
ection spinale, dans la seconde il semblait qu'on eût affaire à une
affection
cérébrale, la troisième paraissait être une com
it. M. Siemerling insiste, en ce qui concerne le diagnostic d'une
affection
syphilitique de la moelle, sur la simultanéité de
s dans ses sensations internes. A cet état s'ajoute l'influence des
affections
, tantôt sous forme de dépression, de peur ou de d
on, d'où la nécessité de les séparer de toutes les autres, formes d'
affections
psychiques. Dans la mélancolie et la manie, en
ses sensations, elles s'harmonisent avec l'élément fondamental de l'
affection
psychique, avec la dépression ou avec l'exaltat
, elle ressort du précédent exposé symptomatique respectif des deux
affections
. 1 Rappelons que la caractéristique du délire c
lation de « folie générale ». Reste à savoir dans quel groupe des
affections
psychiques placer la forme mentionnée ? Doit-on
ncent contre le carac- tère dégônératif de sujets atteints de cette
affection
mentale. Con- formément à cette idée, étant don
que dans deux cas. Conclusion. L'influenza est au premier chef une
affection
nerveuse épidémique. Pronostic d'ailleurs favor
ble n'est qu'un syndrome, et ce syndrome peut s'observer dans les
affections
cérébrales, dans les maladies de la moelle, dans
vec les mouvements athétosiques qu'on peut rencontrer dans d'autres
affections
. L'athétose double d'origine extra-cérébrale n'es
e nous reste guère que l'arthritisme, c'est-à-dire le groupe de ces
affections
parentes qui, selon le professeur Bouchard, rel
e qui guérit sans complications. Pas d'autre maladie antérieure à l'
affection
actuelle. Il n'a pas eu de convulsions dans le
ui se succèdent d'une génération à l'autre en se trans- mettant des
affections
au fond identiques. Il est cu- rieux néanmoins
'est pas un symptôme banal qu'on peut observer dans toutes sortes d'
affections
mentales, mais au contraire, qu'elle est un sym
est relativement fréquent, il ne se manifeste jamais au début de l'
affection
, mais bien dans une période assez avancée et lo
tendance au 'meurtre n'apparaît que dans les périodes avancées de l'
affection
? i - j i v ' l, '' Les malades précédents, les
se diviser en deux grandes classes, ceux qui avant l'invasion de l'
affection
men- tale; étaient normaux au point de vue psyc
avons vu des persécutés arrivés à une période déterminée de leur
affection
, tuer après mûre délibération. Nous avons vu de
analogue, elle éclate brusquement, à des époques très diverses de l'
affection
, sans règle précise, avec ou sans hallucination
énérés - primitivement, mais arrivés à une période avancée d'une-
affection
chronique du cerveau, procédaient parfois, quan
difications apportées à la longue dans son fonctionne- ment par l'
affection
dont il est le siège. Cette obser- vation a déj
possible de tabler pour établir le diagnostic différentiel des deux
affections
. C'est évidemment sur les symptômes propres à c
- teurs... le diabète véritable coexiste incontestablement avec l'
affection
la première en date. Dans ces cas d'association
ymptômes cardinaux décrits par Friedreich : caractère familial de l'
affection
, incoordination motrice se manifestant dans les
t faux. Car elle n'est pas traitée comme les autres. Elle n'a pas d'
affection
autour d'elle. On devrait faire d'elle une victim
à critiquer ses semblables et à s'isoler d'eux. Elle avait besoin d'
affection
et la repoussait : Du côté intellec- tuel, elle
l'on observe en pareil cas, et avait indiqué les rapports de celte
affection
avec les états névropathiques en général. R. M.
mbre de cas observés par lui. R. M. C. XXIX. SUR UNE forme rare d'
affection
mentale (G)'M6et<C/t<) ; par CoIVOLLY NOR
MAN. (The Journal of Mental Science, octobre 1888.) Il s'agit d'une
affection
que Griesinger a le premier décrite dans les Ar
étudié aussi son action dans le catarrhe vésical, l'hémiplégie, les
affections
organiques du cerveau, la sclérose médullaire, la
1891 '. Présidence DE M. JOLLY. M. SCIIULTZE. Encore un mot sur les
affections
nerveuses consécu- tives au traumatisme. - Depu
lie et ce dernier type sont bien subtiles; ce sont en tout cas deux
affections
soeurs. Peut-être les processus de destruction
s rapprochées des altérations rencontrées par Licli ! heim dans les
affections
générales chroniques (anémie per- nicieuse, etc
veloppé. La malade mourait un an après l'embolie, des suites de son
affection
cardiaque (oedème, congestion pulmonaire, cache
le symptôme d'une maladie constitutionnelle générale, soit celui d'
affections
locales de la cauda, ou bien encore d'une hypér
part du nerf sym- pathique, et rattache les cas de ce genre il une
affection
du triju- meau et spécialement des fibres troph
EVITSCII. En admettant la dépendance d'une 256 SOCIÉTÉS SAVANTES.
affection
du nerf trijumeau, il serait plus exact de locali
iguës et subaiguës de nature périphérique sont, selon le degré de l'
affection
du système muscu- laire, divisés par M. Mourato
de l'hystérie que des médecins ont été conduits à créer un groupe d'
affections
dites : pseudo-sclérose en plaques, pseudo-tabe
tômes qui appartien- nent à la névrose et de ceux qui relèvent de l'
affection
spinale; 4° le pronostic et le traitement sont
oraine, F. Alcan, éditeur. ' M. Sollier définit l'idiotie : « une
affection
cérébrale chronique 260 BIBLIOGRAPHIE. à lési
très intéressante leçon sur les symptômes caractéristiques de cette
affection
spéciale. M. Chervin .s'est efforcé d'apporter
circonstances elles peuvent êtres acquises. En effet, à la suite d'
affections
aiguës chez les jeunes sujets, on observe des c
donne, sans choix, au premier venu. Puis elle est prise d'une vive
affection
pour un ouvrier avec qui elle voudrait se marie
ment se présentent dans le ser- vice, les malades atteints de cette
affection
intéressante et nouvellement étudiée, la syring
ileptique de l'éclampsie. C'est une affinité de plus entre ces deux
affections
dont la pathogénie est encore si obs- cure, mai
it, en somme, que A... était atteint depuis environ neuf mois d'une
affection
qui était toujours allée en s'aggravant, et qui,
d'aucune tare héréditaire se trouve cependant, par le fait de son
affection
cérébrale qui date de neuf mois, dans les mêmes
'ils étaient héréditaires d'eux- mêmes. , A..., parle fait de son
affection
cérébrale, est donc devenu un dégénéré intellec
ébut de l'accès. Quelle sera maintenant la marche ultérieure de l'
affection
? L'accès actuel guérira peut-être, la guérison
si l'on pouvait mettre ces hallucinations sur le compte d'une autre
affection
combinée à la mélancolie, l'hystérie, par exemp
s évidents de paralysie générale qui sont palhognomoniques de cette
affection
. Si l'on examine de bonne heure le cerveau hypé
n, et, finalement, des muscles du tronc. Symp- tômes symétriques. L'
affection
gagne les membres supérieurs, il s'y joint du t
'agit d'un fils et frère d'épileptique atteint lui- même de la même
affection
et qui était resté pendant sept ans à la campag
uelle entre jurisconsultes et psychiatres. M. ERLENMEYER. Sur une
affection
cérébrale produite par la syphilis ' Voy. Archi
nt de trente-trois ans, indemne de tares héréditaires, atteint de l'
affection
spinale en question en 1879. En 1881 il prend u
x- ans, dans un milieu très simple, à la campagne, à la suite d'une
affection
fébrile. Les symptômes furent : l'aphonie, des
es éléments d'hérédité, est, à l'âge de dix-huit ans, atteint d'une
affection
mentale caractérisée par : débilité mentale ave
ralysie des muscles postérieurs. l1L- le Dr DAIICHENITCH. Sur les
affections
articulaires et muscu- laires chez les hémiplég
ésence dans ces conditions des arthropathies et des amyotrophies. L'
affection
articulaire aux extrémités supérieures dépend le
de lenteur, et même des rémissions dans leur marche. Qui sait si, l'
affection
n'aurait pas rétrocédé sans une chute qu'il fit
de la complexite des symptômes d'ordres divers que présen- tent les
affections
du système nerveux, les auteurs s'en sont tirés
vue psychologique qui prend de plus en plus de place dans certaines
affections
nerveuses n'a pas été laissé de côté par les au
professeur de thérapeutique à la Faculté de Lyon, retenu par une
affection
douloureuse et heureusement peu grave. Je lui suc
tassent en couches pressées les maladies chroniques incurables, les
affections
nerveuses et mentales, avant de révéler leurs s
parcourt son orbe ascen- dante ; vos disciples vous entourent d'une
affection
profonde et ils sont heureux de votre gloire qu
éunion et qu'elle nous permet de vous dire toute notre respectueuse
affection
et toute notre vive reconnaissance. Si nous somme
fin de vous appor- ter, eux aussi, l'expression de leur inaltérable
affection
. En leur nom, je bois à votre santé et à celle
par Lannois et Re- gnault, 109; - fonctionnelle, par Thomas, 246;
affections
articu- laires dans l ? par Darkche- witsch,
jamais les muscles de la face n'ont été atteints. Etat actuel. L'
affection
dont se plaint le malade présente les caractère
disposition inquiète que nous venons de signaler. Cette singulière
affection
n'a pas'encore été, que nous sachions, décrite
, nous verrons plus loin s'il doit être admis sans réserve. Cette
affection
semble avoir été vue au moins une fois par Ch.
Le troisième cas de Seeligmiiller est un peu différent, en ce que l'
affection
ne semble pas dater de l'enfance, mais serait v
res; rien d'important dans les auamnestiques. Le père affirme que l'
affection
de son fils date de la première enfance. Quand
a permis de réunir, de grouper ensemble les différents cas de cette
affection
pour leur donner une place à part dans le cadre
gulière maladie. Le D' Thomsen, qui est lui-même atteint de cette
affection
, a pu la retrouver dans trois générations de sa
USCULAIRE. 17 Parmi ses treize enfants, sept furent atteints de l'
affection
qui nous occupe, les autres étaient tout à fait
ération, celle des enfants de Thomsen et de ses frères et soeurs, l'
affection
semble décroître d'intensité : sur trente-six i
, trois plus légèrement ; chez un de ses enfants mort en bas âge, l'
affection
se montrait déjà au berceau; elle existe aussi
épendante AIICHI'I,S, L. V. 2 t8 s .CLINIQUE NERVEUSE. de cette
affection
, et l'identité des symptômes est telle qu'il es
ie serait congénitale. Peters, au contraire, la fait dépendre d'une
affection
médullaire acquise. Le symptôme capital, celui
ez caractéristiques pour permettre de reconnaître sans difficulté l'
affection
qui nous occupe; d'ailleurs, les maladies avec
que. Si, maintenant, nous cherchons à pénétrer la nature de cette
affection
, nous devons avouer que tout ren- seignement pr
ion électrique, nous aurions plutôt une tendance à assigner i cette
affection
une origine mus- culaire. Pétrone la fait dépen
lieu, nous croyons inutile de préjuger ainsi la nature spinale de l'
affection
. Quant à la dénomination sous laquelle ont été
n. Observation XII. Demoiselle, seize ans.bienréglée; sujette aux
affections
de la gorge et du nez ; la voix est nasillarde ha
duisent, ont suivi les phases diverses 38 CLINIQUE NERVEUSE. de l'
affection
, et des états organiques qui accompagnent une o
'aversion pour son amant qui depuis plus de vingt ans l'entourait d'
affection
et de soins. La vue de cet homme lui était deve
eut M. Dagonet; ils seraient absolu- ment incompréhensibles quand l'
affection
évolue de toutes pièces. Il est d'ailleurs rema
tableau symptomatique était réduit à peu de chose, relativement à l'
affection
en question; et, ce n'est que sous forme de dou
n d'une sclérose latérale amyotrophiqne ; mais la prolongation de l'
affection
(au delà de trois ans) et l'absence des atrophi
Friedreich,-ou la diminution de volume s'est produite au cours de l'
affection
,- ou la réduction de l'organe déjà pro- noncée
scendants du tissu conjonc- tif périnévritique. P. K. VIII. Cas d'
affection
combinée des cordons DE la moelle AVEC ALTÉRATI
de sa propre pratique. De la médication par l'alcool dans certaines
affections
.-M. Legrand du Saulle est préoccupé depuis troi
es fois reçu dans mon service à Sainte-Anne, des malades atteints d'
affections
différentes, mais surtout de fièvres typhoïdes
SOCIÉTÉS SAVANTES Je ne parle pas des vieux buveurs chez lesquels l'
affection
inflamma- toire a été la cause occasionnelle du
Ainsi le Dl Weber dit avoir observé un exemple très net de cette
affection
, où le diagnostic fut confirmé par l'autopsie et
ar le D1' Weber (de Boston). On sait combien la pathogénie de cette
affection
est discutée ; l'auteur, examinant les diverses
n de cette localisation, mais il serait porté à croire maintenant l'
affection
produite par le contact direct du métal sur la
des tumeurs inlra-crâ- niennes est plus facile que celui des autres
affections
cérébrales et qu'il doit être fait en se basant
maladie des Scythes, ou morbus feminarum, par M. IIAU- Moxu. Cette
affection
a été signalée par Hérodote et par Hippo- crate
apportés dans la construction des instruments ; puis il énumère les
affections
où il a eu à se louer de cette méthode cura- ti
Africains, avec des recherches bibliographiques sur ce sujet. Cette
affection
, particulière aux nègres d'Afrique, est caracté
ce genre chez un nègre de New- York ; sans cause apparente et sans
affection
concomitante, le patient éprouvait un besoin de
senicaux semble devoir être réservé aux épileptiques atteints d'une
affection
cutanée conco- mitante. Dans la troisième par
150 CLINIQUE NERVEUSE. nuées ou plus complexes. Le diagnostic des
affections
cérébrales semble devoir trouver de précieux él
ois après. Voici les ren- seignements recueillis sur la marche de l'
affection
dans cet intervalle. Peu de jours après mon pre
rait dans ce cas, en contradiction avec la loi de Prévost. Dans les
affections
de la protubérance, elle a lieu du côté de la d
ccompagnée de nystagmus. Cette coïncidence n'est pas propre à cette
affection
, PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIES DES YEUX. 15
sivement disparu, ce qui s'explique en partie par l'ancienneté de l'
affection
, en partie par le développement de l'amblyopie.
d'origine de la troisième paire. Ce malade a offert au début de son
affection
un exemple de para- lysie bien circonscrite du
nternes, l'accommodation peut encore fonctionner, surtout lorsque l'
affection
s'établit progressivement et lorsqu'elle est an
des droits internes. Pendant que je soignais cette malade pour une
affection
des voies lacrymales (août 1881), elle éprouve
ent reproduire exactement les mêmes symp- tômes vertigineux que les
affections
auriculaires. Nous n'avons pas seulement la not
e la lésion de l'oreille moyenne dans ces cas de vertige, et qu'une
affection
du labyrinthe coexiste peut-être. Toutes les
tes, avec des pressions centripètes très- douces, ont été notées, l'
affection
compliquée ou non de vertige a marché rapidemen
s, au moment de la ménopause. Le vertige est un accident dans les
affections
auri- DU VERTIGE DE MÉNIËRE. 187 culaires, ma
phénomène nécessaire. D'un autre côté, le caractère névrosique de l'
affection
indique déjà que l'idiosyncrasie, le tempéramen
en effet l'origine probable des vertiges, du bourdonnement liés aux
affections
cardio-pulmo- naires, aux anévrismes des gros v
matique. La névrite spontanée, non traumatique, est cependant une
affection
commune. Elle peut naître sous l'influence 192
'on observe fré- quemment chez les individus atteints de cette même
affection
. La période d'excitation nous parait marquer le
ègles sont apparues, sans aucune particularité. Jusqu'au début de l'
affection
nerveuse actuelle, cette jeune fille s'est touj
L'appétit était un peu capricieux. La première manifestation de l'
affection
nerveuse s'est produite il y a trois ans (1878)
départements nerveux de la sphère génitale, indépendant de toute
affection
utéro-ovarienne, prédisposition physiologique,
e celle des muscles de la main, remontant aux premières phases de l'
affection
, provient de l'écrasement des paires ra- diculà
erveuse ancienne, atrophie musculaire progressive). Dans toutes ces
affections
, les tracés sont à peu près analogues à ceux ob
n'a pu trouver que trois hommes et trois fem-nes atteints de cette
affection
, regardée par quelques-uns comme l'apanage obli
e l'affaiblissement nerveux et musculaire. Quant à la nature de l'
affection
, l'auteur, se basant sur l'existence de paralys
les deux malades, M. Christian fait ressortir, d'une part, que les
affections
chirurgi- cales intercurrentes des paralytiques
énumération des principaux symp- tômes nerveux observés dans cette
affection
, notamment les phénomènes d'ataxie décrits par
lus accusés, tels que l'aliénation survenant dans les périodes de l'
affection
, sont dus à des lésions du cerveau ; 5° Quoiq
e apoplec- tique et tous succombèrent rapidement sous l'influence d'
affections
rénales et pulmonaires. Le malade atteint de ra
l se réserve d'ailleurs d'autres communications sur ce point. Des
affections
syphilitiques de la moelle, par M. de li 1,N-ECKL
uvent sur le rôle de la syphilis dans le développement de certaines
affections
du sys- tème nerveux et en particulier du l'ata
généraux il a également très souventohservé la syphilis précédant l'
affection
mentale. 11 croit être en mesured'affirmerque l
rapprochent à mesure que la maladie se prolonge. La marche de cette
affection
est essentiellement chronique; l'incurabililé est
expérimentales et cliniques sur les atrophies des membres dans les
affections
chirurgicales (système musculaire* et osseux); pa
s. Bonne santé habituelle pendant l'adolescence et la jeunesse. L'
affection
pour laquelle la malade vient à l'hôpital a début
de la paralysie au membre infé- rieur dans les premiers, temps de l'
affection
, M. Charcot ajoute : tuberculose méningée local
ligence, est parfaitement intacte, et elle raconte le début 'de son
affection
avec la 'plus grande netteté. Il n'existe aucun
atteints d'une bronchite chronique/est lui-même malade delà même
affection
depuis trois ans; il a beaucoup maigri, .et n dû
s m`mlritt· rl3tr., arcs.diastaltiques,tdémo,ntréespart l'étude des
affections
, - ,i T-- i'Ii , , , , ? 1 . i-li> 9 1 4, ,
, <,i|rt-> (t...«irrdnd ? ifc'.ij'' ? ? *f.J', I S'il est une
affection
variable dans son mode de début, dans r) 1W·nt;
t l'IiSstéiie;;iious(ivésolfime`s·dé dü·içér le traitement contre l'
affection
id'plus gravé, comme 'si1 nous avions affaire i
so-constricteurs), esthys- térogèné : ainsi en est-il des émotions,
affections
génitales, ano- malies sexuelles. L'excitation
ur avait observé sur deux malades les symptômes essentiels de cette
affection
dont l'incurabilité est bien démon- trée, alors
et hysté- riques sont aux convulsions et troubles sensitifs de ces
affections
. Un premier degré de l'apathie, de l'anxiété me
ative. L'état général est celui d'une chlorotiquc. L'évolution de l'
affection
mentale n'est pas encore terminée. ,111. Ce der
ubles psychiques dépendant de l'aphasie et ceux res- sortissant à l'
affection
cérébrale ou à ses conséquences. Celle-ci entra
mo-patllolo- gique sur les racines. Or, les malades chez lesquels l'
affection
tabétique évolue parallèlement à la meningo-pér
h.11 i 'f : Psych., XXXIX, 1 .) , 1 -. 1 " , t 1 1 1,1 , "' Les
affections
de l'appareil générateur de la femme occasionnent
la conséquence de l'élément pathogénétique qui produit lui- même l'
affection
utéro-ovarienne; ou de la dystrophie générale duc
n traitement général approprié, et tic demeure guérie en dépit de l'
affection
sexuelle et de sa réaction sur l'écono- 1;' P ?
'accumulant pas). Dans les 1 ps),cliosesi,sexuelles, (masturbation,
affections
, utérines), on inter- viendra par le traitement
r : Sont appelés idiots tous les psychopathes qui, à la suite d'une
affection
cérébrale congénitale ou acquise dès les premiè
hopathes dont le développement mental est entravé ou arrêté par une
affection
cérébrale congénitale ou acquise dès les premiè
état, se rapportent L maintes/ormes d'épuisement nerveux, nombre d'
affections
intercur- rentes de diverses sortes, guérissabl
hique, de l'onanisme, des troubles du développement, de cer- taines
affections
cérébrales, de maladies fébriles. 3° Pour arriv
s d'usage, ont fait admettre en des maisons de santé consacrées aux
affections
du système ner- veux de véritables aliénés. Or,
de la psychiatrie. M. ScuuoiARD. Des accès épileptiformes dans les
affections
de l'estomac. L'observation, par laquelle l'au
s, soit à l'infirmerie, selon leurs infirmités ou le genre de leurs
affections
chroniques. Sur 711 prisonniers qu'il contenait
omptait : 99 aliénés, insuffisants, épileptiques ; ')27 malades par
affections
pulmonaires ; 81 cardiaques; 94 impotents ; 84
trajet ris- tuleux). La mort devrait, selon lui, être attribuée à l'
affection
pul- 408 ' BIBLIOGRAPHIE. monaire. En réalité
r.lULT. Thèse de Paris, 1882. Le tremblement sénije n'est-pas une
affection
fréquente, tant s'en BIBLIOGRAPHIE. 411 1 fau
l'auteur de rappeler que les véritables premiers travaux sur cette
affection
sont dus à des opbtlialmologistes français. Il
arrive ainsi avec certitude au diagnostic. Il ne néglige aucune des
affections
cérébrales ou mentales dont le délire, parfois
ymptômes a conduit le candidat a re- chercher si, dans l'une de ces
affections
, on pourrait rencontrer VA111A. 42t 1 ces alt
o- globine, pouvoir qui irait également en décroissant dans cette
affection
. L'auteur nous décrit les procédés qu'il a employ
ur son ouvrage intitulé : Sur le rôle du sys- tème nerveux dans les
affections
du CCE2l>'. Protection DES aliénés. Nous tro
dé le 4 7 mars 1883, à l'âge de soixante-neuf ans, des suites d'une
affection
cardio-pulmo- naire. Parmi ses travaux les plus
ardiaque, et plusieurs mémoires sur les troubles laryngés dus à des
affections
nerveuses. Le rédacteur-gérant, 130UIvNEV'ILI E
1' suite de la stase sanguine), 1111' IWI1n113115, t17 ; - (Cas d'
affection
combinée des cordons de la - avec altéra- tio
eu de temps des signes cliniques et qu'ils viennent à succomber une
affection
intercurrente aiguë, est-on en droit d'affirmer
rtance des exan- thèmes et de la rougeole par exemple comme cause d'
affections
auriculaires secondaires précoces. Il propose d
48 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XI. Paralysie laryngée dans LES
affections
NERVEUSES CHRONIQUES; par W. PER11ENAN. L'aut
cas d'hémi- plégie avec épilepsie. A. M. XVII. Du diagnostic DES
affections
cérébelleuses; par Risien Russel. (British médi
anatomo-pathologique, à la classe des dystrophies. Il s'agit d'une
affection
atteignant souvent plusieurs enfants de la même
ltiloculaire. P. K. XXXII : Rires et PLEURS inextinguibles dans les
affections
Méfié- BRaLEs; par W. DE Becuterew. (Archiv f.
provoquant le rire par action réflexe. Le fou rire accompagnant les
affections
organiques du cerveau, affections de la région
e. Le fou rire accompagnant les affections organiques du cerveau,
affections
de la région cortico-motrice, il appert que la lé
nt les pleurs. La même genèse préside à leur entrée en jeu dans les
affections
cérébrales, soit par arrêt d'excitations modéra-
espace de temps. Les troubles sensoriels persistent longtemps. Les
affections
organiques de la moelle consécutives à une alté
système nerveux, on a. expéri- menté cette médication dans diverses
affections
cutanées et ner- veuses. Les remarquables effet
dés dans leur croissance; sur ceux qui étaient le moins atteinls, l'
affection
n'envahissait qu'une partie de l'ongle suivant
, . 24 août 189.) L'auteur rapporte l'histoire d'une femme dont l'
affection
semble remonter à vingt-cinq années environ, à
me, même grave, ne donne pas lieu directement à la production d'une
affection
men- tale, mais il fait du cerveau un locus min
ger état de dépres- '-ion et d'irritabilité : on ne constate aucune
affection
organique. Les attaques' sont assez fréquentes
ue l'on peut appliquer en toute sécurité lorsqu'il existe, dans des
affections
diverses, des phénomènes de compression. Il est
qu'il existe un certain nombre de cas où la migraine et les autres
affections
névralgiques de la tête peuvent être guéries, o
e, et ne manque jamais maintenant, quand il se trouve en présence d'
affections
de nature douloureuse siégeant à la tète de con
stence d'un malheureux en proie aux tor- turantes souffrances d'une
affection
incurable, ou d'un aliéné dan- gereux dont la g
DE Musgrave CLAY. Il-)8 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. II. Sur LES
affections
DE la faculté musicale ,dans LES maladies céréb
ment et intrinsè- quement dans l'organisme, indépendamment de toute
affection
morbide définie ou connue. Il ajoute qu'un état
mander s'il ne peut y avoir chez le même sujet coïncidence des deux
affections
. En tout cas, s'il s'agit ici d'un cas d'ataxie
II. Fréquence DES TROUBLES FONCTIONNELS DU pneumogastrique dans LES
affections
mentales ; par le Dr KELLOG. Les troubles fonct
ur passe en revue, en procédant par divisions du nerf, les diverses
affections
mentales où peuvent se rencontrer les altératio
ervation fréquente en effet, que la tuberculose pulmo- naire et les
affections
pulmonaires en général font de grands ra- vages
é d'un examen physique complet des aliénées en raison des troubles,
affection
ou malformation des organes génito-urinaires qu
alades et sans qu'elles mettent eu rien le médecin sur la voie de l'
affection
. En effet, sur cent aliénées examinées par le D
us commune dans les asiles que dans la population ordinaire : cette
affection
se rencontre surtout chez les malades chronique
es services, le traitement des sujets atteints de psychoses aiguës,
affections
éminemment curables, ce traitement est, il faut
diant qui n'a point le désir de se consacrer à l'étude spéciale des
affections
du système nerveux, sont pour lui trois années
e un temps considérable : les rapports avec les familles, l'étude d'
affections
toutes spé- ciales que l'interne n'a auparavant
fants. Il existe dans le département 298 en- fants ;< ! teints d'
affections
mentales dont 183 garçons et 115 filles. Ce, 29
se répartissent de la manière suivante : 1° Suivant la nature de l'
affection
mentale : 126 arriérés ou im- béciles, 118 idio
qu'il est sérieu- sement malade. Quoiqu'il n'y avait pas de grandes
affections
de la mémoire, mais cependant, en examinant l'é
et la cachexie strumiprive constituaient trois variétés d'une même
affection
due à la suppression de la glande thyroïde et à
nérale : elle peut d'ailleurs se rencon- trer ailleurs que dans les
affections
mentales. Quelle est l'explication des phénomèn
les causes les plus puissantes au contraire, il faudrait ranger les
affections
des or- ganes pelviens chez la femme, ainsi que
xes épileptogènes sont les troubles de l'appareil de la vision, les
affections
de l'oreille, du nez, des dents, enfin et surtout
mun est si fréquemment le siège de lésions et pourquoi beau- coup d'
affections
du système nerveux central se traduisent à leur
ore attiré l'attention, quoi- qu'on ait plusieurs fois attribué à l'
affection
une origine nerveuse. L'auteur, en examinant un
: les uns considé- rant la castration comme indiquée dans nombre d'
affections
nerveuses et psychiques; les autres déclarant,
ues demandent trop de temps pour amener un résultat. Par contre les
affections
nerveuses deviennent avec le temps de plus en p
é à ces cas bien définis. On peut se demander si la tétanie est une
affection
suffisamment dis- tincte pour qu'on la sépare d
ne son travail par quel- ques considérations sur le traitement de l'
affection
dont il s'agit. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE
USH. (The New-York Médical Journal, 9 mars l8cJ.) Il s'agit d'une
affection
peu commune et l'auteur en a observé deux cas d
tions anato- miques telles que celles que l'on rencontre dans cette
affection
, portant principalement sur les couches cortica
. C. 272 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XL VIL Symptomatologie DES
affections
cérébelleuses : ANALYSE CLI- NIQUE DE CENT CAS,
cience, faciliterait considérablement l'étude de cette intéressante
affection
. Beaucoup de cas de petit mal rentreraient alor
umatisme, soit 73 p. 100, et 12 fois l'otite moyenne ou toute autre
affection
auriculaire, soit 12 p. 100. Sur les quatre-vingt
Strûbing, Eulenburg, Reniai;, Hoffmann, prouver qu'il s'agit d'une
affection
simultanée des rameaux nerveux sensitifs qui co
mo-analgésie et troubles des sphincters. Pendant plusieurs années l'
affection
reste stationnaire, puis la paralysie spasmodiq
.) Le premiercas concerne un homme de vingt-six ans chez lequel l'
affection
débuta par des sensations douloureuses dans les m
de maladies incidentes. Il existe des chambres d'isolement pour les
affections
contagieuses (tuberculose, etc.). Chaque quartier
tent, en effet, pas seulement l'importance médicale pure des autres
affections
nerveuses; ils sont encore le sujet de procès trè
ure- ment fonctionnelles, dépendant d'une émotion morale ou d'une
affection
réflexe. La symptomatologie des névroses trauma
l'accident, on peut rencontrer tous les symptômes caractérisent des
affections
en dehors du traumatisme, symptômes d'hystérie lo
ais progressivement en six mois environ. J. Noir. VU. Du réveil des
affections
anciennes des centres nel veux (Para- lysie inf
(J.-B. Baillière, édit., 1895.) L'auteur démontre qu'il existe des
affections
des centres nerveux qui peuvent, à des années d
u qui se trouve sous ma direction. D'après le malade, le début de l'
affection
remonte à trois ans environ, et s'est montré, a
aison avec les leucocytes polynucléaires. Au cours ultérieur de l'
affection
on n'a noté aucune modifica- tion importante pr
du ÉTUDE ANATOMO-PATHOLOGIQUE DE L'OEDlhlE BLEU. 327 Î début de l'
affection
, succédant parfois à un traumatisme phy- sique
u'un seul membre et siège toujours à son extrémité. La durée de l'
affection
est variable. Tantôt l'oedème est per- sistant
d'avec les symptômes analogues qui peuvent s'observer dans d'autres
affections
. Etant donné tout ce qui précède et si l'on exc
s d'aujourd'hui n'affirment plus, comme au temps d'Esquirol, qu'une
affection
mentale ne peut réellement gué- rir qu'à la sui
te (avec suppuration consécu- tive). Sur 153 malades frappées deces
affections
, 98 étaient des maniaques aiguës, chroniques ou
ales. Suppuration abondante et de longue durée. Au cours de cette
affection
, disparition subite des troubles psychiques. Guér
roite relation, à la fois clinique et pathologique, avec la forme d'
affection
médullaire que l'on désigne sous le nom de parapl
ans; et en cela, chacune des formes parait se modeler sur le type d'
affection
purement médullaire auquel elle correspond. Dan
XXVIII. LES rapports DE la paralysie générale DES aliénés ET DES
affections
chroniques DES reins ; par Hubert C. BRISTOWE. (T
être considéré comme légalement aliéné. R. M.-C. XXXVIII. SUR LES
affections
intestinales DE nature TROPHIQUE CHEZ LES alién
omitance avec d'autres lésions trophiques; 5° concomitance avec les
affections
du système nerveux central. On sait qu'il n'est
évroses se rencontrent habituellement chez les malades atteints des
affections
intestinales que l'on étudie ici : On peut expl
il n'est pas aussi évi- dent qu'il l'avait pensé que cette forme d'
affection
rénale soit tou- jours la néphrite interstitiel
son a été complète dans les trois cas. R. M.-C. LIIt. Fréquence DES
affections
rénales constatées A l'autopsie dans LES ASILES
une façon à celle des antécédents alcooliques chez ces malades. Les
affections
rénales ne semblent donc pas une consé- quence
. Le premier cas concerne un homme de vingt-six ans chez lequel l'
affection
débuta par des sensations douloureuses dans les m
elle quand la migraine disparaît. Commeil nesaurait être question d'
affection
organique de l'estomac, de neurasthénie, d'hystér
ION III. Exemple de la prédominance des symptômes généraux dans une
affection
en foyer très localisée; chez un garçon de huit
on- séquent après l'apparition du travail de l'auleur. Bien que l'
affection
soit locale, non progressive et sans inconvé- n
sur lui-même, fait d'autant plus intéressant que les symptômes de l'
affection
sont uniquement subjectifs. Il est, du reste,
y a treize ans que l'auteur a éprouvé les premières atteintes de l'
affection
; peu après le début de la marche et surtout pend
tactile se fait à travers une lame de carton. Depuis treize ans l'
affection
a présenté des variations d'intensité et de fré
au chargee en carbonate de chaux et de ma- gnésie. A. M. LXXVIII.
Affection
BULBURE AIGUÎ3 ; par A. VAL4ENBEILG. (Archiv su
C. - Chez les paraplégiques complets (sensibilité et motricité) par
affection
de la moelle, une légère et égale percussion de l
stique, ne peut non plus servir de preuve absolument certaine d'une
affection
organique du système nerveux. Il faut aussi se
lexes cutanés dans la moitié du corps paralysée, on a affaire à une
affection
organique. D'autre part, l'asymétrie des réflex
du côté gauche. , P. ICERAV ? .L. XLV. Contribution A l'étude DES
affections
syphilitiques DE la moelle; par A. BoETrIGER. (
- gite spinale tuberculeuse, indemne de bacilles, ressemble à une
affection
syphilitique; il faut compléter la nécropsie et s
uloureuses dans la région du fémoro-culané. D'après sa clientèle, l'
affection
serait plus fré- quente à droite. Enfin Hosenhe
ion. Les troubles oculo-moteurs sont fréquemment symptomatiques d'
affections
labyrinthiques, surtout nucléaires. Tous les noya
ent les conditions suivantes : 1° L'aulo-intoxication ordinaire des
affections
cardiaques (irri- tant chimique); .. Il 396 R
es de racines dorsales, lombaires ou sacrées de cinq sujets morts d'
affections
quelconques, mais dont aucun ne présentait de s
ant ainsi la sensibilité prévue de cette région et imputables à des
affections
antérieures ou actuelles. Ces modifications cons-
ix ans de maladie, -une femme dont le mari avait succombé à la même
affection
une quinzaine d'années auparavant. M. FRAEi'l
racture. Ce grand syn- drome clinique est le résultat de toutes Jes
affections
qui frappent les neurones qui constituent le fa
d'autres systèmes, c'est la possibilité d'une démence succédant à l'
affection
simultanée d'une grande quantité de neurones et
este maintenant à faire ressortir les points principaux d'une autre
affection
dont est atteint notre malade et qui paraît rép
CUEIL DE FAITS. dernières leçons sur la syringomyélie, car les deux
affections
ont certains traits de ressemblance et sont con
tré que le traite- ment antisyphilitique reste impuissant, et que l'
affection
soit incu- rable. J. S. LXII. La suggestion e
es. Des erreurs graves et fréquentes consistent à prendre certaines
affections
organiques graves pour des manifes tations hyst
plus considérable si l'internement avait eu lieu dès le début de l'
affection
. Il faut remarquer, en outre, que les sujets ad
ou peut-être les mêmes causes ont déterminé chez le malade les deux
affections
concomitantes. Un cas de pseudo-tabes post-inre
phie 169, 249, 309,405, 492. BRC\lnL1\E par Laquet, 60. Bulbaire.
Affection
- aigue, par Wataenberg, 373. Buveurs. Interd
s de struc- ture dans les -, par lienda, 377. Centres. Réveil des
affections
des - liet-votin, par llauly, 312.- sen- sori
s. Diagnostic des affec- tions -, par Hlsier, 19. Symp- tômes des
affections
- par Krauss, 272. Cérébelleux. Faisceaux - d
e Il-, par Althaus, 58. Encéphaliques. Dégénérescences dans les
affections
du foyer de la zone motrice, par Muratow, 380.
abilité mentale, par Bourneville etJ. 130yel', 199. Intestinales.
Affections
trophiques chez les aliénés, par Cowen, 348.
lemagne, 411. Migraine. Soulagement de la et de quelques autres
affections
né- vralgiques de la tête, par Sargent et Sno
s aux sections transversales doubles de la - par Fajerstajn, 379.
Affections
syphilitiques de la-, par Boetti- ger, 386. D
t, 493. Mouflon. Le cerveau du-, par Bene- dild, 297. Musicale.
Affections
de la faculté dans les maladies cérébrales, p
forme tabétique de la -, par Stewart, 340. Rap- ports de la - et
affections
chro- niques des reins, par Bristowe, 311, 35
nés, par Laelir, 404. Pleurs. Rires et - inextinguibles dans les
affections
cérébrales, par de Bechterew, 57. Plexus DE E
Weber, 474. Pneumogastrique . Troubles fonc- tionnels du dans les
affections
mentales, par Kellog, 145. Pollutions nocturn
onnus dans les maladies nerveuses, par de Bechterew,374. Rénales.
Affections
-, leurs rap- ports avec l'alcoolisme et la fol
aliénés, par Woods, 357. Rires et pleurs inextinguibles dans les
affections
cérébrales, par de Bechterew, 57. Ruban DE Re
c'est-à-dire qui n'est symptomatique ni de l'épi- lepsie, ni d'une
affection
organique des centres nerveux, est la manifesta
pathologie commune ou de la chirurgie, en s'obstinant en faire une
affection
autonome et surtout locale ? N'hésitons donc pa
E PAR SUGGESTION. 5 zième année. Or il est très remarquable que les
affections
ner- veuses de l'enfance d'origine héréditaire
nt moral est assurément ce qu'il y a de plus intéressant dans une
affection
contre laquelle la thérapeutique a déployé de tou
ncontinence. Un. certain nombre de malades, en effet, au plein de l'
affection
, ont le faciès fatigué, d'une pâleur terreuse,
ropathique en général bénin, mais qui parfois est l'avant-coureur d'
affections
nerveuses plus ou moins graves, neurasthénie, h
apparente. X... a, en effet, une bonne situation; il est entouré d'
affection
par les siens, ne peut avoir de craintes pour l
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. L'athétose est tantôt consécutive à une
affection
organique de l'encéphale, tantôt primitive. Ell
roubles de la sensibilité. C'est pourquoi l'on doit, dans certaines
affections
de la peau, dans l'eczéma chronique, par exempl
orrespondante, le membre supérieur est envahi jusqu'au pouce. Cette
affection
s'est établie par le fait d'une série de zones
sie des muscles de la langue, ce qui n'est pas fréquent dans celte
affection
. Cette atrophie et cette parésie linguales ne s
n sait que d'après cetle théorie, l'hérédité nerveuse est, pour les
affections
névrosiques la seule cause vraie et indispensab
e nature universelle et se rencontrent dans l'étiologie de diverses
affections
; 2° causes concurrentes ou acces- soires ; 3°
s de nature étroite et qui n'apparaissent que dans l'étiologie de l'
affection
de laquelle elles sont spécifiques. Or, dans la
e. P. KERAVAL. XX. D'une forme DE NIsVItITE l'RODL 1T1 : PAIt des
affections
vasculaires : par H. Sciilesinglr. (Neurolog. C
un point faible quelconque du corps, une tendance au rappel de l'
affection
fondamentale disparue. Telle est l'irritation spi
re part, de même qu'à la suite des améliorations survenues dans les
affections
mentales chroniques au cours d'une maladie aigu
euse, un peu obèse. Une soeur serait morte à vingt-quatre ans d'une
affection
cérébrale dont je n'ai pu établir la nalure. S.
t notre malade. On pouvait par conséquent nier l'existence de cette
affection
; ce que l'examen histologique, fait plus tard p
e écartée puisqu'il n'a jamais présenté de mani- festation de celle
affection
, son acle est donc dû à l'hystérie. Chez lui, l
ui avec ses données personnelles le range avec ceux qui en font une
affection
parasyphilitique. Il étudie ensuite les ménin-
n un long chapitre résume les discussions et statistiques du tabès,
affection
parasyphi- litique, les arlbropallrie alaxiques
partie intégrante de la folie morale. La folie morale étant une des
affections
mentales qui mettent le plus en contact médecin
de l'exagération de ce phé- nomène pour le diagnostic de cette même
affection
, parait insignifiante. C'est du moins l'opinion
atteint d'une alfec- tion mentale, et qu'un des symptômes de cette
affection
est la manie des réclamations et non pas cherch
inuée quand, plus tard, il est démontré que le point de départ de l'
affection
n'était pas imaginaire. Bruns pense aussi qu'il
point de signes de débilité mentale et dont la cause première de l'
affection
tient plutôt à un sentiment très intense des to
rouve ensuite. naturellement amené à discuter les rapports de cette
affection
avec la paralysie labio-glosso-laryngée de Duch
l'épilepsie Bravaisjacksonnienne. Etablir nettement la nature de l'
affection
, préciser le siège exact de l'affection consti-
ir nettement la nature de l'affection, préciser le siège exact de l'
affection
consti- tuent un point capital, puisque de leur
. Elle a eu depuis trois enfants, dont deux sont morts en bas âge d'
affections
pulmonaires. Début du tabes. - A l'âge dé vingt
le voyons, dès les premiers jours, mobile et changeant, prendre en
affection
certains infirmiers, en haine les autres, s'imp
du moins d'affirmer que nous entourons notre Faculté de médecine, d'
affection
et d'estime, parce qu'elle est restée fidèle à
culière parmi les multiples impressions emmagasinées. Au reste, les
affections
qui s'accompagnent le plus souvent d'épilepsie co
s et ne se reproduisent que rarement. La maladie de Raynaud est une
affection
du sexe féminin; elle se produit généralement e
uteurs sont loin d'être d'accord au sujet de la pathogénie de cette
affection
. Charcot la croit duc à un spasme des vaso-mote
ondes qu'il provoque après un certain temps. Le traitement de cette
affection
doit s'adresser à l'hystérie. La maladie à laqu
quoiqu'elle se rapproche par certaines particularités de ces deux
affections
. L'acrocyanose débute insensiblement : la malad
ur cause des perturbations des centres nerveux, mais cette dernière
affection
nous semble être plus spécialement un phénomène
nt encore mal définies et mal connues. Ils peuvent, dans beaucoup d'
affections
, n'être qu'une manifestation épisodique sans gr
symptôme de haute valeur quand leur présence est constante dans une
affection
. Il serait utile aussi de savoir dans quel cas
ls doivent être attribués à la coexistence de l'hys- térie avec une
affection
organique..Chez une malade atteinte de sclérose
servée et qui présentait, en dehors du tremblement typique de cette
affection
, des mouvements aryth- miques, j'ai pu faire di
plus grande qu'il est effectué à une date plus proche du debut de l'
affection
. Il. - La qualification de dangereux appliquée
ns ces asiles tous les ma- lades entrants et surtout atteints d'une
affection
aiguë, les excités, les mélancoliques avec idée
feu et à se brûler elle-même. Pas d'antécédents héréditaires, pas d'
affections
antérieures. A l'âge de neuf ans, trau- matisme
'exercice de toutes les fonctions de l'existence. La durée de cette
affection
peut être extrêmement longue. Le diagnostic doi
, puis les bras et enfin les jambes. Au bout de vingt-cinq jours, l'
affection
resta stationnaire et depuis, avec quelques var
lassiques et des plus nets chez notre malade. Le mode de début de l'
affection
dont le traumatisme moral causé par une violent
tionnel, mais les signes qui peuvent servir à les différencier de l'
affection
présentée par K... sont nombreux. En première l
ves décrites par Gilles de la Tourette et comme dans cette dernière
affection
ils ont un sens et expri- ment la tendance à de
on, d'insister sur les caractères différentiels respectifs des deux
affections
. Nous ne faisons intervenir ici l'épilepsie que
par définition symptomatique, c'est le mécanisme décrit pour cette
affection
que nous allons avoir en vue dans l'intérêt de
un des rapports pour les cas spéciaux : 282 11) asiles d'aliénés.
affection
cérébrale ou spinale, hystérie, épilepsie, hypoco
ofule, tuberculose, satur- nisme ? S'il a eu quelques-unes de ces
affections
, quelles en furent les particularités ? Les con
? Fatigue intellectuelle ? Changement dans les sentiments ou les
affections
? Dans le caractère ? Agitation ? Irritabilité ?
soi-même... Endurance psychique... Jugement... Mémoire... Désirs...
Affections
... Illusions... Hallucinations... Erreurs...
° série, t. II. 19 9 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXVI. SUR LES
affections
DE la' QUEUE DE cheval A PROPOS DE deux cas DE
R LES affections DE la' QUEUE DE cheval A PROPOS DE deux cas DE ces
affections
; par nI. RAYfoND, professeur de clinique des ma
Lévi, interne du service, constituent une véritable monographie des
affections
de la queue de cheval.- Il est indispensable, p
Il est indispensable, pour l'intelligence de la description de ces
affections
, d'avoir présentes à l'esprit des dispositions an
hes venues 'du plexus sacré. Deux cas peuvent se présenter : ou l'
affection
, quelle que soit sa nature, retentit à la fois
inaire, à la partie supérieure du cône terminal. Le pronostic des
affections
de la queue de cheval découle de tout ce qui vi
sicales si graves qui terminent si souvent le processus morbide des
affections
de la moelle, autres que celles de ses parties
out à fait inférieures. A signaler le traitement chirurgical de ces
affections
, possible aujour- d'hui avec l'antisepsie et la
ques. On n'en a pas rencontré un seul cas chez l'homme. C'est une
affection
peu connue, surtout des chirurgiens, certains d
gnostic est pourtant facile, mais malheureusement on connaît peu l'
affection
. Il existe, dans la littérature médicale, deux
faut, en 296 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. effet, reconnaître une
affection
syphilitique, en l'autre une infec- tion non dé
myopathie, ils sont dus à l'hystérie associée, chez le malade, à l'
affection
musculaire. Il en est de même pour les soubresa
uteurs, être la cause de la rigidité continue, caractéristique de l'
affection
, laquelle comme le croyait Vulpian, serait due à
ous le rapport de l'anesthésie qui est totale, alors que dans cette
affection
on note, non pas toujours, mais presque toujour
e professeur main- tient pourtant le diagnostic de syringomyélie. L'
affection
, lente au début, a pris ces temps derniers une
nt tuberculeuse elle-même, ni éthylique ni syphilitique. Début de l'
affection
il y a trois ans par de l'amblyopie, plus tard
sains, sauf les poumons, les sommets sont très suspects. A quelle
affection
a-t-on affaire ? Trois diagnostics doivent être
omes céphaliques, etc. Reste donc le tabès supérieur qui est bien l'
affection
dont est atteinte la ma- lade, d'après M. Lenob
nvalescents de l'iniluenza, preuve nouvelle de l'influence de cette
affection
sur le système nerveux, influence admise, du re
lite qui s'écarte sous certains rapports du type classique de cette
affection
. L'auteur fait d'abord remarquer que la polioen
ait de la peine à prononcer certains mots. C'était le début d'une
affection
qui, à partir de ce moment, évolua progressivem
etc. Revenant à son observation, l'auteur avoue que le début de l'
affection
par la paralysie bulbaire inférieure fait de son
observation actuelle démontre, d'une façon inconteslable, que cette
affection
peut également débuter par les symptômes de la
, suite d'une infec- tion blennorrhagique. c Voici la marche de l'
affection
, à partir de ce début. La réten- tion d'urine d
la blennorrhagie, malgré l'opinion de cer- tains auteurs, comme une
affection
toujours locale. (Rivista clinica c terapeulica
ouffle cardiaque et 1"oedème des membres inférieurs dépendent d'une
affection
cardiaque ou de l'hystérie seule. Le souffle in
s pote- lés, etc. L'infantilisme existe isolé ou associé à d'autres
affections
dystrophiques dont les plus connues sont le myx
tabes : aussi place-t-il la cause de l'amyotrophie tabétique dans l'
affection
des cellules (rophomotrices des cornes antérieu
llule nerveuse se montre au point le plus périphérique ; mais que l'
affection
cellu- laire s'accentue, et les changements de
on cellulipète. M. Schaffer propose de distinguer deux catégories d'
affections
de la corne antérieure : 1° la vulgaire poliomy
es autres éléments histologiques de la corne antérieure : c'est une
affection
du centre trophique, qui produit l'altération d
ecousses fibrillaires et la réaction de dégénéres- cence ; 2° Des
affections
de la corne antérieure débutant par des altéra-
s très fines, difficiles à prouver au début avec le microscope. Ces
affections
sont quelques formes de la myopathie, des amyo-
L\ NEUROLOGIE ET A L\ PSYCHIATRIE. M. Bouveyr'on (Alexandre) : Des
affections
cérébrales d'origine obs- tétricale et de leur
tales. Contribution ci l'étude des troubles men- taux dépendant des
affections
utérines. M. Roux (Joanny) : Des rapports de l'
un petit nombre de ces malheureux. Beaucoup s'ils avaient une autre
affection
, seraient soignés chez eux ou par leurs proches
se dirige en général vers la voie normale, alors que s'effacent ces
affections
de pension dont on ne saurait quelquefois dire
erfs du globe oculaire. Il rappelle le rapport qui existe entre les
affections
des nerfs (névralgies) et les psychoses et les
e des symptômes différentiels des principales classes de délires et
affections
mentales avec déduction aupoint de vue pronosti
ation effrénée d'alcool correspond un dévelop- pement simultané des
affections
alcooliques : ainsi en 1835, Esqui- rol trouve
de compren- dre ce qu'il lit après quelques mots de lecture. Cette
affection
facile à distinguer de l'aphasie sensorielle vr
a guérison, réputée miraculeuse, de plusieurs personnes atteintes d'
affections
nerveuses et en particulier d'hystérie. Nous cr
sa teinte caractéristique. La couleur du délire et l'histoire de l'
affection
rendent donc la confusion presque impossible. E
ment de la moelle. Voici un cas remarquable de mal de Pott dû à une
affection
des vertèbres et qui se termina par la guérison.
it plus du tout. Le professeur insiste sur la forme symétrique de l'
affection
en laquelle il voit une névrite symétrique. Cet
ns spéciaux, pas de troubles vésicaux, ni rectaux. A l'hôpital, l'
affection
au lieu de rétrocéder s'aggrave rapidement. L.
guéri, mais il ne peut se procuter aucun détail sur la marche de l'
affection
depuis la fin de 1893. Le point le plus intéres
t rattacher ce cas, il passe successive- ment en revue les diverses
affections
de la moelle, aucune d'elles ne répond au table
après Stevonius, qu'Auguste était aussi affligé d'un grand nombre d'
affections
et d'infirmités diverses, et qu'il souffrait un
eneris et il la dénomme céphalée par changement de résidence. Cette
affection
, dit-il, n'est notée nulle part, elle n'est pas
e moment, si elle peut atteindre les enfants. Les prédisposés aux
affections
nerveuses ne semblent pas y être plus sujets que
variable, la variabilité étant la véri- table caractéristique de l'
affection
par rapport à l'évolution régu- lière de la cho
liées dans ce travail, c'est que chez les malades atteints de cette
affection
, il n'est pas question seulement de tempérament
ique : on se trouve, dans REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 469 cette
affection
, en présence de dégénérés, en prenant le mot dans
ur, se produit une amélioration, et, trois mois après le début de l'
affection
, il ne reste qu'une parésie très légère du facial
gêne pas autant qu'on pourrait le penser, le sujet atteint de cette
affection
, en rai- son de la suppléance d'un sens par un
ult et Demoulll1, 29L- du trijumeau par S'enger, 321. NÉIIITE par
affection
vasculaire, par l' Schlesinger. - tuberculeuse
présenter au- jourd'hui en est une preuve. Elle est atteinte d'une
affection
dont je vous ai présenté bien des exemples; le
. Je résume maintenant rapidement l'histoire de cette malade : son
affection
a débuté il y a. trois mois environ par des ver
férieur de la moelle dorsale. Il peut ainsi marquer le niveau d'une
affection
de la moelle, s'il est conservé, tandis que le
malement un peu plus constant que le réflexe épigastrique. Dans les
affections
cérébrales, il a les mêmes allures que le réfle
l'évitera en employant le plessimètre. P. KERAVAL.. XVI. Sur les
affections
de la queue de cheval et du segment infé- rieur
, venant à la suite des différentes théories pathologiques de cette
affection
, con- duit les auteurs de ce travail à considér
n- duit les auteurs de ce travail à considérer le tabes comme une
affection
beaucoup plus complexe qu'on ne, l'admet générale
ncore nettement connue; peut-être est-elle sous la dépendance d'une
affection
non encore locali-ée du système nerveux (substa
alysie agitante. Les auteurs ont rassemblé 17 observations de cette
affection
compre- nant 11 cas de déformations variées dép
he et près de.la temporale du même côté. Le début et la marche de l'
affection
pre- mière permettent de supposer une altératio
e oral et du langage écrit : telle était la situation au début de l'
affection
. Bientôt il se ranime un peu et Archives, 2' sé
tabes spasmodique d'origine saturnine on plutôt para- saturnine, l'
affection
ne s'étant produite qu'un certain temps après q
ces derniers symptômes et le début en apparence articu- laire de l'
affection
, l'auteur croit qu'il faut la ranger dans laclass
la période secon- 68 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. daire de cette
affection
une hémiparésie du côté gauche. Cette hémiparés
s et mouvements involontaire des membres, du tronc et de la tête. L'
affection
parait différenciée par un phénomène capital, l
émie et paragraphie associées, réunissant les .symp- tômes des deux
affections
. ' D. Paracécité verbale dont les symptômes son
lectrolytique. 4. L'action thérapeutique du courant continu sur les
affections
chroniques locales d'origine in- flammatoire, a
s électrolytiques : n) la disparition des symptômes objectifs d'une
affection
locale s'effectue par l'électro- lyse interpola
avec de hautes doses. R. Charron. VI. Pronostic et traitement des
affections
spécifiques du système nerveux; par W. GOWERS (
encéphalopathies syphilitiques ordinaires mais à l'exclu- sion des
affections
telles que tabes et paralysie générale. L'auteur
vue clinique et au point de vue anatomique. D'une part, en effet, l'
affection
a revêtu la forme d'un délire alcoolique sans t
s lettres injurieuses et menaçantes. Il a succombé aux suites d'une
affection
pulmonaire. Il avait soixante-dix ans. Il était
ien nombreuses ; tous les médecins qui se sont intéres- sés à cette
affection
ont lu tellement de redites à ce sujet qu'il se
sme, la scrofule, la dysenterie, la méningite, l'hydrocéphalie, les
affections
con- vulsives et notamment l'épilepsie. On a si
fant est un être géné- ralement sans ca1'actère, sans volÓnté, sans
affection
altruiste, sans affection égotique même, sans i
ement sans ca1'actère, sans volÓnté, sans affection altruiste, sans
affection
égotique même, sans initiative; tel on le voit
l'épileptique, au contraire, est essentiellement variable dans ses
affections
, sa volonté et les manifestations de sa sensibi-
nt trois ans comme un enfant. Nous verrons tout à l'heure que cette
affection
répond au diagnostic de paralysie géné- rale.
'alcoolisme. Je n'ai jamais constaté d'accidents syphilitiques. Son
affection
a débuté par des troubles oculaires : myosis, i
t en s'adressant quelquefois à un sentiment de vanité, d'orgueil, d'
affection
jusque-là effacé, et en éclairant ce coin de la
i, du centre 0 : Il a guéri d'autres personnes atteintes de la même
affection
, il les a endormies, il peut m'en- dormir). 3
t donc de deux cas de psychose polynévritique d'origine alcoolique,
affection
qui d'après l'auteur devrait être placée désor-
n'existe guère que chez la femme. On peut retrouver dans ces deux
affections
la même dépression physique et mentale profonde
E DE PATHOLOGIE MENTALE. laire. Elle est souvent héréditaire. Cette
affection
mentale ne sévit pas toujours sous les traits a
décrit un état de soupçon vague, inhérent à des malades atteints d'
affections
viscérales : « leurs amis voudraient se défaire
les auteurs ont noté que dans presque les deux tiers des cas cette
affection
se manifeste entre quinze et vingt-cinq ans.
as on a pu avoir des indications nettes sur le point de savoir si l'
affection
avait débuté par une phase de mélan- colie ou p
tique (Bosc). Ne regarde-t-on pas actuellement l'hystérie comme une
affection
psychiqne ayant pour symptômes principaux l'affai
conscience. P. KERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 1S1 XXI. Une
affection
spéciale du système nerveux, survenant pen- dan
taire excessivement chargée, l'accouchement avant terme, Bien que l'
affection
ne se soit nettement manifestée qu'à l'âge de n
caractères de l'ataxie cérébelleuse, tout cela fait penser à une
affection
corticale du cerveau, probablement associée à la
dée de l'intervention du mécanisme de l'auto- intoxication dans les
affections
de l'estomac, de l'intestin, de l'uté- rus, etc
et 1902, p. 83-89). Les mélancoliques ne meurent pas tant de leur
affection
men- tale, que souvent de complications résulta
ment radiculaire. Il considère ce syndrome comme l'expression d'une
affection
irritative des racines posté- rieures. , 1 M.
sté- rieures. , 1 M. BAUP présente une malade atteinte de la même
affection
: acroparesthésie des extrémités avec troubles
provoqué par l'excitation de la plante. Sur 52 malades atteints d'
affections
intéressant la voie pyrami- dale, les auteurs o
léroses en plaques, 1 hémiplégie acquise, 1 hémiplégie infantile, 1
affection
du cône terminal et 1 syphilis cérébro-spinale)
nomène des orteils, car les auteurs ne l'ont jamais trouvé dans des
affections
purement fonctionnelles. - Paraplégie spasmod
ynaud. Le pseudo-oedème catatonique tiendrait le milieu entre cette
affection
et le syn- drome de Weir-Mitchell. M. P. Mari
uë. Sur la transformation du régime des réflexes cutanés dans les
affections
du système pyramidal. J. BAacrrshc. On a cherch
dal. J. BAacrrshc. On a cherché à établir un antagonisme dans les
affections
du système pyramidal et en particulier dans la pa
érale les modifications que subissent les réflexes cutanés dans les
affections
du système pyramidal, on ne peut dire ni qu'ils
utés, on ne saurait en dire autant des troubles trophiques de cette
affection
. A part quelques observa- tious publiées çà et
eur en ajoute une nouvelle terminée par la guérison. L'histoire des
affections
familiales, déjà si complexe, s'enrichit d'une
de cachexie, mais chez lesquels la mort sembla toujours due à une
affection
intercurrente, on ne trouva non plus aucune lésio
pect protapathique de cette atrophie' facio-scapulo-humérale. Cette
affection
est^en réalité dentéropalhi- ' que et qu'il doi
ypnotisme. L'organisme de ces sujets lutte opiniâtrement contre les
affections
dues aux refroidissements; ils supportent bien
, concluent, à l'unanimité, que c'est un héréditaire prédisposé aux
affections
nerveuses et mentales, qui a accompli son crime
aitement mercuriel n'exclut pas encore le caractère spécifique de l'
affection
du système nerveux. Vs. A. Mouratoff pense que
1903). Par leur physionomie un peu différente dans les diverses
affections
mentales où elles se présentent, les idées de nég
caractères différentiels qu'elles présentent au cours des diverses
affections
qui composent ces deux catégories cliniques.
o 'VU" le cas d'une pauvre femme de cinquante ans, atteinte d'une
affection
qui, jusqu'à présent, fait le désespoir du médeci
rson- nels, autres qu'un enchrondome chez le premier mari, et une
affection
tuberculeuse à l'âge de dix-huit ans, il s'est dé
9 Il n'y a pas lieu, Messieurs, de discuter la nature intime de l'
affection
. Aucun doute ne saurait exister dans votre espr
mplications que provoquent,sur le système nerveux périphérique, les
affections
cancéreuses, sont de deux ordres. Comme l'a f
c vous plus longue- ment le diagnostic différentiel de ces diverses
affections
, mais ce serait abuser trop longtemps de votre
de syphilis. H a toujours pu travailler sans être arrêté par aucune
affection
, de quelque ordre soit-elle. Le 20 juin 1902
e musculaire progressive qu'on ren- contre dans un certain nombre d'
affections
nerveuses. Qu'il s'agisse du type total ou part
il s'agisse du type total ou partiel, la différentiation avec les
affections
d'origine centrale repose toujours sur la coexis-
bilités permet donc de porter le diagnostic de syringomyélie. Cette
affection
nerveuse esl très fréquente en Syrie, d'après M
xe, le syndrome cérébelleux qui est la conséquence habituelle d'une
affection
du cervelet peut être quel- quefois le résultat
éréditaires et personnels rien d'intéressant à noter. Le début de l'
affection
semble avoir été lent et progressif. Quel- ques
ifestement liés à une gastropathie ancienne. Cette complication des
affections
gastriques est fort rare, les auteurs font en e
L'hystérie en tout cas, d'après MM. Nissl et Kraepelin, c'est une
affection
congétinale qui produit, par l'intermédiaire d'un
àl'obnubilation crépusculaire et leurs modalités dans les diverses
affections
mentales, M. Raecke les détaille et discute suc
diffuse. Mais plutôt de reconnaître une forme sensorielle de cette
affection
en rapport avec la localisation des degrés les
nsidèrent comme un syndrome banal pouvant se présenter au cours des
affections
men- tales les plus différentes, se place l'opi
d'abord parce qu'assez souvent ils manquent, surtout au début de l'
affection
, et que, s'ils existent, ils n'offrent rien de
ur. La pupille normale, dont l'aspect n'a pas été modifié par une
affection
irienne antérieure, présente généralement une f
ale, bien qu'on puisse le ren- contrer aussi en' dehors de ces deux
affections
, et plus, par- ticulièrement dans la syphilis (
malades qui venaient d'entrer dans une période de rémission de leur
affection
. En voici l'observation résumée : l'un est un m
SIGNES OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 361 vent lésé, dans l'
affection
qui nous occupe, et lorsqu'il l'est, c'esten gé
serve toutefois est à faire, c'est qu'à une période avancée de leur
affection
, il est impossible chez beaucoup de paralytique
rations des muscles pouvant être rapportées à d'autres causes que l'
affection
qui nous occupe, les cas de strabisme fonctionn
olition des réflexes, lésions atro- phiques de la papille, etc.), l'
affection
prenant ainsi l'aspect de la paralysie générale
. Les signes oculaires concourent grandement au diagnostic de cette
affection
, mais.ils sont insuffisants à eux seuls pour l'
; et cliniquement, certains auteurs ont voulu voir de l'épilepsie,
affection
motrice, une maladie génitale, un trouble sexue
mains et aux.deux pieds. Quel peut être le facteur étiologique de l'
affection
? On ne sau- 380 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
ement si le malade souffrait de cette dernière lésion ou bien d'une
affection
syphilitique du médiastin et de ses gan- glions
3, fasc,1,LlI). Les amyotrophies qui succèdent de façon précoce aux
affections
articulaires sont d'origine réflexe vaso-motric
t brachycéphale. A propos de la nature et de la pathogénie de cette
affection
, les auteurs sont loin d'être d'accord. Les u
euse de quelques-unes des manifestations des tumeurs. Le début de l'
affection
se fit par une période d'affaiblissement généra
l'action, en quelque sorte spécifique, du courant industriel. Cette
affection
spéciale, créée par la commotion électrique, do
nde partie des cas de folie ne sont pas du tout, primitivement, des
affections
du cerveau, mais dépen- dent de l'action de tox
de cons- tater que. parfois, les enfants étaient sous le coup d'une
affection
aiguë. BOUR1,EVILLE. REVUE DE PATHOLOGIE MENT
itement moral entrera pour une bonne part dans le traite- ment de l'
affection
. {Annales médico-psychologiques, août 1903. E.
s tabétiques les douleurs persistent pendant toute l'évolution de l'
affection
, elles disparaissent le plus souvent ou s'attén
re à leurcollegue, VARIA. zip31 c'èst aussi la meilleure preuve d'
affection
qu'ils pouvaient me donner. Qu'il me soit permi
ives, 2' série, t. XVII. ' ? 8 . 131· li CLINIQUE MENTALE. faible
affection
pour le reste de sa famille; aussi, malgré ses co
alade a vécu isolé, et a eu peu d'occasions d'être froissé dans ses
affections
, puisqu'il n'en avait presque pas. En outre, on
écoce, je n'hésite pas à voir dans ce cas une forme fruste de cette
affection
. Sans doute, je n'ai pas assisté au début de la
, dans certains cas où le malade avait été considéré comme guéri, l'
affection
avait cependant laissé des traces de son passag
général chez les héréditaires. Elles peuvent surtout au début de l'
affection
montrer un peu plus de stabilité et de durée qu
singulier et apparemment contradictoire qu'un malade atteint d'une
affection
psychique plus intense (nous supposons que c'es
antes, tandis qu'un autre, celui-ci atteint d'hallucinose auditive,
affection
avec désorganisation mentale vraisembla- blemen
te-t-elle plus longtemps que l'ouïe. Il en résulterait alors qu'une
affection
mentale com- portant déjà des troubles graves d
qu'il se produit sous l'influence du traitement, la guérison d'une
affection
considérée aujourd'hui comme à peu près incurable
atant même d'un an. Le traitement sera d'autant plus prolongé que l'
affection
sera plus ancienne. Si, après six mois, le trai
hase d'état très pro- longée, le malade était resté infirme, mais l'
affection
n'avait plus progressé, et l'on avait porté le
outait à celles-ci la démence paranoïde pour ne voir dans ces trois
affections
que les , formes d'une maladie unique, la démen
l'indifférence BIBLIOGRAPHIE. 513 est le symptôme primordial de l'
affection
, les malades per- dent successivement la facult
de la vie pour créer toutes les manifestations symptoma- tiquesde l'
affection
. Telles sont les conclusions du livre de M. Mas
cétiqne dans diverses - par Curiat, 377. Queue de cheval. Sur les
affections
de la - et du segment inférieur de la moelle,
ar de Brun, 317. Système nerveux. Pronostic et trai- tement des
affections
spécifiques du système nerveux. par Gowers, 7
es affections spécifiques du système nerveux. par Gowers, 75. Une
affection
spéciale, du -, survenant pendant l'enfance et
nier, il y a trois mois environ, que l'on peut placer le début de l'
affection
actuelle, qui fut caractérisé par des ver- tige
agie pédonculaire : c'est qu'à mesure qu'on s'éloigne du début de l'
affection
, le symptôme de Weber va pour ainsi dire en s'eff
; il n'est pas douteux qu'il s'agit là surtout et avant tout d'une
affection
irritative du cortex cérébral, capable de troub
lument certain,et il porte d'ailleurs de nombreuses traces de celte
affection
. A cette époque, pendant ou après ( ? ) survint
on motrice. OBS. IL - Malade de 52 ans, couturière. Le début de l'
affection
remonte à 3 ans 1/2. Il existe des troubles ocu
; il se prononce avec convic- lion contre la contagiosité de celte
affection
. E. Wilson, qui avait vu bien des cas de lichen
que Brocq, insiste sur le lien intime entre le lichen ruber et les
affections
du système nerveux central. Materne et Dubois-
e pa- renté qui unit jusqu'à les confondre les cas frustes de celte
affection
à cer- tains types d'infantiles fut établie par
ORIQUE On désigne sous le nom de Myosite ossifiante progressive une
affection
de l'appareil locomoteur caractérisée par la fo
ologiques et pathogéniques ; il rejette la nature rhumatismale de l'
affection
et considère la myosite comme une myopathie parti
gressive, or en réalité ils n'offrent aucun des caractères de cette
affection
, et l'on s'étonne qu'un ob- servateur sagace, t
il le fait accompagner, il se demande si la cause première de cette
affection
ne serait pas tout autre que celle admise, à la
la myosite ossifiante progressive et ajoute quelques mots sur cette
affection
; il rejette l'hypothèse d'un ostéome à cause du
d'un autre cas, adopte la manière de voir de Mays, pour lui aussi l'
affection
qui nous occupe n'est pas une myosite propremen
Gcrbardt, alors à Wurzbourg, Pifiter (1882) traite de nouveau cette
affection
, dans sa thèse. Il y réunit 22 ob- DE LA MYOSIT
admet également une prédisposition congénitale pour l'éclosion de l'
affection
et dénie toute influence aux traumatismes. Depu
Furstner, Kissel ; aussi, Stonham se crut-il autorisé à baptiser l'
affection
qui nous occupe du nom de : myosite ossifiante
ses, les liga- ments, les tendons et le squelette, c'est plutôt une
affection
de l'appareil locomoteur. . . Sur le squelett
eut être le siège. Esquissons maintenant un ta- bleau succinct de l'
affection
. Chez un enfant de quelques mois, d'un ou deux
e chute, d'un traumatisme, d'une localisa- tion rhumatismale, d'une
affection
fébrile, il se développe la tumeur dé- crite pl
its essentiels, re- venons maintenant sur quelques particularités L'
affection
débute le plus 134 A. WEIL ET J. NISSIM souve
mes nerveux rencontrés chez la plupart des sujets atteints de cette
affection
. Dernière- ment encore, M. Brissaud, exposant l
cidents névropathiques dans ses ascendants. Son père est mort d'une
affection
aiguë, il était sobre et habituellement bien por-
la myosite ossifiante n'est pas toujours aussi complet ; souvent l'
affection
n'atteint pas une si grande ex- tension. Un des
occupant la place du brachial anté- rieur des deux côtés, etc. ; l'
affection
peut également rester silencieuse pen- dant de
une influence banale, un traumatisme, le froid, l'éclo- sion d'une
affection
fébrile. Comme celle des pauses, la durée des nou
valle, de façon il constituer une longue période pendant laquelle l'
affection
reste à l'état aigu avec son cortège symptomati
liner du côté douloureux. C'est là un phénomène commun à toutes les
affections
douloureuses locales ; plus tard l'ossification
les diaphyses, ex- plique cette petitesse de la taille. Lorsque l'
affection
a un début précoce, les fonctions sexuelles en so
également de lésions congénitales. Dans 12 autres observations, l'
affection
a débuté entre 2 et 5 ans, dans 10 autres, entr
par Hawkins, dont la première atteinte est survenue ci 22 ans. L'
affection
semble commencer plutôt chez la femme que chez l'
goutte chez les ascendants (Lendon, Pagel, Hawkins) c'est-à-dire d'
affections
relevant de la diathèse arthritique. Or aujourd
l'éclosion des accidents ; 2° Parce que, dans la plupart des cas, l'
affection
a commencé de très bonne heure; 3° Parce que,
ent coïn- cidence dans la présence d'anomalies aussi rares dans une
affection
non moins rare elle-même. Pour nous cette dia
en sont les causes ? Testelin et Dambressi, Hawkins, considèrent l'
affection
de nature rhu- 1/ Ut lis male. Le début de la
e dans une extrémité ar- ticulaire, et Volkmann se demande si notre
affection
ne relève pas d'un trouble osseux île la croiss
e trophonévrose. Nicoladoni, le premier, a émis l'opinion que cette
affection
pourrait t bien être le résultat d'une lésion n
té, tous ces symptômes, s'expliquent d'une façon naturelle dans une
affection
de nature inflammatoire. Les soubresauts fibrilla
iques, plaide éga- lement en faveur de la nature inflammatoire de l'
affection
. Munchmeyer, en s'appuyanl sur la clinique, adm
alysant, devaient subir une ossification étendue. Pour Nicoladoni l'
affection
qui nous occupe consiste dans une myosite inter
érents noms qui ont été proposés. De Dusch, le premier, a désigné l'
affection
qui nous occupe du nom de myosite ossifiante pr
uer. Nous ne connaissons pas la raison pour laquelle dans tel cas l'
affection
brûle pour ainsi dire ses étapes et dans tel autr
on état s'aggrave, ajoute un autre » (Pincus). La durée totale de l'
affection
est intimement liée aux conditions hygié- nique
en général la mort par l'aggravation de maladies chro- niques et d'
affections
intercurrentes dont elle favorise le développemen
es pratiquées, on a pu constater que l'issue fatale était due à une
affection
de l'appareil respiratoire. Les patients de '1'
s le cas de Florsclmlz-Gerher une pleurésie purulente enkystée; une
affection
infectieuse semble avoir entraîné la mort de Li
de l'os ; tous ces caractères, feront immédiatement reconnaî- tre l'
affection
. De Noorden a indiqué un procédé pour établir l
aladie lui a semblé même conjurée par le lil. Celle jugulation de l'
affection
n'est autre chose, en réalité, qu'une pause natu-
e sont morts très âgés ; aucun membre de la famille ne présente une
affection
semblable. Il est originaire de la petite ville
le champ des suppositions se' restreint singulièrement. Seule, une
affection
de l'encéphale pourra nous' rendre compte de l'
ésentés par celte jeune femme. Or, elles ne sont pas nombreuses les
affections
de l'encéphale qui, évoluant avec la progressiv
dans ces quelques mots : la malade est dans une situation grave ; l'
affection
dont elle souffre est in- curable ; il n'y a pa
r ce fait qu'elle n'a été signalée, que je sache, dans aucune autre
affection
que l'hérédo-syphilis, et qu'elle devient dès l
ydrocéphalie, pour diviser l'histoire étiologique de cette dernière
affection
en deux périodes : Une première période, dans l
lie et constitue même un affluent important ci l'étiologie de cette
affection
. Conséquemment : l'hydrocéphalie peut être cons
possible d'observer aussi l'aplasie osseuse, consécutivement à une
affection
purement périphérique, telle qu'une arthrite du g
ion purement périphérique, telle qu'une arthrite du genou, si cetle
affection
s'est produite dans l'enfance, pendant la période
iminution correspon- dante du nombre des cellules. Observation.
Affection
articulaire ancienne avec ankylose du -genou droi
NERVEUX 263 fit en sautant, l'âge de 7 ans, il fut soigné pour une
affection
du genou droit. Il se rappelle avoir été mis da
gauche). Celte observation peut se résumer ainsi. A la suite d'une
affection
chro- nique du genou, développée à l'âge de 7 a
re ? On sait que, pour expliquer les atrophies musculaires, suite d'
affections
articulaires, la théorie réflexe est communémen
s inverses, mais encore favorables à la théorie, où, au cours d'une
affection
articulaire chronique ou subaiguë, le membre du
Nulle part dans cette observation, il est vrai, il n'est question d'
affection
musculaire. Mais si nous tenons compte du siège d
e légitime de considérer le cas d'Aber- nethy comme appartenant à l'
affection
qui nous occupe. Oss. VI. - D. Rogers, Am.jùUI'
men micros- copique. Peau crasseuse, sécrétion sébacée abondante. L'
affection
est évidem- ment inflammatoire à cause de la do
ci avait débuté un an avant la naissance de la malade. Début de l'
affection
à t'age de 5 ans par la partie inférieure de la n
flement inflammatoire. L'enfant, examinée dans la 1 Ue année de son
affection
, présente l'ossilication des temporaux et des d
hives de Langenbeck, 1869, p. 459-46G. Ulrich C..., 24 ans. Pas d'
affection
semblable dans la famille. Bien portant jusqu'à
1875. Jeune fille, 8 ans. Rien dans les antécédents héréditaires. L'
affection
a dé- buté à l'âge de 6 ans par des douleurs à
e petit rond furent pris éga- lement. Dans la deuxième année de son
affection
, on constate l'ossification des. trapèze, sus-é
sur I.i jambe. Dans l'extrémité inférieure droite, au contraire, l'
affection
a fait des 'progrès. Dans les fessiers on trouv
es et soeurs, plus jeu- nes, scrofuleux comme notre malade. Pas d'
affection
semblable dans la famille. A 6 ans, formation d
ns électriques n'ont pas été recherchées. Malgré le traitement, l'
affection
continua son cours. 312 A. WEILL ET J. NISSIM
urzburg, 1883. AbertMargaretha, 20 ans, facteur des postes. Pas d'
affection
semblable dans la famille. A 4 ans, abcès à la
père paternel rhumatisant, mort à 79 ans; grand'mère à 78 ans d'une
affection
pulmonaire. ' Grand-père maternel rhumatisant a
M. P. Marie (1) a décrit sous le nom de Spondylose Rhizomélique une
affection
caractérisée objectivement par la soudure de tout
Strumpell. Nous appor- tons, comme contribution à l'étude de cette
affection
, l'histoire d'un ma- lade déjà présenté par M.
pas d'autres troubles de la sensibilité. Marche de la maladie. - L'
affection
a eu trois étapes douloureuses. D'a- bord la do
tte description. Symptômes. La caractéristique symptomatique de l'
affection
et la soudure complète du rachis avec une ankyl
eich, le premier, a fait une nécropsie, son malade étant mort d'une
affection
intercurrente; il ne trouva aucune anomalie dans
le névralgie tenace du trijumeau. Chez le malade de Schieck(1883) l'
affection
aurait apparu vers la fin de la 2e année. Dan
'observation de Montgomery. La langue est ici toujours intacte. L'
affection
est nettement progressive dans deux cas (Schieck,
xaltation des fonctions vaso-dilatatrices du nerf, subordonnée aune
affection
irrita- tive des fibres nerveuses. Expériment
llaire jusqu'à la crête iliaque. Godlée a assisté aune attaque de l'
affection
dans les muscles rhomboïdes des deux côtés succ
t. CXXVIII, p. 537-51f. Machalina Sienkowska, 3 ans et demi. Pas d'
affection
semblable dans la fa- mille ; deux frères l'un
ns des con- ditions particulièrement favorables aux recherches, les
affections
du système nerveux, pouvait devenir un jour le
ttaient à la rigoureuse épreuve de l'observation scienti- fique des
affections
dont les symptômes étaient encore considérés au s
ée est incalculable. Sans doute, nous savions déjà qu'il existe des
affections
du système nerveux, sans lésions'appa- rentes o
s leçons ainsi que la topographie des tubercules pulmonaires. Les
affections
articulaires, le rhumatisme noueux, si commun à l
ne après avoir eu quatre enfants dont trois sont morts en bas âge d'
affections
indéterminées. La malade est la plus jeune de l
lésions cérébrales (scléroses, porencéphalie, etc.) qui donnent les
affections
spasmo-paralytiques sont primitivement d'origine
la face, et les lésions cérébrales se traduisant par l'idiotie, les
affections
spasmo-paralytiques et l'épilepsie. Aux observati
cette cause n'est pas inconnue, quelquefois il s'agit d'une simple
affection
catarrhale (1). La généralisation des spasmes s
ologie de la chorée. Au point de vue symptomatique, nous voyons l'
affection
se manifester d'abord par un spasme localisé à
eut le voir dans le cas actuel. (1) CELLE, Chorée consécutive à une
affection
nasale (C. B. Soc. de biologie, 1883, p. en).
III. Syndrome gastrique. I . Le syndrome pulmonaire répond à une
affection
bien définie : nous avons déjà dit qu'il s'agis
figure entre les plus saillants ? Ce qui frappe d'abord dans cette
affection
pleuro- pulmonaire c'est le contraste entre les
ets en doute qu'on ait jamais observé l'aisance extrême dans aucune
affection
purement pulmonaire (sans intervention de toute a
hénomènes fonctionnels n'est pas toujours très précis même dans les
affections
purement pulmonaires (il est de vérité franche
est de vérité franche qu'il manque souvent et tout à fait dans les
affections
rénales car- diaques). Mais pour un contraste a
nt la der- nière après sa seconde entrée, c'est-à-dire quand déjà l'
affection
pleuro- pulmonaire était à peu près guérie. A
moindre trace de cyanose. L'état général n'est donc pas celui d'une
affection
pulmonaire grave. El puisque une affection SUR
est donc pas celui d'une affection pulmonaire grave. El puisque une
affection
SUR UN CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE SECONDAIRE 4
e 160 à 25. Quelques ventouses peuvent atténuer les symptômes d'une
affection
légère. Mais ici l'effet a été instantané et to
e affection légère. Mais ici l'effet a été instantané et total et l'
affection
(si elle était la cause de la dyspnée) serait ass
que présente notre malade ne s'ex- plique pas suffisamment par son
affection
pulmonaire, ne s'expliquerait- elle pas par l'h
attaque d'hystérie. Les symptômes physiques et fonctionnels de son
affection
pleuro-pulmonaire s'étaient amendés quand se so
e cyanose. Cette dyspnée, qui si elle 472 1 1 J.soc\ tenait à une
affection
organique serait probablement mortelle, dure des
rurgie, XLIV, p. 179-240, 1897. A... S..., homme de 25 ans, pas d'
affection
semblable chez les ascendants ni rhumatisme, ni
droit. Dès lors il tombait très souvent et plus il tombait, plus son
affection
s'ag- gravait. Extension de l'affection au do
plus il tombait, plus son affection s'ag- gravait. Extension de l'
affection
au dos et la région sacrée avec les mêmes phéno-
Tête attirée sur le côté. Après des pauses plus ou moins longues, l'
affection
s'étendait toujours après un traumatisme, chute
ntation.] CONCLUSIONS M La myosite ossifiante progressive est une
affection
de tout l'appareil locomoteur ; elle se caracté
est qui ne le sonl jamais (coeur, diaphragme, sphincters) ; lie L'
affection
offre un épaississement de tout le système conjon
'empêchait de se livrer à ses études depuis plusieurs années. Cette
affection
nous parut curieuse et nous fîmes des recherche
a Reçue mensuelle de l'Enfance, numéro d'avril ISS3. Il a donné à l'
affection
le nom de « Céphalalgie de croissance ». En com
métrope, mais M. Perrin, consulté à cet égard, ne rattache pas l'
affection
nerveuse à ce défaut de la vue. Les verres, appro
u bout de trois à quatre semaines. On espéra tout d'abord que cette
affection
aiguë allait débarrasser l'enfant de sa céphala
Nectaire, dont il avait souvent constaté l'heureux effet dans cette
affection
. Pendant tout le temps du séjour à Saint-Nectai
été possible de connaître chez nos. malades les, débuts ,de leur
affection
mentale. Notre expérience est sans doute un peu
série de transitions. N'oublions pas; enfin, qu'au début même 'de l'
affection
mentale,' il y avait déjà-un fond'primitif de d
uis de' 1 longues années les'aliénistes, celle de savoir si cette
affection
a une .existence propre, ou si elle doit;dispa-
i}ii,às}.^§>i dp ! Ëu41,re.r,n ? ûJui ayit jaln ishtmoign grande
affection
. , Le. délire était parfaitement systématisé. Sa
er pas, à ^pas1 le; réyeil,delleurs;facultés : pour.lpeulqú'é leur,
affection
} le,s ? pargnât),unt,certailll temps ! 1 Ce rés
lection toute particulière; pneumogastrique- ou; grand sympathique;
affection
du coeur ou anémie, tout ce- qui de près ou de
us, 1 est 1 devenu da base d'une théorie sur la pathogénie de cette
affection
. Fallait-il dilater un vaisseau ? vite on paral
ser- virons de ce mot que dans, le, sens purement conventionnel d'
affection
caractérisée par un trouble des fonctions nerveus
ésions que l'on observe plus ou moins communément dans les autres
affections
. , 1 ? - , fl . Dans un récent travail' inspiré
e cette dernière épithèto préjuge en quelque sorte un siège à cette
affection
, 'et que, de plus, elle n'exprime pas assez, à
ttent' sinon de le'considé- roui comme absolument' spécial à cette'
affection
, 'du ' moins'de le' distinguer des tremblements
.r , ' i 1 f ... ? 1 ". .... OusEnvATtON IL : Homme atteint d'une
affection
, cardiaque, présentant une tuméfaction du corps
,I ? tept : . Quant' au'diagnostic, on peut facilement distinguer l'
affection
de la paralysie spinale aiguë de l'adulte, qui
1 luohJl2 J,I 1 ? 'j'o la ,8olq sa IX. : uQ9lj''r ? B,T ! Tl,N j +u
AFFECTIONS
,. DUly SYSTÈME 1 NERVEUX .CBN- M TRL ? par Cl,n
GIE NERVEUSE. 103 : iaui-xrtni £ ai.joa.oHWT au (W/.u ,1 XII. D'une
affection
spinale,, particulière obsermïe CHEXrDES buveur
ple, avec un sentiment profond : une de nos malades avait conçu une
affection
très vive pour un homme, elle avait eu beaucoup
dérations générales sur l'hystérie présente deux cas-types de cette
affection
. Il insiste sur l'importance de la théorie de M
lit son travail sur la Moral Insanity 1. Il en con- clut que cette
affection
n'est pas autonome, qu'elle n'est qu'un syndrom
ent être domptés par leur jugement défectueux ; c'est donc bien une
affection
symptomatique d'autres maladies. M. Holloender
s les phénomènes gastriques avaient disparu par le traitement. de l'
affection
utérine. SI. Hewitt admet la division par Engelma
ique, ce médecin distingué a passé en revue les'" dijfél : eÍ1le5'¡
affections
. de la moelle, rapprochant les lésions dessY,mp
,'1.. 1 /, ? df ! . ' De l'élongation nerveuse dans l'ataxie et les
affections
médullaires; par JACQUEMI.-4. Thèse de Paris, 1
nt presque toujours les troubles trophiques cutanés consécutifs aux
affections
céré- brales ou médullaires. Quoi qu'il en soit
icale entre la marche centripète des névrites spontanées, liées aux
affections
cérébrales ou médullaires, et les dégénérations
tout d'abord que la névrite périphé- rique non traumatique est une
affection
relativement commune, puisque, dans un laps de
nt le plus souvent que des sensations vagues et diffuses. Quand l'
affection
était arrivée à son degré le plus élevé, nos je
sur toute leur physio- nomie. Le diagnostic différentiel de cette
affection
ne nous paraît pas difficile à établir. Aucun d
eurs que par accès; elle n'a pas la continuité de cette céphalée. L'
affection
qui, en apparence, s'en rapprocherait le plus s
nt craint un moment l'imminence d'une méningite ou de quelque autre
affection
grave du cer- veau. Si de pareilles craintes pe
veau. Si de pareilles craintes peuvent exister tout au début de l'
affection
, surtout quand elle fait son appa- rition brusq
e cet état cérébral. Ceci nous amène à parler de l'étiologie de l'
affection
. Chez les parents de plusieurs de nos enfants,
tion nerveuse congé- nitale. Les parents de nos enfants n'ont eu ni
affection
organique des centres nerveux, ni état névropat
ns l'organisation une vulnérabi- lité toute spéciale pour certaines
affections
aiguës et chroniques. C'est ainsi que l'on voit
des autres ? Ne voit-on pas tous les jours des malades souffrir d'
affections
du système nerveux, sans qu'ils aient rien perd
ou de les restreindre dans des proportions considérables. Quand l'
affection
est arrivée à son apogée, ce n'est pas seulemen
acultés intellectuelles, laquelle les reudrait plus accessibles aux
affections
du cerveau. Il n'en est rien. Enfants, ils ont
qui sont actuellement médecins des hôpitaux, ont suuffert do cette
affection
pendant plusieurs années de leur enfance. DE LA
vons cherché des renseignements, nous ont assuré avoir souvent vu l'
affection
chez des gar- çons, mais non chez des jeunes fi
a différence qui existe entre cette céphalée et les symptômes d'une
affection
des adultes qui devient de plus en plus commune
e- ment,' nous avons eu l'occasion d'étudier bien des fois cette -
affection
pendant ces dernières années. Dans presque tous
douloureusement avec plus de facilité que celui de l'adulte. Si l'
affection
est réellement en rapport avec la crois- sance,
e nos confrères qui ont été à même d'observer quelque- fois cette
affection
, dans tout son cours, nous ont dit l'avoir vus'
nd air soulagent les malades, et peuvent même les guérir, quand l'
affection
est légère. Mais, comme l'attestent plusieurs d
rmales, elles aussi, n'aient pas une complète efficacité dans une
affection
de cette nature, où la cause, par moments assou
, dans tous ces cas, nous avons eu sous les yeux une même et unique
affection
. Si quelquefois nous avons insisté un peu longu
ère cette grande analogie. Voyons maintenant en quoi consiste cette
affection
sin- gulière qui est peut-être moins rare qu'el
temps en général fort long. Chez deux de nos malades, le début de l'
affection
a été au contraire tout ENCÉPHALITE PARENCHYMAT
s sillons et des scissures. Ils croient que le point de départ de l'
affection
réside plutôt dans la névroglie de la subs- tan
it plus haut que les premiers auteurs, admettant l'iden- tité comme
affection
du mérycisme et de la présence des cornes, pens
ntre à ce point de vue dans la règle. Cependant, ici, la cause de l'
affection
ne fut pas la voracité, car les premiers phénom
mènes se manifestèrent à la suite d'une maladie aiguë, une variole.
Affection
bizarre sur laquelle les mêmes maladies peuvent
réciproque du même genre, pouvant amener le développement d'autres
affections
de l'estomac : c'est ce que semblerait indiquer
s repas les liquides ingérés qui avaient alors un goût aigre. Cette
affection
se changea ensuite en une véritable rumination qu
aient rejetés, mais sans douleurs ni ell'orts de vomissement. Cette
affection
disparut en quelques semaines sous l'influence de
ent. Le troisième, âgé de vingt et un ans, a sa mère atteinte d'une
affection
chro- nique de l'estomac. Il a son infirmité de
démence paralytique. D'autant plus que les prostituées, chez qui l'
affection
mentale en ques- : tion parait être assez fréquen
idents dans le tabes. M. Wernicke fait ressortir que, même dans les
affections
en foyer, on peut observer la rapide rétrocessi
es para- lytiques, mais il est possible qu'on ait affaire ici à une
affection
vasculaire comme il s'en produit chez les vieux
celle du passage de la lésion aux cordons latéraux ; 30 celle d'une
affection
encéphalique de nature spéciale, en rapport ave
lignes de séparation verticales plaideraient plutôt en faveur d'une
affection
du chiasma. M. BF : l\'11 \l\DT demande quell
pillaire qui saute d'un côté a l'autre comme pathognomonique d'une,
affection
organique du cerveau. 11 ne tend pas à admettre
serait considérable, puisqu'en 1878, sur un relevé des cas de celle
affection
dans les garnisons de différentes villes, on n'en
xcitation,"et'coïncidant.avec une atrophie' des muscles; ^- 2 ? une
affection
dU'coeÚ¡" cO'IÍstilùéè 'objecliv'Cinent 'pat.' l'
. Novembre 1883. N" 18 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE
AFFECTIONS
OSSEUSES ET ARTICULAIRES DU PIED CHEZ LES TABÉT
t Cn. FËRË. Décrites pour la première fois par 1'un.detous ', les
affections
osseuses et articulaires des ataxiques sont auj
5, Miche)', 1 Gliircot. De quelques artlzropathies consécutives aux
affections
du ce/ veau et de la moelle épinière. (drclt. d
is d'avril 1881, que nous avons observé le premier exemple de cette
affection
. Observation I. - .Ataxie locomotrice. - Crises
n locomotol' atax ? (.1 : cd. Ti7lle. a/ld Ga ? fehr. ISSU.) On the
affection
of boues and joints in /OCOM ! 0<0)' ataxy a
it chez un atniyue. (.1-ch. de Neurologie, t. VI, n" 17, p. 180.)
AFFECTIONS
DU PIHD CHEZ LES TABË L'\(,)UES. 307 sèment :
devoir rester sur la réserve, relativement à la nature intime de l'
affection
qui nous parut provi- soirement désignée suffis
que nous venons de décrire. M. Page rattaclia, sans hésiter, cette
affection
au groupe des arthropathies tabétiques. Obser
bes dorsal. (A.-W. Page.) Le malade est un homme de trente ans. L'
affection
a com- mencé en octobre dernier par un gonfleme
1, t. I, z. (R<'t7 ? ('t<.yoi;)') : ,a ? rit 183 ? p. 772.)
AFFECTIONS
DU PIED CHEZ LES TABETIQUES. 309 affecté de la
ons fait la remarque que chez la femme, les premiers symptômes de l'
affection
tabétique se manifestent souvent de liés lionne
de troubles visuels pour h'r.4. - AI llrropatlne du pied droit.
AFFECTIONS
DU 1MEI) CHEZ LES 'J'A¡;E'J'j( ! ¡;L. 311 1 la
é nerveuse (tante et oncle maternels aliénés), et de la syphilis.
AFFECTIONS
DU PIED CHEZ LES TABETIQUES. 313 i elle était p
re de l'articu- 1"ig. y. Arthropathie du genou ; pied ataxique.
AFFECTIONS
DU PIED CHEZ LES r,rci : Trnor.s. : 31;> -)
I, IV), quelquefois sur la face dorsale du pied (Obs. III). Cette
affection
n'est sans doute point très rare, puis- que nou
lies. Observation V. Examen du squelette du pied dans un cas d'
affection
complexe des os et des articulations chez un at
pièce a été présentée si I,i Société anatomiqne le 13 juillet 1883.
AFFECTIONS
DU PIED CHEZ LES '1'.\lJ¡ ? 1'j(JU¡ ? 317 il
Ces lésions complexes, en dehors de tout trauma- tisme, de toute
affection
suppurative du pied, ne peu- vent être rapproch
d'ailleurs démontré l'examen de la moelle épinière, l'origine de l'
affection
du pied ne paraît pas pouvoir rester douteuse.
on le voit, se présenter, dans le cours de l'ataxie locomotrice une
affection
complexe du pied dans laquelle les os et les ar
mes circonstances, les os longs et les grandes articulations. Cette
affection
que nous proposons de désigner pour plus de com
conservé leur carac- tère ; la sensibilité était intacte. Mais l'
affection
des poumons fit de rapides progrès ; la pneu- m
dans l'écorce. P. K. XVII. DE la CONSCIENCE DE la maladie dans LES
affections
mentales; par Arnold Pics. (Arch. f. Psych. Il.
de réaction pupillaire pendant l'épilepsie ou le coma qui suit les
affections
encéphaliques. Les hystériques en état.d'hémian
développements en vertu desquels l'auteur rejette l'existence d'une
affection
mentale. Détails morcelés sur les moeurs turque
. Centralbl. 1882.) Le délire (de la fièvre, des intoxications, des
affections
soma- tiques) est consitué par des paroles inse
ncore une raison pour ne pas l'as- socier à l'iodoforme) - dans les
affections
vésicales. B. L'emploi de l'iodoforme parait in
à l'extérieur de la vulve. M. Fuerstner. Sur les psychoses dans les
affections
de l'organe de l'ouie. Les relations qu'affecte
veux : « au point de vue des phénomènes nerveux, le diabète est une
affection
protéiforme ». Un autre caractère, que nous sig
rticale ; 6. Nouroses vasomotrices et trophiques ; 7. La valeur des
affections
des organes'pél'Îphél'Îques,(surtout les organe
49. Asiles, 301. Assassinat par un épileptique, 161. Ataxiques (
affections
osseuses et ar- ticulaires du pied chez les), p
Optiques (physiologie des couches), 115 Ouïe (psychoses dans les
affections
de l'organe de l') 425. Paralysie générale (t
en desquels les - sont quelquefois trompées, etc.), 296. Spinale (
affection
particulière ob- servée chez les buveurs), 109.
onsabilité, 268. Syphilis et tabès, 107. Système nerveux central (
affections
du), 1 05 ;-(dans l'ergotisme), 1 1 1 . Tabes
du livre que nous analysons, théorie rendant parfaitement compte des
affections
puerpérales multiples que nous sommes à même d'ob
variétés, l'ovarite, les phlegmons du ligament large et vingt autres
affections
que nous aurons plus tard l'occasion d'étudier.
ourris avec beaucoup de viande, ils ont, au bout de peu d'années, des
affections
exanthé-matiques prurigineuses, incurables le plu
es auteurs allemands, sont sans doute une des particularités de cette
affection
étrange à tant d'égards, mais elles sont loin d'ê
es de faits qui me semblent tellement contraires au type général de l'
affection
rhumatismale, qu'ils devraient suffire seuls à ju
constater l'atrophie des extrémités articulaires. A cette époque de l'
affection
, pas plus qu'au début, on ne note de douleurs spo
s mouvements sont souvent dou-loureux. Le terrain sur lequel les deux
affections
prennent nais-sance n'est pas non plus le même :
être quelques bons effets. Le repos, ici, de même que dans toutes les
affections
articulaires, du moins au début, est de règle. —
ésultats que l'on doit attendre du traitement, car on a affaire à une
affection
toute particulière, dépendant d'une cause persist
ne affection toute particulière, dépendant d'une cause persistante, l'
affection
de la moelle, contre laquelle ont échoué jusqu'ic
eau-nés, un travail de M. Roque sur l'inégalité des papilles dans les
affections
des poumons, des ganglions bronchiques et du péri
ement s'est effectué à terme deux mois et demi après la guérison de l'
affection
syphilitique, et l'enfant n'a porté, en venant au
e pression énergique a moins d'inconvénients. — Le pouls lombaà 80; l'
affection
des jointures varia en degré en mars-juin ; mais
endent au contraire à les diminuer en abrégeant la du-rée totale de l'
affection
. Les plus mauvais résultats sont fournis par les
remier en France qui ait attiré l'attention des chirurgiens sur cette
affection
singulière; il a de plus étudié d'une 1 Les ost
Le travail qui suit a pour but de montrer qu'il s'agit, dans les deux
affections
, de phénomènes dif-férents et que la ressemblance
breux que l'on entend des deux côtés de la poitrine en arrière. Pas d'
affection
cardiaque probable. Les jambes ne sont pas œdémat
it là, ainsi que nous le disions en commençant notre travail, de deux
affections
à tous égards dissem-blables. BIBLIOGRAPHIE L
-blables. BIBLIOGRAPHIE Les eaux minérales dans le traitement des
affections
utérines, par le docteur Félix Roubaud, lauréat d
utérines passent sous silence la thérapeutique hydrominé-rale de ces
affections
. Quelques-uns ne paraissent citer les eaux mi-nér
n trois sections, dans lesquelles il s'occupe successivement : 1° des
affections
utérines tributaires des eaux minérales; 2° de
de la matière médicale des eaux minérales; 5° de la thérapeutique des
affections
utérines par les eaux miné-rales. Cette troisième
peutique par les eaux mi-nérales les maladies aiguës de l'utérus, les
affections
malignes et enfin ces productions telles que les
rrespondra aux indications tirées du tempérament et de la nature de l'
affection
. » Après avoir indiqué, pour chaque classe de m
sme affaibli et malade de réagir contre les causes occasionnelles des
affections
inflammatoires. Dans l'autre cas, à cette premièr
L'étude de la symptomatologie de l'ovarite permet d'envisager celte
affection
sous trois formes distinctes : suraiguë, aiguë, e
nctes : suraiguë, aiguë, et subaiguë. La forme subaiguë constitue une
affection
sur laquelle les auteurs sont loin d'être d'accor
cornée de celles des parties découvertes. M. Bazin diagnostique une
affection
squameuse de nature ar-thritique, le psoriasis sc
le auquel il appartient. Réflexions.— Le malade était atteint d'une
affection
squameuse. — Les plaques épaisses qui recouvraien
es mains et les pieds étaient bien des squames, et non des croûtes; l'
affection
était sèche ; tout au plus si, aux bords des crev
ien plus, nous trouvons qu'une partie non atteinte en apparence par l'
affection
, la paume des mains, est le siège d'une desquamat
s. Mais quelle est la variété de psoriasis? quelle est la nature de l'
affection
? Ce psoriasis est nettement limité: il occupe l
oriasis scarlatiniforme. La description que donne M. Bazin de cette
affection
coïncide par-faitement avec ce que nous observons
sorti blanchi ; nous l'avons perdu de vue, et l'on sait que, dans les
affections
cutanées, on ne peut dire un malade guéri que qua
hie musculaire progressive, Bellinghen fait remon-ter le début de son
affection
à une douzaine d'années. Il était alors corroyeur
ions du système nerveux (moelle et nerfs) éloigne de toute idée d'une
affection
exclusivement musculaire. Dire comme Virchow que
mise jusqu'aux muscles par l'intermédiaire des nerfs. — Lorsque cette
affection
de la moelle est diffuse, chronique, lentement pr
sujette à des batte-ments de cœur, sans avoir cependant ni gourmes ni
affections
gra-ves. Les règles sont apparues à 16 ans; chaqu
nous renseigner d'une façon véridique sur le mode d'évolution de son
affection
. Voici, en quelques mots, son histoire. Il n'y
t pas, tant s'en faut, j'espère vous en donner bientôt la preuve, une
affection
incurable. Chez les malades sur lesquelles je v
llement de 22 ans, très-ner-veuse et appartenant à une famille où les
affections
nerveuses pré-dominent, fut prise, il y a trois a
rvé cette maladie en Islande, voici comment se répartissent 255 cas d'
affections
hyda-tiques : Les contusions de la rate, accusé
cier des kystes de la rate ; quand on n'aura pas de signes certains d'
affection
rénale, telles que coliques néphrétiques, expulsi
e particulièrement incommodés. 1 Leçons théoriq. et cliniq. sur les
affections
cutanées artificielles, etc., p. 108. 2 "Voy. M
ue, que j'ai décrit le premier, sur l'état de la vessie pendant cette
affection
et sur la nature du produit catarrhal et du sédim
, d'ailleurs d'assez mauvaise constitution, ayant été traité pour des
affections
syphilitiques, est frappé d'une congestion céré-b
ablit le diagnostic de ces syphili-des entre elles et avec les autres
affections
syphilitiques de la langue ; enfin il montre comm
ngue ; enfin il montre comment on peut reconnaître les syphilides des
affections
non syphilitiques de la langue (aphthes, hydroa,
de des signes objectifs seuls, indépen-damment des antécédents et des
affections
concomitantes ; — ¥ On pourrait peut-être réunir
; en outre, on trouve,comme coïncidence habituelle, les restes d'une
affection
chronique des os, d'une syphilis constitutionnell
hippocratique, qu'il lui fallut y revenir ; en effet, on observa des
affections
où il se forme dans la rate, aux dépens du sang d
s noires que l'on retrouva dans le foie, dans le cerveau; et dans ces
affections
on constata l'existence d'accidents semblables à
t en faveur de l'épidémicité ; il considère l'érysipèle non comme une
affection
locale, mais comme une maladie générale, ma-nifes
ur, nous a toujours affirmé qu'il ignorait absolument la cause de son
affection
et qu'il ne pouvait se rendre compte du développe
sparaît le plus souvent d'elle-même, lorsque l'on parvient à guérir l'
affection
dont elle n'est qu'une détermination morbide par-
été mise en doute. Cependant nous pensons qu'elle constitue bien une
affection
à part, et, qu'à ce titre, on doit la faire entre
rate (T^èse Paris), 1847. Brard. — De la rate et de ses principales
affections
(Thèse inau-gurale), Paris. 1859. Consulter en
le risque de les prendre pour des symptômes produits par toute autre
affection
. La pleurésie, l'inflammation du lobe inférieur d
UR A. DE MONTMÉJA Fa planche XXXV représente un sujet atteint d'une
affection
rare dont la nature est encore peu connue : la th
é de l'ouïe ; 5° idées fixes, conceptions délirantes ; 6° lésions des
affections
; 7° impul-sions irrésistibles; 8° illusions et h
s troubles de la sensibilité qui mar-quent sûrement le début de cette
affection
. Chez le malade qui nous occupe, les douleurs qu'
Charcot a vu, tout récemment, débuter un cas d'ataxie par une de ces
affections
arti-culaires ; ce qui, pour le dire en passant,
t offrir ces accidents, des résultats assez singuliers. Sur 18 cas, l'
affection
s'est portée 11 fois sur les genoux, 3 fois sur l
out les nerfs sensitifs, que se rattache-raient le zona et les autres
affections
cutanées qui relèvent du système nerveux. Sous
e ces troubles viscéraux qui paraissent se développer à la suite de l'
affection
médullaire; telles sont les crises gastriques ind
'opération B... signale seulement avant et depuis le début de cette
affection
des angines auxquelles il a d'ailleurs toujours é
diques ; c'est encore le travail le plus complet que nous ayons sur l'
affection
qui doit nous occuper; depuis cette époque, quelq
se de ce nerf, a administré le hachisch pour combattre cette terrible
affection
: tous les médicaments qu'il avait employés aupar
t en rapport avec la vaso-dilatation des os. Mais il doute si cette
affection
osseuse est identique à l'ostéomalacie vraie qu
pitations), et on notait en outre dans leur famille la présence des
affections
du corps thyroïde. Ce n'est que dans quatre cas
dérée de corps thyroïde chez des per- sonnes ne souffrant pas d'une
affection
thyroïdienne déterminait une ré- tention éviden
njection de ce microbe à des jeu- nes animaux et considère les deux
affections
comme équivalentes au point de vue étiologique.
évidente entre 10 et 20 ans ! Mais on cite des cas dans lesquels l'
affection
se manifesta insidieusement et sans causes appa
blement à la suite- d'une contusion. Dans quelques cas très rares l'
affection
de Madelung peut être congénitale, à cette opin
nt de revenir plus tard sur Pédologie et sur la pathogénie de celte
affection
Observation (PI. IX). M. A..., âgé de 28 ans,
entre cliniciens. Sur la pathogénie et sur l'étiologie de certaines
affections
, ce désaccord est démontré par les différentes
ient pas d'être trop affirmalif sur l'étiologie proha- ble de cette
affection
. En elle[ on n'est pas trop d'accord il ce sujet,
nnelle. Nous trouvons les premiers indices de l'hypothèse que notre
affection
soit de nature rachitique dans les travaux de D
té ou discuté le diagnostic, recherché l'anatomie pathologique de l'
affection
nouvelle ; et récemment encore, on faisait à la
ts bien distincts, qu'il paraît difficile de ré- unir dans une même
affection
: d'un côté, hallucinations, confusion, curabil
lques rares et faibles idées délirantes.Le malade est atteint d'une
affection
nerveuse, pulmonaire, on l'a volé, on ne lui donn
progressive ; il semble pourtant que, dans certaines circoustances, l'
affection
peut s'installer en quelques mois et même se co
s, semble-t-il, qu'une forme clinique de la démence sénile, non une
affection
autonome ; mais ici encore, de l'aveu même de l'a
sion de l'élé- ment confusionnel, Kraepelin éliminait du cadre de l'
affection
toute une série de symptômes qui faisaient part
la presbyophrénie reste inconnue, et, enfin, l'évolution même de l'
affection
ne permet guère de l'assimiler complète- ment a
tion s'est modifiée : groupement t symptomatique commum à plusieurs
affections
, la Presbyophrénie doit être envisagée comme un
la foi d'une doctrine et d'un néologisme, ont tenté de décrire à l'
affection
nouvelle des lésions spécifiques. Fischer fut
ifiques de la Presbyophrénie, et permettant de l'isoler comme « une
affection
cérébrale au sens clinique et anatomique », ces
; et si le tableau clinique d'ensemble est différent, dans les deux
affections
, c'est parce que les symptômes communs, qui fon
ramnésie. Pas de polynévrite (1). Malade âgée de 77 ans. Jamais d'
affection
grave ; caractère sérieux, aurait été peu imagi
fficile que le syndrome observé est commun à un plus grand nombre d'
affections
. Ces observations nous permettent, en outre, d'
eprésente une forme aberrante, répondant à la période initiale de l'
affection
ou à la période d'état, et sous laquelle se manif
Interne de l'hôpital. En un temps déjà éloigné, les maladies et les
affections
des articula- tions de toute nature ont été déc
ciences médicales a amené la division de la conception générale des
affections
rhumatismales et la science moderne connaît deu
ique. - Eu 1892, le Professeur HekhteretI a décrit cinq cas « d'une
affection
spéciale qui se manifeste par une déviation du
im- mobilité ou la rigidité de la colonne vertébrale et une série d'
affections
du système nerveux ». Cette forme a reçu plus t
effort pour dégager une nouvelle forme pathologique de la masse des
affections
« rhumatismales », le plus grand mérite revient i
e dans les articulations de l'épaule. Le tableau spécial de cette
affection
est complété par la cyphose, par l'absence de d
père du malade était alcoolique. On ne trouve pas dans la famille d'
affection
comme celle dont souffre le malade. A 18 ans, il
c : Rhumatisme chronique ankylosant. Anamnèse. On ne trouve pas d'
affection
articulaire chez les ascendants. A 12 ans, pour
rticulations des genoux et dans les articulations du cou-de-pied. L'
affection
des mêmes arti- culations se renouvela encore t
dans l'articulation du cou de-pied de la jambe droite. En un an, l'
affection
se pro- page successivement, avec des intervall
s articulations des genoux avec douleurs, tuméfaction et fièvre ; l'
affection
dura 6 semaines. Deux ans après, nouveau refroi
des genoux, des hanches et sur les articulations du cou de-pied. L'
affection
prit un cours chronique et il eut plusieurs parox
i est rejetée en avant. 15° Il y a dans toutes nos observations une
affection
plus ou moins marquée des articulations des han
ités. Dans trois cas on trouve dans les antécédents personnels, des
affections
passagères des arti- culations lemporo-maxillai
roubles atrophiques des muscles doivent être mis sur le compte de l'
affection
des articulations (Des convulsions myocloniques o
in de l'Asile de St-Maurice. d'aliénés d'Evreux, L'étiologie de l'
affection
décrite par Dercum sons le nom d'adipose dou- l
e d'ensemble, considère que cinq fois sur cinq on relève dans cette
affection
des lésions des nerfs périphériques (névrite inte
t décédée à l'âge de 58 ans le 3 janvier 1909, : '1 la suite d'un ?
affection
cardio-pulmonaire qui dnra quelques jours et fut
DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CEREBRAL 155 doute moins que les
affections
d'origine vasculaire ; le malade est donc plus
ulaire est rebelle à l'injection. Il en est ainsi dans toutes les
affections
du tissu cellulaire, c'est-à-dire dans tous les
personnage obligé de porter un pansement très spécial pour certaine
affection
telle que ces phimosis représentés à chaque pag
e progressive, etc., sont autant de variétés de retentissement de l'
affection
primaire sur la nutrition de la peau et des tis
i qui nous occupe et 2 1 4 BOVERI qui soient sous la dépendance d'
affections
nerveuses. Ce sont plutôt des phénomènes d'atro
ouchait au-dessus de sa chambre. Employé de commerce. Le début de l'
affection
remonte à peu près à trois mois. Depuis quelque
eux-mêmes rien de caractéristique et peuvent se rencontrer dans des
affections
mentales diverses.C'est un fait clinique sur lequ
on de dia- gnostic. Chez cette malade en effet, de 1892 à 1896, l'
affection
a procédé par poussées successives, constituant
el (1), que l'intermittence n'est qu'un des éléments essentiels des
affections
nerveuses et mentales en général, et qu'on n'y tr
l de l'organisme, l'effet de sa cachexie,et non comme le foyer de l'
affection
, qui a un rapport avec la maladie de la spondylos
troubles radiculaires ou médullaires désignent la nature même de l'
affection
. 2° Spondylite tuberculeuse. En ce cas, les dou
diagnostic différentiel de la spondylose rhizomélique et des autres
affections
chroniques. ri0 La spondylite syphilitique est
utres affections chroniques. ri0 La spondylite syphilitique est une
affection
très rare. Dans sa forme d'ostéite et de périos
SE RHIZOMÉLIQUE 247 6° Le cancer du rachis est presque toujours une
affection
secondaire; elle porle sur quelques vertèbres;
adie, la spondylose rhizomélique doit être distinguée de toutes les
affections
qui ont parmi leurs symptômes l'immobilité la d
ison dessymp- tômes de bien séparer la spondylose rhizomélique de l'
affection
similaire et d'établir, en concordance avec l'o
aire de M. 13c%Irtere/f. Dans tous les cas que décrit Bekhtereff, l'
affection
se porle exclusivement sur la co- lonne vertébr
rédité pathologique spéciale et de traumatisme dans l'a- namnèse. L'
affection
n'intéresse que le rachis dévié en forme de cypho
début, des douleurs aiguës et une ankylose passagère du rachis ; l'
affection
guérit également. c) Dans la forme allkylosal
ntervertébraux. La spondylose rhumatismale est, par excellence, une
affection
des articulations Nous avons donné plus haut la
thrite déformante).- On distingue aujourd'hui trois formes de celte
affection
: I. - L'arthrite ou spondylite détol'1/lamte c
de son état de marasme (Pribram). Au point de vue anatomique, cette
affection
est caractérisée par les déformations suivantes
sur les altérations hy- pertrophiques. Le caractère essentiel de l'
affection
consiste dans la dé- composition du tissu fonda
escence graisseuse de ses cellules, d'où résulte l'usure. C'est une
affection
géné- rale constitutionnelle qui provient d'une
agit de Polyarthrite chronique rhumatismale. Cette dernière forme d'
affection
se rencontre le plus souvent entre 40 et 50 ans
Marie que nous avons dé- crit plus haut. Il n'y a que le siège de l'
affection
qui établisse une diffé- rence entre ces formes
éliologique à la blennorrhagie; ils croient que l'agent actif de l'
affection
peut être non le gonocoque lui-même, mais ses t
le une légère forme d'urétrorrhée sans aucun rapport évident avec l'
affection
princi- pale ; dans les 8 autres cas l'urétrorr
ans les 8 autres cas l'urétrorrhée n'existait pas. 3° Dans 9 cas, l'
affection
commença sans cause aucune. si La tuberculose.
ort avait été provoquée par la Luberculose pulmo- naire sans aucune
affection
tuberculeuse locale des os. Mais nous avons le
érer celte tuberculose comme une complication qui vint s'ajoutera l'
affection
idiopathique. Parmi les 9 autres cas, il n'en est
e déformante) et la Spondylose myopathique sont toutes les deux des
affections
spéciales qui se distinguent de la spondylose r
chis » de Brissaud et Grenel, nous ne les considérons pas comme des
affections
différentes de la spondylose rhizomélique. Le
s pendant la vie du malade, mais pour comprendre la pathogénie de l'
affection
, il est indispensable de rechercher les relatio
cuités, car chacune de ces altérations peut être dans les différentes
affections
du squelette la,cause primaire dont dépendent p
rès douteuse. , 2. Les malades meurent de causes accidentelles ou d'
affections
concomi- tantes, le plus souvent de tuberculose
te, discret hommage rendu à un maître qui inspirait à tous autant d'
affection
que d'admi- ration. Ceux qui ont contribué à
es de ganglions rachidiens provenant d'individus morts au Cours des
affections
les plus diverses, nous n'avons rien vu de sembla
anglions rachidiens d'individus âgés, morts au cours de différentes
affections
(vieil hémiplégique, tabétiqueetc...)on peut voir
malade depuis deux ans environ. Elle n'avait eu jusque-là que des
affections
insignifiantes, lorsque sans pro- dromes et san
syndromes analogues s'observent assez fréquemment au cours de deux
affections
du système nerveux : le tabes et la syringomyélie
m de polynévrite des nerfs crâniens, Minor de Moscou (1) décrit une
affection
caractérisée par la lenteur de son évolution et s
olution et sa locali- sation à une seule moitié de la tête. Cette
affection
comporte trois signes ; l'hém ia trophie de la la
Mais cette raideur parait jusqu'à un certain point un symptôme des
affections
de la région et elle est notée dans plusieurs obs
un vagabond. Il est également très insouciant et paraît avoir peu d'
affection
pour les divers membres de sa famille. Il a a
i quelques signes, plus ou moins nettement ébauchés de ces diverses
affections
. Il semble donc qu'il représente une modalité c
glande hy- pophysaire le rôle principal dans l'apparition de cette
affection
. Cepen- dant les altérations des organes génita
tence de toutes ces déformations se rencontre uniquement dans celle
affection
. Les symptômes du côté des nerfs crâniens, fais
tribué à l'apparition de l'acromégalie ; le rapport entre ces deux
affections
- l'acromégalie et la syphilis z- n'est pas bie
h;soNNELS. Rétention d'urine dans l'enfance de nature indéterminée.
Affection
chirurgicale de l'anus qui nécessita des cautéris
ie métapodiale congénitale, déclare l'avoir constatée dans d'autres
affections
, notamment chez des sujets atteints d'exostoses
otre sujet, faire penser à un vice de développement plutôt qu'à une
affection
sclérosante des cartilages fertiles, et c'est d
que de tels sujets ont une bonne santé ne permet pas d'éliminer une
affection
intrautérine, ayant produit une sclérose des ca
ire. D'ailleurs, l'absence de sclérose ne permet pas d'éliminer une
affection
, ou au moins un trouble fonctionnel des glandes
ni d'alcoolisme, ni de syphilis. Tous deux sont morts rapidement d'
affections
aiguës dont le diagnostic rétrospectif est diffic
res, ce nain nourrissait les plus noirs desseins, ignorant de toute
affection
et de toute obligation, et l'explication de ce
s. Telle est, du moins, la version de ses parents sur le début de l'
affection
; mais des personnes, qui l'ont souvent approch
), qui nous a paru avoir une influence favorable sur ia marche de l'
affection
. 402 AKA LT LAFON Il nous parait inutile d'aj
nion que nous avons lire la première description théorique de cette
affection
. Nous avons, après une étude éliologique et un ra
; ils ne sont pas en général de souche tuberculeuse (bien que cette
affection
soit parfois retrouvée chez les pa- rents : 7 o
xuel. 408 CORDIER ET REBATTU B. Circonstances et dates du début L'
affection
se développe sous t'in- tluence de causes diver
tantôt elles sont précises et locales, tantôt res- sortissent à une
affection
générale, tantôt sont difficilement déterminables
sans caractères spécifiques, permettre de déterminer la nature de l'
affection
, et il est impossible de reconnaître quelle est l
d'Addison, puisqu'il est excep- tionnel de ne pas trouver, dans ces
affections
, quelques autres lésions glandulaires ? Claud
ens que nous avons mis en usage n'a pu arrêter les progrès de cette
affection
et ce militaire a été ré- formé. » Observatio
; forces et fonctions génitales normales ; soigné à 48 ans pour une
affection
aiguë mal déterminée qui lui laissa de l'asthénie
rents sont en bonne santé. Le malade n'a gardé le souvenir d'aucune
affection
de l'enfance. Il a fait quatre ans de service mil
'en inquiète, consulte et on lui parle de pelade ; c'est pour cette
affection
d'ailleurs qu'il est soigné depuis deux ans et qu
s'en rendre compte, le patient ayant conservé à sa femme toute son
affection
, et confond volontiers les deux sentiments. Mai
ogie bacillaire, la même apparition des phénomènes à la suite d'une
affection
aiguè .. Cette nouvelle observation pourrait se
la règle veut qu'il ne s'y asso- cie aucun autre symptôme de celle
affection
. Remarquons en passant que l'achondroplasie se
leur. Et cédant à ses impulsions dangereuses, consé- quences de son
affection
convulsive, à ses idées bien arrêtées 8 MÉDECIN
oolisme et la syphilis envisagés comme agents étiologiques de cette
affection
, et, d'autre part, avec les troubles de la sens
llement que pour ceux qui vivent continuellement auprès d'eux. Ou l'
affection
, cons- tituée par une crise d'hypochondrie et p
troites de l'io- disme constitutionnel et du thyroïdisme avec cette
affection
, se déclare plutôt partisan de la théorie thyro
n'a été nul que dans 17 p. 100 des cas. Sur 27 malades atteints d'
affections
organiques du système ner- veux, 10 ont été amé
succès complets ou partiels, obtenus dans le traitement de diverses
affections
névropathiques, d'accidents nerveux tels que né
importants. Les procédés de suggestion ne peuvent guérir toutes les
affections
morbides, mais ils ont, du moins, et surtout da
obtenu lui-même, par cette méthode, la guérison d'un grand nombre d'
affections
chroniques contre lesquelles, les traite- ments
bides mentaux et moraux qui accompagnent et aggravent sou- vent les
affections
. Dans les idées fixes, dans les formes multiples
. Dieulafoy. Existe-t-il une troisième catégorie de malades, dont l'
affection
dépende d'une simple diminution de fonctions de
nd elle existe, comme un des signes diagnostiques capitaux de cette
affection
; 3° la mort par accidents bulbaires (crises dysp
e des mains guérie par l'hypnotisme. ,il. Albert Charpentier. Cette
affection
, assez rare, au moins en tant que localisée à l
met de reconnaître si un mort-né a été tué ou s'il a succombé à une
affection
. Elle a permis d'établir que deux enfants morts
Huntington. Les uns avec Charcot, Huet et Jolly font rentrer cette
affection
dans les « chorées chroniques » ; les antres av
horée dégénérative, il est donc nécessaire de se demander de quelle
affection
on entend parler. Il est évident que si l'on fa
enfin à la mort, sans qu'on ait jamais observé une guérison ; 3° L'
affection
ne débute jamais dans la jeu- nesse ; le plus s
é- nés. Elle eut six enfants, dont quatre sont morts en bas âge d'
affections
cérébrales (méningites ? ) ; une fille (bye enfan
part d'enlre eux sont frappés de graves infirmités, causées par des
affections
organiques congénitales des centres nerveux, id
règle au début de la maladie, lorsque le malheureux prédestiné à l'
affection
fatale qui a frappe ses ascendants se voit atte
e de leur père ou de leur mère, ce n'est point à la folie, mais aux
affections
cérébrales et aux affections cérébrales de tout
e, ce n'est point à la folie, mais aux affections cérébrales et aux
affections
cérébrales de tout ordre. » Cette manière de vo
vent qu'en dehors des maladies rangées sous la rubrique vieillesse,
affections
chirurgi- cales, débilitation générale, etc., l
plus communes dans les familles des paralytiques généraux sont les
affections
cérébrales qui y figurent pour le chiffre de 14
la folie avec 35, les maladies de l'appareil digestil'avec 34, les
affections
hépatiques avec 30. Sur 714 individus, nous avo
Nous signalerons également le nombre important d'individus morts d'
affection
hépatique. L'alcoolisme est un facteur éliologi
facteur éliologique important dans ce cas. Aux 30 individus morts d'
affection
hépatique, si nous ajou- tons les 3 individus m
nature des maladies mentales s'y opposerait. Ne sont- ce point des
affections
longues, qui, sous forme de guérisons, améliora
té, dans leurs bureaux d'admission respectifs, jugés atteints d'une
affection
mentale longue, ou d'une période aiguë à évolutio
des tranquilles non dangereux ; 8° celle des gâteux ; 9° celle des
affections
somatiques à aliter. Il en conclut que l'asile
SSOLIMO. (1\'etsroLog. Cenircel(7l., XVII, 1898.) Il s'agit d'une
affection
spinale produite chez une fillette de douze ans
u cerveau serait constatée dans la paralysie générale lorsque cette
affection
suit sa marche progressive habituelle, que la mor
ale. - M. Brunet a pesé l'encéphale de 313 malades morts de cette
affection
dont il a résumé les résultats dans quelques tabl
vue du diagnostic qu'il peut permettre de déceler l'existence d'une
affection
grave de l'encéphale, se distinguerait des autr
es dans ce sens; d'ailleurs les limites varient selon les sujet ? .
Affection
singulière de la peau de la barbe chez un tabètiq
ces limites sont beaucoup trop étroites et on observe souvent cette
affection
en deçà et au delà de ces limites. Ses descriptio
un frère sont morts en bas âge, nous n'avons pu savoir de quelles
affections
. Dans son ascendance ou parmi ses collatéraux, no
e l'urine devenant de plus en plus filiforme, le malade croit à une
affection
de son canal de l'urèthre, et se rend à la clin
usceptibles de le guérir, impatient de se voir débarrasser de cette
affection
gênante qui lui interdit tout travail soutenu,
s : insignifiante au début, elle a progressé lente- ment, comme une
affection
organique, pour constituer huit mois après seul
rait, en somme, bien simple et, en particulier, le pronostic de son
affection
perdrait chez lui beaucoup de sa gravité habitu
ntique, l'autre, le besoin impérieux, avec des variations suivant l'
affection
considérée. Peu marqué dans le diabète sucré, d
iques à grand débit. Il n'en est pas du tout de même dans certaines
affections
de la vessie. La mu- queuse enflammée devient h
itté brusquement l'hôpital, et l'on ne sait comment s'est terminé l'
affection
qu'il y avait contractée. Il s'agit bien là d'u
ux à signaler a été l'apparition chez des dégénérés primitifs d'une
affection
aiguë avec températures élevées et pros- tratio
à laquelle ils donnent lieu reproduisent le tableau classique de l'
affection
connue sous la dénomination d'hy- perkinésie du
de spasme fonctionnel du cou, on est conduit à cette idée que cette
affection
doit dépendre sinon toujours, au moins parfois
e a reproduit le syndrome de la sclérose en plaques. Cette dernière
affection
ne s'accompagne du tremblement typique que lors
des accés d'épilepsie géné- rale et leurs rapports avec l'ancienne
affection
cérébrale est évi- ' dente. 2° Malade adulte.
2° L'épilepsie générale dans beaucoup de cas est l'expression d'une
affection
cérébrale, dans d'autres cas c'est une , névros
polietzcéphalites. Observation I. Garçon âgé de six ans. Début de l'
affection
sans processus infectieux préalable, par des cé
s'améliore rapidement (en dix jours). L'auteur ne croit pas que l'
affection
relève simplement d'une artérite syphilitique,
dans une maison de santé. Mm0 Laurent s'y refusa formellement, par
affection
pour le malheureux. Sa bonté devait avoir les p
le poids spécifique se trouve sensiblement altéré. Dans les autres
affections
mentales, accompagnées de désordres encéphaliqu
escription systématique nous conduira à l'ana- tomie pathologique d'
affections
inconnues, telles que la folie systématisée. P.
, on ne comprendrait pas non plus leurs altérations dans toutes les
affections
nerveuses et mentales. M. Bethe exagère le rôle
, d'aspect un peu jaunâtre au centre, confirmaient l'hypothèse de l'
affection
syphilitique. malgré les anciennes négations de
orge, ceux des jambes et des bras), est très caractéris- tique de l'
affection
et la distingue des paralysies bulbaires orga-
ier 1899.) .. . Les auteurs pensent que l'acromégalie est due à une
affection
de l'hypophyse, et le cas qu'ils rapportent, lo
, névrite optique) ; de l'hémianopsie, un des principaux signes d'
affection
de l'hypophyse ; des troubles visuels augmentant
344 -il REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. longtemps après le début de l'
affection
, et quelquefois notés long- temps avant son déb
quefois notés long- temps avant son début ; 3° l'analogie entre ces
affections
hypophy- saires et celles de la glande thyroïde
affections hypophy- saires et celles de la glande thyroïde. Si une
affection
de la glande thyroïde peut causer le myxoedème,
ie ils tirent cette conclusion que l'acromégalie est causée par une
affection
de l'hypophyse, mais, pour que les mani- festat
anvier 1899.) , Il s'agit d'un jeune homme de vingt-six ans, dont l'
affection
débuta par une ophtalmoplégie externe bientôt s
yeux fait à l'heure actuelle, deux ans et demi après le début de l'
affection
, montre que la parésie porte à des degrés divers
mbrement qui parait commencer déjà, si j'en juge par les nombreuses
affections
intestinales qu'on y observe, ce qui aggravera
eaucoup mieux exprimé par M. le D'' Magnan, mais son émotion et son
affection
profondes ne pouvaient lui permettre de prendre
ou trente années, cette maladie n'étant pas assez traitée mène à l'
affection
successive du système des vaisseaux sanguins ou
à la fin de la période plus aiguë de la syphilis qui donne diverses
affections
du derme et des mem- branes muqueuses en aucun
rce et son caractère contagieux et qu'on ne peut répondre qu'aucune
affection
grave post-syphi- litique ne le menace que, si
isme, passe pour un remède médical, encore plus efficace contre les
affections
diverses syphilitiques. Seu- lement l'apparitio
te fait interrompre ce traite- ment et souvent la veille même d'une
affection
des vaisseaux sanguins plus dangereuse encore d
plus souvent, d'un côté, les récidives de la syphilis et toutes les
affections
secon- daires du tissu conjonctif du système ne
jonctif du système nerveux central,-et de l'autre côté, différentes
affections
des gencives et de la bou- che, malgré l'emploi
turelles et sans provoquer chez le malade, ni la salivation, ni l'
affection
de la cavité de la bouche et des gencives. Le s
aux dépens de l'albumine organisée ; tandis que la syphilis est une
affection
constitutionnelle. Ensuite, introdui- sant le m
e traitement arrêtait pour longtemps les récidives ou surtout les
affections
successives du tissu conjonctif. Cela peut être,
sante pour la guérison complète du malade. Mais les récidives, les
affections
des vaisseaux sanguins et l'hyperplasie du tissu
liant jamais que ce traitement rapide est insuffisant et, quand les
affections
graves sont disparues, il faut prescrire au mal
ation se dégage le soufre. Après cette digression, retournons à ces
affections
du sys- tème nerveux qui se rencontrent chez le
tème nerveux qui se rencontrent chez les syphilitiques, comme les
affections
successives syphilitiques qui n'étaient pas suf
e de fréquents refroidissements ou de l'alcool. La piu- dart de ces
affections
, surtout de notre temps et parmi les officiers,
la plupart des symptômes muscu- laires n'est que la manifestation d'
affections
portant soit sur le système nerveux, soit sur l
ile de dire jusqu'à quel point il est permis de réunir ces diverses
affections
dans un même groupe. Certaines ont très évidemm
nt de donner naissance à un délire, le délire de la jalousie. Cette
affection
débute par des troubles du caractère, puis des
ire. - ? II. KLIPPEL pré- sente un malade atteint de cette curieuse
affection
; toute excita- tion (pincement, coup) détermin
s- seuse.. La sensibilité vibratoire reste normale dans toutes la
affections
où la sensibilité générale est intacte. Dans tout
ité vibratoire se modifier dans l'un ou dans l'autre sens. Dans les
affections
du système nerveux périphérique, les troubles d
oubles locaux particuliers de la sensibi- lité vibratoire. Dans les
affections
cérébrales avec anesthèsies cutanées, les troub
s affaire ici à « une famille gliomateuse ». L'existence de la même
affection
chez trois membres de la même famille ne peut p
omyélie. Discussion : M. ! \1ouRAroFF croit que l'hérédité dans les
affections
de ce genre peut se réduire à une anomalie du c
matologie du début, il s'agit bien de maladie de Parkinson ou d'une
affection
qui la simule. M. PAU de Saint-Martin. Je soign
rand-père paternel était grand buveur, il est mort des suites d'une
affection
cardiaque. Le père de notre malade, fut bien po
paternelle, quatre-vingts ans. - Grands- parents maternels, aucune
affection
nerveuse, morts à soixante- dix-neuf et soixant
on à ce qui se passe autour d'elle : elle ne rit jamais, n'a aucune
affection
pour les personnes qui la soignent, elle reste
pathologique il permet de comprendre comment dans un grand nombre d'
affections
médullaires accompagnées d'atrophie musculaire,
aux, et elle mérite sans aucun doute d'être distinguée de certaines
affections
se rapprochant d'elle, comme la parésie, le tab
impossible de dire l'importance de ce facteur. Diagnostic : Cette
affection
se distingue de l'ataxie locomotrice par l'abse
u de points communs entre la paraplégie ataxique de Gowers et notre
affection
. On peut toujours trouver place pour cette affe
owers et notre affection. On peut toujours trouver place pour cette
affection
dans quelque forme de tabès, de myélite chroniq
arche rapide, pathognomonique. Pathogénie : Cette maladie est une
affection
toxique ; mais il est difficile de reconnaître
re, n° 6, 1899.) . Deux observations, dont une avec autopsie, d'une
affection
rare, étudiée récemment par le Dl' Pitres et do
hériques ou radiculaires, de sorte qu'il faut voir dans ce cas, une
affection
systématisée de la moelle d'origine purement sp
aymond comme un simple syndrome capable de servir de masque à des
affections
et à des lésions organiques très dissemblables, i
he New York Médical Journal, 16 septembre 1899.) La fréquence des
affections
oculaires de nature hystérique est très diverse
e ans, elles se répartissent à peu près également. On a observé ces
affections
chez les hommes, mais elles suivent assez exact
erie du début, et l'anesthésie de la conjonctive et de la cornée. L'
affection
peut avoir une longue durée ; mais le pronostic
i dans de tels cas est un bon guide pour le diagnostic. Chez nous l'
affection
étant toujours isolée, et les conditions épidé-
et Bourgeois rapportent l'observation d'un malade atteint de cette
affection
. A l'autopsie ils ont trouvé des foyers de ramo
mpatriote, et le maître et l'élève se lièrent d'une vive et sincère
affection
qui devait toujours durer. Leuret, ayant repris
ndes qualités de clini- cien, mais il n'éprouva jamais pour lui une
affection
vraie, comme pour Delasiauve. Leuret était fant
s occuper d'eux; les redresser dans la mesure de la gravité de leur
affection
, est un impérieux devoir. Qu'on les sou- 540 bi
par 'l'chirrem, 399. - conjuguai, par Souques. 440. Tarétique.
Affection
de la peau chez un -, par P. Marie, 170. Tato
mpuissance ; mais « il est vrai que le diagnostic de cette insidieuse
affection
est « entouré de tant d'obscurité, que le danger
goscopiquê. De quel puissant et infaillible moyen de diagnostic des
affections
laryngiennes, ces illustres savants ont doté la s
ressante, l'emploi de la fumée d'opium dans le traitement de diverses
affections
de l'appareil respiratoire. On sait combien l'a
n très remarquable mémoire de M. Trélat, sur la trachéotomie dans les
affections
syphilitiques du larynx ; et d'un travail de M. P
ruption n'a son analogue, au moins à ma connaissance, dans aucune des
affections
connues de la peau. Je l'ai observée cinq ou si
Elle est bien réglée habituellement. Elle n'a jamais eu, dit-elle, d'
affections
vénériennes, et ses premiers rapports sexuels'ne
atteints de polysarcie seraient, d'après M. Quain, prédisposés à des
affections
cardiaques résultant de l'infiltration graisseuse
dénomination d'ophthalmie purulente des enfants, on confond plusieurs
affections
différentes : l'ophthalmie catarrhale, rophthal
de publier l'observation et une représentation photographique est une
affection
peu commune, et sur la nature de laquelle les der
r M. Bazin, la maladie dont il s'agit appartient à un genre spécial d'
affections
cutanées auquel il a donné le nom de mycosis-fong
, et la regarde comme l'expression la plus accentuée de ces dernières
affections
. Pour soutenir cette opinion, il établit d'abord
disparaît sans laisser de cicatrices, ainsi que cela a lieu pour les
affections
dartreusés. M. Hardy justifie de cette manière
adie prouve, aujourd'hui, la nécessité de la diagnostiquer des autres
affections
musculaires de l'enfance dont la marche et le pro
Voici, d'après le récit de la mère, comment s'est développée cette
affection
: L'enfant a marché à treize mois, et jusqu'à tro
(paralysie spinale). Après cet examen, nous soupçonnâmes que cette
affection
pouvait être héréditaire. La mère nous soutint d'
ro-musculaire que dans les muscles dont la striation est altérée. L'
affection
de l'enfance, avec laquelle l'atrophie musculaire
s, il nous suffira, pour les distinguer, d'établir que cette dernière
affection
débute par une paralysie, avec ou sans fièvre, av
videmment produite par une lésion primitive de la moelle. Une autre
affection
de l'enfance, beaucoup plus rare que la paralysie
s être entrés dans des détails suffisants pour bien faire connaître l'
affection
curieuse décrite sous le nom d'atrophie musculair
'a déterminés la coralline chez l'homme se sont bornés jusqu'ici aune
affection
locale fort douloureuse età quelques troubles de
quarelles forment un recueil de cas types ou anormaux des principales
affections
cutanées, et leur ensemble constitue un chef-d'œu
inon toujours, chez des sujets atteints de syphilis; l'une et l'autre
affection
se montrent rebelles au traitement mereuriel. L
Hes~mêmes plus apparentes. Ces taches ne font aucune saillie. Cette
affection
siège ordinairement au cou et sur la poitrine, su
bsence de démangeaisons sont suffisants pour ne point confondre cette
affection
avec le pityriasis versicolore, chez lequel le mi
elle a commencé. 4° Non-seulement l'épilepsie idiopathique est une
affection
plus souvent curable qu'on ne l'a cru jusqu'ici,
) BIBLIOGRAPHIE Il vient de paraître un livre intitulé Traité des
affections
de la peau, par le docteur Baudot d'après les d
nous nous sommes permis de juxtaposer les leçons de M. Bazin sur les
Affections
génériques de la peau et le traité qui se publie
moment dans nos salles un malade atteint d'éléphantiasis des Arabes,
affection
dont vous n'entendez pas souvent parler; elle mér
varices lymphatiques. Elephantiasis des doigts. l'on a donnée de l'
affection
qui nous occupe. Il est en effet assez généraleme
l'utilité de la ligature dans l'éléphantiasis. A-t-on pensé que cette
affection
, résultat de l'accumulation dans les tissus des m
je ne demande qu'à guérir ce malade ; mais pour le débarrasser d'une
affection
qui après tout n'est qu'incommode, dois-je l'expo
ont les juifs pour cette viande; chez le mouton, il cause le tournis,
affection
dans laquelle le mouton tourne plus ou moins long
ouvrage l'occasion de dire quelle était la marche de cette singulière
affection
qui serait héréditaire, d'après Danielssin, un de
accès de suffocation ou par le fait d'un œdème de la glotte ou d'une
affection
du tube digestif. 11 est remarquable qu'au milieu
mencer par 5 gouttes, et à l'extérieur en frictions pour guérir cette
affection
. C'est l'huile de Chaulmoogra que nous avons auss
mais descendent de Français; aucun membre de sa famille ne présente d'
affection
analogue à la sienne et tous ses frères et sœurs
de juin, il nous parle d'une huile employée dans l'Inde contre cette
affection
intus et extra. On le soumet à cette nouvelle méd
très curieux et très complet, a fait connaître récemment une nouvelle
affection
parasitaire de la muqueuse linguale : C'est une
nouvelle affection parasitaire de la muqueuse linguale : C'est une
affection
toute locale, sans gravité, constituée par une hy
ux, spécialement dans le domaine de la chirurgie, des maladies ou des
affections
intercur- REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX
rtain, que les réunions de malades favorisent le développement de ces
affections
qui se multiplient ou s'aggravent sous les influe
difficultés sérieuses lorsqu'il s'agit de déterminer la nature d'une
affection
du cuir chevelu dont l'aspect n'est pas celui d'u
ersonne ne la visitait. Ces renseignements nous feraient penser que l'
affection
primitive remontait à l'enfance. II. — La face
hitique ; les autres se sont développées sous l'influence d'une autre
affection
. Il ne faudrait pas croire cependant que les dé
Ad. Delahaye. La littérature médicale, assez riche relativement aux
affections
médicales qui frappent les enfants, est au contra
nt les enfants, est au contraire bien pauvre en ce qui concerne les
affections
chirurgicales. En dehors des Notices de Guersant,
, par contagion, des conjonctives catarrhales........ 77 Traité des
affections
de la peau par Baudot................ 79 Une él
113 Lèpre des Grecs.......................................... 1J4
Affection
parasitaire de la muqueuse linguale..............
guée des di- verses déformations que peuvent provoquer d'au- tres
affections
, telles que la coxalgie, par exemple, et qu'ell
r- mation qu'ils présentent doit être mise sur le compte de cette
affection
. Nous essayerons ensuite par l'étude com- parat
araît pas discutable qu'elle doive être mise sur le compte de cette
affection
. .. Observation II. (Voir Planche II, fig.
assure qu'elle se tenait parfaite- ment droite avant le début de l'
affection
. Elle garde la chambre 10 PATHOLOGIE NERVEUSE
ns avoir établi que les observations pré- citées ont bien trait à l'
affection
connue sous le nom de sciatique et que la défor
ifférenciée des déformations que l'on peut rencontrer dans d'autres
affections
, entre autres dans la coxalgie. Les anomalies q
t. Dans l'OBSERVATION III il est noté que le lendemain du jour où l'
affection
a debuté, les dou- leurs névralgiques sont exce
; c'est un an, neuf mois, vingt-quatre heures après le début de l'
affection
que l'inclinaison du tronc peut être constatée
que. Du reste, la sciatique ne peut guère être confondue avec les
affections
que nous venons d'énumérer, et le dia- gnostic
araison des attitudes vicieuses, produites par ces deux espèces d'
affections
, présente donc un plus grand intérêt. L'inclina
un aspect particulier qui permet d'établir le diagnostic. SUR UNE
AFFECTION
CARACTÉRISÉE PAR DE L'ASTASIE ET DE L'ABASIE
nos cas. La première étude où soit affirmée l'existence de cette
affection
est un travail de MM. Charcot et P. Richer publ
aut de coordination relative à la station et à la marche. » Cette
affection
atteint en particulier les enfants et les jeune
Charcot y établit formellement les ca- ractères cliniques de cette
affection
en même temps qu'il en esquisse la théorie. Nou
plaignait fréquemment de douleurs névralgiques. Elle n'a eu aucune
affection
nerveuse avant le début de la maladie actuelle.
enfanl lui-même n'est pas rhumatisant et n'a jamais été malade. L'
affection
a débuté sans cause morale ou physique appréciabl
au moment de l'apparition de la maladie actuelle, elle n'a pas eu d'
affection
nerveuse. Depuis l'époque de son mariage, elle
sieurs mois il sne davan- tage et, bien qu'il ne souffre pas, cette
affection
est assez gê- nante pour qu'il réclame son admi
p de points de la précédente : Il s'agit d'un homme atteint d'une
affection
pulmo- naire et qui présente une éphidrose faci
son maximum, il y avait hypérémie de la région. Chez ce malade, l'
affection
paraissait être héréditaire : la soeur en était
ce qui se passe autour de lui. Il ne parait pas avoir conservé de l'
affection
pour sa famille; il n'en parle jamais, et l'évo
reux insensé, à se voir brutalement imposé aux soins directs et à l'
affection
d'une famille dont aucun membre autorisé ne par
our un aliéné que si tous les bras s'ouvrent pour le recevoir, et l'
affection
ne se décrète pas. Nous n'hésitons donc pas à
« Mais il n'y a rien do plus admirable, qu'à quelques-unes cette
affection
(la suffocation de matrice) commence par un ris,
fond. Certains signes qu'il constate peuvent lui faire penser à une
affection
organique : il interroge les personnes qui vive
s troubles de la vision (diplopie, strabisme ou ptosis), tantôt des
affections
viscérales simulant des lésions organiques grav
cruter les éléments étiologiques de l'idiotie, de lutter contre les
affections
cérébrales de l'enfance dont l'idiotie^ est sou
cas à sa disposition ; les six malades ont succombé, dont cinq à l'
affection
qui avait débuté par de la dyslexie constituant
complètement épuisé, en partie probablement sous l'influence d'une
affection
fébrile aiguë déjà commençante, qui l'obligea à
vement dans un seul membre. Malgré le tableau clinique simulant une
affection
périphérique, nous n'avons pourtant pas affaire
hésie par- tielle du sens de la température dans le courant d'une
affection
des nerfs périphériques. Cette cir- constance p
stiques. (,t suivre.) DE l'astasie ET DE l'abasie. '18ï I SUR UNE
AFFECTION
CARACTÉRISÉE PAR DE L'ASTASIE ET DE L'ABASIE 1
écèdent nous permettront de tracer l'esquisse d'un tableau de cette
affection
. Dans la plupart des cas, le début est assez br
basie se trouveront entremêlés avec des symptômes révélateurs d'une
affection
organique spinale. A part cela, toutes les fo
ela, l'individualité du type en soit compromise. La marche de cette
affection
est assez capricieuse ; ainsi, le trouble, déjà
oduites chez deux de nos sujets. Ajoutons que la bénignité de cette
affection
ne saurait être sans doute applicable à tous le
e syndrome abasie-astasie viendrait se combiner aux symptômes d'une
affection
organique. Diagnostic. Les caractères fondame
a- lades, et que souvent aussi l'occasion du développe- ment de l'
affection
porte à croire à une paralysie psychique. Or, o
le ma- lade est couché que dans le cas où il est debout. Quand l'
affection
se présente sous sa dernière forme, c'est-à-dir
sera donc aisément évitée. La confusion serait plus facile avec l'
affection
dé- crite par M. Bamberger sous le nom de convu
ment de la pointe du pied. Il n'y aurait pas lieu de distinguer l'
affection
qui 196 pathologie nerveuse. nous occupe de c
ns nosographiques actuelles. Aussi bien n'existe-t-il pas d'autre
affection
dans laquelle les mouvements parti- culiers nor
sie et de l'abasie, quelles qu'en soient les variétés. Causes. L'
affection
frappe l'un et l'autre sexe : elle atteindrait
contre, que dans l'une au moins des observations (la dixième), l'
affection
aurait été primitivement médul- laire. On sait,
ers symptômes du même ordre. Mais, tout dyna- mique qu'elle soit, l'
affection
n'en occupe pas moins \ dans les centres nerveu
le suffisent à expliquer les éphidroses que l'on observe dans cette
affection
. L'interprétation que M. Pierret donne de ces p
Leudet. Observ. Congrès de Bordeaux, 1872. Mathieu. Analyse sur les
affections
du grand sympathique. (Archives de ! tIéd., 187
vulsionnaires et des prédicateurs (Suède...). Le pronostic de cette
affection
est assez favorable contraire- - z ment à celui
ou- ter. Il est présumable que ce sommeil était le résultat d'une
affection
nerveuse, d'une volonté puissante qui commandait
ttaque de sommeil en particulier. Il est en effet un grand nombre d'
affections
dont les mani- festations peuvent simuler l'att
est la règle dans l'hystérie est la très grande exception dans les
affections
à subtratum anatomique s'ac- compagnant d'hémia
résence duquel on se trouvera le plus souvent. Il. - Les diverses
affections
ou mieux les symptômes cliniques que nous venon
E SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 295 Ea premier lieu, nous devons parler d'une
affection
, d'un syndrome bizarre, encore mal classé, appe
e notre ami Hugues Le Roux, feront mieux comprendre ce qu'est cette
affection
que toute description raisonnée. L'obser- vatio
trer lui-même dans l'intimité de son mal. « Je suis atteint d'une
affection
tout à fait spéciale nommée narcolepsie par que
hui (30 mars 4887), j'ai trente-six ans, je souffre moins, mais mon
affection
m'empêche et m'a toujours empêché de ne rien fa
p de cas elle s'atténue ou dis- parait au moment de l'invasion de l'
affection
paralytique. » Il ne nous reste plus maintenant
vidus du sexe féminin, anémiés, à la période de con- valescence des
affections
fébriles dénutritives. Dans ces con- ditions il
sa thèse sur le délire chronique (1883), reconnaît qu'au début de l'
affection
il y a un fonds primitif de débilité dû le plus
306 sociétés savantes. l'enfance et ayant présenté au début de l'
affection
mentale des symptômes analogues à ceux de la fo
sous la dénomination commune de myélites chroniques, la plupart des
affections
de la moelle épinière, il s'occupa uniquement d
fique cou- rant on employait indifféremment pour désigner la même
affection
les mots de sclérose des cordons posté- rieurs
actée à Talaliassec (Floride). Ni l'un ni l'autre n'était atteint d'
affections
nerveuses. Pas de renseignements sur les grands
'à quatre litres par vingt-quatre heures), on pensa qu'il avait une
affection
rénale(quoiquel'analyse de l'urine ne révélât r
- dents persistent pendant près de dix ans. Le malade meurt d'une
affection
tuberculeuse aiguë intercurrente et, à son auto
n voulue des malades qui s'efforcent de dissimuler au médecin les
affections
nerveuses et surtout les affections vésani- que
nt de dissimuler au médecin les affections nerveuses et surtout les
affections
vésani- ques qui ont pu frapper certains membre
ans les faits précités, ce sont surtout les grandes névroses et les
affections
du groupe psychopathique DE LA PARALYSIE FACIAL
Antécédents héréditaires : Grand-père et grand'mère paternels sans
affection
nerveuse ; père rhumatisant mort d'une affection
ère paternels sans affection nerveuse ; père rhumatisant mort d'une
affection
366 CLINIQUE NERVEUSE. cardiaque. Grand-père
366 CLINIQUE NERVEUSE. cardiaque. Grand-père maternel aurait eu une
affection
nerveuse qu'on cachait dans la famille; grand'
ve parfaitement élucidée; le sujet est de souche névropathique, les
affections
vésaniques qui ont pré- dominé chez tous ses pa
héréditaires du système nerveux) pouvait se ren- contrer à l'état d'
affection
familiale et nous avons rapporté, à l'appui, un
rme de tableau généalogique. DE LA PARALYSIE FACIALE. 371 est une
affection
fortuite, accidentelle, pouvant surgir inopiném
toire de leurs ascendants et de leurs collatéraux, le caractère d'
affection
familiale que la maladie peut revêtir dans cert
il reste à préciser davantage les liens qui l'unissent aux diverses
affections
du système nerveux. Confinant'à l'arthritisme,
ataxie locomotrice, la paralysie infan- tile, ne sont-elles pas des
affections
à lésions bien déterminées et nettement caracté
re. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 381 la coqueluche et l'autre d'une
affection
qu'on ne peut préciser; celle-ci a laissé des e
des partisans de la catatonie, c'était sous le nom de stupeur que l'
affection
avait été pour la plupart du temps diagnostiqué
- sidérer les cas où ces symptômes peuvent se montrer liées à des
affections
diverses (rhumatisme, fièvre typhoïde) et nous
ien de caractéristique, car ils se rencontrent dans une multitude d'
affections
vésaniques. Outre les désordres moteurs acciden
le degré d'imbécillité ou d'idiotie. En résumé, il s'agit là d'une
affection
susceptible d'être modifiée très avantageusemen
ur qu'il soit utile d'établir un parallèle minutieux entre les deux
affections
. Là se terminent les considérations que nous av
sous le nom de folie cardiaque. Par contre, l'origine de certaines
affections
du coeur serait bien mieux établie. Dans les no
oplectiformes des paralyti- ques généraux ou des malades atteints d'
affections
organiques du cerveau. L'allure générale est, d
le qu'il y ait eu simplement coexistence et non corrélation de deux
affections
différentes. La troisième observation concerne
sont atteints sont le plus souvent des nerveux, des gens ayant des
affections
nerveuses bien carac- térisées, ou présentant d
x et je suis arrivé à cette conclusion que la glycosurie dans cette
affection
n'était ni plus ni moins fréquente que chez les
se par exemple), Archives, t. XV. 29 450 SOCIÉTÉS savantes. aux
affections
développées pendant la vie foetale, et même aux
années, pourrions-nous attendre plusieurs mois après le début de l'
affection
pour nous faire une opinion ? D'ail- leurs, qu'
urs, qu'importe pour la doctrine qu'on fasse le diagnostic de cette
affection
à telle ou telle période ? Le délire chronique es
ne rencontre. Huit jours après, le médecin le voit et soupçonne une
affection
organique du cerveau en voie de déve- loppement
trouble des nerfs olfactifs marquent l'époque à laquelle a débuté l'
affection
. Mais, dans tous les cas, l'absence de corps call
i-latérale du pathétique. Rien ici ne vient plaider en faveur d'une
affection
cérébelleuse; pas d'accidents témoignant d'une
médecins adjoints des - par le concours), 331. Astasie et abasie (
affection
caracté- risée par de )' - et de l' -), par B
e... c'est le mécanisme cérébral qui est hystérique, ce n'est pas l'
affection
? » Dans le récent dictionnaire de médecine men
au qu'on rencontre généralement chez les personnes atteintes de ces
affections
nerveuses graves et que j'ai rencontrés chez to
France, à l'exemple de M. Magnan, on désigne presque toujours ces
affections
sous le nom de délire des dégénérés; en Allemagne
hé- nique qui soit, si l'on peut ainsi dire, un type pur de cette
affection
et qui ne présente pas des anesthésies plus ou mo
le sens large, dans le sens de Morel nous pouvons dire que cette
affection
est une maladie de dégénérescence. Un très grand
lysie dans la poliomyélite aiguë de l'enfance, etc. Or, dans ces
affections
, chaque muscle, on pourrait dire chaque fibre mus
On a assez souvent attribué à l'hystérie la faculté de simuler les
affections
nerveuses organiques les plus diverses. Il s'agit
la paralysie de Bell, la paralysie ra- diale, etc., sont parmi les
affections
les plus communes du système nerveux. Il est
n moment donné, elle a cepen- dant bien existé au commencement de l'
affection
. La mono- plégie corticale est, à vrai dire, to
lques localisations tout à fait spéciales qui puissent produire une
affection
de la sensibilité intense et durable (car- refo
lysie du facial inférieur, la manifestation la plus fréquente d'une
affection
organique du cerveau et, si je me permets de pa
dée d'une lésion comme l'oedème, l'anémie, qui, en vérité, sont des
affections
organiques passagères. J'affirme par contre que
s dans les deux moitiés du crâne J. SGLAS. XIII. Contribution aux
affections
DES lobes temporaux : - UN cas DE SURDI-MUTITÉ;
é d'origine cérébrale, différant en cela de celle qui résulte d'une
affection
périphérique des organes de l'audition, s'ac- c
uvoir à un haut degré aussi préconise-t-il ce médicament dans cette
affection
. XX. Un cas D'EXOPHTIIALMIE compliquant une nép
isposé à l'indulgence et à l'optimisme, inspirant la sympathie et l'
affection
à tous ceux qui se trouvaient en rapport avec l
'espèce un diagnostic précis. Je passai successivement en revue les
affections
de la moelle dans lesquelles le symp- tôme cont
que,etc. Je ne conclus pas à l'existence de l'une ou l'autre de ces
affections
parce que le tableau clinique que j'avais sous
e novembre, il contracte dans le service une fièvre typhoïde. Cette
affection
ne semble avoir influé en rien sur la marche de
la zone innervée par le plexus cervical superficiel. La marche de l'
affection
est relativement rapide ; elle se fait par poussé
irconstance qu'il faut attribuer la marche relativement rapide de l'
affection
. D'ailleurs la tumeur, ainsi qu'on a pu le voir,
' sur la partie inférieure du plexus brachial, sont rares dans, les
affections
des racines supérieures, notamment dans la, para-
; celui de. chorée ' de1 Hutinglon, tout en -considérant' ces deux'
affections
comme très' t voisines au fond, bien que d'aspe
onnu que les cas de cette espèce sont.souvent confondues avec des 1
affections
. arlÏculaires nécessitant l'amputation ou la ré
bsolument'douteuse dans le second.' r ' , Vir't'how'préte'nd" que l'
affection
''articulaire' que l'on' r rèllêontre . " par h
'causes3 mécaniques' ou' ! thermiques" suffisent 'pour' expliquer l'
affection
? Dans son'opinion, une large'proportion ''dès'
ues ? et il n'est' pas-' douteux que le rhumatisme déformant' est l'
affection
à laquelle on doit le plus souvent croire.. Dan
laquelle on doit le plus souvent croire.. Dans da 'description des
affections
syphilitiques, des, jointures, donnée par Brkeley
luxations non douloureuses et étendues si caractérisez tiques de l'
affection
dans,lettabes, même à la période tertiaire, et
e manger seul. On requit l'assistance constante d'une infirmière. L'
affection
datait de la naissance.Le médecin, qui avait. s
le ; il fera peut-être pencher la balance en faveur de l'idée d'une
affection
fonctionnelle quand le diagnostic hésite entre un
'Détroit, en juin 1892. ' -1 , .. Microcéphalie. La. pathologie des
affections
particulières à l'en- fance n'a pas été étudiée
s 1840 et 1841. ' BOURNEVILLE. XIV. DES causes ET DE l'hérédité DES
affections
nerveuses ET LIEN- tales ; par RIÉGER. (Cenlrnl
en rapz port avecle poids. Les épileptiques qui sont atteints d'une
affection
organique du coeur, qui ont un ralentissement d
nière épreuve : l'argu- \ . Eludes pour servir à l'leisloire de l'
affection
décrite sous les noms de goutte asthénique prim
s formait les Archives médicales de la Salpêtrière, et lorsqu'une
affection
intercurrente amenait les adminis- trées à l'In
COT. possible, parce que sa compagne, pleine de dévoue- ment et d'
affection
, « d'esprit élevé, l'intelligence ouverte à tou
nfants l'en- touraient du plus profond respect et de la plus vive
affection
. Chacun, autour de lui, s'empressait à lui faci-
ravaux, à ses luttes scientifiques et administratives ; témoin de l'
affection
profonde qui l'unissait à son infortunée compag
heur qui surviendrait inopinément, avant le temps, dans ce milieu d'
affection
. Ce malheur, hélas ! est arrivé. 202 J.-M. CH
; Inversion du sens génital (en collabo- ration avec Magnan), 1882;
Affections
osseuses et articulaires du pied chez les tabél
J'ai eu l'oc- casion de faire neuf fois la crarziectoznie pour des
affections
de cette nature. Trois fois sur des microcéphal
s certains cas, peuvent faussement témoigner contre eux-mêmes; si l'
affection
mentale est caractérisée, il est facile de ratt
rie des obsessions à forme paroxystique. Les caractères propres à l'
affection
dont est atteinte cette femme sont les trois su
l groupe patholo- gique, sous le nom de névrites périphériques, des
affections
qui paraissaient autrefois très différentes les
ntes les unes des autres. Le carac- tère le plus remarquable de ces
affections
est de reconnaître pres- que toujours une origi
en question. On est cependant autorisé à formuler le dia- gnostic d'
affection
systématique combinée dans les cas de lésion de
raux et posté- rieurs, sans paralysie générale, et que maints cas d'
affection
pure des cordons latéraux sont au -point de vue
matiques combinées. Quant au tabes il y a lieu de le tenir-pour une,
affection
systématique des cordons postérieurs tant au-po
natomi- quement. ,. 1 Charcot et Leyden n'ont-ils pas, dans cette
affection
, décrit des lésions des cornes antérieures ? Le
siste pas moins. En cela il détruit le groupement nosologique des
affections
de la moelle et le diagnostic qui repose en réali
âges à laquelle il revient de sa myélite. Quant à la théorie des
affections
systématiques combinées, si elle a des lacunes
elle produisent un tableau clinique constant, qu'il y a par exemple
affection
combinée des cordons postérieurs et latéraux, f
u tableau morbide des autres cas de la myélite chronique. Quant aux
affections
systématiques, il convient de ranger sous ce no
lésion autonome. La sclérose latérale amyotrophique n'est point une
affection
systéma- tique, car comment englober dans le sy
'ai vu qu'un tabes typique se soit associé à une autre lésion : les
affections
systématiques combinées sont des formes de la m
. SPERLING rappelle des expériences de Wagner sur le traitement des
affections
des os à l'aide du phosphore et des phosphates.
e traumatique. Quand, à la suite de l'hémicranie, il se produit une
affection
organique, évidemment la première tenait à une
e joue la prédisposition héréditaire dans le développement de cette
affection
. Cette importance a déjà été signalé par Rauzie
des muscles releveurs des ailes du nez et de la lèvre supérieure. L'
affection
remonte à six ans ; certains se répètent sans c
s le cou; ce torticolis n'au- rait disparu que depuis deux ans. L'
affection
actuelle a débuté il y a dix-huit mois; les premi
et le vomissement, une triade sympto- matique, fort connue dans les
affections
du cervelet, mais seu- lement dans celles qui,
gie, douleur de la nuque, etc.) moins fréquents que dans les autres
affections
du cervelet. La malade de M. Pierret avait de f
en différente de celle attribuée au tremblement dans cette dernière
affection
; dans l'une et l'autre il s'agit de conducteurs
observe dans l'atrophie du noyau de l'hypoglosse D ; ' Parmi les
affections
du cervelet, l'atrophie ne paraît pas être la s
arthrie qui ne se rencontre qu'à titre exceptionnel dans les autres
affections
du cervelet, comme s'il s'agissait d'une pro- p
Budapesth), sur les maladies du larynx dans leurs rapports avec les
affections
générales pour retrouver une description détail
rs au tremblement intentionel des membres, caractéristique de cette
affection
. Récemment Krzvwicki' donnait la relation d'un
génique de ce nouveau symptôme, d'autant plus -que la diversité des
affections
dans lesquelles on l'a rencontré (cho- rée, int
uilibre, etc. Cette interprétation générale du tremblement dans les
affections
cérébelleuses nous parait applicable à celui de
ne peut se baser que sur la recherche des signes concomitants de l'
affection
cérébelleuse; or les plus connus, tels que les
cience, octobre 1891.) Voici les conclusions de ce travail : 1° Les
affections
cancéreuses sont rares chez les aliénés; elles
Etude comparative de la dégénéres- cence secondaire consécutive aux
affections
cérébrales et spinales. Conclusion : Nous ten
que dans la plupart des autres maladies mentales. A l'inverse de l'
affection
dont il vient d'être parlé, l'épilepsie présent
ences ménin-o-corticales y sont excep- tionnelles, et de toutes les
affections
mentales étudiées dans ce travail, c'est elle q
rvés par le rapporteur. Chez la plupart les premiers symptômes de l'
affection
ont été des crampes aux mol- lets et aux adduct
tion blennorrhagique envisagée comme mo- ment étiologiqzie dans les
affections
du système nerveux. Se basant sur les données q
visuel et de ses rapports avec le rétrécissement concentrique, des
affections
du système nerveux ceza- li-al. Qu'est-ce que l
cés de Foerster. Mais il y a des ma- lades qui souffrant de la même
affection
, ne présentent m le rétrécissement concentrique
Dans tous les cas, l'auteur est convaincu que le rapport entre les
affections
psychiques et les troubles physiques peut être
ls que : 1° les manifes- tations psychiques au cours de différentes
affections
somaliques; 2° les états psychopathiques très f
s; 1) les maladies psychiques constitution- nelles consécutives aux
affections
cérébrales; m) les maladies mentales constituti
ent : le délire aigu, la paralysie générale, la démence sénile, les
affections
organiques diffuses mal limitées, la psychose p
eux extrêmes. Par l'ensemble symptomatique, par l'évolution de leur
affection
, ces malades sont bien nettement atteints de dé
cun secours 'dans le traitement des autres névroses, a fortiori des
affections
organiques, que, si un résultat est obtenu, il
constate une amélioration persis- tante, c'est que ces névroses ou
affections
organiques ne sont pas seules, que l'hystérie s
érie; 4° J'essaierai en dernier lieu d'expliquer la fréquence des
affections
névropathiques en Vendée. Est-elle due à l'alcoo-
'a proclamé Charcot et son interne Blocq dans son travail sur cette
affection
. La disparition subite du mal par l'hypnotisme
de à haute voix et système nerveux, les névroses et diverses autres
affections
, par J. Ba- bilisizi. (Bulletins et Mémoires de
ire patholo- gique. Paraplégique à trente ans, fut traitée pour une
affection
médullaire. La paraplégie dura deux ans. Quelqu
avec anorexie, vomissements. Son médecin crut probablement à une
affection
organique grave de l'estomac, car la malade fut
l'estomac et qui n'a jamais rien eu autre chose que de l'hystérie,
affection
gênante, qui persiste, mais qui ne tue jamais,
bien que l'hypnotisme a guéri d'autres névroses, et même certaines
affections
organiques. Tout dernièrement on relatait dans
soutenir une opinion absolument contraire. Jamais dans aucune autre
affection
que dans l'hystérie, la sug- gestion pendant le
ulement quelques exemples où l'hystérie était asso- ciée à d'autres
affections
organiques et où il y a eu améliora- tion par l
sur la myopathie, puisqu'elle a amélioré un sujet atteint de cette
affection
, déduction fausse évidemment, mais déduction fata
m'égarant dans des re- cherches absolument inutiles dans ce genre d'
affection
, je fus con- duit à trouver autre chose que la
difficulté de diagnostic de l'hystérie, quand elle est associée aux
affections
organiques. Il est souvent difficile de savoir
s de la chorée guérie par la suggestion Je n'y crois pas. Quant aux
affections
organiques, je m'étonne même que cer- tains esp
re un instant à la possibilité de l'amélioration même légère de ces
affections
par cette médication psychique. Je dirai égalem
n secondaire. Il faut mettre iL part, cela s'entend, les cas où des
affections
visibles des ovaires rendent leur ablation néce
DE L'INFLUENCE DE la SUSPENSION SUR LES TROUBLES DE la vue dans les
affections
DE la moelle; par DE BECHTEREW. (Neurolog. Ccnt
lés.tâbéliques,il,péut,,chez7es,sÿringômyéliquës, sejproduire des
affections
osseuses et, articulaires,, et, ! de même que. da
e et qu'ils nomment lésion des bourgeons musculaires,.Ierfd'autr6 ?
affections
" On- sait"1 que' Lang- hans et Kopp décrivent s
méningite tuberculeuse pure. M. DiNKLER. Contribution à l'élude des
affections
postsyphilitiques du système nerveux central et
s maladies, les auteurs entreprennent de passer en revue toutes les
affections
chroniques et du système nerveux. Ils ne se son
sive de certains éléments nerveux. Tous les chapitres consacrés aux
affections
mentales, mélancolie, psychopathies, etc., prés
UE, l'infection --envi- ' sagée comme moment étiologique dans les
affections
du système nerveux, par Dourdorfi; 419. , Blé
e, 330." si ? ' =r" ¡ud Causes, des 'et'de l'hérédité dans les 1
affections
1 nerveuses etf men- , 0, taies, par Rieger,' 1
par Koeni", 372. , Hérédité, des causes* et de 1' i. ' dans les
affections
nerveuses et ' mentales, par Rieer, 162; norm
ension," de l'influence de la sur les troubles de la vue dans les
affections
de' la moelle, par Betchrew,'479.v ? Sympathi
s du développe- ment du système nerveux et aussi presque toutes ses
affections
constitu- tionnelles congénitales, parce que da
son état et sur sa famille pour laquelle il mani- feste beaucoup d'
affection
; mais il ne peut calculer qu'avec des chiffres t
'avons présenté, prouve cliniquement que l'achon- droplasie est une
affection
spéciale de l'organisme, et qu'on peut la consi-
iques montre bien la différence anatomo-pathologique entre ces deux
affections
: dans le rachitisme, les os du tronc et de la tê
roplasie ? En d'autres termes, quelle est la nature intime de cette
affection
, étant bien établi que c'est la dystrophie épiphy
nt qu'il fut possible de l'apprendre par l'interprète, Li tient son
affection
pour congénitale ; ses parents étaient d'une tail
de l'achondroplasie. En ce qui concerne la symptomatologie de cette
affection
on ne trouve de nouveaux faits que dans les descr
périeure et de la fesse gauche non loin du pé- rinée montrent que l'
affection
a débuté par les racines sacrées inférieures. L
insi que l'aboli- tion du réflexe patellaire peut être attribué à l'
affection
de racines loin- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE
tes et pénibles qu'on ne peut les comparer il celles d'aucune autre
affection
. Billroth dit qu'il ne connaît pas de maladie plu
eure, Nonne en conclut qu'au cours d'une carcinomatose générale une
affection
aiguë de la moelle peut naître sans qu'il y ait
me expression de défense à la douleur, et, bilatéralement, dans les
affections
douloureuses ou dans la rigidité des portions inf
aleur séméiologique s'il s'associe à d'autres symptômes, de la même
affection
et dans la majorité des cas c'est par l'asso- c
notait 25 à 30 grammes de sucre par litre d'urine. 136 MARCHAND L'
affection
actuelle a débuté il y a neuf mois à l'âge de 61
s trophiques sont limités au médius droit. Les diverses phases de l'
affection
sont bien particulières. Entre le mo- ment du t
enue brusquement, le bon état général, tout parlait en faveur d'une
affection
aiguë on subaiguë inflammatoire de la moelle. Il
ie que le diagnostic devenait clair. Quant au tableau clinique de l'
affection
, il dépend entièrement de la localisation primi
énomènes précurseurs. Elle rappela celle des malades atteints d'une
affection
du bulbe (par exemple le cas de tumeur dans la
il existe la tumeur extravertébrale et des symptômes typiques de l'
affection
médullaire (obs. de Martini). Comme règle général
des grands vaisseaux radiculaires ou l'ischémie locale causée par l'
affection
des vaisseaux. Comme causes rares Fickler menti
u sujet. Nous pouvons, d'ores et déjà, affirmer qu'il n'y a pas une
affection
men- tale pour laquelle on ait trouvé l'écorce
dividus atteints de troubles psychiques chroniques, chez lesquels l'
affection
mentale est évoluée depuis longtemps, ou d'indivi
tera aux lésions propres à la psychose, des altérations provenant d'
affections
» intercurrentes qui peuvent les voiler d'une f
la paralysie générale elle-même peut être observée dans d'au- tres
affections
mentales, sans compter les inflammations aiguës s
possession d'un critère anatomique, comme la chose existe pour les
affections
des autres organes de l'économie. Comme les sym
s ? On objectera peut-être qu'il n'est pas possible de comparer ces
affections
là' avec les psychonévroses et les psychoses di
des lépreux ! Les angoisses de la solitude, la soif constante d'une
affection
, les souffrances de toutes sortes, tout fait re
de ces particularités de caractère qui seraient chez lui comme des
affections
secondaires ou comme des rappels et des séquell
à indiquer une préséance dans l'évo- lution si insidieuse des deux
affections
, mais l'ordre inverse est admisse ble. Il faudr
on de toutes ses proportions : la lon- gueur seule est anomale et l'
affection
est à priori du type achondro- plasique. Bien q
u'il s'agit peut-être d'un caractère général et constant dans cette
affection
. Dans nos cas, ce fait ne se constatait que che
antes pour admettre L'ACHONDROPLASIE EST-ELLE HÉRÉDITAIRE 268 une
affection
syphilitique chez la mère ? On pourra la soupçonn
de la mère. L'achondroplasie enfin, selon quelques-uns, serait une
affection
locale, une véritable dystrophie cartilagineuse
et il pourrait apporter une vive lumière à la pathogénèse de celle
affection
. M. Cestan par exemple, dans son mémoire, affir
chiens bassets. Et lorsqu'il dit que l'étude histologique de cette
affection
nous fait aujourd'hui comprendre que, quoique l
assidus. Pourquoi devons-nous considérer l'achondroplasie comme une
affection
secondaire à une intoxication héré- ditaire ven
désormais acquis que des troubles digestifs peuvent aboutir à cette
affection
morbide que l'on connaît sous le nom de rachitism
FRANCHINL ET \L1UR0 ZANAS1 frappe principalement le squelette ; des
affections
bronchiques chroniques, des bronchiectasies peu
ues; ils se basaient sur l'hérédité, sur le caractère familial de l'
affection
et sur l'intégrité absolue de leurs deux sujets
médicale depuis 1876, époque à laquelle, ainsi qu'on le sait, cette
affection
fut décrite pour la première fois par James Paget
ôt rare. Nous pourrions cependant faire remarquer à cet égard que l'
affection
osseuse ne conduit pas toujours le malade chez
ne pourrait pas parler d'ostéoporose sénile, car, tandis que cette
affection
trouve-son siège presque exclusif au niveau de la
tue, ainsi qu'on le sait, un des phénomènes fondamentaux de cette
affection
morbide. Or, dans notre cas, ainsi que nous l'avo
1 iq ue l'aspect monstrueux d'une racine noueuse (P. Marie). Cette
affection
fait ordinairement son début par l'apophyse mon
aget. Il est encore une autre remarque à faire. Chez notre malade l'
affection
osseuse a débuté il y a une quinzaine d'années
ns la lit- térature du sujet, en arrive à cette conclusion, que les
affections
syphili- tiques du sytème nerveux apparaissent
e année qui suit la contagion. Selon l'auteur, 48 0/0 de toutes les
affections
syphilitiques de ce genre apparaissent pendant le
de syphilis cérébrales, dans lesquelles les premiers symptômes de l'
affection
apparurent entre 3 et 18 mois après le syphilome
tatistique qui démontre également que le cas du développement d'une
affection
syphilitique du système nerveux dans une périod
ètement cicatrisé, trouva un foyer de malacie du pont de Varole par
affection
syphilitique des vaisseaux. Jolly fit connaître
SYPHILIS CÉRÉBRALE 301 lité, d'une arteritis luetica -et non d'une
affection
cérébrale d'une autre nature. L'infection syphi
précoce et maligne, dont on con- naît l'âge, le développement de l'
affection
se manifesta dans 4 cas de 10 à 20 ans ; dans 1
état de choses qui expliquerait suf- fisamment la gravité de cette
affection
. En effet, tous les pathologistes reconnaissent
cocement après la contagion, peut prévenir ou au moins retarder les
affections
syphilitiques du système nerveux, on a beaucoup d
stème nerveux, on a beaucoup discuté, soit pour ce qui concerne les
affections
syphilitiques proprement dites, soit pource qui
n traitement énergique de la syphilis ne prévient ni ne retarde les
affections
métasyphilitiques, que même dans des cas mal so
ons métasyphilitiques, que même dans des cas mal soignés, de telles
affections
se manifestèrent plutôt tard que tôt. Kron égal
ue de la syphilis n'a aucune valeur par rapport à la prévention des
affections
du système nerveux. Les opinions de Leyden, Her
pf, au contraire, et avec lui beaucoup d'autres, ont soutenu qu'une
affection
syphilitique non soignée ou soignée insuffisammen
pathologistes comme Henhner, Gilbert, Lion et Kuh déclarent que les
affections
syphilitiques du système nerveux se manifestent d
ter a-t-il conclu que, pour ce qui regarde le déve- loppement d'une
affection
syphilitique du système nerveux central, l'in-
st pas du tout démontrée, en ce qu'il puisse prévenir ou relarder l'
affection
elle-même. Les conclu- sions de Schuster ont ét
ble du traite- ment spécifique antérieur sur le développement d'une
affection
syphili- tique du système nerveux. L'autorité
tion syphilitique, soignés ou non, et qui n'ont été suivis d'aucune
affection
du système nerveux central ? Il serait peut-être
r la question de savoir si dans des cas traités et non suivis d'une
affection
syphilitique nerveuse, une affection de ce genre
as traités et non suivis d'une affection syphilitique nerveuse, une
affection
de ce genre se serait manifestée si l'on n'avai
ifique intense faite aussitôt après l'apparition de l'ulcère dur, l'
affection
céré- brale apparaît plus ou moins vite et sous
- Diseases of the nervous system, vol. II. Gnos et LAxcEnEAux. Les
affections
nerveuses syphilitiques, 1861. Jolly. - Ueber G
domen et en premier lieu la marche fatale toujours progressive de l'
affection
, tous ces points parlaient en faveur d'une tu-
u courant galvanique de la IV, vertèbre dorsale.En ce moment déjà l'
affection
était tellement avancée que le malade mar- chai
la myélite chronique. Nous considérions comme moins improbable l'
affection
syphilitique (méllin- go-myélite syphilitique).
ure-mère. L'absence des fortes douleurs. si caractéristiques pour l'
affection
nous privait de la certitude. Aujourd'hui, grâce
oulions donc dès le premier moment trouver un autre diagnostic de l'
affection
. Nous pouvions éliminer la myélite syphilitique
clérose en plaque. La marche de la maladie ne correspondait pas à l'
affection
combinée de la moelle, qui du reste (on s'en re
iagnostic de la tumeur parlait aussi, ceteris paribus, le type de l'
affection
prédominant sur une moitié du corps. On peut affi
orte neuf jours après l'opération en présentant des symptômes d'une
affection
inflammatoire. L'autopsie démontra que la tumeu
ile à diagnostiquer. Le tableau clinique y était typi- que pour une
affection
connue sous le nom de pachyménillgite cervicale
eure de plus en plus croissante. Il est connu aujourd'hui que cette
affection
, décrite par Charcot, la plupart du temps se pr
onc difficile de dire définitive- ment si nous avions affaire à une
affection
spécifique ou néoplasique. L'autopsie démontra
ymptômes cliniques étaientsi minimes qu'on ne pensai même pas à une
affection
médullaire. La malade se plaignait de douleurs
étude des lésions corticales de la sclérose latérale amyotrophique,
affection
localisée presque exclusivement au système moteur
ari, âgé alors de 34 ans, semble avoir été atteint antérieurement d'
affections
véné- riennes, et probablement de syphilis. La
noter aussi que cette arthropathie occupe le siège habituel de ces
affections
, puisque, comme nous l'avons vu, la presque tot
t du périoste voisin ». Les auteurs insistent sur les rapports de l'
affection
avec la tuberculose. Kirmisson (1) a observé un
et finissant par une paralysie spastique complète; 3° le type de l'
affection
purement transversale sans symptômes ascendanls o
matologie et Diagnostic. ' Dans une monographie bien connue sur les
affections
médullaires parue en 1874, Leyden a émis l'opin
lôme quelcon- que qui serait exclusivement caractéristique de cette
affection
, chacun de ces symptômes pouvant être rencontré
t-à-dire du côté où elle sié- geait. Par conséquent le tableau de l'
affection
transverse de la moelle (troubles sensitifs et
- tique. Quant au troisième stade de la maladie, c'est-à-dire à l'
affection
trans- verse de la moelle, il apparaît le plus
un oedème passager (Schlesinger). Quelquefois on noie au début de l'
affection
des taches spinales (Gowers). Les tumeurs inlra
le diagnostic différentiel entre les tumeurs méningées et d'autres
affections
organiques, il faut accorder une certaine importa
mbes. Les symptômes médullaires correspondent au type habituel de l'
affection
de la moelle lombaire. Les tumeurs de la moelle
diagnostic différentiel de ces deux localisations : En faveur de l'
affection
de la queue de cheval parlent le développement
ssi bien que des fonctions urinaires et de l'intestin. Par contre l'
affection
du cône terminal s'annonce la plupart du temps
culaires, un type de Brown-Séquard, un dé- veloppement graduel de l'
affection
où l'on distingue des stades précités (un névra
leurs ont duré 10 mois (tumeur intraméduliaire). Quant aux autres
affections
, il faut prendre en considération lasclérose en
e quelquefois le diagnostic reste longtemps hésitant entre ces deux
affections
. Cette difficulté augmenta surtout dans ces der
ieure de la maladie qui m'assu- rait qu'il s'agissait bien de cette
affection
. Dans mon service aussi j'.obser- vai maintes f
es, le résultat jusqu'à présent L fut toujours négatif. Une autre
affection
qui doit être prise en considération est la carie
eur mé- dullaire se complète grâce aux symptômes qui dépendent de l'
affection
de la moelle se propageant transversalement, ta
s frappent la moelle longitudinalement. Il faut encore rappeler une
affection
, la méningite spinale séreuse. Il y a toute une
élucidée. Krause est d'avis qu'il existe une rela- tion entre cette
affection
et la carie osseuse. Oppenheim veut y voir une
is les lésions typiques. Nous ne nous arrêterons pas sur les autres
affections
-médullaires, puisqu'elles n'offrent pas généra
bès, la névrite, l'affec- tion de différents systèmes combinés, les
affections
fonctionnelles. Il y a pourtant des cas de myél
ion des deux nerfs circonflexes. Une belle étude d'ensemble Sur les
affections
de la queue de cheval. Un cas d'ophtahztohlégie,
ard, Un cas de tumeur du cervelet, Polynévrite et poliomyélite, Les
affections
de la queue de cheval et du segment inférieur d
ré- gulier » que la forme congénitale ; mais entre l'une et l'autre
affection
il n'y a aucune différence essentielle, aucune
uelques cas complexes, plus com- parables à l'achondroplasie qu'à l'
affection
typique que nous décrivons (Leboucq), un pli tr
euse que l'on voit survenir, souvent d'une façon précoce, après les
affections
des os les plus variées (fi,act2ties,inflam- ma
ange : c'est la bra- chydactylie avec hyperphalangie des auteurs. L'
affection
se rapproche de la brachymélie métapodiale parc
apodiale. d'autant qu'il n'est pas impossible a priori que les deux
affections
coexistent. Brachymélie métapodiale dans les dy
iculier les chondromes des doigts et des orteils ». Dans les deux
affections
qui peuvent coexister- le raccourcissement préc
, des exostoses et aussi probablement des chondromes (ces dernières
affections
n'étant pas la raison directe des arrêts de cro
hute sur le doigt par exemple pourrait être le point de départ de l'
affection
; le mécanisme le plus plausible sérail la disj
régie peu considérable ; de plus la disjonction épiphysaire est une
affection
de la deu- xième enfance ; elle est extrêmement
matique d'une tuberculose héréditaire ». Le spina-ventosa est une
affection
de la première enfance, elle se montre habituel
apodiale congénitale. L'analogie clinique est frappante entre cette
affection
et le doigt 1'en- trait de Lannelongue. La tu
méningite séreuse, eh bien, la sup- position qu'il s'agit de cette
affection
peut induire en erreur le chirur- gien. Quelque
hénomènes septiques. De 25 malades opérés par F. Krause par suite d'
affections
médullaires (dans ce nombre, 10 cas de tumeurs
sont d'ordre psychiatrique et permettent d'affirmer la nature de l'
affection
dont il a souffert. Tirer de documents anciens,
la fin du voyage. » Ce passage révéle l'éclosion assez brusque de l'
affection
mélancolique dont Hugo fu frappé au retour de C
immédiatement appelé. Celui-ci soupçonna Hugues d'être frappé de l'
affection
qui avait tour- menté le roi Saül ; et, se rapp
devoir insti- tuer auprès de son malade : tentative inutile, car l'
affection
mélancolique persista,en dépit d'une sollicitud
e révélait, chez lui, des symptômes de l'une et de l'au- tre de ces
affections
; toutefois, comme on me l'a fréquemment répété,
mi son entourage. Pour les uns, Hugo van der Goes est atteint d'une
affection
mentale d'origine organique et d'étiologie, pour
uccombé dans la lutte entre ses nou- veaux devoirs et le souvenir d'
affections
mal éteintes, réveillées par ses occu- pations
it l'élément toxique ou infectieux qui se trouve à la base de cette
affection
.. Le cas suivant que nous avons étudié dans le
sclérose périventriculaire. La sclérose en plaques est souvent une
affection
inflammatoire comme l'ont montré les travaux de
seulement de 'certaines maladies nerveuses, mais aussi de quelques
affections
mentales déterminées. La démonstration du carac
ffet, dans le domaine des maladies de l'Encéphale, tout un groupe d'
affections
, les 'affections parasyphilitiques, dont l'étiolo
anatomique facile à constater, et qui est une preuve positive d'une
affection
syphilitique an- térieure. Les recherches réc
e mis en oeuvre. Les partisans convaincus de l'origine luétique des
affections
parasyphi- litiques du système nerveux, de la p
e, qu'on pourrait appeler paralysie générale foudroyante, puisque l'
affection
n'a eu qu'une durée totale de trois mois depuis
émités, « l'acropathologie » est aujourd'hui assez bien limité. Les
affections
qui y sont comprises représen- tent un certain
, il établit que, à côté du syndrome, il existe un certain nombre d'
affections
dans lesquelles prédomine le symptôme : as- phy
symptôme : as- phyxie. Mais contrairement à ce qui se passe dans l'
affection
décrite par Raynaud, cette asphyxie est constan
arités ne sont point identiques aux faits précé- dents. Néanmoins l'
affection
est d'une similitude assez grande, dans ses élé
uments, j'ai entrepris de tracer la physionomie d'ensemble de celle
affection
à laquelle me semble convenir le nom d'acro-cyano
(in Cassirer).Chez une femme exerçant la profession de veilleuse, l'
affection
était caractérisée par l'augmentation de volume d
erg (2) dans une monographie sur l'acromégalie, mentionne que cette
affection
peut se présenter avec une symptomatologie qui
ien portante. Pendant la grossesse du malade, la mère n'a eu aucune
affection
pathologi- que, à part quelques émotions dues à
une augmentation de vo- lume seulement des parties molles. Dans l'
affection
individualisée sous le nom cl'acropal'esthésie (1
lmoscopiqucs caractéristiques. Rien ne peut donner le change avec l'
affection
par nous observée. C'est surtout avec la maladi
tant : il y a des accès d'asphyxie locale, des accès de syncope ; l'
affection
procède par attaques successives. Or,au contraire
st, au con- traire, durable et progressive. Telles sont parmi les
affections
définies, appartenant à l'acropathologie, celle
propose le nom de dennato-hypertrophie vasomo- trice. A ses yeux l'
affection
a été conforme avec l'ostéo-arthropathie de P.
sisté avec quelque complaisance sur le diagnostic différentiel de l'
affection
queje veux décrire ici, parce que c'esl une quest
commodants qui se place approximativement à cet âge : car souvent l'
affection
dure de plusieurs années déjà, quand le sujet sol
ent souvent eux-mêmes des manifestations de cette nature. Quant aux
affections
antérieures, elles ne sont pas explicitement ment
actement l'année où les troubles se sont montrés, et répond que son
affection
remonte à un temps déjà lointain. C'est pendant l
ophiante est constituée. Quand on examine un sujet atteint de cette
affection
depuis nombre d'années, on est tout d'abord fra
ctéris- tique qui n'est pas celui d'une cyanose symptomatique d'une
affection
cardiaque ou pulmonaire : cette coloration est
n même ne s'était produite. L'acro- cyanose hypertrophiante est une
affection
chronique, qui s'installe lente- ment et ne dis
te rareté probable des améliorations fait que le pronostic de cette
affection
est assez sévère, non pas au point de vue vital
Il ne me parait point utile de parler encore du diagnostic de cette
affection
: j'ai montré plus haut avant d'esquisser son dom
lus haut avant d'esquisser son domaine noso- graphique avec quelles
affections
elle peut prêter au doute, bien que le diagnost
est plus difficile d'édifier avec certitude une pathogénie de cette
affection
. C'est l'analogie seule avec d'autres ma- ladie
me, les causes déterminantes,et pour classer défi- nitivement cette
affection
dont j'ai essayé d'esquisser la physionomie. (1
dans le cadre classique de la maladie de Rom- berg. Le début de l'
affection
remonte à l'âge de douze ans. L'entourage fit re-
une apparence due au contraste avec l'atrophie du côté gauche.' L'
affection
a suivi sa marche progressive habituelle, avec to
à un type presque aussi complet. Si J'étiologie de cette singulière
affection
nous parait si obscure que nous ne saurions l'a
rieux sur les troubles trophiques en général. En somme, voilà une
affection
qui respecte la motilité, la sensibilité, les s
la théorie bordelaise de l'aplasie lamineuse, celle qui voit dans l'
affection
une atrophie primitive du tissu cellulaire sous
lement éliminée : il apparaît nette- ment au simple aspect de cette
affection
exactement hémilalérale que nous nous trouvons
on exactement hémilalérale que nous nous trouvons en présence d'une
affection
nerveuse. Pour les deux théories nerveuses invo
ns, ni surtout de trouble vasomoteur manifeste. En présence d'une
affection
exactement hémilatérale, envahissant plu- sieur
fet]décrit l'histoire d'une famille de trophoedèmes dans laquelle l'
affection
avait procédé chez trois des membres, et au début
que la même comparaison (2). L'évolution complète de cette longue
affection
peut se résumer ainsi : l'encéphale, atteint de
la sclé- rose symétrique des lobes occipitaux. La marche lente de l'
affection
, la lésion définitive qui peut être assimilée à
ères/ tels sont les différents degrés déterminés par la marche de l'
affection
Notre malade, malgré l'étendue des lésions occi
volution lentement progressive d'une myopathie; dans le second, une
affection
médullaire prendre à la myo- pathie, outre son
as d'alcoolisme. Pas d'accidents nerveux. Mère morte à 62 ans d'une
affection
cardiaque qu'elle aurait eue toute sa vie. Etait
87 ans, bien portant toute sa vie ; grand'mère morte assez jeune d'
affection
inconnue ; 4 oncles ou tantes n'ayant jamais pr
opathie. Du côté maternel. Grand'père mort âgé ; grand'mère morte d'
affection
car- diaque. Une tante cardiaque. Frère ou sc
arlé de bonne heure. Pas d'énurésie nocturne, n'a souvenir d'aucune
affection
aiguë fébrile l'ayant re- tenu au lit. A toujou
, fébrile, de symptômes, généraux soit au début, soit an cours de l'
affection
. Parésie et douleurs furent d'emblée sy. métriq
laires forment un faisceau d'arguments cliniques en faveur de celte
affection
. Il est vrai qu'il manque à notre cas le caract
amyotrophie Charcot-Marie ouvrent des aperçus nouveaux ; pour cette
affection
, conisdérée jusqu'alors comme purement neurotiq
constamment de l'huile de foie de morue, atteint actuellement d'une
affection
des centres ner- veux de nature paralytique. No
rité naturaliste de la scène et la très exacte représentation d'une
affection
oedémateuse et ulcéreuse de la jambe. Les exemp
s oedémateux et les ulcérations des jambes de préférence à d'autres
affections
. Ce sont maux très fréquents, bien faits pour i
va en face d'un état fébrilepeu en rapport avec la nature môme de l'
affection
, et qui ne pouvait que venir à l'appui de l'idée
ppeler que pour lui le Gigantisme et l'Acromégalie étaient une même
affection
dont les manifestations extérieures dépendaient
s d'une angine. Il avait un an et demi lorsqu'il tomba malade d'une
affection
que le médecin traitant considérait comme une m
demi ; et alors, subitement, il commença à croître à la suite d'une
affection
cérébrale (méningite ? ) ; cette croissance 188
AR e E. APERT. Les hypertrophies partielles congénitales sont des
affections
à l'étude desquelles la radiologie a apporté un
i de troubles de la parole. Aussi avons-nous écarté la pensée d'une
affection
organique du système nerveux et avons-nous. été t
oire de la maladie. - L... se présente à notre observation pour une
affection
du membre supérieur droit qui remonte à cinq ans.
de la puberté, sans aucun malaise général, indépendamment de toute
affection
infectiense ou autre, de refroidissement, et vr
t hésiter entre un trouble fonctionnel du membre su- périeur et une
affection
, paralysie parcellaire ou parésie, du plexus br
flexes ou des lésions médullaires ordinairement symétriques ; - une
affection
localisée à un nerf périphérique : paralysie du m
re mental. » (1) Il n'en importe pas moins d'établir entre ces deux
affections
une dis- tinction clinique aussi nette que poss
des réactions électriques, et des réflexes. Absents dans les tics,
affection
sine materia dans l'état actuel de nos connaissan
évolution générale de la maladie est bien celle des tics. Voilà une
affection
qui date de cinq ans, et qui, abandonnée à elle-m
decins, puis il a cessé tout traitement. Non seulement il croit son
affection
incurable, mais il craint qu'elle ne se général
prit le sou- venir d'un malade mort vers la quarantième année d'une
affection
ner- veuse indéterminée d'ailleurs, mais qu'il
s chez notre malade, son hérédité névropathique, l'évolution de son
affection
établissent nettement qu'il ne s'agit pas d'un
ntrevoir une même cause originelle à ces accidents communs aux deux
affections
. On sait que la présence des taches « café au l
tres où les extrémités sont seules atteintes et d'autres où, avec une
affection
grave du système nerveux foetal, il n'y avait a
e service de M. le professeur Jaboulay, le 4 janvier 1903, pour une
affection
du pied droit, dont le début remonte à dix-huit
cliniques décrits dans cette observation on peut conclure que cette
affection
articulaire était une arthropathie trophique. I
on articulaire s'impose, il n'en est pas de même du diagnostic de l'
affection
médullaire causale. On peut tout d'abord élimin
constatée de dissocia tionsyringomyétique. D'autre part, dans cette
affection
, les membres supérieurs sont surtout atteints, le
oubles nerveux qui ont fait admettre la nature syringomyélique de l'
affection
. (1) Deulsch. Zeitschr. f. Chir. Bol. 34, 1894.
. Histoire de la maladie. Son mari mourut il y a trois ans, d'une
affection
pulmonaire aiguë. Elle eut cinq enfants, dont t
les renseignements que nous avons pu obtenir sur les débuts de son
affection
ne sont pas en faveur de cette interprétation.
ents que, contrairement ce qui a été signalé dans le trophoedème, l'
affection
, chez D..., au lieu de se développer comme cela
olumineuses (ventre, cuisses, bras), appartiennent au contraire à l'
affection
décrite par Dercum sous le nom d'adipose dou- l
immuable : le repos au lit tout à fait au début de l'évolution de l'
affection
mentale, atténue et peut même faire disparaître
ur quelles bases se peut établir le diagnos- tic de ces différentes
affections
. Myxoedème. On sail que W. Gull signalait en 18
myxoedème ». Morvan, en 1875 (lettre à Charcot) montrait que cette
affection
n'avait point échappé à sa sagacité. On voit do
raitement sera indispensable. TpopHOEDÈME. Le trophoedème est une
affection
à laquelle il n'est que justice d'attacher le n
re héréditaire et familial est très souvent noté : plus rarement, l'
affection
est congénitale et de nombreux individus de la mê
ombreux individus de la même famille peuvent être atteints de cette
affection
. Les troubles mentaux n'avaient point été signa
avec chorée chro- nique. ' , .T'ai systématiquement cherché cette
affection
à l'asile de Rennes, avec mon aimable médecin e
ariables : c'est souvent de l'affaiblissement intellec- tuel ou une
affection
mentale par involution sénile (4). Des recherches
edème bleu des hystériques et les oedèmes névropathiques liés à des
affections
du système nerveux central que leur étiologie pré
- Traité de Pathol. mentale Gilbert-Ballet, Article Sémeiologie des
affections
mentales de J. 56 : atas, p. 14 et suiv. et Artic
ation au bout d'un mois et demi. Pendant les trois mois qu'a duré l'
affection
, la dent cariée fut le siège de vives douleurs
de l'homme et la distinction qu'il importe de faire entre ces deux
affections
. Elle permet, en outre, d'affirmer que les tics
ur le siège de ses an- ciennes douleurs et sur les reliquats de son
affection
. Au début il exécute donc un acte de défense et
ire se développe, sa personnalité psychique se modifie et souvent l'
affection
se termine par une démence très marquée et l'inca
amentaux a été adoptée par les auteurs allemands qui ont suivi et l'
affection
a été décrite sous différentes nominations. Ain
cord avec la description de Nasse, seulement il diffé- rencie cette
affection
de la paranoïa alcoolique, caractérisée, d'après
motivée), mérite de retenir l'attention. Bonhoeffer envisage cette
affection
comme voisine du delirium tremens, vu l'existen
a dénomination de Wernicke, à savoir : « Acute Hallucinose ». Cette
affection
ne peut pas néanmoins être reconnue comme ident
gorie; ils ne sauraient soulever aucune difficulté. Il s'agit d'une
affection
cérébrale qui débute par le traumatisme, et se
gue écri- vait : « Je ne mets pas en doute qu'un certain nombre d'
affections
et de lésions cérébrales ne soient l'origine de
l'observation clinique n'appuie en rien ce mode d'explication : les
affections
exactement limitées aux lobes frontaux ou aux l
s'accompagne souvent d'hémianopsie 2, la localisation de ces deux
affections
n'est pourtant pas identique. Seppilli veut seu
t Tamburini, ne se manifestent guère qu'à la période irritative des
affections
cérébrales; elles cèdent d'ordinaire en partie
rtout étudié avec prédilection, on sait avec quel succès ', c'est l'
affection
décrite d'abord parAVernicke (1874), puis par K
des cas plus nombreux de surdité verbale, situe la lésion de cette
affection
dans le lobe temporal gauche, surtout dans la T
que celle-ci peut également exister sans celle-là, quoique ces deux
affections
aillent souvent de com- pagnie. Si, en effet, c
issement ou la perte complète de l'odorat a lieu du côté opposé à l'
affection
cérébrale, et si l'on cherche l'explication de
ertaines choses, prétendant qu'on se moquait de lui. Il n'a guère d'
affection
que pour sa mère; il déteste son père qui bien
re-vingt ans, bien portant. Mère morte à cin- quante-cinq ans d'une
affection
du coeur. Pas d'hérédité appré- ciable. - Antéc
on non seulement dans les cas de tabes, mais encore dans d'autres
affections
nerveuses. Dans la plupart des services hospitali
s la plupart des services hospitaliers de Paris, où l'on s'occupe d'
affections
nerveuses, on a employé ce mode de traitement,
l est le mode d'action de la suspension dans le tabes et les autres
affections
médullaires; on ne peut encore qu'émettre des h
soustrois chefs : 1° modalités particulières à l'état général ; 2°
affections
des sys- tèmes cardio-vasculaire et nerveux ; 3
, tainement les ataxiques et certains autres individus atteints d'
affections
nerveuses diverses; mais guérit-elle les tabétiqu
t de la thérapeutique, quoique ses applications soient limitées aux
affections
d'ordre dy- namique : c'est en particulier dans
Pour nos abonnés : 8 fr. Cuancor(.1.-lL). Maladies infectieuses,
affections
de la peau, kystes hydatiques, thérapeutique (T
lier père et fils. FDl4.WlD3 (B.-A.). De l'hémiplégie dans quelques
affections
nerveuses {ataxie locomotrice progressive, sclé
l'épilepsie, dix, vingt ans, et plus, après le trauma. Même quand l'
affection
céré- brale a terminé son évolution et a abouti
t appelé dans les circonstances suivantes : on lui demande si une
affection
cérébrale chronique (folie, démence, para- lysi
des voies digestives, car il n'y a pas eu de refroidissement, ni d'
affections
pulmonaires, ni de repas avant l'immersion. L
de l'observation de cet homme qu'il n'y a eu ni refroidissement, ni
affections
pulmonaires, ni repas avant l'immersion. Il est
ière immersion que l'accident est survenu), le refroidissement, les
affections
pulmonaires, les repas avant l'éclusement ne so
on on ne peut naturellement invoquer ni le 'refroidissement, ni les
affections
pulmonaires, ni les repas avant l'immersion dan
nt. Impossible aussi d'invoquer soit le refroi- dissement, soit les
affections
pulmonaires, soit les repas avant l'éclusement,
séjour et même temps de décompression; les refroi- dissements, les
affections
pulmonaires, les repas avant l'éclusement, enfi
ns la production de cet accident. L'absence du refroidissement, des
affections
pulmonaires et des repas avant l'éclusement aus
accident sans aucune suite, et il n'y a eu ni refroidissement, ni
affections
pulmonaires, ni repas, ni fatigue. ! ). Accident
ne furent pas suivies d'accident. Quant aux refroidissements, aux
affections
pulmonaires, aux repas avant les im- mersions e
de la poitrine, qu'il ne toussait pas, on ne saurait attribuer aux
affections
pulmo- naires et aux repas copieux avant l'éclu
l'élimination de l'excès de gaz par cette voie. Nous entendons les
affections
pulmonaires. 2° Affections pulmonaires. Il n'y
gaz par cette voie. Nous entendons les affections pulmonaires. 2°
Affections
pulmonaires. Il n'y a guère dans notre tableau
ue deux accidents dont le seul et unique élément étiologique soit l'
affection
pulmonaire; ce sont les accidents des Observati
ccident éta- blit d'une manière bien plus évidente encore que les
affections
pulmonaires peuvent produire un certain nombre
l est de toute évidence que le refroidis- sement aussi bien que les
affections
pulmonaires n'ont été pour rien dans la product
vingt-sept cas de myxoedème entre lesquels quinze présentaient une
affection
chronique des reins; il admet en général une re
délirantes. Cet auteur n'admet pas la dépendance du myxoedème d'une
affection
chronique des reins et s'il trouve un point com
xoedème ; le dernier de ces auteurs, Landau, lie le myx- oedème aux
affections
de l'appareil sexuel des femmes. Outre cela l'h
i se systématise. Le mécanisme est exactement le même que celui des
affections
nerveuses et men- tales dues aux excès et surto
R\AT)OXS DE SIMULATION DE L'ALIÉNATION Ml'Nt'ALH AVEC UNE véritable
affection
PSYCHIQUE; par J. Feritscii ( Jnhrüi(Ch. f. Psy
considérations fort intéressantes, touchant le diagnostic de cette
affection
d'avec la paralysie géné- rale. On peut ainsi r
s un cas, l'alternance entre les manifestations céré- brales et une
affection
cutanée a même été notée. Les arthritiques étan
rier traumatisé conserve son appétit, devient paresseux, simule une
affection
qu'il n'a pas ou n'a plus, et le jour ou l'in-
e traumatisme joue un rôle évi- dent, mais qu'il ne produit que des
affections
bien connues, pour lesquelles il est inutile d'
a pratiqué l'autopsie et dont il apporte les pièces anatomiques. L'
affection
avait présenté une certaine acuité, puis- qu'el
trait les malades en situation d'être traités au début même de leur
affection
avant qu'un état chronique incurable se soit étab
Pour nos abonnes : 8 fr. Cnaacor (J.-i\L). - Maladies infectieuses,
affections
de la peau, kystes hydatlques, thérapeutique (t
nd DI'l1c1.el'ei. EDWARIIS (B.-A.). De l'hémiplégie dans quelques
affections
nerveuses (ataxie locomotrice progressive, sclé
plus, on envisageait généralement la migraine ophtalmique comme une
affection
évoluant pour son propre compte, la regardant c
la bénignité des dehors sous- lesquels se cachait le début de celle
affection
grave.. L'observation suivante qu'a publiée M.
père rhumatisant; un oncle paternel, mort à quarante- quatre ans d'
affection
cérébrale, inconnue; deux autres oncles, bien p
e la dernière fausse couche, il y a un an à peu près, qu'a débuté l'
affection
actuelle. Début (Renseignements pris auprès de
faiblie : elle se souvient toutefois des principaux épisodes de son
affection
. L'altération de la mémoire porte surtout sur l
e si c'est la seule migraine qui est en jeu, il ne s'agit que d'une
affection
assez bénigne et dont on aura tout lieu d'espér
raine est devenu permament ; dans cette constante présomption que l'
affection
ne soit sympto- matique, on recherchera des sym
ien de porter un dia- gnostic régional presque certain de certaines
affections
encéphaliques, le chirurgien connaît presque pa
uelques auteurs mettent le myxoedème en relation génésique avec les
affections
des reins. L'extirpation de la glande thyroïde
ccidentel et relevant de causes toutes différentes. R. M. C. III.
Affections
cérébrales d'origine traumatique; DEUX observatio
ui aurait peut-être même survécu s'il n'avait pris une pneumonie,
affection
que l'on sait être fatalement mortelle à une péri
e de cause occasionnelle ayant mis en jeu la prédisposition à une
affection
névropathique que présentait cette malade en rais
optique symptomatiquc. De Groefe rattachait la névrite optique des
affections
cérébrales à une augmentation de la pression in
isées dans le foyer cérébral. Passons donc en revue les différentes
affections
de l'en- céphale. Dans les tumeurs cérébrales,
l'accès d'épilepsie. M. Naunyn (de Strasbourg). Le pronostic des
affections
syphili- tiques du système nerveux. Il y a une
ion d'ailleurs médiocre. Par conséquent, le pronostic de ces deux
affections
ne repose pas le moins du monde sur la constatati
par le médecin, mais il n'en est pas moins vrai que la majorité des
affections
spécifiques du système nerveux central présente
ps écoulé entre le dernier accident syphili- tique et le début de l'
affection
nerveuse. Mais il y a une impor- tance à attach
leurs imputables au médecin qui croit devoir prescrire pour cause d'
affections
morbides communes des potions alcooliques. En r
pend ici soit de la constitution du système vasculaire, soit d'une
affection
rénale de même nature. 3° Albuminurie des centres
sont rattachés par MM. Siemerling et Oppenheim 2 la première de ces
affections
. Tel est dans l'espèce, le symptôme du rire irr
rlatine. Tout en réservant la question de l'ataxie produite par des
affections
en foyer, 'un tabes, une névrite périphérique,
sychique doit entrer en ligne de compte, et l'impunité ne saurait d'
affection
mentale. D'ailleurs, c'est ce que l'on trouve dan
n à faire avec les obsessions; le médecin établit l'existence d'une
affection
mentale sans que le libre arbitre ait été atteint
utres, et parmi eux celui dont on l'accuse, ne dépendent pas de son
affection
. Le rôle du médecin est de faire ressortir ces
ciser la démence, l'incurabilité, la terminaison, le pronostic de l'
affection
mentale, ou qui préten- dent qu'on s'est passé
en soit, le § t4t0 pourrait mentionner comme motif de divorce, une
affection
somatique, ce qui laisseiait la question en sus
phalite infantile, c'est-à-dire à la cause les plus fré- quente des
affections
en foyer de l'enfance, ne se traduisent jamais
s cas de sim- mulation, on dissipera les ténèbres. M. FUETII. Des
affections
symétriques desmembres chez les aliénés. La pre
atteint d'une gangrène symétrique des doigts; bien qu'il existe une
affection
organique des artères (le malade a 60 ans), c'e
mélancolie, paralysie générale), qui, sans avoir jamais présenté d'
affection
somatique sérieuse, moururent brus- Archives, t
capable d'expliquer la pathogénie. Quelles sont les relations de l'
affection
psychique avec les lésions cardiaques ? 11 ne s
saurait être question ici d'une maladie mentale occasionnée par une
affection
organique du coeur. Quant à t'in- fluence nociv
5-6.) P. Keraval. BIBLIOGRAPHIE IX. De l'hémiplégie dans quelques
affections
nerveuses; par Mlle Blanche Edwards. Thèse de d
en Amérique, 318 ; - (néologismes chez les) par Bartels, 453, (
affections
symétriques des mem- bres chez les) - par Fueth
de métattothérapie, par Moricourt, 165 ; hémiplégie dans quelques
affections
nerveuses, par Bl. Edwards, 466. 472 TABLE DE
uffocation, par Welsh, 435. Suggestion (influence de la - sur les
affections
nerveuses organi- ques), par Fontan 289 ; (in-
e 20, on peut considérer la malade comme complètement guérie de son
affection
mentale et de son intoxication. RECUEIL DE FA
altérations des cellules molrices de cette sphère indiquaicirt-tinc
affection
récente et il ne s'était pas encore manifesté d
st indubitable. La démarche, l'examen de la motilité, le début de l'
affection
par les petits muscles des pieds, 1'tt-o de la
, de dix cas de paralysie générale avérée, l'auteur admet que cette
affection
est constituée par une encéphalite chro- nique
aralysie géné- rale et que le diagnostic histopathologique de celte
affection
doit être fondé non sur la considération d'un s
eil optique, dioptrique, locomoteur des yeux, indemne égale- ment d'
affections
organiques du système nerveux, de tout nys- tag
tions de quatre malades (3 hommes et 1 femme) le développement de l'
affection
a été pré- cédé plusieurs mois ou plusieurs ann
pourrait la confondre qu'avec de la diplégie cérébrale, assez rare,
affection
familiale qui s'accompagne d'atrophie des nerfs
érescence symétrique de la lâche jaune. S'il était établi que celle
affection
hércdo-lamiliale, probable- ment endogène, enlr
0 SOCIÉTÉS SAVANTES. ces signes font défaut. En ce qui concerne les
affections
des cen- tres nerveux en particulier, ce n'est
éjerine. C'est dans 10 domaine des 5" et Ge paires cervicales que l'
affection
a commencé et où elle est le plus accusée, pour
ans la monoplégie brachiale par lésion centrale, et j'estime que, l'
affection
doit dépendre, d'un trou- ble périphérique. 11
héc. Selon que la tare du système nerveux sera légère ou grave, l'
affection
pourra avoir une évolution différente ; guérir
de deux ans avant que sa femme ne succombât t par suite de la môme
affection
. Chez les deux malades, on peut au moins approx
de reconnaître, chez un même ma- lade. la coexistence de plusieurs
affections
mentales dif- férentes et de préciser ce qui re
dont notre malade a été victime dans sa jeunesse, une troisiè- me
affection
, la paralysie générale, de date plus récente. m
er leurs aliénés, les formes mentales, les maladies incidentes, les
affections
chirur- gicales, les épidémies, etc., mais enco
it les plus intéressants, les cas aigus en général ; si- tôt qu'une
affection
mentale prend des allures de chroni- cité, ou p
es symptômes pré- sentes par les malades trahissaient cependant des
affections
du cerveau bien que la guérisuo survînt el que
Pares sont en somme les papilles étranglées bilatérales dans les
affections
qui ne sont pas inlra-céroltrales ; exemple la né
qu'au pôle postérieur et sous la tente du cervelet, on provoque une
affection
plus diffuse de la rétine du côté opposé qui se
l se peut qu'il y ait que coïncidence entre l'anomalie osseuse et l'
affection
nerveuse. Il se peut aussi que la sclérose en pla
laques ne débute, il esl vrai, (pie cinq ans plus lard maisc'eslune
affection
toujours longue, el la diplopie passagère, qu'o
t; par De- croly. (Policlinique de Bruxelles, 1903, lor octobre.)
Affection
rare dans l'enfance mais que Dejerino a déjà sign
t personnes du passé à l'aide de la vue et de l'ouïe. Au début de l'
affection
, elle ne pouvait retrou- ver dans sa mémoire le
1. Tchije étaient des villageois, esthoniens, chas- tes, chez qui l'
affection
s'était développée a la période de la matu- rit
de soi, n'a de valeur que dans les cas où les patients, avant leur
affection
, étaient capables d'oulTil'unoeil en laissant l
lle-ci est hlulùLun lruLuiL arliliciul lu'un5 mi- tome naturel de l'
affection
mentale. Sans doute les agents lylro- thérapiqu
s de l'asile d'itlenau, on érigerait un sanatorium popu- laire pour
affections
nerveuses telles que névropathies et psycho- pa
', 1903, n° l.)- 2° Développement de la folie et aperçu sur celte
affection
dans la Russie ancienne (même auteur. Ibid. 1903,
ns de polynévrite observées à L'autopsie, les auteurs, écartant une
affection
urinaire à laquelle le malade a succombé, les a
ure du principe sur lequel on cher- che à fonder la pathogénie de l'
affection
, il semble bien que la période active soit marq
catatoniques proprement dits, qui marquent si souvent le début de l'
affection
. Ces poses bizarres empreintes d'une raideur pe
tenait un bras en l'air pendant des heures entières au début de son
affection
, ne présente plus aucune de ces bizarreries dep
des représentations hallucina- toircs pendant la période aiguë de l'
affection
; et nous ne 208 CLINIQUE mentale. devons pas
es para- noïqucs lléjil âgées, qui. présentèrent au début de leur
affection
des idées hypocondriaques et de persécution à b
manifestations stéréo typiques est variable suivant les formes de l'
affection
, chaque forme étant considérée en bloc. Les c
ité des attitudes et des mouvements durant la période active de l'
affection
, perdent le plus souvent de celle fixité lors-
e. Ainsi les pseuio-stéréotypies peuvent exister dans une foule d'
affections
et favoriser des erreurs. Elles existent égalem
fixes et, clos mouvements monotones clans la forme catatonique de l'
affection
, et voici juste- ment que tous les auteurs s'ac
ion de l'égoïsme de l'hémi- plégique qui ressent plus vivement de l'
affection
pour les person- nes qui en le visitant lui app
ascendante. P. KERAVAL. Llll.- Contribution à la connaissance des
affections
mus- culaires post-typhiques ; par P. Krause. (
kymie ; par PINI. (Rivista crit. di clinica medica, 1904, n° 24.)
Affection
encore désignée sous le nom de myoclonus multiple
di clioicct med., 1904, 11 31 et 33.) Tableau d'ensemble de cette
affection
qui commence seulement à être classique etqui s
attaques se succèdent trop fréquemment. Le traitement est celui des
affections
cardiaques (digitalc, trinitrine,nitl'inc d'amyle
clinica rnedica, n° 15, 1904). La paraplégie hérédo-spasmodique,
affection
nouvellement isolée, est encore appelée diplégi
grave, chez l'autre à 22 mois à la suite d'une broncho-pneumonie. L'
affection
est ca- ractérisée par une paraplégie spasmodiq
oesophage,Elleesl fonctionnelle, car, mal- gré la longue durée de l'
affection
, la nutrition est relativement satisfaisante, l
es efforts pour faire passer les alimcnls : ils se sonl ajoutés à l'
affection
lo- cale. alors que celle-ci existait depuis bo
ayant eu pour cause occa- sionnelle un effort musculaire exagéré. L'
affection
de la moelle a préalablement, comme le dit, M.
in, indemne de svringomyé- lie. Les os du malade devaient, de par l'
affection
de la moelle. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.' 24
it l'origine (pellagre, ergofine, plomb, alcool, syphilis, diabète,
affection
organique du coeur), une fois que l'al- tératio
fluence du fonctionnement simultané de l'oeil droit. C'est donc une
affection
psychique (ligures). La révision des laits coll
gmus. Il s'agirait d'une sclérose en plaques à forme spinale. Cette
affection
ne paraît pas relever nettement d'une maladie i
raphique des réflexes plantaires à l'é- tat normal et dans quelques
affections
spasmodiques du systèmepyramidal ; par Verger e
e ; par Cornu. (1\'oLCO. Iconogr. de la Saljvlriére, : \0 2, 1904.)
Affection
avant évolué en la mois et ayant présenté à côté
laises,d'oppres- sion, d'angoisse, etc., qui accompagnent certaines
affections
viscé- rales peuvent influencer, par l'interméd
l3rrll, méd., 1904, nos 56 et j7.) Très intéressante étude de celle
affection
, qui, après avoir, été isolée par Georgetet Fer
d'une femme de 4G ans indemne d'alcoolisme, de syhltilis, Ue toute
affection
infectieuse ou toxique, qui esl malade juste pe
s puis aux mem- bres supérieurs. Après la ménopause, la marche de l'
affection
de- vint plus rapide. Au niveau des tuméfaction
nitive le pousse à se servir de son membre. L. \V. LX1. - Zona et
affections
banales de l'appareil digestif par HOUYER. (Bul
eux ohserva- valionsavec longues considérations à l'appui. Les deux
affections
sont le Hieàtre de l'angoisse qui s'installe av
ur ; parL. Bruns. Neurolog. CerttralLl. XXI, 1902.) Sur 8.500 cas d'
affections
nerveuses, 95 présentaient de la pa- ralysie de
s, et les paralysies d'un pronostic très de- favorable, dues il une
affection
delà moelle : à l'avenir de déci- der pourquoi.
kan, Aviragnet et Ul : xox. (lulletin niéclical, 10'r, a .) Celle
affection
, qui n'a pas encore été signalée, a élé vue deux
uelques faits relatifs à l'action thérapeutique du radium. Dans les
affections
purement fonctionnelles, les auteurs n'ont obte
s, confusion, onirisme, délires d'hôpital (infection, intoxication,
affections
viscérales : c) délires chroniques, psychoses s
gie normale et pathologique du système nerveux et au diagnostic des
affections
nerveuses. Elle permet en chargeant certains se
as davantage d'action sur la netteté de la sensation vibratoire les
affections
articulaires les plus profondes avec anky- lose
effet, pour myé- lite avec paraplégie spasmodique. La cause de l'
affection
provenait de plaies saignantes que le ma- lade
t apparaître plus précocement. peut légitimement figu- le cadre des
affections
de l'enfance. G. C.. LXXVI. - Narcolepsie (somm
ujet a conservé le sou- venir de ce qui se passait autour de lui. L'
affection
a débuté vers l'âge de 12 ans. * - Le malade
ours sur les travaux qui ont contribué à éclai- rer l'étiologie des
affections
mentales et leur pathogénie. Impor- tance de la
s thérapeutiques qui ont donné des résultats, si brillants dans les
affections
somatiques, dépend de l'étude exacte de l'étiol
1. Hitti, qui avaient gagné à notre collègue noire estime et notre
affection
, furent anéanties en un clin d'oeil; l'inexorab
consacré aux aliénés tubercu- leux quelleque soif la forme de leur
affection
mentale ; qu'un régime alimentaire approprié le
citer le chiffre élevé des décès par suite d'en- térite chronique,
affection
souvent dueà une manifestation dans les intesti
té de suivre la classe commune. Les enfants atteints d'idiotie ou d'
affections
contagieuses ne peuvent être admis à l'Institut
vre les mêmes malades depuis leur entrée à la première période de l'
affection
jus- qu'à sa terminaison par la mort. Ainsi nou
s 140malades, par conséquent de ceux qui ont succombé au cours de l'
affection
, comme de ceux qui l'ont parcourue tout entière
rasseront, pour les mêmes malades, toute la durée compli-ll' (1(' l'
affection
. Les voici : 422 crl ? 1 QI-le - l I.-N 1.
de suivre les paraly- tiques de l'éclosion à la terminaison de leur
affection
que. loin de rencontrer le lumineux toujours ab
t présenté une nor- malité constante du début à la terminaison de l'
affection
; par conséquent on est autorisé il poser en loi
mais l'exagération ne fut observée comme seul trouble au cours de l'
affection
, sa durée a toujours été passagère; elle fut to
s'applique aux aliments apportés par les familles, qui, malgré leur
affection
, ne font pas toujours preuve d'un choix judicie
ullaire sans dégénérescence. Pour les auteurs, la chorée serait une
affection
inflammatoire chronique qui au premier degré dé
erminent par la mort ; les troubles sensitifs sont rares dans cette
affection
. Cli- nilluement, on rencontre 3 types (Etienne
vent dans les asiles. L'envoi dans les asiles de malades atteints d'
affections
graves, fébriles, auxquelles ils succombent que
autour de son cer- cueil, afin d'en faire hommage à l'épouse dont l'
affection
illimitée l'avait toujours encouragé et aidé à
qualités qui avaient gagné à notre collègue, notre estimé et notre
affection
, furent anéanties en un clin d'a : il ; l'inexo
es anormaux votre prédilection, ainsi que le montre votre livre Des
affections
mentales des enfants. Vos travaux et votre prat
avec la véracité et le sérieux, qui a gagné notre respect et noire
affection
. Nous tenons à v ous expri- mer cordialenientii
- 312. AcnouÉCaLrE. Autopsie d ? par Gauckler et Roussy, 4.ï0.
Affections
musculaires. Con- tribution à la connaissance d
gra- phique des -plantaires à l'é- tat normal et dans quelques
affections
spasmodiques du système pyramidal, par Verger
rique des au sein de la population, par \Vyrouhow, 154. Zona et
affections
banales de l'appareildigestif, par Rouyer, 31
crises, tantôt en pseudo-névralgies en ceinture sans aucun signe d'
affection
gastrique. Pendant 9 mois, ces dou- leurs sont
n- trairement.à ce qu'on observe dans la myopathie ; cette dernière
affection
n'est pas douloureuse et ne détermine pas de tr
hizomélique a été décrite par Pierre. Marie en 1898 (1) comme une «
affection
singulière caractérisée essentiellement au point
époque il a donc pu affirmer « qu'il ne s'agit certes pas là d'une
affection
rare, mais d'un complexus morbide (1) Deux cas
de de la spondylose n'a guère pro- gressé. On ne meurt pas de cette
affection
et les autopsies en sont rares ; aussi l'anatom
duire à une notion pathogénique exacte et à une classification de l'
affection
; c'est en effet une étiologie tout à fait banale
usion a pu d'autant mieux se faire que, les causes connues des deux
affections
étant les mêmes, il a pu y avoir concomitance dan
tomie pathologique nous a démontré qu'il y a dans la pathologie des
affections
chroniques du rachis, comme de toutes les autres
ses à courbure angulaire ou brusque que l'on observe dans certaines
affections
locales de la colonne vertébrale, comme le mal
que l'on constate dans les myopathies ; or la myopathie est une des
affections
dans lesquelles on constate le plus fréquemment
de la spondylose ; néanmoins l'aspect du malade et l'évolution de l'
affection
uous avaient fait porter le diagnostic de spondyl
se. » La cyphose hérédo-traumatique est à rapprocher de différentes
affections
traumatiques de la colonne zertébale,dans lesqu
que des nouvel les recherches soient encore nécessaires, que cette
affection
, dont l'étiologie banale avait pu conduire à la
ines ankyloses vertébrales ; l'étude de la spondylose rhizomélique,
affection
relativement assez fré- quente, présente encore
ment l'appellation d'infantilisme » (Brissaud). Le domaine de cette
affection
est ainsi mieux circonscrit ; mais, malgré cela,
de la consan- guinité, une' considérable accumulation convergente d'
affections
cérébro- spinales susceptibles d'influencer la
notre malade une simple coïncidence, la rencontre fortuite de deux
affections
différentes, ce qui ne comporterait aucune inte
e de tuberculose ; un neveu est actuellement en traitement pour une
affection
tuberculeuse articulaire. Nous soulignons, ici qu
pulmonaire du père, infirmier, et de la mère qui est morte de cette
affection
. Ni frères, ni soeurs. La jeune malade a toujou
erses reprises pour de la bacillose pulmonaire, et c'est même cette
affection
qui la faisait revenir dans le service. Elle prés
i sciatique ; la malade n'est pas adénoïdienne ; on ne note point d'
affection
pleurale. La déformation est essentielle, comme
des caractères suffi- samment particuliers pour même distinguer son
affection
de la scoliose banale des jeunes filles et en f
n affection de la scoliose banale des jeunes filles et en faire une
affection
à part, plus nettement rachitique. En effet, ch
est habitué à considérer comme la signature non discutable de cette
affection
. M. Félix Regnault a déjà décrit quelques-unes
myopathies primi- tives. Nous reconnaissons pour conclure, que l'
affection
qui a atteint les deux frères est difficile à ê
iques savent en effet combien sont nombreuses les variétés de cette
affection
, dans laquelle la systématisation classique peu
dans des cas où elles paraissent complètement indé- pendantes de l'
affection
dont est mort le sujet ; ici encore, la seule dif
d'un hôpital où il avait été placé d'urgence 4 jours aupa- ravant.
Affection
en apparence aiguë. Impossible d'obtenir des rens
es (nous n'enconnassons aucun exemple dans le sexe masculin), cette
affection
ne nous paraît pas avoir beaucoup attiré l'atte
son passé pathologique, de faire le diagnostic et de séparer cette
affection
des syndromes qui peu- vent plus ou moins s'en
rossières de l'appareil musculaire la cause, l'évo- lution de cette
affection
secondaire, à la cachexie, sont assez particulièr
ciser les rapports de la paraplégie par rétractions avec les autres
affections
musculaires du vieillard. Au début de son trava
de la sensibilité, les symptômes géné- raux éloignent l'idée d'une
affection
des centres nerveux et tendent à faire admettre
s péri- phériques aucune altération. Il s'agit donc bien là d'une
affection
à siège musculaire, sous la dépen- dance d'une
écrite par B.Bail (2), du morbus climatericus de Lobstein. Dans ces
affections
, l'émaciation du sujet évolue avec rapidité, le
e dans laquelle nous sommes encore aujourd'hui sur la nature de ces
affections
cachectisantes du vieillard dont le symptôme fo
ons entreprendre la description ont plus d'un trait commun avec les
affections
dont nous venons de parler, mais cependant en r
illard. L'auteur qui, à notre connaissance, a remarqué le premier l'
affection
dont nous nous occupons et qui en a soupçonné l
t en l'absence d'autopsie, ressortir non pas au rhumatisme ou à une
affection
des cen- tres nerveux, mais essentiellement aux
yfasciculaire nous semble avoir rangé à tort dans le cadre de cette
affection
l'observation d'une malade atteinte d'une parap
auquel il nous a été possible en deux ans de recueillir 8 cas de l'
affection
que nous désirons décrire ici. Étiologie. L'é
on que nous désirons décrire ici. Étiologie. L'étiologie de cette
affection
est des plus obscure. L'âge très avancé constit
n du système nerveux. C'est après 70 ans que se développe surtout l'
affection
que nous étudions ; d'après nos observations, 6 f
cture tabétique de Démange (sclérose médullaire polyfasciculaire) l'
affection
se dissimule pendant longtemps, et l'époque de
s pressions. - Evolution. Pour être progressive, la marche de cette
affection
n'en est pas moins d'une excessive lenteur et s
illard. C'est en réalité seulement pendant la première période de l'
affection
, alors que les rétractions sont au début de leu
xaltation des réflexes tendineux, signes qui éloignent l'idée d'une
affection
à siège exclusivement muscu- laire. Au cas où
y fait constater des modifications plus ou moins notables, enfin l'
affection
ne se confine pas aux membres inférieurs, les b
oujours dans la myosite chronique. Nous ne pouvons insister sur les
affections
musculaires du vieillard, ce seraitnous exposer
itnous exposer à des redites ; il est à remarquer seulement que ces
affections
myopathiques (type de Empis, de Bail), s'accompag
manque constamment dans les autres myopathies séniles. Quant aux
affections
musculaires de l'adulte, il suffit de les citer c
troubles cardiaques importants, suffit à la différencier des autres
affections
mus- culaires et l'éloigné des myosites avec ré
externe de la jambe sont toujours bien moins altérés. Suivant que l'
affection
s'est généralisée aux quatre membres ou qu'elle e
re, analyse les deux termes histologiques caractéristiques de cette
affection
musculaire. L'alté- ration des vaisseaux est ég
conséquent le plus fragile, dans l'espèce la fibre musculaire. L'
affection
dont nous avons entrepris ici l'étude est donc bi
croissance a été particulièrement rapide consécutivement à ces deux
affections
fébriles. Grippe accompagnée d'ictère, à l'âge
accessoire. Il faudrait en arriver à considérer le tabes comme une
affection
portant une atteinte complexe à tout le système
emblables à celles du tabes, et que, par suite, dans cette dernière
affection
, lésions névritiques et ganglion- naires doiven
clinique. » Dans sa critique Ladame considère ce cas comme un cas d'
affection
syphilitique rare. Il pense qu'on peut avoir des
musies pures. Ireland (1) affirme « qu'il n'y a pas d'exemple d'une
affection
céré- brale qui prive un homme de la faculté mu
pothèse de l'os- téo-arthropathie hypertrophiante pneumique ; cette
affection
(1) s'ac- compagne de déformations des mains po
e diagnostic différentiel avec la mala- die osseuse de Paget. Cette
affection
se caractérise par « l'augmentation considérabl
s de la théorie dualiste (P. Marie) qui séparent nettement les deux
affections
, et les partisans de la théorie uniciste (Briss
aille au-dessous de la moyenne. A l'âge d'un an et demi, il eut une
affection
fébrile (méningite),avec otite suppurée accompagn
entiments de reconnaissance le droit d'ajouter son propre hommage d'
affection
et d'admiration à ceux dont M. le professeur Raph
e je me contente d'admirer avec un sentiment de vieille et profonde
affection
. Ce sentiment, tous vos amis l'éprouvent aussi
nous per- mettant de venir vous exprimer ce soir notre inaltérable
affection
et notre orgueil ; elle a été si intimement ass
d'un a Ayons eu l'occasion d'étudier un nourrisson atteint de cette
affection
, dont l'autopsie suivie d'examen histologique n
s recherché dans la littérature médicale ce qui avait trait à cette
affection
, et nous avons été ainsi amenés à faire suivre
xamen histologique détaillé qui se résume ainsi, d'après l'auteur :
Affection
symétrique et systématique de la moelle épinière,
ant, l'auteur eut l'occasion d'observer le développement de la même
affection
chez un autre enfant à peu près du même âge, ma
ous avons observées, l'évolution clinique fut très analogue, mais l'
affection
débuta plus tard et la mort survint quand l'enf
e suivi d'autopsie, mais il s'agissait très probablement de la même
affection
dans le cas n° 2, qui a trait à un frère de la
9 mois,avait présenté,vers l'âge de 9 mois également, le début de l'
affection
, puisqu'il ne put apprendre ni à marcher, ni mê
analogues. C'est en se basant sur ce fait t que Hoffmann a décrit l'
affection
comme familiale. La loi de la série, suivant l'
nérescence ; il y avait au contraire intégrité de la sensibilité. L'
affection
avait com- mencé à l'âge de 5 mois, et évolué d
ffmann, dans deux familles saines, sans tares ner- veuses,on a vu l'
affection
se développer et frapper 6 enfants sur 15 dans la
eurs ont suivi de novembre 1889 ;'1 no- vembre 1891 ; le début de l'
affection
s'était fait entre le 12e et le 18e mois de la
que, sans réaction de dégénérescence bien nette, la mort se fit par
affection
pulmonaire. A l'autopsie on constata de l'atrophi
t constaté aucune lésion nerveuse à l'au- topsie et concluent à une
affection
musculaire primitive. Tous ces cas concernent d
utre, deux autres enfants de la même famille ont été atteints d'une
affection
analogue et sont morts dans les premiers mois de
dia- gnoslic très grande qu'il pourrait y avoir parfois entre cette
affection
et celle qu'Oppenheim a récemment décrite sous
avons faite de l'enfant par nous observé, montre du moins que cette
affection
, l'atrophie musculaire chronique d'origine spin
des cornes antérieures de la moelle, et qu'il s'agit bien là d'une
affection
primitive du neurone moteur périphérique, très an
par la petitesse de sa taille et atteinte depuis son enfance d'une
affection
pulmonaire chronique. Dans quelle classe de nai
déformations en entonnoir,en carène, que l'on rencontre dans cette
affection
. Il n'existe ni nouures épiphysaires,ni courbures
me. On sait que les adénoïdiens sont des terrains tout préparés aux
affections
pulmonaires ; elle a eu des bronchites successi
le Dr Sot- tas (1), l'un de nous a rapporté deux observations d'une
affection
fami- liale, ayant atteint le frère et la soeur
pertro- phique et progressive de l'enfance donné à cette singulière
affection
. Le frère, alors hospitalisé à l'hospice de Bic
actuel il n'y a aucune analogie quelconque à établir entre ces deux
affections
. OBSERVATION Homme de trente-quatre ans. Atro
r sa mère, vers l'âge de quatre à cinq ans.) Les symptômes de son
affection
remontent à sou séjour à Berck (quatorze ans).
névrite interstitielle hypertrophique de celle du tabes classique,
affection
où, ainsi qu'on le sait, les paralysies laryngé
être très accusés et c'est encore là un caractère clinique de cette
affection
que nous tenons à mettre en relief. Aussi rappo
la sensibilité chez une femme de quia- rante-quatre ans. Début de l'
affection
dans le bas âge par une déformation des pieds,
GRESSIVE. DE L'ENFANCE 499 Quelque temps après, elle succomba à une
affection
intercurrente, le 18 jan- vier 1892. Oas. III
et atrophie musculaire chez un jeune homme de vingt ans. Début de l'
affection
entre sept et huit ans par des troubles de la m
rophi- ques cutanés. Intégrité des sphincters. Evolution lente de l'
affection
. Pas d'hérédité similaire.Frères et soeurindemn
mes, on ne peut que constater des analo- giesfrappantes entre cette
affection
et le tabes,et c'est à cette interprétation que
de cause spinale développée dans le jeune âge, plutôt que comme une
affection
spéciale caractérisée par des lésions particulièr
ndre avec ceux du ta- bes ». Pour nous au contraire il s'agit d'une
affection
nouvelle, et tout en reconnaissant les analogie
njonctive telle que celle qui constitue la base anatomique de cette
affection
. La névrite interstitielle hypertrophique et prog
i peuvent exister entre la névrite hypertrophique de l'enfance et l'
affection
désignée en France sous le nom d'atrophie muscu
s et il éprouve un certain embarras quant à la dénomination de leur
affection
. Pour nous, il n'y a aucun doute que les malades
phie musculaire type Charcot-Marie ne seraient qu'une seule et même
affection
. Nous nous pla- cerons surtout, pour réfuter ce
quel que soit l'âge des malades, quelle que soit l'anciennelé de l'
affection
. Les différences Pierre Marie ne soient atteint
fection. Les différences Pierre Marie ne soient atteints de la même
affection
que ceux dont nous venons de rapporter les obse
héréditaire de l'enfance, aucun des caractères fondamentaux de cette
affection
ne leur manque et ils ne présentent d'autre par
ntent d'autre part aucun signe qui permette de créer une nou- velle
affection
. Ici, comme ailleurs, il n'existe que des petites
CE 507 cliniques sont donc suffisamment tranchées pour que les deux
affections
ne soient pas confondues et qu'on établisse une
des observations I et II que nous avons au- topsiés. La durée de l'
affection
n'a donc rien à voir avec l'hypertrophie des ne
des racines médullaires serait une conséquence de l'évolution de l'
affection
et cette hypertrophie serait d'autant plus accu
l'autopsie de la mère et nous n'avons trouvé aucun vestige de cette
affection
, qui dans le cas présent est pure- ment familia
886). Mal de Pott lombaire sans signes rachidiens ; syn- drome des
affections
de la queue de cheval. Englobement par des masses
ance particulière lorsqu'au mal de Pott s'ajoutent ceux d'une autre
affection
nerveuse ; dans l'observation XII, la myélite syp
médullaire ; dans d'autres cas les plus nombreux on croit que cette
affection
est due à des lésions périphé- riques, enfin el
entre elle et les lésions du système ner- veux : le mécanisme de l'
affection
dans ces derniers cas est, jusqu'à pré- sent, p
vre jaune et autres maladies exotiques, bien que ce soient là des
affections
que beaucoup d'entre nous n'ont jamais rencontr
les hystériques et comment, jusque dans ces derniers temps, cette
affection
qui paraît, quoi qu'il en soit, être un fait as
ans la face, est un argument en faveur de la nature hystérique de l'
affection
: car bien que la paralysie hystérique puisse o
rects (le père et la mère étaient cousins). Le père est mort d'une
affection
hépatique; la mère a une santé délicate; une soeu
Seulement ce n'était pas une lésion organique qui avait déterminé l'
affection
, mais sans doute certains changements survenus
accorder aux lobes occipitaux 2, Unverricht soutient que de pures
affections
locales (tumeurs, abcès) des régions postérieur
réalité que des manifestations d'épilepsie larvée, et que ces deux
affections
sont les symptômes des mêmes états pathologique
t-elles, l'une et l'autre, que deux formes différentes d'une même
affection
? Que l'on compare quelques-uns des caractères qu
thète se conçoit de soi) dans la pa- ralysie myélitique et dans les
affections
spinales spasmodiques; 2° une forme paradoxale
ovenance; - 20 un cerveau d'une prostituée de dix-huit ans, morte d'
affection
fébrile ; 3° un cer- veau de paralytique généra
totalement. 3. M. S. Kiriltsef. Contribution ci la casuistique des
affections
de la couche optique . Les symptômes suivants o
iques. , - Séance du 18 janvier 1891. 1. M. Douurovine. Cas d'une
affection
psychique post-typhoïde. Un prêtre, âgé de 41 a
que, comme sur des phénomènes appartenant plus particulièrement aux
affections
post-typhoïdes. Le Dr Korsakof saisit cette occ
le. D'autres au contraire, notamment les masturbateurs, voient leur
affection
s'aggraver par la solitude. C'est au fond une q
CHOUTâOVS61 (Odessa). M. lIfINOR a fait une communication « sur les
affections
symétriques et pseudo-systématiques de la moell
l'alcoolisme) et les symptômes oculaires étant possibles dans cette
affection
à titre d'un phénomène indépendant, on peut suppo
à celles qu'on rencontre dans le tabes, l'alcoolisme et les autres
affections
toxiques du sys- tème nerveux. La méningite syp
milieu d'autres signes) aider le diagnostic différentiel entre les
affections
anatomiques et fonctionnelles du système nerveu
ne principal de l'application de l'hypnotisme est constitué par des
affections
nerveuses fonctionnelles dans lesquel- les il p
radical. L'hypnotisme peut donner des résultats favorables dans les
affections
présentant des troubles locaux ayant pour cause
us concluons que l'interven- tion d'un traumatisme à l'origine de l'
affection
qui nous occupe, n'a rien de contraire à l'hypo
ensitif anormal, mais il faut compter avec les inconnues de cette
affection
et une sembable anomalie ne saurait suffire, si
non, cette dissociation n'appartient pas en propre à cette dernière
affection
. Plusieurs observa- tions en démontrent l'exist
con- comitante. On peut l'employer sans inconvénient quand il y a
affection
cardiaque. P. KÉRAYAL, REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
ble pour la maladie dans le cours de laquelle est apparue une autre
affection
. Cependant en médecine mentale, les cas de guér
initiale, c'est un succé- dané de l'hyoscine, surtout quand il y a
affection
du coeur et des 'gros vaisseaux; il est meilleu
ques pour mériter de ne pas être confondu plus longtemps avec cette
affection
; 3° d'autres établissent une distinction très
fait défaut, et la clinique nous paraît insuffisante dans l'étude d'
affections
où la lésion cérébrale joue un rôle aussi consi
lysie générale plus on les trouve. On peut donc la considérer comme
affection
dégénératrice, non de l'individu, mais de l'esp
mettre à l'étude le rôle de l'hérédité dans l'étio- logie de cette
affection
. » M. Combemale rend compte de ses expériences
excitabilité musculaire est portée à son maximum. 5° La marche de l'
affection
est également caractéristique ; les rémis- sion
générales qui offrent un moyen pratique de classer en cliniques des
affections
d'un dia- gnostic délicat sans préjuger de leur
donc à croire que c'est là le substratum anatomique essentiel de l'
affection
. Cette lésion de la cellule doit être mise à l'ét
t des accidentels, ayant souffert au moment d développement d'une
affection
infectieuse qui a frappé leur système nerveux.
it de l'inter- vention chirurgicale. L'incurabilité habituelle de l'
affection
, l'inef- ficacité reconnue du traitement intern
rnets est d'une grande fréquence, d'autant plus remarquable que ces
affections
sont relativement rares chez l'homme sain d'esp
ive et'la géné- ralisation des tioubles sensoriels. Au début de son
affection
, notre malade ne se plaignait que des hallucina
ouvent intéressés. -3° D'une façon générale, les aliénés atteints d'
affections
oculaires présentent des hallucina- tions. - 4°
ntent des hallucina- tions. - 4° La proportion d'aliénés atteints d'
affections
oculaires est d'environ un tiers. 5o L'examen o
ment plus fréquents que les psychopathies produites par toute autre
affection
fébrile aiguë. Les troubles psychiques se produ
varie ; elle ne porte en aucune façon le cachet de l'influenza. Ces
affections
, de courte durée, se ter- minent par la guériso
ntervienne, il réagit par une psychopathie. Une psychopathie ou une
affection
mentale.a donc d'autant plus de chances de se d
ns une monographie basée sur l'observation de douze cas, décrit une
affection
caractérisée par des mouvements de la tête asso
vec un mouvement des yeux plus rapide) que jamais. Enfin, lorsque l'
affection
a été d'une certaine durée, on a noté un change
ous l'influence de causes occasionnelles quelconques. La durée de l'
affection
, de huit à douze mois probablement, ne peut êtr
ts étant encore en observation. Quelle est donc la nature' de cette
affection
? L'excitation réflexe de la période active de la
entition n'est pas dans une période active, on ne peut ranger cette
affection
parmi les troubles de la dentition. Les traum
volontairement : c'est précisément ce qui se produirait dans cette
affection
où il y aurait un désordre des mouvements, une pe
l'auteur affirme de quel- ques-uns, c'est-à-dire de rattacher cette
affection
à l'épilepsie. Ce serait un nouveau point de re
Du reste, les points de ressemblance ne manquent pas entre les deux
affections
: mouvements de salut de la tête, nystagmus, ch
teur, après avoir dit que grande était la différence entre les deux
affections
, insistât sur le diagnostic. Un dernier fait en
gynécologie : Dr Pautzer : rapports de la maladie de Basedow et des
affections
génitales chez la femme. Section de neurologie
voit alterner le tabes et le diabète, de telle manière que ces deux
affections
semblent se rattacher à une causa commune qui l
plexe et que Duckworth 3 regarde la goutte et le diabète comme deux
affections
du système nerveux. Si l'étude que nous venons
autrement nette et précise. Le délire de persécution n'est plus une
affection
distincte; il n'est que la seconde période, la
roupes : pour la plupart des cliniciens, elle s'explique bien par l'
affection
des fibres trophiques du nerf trijumeau; pour l
fois elle est accompagnée, tout le tableau clinique se réduit à une
affection
du nerf sym- pathique. Nos connaissances de la
saurait presque douter que dans tous les cas cités, il s'agit d'une
affection
périphérique intéressant une ou plu- sieurs bra
Dans tous les cas de cette catégorie, il s'agit, je crois, d'une
affection
du nerf trijumeau d'origine intracranielle, le ca
rf trijumeau d'origine intracranielle, le carac- tère même de cette
affection
ainsi que la localisation se distin- guant par
ces formes d'hémiatro- phie faciale qui pouvaient s'expliquer par l'
affection
de la Ve paire. Mais il serait facile à démontr
manière concluante, que l'atrophie de la face peut dépendre d'une
affection
du nerf sympathique; en même temps, elles se ra
s bientôt des phénomènes atrophiques. Le caractère vaso-moteur de l'
affection
s'y traduisait par cela encore que quelles que
élevée, etc.), cette dernière ne s'observait que du côté opposé à l'
affection
, le côté affecté restant toujours pâle et sec.
dans notre cas, contribue éminemment à éclaircir le caractère de l'
affection
, c'est que le processus atrophique com- prend n
en reçoit du plexus brachial. En coordonnant cette divergence de l'
affection
aux phéno- mènes vaso-moteurs indiqués ci-dessu
héno- mènes vaso-moteurs indiqués ci-dessus, c'est surtout dans l'
affection
du nerf sympathique que, dans le cas présent, il
358 clinique NERVEUSE. d'autre part aucune maladie antérieure. L'
affection
dont l'enfant souffre est la conséquence d'un a
e, morte quand il avait dix ans; il ne sait de quoi; elle avait une
affection
abdominale depuis huit mois. [Grands parents pa
a expérimenté le sulfonal sur un grand nombre de malades atteints d'
affections
diverses, il administrait ce mé- dicament à des
e. Schwalbe, expérimentant le sulfonal chez des su- jets atteints d'
affections
diverses a obtenu le sommeil 7 fois sur 10 et t
mnie nerveuse. Le résul- tat était incertain ou peu marqué dans les
affections
organiques. Le médicament réussit bien chez l'e
pagnent REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 397 les
affections
mentales. On doit l'administrer à doses massives
. XXX. DE l'incertitude CONVULSIVE DES pupilles (hippus) dans LES
affections
du système nerveux central; par 0. Damsch. (Neuro
t d'autres anomalies oculaires, dans la sclérose en plaques, et les
affections
cérébrales en foyer chez les neurasthéniques, i
ie de la bandelette optique et du nerf optique du : côté opposé une
affection
eu foyer qui détruit la substance blanche du même
écédé d'un an le début de la paralysie générale et où la durée de l'
affection
a été respectivement de douze et treize ans, l'
ne sont donc pas par elles-mêmes une cause déterminante de cette
affection
. Que trouvons-nous parmi les autres causes de la
observation) l'auteur a trouvé six ostéomalacies (5 F. 1 IL) dont l'
affection
organique avait passé inaperçue. C'est tout ce qu
de latétanie et de la psychose. La tétanie n'est pas simplement une
affection
spinale; en effet on observe bien souvent de la
UELQUES MOTS sur l'association DES névroses fonctionnelles AVEC DES
AFFECTIONS
ORGANIQUES DU SYSTÈME NERVEUX ; par H. OPPP : N
te évolution, dont on ne trouve pas clairement l'étiologie, est une
affection
épileptique; c'est dans cette direction qu'il f
L'INFLUENCE DE l'onde DES courbes menstruelles sur l'évolution DES
AFFECTIONS
cÉnÉJJRO-PSYCIIIQU¡ : S; par SCUUELE. (Allg. Ze
n n'a pas remarqué de manifestations ayant pu être imputées à cette
affection
. En revanche, plusieurs personnes décrépites so
agit d'un épileptique mort à quarante-huit ans d'état de mal. Cette
affection
, qui le han- tait depuis l'âge ,de quatorze ans
e ou femme, qui, lorsqu'elle sort d'un asiie d'aliénés guérie d'une
affection
mentale se trouve elle seule, sans amis et sans
ies. On sait combien l'évolu- tion, et par suite le pronostic d'une
affection
mentale diffèrent selon qu'elle frappe ou non u
ntérieures, histologie des - , par Kronthal, 399. Couche optique,
affections
de la -, par Kiriltseff, 138. Crâne, tumeurs
évrose traumatique, et aliénation mentale, par Richter, 227; - et
affections
organiques du système nerveux, par Oppenheim, 4
ycéphalie, ne pouvant pas donner une définition suffisante de cette
affection
, je me permettrai ici d'envisager un véritable
étudiée principalement par les ophtalmologistes qui ont envisagé l'
affection
surtout dans ses rapports avec les altérations
, avant la synostose des sulures, le tableau symptomatique des deux
affections
est parfaitement identique. (1) Loc. cit. (2)
. Le malade affirme, toute- fois, qu'il n'y a pas dans sa famille d'
affection
pareille à la sienne, ni d'affec- tion nerveuse
llard, sans s'être jamais plaint d'aucun symptôme rattaclable à son
affection
. Il était d'intelligence nor- male, d'humeur pa
le diagnostic de tumeur cérébrale, mais où plus tard la marche de l'
affection
ou l'autopsie même sont venues démentir ce diagno
nostic exact. Chez tous les deux il s'agit de la méningite séreuse,
affection
assez bien connue depuis les travaux de Quincke
s les cas de méningite séreuse et d'hydrocéphalie acquise. Mais ces
affections
, quoique les plus fréquentes, ne sont pas les seu
u tout un fadeur pouvant contribuer à élucider l'éliologie de cette
affection
. Nous sommes des partisans convaincus de l'élio
chronique décrites par Rehn, considère comme cause principale de l'
affection
, un processus inflamma- toire chronique de la t
nos deux cas ainsi que l'examen des plexus choroïdes dans diverses
affections
cérébrales, nous pensons être en droit de nous
variétés intermédiaires les formes syndromiques d'une seule et même
affection
consistant anato- miquement dans l'atteinte des
dies graves de l'enfance ni de traumatisme crânien. Le début de son
affection
nerveuse n'a pu être déterminé, un fait du moin
par essence trop contingent pour servir de carac- téristique à une
affection
nerveuse. Il n'en est pas de même du caractère
teinte de plusieurs membres de la même famille ne prouve pas qu'une
affection
ne soit pas héréditaire; or, l'hérédité manque
On a vu quel legs vé- sanique notre malade a hérité de sa mère. L'
affection
de J... doit vraisemblablement être considérée co
de la substance blanche. Anatomiquement donc, comme cliniquement, l'
affection
de J... se rap- porte hien au syndrome d'hérécl
taxie héréditaire, Raymond pense que les deux formes types de celte
affection
, spinale de Friedreich et cérébelleuse de Marie,
culaire ; nous savons de plus que dans sa première phase, c'est une
affection
systématique, c'est-1- dire qu'elle attaque éle
seraient causées et entretenues, comme le labes, à la manière d'une
affection
parasyphiiitifiue ; ou bien elles seraient direct
Ù entretenir les crises gastriques chez les malades atteints d'une
affection
nerveuse qui, elle, est nécessaire^ Quelle est
est au-dessus de la moyenne. La mère est morte, il y a trois ans, d'
affection
inconnue. Elle était également d'une assez haut
'autres anomalies orientent le diagnostic du côté de cette dernière
affection
. Les fontanelles non soudées avec un certain de
ons pre- mières et de l'aspect qu'elles ont pris dans le début de l'
affection
. Il n'y a qu'à se reporter aux deux photographi
roubles concomitants, ni les différents facteurs de ces différentes
affections
. Ce n'est pas non plus, semble- : t-il, une mél
tégrité des os du -nez existe encore ; déformation qui prouve que l'
affection
est en évolution et qui s'accorderait avec l'opin
ur légitimer ce diagnostic étiologique. Il y a très longtemps que l'
affection
évolue,mais des exemples d'une durée encore plu
ES AGI-IILLLL\T3 ET DES RÉFLEXES ROTULIENS . , SANS AUTRE SIGNE D'
AFFECTION
DU SYSTÈME NERVEUX PAR le D' Louis DUPUY, M
flexe est associée à d'autres troubles et peut être rattachée à une
affection
déterminée, tabès ignoré par exemple. Un examen
ratique. Lorsqu'un homme présentant cet état vient à contracter une
affection
nerveuse ou susceptible d'intéresser le système
ttribuer à tort l'abolition des réflexes à la symplomalologie d'une
affection
. Il y a lieu de remarquer la lenteur avec laque
de fréquence avec l'âge s'il augmente la mortalité ou est lié à une
affection
augmentant la mortalité. Il ne peut augmenter de
ens ou rotuliens est une abolition pathologique. L'une des diverses
affections
, des nerfs, des racines ou des centres nerveux,
jour où elle est constatée, la seule expression clinique, soit que l'
affection
ait toujours été et doive toujours rester monos
ouble; elles ne comprennent donc pas les cas d'abolition liée à des
affections
plus avancées qui ont obligé l'homme à quitter
sa vie : ce sont elles qui sont essentiellement intéressées dans l'
affection
post- méningée par excellence, le tabes. Dans
é rigoureusement monosymptomatique et l'il'l'éf1ectivité liée à une
affection
déterminée, sciatique dans l'espèce. OBs. IX. -
dans la cavalerie (3,03 en 1905, 3,04 °/0 en 1906) ; cette dernière
affection
cons- titue une des causes les plus communes d'
rotulien. Dans quelques cas, uu examen clinique complet décèle une
affection
organique du système nerveux, soit jusqu'alors
blennorragie, à la syphilis, à la tuberculose, à l'alcoolisme, aux
affections
intéressant l'intestin et ses annexes (foie, ap
ou- bles dont le sujet ne songe pas à se plaindre, peut révéler une
affection
nerveuse. Sa recherche doit faire partie de la
'infection et d'intoxication, peut faire découvrir à leur début des
affections
de pronostic sérieux, et permettre d'appliquer un
l'une de ces tares. Il n'est point douteux que quelques-unes de ces
affections
devaient exister chez les ascendants de notre m
cet homme s'était présenté plusieurs fois à l'hôpital pour diverses
affections
banales ; il avait été examiné, soigné, il avait
d'un homme âgé de 40 ans présentant les princi- paux symptômes de l'
affection
décrite par Marie et Sainton sous le nom de dys
ois enfants dont deux sont bien portants : l'autre a succombé à une
affection
pulmonaire qui a duré 6 mois. Histoire de la ma
aractères anato- miques, elle se rattache à la fois à ces dernières
affections
et à la névrite interstitielle hypertrophique d
sans RD. Dtihnhardt interprétait la première observation comme une
affection
de nature myopathique, ressemblant au (1) Neuro
sseuse des fibres striées. Dans l'observation Il du même ouvrage, l'
affection
, qui est familiale, avec début dans l'enfance,
'après lui, l'atrophie musculaire progressive se présente comme une
affection
primitive et de dégénérescence du segment inférie
dans le cas où l'atrophie commence dès le jeune âge, et alors cette
affection
est la conséquence d'une tare originelle (mala-
ornes antérieures, est celle qui se réalise régu- lièrement quand l'
affection
commence pendant t'age mûr. Or, dans le cas d'h
d'admettre la seconde hypothèse, d'après la- quelle il s'agit d'une
affection
primitive du neurone spino-musculaire. Et cela
es avec une ma- ladie de Paget localisée à la jambe droite. Comme l'
affection
était nette- ment d'origine traumatique et comm
ière ; nous avons préféré attendre quel- que temps pour savoir si l'
affection
s'étendrait ou nonets'onenteraitvers la maladie
la maladie de Paget ; or c'est bien vers la maladie de Paget que l'
affection
semble aujourd'hui évoluer. Voici l'observati
lade marche en portant en dehors la pointe du pied (PI.XLVIIf). L'
affection
se trouve donc uniquement limitée au membre infér
arc dont le membre inférieur gauche serait la corde. Le début de l'
affection
remonte nettement à un traumatisme : il y a 26 an
une « bosse » douloureuse, qui persista seule pendant S ou 6 ans. L'
affection
progressa alors lentement de haut en bas ; elle c
nant le plus souvent de deux cannes. L'origine traumatique de cette
affection
semble peu discutable : le malade est formel, l
nées après le premier (cas de Pozzi,de Fréchau,elo...). A une telle
affection
tantôt généralisée, tantôt étroitement localisée,
lus en plus à faire rejeter l'unicité de cause dans la genèse d'une
affection
donnée. Il est dès lors facile de supposer que l'
poser que l'os- téite déformante a, elle aussi, comme tant d'autres
affections
, des causes diverses produisant des effets anal
formante, etc., loc. cit. 342 LER) ET LEGHOS la conséquence d'une
affection
locale quand elle est nettement localisée : or
dans la formation des cavités et même clans la pathogénie de cette
affection
. L'un de nous a insisté sur ce point, il y a qu
maladies fran- chement inflammatoires du système nerveux une seule
affection
, dans la- quelle les lésions vasculaires ou les
nt de vue névrosique, n'avait présenté antérieurement aucune de ces
affections
fébri- les, souvent convulsives, du jeune âge,
le apparut pour la première fois à un âge avancé et sous la forme d'
affection
com- primante de la moelle, et suivant son cour
r; parlant de la compression dans le mal de Pott, prétend que celle
affection
peut surgira tout âge; toutefois son apparition à
té, lâche de distinguer plusieurs formes cliniques principales de l'
affection
et d'en compléter la symptomatologie. Le cas ci
uvera quelles difficultés présente parfois un exact diagnostic de l'
affection
. Observation. Ch. K..., 72 ans, entré le 16 f
les symptômes ci-dessus pouvait faire penser qu'il s'agissait d'une
affection
progressive comprimante dans la di- rection tra
ibilité à limite circulaire comme cela a lieu généralement dans les
affections
transversales de la moelle. Au début, il n'y av
ce pouvant suggérer l'idée que l'action compressive dépendait d'une
affection
tuberculeuse des vertèbres cervicales ou bien d
quer ; elles peuvent pendant long- temps être le seul symptôme de l'
affection
et apparaissent sous des formes CARIE DES VERTÈ
illard était dans no- tre cas, au cours de la première période de l'
affection
, impossible à poser. Dans le cours subséquent d
urait souffert de rhumatisme articu- laire et mourut à 69 ans d'une
affection
cardiaque. La mère aurait souffert longtemps de
ique entre la spondylose rhizomélique de Pierre Marie et les autres
affections
similaires. Mais malgré tant de travaux, l'acco
e pneumonie. Ils ne souffraient pas de rhumatisme ni d'aucune autre
affection
méritant mention. La malade a eu trois frères : u
réflexe radial conservé, le réflexe cubital diminué. Le début de l'
affection
s'est fait de façon lente, progressive et à peu p
rée de la graisse intra-nerveuse. 438 P. MARIC ET FOIa Début de l'
affection
il y a 18 ans sans douleur par la main gauche qui
nction lombaire. Elle présente une atrophie tbénarienne droite. L'
affection
a débuté il y a dix ans. A ce moment, la malade r
ptômes existent, associés à une atrophie thénaro-hypothénarienne, l'
affection
sera généralement évolutive ; et l'extension pr
n- dant les rapports de l'hypertrophie hypophysaire et de certaines
affections
qu'on serait d'abord tenté d'appeler all'ection
enfants bien portants. Au mois de mai dernier, elle eut une petite
affection
fébrile, u'ayant d'ail- leurs duré que quelques
I. - Ceci pourrait déjà constituer quelques rapports enlre les deux
affections
, puisque la première impose à la seconde sa forme
'à la partie supérieure du rectum, représentait une des formes de l'
affection
connue sous le nom de méga- côlon. Comme on l
ée aux jambes, aux cuisses et aux fesses, la marche ascendante^de l'
affection
, l'impossibilité du pincement, l'absence de godel
Après cette discussion nous ne citons que pour mémoire les diverses
affections
avec lesquelles on pourrait à la rigueur confondr
as (1) pour faire immédiatement le diagnostic. Les oedèmes liés aux
affections
des veines, du coeur ou du rein sont mous, ou d
ut aménorrhéique pendant 6 mois. C'est à cette époque qu'a débuté l'
affection
ac- tuelle par de l'amaigrissement (perte de 10
le trophaedème d'Henry Meige, l'adipose douloureuse de Dercum, les
affections
intermédiaires entre ces deux syn- dromes, cert
es régions inguinales (Pl. LXVI). Dans la région ceraico-faciale, l'
affection
est constituée par de volumi- neuses tumeurs ;
u- tres théories qui ont cherché à expliquer la pathogénie de cette
affection
. Mais il faut bien dire que cette pathogéhie de
de ganglions proprement dits. ' Quelle que soit l'étiologie de l'
affection
qui nous occupe, elle répond à un type clinique
ET FASSOU Ce qui fait surtout l'intérêt de ce malade, c'est que son
affection
cons- titue un des cas les plus typiques d'adén
illéens (Absence des - et des réflexes rotuliens sans autre signe d'
affection
du système nerveux), par Dupuy, 153. - rotuli
6. - (Absence des réflexes achilléens et des z sans autre signe d
affection
du système nerveux), par Dupuy, 153. Spondylo
réflexes achilléens et des réflexes rotuliens sans autre signe d'
affection
du système ner- veux, 153. 1<'.\S50U et Tr
e grossesse de la femme du malade a coincidé il y a sept ans avec l'
affection
rhumatismale dont lui-même fut atteint. Elle s'
our les admissions, en raison de l'intérêt que présentent certaines
affections
incurables. Pour avoir un matériel clinique nom
traité 10 malades, parmi lesquels 48 nerveux, 37 sujets atteints d'
affections
organi- ques du système nerveux et 20 aliénés.
mis peuvent être classés ainsi au point de vue de la nature de leur
affection
: CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIE
psychiques ? 4° Observe-t-on des phénomènes d'automatisme ? 5° L'
affection
dont il est atteint est-elle continue ou intermit
ent vis-à-vis de ses enfants. Pas de migraines. Pas de dartres ou d'
affections
cutanées. Aucun indice de syphilis. W renseigne
t pas remar- qué de rumination` ? -Aucun signe de connaissance et d'
affection
. La mère, à qui il ressemble, dit-elle, attribu
troisième cas a trait à l'hydrocéphalie interne idiopa- pathique. L'
affection
a débuté soudain. La malade, une femme de soixa
Simpson. (The Journal of Mental science, juillet 1902). C'est une
affection
rare : l'observation et l'autopsie suggèrent à
ments, moitié par signes, à se faire comprendre ; il succomba à une
affection
pulmonaire chronique. Le professeur Heid, d'Abe
mique. Suit ensuite l'observation d'une malade atteinte de cette
affection
qui a pris pendant deux mois plusieurs pilules pa
ie avec aphasie de nature hystérique : de par le mode de début de l'
affection
, de par sa marche, de par l'apparence symptomat
de l'aphasie hystérique. Ce sont les bizarreries dans l'aspect de l'
affection
, dans son évolution, l'état mental particulier
du visage ou tics des membres. Elle n'est pas moins utile pour les
affections
qualifiées de cram- pes fonctionnelles. Dans le
ÉTÉS SAVANTES. La même méthode est applicable aux sujets atteints d'
affections
paralytiques. Rien ne saurait être plus préjudi
ains et de bouffons, où il est possible de reconnaître les traces d'
affections
morbides aujourd'hui bien connues ; les uns sont
phénomènes hystériques occupent le premier plan et masquent ainsi l'
affection
concomitante, soit que celle-ci au contraire, a
ort intéressant c'est l'état mental des individus atteints de cette
affection
. - · Cet état mental, le plus fréquemment obser
r Robin. La surdi-cécité peut se rencontrer dans l'hystérie : cette
affection
est simplement simultanée et transitoire; elle
es; enfin il n'est pas possible de comparer les divers cas de cette
affection
entre eux. C'est dans ce but que nous avons aut
njtt- gaison, l autre pur le périoste, est une caractéristique de l'
affection
. Nous l'avions déjà constatée sur le crâne, nou
Lyon, 19 février 1902). 1 M. Devay s'élève sur la conception des
affections
dites parasy- philitiques qui aboutit à une sor
la plupart des médecins obtiennent dans le traitement de beaucoup d'
affections
nerveuses sont probablement dus à l'emploi de d
02). Le torticolis spasmodique dont l'auteur s'occupe ici est une
affection
d'ordre purement névropathique, n'ayant rien de c
Journal, 15 mars 1902). L'auteur rapporte une observation de cette
affection
aussi rebelle que douloureuse, et de laquelle i
est une sorte de contraste entre la symptomatologie mobile de cette
affection
et l'uniformité du traitement qu'on lui oppose. A
ême observation pour l'intoxication saturnine (Devouges, Régis); 3°
Affections
viscérales. On sait que le délire hypochondriaque
tion à gauche), sont à considérer. Il est difficile de croire à une
affection
rénale primitive génératrice de la myasthénie,
de la déglutition survient à l'âge où se développent la plupart des
affections
analogues, c'est-à-dire les amyotaxies sauf le
xieuse relative à l'opération même, ou sous l'influence, soit d'une
affection
organique objective de l'appareil intéressé, so
uire, au moins s'y,loindre, mais toutes deux peuvent dépendre d'une
affection
organique ou fonctionnelle différente. D'ailleu
pliigie ? était développée et avait évolué au fond comme toute auue
affection
analogue amyota- xique. Ses modalités permetten
mpositeur d'imprimerie de vinLL-quatre ans, saturnin, atteint d'une
affection
musculaire chronique progressive caractérisée p
étudié la coloration du liquide céphalo-rachidien dans différentes
affections
. Des observations publiées par ces au- teurs se
, en raison de l'absence des deux manifestations initiales de cette
affection
, abolition du réflexe rotulien et douleurs fulgu-
ATHOLOGIE NERVEUSE. 167 î devient l'«sthénie bulbo-spinale et cette
affection
se rapporte à un complexus symptomatique ayant
ngibles. Les manifestations sensitives font défaut. Il s'agit d'une
affection
essentiellement motrice : ptosis, paralysie des
Sur les coupes de l'écorce du cerveau des sujets ayant succombé aux
affections
les plus diverses, spécialement à celles qui entr
euse, infiltration noduiaue des nerfs. On peut par suite dénommer l'
affection
7zett,ofib-osa)-cot ? z(ttose. Elle offre une g
pas non plus que l'absence d'épilepsie per- mette de distinguer une
affection
spinale d'une affection céré- brale dans le typ
ce d'épilepsie per- mette de distinguer une affection spinale d'une
affection
céré- brale dans le type de Little. Par analogi
extension des orteils fait défaut, ce qu'arrive queiquefoitdans les
affections
pyramidales. Phénomène de Slrumpel. 11111. ll
on est exceptionnelle en dehors des deux cas suivants : A) dans les
affections
du système nerveux : il n'a cependant pas dans
e est envisagée aux points de vue les plus divers : tour à tour les
affections
de la queue de cheval et du cône terminal, les
oses toxiques, psychoses par auto- toxication, psychoses citées aux
affections
cérébrales, psychoses d'involution, psychoses i
maladie des tics ; guérison ; P.n COITIi\E'ILI,1 : eT POULITtD' L'
affection
nerveuse désignée par Chariot sous le nom de ma
nce, mort de tuberculose. De ! ? : t-soeM;' paternelle, morte d'une
affection
du cerveau. Pas de consanguinité. Inégalité d'a
t, se ferment vigoureusement (ces tics ne sont légitimés par aucune
affection
des paupières ni des yeux) et en même temps les
tatonie ne serait qu'un syndrome morbide commun à toute une série d'
affections
mentales et nerveuses. Enfin un troi- sième gro
n un troi- sième groupe d'auteurs y voient seulement une phase de l'
affection
démentielle particulière, dite démence précoce.
ard de données précises. En dehors de la symptomatologie de cette
affection
, qui a fait, l'objet de nombreuses descriptions,
s'il était démontré que la démence précoce constitue réellement une
affection
indivi- duelle, reconnaissant des causes propre
nels et héréditaires du sujet quelle pouvait être la cause de cette
affection
, je ne rencontrerai d'abord que le néant. Cep
rises épilepti- formes survenant dans la forme catatonique de cette
affection
, et dont nous avons, M. Meeus et moi, observé c
hare). M. R. VEREOOGEN (de Bruxelles). Dans 8 cas de tabes avancé
affection
que M. Klippel assimile à la paralysie générale a
le est toujours abaissée chez les myxoedémateux. -Cause delà mort :
affections
pulmonaires, sur- tout tuberculeuses. Dans cinq
nt présenté une fracture spontanée des os de la jambe au début de l'
affection
. M. Marie, à propos de la communication de M. L
les voir s'exagérer et devenir le symp- tôme le plus saillant de l'
affection
. C'est un cas de ce genre que Lannois rapporte.
ons organiques, qu'il guérira. Il faut l'encou- rager moralement. L'
affection
psychique doit être guérie par un traitement ps
nnels que l'on découvre sur leur personne, restes le plus souvent d'
affections
cérébrales de l'enfance ou de la puberté. Or D.
vropathique en sont justiciables et il faudrait énumérer toutes les
affections
mentales et nerveuses pour exposer les cas SOCI
ns les psycho- névroses. A son avis, le traitement rationnel de ces
affections
doit être exclusivement psychique. M. LALANNE
écu un peu plus de deux mois au début de SOCIÉTÉS SAVANTES. 333 l'
affection
, il est difficile de dire, d'après nos préparatio
manger spontanément; ou mortelle, par marasme progressil ou plutôt
affection
intercur- rente. Suit l'observation d'un indi
qu'à ce jour que pour une part minime dans l'étiologie des diverses
affections
qui se sont partagé les dépouilles de l'ancienn
et notée dans les observations, soit qu'elle ait coïncidé avec une
affection
reconnue aujourd'hui d'origine toujours ou pres
pt à quinze ans après le chancre, délai tout à fait normal pour les
affections
médullaires tertiaires et qui est en particulie
me mental. t M. Ernest DiilR (de Paris). J'ai observé, au cours d'
affections
cérébrales très variées (tumeurs et abcès encép
des psychoses, la coïncidence d'une de ces maladies mentales avec l'
affection
médullaire ne présente pas un très grand intérê
nés et troubles sphinctériens. Quelque temps après le début de l'
affection
, l'entourage du malade s'aperçut que son caract
u'il avait de mettre un terme à ses jours. Au sur et à mesure que l'
affection
évoluait, il devenait de plus en plus sombre ;
a psychose, d'autre part un autre lien rattache selon nous les deux
affections
et il est tout naturel de penser que les mêmes
du sommeil dépend du genre et de la phase de la maladie. Dans les
affections
chroniques, il n'obtient de bon résultat qu'au mo
à ce propos la photographie stéréoscopique d'enfants atteints d'une
affection
différenciée dans ces derniers SOCIÉTÉS SAVANTE
ntrevoir une même cause originelle aux symptômes communs à ces deux
affections
. D'autre part, la pigmentation cu- tanée a été
s variations individuelles. Selon le sujet, selon l'ancienneté de l'
affection
, selon l'intensité de la crise, on voit prédomi
enseignements touchant l'étiologie, l'évolution, la résistance de l'
affection
aux agents thérapeuti- ques. Une forme spécia
nique et dont le spasme facial n'est pas plus exempt que les autres
affections
. L'hystérie ou toute autre névrose ou psychose
toute autre névrose ou psychose n'est pas une sauvegarde contre les
affections
organiques, et le spasme facial- est de ce nom-
mesure efficace pour enrayer la marche croissante de cette terrible
affection
, en attendant la création de sanatoria spéciaux
a propreté la plus méticuleuse, afin d'éviter à nos malades toute
affection
secondaire ou complication, et de protéger en m
ns à la malade, à maintes reprises, qu'elle n'est pas en- ceinte, l'
affection
continue à évoluer progressivement, les idées d
iques généraux déjà arri- vés au moins à la seconde période de leur
affection
. L'acuité visuelle, difficile du reste à appréc
traitement : les autres se rapportaient généralement au début de l'
affection
. Par suite, si chez des personnes soupçonnées d
es tendineux et de la valeur diagnos- tique de ce symptôme dans les
affections
nerveuses, par V. de l3ECnrEnEw. (Neurolog. Cen
observés, ils éclairciront certainement le diagnostic de plusieurs
affections
nerveuses dans lesquelles s'observent des phéno
z ces malades des conditions vanées, mais on sait que sauf dans les
affections
midullaires, ce sont des guides peu sûrs. L'abs
rolongée qui aboutit à la mort. La pellagre se complique toujours d'
affections
parasitaires (ravu., anchylostome, distome de D
déjà ancienne, des eaux de Lamalou, dans le trailemeul de certaines
affections
, particulièrement fréquentes du système nerveux
torité l'emploi des eaux de Lamalou dans le traitement de certaines
affections
nerveuses et surtout de l'ataxie locomotrice, m
oup de couteau ? ' , Puis, comment expliquer la deuxième étape de l'
affection
. étape au cours de laquelle la paraplégie était
résulte de l'exa- men même d'un malade à différentes étapes de son
affection
. En voici un exemple pris chez un mélancolique
pronostic. Le logique est surtout le Git des délires systématisés,
affection
chronique. Pour le décousu, il faut bien s'assu
démentiel. Ils se rapprochent alors des monologues se reliant à des
affections
dénotant des troubles plus ou moins accentués d
ix basse, puis à voix haute dans une seconde phase. Au début de son
affection
il ne soliloque que dans la solitude, plus tard
ucinations unilatérales disparurent consécutivement à la guérison d'
affections
de l'oreille du même côté. Il existe par cons
on d'un examen approfondi de l'organe périphérique homoiatérat. L'
affection
une fois reconnue, son traitement aura le double
On a enregistré de 1888 à 1898 une augmentation accentuée de cette
affection
; 2° elle a progressé relativement plus vite chez
dans les vingt à vingt-cinq der- nières années, on a remarqué que l'
affection
tendait à atteindre des individus plus jeunes,
nerveux, aux modalités moyennes intermédiaires aux psychoses et aux
affections
nerveuses, aux aliénés guéris et aux aliénés au
ales et nerveuses telles que : démence organique, et aussi quelques
affections
mentales comme : obssessions, para- lysie génér
t la cause des causes des maladies mentales. Selon M. Déjérine, les
affections
nerveuses sont toujours hérédi- taires. Le célè
, serviable, pour qui, collègues et condisciples, avaient estime et
affection
. J'ai tenu, Messieurs, à vous exprimer ici, en
es - tendineux et de la valeur diagnostic de ce symptôme dans les
affections
nerveuses, par de Bechtrrew, 430. Le - Iri- g
ui indiquerait plutôt une prédisposition morbide, ayant déterminé l'
affection
imaginaire de la langue. 4 PATHOLOGIE NERVEUS
Cette opinion est partagée par M. Besnier, qui rap- pelle que cette
affection
a été décrite sous le nom de glossodynie, qu'el
resse, 1885, n° 12, Kaposi). M. Magitot, après avoir montré que l'
affection
DE L'OBSESSION dentaire. § décrite par Verneu
mbre d'auteurs, donne surtout l'arthritisme comme étiogénie à cette
affection
, et considère comme trop absolue l'opinion qui
ingual ulcération, a publié une note sur ce sujet et a trouvé cette
affection
aussi fréquente dans un sexe que dans l'autre.
autres, crut à une contraction réflexe des masséters produite par l'
affection
alvéolaire qu'elle pré- sentait. Il proposa don
générales de l'épilepsie, dans l'hystérie, dans un grand, nombre d'
affections
spasmo- diques ou choréiques, le latah, le miry
mme dans l'agitation maniaque et les LES FONCTIONS DU CERVEAU. 39
affections
convulsives de certaines phrénopathies; 2° par
une observation 1. M. Charcot consacre une ' Paul Blocq. - Sur une
affection
caractérisée pnr de l'astasie et de l'abasie, P
abasie, survenant après l'influenza2. Ladame décrit un cas de cette
affection
sous forme d'accès3 et le professeur Binswanger
de parler devant les auditeurs du cours de M. Charcot de cette même
affection
. III. Nous exposons d'abord un court résumé des
t a publié, en 1883, avec M. Ri- cher», nous lisons aussi : « Cette
affection
survient tout à coup à l'occasion d'une émotion
nées. La fille de 23 ans, étudiée par Berthet fut atteinte de cette
affection
après des crises d'hystérie. Le malade, âgé de
sque cinq fois (1 ? 2e, 4e, 8e et 9° obs.) ; pour les autres cas, l'
affection
se produit moins vite, et quatre cas même lente
ants ; en analysant les observations, on trouve le plus souvent des
affections
nerveuses chez les parents; on n'a pas à s'éton
on qui leur sont applicables. Il est ceitain que, chez l'homme, les
affections
des centres visuels produisent parfois l'amblyo
pas le cas; car, quoique l'amblyopie hystérique est aussi bien une
affection
de la sensibilité que sensorielle, il n'en est
l'oeil opposé par la paralysie du centre de la vision claire. Cette
affection
com- binée fait généralement place après un cer
e du contaminé qu'il faut chercher et que l'on trouve la cause de l'
affection
psychique; la psychose du contaminant n'a été q
amine ensuite quels sont les rap- ports de la menstruation avec les
affections
mentales; on peut remarquer tout d'abord qu'il
le peut expliquer le développement au moment de la puberté, - d'une
affection
nerveuse ou men- tale ; l'auteur rappelle les p
fi pour déterminer une amygdalite assez intense : au cours de cette
affection
, la malade fit un jour spontanément l'aveu qu'e
lésions de la péritonite étaient nettement accusés, bien que cette
affection
ne se fût traduite pen- dant la vie par rien de
S SAVANTES. 133 M. BOEU\1LER (de Fribourg). Présentation d'un cas d'
affection
chronique de la moelle avec ataxie inhérente ci
e ; mais. comme il n'y a pas d'atrophie, il y a lieu d'admettre une
affection
des cordons postérieurs et laté- 1 aux de la mo
'Illenau). De l'influence de l'onde menstruelle sur l'évolution des
affections
psychiques du cerveau. L'orateur rapporte une s
s du sens de la pression; ceci s'applique naturellement aussi aux
affections
corticales. L'examen de tableaux dans lesquels so
dénomina- tions, parlent, suivant l'élément morbide prédominant, d'
affection
nerveuse organique traumatique, de commotion cé
ie de Basedow, d'a- voir constitué la triade symptomatique de cette
affection
, d'en avoir découvert les formes frustes. On a
ui qui l'a décrite. Les travaux de M. Baillarger sur cette dernière
affection
sont les uns d'ordre analytique, les autres d'o
logique et la pellagre eut désormais sa place dans l'étiologie de l'
affection
paralytique. Enfin, l'important mémoire pratique,
chissent ce second volume, une a trait au délire ambitieux dans les
affections
orga- niques locales du cerveau et les maladies
ons de la manie simple, d'où la probabilité d'une complication de l'
affection
para- lytique par les diverses formes de la fol
veux parler de sa théorie dualiste de la paralysie générale. Cette
affection
, chacun le reconnaît, se présente sous deux syn
té publiées en 1883. Elles donnent l'histoire d'un certain nombre d'
affections
très im- portantes, de maladies chroniques en g
i consiste à considérer comme parties d'un même tout' mor- bide des
affections
souvent regardées comme distinctes. L'herpé- ti
es faits conformes au type le plus répandu, il en est d'autres où l'
affection
se localise à un territoire ner- veux bien nett
'hui les exemples d'ecchymose ou de purpura survenus au cours des
affections
nerveuses, particulièrement des névrites péri-
es névralgies superficielles. Il est bien vraisemblable aussi que l'
affection
s'est montrée plus violente, parce que le sujet
du professeur Binswanger, quand il distingue trois formes de cette
affection
, selon que les fonc- tions de la station et de
ration est purement dynamique, mais toute dynamique qu'elle soit, l'
affection
n'en occuperait pas moins certaines régions dan
s le grand domaine des obsessions iZwangvorstellungenu et parmi les
affections
hypochondriques2. En somme, d'après Binswanger
M. Charcot et de Blocq, il s'agirait dans l'astasie abasie d'une
affection
dans laquelle les sentiments pathologiques des or
la catégorie des symptômes de l'hystérie, parce que dans les deux
affections
, l'imagination a une grande influence sur les a
l n'y avait aucune cause pour augmenter la pression cranienne, ni d'
affection
secondaire des nerfs crâniens. On a prouvé qu
, le siège que j'ai désigné au centre auditif dans ces lobes. Les
affections
de l'ouie d'origine cérébrale avec lesquelles nou
tions cependant, comme le remarque Tootb, nous pouvons éliminer une
affection
de la subs- tance grise elle-même. J'ai autre
ni [moteurs. Le seul phénomène qui pût dès lors être rattaché à une
affection
grave de la moelle fut, un mois ayant la mort,
pouvons que renvoyer sur ce sujet au mémoire original. P. K. XIV.
Affection
EN FOYER DU LOBULE PARIÉT IL INFÉRIEUR; par C.
à antécédents familiaux, présentant les signes classiques de celte
affection
; mode spécial de la con- traction volontaire,
ronique, la démence sénile, l'idiotie, c'est-à-dire dans toutes les
affections
où il existe des lacunes considérables de l'int
au centre. On en a une preuve dans la réaction dégénérative. Cette
affection
, généralement héréditaire, se poursuit pendant
, auxquels par suite soit de la forme, soit de la pé- riode de leur
affection
mentale, les soins particuliers donnés dans un
tre appliqué. Ces catégories comprennent, d'une façon générale, les
affections
mentales congénitales dans leurs formes les moi
théorie des pseudo-folies paralytiques. Du délire ambitieux de ces
affections
organiques locales du cerveau et des maladies d
ÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. 323 et qu'en fin de compte l'
affection
qui a donné lieu à ce concours troublant de phé
organiques et que nous nous trouvions au con- traire en face d'une
affection
toute dynamique. L'hys- térie serait-elle donc
lable, parce que, si la simulation hystérique d'un certain groupe d'
affections
organiques cérébro-spinales nous est parfaiteme
gayement ; c'est en quelque sorte un signe pathognomonique de cette
affection
. Tel qui lira et parlera des heures entières sa
ROPOS DU BÉGAYEMENT HYSTERIQUE. éi'1 1 en plaques ou de toute autre
affection
. Je ne veux pas faire ce diagnostic différentie
a paralysie géné- rale, de la sclérose en plaques ou de toute autre
affection
. II ne veut pas faire ce diagnostic différentie
énéral les tu- meurs et les autres lésions qui peuvent produire des
affections
in- directes d'autres parties), j'ai 110 cas d'
einte d'aucune des formes de la sensibilité géné- rale, tandisque l'
affection
motrice était des plus prononcées. Il n'y a auc
répé- tées de temps en temps en traitement prolongé. En tête des
affections
essentiellement caractérisées par la douleur, e
e le froid ou un état rhumatismal. Tous les sujets, atteints de ces
affections
et soumis au traitement par l'exalgine en ont t
coliques viendra se joindre aux autres modes de traitement de cette
affection
, en particulier à l'emploi de l'électricité.
mportants dans le traitement des folies névrosiques ; mais dans ces
affections
, comme dans les autres formes de maladies menta
rvations où les idées ambitieuses s'étaient produites au début de l'
affection
, avec les idées de persécutions, puis [avaient
t qu'une certaine prédisposition vésanique héréditaire s'ajoute à l'
affection
nevropathique, comme chez ceux qui sont dipsoma-
s de délire de colapsus, sont générale- ment bénignes. Les autres
affections
mentales, dont l'influenza n'a été qu'une cause
e vue du pronostic, chaque fois qu'un cas de folie éclate après une
affection
fébrile algue, de bien distinguer quelle est la
uvent des psychopathies simples, accompagnées souvent (30 p. 100) d'
affections
organiques du coeur. 60 cas de ménopause dans l
matique; par H. OPPENHEIM. (Ibid.) CONTRIBUTION A la simulation DES
affections
NERVEUSES CONSÉCU- TIVES au traumatisme; par A.
es. Pour expliquer la pathogénie des atrophies musculaires dans les
affections
articulai- res, on a proposé bien des théories
son travail a sur la pathogénie des atrophies musculaires dans les
affections
cérébrales ». Voici les conclusions de l'auteur
fections cérébrales ». Voici les conclusions de l'auteur : dans les
affections
cérébrales, on peut observer des amyotrophies s
Les modifications fondamen- tales des fibles musculaires dans cette
affection
consistent en leur atrophie longitudinale et tr
sont formées par les influences dé- bilitantes diverses et par les
affections
fébriles aiguës ; dans beau- coup de cas on a l
arrassé, comme bien d'autres aliénistes, de faire le diagnostic des
affections
aiguës se montrant chez des sujets jeunes âgés
e la mélancolie occupe une place très restreinte dans le nombre des
affections
mentales. Il arrive donc à cette conclusion que
'eux n'avait de prédispo- sition héréditaire. Parmi les causes de l'
affection
mentale, chez six se trouvent accusées des gran
Etant données les par- ticularités singulières dans la marche de l'
affection
dans ces cas, il est permis de les placer dans
it une communication « sur SOCIÉTÉS SAVANTES. 467 l'influence des
affections
de l'organe de l'ouïe sur le développement et l
mais une partie seulement. M. Korniloff a remarqué que, dans les
affections
centrales, il est très difficile de distinguer
re qu'il a eu le sort de la plupart des enfants assistés, absence d'
affection
, et surtout absence d'instruction. Plus tard, que
s artropathies, par Darkschevitz, 461, pathogénie de l'- dans les
affections
céré- brales, par Mouratoff, 471 ; - pa- thog
ouvenirs confus. Jusqu'à cette époque, je ne pris pas garde à cette
affection
. Car je n'avais aucune idée des lois de l'héréd
a propre famille a, je crois, beaucoup contribué à développer cette
affection
. Ainsi, au lieu d'avoir l'air de n'y pas faire
n ai pris l'habitude. Quant aux procédés employés pour cacher cette
affection
, les voici : a) Le plus pratique, évidemment,
ts religieux assez vifs et qui certainementavaient été avivés par l'
affection
dont je suis atteint. Mais peu à peu ces sentimen
objet de faire ressortir et de mettre en évidence, dans certaines
affections
mentales, la prépondérance du trouble émolif, de
maladies mentales et s'observe à peu près identique dans certaines
affections
fébriles de la pathologie ordinaire, prend, dan
ause déterminante; la condition essentielle du développement de ces
affections
doit être cherchée dans le genre de vie sédenta
de a ,, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 49 également souffert d'une
affection
pulmonaire ayant évolué eu quelques jours (embo
'entité nouvelle amena l'extension abusive de ce terme à beaucoup d'
affections
d'un diagnostic dou- teux. Il y aurait lieu de
ns perte de connaissance jusqu'à la fin. A. M. XII. Influence DES
affections
aiguës spécifiques SUR la lèpre; par Edouard To
et les fièvres éruptives, la tuberculose et la syphilis. Toutes ces
affections
ont paru exaspérer la diathèse lépreuse et même
aculté auditive. Il insiste sur le diagnostic différentiel avec les
affections
de l'oreille moyenne et le mal de Ménière. A si
iation, juillet et août 1895. Ces communications sont relatives aux
affections
mastoïdiennes et de l'oreille moyenne avec comp
i, dans le cas où M. Toulouse aurait ren- contré chez son sujet une
affection
grave et ignorée, l'épilepsie par exemple, il a
x choses l'une : M. Zola connaîtrait ou ignorerait l'existence de l'
affection
grave à laquelle il est fait allu- sion. Dans l
s le marasme ; quelques-uns enfin sont morts de pachyméningite ou d'
affections
intercurrentes et surtout de pulmonaires. On do
s anciens auteurs ont ainsi pu englober dans la paralysie plusieurs
affections
différentes, par exemple les escarres qui sont
et amicales. C'était à l'écart, loin de toute secousse et de toute
affection
, au milieu d'étrangers sympathiques et dévoués
jonction intime. ' I. Comme il n'existe pas dans la moelle d'autre
affection
en foyer qui ail pu déterminer de dégénérescenc
s, c'est- à-dire depuis ia 8° paire dorsale, aspect normal sauf une
affection
du cordon latéral typique, manifeste à toutes l
ition cellulaire. IV. Essai CRITIQUE SUR L\ LOMBO-PONCTION dans LES
affections
DU SYSTÈME NERVEUX CÉRÉBRO-SPINAL; par DEGROOTE
prétexte de l'aberration psychique qui amène le développement de l'
affection
. Les symptô- mes de la maladie et ceux dus à l'
ÈSES DE BORDEAUX plus ou moins d'intensité de symptômes communs aux
affections
à distinguer, paraissent insuffisants pour conc
es, comme la paralysie agitante, l'hystérie, l'épi- lepsie, par les
affections
mentales et encore par des troubles pure- ment
eurs de fibromes cutanés et de taches pig- mentaires. Le début de l'
affection
remonte chez tous les quatre à leur naissance.
a paresse musculaire, du tremble- ment. La neurofibromatose est une
affection
congénitale, dont l'expression anatomo-patholog
s avantages au point de vue du diagnostic différentiel des diverses
affections
inflammatoires des membranes cérébrales, et ell
tion lorsqu'elles ne reconnaissent pas d'étiologie organique. Les
affections
rhumatismales et surtout le lumbago sont avanta-
groupe des symptômes les plus communs qui corres- pondent avec une
affection
corticale générale progressive. Quelques- uns d
; ses théories s'enchaînaient entre elles le plus étroitement ; son
affection
était tout à fait nor- male. (Revue neurologiqu
la circulation du sang du cerveau peut être la cause immédiate de l'
affection
men- tale, la dégénérescence n'en étant qu'une
e, non plus, que le goitre est souvent en rapport immédiat avec une
affection
de la glande thyroïde et que l'intoxication de
ande thyroïde et que l'intoxication de l'organisme produite par une
affection
de cette glande peut aussi intervenir comme fac
chevelu. R. DE Musgrave-Clay. XXXV. Etude DE QUARANTE-QUATRE cas d'
affections
fébriles survenues chez DES aliénés ; par J. KE
s de laquelle survint une scarlatine qui détermina la guérison de l'
affection
mentale. A l'occasion de ce fait, il a étudié 44
on à l'étude de l'influence des maladies aiguës sur l'évolution des
affections
mentales, question qui malgré de nombreuses rec
des neuropathologistes, on voit qu'il s'agit bien réellement d'une
affection
de famille dont les principaux symp- tômes sont
, terminaison fatale vers l'âge de deux ans; 6° reproduction de l'
affection
chez plusieurs memhres d'une même famille. On p
écanisme de la syringomyélie et tendrait à faire admettre que cette
affection
a pour première condition des anomalies de déve
alite primaire aiguë hém01'- ragique. - L'auteur rappelle que cette
affection
a été décrite pour la première fois par Strùmpe
enir cause de souffrances égales à tant d'autres au cours d'une des
affections
les plus douloureuses qui soient. Dans quelques
tagions mentales des mesures analogues à celles qu'on applique aux
affections
contagieuses autres. - L'auteur passe ensuite en
e qu'il contribue à déterminer les rapports du trijumeau avec cette
affection
. il est remarquable aussi par la présence d'une
e demeurait normale : encore s'agissait-il là d'un cas de sclérose,
affection
qui peut laisser indemnes les fibres de la sensib
mains, à caractère spinal. La soeur aînée n'a vu se développer l'
affection
qu'à l'âge de dix-sept ans : la cadette n'a jamai
s et de nature inflammatoire. Ainsi définies, les myélites sont des
affections
rares. Mais il n'est pas aussi facile qu'on le
e pour définir les myélites. Les causes les plus importantes de ces
affections
sont les infections et les intoxications. Il es
n, non seulement des myélites transverses, mais de tout un groupe d'
affections
médul- laires que l'on a distingués des myélite
econ- nues comme étant des abcès tuberculeux symptomatiques d'une
affection
osseuse de même nature. Un examen détaillé du bra
ain) sont absolument normaux. On se trouve donc en présence d'une
affection
du plexus bra- chial (paralysie de Duchenne-Erb
a colonne de Clarke appar- tiennent-elles en propre au tabes et aux
affections
analogues, ou s'agit-il là d'une disposition qu
es généraux, et aussi dans des moelles d'individus morts d'an- tres
affections
, les cellules de la colonne de Clarke présentent
tanelle est d'un précieux secours dans le diagnostic de cer- taines
affections
encéphaliques. La fontanelle antérieure se ferme
s et les hystériques et présentant descaractères divers suivant les
affections
dans lesquelles on le rencontre. Les conditions
ues, en déduit son influence comme élément constant dans toutes les
affections
phy- siques ordinaires. Le cerveau préside, par
uels; ainsi crue M. H. Head, sur les états mentaux liés d certaines
affections
viscé- 1'ales. A. M. L. SUR certains états du
- qués, à être traitées et combattues avec autant de soin que les
affections
organiques du coeur. R. DE Musgrave CLAY. LI. S
de nature à faire penser plutôt à une lésion circonscrite qu'à une
affection
diffuse comme la paralysie générale ; aussi nom
ieu. Il est nécessaire de distinguer aussitôt que possible ces deux
affections
, surtout en raison des traitements qui leur sont
s plus fâcheuses sur la paralysie générale au début. Cette dernière
affection
a en géné- ral, pour symptômes prodromiques, de
adie peut fournir ,.des indications utiles. La neurasthénie est une
affection
constitutionnelle et débute presque toujours dè
ui ont subi dans l'enfance un traumatisme crânien ou qui ont eu une
affection
cérébrale orga- nique (paralysie infantile céré
ucider cette question, Kraepelin a rassemblé 63 cas de catatonie. L'
affection
est plus fréquente chez la femme. Dans 24 cas o
s étaient âgés de quarante-huit à cinquante-huit ans. Le début de l'
affection
s'était fait par une atta- que d'apoplexie surv
professeur Kojewnikoff, Roncelauzobr qui doute qu'il s'agisse d'un
affection
périphérique, vu la distribution des atrophies
ention de dix cas semblables déjà pu- bliés et indiquent, que cette
affection
est plus fréquente chez les enfants et se dével
iens, jusqu'aux troubles moteurs et sensitifs qui caractérisent les
affections
de la queue de cheval. M. Gasne rapporte même u
e en faisant assister le lecteur aux diffé- rentes étapes que cette
affection
avait traversées avant d'être reconnue comme un
athogénie de la rigidité musculaire et de la contrac- ture dans les
affections
organiques du système nerveux. Rappel'- leur :
OGRAPHIQUE. Ballet (G.) - Leçons de clinique médicale (Psychoses et
affections
nerveuses). - Volume in-8°, de vi-451 pages, av
e, à moins qu'ils ne soient prématurément emportés soit par quelque
affection
intercurrente (pneumonie ou diarrhée colliquati
t inégaux, suivant que la mort a résulté d'un ictus cérébral, d'une
affection
intercurrente ou d'un état de marasme. 1. Le pr
A PARALYSIE GÉNÉRALE. 439 2. Dans le 2e groupe, celui des morts par
affection
intercur- rente, étrangère à la paralysie génér
ralysie générale, nous trouvons 6 cas : trois fois, mort rapide par
affection
broncho-pulmonaire aiguë ; deux fois, mort subi
ement, dans le marasme total. Mais la phy- sionomie clinique de son
affection
était bien spéciale. Après avoir présenté tous
0 PATHOLOGIE MENTALE. due 26 fois à un ictus cérébral, 6 fois à une
affection
inter- currente, une seule fois à l'épuisement
ons les résultats suivants : Les 6 malades qui ont succombé à des
affections
intercur- rentes sont tous mort debout sans avo
s complications de la maladie. Cette complication - de même que les
affections
intercurrentes, l'asphyxie par bol alimen- tair
toutes celles qui sont nécessitées par des lésions consécutives aux
affections
de l'oreille, soit pratiquée par le chirurgien
e fréquente de la neurasthénie dans la classe ouvrière. - Parmi les
affections
locales chroniques, pouvant peut-être par- fois
ité de celle-ci ont été souvent observées, sans la pré- sence d'une
affection
locale, mais elles ne peuvent être considérées
tôt comme ses suites. Même dans les cas relativement peu nombreux d'
affection
locale, celle-ci était pour la plupart à envisa
eure du pariétal gauche. Jusqu'à l'âge de sept ans, il n'eut aucune
affection
; à ce moment il prit une première crise d'épil
ur la toxicité ùIi- i- naire dans le myxoedème, est que, dans cette
affection
, et encore au début de la période de demyxoedém
long des ascendantes. P. K. LXXIX. Considérations générales SUR LES
affections
CHRONIQUES DE la moelle épinière ; par JoNES. (
x symptômes indiquant les particularités qu'ils présentent dans les
affections
de la moelle. Dans la polyomyélite antérieure,
e ensuite dans un tableau succinct les symptômes des principales -
affections
: polyomyélite, myélite transvere, myélite diffus
ordons postérieurs. D'après les auteurs il s'agit ici de même d'une
affection
d'origine embryonnaire. M. Minor suppose que ce
que. M. Rossolimo fit une communication sur une nouvelle espèce d'
affection
mycosique du système nerveux central. Il s'agit
sthénie, ont signalé le parallélisme entre les symp- tômes de cette
affection
et ceux de la fatigue : « les symptômes de la n
, lobe occipital. TABLE DES MATIÈRES Académie de médecine, 143.
AFFECTION
MYCOTIOUE. Nouvelle - du système nerveux centra
rice Deas, 214. Educa- tion systématique des -, par O'Neill, 215.
Affections
fébriles survenues chez des -, par Keay, : 33.
et ma- ladie de-, par van Gehuchten,353. L031BO-YONCTION dans les
affections
du système nerveux spinal, par Degrotte, 147.
Dégénération secondaire de la - du chien, par Worotynski, 366.
Affections
chroniques de la-, par Jones, 475. Chirurgie de
spL nales de la - héréditaire, par Gasne, 41 î. SYPHILITIQUES.
Affections
- des ar- tères et du tissu du cerveau, par A
ignons charnus inférieurs, ressemblant à des « mamelles » ; morte d'
affection
vulgaire ; pas d'autopsie. (Fig. 3.) 7. Cholmog
venait pour un "furoncle ou pour un abcès, on y vint aussi pour les
affections
cutanées, prendre des bains d'eau tiède ou de v
s Etuves étaient surtout fréquentées par des indi- vidus atteints d'
affections
cutanées, et l'on comprend la sagesse des pré-
elques années ne nous renseignent que sur la fréquence relative des
affections
cardiaques auxquelles on a cru pouvoir l'attrib
ns leur cortège symptomatique qu'ils en ont imposé parfois pour des
affections
différentes, c'est ainsi qu'on a créé la main t
associés à l'atrophie musculaire qu'on rencontre souvent dans cette
affection
, assurent à la main un cachet si spécial qu'on pe
técédents héréditaires insignifiants. Antécédents personnels. Pas d'
affections
syphilitiques ou vénériennes, pas d'alcoolisme.
ffirmatif. Si j'ai assez longuement insisté sur l'histoire de cette
affection
osseuse,que le malade porte encore actuellement
its du coeur. Il n'existe pas de troubles qui feraient penser a une
affection
anale ; pas d'albumine dans l'urine; le sphincter
ruits du coeur. Il n'existe pas de troubles qui feraient penser une
affection
rénale; pas d'albumine dans l'urine. L'examen
confondre avec d'autres états en apparence similaires. Ce sont les
affections
nerveu- ses trophiques atteignant les extrémité
les extrémités des premières phalanges sont tuméfiées. Une autre
affection
à laquelle on pourrait penser à cause de l'aspect
doigts des malades, c'est la sclérodermie dacly- lique. Dans cette
affection
, la face dorsale de la main est lisse comme la
le nnm de masque sclérodermique. J'ai omis avec intention certaines
affections
amyotrophiques des extrémités et d'origine cent
us, toutefois, il est possible que l'âge des malades, la durée de l'
affection
, contribuent dans une certaine mesure à l'appar
aso-motrices. Les faits cliniques d'oedème des mains au décours des
affections
spinales sont rares. J'ai cité les auteurs qui
me dans la syringomyélie. Etant donné, dit cet auteur, que dans les
affections
de la substance grise antérieure, comme dans le
interne lauréat des hôpitaux. L'ostéite déformante de Paget est une
affection
rare. Tout document re- latif à cette affection
te de Paget est une affection rare. Tout document re- latif à cette
affection
mérite d'être utilisé, surtout s'il comporte un e
elève chez les ascendants ou collatéraux ni rhumatisme chronique ni
affection
cardiaque ou cancéreuse. Antécédents personnels
rmante de Paget qui a évolué avec lenteur. La malade succomba à une
affection
cardiaque associée à une tubercu- lose pulmonai
encore une fois le peu de fondé de l'antagonisme supposé entre les
affections
cardia- ques et la tuberculose. ' L'existence
d'établir des rapprochements entre la maladie de Paget et certaines
affections
spina- les à détermination osseuse (exemple de
ire quel fâcheux effet eut cette thérapeutique malencontreuse sur l'
affection
vertébrale : la gib- bosité ne larda pas à s'ac
garde à nouveau sans souffrir le décubitus dorsal nécessité par son
affection
. OBs. II. -Le second cas de mal de Pott dans le
un.rôle de premier ordre dans la thérapeutique rationnelle de cette
affection
. Dans ces conditions, il est utile de chercher
ait que, pendant ces vingt dernières années, le traitement de cette
affection
a été dominé presque complète- tement par cet o
cier, sous cette forme particulière, au traite- ment principal de l'
affection
médullaire. Celui-ci, du reste, chercha presque
100 cas nous disions : « 100 ataxiques à la période moyenne de leur
affection
soumis à la suspension peuvent, après 30 à 40 s
bes. Tous les méde- cins ont observé des tabétiques chez lesquels l'
affection
, nettement déter- minée, se jugeait uniquement,
ième période de leur mal, en voie d'incoordination, chez lesquels l'
affection
se révèle par son luxe habituel de symptômes :
tat a porté d'une façon générale sur la totalité des symptômes de l'
affection
, 15 autres en ont retiré des bénéfices 154 GILL
ne médi- cale de 1896, n" 17, semble disposé à admettre, dans cette
affection
, des paralysies du type radiculaire, seulement
prédicateur. Actuellement, tout au moins, nous ne connaissons pas d'
affection
qui puisse déterminer une atrophie complète dan
ia- tion fonctionnelle et anatomique constitue un métamère. VI. L'
affection
des neurones moteurs donne naissance à l'atrophie
- Le mémoire de Gilles de la Tourelle est intitulé : Étude sur une
affection
nerveuse caractérisée par de l'incoordination m
dit-il, regarder le spasme fonctionnel des muscles du cou comme une
affection
périphérique limitée aux muscles atteints, ou com
un fu- roncle à la nuque. Nous avons tout lieu d'admettre que cette
affection
douloureuse obligeait notre patient à tourner l
ance intersti- tielle du cartilage. Hofmeister proposait pour cette
affection
si spéciale du (1) Soc. de Biologie , 18 mai 18
ses différentes, a signalé l'in- fantilisme et le nanisme parmi les
affections
parasyphilitiques (1). Il est certain que la sy
s seules qui appartiennent à cet infantilisme ou qui le fa- (1) Les
affections
paralytiques, p.296.Paris, 189'E.Inluence dystrop
nstituée sans la déformation qui l'amène à l'Hôpital civil. Cette
affection
est congénitale, et n'a, depuis la naissance, nul
inaux. Il s'appuie surtout sur les trois raisons suivantes : 1° L'
affection
est constamment unilatérale et exactement limitée
. France médicale, 1890, p. 158. ^Hallopeau et Leredde. Unité des
affections
comprises sous le nom d'adénomes sébacés, izoev
. RADIOGRAPHIE DES OS DANS LA PARALYSIE INFANTILE 325. Début. Son
affection
débuta le jour de l'Ascension (mai 1848) : il a
ssentir encore, de temps en temps, au-dessus du genou. Malgré son
affection
le malade put prendre un métier, celui de tailleu
uatre enfants. L'aîné est mort de delirium tremens. On ne relève ni
affection
nerveuse, ni affec- tion mentale parmi les autr
sein. C'est à l'âge de six mois, d'après ce qu'on lui dit, que son
affection
au- rait débuté. Il fut pris de convulsions, et
ourraient éveil- ler l'idée d'une hémiplégie spasmodique infantile,
affection
où les mou- .vements athétosiques sont fréquent
émotions pénibles surtout ont été souvent accusées de provoquer des
affections
cutanées : l'érythème, l'urticaire, l'eczéma, le
oses par choc moral. La Clinique, Bruxelles, 1888, p. 164. - CHUYL,
Affection
cutanée, trophonévro tique. La Belgique médicale,
hez les femmes au contraire. on observe quelquefois, au cours d'une
affection
mentale, un développement considérable des poil
thode suscita toute une série de travaux rela- tifs aux différentes
affections
du système nerveux. Au nombre des mala- dies, p
és après lui d'établir une distinction nosographique entre ces deux
affections
(P. Guinon, Souza Leite). Puis, de nouvelles obse
s généraux qui s'étaient mani- festés à la période progressive de l'
affection
, peuvent s'amender et dis- paraître quelquefois
sage en Portugal. Son père est mort d'une hémiplégie, sa mère d'une
affection
cardia- que ; l'un et l'autre étaient de taille
s ; mais il faut remarquer qu'à part la syringomyélie, aucune autre
affection
médul- (1) Si nous insistons sur l'enchaînement
le du rhumatisme chronique. Couyba com- pare judicieusement à cette
affection
les arthropathies consécutives aux lésions trau
tance ou en trois mots de description; elle aide au diagnostic de l'
affection
causale, dont elle est une manifestation direct
manifestation directe ; ce n'est pas un épiphénomène; aucune autre
affection
articulaire n'est capable de la simuler quand ell
ROUBLES TROPHIQUES articulaires d'apparence RHUMATOIDE. A. Dans les
affections
spinales. Les affections qui fourniront une con
ires d'apparence RHUMATOIDE. A. Dans les affections spinales. Les
affections
qui fourniront une contribution à ce chapitre son
ralysie agitante, car on n'a jamais observé, croyons-nous, dans ces
affections
de grande arthropathie ner- veuse, mais seuleme
a observé un cas inédit de grande arthropathie nerveuse dans cette
affection
(communication orale). (3) Bull. et mémoires de
peut donc y avoir de grandes arthro- pathies en dehors de ces deux
affections
. Mais le fait n'en est pas moins jusqu'à pré- s
laires et la polyarthrite rhumatismale : J. A. Brinton, observa une
affection
articulaire généralisée qui se rattachait au froi
u- laires. La pathogénie n'est d'ailleurs pas la même dans ces deux
affections
puisqu'on n'a pu trouvé la névrite dans la sclé
anés, aux grandes arthropathies de la même ma- ladie. C. Dans les
affections
cérébrales. Nous ne nous étendrons pas longtemp
ne infectieuse ou auto-toxique). Mais ce qui est nerveux dans cette
affection
ce n'est pas tant l'arthropathie que la détermi
s, on arrive à cette conclusion que le rhumatisme chronique est une
affection
régionale dont les districts relèvent sans doute
veuses vraies parce qu'elles sont produites exclusi- vement par ces
affections
. Les arthropathies spinales, cérébrales et né-
admettre que la lésion nécessaire peut être produite par d'au- tres
affections
que le tabes ou la syringomyélie (observation de
de certaines paralysies gé- nérales, comme si, dans cette dernière
affection
, un centre trophique, également inconnu, se tro
avec ces seuls renseignements, de déterminer la nature exacte de l'
affection
; mais la radiograpliie nous a donné la clef du
et, point plus important encore, le pronostic et le traitement de l'
affection
. La méthode Roengten nous a donc montré que dan
aspect extérieur, qui fait que tous les sujets at- teints de cette
affection
se ressemblent, et que le diagnostic peut être po
termittente qui durèrent 6 semaines et cessèrent sans traitement. L'
affection
actuelle s'est développée insidieu- sement, il
sont en griffe (Fig. 1). La grille s'est accusée dès le début de l'
affection
, au dire du malade. L'avant-bras et le bras parai
des réflexes et des secousses fibrillaires accusées. La marche de l'
affection
est très lente puisqu'elle dure déjà 35 ans et
es surnaturels. ' Et, d'autre part, la Lèpre étant regardée comme l'
affection
la plus re- doutable pour l'homme, comme le mal
tement. On distingue sur le torse des taches colorées, indice d'une
affection
cutanée qui est peut-être la Lèpre. Derrière ce
ion ici, à celle qui constitue lesigne presque exclusif d'une autre
affection
, d'origine exclusivement nerveuse celle-là, et
ble l'invocation de cette malade à Saint Roch, patron de toutes les
affections
contagieuses, imploré cependant de préférence par
mal. Son pied mutilé, la déformation de son nez et de ses lèvres, l'
affection
oculaire et jusqu'à l'atrophie du bras et de l'
ici,comme dans beaucoup de textes anciens, n'importe quelle . autre
affection
cutanée. Sur la miniature en question « on voit
uels. Ces cas affirment les relations qui existent entre les deux
affections
. Ils permettent de séparer une forme hystérique d
MALADIE DE RAYNAUD QUI EST PUREMENT HYSTÉRIQUE. - I. Quand une
affection
se développe chez un sujet hystérique, dans les
loppe chez un sujet hystérique, dans les conditions habituelles des
affections
hystériques, et qu'elle est susceptible de disp
. Sa soeur unique, d'un an plus jeune qu'elle, est atteinte d'une
affection
cardiaque. Elle est d'un tempérament nerveux, mai
avoir été quelque temps rebelle à cette idée, elle accepta que son
affection
avait commencé à la suite d'une chute sur une p
ait de l'oligurie et de l'anurie. L'hypnose a révélé la nature de l'
affection
et a modifié considérablement la névrose vaso-m
provenant d'un épuisementfonctionnel, par exemple, à la suite d'une
affection
fébrile, pouvant aussi présenter, en tant qu'ép
ui n'est pas, comme la folie systématique acquise, le produit d'une
affection
nerveuse tardive, mais qui se cons- titue sur l
Part. III, 1893, p. 321.) L'auteur pense que la douleur liée aux
affections
viscérales est une douleur réflexe due à l'irri
nsations douloureuses par eux-mêmes. Il pense que, lorsque dans une
affection
viscérale donnée, il y a un champ limité d'hype
ympathique intéressé. Beaucoup d'autres phénomènes accompagnant les
affections
viscé- rales, s'expliquent de la même façon, et
connu dans le monde entier pour ses remar- quables travaux sur les
affections
du système nerveux. Nous sommes heureux d'avoir
tes français : M. le Dr Calmeil. 60 BIOGRAPHIE MÉDICALE. pleins d'
affection
, dont il est entouré par son épouse si dévouée,
de Rostan dont le caractère bienveillant lui inspira une confiante
affection
. Rostan s'occupait beaucoup de ses élèves et, p
prit pour son jeune interne d'une grande 62 BIOGRAPHIE MÉDICALE.
affection
, il l'accueillait dans sa famille, mais bientôt l
allons rapporter ont trait à des troubles de la marche, liés à des
affections
ner- veuses diverses. Nous rangeons ces observa
t, à la rigueur, un instant se poser, se rattache à la dysbasie par
affection
organique du système nerveux. I. Dysbasie psy
dence avec divers phénomènes neurasthéniques, et l'absence de toute
affection
déterminée, à laquelle on puisse les attribuer.
iennent pas au syndrome neurasthénique, et indiqueraient plutôt une
affection
médullaire : simple névrose non définie ou mala
Urines. Pas de sucre, ni d'albumine. 11 s'agit évidemment ici d'une
affection
organique du sys- tème nerveux; malgré l'existe
t principalement, sinon exclusivement, le membre inférieur droit. L'
affection
a débuté à l'âge de vingt-cinq ans, à une époqu
des cas, cette paranoïa halluci- natoire violente se rattache à une
affection
fébrile aiguë ; notamment à la fièvre typhoïde,
s, la glycosurie, l'état sclé- reux des artères, et enfin certaines
affections
cardiaques. Il méconnaît l'hystérie. Il méconna
de l'hypnose. Notre observation prouve les liens hystériques de l'
affection
, indique l'influence de l'hypnose et décèle le mé
rait pas indispensable; elle ne peut qu'aider au développement de l'
affection
. Les autres facteurs tels que le refroidissemen
lète en un point. P. S. XXIII.'POLYURIE (diabète INSIPIDE) dans LES
affections
DE la base DU cerveau; par Henry HANDFORD. (Bra
eur; enfin, l'existence antérieure d'autres symptômes indiquant une
affection
spécifique sur les mêmes points ou dans d'autres
Tels sont les caractères principaux qui permettent d'affirmer que l'
affection
médullaire en présence de laquelle on se trouve
un des deux cas, la lésion était ma- nifestement une syringomyélie,
affection
que l'on tend de plus en plus à considérer comm
rupture d'un anévrisme. Sa mère mourut à cinquante-trois ans d'une
affection
du foie qui s'accompagna d'ascite. Son passé pa
surtout de n'avoir pas dormi ni jour ni nuit depuis le début de son
affection
. L'urine est au-dessous de la normale : 800 gra
en vingt-quatre heures s'ob- tient une modification étonnante de l'
affection
qui est guérie en quelques jours. Ce sont' d'
OGIE NERVEUSE. MALADIE DE RAYNAUD ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 177 '1 où l'
affection
se rencontre au cours du myxoedème (Landgraf) e
de Weir Mitchell (obs. III, thèse de Lannois) où l'hystérie et une
affection
organique se trouvent associées. Notre cas in
xie locale des extrémités. Il y a une sorte de balancement des deux
affections
. La maladie dure depuis vingt-deux ans. 1 Soc
s oreilles sont atteintes'. Dernière remarque. La malade atteinte d'
affection
de Weir Mitchell est guérie. Elle écrit elle-mê
cture de la mâchoire. Ces réflexions sont applicables à notre cas d'
affection
de Raynaud. L'état de mal asphyxique en rappo
nce, elle fait encore des crises syncopales ^et asphyxiques. Mais l'
affection
du début remarquable par sa persistance et son
la rétine qu'il avait constatée chez des malades atteints de cette
affection
. Il préconisait l'emploi de courants continus d
des femmes à cette époque, au moins dans les cas hystériques de l'
affection
, où les phénomènes vaso-moteurs sont sous la dé
t que chez les sujets non dégénérés, normaux jusqu'au début de leur
affection
. Les vésanies essentielles comprendraient alors
ffaire qu'à un désordre éphé- mère ou si nous sommes au début d'une
affection
longue. La folie systématique primitive {parano
ë, subaiguë ou chronique, n'est, d'après le savant russe, pas une
affection
dégénérative. La paranoïa secondaire est consti
système nerveux sympathique est fort influencé dès le début de l'
affection
, tachycardie, souffles doux éphémères à la base,
uble et la paralysie bulbaire sur ce que dans l'hémiplégie double l'
affection
des mem- bres n'est pas tout à fait symétrique,
électrique dans la langue et le voile du palais dans cette dernière
affection
. P. SOLLIER. VIII. LES idées FIXE.; par Hack Tu
dico- psychologiques, oct. 1894.) La blennorrhagie est une de ces
affections
microbiennes dont, jusqu'ici, les rapports avec
que, bien qu'il soit depuis longtemps démontré que ce n'est pas une
affection
purement locale, puisqu'elle engendre une forme
ion blennorrhagique comme jouant le rôle de cause déterminante de l'
affection
mentale. Dans le premier cas, il s'agit d'une f
cas, sous l'influence d'une prédisposition hérédilaire certaine, l'
affection
mentale a évolué prématurément vers la démence.
symptôme hal- lucinatoire se rattache à une origine ditlérente de l'
affection
men- tale;);, enfin les hallucinations visuelle
aques ; il considère celles-ci comme faisant partie intégrante de l'
affection
et rappelle les diverses explications qui ont é
es et suicides, les gâteux, les paralysés et les aliénés atteints d'
affections
somatiques, les agités, et ceux qui doivent êtr
réalité est que c'est un poison du cerveau et des nerfs, Quantité d'
affections
du système organique ou des viscères, ne résist
ité, épilepsie, alcoolisme, ni facteurs étiologiques aigus tels que
affections
somatique, intoxications, etc... Mais en revanc
négation systématisés, lesquels peuvent se rencontrer dans d'autres
affections
mentales que la mélancolie. * Les idées de né
thogénie, et nous terminerons par le traitement de cette redoutable
affection
. 1° Troubles de l'appareil digestif. Les troubl
erminer le coefficient uro- toxique de l'urine dans toutes sortes d'
affections
. Pour ce qui concerne le sujet qui nous intéres
ant le malade de recti- fier ses erreurs (Salgo, Spitzka, Schuele),
affection
pouvant résulter d'une anormale construction du
). Ce qui revient à dire que, dans toute psychopathie, dans toute
affection
cérébrale en général, il peut survenir des accès
réellement à méditer ? c La folie systématique ou paranoïa, est une
affection
de l'intelligence, dans laquelle les troubles d
vité) sont secondaires,' tandis que la mé'21 lancolie et la' manie;
affections
mentales caractérisées par des* ° anomalies de'
ervation II. Garçon de huit mois. Au commencement de décembre 1891,
affection
fébrile avec éruption (rougeole ? scarla- tine
l'auteur conclut que le rôle principal dans la pathogénie de cette
affection
est joué par l'inflammation du tissu interstiti
pement, et qui, par suite, était prédisposée à contracter une autre
affection
. Figures. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE MEN
squ'ici permettent de spécifier qu'en pareil cas on a affaire à une
affection
subaiguë du jeune âge se traduisant au début par
niiold. Protocole d'autopsie et étude critique de l'obser- vation d'
affection
spinale chronique présentée au Congrès pat'BasMm/
'agirait, cette- fois' de' syndromes0 hystériques ? simùlateurs des
affections
encéphaliques ? 3bj3 ! rm oo tirp eldtaaoq 3Bq
tiques,qul,vLen ent,d'awoiG des, accès eonvut- sus ou bien 'dont, l'
affection
éstdéjâ âvdnééé,, oiilest3frappé 1 ,ait ? 7't ^
plégie cérébrale ? Et du reste il est des sujets, atteints de cette
affection
, qui ne présentent dans leurs antécédents rien de
uquel la plupart des auteurs, consi- dérant cette maladie comme une
affection
spéciale des cordons postérieurs de la moelle é
n nerveux, il faut l'attribuer à l'habitude de fumer, à d'anciennes
affections
pharyngiennes. Voici une observa- tion qui conf
s complètes ; elle contribuera à dissiper les obscurités dont cette
affection
est entourée. - La stupeur, démence aiguë d'Esq
dans lequel on retrouve des symptômes souvent caractéristiques de l'
affection
mentale antérieure; la confu- sion mentale déte
nce de la manie suraiguë et des fièvres cérébrales ataxiques. Cette
affection
était caractérisée par un délire tranquille, ta
ec stupeur. La description des di- verses formes que présente cette
affection
est fort intéressante, @elle montre la connaiss
oïde, l'éry- sipèle cérébral, les délires aigus, l'urémie, quelques
affections
diathésiques, l'alcoolisme, les tumeurs cérébra
ôme, on peut séparer des types qui se rapprochent de telle ou telle
affection
; non seule- ment il faudra distinguer, dans le
de des aliénés, on ne fait presque rien dans un but curatif de leur
affection
. Les conceptions généralement répandues sur l'a
rection de la profession médicale. - Lorsqu'un malade est atteint d'
affection
contagieuse, affection dangereuse pour les autr
n médicale. - Lorsqu'un malade est atteint d'affection contagieuse,
affection
dangereuse pour les autres, on ne songe guère à
442 PHYSIOLOGIE pathologique. le surmenage (Salomon Carnell), les
affections
cardiaques (Lemoine), les tentatives de strangu
des accès d'une façon manifeste; tels les traumatismes, telles les
affections
car- diaques, tel encore l'érysipèle comme on p
est là ce qui a fait considérer de tout temps l'épilepsie comme une
affection
héréditaire, comme une maladie consti- tutionne
que, l'idiotie, la mélancolie, la chorée et du côté malade dans les
affections
unilatérales, dans la paralysie infantile. Après
sayé l'action du pinceau galvanique dans le traitement de certaines
affections
nerveuses. (Sein. mcd. 93 oct.; 1894.) Le pin
uentes devient rapi- dement excitante. Elle s'emploie donc dans les
affections
où on vent avoir en même temps que des effets g
indique que, dans les cas qu'il a observés, la marche générale de l'
affection
mentale a été à peu près la suivante : d'abord
te aux altérations séniles et celle qui appartient légitimement à l'
affection
myxoedé- mateuse. « Si l'on pouvait risquer u
services que peuvent rendre ces deux moyens dans le traitement des
affections
nerveuses; il énumère les maladies dans lesquel
tion nerveuse périphérique (par exemple : carie dentaire, phimosis,
affections
du rectum ou de l'utérus, cicatrices, etc.). Il
uer un traitement ophtalmologique, de s'assurer s'il n'existe pas d'
affection
chro- nique du rein, de syphilis, de lésion org
'esprit sur le corps b l'occupait et il eut toujours une très forte
affection
personnelle pour ce livre, qui, bien qu'il eût
, 303. Poliomyélite aiguu, par Scbultze, 321. Polyurie dans les
affections
de la TABLE DES MATIÈRES. 505 base du cerveau
que nous avons appris à bien connaître la symptomatologie de cette
affection
. Je vais commencer par vous relater l'histoire
tre diagnostic sur les bases d'une certitude pres- que absolue. L'
affection
dont souffre cette femme date déjà de loin ; dans
re considérée comme une manifestation hysté- rique surajoutée à une
affection
organique. Cette supposition n'a rien que de tr
de l'anesthésie. Il ne nous reste donc plus qu'à chercher parmi les
affections
de la moelle. Or, du fait même que je viens de
ns de démontrer, du fait que l'anes- thésie doit être rattachée à l'
affection
en cause, doit être mise sur le compte de cette
achée à l'affection en cause, doit être mise sur le compte de cette
affection
, nous sommes autorisés à éliminer les maladies su
élite transverse, la syphilis médullaire, l'hématomyélie. Parmi les
affections
de la moelle susceptibles de donner lieu à un en-
LA SALPÊTRIÈRE pas de vue, Messieurs, que la syringomyélie est une
affection
essentiel- lementpolymorphe quant à son express
xé sur les caractères cliniques el anatomo-pa- thologiques de celle
affection
. Je pense vous avoir convaincu, par ces citatio
es. Le père et la mère, de V... sont morts entre 40 et GO ans d'une
affection
pulmonaire ayant duré deux ans. La mère présent
on rapide, aboutissant aux paralysies multiples actuelles. A quelle
affection
avons- nous affaire ? Trois diagnostics doivent
ent probable. De dix frères et soeurs, huit sont morts en bas âge d'
affections
indéterminées. Deux seuls restent : notre malad
ensemble de symptômes, nous ne pensons pas qu'on puisse rattacher l'
affection
actuelle à un processus tu- berculeux, méningit
de l'amyotrophie : le ma- lade a remarqué peu après le début de son
affection
que ses jambes, ses cuisses ^ même diminuaient
poursuivons l'étude sont nombreux et précis en ce qui concerne les
affections
du cerveau, au- tant ils deviennent rares et va
o-mé- dullaires que viscérales delà syphilis constitutionnelle. L'
affection
est encore congénitale ; elle doit sa. persistanc
ouvent, au milieu des symptômes presque toujours prédominants d'une
affection
cérébrale, à rechercher ce qui appartient, prim
our la plupartcongénitaux, qu'il attribue à la sclérose en plaques,
affection
que la prédominance habituelle de ses localisat
faits avaient été signalés en 189 par M. le professeur Fournier : Les
affections
para- syphilitiques, Paris, 1894, in-8", p. 334
étique. Mais il est des cas, avons-nous dit, où les symptômes d'une
affection
cédé- > brale ne. s'associent pas à la rigid
incontestablement congé- (1) HAH1EM.\SN. Contribution à l'étude des
affections
spasmo-paralytiques infantiles. Th. Nancy, 1895
ifs auxquels on n'opposa aucun traitement suivi. Etat actuel. - L'
affection
dont S... souffre actuellement débuta, en apparen
li- queur de Van Swieten. (1) Hrrcmxsux et H. Jackson. Stphilitic
affections
of the nervous system. Cases of paralysis assoc
s que l'auteur considère comme hérédo-sy- philitique, chez lequel l'
affection
débuta par des phénomènes de compres- sion céré
disais-je il cette époque, cette paraplégie a son origine dans une
affection
spécifique de la moelle ou de ses enveloppes. L'é
e plus mauvais de tous les élèves. Vers l'àge de 12 ans, début de l'
affection
par de la raideur dans les jambes et des douleu
inalparalyse als Thei- lerscheinung einer heredit11r syphilitischen
Affection
des Centralnervensystem. Neurolog. Centralblatt
s du syndrome de Little que nous avons publiés mais dans lesquels l'
affection
était, nous l'avons dit, congé- . ni taie. Il l
ours revêtir ' le type continu tandis que/ dans ses observations, l'
affection
a procédé par attaques suivies de guérisons et
ppellerons d'ailleurs que, dans l'observation I de ce travail (où l'
affection
congénitale détermina des phénomènes se rapprocha
s un fait dont Mendel (1) a parlé au cours d'une discussion sur les
affections
systématiques primiti- - ves du système nerveux
ation lente; guérison en 1872. Quelques mois plus tard , récidive d'
affections
spécifiques (syphilides, gom- (1) Zambaco. Des
écidive d'affections spécifiques (syphilides, gom- (1) Zambaco. Des
affections
nerveuses syphilitiques. Paris, 1862, p. 210. (
d'ailleurs rien laissé d'appréciable. Pas d'éruptions cutanées ; ni
affections
auriculaires ou oculaires ; pas de maladie véné
e penser au tabes. Nous croyons que la lo- calisation bulbaire de l'
affection
suffit à les expliquer. Dans ce cas, comme clan
syphilitique n'ayant été institué que longtemps après le début de l'
affection
nerveuse n'a pu donner encore de résultats sati
9 ans avec de l'ascite et un oedème généralisé symptomatiques d'une
affection
cardia- que ( ? ). f Ses parents eurent 19 en
ans de la variole qu'elle contracta en soignant la malade de cette
affection
. Celle-ci était alors âgée de 8 ans. Sur 12 e
de la syphilis héréditaire est encore exclusivement médullaire et l'
affection
revêt en outre un type ' clinique qu'il n'est p
et ne fit pas de fausses couches. Son père est mort il 5 ans d'une
affection
chronique des voies respiratoires, sa santé ava
coït; les sensations voluptueuses qui avaient disparu au début de l'
affection
ont reparu. Pas de signe de Romberg. Les réflex
sans être sensiblement exagéré. Mme X... qui, depuis le début de l'
affection
, usait ses chaussures du bout, les use mainte-
entièrement l'opinion que nous nous étions faite sur la nature de l'
affection
; il s'agissait incontestable- ment de syphilis
t, lors de notre dernière entrevue,nous pouvions considé- rer que l'
affection
syphilitique dont était atteinte Mme X... était c
trouvé en présence d'un fait indéniable de (1) V. Raymond. Sur les
affections
de la queue de cheval. Nouv. Iconographie de la S
professeur Fournier. A. Il. Ses parents sont morts tous les deux d'
affection
cardiaque ; de plus sa mère aurait eu une malad
sions, y compris la vulnérabi- lité, sont antérieures au début de l'
affection
médullaire et datent de l'enfance. Dans cette o
servé 3 malades atteints de tabes et entachés d'hérédo-syphilis : l'
affection
avait débuté à 18 ans, à 20 ans, à 31 ans. Dans
etus ou les enfants qui ont succombé à la sy- philis congénitale. L'
affection
hépatique coïncidant souvent avec l'affec- lion
tout et on lui fit prendre du mercure. Les traces persistantes de l'
affection
sont du reste tout fait nettes : ce sont, au co
nous révéler, même il plusieurs siècles de distance, la nature de l'
affection
, cause de la difformité. C'est ainsi qu'il est
de l'Art, bien avant que la science eût proclamé la parenté de ces
affections
. '- On peut néanmoins essayer d'introduire quel
la comtesse, Iso- line l3arbutan. Cette fois-ci encore, il perdit l'
affection
de sa bienfaitrice; mais, ayant su toucher le c
rence ». Chez les nains qui semblent avoir subi les atteintes d'une
affection
un peu démodée aujourd'hui, la scrofule, on rec
es essais chez un grand nombre de malades atteints de toute sorte d'
affections
nerveuses organiques ou fonctionnelles. En élim
s'uivant l'exemple des prêtres, croyait donc à la réalité de cette
affection
inconnue jusqu'alors. Quelques sceptiques voulu
d'anatomie furent extrêmement suivies.' - Il s'occupa surtout des
affections
calculeuses et des opérations qu'elles nécessit
autre par réé- ducation et les enseignements paternels il juger des
affections
calculeuses, il était tout désigné pour éclairc
de questions intempestives. Les uns, regardant sa maladie comme une
affection
mystérieuse, échappant aux lumières de la médecin
que la maladie de la Fille de St-Géosmes n'a aucun rapport avec les
affections
qui s'accompagnent de pierres dans la vessie. «
et pouvant offrir quelques analogies avec ceux qui accompagnent les
affections
calcu- leuses. Il est avéré que la malade n'a
calcul dans les voies urinaires. Morand passe en revue toutes les
affections
qui peuvent donner le change; coliques ordinair
nt, décidera que Gene- viève a été de tous les temps attaquée d'une
affection
hystérique, et que les coliques qui paraissent
Leur apparition rend souvent le diagnostic très difficile avec les
affections
pul- - monaires ou] gastriques. - Dans le cas
examen de la dis- position de la malade Ù l'une ou à l'autre de ces
affections
, qui puisse aider à les distinguer ». , Depui
apprécier avec tant de bon sens, de chari- table discernement, une
affection
presque inconnue en son temps, et sur la nature
tique, qui réunissait trois symptômes assez rares au cours de celle
affection
. C'est son observation que nous rapportons ici et
ARTIIROSE TABÉTIQUE 269 rapport avec le tabès ou la syphilis ou des
affections
surajoutées (hystérie) et visant le siège de la
DE L'hÉMARTHROSE TABÉTIQUE 271 sidéré comme prémonitoire de cette
affection
que le tabes lui-même dont il est"atteint. Il
nes épaisses et fibreuses. « A la partie inférieure de la moelle, l'
affection
s'efface peu à peu; cependant, dans la région l
périuèvre est élargi et plus ou moins infiltré de noyaux ; quand l'
affection
est plus avancée il y a d'assez larges tractus
Ce sont les colonnes de Clark qui ont payé le plus large tribut à l'
affection
, nous n'y trouvons plus sur certaines coupes un
n- traîner jusque-la : Qu'il puisse y avoir coexistence de ces deux
affections
, uien de plus naturel à concevoir. Mais quant à
. e. ' Enfin il importe que vous ayez présent l'esprit les diverses
affections
: choléra, lièvre typhoïde, embarras gastrique,
itions maladives que l'on trouve chez les individus prédisposés aux
affections
mentales. Quoique notaire dans une petite ville
ntellectuel voisin du cré- tinisme. Aussi 'propose-t-il d'appeler l'
affection
nou- velle : état crétinoïde pouvant subvenir c
il établit un parallèle avec le myxoedème et trouve entre ces deux
affections
des relations évi- dentes. Il rejette absolumen
haleur'du corps peut être un symptôme, précoce, dû sans doute à une
affection
du système .vaso-moteur. Sachant, comme nous l'
semble qu'on a affaire à un oedème généralisé, con- séquence d'une
affection
cardiaque et rénale. Le visage et particulièrem
e depuis huit mois d'épithélioma ulcéreux du col de l'utérus. Celte
affection
a sa marche ordinau·e. ? , 1 t , Le 11 septem
tus, et d'une pneumonie du lobe inférieur droit, met un terme à l'
affection
après vingt mois de durée. L'autopsie révèle :
, réitérée plusieurs fois par jour, avait eu rapidement raison de l'
affection
. On la faisait d'abord avec du lait tiède, plus
èrent, la peau devint blanche et ferme ; au bout de qua- tre mois l'
affection
ne s'était pas reproduite. C. T. VIII. NÉVRALGI
llaires analogues à celles qu'il avait,déjà décrites dans certaines
affections
cutanées. Il a eu l'occasion d'examiner la moel
chose dans la production ! du délire. Dans leicourside '. quelques
affections
, inflammatoires dont cet individu fut;, atteint,
me r'b'iit'eà'lobse'rvè 'dés`' exemples dans les cours de certaines
affections
; le délire vésanique habituel reparaissant auss
té ce quelle pense., déscrises{ qui .jugent jb un délire, par, une,
affection
jiiguë.j3 ^icja01r arn '.i ? w«< '.L ^W 3lza
aladie ( intercurrente pouvait., avoir^un^ heureux r résultat sur l'
affection
mentale ? tandis qu'au contraire, la . termi- n
ques dont les attaques étaient suspen- dues pendant la durée. d'une
affection
inflammatoire. i. ? 1. ,, M. Delasiauve insiste
nd les lésions propres à la paralysie générale avec celles d'autres
affections
cérébrales. Il avoue du reste, qu'il est loin
portions démesurées que nous lui voyons aujourd'hui. Cependant, son
affection
parait avoir débuté vers l'âge de vingt et un a
remarquables : l'intensité des phénomènes nerveux ; la marche de l'
affection
, procédant, pour ainsi dire, par deux poussées
e l'altéra- lion tégumentaire. Comme dans toutes les cachexies, l'
affection
porte non seulement sur un système, mais sur l'
xpression cachexie pachydermique ne préjuge rien sur la nature de l'
affection
et a l'avantage de rap- peler la forme particul
t élargi le cadre primitif de la ma- ladie. W. Gull pensait que l'
affection
était propre à l'âge adulte et à la femme. Mais
tteints. D'autres faits ont établi 150 PATHOLOGIE NERVEUSE. que l'
affection
pouvait débuter chez l'enfant. Enfin, si la cac
vieillard. L'étiologie est encore très obscure. Dans aucun cas, l'
affection
n'était héréditaire. Du côté de l'hérédité, cer
et que l'on distingue facile- ment des états morbides tels que les
affections
car- diaques ou rénales, la polysarcie, la sclé
cette opi- nion nous paraît la plus vraisemblable. La marche de l'
affection
est ordinairement lente; il est souvent diffici
que si la marche de l'hystéro- épilepsie est modifiée par certaines
affections
fébriles intercurrentes, ce n'est pas l'élément
fs; sa femme était morte et, néanmoins, il la réclamait non pas par
affection
, mais pour avoir quelques dou- ceurs. Cette déc
ve à l'appui de la théorie qui considère le mal perforant comme une
affection
de nature essentiellement nerveuse'. explicat
ment qu'elles avaient autrefois mis de persistance à les entourer d'
affection
. Bergeret d'Ar- boisnous montre une hystérique
oir; elles se plaignent alors de ne plus recevoir les preuves d'une
affection
qu'elles repoussent, portent contre leur mari d
ts de désespoir, ces explosions de gaieté folle, ces grands élans d'
affection
, ces 190 REVUE CRITIQUE. attendrissements rap
èrent tous leurs sentiments, l'indifférence comme l'enthousiasme, l'
affection
comme l'antipathie , la tendresse comme la hain
tait unie à un mari pour lequel elle res- sentit d'abord une réelle
affection
. Au bout d'un certain temps, elle prend un mali
araissent s'occuper d'elles et s'intéresser scientifiquement à leur
affection
. Cliomel, qui ne voulait plus s'occuper des hys
se- maines entières, ou encore d'autres malades qui simulent une
affection
de' matrice et qui reviennent sans cesse consulte
, c'est une sorte de quiétude dans laquelle les laissent toutes les
affections
d'une durée plus ou ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES
ieuses, comme si elle sa- vait par avance qu'il ne s'agit pas d'une
affection
irrémédiable. , Mais cette quiétude ne provient
Elles parlent d'elles à toutpropos, deleur vie man- quée, de leurs
affections
perdues, ou de leurs illusions évanouies, de le
e et cette mutabi lité dans leurs désirs, dans leurs idées ou leurs
affections
. C'est encore pour la même raison qu'elles manq
'au jour où un médecin impose son autorité, et lui démontre que son
affection
va devenir très ' Ch. Richet. -Les démoniaques
je voyais dans leursremontrances de tous les jours un excès dé leur
affection
; mais vous êtes venu, vous avez éloigné mes pa
aractère qui permettent de reconnaître une cer-' taine tendance à l'
affection
nerveuse. 1 9 « Ce sont ordinairement des fille
hésité à porter un pronostic très grave, puisqu'ils admettaient une
affection
des centres nerveux. Une autre petite fille de
ntérieure remplie de liquide cérébro-spinal, a pu vivre, sans autre
affection
que de l'idiotie, jusqu'à l'âge de vingt-trois
amille de l'inculpé des faits antécédents d'aliénation mentale et d'
affections
nerveuses, remontant à plusieurs géné- rations.
intérêt de cette observation réside dans la marche de la maladie, l'
affection
se présentant au début (il y a trois ans) sous
ion ; de là des comparaisons exactes touchant les phases de la même
affection
et différentes affections donnant lieu au même
ons exactes touchant les phases de la même affection et différentes
affections
donnant lieu au même symptôme, un diagnostic ce
forme de chorée électrique, que M. Guertin étudie de nouveau. Cette
affection
dont l'étiologie est encore fort obscure débute b
é. Pas de phénomènes généraux, pas de troubles intellectuels. Cette
affection
se distingue de la cho- rée vulgaire par l'abse
ains sujets; son absence n'est donc pas une preuve qu'il existe une
affection
quelconque du système nerveux. Il existe un cer
lexes peut s'observer non seulement dans la pre- mière période de l'
affection
, mais jusqu'à une période très avancée lorsqu'i
VI. Etude clinique sur la névralgie iléo-lombaire symptomatique des
affections
des organes génitaux chez la femme; par A. Le Bai
la rela- tion qui existe entre les névralgies iléo-lombaires et les
affections
des organes génitaux; il rapporte plusieurs obs
ations d'affec- tions aiguës de la vulve du vagin de l'utérus, et d'
affections
chro- niques de l'utérus et de ses annexes acco
s la paralysie générale, s'observent à toutes les périodes de cette
affection
, mais principa- lement dans la période de démen
mence. On l'ob- serve en dehors des asiles dans un certain nombre d'
affections
aiguës ou chroniques, dans la convalescence de
LELOIR (H.). Recherches cliniques et anatomo-palhologiques sur les
affections
cutanées d'origine nerveuse. Un vol. in-8° de 220
l'hystérie, cette maladie si éminemment suggestive, à l'étude des
affections
cérébrales. M. Charcot, se basant sur ce que le
nous ignorons, puisque ces accidents ont été transitoires et que l'
affection
ver- tébrale elle-même a subi un temps d'arrêt
ent bien nettement à l'ataxie, peuvent apparaître dès le début de l'
affection
et rester longtemps isolés ; mais souvent même
r se propose d'établir l'autonomie trop souvent mé- connue de cette
affection
, décrite d'ailleurs depuis longtemps sous des n
vail intellectuel prolongé, d'un excès, de trou- bles gastriques, l'
affection
apparaît d'emblée avec tous ses ca- ractères. E
es troubles oculaires constituent seuls, pendant longtemps, toute l'
affection
. Une migraine légère les suit ou au contraire,
alcoo- liques, il n'est pas rare de voir les symptômes propres à l'
affection
parah tique succéder à des attaques épileptifor
ns la pseudo-paralysie alcoolique, et en outre, dans cette dernière
affection
, la pupille est presque tou- jours immobile et
Crnnt : ;thèsrtle Paris, issi. De la révulsion iz la nuque dan* les
affections
chroniques du cerveau et de ses enveloppes ; 1r
Seciginuller, 91. \cvralgie il(·o-lomb;nrc syptuma- ti(illo (les
affections
des organes génitaux de la femme, 216. Nomina
page LXIII à lxix indique les motifs de la sortie, la nature cle l'
affection
pathologique dont étaient atteints les malades
ela dans le but d'éviter le transfert de malades sous le coup d'une
affection
aiguë, de même que nous prenons la température
rs jours (1) pour savoir si l'en- fant n'est pas sous le coup d'une
affection
aiguë, con- tagieuse ou non. Maladies infecti
e nos internes. En 1899 l'un do nos internes, M. Foulard, s'était
Affections
AIGUËS. LXXI intéressé vivement aux enfants att
service, bénévolement, pour examiner tous nos mala- des atteints d'
affections
oculaires. Ses examens, les traitements qu'il a
tion. Voici un rapide résumé de sa pratique pendant l'année 1902.
Affections
aiguës des y eux observées dans le service au c
es y eux observées dans le service au cours de l'année. - Parmi les
affections
aiguës nous en retiendrons deux seulement, la c
la sécrétion muco-pl11'ulcnte abondante. Mais il s'agit ici LXXII
Affections
aiguës. d'une conjonctivite chronique à symptôm
les enfants seraient restés dans leurs pavillons, conservant une
affection
de durée presque indéfinie, et constituant ains
C'est ainsi que nous avons pu en observer 16 au cours de l'année.
Affections
aiguës. LXXIII La lutte contre cette affection,
cours de l'année. Affections aiguës. LXXIII La lutte contre cette
affection
, essentiellement con- tagieuse, ne peut être po
jonctivite à bacille de Weeks donnent lieu à la grande majorité des
affections
conjonctivales chez les enfants du service. Nou
40 ans de tuberculose pulmonaire. - llèoc, G6 ans, atteinte d'une
affection
cardiaque. - l'as de renseignements sur les gra
rnelle, tics. Grand'tante - paternelle, chorée dans l'enfance, puis
affection
mentale. (idées de suicide). - Grand' oncle pat
uis affection mentale. (idées de suicide). - Grand' oncle paternel,
affection
men- tale. Mère, symptômes nerveux au cours d'u
l détail. On ne sait si leurs enfants ont eu des convulsions ou des
affections
nerveuses. - Deux soeurs : l'une, 45 ans, pas n
actère irritable, jaloux, envieux, ombrageux. Elle a maintenant une
affection
mentale, consistant en idées noi- res, idées de
typhoïde grave il 12 ans, avec délire pendant plusieurs jours Pas d'
affections
cutanées, ni de migraines. Caractère doux, exce
roisième cas est relatif iL un garçon cle 11 ans, offrant les mêmes
affections
. L'auteur termine ainsi : .1'ai cru devoir vo
» et qu'il est lié le plus souvent à une 8 ? Examen des réflexes.
affection
organique du système nerveux : hémiplégies, diplé
ique : son absence est signe de tabès, de paralysie géné- rale ou d'
affection
syphilitique du système nerveux. Il doit être r
: 1° Garçon, grand, fort, intelligent, mort a vingt-sept ans d'une
affection
pulmonaire aiguë, probable- ment de nature tube
es; enfin il n'est pas possible de comparer les divers cas de cette
affection
entre eux. C'est dans ce but que nous avons aut
onju- gaison, l'autre par le périoste, est une caractéristique de l'
affection
. Nous l'avions déjà constatée sur le crâne, nou
ent vis-à-vis de ses enfants. Pas de migraines. Pas de dartres ou d'
affections
cutanées. Aucun indice de syphilis. Nul renseig
t pas remar- qué de rumination ? - Aucun signe de connaissance et d'
affection
. La mère, à qui il ressemble, dit-elle, attribu
cas de maladie des tics; guérison; Par BOURNEVILLE et POULARD' L'
affection
nerveuse désignée par Charcot sous le nom de ma
l'enfance, mort de tuberculose. Demi-soeur paternelle, morte d'une
affection
du cerveau. Pas de consanguinité. Inégalité d'c
t, se ferment vigoureusement (ces tics ne sont légitimés par aucune
affection
des paupières ni des yeux) et en même temps les
2G-30° C exercent une action sédative bien plus marquée dans cette
affection
. En outre, l'hydrothérapie, prudemment maniée,
le monde a de l'aver- sion pour elle. L'tat intellectuel : Avant l'
affection
actuelle, intelligence normale, a eu son certif
faire pour l'idiotie mongolienne ou mongolisme. XXII. Un cas d'
affection
familiale à symptômes cérébrospi- naux : diplég
t CROUZON (1). Des travaux récents ont attiré l'attention sur les
affections
familiales du système nerveux. Depuis le travai
e deux frères, Thir..., malades cle notre ser- vice, atteints d'une
affection
spasmodique rappelant un peu la sclérose en pla
s héréditaires. -(Fournis par le grand-père mater- (1) Voir sur les
affections
familiales : Bourneville, Une famille d'idiots (A
milles d'idiots (Compte-rendu de Bicétre pour 1886, p. 3), etc. 23n
Affection
familiale. nel et par la mère). Père, 43 ans, f
oldat, s'est marié à 2J ans. Mère, morte en 18U3, à 56 ans, d'une
affection
du coeur, n'a jamais eu d'accidents nerveux, a
s; rien de particulier. Chute de voiture huit jours avant 236
Affection
familiale. René émotions, ni chutes. Mouve-
onformé : cyphose assez marquée. Déformation ampulaire du 240
Affection
familiale. René. - -- de la colonne vertébral
les genoux font saillie en dedans et se tou- chent. 16 £ 42 .
Affection
familiale. René. - prononcé des deux côtés, l
anatomique. - 1° L'intérêt clinique réside dans la similitude des
affections
dont étaient atteints les deux frères : ils pré-
e question qui se posait était de savoir s'il s'agis- sait là d'une
affection
familiale. Suivant Pauly et Bonne, pour mériter
amiliale. Suivant Pauly et Bonne, pour mériter ce qualificatif, une
affection
doit : a) attein- dre, sans changer de forme, p
re cliniquement indépendante de toute influence exté- rieure, d'une
affection
acquise ou d'un accident de la vie intra-utérin
y a, il côté de nos deux malades, cinq enfants qui n'ont eu aucune
affection
semblable. De plus, si nous pouvons Ù peu près
use. Aussi croyons-nous pouvoir conclure à la nature familiale de l'
affection
. 2° L'intérêt, anatomique de l'autopsie- de Ren
lleuse dans notre cas suffise à expliquer la symptomatologie de l'
affection
: dans la moelle en effet, la dégénéres- cence
ans cette hypothèse quelle sera la caractéristique anatomiquede son
affection
Mais il est permis actuel- lement cle le suppos
thèse que nous avons faite en 1900 sur la nature familiale de cette
affection
se trouve pleinement confirmée. , Suite DE l'
é reproduite dans le ne 17 du Progrès médical (1901, p. 2731. 250
Affection
familiale. ' Son histoire détaillée que résume
1. . 256 Mensurations : tète ET membres -Mesures de la tête. /
Affection
familiale. 257 8 mar.s. L'enfant ne prend plus
Nous ne connaissons, pas plus qu'en 1900, d'autre exemple de cette
affection
familiale. Tableau des Températures. Nanism
mptes-rendus de la Section, p. 167). . Mit. PESKER (D.). Un cas d'
affection
familiale à symp- tômes cérébro-spinaux. Thèse
Côté paternel. Rien de particu- lier à signaler au point de vue des
affections
nerveuses. - Côté maternel. De ce côté, tous se
agit pas là simple- ment d'une asymétrie ancienne non imputable à l'
affection
présente. La diminution de volume du bras est c
présente le malade ne peuvent être mis sur le compte d'aucune autre
affection
que l'hystérie. L'amyotrophie est évidemment de
équemment signalée (Charcot, Pierret, Bris- saud) ; - le début de l'
affection
aurait été marqué par une attaque apoplectique
s convulsions étant enfant. Masturbation de très bonne heure. Pas d'
affection
vénérienne. Pas d'alcoolisme. A dix-huit ans le
mpruntés à différents auteurs une nouvelle ob- servation de la même
affection
suivie d'autopsie, personnelle à l'auteur. Comm
0,00025 p. 100. Les observations prouvent : 10 qu'aucune forme d'
affection
psychique n'échappe au suicide, à l'exception peu
al D'OSLBRUC6 ; par 1.\TII (Allg. Zeitschr. f. Psych., XL[, 3). L'
affection
fut importée par un des médecins de l'établisseme
iquer soi-même), cela au stade précoce comme au stade tardif de l'
affection
. On note cependant que tous les autres aliénés co
arrive aussi, dans quelques cas, que lessignes « physiques des deux
affections
présentent entre eux une si com- « plète ressem
ustice. R. M. C. XIII. UN cas DE manie aiguë s'accompagnant D'UNE
affection
quasi- \phasique du langage; par Ii.-1S. IIIITC
diriger le sens. » R. M. C. XIV. SUR QUELQUES symptômes mentaux DES
affections
cérébrales ordinaires; par le Dr GASQUET. (The
squ'en 1882; les habitudes de masturbation persistent; survient une
affection
chi- rurgicale suivie d'une opération (castrati
un coup de pied de cheval, et, il y a quatre ans, été atteint d'une
affection
grave avec phénomènes cérébraux (vingt-cinq jou
bord que, lorsque les hommes qui ont eu la syphilis sont atteints d'
affections
psychiques, ils sont bien plus fréquemment atte
dans l'ensemble du développement, disparait le premier au début des
affections
cérébrales, dans la vieillesse, dans l'alcoolis
on a aussi signalé la participation d'autres domaines ner- veux à l'
affection
; aussi on a noté l'atteinte concomitante du tri-
les cérébraux syphilitiques : c'est peut-être le seul symptôme de l'
affection
. Il l'a observé deux fois à la suite de traumat
S. 123 tuberculose (v. Joffroy). Peut-être y a : t-il, comme dans l'
affection
semblable du kakké japonais, des micro-organism
ntre que les arguments qu'on a invoqués pour faire de la chorée une
affection
rhumatismale sont insuffisants BIBLIOGRAPHIE. 1
es cas où la névrose avait succédé à un traumatisme. Bien que cette
affection
ne soit pas exclusive aux jeunes gens, on peut
ilio-fémorales de la douleur, admet avec le professeur Nielly que l'
affection
vul- gairement appelée tour de reins est une né
s lombaire et sacré et non une rupture musculaire. L'origine de l'
affection
serait le pincement et le tiraillement auxquels s
ent lentement, et le plus souvent et plus complètement à la suite d'
affections
incidente* et en particulier à la suite de lé-
es, et souvent elles se répètent chez le même malade sans que des
affections
intercurrentes ou toute autre cause semblent joue
pas absolument propre à l'hystérie; on la rencontre dans toutes les
affections
qui intéressent l'appareil sensitif dans son en
réservé sur l'em- ploi des anesthésiques chez les sujets atteints d'
affections
rénales ou de diabète. CE. F. INDEX BIBLIOGRA
ipèle; son intelligence parut plus déve- loppée à la suite de cette
affection
1. Soignée ensuite pour un phlegmon considérabl
rs objets qu'on lui présente. Il est propre et paraît susceptible d'
affection
. (Fig. 5) La tête est grosse et ronde; la face
est bien de nature hys- térique et n'est pas imputable à une autre
affection
. Supposons en effet qu'il s'agisse là d'une par
nous semble qu'il est même inutile de discuter la possibilité d'une
affection
organique de la moelle ou des nerfs. Il suffit,
'une façon absolue de pareilles hypothèses. Il s'agit donc là d'une
affection
purement dynamique, et le malade étant un hysté
ases de la maladie, on est amené fatalement à rejeter l'hypothèse d'
affection
organique. Supposons pourtant un instant qu'il
e lésion* organique et de mettre la paralysie sur le compte d'une
affection
dynamique des centres nerveux. Quant à l'hémian
ar la paralysie nous ont conduit à établir qu'elle relevait d'une
affection
dynamique . Nous avons été ainsi amenés à consi
st loin d'atteindre les proportions qu'elle peut présenter dans les
affections
que nous venons de citer. Cela tient-il à ce qu
eut rester, pour ainsi dire, en germe pen- dant toute la^durée de l'
affection
. .. ,... 'olt 1 ? '. ' ., ? Passons maintenan
ressivement, céphalalgies, lassitudes, élancements dans les jambes,
affection
rhumatismale avec troubles mentaux, diminution
u rameau destiné du muscle de l'étrier. Mais il est cer- tam qu'une
affection
du tronc du facial même est capable d'en- gendr
petits muscles des mains participent, dans une certaine mesure, à l'
affection
, que les ex- tenseurs des mêmes extrémités comm
mptomatique ne permet de songer ni à une lésion cérébrale, ni à une
affection
cérébelleuse, mais ce n'est pas un tabès commun
condaire ou, tout au moins, concomitante); l'opinion de Struempell (
affection
systématique combinée) est assez sédui- sante,
ntrés sous l'influence de l'idée qu'il allait être en proie à cette
affection
et de l'angoisse que cette perspective lui proc
(Cen- li-aibl. f. Nervenheilk, 1885.) M. Thomsen, en décrivant l'
affection
dont il était atteint, lui et les siens, niait
mier éprouvée, continue persistante, avec celte particularité que l'
affection
réside surtout sur les membres inférieurs et qu
phénomène du genou apparaîtrait chez tous ces individus indemnes d'
affections
du système nerveux : on n'enregistrerait pas da
es bras et les jambes; gros troncs nerveux sensibles à la pression;
affection
articulaire passagère avec fièvre ; quelques ac
rabl., 1885). Voici cedontils'agit chez quatre individus atteints d'
affections
en foyer. Quand on soumet simultanément les deu
rvation précédente, l'exagération du réflexe patel- laire (indice d'
affection
cérébro-spinale) ; la lenteur relative du réfle
lenteur relative du réflexe qui s'étend ensuite très loin (indice d'
affection
céré- brale) tandis que sa rapidité dépourvue d
la paralysie spasmo- dique, l'absence d'atrophie, rapprochent cette
affection
de la sclérose en plaques dont elle diffère par
dit à cette hypothèse. P. K. XLIX. NOUVELLES communications sur LES
affections
DU SYS- TÈME NERVEUX QUI SE RATTACHENT A DES LÉ
er les différences radicales qui les séparent. II. La fréquence des
affections
mentales, chez les criminels détenus, dépend no
cas qui jusqu'ici ait terminé son évolution, la mort résulta d'une
affection
intercurrente, et malgré toute l'habileté des a
accomplirez avec plaisir, en vous attirant avec l'estime de tous, l'
affection
et la reconnaissance des malades. Il a été pr
ès la marche. L'anam- nèse montre que le malade a éprouvé les mêmes
affections
nerveuses quatre ans auparavant après une chute
c'est la combinaison des paralysies de nature cérébro-spinale à des
affections
de nature cérébrale, la combinaison d'une parap
le diagnostic est confirmé par la prompte disparition de toutes les
affections
de la maladie. Pour exclure la simulation, on t
ur ni adénite. L'appétit a été conservé pendant toute la durée de l'
affection
. 43. - T. R. 37°,5. Soir : 37",5. - 14. - T.
c'est vers cette dernière époque que semble remonter le début de l'
affection
; la marche, la parole, etc., loin de progresser
crétinoïde avec cachexie pachydermique. La véritable nature de l'
affection
paraît avoir échappé à M. Bail. Une circonstanc
es sous le nom de myxoedème, il en est qui se rapportent à d'autres
affections
, telles que la néphrite, etc. (le cas de il. Br
her n'avait reconnu qu'imparfaitement à cette époque la nature de l'
affection
dont était atteinte son opérée, il n'en a eu un
ement de l'absence de la thyroïde et qu'ils sont l'expression d'une
affection
céré- brale probablement corticale. Parmi les
. Le myxoedème a pu être confondu avec un certain nombre d'autres
affections
, la néphrite, la lipomatose généralisée, les li
ne courte analyse. Nous ne nous arrêterons pas sur les détails de l'
affection
mentale de cette malade, qui est entrée dans la
se. Antécédents personnels. On ne relève chez M... aucune trace d'
affection
nerveuse dans l'enfance; mais ses souvenirs ne pa
es à un cas d'atrophie musculaire généralisée ; il pense que dans l'
affection
désignée sous le nom de pseudohypertrophie on n'a
à des lactations se succédant à des intervalles trop courts, à des
affections
puerpérales graves, les cellules nerveuses gang
la fièvre. Chez trois enfants venus au monde en etat d'asphyxie, l'
affection
doit remonter à la naissance. M. DEmi.E. Cont
lo-rachidien, 402. Localisations méningées et encé- phaliques des
affections
catar- l'hales, par ltaymoud, 59. Localisatio
; (cérébro- spinale chronique), 60. Mentaux (troubles dans les
affections
cérébrales ordinai- res, par Gasquet,'70. Mor
étudier, devant vous, aujourd'hui, plusieurs malades atteints d'une
affection
nerveuse encore énigmatique à bien des points de
r combien la thérapeutique est encore hési- tante, en face de cette
affection
, par suite de l'absence d'une base pathogé- niq
e ce fait que la maladie de Parkinson peut être associée à d'autres
affections
: au tabes, par exemple. Je ne m'appesantirai p
c une escharre sacrée profonde, large comme la main. , Malgré une
affection
cancéreuse dont l'évolution a été accompagnée de
que dans le tabes incipiens (pl. VI), ce qui prouve que dans cette
affection
il y a toute une zone conservée entre la bandel
sur la planche II suffit pour constater qu'il s'agit bien là d'une
affection
systématique. Mais ce n'est pas le point le plu
antérieures sur la valeur des mots système élémentaire de fibres et
affection
systématique (1). Ce qui me paraît important à
ment un diagnostic de tabes basé sur les signes classiques de cette
affection
, on s'attend à trouver à l'autopsie la lésion c
s'attend à trouver à l'autopsie la lésion caractéristique de cette
affection
: la sclérose des cordons postérieurs. Une fois
RAPHIQUE DES RÉFLEXES PLANTAIRES A l'état normal ET dans QUELQUES
affections
spasmodiques DU SYSTÈME pyramidal PAII It H
dernières années, une importance très grande dans la sémiologie des
affections
de la voie motrice pyramidale. Les travaux de B
IRES 73 III ÉTUDE GRAPHIQUE DES RÉFLEXES PLANTAIRES DANS QUELQUES
AFFECTIONS
SPASMODIQUES DE LA VOIE' PYRAMIDALE. I. Les t
stitue pour eux le signe le plus sensible et le plus constant d'une
affection
de la voie motrice cérébro- spinale. Elle s'opp
ingo-myélites, myélites trans- verses, etc., etc. Dans toutes ces
affections
, on retrouve comme à l'état normal la même déco
rale, qui est la suivante : tous les malades atteints de semblables
affections
de la voie motrice, présentent des modifications
iblement identiques, quels que soient le degré et la nature de leur
affection
. Il est donc superflu de faire une étude spécia
crochet traduisant une esquisse de flexion préalable. A une même
affection
spasmodique de la voie pyramidale ne correspond
c prédominance de l'extension paraît être le type habituel dans les
affections
spasmodiques, puisque on l'observe dans les deu
uxième série de recherches peuvent se résumer ainsi : 1° Dans les
affections
spasmodiques de la voie pyramidale, comme à l'é
s important et le plus constant des réflexes plan- taires, dans ces
affections
, est constitué par leur exagération. La zone exci
concerne plus particulièrement le réflexe planti-digital, dans les
affections
spasmodiques du système pyramidal et quelle que s
la peau de la cuisse gauche. 78 VERGER ET ABADIE la nature de ces
affections
, ce-' réflexe peut affecter indifféremment, chez
accom- pagner en réalité la flexion à l'état normal, mais dans les
affections
spas- modiques de la voie pyramidale, elle pren
ien portant, et n'a pas fait d'excès alcooliques. Le début de son
affection
fut brusque : le 17 juillet 1902 il était à son t
nt. Cette sciatique, car je ne crois pas qu'il s'agisse d'une autre
affection
, présente diverses particularités dignes de rem
t noter que la déformation du tronc a commencé vers le Se mois de l'
affection
au moment où les douleurs se sont aggravées, et
des crampes fréquentes au mollet, au moins à un certain moment de l'
affection
. Enfin, il y a scoliose homologue. Ce sont là les
, le redressement du malade, permettent d'écarter l'hypothèse d'une
affection
vertébrale primitive (spondylose), et confirmen
en eu quelques raideurs de l'épaule droite avec craquements; mais l'
affection
articulaire était légère, car elle a été immédi
de celle-ci est probablement en rap- port direct avec la durée de l'
affection
. L'évolution de la maladie éclair- cira peut-êt
oxi-infectieuse émise récemment (2). . Résumé DE L'OBSERVATION. -
Affection
ayant évolué en 15 mois : début par céphalée oc
. le professeur Pierret et où nous avons pu suivre l'évolution de l'
affection
. - Observation. - Mme M..., femme B..., dévid
ne trouve pas de trace de syphilis dans son histoire. Histoire de l'
affection
. La malade fait remonter le début des accidents
ons et coeur sains. Urines : ni sucre ni albumine. Evolution de l'
affection
: - 12 septembre. - La malade est restée dans l
Nous appellerons l'attention sur les particularités cliniques de l'
affection
et nous essaierons de montrer comment les lésio
une des plus singulières parti- cularités qui les différencient des
affections
du domaine de la médecine interne, et même de t
fique sur les fonctions de l'écorce cérébrale, sur la nature de ses
affections
, sur le traitement des "aliénés, assimilaient le
les diverses formes de maladie mentale. Nous connaissons certaines
affections
de l'intelligence (qui ne sont pas des véritabl
a névralgie du trijumeau. Les oedèmes se rencontrent aussi dans les
affections
médul- laires, mais on les observe plus fréquem
t une rougeole bénigne. Voici dans quelles conditions est apparue l'
affection
pour laquelle il vint con- sulter, d'après les
rdonnier dans une section de commis et ouvriers d'administration. L'
affection
dont il est porteur est découverte à l'occasion
thoraci- que, 0 m. 84 (PI. XXIX et XXX) . D... est atteint d'une
affection
de la peau caractérisée, objectivement, par un
éralisée » (Paris, 1896), d'être instruit de l'exis- tence de cette
affection
pour être en état de la reconnaître, il suffira a
et de se reporter aux photographies pour établir le diagnostic de l'
affection
dont D... est atteint. Ce malade présente, à
Telle que, cette observation représente un type assez complet d'une
affection
qui, malgré des travaux récents, ne peut encore ê
uteurs dans l'étude des gan- glions rachidiens au cours de diverses
affections
. A mesure que la technique fait des progrès et
Ilead et Cam- pbell (3) clans le zona,par Marburg (4) dans diverses
affections
: paralysie progressive, pemphigus, tétanie. Ar
es que nous avons pré- cédemment décrites. Peut-être dans certaines
affections
les leucocytes con- trihuent-ils à produire ces
lésion cadavéri- que ; en tout cas, elle a été décrite dans tant d'
affections
diverses qu'elle ne saurait nous retenir plus l
'il est nécessaire de rechercher ces lésions dans un grand nombre d'
affections
avant de conclure sinon à leur spécificité, du mo
cation d'une théorie ; nous ferons remarquer cependant que dans les
affections
du système nerveux dont le substratum anatomique
accueilli. Il en revint, rapportant, comme témoignage insigne de l'
affection
papale, une des flèches avec lesquelles avait é
érapeutiques. Lorsqu'un des membres d'une famille est atteint d'une
affection
ner- veuse pour laquelle on désire obtenir l'in
yphilitiques. Enfin, il s'est efforcé d'isoler une forme morbide, «
affection
nerveuse caractérisée par de l'incoordination m
71, jusqu'à présent, se sont occupés de cette rare et très spéciale
affection
. Cependant les erreurs de diagnostic auxquelles
re côté l'absence de compression des nerfs optiques, la marche de l'
affection
qui semble arrêtée depuis quelque temps, grâce au
ens à l'âge de 32 ans, et la mère succomba à une méningite ou à une
affection
cérébrale, accom- pagnée avant la mort d'épista
tre et arrondie. Sauf peut-être la mort prématurée de la mère d'une
affection
cérébrale, à l'âge de 29 ans, nous ne trouvons
nts ; il naquit le deuxième; le premier est décédé très jeune d'une
affection
indéterminée; quant aux six autres, ils se porten
aurait été atteint de variole grave ( ? ), et, à la suite de cette
affection
, seraient apparus aux coudes et aux poignets des
ux points sont à retenir dans cette observation ; 1° la nature de l'
affection
, 2° les résultats de l'intervention. I. - En
résultats de l'intervention. I. - En ce qui concerne la naturede l'
affection
, plusieurs hypothèses peuvent être envisagées.
lquées l'une sur l'autre. Enfin l'on pourrait songer encore à cette
affection
singulière, décrite par Ollier sous le nom de d
l'atrophie se fait dans la rétine et que l'atrophie optique est une
affection
du neurone périphérique. Von Michel (3), en 189
pièce de comparaison les rétines de 4 sujets normaux ou atteints d'
affections
nerveuses diverses et de 2 sujets atteints de c
leur ressemblance avec certains phénomènes qu'on observe au cours d'
affections
nerveuses et mentales. Les uns, comme Calmeil, le
les grosses lésions des muscles. Nous sommes donc en présence d'une
affection
primitive des mus- cles, non pas.d'une myosite
e signes de tabès et de 6 syphilitiques non amaurotiques atteints d'
affections
mé- dullaires spécifiques-variées (paraplégie s
k s'en font les défenseurs et envisagent la syringomyélie comme une
affection
congénitale due à un arrêt de développement (Oc
tourée de sclérose névroglique, permettront d'en séparer les autres
affections
cavitaires qui peuvent la simuler, les pseudo-syr
comme centres et dont on ne trouve guère d'exemples dans les autres
affections
de la moelle. HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE ET PATHOG
t d'autant plus défectueuse chez les paralytiques généraux que leur
affection
progresse davantage. Il se pro- duit chez ces m
s derniers qu'il convient de ranger dès la première période de leur
affection
, les paralytiques généraux. Vous concevez mainten
venirs. Voici maintenant un malade âgé de 42 ans, comptable, dont l'
affection
date de quatre ans, et à qui je fais lire devan
souvent de savoir si l'on ne se trouve pas en présence d'une autre
affection
capable, elle aussi, de déterminer une aphasie
actuel à cet autre, écrit égale- ment par lui avant le début de son
affection
. - Vous avez pu remarquer d'abord l'embarras du
asion de l'affir- mer naguère, et d'opposer cette maladie au tabes,
affection
systématisée par excellence. La paralysie génér
, âgé de 54 ans, homme de lettres, vieux paralytique général dont l'
affection
a évolué très lentement et re- monte à sept ou
ralytiques généraux indiquent exactement la marche et le degré de l'
affection
. Pour faire pendant à ce que j'ai dit sur l'aph
le malade prit plus ou moins l'aspect d'un hémiplégique gauche. L'
affection
parut dès lors tout il fait arrêtée, elle laissai
dans la gaîne des vaisseaux, nous serions fort tentés d'attribuer l'
affection
a la syphilis. Il s'agissait non d'une iiiéning
ait pas. La mère est morte à 68 ans. Il ne parait y avoir eu aucune
affection
nerveuse parmi les ascendants ou les collatéraux.
verses, alcoolisme, syphilis, saturnisme ; infections, tuberculose,
affections
mi- crobiennes), les autres climatologiques (no
éthode descriptive adoptée par cet auteur dans sa « Séméiologie des
affections
mentales » (3). Cet emprunt paraîtra d'autant p
doit être considérée comme le premier essai d'une « séméiologie des
affections
mentales du cheval », et qu'elle complétera le re
expression d'une insuf- fisance de la respiration liée à toutes les
affections
chroniques du pou- mon et du coeur)) (Cadéac).
n état d'in- fériorité individuelle » (Séglas), en rapport avec une
affection
nerveuse ou mentale coexistante, tics ouépileps
idés dégénérés, déséquilibrés, héréditaires, soient prédisposés aux
affections
mentales, mais nous affir- mons,et l'avenir éta
E, 248, 322. Réflexes plantaires à l'état normal et dans quelques
affections
spasmodiques du système pyramydal (étude graphi
raphique des réflexes plantaires à l'état normal et dans quelques
affections
spasmodiques du système pyramidal (9 figures),
raphique des réflexes plantaires à l'état normal et dans quelques
affections
spasmodiques du système pyramidal (9 figures),
e lui-même, des autres et de la société; d'entourer sa famille de l'
affection
et des soins auxquels elle a droit, de tenir ho
r se préserver du mauvais sort. Telle était la situation, quand une
affection
intercurrente vint, en août 1879, la changer co
res troubles nerveux ou qu'ils produisent dans leur descendance des
affections
céré- bro-spinales. ' L'hérédité directe des
eut des attaques nerveuses, et il mourut quelque temps après d'une
affection
cérébrale. Un cousin germain de la ligne 42 -')
ifestations symptomatiques et non au point de vue de la nature de l'
affection
. Jacquemier dit : « Il est douteux que les femm
n mari, aucun parent ascendant ou collatéral qui soit atteint d'une
affection
nerveuse quelconque. Avant son mariage, elle n'
huit ans à un homme pour lequel elle n'a jamais eu ni répugnance ni
affection
. Quatre mois après, elle devint enceinte. Penda
e la prédisposition névropathique, et montrer que la dentition, les
affections
intestinales de l'en- fance, la scarlatine, la
s à différentes époques de la vie, soit à propos de la dentition, d'
affections
gastro-intestinales, de fièvres éruptives, etc.
une sorte ^aggravation de la maladie. Quoiqu'il en soit, une fois l'
affection
constituée, elle suit une marche distincte. L
motrice ; pas de complications psychiques, pas de syphilis, pas d'
affection
cardiaque. En quelques semaines, attaques répétée
philis et n'appa- rait généralement que de sept à vingt ans après l'
affection
; 4° Très peu de cas d'ataxie ont pu, chez la fe
ble démontrer, d'une part, que, chez les épileptiques bromures, les
affections
le- briles prennent souvent la marque de la fiè
pathique, le défaut de résistance constitutionnelle par suite d'une
affection
congénitale (tempérament), ou acquise (anémie,
uite d'une affection congénitale (tempérament), ou acquise (anémie,
affection
cardiaque), l'époque des règles, l'existence d'
jections hypodermiques de strychnine dans le traitement DE quelques
affections
du SYS- TÈME nerveux; par M. DE Cérenville (de
biliter les injections de strychnine dans le traitement de quelques
affections
nerveuses : atrophies musculaires, myélites chr
l éviter de réveiller la cause qui leur a donné naissance. Uans les
affections
des centres nerveux les effets ont été trop var
ysie, épilepsie, hystérie, hypochondrie), soit enfin à raison d'une
affection
incurable (traitement palliatif). En réalité, M
ns du sang que j'avais signalées aune certaine phase de cette grave
affection
, et m'opposait l'observation d'une paralytique
is, en effet, essayé de dé- montrer que le délire aigu fût la seule
affection
présentant des caractères infectieux. C'est, au
ers 'à vulgariser en Angleterre la connaissance de cette singulière
affection
. Dans cette statistique de quarante- huit cas,
uisqu'à elle seule, elle exclut du diagnostic un certain nom- bre d'
affections
organiques; cependant le'réflexe tendineux pour-
analogue à celle si- gnalée par M. Charcot dans la première de ces
affections
; quanta à la physiologie pathologique de la tét
E DU DÉLIRE CHRONIQUE; Par le D''Louis BOUCHER. Si les nombreuses
affections
qui atteignent les différents organes de l'écon
t, survies idées de persécution qui ont signalé - le début de son',
affection
. D'un caractère difficile, cette malade s'est s
res coupes de la même substance chez des sujets atteints d'autres
affections
mentales variées, l'auteur s'est assuré que l'hyp
ème jour, chez une malade qui portait en outre depuis longtemps une
affection
mitrale. Restent vingt et un cas à étudier : se
un cas, au point de vue de l'influence de la fièvre typhoïde sur l'
affection
mentale, a donné les résultats suivants : 10
its, on serait amené à penser que la fièvre typhoïde exerce sur les
affections
mentales une influence favorable, sans toutefoi
olation suprême d'être payées de leurs sactifices, par une parole d'
affection
ou de reconnaissance. Elles faisaient leur de-
es aigus et chroniques9lPâi·micles'effets aigus) il faut ranger des
affections
cutanées' polvm8rphes,uùrie hypérémie passive d
ues. Bien des motifs appuieraient, dans l'espèce, l'existence d'une
affection
infectieuse. Il n'est aucune- ment impossible q
notamment que les hypothèses de M. ne sont pas nécessaires pour les
affections
des nerfs périphériques qui procèdent par dégén
C'est donc ausst,f)ien une inllam- 5mation inlerstiliellei.qu'unef
affection
vasculaire. Les altérations décrites ! pai-rjTu
n a exclu la paralysie générale qui, pour lui, ne constitue pas une
affection
héréditaire. MAI. WtEHECKK et Ji.sTRomrz croien
ré, la discussion est écartée, b.n '. n t 111. K\HL))\UM.SM)' les
affections
nerveuses et mentales de la jeunesse et, leur t
, que jadis, dît alors, ou bien, quelle qu'en , soit l'intensité, l'
affection
passe proportionnellement, vite, sans qu'on ait à
ent malade dans sa plus tendre enfance (fièvre typhoïde, pneumonie,
affections
cé- phaliques ou encéphaliques), et son état de
ent aussi, comme l'on sait, dans celte maladie, sans qu'il existé d'
affection
en foy er. , i. , 0 r ? r- M. IFNDrL demande si
NicKc affirme à nouveau qu'il s'agit d'un càs' de tabès compliqué d'
affection
en foyer toutspeciate, dontt'origine'premiere -
es peuvent effectivement guérir, notamment sous l'inllucncc d'une
affection
intercurrente aiguë, ou à l'époque de la ménopaus
ort brusque par injection de mor- phine chez des malades atteints d'
affections
vésicales ou car- diaques. (Obs. de M. Féré.) ·
t, de déduire de ce fait la nécessité d'une relation entre ces deux
affections
; mais il est utile de constater la possibilité
d'une bonne santé ; aucun n'a pu nous signaler dans la famille une
affection
analogue. Dans le cas qui vient d'être rappor
ation des réflexes qui, pourtant, n'a pas été si- gnalée dans cette
affection
. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE A FORME D'ÉPILEPSIE PA
s soeurs en bas âge; un de ses frères serait mort de méningite. L'
affection
actuelle a débuté à l'âge de dix-sept ans. A cett
ernel alcooliques. Mère nerveuse. Grand'mère maternelle morte d'une
affection
pulmonaire. Soezti- morte de convulsions. - Frè
et eau-de-vie). jllèi,e, ménagère, morte à soixante-sept ans, d'une
affection
pulmonaire avec ascite; quatre soeurs : une mor
mée et intelligente ; - 20 fille mariée ; elle est souffrante d'une
affection
vénérienne qui lui aurait été communiquée par s
Grar... et plusieurs de ses grands parents, nous ne trouvons aucune
affection
nerveuse ou héréditaire dans la famille de notr
correspondant. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXIII. Un cas d'
affection
chronique DE la moelle épinière,guérison; par A
els de la paralysie générale, est indubitablement atteinte de cette
affection
. Dans les deux derniers mois de la mala- die, o
nomènes bulbaires. 332 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Mort par une
affection
respiratoire intercurrente. Durée six ans. Les
femme de cinquante-neuf ans, sans antécédents nerveux personnels. L'
affection
a débuté il y a trois ans et neuf ans après la
superposition, de la coïncidence, chez un même sujet, de plusieurs
affections
mentales évoluant côte à côte, chacun suivant l
une folie à part dont les symptômes bruyants, prenant le pas sur l'
affection
préexistante, la masque- ront plus ou moins, sa
d il s'agit d'établir que tel symptôme est pathoguomonique de telle
affection
mentale déter- minée. De cette recherche minuti
es modifications histologiques montrent, d'après M. Schultze, que l'
affection
est constituée par 'une lésion systématique de
édité myopathique ou névropathique. Quant à la cause immédiate de l'
affection
(refroidissements, humidité, rhumatisme), le pati
ut en portant le diagnostic paralysie générale, à l'existence d'une
affection
orga- nique de l'encéphale, probablement du cer
t, qu'elle a, dans tous les cas observés, été le symptôme initial d'
affections
ancéphaliques graves. Où faut-il la localiser ? S
quelques cas, les réflexes tendineux étaient exagérés au début de l'
affection
; plus tard, ils décroissaient jusqu'à disparaître
gnés ne permet de conclure résolument à une origine médullaire de l'
affection
. Peut-être s'agit-il d'un mode rudimentaire ou
ires homologues de l'autre jambe. La jeune fille, atteinte de cette
affection
, très vigoureuse et très flo- rissante, ne prés
sive de l'ensemble des muscles de I'oeil dans ses rapports avec les
affections
psychiques et mé- dullaires '. Depuis lors, qua
intellectuelle modéré, sans tare héréditaire, de par l'évolution d'
affections
fébriles graves (fièvre typhoïde, variole, fièvre
n lui doit : Considérations physiologiques et pathologiques sur les
affections
nerveuses dites hystériques. Paris, 1841 ; Plan e
al, 249, 359. Irradiations capsulaires, 1, 151. Jeunesse (sur les
affections
ner- veuses et mentales de la), par Kahlbaum,
246, 382. Strychnine (Injections sous-cuta- nées dans quelques
affections
du système nerveux), par de Céren- ville, 99.
, on pourrait supposer, à première vue, qu'on est en présence d'une
affection
du rachis indépendante de la sciatique. Au co
déviations rachidiennes provo- quées par la sciatique que dans les
affections
primi- tives de la colonne vertébrale. Mais, pa
l'échancrure jusqu'au creux poplité. Au début et à la fin de cette
affection
qui fut très in- tense et qui dura six semaines
E NERVEUSE. ici qu'une importance fort secondaire. La plupart des
affections
douloureuses des membres inférieurs peu- vent p
ssi géné- rale que celle de la contracture survenant à propos des
affections
douloureuses. L'exemple qui précède fournit la
s provoquées par ces névralgies. Conclusions. l°Lasciatique est une
affection
dou- loureuse qu'il est souvent difficile de li
idienne. Dans les conditions normales ! , . en l'absence de toute
affection
douloureuse ou non douloureuse du membre inféri
voir dans son service à la Salpêtrière un cas de cette singulière
affection
qu'il a décrite et qui a été désignée par le Dr
osé aux Archives'de Neurologie, le 2 août 1889. 1 P. Blocq. Sur une
affection
caractérisée par de l'abasie et de l'as- tasie
ntes pour l'explication de l'origine essentiellement psychique de l'
affection
dont souffre actuelle- ment notre malade. On pe
de l'hystérie, nous nous croyons cepen- dant autorisé à ranger son
affection
sous la rubrique de l'hystérie, en raison surto
i s'appelle l'hystérie, à moins qu'elle ne soit le symp- tôme d'une
affection
organique du système nerveux. A côté de toutes
peut pas omettre le tra-' vail du professeur Leyden intitulé « De l'
affection
de la moelle épinière causée par une diminution
tes pas matérielle, car l'accident rentrerait dans la catégorie des
affections
permanentes prove- nant de l'emploi des scaphan
L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 115 b). Défendre les immersions en cas d'
affections
pul- monaires soit aiguës, soit chroniques, qui
D'ailleurs, ces moyens consti- tuent la thérapeutique classique des
affections
cen- trales d'autre origine. La suspension n'
t la première fois qu'il aurait été malade. Il n'a jamais eu aucune
affection
dans son enfance. Il n'est pas peureux. Traitem
87). L'immense majorité (90 0/0) des apoplexies cérébrales et des
affections
en foyer du cerveau respectent l'orbiculaire des
pendamment de la croissance de nouveaux cheveux. Il n'y avaitaucune
affection
des cheveux ni du cuir chevelu, à l'exception d
gu mortel. Quant aux altérations musculaires elles proviennent de l'
affection
mentale qui nous occupe. Discussion. M. SC11UEL
e, il ne s'en suit pas qu'elle soit absolument inoffensive dans les
affections
du coeur en général. Ce qu'il faut dire, c'est
pût néanmoins le taxer d'aliéné ; droitier, il était atteint d'une
affection
ancienne de l'oreille moyenne du côté gauche qu
double forme, décrite en 18;;4 par le Dr Falret père et Baillarger,
affection
également bien définie par sou évolution fatale e
aux du Progrès médical. CHARCOT (J.-)l1.). -Dfaladies infectieuses,
affections
de la peau, kystes hydatiques, thérapeutique (t
traetement by suspension of locontotor ataxy and some other spinal
affections
. Traduit du Français par A. de Wat- teville. Br
Baillière et fils. Edwards (B.-A.). De l'hémiplégie dans quelques
affections
nerveuses (ataxie locomotrice progressive, sclé
les de la sensibilité générale et spéciale vont de pair, dans cette
affection
essentiellement diffuse, avec ceux de la motili
: 1° Garçon, grand, fort, intelligent, mort à vingt- sept ans d'une
affection
pulmonaire aiguë, probablement de nature tuberc
Eiselsberg ont une valeur particu- lière, et me font croire que les
affections
mentionnées ci-des- sus, le myxoedème par exemp
ine des métastases. - De ce qu'une névrose alterne avec une autre
affection
, il ne s'ensuit pas nécessairement que cette dern
ents nerveux. - Pour compléter cette étude, il faut ajouter que les
affections
somatiques, lorsqu'elles surviennent chez les a
issent ainsi sont purement fonctionnels ; on voit bien en effet une
affection
fébrile intercurrente faire dispa- raître l'exc
aptes que d'autres à modifier les troubles mentaux, par exemple les
affections
douloureuses et les affec- tions de la surface
ésion des lobes occipitaux. G. D. V. Contribution : 1 L'ÉTUDE des
affections
syphilitiques DU système nerveux central avec q
ient accidentelles. P. KERAVAL. VII. Contribution A la question des
affections
systématiques COM- binées DE la moelle; par A.
ence ou plutôt la diminution des réflexes. L'auteur rapproche cette
affection
des tics convulsifs et croit, comme Friedreich, à
es d'une hémiplégie : il n'y a SOCIÉTÉS SAVANTES. 249 9 eu aucune
affection
des muscles de l'oeil; et la motilité de la face
nisme par ce procédé guérissent d'une façon remarquable : névroses,
affections
goutteuses et rhumatismales. La rapidité des ré
née de multiplication exagérée des noyaux et de vacuoles centrales.
Affection
d'ailleurs apyrétique, elle tient manifestement
tions musculaires. La constipation opiniâtre et la fréquence des
affections
pulmonaires se rat tachent aux lésions, des muscl
e pathologique, de distinguer la maladie qui nous occupe des autres
affections
du système nerveux et de lui créer une place à
e et constellées de vacuoles. La présence de telles fibres dans les
affections
spinales bien caractérisées, et la consta- tati
230 livres, bien que le panicule adipeux soit normal. Nulle trace d'
affection
articulaire, etc., etc. La ma- ladie a débuté i
ganique des centres, une tumeur par exemple des régions motrices. L'
affection
ayant guéri au bout de huit mois de traite- men
re concerne des spasmes toniques et cloniques du triceps brachial l'
affection
; en dépit de toute espèce de traitements, dura
pontanée non suppurée décèle des analogies surprenantes entre cette
affection
et les formes traumatiques. On y constate : 1° de
e tracé des carac- tères, des fautes d'orthographe propres' à cette
affection
mentale, et de lacunes de style marquées au mêm
re et absurdité de la con- duite. Il est évident qu'il s'agit d'une
affection
corticale; M. Neuendorff reviendra plus lard su
t plus que douteuse. Elle aurait commencé à se piquer au cours d'un
affection
pulmonaire. Trois tentatives de désaccoutumance
sté est dans un état avancé de folie; elle souffre de celte forme d'
affection
mentale que les aliénistes connaissent bien sou
de paranvio : . ' 2° De la marche progressive et continue de cette
affection
dont le début remonte à plusieurs années, on pe
ns : Ifzerzstliche Erzeuyung von Epilepsie bei Meerscletueinchen. -
Affection
des Nervensystems nach Pocken zttttl Typhus. Uebe
fr. - Bureaux du Progrès médical. CHARCOT - Maladies infectieuses,
affections
de la peau, kystes hydatiques, thérapeutique (t
lques détails au sujet des relations qui exis- tent entre certaines
affections
du système nerveux et le diabète. C'est un suje
ir dans toute glycosurie, même dans la glycosurie diabétique, une
affection
des centres nerveux et de chercher à démon- tre
cutives au diabète que je veux insister aujour- d'hui, mais sur une
affection
organique ou dynamique, c'est ce qu'il s'agira
a des caractères particuliers qui permettent de les distinguer des
affections
analogues. J'ajouterai enfin que ces deux ordre
s ? Doit-on faire inter- venir une névrite périphérique ou même une
affection
spinale dynamique ? La première hypothèse, dans
beaucoup près, bien qu'on ait pu établir les traits capitaux de l'
affection
à ce point de vue. La raison de notre ignorance
nerveux. Il s'agit en réalité dans la maladie de Friedreich d'une
affection
d'origine héréditaire, dont la tendance est de
as est un de ceux qui correspondent le plus exactement à la forme d'
affection
mentale que M. Clouston a décrit dans son livre
ne peut après mûr examen, découvrir aucune névrose ou aucune autre
affection
de nature héréditaire, le mariage consanguin ne
fléau parce qu'il empêche d'interner à temps des malades atteints d'
affections
mentales récentes. Il est impossible de constru
wul Thérapie der psychischen K1'ankheiten (1845) pour désigner une
affection
meulale incurable secondaire dans laquelle préd
us normaux. - Sous le nom de Wahnsinn, de Krafft-Ebing dé- crit une
affection
psychique qui n'est en réalité qu'une psychose
re), tantôt acquise, ou secondaire en tant que stade terminal d'une
affection
psychique. Schuele décrit une folie systémati
es de l'organisme, ou, en d'autres termes, l'expression mentale des
affections
somatiques ; en troisième lieu, il étudie les t
ou étranger qui relatera le plus grand nombre de cas de guérison d'
affections
nicotiniques, mais au moins quatre, par le reno
bonnés, 1 fr. 35. EDV.1RD5 (B.-A.). De l'hémiplégie dans quelques
affections
nerveuses (Alaxie locomotrice progressive, sclé
, 110; (anatomie pathologique de la), par Francotte, 161, 378; (
affections
systématiques combi- nées de la), par Erlick et
lement et semble avoir joué un rôle effectif dans la genèse de l'
affection
. Un courant d'air, une croisée ouverte en voitu
e constitue la cause dominante daus la genèse de la plu- part des
affections
du système nerveux. . Depuis longtemps déjà, da
il y a quatre DE LA PARALYSIE FACIALE. 5 ans, nous dit-il, d'une
affection
nerveuse après être restée pa- ralysée des deux
triple observation : Grand' mère maternelle morte à la suite d'une
affection
men- tale après avoir eu le délire de la perséc
aujourd'hui (26 avril, 1887), soit' trois mois après le début de l'
affection
avec une paralysie faciale incomplètement guéri
ides (arthritisme, diabète, obs. XIV), dont les connexions avec les
affections
du système nerveux sont aujourd'hui bien établi
solument im- puissantes pour provoquer une hémiplégie de la face.
Affection
essentiellement nerveuse, la paralysie fa- cial
, etc. De ce genre est « l'épilepsie dont parle Bootius {Traité des
affections
omises, ch. vi) d'un malade qui courait durant
alade ne laisse du reste aucun doute sur la nature épileptique de l'
affection
. Au commencement de notre siècle, Hufeland publ
araît ignorer complètement la publication que fit son père de cette
affection
. « J'ai fait allusion, dit-il, dans une leçon cli
ouve du malaise et de la courbature. Depuis deux mois, une nouvelle
affection
s'est montrée. Le 8 décembre 1850, la jeuneB...
valle desquelles les membres étaient souvent un peu agités. Cette
affection
avait été combattue jusqu'alors à l'aide de la
n centre spé- cial pour le sens musculaire. Nothnagel pense que l'
affection
de la motilité consécutive à la destruction des
citation des centres moteurs comme de nature réflexe, tandis que l'
affection
de la motilité résultant de leur destruc- tion
or ils sont intimement liés aux rameaux moteurs du même plexus; les
affections
qui pourraient les inté- resser (névrite, tumeu
de la sécrétion de la sueur s'expliquent par le retentissement de l'
affection
des ganglions intervertébraux et des racines po
i reparaissaient avec les changements de temps, firent songer à une
affection
rhumatismale légère, à une sorte de pa- chyméni
nt du traitement, la malade pouvait être considérée comme guérie. L'
affection
n'a pas reparu depuis. Peut-être certaines aiie
s pathologique, mais de l'organe atteint, on peut réunir toutes ces
affections
des racines posté- iieures, sous le nom de mono
me nouvelle de diabète qu'a réédifier une théorie nerveuse de cette
affection
(de Ferry de la Bellonne), ne s'observe que dan
en alcoolique, débile, mais nullement hysté- rique, porteur de deux
affections
cutanées rares et intéressantes : l'une, du dom
voisine de la mott, malgré le caractère du délire, l'histoire de l'
affection
et la coexistence des attaques hystériformes ;
le trouble pupillaire peuvent être le fait de la pneumonie et cette
affection
s'accompagne parfois d'un certain degré de méni
. Suivant eux, la folie des persécutions ne serait en aucun cas une
affection
accidentelle, survenant dans le cours de l'exis
de la sincérité de l'artiste, que ce diagnostic rétrospectif d'une
affection
nerveuse alors méconnue et attribuée à une caus
? Parce que, ainsi qu'on l'a dit bien souvent, dans les familles, l'
affection
descend et ne remonte guère. Nous pou- vons êtr
d et ne remonte guère. Nous pou- vons être à peu près certains de l'
affection
des membres de la branche ascendante de la fami
nt pour leurs oncles, et les cousins pour leurs cousins, un degré d'
affection
susceptible d'équivaloir aux garanties que la c
rs, à la dernière hypothèse, celle où, par suite de la gravité de l'
affection
mentale, la séquestration devient nécessaire. A
re de sem- blablesreproches à des collatéraux avides et dépourvus d'
affection
, ce n'est pas aux parents vis-à-vis de leurs en
e ce père de famille, après avoir donné de pareilles preuves de son
affection
et de son dévouement, par cela seul qu'il n'aur
es, lorsque c'est par les parents les plus proches, par ceux dont l'
affection
est considérée comme offrant la garantie la plu
par le passé, ne conservaut plus, en apparence, aucune trace de son
affection
. Mais ce mieux ne fut pas de longue durée. Troi
es des nerfs du mem- bre supérieur et porte le diagnostic suivant :
affection
rhu- matismale probable des enveloppes de la mo
ade d'Adamkiewicz, démontre la nature purement fonctionnelle de l'
affection
. Le traitement a été ainsi institué : à l'intérie
pas et continue de vaquer à ses affaires. Au bout de deux ans, l'
affection
entre dans une nouvelle phase survenue non moin
rectement la paralysie générale. On sait qu'à la suite de certaines
affections
aiguës, telles que la variole, la diphthérie, l
jouir d'une excellente santé. A cette époque, il fut atteint d'une
affection
fébrile très grave( ? ) contre laquelle ou lui
placé à Charenton. Il est mort dans le courant de 1882. D'autres
affections
, qu'on s'attendrait à rencontrer fréquemment da
résumé, la question des rapports de la paralysie générale avec les
affections
aiguës, ou chroniques, an- térieures, est encor
de connaissance. [Père, cordon- nier, alcoolique, a succombé à une
affection
génito-urinaire. Mère morte d'accidents pulmona
inaire. Mère morte d'accidents pulmonaires sans avoir jamais eu d'
affection
nerveuse. Un frère bien portant, un autre mort de
ertains troubles nerveux qu'il a observés chez des pianistes. Cette
affection
a une certaine analogie avec la crampe des écri
plus souvent ce sont des individus nerveux ou présentant certaines
affections
(anémie, rhumatisme, goutte, dyspepsie) qui son
nscience de l'état morbide qu'il vient de traverser ; il parle de l'
affection
cérébrale dont il a subi le choc, en homme qui
- marche incertaine, parole anxieuse avec bégaiement. Diagnostic.
Affection
organique du cerveau, par inflammation de la tabl
ans l'intérêt des malades eux-mêmes (tendance au suicide, onanisme,
affections
chirurgicales, etc.). XVIII. M. BOTKIN a démo
l'estomac et le Pr Bouchard dans ses remarquables travaux sur cette
affection
avait déjà indiqué ces signes possi- bles de l'
ux, car ceux-ci peuvent dis- paraître par le simple traitement de l'
affection
gastrique. P. B. SÉNAT DISCUSSION DU PROJET D
ur le sens de la lumière et sur le sens de l'espace dans diverses
affections
de l'oeil », laissant de côté la per- ceptibili
ladies bien définies; et pourtant il peut arriver, que toutes ces
affections
d'apparence différente, ne soient que des sympt
état de la sensibilité chez tous les malades qui étaient atteints d'
affection
de ce genre, et réunit ainsi un grand nombre d'
tique de l'analgésie partielle), et ont permis de les rapporter à l'
affection
que nous décrivons. En outre de tous les cas én
panaris analgésique. Chez ces auteurs, le panaris apparaît comme l'
affection
fonda- mentale. Chez d'autres : Landois et llos
elles on n'aurait pas pris en considération la symptomatologie de l'
affection
, que nous étudions, ne peuvent pas contribuer à
que la gliomatose de la moelle épinière est loin de constituer une
affection
rare. Si jusqu'à présent elle se diagnostiquait
anière plus soignée l'état de la sensibilité dans les différentes
affections
du système nerveux, j'ai réussi pendant ces der
rai mes observations de telle façon, que d'après les premiers cas d'
affection
complètement deve- loppée, et dans lesquels la
tômes carac- téristiques. Ceux-ci nous aideront à diagnostiquer l'
affection
, dans d'autres cas où le développement de la ma
entionne l'idiotie avec accès épileptiques présumés. Cette dernière
affection
paraît douteuse; les mouvements irréguliers dép
t très peu. Il n'a pas eu d'autre maladie durant son mariage qu'une
affection
osseuse, consécutive à sa fracture. Il n'avait
ue les autres font, et avertit en cas d'accidents. Il avait pris en
affection
nne personne du service et lui envoyait les fle
bl. f. Nei,venfteik, 18SG.) Tandis que les individus atteints d'une
affection
organique des centres nerveux ferment au comman
s du tabes, de la sclérose en plaques, et, en général de toutes les
affections
des centres nerveux, carac- térisées par des lé
d'une dothiénentérie intercurrente, alors que tout traitement de l'
affection
médullaire était suspendu. G. D. XIX. NOTE SU
xquelles se sont ralliés les auteurs quant à la pathogénie de cette
affection
, mais ne se prononce en faveur ni de l'origine
érencie aisément de celles que l'on peut rencontrer dans les autres
affections
. Aussi M. Lafosse s'est-il cru en droit de créer
s névroses, il indique l'état des connaissances actuelles sur celte
affection
en général. La description détaillée de la céphal
solument probants, cette lésion pou- vant être mise sur le compte d'
affections
intercurrentes, tuber- culose, cachexie, artéri
ées une revue des cas du même genre et des considérations sur cette
affection
. Parmi les autres cas intéressants suivis d'aut
e prévenir souvent des accidents auxquels ils sont exposés par leur
affection
. J'ai eu l'oc- casion de vous énumérer ces diff
dus pêle-mêle au milieu d'autres malheureux, atteints eux-mêmes d'
affections
repoussantes. Jeune encore, au début de ma carr
cé de réunir tout ce qui pouvait aider au traitement de l'une des
affections
les plus pénibles. Là, plus d'instruments de tort
e entraîne la diminution de la fonction et engen- dre par suite les
affections
les plus diverses. Cette force morale qui manqu
irical lecl. on pnralysis, cerlam diseuses lof the brain and olhel'
affections
of the nervous sstem. London, 1856 (cité par Bouc
isme, hystérie, neurasthénie, chorée. migraine, épilepsie, démence,
affections
organiques du système nerveux, syringomyélie, lèp
e étude histologique sur les tissus osseux et ostéogènes dans cette
affection
et les caractères macroscopiques du sque- lette
caractères typiques très complexes que présente le crâne dans cette
affection
. Ces observations suivantes reposent donc sur 1
ses que l'autre respecte, n'est pas fondée non plus ; dans les deux
affections
, il s'agit, entre autres choses, d'un développeme
eu quatre frères : deux morts en bas âge et deux à l'àge adulte, d'
affections
qu'il ignore. - Lui-même n'a eu d'autre maladie
e Paris, 1896 et Arch. de Neurol., 1896, n° 8 ; F. RAYMOND, Sur les
affections
de la queue de cheval et du segment it/'érieur de
ècle, que les nerfs périphériques peuvent pendant l'évolution d'une
affection
tuberculeuse, subir des lésions indépendantes d
leuse infiltrée de Raymond. On peut exclure de suite cette dernière
affection
, en rappelant qu'en outre de la parésie et de l
urologie de Paris, 6 juin 1901. 69. Batten (E.). - Some tuberculous
affections
of the nervous system. The Practitio- ner, vol.
xagérée, et mieux encore par conséquent chez les malades atteints d'
affections
nerveu- ses spasmodiques. Si l'on percute l'a
re de cet oedème demi-solide. xxi u 12 178 HOPE ET FRENCH Celle
affection
étant commune dans la famille, on n'y prêta que p
195 trice est généralement considérée comme étant à l'origine de l'
affection
: C'est la maladie de Raynaud, l'urticaire fact
Raynaud, l'urticaire factice, et l'oedème angioneu- rotique. Ces
affections
sont tellement distinctes dans leurs manifestatio
, tant générale que locale. 3° Forte prédisposition familiale à l'
affection
. 4° Absence de douleurs dans les jambes pâles e
important semble être de reconnaître de bonne heure la nature de l'
affection
et de tenir dès le début les jambes constamment e
érable que celui qu'elles indiquent. Effets de la grossesse sur l'
affection
. Plusieurs filles de la famille se sont mariées
famille, n'en était elle-même pas affectée, mais elle a transmis l'
affection
à sa propre fille Ellen. On pourra peut-être plus
chose sera intéressante, voir les enfants d'Ellen ayant échappé à l'
affection
, donner naissance un jour à des enfants qui en se
«oedème héréditaire persistant des jambes», ou maladie de Milroy. L'
affection
frappe aussi bien lessujets mâles que les sujet
I. ... La contradiction prouve le défaut de réalité. (J. PAGET,
Affections
neuromiméliques des articulations.) LA DÉMARC
e Todd et Charcot fondent le diagnostic différentiel entre les deux
affections
. ' Ce diagnostic ne pourrait-il donc être fait
la vraie coxalgie et la coxalgie hystéri- que, dit : «dans ces deux
affections
, les contractures siégeant sur les muscles pelv
l, puisque les deux positions peuvent exister dans l'une et l'autre
affection
. Ce qu'il y a de particulier dans la coxalgie h
mais à ce résultat dans la coxalgie hystérique. Dans cette dernière
affection
, la marche présente aussi quelque chose de très
YSTERIQUE 23 ? 1 « J. Paget, à propos de la claudication dans « les
affections
neuromimé- tiques (hystériques) des articulatio
n diagnostic difficile; lorsque la jointure est réellement malade l'
affection
est très évidente. Les cas choréiformes sont pl
talon à chaque pas, qui fait naître, on ne peut mieux, l'idée d'une
affection
du genou. Beaucoup plus compliqués sont les cas d
en avant on en dehors, un peu à la manière d'une personne qui a une
affection
commençante de la hanche. » La ressemblanèe n'e
s- tic. Il s'agissait d'une malade qui avait un frère atteint d'une
affection
scrofuleuse grave de la hanche. Dans ce cas la
A l'exa- men objectif de cette malade on ne trouvait aucun signe d'
affection
or- ganique, au contraire tous les signes carac
alade pouvait courir sans boiter ; cela indique bien la nature de l'
affection
. Toutes les fois qu'un malade se plaint d'une a
er, sous cette compensa- tion paradoxale, la nature hystérique de l'
affection
. Certes, on ne relève pas d'une manière aussi
que leur simple constatation suffit pour établir le diagnostic, les
affections
hystériques au contraire M'MMjo ? 'MH6M< aux s
nerveuses. Archives de Neurologie, 1888. BIIO/HE. - Leçons sur les
affections
nerveuses locales. CIIARGOT. Leçons sur les mal
00. Jiccoud. - Les paraplégies et l'alaxie du mouvement. BENON. -
Affections
péri-arliculaires de la hanche simulant la coxalg
(en dehors des vagues douleurs accusées par le malade au début de l'
affection
, sont nuls ; les réflexes rotuliens abolis. S'a
oit la localisation exacte de la lésion, l'origine infectieuse de l'
affection
paraît évidente. La nature intime n'en a pu être
aire. Nous avons choisi, à cet effet, des malades indemnes de toute
affection
du système nerveux (tabes, Paralysie Générale,
n d'un des pieds. Ainsi donc, près de 30 0/0 des malades indemnes d'
affection
avérée du système ner- veux ont le réflexe plan
ttirer l'atten- tion. Si nous recherchons maintenant quelle est l'
affection
qui a nécessité l'hospitalisation de ces malade
ropositions suivantes : Chez un certain nombre de sujets indemnes d'
affection
avérée du sys- tème nerveux, l'excitation de la
paux, ont constitué un chapitre nouveau de la pathologie, celui des
affections
médicales du rachis. 1 Des types nets sont re
cent (1), les autopsies en sont rares, car on ne meurt pas de cette
affection
. (1) PIERRE Marie et LERI4 Examen du rachis dan
C'est sur le terrain anatomo-pathologique que l'individualité de l'
affection
de Marie Strumpell trouve son plus solide appui
; la raison en est dans l'absence d'hyperostose qui distingue cette
affection
du rhumatisme anky- losant vertébral. Les seuls
aques et oculo- moteurs. Toutefois, dans l'une comme dans l'autre
affection
on n'a décrit jusqu'ici que des lésions limitée
arent du membre. Il contracta à cette épo- que, mais bien après son
affection
de la hanche, une légère blennorrhagie. Après s
ent pas d'une lésion primitive de l'hypophyse, mais qu'elle est une
affection
de tout l'appareil des glandes sanguines causée
tte sorte ont été sur- tout étudiés par les ophtalmologistes. Cette
affection
qui a faitrécemment l'objet de plusieurs mémoir
maladie grave pendant cette époque : on ne trouve pas la trace de l'
affection
causale. A l'école il apprit avec autant de fac
u point de vue des troubles fonctionnels pouvant être rapportés à l'
affection
, nous les avons trouvés nuls chez le second malad
a première. En conséquence, la survivance, à l'état de névrose, des
affections
organiques après la guérison de leurs lésions, au
est donc- plus nécessaire que l'homme soit atteint de maladies ou d'
affections
organiques pour reproduire biologiquement,psychiq
arlais en commençant, je disais que, dans les manifestations de ces
affections
, tout se passait comme si l'organisme, en vertu
incoercible et le trouble dyspeptique couramment confondu avec une
affection
organique, traité au moyen des médicaments et g
le bégaiement, la crampe des écrivains, les idées fixes, toutes les
affections
sine materia, à l'exclusion de l'épilepsie vrai
ent fait naître par suggestion, des signes propres à chacune de ces
affections
. Je plains les médecins qui y attachent de l'im-
biologique et leurs carac- tères sont ceux qui appartiennentà cette
affection
et que j'ai signalés dans ma théorie physiologi
. Les sentiments affectifs sont nuls. Pierre n'a jamais manifesté d'
affection
à l'égard de sa famille. Actuellement, il offre
t par un tableau symptomatique ri- goureusement identique. Les deux
affections
sont homologues. » Launois et Kuss invoquent, a
emarquables arrêts de développement. Les végétations adénoïdes, les
affections
du foie, la cirrhose biliaire (Fournier, Gilbert,
ectieux chronique (Rayent), l'entérite du nourrisson (Hutinel), les
affections
des reins (Souques et Castaigne), le mal de Pott
de Lorain peut se développer sur un terrain morbide préparé par les
affections
les plus différentes. En parlant des deux soeur
- lisme, de la tuberculose, de la pellagre, de l'impaludisme, etc.,
affections
qui n'existaient ni chez elles ni chez leurs pa
organique primitive, mais chez lequel existerai ! au contraire une
affection
idiopathique des glandes séminales ; il appelle
centre cérébral de la base. Schuller pense que dans de tels cas les
affections
de l'hypophyse et des glandes séminales sont des
symp- tômes coordonnés tandis que l'adiposité serait secondaire à l'
affection
des glandes séminales. Schuller est d'opinion
maladie de la moelle osseuse qui pourrait être ou secondaire à une
affection
des glandes séminales ou liée à celle-ci. En
ste justement dans les liens éventuels qui peuvent le rattacher à l'
affection
familiale. Nous avons appris par l'histoire d
ns déjà. Quel est le diagnostic le plus probable pour cette seconde
affection
? Nous ne voulons pas nous perdre en d'inutiles
c différentiel et nous ne discuterons en conséquence à fond que les
affections
les plus probables : nous pouvons sans plus éli
fections les plus probables : nous pouvons sans plus éliminer toute
affection
encéphalique ou méningitique aiguë ou subaiguë
s une tumeur de l'hypophyse soit la cause unique non seulement de l'
affection
secondaire mais aussi de l'infantilisme fondament
dividus tombés brusque- ment malades avec les symptômes d'une grave
affection
cérébrale (cépha- lée, vomissements, apathie, n
e dystrophique de, 1 héi-étto-sypitilis. \Iéd. moderne, 1890. - Les
affections
parasphilitiyues. Paris, 1894, p. 296. - Stigma
Hendeiison. Journal of Physiol. Bd XXXI, p. 221. HERIANIDES. Les
affections
parasyphilitiques. Vol. 2, cap. III, Paris, 1903.
d'hui assez bien connus,l'association dans le jeune âge de ces deux
affections
est assez exceptionnelle pour que nous insistio
utant tahétique que para- lytique. A la Fondation Vallée ces deux
affections
évoluèrent. Mais ce qu'il y eut de plus curieux
de paralysie générale juvénile, seize fois nous retrouvons la même
affection
chez les parents. Le père et la mère sont deven
ant de mettre en valeur, d'une part,certains symptômes de la double
affection
tabes et paralysie générale;d'autre part, l'évo
discret qui se rapproche de certains tabes de l'adulte . Les deux
affections
ont suivi une marche inverse. Le tabes a évolué
es, et ils finissent toujours par une crise de larmes. Début de l'
affection
. - En juin 1905, se trouvant à la campagne, avec
ce point qu'il ne s'agit pas d'une association morbide, mais d'une
affection
secondaire, dépendante de l'état urémique du suje
ns affirmer « qu'il existe un lien d'interdépendance entre les deux
affections
(1) ». III J'espère avoir démontré assez bien
Il existe une gangrène spontanée de la peau, indépendante de toute
affection
organique et de toute supercherie. 2° Celte for
7. Leloir. Recherches clin, et OE ? : c[<.-pa</to ! . sur les
affections
cutanées d'origine ner- veuse, Thèse de Paris,
été amené à envisager l'importance des troubles psychiques dans ces
affections
. La maladie de Basedow fut pour lui l'occasion
je fus confident d'une alarme, dont s'émut vivement ma respectueuse
affection
. C'était en 1902, à la suite du Congrès des Ali
hoc à ceux qui l'entouraient de leur NYI si 514 ' HENRY 111E1(E
affection
. Il régla lui-même jusqu'aux plus menus détails d
générale et relatives aux modifications du sens génital dans cette
affection
. Les fonctions génitales, écrivent MM. Magnan e
immoraux commis à cette phase. Elle va en diminuant il mesure que l'
affection
progresse ; cepen- dant, ajoutent-ils. on voit
paralytiques généraux exempts de toute complication par névrose ou
affection
de la moelle, afin d'avoir des résultats appart
s long de stigmates, - comme le soutient l3ompaire, - ou bien cette
affection
exis- terait-elle en dehors de la tare dégénéra
cette observation sont d'abord l'âge de la malade, chez laquelle l'
affection
mentale parait avoir débuté vers 14 ans. Ensuit
ffuses des capillaires et des cellules de l'écorce cérébrale. Cette
affection
se distingue essentiellement comme maladie de la
ication alcoolique dont Magnan a cité des exemples, enfin certaines
affections
aiguës (méningite, scarlatine, fièvre typhoïde)
ÉS savantes. tisme qu'une seule fois. Sur ce même nombre de faits l'
affection
n'a jamais débuté après la puberté. Il faudrait
lus extrême prudence aux malades affaiblis physiquement, atteints d'
affections
cérébrales en foyer ou présentant de la tendanc
procédé s'est trouvé inefficace. Enfin chez le malade de Collins l'
affection
était récente, et l'auteur lui- même croit devo
de guide dans la voie du traitement prophylactique et cura- tif des
affections
crétinoïdes. Eviter l'usage des eaux contenant
n médullaire : le diagnostic différentiel doit se limiter entre une
affection
névritique et une amyotrophie progressive avec de
e en général les symptômes dans l'ordre suivant de fréquence : a)
affections
spasmodiques (convulsions, spasme des muscles du
muscles laryngés, aphonie) ; d) troubles viscéraux et vaso-moteurs (
affections
du tube digestif, dyspnée, tachypnée, hyperpyre
sous le nom de raideur de la colonne vertébrale avec incurvation. L'
affection
commence parles membres et affecte non pas seulem
articulations du tronc, mais celles du genou et du pied. C'est une
affection
ossifiante, rhumatismale, qui monte et gagne la
, puis ankylose ; finalement une arthrite vertébrale, en un mot une
affection
goutteuse. C'est bien ici la douleur qui force
égères attaques apoplecti- l'ormes, ayant pu être produites par une
affection
en foyer syphilitique car elles ont cessé à l'h
morbide. Evidemment il ne s'agit pas d'une sclérose en plaques. Une
affection
bulbaire ne cadrerait pas avec la généralisatio
nels : un frère et un cousin de sa mère ont été atteints de la même
affection
, et les aïeux du malade devaient porter cette p
ue deux frères ou soeurs doivent être frappés fatalement de la même
affection
, ajoute-t-il, on ne saurait davan- tage nier la
M. ARNAUD se demande si on doit conclure de l'existence d'une même
affection
chez deux ou plusieurs congénérés, à la création
motrices et sensitives. Les polioencéphalites supérieures sont des
affections
rares. Lé- sions du neurone moteur périphérique
atrophie musculaire Aran. Duchenne n'est pas la seule association d'
affection
spinale que présente le tabes. La syringomyélie
nine. Bien que connue depuis peu d'années, la symptomatologie des
affections
du cône terminal est suffisamment nette et précis
ique, afin d'expliquer la façon souvent variée dont progresse cette
affection
. Il n'y a donc qu'un certain nombre de cas dans
générale ne mérite donc plus les dénomina- tions trop exclusives d'
affection
parasyphilitique ou même para- infectieuse, mai
asyphilitique ou même para- infectieuse, mais celle plus générale d'
affection
paratoxique (en considérant les infections comm
ellement. Selon lui, la congestion cérébrale, considérée en tant qu'
affection
autonome, est un de ces faits que personne n'a
talmique et du myxoedème que si l'on admet l'hypothèse que ces deux
affections
sont la conséquence, non de l'exagération (mala
s éminents, le professeur Korsakoff (de Moscou), qui a été ravi à l'
affection
des siens, de ses amis, de ses élèves, de ses m
nisation, à la mémoire duquel des témoignages émus d'estime et- d'
affection
ont déjà été rendus. - 236 CONGRÈS INTERNATIONA
tiques de la dégénérescence. Il en est de la folie comme des autres
affections
. Est-ce qu'un psoriasis, un eczéma pourraient ê
ents séparés et à une infirmerie pour les périodes de crises et les
affections
incidentes. Pour les seconds, les alcoolisés, l
M. J. Voisin : 1° On doit entendre par psychoses de la puberté les
affections
mentales qui se développent dans la période de
3° La prédisposition héréditaire est la cause prédominante de ces
affections
; c'est l'association du développement intellectu
peur. La première a provoqué la seconde dans le premier stade de l'
affection
, puis dans le deuxième stade, la peur provoque
à une thérapeutique générale du système nerveux. Traitement de l'
affection
générale (artério-sclérose, bradytrophie, etc.) o
ort. Sur ce nombre, neuf ayant été emportés prématuré- ment par une
affection
intercurrente, ne peuvent entrer en ligne de co
second, avec neuf cas, est celui des malades qui ont succombé à une
affection
étran- gère à la paralysie générale. Le troisiè
ris. Eu 1895, Freud, de Vienne, proposait de considérer comme une
affection
autonome et distincte de la neurasthénie sous le
s équivalents de crises ; d, des phobies et des obsessions. Cette
affection
, tout en pouvant reconnaître d'autres causes, t
de partie de ses cadres était encombrée par les névroses ou par des
affections
prétendues telles : épilepsie. chorée, tétanos,
eurs dans les cas de tabes dorsalis ; la sympto- matologie de cette
affection
nous était déjà connue, en partie, grâce aux tr
e-là confondue avec elle. , A côté des scléroses, un autre groupe d'
affections
médullaires était en train de faire son avèneme
des manifestations différentes et pour ainsi dire spécifiques. Aux
affections
diffuses, tellesque )a myélite, la méninpo- SEC
inpo- SECTION DE NEUROLOGIE. 259 myélite, on se mit à opposer les
affections
dont le substratum se localise dans un ou plusi
s un ou plusieurs de ces systèmes. Ainsi prit corps la doctrine des
affections
systématiques de la moelle. Une semblable conce
que celle des syndromes somatiques des maladies de l'encéphale. Aux
affections
, en rapport avec des lésions diffuses du cervea
ché à montrer (p. 197), à l'aide de ce qu'on observe dans certaines
affections
mentales, que la résistance du cerveau aux impr
est le premier travail scientifique que nous puissions trouver de l'
affection
aujourd'hui décrite sous le nom de microcéphali
ct singulier est réellement celui d'une phase de la vie foetale ». (
Affections
mentales des enfants.) 5° Dans les cas névrop
phiée, mais elle ne pouvait pas accomplir sa fonction, à cause de l'
affection
du tissu glandulaire. Dans les cas qui n'ont pas
a lame orbitale nue et découvrant une partie du ventricule latéral (
Affections
mentales des enfants, p. 51. Planche à montrer)
nfantile. Depuis que le D1' Clouslon décrivit, en 1877, un cas de l'
affection
chez un garçon de seize ans, sous le nom de Par
ions et des cellules pyramidales. L'hypertrophie du cerveau est une
affection
relativement rare, et est généralement confondu
te pomme ; et elle était située dans la région frontale droite. L'
affection
chronique des membranes du cerveau est beaucoup
uicide, à la destruction, etc. ; il tous les malades atteints d'une
affection
somatique d'une certaine gravité. 111. Pour att
un procédé thérapeutique de choix dans le traitement de toutes les
affections
mentales. z 324 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECI
à l'alitement l'aspect de l'asile est amé- lioré, mais la durée des
affections
mentales n'est pas abrégée. M. Magnan proteste
e moins une entité morbide qu'un syndrome abritant sous son nom des
affections
de nature et d'ori- gine diflérentes. C/H'0)
onctions sont troublées avec une régularité particu- lière dans les
affections
des centres postérieurs d'association ; l'obser
art l'humeur excitable que l'on observe parfois dans cette dernière
affection
, s'accompagne en général d'un vif besoin d'agir
ns cas on peut se demander s'il ne s'agit pas de dé- mence précoce (
affection
rare d'ailleurs à cet âge), surtout lorsque se
(75 hommes, 70 femmes); 25 lits sont réservés aux sujets atteints d'
affections
nerveuses. Le prix de revient du lit a dépassé
deuxième classe, 73 de troisième classe, plus 20 sujets atteints d'
affections
nerveuses, soit un total de 110 malades réparti
nq chambres d'isolement reçoi- vent en outre les malades atteints d'
affections
intercurrentes. Quant à la deuxième salle du pa
iller, malades sou- mis au traitement par le lit, sujets atteints d'
affections
intercur- rentes. La moitié des malades de troi
lives que motrices ou visuelles suivant le sujet et aussi suivant l'
affection
dont il est atteint. Toutefois, on est bien souve
donc en employant convenablement ces pôles avoir une action sur les
affections
cen- trales et en particulier combattre avantag
dépendance de la volonté des malades si souvent affectée dans les
affections
qu'il s'agit de traiter. L'élongation permanente
ion des troubles sensitifs et trophiques; enfin dans certains cas d'
affection
trophique à topographie dite radiculaire et avec
er. I. Il n'est pas d'investigation clinique, dans le domaine des
affections
nerveuses, qui n'ait, comme complément nécessai
des cas ; l'exagération des réflexes qui est la règle au début de l'
affection
, peut faire place, dans certains cas à l'abolit
alysie générale el recherches statistiques sur l'étiologie de celte
affection
. Thèse de Paris, 1S93. 3 Ces. Agostmi. Etude su
pelle « le phénomène des orteils ». Par sa constance dans certaines
affections
, avec lésions du système nerveux central, ce ph
ont été faites concernant le réflexe plantaire dans les différentes
affections
du système nerveux central. Nous citerons princ
ic sur les rapports des maladies du système nerveux avec les autres
affections
, du professeur Bernhardt; -les exercices pratique
ts, les agités, les paralysés, les gâteux et les aliénés atteints d'
affections
intercurrentes, en un mot tous les patients pou
ésaniques, des hystériques, des épileptiques, des sujets atteints d'
affections
nerveuses de toute nature et aussi des suicidés
restreint de cas de cette 496 CONGRÈS international DE MÉDECINE.
affection
, dans laquelle, au contraire, l'exagération de ce
re la lésion transversale complète et l'absence du réflexe dans les
affections
aiguës, eu par- ticulier les « traumen » ; dans
tre l'idée actuel- lement dominante, que le tabes soit toujours une
affection
uni- voque ; il croit que sous le nom de tabes
du tabcs sont réunis. Il faut bien remarquer que le tabes est une
affection
des plus répandues, que l'ataxie, au contraire, e
oxique sur les fibres nerveuses. Elle est attribuée par Marie à une
affection
de la substance grise. Dans le paraplégie ata
ncert avec d'autres symptômes, en diagnostic différentiel entre une
affection
organique et fonctionnelle. P. Klraval. XXVI.
99.) Le phénomène du genou disparu revient : po dans le cours des
affections
syphilitiques ; 2° dans les tabcs quand, dans le
uscle. La rupture de l'accord entre eux, c'est-à- dire d'une part l'
affection
du cerveau et des pyramides, d'autre part du ce
hénomènes physiologiques, 'car, dans le tube syphilitique (dû à une
affection
syphilitique des vaisseaux de la moelle) le phé
sente les photographies de coupes se rapportant à deux cas de cette
affection
affectant l'un la moelle dorsale, l'autre la moel
malement il devrait y avoir une anémie préser- vatrice. De. là, les
affections
intercurrentes aiguës (pneumonie) des tabétique
guës (pneumonie) des tabétiques. Préservez donc les gens atteints d'
affections
spinales chroniques du froid, et surtout du fro
es de substances dues à la fièvre typhoïde, à la tuberculose, à des
affections
générales; la preuve qu'on a affaire à des alté
ol. Centralhl., 1884.) Il n'est pas impossible qu'il n'existe des
affections
des nerfs périphériques dégénératives d'ordre p
hésie, si légère soit- elle. Voilà des symptômes qui prouvent que l'
affection
siège primitivement dans les nerfs. Finalement
aux alimentaires non absorbés. Cet état n'est que l'expression de l'
affection
générale avec laquelle elle disparait. De là le
ocomotrice; la syphilis produit, dans l'immense majorité des cas, l'
affection
en question, elle agit comme cause primaire tox
ouble cérébral organique persistant, soit à un trouble cérébral par
affection
somatique momentanée ; elles donnent alors nais
roses ; tantôt, on peut penser que la dégé- nérescence propre à ces
affections
est préparée et engendrée par un processus névr
casion du développement de symptômes morbides spinaux. De même, une
affection
de la moelle peut, par action réflexe sur le cerv
lle. P. K. V. L'EMPLOI simultané DE DIVERS SELS DE BROME dans LES
affections
NERVEUSES ET TOUT particulièrement dans L'ÉPILE
dit- elle, chaque fois qu'elle voit un morceau de pain. Semblable
affection
, n'est-elle pas en tous points comparable à la di
s vésicaux'sans importance. Il lui semble impossible de rattacher l'
affection
nerveuse à la syphilis. Ce malade, de même que
aufrages, éboulements, etc.) Le délire d'inanition consécutif à des
affections
somatiques (fièvre typhoïde, pneumo- nie, scarl
nce DE M. WESTPHAL Communication annoncée de M. Oppenheim : Sur une
affection
du nerf vague dans le cours du tabès dorsal. Pr
squelles sont relativement fréquentes chez les ataxiques atteints d'
affections
osseuses et articulaires. M. OpPENHKtune contre
pliqué de paralysie des muscles de l'oeil, le premier symptôme de l'
affection
spinale fut une paralysie unilatérale du muscle
céphalique; sans puisse qu'on établir aucun rapport entre les deux
affections
. L'orateur met en relief que la paralysie de l'
auche. C'est un enfant de quatorze ans, issu d'un père rhumatisant (
affection
cardiaque ? ), et d'une mère atteinte d'une név
voie réflexe sur les centres nerveux, et enfin les blessures et les
affections
du cerveau y compris certaines névroses telles
ie, en ce qui concerne les méningites spinales sympto- matiques aux
affections
dont elles relèvent. La pachyméningite cervical
l'ophLl1almoplégie progressive, et le parallèle établi entre cette
affection
et l'atrophie musculaire progressive, ainsi qu'
00 marks (20,625 francs) pour construire un baraquement destiné aux
affections
intercur- rentes du quartier des femmes, dont l
re la dyssenterie in- fectieuse, et l'on a réduit la proportion des
affections
somatiques. Le Domaine d'Altscherbitz comprend
de détention pour agités, mal- propres, évadeurs lazareth pour les
affections
intercurrentes. Seuls, les jardins du pavillon
une preuve, que la sclérose, latérale amyotrophique n'est pas une
affection
systématique, mais une myélite dif- fuse ? Loin
st à tort et qu'elle doit être comprise dans le cadre "de cette-,
affection
. t \ " .r, , t v. Dans l'observation de Kahler
contraire, doit être l'objet de quelques remarques. Dans ce cas, l'
affection
a très nettement débuté par les phénomènes bulb
tableau clinique presque tout entier est exactement celui de cette
affection
, et cela sous le prétexte que, soit dans le mod
permis de reconnaître pendant la vie le caractère spasmodique de l'
affection
et de faire le diagnostic de sclérose latérale
aractère qui a fait croire à l'auteur qu'il était en présence d'une
affection
spéciale, distincte de la sclé- rose latérale a
uer à l'hérédité un rôle important dans la génèso d'un bon nombre d'
affections
. Cette influence de l'hérédité est surtout mani
mais ce n'est toujours que dans un certain nombre de cas, et les
affections
les plus diverses, qui de près ou de loin viennen
actuellement : MALADIE DE THOMSEN. 201 ( les sujets atteints d'
affections
nerveuses ou dans leurs fa- milles ». L'observa
nds parents de M. \L. : sont morts à un âge avancé sans'avoirs,eu d'
affections
du système nerveux. 1 il tBqf"l, ' Il " ` ' ,,
H (Neùrol. Centralbl., 1884). Observation de malade dans laquelle l'
affection
cutanée jouait un rôle tout à fait subordonné.
s autres faits de ce genre en ce qu'il s'agit, dans l'espèce, d'une
affection
acquise, survenue vers l'âge de vingt ans, sans
AUCK (neural. Centralbl., 1884). Il ne s'agit dans l'espèce que des
affections
du nerf optique. Elles constituent, notamment l
Gnauck distingue l'atrophie primi- tive du tabes de celle de cette
affection
, en ce que la progres- sion de l'atrophie est u
.. t 1 J' .J" « Lent trente et un cas de démence paralytique; cette
affection
? " -t ">" ... ifrt,il 1, ',t llàliq,4.il-i-'f
d'une hystérie grave dans laquelle, quelle qu'en ait été l'origine (
affection
somatique, én)o- tion dépressive, spontanéité),
VII, p. 379. 266 SOCIÉTÉS^ SAVANTES. mentale, de syphilis, d'une
affection
consécutive à une altercation, ne reçoit aucune
es gardiens, qu'ils avaient devanteux silllplementuulllaiade dont l'
affection
n'étant souvent que passagère, etqui devait, plus
cevoir des soins plus humains et plus conformes à la nature de leur
affection
. 11 n'eut ni paix, ni trêve jusqu'au jour où le
e quatre-vingt-un ans, entouré de la vénération universelle et de l'
affection
de tous les malheu- reux qu'il avait secourus.
e presque pas d'année sans que l'on publie cluelques observations d'
affections
sys- tématiques de la moelle épinière, sans que
ableaux cliniques s'expliquent d'eux-mêmes sans supposition d'une
affection
systématique de la moelle épinière. Ainsi, M. A
e d'un tabétique, avoue qu'on avait affaire, dans ce cas, non à une
affection
systématique, comme on le suppose aujourd'hui,
conduire à la conclusion que nous avons à faire dans ce cas à une
affection
systématique compliquée; mais une analyse plus
met la supposition comme bien vraisem- blable qu'il s'agit là d'une
affection
primitive des fais- ceaux pyramidaux, mais il a
nt littéralement ce qui suit : « S'il s'agit là effectivement d'une
affection
à part l'autopsie révélera une lésion également
aux. Tout cela mène à la conclusion qu'ici il s'agit plutôt d'une
affection
diffuse qui commence aux enve- loppes. Ainsi so
ntes maladies de la moelle épinière; 3) La première place parmi ces
affections
appar- ' tient à la sclérose diffuse. , 1 T
été impulsifs au feu, n'auraient fait autre chose qu'utiliser leur
affection
mentale pour assouvir leur soif d'alcool et de
ité émotive ou l'affaiblissement in- tellectuel. Les deux premières
affections
mentales étaient exclues aussi bien par les ren
our se venger de sa famille et des habitants du village qui, sans
affection
ni sympathie pour elle, lui infligeaient de mauva
itude de plier et de relever alternativement le tronc. 11 a pris en
affection
dès l'entrée un autre enfant, Naud ? ils s'appr
ue de l'hérédité. De plus, il est le fils d'un asthmatique et cette
affection
, qui a des rapports si intimes avec les maladie
ès de boisson. - Mère : morte de la rupture d'une anévrysme ; pas d'
affection
nerveuse. - Deux frères : l'un est mort du chol
e; - 9° une fille, huit ans, bien portante, pas de convulsions ni d'
affections
nerveuses; -- 100 Un garçon de cinq ans (Henri
es parents qui fera de lui un dégénéré, ce sera la transmission des
affections
hérédi- taires dont ils peuvent être atteints.
DE LA THÉRAPEUTIQUE SUGGESTIVE. 377 montré comment, dans certaines
affections
d'origine purement psychique, dans les maladies
xpériences, et il n'est guère de médecins s'occupant de l'étude des
affections
nerveuses qui n'ait vu disparaître, sous l'infl
par la couleur des idées ressemble beaucoup au délire constituant l'
affection
mentale, lequel d'ail- leurs s'exaspère à la su
s exis- taient déjà fréquentes avant l'hypnotisme et même avant l'
affection
mentale. D'un autre côté si l'on ne peut modifi
con- ducteurs moteurs. P. K. XLI. Contribution au diagnostic DES
affections
EN FOYER DE LA PROTUBÉRANCE ET DE LA MOELLE ALL
use.La paralysie générale est bien moins héréditaire que les autres
affections
mentales ; en revanche, on note fréquem- ment l
ncore à l'époque où l'acte incriminé fut commis; il fait remonter l'
affection
à un traumatisme céphalique(1872), qui aurait d
chaque courant agit donc spécifiquement suivant tel ou tel genre d'
affections
, mais exclusivement sur les appa- reils vaso-mo
il en est de même pour l'intoxication nicotinique (trois cas). Aux
affections
en rapport avec le surmenage cérébral ou muscul
acquises, et chacun de vous a certaine- ment observé, à la suite d'
affections
aiguës chez les très jeunes sujets, des cas d'a
que j'invoque, quoiqu'ils démontrent déjà l'action puis- sante des
affections
fébriles sur le cerveau; c'est plus particulière-
nd il existe une predisposition à la paralysie générale, ou à une
affection
organique du cerveau, la syphilis n'est peut-être
On pensa d'abord qu'il fallait incriminer la nourriture parce que l'
affection
ne portait presque que sur ceux qui prenaient l
ROU1LL0. (Thèse de Paris, 1885.) Utilité de la révulsion dans les
affections
aiguës de la moelle ; par CALL.IS. (Thèse de Pa
rijumeaux, par Spitzka, 89. Vagabonds (folies des), 449. Vague (
affection
du nerf- dans le - tabès dorsal), 118. Vaso-m
Plus encore peut-être que celle des autres maladies, l'étude des
affections
du système nerveux a bénéficié des récents procéd
a malade marche, lequel, dans mon opinion, est caractéristique de l'
affection
hystérique. Si vous considérez une per- sonne s
morphologique dans un grand nombre de maladies parmi lesquelles les
affections
nerveuses tiennent un rang prépondérant. Et il
grand'mère paternelle a succombé à un âge avancé, sans avoir' eu d'
affection
rhumatismale ou nerveuse. Le grand-père maternel
rnel est mort d'apoplexie cérébrale, la grand'mère maternelle d'une
affection
utérine. Son père a succombé à une broncho-pneu
e n'a du reste jamais fait de maladie jusqu'au moment du début de l'
affection
pour laquelle elle réclame nos soins. Début e
ntraînaient jamais de réac- tion nerveuse pathologique; cependant l'
affection
actuelle paraît avoir débuté à la suite et à l'
réter et quoique nous n'ayons assisté qu'il la phase terminale de l'
affection
, il est aisé de reconstituer l'his- toirc de la
allons rapporter, qui fut, celle-ci, suivie du début à la fin de l'
affection
et présenta, aux divers points de vue : des cau
les reparaissent; à ce moment la région du genou est le siège d'une
affection
inflammatoire se traduisant par une tumeur roug
la vérité jusque dans les moindres détails, que le diagnostic de l'
affection
dont il est atteint est des plus faciles. C'est
ion ici, à celle qui constitue le signe presque exclusifd'une autre
affection
d'origine exclu- sivement nerveuse celle-là, et
offroy, médecin de la Salpêtrière, présentait un sujet atteint de l'
affection
connue sous le nom d'ataxie locomotrice hérédit
15 février 1884, une première leçon sur un malade atteint de cette
affection
. Cette leçon avait été briève- ment analysée da
.. ont eu neuf enfants; cinq sont encore vivants; aucun n'a la même
affection
que le malade. Le premier, âgé de vingt ans, es
87, il nous a été donné d'observer quatre malades atteints de cette
affection
, et deux sont actuellement en traite- ment dans
ns, est bien portant, la grand'mère maternelle, soixante ans, a une
affection
gastrique; un oncle est bien portant; père rhum
nts au moment de l'observation. Angèle bien portante, si ce n'est l'
affection
actuelle, est née à terme et a marché il onze m
de fièvre muqueuse, bien qu'il n'existât jamais de diarrhée. Cette
affection
laissa chez elle une grande faiblesse générale;
sibilité où il était de se livrer aux rudes travaux des champs. L'
affection
actuelle paraît avoir débuté chez Aub... vers l'â
e nous venons de rapporter ne laisse aucun doute sur la nature de l'
affection
dont sont atteints les malades qui en font le s
r le médecin allemand lui-même dans son premier mémoire. Début de l'
affection
dans la seconde enfance, le plus souvent par CI
s habituels des altérations de ces synoviales. De plus, quant à l'
affection
tendineuse elle-même, elle ne nous semble pas i
hui d'y retrouver les marques d'une déformation pathologique, d'une
affection
nerveuse nettement définie dont nous avons en c
res si tranchés qu'il est impossible de li confondre avec une autre
affection
faciale spasmodique. Avec des traits d'une laid
onstitue par elle-même un des traits les plus caractéristiques de l'
affection
. ' Sans avoir à nous étendre ici sur ce que la
es différents signes présente de Caractéristique pour spécifier une
affection
et la différencier d'autres plus ott itibins an
du médecin. Elle offre l'image, insi que la tête précédente, d'une
affection
nerveuse, plus difficile à 92 NOUVELLE ICONOGRA
e inspection soit insuffisante pour trancher la question entre deux
affections
qui donnent lieu à une déformation analogue et
La contracture hystérique n'a pas seule ce privilège, car d'autres
affections
du système nerveux, telles que les altérations de
méritent d'entrer en grande ligne de compte dans le diagnostic de l'
affection
2. Puisque nous en sommes sur le chapitre des d
ue nous venons de décrire dans la maladie de Friedreich. Mais ici l'
affection
est unilatérale et spasmodique, bien qu'on puisse
malades, au nombre de douze y compris les nôtres, atteints de cette
affection
, dont l'observation a été publiée en France. Ch
Friedreich au même titre, du reste, qu'elle apparaît dans d'autres
affections
par arrêt de développement, les myopathies par
ois d'avril 1881 que nous avons observé le premier exemple de cette
affection
... « Ces lésions symétriques du pied, se présen
s devoir rester sur la réserve relativement à la nature intime de l'
affection
qui nous parut provisoirement désignée suffisamme
n le voit, se présenter, dans le cours de l'ataxie locomotrice, une
affection
complexe du pied, dans laquelle les os et les a
mes circonstances, les os longs et les grandes articulations. Celle
affection
, que nous proposons de désigner, pour plus de c
ecine), j'avais cherché à isoler nosographiquement et à décrire une
affection
singulière carac- térisée par l'hypertrophie no
étaient robustes ; personne n'a jamais présenté rien d'analogue à l'
affection
dont il'est atteint. Les membres de sa famille
é dans cette maladie, à peu près constamment, et qu'il s'agit d'une
affection
combinée de plusieurs systèmes de la moelle, se
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Nous passerons en revue quelques
affections
qui peuvent simuler l'arthropathie labétique du
se faire guérir de leur articulation malade.- La préoccupation de l'
affection
locale peut faire oublier que derrière la malad
ut faire oublier que derrière la maladie de la jointure, il y a une
affection
plus importante qui domine la situation. » -
et. Son père et sa mère sont morts, cette dernière a succombé à une
affection
pulmonaire. De quatre enfants, L... reste seul
ne se souvient pas d'avoir fait aucune maladie avant le début de l'
affection
actuelle.. - La maladie dont il se plaint a déb
ans (pl. XLVII1). Mère morte de bronchite, pas de rhumatisme, pas d'
affection
nerveuse. Père mort asthmatique, pas de rhumati
et de subdelirium, elle succomba âgée de cin- quante-neuf ans à une
affection
typhoïde dans laquelle apparurent de vastes pla
o vit cet homme pour la première fois seize ans après le début de l'
affection
: il pesait 120 kilogr. 400, sa taille était de
... t'amo F1'ancesca, t'amo E disperato è l'arno1' ntio. Mais l'
affection
s'accroissant sans cesse la gibbosité devint très
. OBS. XI1. -Peter Rhyner, quarante-quatre ans, célibataire. Aucune
affection
analogue n'aurait été observée dans sa famille.
rtériel encéphalique ; mais rien ne nous autorise encore à y voir une
affection
plus générale ; jamais chez nos malades nous n'av
bs. LXXI. Salpêtrière, 1868. — Vulpian (1.) Femme âgée de 47 ans. —
Affection
cardiaque ; phénomènes paralytiques dans fes memb
variations de la température centrale qui s'observent dans certaines
affections
convulsives et sur la distinction qui doit être é
'on rencontre chez l'homme dans les cas de tétanos. Dans toutes ces
affections
, tétanos, convulsions épileptiques, choléra, etc.
ltipliées que nous avons faites chez les malades atteints de ces deux
affections
nous ont montré constamment que la température ce
lade eut été transférée dans un service de médecine, on a désigné son
affection
sous le nom de chorée alcoolique. Il est donc pro
ans lequel, sous l'influence d'une pachyinéningite déterminée par une
affection
des os du crâne, une collection abondante de pus
en effet, elle a un début brusque, inopiné, et se comporte comme une
affection
pour ainsi dire accidentelle, que rien ne peut fa
u d'un état grave par lui-même, principalement lorsqu'il s'agit d'une
affection
dans laquelle les fonctions cérébrales sont déjà
cas au moins, d'attirer l'attention sur l'existence probable de cette
affection
; 3° révolution des néo-membranes développées sous
mations chroniques, et cela avec d'autant plus d'insistance que cette
affection
, ainsi qu'on l'a dit plus haut et qu'on vient cle
r la marche de la maladie ? La lésion initiale a certainement été l'
affection
du pariétal. Sous quelle influence a-t-elle paru
dre d'une lésion du cerveau ou de la moelle épinière (1). Parmi les
affections
si diverses qui peuvent se développer dans les me
ugeot. — Recherches sur quelques troubles dénutrition consécutifs aux
affections
des nerfs. Thèse de Paris, 1867. dant non moins
es à deux chefs principaux : Dans un premier groupe, il s'agira d'une
affection
singulière des articulations, qui se manifeste qu
eau. 1. ÀRTHROPATHIES LIÉES A l'aTAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. L'
affection
articulaire dont il va être question d'abord, s'e
de importance à ces symptômes; il croyait pouvoir les rattacher à une
affection
gastrique dont il souffre depuis longtemps et que
bien musclé, mais il se plaint d'une certaine tendance à l'obésité. L'
affection
gastrique s'est déclarée chez lui il y a plus de
oigts et n'en conservait pas l'empreinte. Lorsque je vis M. X..., l'
affection
articulaire s'était d'elle-même très notablement
lable qu'il ne s'agissait pas là d'une coïncidence fortuite, et que l'
affection
articulaire se trouverait reproduite, avec les mê
finée pendant près de trois mois. Jamais, même le premier jour, cette
affection
ne s'est accompagnée d'accidents généraux, de fiè
é ; elle entra à l'hôpital de la Pitié où elle obtint un certificat d'
affection
incurable et fut admise à la Salpêtrière. Etat
érations profondes. Au contraire, dans l'observation qui va suivre, l'
affection
articulaire, après s'être accusée 1res nettement
Il a éprouvé à une certaine époque du développement de la maladie une
affection
articulaire remarquable et sur laquelle nous insi
oubles gastriques d'une certaine intensité : sa mère a succombé à une
affection
du cœur ; elle avait souffert de la gra-velle ; m
se sont manifestés pour la première fois, il y a six ans environ. L'
affection
articulaire occupe ici le genou gauche ; elle s'e
ssait pas auprès d'elle des traces persistantes. Dans tous les cas, l'
affection
s'est amendée progressivement, au bout de plusieu
e des sujets ataxiques, de la différencier de toutes autres espèces d'
affection
des joiu-tures, en particulier de l'arthrite sèch
fois pour siège les jointures, et se présentent alors sous la forme d'
affections
articulaires assez semblables, sous quelques rapp
développer chez ce sujet, en même temps qu'une eschare au siège, une
affection
articulaire qui n'est pas sans analogie avec cell
le professeur J.-K. Mitchell a appelé l'attention sur plusieurs cas d'
affection
des jointures développées chez des individus atte
elà section d'une moitié latérale de la moelle épinière au dos,, lies
affections
de l'œil (ulcération, fonte de la cornée, conjonc
es périodes de l'ataxie, indépendamment des douleurs fulgurantes, des
affections
variées qui relèvent évidemment de l'affection sp
eurs fulgurantes, des affections variées qui relèvent évidemment de l'
affection
spinale (1), et qui révèlent suffisamment la perv
ions où se distribue ce nerf. On peut, croyons-nous, rapprocher des
affections
dont il vient d'être question l'arthropathie des
ce propos cet auteur dans une leçon remarquable sur la pathogénie des
affections
du cerveau publiée dans The Lancet, eu 1801 (2).
es et des articulations qui, bien à tort, est souvent rapportée à une
affection
rhumatismale. Cette subinflammation qui survient
résulterait d'un trouble de nutrition développé sous l'influence de l'
affection
du cerveau dans les parties même où elles se mani
n-Séquard, relativement à l'origine périphérique de quelques-unes des
affections
douloureuses qui surviennent dans les membres par
e autant de la névrite hypertrophique qui l'accompagne souvent. Cette
affection
articulaire se rencontre également à la suite de
état fibrillaire et contenant en assez grand nombre des leucocytes. L'
affection
articulaire s'est donc présentée ici, douée de to
ôt exceptionnels; et il est incontestablement plus fréquent de voir l'
affection
rester latente ou, tout au moins, ne se révéler q
êtrière. Cette femme est retenue au lit depuis plusieurs mois par une
affection
du genou gauche. Ce dernier est considérablement
mollissement du cerveau. Par tout ce qui précède, l'existence d'une
affection
particulière des jointures des membres paralysés,
ouvons essayer actuellement de résumer les principaux traits de cette
affection
. Il s'agit là, en définitive, d'une synovite suba
hique est un accompagnement fréquent, mais nullement nécessaire, de l'
affection
articulaire dont il s'agit. En ce qui concerne
d'une complication viscérale inflammatoire ou d'une exacerbaiion de l'
affection
cérébrale (Obs. II et III). Mais je suis porté à
iques. Quelle est la raison physiologique du développement de cette
affection
qui se limite d'une manière si frappante aux arti
nté dans quelques-unes de nos observations (Observ. Il et III), — ces
affections
se manifester à l'occasion d'une complication vis
ravaux sont très intéressants, et il a pu déjà s'assurer que quelques
affections
névralgiques sont vraiment modifiées par le magné
où se trouvent un grand nombre de femmes atteintes de cette terrible
affection
. Justement, c'est la conduite que j'ai tenue à
t de précision clinique. Dans l'immense majorité des cas, il s'agit d'
affections
vagues, mal définies, sans diagnostic précis. Les
ons des fléchisseurs ou des extenseurs au-dessus du poignet. D'autres
affections
nerveuses au contraire sont, on le sait, marquées
dépendance de ces deux arcs dias-taltiques, démontrée par l'étude des
affections
nerveuses organiques, n'est pas sans donner quelq
l'hypnotisme peut être véritablement utile dans la thérapeutique des
affections
hystériques ; c'est du reste un fait acquis depui
ujets névropathiques. Nous l'employons cependant, mais dans certaines
affections
afoniques, certains cas de rhumatisme chroniques
e nous a paru s'adapter au plus grand nombre de cas ressortissant aux
affections
du système nerveux que nous avons habituellement
relativement non-seulement à l'hystérie, mais encore à bien d'autres
affections
du système nerveux. Il importe, en effet, de re
stérie, nous a paru apte à rendre de grands services dans une foule d'
affections
diverses, et môme dans quelques-unes, de ne pouvo
riations de la température centrale qui "s'observent dans certaines
affections
convulsives et sur la distinction qui doit être é
érature centrale dans l'apoplexie cérébrale, p. 91; — clans certaines
affections
convulsives, p. 95. Tendon (Excitation du —), p
eure de la maladie confirma complètement notre diagnostic quant à l'
affection
fondamentale et vint appuyer la supposition que
tique de la thermanesthésie partielle indique qu'au fond de cette
affection
siège le même processus que dans les cas précéd
nière, ce qui est le plus probable. En ce qui concerne les autres
affections
spinales, la question seule du tabes pourrait ê
la ther- manesthésie viendrait-elle à manquer, la question d'une
affection
anatomique ne pourrait pas même donner lieu à d
d) dans les antécédents du malade. Le malade rapporte le début de l'
affection
au mois de mai 1886. Avant cette époque, il n'a
i- tée de la corne antérieure gauche et des cordons laté- raux. L'
affection
non systématique et largement éten- due le long
ackson- nienne et permettent le « diagnostic régional » précis de l'
affection
en- céphalique « cet idéal, aujourd'hui souvent
TIQUE GENERAL. 51 Pendant les mois de juillet, août et septembre, l'
affection
pro- gresse, le malade peut à peine se tenir de
Mais cet auteur S2 q REVUE critique. considère l'apparition de l'
affection
chez, ses paralytiques comme un trouble trophiq
rticuliers (dits catatoniques plus tard) et la marche spéciale de l'
affection
comme liée à un état de dégé- nérescence et d'u
s. Nous rapportons ici l'observation d'une malade hystérique dont l'
affection
présentait de nombreux traits de ressemblance a
t bien peu de choses de la pathologie mentale; car il n'est guère d'
affections
vésaniques qui se cons- tituent d'emblée ou res
Falret' à propos de la catalepsie, que dans la description de cette
affection
on a réuni des faits plus ou moins dissemblable
c de maladie de Basedow. Conclusion : La maladie de Basedow est une
affection
centrale, siégeant, dans la substance grise du
28), M. Gilles de la Tourette a décrit une maladie qu'il nomme «
affection
nerveuse caractérisée par de l'incoordination mo-
i relèvent du cervelet. Dans les cas qui comme ici témoignent d'une
affection
systématique combinée, la lésion des cordons po
upe ici est encore impossible pendant la vie; mais, quand, dans une
affection
spinale, on voit appa- raître le syndrome de la
ri ; il n'avait pasprésenté de trouble de la parole au cours de son
affection
(diagnostic douteux ? ). Un septième également
sa santé physique était aussi satisfaisante que sa santé mentale. L'
affection
intercurrente a-t-elle eu ici une influence sur
r du tissu conjonctif o,,téoïde. Conclusion. Produits ultimes d'une
affection
labyrin- thique très accusée, avec atrophie du
athogénélique (parasitaire ? ); par conséquent, on peut expliquer l'
affection
labyrintique par la pénétration de la cause noc
te gauche préala- blement. Il aboie comme un autre, et témoigne son
affection
par des mouvements delà queue tout à fait symét
ttent, de concert avec les autres symptômes, d'exclure l'idée d'une
affection
intra-crânienne en foyer, par exemple chiasmati
intermittent parait avoir nui à sa marche. Il s'agit en somme d'une
affection
autonome, car on ne trouve aucun autre accident
développement des 96 SOCIÉTÉS SAVANTES. synostoses suturales ou d'
affections
osseuses, que d'anomalies pri- mordiales dans l
s lésions des nerfs périphériques sur le développement de certaines
affections
, après avoir été longtemps méconnue, acquiert a
ser cette influence de l'esprit sur le corps dans le traitement des
affections
nerveuses et même des affections orga- niques.
ur le corps dans le traitement des affections nerveuses et même des
affections
orga- niques. La quatrième partie de l'ouvrage
400 avec une proportion de 5 ? 68 p. 100 chez les hommes. Parmi les
affections
cérébrales, l'auteur a trouvé 17 cas d'affectio
hommes. Parmi les affections cérébrales, l'auteur a trouvé 17 cas d'
affections
des méninges, et 5,6 p. 100 de blessures de têt
'affections des méninges, et 5,6 p. 100 de blessures de tête. Les
affections
de l'organe de l'ouïe donnent un chiffre de 1,2
e la face et du cuir chevelu un chiffre de 1,32 p. 400. Parmi les
affections
nerveuses antérieures, nous trouvons l'épi- lep
oportion de ,5î p. 10 1 pour la fièvre typhoïde, et pour les autres
affections
générales de : 0,91 p. 100. Parmi les maladies
Bourrelly. Th. Paris, 1887. La maladie de Raynaud ne serait pas une
affection
spéciale, mais un syndrome reconnaissant plusie
. Mais le plus souvent on observe le complexus au cours de diverses
affections
: l'uupaludisme, la glycosurie, le mal 134 BIBL
que les coups sur la tête, qu'on retrouve souvent au début de cette
affection
, ont seulement mis en jeu une prédisposition héré
il importe, d'un autre côté, qu'elle ne se prolonge pas, dès qu'une
affection
mentale est reconnue afin que celui qui en esta
es pressions, un grand nombre d'autres ont été atteints de diverses
affections
, dont les plus fréquentes ont été des paraly- s
onque connue de la moelle épinière, chacune d'elles constituant une
affection
particulière à laquelle les nuances cliniques s
ais aussi en vue de ce que les troubles primitifs et constants de l'
affection
décrite se nichent dans la substance grise de l
, par régions, en zones, non seulement dans le stade initial de l'
affection
, lorsqu'elle n'occupe qu'un espace peu considér
ésie peut se manifester sous la forme habituelle qu'elle a dans les
affections
de la moelle épinière et obscurcir ou détruire
a maladie. En vue de re- lation indubitable de ces processus avec l'
affection
fondamentale, nous pouvons supposer parfois, d'
rose est un des symptômes le plus fré- quemment noté dans les cas d'
affection
cérébelleuse. Parmi les autres symptômes pouvan
dégénérés, et le système nerveux était absolument indemne de toute
affection
aussi bien héréditaire qu'acquise. A côté de ce
pupillaire neuro-rétinite double à l'examen ophthalmoscopique. L'
affection
, au dire du malade, aurait débuté par de violents
la. RoSE'UEtM. (r7'(')t61. f. Psych. xviii, 3.) Observation d'une
affection
desnersspériphériques éclose chez un tuberculeu
d'une angine folliculaire. L'auteur fait remarquer l'autonomie de l'
affection
cutanée et la rapproche de la constatation matéri
u'il est, non le symptôme de la maladie principale, mais bien une
affection
autonome provoquée chez un névropathe par suite d
Observation XI, s'atténuent, se frustrent, au sur et à mesure que l'
affection
marche et arrive à une étape ultérieure et, dan
a cédé complètement, comme du reste, tous les autres symptômes de l'
affection
; le malade fut complètement guéri. Il en est ex
ent font défaut au moment de l'invasion et à la première étape de l'
affection
, ne font pas non plus exception à la marche émi
nies, etc., sont dus à l'intoxication alcoolique qui complique l'
affection
spinale. Celui qui a parcouru la description de
s positifs et symptômes négatifs de l'étape ultérieure, marche de l'
affection
qui, en règle géné- rale, est rétrogressive, ra
lasme. Causes prédisposantes. L'âge : chez cinq de mes malades, l'
affection
s'est déclarée entre dix-sept et vingt-cinq ans
- naissances (comme pour le cas cité plus haut) ex- clure quelque
affection
limitée en foyer détruisant la conductibilité d
ection avec symptômes de caractère plus systématique que dans les
affections
primitives des systèmes, et rappelant plu- tôt
rsifs, vertiges ou accès, diffèrent de la chorée et des différentes
affections
à type saltatoire par la perte de connaissance,
; cela va de soi, lors- qu'on envisage leur présence dans diverses
affections
cérébrales. Cependant, lorsqu'on veut faire la
égative nous parait incontestable. Ils sont absents dans touteautre
affection
de déficit du cervelet; on a parfois dans l'atro-
e tels accès peuvent aussi affecter une fréquence insolite dans les
affections
du système nerveux central les plus diverses dé
de plus en plus, et la malade mourut huit ans après le début de son
affection
. L'autopsie montra, sur les côtés de la gouttiè
évoir qu'il ne serait que légèrement affecté. R. )I. C. XXVI. Des
affections
du système nerveux A LA suite de maladies infec
point de vue morphologique, le malade de M. Lwotî présente bien une
affection
qu'on peut classer sous le terme générique d'ur
M. IIUUIRTY. De l'emploi du nalro-salieylate de caféine dans les
affections
cardiaques des aliénés. Séance du 13 juin 1883.
ans le p/yalisme1 (Voy. Zcelch. f. PSclt., RLII). M. GOTTLON. Des
affections
mentales chez les montagnards. Qua- rante obser
depuis le commencement de z, il doit être tenu pour guéri de son
affection
mentale, tandis que le tabès est demeuré tel quel
e de l'attaque congés- tive. D'abord la démence paralytique est une
affection
de tout le système nerveux central. Sans doute,
. Th., Paris, 1887. L'auteur essaye la différenciation des diverses
affections
con- fondues à tort, à son avis, en anatomie pa
urs. Très complet et très consciencieux en tout ce qui touche aux
affections
nerveuses et mentales des enfants, cet ouvrage po
es de maladies seraient justiciables de la ni étal 1 otliérapie les
affections
ner- veuses, le diabète, et les maladies parasi
ernières classes. Mais il n'est pas douteux que dans certains cas d'
affections
nerveuses, les métaux appliqués d'une façon ratio
écutive à une' lésion corticale, par Muckte, 439. .Montagnards (
affections
mentales ' chez les), par Gottleb, tj0, Morph
la), par Rumpf, 88; (cérébrale), par Hertz, 449. Système nerveux (
affections
du après les m.ladies infectieuses), par Lunz
i, n'ayant jamais constaté chez elle de symptômes hystériques avant l'
affection
actuelle, ne pouvait croire â une simple névrose
onsulta à Paris deux professeurs de la Faculté: l'un diagnostiqua une
affection
rhumatismale du cœur, l'autre une myocardite : le
première que ma brusquerie lui avait causée : je lui affirmai que son
affection
était purement nerveuse et pouvait, devait guérir
ec des prostituées, je crus trouver mon vrai salut dans le mariage. L'
affection
amicale que je portais autrefois à une demoiselle
e pas rompre directement avec mon amant qui m'a toujours conservé une
affection
passionnée. Ces entrevues me paraissent plutôt
ent satisfait de mes relations d'à présent. Je n'ignore point que mon
affection
d'aujourd'hui le cède beaucoup à celles d'autrefo
neuse, morte a 56 ans, d'apoplexie. Père mort à 10 ans environ, d une
affection
intestinale. Oncle maternel, mort de diabète ; ta
d'histoires, dans le but de se mettre en scène. Elle a une mobilité d'
affection
qui n'a d'égale que sa violence: quand elle aimc.
é de leur caractère et appellent cela « avoir des toquades ». Cette
affection
passionnée n'est pas réservée du reste exclusivem
une étude curieuse et documentée, il nous montre l'antiquité de cette
affection
qui intéresse tout le monde, parce que beaucoup l
imagination. Désormais, pas plus dans l'étude symptomatologique des
affections
que dans celle de l'action physiologique des médi
ernheim ne démontrait-il pas victorieusement que la symptomatologie d'
affections
organiques est souvent créée de toutes pièces
soigner l'essaim bourdonnant des jeunes filles à marier, atteintes d'
affections
indéfinissables, embaumant la fleur d'oranger. Ce
il a été reconnu qu'un tiers d'entre eux étaient malade ou affligés d'
affections
chroniques. La myopie, si fréquente chez eux qu'e
res dans les moyennes. Entête des maladies organiques se trouvent les
affections
pulmonaires, que l'on rencontre chez 2 à 3garçons
'entant de ses pa- trons, auquel Mlle V.... témoignait beaucoup d'
affection
, mourut subitement. Elle eut à ce moment une atta
ans une série de tableaux généalogiques très curieux quelles sont les
affections
nerveuses organiques ou dynamiques qui figurent l
sie-épilogue, un phénomène concomitant avec lu période de déclin de l'
affection
. Hn outre, dans l'espèce, cette paralysie-épilogu
lui, en sa tendance aux contractures. La cau'e occasionnelle a été l'
affection
tébrile, la grippe, dont il a été inopinément att
ement, soulagées par la suggestion hypnotique, elle ne guérit pas les
affections
chroniques. Par l'anesthèsie hypnotique, on obtie
hérapeutique. Le plus grand succès de l'hynotisme se rapporte aux
affections
nerveuses desquelles, cependant, sont parfois ren
ique unique. Les symptômes prétendus caractéristiques de ce genre d'
affections
. tels . que le rétrécissement du champ visuel et
ées par Paul Blocq, qui a publie le travail le plus complet sur cette
affection
et lui a donné le nom d'astasie-abasie, ont pour
pas la conception de Charcot développée par Blocq sur la nature de l'
affection
. Contrairement à ces ailleurs qui pensent que l'a
une femme paralytique dont le mari était traité à l'hôpital pour une
affection
tabètique. S'agit-il, dans ces rencontres, d'un
été publies sur la question, il résulte, dés à présent, qu'il y a des
affections
assez nombreuses dans lesquelles les résultats de
nir un total de 105 observations portant sur des malades , atteints d'
affections
très variées, chez lesquels le traitement par sug
us ne tenons compte dans notre statistique que des malades atteints d'
affections
nerveuses ou mentales qui ont été l'objet d'un tr
Pour la clarté de notre exposé, nous avons divisé en cinq groupes les
affections
dans lesquelles le traitement par la sugges-tion
eurasthénie et les névropathies. 4. Les maladies mentales. 5. Les
affections
nerveuses des enfants. 1. — NÉVROSES. Hystéri
es formes les plus diverses et les symptômes les plus variés de cette
affection
. Contrairement à l'opinion émise il y a quelque
mbre. 15 cas, parmi lesquels se trouvaient toutes les formes de cette
affection
(rhytmique. saltatoire. athétosique, générale, pa
nature, á encourager l'emploi de la suggestion dès le début de cette
affection
, considérée jusqu'ici comme incurable. Epilepsi
mnambulisme nocturne guéris par quelques séances de suggestion. II.
AFFECTIONS
ORGANIQUES DU SYSTEME NERVEUX Comme on l'a dit
EME NERVEUX Comme on l'a dit fort justement, les malades atteints d'
affections
chroniques du système nerveux peuvent être déjà d
rghem et Van Eeden ont pu-blié un assez grand nombre d'observations d'
affections
organiques du système nerveux dans lesquelles la
ire des indications précises du traitement psychique contre certaines
affections
organiques du système nerveux nous pensons néanmo
fant une médication qui donnait de brillants résultats dans certaines
affections
de 1 âge adulte. Il en est ainsi, d'ailleurs, de
s réflexion 1Brodie, Lectures illustrative of certain local nervous
affections
. London, 1837. (Trad. française par Dr Aigre, Par
reléverait plutôt de l'hystérie. Quant a la chorée, on sait que cette
affection
a une tendance a évoluer spontanément vers la gué
La valeur thérapeutique de la suggestion. contre, un certain nombre d'
affections
et de troubles fonctionnels n'est plus a mettre,
té encore donné d'appliquer la suggestion au traitement de toutes les
affections
dans lesquelles il déclare qu'elle est nettement
rter à la communication de M. Bérillon. Il nous a cité quelques cas d'
affections
mentales dans lesquelles la guérison a été obtenu
'étonnant A ce que nous ayions obtenu des succès dans le traitement d'
affections
mentales, puisque nous nous sommes fait une règle
mportance secondaire, étant bien persuadés que c'est des sentiments d'
affection
et de respect dont nous sommes inspirés que notre
ute est ainsi, chez les auteurs contemporains, tantôt le symptôme des
affections
mentales et nerveuses les plus variées, tantôt un
'est pas seulement chez les malades, il a passé dans la science, et l'
affection
dont nous parlons présente ce caractère singulier
tative de former avec la folie du doute unie au délire du toucher une
affection
mentale tout à fait spéciale, une véritable entit
par la suggestion. Sans doute elie ne prémunit pas contre toutes les
affections
nerveuses éventuelles. Parmi les nombreux névropa
il avait voulu empoisonner une tante pour laquelle il a une profonde
affection
. L'automatisme avait été complet. » b. « Je m'é
par la suggestion. Sans doute elle ne prémunit pas contre toutes les
affections
nerveuses éventuelle». Parmi les nombreux névropa
mpétentes. APPLICATIONS DE LA SUGGESTION HYPNOTIQUE AU TRAITEMENT D'
AFFECTIONS
CHRONIQUES Par SI. le D' LLOYD-TL'CKEY (de Lond
Les observations suivantes, relatives à quelques malades atteints d'
affections
chroniques, qui ont été soumis au traitement hypn
lan des quelques avantages (2) qu'on peut en retirer dans la cure des
affections
dynamiques et place eu regard le tableau des dang
aniques du système nerveux, 10. — B. Affections hystériques, 17. — C.
Affections
névropathiques. 18. — D. Névroses diverses, 15. —
ues agissant spontanément (4) dans une période som-nambulique de leur
affection
, il sortit net des débats que le crime sur l'hypn
uivre dans la classification des maladies mentales. — Séméiologie des
affections
cérébrales. — Recherches sur la paralysie général
pileptiques. — Troubles du langage et de la mémoire des mots dans les
affections
cérébrales. — Folie raisonnante ou folie morale.
pétrière. et que je ne saurais en conscience donner à mes malades une
affection
qu'elles n'ont pas. L'occasion se présentait de
n kyste semblable, chez une jeune demoiselle que je traitais pour une
affection
grave de l'oreille, et dont je n'ai pas encore eu
les aspects multiples qu'elle peut révéler ou même à côté des autres
affections
qu'elle peut accompagner : son traitement spécial
stice scientifique en proposant le nom de maladie de Beard pour cette
affection
, que l'habile clinicien de New-York a si finemeut
et décrits, même dans les livres d'Hippocratc. L'histoire de cette
affection
est vraiment intéressante; elle est d'ailleurs tr
é militaire est le plus souvent déterminés (dans 32,9 de cas) par les
affections
des os, des articulations et des muscles. Os tris
alme, comme le sommeil ordinaire ». Les paroles dites doucement, sans
affection
, constituent ce que j'appelle la suggestion prépa
ons de thérapeutique suggestive que j'ai publiées se rapportent à des
affections
nerveuses, et on en a conclu que. contrairement à
r avec les sentiments supérieurs qu'on y localise (sentiment du beau,
affection
, sentiment d'admiration, amour de l'approbation,
de «a maladie. Ce certificat doit nettement «péciîler la nature de l'
affection
qui a déterminé la mort. Or, Toici le cas qui v
l'examen des médecins de la Compagnie, il est reconnu exempt de touto
affection
pouvant s'opposer a l'assurance. Quelques mois ap
qui l'empêche de s'alimenter. Elle entre au service le i mars 1891. L'
affection
a commencé il y a un an par des tiraillements dou
as, (victimed'une erreur judiciaire), 8 Affaire Gonffé (l'), 224.
Affections
chroniques, traitées par l'hypnotisme, par Lloyd-
tions chroniques, traitées par l'hypnotisme, par Lloyd-Tuckey, 231.
Affections
organiques du système nerveux, traitées par sugge
s; a eu, à 27 ans, une fièvre typhoïde « avec beaucoup de délire, »
affection
qui fut sui- vie d'une diminution de la mémoire
minution de la mémoire. Pas d'excès de bois- son. [Père, mort d'une
affection
du coeur à 32 ans; maçon; alcoolique ; a bu « t
; 12° garçon mort en 2 jours à l'âge de 5 mois, dans le cours d'une
affection
cardiaque, probable- ment d'une maladie bleue «
ivers objets sur les personnes qui l'irritaient. Pas d'autres cas d'
affections
mentales ou nerveuses dans la famille.] Mère, 2
lle a eu quelques éruptions dartreuses aux jambes. [Père mort d'une
affection
gastro-intestinale aiguë; non alcoolique : a eu
er jusqu'ici en pareil cas, nous devons signaler la rareté de cette
affection
. Quatre cas seulement paraissent avoir été publ
les difficultés que présente jus- qu'ici le diagnostic d'une telle
affection
, puisqu'il était im- possible de l'asseoir surd
es membres et du cou, vraisemblablement concomitant du début de l'
affection
, que nous avons pu songer à la sclérose hyper-
d'un eczéma du pied qui reparaît encore de temps à autre. Aucune
affection
mentale ou nerveuse dans la famille.] Renseigne
s, ni troubles nerveux. Mère, morte à 49 ans, à la ménopause, d'une
affection
qui a duré six mois, accompagnée d'oedème des e
ayant été vacciné. Avec la croissance et avant le début même de l'
affection
, se développèrent les troubles psychiques : l'en-
'attribuer à l'hérédité une grande influence sur la production de l'
affection
con- vulsive. Ajoutons que cette influence s'es
e partiel. Elles présentent, en effet, tous les caractères de cette
affection
, tels que les a fait connaître M. Charcot. L'
hypothèse que nous émettons à ce sujet de la nature originelle de l'
affection
articulaire. , Dans une étude sur les arthropat
à l'appui de la théorie qui considère le mal perforant comme une
affection
de nature essentiellement nerveuse (1). Epileps
une dizaine do jour. 1878. Au mois de juin, elle a ou encore une
affection
fébrile qui a duré une douzaine de jours et sur
existence fréquente du lymphatisme, offrent moins de résistance aux
affections
de ce genre que les enfants ordinaires. Comme
bille seul, commence à lire : habitudes d'onanisme, irascibilité.
Affections
antécédentes : impétigo du cuir chevelu, coque-
e du caractère de gravité et de persistance tout par- ticulier de l'
affection
pulmonaire en ce cas, il nous a semblé intéress
sa mère. Il se plaît à briser les objets qu'il peut saisir. Pas d'
affections
antécédentes à l'entrée à l'hospice, sauf des p
ns autres manifestations morbides et nerveuses. [Père, mort d'une
affection
de la poitrine. Mère, morte asthmatique. Un frè
L'enfant, en effet, n'est pas mort de la rougeole même, mais d'une
affection
absolument indépendante de celle-ci, quoique su
la fièvre intermittente; une tante morte d'un cancer au sein. Pas d'
affections
nerveuses du côté pater- nel : du côté maternel
sceptible d'expliquer cette termi- naison rapide. Toutefois comme l'
affection
s'est brus- 140 ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. quement
nstruels. [Père, mère, et deux frères en bonne santé; nulle trace d'
affection
nerveuse dans la fa- mille]. Pas de consanguini
mois; 2° notre malade : 3" fille, morte en nourrice a 8 mois, d'une
affection
qui dura trois jours, accompagnée de muguet; el
rt on ne sait de quoi. Mère, morte de cholérine, il y a5 ans. Pas d'
affections
nerveuses dans la famille.] . hydrocéphalie 1
ps que règne la rougeole dans le service, nous diagnostiquons cette
affection
à la période d'invasion. T. R. 38°,4. (Bouillon
l aurait eu la rougeole il trois ans : ROUGEOLE COMPLIQUÉE. 151 l'
affection
se serait caractérisée par de la rougeur de la
r de corrélation plus in- time avec la rougeole qu'avec toute autre
affection
fé- brile, n'en a pas moins reçu une importante
férentes propositions ne peut être mise en doute, dans les diverses
affections
fébriles ou traumatiques. La diminution du nomb
une épileptique. En ce cas, comme dans les nôtres, l'influence de l'
affection
intercurrente ne s'est fait sentir que pendant
Delasiauve, envisageant les caractères de gravité qu'a présentés l'
affection
épidémique, n'attribue qu'une très médiocre inf
ON DES DEUX ÉPIDÉMIES. 169 grand retentissement sur l'évolution des
affections
fébriles intermittentes ; mais nous pensons que
diots et les aliénés supportent mieux que les autres malades, les
affections
fébriles intermittentes » et qu'il s'appuie sur
qui est de la ré- sistance totale de l'organisme des idiots à toute
affection
fébrile accidentelle, nous sommes en mesure de
eux militerait en faveur de l'existence d'une forme particulière d'
affection
névritique, mais, seul dans la circonstance, l'
tuellement bien portant; sa mère est migraineuse. Il ne con- naît d'
affection
nerveuse chez aucun des membres de la famille.
e de la hanche, et depuis il boite de la jambe droite. Début. - L'
affection
actuelle a débuté sournoisement au milieu d'une
s furonculeuses. Il n'est ni syphilitique ni alcoolique. Début. L'
affection
actuelle aurait commencé il la suite d'une attaqu
lle a été réglée à dix- huitans, irrégulièrement depuis. Début. L'
affection
actuelle a débuté il y a quatre ans par de l'affa
ique, sa mère est actuellement bien portante. Elle ne connaît pas d'
affections
nerveuses dans sa famille. Antécédents person
e n'est ni rhumatisante, ni syphilitique, ni alcoolique. Début. L'
affection
actuelle a débuté insidieusement il y a un an par
e non plus aucune cause de quelque vraisemblance à l'origine de son
affection
. La profession d'employé de banque n'avait rien d
on est frappé de la relation qui paraît exister entre le début de l'
affection
paralytique el une attaque de rhu- matisme ; il
ux bien caractérisés : un père alcoolique, une mère hystérique. Son
affection
a de même débuté sans cause occasionnelle, et e
atomique du nerf cubital. Enfin la dernière de nos malades a vu son
affection
s'installer insi- dieusement, sans cause appare
a mieux la spécificité dece groupe, si tant est qu'elle existe. L'
affection
débute insidieusement, sans cause occasionnelle a
été égales il celles du bras droit, depuis cet accident. Début. L'
affection
actuelle a débuté il y a sept mois (en mai). A ce
ne, 1878). H NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. duction des
affections
nerveuses, conceptions récemment démontrées, en
s resislentiæ, occasionné par la fracture du coude, aurait vu cette
affection
se réaliser sous la forme d'une névrite cubital
rôle du traumatisme n'existe plus, et nous sommes en présence d'une
affection
qu'on pourrait dire spontanée. OBs. VII. Mme
a liaison qui existe entre ces observations et les précédentes où l'
affection
se présente avec des caractères cliniques sembl
observations, nous ne croyons pas pouvoir déterminer la nature de l'
affection
que nous avons décrite, et il nous suffira d'av
role, la dégluti- tion et la respiration. En fait, c'est pour cette
affection
que la malade demanda Transactions, 1888, séanc
n Med., 1888, L. XLII, fuse..1, p. 29G. L'ACROMÉGALIE. M aucune
affection
analogue non plus chez ses enfants ou chez ses co
d de l'oeil, les vaisseaux rétiniens ne sont pas dilatés ; au- cune
affection
rétinienne. La recherche de la sensibilité fara
us allons les examiner successivement. 1° jd quel type appartient l'
affection
vésanique qu'elle présente et de quelle dénomin
, nous résumerons brièvement les traits principaux assignés à cette
affection
par ceux qui l'ont décrite. D'après Kahlbaum2,
us avons essayé la suspension dans le traitement de quelques autres
affections
nerveuses indépendantes du tabes. M. P. Blocq a
été hypnotisée à la Salpêtrière bien avant la localisation de cette
affection
sur son oeil gauche; mais elle n'avait jamais été
fficile à analyser. Dans un récent mémoire fort intéressant sur les
Affections
hystéri- ques des muscles oculaires2, M. le Dr
aient, pour un observateur expérimenté, la signa- ture typique de l'
affection
originelle. Le blépharospasme qui existe chez 1
s hystériques, notre maître a montré qu'on pouvait faire naître ces
affections
dans la période somnambulique du grand hypnotis
des étals patholo- giques qui sont, en tous points, semblables aux
affections
hystériques spontanées, et il serait impossible
effet, si l'on peut arriver ainsi à faire imiter à l'hypnotique une
affection
nerveuse indépendante de l'hystérie, on n'a dev
, 2 février 1887. 2. Cette expérience est rapportée par M. Itorel :
Affections
hystériques des muscles ocu- laires et leur rep
e à plusieurs reprises que, même en l'absence du symptôme spasme, l'
affection
blé- pharospasme hystérique ne pouvait être con
oucher la terre. A vingt-quatre ans, quatre ans après le début de l'
affection
, elle pcut quitter ses béquilles et marcher à l
ar la mère du ma- lade) : Père.- Mort en 188J, âgé de 52 ans, d'une
affection
cardio-hépatique, n'a jamais eu aucune maladie
e, âgée de 88 ans, vit encore; elle fut atteinte à G ou 8 ans d'une
affection
osseuse de la jambe, qui entraîna une longue su
hement sur son séant. Là, pas de fièvre, ni d'épuisement général. L'
affection
est toute locale, elle siège au cuir chevelu. Deu
ne pose languissante pleine de naturel, porte bien les marques de l'
affection
dont elle est atteinte. Toutefois, sous ses vêt
rêt : on sait de quelle importance est l'examen des urines dans les
affections
qui produisent t'hydropisie, et la manière dont
Traité clinique des maladies mentales, p. 3.t3, 5. Charcot et réré,
Affections
osseuses el articulaires du pied chez les tabétiq
rtante dans le tableau clinique de la maladie de Par- kinson. Peu d'
affections
du système nerveux possèdent un côté plas- tiqu
rmant un angle, et que les côtes se furent allongées par suite de l'
affection
inflammatoire, les viscères contenus dans le thor
ons sur les déviations du bassin lui-même, comme il arrive dans les
affections
de l'articulation de la hanche. C'est à ce titr
Sur ces entrefaites sa maîtresse, pour laquelle elle a une profonde
affection
, tombe malade. La voici doublement désespérée, in
attaques. Antécédents personnels. ' Santé bonne avant le début de l'
affection
actuelle. Rougeole à cinq ans. Scarlatine à hui
t parfaitement remar- qué, car il le décrit en ces termes 1 : « L'
affection
hystérique, dit-il, ne s'en prend pas seulement à
avoir des vertiges. Toujours bien portant depuis 187G. Début de l'
affection
actuelle. - II y a trois ans, au mois d'août, il
-motrice que présente parfois la peau des malades atteints de cette
affection
. Mais Gull le premier a traité la question avec
e le phénomène était plus intense au moment des recrudescences de l'
affection
cutanée. Mais c'est surtout sous l'in- fluence
de l'état de mal, le volume et les matériaux solides, si ce n'est l'
affection
elle-même. Désormais, croyons-nous, il faudra c
m 2 et dans la maladie de Lasedow. En ce qui regarde cette dernière
affection
, nous avions tout parti- culièrement à 'tenir c
u goitre et les accidents fébriles intermittents, indépendants de l'
affection
elle-même. La première question qui se posait é
té le diagnostic d'atrophie muscu- - laire progressive. Cependant l'
affection
avait débuté de bonne heure, ;\ 17 ans; de plus
très considérable des réflexes rotuliens. Mais la seule durée de l'
affection
éloignait cette hypothèse beaucoup plus soutenabl
rniers temps il n'a plus présenté, selon lui, aucun symptôme de son
affection
. » GILLES DE la Tourette, Ancien chef de Clin
dinaires"'d'âge; de sexe; d'hérédité des malades,' l'évolution de l'
affection
et son traitement-par l'électricité, le massage e
s ont toujours séjourné dans des pays où la lèpre est endémique ? L'
affection
n'a jamais débuté avant l'âge adulte. -' IL exi
z légers de dégénérescence, mais ne présentant aucun symptôme d'une
affection
médullaire quel- conque, offre cette particular
perthricose localisée est un trouble trophique en rapport avec une(
affection
des nerfs, celle qui est localisée aux membres in
s crises gas- triques. « . 1 , , . Quatre ans après le début de l'
affection
, arthropathie de la hanche gauche, et ensuite a
epuis peu d'an- nées et ils sont souvent' confondus avec' d'autres'
affections
-moins curables. · r zw u 3r Cas 1.=Lé premie
ont, en réalité que trois formes différentes d'unei seule, et même-
affection
, la 'myopathie progressive. , gd j,, - j3 -, i
t comme celle-là l'impotence mus- culaire. Dans certains muscles, l'
affection
a évolué dans'le sens de l'atrophie; dans d'aut
' Analogue à la précédente. Homme de vingt- cinq ans chez lequel l'
affection
a débuté à l'âge' de sept) ans. Myopathie' prog
t prises simultanément. A noter qu'il Y a souvent participation à l'
affection
des méninges de la base du cerveau; ce que la c
er d'une façon précise les méninge-myélites syphilitiques des mêmes
affections
vulgaires, mais on peut regarder comme acquis q
rticle à lire. - Le sujet était un jeune hystéro-épileptique dont l'
affection
avait été diagnostiquée. Il avait dix diables dan
rer qu'une altération spéciale puisse correspondre à chacune des
affections
différentes qui peut frapper le même territoire
e mentionner sont plus manifestes et plus intenses que dans maintes
affections
, que la méthode de Golgi peut nous permettre d'
udisme joue en général un double rôle dans la genèse de différentes
affections
, soit d'une cause occasionnelle, soit d'une cau
occasionnelle, soit d'une cause spécifique; dans le premier cas, l'
affection
reste indépendante du paludisme, dans le second
pas nécessairement neurasthéniques. Et d'ailleurs, est-ce que les
affections
hépatiques d'origine non palustre sont accompa-
mois et demi. Elle m'affirme en même temps qu'elle a perdu toute l'
affection
, presque passionnée, qu'elle avait pour son uni
,80. 5. La malade se sent à merveille, elle m'affirme aussi que l'
affection
pour son enfant est revenue. 1 7. Je lui ai fai
doit également tenir compte de la coexistence possible de certaines
affections
, spécialement la tuberculose. HISTOIRE ET CRITI
r qu'une manifestation tardive par excellence. A tous égards, cette
affection
se rapproche de ces curieuses affec- tions auxq
quelles on a appliqué, dans ces derniers temps, le qua- lificatif d'
affections
parasyphilitiques. Elle s'en rapproche en effet,
onge que dans les hôpi- taux, où l'on reçoit des malades atteints d'
affections
si variées, mais d'une autre nature, on voit ra
culier à ce fait qu'elles apportent un nouvel élément à l'étude des
affections
familiales du système nerveux. Dans l'un et l'aut
résente, sous le titre de forme princi- pale de de la paranoïa, les
affections
de l'intelligence. 4° La p<M'6[MOMt se sépar
. M. PETERS présente un malade atteint d'adénome du nerf optique.
Affection
bilatérale sans autres lésions du fond de l'oeil.
'ensemble des symptômes physiques et moraux et sur la marche de ces
affections
. L'autre, Baillarger, a publié de nombreuses ét
int, moins la branche frontale. C'est alors que, sans qu'il y ait d'
affection
pulmonaire ou pleurale, la dyspnée revêt une ac
M. P. Marie a désigné sous le nom d'hérédo-ataxie cérébelleuse une
affection
familiale très proche de la maladie de Friedreich
i se peuvent observer chez une hystérique avérée, mais à préciser l'
affection
mentale caractérisée par ses causes, son évolutio
e génération viciée se manifeste par les formes les plus diverses d'
affections
nerveuses ou mentales. On r conçoit dès lors ai
es ou mentales. On r conçoit dès lors aisément que plusieurs de ces
affections
puissent à un moment donné se trouver réunies c
mbinent leurs manifestations mentales avec celles de cette dernière
affection
. Au cours de l'hystérie, on peut voir se dévelo
atteintes de manie hystérique. Ce qui me paraît caractériser cette
affection
et ce qui la différencie de la manie ordinaire,
fréquemment, après plusieurs attaques de manie aiguë rémittente, l'
affection
passer à l'état chronique. Dans la manie habituel
à fait exacte le procédé par lequel se font les lésions dans cette
affection
. Pour quelques-uns (Joffroy et Achard), les név
ou tout au moins celles d'entre elles qui se voient au cours d'une
affection
des centres nerveux (tabes, sclérose latérale a
ons spinales. Voici donc, selon moi, comment on doit comprendre l'
affection
à laquelle on donne la dénomination de névrite
onsidérées que comme constituant tout le substratum anatomique de l'
affection
en question; elles en représentent seulement les
névrites secon- daires, puisqu'elles sont sous la dépendance d'une
affection
du sys- tème nerveux central. La discussion n
nes dans l'asile aux quarantaines faites par les malades atteints d'
affections
contagieuses. On isole les victimes de la boiss
nt qu'à côté des lésions de l'axe médullaire il existait dans cette
affection
des altérations du cerveau et des nerfs. Le pre
le tabès et il serait tout aussi inexact de le considérer comme une
affection
du système nerveux central que d'en faire une m
à la neurologie. Quelle doit être la dominante symptomatique d'une
affection
qui porte son action sur l'ensemble du système
cas mortels. La mortalité ne monta pourtant qu'à 11,65 p. 100. L'
affection
avait été importée à l'asile par un malade venant
ho-pneumonie, 12 cas; pneumonie, 3 cas; phtisie -pulmonaire, 4 cas;
affections
organiques du coeur, 5 cas; dysen- terie, 2 cas
s aigus, 3 cas ; fièvres typhoïdes, 3 cas. Veut-on savoir à quelles
affections
ont succombé les 50 aliénés morts pendant la mê
mmun chez les paysans. Quelques mots encore, en finissant, sur deux
affections
dont l'importance est extrême en géographie méd
ns, à l'asile, 76 sujets provenant du département atteints de cette
affection
, 64 hommes et 12 femmes. Si en plus on considèr
est la cause de la fréquence relative, dans nos contrées, de cette
affection
qui, prétend-on, était presque inconnue autrefo
nies et neu- rasthénies préparalytiques, prémonitoires de certaines
affections
cérébrales organiques, telles que la paralysie
ne cause, non pas inconnue, mais trop fréquemment négligée de cette
affection
. C'est l'otite moyenne légère atteignant surtou
nstratifs de cette variété de paralysie faciale; l'origine de cette
affection
rend compte d'une série de symptômes difficile-
- dante dans sa fonction. Or, il se trouve justement que dans les
affections
avec lésions destructives nous n'avons eu à enreg
sans importance au point de vue du diagnostic différentiel dans les
affections
du système nerveux central (hémiplégie hystériq
on qui existe entre eux a une valeur pathognomonique pour certaines
affections
: c'est ce que j'ai appelé le symptôme de relat
ochain numéro. DES réflexes vasomoteurs A LONG trajet dans quelques
affections
NERVEUSES. MM. Hallion et Comte (de Paris). N
d que l'albu- mine ne se rencontre qu'exceptionnellement dans cette
affection
. J. Türner' ne trouve également que 7, 6 p. 100
a- lysie générale, elle fait le plus souvent défaut au début de l'
affection
, alors que le diagnostic est incertain. Donc là e
, ainsi que les variations dues aux formes et aux épisodes de cette
affection
. PSYCHOLOGIE LA PSYCHOLOGIE EXPÉRIMENTALE EN
aisemblables et dans l'examen du bulbe, lors des autopsies de cette
affection
, on devra apporter un soin tout particulier à con
e basée : 1° sur l'état mental primordial ; 2° sur l'évolution de l'
affection
tout entière. Etat mental antérieur des déliran
re auditif cortical devient plus excitable à mesure que progresse l'
affection
: il s'empare alors de tous les bruits extérieu
plaçant tout le bassin dans une marmite. Arrivé à ce point de son
affection
, las de ces incessantes tortures, le patient n'
é troublé, de l'enfance à l'âge mûr, par aucun accident; la seule
affection
à noter, durant cette longue période, est une pne
e qu'un riche bienfaiteur payait mon loyer ? » A cette phase de l'
affection
, le malade est souvent pâle, anémié ; il souffr
ne referai pas aujourd'hui l'histoire de cette troisième phase de l'
affection
: nous la trouverons ailleurs'. Que l'idée de g
e fois consti- tuées, parcourent leur évolution suivant le mode des
affections
similaires indépendantes de la syphilis. Nous
n question, débilité, suivant lui, préalable et non consécutive à l'
affection
mentale. S'il est, à côté de cela, le premier q
ypocondriaques persécutés finissent aussi par la démence quand leur
affection
dure depuis un temps suffisamment long. Cette dé-
ïa aiguë pure qui passe sans laisser de traces ; plus tard, la même
affection
, tout à fait semblable dans ses symptômes au prem
ées délirantes incohérence) et qu'ils sont reliés entre eux par une
affection
de l'activité intellectuelle. Quelque opinion q
e rapidité de l'évolution et que les signes . fondamentaux des deux
affections
sont les mêmes. Il est maintenant aisé de compr
SOCIÉTÉS SAVANTES. 507 L'atteinte de la sphère sensible dans les
affections
consécutives à une intoxication ou, ce qui est
ictère). Isolée, la tuberculose a une influence incontestable. Les
affections
utérines agissent par les intoxications, qu'ell
n est de même du rhumatisme, de la fièvre typhoïde, etc. Toutes ces
affections
sont, en somme, des intoxications et l'étio- lo
la fréquence, les antécédents sympathiques, le mode de début de l'
affection
, l'absence de fièvre, la persistance de l'état gé
ui de goître exophtalmique, il n'y a aucun, 'des symptômes de cette
affection
; de même, dans la tachycardie des hystériques.
892 et 1893. En tête du recueil figure une observation relative à l'
affection
décrite par Moebius en 1891 sous le nom de « ak
e mouvoir. Pour l'auteur russe, l'akinesia algera constituerait une
affection
indépendante, autonome. Il semblerait plutôt qu
eur continuité et leur fréquence, peuvent faire évoluer la première
affection
vers la seconde. L'étude des rapports des phéno
y,Pî-itchaid et Shultz; les maladies de la moelle, Obersteiner; les
affections
des nerfs périphériques, les dystrophies muscul
les dystrophies musculaires, les grandes 71é- vroses, Sollier; les
affections
mentales, Rohë; l'alcoolisme, le morphi- nisme
nt associés à l'un ou à plu- z Gilles de la Tourette. Etude sur une
affection
nerveuse caracté- risée par de l'incoordination
te la méningite, ce qui fait qu'il eut mieux fait d'appeler cette
affection
une méningo-myélite. Duchenne, sur ce point ana
rement, il ne fut pas reçu et fut reconduit chez lui. Le début de l'
affection
parait avoir, été accompagné de phénomènes fébr
ort de complications qui ne sont que trop fréquentes au cours'' des
affections
médullaires, L'évolution 'des symptômes jusqu'à
cliniques, rappellent de trop près l'analogie qui existe entre l'
affection
de notre malade et la description de Du- chenne
dans l'hystérie, que c'est même un des symptômes cardinaux de cette
affection
. Il ne me semble pas qu'il soit possible de rie
dans la marche' ». Le malade ne sait plus se ' Paul Blocq. Sur une
affection
caractérisée par de l'astasie et de l'abasie. (
évropathique se retrouve en général chez tous les sujets atteints d'
affections
des centres nerveux, même quand ces affections
es sujets atteints d'affections des centres nerveux, même quand ces
affections
sont détermi- nées par le traumatisme. Enfin la
des, impulsion, de mélancolie, suicide, etc... Dans certains cas, l'
affection
était très ancienne, parfois on dut recourir à
x ans. Il a été jadis examiné par M. Tillaux qui a diagnostiqué une
affection
catar- rhale de la trompe. Aucune zone hystérog
à la durée, et quant à la guérison, de la manie consécutive à des
affections
somatiques, de la manie alcoolique, de la manie p
s du corps avant l'installation du stade de calme. Plus grave est l'
affection
, plus faible est l'espérance d'une parfaite guéri
a sont infiniment plus fréquentes que celles qui résultent d'autres
affections
fébriles aiguës. Les troubles psychiques se rep
aques apoplectiformes suivies d'hémiplégie droite ou d'hémiparésie.
Affection
de courte durée. Mort. Ce qui distingue ce fait
ERVEUSE. 79 vingt-cinq ans, provenant d'une famille prédisposée aux
affections
nerveuses et mentales. En sortant du bain, le m
comprendre un bâtiment propre à l'observation et au traitement des
affections
nerveuses, qui servirait simultanément d'asile
r, c'est en vain qu'on luttera par les moyens indiqués contre cette
affection
. Voilà pourquoi les asiles d'aliénés, les hospi
mor- diales à la réussite de l'hypnotisme ; 2° Parce que bien des
affections
psychiques tiennent à des alté- rations organiq
s du pied qui furent atteints en premier lieu; à l'âge de sept ans,
affection
des muscles de la main. Il parait que le frère
oit être rangée avec la maladie de Friedreich dans un même groupe d'
affections
héréditaires il caractère dégénératif. ' Les
ment parfois bien éloigné. Quelques enfants, d'après la nature de l'
affection
, n'en éprou- veront jamais grande peine et gran
Elle obtient de temps à autre de son mari, qui a pour elle une vive
affection
, qu'il répète lui-même le signe de la croix pou
ute relation sexuelle; il continue montrer à sa femme, la plus vive
affection
. Ils vivent dans un grand luxe, ont de magnifiq
es. ' M. M ? âgé de trente-cinq ans, dont le frère est mort d'une
affection
des centres nerveux et la soeur a été prise d'écl
bles nerveux concomitants, étudier enfin la physiopatho- logie de l'
affection
et ses rapports avec les différentes maladies n
e cette analyse dans les conclusions sur la physiopathologie de l'
affection
. a). Forme du scotôme scintillant. Les premiers
u langage, sont pour la plupart ceux qui démontrent le rapport de l'
affection
avec l'épilepsie. Tout le monde sait, en effet,
s ne voulons point dire que ce soit toujours la cause première de l'
affection
. Les recherches cliniques ont en effet démontré
temps regardée comme un agent efficace dans le traitement de cette
affection
. L'influence d'autres agents a été aussi étudiée
es pratiques, au point de vue du traitement d'une des plus cruelles
affections
qui affectent l'espèce humaine. Les recherche
epsie et les convulsions épileptiformes ne sont pas seule- ment les
affections
cérébrales importantes avec lesquels nous ayons
ision et leur énucléation complète. C'est dans le traitement de ces
affections
qu'un nouvel horizon a été ouvert au chirurgien
Le malade (une femme) avait vécu plusieurs années en proie à cette
affection
. L'autopsie révéla : dans la moelle une atrophie
monctoire protecteur. P. K, XVII. CONTRIBUTION A la casuistique DES
affections
EN FOYER DE la protubérance ET, EN particulier,
rovoqué aucun symptôme pendant la vie qui puisse faire penser à une
affection
en foyer. Par conséquent, il est douteux que, d
s une atrophie de la moitié gauche du crâne. P. K. XVIII. SUR UNE
affection
cérébrale PRODUITE FAR la syphilis CONGÉ- NITAL
A. ERLENMEYER. (Centralbl. f. Nenenheilk, N. F., II, 1891.) Cette
affection
se produit chez des enfants de douze à seize ans
e motrice qui disparaît tandis que l'anesthésie croisée subsiste. L'
affection
provient d'un traumatisme ; le patient reçut un
ébrospinale chez l'enfant, avec remarques SUR LES rapports DE cette
affection
avec LES maladies INFECTIEUSES; par A. NOLDA. (
açon générale, et quelle que soit la forme ou l'inten- sité de leur
affection
, les mélancoliques sont négateurs. 11 n'en est
de négation se manifestent, il ne semble pas que le pronostic de l'
affection
en soit beaucoup aggravé. Le pro- nostic dépend
osologique et de la recherche minutieuse de tous les symptômes de l'
affection
. Il est à remarquer cependant que l'idée de nég
iques de la maladie de Basedow ne font point partie intégrante de l'
affection
. Ils n'ont rien de spécifique et peuvent revêti
générale saturnine. En effet, on a donné comme caractérisant cette
affection
la marche parallèle vers la guérison de l'intox
lus éminonts, l'étude et le SOCIÉTÉS SAVANTES. 327 traitement des
affections
mentales, n'est pas restée en arrière de ce gra
de la microcéphalie qui y concourt, était due à l'inspiration de l'
affection
maternelle; à la pensée d'une mère s'étendant d
ion de M. Lanne- longue ; 2° parce qu'elle en rapporte l'idée à « l'
affection
d'une mère s'étendant dans la région de l'incon
s soupirs convulsifs et mourut instantanément, probable- ment d'une
affection
cardiaque. Il n'avait pas repris connaissance d
moi, la cause qui a déterminé la mort dans mon cas, était due à une
affection
cardiaque, et dans les cas de Sachs et de Gerst
ns de craniotomie. Sur ce nombre, deux furent fatales 1 provenant d'
affection
cardiaque et 1 d'anémie aiguë. Je suis d'avis q
part qui doit leur revenir, à son avis, dans la genèse de diverses
affections
, où leur rôle ne semblait pas évident jusqu'à p
né. Les diverses théories qui préten- dent expliquer la nature de l'
affection
sont soumises à une discus- sion approfondie, e
et il n'y a pas à se tromper sur leur nature : les névroses, les
affections
dela moelle et des nerfs, qui peuvent les produir
e ans fait vie commune avec une femme pour laquelle il a beaucoup d'
affection
. Voici les renseignements que cette dame nous d
époque de son existence une forte hémorrhagie, il est atteint d'une
affection
cardiaque. Or, on connaît la relation qui existe
médecins de l'hôpital Tenon eurent certainement le soupçon de cette
affection
, puisqu'ils soumirent Fiq... au traitement spéc
et l'agraphie pourraient nous laisser incertains sur la nature de l'
affection
qui leur a donné origine. Tous les deux peuvent
peuvent se rencontrer aussi bien dans l'hystérie ', que dans les
affections
organiques,.sans que dans un cas ou dans l'autre
e. Serait-il nécessaire de démontrer que les trois premières de ces
affections
doivent être éliminées ici ? Nous ne le croyons
re par la vaste symptomatologie, la physiologie patholo- gique de l'
affection
. Toutes les publications dont j'ai pu prendre c
eil pendant l'amblyopie transitoire,. Donc, même en admettant que l'
affection
puisse quelque- fois être accompagnée de spasme
mènes associés de la migraine ophtal- mique, le siège cérébral de l'
affection
, il restait encore à préci- ser davantage la lo
opie transitoire. 431 difficile, étant admis le siège cortical de l'
affection
, si l'on ne pensait que nombre de ces cas appar
our l'hémi- anopsie verticale permanente, c'est-à-dire penser que l'
affection
intéresse tout de même un seul lobe occipital d
s ou moins graves et fugaces, très variés et ne constituant pas une
affection
nerveuse à type défini et persistant, l'amblyop
la circulation céphalique. Dans les anémies pro- noncées, dans les
affections
cardiaques (insuffisance aortique en particulie
s où nous pouvons déduire sûrement, de la forme de l'amblyopie, une
affection
des deux hémisphères à la fois. Ce sont les c
s plus courtes, presque avortées, se voient de préférence lorsque l'
affection
dure depuis longtemps. Au lieu de la migraine,
pagner l'amblyopie transitoire. IV. L'amblyopie transitoire est une
affection
assez fréquente. Si elle ne se montre pas encor
ntes formes symptomatologiques, il est très facile de reconnaître l'
affection
et de la rapporter à l'état ner- veux plus ou m
souvent le trouble visuel a remplacé les attaques migraineuses. L'
affection
est ainsi plus fréquente (ainsi que la migraine)
ogie plus grande, favorable sans aucun doute à la localisation de l'
affection
dans la substance grise de l'écorce cérébrale.
e diagnostic différentiel entre l'amblyopie transitoire et d'autres
affections
, telles que les maladies des membranes de z l'o
le pronostic, quant à la marche, la durée et la signification de l'
affection
. Rien de caractéris- tique dans la marche et la
atteints de dégénérescence psychique, se trouve la folie du doute,
affection
qui se- rencontre spécialement chez les malades
des muscles des yeux chez un paralytique tabétique avec autopsie. L'
affection
a duré plus de huit ans. Au début n'existait qu
ici d'une athéthose bilatérale primitive des membres inférieurs; l'
affection
a débuté d'une façon insidieuse par la jambe droi
il n'y a que deux maladies qui doivent être désignées sous le nom d'
affections
systématiques de la moelle. - Ce sont : a le
- tion physiologique. Les observations communiquées sous^le nom d'
affections
systéma- tiques combinées appartiennent soit au
in la maladie de Morvan (syringomyélie) est une cinquième forme des
affections
chroniques de la moelle. Séance du 8 février 18
Cullerre, 477. HYSTÉRIE, diagnostic différentiel entre l'- et les
affections
orga- niques du cerveau, par Ghilar- ducci, 3
-légal, par Deventer, 485. Syphilis, et tabes, par Minar, 128 ;
affections
cérébrales produites par la congénitale, par Er
tement connu dans toute la ville, souffrait depuis plus d’un an d’une
affection
du rachis, et durant les cinq derniers mois il n’
qui même plusieurs fois ne se font pas sentir. « Fille de sept ans,
affection
du bras droit par suite d’une chute et d’un coup
ait presque appeler guérison. « Ces quatre derniers cas étaient des
affections
récentes. « Dix-neuf cas de fièvre intermittent
sation. « 7® Hernie inguinale. Je n’ai pu guérir complètement cette
affection
, n’en ayant pas continué le traitement. Cependant
é, et pourtant cet état revient dès que le sommeil est dissipé. Cette
affection
est assez commune pour que chacun puisse répéter
idant à Calcutta, a été li appé d’apoplexie il y a seize jours. Celte
affection
l’a pris la nuit : il s’était couché en parfaite
ves. Et tandis que les médecins en sont à connaître et à comprendre l’
affection
de cette jeune fille, elle révélera elle-même la
orable de voir la médecine volontairement impuissante dans toutes les
affections
nerveuses, tandis qu’il existe un agent propre à
lent du médecin consiste à seconder les efforts de la nature dans les
affections
aiguës, avoue l’insuffisance de son moyen curatif
(4) Lozel, (le Pudatjrià. (5) Centuries de Salmulh. dissiper une
affection
goutteuse et une névralgie du bras. Rcysclius e
sans dans nos villes et nos campagnes, surtout dans le traitement des
affections
rhumatismales. Les somnambules ont quelquefois
’ignorons pas qu’un pédiluve d’eau chaude serait contraire dans cette
affection
: l’influence d’un fluide vilal pourrait à plus j
tardé à ressentir eux-mêmes tous les accidents précurseurs de cette
affection
; hémoptysie, toux sèche, douleur entre les épaul
années d’intervalle , avec deux femmes qui moururent des suites d’une
affection
tuberculeuse; pendant tout le temps qu'il lut en
es caractères de transmission , surtout chez les enfants. Combien d’
affections
dartreuses et scrofuleuses qui se transmettent d’
l est flans un état convulsif profond, ainsi que cela a lieu dans les
affections
graves du cerveau. La pupille est très-dilatée,
s. Et ce que l’on voit dépasse de bien loin ce qui se montre dans les
affections
nerveuses, soit qu’elles proviennent d’une altéra
que nous avons tracées dans le Manuel, il y aura appris que dans les
affections
du système nerveux nous provoquons la nature, et
z les magnétiseurs de Nantes à tenter la guérison de cette singulière
affection
. M. Gravé avait prévu votre intention, et, quan
souffrais, a-t-il dit, depuis quelques années, de la goutte et autres
affections
. Un de mes amis, ecclésiastique, vint un jour, to
angereuses en ce moment; ensuite parce que chacun est frappé dans ses
affections
ou occupé à magnétiser les personnes qui l’entour
ide magnétique est, par son mouvement, le principe el la cause de nos
affections
, la volonté sera le moteur au moyen duquel les co
l’emploi du magnétisme animal est éminemment utile dans ces sortes d’
affections
; qu’il est même l’unique moyen de guérison ou de
que le magnétisme animal n’est pas moins utile dans beaucoup de cas d’
affections
sanguines et bilieuses. Il attribue ces affection
beaucoup de cas d’affections sanguines et bilieuses. Il attribue ces
affections
à un défaut d’équilibre dans les fluides, d’où ré
gnétisation quotidienne; Milia, servante : suppression de règles et
affection
hystérique ancienne de plusieurs années,guérie ap
a fait un bon nombre de somnambules, et guéri ou soulagé une foule d’
affections
diverses. En ce moment il fait tous les jours une
ce qu’il a fait, ni même ce qu’il fait à présent ; mais il soigne des
affections
de poitrine et des maladies de femmes, rebelles j
epuis dix ou onze ans, époque à laquelle remonte la plus grave de ses
affections
, non la plus ancienne, qui date de 1835. Il ne re
ns, a une tumeur scrolale, et les jambes affectées d'éléphant iu-sis,
affections
précédées de fièvre périodique. Magnétisé journ
re- marqué le changement en mieux que subissait sa physionomie. Ses
affections
aussi étaient plus développées. Égoïste en généra
fet. Et qu’on n’aille pas croire que le magnétisme ne convient qu’aux
affections
nerveuses, car il a guéri des maladies de toutes
t opéré l’année dernière, à Hooghly. d’une tumeur serotale, a la même
affection
depuis cinq ans. « Magnétisé une heure et demie
int, dans son incertitude, de porter un jugement sur cette singulière
affection
, tout en penchant avec moi pour soupçonner une ga
vives ; les médecins ne nieront pas que la peur puisse développer des
affections
nerveuses fort graves, telles que l’épilepsie, l’
contact sans ressentir d’horribles souffrances. Depuis deux ans cette
affection
avait résisté à toute espèce de médication, lorsq
Nos anciens rois se sont toujours arrogés le privilège de guérir les
affections
scrofu-leuses, par l'imposition des mains ou le t
degré. Déjà les rois s’étaient adonnés au traitement de beaucoup d’
affections
diverses. Pyrrhus, roi d’Épire, avait la réputa
ussi des anneaux, qui, portés aux doigts , préservaient de beaucoup d’
affections
, et dissipaient le mal caduc. L’anneau d’Edouard
irlandais, vivait à la cour de Jacques I", qui lui portait une grande
affection
; Charles Ier le nomma pins tard intendant général
genre. On regardait alors comme de véritables possessions toutes les
affections
nerveuses qui (1) Zozom. el Nicéph., lib. t, li
aient facilement faire ¿dater des épidémies de ce genre. Toutes les
affections
nerveuses, telles que l’extase, la possession, l’
dissensions et de nos guerres religieuses, on a toujours observé des
affections
nerveuses fort bizarres, qui ne tardaient pas à d
nom de trembleurs (i). Un grand nombre d’enfants ressentirent cette
affection
, qui présentait les phénomènes les plus étranges
igieuses d’une communauté de Loudun furent atteintes , en i632, d’une
affection
hystérique , avec quelques phénomènes d'extase. L
es exorcismes avaient d’abord lieu dans le plus grand secret ; mais l’
affection
nerveuse offrant de jour en jour des faits plus s
les lumières de la civilisation nous ont éclairé sur la nature de ces
affections
si variables dans leurs transformations. Dans un
cation essentiellement morale. Le traitement le plus usité dans cette
affection
était l'exorcisme, qui passait, d'après tous les
tablir, et confia ce papier à une de ses voisines atteinte de la même
affection
: celle-ci se trouva guérie aussi promptement. Al
catalepsie, l’asthme, la goutte, la paralysie, en général toutes les
affections
nerveuses. 11 admettait aussi des maladies mixtes
. Ces faits ont du reste été signalés dans la plupart des épidémies d’
affections
nerveuses ; l’insensibilité du corps était même r
ns cet article par quelques considérations sur la danse de Saint-Guy,
affection
nerveuse qui présente la plus grande analogie ave
cilement gagner de l’éclat et de la fortune sur un grand théâtre; ses
affections
de famille et ses goûts simples l’en détournèrent
int que les symptômes du mal annonçaient d’une manière certaine que l’
affection
n’était autre chose qu’une coxalgie des plus comp
ville, où il s’est fait connaître très-avantageusement, en ga-gnanl l'
affection
de toutes les personnes avec lesquelles il a été
res, visibles et faciles à constater sur moi; car, outre les diverses
affections
pour lesquelles M. de Rovère me traite encore, j’
un convalescent, mon pauvre fils est pris de tous les symptômes d’une
affection
cérébrale: fièvre ardente, pouls brûlant, assoupi
ériences. Dans cette attente, agréez, cher maître, les sentiments d’
affection
de votre bien dévoué correspondant, P. C. ORDIN
e Temps du 8 octobre, publie une lettre signée Muncorps, relatant une
affection
de poitrine guérie par le somnambulisme. — Lo C
lle-Orléans, est actuellement magnétisé par M. Jos. Barthet, pour une
affection
qui a résisté à la médecine scolastique. — La P
e l’épilepsie; dans les maladies hystériques, les pâles couleurs, les
affections
hypochondriaques, etc., etc.; tant par le magnéti
56. Tumeurs cartilagineuses, 82. § II. Cas de médecine. — Maux et
affections
guéris ou soulagés ¡par le magnétisme. Affectio
decine. — Maux et affections guéris ou soulagés ¡par le magnétisme.
Affection
du rachis, 14. Aliénation mentale, 137, 138.
ut : Anesthésie. Insufflations magnétiques. Leur puissance dans les
affections
cérébrales. l.etlre du Dr Ordinaire, donnant la r
ressive. .le vous entretiendrai d'autant plus volontiers de cette
affection
que, si elle a pu être individualisée sous le n
ous demande la permission, avant d'aborder l'étude clinique decette
affection
,de vous exposer briè- vement les diverses phase
es- quels il est impossible de considérer isolément et comme deux
affections
distinctes, l'excitation et la dépression qui s
de folie et double forme. Il montra en outre que les accès de cette
affection
se présentent tantôt à 1"élcct isolé, tantôt se
d'avoir mis en relief les principaux carac- tères de cette nouvelle
affection
, notamment le rôle important dévolu à l'hérédit
: « Je ne puis, dit-il un peu dédaigneusement, en parlant de cette
affection
, accepter pour des formes distinctes, pour des
, des états dépressifs et des étais mixtes. Dès maintenant, cette
affection
peut être 'définie : une psychose constitutionn
in- certain. Plus récemment enfin, un confrère consulté déclara l'
affection
incurable ou presque telle. Voici un spécimen d
céphalo-rachidien d'un grand nombre d'individus ayant présenté des
affections
diverses accompagnées de troubles men- taux, Fa
de pigment jaune ; les cellules normales sont l'exception. Cette
affection
, à laquelle on ne peut parfois assigner aucune
xication exogène ou endogène el qu'il faut toujours rattacher à une
affection
organique. Témoin le cas rapporté : il s'agit d
es intoxications. La marche des phénomènes aurait été la suivante :
affection
gastro-intestinale, cirrhose du foie, délire se
ui montrent l'étroite relation des maladies mentales avecles autres
affections
de l'organisme. L. WAUL. XV -Psychose de l'état
eut-être un signe important dans le diagnosticoüle le pronostic des
affections
dans lesquelles il se rencontre et <lui sol-
e amyolrophie qui semble essentielle, et non s5-mp- tomatique d'une
affection
du système nerveux. Cependant un début d'atroph
- tion aux états mélancoliques qui ne peuvent rentrer dans aucune
affection
déterminée. Constituent-ils une forme morbide spé
il il convient d'envisager : 1° les états mélancoliques liés à des
affections
mentales ; 2° la mélan- colie pure de certains
bide, mais un état dû à de nombreux facteurs et réalisable dans des
affections
dif- férentes. Il n'y a que des élats mélancoli
l est le tableau (1) Jean GAL ! : XOSKt. Le fond de l'oeil dans les
affections
du système nerveux. Thèse de Paris, juin 1904.
die, mais de paralytiques généraux suivis de- puis le début de leur
affection
jusqu'à la terminaison (1). Il semble que la ca
1° Les malades n'ont pas été examinés à la même pé- riode de leur
affection
. 2" Les statistiques portent d'ordinaire sur de
ilepsie sont la traduction de l'auto-intoxication cyclique de cette
affection
. Puis M. Dide aborde l'étude bactériologique :
eaucoup plus les signes physiques que le délire qui donnent à cette
affection
sa valeur d'entité clinique. Les connaissances
écrits comme pathognomoniques. La deuxième série porte sur 64 cas d'
affections
diverses des centres ner- veux ; le liquide cép
et les réactions du sang d'un certain nombre de sujets atteints d'
affections
du système nerveux (méningite chronique, con- f
ez voisine de la stupeur. Quinze jours environ après guérison d'une
affection
dysentériforme, appa- rition aux jambes de larg
face. Sang noir, poisseux, très coagulable, caillot rétractile. L'
affection
scorbutique de ces deux malades guérit sous l'i
e en- trer aussi en ligne de compte, comme cause prédisposante, l'
affection
mentale dépressive elle-même (cedèmes, cyanoses,
ègles, les conséquences qu'elles peuvent avoir sur l'évolution de l'
affection
mentale sont connues depuis long- temps : à plu
s ce concept unitaire,l'atr'lphie musculaire progressive serait une
affection
de l'unité sensitivo-inotrice primaire et de sa
orter et était obligé de sortir. Vers la même époque, on note une
affection
gastro-intestinale avec mouvement fébrile et dé
à une broncho-pneumonie. 192 RECUEIL DE FAITS. Historique de l'
affection
de llor., Marie. Cette enfant vint au monde de
puration tors de l'entrée à l'hôpital. ATHETOSE DOUBLE. 193 L'
affection
nerveuse de l'enfant étant de suite reconnue, en
s douter, au point de vue symptomatologique, dans le cadre de cette
affection
en- core imparfaitement connue. Il m'a paru int
en portante. A aucun moment, elle n'a eu de fièvre, ni aucune autre
affection
ailleurs, sauf une hémianesthésie gauche. Lel
jourd'hui à l'achon- clroplasie, réunissant ainsi sous ce terme des
affections
disparates dont le seul symptôme commun est la
e des fractures et des déformations. Il ne faut pas confondre ces
affections
avec le nanisme Loi-in- fecfieux, le nanisme mv
ce réduite, infantile, tels sont les principaux caractères de cette
affection
. Les auteurs en discu- tent ensuite l'éliologie
s bains chauds, le chloral et l'iodure de potassium. L. WAHL. XV.
Affection
spastique bulbo-spinale familiale ; par l3nt ?
de l'un à l'autre. Lés auteurs rapportent le tableau clinique d'une
affection
familiale spasmodique qui tient à la fois de la
222 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. nom, plus général cependant, d'
affection
spastique familiale, quoi- qu'il en diffère par
e des crises épileptiformes, delà palhogénie du mal comitial et des
affections
qui le simulent. D'après l'auteur la pleurésie
ertains muscles. Ainsi défini, le syndrome myoclonique comprend les
affections
suivantes : REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 2
tagne où la population contient un nombre énorme de dégénérés une
affection
caractérisée par un nystagmus qui paraît être con
myoclonie atténuée. La littérature a le plus souvent méconnu cette
affection
et à parties observations de Lenoble et Aubinea
es les causes ordinaires de ladégé- nérescence prédisposent à cette
affection
; et semble aux auteurs que la race bretonne y
es pouvant prédis- poser à la criminalité, on peut affirmer que les
affections
dénom- mées : insuffisance mentale, imbécillité
. va sans dire qu'il s'agissait dans les deux cas de malades dont l'
affection
mentale était récente et il est à peine besoin
bien longtemps qu'on avait remarqué les rapports existant entre les
affections
pulmonaires et les troubles mentaux. Esquirol (
11 hémop- tysies. En 1903, pour 1325 décès, on en relève 156 par
affection
pulmonaire, parmi lesquels 50 cas de tubercu- l
ls des décès sont loin de concorder avec « la fréquence réelle de l'
affection
». « D'après Désirée et Gallemaërs dit-il, 1.40
ommes persuadés qu'une giflle inavouée était à l'ori- gine de cotte
affection
locale de l'oreille. » « On remarquera la raret
tés est erroné, car un aliéné traité longtemps après le début deson
affection
sera devenu incurable ; et ce ne sera pas une ou
cas particulier. Un tableau intitulé : Mouvement des aliénés dont l'
affection
peut être attribuée à l'alcoolisme révèle l'inf
as de m1/xce- dème infantile, on s'imaginait qu'il s'agissait d'une
affection
rare. Peu iL peu, devenue mieux connue, les cas
survivants sont bien et pas plus que leurs enfants ne présentent d'
affections
méritant d'être signalées. A P. Bien portant ét
c succès. Les autres causes prédisposantes sont : l'âge avancé, les
affections
pulmonaires, la fatigue, l'alcoolisme, les re-
iers des fonctions végétatives (difformités et anomalies physiques,
affections
chroniques des organes de la vie végétative,) e
. au moment de l'internementni même lafréqucnce de cette redoutable
affection
dans une période relativement ancienne; les sta
140 paralytiques généraux, observés aux différents stades de leur
affection
et suil i s jusqu'à leur mort, l'auteur se croit
s des courbes des neurasthéni- ques décidera définitivement si leur
affection
a son ori- gine dans le système nerveux ou dans
pour les muscles respiratoires. Il est à prévoir que la nature des
affections
telles que la tu- berculose, l'asthme, et beauc
e interstitielle. Ce cas peut être rapproché de cas déjà observés d'
affection
de Friedreich avec lésions cardia- ques, lésion
s mois du syndrome rl'Erh et qui mourut brusquement au cours de l'
affection
dans un accès de dyspnée. Passant ensuite en re
oitié systématisées. Cette méningite peut être le point de départ d'
affections
en ap- parence systématiques comme la sclérose
ubles hystériques et neuras- théniques, bien avant le début de leur
affection
étaient des timi- des. La timidité était la man
tion kystique dans la glande, par Widal Boy et Froin, p. - 158.
Affection
SPASTIQUE bulbo-spi- nale familiale; par Ballet
e de son processus anatomique. Rumpf, dans son beau livre sur les
affections
syphilitiques du système nerveux, compare bien le
s que quelques prodromes lointains avaient encore seuls annoncé l'
affection
cérébrale. ' A ces trois observations complètes
umit à un traitement mercuriel pendant quelques mois seulement. L'
affection
actuelle a débuté au mois d'août de cette année,
t du malade ne change guère; néanmoins il est incontestable que l'
affection
progresse ; la marche devient de plus en plus mal
e 1893 à une heure du matin, deux ans envi- ron après le début de l'
affection
médullaire et treize mois après les premiers sy
t l'idiotie et l'imbécillité comme deux degrés d'une' seule et même
affection
. Qu'ils se placent exclusivement au point de vu
ngo-encéphalite, etc. Pourquoi confondre sous. la même rubrique des
affections
absolument différentes ? .. " , La seule raison
fonctionnement de 'leur .organisme, les imbéciles suc- combent des
affections
intercurrentes quelconques. wu. . La durée de l
sa classification que l'idiotie est toujours symptomatique d'une
affection
'organique des' centres nerveux. Quanta' l'imbéci
38 pathologie NERVEUSE. L'imbécillité nous apparaît donc comme une
affection
men- tale due probablement à un trouble fonctio
omo7patnologiqùe. Jusqu'à ce qu'on ait appris à diagnosti- quer les
affections
cérébrales de l'enfance entraînant de l'idio- t
ité, etc.), ou, lorsque l'idiotie s'est développée à la suite d'une
affection
cérébralesoit primitive, soit survenue à'titre'
es sensitifs, dans les différents modes de la sensibilité, dans les
affections
viscérales,, en ce qui regarde seu- lement les
uteur à reconnaître que les zones douloureuses remarquées dans, les
affections
viscérales et même dans, un grand nombre de mal
arition subite,' se sont caractérisés, pendant 'toute la durée'de l'
affection
(cinq mois) par un état de confusion' mentale,
NT EN "DOMMAC.ES-IN- 1'ÉRÉTS AVEC REMARQUES SUR LA. NATURE DE CETTE
AFFECTION
' ET SUR LE tempérament hystérique; par- L. BRE
git d'une femme de quarante-neuf qui fut atteinte d'astasie abasie,
affection
dont' le point de départ aurait été d'après elle
térie et sur la tendance'au mensonge des malades atteintes de celte
affection
pour le simple plaisir de mentir ou'pour se fai
, lésion capitale chez'ce malade est'une péricardite hémorragique,^
affection
certainement rare;'je ne me souviens pas de l'a
t là depuis plus de cinq ans, le malade ayait fait, au début de son
affection
, une ten- tative de suicide ? Cette. balle n'av
coeur et'la'maladie"mentale;'i)'en serait' autrement dans les cas d'
affections
du coeur aiguës : Dans celles-ci i des recherch
es, t. XXVII. 66 bibliographie. leur diagnostic sur ce fait que l'
affection
s'est arrêtée dans sa marche. L'auteur répond q
iographie. 67 I et les faits, personnels ou autres, dans lesquels l'
affection
céré- brale, après avoir présenté l'aspect d'un
le rapport du D'' Bourne- ville, l'éducation des enfants atteints d'
affections
cérébrales est un problème sur lequel doit se'
ins incertaines ! la , pathologie- eU l'anatomie patholo- gique des
affections
cérébrales d'origine congénitale ? . '.f .ji ?
pitalise[un. certain nombre pendant les périodes graves de leur<
affection
et assiste les autres par des secours à domicil
inesco) jusqu'à la'paralysie " alcoolique (Rakhmaninoff). Parmi ces
affections
les( troubles t neïïropathiques et myélopathiqu
philis bénignes, en apparence, qui se terminent par les plus graves
affections
ner- veuses ? Et, en effet, on a trouvé, dans c
i avait ! présenté, trois ans avant'sa mort; des'symptômes graves d'
affection
cérébrale ? des symptômes qui sont souvent les
trouble circulatoire; qu'ils se reliaient d'une façon évidente à l'
affection
'médullaire* et qu'ils étaient,' comme celle-ci,'
s devenu si,' comme' on peut'le "supposer,'d'après'la'marche de l'
affection
, la lésion vasculaire était arrêtée et comme figé
x lésions com- binées. Quel est le lien, indiscutable, qui unit ces
affections
? Je n'en sais rien encore. ,A'' ^ n " ' ' RE
'enva- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 151 hissement d'emblée par l'
affection
d'une portion tendue, de la moelle; la dispropo
isément parce qu'en vertu même du discrédit fatal qui plane sur ces
affections
(les maladies Archives, t. XXVII. il 1G2 CLIN
'l'aimer aussi : eh bien ! c'est étrange, mais je ne me sens aucune
affection
pour ma grand mère ? , ^Sa mort, survenue depui
se plus souvent qu'on n'e'l-'àdmet@i en, olénéral. 9, Toutes i les]
affections
portant directement Qu'indirectement sur de sys
tain que la dégénérescence peut,.aussi,s'acquérir par le fait d'une
affection
* encéphalique quelconque, pourvu . qu'elie ait
éndactuellemen t doit être applique avec certaines restrictions aux
affections
du système nerveux ; - 2° Dans les névroses o
entral, la dégénérescence des cordons postérieurs, une myélite, une
affection
systématique com- billée. 3-)tfi<'ttP »' .u4
ue dans la syringomyélie; on.la- rencontre dans le tabès et autres'
affections
spinales;' elle 'est très fréquente dans l'hyst
nclusions, de ce travail : La cécité bilatérale peut dépendre d'une
affection
des deux lobes occipitaux. Lorsque la cécité ap
postérieure ? 1 '2,"Imf; -JisJa ? 9j i^ ,, Le tabes n'est'pàs une
affection
systématique^' il résulte simple- ment'*de lail
1 <jf"i ' ^" j.'iin i ! ' XVI. Contribution A la casuistique des
affections
en foyer DE la protubérance;1 par 111,.11tTIY ]
rne postérieure jusqu'en haut''(observation); 4°' localisation de l'
affection
à la'moelle* lombaire d'un ? côté ' (observation)
ve (obs.l VU avec autopsie). ? Elle rappelle celle qui accompagne les
affections
articulaires, d'au- . tant mieux que rarement e
plégiques soit d'origine arthropatliique. Mais il est évident que l'
affection
articulaire des hémiplégiques influe sur le dével
n seul but. est. de ·guider,les débutants dans l'étude clinique des
affections
nerveuses.i,^.vz,lt 10 ? 'd Lpjtt : ' f r'ui ?
vivisections. Un malade, , hémiplégique depuis dix ans, meurt d'une
affection
quelconque; à son autopsie on trouve, en outre
? §ont, 1)aq sujets- aux lialluélnâti'ônsLç'ëst,pôûrr,moi ? uneides
affections
mentales où elles, sont au .contraire le plus c
résistance organique, du .suiet,, ainsi ou il advient dans nombre d
affections
chroniques débilitantes, mais r-, .r. h )&
ulaire, que la cellulite, en un mot, parait avoir sur la marche des
affections
mentales une .influence bien autrement marquée'
as,, où les sujets atteinte étaient ordinairement plus âgés et où l'
affection
mentale revêtait la 'forme soit dé·la'mélancoli
chronique n'ont jamais limité^ rigoureusement la clironologief de l'
affection
. Nous admet- tons que la périodè^d'in'vasion pe
n droit de réclamer d'un tliérapeute'dévoué;,à°la cure : de. cette»
affection
. J .fitl8Îft9 ? F : 9J ril3 BLpL;CI : &ll9g
e a4déjà été'sijnalée`dansla'rpara- lysie générale et dans d'autres
affections
cérébrales.'1'1^ ti u ? M. Christian rapporte l
là'précocité (attaque épileptiforme avec trismus dès le début dé l'
affection
), ^intensité et la perntanence r de,spasiës' de
e, non pas aux progrès de la para- lysie générale, mais bien- à une
affection
intercurrente' (pneu-, monie), nous pouvions es
de maladies, mentales, elle fait généralement défaut au'début de l'
affection
, alors, que le, diagnostic estincerz tâin.· : y
e rôle du s3·stème,d'asso- dation dans l'idiotie et lafoliejmorate,
affections
connexes, .ni dans l'idiotie et l'imbécillité é
r, de lui avoir soustrait sa découverte : 11, serait mort,,Cl d'une
affection
intercurrente, quelques mois après sonnnter-&
re sa famille. qui lui prodigue les soins' les plus dévoués ; - son
affection
, même pour eux,, paraît s'être augmentée; cependa
tanée des phénomènes somatiques et psychiques caractéristiques de l'
affection
. Dans l'ordre somatique, les premiers en date ont
t qu'on luirait s remarquer que'son enfantlui témoignait beaucoup d'
affection
, ; non; répond-elle, elle faisait semblant de m
s.co me facteur étiologique, envisâgeons lai sÿmptë- matologie de l'
affection
" Deux périodes bien' distinctes la carac- téris
ue soient les modalités^que puisse revêtir la symptomatologie d'une
affection
, nous nous refusons avoir dans les phénomènes q
cha- con désignes composant reili'sy'-râptômatiue converge vers l'
affection
`supposée;'qûé ceux de moindre valeur ou con- si
mmentlres ? pecté par^la lésion* dâns : lespremières.périodes del l'
affection
,^ £ ce qui. explique^ pourquoi^ la pupille à se
^en est.d'Hybrides, dans lesquels les symptômes de l'une ou l'autre
affection
se trouvent très diversement' répartis et im- p
gitiquë (Ballet Minora Déjerine) .-^relevant de l'une ou l'autre
affection
, 4'u'il ? a'p'pàrtient" à",Ia ? clinique de.'déte
prédispositions plus que suffisantes pour expliquer l'origine de l'
affection
, sans qu'il soit nécessaire de faire intervenir
M. Jacoby considère la valeur de l'exploration électrique dans les
affections
nerveuses comme très limitée, attendu que dans un
MONELL. ' L'électricité est le moyen le plus sûr de combattre cette
affection
si fréquente chez les écrivains et les télégrap
ont surtout appliqué leur procédé aux maladies générales ° ou à des
affections
, émanant de troubles de nutrition. En : ce*qui :
l y a indication d'employer le séton et la pommade stibiée dans les
affections
corticales qui ne justifie- raient pas une trép
iteur, 1893.) «.--. , Il s'agit d'un état morbide, représentant une
affection
presque z autonome, par la nature, le mode d'év
? ? sur le diagnostic et le traitement, des' diverses r formes des
affections
paralytiques, convulsives' et' mentales (en'angta
ar F. illuller, 1541 sur les rapports de la bilate- rale avec les
affections
des lobes occipitaux, par Soeppili, 195., Cel
' Roller, 394 Protubérance, contribution à la ca- suistique des
affections
en foyer de la -, etc., par Moclé et Mari- ne
fant une médication qui donnait de brillants résultats dans certaines
affections
de l'âge adulte. Il en est ainsi, d'ailleurs, de
rnons aux indications suivantes : Conclusions : On peut diviser les
affections
des enfants dans lesquelles les indications de la
incontinence d'urine et des matières fécales survenant dans les mêmes
affections
; 2° Les troubles fonctionnels liés aux affectio
nt dans les mêmes affections; 2° Les troubles fonctionnels liés aux
affections
nerveuses : chorées, tics, attaques convulsives,
nt dans l'ignorance, l'homme de génie dans l'idiotisme ; de changer l'
affection
en aversion, et de transformer la haine en amour;
une dose d'arsenic à sa tante, pour laquelle il avait la plus grande
affection
: « Pourquoi N..., demande M. Delbœuf, qui sait
blit qu'elles aient été continuées alors que cette dame contractait l'
affection
à laquelle elle a succombé. Le tribunal examine e
. Cette douleur était donc purement suggestive et sans rapport avec l'
affection
thoracique. La douleur de la fosse sous-épineus
une affaire de quelques jours ; qu'il a tort de partir, car il a une
affection
de poitrine qui peut s'aggraver et mettre ses jou
la chorée rythmique, nous avons noté que dans le traitement de cette
affection
, pour faire disparaître les mouvements choréi-que
as où les douleurs rhumatismales siègent dans les muscles. Dans les
affections
stomacales, et principalement dans les affections
muscles. Dans les affections stomacales, et principalement dans les
affections
gastralgiques et dyspeptiques, nous ne nous somme
s et en faisant disparaître ces syndrômes. En résumé, même dans les
affections
liées à l'existence d'altérations organiques, la
est entré à la clinique le 17 novembre, malade depuis quinze jours. L'
affection
a débuté par des points très douloureux dans la r
mme peut lutter contre les instincts mauvais et développer en lui les
affections
généreuses, l'amour des grandes et nobles choses.
année. — ?· 4. Octobre 1895. LA THÉRAPEUTIQUE SUGGESTIVE DANS LES
AFFECTIONS
PULMONAIRES Troisième conférence clinique sur l
iste pas seulement dans les névroses pures; il existe dans toutes les
affections
organiques; toutei ont un retentissement nerveux
e et la même coloration ;les artères battent avec le même pouls ; une
affection
vasculaire datant de quatre ans engendre des trou
fixité, en l'absence de toute lésion, alors que certainement dans une
affection
aussi chronique, à évolution aussi lente depuis q
2 grammes de phénacétine comme antithermique; la suite montrera si l'
affection
est susceptible de redevenir stationnai re. Voi
é que l'on avait affaire, dans la plupart des cas, à des hystériques,
affection
souvent bien caractérisée par un léger état d
vec fig. SgrûSSO. — La suggestion à l'état de veille dans certaines
affections
oculaires. Bolletino d'oculistica. XVII, n° 3. A.
aire. Un de nos malades a été atteint, il y a environ 15 ans, d'une
affection
passagère de l'oreille gauche, après laquelle per
c'est-à-dire par rappel de mémoire. Un rêve peut aussi annoncer une
affection
latente avant qu'elle ne se révèle cliniquement e
, qui dépensent rapidement et réparent lentement, que le fond de leur
affection
réside dans une maladie de la nutrition générale,
'hui. L'hystérie est, en effet, capable de tout. Dans cette bizarre
affection
, tout est possible, même l'invraisemblable. Nous
ux et enjoué. » Cette jeune fille guérit plus tard de sa singulière
affection
, grâce à un traitement hydrothérapique institué p
nistration, ne présente aucun des stigmates de l'hystérie, ni d'autre
affection
apparente, antécédents névropathiques très chargé
rès un temps relativement très court. Pendant les 9 mois que dura l'
affection
, le malade fut traité par les dermatologistes les
Kaposi, le malade s'adressa à M. Stoukovenkoff, qui reconnut aussi l'
affection
comme étant un sycosis et qui prescrivit, en deho
eu en traitement mais qu'il connaissait et qu'il a vu au cours de son
affection
, l'auteur rappelle les différentes formes de syco
monde connait maintenant le rôle que joue le système nerveux dans les
affections
cutanées. Les observations démontrent que son inf
lors secondaire. Aussi dans des cas semblables, pour la guérison de l'
affection
, la disparition de la maladie causale, c'est-à-di
en soit, il s'agit là d'un fait intéressant au plus haut degré : une
affection
reconnue comme bactérienne, qui a atteint un déve
e de l'autre, et, au bout de quelques jours, elles étaient guéries. L'
affection
dont elles étaient atteintes appartenait à cette
ertain état mental du malade l'a débarrassé presque brusquement d:une
affection
qui, jusque là, s'était montrée rebelle à toute m
: « J'ai vu M1" D,..., qui désire être hypnotisée. Elle souffre d'une
affection
: arthrite déformante ou arthrite noueuse très re
s rebelle à tous les traitements. Je crois qu'il s'agit bien de cette
affection
, et non d'un simple rhumatisme chronique, parce q
jouer dans tous les sens l'articulation du coude. Aucune trace de l'
affection
n'a reparu depuis ce jour. Pour achever l'histoir
é de la guérison mise en regard de la longueur et de la ténacité de l'
affection
. Le suivant ne l'est pas moins, bien que n'ayan
e; et le bromure de camphre est un médicament précieux dans certaines
affections
du système nerveux. L'association des divers ag
érieur par le même mécanisme, comme nous le constatons dans certaines
affections
de la moelle épinière, où les réflexes sont exagé
que, une dégénérescence psychique qui peut devenir absolue ; dans ces
affections
, les cellules pyramidales de l'écorce cérébrale,
ral normal. Une question qui se pose de suite est celle-ci : Dans des
affections
moins graves, ces pseudopodes ne pourraient-ils p
scription jette une vive lumière sur la nature et la pathogénie d'une
affection
rare et encore peu connue. Le pronostic des dés
nsidérer ces manifestations morbides de l'élément psychique comme des
affections
purement imaginaires, c'est-à-dire négligeables.
que systématique, on peut arriver à la guérison complète de certaines
affections
chroniques, dc celles bien entendu où la suggesti
son moral, détourne son attention de son mal en la reportant sur une
affection
fictive de l'utérus et en quelques mois il ne res
t été appelé à traiter un certain nombre de malades atteints de cette
affection
, je suis arrivé à l'idée qu'il valait mieux les s
sur la médecine légale en ce qui concerne les aliénés ou ceux qu'une
affection
quelconque peut rendre plus ou moins irresponsabl
latah «. comme on appelle en malais les malheureux atteints de cette
affection
. (Latah signifie singer). Mon confrère et ami, le
sentées par M. Masoin sont adoptées. PSYCHOLOGIE COMPARÉE Sur les
affections
mentales chez les animaux Par M. Cadiot. Les
I. — « Un perroquet gris fut victime, à peu de chose près, de la même
affection
. Cet oiseau, remarquable par son babil et par son
confié, il se montre exactement inquiet et indifférent aux marques d'
affection
. Le 17 mars, à la vue de son maître, il reste blo
nts qui n'ont pu les accompagner. Une femme venant consulter pour une
affection
de foie réclame aussi une consultation pour son m
l'hystérie infantile dans toutes ses manifestations, telles sont les
affections
appelées à bénéficier do la pédagogie suggestive
Action inhibitoire sur les attaques d'épilepsie. par Tissié, 129.
Affections
mentales chez les animaux (sur les), par Cadiot,
vu apparaître presque subitement, à la suite de mes expériences, des
affections
de la peau qui n’attendaient, sans doute, pour se
j’ayais magnétisés pendant leur som- meil, et, je dois le dire, ces
affections
ont été toutes bénignes. La rougeole, des variole
us que le magnétisme avait été la cause du développement subit de ces
affections
et m'en eussent fait part. L’incrédulité empêch
erveux, ou bien encore lorsqu’on traite une maladie très-aiguë ou une
affection
chronique très-ancienne. Avant d’aller plus loi
r la description des effets moindres. ACTION DU MAGNÉTISME DANS LES
AFFECTIONS
CHRONIQUES ANCIENNES, SYSTÈME NERVEUX PEU 1MPRE
lopperons nos idées sur cette vérité. ACTION DU MAGNÉTISME DANS LES
AFFECTIONS
AIGUËS. Effets complexes : Dans ces cas, les
ns ces cas, les effets varient à l’infini et cela dépend : du genre d’
affection
, de la gravité du mal, des remèdes déjà pris et d
il possède, en vertu de son action, de faire cesser immédiatement les
affections
secondaires ou sympathiques. Je me hâte de le dir
écouvert. Une magnétisation fait ordinairement peu do chose dansles
affections
aiguës; ce n’est que dans le commencement qn’on p
U MAGNÉTISEUR. (Suile.) ROUGEOLE, SCARLATINE, VARIOLE. Dans ces
affections
si nombreuses, et qui ont quelquefois une termina
résultats qui dépasseront vos prévisions. Lorsque la marche de ces
affections
languit, lorsque les éruptions se font attendre,
membres paralysés. RHUMATISME MUSCULAIRE ET ARTICULAIRE. Dans ces
affections
si douloureuses, si communes, et qui se reconnais
s vont changer de lieu, ce qui est un symptôme favorable. Quand ces
affections
sont héréditaires, elles reparaissent .Mais si vo
us les cas enfin où vous pouvez vous rendre compte de votre action.
AFFECTIONS
NERVEUSES EN GÉNÉRAL. Vous pourrez, dans ces ma
aladies, reconnaître encore l’efficacité du magnétisme. Et, parmi les
affections
si nombreuses de l’appareil nerveux, vous constat
de l’hystérie, de la chorée, de F hypocondrie, et enfin de toutes les
affections
spasmodic/ues. Ces maladies ont de tout temps é
happé à la sagacité des magnétiseurs. ACTION DU MAGNÉTISME DANS LES
AFFECTIONS
NERVEUSES DITES INCURABLES. Il est si naturel d
connue. Je dis ceci seulement parce que j’ai remarqué que, dans les
affections
chroniques qu’on a le bonheur de guérir, la march
s lois. Quoi qu’il en soit, voici COMMENT OS DOIT PROCÉDER DANS LES
AFFECTIONS
CHRONIQUES. Chercher à augmenter la vitalité; c
premier pas fait, vous ôtes bientôt maître du mal. Dans toutes les
affections
où, par des causes naturelles ou maladives, la se
outés aux siens, elle n’aurait pu expulser par cette voie. Dans les
affections
scrofuleuses et lymphatiques vous ne pouvez crain
animée par le principe de l’irritabilité est encore susceptible d’une
affection
externe qui est appelée irritation. L'effet ord
tion externe qui est appelée irritation. L'effet ordinaire de cette
affection
est le raccourcissement do la fibre. Toute affe
naire de cette affection est le raccourcissement do la fibre. Toute
affection
do la libre musculaire peut être considérée comme
tante; la voici : Il m’est maintenant démontré que, dans beaucoup d’
affections
nerveuses de nature convulsive, les désordres qui
s pourtant si compréhensible, se trouve débarrassée. La plupart des
affections
nerveuses peuvent donc trouver un remède? Oui; mê
ant les malades languissants, et enfin dans la plus grande partie des
affections
nerveuses où, de l’aveu même du médecin, les remè
ion n’aitdonné aucun délail sur l'espèce et la marche critique d“ ces
affections
. Cependant, on sait que dans le Perche, le Maine,
joursdes dartres, différentes maladies de la peau, et môme certaines
affections
scrofuleuscs. C’est de là qu’on les appelle touch
es idées positives sur la nature de leurs maladies, sur la nature des
affections
des personnes avec lesquelles oh les met en rappo
e que le magnétisme est un agent thérapeutique utile surtout dans les
affections
nerveuses, il dit de ne rien conclure des guériso
moire : de l'influence des maladies sur la formation des idées et des
affections
morales. nettement dans la plus profonde obscur
. (3* article.) SUITE DE L’HOPITAL D’OBOUGOFF. GUÉRISON DE DEUX
AFFECTIONS
ÉPILEPT1F0RMES. Est-ce vous qui prétendez faire
m’assure que la comtesse sa femme a élé guérie dans sa jeunesse d’une
affection
extrêmement grave qui avait résisté à tous les tr
choix de remèdes qu'ils ordonnent tant bien que mal dans différentes
affections
. Je ne veux pas ici vous parler davantage du so
t peut-être plus vif attachera voire esprit à voire œuvre. Dans les
affections
chroniques rebelles à la médecine, dont je vous a
plus haut l’avaient seuls annoncé. J’ai vu plusieurs autres de ces
affections
se terminer moins brusquement, mais toujours par
X MILLE NOMS. Je me sers de cette définit ion , car, dans certaines
affections
, chaque médecin appelé donne un nom différent , s
condrie , mélancolie , maladie imaginaire , humorale , rhumatismale ,
affection
de ta moelle épinière, mal à lu matrice , ver sol
ne qui avait en vain épuisé toutes les ressources de l’art contre une
affection
ophthulmiqucà laquelle de nombreux médecins consu
its que j’ai constatés, je puis citer ceux-ci. Une femme malade d’une
affection
arthritique goutteuse, et qui par suite avait vu
n liôpii I à S; int-Pétcrsbourg, où l’on m’avait dorré à t-riter deux
affections
nerveuses épilepti-l'ormes, ma/a 1rs (/re j'ai gu
ui veulent le devenir, je ne puis passer sous silence encore quelques
affections
quelquefois très-rebelles à la médecine, et où lo
ants. Il est des cas qui paraissent devoir être rebelles, comme les
affections
de poitrine anciennes, qui retiennent, empêchent
rop lard ; elle ne peut plus que vous laisser des regrets. Dans les
affections
séniles où la faiblesse est extrême, et où cepend
n traitant des jeunes filles pour des pâles couleurs ou même pour des
affections
différentes. Tombées dans le sommeil magnétique,
quante ans environ, ayant perdu la faculté virile, magnétisé pour une
affection
rhumatismale, vit en n éme temps que la cessation
t me voir, m’assura que je lui avais fait beaucoup de bien , qu’une
affection
intestinale Tort ancienne avait subitement dispar
découverte nouvelle, semble nous devancer dans son application aux
affections
qui nécessitent l’emploi des instruments tran-cli
particulier. 166 — — malade;. 32 — — solides. 317 — — dans les
affections
aiguës. 37 — — — chroniques. 34 — — — dites i
m. 206 — du hascliiclu 152 — d'agents médicamenteux divers. 259
Affections
nerveuses en général. 83 — scrofuleuses. 358
gnétiques. 187 Comment magnétiser dans les cas extrêmes. 41 — — —
affections
chroniques. 88 — les somnambules perdent leur l
somnambulisme. 122 Éternité de la matière. 163 Ecrouelles ; voyez
Affections
scrofuleuses. 358 Épilepsie. 74, 111, 229, 236,
rir à ses lecteurs une étude sur les accidents nerveux causés par une
affection
parasitaire encore peu connue en France, mais q
de ses observations sur les manifestations nerveuses de la curieuse
affection
qu'il a étudiée, et nous envoyer de rares documen
S D'UNE NOUVELLE TRYPA.NO';OIIA.$E 7 maille, le plus grand nombre d'
affections
organiques du système nerveux central. En faisa
à une année d'in- tervalle nous avait montré qu'il s'agissait d'une
affection
à marche pro- gressive, à évolution relativemen
dé- but, quadriplégie progressive par la suite. Le début de cette
affection
par des troubles radiculaires précédant les sym
C'est à cette époque que l'on re- marqua les premiers indices d'une
affection
cérébrale. Bien que l'on ne pût en préciser le
S LOCALISATIONS DE L'APHASIE 23 Les premières manifestations de son
affection
cérébrale sont survenues dans les conditions su
es ou de l'écorce cérébrale. Le malade mourut un an plus tard d'une
affection
intercurrente, et, à l'autopsie, tout ce que l'on
s du néoplasme à l'endroit indiqué plus haut. Quant aux symptômes d'
affection
transversale, il faut les ratta- cher d'une par
out pareil au cours de la maladie avant l'opération, témoignait une
affection
nouvelle de la moelle et suggérait l'idée d'un am
nsi donc, grâce à un second traitemeut chirurgical, les symptômes d'
affection
ou mieux de compression créés par la masse néopla
marcher. Dans la période finale de l'observation, comme trace d'une
affection
de la moelle, il ne resta uniquement que des ré
re (pieds et orteils) disparaît complètement. Les symptômes d'une
affection
transversale toujours grandissante de la moelle
l'étatactuel, doit être mise probable- ment sous la dépendance de l'
affection
transversale complète de la moelle au niveau de
nsversale complète de la moelle au niveau de l'endroit opéré. Celle
affection
a pu être motivée dans une proportion sérieuse
et ies relations qui exis- tent entre les myoclonies et les autres
affections
nerveuses déjà étudiées et qui avec elles prése
ctions sont asynchroniques. Déjà Friedreich l'avait remarqué. a L'
affection
, disait-il, occupait d'une façon symétrique les m
é en Bretagne est, surtout, caractérisé par le nystagmus. C'est une
affection
congénitale, souvent héréditaire et familiale, et
lus grande incertitude. Les uns considèrent la myoclonie une simple
affection
fonctionnelle, une névrose spéciale, les autres
les de la Tourette ont fait la séparation à propos de l'étude d'une
affection
nerveuse caractérisée par de l'incoordinatiozz mo
lus « arrondis », comme l'a écrit Sydenham, lui-même, à propos de l'
affection
qui porte son nom. En outre, les choréiques son
laire de Morvan, le paramyoclonus multiplex de Friedreich, autant d'
affections
qui n'ont pas de place définie dans le cadre noso
e rendre intérressante. On ne pourrait pas davantage incriminer une
affection
organique. Il n'y eut aucun des phénomènes géné
roplasie si elle se bornait à rapporter des cas typi- ques de cette
affection
; on sait en effet que dans ces dernières années
roisième observation comme un exemple suffisamment typique de cette
affection
, je serais d'avis que la première pourrait être
ible de donner aucun jugement différentiel cer- tain entre les deux
affections
. Deux points seuls pourraient fournir un appui
réussi à constater. Je n'ai pu également réussira constater aucune
affection
congénitale de muscle ou même l'absence d'un musc
, à la suite d'une fracture du col du fémur ; son père, à 79 ans, d'
affection
indéterminée ; il était asthmatique. Ses frères
umatismes ayant pu sectionner ou écraser un des nerfs de la main.
Affection
actuelle. Il y a environ deux mois et demi, le ma
it la DR partielle ou la DR totale. Mais on n'est pas certain que l'
affection
est récente. Comme elle n'atteignait qu'un musc
yau du long extenseur, d'une hematomyélie, etc.; l'existence de ces
affections
chez notre malade, sinon impossible, est trop inc
alysé environ 2 mois et demi seulement après le début apparent de l'
affection
, et alors que la cause de l'intoxication avait
'on peut relever dans la plupart des observations de celle curieuse
affection
. Peut-être une intoxication alcoolique, facile
ervice de notre maître le Dr Gal- lavardin le 3 septembre 1912. L'
affection
qui l'amène, une simple trachéite, ne nous retien
en portante d'ailleurs. A part un frère mort à l'âge de 2 ans d'une
affection
fébrile, tous ses parents ont péri dans la cata
de rachitisme dans l'enfance. A l'âge de 2 ans il fut atteint d'une
affection
fébrile qui l'aurait tenu douze mois au lit et
e Jura, près de Lons-le-Saunier, il a perdu son père à 61 ans d'une
affection
pulmonaire ; sa mère, asthmatique, est morte à
malade, il vient de se produire un chan- gement dans la marche de l'
affection
. Tandis qu'auparavant la maladie avait pris une
enser que, malgré la fréquence relative de la sclérodermie dans les
affections
du corps thyroïde et les améliora- tions plus o
les plaques sclérodermiques, l'a porté à conclure qu'entre les deux
affections
il doit exister une relation étiologique. Gut
entations de la peau. Il est d'avis que dans ce cas il s'agit d'une
affection
pluri-glandulaire (hypo- physe, thyroïde, capsu
(1) Lancereaux et Paulesco. L'iocloiliysine dans le traitement des
affections
dites rhu- malismales (Rhumatisme chronique, ar
s. La théorie de Brissaud (2) que toute sclérodermie re- lève d'une
affection
primordiale du système du grand sympathique nous
d'une altération générale du système végétatif. Il se distingue des
affections
apparentées par la modification des conditions
on des pores de la peau ; il décrit encore comme symptômes de celle
affection
la dureté et la blancheur de la peau, la pigmen
Paris que à cette époque commencèrent les débats sur la nature de l'
affection
: Bail, Char- cot, Hallopeau, Laborde et d'autr
n'est pas mariée. Elle nie l'alcoolisme, la syphilis ou toute autre
affection
vénérienne. Pas de trace d'impaludisme. L'aff
u toute autre affection vénérienne. Pas de trace d'impaludisme. L'
affection
pour laquelle la malade se présenta à la consulta
auteurs. , Comme on sait, les rapports entre la sclérodermie et les
affections
thyroïdiennes ont soulevé l'hypothèse que l'hyp
ès Delmas et Roger, le vitiligo a été ob- servé aussi dans d'autres
affections
nerveuses telles que l'épilepsie et les névralg
x-huit il vingt mois « congestion au cerveau ». Les suites de cette
affection
ont été très gra- ves. Le malade ne voit pas ou
loin d'être incompatible avec ce que l'on sait aujourd'hui de celle
affection
. Elle a cependant été observée plus ou moins in
Egger (1) signa- lent sans y insister, chez un malade atteint d'une
affection
bulbaire inté- ressant les cinquième, sixième,
à signaler dans la famille. Antécédents personnels. - Sauf quelques
affections
sans gravité de l'enfance, le malade a toujours
g et troubles sphinctériens),nous nous trouvons en pré- sence d'une
affection
cérébro-spinale. , Celle-ci peut être syphiliti
re le rachitisme avec les auteurs contemporains, non plus comme une
affection
limitée au tissu osseux, mais comme une maladie
études statistiques sur la myopathie progressive, prétend que cette
affection
n'a pas encore élé observée chez les nègres. C'
res caractères que nous allons voir. Voici en effet les différentes
affections
auxquelles on pourrait songer chez notre L'HYPE
IALE 449 malade, mais l'absence de certains signes cardinaux de ces
affections
nous permettra de les éliminer successivement.
tre dans les troubles biologiques qui surviennent au cours de cette
affection
. Jusqu'ici quelques très rares auteurs, comme G
ybasie », et que l'on observe d'une façon généra le dans toutes les
affections
qui s'accom- pagnent d'un ramollissement osseux
à connaître au point de vue de la physiologie pathologique de celte
affection
, parce qu'elles déterminent un rétrécissement par
ratoires dont cerlains sont extrêmement fréquents au cours de cetle
affection
. Ces déformations de la base sont en tout cas l
s nombreux les exemples fournis par la pathologie ayant trait à des
affections
observées simultanément chez le même individu e
utre quand il s'agit d'acromégalie coexistant avec des syndromes ou
affections
indépendantes du système glandulaire endocri- n
sont tous les trois atteints de tabès ancien, puisque le début de l'
affection
remonte pour deux d'entre eux à plus de quinze
des quantités qui dépassent toutes celles constatées dans diverses
affections
. Ainsi Tedeschi a trouvé 28 gr. 80 0/00, Forcan
ion précédente que le syndrome de Froin a été observé dans diverses
affections
du névraxe, suites des maladies les plus différ
oportion varie de la normale jusqu'à 2-3 grammes. Dans aucune des
affections
considérées l'llyperalbuminorachie n'atteint t
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