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1 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ave du crâne ! La famille en avait perdu le souvenir. C'est que les accidents avaient été de courte durée ; ils s'étaient dis
était inquiété. Et quand d'aventure, cinq, dix, vingt ans après l' accident , la folie- éclate, est-il légitime de rattacher
événement tel que explosion de mine, explosion de machine à vapeur, accident de chemin de fer, soit qu'il doive établir le d
ce, qu'il est très rare de voir la folie succé- der directement aux accidents traumatiques. Il est une autre raison, encore p
lepsie n'est pas consécutive à l'impression morale déterminée par l' accident plutôt que symptomatique de la lésion crânienne
santé, très occupé, se fatiguant beaucoup, est victime d'un premier accident : il tombe de cheval sur le visage et se fracture
nversé de voiture, il est grièvement blessé à la tête, présente des accidents de méningite dont il ne se remet qu'après plusi
tique. Dans 19 cas, la maladie mentale éclata moins de 1 an après l' accident ; mais très souvent beaucoup plus tard, et 4 foi
. Vibert (élude médico-légale sur les blessures produites par les accidents de chemin de fer), Paris, 1888), dans lequel so
rte de la mémoire se borne d'ordinaire aux faits contemporains de l' accident . Il arrive en outre assez souvent qu'il s'y joi
mémoire s'est rétablie progressivement jusqu'à la minute même de l' accident ; il se souvient maintenant du bruit que l'échel
lus généralement observé : le souvenir s'arrête au moment même de l' accident . Un jeune homme de dix-neuf ans reçoit un coup
de connaissance. Le blessé ne revint à lui que trois heures après l' accident ; il n'avait aucune conscience d'avoir été frapp
ompliqués, à terminer ou à continuer ce qu'il avait projeté avant l' accident . Mais tout cela se fait dans un état d'automati
re rentré chez lui, ni d'avoir diné. Les suites immédiates de cet accident furent des plus simples. Mais au bout de quelques
blessé paraît complètement revenu à son état de santé antérieur à l' accident . Il n'est pas hors de propos d'ajouter ici, que
il ait eu le temps de s'effrayer, ni de prévoir le danger. 2° Les accidents secondaires sont d'une autre na- ture. Ils ont
eux-là seuls m'intéressent qui ont guéri. Et il est certain que les accidents secondaires, même les plus graves, ont pu guéri
serait facile de reproduire un grand nombre de cas de guérison des accidents secondaires, mais à toutes ces observations, je
ement trouvé une réponse, et il n'y a pas lieu de s'en étonner. Les accidents primitifs et secondaires sont du domaine de la
et trop souvent l'on reste dans l'ignorance de son passé. 3° Les accidents tertiaires sont ceux qui surviennent, après un
nt fort long, chez les individus qui ont eu, à un moment donné, les accidents pri- mitifs ou secondaires dont je viens de par
trer. IV. Tout d'abord, il faut reconnaître que la guérison des accidents primaires et secondaires peut être définitive,
is de sécurité complète : qu'après un temps, souvent fort long, des accidents formidables éclatent, qui emportent le blessé q
t, pendant quatre ans, elle jouit d'une santé parfaite. Tout à coup accidents de méningite, qui l'emportent en quelques jours
ue les choses se passent de même ? Et si alors on voit survenir des accidents cérébraux, n'est-il pas légitime de les rapport
ouant alors le rôle de corps étrangers, elles déterminent les mêmes accidents , les mêmes effets , que ceux-ci pourraient prod
halogique de Paris. III. Patuogénie. Si la partie clinique de ces accidents était une terre 1 Voir Archives de Neurologie,
8, p. 216; il,) 19, p. 22 : u° 5U, p. 22 ? n" ;)1, p. a ! l2. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 81 inexplorable,
dont la pathogénie soit mieux connue, mieux éclaircie que celle des accidents surve- nant par l'emploi des scaphandres ou d'a
e démasquées qu'au moment de la décompression. La clinique de ces accidents ne concorde nullement avec Annales d'hygiène et
nos observations d'un fait d'une importance capitale que tous les accidents survenant par l'emploi des scaphan- dres n'écla
appareils à air comprimé, à la sortie de ces appareils et qu'aucun accident ne se produit pendant la compression. D'ailleur
pendant la compression. D'ailleurs, ce moment de l'explosion des accidents a été déterminé pour la première fois par MM. P
serait-il en toute circonstance l'agent des congestions ? `I DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 83 « Les observat
ment ce qui est arrivé chez nos mineurs; d'une part congestion sans accident aucun, d'autre part sang veineux rutilant. «
oindrie dans une certaine mesure, ce qui prenait un temps variable, accidents graves pouvant s'élever jusqu'au foudroiement.
comprimé (A unalcs d'hy- giène, 2e série, 1. 1, année 1854.) DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 8D origine ces de
tout cela dans une mesure convenable, jusqu'à ce que l'équi- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 87 I libre soit p
abington et Cuthbert, .Ces auteurs anglais, qui ont été témoins des accidents du pont de Londonderry, s'appuyant sur le fait,
accidents du pont de Londonderry, s'appuyant sur le fait, que les accidents n'éclatent qu'au moment de la décom- pression,
Ces auteurs ont voulu expliquer la prédilec- tion avec laquelle les accidents frappent le cerveau et la moelle, enfermés qu'i
risant les petits vaisseaux, et produisant la série des redoutables accidents que nous avons rapportés ? » Il est au moins in
ie a été exposée par M. Mouchard'. Cet éminent maître considère les accidents de la compres- sion et de la décompression comm
roi n'est pas ' l'ulhogéuie des hémorrhagies. Taris, 18G ! J. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 89 inerte, elle t
oumons, pourra exhaler le trop-plein d'acide carbo- nique, et aucun accident ne se manifestera; mais si la décom- pression e
naux n'est point constant, il n'arrive que de temps en temps. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 91 Comment donc e
théorie du développement de gaz dans le sang attribue la genèse des accidents en ques- tion au refroidissement et à la fatigu
ation. Phi- losophical Transaction, t. V, p. 2011-2058, 1070. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 93 surtout les pl
e vide, il attribue ex- plicitement au dégagement de ces bulles les accidents dus à la diminution de pression. Oh ne peut en
sur des pressions de moins en moins fortes afin d'expli- quer les accidents des ouvriers qui travaillent sous l'air comprim
au{ des lilut (ittsïtli \MÜllel"s A7-chiv., 1817), p. 63-73. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 95 l'habit. L'air
lui-même, notre savant confrère de- vait rapporter directement ces accidents à des obstruc- tions gazeuses intravasculaires
eut-être les causes qui rendent compte du siège de prédilection des accidents du côté de la moelle. Nous donnons cette explic
s foetus, lorsque l'animal est en gestation, il dé- clare : DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 97 Î « Le gaz rep
re des tumeurs et un enphysème plus ou moins étendu, La gravité des accidents dépend à la fois du siège et de l'étendue de ce
ns ses vaisseaux. Le liquide céphalo-rachidien contient du gaz. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 99 Foie. Rate. Re
e de décompression. A 1 h. 2 du soir, enlèvement du casque. Aucun accident jusqu'à 7 h. 30 du soir. A ce moment, je tue l'
perles de gaz qui distendent et dilatent les fibres nerveuses. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. ton Expérience VI
el ou bien dans le système vei- neux que doivent être attribués les accidents que nous avons déjà si longuement décrits ? L
IQUE NERVEUSE. qui est la cause prochaine, immédiate, directe des accidents survenant par l'emploi des scaphandres ou des c
ous savons déjà fort bien que, dans l'immense majorité des cas, ces accidents frappent le système nerveux central que, suivan
central que, suivant la partie affectée de ce système, ce sont des accidents spinaux, cé- rébraux, ou cérébro-spinaux, et qu
territoire vasculaire, et par suite à telle ou telle région, ces accidents revêtent telle ou telle forme clinique. Les exp
point de nos recherches. Par contre, si on recherche quels sont les accidents que la présence de l'air dans les veines peut o
a thèse inaugurale ', a fait remarquer que ce sont tou- jours des accidents cardiaques et pulmonaires. Je n'ai Etude expéri
ion spontanée de l'air dans les veines. Thèse de Nancy, l819. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI CES SCAPHANDRES. 103 pas oublié qu
ansitoires et fugitifs. Il y a donc une différence énorme entre les accidents survenant par l'emploi des scaphandres ou des c
rs de la décompression était bien la cause directe et immédiate des accidents en ques- tion. Or la clinique, à qui il faut to
de repousser la pré- sence de l'air dans les veines comme cause des accidents que nous traitons ici, et de considérer au cont
e gaz dans les artères comme le seul facteur qui peut engendrer ces accidents . La pathologie expérimentale vient à son tour c
njection physiologique ou spontanée, qui est la cause immédiate des accidents , l'injection artificielle d'air dans les artère
cielle d'air dans les artères doit nécessairement donner lieu à des accidents analogues. Plusieurs auteurs ont fait des injec
le de l'air introduit dans les systèmes veineux et artériels. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. '10¡) « 1° La pré
1° La présence d'air gazeux dans le système aortique pro- voque des accidents dont la gravité varie selon les territoires vas-
« 2° Les embolies veineuses sont pour bien peu de chose dans les accidents dus à la décompression brusque. » M. Paul Bert
'injection artificielle d'air dans les artères produit toujours des accidents comparables, autrement dit des phénomènes morbi
air dans les veines, il conclut : « Il est possible d'attribuer les accidents principaux de la décompression à la présence de
ésence de l'air dans les veines est pour bien peu de chose dans les accidents en question. Or, la clinique, non moins que l'e
ence établis- sent d'une manière positive, incontestable, que les accidents principaux survenant par l'emploi des sca- phan
nt, provoquent telle ou telle forme cli- nique. En conséquence, ces accidents sont légers ou graves. Tout naturellement, nous
gaz qui constituent en grande partie l'air atmosphérique sont DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 107 au nombre de
. cit.). Or, de tout ce qui précède il ressort évidemment une DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 109 conséquence p
qu'on peut formuler de la ma- nière suivante : Dans la genèse des accidents survenant chez les ouvriers des travaux sous l'
peu ou pas de gaz et, par une conséquence toute naturelle, aucun accident en pareil cas ne doit survenir. C'est ce qui ar
titué des expé- riences dans cet ordre d'idées, conclut : « Aucun accident n'est survenu, aucune bulle de gaz n'a paru à l
de républicain, grand, fort, bien portant d'ordinaire, sans aucun accident nerveux; rhumatisant. [Père, nombreux excès de bo
s nerveuses. [Père, soixante- six ans, cultivateur, n'a jamais eu d' accidents nerveux et jouit d'une bonne santé. - Mère, a e
avoir des rapports a posteriori avec le premier. 22 août. - Pas d' accidents syphilitiques nouveaux. Verge volu- mineuse ; t
rents ni nous-mêmes, durant son séjour à Bicêtre n'avons constaté d' accidents comitiaux. En revanche, nous avons observé asse
s observé assez fréquemment de violents accès de colère. V. - Les accidents dont nous venons de parler et la perver- sion d
ur effet de provoquer une stase veineuse susceptible d'amener des accidents . A cet effet, la courroie est percée de huit
orations notables, 9 échecs après 15 à 20 suspensions et plus, et 5 accidents divers, pour lesquels on a interrompu les séanc
oindre; dans un seul cas de sclérose en plaques sont sur- venus des accidents . Les malades atteints de maladie de Freidreich
lletin médical, 9 juin 1889. P. 727. .142 REVUE CRITIQUE. -sieurs accidents mortels ont été mentionnés, qui pour la plupart,
ent, qui se suspendait lui-même. M. le D'' Blocq signale aussi un accident dont il tient la relation du Du E. Bloch ; il s
Il succomba, dans les 24 heures, à la suite d'une séance. Outre ces accidents mortels, des phénomènes plus ou moins graves pe
'une façon définitive sur les avantages réels de ce traitement, les accidents , nous l'avons vu, peuvent être évités par une s
r l'action thérapeutique du sulfonal, n'a jamais constaté aucun des accidents qui ont été signalés dans la dernière séance ;
n homme de quarante trois ans, suc- cessivement atteint de séries d' accidents apoplectiformes, qui finalement était devenu co
servés chez des personnes névropathiques, et permettra d'éviter les accidents qui peuvent survenir dans les opé- rations prat
élégante, donne toute sécurité au point de vue des évasions et des accidents ; elle permet d'aérer largement les dortoirs, q
e quartier fonctionne depuis quatre ans, nous n'y avons jamais eu d' accidents ni d'évasion=, le service y est fait par quatre
voeu que les séances d'hypnotisme soient interdites en raison des accidents qu'elles provoquent, le recteur de l'Académie de
- L'arrêt de développement de l'intelligence est fréquent, quand l' accident se produit dans l'enfance. Fabrice de Hilden
res facultés, et tomba dans une démence com- plète. La cause de ces accidents avait été un coup à la tête, qui avait détermin
é. 11 fit alors une chute sur la tête, en tombant d'un trapèze. Les accidents immédiats se dissipèrent assez rapidement, mais
lades que j'ai connus n'étaient devenus alcoo- liques qu'après leur accident , de telle sorte que l'on peut supposer que celu
quatre ans ; à l'âge de sept ans, il avait été vic- time d'un grave accident ; il avait été grièvement blessé au som- met de
CV, Ant. Pozzis.) J'ai connu un malade qui avait été victime d'un accident absolument semblable : il était capitaine, au s
topsie ne me révéla aucune particularité pouvant se rapporter à l' accident . Observation XXV. Un ancien sous-officier, qui
t été la nature et la gravité du traumatisme ? A-t-il été suivi d' accidents primaires ou secondaires, et de quelle im- port
idents primaires ou secondaires, et de quelle im- portance ? 2° Ces accidents ont-ils laissé après eux des traces visibles (c
stion d'une grande importance est celle de l'âge auquel a eu lieu l' accident . Il est évident que, toutes choses égales d'ail
ment déclarée : c'est le temps écoulé entre ce moment et celui de l' accident que j'ai noté. DES TRAUMATISMES DU CRANE. 199
semblent démontrer qu'il faut d'autant plus hésiter à attribuer les accidents observés au traumatisme, que le temps écoulé en
s moments de lucidité elative, expliquent l'apparition des premiers accidents par une chute sur la tête, que cet officier a f
en à dire ici du traitement par lequel on essayera de combattre les accidents primaires ou secondaires des traumatismes crâni
cipalement du domaine de la chi- rurgie. Si le blessé échappe à ces accidents , il est con- sidéré comme guéri et il l'est en
n a vu les lésions les plus insignifiantes en apparence suivies d' accidents formidables. Le plus souvent, l'expert est appe
'expert est appelé à apprécier le préjudice causé aux victimes d'un accident (explosion de mine, de machine à vapeur, rencon
qui incombe à la compagnie, au patron, au constructeur. Si, après l' accident , il s'est produit des lésions secondaires durab
trop afiirmatif ! Quelle que soit l'apparente insigni- fiance des accidents de début, l'expert devra toujours 6 PATHOLOGIE
igueur. L'expert doit, en effet, bien se rendre compte, qu'a- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. zou près l'accide
pte, qu'a- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. zou près l' accident auquel il a réchappé, l'individu est rentré dan
cédent, nous avons longuement étudié quel est l'agent pathogène des accidents sur- venant par l'emploi des scaphandres ou des
E NERVEUSE. tenant, nous entrons en plein dans l'étiologie de ces accidents , c'est-à-dire que nous allons étudier quelles s
contribue à son tour à éclaircir d'une vive lumière l'étiologie des accidents en question, est l'ex- périence. Or, grâce à ce
leau ci-contre. L'étude attentive des conditions étiologiques des accidents des malades de nos observations nous rué- vèle
catégories de causes. La première catégorie est constituée par ces accidents qui produisent les ac- cidents en favorisant le
ésultat final, nous l'avons déjà dit, sera le même, l'augmen- DES ACCIDENTS PAR- L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 201) lui tation
n de quatorze atmosphères. « Au contraire, chez les mammifères, les accidents ont com- mencé à se manifester dès six atmosphè
uxiliaire d'étude éminemment ins- tructif. Fort heureusement, les accidents par l'emploi des scaphandres nous fournissent u
En suivant toujours la même méthode, nous allons choisir parmi les accidents de notre tableau ceux qui sont d'une simplicité
i sont d'une simplicité et d'une pureté remar- quables, ceux dont l' accident ne doit être attribué qu'à un seul et unique él
tout mélange. Cela fait, il est extrêmement facile d'analyser les accidents dont l'étiologie a été complexe, plusieurs élém
usieurs éléments étiologiques ayant concouru pour faire éclater l' accident . Discutons un à un ces éléments. 1. Profondeur
ue nous y insistions beaucoup. On conçoit facilement en effet DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 1-) 11 1 que plus
nt étiologique d'une importance capitale. Outre un grand nombre d' accidents qui admettent une étiologie complexe où la prof
s premiers éléments étiologiques ; nous citerons spécia- lement l' accident de I'Orservation XXXIII qui montre à l'évidence
idence le rôle causal que joue la profondeur dans la production des accidents survenant par l'emploi des scaphandres. L'intér
plongeur pour toutes les profondeurs au-dessous de 32 brasses sans accident , ce qui veut dire que, si ce n'était la grande
tant de gaz au point de faire éclater : 21'2 CLINIQUE NERVEUSE. l' accident . Le nombre des immersions ne peut non plus être
ni de repas avant l'immersion. Le minimum de profondeur dans les accidents de nos malades est de 16 brasses, et le maximum
'ai observé qu'une seule fois chez les plon- geurs à scaphandre des accidents à des profondeurs au-dessous de 16 brasses. Pas
i bien que la gravité de cette cause, nous allons analyser tous les accidents de notre tableau, qui n'admettent comme élément
élément étiologique que l'action isolée de la durée du séjour. Ces accidents sont au nombre de treize dont dix appartiennent
ant, il est temps de procéder à l'étude spé- ciale de chacun de ces accidents au point de vue étio- logique. A 10 brasses de
t de vue étio- logique. A 10 brasses de profondeur, est survenu l' accident cérébral de l'OBs. XXXVI ayant revêtu la DES AC
t survenu l'accident cérébral de l'OBs. XXXVI ayant revêtu la DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 213 3 forme aphas
ment le type d'apha- sie complexe. Il est de toute évidence que cet accident admet exclusivement la durée du séjour comme ca
e d'immersions à la profondeur de 16 brasses et bien au-dessus sans accident , de sorte que la pro- fondeur ou le degré de co
u le degré de compression n'est pour rien dans la production de cet accident ; la rapidité de la décompression non plus, car
e était tout à fait égale en durée aux immersions antérieures à son accident ; il ne peut être question du nombre des immersi
il ne peut être question du nombre des immersions comme cause de l' accident , car celui-ci est survenu à la suite de la prem
seule cause, l'élément étiologique unique dans la production de l' accident en question. Jamais ce scaphandrier à cette pro
plus de 15 à 20 minutes. A la profondeur de 17 brasses a eu lieu l' accident cérébral de l'OBSERVATION XXXVII sous la forme
n ne peu- vent être invoquées en aucune façon comme causes de cet accident ; le nombre des immersions y est aussi pour rien
pour rien, car c'était à la suite de la première im- mersion que l' accident avait éclaté. Enfin, le passage suivant, emprun
e analyse que le seul élément étiologique dans la production de cet accident a été la durée du séjour. A la profondeur de
été la durée du séjour. A la profondeur de 18 brasses est arrivé l' accident de l'OBSERVATION XXV présenté cliniquement sous
ilatérale et plus spécialement sous la variété intramyélitique. Cet accident doit être attri- bué exclusivement et uniquemen
e attri- bué exclusivement et uniquement à la durée du séjour DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 2 Il Il au fond q
a même pro- fondeur et bien au-dessus jusqu'à 23, 25 brasses sans accident , mais il n'avait jamais prolongé son séjour plu
sement, pas de toux, pas de repas avant l'im- mersion qui a causé l' accident . » Ce passage prouve d'une manière on ne peut p
bre des immersions (c'est à la suite de la première immersion que l' accident est survenu), le refroidissement, les affection
l'éclusement ne sont absolument pour rien dans la production de cet accident . Pour ne pas fatiguer l'attention du lecteur pa
Pour ne pas fatiguer l'attention du lecteur par l'analyse de chaque accident particulier en répétant toujours la même chose,
épétant toujours la même chose, nous dirons que tous les au- tres accidents , Observations XIX, XXI, XXII, XXVI, XXVIII, XXX
n- ditions de travail, sauf bien entendu la durée du séjour, sans accident et la non-possibilité d'invoquer les causes qui
ressort d'une manière on ne peut plus claire que bien des fois les accidents sur- venant par l'emploi des scaphandres sont d
nutes, de 8 h. 1 m. à 8 h. 17 m.; décompression 40 secondes. Pas d' accident . Expérience VIII (2 mars). Chien. Première imme
séjour de 8 h. 34 m. à 8 h. 41 m., décompression 50 secondes. Aucun accident . EXPÉRIENCE IX (2 mars). - Chien. Première imme
éjour de 9 h. et demie à 9 h. 9 m., dé- compression 1 minute. Aucun accident . Expérience X (2 mars). - Chienne. Première imm
s; séjour de 10 h. 2 m. à 10 h. 8 m., décompression 1 minute. Pas d' accident . Expérience XI (2 mars). - Chien. Première imme
séjour de 10 h. 36 m. à 10 h. 40 m., décompression 1 minute. Aucun accident . EXPÉRIENCE XII (3 mars 1885). Chien de l'expér
· Expérience XIV. -Chien de l'expérience IX. Première immer- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 217 ï sion à h. 3
'animal com- mence à se remettre, à t heure guérison. Certes, les accidents qui sont arrivés aux chiens, (Exp. XII, XIII, X
ent. Vu les grandes différences individuelles de susceptibilité aux accidents qui ont été observés chez les différents animau
expé- riences et on pourrait expliquer par ce fait l'invasion des accidents chez les uns et leur absence chez les autres. I
pour rien, car c'est à la suite de la première immersion que les accidents sont survenus. Les accidents de nos 218 CLINIQU
suite de la première immersion que les accidents sont survenus. Les accidents de nos 218 CLINIQUE NERVEUSE. chiens doivent
édiatement après que le degré voulu avait été atteint, on n'a pas d' accidents graves, comme le montre le tableau XVIII avant
ant d'étudier la gravité de cette cause, de fixer l'attention DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 219 a du lecteur
é de compression et la durée du sé- jour, une cause qui produit des accidents favorisant le développement de l'agent pathogèn
s choisir parmi les observa- tions de notre tableau celles dont les accidents recon- naissent comme seul et unique élément ét
et unique élément étiologique la rapidité de la décompression. Ces accidents sont au nombre de cinq. (OBs. XX, XLIV, XLIX, L
sont au nombre de cinq. (OBs. XX, XLIV, XLIX, LUI et LV.) (1.. L' accident extra-nerveux du plongeur de rOnSER- Ovation LV
même profondeur et plus; le séjour étant égal en durée, sans ancun accident . Il ne peut être question du nombre des immersi
du nombre des immersions comme cause de 220 CLINIQUE NERVEUSE. l' accident , car c'est à la suite de la première immer- sio
l'accident, car c'est à la suite de la première immer- sion que l' accident était arrivé. Le plongeur n'étant pas indisposé
e qui se trouvait dans le bateau. ). Gromillet ne doit certes son accident (OBs. XX) ni à la profondeur de 22 mètres, ni à
n pas trois minutes, durée du séjour de l'im- mersion qui a causé l' accident mais bien trois quarts d'heure, sans accident.
mersion qui a causé l'accident mais bien trois quarts d'heure, sans accident . Le nombre des immersions n'étant aussi pour ri
de cet acci- dent, Gromillet doit exclusivement et uniquement son accident à la décompression instantanée consécutive à la
tive à la rupture soudaine de la colerette du scaphandre. y). Les accidents des Observations XLIV et XLIX ne peuvent être a
ans les mêmes conditions de travail comme profondeur et comme DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 221 1 durée du sé
ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 221 1 durée du séjour, sans accident , mais ils ne s'étaient jamais décomprimés si br
avant l'immersion, il ne peut être question dans l'étiologie de ces accidents des causes qui agissent par l'entrave à l'élimi
ration, parce que c'était à la suite de la première immersion que l' accident survint et les plongeurs n'avaient pas été fati
la mer. La décompression est donc la seule et unique cause de ces accidents , car elle n'aurait pas duré plus de trois à qua
fermé la soupape pour se faire instantanément re- monter. 3). L' accident cérébral de l'OBSERVATION LUI pour les mêmes ra
n instantanée, en effet, le scaphandrier qui a été affecté de cet accident ne sachant pas bien manier la soupape la ferme
ces faits a établi d'une ma- nière positive qu'un certain nombre d' accidents survenant par l'emploi des scaphandres sont cau
ompression. Passons maintenant à l'étude d'une autre cause de ces accidents , qui n'a pas été étudiée et qui cependant est d
licité et par leur pureté, c'est-à-dire qu'il faut consi- dérer les accidents dont l'analyse sert à démontrer qu'ils sont dus
si l'on étudie à fond les conditions causales d'un certain nombre d' accidents dont l'analyse suffit amplement à démontrer d'u
table la part considérable de cette cause dans la production de ces accidents . Vu les conséquences pra- tiques très important
étiologique, je vais examiner et analyser longuement, un à un, ces accidents , afin de faire ressortir l'influence funeste de
s successives, simple, pure, isolée, dégagée de tout mélange. Ces accidents sont au nombre de seize, dont dix appartiennent
de l'OBSERVATION XV et quatre à celui de l'OI35ERVATION LX. 11.). Accident de /'Observation VI. Il est évident que cet acc
ON LX. 11.). Accident de /'Observation VI. Il est évident que cet accident est dû au nombre des immersions, car le plongeu
vation ayant déjà fait quatre immersions précédentes dans les DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 223 mêmes conditi
profondeur, dix minutes de séjour, même durée de décompression sans accident , il est naturellement impossible d'attribuer ce
sion sans accident, il est naturellement impossible d'attribuer cet accident soit au degré de compression, soit à la durée d
ant pas été fatigué on doit rejeter la fatigue comme cause de cet accident . ). Accident de /'Observation X.- Il est absolu
atigué on doit rejeter la fatigue comme cause de cet accident. ). Accident de /'Observation X.- Il est absolument impossib
bien que ses compagnons affirment que l'immersion qui lui a causé l' accident a été faite exac- tement dans les mêmes conditi
ans les mêmes conditions que les quatre pré- cédentes non suivies d' accident , à savoir même pro- fondeur de 25 brasses, même
pulmonaires, le plongeur étant parfaitement bien portant avant son accident , ni repas copieux avant l'éclusement, le plonge
deux heures, et ayant fait après quatre immersions successives sans accident , ni enfin de fa- tigue, on est forcément obligé
e élément étiologique le nombre des im- mersions successives. y). Accident de /'Observation XI. - La seule et 14 t. CLINIQ
on XI. - La seule et 14 t. CLINIQUE NERVEUSE. unique cause de cet accident est le nombre des im- mersions successives, car
du séjour huit à dix minutes, même temps de décom- pression sans accident , de sorte que ces trois élé- ments étiologiques
élé- ments étiologiques ne sont pour rien dans l'étiologie de cet accident . Il en est de même en ce qui concerne les cause
ant son éclusement, enfin, ajoutons qu'il n'a pas été fatigué. ). Accident de /'Observation XIV. Cet accident étant arrivé
ns qu'il n'a pas été fatigué. ). Accident de /'Observation XIV. Cet accident étant arrivé à la suite de la troisième immersi
du séjour et la rapidité de la décompression comme causes de cet accident . Impossible aussi d'invoquer soit le refroi- di
repas avant l'éclusement, soit la fatigue dans l'étiologie de cet accident , car l'existence de ces éléments a été parfaite
r que c'est uniquement au nombre des immersions successives que cet accident est dû. ). Accidents de /'Observation XV. Les a
au nombre des immersions successives que cet accident est dû. ). Accidents de /'Observation XV. Les accidents dont le scap
ives que cet accident est dû. ). Accidents de /'Observation XV. Les accidents dont le scaphandrier de cette observation a été
ologique, le nombre des immersions successives, parce que \ DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. ? 2ú d'une part l
servation étant descendu quatre fois avant l'immersion du premier accident et trois fois avant celle du second, les condi-
me degré de compression 25-26 brasses de profondeur pour le premier accident , 27 pour le second, même durée de séjour 5 minu
r, 5 à 6 minutes pour le second et même temps de décompression sans accident , il est illogique d'in- criminer ces trois caus
logique d'in- criminer ces trois causes dans la production de cet accident . L'histoire de son observation d'autre part nou
ssi bien que la fatigue ne sont pour rien dans l'étiologie de cet accident . c). Accident de /'Observation XVIII. II est ho
a fatigue ne sont pour rien dans l'étiologie de cet accident. c). Accident de /'Observation XVIII. II est hors de doute qu
c). Accident de /'Observation XVIII. II est hors de doute que cet accident aussi est dû au nombre des immersions successiv
nfin la fatigue ne sont ici pour rien, car il n'y en a pas eu. ). Accident de /'Observation XXXIV. - Cet acci- dent est ar
précédentes dans des conditions tout à fait identiques, sans aucun accident . Ajoutons qu'il ne peut pas être question des c
de gaz, et on sera convaincu que la seule et unique cause de cet accident est le nombre des immersions p successives.
de cet accident est le nombre des immersions p successives. vj. Accident de /'Observation XL. Il n'est pas moins évident
j. Accident de /'Observation XL. Il n'est pas moins évident que cet accident a été causé aussi par le nombre des immersions;
riminer ces trois éléments étiologiques dans la production de cet accident . L'absence du refroidissement, des affections p
de cette observation, il n'est certes pas possible de rapporter cet accident à ces causes. ). Accident de /'Observation XLII
st certes pas possible de rapporter cet accident à ces causes. ). Accident de /'Observation XLII. 11 est clair comme le jo
Accident de /'Observation XLII. 11 est clair comme le jour que cet accident admet le nombre des immersions successives comm
, 1 minute environ, étaient exactement les mêmes aux cinq.im- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. zizi mersions ant
OI DES SCAPHANDRES. zizi mersions antérieures à celle qui a causé l' accident sans aucune suite, et il n'y a eu ni refroidiss
roidissement, ni affections pulmonaires, ni repas, ni fatigue. ! ). Accident de /'Observation XLV. - Pour peu qu'on fixe son
ngeur de cette observation, on ne tarde pas à se convaincre que cet accident est uniquement pro- voqué par le nombre des imm
iquement pro- voqué par le nombre des immersions successives. Cet accident en effet est survenu à la suite de la septième
ui ont été faites dans les mêmes conditions ne furent pas suivies d' accident . Quant aux refroidissements, aux affections pul
nombre des im- mersions successives qui est la seule cause de cet accident . tri.). Accident de /'Observation LX. Le scapha
rsions successives qui est la seule cause de cet accident. tri.). Accident de /'Observation LX. Le scaphan- drier qui fait
é atteint à différentes époques au cours de son travail de quatre accidents qui tous sont dus à une seule cause, le nombre
ur était déjà descendu avant les immersions qui ont été suivies d' accidents dans les mêmes conditions de tra- vail sans acc
é suivies d'accidents dans les mêmes conditions de tra- vail sans accident . Etant donné en outre que ce plon- 238 8 CLINIQ
saire des conditions causales au milieu desquelles sont arrivés les accidents précédents, a servi à mettre en relief la gravi
ôle pathogénique de la décompression est en raison directe du DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 229 degré de comp
romise. Comme il y a trois voies par lesquelles l'élimination DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 231 de l'excès de
t le refroidissement. 1. Refroidissement. Parmi le grand nombre d' accidents qui figurent à notre tableau, il n'y en a guère
ique. Ce sont les acci- dents des Observations XXXI et XLIII. a). Accident de /'Observation XXXI. - Il est im- possible de
oit la rapidité de la décom- pression comme causes possibles de cet accident , car le plongeur de cette observation serait de
32 CLINIQUE NERVEUSE. en durée à celle de l'immersion qui a causé l' accident . Impossible non plus de mettre en ligne de comp
mpte le nombre des immersions successives dans l'étiologie de cet accident , car-c'était à la suite de la première immersio
cet accident, car-c'était à la suite de la première immersion que l' accident était arrivé. Si l'on consi- dère que cet homme
naires et aux repas copieux avant l'éclusement, les causes de cet accident . Etant noté que ce plongeur n'était pas fatigué
à nous demander si le refroidisse- ment n'a pas été la cause de cet accident , c'est ce qui est arrivé en effet : cet homme,
t, c'est ce qui est arrivé en effet : cet homme, la veille de son accident , le 15 mai 1886, s'est levé le matin pas bien p
est donc clair, croyons-nous, que la seule et unique cause de cet accident est le refroidissement. ). Accident de /'Observ
seule et unique cause de cet accident est le refroidissement. ). Accident de /'Observation XL ! If. Cet accident n'est ce
t est le refroidissement. ). Accident de /'Observation XL ! If. Cet accident n'est certes pas dû ni au degré de compression
déjà an- térieurement fait un grand nombre d'immersions dans DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 233 les mêmes con
séjour et comme rapidité de décompres- sion, sans avoir jamais eu d' accidents . » L'immersion à la suite de laquelle l'acciden
avoir jamais eu d'accidents. » L'immersion à la suite de laquelle l' accident est survenu étant la première, le nombre des im
n est forcément obligé de chercher ailleurs la véritable cause de l' accident en question, qui n'est autre que le refroidisse
ces conditions qu'il était descendu, et c'est ce qui lui a causé l' accident . Passons maintenant à l'étude d'une autre cause
Affections pulmonaires. Il n'y a guère dans notre tableau que deux accidents dont le seul et unique élément étiologique soit
unique élément étiologique soit l'affection pulmonaire; ce sont les accidents des Observations XXIX et LXI. 234 CLINIQUE NERV
ccidents des Observations XXIX et LXI. 234 CLINIQUE NERVEUSE. a). Accident de /'Observation XXIX. Cet acci- dent ne peut e
égal, en durée, sans aucun ac- cident. Etant donné en outre que cet accident avait suivi la première immersion, on ne peut p
n déran- gement dans les fonctions pulmonaires comme cause de cet accident . Cette hypothèse se transforme en certitude si
Cette hypothèse se transforme en certitude si l'on apprend que l' accident est survenu dans les circons- tances suivantes
dix heures, il fait sa première immersion dont il a été affecté. Accident de /'Observation LXI. Cet accident éta- blit d'
immersion dont il a été affecté. Accident de /'Observation LXI. Cet accident éta- blit d'une manière bien plus évidente enco
e les affections pulmonaires peuvent produire un certain nombre d' accidents survenant par l'emploi de sca- phandres. Comme
e d'accidents survenant par l'emploi de sca- phandres. Comme pour l' accident précédent, le degré DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI
i de sca- phandres. Comme pour l'accident précédent, le degré DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. zips de compressi
e nombre des immersions ne sont pour rien dans la production de cet accident , parce que le plongeur à scaphandre de cette ob
urée et parce que c'était à la suite de la première immersion que l' accident était arrivé. Si l'on considère aussi qu'aucun
les repas copieux avant l'éclusement dans la produc- tion de cet accident . Enfin, étant noté que cet homme n'avait pas ét
copieux avant l'immersion. Nous laisse- rons de côté l'analyse de l' accident XIII dont l'étiolo- gie est complexe, car, sauf
'immersion a joué aussi son rôle causal dans la production de cet accident , mais un sceptique pourrait même discuter ici l
t élément étiologique. Il n'en est pas de même en ce qui concerne l' accident de l'OBSERVATION LXII. Cet accident ne peut êtr
as de même en ce qui concerne l'accident de l'OBSERVATION LXII. Cet accident ne peut être consi- déré comme causé par le deg
comprimer au même temps, 1 minute en- viron, sans jamais avoir eu d' accidents . L'immersion qui a occasionné l'accident étant
n, sans jamais avoir eu d'accidents. L'immersion qui a occasionné l' accident étant la première, on ne peut naturellement pen
successives. Etant aussi expressément noté dans l'his- toire de cet accident qu'il n'était pas refroidi et qu'il ne toussait
ffections pulmonaires n'ont été pour rien dans la production de cet accident . En- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES
s n'ont été pour rien dans la production de cet accident. En- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 237 7 fin, si l'o
ligé de songer au repas copieux avant l'immersion provocatrice de l' accident , ce qui a eu lieu en effet, il avait mangé trop
4° Fatigue. L'existence de cette cause est indubi- table. Parmi les accidents contenus dans ces travaux, il y en a deux qui a
comme seul et unique élé- ment étiologique, la fatigue, ce sont les accidents des Observations XXXV et XXXVIII. En ce qui con
Observations XXXV et XXXVIII. En ce qui concerne l'étiologie des accidents des OBSERVATIONS LVI et LVI I, la fatigue est à
la fatigue est à coup sûr pour beaucoup dans la pro- duction de ces accidents ; mais nous verrons dans la suite que ce n'est p
fatigue, isolée et dégagée de tout autre élément étiolo- gique. Accidents des Observations XXXV et XXXVIII. Il est certes
servations XXXV et XXXVIII. Il est certes illogique d'attribuer ces accidents aux causes favorisant le développement de l'age
and nombre de fois dans les mêmes conditions de travail, sans aucun accident et c'était à la suite de la première immersion
et c'était à la suite de la première immersion de la journée que l' accident avait eu lieu. Encore bien moins peut-on consid
t-on considérer dans l'étiolo- 1238 CLINIQUE NERVEUSE. gie de ces accidents les causes qui agissent en s'op- posant à l'éli
her et de lutter contre un courant de mer très fort, etc., ces deux accidents sont attribuables à l'action causale de la fati
ocive que la fatigue exerce sur l'agent pathogène pour produire l' accident . Après avoir longuement analysé un à un les acc
t due à la contribution simultanée de plusieurs causes. Ainsi les accidents des Observations VIII, XVI, XXIII, XXXII, XLVI
'est surtout le nombre des immersions qui a dominé l'étiologie de l' accident XXXII, et la durée du séjour, celle de l'accide
l'étiologie de l'accident XXXII, et la durée du séjour, celle de l' accident XLVI. Les accidents des Observa- TIONS XIII et
ccident XXXII, et la durée du séjour, celle de l'accident XLVI. Les accidents des Observa- TIONS XIII et LIV, reconnaissent c
mbre de deux : le degré de compression et la durée du séjour. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 239 Ceux des Obse
ausale de la durée du séjour et du nombre des immersions. Quant à l' accident de i'OBSERVA'riON LIX, c'est la rapidité de la
s du tout de relation entre les différentes formes cliniques de ces accidents et les conditions causales de leur production;
i l'on veut une preuve plus palpable de ce fait, je rapporterai les accidents des Observations XLVII et LII. : : 1.) Accident
je rapporterai les accidents des Observations XLVII et LII. : : 1.) Accident de /'Observation XLVII. - Le scaphan- drier en
ivantes : le 13 juillet (après une année de travail sous-marin sans accident ), il fait sa première immersion à la profondeur
conditions de profondeur, de séjour et de décompression sans aucun accident . Pourquoi donc l'immersion du 13 juillet a-t-el
gé avant son éclusement, pas de refroidissement, pas de toux. » L' accident est donc arrivé uniquement par le fait d'une lo
ameaux que la sylvienne fournit aux régions psycho-motrices. (3). Accident de /'Observation Lff. - C'est la locali- sation
rofondeur, même durée de séjour et même temps de décompression sans accident . De l'analyse de ces deux accidents ressort évi
me temps de décompression sans accident. De l'analyse de ces deux accidents ressort évidem- ment la conclusion suivante : t
e individu, une immersion donnée peut ou ne peut pas déterminer des accidents ; cela dépend du goût de la localisation. Mais p
suivante : Georges N. Tsirigotachis, âgé de vingt-trois ans. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. -),Il Pas d'antéc
ans l'air comprimé en 1878 et il a travaillé durant quatre ans sans accident . Le 27 juin 1882, parfaitement bien portant et
. Cet état paralytique a disparu au bout de trois jours. C'est un accident mixte, cérébro-spinal, tenant à la fois à la fo
a été le nombre des immersions. Mais ce qui nous importe c'est l' accident suivant, dont le même plongeur a été la victime
s qui a duré huit jours. Le 2 juillet, c'est-à-dire un mois après l' accident , ce scaphandrier a pu marcher à l'aide d'un app
symptômes céphaliques. Rien du côté des autres organes. L'ac- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI bES SCAPHANDRES. 243 cident du le'
particulièrement intéressant par son étiologie. On voit en effet un accident grave survenir dans des conditions de travail e
t clinique c'est une prédiposition incon- testable à être atteint d' accidents cz la fin de chaque campagne toutes les conditi
prochainement.) RECUEIL DE FAITS EPILEPSIE SO\1NA11l3ULIQUE AVEC ACCIDENTS CAT ALEpTlFOnOES' · Par le D' AI.8XAXDI\C PAR
ésulte de la surexcitation des centres et des nerfs sensoriels, des accidents neurasthéniques, du satyriasis et finalement un d
rrup- tion de-- séances d'hypnotisation ayant amené un retour des accidents , M. Tissié fit enfermer la malade dans une maison
ions thérapeutiques DE la SUGGESTION. Il a guéri par ce procédé des accidents graves chez des hystériques, soit pendant l'hypno
à des susceptibilités individuelles. M. Vallon n'a jamais observé d' accidents sur les quelques ma- lades auxquels il a admini
e diagnostic des psychoses, des acci- dents nerveux consécutifs aux accidents de chemins de fer, et tant d'autres manifestati
er se traduisit, d'abord par les symptômes accoutumés, puis par des accidents imputables à la cinquième paire, au nerf vague,
hiques. Si l'on ne peut, conclut-il, inva- riablement s'opposer aux accidents dont les aliénés sont les fau- teurs, on en évi
ns dit, sur l'éventualité de cette combinaison, et a montré que les accidents de la migraine peuvent appartenir aux prodromes
de début, ainsi que dans les observations précédentes, maiscomme accident survenu dans le cours même de la paralysie géné
avec engourdissement du côté droit et embar- ras de la parole. Les accidents oculaires sont caractérisés par le- développeme
emblable à la pre- mière. Le malade est resté un an sans éprouver d' accidents sem- blables ; mais dans cet intervalle, il se
aractères avec quelques modifications dans leur localisa- tion. Les accidents ont encore débuté par le côté droit, où ils sont
dolescence. Pas d'alcoolisme; ni de syphi- lis caractérisée par des accidents qu'elle ait remarqués. Mariée à dix-neuf ans, e
congestifs sensitifs, et le mode d'apparition et de succession des accidents de la migraine et de la paralysie générale, com
On est ainsi porté à croire que la pièce- examinée pré- sentait des accidents à leur début; ce qui concorde avec l'observatio
uit mois; marche à un an ; blésilé, fièvre typhoïde à onze ans avec accidents cérébraux. - Fugue ci douze ans et demi, débuta
is eu d'attaques. Mariée à dix-huit ans. Aucune mala- die, sauf des accidents suite de fausses couches. [Père, disparu en 187
cole à quatre ans, apprenait bien. Fièvre typhoïde à onze ans, avec accidents cérébraux. Pas de troubles intellectuels consécut
e octobre pour Brest, très bien portant, n'ayant pas eu de nouveaux accidents . Il était mousse sur le vaisseau-école l'Auslet
s récidives : quelquefois- cependant, ils peuvent donner lieu à des accidents généraux. Une autre forme d'hémorrhagie, que l'
térie convulsive bien caractérisées. Délivré ultérieurement de tout accident hystérique durant une période de cinq années, i
fondant d'une part sur ce que son malade n'avait jamais présenté d' accidents nerveux avant son intoxication et d'autre part
veux avant son intoxication et d'autre part sur la localisation des accidents aux membres en- contact plus intime et plus rép
asthme ; puis, à la suite d'une séance de ralvani- sation, tous ces accidents reparaissent accompagnés cette fois d'hal- luci
romures, et par là une tolérance plus grande de l'estomac; 2° pas d' accident de bromisme (accidents cutanés, psychiques ou g
tolérance plus grande de l'estomac; 2° pas d'accident de bromisme ( accidents cutanés, psychiques ou génésiques); 3° l'ac- ti
s à la suite de son emploi plusieurs années sans voir le retour des accidents épileptiques. Enfin l'auteur dit en avoir éprou
nctionnels àoscillations multiples coïncidant maintes fois avec des accidents de même nature (pression) et de même allure du
cu- pérait en sens inverse ses fonctions normales. Evidemment ces accidents , qui tiennent à la contraction des artères rétini
tic ne dépend pas non plus du laps de temps écoulé entre le dernier accident syphili- tique et le début de l'affection nerve
oquet, bâillement, écoulement de salive) ; telle encore l'absence d' accidents d'hémiplégie à la suite du second ictus tandis
chaque séance. Une analyse clinique consciencieuse a révélé que les accidents con- sécutifs à l'encéphalite infantile, c'est-
folant par périodes sans effectuer de travail utile ; surles légers accidents de parésie et d'excitation de la moelle avec tr
nt atteints d'hypochondrie profonde ; profondément affligés de leur accident et de la situation bran- lante qui leur est fai
e de mélancolie avec hallucinations) qui, après avoir été affecté d' accidents vasomoteurs, et surtout de paralysie vasomo- tr
s des parois arté- rielles. L'auteur a essayé de produire les mêmes accidents sur des animaux nourris d'hydrate de chloral ;
ATEURS. du système nerveux), paa Robert- son, 270. Scaphandres ( accidents de l'emploi des), par Castaras, 80, 207. Sens
2 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
atteintd'un certain degré de débilité mentale et interné au cours d' accidents alcooliques qui présente deux affections cutané
e. Enfin, le jour de la paye, « grande ribotte avec les amis ». Les accidents qui ont motivé son arresta- tion étaient, d'ail
e regarder comme un hystérique : il n'en a ni les stigmates, ni les accidents essentiels, ni les allures, ni le caractère.
t même pas prendre part à la constitution de cette forme clinique d' accidents spinaux. A. Symptômes positifs. On voit que dan
' Voir Archives de Neurologie, n° 17, p. 1 ib, n° 18, p. 246. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 23 i droit d'affi
quelques heures seulement (OBS. XIV, XIX), et tantôt quelques DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. ) jours (2-3) (OB
n XVII; en incontinence opiniâtre pour l'OBSERVA- TION XVIII. DES ACCIDENTS PAR 1.'EriPL01 DES SCAPHANDRES. 27 -1 Quant aux
técédents hérédi- taires. Marié depuis 1871 (quatre ans après son accident , sans enfants). Bonne santé antérieure, quelque
e santé antérieure, quelques blenuorrhagies, jamais de chancre ni d' accidents syphilitiques quelconques, pas d'alcoolisme. Ja
i d'accidents syphilitiques quelconques, pas d'alcoolisme. Jamais d' accidents d'impaludisme. - Entré dans la marine à dix-hui
ur. Le 30 janvier 1868, dans la rade d'Aden, un chaland ayant DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 29 coulé, G... re
par conséquent, il est resté sous l'eau environ six minutes, mais l' accident n'étant arrivé que lorsqu'il était déjà descend
serait resté environ trois ou quatre minutes sous l'eau après son accident . Au moment de l'accident, il a perdu connaissan
s ou quatre minutes sous l'eau après son accident. Au moment de l' accident , il a perdu connaissance et est resté dans cet
s avaient tout à fait disparu pendant les deux mois qui suivirent l' accident ). A partir du moment où il quitta l'hôpital de
quoique, à certains moments, il se sentit un peu plus fatigué. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 31 Au commencemen
uin 1883, a noté : « Pas de lésions oculaires. » Observation XXI. Accident provoqué le 13 mars 1886 à la première immersio
rvalle de bien-être après l'enlèvement du casque et l'invasion de l' accident . Surdité psychique; lourdeur de la tète. Paraly
antécédents héréditaires. Comme antécédents personnels, il n'y a ni accidents syphilitiques ni impaludisme, enfin, rien qui s
de mai 1884. Il a travaillé environ deux années sans avoir eu aucun accident , quand le 9a mars 1886, à la première immersion
mais prolonger son séjour au delà de dix minutes et n'a jamais eu d' accidents ; notons bien que le temps de la décompression D
eu d'accidents; notons bien que le temps de la décompression DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 33 était toujours
lheureusement, nous avons perdu le malade de vue. Observation XXII. Accident survenu le 13 juin 1883. Première immersion, 1
re parfait entre le moment de la décompres- sion et l'invasion de l' accident . Dyspnée, loux qitiiiieuse, Aëmo- thisie, doule
s les membres inférieurs. Au bout d'un mois après l'invasion de l' accident , possibilité de se tenir debout et vers la fin de
était pas de même pour ses douleurs uréthrales qui, survenan t DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 37 par intervalle
pollutions ont disparu et les érections sont plus complètes. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 39 PATHOLOGIE DE
PATHOLOGIE DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE. Cette forme d' accidents spinaux est bien moins fréquente que les deux p
écédentes ; en effet, on voit que parmi un si grand nombre de cas d' accidents provenant de l'emploi des scaphandres, qu'il no
symptomatologie spinale et l'évolution de l'étape ulté- rieure de l' accident de ces trois malades, concordent si bien, qu'on
e hâte de remarquer que chez le malade de M. Marie, l'invasion de l' accident a lieu immédiatement après la décompression, ta
rale spi- nale latérale (OBS. V). Elle a été observée chez le DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 41 malade de l'Or
me morbide : on verra que chez le malade de I'Observa- TION XX, l' accident a débuté par la symptomatologie suivante : pert
tation du volume de la tête, conjonctives complètement infil- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 43 trées de sang,
ade ayant remarqué sa paralysie dans les conditions suivantes : l' accident a éclaté à 2 h. et demie du soir; à 10 heures d
éralement, transitoires, elles n'ont duré que quelques jours. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 43 B. Symptômes a
nts chronologiques tout à fait différents; c'est ainsi que le DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 47 malade de M. M
nt tout à fait l'état du malade. A ce moment, le tableau cli- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. SI t nique est pr
étudier deux symptômes vésicaux : 1° les douleurs- uréthrales DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. je du malade de l
génitaux. Après une impuis- sance de deux mois, dès l'invasion de l' accident , le malade de l'OcsERVATtONXX n'a plus de troub
teur sur le polymorphisme de la période du début, mais au mo- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 55 ment de l'inva
ser- vation comme un cas d'ataxie locomotrice consé- cutive à des accidents de décompression brusque par rupture d'un scaph
qu'une seule observation qui est la suivante : Observation XXIII. Accident survenu le 10 août 1884. Quatre immersions de 2
ondeur ; dix ci douze minutes de séjour; décompression brusque sans accidents . Cinq immer- sions de suite, 28 brasses de prof
tre parfait, entre le moment de la décompression et l'invasion de l' accident . Pas de symptômes du début. Vague sensation de
, d'une constitution 1 Du rôle de la décompression brusque dans les accidents nerveux con- sécutifs aux explosions du grisou.
s accidents nerveux con- sécutifs aux explosions du grisou. ' DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. Il,)-, fort robus
, ne présente pas d'antécédents héréditaires ni per- sonnels, pas d' accidents syphilitiques ou paludéens; pas de mala- dies a
faisant régulièrement ses campagnes pour la pêche des éponges, sans accident . Le 10 août 1884, après avoir déjà fait quatre
5 mètres, 10-12 minutes de séjour et de décompression brusque, sans accident consécutif; redescend pour la cinquième fois à
les perdait tout à fait; il ne les sentait pas. Dix jours après son accident , il est venu me consulter; pendant ce temps, so
art on ne peut nier l'exis- tence de la forme spinale postérieure d' accidents spi- naux provenant de l'emploi des scaphandres
er est là pour le démontrer, on ne peut pas d'autre part éta- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. je blir la pathol
u'une heure s'est écoulée entre la décompression et l'invasion de l' accident . Les symptômes spinaux ne sont précédés, et c'e
- nique présente des symptômes du début. La patho- génie même des accidents par l'emploi des scaphan- dres et des symptômes
, ce qui est parfaitement démontré par sa rapide disparition. Les accidents provenant de l'emploi des scaphan- dres nous fo
logie de cette forme dans ses grandes lignes. Observation XXIV. - Accident provoqzcé le 2fi aocït 1882. Quatre immersions
2 brasses de profondeur et d ? c ci quinze mi- nutes de séjour sans accident . Cinquième immersion, même profondeur , une dem
e de plus en plus, épihpsie spinale, contractures passagères. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 61 t Etat actuel
comprimé durant les mois, de juin, juillet et jusqu'au 26 août sans accident . Ce jour-là, il fait quatre immersions à une pr
ondeur de 20 à 22 brasses et de dix à quinze minutes de séjour sans accident . Il en fait une cinquième à la même profondeur
ure et demie d'intervalle entre la décompression et l'invasion de l' accident . Aphasie motrice et surdité psychique, étourdis
comprimé en juin 1884 et il a travaillé jusqu'au z juillet, sans accident , quand ce jour-là il fait sa première immersion à
ns à la même pro- fondeur et bien au-dessus de 23 à 25 brasses sans accident mais il n'avaitjamaisprotongésonséjourptus dedi
il n'avaitjamaisprotongésonséjourptus dedix à quinze minutes et DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 63 raz c'était la
issement, pas de toux, pas de repas avant l'immersion qui a causé l' accident . Une heure et demie après la décompression et l
asmodique est l'exaltation du réflexe rotulien. Observation XXVI. Accident provoqué le 20 août 1883, ci 0 heures du matin,
séjour. Plusieurs immersions antérieures de la même profondeur sans accident , mais jamais plus d'un quart d'heure de séjour;
Cinq minutes d'intervalle entre la décompression et l'invasion de l' accident . Sensation de pression à la nuque, engourdissem
scaphandrier au mois de mai 1883, et il a travaillé trois mois sans accident . Le 20 août 1883, à 9 heures du matin, il faits
fait antérieurement plusieurs immersions à la même profondeur, sans accident , mais notons bien qu'il n'avait jamais séjourné
saisissait et le pressait fortement, malaise suivi d'engourdis- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 65 sements des me
s du rectum. Il n'y a aucun symptôme céphalique. OuSËRVATtOXXXVH. Accident provoqué le 15 juin 1881. Cinq immersions précé
ur, 40-15 inii2z £ - tes de séjour et de décompression brusque sans accident . Sixième immersion de la même profondeur, `r5 m
'amélioration; continuité de l'emploi du scaphandre ; pas de nouvel accident , parfois aggravation ti,ttn- sitoire de la mono
en 1877. Il a travaillé pendant quatre ans, sans avoir jamais eu d' accidents , quand le 15 juin 1881, après avoir fait cinq imm
brasses etdix à quinze minutes de séjour et dépression brusque sans accident ; il est redescendu pour la sixième fois par la
nes pour la pêche d'épongés. 11 n'a pas eu, c'est vrai, de nouveaux accidents , mais après un DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES S
11 n'a pas eu, c'est vrai, de nouveaux accidents, mais après un DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 67 1 interrogatoi
e l'OBSER- vation XXIV, laquelle a duré quatre heures, le ma- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 69 lade n'ayant c
début qui constitue un des grands caractères de toutes les formes d' accidents spinaux provenant de l'emploi des scaphandres.
se sont écoulées entre la disparition des symptômes du début DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 71 et l'invasion
es terminaisons. 3. Période DU syndrome spasmodique. L'examen DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. ni attentif de ce
sol et porter en avant son membre inférieur droit, qui, à ce DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 75 e moment, 'déc
t présenté. d). Symptômes vt,sicazix. Parmi ces quatre obser- DES ACCIDENTS PAR l'eMPLOI DES SCAPHANDRES. Il valions, il n'
eux grands caractères qui caractérisent presque toutes les formes d' accidents spinaux provenant de l'emploi des scaphandres,
e pour que nous ne soyons en mesure d'en rapporter plus d'une DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 79 seule observat
us la donnerons aussi détaillée que possible. Observation XXVIII. Accident provoqué le 18 septembre 1883, .9 heures matin
ai 1883. Il a travaillé pendant quatre mois et demi à peu près sans accident . Le 18 septembre de là même année, à la premièr
rs immersions à cette profondeur et avec la même décompression sans accident , mais sans jamais avoir dépassé quinze minutes,
leurs mouvements s'accomplissent physiofogiquonont. Le grand DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 81 1 dentelé es
é. Etat du malade (18 novembre 1883). L'amélioration est con- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 83 sidérable. Les
Observation de paralysie cérébrale infantile, suite d'endocardite. Accidents datantde l'âge de six ans; autopsie à de quarante
x l'administrer par voie hypodermique. M. l3 : Trt a vu guérir sans accidents , par suppression brusque, des individus déjà tr
ut cependant se rappeler aussi que cette méthode peut être suivie d' accidents Est-il possible de SOCIÉTÉS SAVANTES. '121' s
consacrer que quelques mots à cette question. Ainsi la guérison des accidents par l'administration du mercure et de l'iodure
l'administration du mercure et de l'iodure de potassium, celle des accidents convulsifs par le bro- mure, la dispartion de l
la responsabilité qui incombe aux hypnotiseurs ayant déterminé des accidents graves chez leurs sujets ; sur la question de s
ée, suivant l'auteur, par M M. Liébeault et Bernheim ; de plus, les accidents consécutifs aux manoeuvres hypnotiques intem- p
arger de tous les crimes commis par les hypnoti- seurs, de tous les accidents , y compris ceux dont ne parle pas M. Liégeois,
essant et classique. Un négociant, âgé de trente-cinq ans, après un accident de chasse, fut tout à coup. frappé d'hémiplégie
imé au mois de mai 1886 et il aurait travaillé pendant un mois sans accident . Le 2 au 3 juin, il a passé une nuit d'agitatio
scaphandre en 1885. Il aurait travaillé à peu près une année sans accident . Le la mai, il fait sa première immersion de la
cette profondeur et d'une décompression absolument isochrone sans accident , mais il n'a jamais prolongé son séjour au delà d
ident, mais il n'a jamais prolongé son séjour au delà de 15 mi- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 227 nutes; pas de
our la pêche d'épongés, pendant trois ans, sans jamais avoir eu d' accident . ' " * Le 15 mai 1886, cet homme se lève le mat
le 16 juillet 1886, c'est-à-dire, deux mois après l'invasion de son accident et nous n'avons pu rien cons- tater. Comme on a
quelques jours. B. Accidents cérébraux ou formes cérébrales. Les accidents cérébraux qui peuvent survenir chez les plongeu
hasique; 2, la forme sensorielle; 3, la forme épileptiforme ; DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 229 .4, la forme
4 juil- let 4878, il a travaillé pendant trois ans à peu près, sans accident , faisant régulièrement ses campagnes pour la pê
commet la faute de rester au fond vingt minutes, au bout des ? DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 231 quelles il se
jà antérieurement fait plusieurs immersions à cette profondeur sans accident , mais jamais il n'avait prolongé son séjour au
10 juillet 1884, 10 heures du malin, c'est-à-dire une heure après l' accident ). Le malade se trouve dans une incapacité presq
rée, ut aliquid fiât, pour ne pas empêcher la marche naturelle de l' accident . J'ai recommandé à son frère de m'appeler en to
hasie n'avait pas été de plus de deux heures. ' Observation XXXIII. Accident provoqué le 10 octobre, à la pré- ' mièie immer
s du soir, disparition de l'aphasie motrice. Le 15 août, deuxième accident d'aphasie motrice, d'une durée de deux heures,
imé en 18-5 et il aurait travaillé pendant quatre ans de suite sans accident , . Le 10 octobre, 1879, à la première immersion
e époque, il a fait régulièrement ses campagnes jusqu'en 1884, sans accident sérieux, sauf quelques accidents dou- loureux d
t ses campagnes jusqu'en 1884, sans accident sérieux, sauf quelques accidents dou- loureux des diverses articulations, le mal
elà de z-48-20 minutes. Immédiatement après la décompression, DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 233 3 le malade e
s au bout desquelles il a disparu tout à coup. Observation XXXIV. Accident survenu le 2 juillet, à la cinquième immersion,
intervalle de bien-être entre la décompression et l'in- vasion de l' accident . Première aphasie motrice trois à quatre minute
dans l'air comprimé, en mai 1886, il avait travaillé deux mois sans accident . Le 2 juillet, ayant déjà fait quatre immer- si
ons maintenant la voir à titre de forme à part. Observation XXXV. Accident survenu le 3 avril, il la suite de la première
ir comprimé, en mars z. Il aurait travaillé un mois à peu près sans accident . Le 3 avril ilfaitlapiemièreimmersiondesa série
brasses, il n'aurait pas séjourné plus de dix minutes mais il a DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 23o été très fati
s oreilles. II parlait très bien et aussi correctement qu'avant son accident . Ce scaphandrier n'a appris ni à lire ni à écri
qu'un seul cas que nous avons observé de visu. Observation XXXVI. Accident survenu le 10 Octobre. Première immersion, prof
de 1883, et il a travaillé pendant une année et quelques mois sans accident . Le 10 octobre, il fait sa première immersion p
au fondit a été surpt is de constater qu'il pouvait parler ; i DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 287 - on le fait
sait et qu'il écrivait tout aussi bien qu'a- vant l'invasion de son accident . Les observations qui précèdent montrent à l'év
omentanée disparaissait non moins brusquement durant quelques DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 339 9 minutes pou
mois de février 1886. Il aurait travaillé durant quelques mois sans accidents . Le 15 août il descend à une pro- fondeur de 17
njonctives qui faisait les frais de toute la symptomatologie de cet accident . Au bout d'une demi-heure, le malade a commencé
'air comprimé en 1880 et aurait travaillé pen- dant trois ans, sans accident . Le 13 août 1883, il fait sa première immersion
l ne demeure que quinze minutes au fond. Il a été extrêmement DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DÉS SCAPHANDRES. 241 fatigué étant
rude et de brûlure avaient disparu. Pendant trois semaines après l' accident , le malade ne voyait rien et ne distinguait pas l
à la fin de la quatrième' semaine, le malade voyait comme avant son accident . ` Ce malade, excepté quelques petits vertiges
aire. Les troubles auditifs occupent une place importante parmi les accidents cé- rébraux qui proviennent de l'emploi des sca
titre de forme clinique spéciale, la symptomatologie de ce genre d' accident étant unique- ment et exclusivement caractérisé
ent et exclusivement caractérisée. par les troubles auditifs. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 243 Observation X
geur à scaphandre en 1885 et il a travaillé durant une année sans accident . Le 10 juin 1886, il descend à une profondeur d
ditives. Le scaphandier entendait, dit- il, aussi bien qu'avant son accident . Etat actuel, 2 août 1886. Rien. Observation
au mois de mai 18SG; il aurait travaillé jusqu'au 10 juillet, sans accidents . Ce jour-là, après avoir fait six immer- sions
l'état normal. Etat actuel, 28 juillet 1886. - (18 jours après l' accident .) Il n'y a rien. Les facultés auditives sont ex
e 2 mai 1884, et il aurait travaillé pendant un mois environ sans accident . Le 1er juin, il fait sa première immersion de la
à scaphandre en 1885, et il aurait travaillé pendant une année sans accident . Le 10 juin 1886, après avoir déjà fait cinq im
it pas et il ne s'était pas chargé l'estomac. Pas de fatigue. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 24S 5 Immédiateme
fait régulièrement ses campagnes pour la pêche des épon- ges, sans accident . Le 12 juin 1886, ce plongeur se lève indisposé
de séjour et de rapidité de décompres- sion sans avoir jamais eu d' accident . Une dizaine de minutes après la décompression
son oreille en sifflant; ce fait a été immédiatement suivi d'un DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 247 Î soulagement
ans. L'hérédité soigneusement interrogée n'a pas'montré le moindre accident nerveux dans la famille. Les-antécédents person
ntécédents personnels n'offrent non plus rien d'im- portant ; pas d' accidents syphilitiques, ni paludéens, pas de ma- ladies
ulièrement ses campagnes de l'année pour la pêche des éponges, sans accidents sérieux. Une fois seulement au cours de l'été 1
tte profon- deur et avait séjourné au fond 5 et même 7 minutes sans accident , mais il ne s'est jamais décomprimé si brusquem
de notre malade jusqu'à la disparition complète et définitive de l' accident qui a eu lieu à midi 40 et qui a été suivi d'un
fonctionner régulièrement. Pour observer l'évolution naturelle de l' accident ; nous n'avons employé aucune médication; un pe
LYTIQUE. Les différentes paralysies d'origine cérébrale n'ont DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 249 pas, à coup s
rs jusqu'à présent, il a été atteint treize, fois encore de pareils accidents , ce qui fait au total quinze fois : sept fois à
même durée de séjour au fond de la mer, il était atteint des mêmes accidents , à savoir une paralysie du membre supérieur tan
t état a duré de 3 à 5 heures. Depuis 1882, étant persuadé qu'aucun accident ne saurait lui arriver, quand il n'aurait pas d
Cosmas Cosmitis, âgé de vingt-six ans, sans antécédents here- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 2S1 ditaires ou p
iller dans l'air com- primé en 1877 et il a travaillé sept ans sans accident . Le 27 juillet 1884 il fait une première immers
commencé son travail en 1885 et il travailla pendant une année sans accident . Le 13 juillet 1886, il fait sa première immers
ompression. Il n'a pas été fatigué et il n'aurait pas mangé avant l' accident ; pas de refroidissement, pas de toux. Dix minu
bout de laquelle elle a disparu tout à fait. 252 CLINIQUE NERVEUSE. ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. b). Paralsie de la face et
de plongeur à scaphandre en 1882, a travaillé pendant deux ans sans accident . Le 12 juillet 4884, après avoir déjà fait sept
uillet 4884, après avoir déjà fait sept immersions successives sans accident , à une profondeur de' 23 brasses, de douze à qu
e ses progrès. Etat actuel (15 août 1884, le dix-neuvième jour de l' accident ). Le malade a une certaine difficulté de lever
n balancement analogue à celui qu'on peut observer entre les divers accidents qui relèvent de l'hystérie. Nous avons vu plusi
vers la périphérie. Ce foyer hémorrhagique n'avait pas déterminé d' accidents au moment de sa production, parce qu'à cette ép
iciels, ni de la fonction des nerfs crâniens, ni îles viscère*. Les accidents moteurs na furont Archiaes, t. XVII. tU . 290
tabli chez son malade (homme de cinquante-et-un ans), l'existence d' accidents hystériques, l'auteur fait remarquer que la sur
amélioration. ' P. K. XVI. Un cas d'ophthalmoplégie bilatérale avec accidents d'ataxïe ET PARÉSIE LINILATÉRALE DE ' L'APPAREI
(paresthésies, phénomènes d'excita- tion et de paralysie motrices, accidents vaso-moteurs). Sur plus de trois cents cas, on
ir une profonde dépression et de la mélancolie caractérisée, ou des accidents qui font penser au tabes (douleurs lancinantes,
existe des phénomènes cérébraux congestifs se tra- duisant par des accidents psychiques et physiques aigus, il y a lieu d'in
e dans laquelle une injection sous-cutanée à'ésérine eut raison des accidents . Il mentionne aussi l'action défavorable des fe
e sorte de délire qui se termine par un coma grave. Néanmoins les accidents s'amendent au bout de deux semaines, tout va bien
n et d'idées de grandeur sans aucune manifestation- somatique, sans accidents dans les commémoratifs, sans éléments- épilepti
de la melliturie. Evolution presque paral- lèle des deux espèces d' accidents . (Allg. Zeitsch. f. Psychiat. XLIV 6.) P. KFR.4
Cette forme ne doit pas être très rare. Nous avons entendu parler d' accidents mentaux présentés par quelques plongeurs à scap
bré héréditaire. Voici cette belle observation : Observation L1R. Accident provoqué le 25 juillet ci 10 heures du malin. P
n° 47, p. 1 45 ; n° 48, p. 21G; un 'r9, p. 22 ; n 0, p. 225. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 393 Il taie n'a p
édents personnels n'offrent plus rien autre de digne à noter. Pas d' accidents syphili- tiques ou paludéens, pas de maladies a
ongeur à scaphandre en 1882 et il a travaillé pendant deux ans sans accidents sérieux; il aurait eu rarement quelques douleur
nditions de travail, comme profondeur et comme durée du séjour sans accident , mais jamais il ne s'est fait décomprimer aussi
el (25 juillet, 2 heures du soir, quatre heures dès l'invasion de l' accident ). Sa figure est colorée en rouge, vul- tueuse e
urs ne mettent pas en doute l'existence de manie transitoire. DES ACCIDENTS PYR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. ? 5 . Si on inter
t régulièrement ses campagnes, pendant cinq années, à peu près sans accident . Le S juin 1875, après avoir fait trois immersi
, ce qui fait deux années trois mois et deux jours après le premier accident , il faisait des immersions à 24 brasses de prof
deur, 't2 minutes de séjour au fond et décom- pression brusque sans accident . Quand il a fini la troisième, faite elle aussi
, il a été bientôt pris d'une sensation pareille à celle du premier accident , c'est-à-dire que sa chaise s'enfonçait avec lui
augmentaient tellement d'intensité et il vomissait avec de tels DES ACCIDENTS PAR L'HMPLOI DES SCAPHANDRES. 39, ciforts qu'il
e a été atteint, tantôt une fois, tantôt deux fois par an des mêmes accidents que ceux du - 7 septembre sans la moindre diffé
handre, il y a déjà .quatre ans, sans qu'il lui soit arrivé au- cun accident . Le 24 mai 1886, après avoir déjà fait quatre i
e à cinq minutes de séjour et décompression brusque sans le moindre accident , il redescend pour la cinquième fois et séjourn
yons-nous, pour peu qu'on fixe son attention sur l'exposé des DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 3U9 deux observat
l'emploi des scaphandres. Le malade de 1'013SERVATION I, de par son accident du 7 septembre etles suivants, offre un exemple
nt développées chez noire malade dès le premier moment de son DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 401 invasion. Que
eux malades. C'est ainsi que chez le malade de l'OBSERVATION I, son accident de vertige dé Ménière, toutes les fois qu'il su
ce malade, ce qui fait six mois en- viron depuis l'invasion de son accident , au lieu d'avoir son état vertigineux d'une man
tômes les plus fréquents dans le tableau clinique des différents accidents survenant par l'emploi des sca- phandres, et su
cte. Elle constitue alors, à elle seule, le tableau clinique de l' accident . Voici ces deux observations : Observation LU
eur à scaphandre, en 1884, et il a travaillé pendant une année sans accident . Le 18 juin 1883, il descend à une profon- deur
la même profon- deur, même durée de séjour, même décompression sans accident . Immédiatement après la décompression, le malad
autres symptômes. Le lendemain malin, il reprend son travail. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 403 Observation L
de séjour au fond et décompression brusque comme toujours. Pas d' accident . Le lendemain matin, 16 mai, à 10 heures du mat
E. , Nous avons jusqu'à présent décrit les différentes formes des accidents spinaux et cérébraux, suivant que la localisati
técédents hérédi- taires n'offrent rien d'important, il n'y a pas d' accidents nerveux dans la famille. Comme accidents person
'important, il n'y a pas d'accidents nerveux dans la famille. Comme accidents personnels, cet h'omme a eu des fièvres paludée
h'omme a eu des fièvres paludéennes, il y a quelques années ; pas d' accidents syphilitiques ; pas d'autres maladies antérieur
mprimé, dès 1874. Vers le commencement de 1874, il a eu son premier accident ; le malade ne peut en fixer exactement la date
Cinq minutes après la décompression et l'enlèvement du casque, DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 40S se passent, p
-à-dire pendant la compression, les petits symptômes de son premier accident . Trois minutes après la décompression et l'enlè
habituelle, Les fonctions des organes génitaux sont abolies. DES ACCIDENTS PAU L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 407 Symptômes cép
de con- naissance et précédé l'invasion de la paralysie dans son accident de novembre 1874. On avait là un tableau de man
itoire. Le fait que la manie transitoire peut figurer à titre DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 409 de symptôme p
ue à part, consti- tuant à elle seule tout le tableau clinique de l' accident , même chez des personnes qui ne sont pas dégéné
chez des personnes qui ne sont pas dégénérées ou héréditaires. C. Accidents extra-nerveux. Jusqu'à présent, nous avons trai
C. Accidents extra-nerveux. Jusqu'à présent, nous avons traité des accidents ner- veux survenant par l'emploi des scaphandre
système nerveux, à un autre tissu ou organe et nous avons alors les accidents que nous appelons extra-nerveux. La--lôcalisa
ses. Il y a très peu de plongeurs à scaphandre qui n'ont pas eu d' accidents douloureux au cours de leurs travaux. Ces doule
dépasse pas les vingt-quatre heures. 11.10 CLINIQUE NERVEUSE. Cet accident est si bien connu que nous croyons au moins inu
nt douleur constitue alors exclusivement le ta- bleau clinique de l' accident . Lesautreslocalisationsextra-nerveuses paraisse
eur ou au tube digestif. Quant à moi, je n'ai pas observé des cas d' accidents survenant par l'emploi des scaphandres dont le
ses à l'hypocondre droit : Je l'ai observé quelques jours après son accident et son foie débordait de quelques travers de do
t à sa placé, ne débordait plus et l'ictère concomitant s'est DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 411 complètement
soumis à aucun traitement pour suivre la marche naturelle de soif accident . . , . Enfin, la localisation peut dominer au t
éjour au delà de douze à quinze minutes. Le cinquième jour de son accident , il était déjà très amélioré et sa périphérie ass
cun doute sur la nature de cette lésion fort rare. COMPLEXITÉ DES ACCIDENTS SURVENANT PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. Maint
SCAPHANDRES. Maintenant que nous avons étudié les différentes DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 413 formes cliniq
et se succéder, se grouper à titre de symptômes pour constituer un accident céré- bral complexe, composé, comme on le voit
faisant régulièrement ses campagnes pour la pêche des éponges, sans accident quel qu'il soit. Le 10 juillet 1879, il faisait
n'y avait plus aucune trace d'aphasie ; il parlait comme avant son accident . Pas de troubles, ni de la motilité ni de la se
amélioration de sa surdité. Le cinquième jour, il descend deux DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 415 fois dans les
ons la suite desquelles le malade entendait aussi bien qu'avant son accident . La guérison fut absolue et définitive. Chez un
douleurs aux lombes et à l'estomac, symptômes fréquents des divers accidents survenant par l'emploi des scaphandres; la céph
nique à part, formant alors à elle seule le ta- bleau-clinique de l' accident ; tous ces symptômes., dis- je, dont la plupart
les, peuvent coexister, se succéder, se grouper pour constituer l' accident complexe, composé du malade dont voici l'observ
atre ans, faisant régulièrement ses campagnes de l'année sans aucun accident . Le 5 juillet 1878, il travaillait à une profon
s douze minutes. 11 fait, dans ces conditions, cinq immersions sans accidents , il redescend pour la sixième fois au même endr
. Le 5 août 1880, c'est-à-dire vingt-cinq mois depuis son premier accident , il descend à une profondeur de 40 mètres et deme
compression et l'enlèvement du casque, le plongeur est pris du même accident . 11 ne diflérait absolument eu rien de l'accide
est pris du même accident. 11 ne diflérait absolument eu rien de l' accident antérieur au point de vue des symptômes céphali
l de tête, douleurs aux lombes et à l'estomac, aphasie motrice, DES ACCIDENTS PAU L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 417 -1 alternance
xité ne sont soumises à au- cune loi, à aucune règle, parce que les accidents com- plexes dépendant directement d'une localis
complexité, nous pouvons parfaitement bien nous rendre compte des accidents de ce genre, les interpré- ter, les analyser, c
cernant la neuropathologie. ' · . MULTIPLICITÉ ET VARIABILITÉ DES ACCIDENTS CHEZ LE MÊME PLONGEUR A SCAPHANDRE AU COURS DE
tre atteint à différentes époques de son travail de la même forme d' accident , à preuve, par exemple, le malade de ]'OBSERVAT
le premier a été atteint trois fois et le second deux fois du même accident , d'aphasie motrice au cours de leur travail; le
contraire, le scaphandrier est atteint au cours de son travail des accidents les plus@multiples et .les plus variés. Pour dé
démontrer combien est grande la variabilité et la multiplicité des accidents qui peu- vent survenir chez le même plongeur à
ix minutes d'in- tervalle entre la décompression et l'invasion de l' accident . Hémiplégie gauche, trois jours de durée. Le 20
Histoire. Phots Catsourakis, âgé de vingt-trois ans, sans ante- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 419 cédents héréd
il s'est fait décomprimer aussi brusquement que celte fois-ci, sans accidents ; mais il n'a jamais demeuré plus d'un quart d'
le séjour qui n'a jamais duré plus.de douze à quinze minutes, sans accidents . Pas de refroidissement, pas de toux, pas de re
tement bien, remuant son membre para- lytique aussi bien qu'avant l' accident . Le 15 septembre 1880, il fait sa première imme
re de fois à cette profondeur et avec la même décom- pression, sans accident , mais il importe de remarquer qu'il n'a jamais
e époque jusqu'au tO avril 1885, jour de notre examen, n'a pas eu d' accidents . On voit donc que ce plongeur à scaphandre a ét
longeur à scaphandre a été atteint au cours de son travail de trois accidents tout à fait différents. Le premier était une hé
es trois étaient fugitifs, transitoires. Observation LIX. Plusieurs accidents douloureux à différentes époques. Le 16 juin 18
dyspnée et une sueur abondante, décompression extrêmement brusque. Accident appartenant à la forme centrale spinale latéral
Il a été atteint plusieurs fois aux différentes régions du corps d' accidents douloureux dont la durée variait de deux à vingt-
é le casque, de sorte que la décompression a été instantanée. DES ACCIDENTS PAR 1, ll ? IPI,01 DES SCAPHANDRES. 4) 1 Aussit
s céphaliques ou autres. Ce plongeur à scaphandre a eu donc trois accidents absolument différents l'un de l'autre. Il a eu
ifférents l'un de l'autre. Il a eu au cours de son travail : 1° des accidents douloureux multiples; 2° Un accident cérébral a
urs de son travail : 1° des accidents douloureux multiples; 2° Un accident cérébral appartenant à la forme pa- ralytique,
l appartenant à la forme pa- ralytique, type hémiplégique ; 3° Un accident spinal appartenant à la forme cen- trale latéra
appartenant à la forme cen- trale latérale. Observation LX. le, accident . 29 septembre 1873. (Septième immersion faite sou
e séjour au fond et décompression 132 CLINIQUE NERVEUSE. brusque. Accident cérébral complexe (pote de connaissance, aphasi
à huit minutes, décompression brusque comme les deux précédentes. - Accident appartenant ci la variété inlramyé- litique de
dans l'air comprimé, il a travaillé pendant cinq mois environ sans accidents . Le 29 septembre, bien portant et à jeun, après
heures, au bout desquelles il revient, n'ayant absolument rien. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. Il 3° Le 3 mars 1
andrier, comme on l'a remarqué, a eu au cours de son travail quatre accidents différents. Le premier est un accident cérébral
cours de son travail quatre accidents différents. Le premier est un accident cérébral complexe. La perte de connaissance qui
connaissance qui peut figurer toute seule au tableau clinique d'un accident survenant par l'emploi des sca- phandres, l'aph
forme cérébrale paralytique ont contribué à la constitution de cet accident complexe. Le second est un accident cérébral si
ibué à la constitution de cet accident complexe. Le second est un accident cérébral simple, typique, la perte de connaissa
onnaissance qui, à elle seule, constituait le tableau clinique de l' accident . Le troisième est un accident complexe à la con
constituait le tableau clinique de l'accident. Le troisième est un accident complexe à la constitution duquel ont contribué
ce et la paralysie spinale transi- toire. Enfin le quatrième est un accident appartenant à la forme spinale unilatérale et p
peut voir combien est grande la multiplicité et la variabilité des accidents qui peu- vent survenir chez le même plongeur à
es trophiques et urinaires des para- plégiques scaphandriers et des accidents mortels. MORT DES PARALYTIQUES SCAPHANDRIERS
ers et des accidents mortels. MORT DES PARALYTIQUES SCAPHANDRIERS ACCIDENTS MORTELS. Je ne veux pas insister beaucoup sur l
les troubles trophiques et urinaires qui se rencontrent dans ces accidents spinaux des scaphandriers, car ils ne dine- DES
ans ces accidents spinaux des scaphandriers, car ils ne dine- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 425 rent absolume
savoir au juste quel traitement on lui fit suivre. Un mois après l' accident , il arrive à Calymnos où le voit le Loc. cit.
et enfin le malade suc- combe dans le marasme trois mois après son accident . Il y avait un mois que la paralysie de la vess
ard et avec de la décoction de quinquina ; des toniques à l'in- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES 5(' : 1P11\DREc. 427 térieur e
lus d'une année, guérissent fréquemment, s'améliorent dans la DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 429 majorité des
servé de mort par les progrès seuls' et naturels de la paralysie. ACCIDENTS MORTELS. Le plongeur à scaphandre peut être mor
es symptômes qui constituent le tableau clinique de ces terribles accidents ? Ma description sera forcément incomplète, par
ur cette question auprès des compagnons des scaphandriers frappés d' accidents mortels, aussi bien qu'un certain nombre d'obse
aintenant à l'exposé de ce qui a été publié jusqu'à présent sur ces accidents mortels. M. Leroy de Méricourt fait simplement
gauche. Le 15 juin, il en était à sa seconde des- cente, lorsque l' accident lui arriva. Remonté après un séjour de plus d'u
On mit à la voile pour se rendre à Alexandrie, où l'on espérait DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 431 i trouver du
compagnons si ses yeux étaient ' Loc. cil. 4,3 CLINIQUE NERVEUSE. ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. rouges; pendant qu'il disa
mbres supérieurs et avait de la dyspnée depuis le commencement de l' accident jusqu'à la fin de sa vie. Ses compagnons lui ap
ièrent aussi, et la mort vint environ vingt-quatre heures après son accident . OBs. III. D. T..., d'IIydra, âgé de trente-six
phandre depuis quatre ans, a été atteint l'année dernière de petits accidents . Le 28 juillet 1881, ayant fait trois immersion
its accidents. Le 28 juillet 1881, ayant fait trois immersions sans accident , il descend pour la quatrième fois par une prof
té musculaire, convulsions, -attaques épileptiformes). Ces derniers accidents rapprocheraient particullièrement la cocaïnisme
des doses parfois considérables de chlorhydrate de morphine. Les accidents n'ont éclaté qu'à la suite de l'emploi de la coca
'ont éclaté qu'à la suite de l'emploi de la cocaïne. M. Magnan. Les accidents les plus saillants de la cocaïne sont les troub
caïne. Cette dame voyait et sentait de petits vers sur ses mains. Accidents cérébraux consécutifs (i l'empoisonnement par l'o
Vallon demande s'il est certain que la névrite ait débuté depuis l' accident on bien si l'on ne peut pas admettre un début a
oses, phénomènes hystériques et neurasthéniques). Ces deux derniers accidents peuvent compliquer des affections organiques, d
(commotion spinale, t·o2ebles de la moelle et du cerveau après des accidents de chemin de fer), parle Dr Cooncss KNAPP. (Bos
Hypnotisme (grand et petit), par Babinski, 92, 258; (dangers et accidents de 1'), par Séglas, 115; par Chambard, 297 ; pa
aefer, 109. Revue critique, par Babinshi, 92, 258. Scaphandres ( accidents par l'usage des), par Catsaras, 22, 225, 392.
3 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lade. Le père est lui-même un homme très nerveux, bizarre, violent; accidents arthritiques. Antécédents personnels. Pas de re
le était toujours souffrante et soignée LA CATATONIE. 61 pour des accidents hystériques. En janvier 1884, elle se montre tr
constater chez la malade la présence de stigmates hystériques et d' accidents de même nature analogues à ceux constatés avant
, l'autre six ans après, à une pacby- méningite ayant déterminé des accidents psychiques. Le malade congédié comme amélioré m
ttement marquées et l'on ne trouvait que deux cas dans lesquels les accidents syphilitiques remontassent à un ou cinq mois av
oit d'habitude la méningite cérébrospinale épidémique qui cause ces accidents . Il fait remarquer que l'évolution morbide présen
ébrale; tuméfaction de la muqueuse, sécrétion séreuse ou purulente. Accidents bila- téraux, mais notablement plus accentués d
opalholo- gique et de la durée relativement courte de l'expérience. Accidents bilatéraux notablement plus forts du côté corre
demi, travaillant dans une fabrique de briques. Au milieu de mars, accidents typhoïdes avec cécité complète. Voici son histo
cécité complète. Voici son histoire : au début de mars, malaise et accidents abdominaux (constipation, borborygmes). Il pren
ant la nuit, brutalement, amaurose totale. Sur ces entrefaites, les accidents de la fièvre typhoïde s'affirment. Le typhus es
l se manifeste bientôt une apy- rexie de six jours. Puis récidive d' accidents de moyenne gravité, enfin guérison au commencem
ptique qui au début a été seulement fonctionnelle. La brutalité des accidents , leur persistance, la dégé- nérescence consécut
ion musculaire. Pas plus que chez les malades, il ne se produisit d' accidents inflammatoires progressifs. Ce mémoire sera pub
git en somme d'une affection autonome, car on ne trouve aucun autre accident névropathique. Les contractures qui se produise
èvre typhoïde grave (phénomènes fébriles ayant duré quarante jours; accidents étendus du décubitus), de contractures et atrophi
s l'irrigation sanguine des jambes; on voit facilement survenir ces accidents dans la convalescence de la fièvre typhoïde, qu
nous rapporte le Dr Azam. Ces phénomènes, qui se sont accompagnés d' accidents hystériques, doivent être ratta- chés à l'hypno
rès avoir attribué aux lésions cen- trales seules la pathogénie des accidents nerveux, on considère maintenant les lésions pé
s. Il y a déjà quatre années que je me suis occupé de l'étude des accidents occasionnés par l'emploi des scaphandres. Les g
es différents travaux qui ont été publiés jusqu'à présent sur les accidents en question; II. La clinique qui constitue, on
née qu'il n'y ait au moins une dizaine de morts. Quant aux autres accidents , ils sont, on va le voir, plus fré- quents qu'a
r les éponges. Le premier travail qui a été publié relativement aux accidents des scaphan- driers est celui de M. Leroy de Me
e con- tient pas d'observations médicales ni d'autopsies, les DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 147 accidents son
d'autopsies, les DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 147 accidents sont attribués à des hémorrhagies médul- laires
mis à des décompressions brusques étaient en effet plus exposés aux accidents que les autres. Ceux qui sont morts n'ont jamai
comprimé. Parmi les maladies à début brusque, l'auteur cite comme accidents légers les puces, les douleurs nztcscu- laires
ement, les pertes de force, effets d'une anémie particulière. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 149 Nous devons l
le quatrième travail à M. le Dr Lam- padarios, qui, sous le titre « Accidents arrivant aux pê- cheurs d'épongés », a été soum
spéciale de l'enfance et des maladies des plongeurs. Paris. - DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 151 « est dû à l'
us le titre : « Observation d'ataxie locomotrice, consécutive à des accidents de décom- pression brusque par rupture d'un sca
rapide, qui ne contient naturellement que les travaux relatifs aux accidents survenant seu- lement et uniquement par l'emplo
erses manifestations cliniques sous lesquelles se présentent ces. accidents et qui constituent un nombre vraiment considéra
e des plongeurs à scaphandre comprend deux catégories principales d' accidents , dont la pre- mière contient ceux qui frappent
availlent dans l'air comprimé ; la seconde caté- gorie comprend les accidents , beaucoup moins nom- breux, qui ont pour siège
ins nom- breux, qui ont pour siège d'autres organes ou tissus. I. Accidents nerveux. Suivant que la localisation de l'agent
nt ou domine à telle ou telle partie de l'axe cérébro-spinal, les accidents nerveux se présentent cliniquement sous des for
ons nous autorisent à distinguer différentes formes spinales, DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 1S3 dont chacune
érale. A. FORME CENTRALE SPINALE LATÉRALE. Observation I. Premier accident le 18 octobre 1875. Descente à 32 brasses, séjo
parésie slucistique. Le 10 août, G septembre et le 20 octobre 1884 accidents paraplé- giqiies fugitifs. Examen le 15 février
ept immersions successives à une profondeur de 28 à 32 brasses sans accident , il en fait une huitième à la même profondeur et
- nution de volume des membres, pas de symptômes céphaliques. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 155 Ce n'est que
ce à une paraplégie complète. Pas de symptômes cérébraux. Ce nouvel accident dure une heure et demie, après quoi les dou- le
on travail, son état parétique étant tout à fait le même qu'avant l' accident du 10 août. Le 6 septembre, il a été atteint d'
ccident du 10 août. Le 6 septembre, il a été atteint d'un troisième accident , après une immersion (c'était la deuxième de la
emain matin. Enfin, le 20 octobre, survient le quatrième et dernier accident à ce malheureux scaphandrier, qui ne peut cette
ement que c'était à la deuxième immersion. L'aspect clinique de cet accident ne différait absolument en rien du deuxième. En
parfaitement aussi bien au courant faradique que galvanique. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 1S7 Le malade a d
organisme paraissent s'effectuer régulièrement. Observation II. - Accident survenu le 20 juillet 1879 ; deuxième immersion
ndrier le 10 juin 1879. Au bout de quarante jours de travail, pas d' accidents ; le 20 juillet, après avoir fait une première im
du pied augmentent considérablement. Le phénomène du genou à DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRE. 159 droite est trè
Les autres organes paraissent bien fonctionner. OBSERVATION III. Accident produit le 98 octobre 1883, à la quatrième imme
dant six mois environ de travail presque continuel, il n'a eu aucun accident . Ce n'est que le 10 octobre de cette année, à l
sions tout à fait dans les mêmes conditions que celle qui a causé l' accident suivant. Pendant six minutes après l'enlèvement
o- lontairement. Le 25 octobre, c'est-à-dire quinze jours après l' accident , il a commencé à remuer le bras gauche qui, que
gères, sur- tout la nuit, dès la fin de la quatrième semaine de son accident . Aussitôt il reprend son travail comme traiteme
mpossibilité où il est de fléchir l'articulation du genou et do DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 161 le faire ains
s autres appa- reils paraissent bien fonctionner. Observation IV. Accident occasionné par lu jroisiènte immersion; profond
é pendant une année entière, sans qu'il lui soit survenu le moindre accident . Ce n'est que le 15 mai 1877 qu'il a été attaqu
fois dans les conditions suivantes : l'immersion qui a occasionné l' accident était la troisième; cet homme était descendu à
ibles à la piqûre. Enfin, pour achever le tableau cli- nique de cet accident , ajoutons qu'il y avait en outre de la réten- t
ssité l'emploi de la sonde et des purgatifs. Du 15 mai, jour de l' accident , jusqu'à la fin de juin, le malade a été forcé
la parésie vésicale et rectale qui depuis déjà le dixième jour de l' accident avait rem- placé la rétention a été définitivem
jour de vingt à trente minutes. Dans ces conditions, il a eu la DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 163 chance de ne
AR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 163 chance de ne pas avoir de nouveaux accidents , mais sa paraplégie restait dans un état statio
s. Les autres organes paraissent bien fonctionner. Observation V. Accident provoqué par la huitième immersion le 2 décembr
survenue dans un mois par le travail dans l'air comprimé. Plusieurs accidents de paraplégie fugitive, souvent accompagnée de
mai 1871, il a travaillé pendant environ sept mois, sans avoir eu d' accidents ; ce n'est que le 2 novembre de la même année,
ns le fond ayant été prolongé plus d'un quart d'heure, qu'il a eu l' accident suivant. --Deux minutes après la décompression,
é s'est passée d'une façon complète, le malade voyait comme avant l' accident , mais il n'en a pas été de même pour son aphasi
ais il n'en a pas été de même pour son aphasie. Dix minutes après l' accident à côté de l'aphasie, il devient paralytique des
ne et de selles. Le 3 novembre, vingt-quatre heures environ après l' accident , le malade a commencé à pouvoir articuler quelq
immersion variait entre 1 ! ! et 20 mètres et son séjour chaque DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. '16S fois était p
t ses cam- pagnes pour la pêche des éponges et qu'il avait pris les accidents suivants. Tous les ans, quelquefois plusieurs
d'une façon isolée, constituant à lui seul le tableau clinique de l' accident sans aucun autre symptôme quel qu'il fût. Exame
e immersion, rarement deux, le prurit dis- parut. Observation VI. Accident survenu à la cinquième immersion faite tout à f
drier, depuis 1870. Durant cinq ans de suite cet homme n'a eu aucun accident . Ce n'est que le 15 mai 1876 qu'il a eu l'accid
e n'a eu aucun accident. Ce n'est que le 15 mai 1876 qu'il a eu l' accident que nous allons décrire. Ce jour-là, après avoir
si- dur et si turgescent. Le 18 mai, c'est-à-dire troisjoursaprès l' accident , le malade recou- vra entièrement la motilité e
Etat actuel. Exaltation considérable des réflexes. Observation VU. Accident provoqué le 24 mai 1883 à la sixième inz- mersi
ion; descente ci une profondeur de 26 brasses ; séjour de vingt DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 167 minutes plus
d'aucune espèce d'acci- dent. Le 8 mai de la même année, il a eu l' accident suivant. Le malade ne peut nous décrire exactem
ment les conditions dans les- quelles l'immersion qui lui a causé l' accident a eu lieu; il se rap- pelle seulement que c'éta
comprimé, mais il n'a pas eu la chance de travailler longtemps sans accident . Le 24 mai, c'est-à-dire seize jours après le p
sans accident. Le 24 mai, c'est-à-dire seize jours après le premier accident , après avoir fait 5 immersions successives à un
é suivie d'incontinence. Vers la fin de la troisième semaine de son accident , il a com- mencé à avoir des secousses, surtout
urtout la nuit. Le 4 juillet, c'est-à-dire quarante jours après son accident , le malade commence à se tenir debout et à fair
e légère flexion du pied suffit pour faire paraître l'épilepsie DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 169 spinale. A dr
ltation des réflexes rotuliens, surtout à droite. Observation VIII. Accident provoqué le 27 septembre 1873, à 5 heures du so
smodique. Le 28 mai 1886, aggravation de la paraplégie par un léger accident . État actuel, le 15 juillet 1886. - Cortège syn
mois de mai 1873 : il a travaillé cinq mois environ sans avoir eu d' accident . Mais le 27 septembre de la même année, après a
ont nous parlerons au chapitre de I'E< ! 0<oe], de suite sans accidents ; il en fait une sixième, à 5 heures du soir, à un
u soir, les fourmillements et tous les autres symptômes décrits DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 171 ayant disparu
ait place à l'incontinence. Au début de la quatrième semaine de son accident , il com- mence à avoir des secousses nocturnes.
rs. Le 11 décembre 1873, c'est-à-dire deux mois et demi après son accident , le malade commence à se tenir debout et à faire
faisait tous les ans régulièrement ses campagnes, sans avoir aucun accident . Le 28 mai 1886, à 11 heures du matin, ayant dé
at a été supprimée. Pas de symptômes céphaliques. Observation IX. Accident provoqué le 15 juillet 1872, à la deuxième imme
rasses et avait séjourné un quart d'heure ; tout cela se passe sans accident : il fait une DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SC
quart d'heure ; tout cela se passe sans accident : il fait une DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 173 deuxième imme
vait fait des immersions dans les mêmes conditions, sans avoir eu d' accidents . Une demi-heure après la montée et l'enlèvement
et des organes génitaux. Au début de la quatrième semaine de son accident , le malade commence à avoir des secousses. Il a
Enfin, le 5 janvier 1873, c'est-à-dire cinq mois et demi après l' accident , il marche sans béquilles, mais difficilement, et
es autres appareils paraissent bien fonc- tionner. Observation X. Accident provoqué le 26 juillet 18S3 par la cinquième im
nts héréditaires : bonne santé antérieure, pas d'impaludisme, pas d' accidents syphilitiques, pas d'alcoolisme. 11 a commencé
en 1879, et pendant quatre ans de travail régulier, il n'a eu aucun accident sérieux, sauf quelques petites douleurs, sans p
e 1883, il reprend son métier et travaille jusqu'au 26 juillet sans accident . Ce jour-là, étant à Corphou, notre scaphandrie
eux heures après il reprend sa sérié d'immersions et il en fait DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. '17 S 4 sans acci
en fait DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. '17 S 4 sans accident ; il en fait une cinquième à une profondeur de
erçût. A 5 heures et demie, c'est-à-dire une demi-heure après son accident , le malade recouvra aussi bien la motilité que la
ir le membre gauche du malade, on rencontre une très grande b DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. H7 i difficulté s
ions des autres organes ne laissent rien à désirer. Observation XI. Accident provoqué le 15 mai 1874 à la cinquième immersio
15 mai 1874 à la cinquième immersion. 4 immersions précédentes sans accident . Les condi- tions du travail de la cinquième im
alade était atteint de blennorrhagie intense, au moment même de son accident . Il a com- mencé son métier de scaphandrier en
aphandrier en 1870. et il avait travaillé pen- dant quatre ans sans accidents . Le 15 mai 1874,àChypre, ayant déjà fait 4 imme
et de huit à dix minutes de séjour, sans qu'elles fussent suivies d' accident , il en opère une cinquième tout à fait dans les
eures et demie du soir, c'est-à-dire deux heures et demie après son accident , le malade est pris de douleurs générales telle-
tenir debout. D'un moment à l'autre l'amélioration fait de tels DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 179 progrès qu'à
l dans les conditions sus-mentionnées n'a pas occasionné d'au- tres accidents ; mais, par contre, l'amélioration qui avait été v
travail pendant les mois de juillet et d'août suivants, sans nouvel accident . Au bout de ce temps, il fut rapatrié à Synii.
les érections sont fréquentes, mais pas aussi complètes qu'avant l' accident . L'acte de coït est presque normal, mais il dit
l'existence antérieure du syndrome spasmodique. Observation XII. Accident occasionné le 22 avril 1886 par la sixième imme
stoire. Jean Maitezos, âgé de trente-cinq ans, pas d'antécé- tj DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 181 dents hérédit
I DES SCAPHANDRES. 181 dents héréditaires, pas d'impaludisme, pas d' accidents syphiliti- ques ; enfin bonne santé antérieure.
en 1883 et il avait travaillé pendant trois ans environ, sans aucun accident . - Le 22 avril 1886, il avait déjà fait cinq im
22 avril 1886, il avait déjà fait cinq immersions successives sans accident . Il ne peut appré- cier les conditions du trava
u malade constituait à elle seule toute la symptomatologie de son accident . 0 A onze heures et demie du matin, c'est-à-dir
et demie du matin, c'est-à-dire une demi-heure après le début de l' accident , il est pris d'une parésie de la moti- lité et
tre symptôme ne s'est déclaré. Le 27 avril, cinquième jour de son accident , les extrémités supé- rieures ont commencé à re
idérables au point que le 7 mai , c'est-à-dire quinze jours après l' accident , le malade a recouvré l'intégrité de ses mem- b
enté aucune trace d'atrophie; leur musculature est remarquable; DES ACCIDENTS PAR 1/EMPLOI DES SCAPHANDRES. 183 pas d'altérat
s céphaliques. Rien du côté des autres organes. Observation XIII. Accident provoqué le 25 mai 1886, première immersion, dé
uis qu'il s'est livré aux travaux sous-marins. Il avait eu, avant l' accident , pendant plu- sieurs années, un tremblement tox
ulièrement ses campagnes jusqu'au 25 mai 1886, sans aucune espèce d' accident . Ce jour-là, après avoir bien déjeuné et surcha
e se rendit à Egine, pays de son capitaine. Depuis le moment de son accident , le malade n'a pas travaillé. Etat actuel (20 j
à droite. Tous les mouvements réflexes sont un peu exagérés. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 185 Un tremblemen
up d'oeil sur le tableau suivant que l'explosion de cette forme d' accidents spinaux a lieu tantôt immédiatement après la dé
té par M. Gal, s'est écoulé entre la décompression et le début de l' accident paraplégique. Au point de vue clinique descript
-même et 3° les divers symp- tômes du syndrome spasmodique. , DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 187 1 1. Symptôme
ace à un autre symptôme céphalique, la perte de connaissance. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 189 Le vertige do
ciaux de cette aphasie, que nous décrirons comme forme spéciale d' accidents *cérébraux; on peut l'appeler aphasie par embol
cité de ce malade a des caractères bien spéciaux et propres à DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 191 la distinguer
aison de leur fréquence un rang important parmi les symptômes DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 191-1 du début, m
us utiliserons ce fait quand nous parlerons de la pathogénie de ces accidents . Nous prions aussi le lecteur de fixer son atte
es il n'y avait pas Archives, t. XVI. 13 194 CLINIQUE NERVEUSE. - ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. trace de paraplégie, dont
actures osseuses à un traumatisme accidentel, etc., et pourtant ces accidents se répètent chez la plupart des malades avec un
t mises hors de service, et le danger de naufrage fut imminent. Cet accident inattendu a tellement impressionné notre brave
a mère jusqu'à seize mois. A six mois il aurait été soigné pour des accidents cérébraux qui ont duré deux mois, sans convulsi
rouve dans la plupart des cerveaux d'idiots. - Ce malade a eu des accidents cérébraux dès l'âge de six mois sans convulsion
rolandique), ces lésions destructives expérimentales produisent des accidents paraly- tiques croisés des membres et de la fac
jaune type), afin qu'on ne coure pas le risque de « confondre des accidents d'ordre irritatif avec des accidents de suppressi
s le risque de « confondre des accidents d'ordre irritatif avec des accidents de suppression 11, bien limitée, chose absolume
ans lesquels le sujet se montre exagérément accessible à tous les accidents hypnotiques provoqués par la même méthode (catale
hypnotiques niitigent ou font disparaître passagè- rement certains accidents ncuropathiquos, jamais elles ne guériront la ma
n raison de la symétrie de l'éruption, de l'existence de quelques accidents nerveux, de l'absence de causes connues de cette
et cependant peu d'amaigrissement. Selles assez régulières. Légers accidents hémorrhoïdaux remontant à l'usage de la paraldé
. - La suppression du médicament ramène l'insomnie, mais les autres accidents diminuent. Le troi- sième soir on lui donne un
que c'est bien, par suite, la paraldéhyde qui l'a empoi- sonné. Les accidents disparurent, d'ailleurs, par la cessation de la
suicide. Pouls à peine per- ceptible, pas tout à fait régulier. Les accidents paralytiques crois- sent ; la démarche devient
mental des sujets. Ceci nous amène à la véritable pathogénie de ces accidents . L'état mental, jouant un rôle prépondérant, do
tre malade de l'OBSER- VATION XI, qui, au moment de l'invasion de l' accident , ' Voy. Archives de Neurologie, n° il, p. li5.
de l'accident, ' Voy. Archives de Neurologie, n° il, p. li5. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 347 Î avait seule
, peuvent constituer le début comme par exemple à l'OBSERVATION V l' accident a débuté par la cécité fugitive et l'aphasie mo
roite, symptômes du groupe de dou- leurs ont marqué le début de cet accident . Enfin, des symptômes de plusieurs groupes peuv
gastrique, annoncent en même temps l'invasion de cette forme. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 349 2. Période pa
temps, c'est-à-dire à onze heures et demie. A ce moment donc, DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 351 les quatre me
mais rarement, à l'état normal de la vessie (OBs. X), tantôt DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 353 laisse après
ont servi de sujets pour la constitution de cette forme morbide d' accidents spinaux a mis en évidence : A), des cortèges sy
ploi des scaphandres, et qui se prolongent au delà d'un mois, DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 355 c'est-à-dire
n faite du malade de l'OBSERVATION VI qui, le troisième jour de son accident , était complètement guéri ; en conséquence, le
cile à constater, soit et principalement, à l'aide du procédé DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 387 ordinaire , e
s de ce mem- bre n'étaient pas assez rigides pour en empêcher DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 359 la flexibilit
la fin de la quatrième semaine ou au début de la cinquième après l' accident paraplégique, le syndrome spasmodique commence
re à se compléter. La contracture passagère, la rigidité mus- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 361 culaire, la d
ion dans la généralité des cas au lieu de s'arrêter continue- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 363 rait son chem
para- plégie spasmodique peut en outre être enrayée par un nouvel accident paraplégique. En effet, au cours de cette march
ncée et qui avait repris son travail, survien- nent quatre nouveaux accidents paraplégiques à des intervalles rapprochés qui
ique était tout à fait le même qu'auparavant. Il est des cas où ces accidents paraplégiques intercurrents ne sont pas si comp
éprou- vait une sensation désagréable de picotements, depuis .DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 365 le genou jusq
SERVATION IX, le 10 juillet 1884, c'est- à-dire douze ans après son accident , avait encore de temps eu temps un peu de diffi
e 15 février 1885, c'est- à-dire neuf ans et demi environ après son accident , avait encore de temps en temps de la parésie,
malade, le 15 juillet 1886, c'est-à-dire environ treize ans après l' accident , contenaient une grande quantité de pus et de m
ainsi les signes d'un catarrhe vésical chronique qui a compliqué l' accident . e). Symptômes rectaux. Les troubles du rectum,
ssive de la maladie; ils diminuent, s'atténuent et finalement DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 367 disparaissent
ez le malade de l'OBSERVATION I qui, au moment de l'invasion de son accident , le 18 octobre 1885, avait de la rétention de s
sans remar- quer la myathrophie. Par cela même, ce caractère DES ACCIDENTS PAR L EMPLOI DES SCAPHANDRES. 3l3'J 11) négatif
13. Forme centrale spinale l'0511'sn0-LAllin.lLC. OusHRVADON XtV. Accident provoqué le 10 octobre 1882. Troisième immersio
auche, anesthésie, légère rétention d'urines. Le 4 novembre, il DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 371 1 marche à l'
1877 ; dès lors, il faisait régulièrement ses campagnes sans aucun accident , jusqu'au 10 oc- tobre 1882. Ce jour-là, il ava
es et demie. Une demi-heure après, i ! en avait déjà fait deux sans accident , à une profondeur de 24 à 25 brasses, dix à douze
des organes génitaux. Le 4 novembre, c'est-à-dire 3j jours après l' accident 372 q CLINIQUE NERVEUSE. durant lesquels il é
es émotions morales, de la fatigue, au moment du réveil, etc. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 373 Le tremblemen
heures, précédée d'une perte de connaissance de cinq minutes. 2° Accident survenu le 2 mars 1886, (t la quatrième immersion
régulièrement fait ses campagnes pendant deux années entières sans accidents d'aucune espèce, mais, le 4 juin 1885, à la cin
t il n'avait pas fait de repas avant l'immersion qui a occasionné l' accident . Pas de fatigue. Presque immédiatement après la
de son casque, il est pris de douleurs très intenses à l'épaule DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 375 â droite et e
es et ne se plaint de rien. Il dort bien, croyant avec raison que l' accident est fini. A son réveil, à peu près à 7 heures d
tous les petits moyens que les plongeurs mettent en usage en cas d' accident . Le 3 mai, la rétention a été suivie d'une inco
puis ce moment, nous avons perdu de vue le malade. Observation XVI. Accident provoqué le 20 janvier 1884 à la quatrième imme
ompres- sioiz. Il avait déjà fait une série de sept immersions sans accidents , vingt-trois à vingt-cinq brasses de profondeur
inutes d'intervalle entre l'enlèvement du casque et l'invasion de l' accident . Gonflement de l'estomac, accompagné de gène de
Gonflement de l'estomac, accompagné de gène de la respiration. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 377 Î A 4 heures
s campagnes pour la pêche d'épongés sans jamais avoir eu le moindre accident . Le 20 janvier 1884, après avoir déjà fait le m
0 janvier 1884, après avoir déjà fait le matin sept immersions sans accident , à une profondeur qui variait entre vingt-trois
il en fait trois dans les mêmes conditions que celles du matin sans accident aussi. Enfin, ayant vu beaucoup d'épongés à un en
-être a duré à peu près deux heures; ses compa- gnons ont cru que l' accident était fini. A 8 heures du soir, tout d'un coup,
base du thorax. Le 30 mars, ce qui fait juste deux mois depuis l' accident , il a, pour la première fois, rendu tout seul s
durant un temps variable, toutefois très court. On lui applique DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 379 q deux cautèr
et son pied droit est affecté d'anidrose. Il n'a pas sué depuis son accident . Il n'en est pas de même pour son pied gauche. La
. Les fonctions des autres organes sont normales. Observation XVII. Accident provoqué le 8 novembre 1882, qita- trième immer
- técédents héréditaires, ni personnels, pas d'impaludisme, pas d' accidents syphilitiques, pas de maladies antérieures. Il a
pagnes pour la pêche d'épongés jusqu'au mois de novembre .882, sans accident . Le 8 novembre, il a fait trois immersions sans
.882, sans accident. Le 8 novembre, il a fait trois immersions sans accident , vingt à vingt-trois brasses de profondeur et d
fois à une profondeur de sept brasses au commencement et peu à DES ACCIDENTS PAU L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. S81 1 peu, en péc
res organes paraissent se faire régulièrement. Observation XVIII. Accident survenu le 20 mai 1879, après la troisième imme
igne de Romberg. l'as de notion exacte de différentes positions DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 383 qu'on imprime
ouze ans qu'il a travaillé dans l'air comprimé, il a travaillé sans accidents jusqu'au 20 mai 4879. Ce jour-là, après avoir f
ôme céphalique. Rien du côté des autres organes. Observation XIX. Accidents du 5 mars 1873, première inznacn- sion, vingt-d
mbaires très vives, aphasie motrice, vertiges de translation. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 383 A 10 heures e
tes. Histoire. Le nommé N. Putsinas, âgé de 28 ans, n'ayant eu ni accidents syphilitiques, ni paludéens, ni maladies antérieu
omprimé au mois de mars 1878. Il a travaillé pendant une année sans accidents , quand le 15 mars 1879, il fait la première immer
il aurait fait un grand nombre d'immersions à cette profondeur sans accidents , la décom- pression ayant été isochrone, mais i
s mouvements de l'articulation des mots et il parle comme avant son accident . Pas de vertiges, pas de douleurs lombaires; il
es, pas de douleurs lombaires; il se croyait sauvé et considérait l' accident comme fini, mais son espoir n'a pas tardé à êtr
membres n'a pas changé. Le 23 mars, c'est-à-dire huit jours après l' accident , à son réveil, il constate qu'il pouvait remuer
aliques. Les fondions des autres organes paraissent régulières. DES ACCIDENTS PAR 1,'E)IPLOI DES SCAPHANDRES. 387 PATHOLOGIE.
la forme que nous venons de décrire, l'explo- sion de cette forme d' accidents spéciaux, tantôt se fait sans aucun intervalle,
ines et complètes. Enfin ajoutons, avant de finir la descrip- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 389 tion de ce sy
Des symp- tômes qui appartiennent à ce syndrome, les uns sont DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 391 de l'ordre de
t brièvement son mode d'invasion et ses symp- tûmes associés. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 393 a). Mode d'in
dès le moment de son invasion, accompagnée 39'1 CLINIQUE NERVEUSE. ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. de la monoplégie du* bras
rvation diffère un peu des nôtres au point de vue clinique, car les accidents procursifs qui précédaient et suivaient l'accès
es pratiquées jusqu'à ce jour, que dans l'épilepsie procursive, les accidents procur- sifs, certains mouvements de manège, de
es; aucun de leurs malades n'est signalé comme ayant présenté des accidents procursifs, mais il est noter que tous étaient
nséquent sont très variables. Le diagnostic nous paraît facile. Les accidents pro- cursifs, vertiges ou accès, diffèrent de l
s facultés intellectuelles, par le long intervalle qui sépare les accidents , par la perte du souvenir de l'ac- cident, etc.
t chez les hystériques, à la fin des séries d'attaques surtout, des accidents procursifs, un besoin de courir, mais ces accid
es surtout, des accidents procursifs, un besoin de courir, mais ces accidents ne consti- tuent qu'un épisode de l'attaque et
ux de l'appareil ner- veux, ce qui expliquerait le tremblement, les accidents du côté de la sensibilité générale et musculair
alentissement de la parole, troubles de la digestion, de la vessie, accidents gangreneux du décubitus, mort. Durée : huit ans
), et suivie quatre-ans plus fard de tabès lentmais progressif, les accidents atrophiques demeurant dès lors stationnaires. En
léser les méninges; 21 le tubercule solitaire ouvrit la marche des accidents , la tuberculose généralisée suivant bien plus t
rès opiniâtres. Un cas de fièvre d'ori- gine centrale. Deux faits d' accidents épileptiformes. - La moelle allongée, contenant
des nerfs secrétoires et vaso-moteurs, c'est d'elle que partent ces accidents . Observation de légère paralysie du radial droi
ments toniques, pour peu que les commémoratifs fassent mention d'un accident de ce genre. P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ
its, dont voici le décompte : deux morts-nés; deux, pneumonies; un, accident , étouffe; un, oxyures; un, entérite vermineuse
alcooliques. Sattier : Contribution à l'étude clinique de quelques accidents consécutifs à la z antérieure aiguë (paralysie
Ruban de Reis (dégénérescence du), par Meyer, 280. Scaphandres ( accidents causés par l'emploi des), par Catsaras, 145,
4 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
aiment sérieuses. Cependant, même dans ces cas, la monotonie même des accidents , leur retour systématique à des intervalles mesur
riches : si, en effet, on remonte dans le passé, on peut dire que les accidents nerveux d'aujourd'hui ne sont, en quelque sorte
ont, en quelque sorte, que la réédition, sous une forme nouvelle, d' accidents antérieurs. De trois à huit ans, — elle a donc
s attaques, tombe dans un profond sommeil. Voilà certes une série d' accidents qui, au premier chef, révèlent l'hystérie. Mais c
r..... (8 septembre 1888.) Inutile d'insister: il est clair que les accidents divers que présente notre malade sont hystériques
it israélite, et je relevais, à ce propos, combien, dans la race, les accidents nerveux de tout genre, entremêlés le plus souvent
ce qui s'est passé chez elle depuis un an ; d'ailleurs, en somme, les accidents d'aujourd'hui ne diffèrent en rien d'essentiel de
litaire. C'est l'occasion de relever une fois de plus la ténacité des accidents d'hystérie monasymptomatique.11 y a, en effet, pr
abcès se forma qui s'ouvrit spontanément. C'est huit jours après l' accident en question, alors que fa fièvre avait cessé comp
entraîné et où je tombetoujours du côté gauche : autrefois, avant mon accident , je ne rêvais jamais ; depuis, presque chaque nui
ent plus ; sans doute il n'a jamais été une forte tête, mais depuis l' accident il se trouve encore amoindri. — Il n'a plus de co
motion nerveuse, L'émotion nécessairement à peu près inséparable d'un accident qui souvent menace la vie, suffisent à produire l
les phénomènes de l'aura hystérique parfaitement caractérisés et les accidents qui la suivent représentent en quelque sorte, mai
s de vin. Jamais cependant ces doses énormes n'ont provoqué de grands accidents toxiques ; cela se bornait à de terribles colères
montrer jusqu'à quel point V..des était prédisposé antérieurement à l' accident qui a provoqué, simultanément sans doute, la neur
oc nerveux quelconque avec ou sans traumatisme, tremblement de terre, accident de voiture, ou au contraire du surmenage intellec
perdu connaissance, mais peut-être qu'elle était déjà malade avant l' accident , car son caractère depuis plusieurs jours était t
t la clinique ont à s'occuper de ces industries en raison de certains accidents principalement d'ordre nerveux auxquels se montre
u genre. Il y a longtemps qu'on a signalé pour la première fois les accidents qui peuvent survenir par le fait de l'action du s
ne et parmi les auteurs qui paraissent avoir les premiers reconnu ces accidents , il faut citer Duchenne de Boulogne et Bouchardat
1856 ; il est de Delpech et porte le titre suivant : Mémoire sur les accidents que développent chez les ouvriers en caoutchouc C
Tous s'efforcent à l'envi de bien établir les caractères spéciaux des accidents nerveux produits par l'action du sulfure de carbo
que temps, il a beaucoup perdu de ses forces et de son entrain. Les accidents qui l'ont amené ici, datent cependant de six sema
oyage d'une cuve destinée à contenir le sulfure de carbone, survint l' accident qui l'amène aujourd'hui devant nous. Il paraît
nous. Il paraît qu'il n'est point rare de voir survenir semblables accidents , pendant ce même nettoyage des cuves ou bassins à
t remarquez-le bien, cette prostration psychique date exactement de l' accident survenu dans la cuve au sulfure de carbone. Autre
'hui; souvent, en effeffort souvent,presque toutes les nuits depuis l' accident de la cuve,il est poursuivi par des loups, des li
ns toutes les formes de l'hystérie. Après avoir montré que tous les accidents nerveux relevés chez notre homme appartiennent sa
guer ce qui appartient à l'hystérie provoquée par l'intoxication, des accidents nerveux relevant directement de l'intoxication, e
et qui, lui appartenant en propre, méritent seuls de porter le nom d' accidents nerveux toxiques. • Maintenant que notre malade
est justement dans une affaire de femme qu'il est devenu victime de l' accident , ou mieux de l'attentat, dont nous allons, dans u
dans une discussion scabreuse et j'en reviens aux circonstances de l' accident déjà signalé. Donc, notre homme, qui alors comp
tions semblables à celles que nous venons d'indiquer à propos de de l' accident dont notre malade a été victime. Un homme présent
ujets ainsi frappés meurent huit jours'quinze jours, au plus, après l' accident (2). Or, vous voyez que notre malade a eu de la
re que, chez notre malade, dans les premières heures ou jours après l' accident , les symptômes ont relevé de la seule piqûre, tan
tre hypothèse de la piqûre supposée. Porté presque aussitôt après l' accident , à l'Hôtel-Dieu,Ch.....ey y fut admis dans le s
ts de ce membre. Au sortir de l'hôpital, six ou huit semaines après l' accident , il boitait encore, et il a éprouvé de ce côté un
estion, dans le temps où en conséquence du choc nerveux produit par l' accident , son état mental pouvait être comparé à celui des
ade cette symptomatologie s'était déjà réalisée immédiatement après l' accident : avant même son admission à l'Hôtel-Dieu. Je r
procède pas de gens nerveux et jamais il n'avait été malade avant un accident dont je parlerai dans un instant. Il a servi dans
ans lesquels nous venons d'entrer et étant donné la connaissance de l' accident du 19 novembre 1886, on peut en quelque sorte rec
a douleur mais à la faiblesse du membre. C'est six semaines après l' accident qu'il se présenta pour la première fois à la Salp
suffirait probablement d'enlever le bouchon pour mettre un terme aux accidents nerveux. Si, au contraire, le point de départ des
terme aux accidents nerveux. Si, au contraire, le point de départ des accidents est soit dans l'oreille moyenne, soit dans l'orei
nouveau trop et trop "souvent et bientôt apparurent de nouveau divers accidents qu'il est naturel de rapporter à l'abus des boiss
re héréditaire, créer de toutes pièces en quelque sorte, en outre des accidents à proprement parler toxiques, la diathèse nerveus
r le refus formel des parents de la jeune fille que sont survenus les accidents nerveux variés qu'il nous reste maintenant à décr
ue, symptômes qui bientôt sont suivis de perte de connaissance. Les accidents convulsifs se développent alors successivement su
nous a faite date du 16 novembre, trois jours après la première. Les accidents nerveux s'étaient rapidement aggravés : le malade
tteint de chorée ait une influence très marquée sur la production des accidents qui conduisent à la terminaison fatale, dans les
sme. C'est donc ailleurs, je pense, qu'il faut chercher la raison des accidents graves observés dans notre cas; déjà, tout à l'he
dès l'origine, les allures d'une affection grave, et s'accompagner d' accidents de fâcheuse apparence qui nous font redouter pour
i de l'opinion émise par nous mardi dernier à propos de la nature des accidents devant entraîner,suivant nous,l'issue fatale. Bie
ts devant entraîner,suivant nous,l'issue fatale. Bien évidemment, ces accidents -là ne relevaient pas d'une lésion organique appré
se apparaître comme conséquence du schock nerveux ressenti dans; un accident de chemin de fer. À savoir : paralysie agitante,
ente pas, sans doute, dans l'espèce, un fait de première gravité; les accidents nerveux dont souffre notre homme se montrent cepe
le mois d'août, c'est-à-dire depuis cinq mois, époque où a eu lieu l' accident que je vous dirai tout à l'heure. Avant d'en veni
qui le concerne personnellement. S'il est vrai qu'antérieurement à l' accident il n'a jamais souffert d'une affection nerveuse q
ui semble cependant, mais il n'en est pas bien sûr, qu'au moment de l' accident il aurait entendu un cri de détresse partant de l
e propos de relever ici cette amnésie relative aux circonstances de l' accident . Elle est à peu près la règle dans les grands sho
non seulement le souvenir de ce qui s'est passé depuis le moment de l' accident , jusqu'à son retour à la connaissance, t. Troub
endant une période de temps, plus ou moins longue, antérieurement à l' accident . Et à ce sujet, permettez-moi d'entrer dans une
édiocrement. Elle reprit connaissance peut-être trois minutes après l' accident . Alors je la fis se tenir debout et je constatai
rs les malades lorsque vous les interrogez sur les circonstances de l' accident dont ils ont été victimes. Ces circonstances, dan
férieurs. Il affirme que pendant ces vingt-cinq jours qui ont suivi l' accident , il ne ressentit, —- à part les douleurs liées au
combats et qui plus tard s'est trouvé comme chef de train mêlé à des accidents de chemin de fer, dont quelques-uns fort graves,
lquefois terrifiants. Ces rêves ne sont pas relatifs aux détails de l' accident dont du reste il n'a pas été témoin, témoin consc
ins ; ils ne portent même pas, chose assez curieuse du reste, sur des accidents de chemin de fer, dont il a dû cependant entendre
l'exemple d'un de mes amis, docteur en médecine, qui,à la suite d'un accident de chemin de fer (collision de trains), dont il a
axie ont été auparavant, pendant des années, tourmentées par tous les accidents de l'hystérie, par des accidents convulsifs entre
des années, tourmentées par tous les accidents de l'hystérie, par des accidents convulsifs entre autres. » Il faut ajouter que da
uatre ans. Il y a bien eu,vers cette époque-là, explosion de quelques accidents nerveux, tels que, étourdissements, nausées, bouf
es de chaleur alternant avec des frissonnements ; mais ce sont là des accidents vulgaires et qui peuvent se manifester sans accom
guérison date de vingt ans. — A l'époque de la ménopause apparition d' accidents hystériques, simulant un retour du mal vertébral
ui notre malade. J'ai voulu surtout appeler votre attention sur des accidents survenus chez elle récemment; lesquels accidents
re attention sur des accidents survenus chez elle récemment; lesquels accidents ont pu faire craindre une récidive du mal vertébr
ment à l'examen de notre malade. Je vous rappellerai en deux mots les accidents dont la malade se plaint depuis le 9 décembre der
se hystérique, vraisemblablement, a été mise en jeu dès l'origine des accidents liés à la ménopause : les phénomènes de compressi
duire, sous une forme plus grave encore peut-être, toute la série des accidents paralytiques d'autrefois. Or, messieurs, vous ne
ites les émotions morales, causes vraisemblables du développement des accidents nerveux. Il y a deux ans, en septembre 1886, lors
t pour effet de provoquer une stase veineuse susceptible d'amener des accidents . A cet effet, la courroie est percée de huit à
sujets, sains en apparence, bien entendu en dehors du tabès, certains accidents relevant de la suspension qu'il est impossible de
rès nettement bien qu'à des degrés divers. 5 enfin ont présenté des accidents de divers ordres qui ont motivé l'interruption de
fre ait été atteint, nous avons observé 38 améliorations, 7 échecs, 5 accidents . L'analyse des 38 cas,dans lesquels une amélior
éfices qu'ils sont appelés à retirer de la suspension. La forme des accidents tabétiques est plutôt à considérer : ainsi,les sy
lpêtrière, pendant ces deux derniers mois, nous avons vu survenir des accidents de divers ordres qui ont motivé la cessation du t
ée sur l'aisselle pendant l'application de la suspension. Voilà des accidents qu'il importait de signaler hautement et qui sont
en wagon pour se rendre de Dijon à Paris, il fut pris inopinément des accidents que voici: tout à coup se produisent dans l'oreil
Policlinique du Mardi 29 Janvier 1889 DOUZIÈME LEÇON S 1er Cas. Accidents hystériques graves survenus chez une femme à la s
à juste titre, lui imputer. Ceux-ci arrivent parfois à constituer des accidents morbides réellement sérieux et d'autant plus regr
naissons aujourd'hui. Le mutisme n'est pas, tant s'en faut, le seul accident hystérique que nous ayions à relever chez notre m
ces les plus fâcheuses, puisqu'elles ont provoqué la réapparition des accidents nerveux qui cette fois se sont produits sous une
. D'un autre côté, nombre de faits ont établi parallèlement que les accidents que nous signalons ne concernent pas seulement le
la population, l'affolèrent, et déterminèrent par-ci par-là, quelques accidents plus ou moins sérieux. La manie d'hypnotiser péné
eurs élèves pratiquèrent l'hypnotisme sur leurs camarades et quelques accidents nerveux s'en suivirent. Le principal du Lycée m
uant à Vhypnotisme produire sur eux-mêmes,ou sur leurs camarades, des accidents plus ou moins graves. Ainsi à Breslau, lors du pa
hysiques, etc. ; sans parler du shock nerveux produit dans les grands accidents auxquels ils sont particulièrement exposés, non p
de reprendre ses occupations Cependant, dès cette époque voisine de l' accident , ses nuits étaient troublées par des cauchemars.
s causes à action brusque, telles qu'on les rencontre dans les grands accidents , chute d'un lieu élevé, collisions de trains, ave
mélange d'hystérie, survenu chez une dame américaine à la suite d'un accident de voiture; voici l'abrégé de cette observation :
e la région du sacrum — Aucun phénomène hystérique. Sa santé, avant l' accident , était parfaite à tous égards ; pas d'antécédents
té droit (spasme glosso-labié). Enfin, dix-sept jours environ après l' accident , se manifesta une parésie du membre supérieur gau
loureuses du membre inférieur correspondant. Tels furent les premiers accidents nerveux qui ouvrirent la scène. Quelques jours pl
dant la céphalée remonte peut-être aux premiers jours qui ont suivi l' accident , seulement elle s'est fort aggravée par la suite.
affaibli par une maladie antérieure, devenir, quelques jours après un accident qui l'a, on le conçoit, profondément ébranlé, à l
inq fois des coliques de plomb. Depuis trois ans il n'a éprouvé aucun accident de ce genre. Pas de liseré saturnin. En 1884 il
, d'émotions ; il n'a pas fait la noce, et il n'a été victime d'aucun accident . Il paraît d'ailleurs qu'il est plutôt impassible
écembre 1888, deux mois environ Fig. 58 et 59. après le début des accidents . Voici l'indication des principaux faits relatifs
ne fait pas défaut dans la famille. Chez notre malade les premiers accidents nerveux de quelque importance se sont montrés il
ouvent, ainsi que j'ai eu maintes fois l'occasion de le signaler, les accidents hystériques convulsifs. Vous reconnaîtrez d'aille
ion où siège l'ovarie a souvent pour effet de couper court à tous les accidents , alors même qu'ils se montrent doués d'un haut de
que je vous l'ai dit maintes fois, une sorte d'antagonisme entre les accidents dit locaux de l'hystérie (hystérie locale), tels
s dignes d'être notées, en un mot, j usqu'à l'époque où est survenu l' accident , cause occasionnelle de la maladie dont.il souffr
teur de 10 mètres environ. Il perdit connaissance au moment même de l' accident et ne reprit ses sens que deux heures après ; il
oque à laquelle sans l'intervention d'une cause nouvelle, on voit les accidents nerveux se multiplier en même temps qu'ils s'accr
t degré d'intensité où ils se montrent encore aujourd'hui Ainsi des accidents neurasthéniques appartenant surtout à la variété
quittes pour la peur. On voit quelquefois ces gens-là au moment de l' accident porter secours aux autres blessés, puis regagner
1. Vibert. Etude médico-légale sur les blessures produites par les accidents de chemin de fer Paris, 1888. — Guinon. Les agent
articulièrement des affections du système nerveux déterminées par les accidents de chemins de fer; Erichsen, Page entre autres (2
sinistre, pâle, défiguré, ensanglanté tel qu'il était au moment de l' accident . H sent sa mémoire affaiblie, il est distrait,
as assez cependant pour ne pas continuer son travail. Tels sont les accidents nerveux d'ordre neurasthénique qui seuls ont régn
teint d'hémiplégie gauche ; les gens qui l'ont secouru au moment de l' accident assurent que cette hémiplégie existait dès l'orig
s on est conduit à rattacher l'apparition plus ou moins immédiate des accidents nerveux jusque-là nuls, inconnus ou pour le moins
attaques ou équivalentes d'attaques rêves époque du début des accidents nerveux T Laf...cque, plombier, 48 ans. V. 12
se, blepharospas-me û gauche, langue tirée adroite. 0 Rêve de son accident , voit des enterrements qui viennent de la gauche.
s enterrements qui viennent de la gauche. Début quinze ours après l' accident . La neurasthénie et l'hystérie se montrent simult
ésie droite. Aura, vertiges, per-tes de connaissance. Rêve de son accident , rêves d'animaux, éléphants, lions qui se présent
Attaques apoplec-tiformes (de sommeil), aura et vertiges. Rêve de l' accident , rêves d'animaux qui se présentent du côté gauche
auche. Les phénomènes neurasthéniques apparaissent aussitôt après l' accident . Les symptômes hystériques un an après. 1. Leço
Je vous l'ai présenté ici même, il y a un an environ, à l'occasion d' accidents nerveux analogues à celui qui nous le ramène aujo
a-t-on dit une fois, «un peu pâle» — c'est tout ; — d'ailleurs pas d' accidents épileptiques vulgaires dans l'intervalle des accè
ptembre se passent sans qu'on ait pu remarquer chez notre homme aucun accident nerveux. Il avait repris toutes ses habitudes, so
rticulés. M. C... qui était venu la chercher lui demanda si, malgré l' accident , elle pouvait venir faire l'accouchement ; elle s
il ne se rappelait ni sa chute, ni ce qui a suivi. Six heures après l' accident , il commence à retenir la phrase qu'il s'est ente
t psychique qui a été en cause ; toujours est-il qu'à la suite de cet accident , quoique devenue amnésique, elle a marché et caus
a donné naissance et surtout, après avoir paru immédiatement après l' accident , elle ne se reproduisent pas par la suite, sous f
assez curieuse, la mémoire s'est rétablie jusqu'à la minute même de l' accident ; il se souvient maintenant du bruit que l'échelo
nés, a commencé à ressentir tout à coup, il y a cinq ans de cela, des accidents gastriques en apparence des plus graves : douleur
de café ; inappétence absolue, grande prostration des forces,etc. Ces accidents ont continué tels quels pendant une dizaine de jo
ailleurs. Je ne connaissais pas alors le lien qui rattache ces divers accidents . Les crises gastriques ont disparu ; mais le mala
voici qu'un beau jour, sans que rien l'ait pu faire prévoir, tous les accidents disparaissent soudain « comme par enchantement ».
la maladie de Basedow où le début brusque et la brusque cessation des accidents constituent également un caractère clinique prédo
ris. 1868, p. 70-71. 4. Loc. cit., p. 195. ans après le début des accidents gastriques, sous la forme d'incoordination motric
t elles sont séparées par des intervalles parfaitement libres de tout accident nerveux ; pas de douleurs fulgurantes. Les réflex
s anomales. Il me semble que, dans ces derniers temps, la théorie des accidents gastriques tabétiques a été un peu embrouillée pa
udes les plus bizarres de façon à ce que l'accès simule, non plus les accidents de l'ulcère rond ou la simple gastralgie, mais bi
parler, de sens inverse, c'est-à-dire que les vomissements et autres accidents de la crise persistant, ce sont les douleurs qui
Ces faits, par une transition ménagée, nous conduisent à ceux où les accidents vulgaires de la crise à savoir,les douleurs, les
l'apparition brusque et la cessation également brusque des principaux accidents ; mais les intervalles libres ne sont pas parfaite
tie ratifiée par la description même que vous venez d'entendre de ces accidents gastriques, puisque, au milieu de tant d'anomalie
écit fort intéressant, dans lequel figurent en quelque sorte tous les accidents laryngés possibles du tabès, accidents permanents
rent en quelque sorte tous les accidents laryngés possibles du tabès, accidents permanents à savoir : voix rauque, dysphonique, c
, accidents permanents à savoir : voix rauque, dysphonique, cornage ; accidents transitoires et paroxystiques, à savoir : accès d
res surtout est fort remarquable, parce qu'il s'agit là en somme d'un accident plutôt rare dans le tabès. Vous n'oublierez pas q
férieurs mais encore les trajets nerveux du domaine 1. Voir sur les accidents laryngés tabetiques, les Leçons du mardi 1887-188
ce des soins hygiéniques qui lui ont été prodigués, nous avons vu les accidents d'ordre nerveux se modifier rapidement d'eux-même
traire, cette intoxication a joué seulement dans le développement des accidents pathologiques, le rôle d'une cause occasionnelle,
graphie de ce genre d'intoxication. Peut-on en dire autant des autres accidents nerveux, et en particulier de l'abasie qui se son
nt : dans l'intoxication par l'oxyde de carbone, il y a à relever des accidents immédiats parmi lesquels figurent le coma, puis l
pparaissant tardivement, à longue échéance, un mois peut-être après l' accident qui a déterminé l'asphyxie, à une époque où le su
d de la stupeur et enfin le coma précédant la terminaison fatale. Ces accidents -là ont été surtout étudiés en Allemagne (2). Ils
es restés, vous ne l'avez pas oublié, dans l'exposé des suites de cet accident , au moment où le malade, après une période amnési
e fixe. » Cependant il commença à se lever le deuxième jour après l' accident , et il put se promener un peu dans les salles de
rdict favorable : il guérira. Il guérira, vous l'entendez bien,de l' accident local, du syndrome; je ne parle pas ici pour le m
e con-tribuerontà relever lesforces prostrées.Simultanément, contre l' accident déterminé par « auto-suggestion » nous emploieron
victoire ; nous n'ignorons pas en effet combien dans la catégorie des accidents hystériques les résultats sont incertains, les ré
p..sonne n'a pas cessé de fréquenter, tantôt les hôpitaux lorsque les accidents nerveux dont il souffrait le laissaient à peu prè
dans la Revue de médecine, sous ce titre significatif : « De quelques accidents spinaux déterminés par la présence, dans la moell
e Genève 1886. — Sattler. Contribution à l'étude clinique de quelques accidents spinaux consécutifs à la tephromyélite antérieure
èvre typhoïde d'une extrême gravité. Pendant la convalescence, divers accidents se sont produits sur lesquels nous reviendrons pl
ère. Pana. Policlinique du Mardi 28 Mai 1889 DIX-NEUVIÈME LEÇON Accidents nerveux provoqués par la foudre. Messieurs, J
nerveux qui relèvent plus ou moins directement de la fulguration. L' accident dont notre malade a été victime, s'est produit le
ressenti les effets assez durement. Il y a longtemps que, parmi les accidents pathologiques que la fulguration t. M. Boudin.
ls où la mort survient après quelques jours, en sont quittes pour des accidents nerveux, en général bénins et de courte durée, pa
auparavant, je dois vous faire connaître ce qu'était le sujet avant l' accident du 7 mai. D... cy, c'est ainsi qu'il se nomme,
personne qui a reconduit Da..cy à son domicile, immédiatement après l' accident et par celle qui l'a vu le soir même, ainsi que l
lle partie de son corps et assiste en un mot à toutes les phases de l' accident . « Un homme observé par leDr Gabard fut très griè
et son intelligence resta intacte pendant les diverses périodes de l' accident . » « Un matelot à bord de la remorque Le Londre
e immédiate des foudroyés et sur l'absence totale de souvenir après l' accident , n'a trait qu'à la foudre vulgaire ou foudre en z
ntact de l'homme et le toucher même, assure-t-on, sans produire aucun accident de fulguration. Mais c'est là sans doute une exce
z typique, sur l'état mental que le malade a présenté à la suite de l' accident , à partir du moment où, reprenant ses sens, il s'
muer légèrement les parties naguère paralysées ; trois heures après l' accident , le malade put, en s'aidant du bras d'un de ses a
ée, au contraire, en s'aggravant de telle sorte que le lendemain de l' accident , lorsque le malade a voulu se lever, il l'a trouv
ui „en rien d'essentiel de ce qu'il était justement le lendemain de l' accident , alors que le malade, après une nuit agitée par d
prononcé dont il a été déjà question. Il est apparu le lendemain de l' accident , peu après qu'il eut reçu la malencontreuse-visit
ne peut-on pas dire qu'elles sont à beaucoup d'égards,comparables aux accidents de fulguration, tant par la soudaineté de l'événe
son origine. Après cela irons-nous, de suite, affirmer que tous les accidents névropa-thiques qu'on a observés dans ce cas, ont
rin qui, ainsi que nous l'avons expressément signalé, préexistait à l' accident . Et puis, il faut se demander si les premiers tro
, l'état mental du sujet pendant la soirée et la nuit qui ont suivi l' accident : égaré, terrifié, tremblant, pleurant comme un
victimes un terrain préparé, devraient déterminer ce développement d' accidents hystériques, tout comme elles détermineraient l'a
ie par courant électrique d'origine tellurique. Quatorze mois après l' accident , la guérison n'est pas encore parfaite. Malheureu
ien mettre en valeur : 1° Dans les cas de fulguration, en outre des accidents nerveux qui relèvent directement de la commotion
le mutisme, le bégaiement, certaines formes de tremblements et autres accidents qui appartiennent si fréquemment à la Symptomatol
ements. La chorée chronique ne figure pas, comme vous voyez, dans les accidents héréditaires. Cette histoire abrégée de nos deu
ion, à s'élever au-dessus des rangs les plus modestes. Les premiers accidents nerveux bien caractérisés qu'il ait éprouvés remo
erte de connaissance. La crise se calmait de temps à autre ; puis les accidents nerveux reparaissaient comme de plus belle. Penda
2 jours ; pendant ce temps le malade ne put pas quitter le lit. Les accidents nerveux, au bout de cette période, s'étant amendé
s caractéristiques contribuerait à démasquer l'origine hystérique des accidents . Il importait de vous signaler cetécueil,que vo
à la marche né parait pas être, comme chez la plupart des autres, un accident plus ou moins fugace ét transitoire, toujours de
substance grise, qu'il conviendra de chercher le point de départ des accidents ; il pourrait se faire aussi que les régions dite
répondant, soit à un temps d'arrêt, soit à une marche précipitée des accidents . Je passe au second cas qui, suivant moi, nous
itées par des rêves qui souvent le font pleurer. Le premier début des accidents actuels remonte à trois années; ils ont commencé
main qui,d'après les remarques de MM. Remak et Rotb, figure à titre d' accident fréquent parmi les troubles trophiques syringomye
abolies, notions du sens musculaire conservées. Le début subit des accidents constaté à deux reprises, leur guérison soudaine
r du 28 juin 1889, époque où le malade a été présenté à la leçon, les accidents hystériques les plus significatifs se sont accumu
nale des wagons-lits, à la suite d'une collision de trains, lors de l' accident récemment survenu à Velars, près Dijon. 71 06
ment survenu à Velars, près Dijon. 71 06s. — Collision de trains ( accident de Velars), Neurasthénie et hystérie consécutives
malaise, aucun trouble nerveux notamment, lorsqu'il fut victime d'un accident de chemin de fer dans les circonstances que voici
rmir. Il resta ainsi toute la journée du o septembre sur le lieu de l' accident , assistant au sauvetage et à l'enlèvement des vic
, il lui semblait entendre les cris des blessés, il revoyait tous les accidents du drame auquel il venait d'assister. Le lendemai
n de ses camarades, etc., tantôt il assistait à certaines scènes de l' accident de Velars. Parfois il avait des visions de chats
x approches du jour, vers 4 ou 5 heures du matin. Dix jours après l' accident , les blessures étant guéries, il put se lever et
ttribua tous ces troubles à la vie sédentaire qu'il menait depuis son accident et il se décida à reprendre ses fonctions de cond
s de conducteur. Au commencement du mois d'octobre, un mois après l' accident , il fit un voyage à Vienne. Pendant le trajet il
et que ses comptes étaient faux. Il s'excusa en disant « que depuis l' accident qui lui était arrivé, il n'avait plus sa tête à l
ainsi provoquée n'est pas suivie d'attaque. État mental. — Depuis l' accident dont il a été victime, le malade est triste, apat
a neurasthénie ont apparu chez Claw... trois semaines environ après l' accident dont il a été victime. Une céphalée constric-tive
st pas à l'origine de leur névrose. Les rêves effrayants auxquels l' accident dont les malades ont été victimes sert très souve
commotionné le moins du monde. Il a seulement éprouvé au moment où l' accident s'est produit, une frayeur plus ou moins vive, un
aralysie spasmodique n'a jamais été qu'ébauchée, c'est-à-dire que les accidents de la troisième période ne se sont pas complèteme
ans effort et sans douleur et évidemment de nature névropathique, des accidents qu'elle appelle des syncopes et qui paraissent bi
tées sans résultat ; nous ne pouvions compter sur une disparition des accidents par voie de suggestion. Les moyens employés ont é
isi d'une terreur folle, il se mit à courir jusqu'à son domicile. Cet accident fit sur lui une impression si profonde qu'elle ne
a guérison date de vingt ans. A l'époque de la ménopause,apparition d' accidents hystériques,simulant un retour du mal vertébral e
axie locomotrice progressive......: 231 DOUZIÈME LEÇON lor cas .— Accidents hystériques graves survenus chez une femme à la s
morphinomanie combinées . . .............. 419 DIX-NEUVIÈME LEÇON Accidents nerveux provoqués par la foudre........ . . 435
273, 274. Attaques hystériques, 7. — (Antagonisme entre les) et les accidents locaux, 7. — transformées, 13. (Voy. Hystérie,
et chorée. 114. Finkelstein, 119. Foudre. (Voy. fulguration). — ( Accidents déterminés par la), 435.— agent provocateur de l'
7. —Amau-rose,amblyopie, 164.— (Antagonisme entre les attaques et les accidents locaux), 7. — Atrophie musculaire, 403. — (Attaqu
sium dans 1'), 118. — (Bruits laryngés dans 1'), 4, 6. — (Cadence des accidents ), 5. — Champ visuel, 31, 159, 165, 423. — Chez le
es misérables,285. — Compression ovarienne, 275, 276. — Contagion des accidents hystériques, 11. Hystérie. ¦— Contracture avec
96. — (Hérédité dans 1'), 6, 35, 541. — (Influence du sommeil sur les accidents ), 4, 12. — La misère cause de l'hystérie, 403.
(Rachialgie dans F), 153. — Rêves, 292, 294, 389. — Tihythme dans les accidents , 5. — sénile, 162. —Spasme glosso labié, 49. — St
ssion), sur les phénomènes hystériques, 275, 276. Oxyde de carbone ( Accidents provoqués par 1'), 355. — (Amnésie dans l'empoiso
ladies nerveuses, 114. Rhythme. — dans le bâillement, 2. — dans les accidents hystériques, 15. — dans les tics, 15. Ribot, 94
ues. Sommeil. — dans le tic convulsif, 14. — (Influence du) sur les accidents hystériques. 4, 12. Sommeil naturel et sommeil
e quinine (dans le vertige de Ménière), 229. Sulfure de carbone. — ( accidents dus au), 43. —(Industrie du), 43. Sulfo-carboné
nfants, 29.— et neurasthénie, 29.— Intellectuel, 260. Suspension. — Accidents de la, 220. — Contre indications, 203, dans la my
5 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
ions, on relève l'existence d'un traumatisme à l'origine des premiers accidents , mais cela est loin d'être constant. Vient main
e rentrer de nouveau dans le service de M. Hanot (1888]. Aucun nouvel accident depuis cette époque, sauf que la jambe du côté ga
Le malade reconnaît qu'il a beaucoup changé de caractère depuis son accident de Pont-St-Esprit et l'apparition consécutive d'a
il à fracture, de la lésion du nerf médian, dans le développement des accidents . Messieurs, Je veux vous dire aujourd'hui que
rd'hui connaître l'hystérie, l'hystérie traumatique en général et les accidents d'hystérie traumatique locale en particulier, aus
rvice de M. Chaput (7 mars 1889), il y avait environ trois mois que l' accident dont il avait été victime s'était produit. M. Cha
alade du haut de son échelle, chute qui a été l'agent provocateur des accidents hystériques locaux ultérieurs. S'agissait-il là d
sans convulsions d'aucune sorte. Arrivons maintenant à l'étude de l' accident local déterminé par la chute et l'application con
ez un malade. Il est vraisemblable que, même après la guérison de l' accident local, les stigmates de la névrose persistaient.
mbien l'hystérie mâle est souvent tenace, difficile à guérir dans ses accidents épisodiques comme dans ses stigmates permanents.N
e ne sais, mais, en tout cas, retenez de ce fait que le pronostic des accidents de ce genre est loin d'être toujours bénin, et qu
l'hystérie est toujours là, en dépit de l'amélioration relative de l' accident local, (25 mars 1890). III. Des tremblements
parut dans la suite tous les deux ou trois jours. A la suite de cet accident , sa santé, qui auparavant était excellente, se mo
à travailler. Enfin, au mois d'octobre, c'est-à-dire un mois après l' accident arrivé à son enfant, débutèrent les acci-' dents
reur singulière que vous commettriez là. Aujourd'hui, la ténacité des accidents de l'hystérie mâle, surtout chez les sujets de la
présenter ce malade autrefois (1); il était devenu, à la suite de cet accident , un neurasthénique des mieux caractérisés. Notre
rrait attribuer un certain rôle dans le développement de ses premiers accidents nerveux, si l'on était mieux fixé sur sa date. Il
e, je rappellerai que le pronostic prétendu constamment favorable des accidents migraineux ne trouve pas ici sa justification ; c
r, ainsi que je l'ai depuis longtemps relevé, que quelques-uns de ces accidents , hémiopie, aphasie, parésie, crises épileptoïdes,
les régions pariétales, est la cause physiologique de la plupart des accidents . Mais il y a lieu de penser aussi que ces lésions
ur apparaît parfois dansées intervalles à l'état rudimentaire, et les accidents paralytiques, bien qu'atténués, persistent à un c
les accès proprement dits sont de longue durée, en même temps que les accidents paralytiques, bien qu'atténués, tendent à s'étern
du cas se révélerait dans tout son jour, par la concomitance d'autres accidents tabétiques caractéristiques. Par tous les dével
ien constituée, d'apparence assez vigoureuse et qui, en dehors de ses accidents migraineux, n'a jamais souffert de maladies série
déjà signalé du reste dans plusieurs observations du groupe, que les accidents paralytiques montrent une tendance prononcée à s'
cessus morbide. La périodicité des accès, la complète disparition des accidents dans leurs intervalles, du moins à l'origine, enf
rvation, ce caractère, en l'absence de toute marque, chez le sujet, d' accidents syphilitiques héréditaires ou acquis, ne suffît s
ptosis de peu de durée, il ne s'est plus produit chez la malade aucun accident ; tout est rentré dans l'ordre : actuellement, la
e avait 30 ans à ce moment. 1eraccès.— C'estalors qu'ont débuté les accidents actuels, il y a de cela 5 ans, en février 1885. L
Elle ne pouvait plus lire de cet oeil à la distance ordinaire. Ces accidents paralytiques durèrent pendant environ un mois. Ve
ble des parties atteintes. Evolution de co symptôme parallèlement à l' accident hystérique (paralysie, contracture) qu'il accompa
ons sur le danger des appareils inamovibles dans la thérapeutique des accidents d'hystérie locale. Messieurs, La leçon d'aujo
entre les mains de qui la malade se trouvait à l'époque des premiers accidents , a pratiqué des mensurations des deux membres inf
autrefois une attaque de mutisme. Plus tard elle présenta encore des accidents hystériques qui auraient pu faire croire à une ph
e fait, Messieurs j et n'oubliez point combien la connaissance de ces accidents d'hystérie locale est indispensable au chirurgien
llez voir maintenant, par l'histoire de la malade, comment ces divers accidents ont pris naissance. Fij. 18. — Œdème bleu du po
ttements dans les tempes et quelquefois se trouve mal. Le début des accidents actuels a eu lieu en juillet 1889, c'est-à-dire i
t là par une ligne circulaire caractéristique. Ici la filiation des accidents me paraît claire comme le jour. Il s'est produit
-il, à cette époque, une anesthésie complète des parties malades. Cet accident guérit soudainement, puis se reproduisit ensuite
t d'abord à cause de la disparition spontanée, rapide et complète des accidents et ensuite parce que nous constations la présence
hénomènes hystériques, est relatée dans divers travaux (2). Quant à l' accident local lui-même, je ne pourrais que répéter ce que
Paris, 1890). et dans les yeux l'histoire et" les caractères de cet accident de la névrose, encore inconnu hier et qui prêtera
e locale symétrique et enfin la mortification des parties. Ce dernier accident ne se produit jamais dans l'œdème bleu. J'ai à
la faire aujourd'hui que vous connaissez l'histoire naturelle de cet accident névropathique. Messieurs, je ne veux pas laisse
qui vient encore confirmer tout ce que je.vous ai dit au sujet de cet accident de l'hystérie locale. On peut reproduire artifici
c., grandes attaques, points hystérogènes. Elle a eu de plus quelques accidents d'ordre moins banal, si je puis ainsi dire, tels
trée dans mes leçons lorsqu'elle était en butte à quelques-uns de ces accidents . Enfin, elle est hypnotisable et, par les divers
hypnotique est loin de présenter toujours, en matière de guérison des accidents hystériques, ainsi qu'on semble le croire assez g
ette malade. Elle a présenté, pendant son séjour à la Salpêtrière, un accident tout particulier, une sorte de mouvement con-vuls
ssez grande quantité. On ne s'occupa du genou que deux mois après l' accident . Tout d'abord il se fléchit sur la cuisse, le tal
ées, obtuses, absolument sans instruction, qui réalisent deux types d' accidents d'hystérie locale les mieux caractérisés qui se p
ur gauche consécutive à un accouchement laborieux. — Prédominance des accidents dans le domaine du nerf sciatique poplité externe
que sous forme de léger picotement. La marche et la succession des accidents sont bien nettes chez cette femme. Pendant l'acco
67.) [Femme de trente-quatre ans. Trois grossesses antérieures sans accident . Quatrième accouchement pénible ; plusieurs appli
bles. La malade en était encore affectée trois ans après le début des accidents et l'atrophie surtout, à ce moment, était considé
'atrophie surtout, à ce moment, était considérable. Cette gravité des accidents est-elle due à l'intensité du traumatisme, qui a
éol, le 20 août 1883. Deux accouchements antérieurs normaux et sans accidents consécutifs. — Pas de maladies antérieures, sauf
les branches d'origine du nerf dans le petit bassin, se compliquer d' accidents graves, paralysie, atrophie musculaire, localisés
t parvenus à notre connaissance, nous n'avons trouvé mentionnée comme accident de la névralgie sciatique cette névrite localisée
e point aurait pu prêter à discussion chez cette malade. Les premiers accidents douloureux avaient débuté chez elle quelques mois
avons pu nous convaincre qu'il n'en était pas ainsi. Tout d'abord les accidents douloureux qui se sont produits après l'accouchem
u nous confirmer dans l'idée que la sciatique ne pouvait être due aux accidents pelviens. Il s'agit donc bien d'une sciatique sim
mort tuberculeux, et l'autre, employé de chemin de fer, est mort d'un accident , et deux sœurs dont l'une est morte à trente-sept
otilité. Cette légère hypoesthésie du membre entier fait partie des accidents déjà connus de la sciatique et est parfaitement c
de et sa soeur jouissent d'une bonne santé et n'ont jamais présenté d' accident nerveux. Arrière-grand-père. Frère, paroles i
Mère violente, colère, nerveuse. Deux frères et une soeur sans accident nerveux. Antécédents personnels.— Fièvre typhoï
3e ou de la 6e paire ne sont pas chose rare, tant s'en faut, car ces accidents figurent vulgairement dans la période préataxique
bulbe inférieur se prenne à son tour. On aurait alors à redouter des accidents graves qui se terminent invariablement par la mor
t aussi diabétique. Lui-même, d'un caractère calme, n'a jamais eu d' accidents nerveux avant l'apparition de la maladie actuelle
ent. La chute des paupières survint un an après le début des premiers accidents . Actuellement, le malade présente le faciès d'Hut
s « avalés de travers » ou encore passent par les fosses nasales. Cet accident n'arrive d'ailleurs pas très souvent. Le malade
orsqu'il voulut se lever et marcher, une soixantaine de jours après l' accident , que ses jambes étaient lourdes et le portaient d
Cet auteur donne avec quelques détails complémentaires la marche des accidents jusqu'au mois de mai 1890 et l'état actuel à cett
es, c'est le point de repère qui marque la nature syringomyélique des accidents , et sans la présence de ce (1) Voir plus loin,
r, tôt ou tard, la protection de l'Assistance publique. Sommaire. — Accidents nerveux secondaires dans le diabète eonstftu-tion
fait formelle, en 1864, dans son ouvrage intitulé: Recherches sur les accidents diabétiques. Il donne dans ce livre le signal d'u
ce qui est encore pis, les confisquer, comme cela est arrivé pour les accidents dont il est question dans ce chapitre ; car il es
urrait aussi jouer le rôle d'une cause à l'égard du développement des accidents nerveux. Il est difficile de faire un choix au
sorte de perturbation singulière, qui fait que dans l'histoire de ces accidents spinaux ou pseudo-spinaux du diabète, tout est bo
arlons tout d'abord de la maladie constitutionnelle cause de tous les accidents , parlons du diabète. Je dois vous dire que divers
e. — Rôle de ces deux agents dans le développement et l'évolution des accidents nerveux : cumul des agents provocateurs. Messie
t de bonne source, où il est représenté comme un « absinthique ». Les accidents nerveux que nous avons décrits plus haut à savoir
de cercle, comme on le voit chez les hystériques ovariennes, tous ces accidents sont considérés là comme relevant directement de
ence. En 1885, à l'âge de dix-huit ans, il est victime d'un premier accident traumatique. Mais les temps n'étaient pas encore
ut de trois semaines il était complètement guéri. En 1887, deuxième accident : comme employé à l'Entrepôt des vins, il était o
t reprendre son travail. Il importe de relever qu'à la suite de cet accident les effets du shock nerveux n'ont pas cessé de se
ulant sur lui. C'est sur ces entrefaites, deux mois environ après l' accident , que se manifeste la première attaque hys-téro-ép
naître : le grand ébranlement psychique (nervous shock) produit par l' accident du tonneau détermine un état nerveux permanent, q
l'incendie se rallume et nous assistons à une nouvelle explosion des accidents convulsifs un instant endormis. Au contraire, nou
l'expression de la vérité et que nous étions peut-être en présence d' accidents de meilleur augure. Or, il résulte de notre exame
ux nerfs précédents sans léser le faisceau pyramidal et réalisera des accidents morbides analogues à ceux que je vous faisais con
allez voir que, du côté maternel, nous sommes en pleine névropathie : accidents hysté-riformes chez la mère et chez une sœur de c
re qu'un épisode, isolé en apparence, mais relié en vérité à d'autres accidents névropathiques par les liens de l'hérédité et que
de se livrer à toute occupation suivie. C'est au milieu de tous ces accidents , il y a cinq ou six ans, que se produisit la chut
l'extrême vieillesse. A l'âge de dix-huit ans, il fut victime d'un accident sérieux. Ayant pénétré imprudemment dans une bara
années se passent, sans que le moindre symptôme vienne lui rappeler l' accident ; puis, tout à coup le 16 avril 1890, il y a just
, attitude qui était vraisemblablement celle du malade au moment de l' accident . C'est vous dire que si un projectile a pénétré
le se trouve confirmée par ce qu'on observe parfois dans ces sortes d' accidents . En définitive, la balle pénétrant dans le corps
endrer des phénomènes nerveux beaucoup plus graves que n'avait fait l' accident primitif. Vous trouverez des renseignements à ce
cerne, les renseignements sont également négatifs sous le rapport des accidents nerveux. Il n'a eu ni convulsions, ni évanouissem
it-il, à tous les jeunes gens passionnés pour le cheval. Ces nombreux accidents n'ont, du reste, aucun rapport avec le développem
utre qui relève de l'hystérie : ne savons-nous pas, en effet, que les accidents hystériques prennent volontiers le caractère vesp
x et trois semaines. Voilà les manifestations arthritiques, voici les accidents nerveux. Chagrin de ne pouvoir faire son servic
ment, incapacité de travail, céphalée frontale et sous-occipitale. Un accident la fit éclater : « Pris entre deux voitures venan
de tremblement nerveux ; la nuit, j'ai eu des cauchemars relatifs à l' accident , je me voyais écrasé. » Remarquez qu'il n'a pas m
té, de l'asile de Nanterre. Encore ceux qui ont une hémiplégie ou des accidents de cet ordre sont-ils les plus favorisés, en ce s
ille d'or) du service. suivant toute vraisemblance, la guérison des accidents nerveux sera parfaite. J'ajouterai que le cas o
nt, vous pourriez espérer, presque à coup sûr, vous rendre maître des accidents . Quels sont donc ces caractères qui permettent
st en cause; il y a pachyméningite gommeuse, et nous sommes menacés d' accidents cérébraux plus graves dont l'apparence clinique :
ommeuse qui, en raison de sa localisation particulière, a produit les accidents épileptoïdes, lesquels ont enfin appelé sérieusem
a tout lieu de croire, par conséquent, et d'après la chronologie des accidents et d'après leur nature même (rhinite, choroïdite)
ce genre une hémianesthésie hystérique soit survenue provoquée parles accidents syphilitiques, les lésions superficielles, comme
aque d'épilepsie partielle. Elle est sortie guérie, sinon de tous les accidents spécifiques, du moins des crises épi-leptiformes
héréditaire. peut espérer, vous disais-je, la guérison complète des accidents , pourvu que la médication instituée se montre, pa
t jadis, et peintre de céramique ; il est marié et père de famille. L' accident dont nous avons à étudier les suites fâcheuses re
ue de tout le mal. En effet, vous allez le reconnaître, du reste, ces accidents d'aujourd'hui n'ont, dans leur apparence clinique
ue le cœur et les viscères sont sains. Vous nous présentez tous ces accidents , allez-vous me dire, comme la conséquence de la s
us trouverions dans les antécédents du sujet, dans les prodromes de l' accident actuel, des caractères décisifs ? Tout d'abord,
arfait développement qu'elle éclaire d'une vive lumière la nature des accidents ultérieurs. Oui, cette même céphalée que nous rel
les terribles lésions artérielles qui ont abouti à la production des accidents que vous savez. Laissez-moi vous dire cependant
rons, vous disais-je, que la syphilis est en jeu. Il nia d'abord tout accident spécifique, mais il nous fit un récit qui devait
. Tout ce qu'on peut faire, c'est d'empêcher, d'enrayer l'évolution d' accidents ultimes qui pourraient venir assombrir encore une
ujours chose facile. Pour y parvenir, il vous faudra rechercher les accidents concomitants, tels que l'embarras de la parole, l
sans plus ample informé. L'ophtalmoscope vous montrera ici que cet accident relève d'une atrophie pa-pillaire à bords diffus
mbe. Aux renseignements fournis par l'anamnèse, si vous joignez les accidents actuels: paraplégie spasmodique, embarras particu
, 1884, p. 287.) chez cette malade. Ce début s'est fait au milieu d' accidents comateux rapportés au rhumatisme cérébral et à ju
rhumatisme articulaire aigu depuis douze jours, et chez laquelle des accidents cérébraux graves s'étaient déclarés depuis quelqu
as de sueurs nocturnes ; un peu d'ama igrissement depuis les derniers accidents . A la percussion un peu de sub matité avec rési
depuis cette époque, les règles ont été régulières jusqu'au début des accidents actuels, mais elles n'ont pas paru depuis le mois
fant bien portant. Pendant sa grossesse sont sur^ venus chez elle des accidents nerveux variés. Elle avait parfois la sensation d
ques de nerfs. La grand'mère est peu connue. Le grand-père est mort d' accident . La malade a une sœur qui est bien portante.
ion. Sa mère est morte à l'âge de cinquante-cinq ans, à la suite d'un accident . Elle était nerveuse, sujette à des colères viole
il à fracture, de la lésion du nerf médian, dans le développement des accidents . ... 29 III. Des tremblements hystériques.
ble des parties atteintes. Evolution de ce symptôme parallèlement à l' accident hystérique (paralysie, contracture) qu'il accompa
ons sur le danger des appareils inamovibles dans la thérapeutique des accidents d'hystérie locale..........95 vr. Hystéro-tra
III. Sur »in cas de Paralysie diabétique. 1 (Leçon). Sommaire. — Accidents nerveux secondaires dans le diabète constitutionn
e. — Rôle de ces deux agents dans le développement et l'évolution des accidents nerveux : cumul des agents provocateurs. . 285
6 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
gir sur des tissus ramollis dont la lésion augmenterait les chances d' accidents . On n'est pas, dans les cas de cette espèce, abso
le est d'une exécution difficile, qu'elle détermine assez souvent des accidents graves ou mor-tels, et qu'enfin dans un bon nombr
aisant deux ponctions successives, dont la première avait produit des accidents graves. Ces opérations destinées à remédier à l'o
ire entre ces deux moitiés du col, — Ce procédé a déterminé de graves accidents dans le seul cas oû son auteur l'ait employé. D
la crainte que la cicatrice ne se rompe au moment de l'accouchement, accident qui serait suivi d'une cystocèle beaucoup plus gr
rupture produite par l'accoucheur est l'application du forceps ; et l' accident peut alors avoir lieu de plusieurs manières. Tant
essaire naturel; je n'ai pas réussi; mais je n'ai eu à déplorer aucun accident fâcheux, a Sur deux des dix-sept autres femmes,
prêtent un mutuel appui, ce qui assure l'union complète et prévient l' accident le plus fréquent dans ces opérations, c'est-à-dir
nson a pratiqué cette opération dix fois ; dans aucun cas il n'a eu d' accident fâcheux à dé-plorer ; une fois seulement la réuni
orte et les y laisse fondre en entier, sans avoir, dit-il, constaté d' accidents sérieux à la suite de ce mode de traitement; voic
ui, à n'en pas douter, est son oeuvre. Mais il faut bien dire que ces accidents sont rares quand on fait attention aux contre-ind
térus en faisant d'abord une injec-tion d'eau tiède. S'il n'y a pas d' accidents , on passe à des solutions caustiques légères, et
it calibre pour ne pas boucher le col. Pour éviter plus siirement les accidents , Kennedy et récemment M. Avrard ont insisté sur l
que nous venons de décrire, il est bien rare de voir se produire des accidents de quelque gravité; les douleurs, quand elles se
'évaluait à 45 centig. seulement et en se bornant là il n'avait pas d' accidents . Vidal se servait de seringues de verre à longue
e d'argent très-fortes. Vidal avait fait près de 3oo injec-tions sans accidents à l'époque où cette question fut portée pour la p
fer, 2 à 4 grammes pour 5oo d'eau dis-tillée, il n'a pas eu d'autres accidents que des douleurs uté-rines et des accès d'hystéri
ns plus de cent cas, pour combattre la mé-trorrhagie, il n'a pas eu d' accidents et a presque toujours ar-rêté la perte. {IMorth (
e suraiguë et mortelle en vingt-quatre heures; M.Nélaton a eu le même accident à déplorer {Patholoi^ie chiruro-.^ t. V, p. 77^),
xaminer au micros-cope. Bien qu'elle ne produise habituellement aucun accident , elle provoque parfois des phénomènes nerveux qui
du redresseur; est-on fondé cependant à la nier dans tous les cas? Accidents occasionnés par les redresseurs. Ce fut un cas de
elles même entre les mains expéri-mentées de Valleix, tels furent les accidents qu'il mit en paral-lèle avec les succès annoncés.
inexpérience de plusieurs de ceux qui s'en sont servis, le nombre des accidents graves n'a pas été très-considé-rable, Valleix n'
ment les redresseurs lorsque la déviation détermine par elle-même des accidents graves, et ne peut être guérie d'une autre façon,
t tirer quand on s'en sert avec la prudence que commandent les graves accidents auxquels ils peuvent donner heu. Une sonde de f
eurs, plus la perforation de l'utérus et l'avor-tement; seulement les accidents sont beaucoup plus rares avec les sondes ; aussi
l'hématométrie, la physométrie, la pyométrie , l'hydrométrie, que ces accidents soient idiopathiques ou symp-tomatiques d'un canc
les journaux français de l'année 1854 contiennent des observations d' accidents ou de succès dus à l'emploi des redresseurs-utéri
dans l'utérus et il peut en ré-sulter des métrites. M. Sims a vu cet accident , je dois dire cependant qu'il m'est arrivé bien s
y mettant le temps et la prudence, nécessaires, on peut arriver sans accident à une dilatation très-considérable et suffisante
e tanche est fermé par une simple membiane, constitue au contraire un accident presque toujours mortel lorsqu'elle porte sur l'u
lation a lieu détermine la mort, soit par le marasme, soit par un des accidents dont nous venons de parler. 11 en résulte que l'i
ssité des plus évidentes, et qu'elle doit avoir lieu aussitôt que des accidents graves se manifestent. Quand le vagin est fort
issent comme dans l'état normal, et la stérilité peut dispa-raître. Accidents de cette opération. Les accidents immédiats sont
t la stérilité peut dispa-raître. Accidents de cette opération. Les accidents immédiats sont souvent nuls, parfois cependant l'
et que les liquides qui y stagnent s'altèrent, ce qui peut amener des accidents putrides et la suppuration. On prévient ces mauva
, s'il faut modérer des sécrétions séreuses ou séro-purulentes. Les accidents consécutifs sont la métrite, la péritonite, la sa
n des règles et la formation de la tumeur hypogastrique avec tous les accidents qui l'accompagnent elles doivent être opérées com
e l'atrésie de l'utérus ne s'est produite qxx après la ménopause, les accidents sont bien différents de ceux que nous avons décri
et par des gaz ; c'est la pneumo-hydrométrie. Le développement des accidents est lent ; il se peut même qu'avec une petite qua
se peut même qu'avec une petite quantité de liquide il n'y ait pas d' accidents bien prononcés ; le plus souvent des douleurs se
érie. Quand l'utérus est distendu et aminci au point de pro-duire ces accidents , on trouve quelquefois de la fluctuation dans sa
e dans les cas de flexions, de polypes, de rétrécissement, et que les accidents sont devenus urgents, on est obligé de pratiquer
bli-térée. Il est encore à noter que dans l'atrésie accidentelle, les accidents sont plus promptement graves et nécessitent plus
nt partiel des règles par l'anus ou par la vessie, parce qu'alors les accidents sont rarement très-graves. Si l'âge de la ménopau
ause approche, il faut aussi différer l'o-pération ; cependant si les accidents continuent, et il y a des faits de rupture même a
l'extension de l'incision jusqu'au corps de l'utérus ; sans doute ces accidents sont possibles surtout si l'on attend très-tard,
res, une pelvi-péritonite circonscrite. Si la femme qui a éprouvé ces accidents se marie, son état s'aggrave encore beaucoup. Une
séquence est la cen-icite interne et externe, puis Vendométrite ; ces accidents se développent surtout sous l'influence du mariag
onstances donnent plus de sécurité contre l'hémorrhagie et les autres accidents . Quand on a divisé un côté du col, on opère de mê
ment de Priestley, L'incision bi-latérale donne quelquefois lieu à un accident assez singulier, c'est le renver-sement des lèvre
te qu'elles se perdent pour ainsi dire dans l'insertion du vagin. Cet accident a été vu quand on avait incisé trop largement le
n. Cette marche rapide des plaies faites par l'écraseur préserve d'un accident grave, l'infiltration puru-lente, et cette immuni
force de la main ; on évitera ainsi la rupture de l'instrument et les accidents in-flammatoires auxquels cette rupture a plusieur
ampu-tation une plaie étroite, non écrasée, et qui ouvre la porte aux accidents ordinaires des surfaces saignantes. Paredle ré-fl
sur les fibres centrales et ensuite sur les couches périphéri-ques. Accidents observés dans Vamputation du col par écrasement.
placer, si on n'y apporte la plus grande attention, a causé de graves accidents tels que l'ouverture de la vessie entraînée dans
gaz enflammé, ne donnent que des résultats tellement faibles que les accidents produits par l'hypertrophie subsistent, et minent
péra-tion est un peu moins facile, mais on est bien plus à l'abri des accidents inflammatoires consécutifs. L'incision doit être
s souvent être supportés, et si l'on insiste ils peuvent produire des accidents graves. Les hyperIrophies sus-vaginales du col
s donc que les moyens de contention sont insuffisants pour rendre les accidents tolérables, il faut en venir à l'amputation du co
de que par écrasement linéaire, M. Huguier a perdu deux malades ; les accidents auxquels elles ont suc-combé ne paraissent pas se
moyens que l'art met à notre disposition ; elle détermine souvent des accidents graves tels que les convulsions. Dans les cas mêm
ue trois fois; toutes les malades opérées par excision ont guéri sans accidents ; au contraire, les trois pour lesquelles on se se
orer. M. Depaul a pratiqué l'excision vingt-cinq fois et n'a eu qu'un accident ; il a pourtant l'habitude d'abaisser l'utérus, ce
ion que présentent souvent ces tumeurs, l'hémorrhagie abon-dante. Cet accident peut être arrêté comme l'ont indiqué Atlee et Bak
montrée dans presque tous les cas. Plu-sieurs malades ont éprouvé des accidents du côté de la vessie ou du rectum; on comprend qu
ntérieure ou sur la paroi postérieure de l'utérus est la cause de ces accidents de voisinage. Ainsi tantôt il y a des en-vies fré
des en-vies fréquentes d'uriner, avec ou sans douleurs violentes; cet accident suit l'ablation des fibromes qui occupent la paro
et l'utérus avec les deux ovaires dégénérés ; l'opérée succomba à un accident qui paraît étran-ger à l'opération. Le premier su
ière à pouvoir la décou-vrir facilement, la survedler et remédier aux accidents qui peuvent s'y développer. 6** Soins consécuti
rur-giens diffèrent d'opinion sur les conséquences que peut avoir cet accident . Plusieurs fois on a constaté que de l'air enferm
ssibilité de faire des injections détersives, Hémorrhagie. C'est un accident des plus graves et des plus fréquents. Parfois le
ne inflammation ou une suppuration dans la région opérée. Parmi les accidents spéciaux à la gastrotomie pratiquée pour enlever
péri-utérines sont gênantes par leur siège, par leur volume, par les accidents qu'elles occasionnent; nous ne voyons pas que des
essource dans les cas où le rapide déve-loppement de la tumeur et les accidents auxquels elle donne lieu menacent directement la
eu menacent directement la vie. Plus la femme qui présente ces graves accidents est jeune, plus on est autorisé à opérer, parce q
ours lieu. L'âge avancé doit également arrêter le chirurgien, car les accidents cessent souvent alors d'eux-mêmes. 3° tumeurs f
nt plus grand sur le vivant que sur le cadavre ; il ne remarqua aucun accident produit par ce cathétérisme. Pour qu'il soit d'un
mer le gros intestin, au point d'en déter-miner l'occlusion, c'est un accident qui a été noté plusieurs fois. Relativement au si
é. La ponction pat le rectum a été proposée par M. Tavi-gnot. Les accidents auxquels la ponction abdominale a donne lieu sont
mpe de Fallope déplacée parla ro-tation du kyste ; on peut éviter ces accidents en s'assurant que la fluctuation existe bien au p
ponction n'est qu'une opération palliative destinée à remédier à des accidents urgents ; voyons quels en sont alors les résultat
que la constitution de la malade n'ait pas encore été altérée par les accidents que les grands kystes font naître; d'un autre côt
, toutes ces manœuvres seraient difficiles et donne-raient lieu à des accidents , qu'on a mis à tort, dit M. Boinet, sur le compte
re plusieurs précautions importantes, sous peine de donner lieu à des accidents très-graves. On com-mence par réintroduire la can
esse iodique d'une plus longue durée. Effets des infections iodées, accidents qu'on leur attribue. L'iode a modifié d'une maniè
t au plus en deux ou trois jours, ils disparaissent. Mais outre les accidents inhérents à la ponction, il en est qui semblent d
réservé avant d'at-tribuer à l'inflammation des kystes par l'iode des accidents qui sont dus simplement à des péritonites. D'autr
pas moins recon-naître que l'injection d'iode a parfois déterminé des accidents graves, et même mortels dans des cas, très-rares,
ions et 322 in-jections iodées, sans qu'il en soit résulté le moindre accident , ni au moment de l'opération ni dans la première
méthode avec une certaine vivacité ; M. Courty paraît croire que les accidents auxquels elle a donné heu l'ont fait abandonner ;
; dans d'autres cas d y a eu récidive, mais dans aucune il n'y a eu d' accidents dus à la méthode. M. Baker Brown emploie la très-
is a publié deux cas de guérison rapide par la sonde à demeure. Les accidents sur lesquels ont surtout insisté ces derniers obs
n iodée ne suffisent pas pour les guérir; mais sa longue durée et les accidents auxquels il peut donner lieu lui font souvent pré
M. Anderson, de Londres; dans l'un il y eut guérison après beaucoup d' accidents , l'autre ma-lade mourut peu de semaines après la
abdominale, implanta trois longues flèches de pâte de Can-quoin. Les accidents cessèrent promptement, les forces revin-rent; qui
er la tumeur lentement, de telle sorte que la femme n'éprouve pas les accidents qui accompagnent par-fois la sortie trop prompte
erdit une de ses opérées ; il inventa un instrument pour prévenir cet accident en maintenant solidement le kyste. Quelque sim-pl
ouvoir apprécier si les adhérences divisées laissent suinter du sang, accident qui donnera lieu à une péritonite mortelle, si l'
on abandonne le pédicule dans l'abdomen, ex-posent beaucoup plus aux accidents consécutifs, abcès, péri-tonite, hémorrhagies, et
voir cjue le perchlorure de fer est d'un puis-sant secours contre cet accident , et qu'il met bien à l'abri de la résorption puru
la résorption purulente et à la résorption putride. Pour prévenir ces accidents , il faut entretenir la plaie dans un état de pro-
ingtième au tren-tième jour à une guérison parfaite. Difficultés et accidents de Vopération. — Un des plus gra-ves accidents qu
aite. Difficultés et accidents de Vopération. — Un des plus gra-ves accidents qui puissent survenir après qu'on a entrepris l'o
t adhérente à la tumeur, elle peut être ouverte involontairement; cet accident est arrivé au docteur Marguerite du Havre ; la ma
e pour y passer deux doigts. La blessure de l'utérus gravide est un accident également très-grave, mais cependant pas toujours
ur de cette incision. Si l'on considère l'époque du développement des accidents , c'est surtout le deuxième et le troisième jour q
opération. Lorsqu'on s'aperçoit que la malade est sous le coup de cet accident , il faut la réchauffer prompte-ment par tous les
n et fut entièrement guérie le trente-deuxième. La tympanite est un accident fréquent, mais dont il ne faut pas trop s'effraye
Des ponctions avec le trocart d'un millimètre n'ayant pas empêché les accidents de se reproduire, il introduisit le doigt dans la
hérences et fit une incision à l'intestin. A partir de ce mo-ment les accidents diminuèrent et la malade se rétablit par-faitemen
gin, donna lieu immédiate-ment à la sortie d'un liquide fétide et les accidents cessèrent aussitôt. Dans le but de prévenir l'ext
tre avec M. Clay qu'il y a pourtant des relations entre la nature des accidents et la date de l'opération. D'après lui, dans les
'au neuvième ou dixième jour ; le douzième jour, on peut redouter les accidents dus au relâche-ment ou à la chute des ligatures d
e la lon-gueur du pédicule, le traitement qu'on lui a fait subir, les accidents qui ont occasionné la mort, etc. Clay, sur ses 39
fran-çaise. 1838. F. Rose. Injections de teinture d'iode, suivies d' accidents . Union médicale de Paris, 1868, n"« 15 et 25. M
7 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
chercher certains signes qui permettraient de prévoir les crises, les accidents , l'issue de la maladie, et de fournir des indicat
re, à l'aide d'une lésion traumatique. Elle reproduit à merveille les accidents variés de la thrombrose et de l'embolie. Elle acc
d. se. May 1865. vements du cœur. Elle détermine à volonté tous les accidents de l'urémie. Grâce à de certaines lésions du syst
oire, pénétrer dans les vaisseaux d'un petit calibre, et produire les accidents souvent redoutables de l'embolie capillaire. A un
t., p. 873. indices, s'il veut ne pas se laisser surprendre par des accidents complètement imprévus (1). Mais il est temps de
apyrexie complète. La mort a lieu presque toujours a la suite de ces accidents . M. Cornil a publié, dans les Mém. de la Soc. de
fin, dans les cas de goutte ab-articulaire, on voit se manifester des accidents variés, qui paraissent liés aux mêmes conditions,
un dépôt. Ce dernier phé-nomène est-il la cause ou la conséqueuce des accidents qui l'accompagnent? Question difficile à résoudre
ce d'un tophus de l'oreille ; cependant jamais le malade n'avait eu d' accidents articulaires à l'époque où il me consulta. Garrod
Ces faits exceptionnels ne sauraient infirmer la règle générale. Les accidents articulaires précèdent presque toujours la format
'il s'agit de lésions tout à fait superficielles, surtout lorsque ces accidents n'ont point eu une issue funeste. 11 ne semble pa
complètement défaut, en raison même de la facilité avec laquelle ces accidents se dissipent dans la majorité des cas. Cependan
observations di-gnes de foi. Certains de ces faits se rattachent aux accidents gastriques de la goutte; ils appartiennent à Diet
symptomatologie. On peut rapporter à cet ordre de causes plusieurs accidents qui figurent assez souvent dans le cortège synipt
ain nombre d'années, mais qui, tôt ou tard, se révèle par de nouveaux accidents . S'il existe des cas de goutte passagère, marqués
sculaires, et les articulations qui sont le siège do prédilection des accidents fluxionnaires. Ces douleurs se mon-trent brusquem
n au déclin. 3° L'absence de suppuration. 4° Le siège spécial des accidents qui se localisent de préfé-rence au gros orteil.
bord les déviations que peut subir la goutte par rapport au siège des accidents articulaires. D'une manière habituelle, ou, pour
utres jointures ; et sur ces 373 cas, il en est 341 dans lesquels les accidents étaient mono- articulaires. 11 est évident qu'a
xysmes successifs de M. le profes-seur Trousseau. Combien de fois ces accidents n'ont-ils pas été rapportés au rhumatisme articul
ne se produit qu'un accès tous les deux ou trois ans. Plus tard, les accidents reviennent annuellement; ils se manifestent ensui
ertain point, pourquoi les intervalles des accès sont remplis par des accidents abarticulaires plus ou moins sérieux, — des palpi
tion moins vive au mo-ment des accès, et dans leur intervalle par des accidents viscéraux plus prononcés. B. Quand au contraire
mains ; c'est la forme fixe primitive de la goutte, dans laquelle les accidents locaux dépendent presque exclusivement de la prés
le début de la maladie; et deux ans plus tard, le sujet éprouvait des accidents épileptiformes et mourait dans le coma. Chez un
tée par ïraube, il existait de l'albuminurie un an après les premiers accidents , et le corps était déjà couvert de tophus. Nous
vulsions épilepti-formes peut devenir goutteux, et que laguérison des accidents nerveux peut quelquefois s'ensuivre; Garrod en a
issent et disparaissent subitement ; elles peuvent coexister avec les accidents articulaires, les précéder ou les suivre; mais, d
donne le nom de goutte larvée ; lorsqu'au contraire elle succède aux accidents du côté des jointures, elle reçoit celui de goutt
parlant de la dyspepsie habituelle aux sujets goutteux, ainsi que des accidents nerveux qui l'accompagnent. 1. Bail. — Thèse po
oncrétion tophacée de l'oreille externe, et la marche ulté-rieure des accidents vint confirmer complètement notre ma-nière de voi
Mais la science possède huit à dix observations dans lesquelles ces accidents se sont terminés par la mort. On a rencontré à
s, de la dyspnée, une ten-dance syncopale ; on voit se manifester des accidents cérébraux qui prennent la forme d'une apoplexie,
es avec les affections du système nerveux ; autrefois, la plupart des accidents de ce genre étaient attribués à la goutte ; aujou
arement ainsi dans le rhuma-tisme. Il ne faudra point confondre ces accidents cérébraux de la goutte avec le delirhim tremens,
il existe une alternance manifeste des symptômes thoraciques avec les accidents articulaires. M. le docteur Vigla en a rapporté
et de rémission, qui correspon-dent à la disparition et au retour des accidents articulaires. 1. Bail, — Thèse de concours pour
cale, d'après les règles que nous avons sui-vies jusqu'à présent; ces accidents sont fréquents, il est vrai, chez les goutteux, m
e rhumatisme subaigu, noueux et blennorrhagique, provoquent les mêmes accidents . Enfin, M. Garrod, dans un article récent (1), a
HUITIÈME LEÇON Affections concomitantes de la goutte. Sommaire. — Accidents qui paraissent liés à la diathèsc goutteuse. — An
euses abarticulaires ne m'a pas permis de vous entretenir de certains accidents qui paraissent égale-ment relever, d'une manière
par les tra-vaux de M. Marchai (de Calvi), qui a nettement dégagé les accidents diabétiques de ceux qui relèvent de la goutte, ce
est considéré comme accidentel par Garrod et M. Trousseau ; mais les accidents de ce genre, lorsqu'ils sur-viennent dans le cour
enal diseuses, p. 211, 2848. — Marchai (de Calvi). Recherches sur les accidents diabétiques, Paris, 1854. 1. Trousseau.— Clin,
de goutte. Elle prend volontiers le caractère scorbutique (2). Ces accidents , propres aux. goutteux cachectiques, s'expli-quer
dans les conditions ordinaires. 11 faut remarquer, cependant, que les accidents inflammatoires réveillent presque toujours la pré
, loc. cit. p. 354.— Price-Jones. Med.Times, 1855. p. 66, t. I. des accidents cérébraux dont l'intensité est hors de proportion
re dans l'urine des goutteux; ils ne s'en aperçoivent que lorsque les accidents habituels du diabète, la polyurie, la soif, l'ama
mais la fré- 1. L'Union médicale, 1856, n° 29 — Recherches sur les accidents diabé-tiques, etc., loc. cit., p. 469, 409(1864).
fections du système nerveux, étudier la trans-mission héréditaire des accidents , et leur répartition chez les divers membres d'un
cas, que lorsqu'il s'agit du diabète ordinaire; on voit survenir des accidents gangreneux, et la phthisie pulmonaire. Cepen-dant
ue à 48 ans Vit encore (60 ans.) Mort dans le délire. Mort d'un accident . Mort d'une cirrhose. Mort phthisique à 'i8 a
n ; et à plus forte raison, lorsqu'il existe de la gravelle. Mais cet accident peut être provoqué par des causes entièrement ind
la gravelle chez un goutteux atteint de concrétions tophacées. Les accidents occasionnés par la gravelle s'entremêlent avec ce
des coliques néphrétiques et de l'irritabilité de la vessie. Tous ces accidents , qui peuvent coïncider avec la gravelle, n'en son
partiennent au sexe féminin. C'est à l'époque de la ménopause que ces accidents se développent de préférence, ainsi que le fait o
jeté dans le torrent circulatoire explique les troubles nerveux, les accidents dyspeptiques et les autres accidents prémonitoire
plique les troubles nerveux, les accidents dyspeptiques et les autres accidents prémonitoires qni précèdent immédiatement l'accès
édés d'un travail inflammatoire, et s'ils déterminent quelquefois des accidents de ce genre, c'est uniquement à titre de corps ét
ents. 8° Mais pourquoi cette vive douleur qui inaugure la série des accidents articulaires? On ne saurait l'attribuer à l'in-fl
comprend aisément toute l'importance de ces faits au point de vue des accidents viscéraux de la goutte; mais, ce qu'il est moins
des ; souvent elle déter-mine des rétractions musculaires et d'autres accidents . On peut en distinguer deux espèces. Tantôt pri
te, une péricardite, par exemple. La fièvre peut aussi précéder les accidents qui se dévelop-pent du côté des jointures ; mais
pro-jetés dans le torrent circulatoire, ils vont au loin produire des accidents variés. Il faut distinguer ici les accidents pr
t au loin produire des accidents variés. Il faut distinguer ici les accidents produits par le déplace-ment de concrétions volum
re a été rapporté par Kirbes. On voit quelquefois se développer des accidents analogues, bien que les principales artères du ce
ne cicatrice aplatie. E. Le foie lui-môme n'est pas à l'abri de ces accidents ; mais ils ne se développent que rarement dans ce
des sujets cachectiques. La congestion pulmonaire rhumatismale, cet accident si formidable qui expose les malades à une mort p
es profondes qui existent entre l'encéphalopathie rhumatismale et les accidents cérébraux de la goutte. La folie rhumatismale, dé
uve assez souvent associée aux formes sub-aiguës du rhumatisme. Des accidents de cette espèce on été signalés dans le rhu-matis
chaleur, qui caractérisent aussi le rhuma-tisme aigu ; seulemen! les accidents offrent ici une moins grande intensité et sont in
'atrophie des muscles et l'amaigrissement des parties molles sont les accidents les plus ordinaires en pareil cas. Mais on peut
int. B. Au point de vue de la réaction générale et de la marche des accidents , il y a lieu de reconnaître deux formes essen-tie
de la maladie peut, comme nous l'avons vu, être lent, insidieux, les accidents restant localisés, à l'origine, sur une seule joi
e. VI. Les causes pathologiques agissent souvent à la manière des accidents extérieurs. On voit le rhumatisme articulaire aig
e noueux, dans lesquels les poussées d'érysipèle ont alterné avec les accidents articu-laires. Quelques faits tendent à établir
st presque instantané et qui, s'ils produisent quelque-fois de graves accidents , sont souvent sans aucun danger réel. Tels sont l
mmense soulagement, sans aucun dommage, et tantôt détermine de graves accidents , qui peu-vent entraîner la mort. Personne, du res
Il est incontestable que lorsqu'il est imprudemment admi-nistré, des accidents fort graves peuvent en être la consé- quence. Q
s, et même provoquer, dans des cas d'affection rénale, l'apparition d' accidents urémiques. On devra surtout redouter les accident
le, l'apparition d'accidents urémiques. On devra surtout redouter les accidents de ce genre, lorsque la goutte est déjà ancienne
ce rapport, et nous n'avons mémo pas le colchique pour combattre les accidents les plus pres-sants de la maladie. Dans les cas
usieurs mois. Sous son influence, on n'a jamais vu survenir aucun des accidents de l'intoxication iodique (1). X?arsenic a été
inture ammoniacale do gaïac, qui produit d'a-bordune exaspération des accidents locaux, puis une améliora-tion notable : la mobil
un cas observé par M. Bartels, el en même temps, il s'est produit des accidents graves presque immédiats, et qui ont pu faire cra
C'est, d'ailleurs, dans des conditions semblables que se produit l' accident redoutable si connu des médecins de l'ar-mée angl
e, l'élévation de la température peut, par elle- mémo, produire des accidents graves et constituer un danger. Remarquons d'ab
écente du Dr Magnin renferme la substance de ces leçons. (De quelques accidents de la lithiase biliaire. Paris, 1869). Œaiicot.
cères, une altération matérielle récente capable de rendre compte des accidents terminaux et de l'élé-vation de la température.
cente, mais, dans le plus grand nombre, rien n'est venu expliquer les accidents de la fin. Je n'aurais pas, messieurs, rappelé
nalogie, quant à la forme et aux conséquences, entre ces accès et les accidents correspondants de la paraly-sie des aliénés. La m
ion, Mais il n'existait aucune lésioifrécente capable d'expliquer ces accidents (Fig. 25). Fig. 25. Tout à l'heure, je ferai
l dans l'histoire des maladies, qu'à titre de phénomène épisodique, d' accident le plus souvent transitoire. Ajoutons qu'une sign
. Voyez sur ce sujet l'intéressant mémoire de M. A. Guérard : Sur les accidents qui peuvent succéder à l'ingestion des boissons f
lapsus peuvent conduire rapidement à une issue fâcheuse. Ce genre d' accidents s'observe très communément dans les cas les plus
a3 mouvements, ou même réduits à une immobilité complète. Tous ces accidents , dans la majorité des cas, se développent sans fi
nt. La grossesse se passe bien du reste ; l'enfant vient à terme sans accident ; il a aujourd'hui dix-huit ans, et il se porte b
égère exacerbation des douleurs, l'accouche-ment se fait à terme sans accident ; la malade n'allaite pas, les suites de couches
?). — Habi-tation humide. — Bronchite chronique à 47 ans. — Début des accidents rhumatismaux à 59 ans. — Envahissement rapide des
corps étant en sueur, comme ayant provoqué l'apparition des premiers accidents , qui se manifestent souvent, au contraire, peu de
vingt-trois ans, elle devient grosse ; elle accouche à terme, et sans accident , d'un enfant, bien portant d'abord, mais qui meur
Habita* lion humide ; première manifestation rhumatismale. — Nouveaux accidents sept ans plus tard, suivis de déformation articul
ntré à l'hôpital pour une colique saturnine de moyenne intensité. Les accidents saturnins à peine éteints, il se développa tout à
a Gazette hebdom., n° 27, 1863, p. i33. Y. Goutte consécutive aux accidents saturnins (1). M. Charcot, h propos du rapproch
es, rappelle qu'il n'est point rare de voir la goutte consécutive aux accidents saturnins. En ces derniers temps, il a eu sous le
l'hérédité ne paraît avoir joué aucun rôle, mais tous deux ont eu des accidents saturnins et y étaient constamment exposés par le
de voir la rareté de la goutte dans les classes les plus exposées aux accidents satur-nins. 11 suffit d'admettre que la goutte so
la goutte soit, comme l'encé-phalopatliic saturnine, par exemple, un accident relativement rare de cette intoxication. VI.
connaissance, fit connaître que de temps à autre, il souffrait de ces accidents depuis l'époque où cette toux s'était manifestée.
chenschrift, une observation due à Sommerbrodt. Un malade souffrait d' accidents epileptiform es accompagnés de sensations laryngé
, son extirpation fut décidée. Le malade guérit complètf-ment, et les accidents cpileptiformes ne reparaissent plus. VII. Alt
ou comateuse ; et il est au moins très vraisemblable que bon nombre d' accidents cérébraux qu'on rapporte à la goutte remontée ou
porte à la goutte remontée ou mal placée, ne sont autre chose que des accidents urémiques subordonnés à l'affection rénale qui se
carifiées avaient été appli-quées aux tempes, alors qu'existaient les accidents cérébraux, le sang obtenu fut examiné : on y trou
uvera signalés, chemin faisant, particulièrement au chapitre XIV, les accidents plus ou moins graves qui peuvent survenir chez le
indre, dans la goutte, de voir les préparations opiacées produire des accidents de ce genre,lorsquelamaladie est déjà de date anc
duits à dose très-fortes dans le torrent circulatoire sans produire d' accidents graves, les sels de potas-se injectés dans le san
s Archiv et Ganstatt's Jahresber., p. 169, ad. IV, 1864). (p. 490). Accidents qui simulent la goutte remontée à l'estomac. —- L
tels que le colchique par exemple, ont dû simuler plus d'une fois les accidents de la goutte remontée à l'estomac. Ou pourrait
ope et suppression momentanée du pouls (Hervez de Chégoin) ; certains accidents apoplectiformes, accompagnés parfois d'une hémipl
d sur les jointures envahies par l'inflammation goutteuse (p. 562). Accidents urémiques dans la goutte. — Nous avons fait obser
us avons fait obser-ver déjà (voyez la note p. 275), que bon nombre d' accidents cérébraux qu'on rapporte à la goutte remontée ou
pporte à la goutte remontée ou mal placée ne sont autre chose que des accidents urémiques, subordonnés à l'affection rénale qui s
e recher-ches. On sait que dans la maladie de Bright ancienne, où les accidents gastrique sont si communs, les liquides rendus pa
e déclara sur l'un des gros orteils au lieu d'élection ; aussitôt les accidents gastriques disparurent. (Voyez la note page 248).
r soit agité par des soubre-« sauts, ou qu'il roule sur lui-même. Ces accidents sont peu « douloureux et le cœur continue à fonct
« intense et peu prolongée. Je ne connais pas un seul fait où « des accidents de cette nature aient été suivis d'une affection
e Lancet, 22 novembre 1851) a signalé la remarquable fréquence de cet accident chez les gout-teux (p. 579). On peut rapprocher
vie de compression de la moelle, a été le point de départ de tous les accidents . — Consultez, sur ce sujet, Bail, Du rhumatisme v
élevées et aussi longtemps maintenues,, je n'ai jamais vu survenir d' accidents capables d'inspirer la moindre inquiétude; et en
lusieurs mois. Sous son influence, il n'est jamais sur-venu aucun des accidents de l'intoxication iodique. (Archiv. génér. de méd
que, goutte à trente ans; puis obésité; diabète. Mort à la suite d'un accident traumatique. — 4e fils : Excès alcooli-ques, obés
e tremblement a paru en 1869, à la suite d'une peur déterminée par un accident de voiture : elle faillit être écrasée. Quinze jo
...... 87 HUITIÈME LEÇON AFFECTIONS CONCOMITANTES DE LA GOUTTE. Accidents qui paraissent liés à la diathèse goutteuse. — An
............... .................... 436 V. Goutte consécutive aux accidents saturnins..................... 458 VI. Goutte e
lpitations de cœur, 5 ; — catarrhe bronchique, 75 ; — aggravation des accidents par les écarts de régime, 75; — douleurs articula
onctionnelles, 65;— autopsie dans %d. des Vieillards. 39 le cas d' accidents gastriques, 65; — hemorrhagic cérébrale dans le c
— vins, 143; — in-fluence du saturnisme, 144, 528; — consécutive aux accidents saturnins, 145; — mécanisme de l'action du plomb,
8 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
er plus loin la raison des troubles observés; à l'origine de tous les accidents , il y a un traumatisme, et ce traumatisme a porté
paralytiques et atrophiques. Pour ce qui est de la persistance des accidents deutéropa-thiques (paralysie et atrophie) après l
ux pourraient nous échapper d'ici quelques jours ; chez d'autres, les accidents que je tiens à relever sont de ceux qui s'effacen
mbre. Or, le 16 mai, c'est-à-dire il y a cinq jours, est survenu un accident qui nous a démontré que l'hystérie n'est pas enco
nt pas, tant s'en faut, les ;eules causes qui puissent amener de tels accidents . Il est bien établi, en effet, que les lésions
: rouge, bleu, etc. (Philosophical transactions, 1870, p. 247. Des accidents divers peuvent se produire ; ainsi, comme je l'ai
Enfin, une combinaison peu commune est celle dans laquelle ces mêmes accidents de la migraine figurent parmi les accidents prodo
e dans laquelle ces mêmes accidents de la migraine figurent parmi les accidents prodomiques congestifs delà paralysie générale pr
notre clinique, depuis quelques semaines, et qui présente une série d' accidents nerveux assez intéressants. Tous ces accidents, c
i présente une série d'accidents nerveux assez intéressants. Tous ces accidents , comme vous le verrez, doivent être rapportés à l
près d'une péricardite consécutive à la scarlatine; mais sans que les accidents nerveux se fussent reproduits. Parmi toutes les
souvent le malin plaisir de faire naître par ce moyen très simple les accidents convulsifs ; un forte pression arrête d'ailleurs
ectable, sans doute, mais qui contribue certainement à entretenir les accidents et à les maintenir dans leur régularité. Il n'e
, et qu'on peut lui appliquer le pronostic relativement favorable des accidents de cet ordre, qu'on peut espérer, en d'autres ter
ues (sclérose descendante cérébrale ou spinale), on peut voir le même accident se produire à la suite d'un traumatisme ; mais da
tion qui résulte de la comparaison de ces observations, c'est que les accidents hystériques, chez l'homme, apparaissent le plus s
occupant la partie inférieure de l'avant-bras et le dos de la main. L' accident n'a pas causé trop d'émotion, paraît-il. D'autre
que, c'est là une circonstance exceptionnelle. Quelques jours après l' accident , dit-il, son bras était lourd, ses doigts diffici
ute autre nature. Déjà, dans les premières semaines qui ont suivi l' accident , il s'était manifesté dans le membre inférieur ga
ement de la douleur. Ajoutons que, lorsque trois mois environ après l' accident la douleur eut cessé à peu près complètement, l'i
environnants. A peine au bout d'un nouveau mois, le cinquième après l' accident , pouvait-il faire quelques pas dans la chambre, e
ut et n'ont pas encore reparu à l'heure actuelle. Voilà une série d' accidents qui, je le répète, accusent incontestablement l'e
is eu de rhumatisme articulaire ; pas de battements de cœur avant son accident , ni depuis. Disons tout de suite qu'aujourd'hui,
u quatre fois par mois. Ces migraines, qui existent encore depuis son accident , sont assez pénibles quelquefois pour l'obliger à
ques minutes après, il perdit connaissance. A partir du moment de l' accident , les souvenirs du malade sont très vagues. Il sai
'elle fut quinze jours plus tard, c'est-à-dire trois semaines après l' accident ; voici un spécimen qui date de la dernière époqu
passant, parce qu'il ne paraît pas se rattacher très directement aux accidents que nous voulons surtout mettre en relief. Quinze
dents que nous voulons surtout mettre en relief. Quinze jours après l' accident (vers le 24 octobre), il éprouva une douleur vive
du langage. Vers le 9 novembre, c'est-à-dire un mois environ après l' accident , il voulut essayer de jouer au billard. Il est dr
subitement chez un sujet, qui jouit, comme on le verra, même après l' accident qui l'a privé de l'une de ses plus brillantes fac
ée de cette malade. que, d'engourdissement de tout le corps, et ces accidents se terminaient par une crise de larmes. Elle eut
ne doit plus compter sur elle, par conséquent, pour faire cesser les accidents . Je vous montrerai, d'ailleurs, plusieurs exemple
t, genou gauche, comme ayant coopéré de près ou de loin au retour des accidents actuels. Il n'existe pas de troubles sensoriels,
ue la vue de l'assemblée ne la trouble au point de provoquer quelques accidents . Donc, sur les garçons d'abord, et ensuite chez l
ysique que morale et intellectuelle, d'éviter le retour de semblables accidents . 1. Le plus jeune des garçons est aujourd'hui c
, principalement à la suite des traumatismes et plus spécialement des accidents de chemin de fer. Us ont reconnu, avec M. Page, q
alement occupé de cette question en Angleterre 2, que beaucoup de ces accidents nerveux désignés sous le nom de Railway-spine et
dans l'esprit pralique de nos confrères d'Amérique. Les victimes des accidents de chemin de fer demandent tout naturellement des
lement à la suite de l'ébranlement nerveux psychique qui résulte de l' accident et que, fréquemment, ils ne débutentpas immédiate
ité de travail de trois ou quatre mois, une autre sera sous le coup d' accidents nerveux qui vont peut-être l'empêcher de travaill
ent émotif auparavant, du moins en apparence, puisse, à la suite d'un accident de train, d'une collision, d'un déraillement, dev
ns ces cas, de chauffeurs, de chefs de trains, d'ouvriers, victimes d' accidents de chemins de fer ou d'autres accidents et ayant
rains, d'ouvriers, victimes d'accidents de chemins de fer ou d'autres accidents et ayant subi soit un choc sur la tête, soit une
huile. En 1876, il avait alors 32 ans, il Jui est arrivé un premier accident . Il se coupa assez profondément avec un rasoir qu
cave. Il avait néanmoins repris son travail, lorque 10 jours après l' accident , au milieu de la nuit, il eut sa première attaque
tions hystériques se sont développées à la suite et à l'occasion d'un accident qui a menacé sa vie. Le traumatisme qui en a été
doigt, — eût-il suffi à lui seul, pour provoquer le développement des accidents nerveux? Cela est possible, mais je ne saurais l'
'un facteur qui, très vraisemblablement, a joué dans la genèse de ces accidents , un rôle bien plus important que la blessure elle
me. Je veux parler delà terreur éprouvée par le malade au moment de l' accident et qui s'est traduite peu après par une sorte de
ier, dans lequel on emploie le mercure, n'a jamais produit chez lui d' accidents qu'on puisse rattacher à l'intoxication mercuriel
i persiste encore aujourd'hui. Pendant longtemps, à la suite de cet accident , il resta plongé dans une sorte d'hébétude dont i
nt pas, tant s'en faut, des caractères univoques du mal comitial. Ces accidents peuvent s'observer dans l'hystéro-épilepsie dégag
le plus fréquemment, en conséquence du shock, en particulier dans les accidents de chemins de fer. C'est ce dont témoignent plusi
cortège des phénomènes qui la caractérisent. Celle-ci préexistait à l' accident , mais elle s'est toutefois considérablement aggra
six mois environ, lorsqu'en juillet 1882, il fut victime d'un nouvel accident plus terrible que le premier. Occupé à poser un b
u pharynx et bientôt de vomissements qui survenaient sans effort. Ces accidents qui n'avaient cédé à aucune médication, cessèrent
ladie ne fut certainement pas sans influence sur le développement des accidents qui suivirent bientôt. Quelque temps après, encor
t assez vive, pour que, pendant quelques jours, il souffrit de légers accidents nerveux tels que coliques, douleurs et secousses
soumis à l'emploi du bromure de potassium à dose élevée, sans que les accidents en aient été modifiés en rien. Dans la journée qu
u type classique. Dans la première période, en effet, nous voyons les accidents convulsifs reproduire jusqu'à l'imitation presque
par les stigmates permanents auxquels s'adjoignent parfois plusieurs accidents spasmodiques ou autres, tels que la toux nerveuse
ue tout en resterait là, mais le 27 mai, c'est-à-dire 3 jours après l' accident , P... s'aperçut que son membre supérieur gauche é
but ; elle est, comme je vous l'ai déjà dit, survenue à la suite d'un accident ; mais avant d'entrer dans le détail, il est bon q
onnaissance. Son père, grand buveur d'absinthe, n'a jamais présenté d' accidents nerveux. Sa sœur est souvent prise d'attaques de
ntôt reprendre son travail, lorsque le 30 décembre, six jours après l' accident , ayant dormi paisiblement toute la nuit, il const
nnaissance immédiate, et pendant les quelques minutes qui ont suivi l' accident , 5 ou 6 minutes peut-être, le malade est resté co
l'émotion, par le choc nerveux (Nervous Shock) éprouvé au moment de l' accident et lui survivant pendant quelque temps, n'équivau
tement ce qu'ils ont ressenti, dans le membre affecté, au moment de l' accident , et les quelques jours qui ont suivi. On sait qu'
es Compagnies de chemin de fer. Le 13 mai 1883, il a été victime d'un accident : la bielle de la machine à vapeur située au-dess
'affection générale que l'affection locale. L'origine traumatique des accidents n'est pas, elle non plus, tant s'en faut, contrai
voir été des accès d'hystérie à forme d'épilepsie partielle. A 6 ans, accidents coxalgiques transitoires. A 11 ans, réapparition
ransitoires. A 11 ans, réapparition à plusieurs reprises de ces mêmes accidents . A 18 ans, réapparition des accidents qui datent
plusieurs reprises de ces mêmes accidents. A 18 ans, réapparition des accidents qui datent de 5 mois, à l'époque où l'on examine
survient une émotion vive, une frayeur, la terreur déterminée par un accident , surtout quand cet accident menace la vie, comme
une frayeur, la terreur déterminée par un accident, surtout quand cet accident menace la vie, comme cela se voit, par exemple, d
ime mieux le sang que le vin, dit-il, cela donne plus de force. » L' accident qui nous intéresse particulièrement est survenu d
'amnésie portant principalement sur les choses qui sont relatives à l' accident , mais, môme aussi sur les choses présentes ; et i
vons déjà fait remarquer, il ne sait indiquer exactement la date de l' accident ; de plus, quand on lui demande de désigner le li
er de la véracité de son récit. Revenant sur les circonstances de l' accident , il prétend qu'au moment où celui-ci s'est produi
ropathe, moins il est hystérique, si l'on peut ainsi parler, plus les accidents pa-rétiqu* s et sensoriels consécutifs au choc so
(anesthésie et paralysie motrices) avec menace de sphacèle. Tous les accidents , en pareil cas, d'après M. Yerneuil, seraient le
naler quelques fails qui sont survenus dans les jours qui ont suivi l' accident . Deux jours seulement après l'événement, le mal
Voir I'Appendice IV, p. 478. membre paralysé se fût produite dans l' accident du tamponnement, et que l'application d'un bandag
indemne de tous stigmates. Le mutisme se présente donc ici à titre d' accident hystérique solitaire, monosympto-matique, et cepe
laisser se prolonger trop, car j'ai remarqué depuis longtemps que les accidents hystériques artificiellement produits dans rhypno
.) 1° cas de paralysie rystéro-traumatique survenue a la suite d'un accident de voiture '. Le nommé Le Log..., né dans un pe
nditions-là, que le 21 octobre 1885, vers 6 heures du soir, survint l' accident qui l'a mis dans l'état où. nous le voyons aujour
de la paix du poste du palais de l'Industrie, présent au moment où l' accident est survenu. Ce récit est bien différent de celui
e, quand on l'interroge à ce sujet. // s'est fait sur la façon dont l' accident a eu lieu une légende à laquelle il croit fermeme
mplètement perdu la mémoire ds tout ce qui s'est passé au moment de l' accident , sur le cours la Reine. Il est très vraisemblab
conter autour de lui, il l'avoue lui-même, que les circonstances de l' accident telles qu'il les raconte se sont présentées à son
l a été plongé enfin, pendant les deux ou trois jours qui suivirent l' accident , dans un état de véritable torpeur intellectuelle
ira donc de considérer, par exemple, le cas du sujet hypnotisé où les accidents sont portés au plus haut degré et se présentent d
ment nerveux général [iier-vous shock) qu'a nécessairement provoqué l' accident et, pour ce qui est de la suggestion elle-même, e
lui. On n'aura pas oublié que dans les premiers jours qui suivirent l' accident , le malade portait sur la partie antérieure de la
du même genre, la paralysie ne s'est pas produile au moment même de l' accident , mais seulement quelques jours après, à la suite
souvent tourmenté par des rêves pénibles relatifs aux détails de son accident tels qu'il les a imaginés. Sa mémoire, d'ailleurs
inés. Sa mémoire, d'ailleurs, paraît considérablement affaiblie. De l' accident lui-même il ne se rappelle rien, quoi qu'il en di
e qu'il a entendu dire à ce sujet. Même pour les faits antérieurs à l' accident , il y a dans son esprit des lacunes énormes. Ains
e choc a été précédé ou suivi d'une commotion cérébrale physique. Ces accidents -là ont été parfaitement décrits par MM. Skae, Pag
ant la nature delà maladie. Le malade cependant, plus d'un an après l' accident , ne peut pas être considéré comme guéri. En effet
La contusion fut légère très certainement, car il n'en résulta aucun accident sérieux d'ordre chirurgical. Mais néanmoins, sous
ère, hôpital voisin de la gare du Nord, Il y arriva le jour même de l' accident , vers 8 heures du soir et fut placé dans le servi
de M. Merklen, le 13 janvier 1886, c'est-à-dire six semaines après l' accident . Là on reconnut tous les caractères de l'affectio
ue, dès l'entrée à l'Hôtel-Dieu, c'est-à-dire un mois et demi après l' accident , il existait déjà dans le membre paralysé, au bra
que, digne de fixer votre attention; comme il serait possible que les accidents présentés par la malade disparussent d'un moment
'une leçon de M. Ciiarcot, recueillie par M. le Dr Marie. ques. Ces accidents nerveux n'ont duré qu'une année, de 16 ans à 17 a
e la paralysie, et avec abolition du sens musculaire; enfin, tous ces accidents sont survenus chez une jeune fille de 19 ans ayan
survenus chez une jeune fille de 19 ans ayant présenté auparavant des accidents hystériques. Ce sont là les éléments qui nous p
vait disparu ; la malade se servait de son bras aussi bien qu'avant l' accident et serrait vigoureusement la main des auditeurs d
un aliéné, mort dans une maison de santé. Grand-père maternel mort d' accident . Grand-mère maternelle morte d'un catarrhe, a eu
même chose. Au bout de quelques semaines, disparition complète des accidents . Obs. III (communiquée par M. Gharcot). — Bill.
qu'elle fait remonter, et probablement avec raison, l'origine de ses accidents . Vers ce moment, en effet, elle devint aphone, ne
mois dans le service du distingué professeur de Genève pour les mêmes accidents qui l'ont amené à la Salpêtrière. Le laryngoscope
imulation : son importance dans l'armée et en médecine légale, 432; — accident hystérique monosymptoma-tique, 435. — Production
9 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
rs qu'ils font absorber en quantité exagérée aux malades. De la des accidents auxquels il faut remédier et une augmentation d
ur les enfants arriérés n'offrant ni perversion des instincts, ni accidents convulsifs. » Ce voeu a été transmis par le Pré
De l'éosinate de sodium dans le traitement de l'épilepsie et des accidents qu'il produit ; Par BOURNEVILLE et CHA POTIN.
epsie. Prise il doses progressives, cette substance a déterminé des accidents assez graves pour obliger à suspendre complètem
omplètement le cours de ces recherches. C'est la description de ces accidents que nous nous proposons de relater ici. Ils nou
es malades épileptiques auraient pris 2 gr. d'éosinate sans autre accident que la fluorescence des urines. Les essais thér
es ont presque complètement perdu leur coloration, et toute trace d' accident disparait, sans qu'on ait jamais noté de modifi
t fournir aucun renseignement sur la façon dont s'est produit cet accident . 18. juin. Lésions cutanées de la face et du co
Toute trace de gonflement et de rougeur ont disparu. e3 mai - Les accidents ont complètement cessé, malgré la continuation
on séreuse, aucune douleur. Rien aux orteils. 30 juin. - Tous les accidents ont cessé; le décollement des ongles s'est arrê
mars jusqu'au 31 août. 18 juin Légère rougeur de la face sans autre accident . 9 juillet. - Rougeur généralisée de la face et
lques ulcérations croûteuses sur la main droite. . G août. - Tout accident a complètement disparu. 31 août. - Trois ou qua
de gonflement et de rougeur a disparu sans desquamation. Malgré les accidents , on a continué le traitement à la dose quotidie
a rougeur diminuent de plus en plus. Pouls à 69. 2 mat - Tous les accidents ont disparu. - Le traitement, suspendu au début
malheureusement pu être pratiqué. 25 mai. - Légère diminution des accidents . Le malade prend 2 gr. d'éosinate. Tableau de
sodium du premier juin au 3 1 août. Ce malade n'a présenté aucun accident , sauf peut-être un léger gonflement avec rougeu
r un rouleau de ferme à 4 ans. - Accès cl'é- pilepsie partir de cet accident . Duch..... (euglène), '13 ans. Entre le 4 octob
ons des deuxième et cinquième orteils. 31 août. - Pas de nouveaux accidents ; les ulcérations des orteils sont complètement
rougeur de la face et du dos des mains. 10 août. - Toute trace d' accidents a disparu et ils ne reparaissent plus jusqu'à l
sions Ù quatorze mois pendant 12 heures ( ? ). - Heprodllc- lion d' accidents nerveux mal caractérisés une dizaine de fois. -
par l'éosinate du 10r juin au 31 août sans avoir éprouvé d'autres accidents qu'une rougeur diffuse et peu intense de la face.
de la face, rougeur disparue. 1899. Nou. - Nulle trace des anciens accidents . Du 1 ? juin au 31 août, en 1897, 26 accès et 6
e. Tho... (Léon), 18 ans. Eosinate du 7 juillet au 31 août; aucun accident d'intoxication. Du 1 ? juillet au 31 août, en 1
de l'intoxication éosi- ni(lite. Et tout d'ahord remarquons que ces accidents , du moins avec les doses employées, ont été pur
miques appréciables, pas de troubles sensi- tifs ni psychiques. Les accidents se sont presque exclusivement localisés aux tég
un petit nombre de cas. Les doses nécessaires pour déterminer les accidents semblent varier de 2 gr.50 à : 3 go ? au-dessou
us n'avons jamais rien observé. Quant à la date d'apparition do ces accidents , elle varie de six semaines à deux mois après l
n malade qui a quelques macules. . En même temps se manifestent des accidents du côté des ongles : c'est d'abord un décolleme
uit clans une proportion de 9t pour 100, l'éosine a déterminé des accidents , et encore un des deux cas indemnes (Uns. I) do
des deux cas indemnes (Uns. I) doit-il être tenu pour suspect; ces accidents apparaissaient avec une close moyenne de 2 gr.
t avec une close moyenne de 2 gr. 50 à 3 grammes. Au contraire, les accidents cutanés du bromisme ne surviennent que dans 75
ivi de phlyetèmes volumi- neuses. La pigmentation est citée comme accident cutané possible du bromisme. « Echeverria (l'hi
montrer que l'on ne peut faire du brome la cause unique de tous ces accidents : l'éosi- nate semble avoir une action bien dét
soins de propreté dont M. Féré a signalé l'importance à propos des accidents du bro- misme, et auxquels, dans le service des
s plus soigneux de leur personne que nous avons noté le minimum d' accidents , et si les lavages de la figure et des mains, l
oudre. Deux onces, ainsi administrées, amenèrent la disparition des accidents . Même résultat chez un second, dont l'affection
mière dent vers 9 mois ; dentition complète à deux ans passés, sans accidents nerveux. N'a jamais su marcher seule, ni parler
des zones hysté- riques ainsi que de la rachialgie. Juin. - Aucun accident nerveux. Les progrès en classe et en gymnastiqu
. L'impressionnabilité s'est fortement atténuée. Juillet. - Aucun accident nerveux. Persistance de l'amélioration intellec
iberon avec du lait et du vin. - Habi- tudes alcooliques. - Premier accident nerveux à 12 ans 1 J2 à la suite d'une émotion
1895- 1896. - Rémission de deux mois. - Février 1897, nou- veaux accidents coïncidant avec une forte émotion. Des- criptio
bonne heure ; la den- tition s'est effectuée régulièrement et sans accident . Pa8 de convulsions ; pas de fièvre infectieuse
oute; la nuit. - Mis en pension, il ne put y rester il cause de ses accidents nerveux qui se produisirent environ une vingtai
e mordre. D'après les parents, consécutivement à cetto frayeur, les accidents nerveux auraient recommencé et plus fréquemment
crises il est plus docile, « plus gentil. » Depuis l'apparition des accidents , l'enfant ne va plus en classe , sa soeur a ess
éfécation, (le bave, d'érection. La liu de cette véritable; série d' accidents hystériques a été marquée par une forte inspira
embre. Même traitement. Pendant ces Irois mois il ne survient aucun accident con- vulsif ou somnambulique. Lu ... continue i
ès le sixième mois de traitement nous ne relevons plus le moindre accident . A noter encore la suppression de l'onanisme et
ible, déviation de l'oeil droit. - Disparition pro- gressive de ces accidents en six mois. Céphalalgies- Accidents congestifs
arition pro- gressive de ces accidents en six mois. Céphalalgies- Accidents congestifs avec convulsions internes il ans. -1
é des certificats ci-après : il juin 1882 : Attaques d'épilepsie, accidents paralytiques passagers avec aphasie temporaire.
uffert de névralgies ou de migraines. Il n'y a pas trace chez lui d' accidents syphilitiques. [Son père, âgé de 67 ans, est so
s. Sa mère, âgée de 66 ans, blanchisseuse, sobre, n'a jamais eu d' accidents névropathiqu.,s. Elle est aveugle par cataracte.
turière, sobre, a été réglée à 14 ans. Elle n'a jamais eu de graves accidents nerveux. Elle est assez bien portante et sujett
s, il y a cinq ans. Il était sobre. Ses enfants seraient indemnes d' accidents nerveux. La grand'mère paternelle est morte en
t convulsés en dedans, « tout retournés clans le coin du nez. » Les accidents convulsifs ont persisté pendant toute la journé
ieuses graves (ni fièvre typhoïde, ni croup, ni oreillons). - Aucun accident scrofuleux. - Pas d'onanisme. Il a eu plusieurs
ns et demi la situation n'aurait pas changé. Il n'eut, comme nouvel accident nerveux, qu'une congestion cérébrale ( ? ) à l'
t l'état de mal convulsif, grave et prolongé, avec les nom- breux accidents consécutifs qui l'ont suivi, qui a été l'origin
ue nous avons d'ailleurs constatés. d) Il n'est pas enfin jusqu'aux accidents épilepti- formes qui ne soient de nature à conf
ession même des parents, ou plus exactement les vertiges, car les accidents s'accompagnaient de phénomènes gyratoires March
hangeant trop fréquemment, n'attachent pas assez d'importance à ces accidents et ne les notent pas, malgré nos recommandation
total 110. - 1890, 4 attaques (1) Nous réservons le mot accès, aux accidents épileptiques; - celui d'af- laques, aux acciden
le mot accès, aux accidents épileptiques; - celui d'af- laques, aux accidents hystériques ; - celui de crises pour les accident
'af- laques, aux accidents hystériques ; - celui de crises pour les accidents indé- terminés ou sur la nature desquels on n'e
e, peut-être épilepliforme. Nous n'insisterons pas sur les autres accidents qui, ainsi que les précédents, auraient été pro
'1897). - PÈRE, 30 ans, ébéniste, grand, vigoureux, sobre, aucun accident nerveux ni syphilitique, caractère doux, labori
rachitiques qui ont disparu. - [Son père est sobre et n'offre aucun accident à signaler. - Il en est de même de sa mère qui
nt. Le médecin qui la soigna aurait diagnostiqué une méningite. Ces accidents durèrent trois ? en'aines. Après cette maladie,
vulsions étaient plus accusées au bras gauche. Sept mois plus tard, accidents méningitiques pendant trois semaines et rémissi
s de boisson. Il est mort il 80 ans. - Sa mère, 79 ans, sobre, sans accidents nerveux, est eczémateuse. Grands-parois paterne
lle, gâtisme. Oxyures vers 12 ans. Aucune maladie infectieuse, ni accidents scrofuleux, sauf un peu d'impétigo du cuir chev
le 8 octobre; 1898, était ainsi li- bellé : " Débilité mentale avec accidents .hystériques et idées mélancoliques aujourd'hui
et travaille comme tailleur. Une samr, mariée n'a jamais présenté d' accidents nerveux ; elle a deux filles, l'ainée, âgée de
ar de l'eau bouillante. L'enfant était âgée de 3 ans au moment de l' accident . Au- dessus de la grande cicatrice, il en exist
est depuis rapidement développée. Les règles ont paru, sans aucun accident physique ou mental pour la première fois du - a
puberté se sont développés régulièrement. Les règles ont paru sans accident . Le poids et la taille ont augmenté. Jamais nou
spécifique ( ? ) dans quelques éléments. (Les parents ont nié tout accident syphilitique.) PUBERTÉ PRÉMATURÉE. 213 Fig. 1
ns ('2), Notre malade. Grossesse bonne, sans chagrins, sans aucun accident . - 21(-coiii.lie)netit à terme et facile. - Allai
x; la vue se brouillait, il lui semblait que tout était noir. Ces accidents duraient en général 15 minutes et revenaient envi
éblouissements très courts qui le faisaient écrire de travers. Ces accidents ont duré un an (de 13 à 14 ans). . A 14 ans,
tale. 1883. 29 janvier. - Un accès le 5 janvier a été compliqué d' accidents particuliers. Après avoir ou un accès avec les
raissent pas de nature spécifique (ni alopécie, Rapports sexuels' : accidents vénériens. 233 ni éruption, ni adénites, etc.).
idi. Sa femme nous assure qu'il est devenu plus sombre depuis cet accident . D'habitude, après ses accès, il cause d'une ma
s mois ses yeux tournaient souvent, et plusieurs fois par jour. Ces accidents ont cessé. 1889. 24 jamier. - L'enfant a des co
riéré. II. lIun.... se serait développé régulièrement, sans aucun accident nerveux jusqu'à l'âge de 13 ans et était consid
°) est : très nerveux, sujet à des colères violentes, a eu quelques accidents rnnvulsifs légers, limités aux yeux, ct des tro
signalée est suffisante pour l'expliquer. IX. Ce cas, avec tous les accidents nerveux que nous venons de relever, d'autres ca
10 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
qui n'ont de particulier que leur siège ; les autres s'accompagnent d' accidents généraux très-graves, mais ils sont rares ; on ne
ttaques de nerfs. Le B... n'aurait eu dans l'enfance ni gourmes, ni accidents cou-vulsifs. Pâles couleurs à 16 ans, puis fièvre
usait des frayeurs et, lorsqu'elle sor-tait, lui faisait redouter des accidents . Jamais de maladies graves, jamais de rhumatismes
tique par g. peltier, interne des hopitaux1 — fin — Les plaies et accidents causés par les projectiles de guerre sont venus d
un soldat qui avait eu le corps tra-versé par une balle a été pris d' accidents tétaniques qui ont duré treize jours avec une for
et il ne semble pas que l'on ait beaucoup à redouter la production d' accidents locaux. A ce sujet, citons l'ob-servation suivant
ar des éclats d'obus : 1 ' au pied droit ; 2° à la cuisse gauche. Les accidents du côté du pied ont nécessité l'amputation immédi
ne de l'autre les arcades dentaires de plus d'un demi-centimètre. Ces accidents auraient débuté hier soir. — R .. s'inquiète d'un
douleur cuisante qui durait environ une dizaine de minutes. Quant aux accidents consécutifs, nous avons remarqué : l°de petites b
oral, mais il succomba le 25 octobre, quatre jours après le début des accidents . Le troisième cas fut observé à Loury (Loiret).
ir l'influence considérable de l'hydrate de chloral sur la marche des accidents tétaniques. Nous voyons aussi que ce médicament a
t était composé de poils agglutinés par le mucus. L'animal est mort d' accidents dyspnéiques qui, parfois, prenaient la forme d'ac
ur deux points : 1° les rapports de la courbe thermométrique avec les accidents convulsifs; 2° l'utilité incon-testable de l'empl
contractions n'exclut pas l'apyrexie. Quoique la marche rapide des accidents tétaniques n'ait permis de retirer aucun résultat
en nettement que la médullite aiguë de cause externe peut ame-ner des accidents typhoïdes. Ce sont là des faits positifs, inébran
l a été blessé au ventre par une balle, et qu'immédiatement après cet accident , il fut transporté dans une ambulance où il est r
ations articulaires encore peu connues. Symptomatologie. Début. Les accidents articulaires, — M. Charcot d'abord, puis M. Bail,
tion des malades, c'est le gonflementl. Il se montre d'ordinaire sans accidents fébriles, sans rougeur ni douleur 8. Les malades
pas dé-montrée; les renseignements n'ont pas été pris au moment de l' accident ; ils sont notés d'après les souvenirs de la malad
uche, qui demeure habituellement au repos, se trouve moins exposé aux accidents que nous venons de décrire. Il n'en est pas ainsi
Or le début spontané, le gonflement indolore du membre, la marche des accidents dans l'arthropathie n'ont rien qui rappelle l'ori
ôté droit. C'est à cette époque que la malade a ressenti les premiers accidents arti-culaires. Un matin, sans avoir rien constaté
oxication saturnine aiguë ou chronique, et particu-lièrement dans les accidents cérébraux, tels que l'amaurose et l'épilepsie sat
t été dans les circonstances ordi-naires, et dont la prolongation des accidents doit être attribuée, selon nous, à l'intensité de
ui était le plus faible (épilepsie spinale). A la suite de différents accidents , l'enfant succomba le 12 septembre par épuisement
Convulsions à 17 mois. — Hémiplégie à gauche. — Peur vive suivie d' accidents épileptiques (2 ans). —¦ Menstruation. — Aggrav
nnée par les tentatives obscènes d'un individu ivre, el;e fut prise d' accidents qu'elle carac-térise ainsi : chaleur par tout le
t vingt-quatre heures, et cela depuis l'origine de sa paralysie à des accidents bizarres : les membres paralysés se coutraclurent
rtout par de la loquacité et des divagations. Elle dort et tous ces accidents disparaissent sans accès épileptique ni crises d'
ues. La mère, âgée de 21 ans, est lymphatique. Jamais elle n'a eu d' accidents syphilitiques ou nerveux. Elle est bien réglée ha
éritonite. Elle mourut sans accoucher douze jours après le début d* s accidents , neuf jours après son admission dans l'établissem
me ava t pu amener un affaiblissement de l'utérus, nous croyons que l' accident a eu pour ori.ine principale les manœuvres obstét
il est certain qu'elle joue un très-grand rôle dans la production des accidents qui succèdent aux couches Pour s'en convaincre, i
ncopal, phénomènes fréquents en pareille occur-rence. A la suite de l' accident , les contractions utérines ont-elles cessé ou con
l de Vaccouchement, 1870.) IV. En prenant pour époque du début de l' accident le jour de la disparition des contractions utérin
e ascension de la tempé-rature. Si l'accouchement s'opère et si les accidents s'éloignent puis disparaissent, —et c'est le cas
y, interne des hôpitaux Observation. — Contusion de l'œil gauche. — Accidents rapides.— Eschare de la conjonctive. — Déformatio
nctivite assez intense se déclara et dora à peu près huit jours ; les accidents disparurent; néanmoins il resta toujours un peu d
ant, l'œil con-tusionné par un éclat de bois. — Immédiatement après l' accident on ne remarqua rien de particulier; quelques jour
e de M. Broca) pour y être traitée d'une arthrite du genou droit. Cet accident , qui ne nous arrêtera pas, nous a procuré l'occas
telligente; elle n'a jamais fait de ma-ladies graves et n'offre aucun accident névropathique. Née à Chan-tilly, elle est venue à
issent d'autant plus utiles que souvent on a établi entre elle et les accidents plus ou moins semblables que l'on observe dans le
mécanique s'opposant à son libre écoulement : nous voulons parler des accidents urémiques et en particulier de ceux qui revêtent
s des efforts, deux cuillerées à bouche d'urine sanglante. Malgré ces accidents il alla à Manchester, distante de 16 milles de sa
ultent d'une résorption des pro-duits morbides sous-périostiques. Les accidents graves sont une con-séquence de l'état local. I
n ce qui le concerne personnelle-ment, il déclare n'avoir jamais eu d' accidents nerveux ou syphilitiques et jouir d'une bonne san
traite du manuel opératoire et des soins consécutifs, le se-cond des accidents et des résultats de l'opération ; dans le troi-si
en quelque sorte, l'opération, outre qu'ils peuvent prévenir certains accidents inquiétants, sinon graves. L'introduction de la s
oins légère dans les premiers temps qui suivirent l'urétrothomie. Ces accidents qui sont toujours inquiétants, s'observent plus r
rs suivants, on passera sans brusquer à des numéros plus forts. Les accidents qui peuvent compliquer l'uréthrotomie sont parta-
tration d'urine, les abcès uré-thraux, la néphrite, la cystite ut les accidents fébriles ou phlegma-siques attribués à l'intoxica
nous bornerons à attirer l'attention sur le chapitre qui a trait aux accidents fébriles. Le lecteur y trouvera une division des
n est tenté d'attribuer à l'emploi de ce médi-cament la bénignité des accidents fébriles dans les cas qu'il a ob-servés. Ce fai
idence du cordon. —Application du for-ceps. — Déchirure du périnée. — Accidents consécutifs. — Guérison. Dev.... Marie, 34 ans,
s et voir s'ils concordent avec ceux des auteurs. Observation IV. — Accidents dyspne'iques. — État d'hébétude ; coma. — Abaisse
excès de table, ni excès de travail, ne pouvait avoir occasionné ces accidents . Il est transporté à Saint-Antoine, salle Saint-C
sparu; on le reporte au lit. Mais, dans le courant de la journée, les accidents reparaissent; le ventre est extrêmement ballonné;
l'aide de siphons d'eau de Seltz fortement chargés. Le 5 août, les accidents n'ayant qu'augmenté, on pratique un anus contre n
les caractères d'un tempérament nervoso-lympliatique. A part quelques accidents chloroliques, liés REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES H
ts de famille; son père, d'une santé robuste, est mort par suite d'un accident ; sa mère est morte du choléra. Quant à lui, il a
, des cuisses, etc. — Marche de la température. — Gaérison des divers accidents . N..., Louise-Félicie, âgée de 22 ans, couturiè
euses. Il n'y aurait eu aucune éruption cutanée depuis l'invasion des accidents jusqu'au 20 avril, jour où N... passe dans le ser
il n'y a plus aucun doute aujourd'hui sur la nature infec-tieuse de l' accident primitif. —- Les règles ont reparu vers le 5 sep-
de dépôts grisâtres. La vulvite concomitante ne s'accompagna d'aucun accident extraordinaire. Grâce aux injections, aux lavages
Dans une autre série de faits, la marche est toute diffé-rente : les accidents généraux priment les locaux, les masquent sou-ven
ables erreurs dont nous aurons à parler. Nous avons déjà vu que ces accidents généraux pouvaient surve-nir à des époques assez
cès est ouvert, il survient de la rémission; mais elle dure peu : les accidents reprennent, des complications surviennent, et le
laires, articulaires, décollement d'épiphyses, on aura à obvier à ces accidents par des incisions, du drainage, de l'immobilisati
avoir d'utilité bien grande, et il faut toujours craindre la venue d' accidents typhiques, contre lesquels le malade n'est jamais
typhiques, contre lesquels le malade n'est jamais trop fort. Si les accidents existent, il faut chercher à obtenir deux points
stent, il faut chercher à obtenir deux points : détruire la cause des accidents quelle qu'elle soit. C'est dans ce but que se fer
faut donner aux malades la résistance néces-saire pour surmonter ces accidents . Un peu de nourriture, du vin d'Espagne, de Borde
lent, ordinairement inaperçu, la marche progressive, détermi-nant des accidents plus ou moins tardifs, mettant tôt ou tard en dan
lètement impuissants. — Si donc la tumeur kystique vient à causer des accidents sérieux, soit du côté des voies digestives, soit
général : Enfin c'est la première fois que le malade a de semblables accidents . Les traitements employés avant l'admission à l
s loin que le laisse croire l'examen des parties, fait au moment de l' accident ou peu après. Dans ce cas, certainement, si j'a
ie, dans le cerveau; et dans ces affections on constata l'existence d' accidents semblables à ceux qu'ont décrits les anciens. C
x mois. A une certaine époque, gonflement du bras et de la main ; cet accident reviendrait de temps en temps. État actuel (186
rupture, soit seule-ment quelques heures ou quelques jours après cet accident . VI. Traitement. — Manifestation locale d'une m
r à l'ataxie, bien que le malade soit porté à considérer ces derniers accidents comme le résultat d'une ancienne blennorrhagie.
Que s'est-il donc passé chez ce malade? et comment interpréter les accidents qui viennent de se dérouler sous vos yeux? Mess
s cette période intermédiaire que se mani-festent le plus souvent les accidents articulaires. Cette règle peut cependant souffrir
e que d'une seule des causes mul-tiples qui concourent à produire ces accidents singuliers. Quant aux arthropathies tardives, e
je viens de vous signaler. D'une manière habituelle, l'invasion des accidents n'est accom-pagnée d'aucune réaction fébrile ; ce
t dans les arthropathies précoces, la guérison peut avoir lieu. Les accidents que je vous signale, messieurs, ne sont pas au
e m'avait fourni, à l'égard des localisations que peu-vent offrir ces accidents , des résultats assez singuliers. Sur 18 cas, l'af
ques autres cas semblables, est manifes-tement le point de départ des accidents qui nous occupent. On peut la rapprocher des alté
e; telles sont les crises gastriques indiquées par M. Cbarcot, et les accidents laryngo-bronchiques décrits par mon ami M. Second
n offrant peu. de chances de récidive, doit supprimer et prévenir les accidents qu'amènerait infailliblement le développement pro
ors, la contraction même des muscles abdominaux, suffit pour amener l' accident ; c'est ainsi que le docteur Playfair, médecin da
. a encore vomi à onze heures. 5 nov. P. 128; T. R. 58°,2. Tous les accidents attribuables à Yinjection iodée ont disparu. —Soi
11 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
a mort et dont on trouvera la liste au tableau des décès, que des accidents légers : gourmes, engelure, conjonctivite, etc.
tés; intellectuelles, sans perversion notable des instincts, sans accidents convulsifs. les asiles-écoles ne sont pas indis-
e, non asphyxié ; il grelottait et il était tout blanc de peur. Cet accident n'aurait pas modifié les con- vulsions mensuell
incements de dents. - Baye un peu. Vorace. Digestions bonnes. Aucun accident scrofulcux, sauf une ophtalmie à répétition de
ment et progressivement les facultés intellectuel- les. Ce sont ces accidents et l'examen général de l'en- fant à l'entrée, q
e, 58 ans, cultivateur dans l'Orne, bien portant; ni alcoolisme, ni accidents nerveux.- Mère, morte à 55 ans ; peut-être a-t-
in et Soir : T. R. 37°. La convalescence suit son cours, sans aucun accident . 2 mars. - Matin : T. R. 36°, 6. - Soir : T. R.
yspnée in- tense et une agitation qui ne dure qu'une demie-heure, accidents qui sont suivis de râle trachéal et de cyanose du
e huit mois étant admise, il est certain que l'enfant a éprouvé des accidents cérébraux graves : congestion de la tête, perte
ersonnels. 33 31èi@é, à toujours été bien portante, n'a jamais eu d' accidents nerveux. A l'Age de dix-huit ans, elle alla au
ssium et la liqueur de Van Swieten. On ne lui a pas reconnu d'autre accident syphilitique. Elle eut cependant une fausse cou
pas de convulsions dans l'enfance ; toujours bien portant ; pas d' accidents nerveux, ni syphilitiques, ni rhumatismaux ; pas
inférieur du côté gauche, constatée à 18 mois. - Locali- sation des accidents dans les membres du côté gauche. Accès incomple
mère aurait fait une chute dans l'escalier ; mais il n'y a pas eu d' accident consécutif. - accouchement à terme, naturel, en
seignements sur les grands- parents. - Un oncle paternel est mort d' accident ; deux au- tres oncles paternels sont en bonne s
Vaccinée il trois mois. L'enfant n'a jamais eu de dermatoses, ni d' accidents scrofu- leux, ni de traumatismes. Elle reconnai
commençait it marcher et avait plusieurs dents quand est survenu un accident qui a beaucoup entravé son développement au dir
lus de 3 ans et a été longtemps accompagnée do diarrhée. A part cet accident , l'enfant n'a eu d'autre maladie que la rougeol
ntiée par la brûlure et de la gourme. C'est en raison de ce dernier accident que les frères l'auraient rendu à sa famille. I
éveloppement physique et le développement intellectuel. C'est à cet accident que la mère attribue l'état mental de son fils
s de maladies nerveuses. - Grand-père paternel, tailleur, tué par accident .- Grand-père maternel, aubergiste, très sobre ce-
' Antécédents. 91 riétés de famille, sans perte de connaissance, ni accident uté- rin. Ni coups, ni chutes, ci envies. Pas d
l'iorluredepotassiunt. »-[Pr : re,foncleurenetüvre, n'a jamais eu d' accidents professionnels; sobre, caractère assez emporté,
en bonne santé. - Mère, morte à 52 ans du diabète, n'a jamais eu d' accidents nerveux. -G ? ,a ? id-pi-7-e palernel, excès de
, a été placée à la campagne où elle a continué à avoir les mêmes accidents . Deux ans plus tard, étant devenue souf- frante
; pas d'onanisme. Avant l'entrée, aucune maladie infectieuse, aucun accident scrofuleux, aucun traumatisme. Elle a eu des en
grand père paternel et sur sa famille. La mère, très nerveuse, sans accidents convulsifs, a contracté la syphilis du fait de
trois ans, nous ne saurions nous prononcer à cet égard. Quant aux accidents qui se sont substitués aux con- vulsions, c'est
bien portante, mère de trois enfants, qui n'ont point présenté d' accidents névropathiques. - Ni aliénés, ni suicidés, ni s
-père et grand'mère maternels morts d'affections pulmonaires; aucun accident névropathi- Antécédents personnels. 115 que.
lui aucune maladie infectieuse (rou- geole, scarlatine, etc.), ni d' accidents syphilitiques. Il a eu de l'eczéma du pavillon
l'eczéma du pavillon ; pas de blépharite, d'otorrhée, ni d'au- tres accidents scrofuleux. A différentes reprises, il rendit des
ments suivis de perte de connaissance, frayeur, etc. Cet ensemble d' accidents a dû retentir sur la nutrition générale de l'en
atif ; - obésité ; Par BOURNEVILLE et .I. X01U. Sommaire. - Père, accidents scrofuleux de naissance. - Grand'tante et grand
dans .son enfance d'aucune maladie infectieuse grave, ni d'aucun accident nerveux. Une calvitie légère, depuis l'âge de 35
t pas eu de maladies nerveuses. - Mère, 73 ans, bien portante pas d' accidents né- vropathiques. (Nous avons appris depuis qu'
dessous » elle n'avait jamais eu cependant de crises de nerfs ni d' accidents nerveux véritables. Elle était sobre et avait r
sa fille, serait aussi morte poitrinaire. Elle n'aurait jamais eu d' accidents nerveux. Le grand- père paternel, géomètre arpe
un garçon et une fille qui se porteraient bien et n'auraient pas d' accidents comitiaux. - Rien de plus à noter dans la famil
caractère est doux. Il n'a jamais eu de convulsions, ni présenté d' accidents nerveux (1). De son second mariage, le père de
i graduellement, sans plaintes ni pleurs. En dehors de ces graves accidents , l'histoire de la santé de R ? durant son jeune
de la santé de R ? durant son jeune âge, est simple. Il n'eut pas d' accidents scrofuleux, pas d'affection cutanée, pas de mal
les bourses et dans la bouche. Actuellement il ne présente plus d' accidents et n'a pas d'adénopathie. 15 juillet. - Puberté
Maintenu longtemps à l'isolement des syphiliti- ques bien que sans accidents , y rendait de nombreux services ; mais ses inst
à 18 mois. - État de mal convulsif un an ; durée 24 heures. - Aucun accident consécutif. - Émotions vives à 2 ans et demi su
avec deux autres jumeaux ; pas de convulsions dans l'enfance, ni d' accidents nerveux; caractère très doux ; al- coolique, s'
jamais de troubles nerveux. - Grands-parents, morts très vieux, nul accident cérébro-spinal. - Deux oncles morts vieux, alco
sans aucune tare nerveuse. - Deux tan- tes décédées vieilles, sans accidents névropathiques ; leurs en- fants sont bien port
s troubles nerveux. - morte à 00 ans d'une hernie étranglée ; pas d' accidents névropathiques. Grands-parents morts très vieux
dant l'ivresse du père. - La grossesse n'a été signalée par aucun accident . - L'accouchement a été de tous points normal;
it à l'hôpital Lariboisière où il est resté quelques jours. Après l' accident , boiterie de la jambe gauche, crises céphal- al
n s'y opposait, il entrait dans de violentes colères. Aucun autre accident ne serait venu s'ajouter aux crises céphalatgique
n tout aux autres en- fants de son fige. A cette époque survient un accident de voiture, qui occasionne des crises céphalalg
ons, la situation de C... : « Atteint depuis 2 ans, à la suite d'un accident de voiture, d'aliee2tiot mentale caractérisée,
tée. - Sa grand'-tante étant morte « de vieillesse » (75 ans), sans accidents nerveux l'enfant a été ramenée à Paris par une
ticulier la diminution de poids, l'éléuation de la température, les accidents nerveux, la tachycardie, etc., et partant la né
Mort d'une flu- xion de poitrine à cinquante-sept ans, sobre, pas d' accidents nerveux. - llère, migraineuse, morte il cinquan
oeur, pas d'enfants]. Mère, quarante-huit ans, bien portante, pas d' accidents ner- veux, physionomie intelligente. A son mari
ère. - Père, mort écrasé par un mur, sobre, très intelligent; pas d' accidents nerveux. Mère, soixante- douze ans, bien portan
'accidents nerveux. Mère, soixante- douze ans, bien portante, pas d' accidents nerveux; deux fré- res : un mort de l'influenza
ux soeurs : une morte d'un cancer du sein, très intelligente, pas d' accidents nerveux, pas d'enfants quoique mariée ; l'autre
première dent à six mois, dentition complète à vingt-huit mois sans accidents ; marche à seize mois (plus tard que ses frères
is, elle a de véritables idées fixes. Quand elle entend parler d'un accident ou de quelque chose qui l'impressionne, elle y
et fait avec le couteau le simulacre de se couper le cou. De peur d' accident on lui retire le couteau. L'attention, bien q
ilité alla sans cesse croissant, pré- parant l'éclosion de nouveaux accidents . Les spasmes musculaires, les tics variés, fire
antages qu'il en a retirés « dans les maladies des enfants et les accidents dus à la dentition. » Après avoir rappelé qu'il
hre, administré sous forme de capsules dans le traitement de divers accidents hystériques, notamment les palpitations et les
Début des absences il 10 ans. Bromure de camphre : Disparition des accidents épilepliljtWs. Susmé... (Charles Alfred), né à
sse pas tomber les objets qu'il tient dans la main. La durée de ces accidents ne dépasse pas 5 à 6 secondes ».- Bromure DE ca
son admission, au mois d'août de la même année, on ne relève aucun accident . En BROMURE de camphre.. 229 septembre, il a
te irrégularité en octobre et recomman- dons de mentionner tous les accidents qui se produisent. On constate 105 vertiges en
12 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
excès alcooliques ou génésiques ; jamais non plus il n'a présenté d' accidents syphilitiques. Enfin, je tiens à vous faire rem
La maladie ne s'était manifestée que par un petit chancre, quelques accidents secondaires très légers; aussi n'y avait-on att
sont soignées sérieusement et sont suivies bien moins fréquemment d' accidents nerveux. En soutenant cette doctrine, j'ai touj
la malade rapporte à peu près en ces termes : quelques mois après l' accident , elle venait de se coucher, lorsqu'elle est oblig
ents convulsifs et a contribué pour une bonne part à l'éclosion des accidents hystériques; pour le fils, au contraire, son ac
ecousses convulsives se sont manifestées quinze ans et demi après l' accident ; dans l'autre, à la vérité, leur apparition a
admet l'efficacité de la diathèse, pourquoi frapper d'ostracisme l' accident qui en est une des manifestations ? Dès lors la
onsidérations ont trait : 1° au développement, à la filia- tion des accidents et à leur évolution; '-)0 aux caractères spécif
al des malades. '1° L'étude du développement et de la filiation des accidents nous a permis de nous expliquer le mécanisme av
rante, il faudra s'assurer que l'hystérie n'est pas la cause des accidents morbides car nous avons vu par nos observations
était de nature hystérique; donc il faut conclure que même i les accidents comateux qui lui donnèrent origine furent de 1
du parfait fonctionnement de ses membres jusqu'à ce que le deuxième accident survînt. Mais l'on pourrait supposer que Bo...
ite est restée latente pendant vingt ans, qu'à l'époque du deuxième accident elle a suivi une poussée nou- velle. Celle-ci a
expliquées, comme une attitude prise par B... au moment du deuxième accident et conservée après inconsciemment. En effet, ce
'auto- intoxication est encore rendue acceptable par l'examen des accidents provoqués chez les animaux par nos expériences.
uant dans le cerveau de l'enfant ou du foetus et donnant lieu à des accidents différents suivant les régions du cerveau qu'il
e larynx. Donc, si on avait pu l'introduire à l'instant même de l' accident , on aurait eu la chance de suspendre l'asphyxie
servé la vie à la malade. A ce propos, étant donnée la rapidité des accidents , l'auteur montre combien il est important de dé
rtain jour, tel membre d'une de ces familles, jusqu'alors indemne d' accidents névropathiques, en apparence bien portant, tomb
apoplecti- forme, ou d'aploplexie nerveuse, cette dernière étant un accident de nature épileptoïde ? sont-elles la résultant
; dilata- tion des vaisseaux avec élévation de la température; tous accidents accompagnant la paralysie. Parfois complication
au intellectuel faible descendant d'alcoolique, qui, après quelques accidents mentaux très fugaces, a d'abord présenté un vér
ingt-quatre ans cette femme va' bien, dit-on ; puis surviennent les accidents et aujourd'hui elle serait guérie. Il ne me par
erais donc plutôt cette observation dans les délires mystiques avec accidents hystériques. M. Charpentier. Je ne pense pas qu
Début soudain ; à peine un court stade prodromique, impétuosité des accidents , hallucinations profuses, confusion complète dans
et de stupeur. Elle se distingue de la manie par la soudaineté des accidents et leur impétuosilé. La manie a généralement un
a pariétale ascendante que l'on résèque. Le traumatisme guérit sans accident . Dans les quelques jours qui suivent, il se produ
té dans la moitié gauche du corps, avec amaurose des deux yeux. Les accidents moteurs et sensitifs cédèrent en peu de jours p
diaques. M. W. BUTZKE croit plutôt qu'il s'agissait ici de simples accidents syncopaux. Séance du io mai 1892. I). M. le D
ne dans des cas de folies liées à l'arthri- tisme, à la goutte, aux accidents urémiques, au diabète. Le travail est divisé en
lles en la cathédrale de Liège. A partir de sa quinzième année, ces accidents ont cessé complètement. Dans le temps qu'il é
pouvait lui communiquer toutes sortes de mouve- ments. Croyant à un accident de nature paludéenne à cause de son intermitten
t à l'autre, des dénivel- lements qui concordent avec la marche des accidents d'as- thénie nerveuse générale, avec leur progr
une région aussi riche en vaisseaux que la lèvre. Les suites de l' accident furent simples. En peu de temps il s'établit au
e période de la maladie. La figure 20, prise trois semaines après l' accident , permet de constater que la plaie est très bien
VILLE et NOIR. Sommaire. Père, céphalalgies, coléreux, rhumatismes, accidents cérébraux, alcoolique. Grand-père paternel, cal
uis la guerre, il fut pris en 1873 après la naissance de l'enfant d' accidents articulaires avec fièvre qui s'accompagnèrent d
es les personnes qu'il rencontrait. » Depuis il ne fut pris d'aucun accident nerveux. Il n'a jamais été atteint de dermatose
e syphilis, est vive, nerveuse sans avoir jamais eu de crises, ni d' accidents nerveux d'aucune sorte. [Père robuste, sobre, d'h
eure actuelle : 1° une fille (vingt- sept ans), n'ayant jamais eu d' accidents nerveux, ni de convulsions, toujours bien porta
es crises convulsives ; - 5° un garçon de dix-neuf ans, sobre, sans accidents nerveux ; Go 6° une fille de dix-septans, sans
obre, sans accidents nerveux ; Go 6° une fille de dix-septans, sans accidents nerveux, bien que nourrie pendant le siège; z not
memhres sans prédominance d'un côté. Depuis, il n'a pas eu d'autres accidents convulsifs. - Première dent à cinq mois. Den- 7
s' avec des adénites cervicales et sous-maxillaires. Aucune trace d' accident primitif; pas de roséole. Une enquête à son éga
ie chez Ros..., sont nombreuses. Au point de vue de l'hérédité, les accidents neuro-arthritiques abondent tant dans la famill
e suffisants pour expli- quer l'état psychique de notre malade. Les accidents convulsifs rares, survenus à deux mois et sans
N. (Archiv f. Psychiat., XXIII, 1.) Il y a trois grands groupes d' accidents consécutifs au trauma- tisme cérébral, qui ne s
cée. L'auteur base le diagnostic de syphilis sur l'évolution et les accidents cliniques, l'apparition du premier ictus à l'âge
coeur, la paralysie de plusieurs nerfs cra- niens, la fugacité des accidents paralytiques. P. K. VII. UNE observation DE syp
nales avec irradiation. , 264 REVUE DE pathologie NERVEUSE. Ces accidents ne s'observent que d'une façon intermittente ; il
eurolog. Centralbl., 1892.) L'auteur croit qu'il faut rattacher ces accidents à une affection du cerveau; mais le cerveau ne
NERLICII. (Archiv. f. Psychiat., XXIII, 3.) F. de quarante-six ans, accident traumatique du dos du nez, perte de connaissanc
ome central, d'un scotome pour les couleurs, de l'unilatéralité des accidents , on pou- vait conclure que la.lésion siégeait à
me arrivé à l'âge mûr, M. Fuerstner a vu spontané- ment, sans aucun accident , extérieur, se produire une parésie totale du b
philis, ni alcoolisme, ni maladies nerveuses dans sa famille. Aucun accident pendant l'accouchement. La tête du jeune homme
s opérations sensorielles et intellectuelles, sans produire après d' accidents paralytiques. Suivant toute appa- rence, il gên
ies aiguës, à des maladies puerpé- rales. En très peu de temps, les accidents atteignent une acuité extrême ; ils revêtent la
st soudain prise d'angoisse. La dyspnée passée, huitjours après cet accident ; on constate une paralysie de la branche supér
ction dégénérative des muscles accessibles à l'examen. En résumé, l' accident a porté sur les deux rameaux supérieurs du faci
is à la suite d'une émotion violente, excessivement vio- lente, des accidents d'une névrite aiguë multiloculaire revêtant l'a
Ni fracture, ni phénomène local ; le soir, délire. Puis plus aucun accident . Le cinquième jour brusquement une série d'accè
brusquement une série d'accès d'épilepsie francs; puis plus aucun accident . Le onzième jour coma grave avec 42 pulsations, a
ible ou encore après certaines excitations thermiques. Pas d'autres accidents . Il s'agit très probablement d'une névrose pro-
IE. 307 nelles. Mais, outre que la question de la pathogénie de ces accident est loin d'être élucidée, on ne peut guère, à m
ation de ces médicaments, le plus propre à prévenir ou à guérir les accidents . P. BLOCQ. VARIA ASSISTANCE DES ENFANTS NERVE
sics t'xtumine et alcoolique. Prix Falret (1,000 fr.). Question : Accidents nerveux (le l'urémie, M. BERNARD (de Ducard-les
sur l'alcoolisme. M. Albin Rousselet : Les secours publics en cas d' accidents . Prix pour 1895. Pria; Civrieux (800 fr.) : Des
), Partagé entre : 1° M. L9BORDE : du me- canisme physiologique des accidents et de la mort par le chloroforme; et 2° MM. C\D
émotion qu'on trouve chez lui dans les jours qui ont précédé son accident . Aucune dispute, aucune contrariété. Au moment
accident. Aucune dispute, aucune contrariété. Au moment même de l' accident , quand il a lâché le couteau, il a senti des fo
trois jours et ne s'est pas reproduit depuis lors. C'est depuis cet accident qu'il a remarqué que l'avant-bras et le bras dr
ubir l'amputation de ce bras et suc- comber enfin aux suites de cet accident . Or, quatre jours après, il présente lui-même u
lles, d'intervention chirurgicale...). Il est vraisem- blable que l' accident arrivé à son neveu a éveillé, consciemment ou i
té consciente ou inconsciente, peut-être dans ses rêves, comparer l' accident de son neveu à l'accident qu'il avait jadis épr
e, peut-être dans ses rêves, comparer l'accident de son neveu à l' accident qu'il avait jadis éprouvé lui-même au niveau de l
u coude. C'est trois mois après soit sept mois après le début des accidents que les mouvements du coude reparaissent pres-
ints. TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 337 î Après l' accident , pendant un mois et demi au moins, le bras pa-
t bien réellement atteint de cette affection bien longtemps avant l' accident dont il a été récemment victime et qui a déter-
l'épigastre, bourdonne- ment, etc. Ce n'est qu'après de semblables accidents pré- monitoires que se développait, chez les ma
ésolution complète, sommeil bien moins réel qu'en catalepsie. Les accidents cataleptoïdes de la stupeur mélancolique sont ass
uite des malades. C'est le seul moyen d'éviter des incidents ou des accidents . Cette assistance sous la surveillance médicale
uns qui permettent de reconnaître « la spécialité nosologique des accidents ... Ces caractères, dit-il, ne sont pas nombreux,
t on peut les résumer dans les cinq propositions suivantes : 1° les accidents hystériques sont la conséquence de troubles pur
chiques ou par des causes physiques qui n'ont aucune action sur les accidents similaires dépendant de lésions organiques ; 3°
jets qui en sont atteints le retentissement profond qu'auraient des accidents similaires mais dépendant d'une autre cause 3.
laissaient à peu près complètement de côté les caractères et les accidents interparoxystiques qui sont si nombreux. Puisque
les travaux de M. le professeur Charcot, à la Salpètrière, sur les accidents traumatiques des hystériques. Reprenant pour le
épart clinique, M. Charcot a pu montrer, en étudiant l'origine de l' accident , ses carac- tères, son évolution et sa guérison
t des paralysies tout à fait identiques dans leurs carac- tères aux accidents naturels'. « Bans certaines circonstances, disa
ctures 1, des hyperesthésies plus ou moins intenses ? et même à des accidents hystériques en apparence tout à fait différents
rait l'importance de l'idée fixe qui , produisait et entretenait- l' accident , la reproduction do faits identiques par la sug
fini par triompher. Le mécanisme psycho-physiologique par lequel l' accident se réalise est encore discuté et discutable, ma
is il n'y aplus guère d'auteur qui nie complètement l'existence des accidents hystériques par imitation, par suggestion, par
t, dans certains cas, on peut constater l'idée fixe qui détermine l' accident hystérique. Le malade rêve de son accident, il
dée fixe qui détermine l'accident hystérique. Le malade rêve de son accident , il y pense sans cesse, et cette pensée obsédan
rique en général mais encore la forme très particulière que prend l' accident . A la même époque, M. Dutil montrait par plusie
ons l'importance des idées fixes et des rêves dans la formation des accidents de l'hys- térie traumatique Quel que soit le mé
es altérations des caractères, elles se manifestent surtout par des accidents d'apparence physique. Ce sont des mouvements in
ées trop faciles deviennent le point de départ d'une grande série d' accidents en apparence corporels3. D M. Strumpell s'accor
Strumpell s'accorde avec les auteurs précédents pour expliquer ces accidents név2,olathiqttes par des représentations, (durc
NÉRALE. II. LE DÉDOUBLEMENT DE LA PERSONNALITÉ. Un grand nombre d' accidents hystériques paraissent dé- pendre de certaines
comme l'a essayé M. \Ieebius étendre cette explica- tion à tous les accidents et la transformer en une définition de l'hystér
ons proposée pour examiner les définitions. '1° Un grand nombre d' accidents hystériques, nettement localisés comme les préc
, il ne le sent même pas, il constate avec étonnement ses propres accidents sans savoir comment ils se produisent 2. Il y a,
ir comment ils se produisent 2. Il y a, en effet, deux catégories d' accidents hystériques que l'on dis- tingue surtout facile
lgré le som- meil. Ce ne sont plus là, au moins en apparence, des accidents qui dépendent d'une représentation mentale. Au
ils n'existent plus. 2° L'hystérique ne présente pas uniquement des accidents permanents de ce genre, elle présente un phénom
l'épigastre pour que la décharge se produise. 3° Considérons des accidents plus précisément moraux, des délires, des somna
endant son somnambulisme ou son délire et il n'y pense pas. Quand l' accident arrive, il est composé par toute une longue sui
, même en laissant de côté les stigmates, en ne considérant que les accidents il est impossible de les ramener tous à des mod
e le somnambulisme, il est facile de remarquer qu'un grand nombre d' accidents hysté- riques peuvent s'y rattacher. Non seulem
qui seront étudiées avec plus de détails dans notre travail sur Les accidents mentaux de l'hystérie. 430 REVUE GÉNÉRALE. av
er et réunir une catégorie importante de symptômes hystériques, les accidents périodiques, mais pa- raissaient laisser de côt
les accidents périodiques, mais pa- raissaient laisser de côté les accidents permanents, ces troubles du mouvement si bien r
ent coexister d'une façon plus ou moins complète. Un grand nombre d' accidents hystériques se rattachent à ce type de l'hémiso
nambulisme. Nous avons été forcé de reconnaître que dans beaucoup d' accidents , l'idée fixe qui devait les provoquer et les en
quelques années un cas de ce genre dans lequel un grand nombre d' accidents se rattachaient à des idées fixes subconscientes.
psychologie normale 2. » Un peu plus tard, nous expliquions divers accidents de l'hystérie et en particulier les contractures
t l'action désordonnée de la personnalité seconde, c'est-à-dire les accidents hystériques... la 1 Charcot. JIal. du syst. ner
die, mais sont en étroite connexion avec le trauma provocateur. Les accidents les plus ordinaires de l'hystérie, même l'hypér
aques banales doivent être interprétés de la même manière que les accidents de l'hystérie traumatique par la persistance d'un
'antécédents héréditaires, n'ajamais fait de maladie, ni présenté d' accidents de nature convulsive, a habité long- temps un r
mmes, dose qu'il est périlleux de dépasser; sinon l'on provoque des accidents du côté de l'estomac et sans avoir d'un autre c
Les dégâts s'élèvent à cent mille francs environ. Il n'y a pas eu d' accident de personne, les pensionnaires de l'établisse-
13 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
se. Enfant naturel. Chute de la première dent à 3 mois. Début des accidents convulsifs à 8 mois. - Succion du Fig. 9. - On5
on vire et chute durant la grossesse. Naissance un peu avant terme. Accidents convulsifs mal caracté- risés du 18" au 3U" jou
ésie. Oncle maternel, ivrogne. Frère asphyxié à ta nais- sance. - Accident au 2me mois de la grossesse. Frayeur légère au
aperçu qu'il respirait encore. - Cessation de la marche après ces accidents . Retour de la marche à 3 ans J2. Sentiments tra
és. Bien que, de son entrée au mois d'août « de cette année, divers accidents aient entravé le traitement, « déjà nous avons
r l'intervention opératoire seule sont légers, douteux ou nuls. Des accidents graves (para- lysie, convulsions, etc.) et même
is s'abandonner à aucune violence ; pas de migraines. [Père, mort d' accident ; aucune maladie. Mère, morte à 78 ans, elle ét
le reste de la famille on ne trouve aucun membre ayant présenté des accidents nerveux.] Mère, domestique, morte il 53 ans d'u
xtait qu'il l'avait perdu, en faisant les commissions. Il n'a eu ni accidents , ni maladie de peau. - Sa mère attribuait son é
à 59 ans, d'une maladie de coeur. Un oncle paternel, sobre, mort d' accident à 48 ans. - Une tante paternelle, 52 ans, bien
e Lasegue, est ainsi conçu : . A eu depuis une fièvre typ/fjfde des accidents cérébraux se manifestant par de la faiblesse d'
gue ; un autre bizarre, n'aurait pas la tête « bien a-sise ». Pas d' accidents nerveux dans le reste de la famille. Pas d'autr
ire. 121 OB9. II. Épilepsie symptomatique. SCLÉROSE ATROPHIQUE. Accidents procuiisifs. Mort... (Henri), né àïlangest (Som
rveuse. - [Père mort à 57 ans, d'une affection pul- monaire ; pas d' accidents nerveux. Mère morte à 83 ans ; elle avait eu, à
i en bonne santé, a eu des convulsions graves jusqu'à 11 ans. Pas d' accidents nerveux dans le reste de la famille]. Pas de co
. Sauf la rubéoli- que, les autres n'ont pas eu de convulsions ni d' accidents nerveux. Notre malade est le 7""= enfant. Émo
chorée, ni migraines, ni maladies de peau. Syphilis a 19 ans, sans accidents secondaires après 2 mois de traitement, sobre e
nerveux, jamais malade, mort à 5 ans d'u- ne pneumonie. Mère, pas d' accidents nerveux, morte à 74 ans. Renseignements insuffi
sur- venu quand il était dans le décubitus abdominal. C'est là un accident qui survient quelquefois lorsque les épi- lepti
llimètres de longueur péné- tra dans le larynx. Il se produisit des accidents graves, des symptômes insolites de bronchite. A
'une quinte prolongée de toux, le corps étranger, cause de tous les accidents . Le second cas a trait à un épileptique qui mâ-
frères, dont deux morts ; les trois autres sont bien portants, sans accidents nerveux. Ni aliénés, ni épilep- tiques, etc., d
thologiques constituaient un terrain bien préparé pour l'éclosion d' accidents nerveux. Les renseignements sur l'apparition et
t l'évolution de l'hydrocéphalie font malheureusement défaut. Les accidents concomittants observés chez l'enfant peuvent se
ques. - Mère, morte à 52 ans, hydropi- que ( ? ), ni alcoolique, ni accidents neuro-arthritiques. Grand-père paternel, sobre,
CÉPHALIE : antécédents. articulaire aigu généralisé à 32 ans. Aucun accident nerveux sauf deux ou trois syncopes ; assez col
mois d'unc maladie restée inconnue. Bien portante auparavant. Aucun accident neuro-arthritique. Pas de renseignements sur le
en nourrice.il fut alimenté au lait de vache. IF n'aurait pas eu d' accidents jusqu'à six mois. La nourrice prétendit même qu
re 1892). - Père, 39 ans, boulanger, puis concierge, n'ajamais eu d' accidents nerveux, ni arthritiques. Pas de der- matoses,
a grossesse. Actuellement la mère est forte, vigoureuse, nie tout accident nerveux et tout excès alcoolique. [ Père, mar-
depuis 7 ans, et était parfois sujette à de fortes coliques ; aucun accident nerveux. - Pas de renseignements sur les grands
paternels, morts assez jeunes. Grand-père maternel, mort à 80 ans d' accident . Grand'mère maternelle, morte à 82 ans, avait e
ants, un de ces derniers a t4 enfants, dont 12 sont vivants et sans accidents nerveux, les deux autres sont morts jeunes.. Tr
crises a prétendu que ce n'était . pas de l'épilepsie. Aucun autre accident pathologique dans le reste de la famille de la
e long voyage qu'elle fut obligée de faire pour l'aller voir. Aucun accident au cours des autres mois, mais émotions fré- qu
lpation, on sent de légers battements, sa compression n'amène aucun accident . la fontanelle postérieure offre à la palpation
té bonne. - L'acouchement eut lieu à terme, sans anesthésie et sans accident .- L'enfant bien portant à la naissance, non asp
t hémiplégie. - Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 5 ans. Accident au 1er mois de la grossesse. - Perte de sang au 7
v excès de bois.ol2s (vins et liqueurs), excès qui étaient suivis d' accidents nerveux violents (roulements à terre, cris, gri
de deux légères lipothymies, elle cessa spontanément et fut le seul accident sérieux de la grossesse. L'accouchement fut nor
suivies de syncopes, se manifestent et, bien qu'il n'y ait eu aucun accident , ni aucune ano- malie constatés à la naissance,
t fort, a été cependant réformé comme faible de constitution. Aucun accident morbide de l'enfance, pas d'antécédents nerveux
ns, elle a eu un léger goitre qui n'a pas tardé à rétrocéder. Aucun accident neuro-arthritique. Nul renseignement précis sur
s survenant à l'époque des règles. Jamais elle n'aurait eu d'autres accidents morbides. [Famille de la mère. - Père, 68 ans,
and-père maternel et chez un oncle paternel, qui s'est suicidé, des accidents cérébraux et la tuberculose tant du côté du pèr
ement, faisait des excès du boisson. Trois tantes maternelles, sans accidents nerveux; une seule d'entre elles a des enfants
s, elle se serait toujours très bien portée et n'aurait jamais eu d' accidents nerveux. [Famille de la mère. - Père, enfant na
éjour au lit de trois semaines. Accouchement naturel, à terme, sans accidents . A la naissance, il avait la tête Hydrocéphalie
le bilan héréditaire ne laisse rien à dési- rer : l'alcoolisme, les accidents convulsifs, la tubercu- lose se manifestent tan
ngestion (250 gr. de pus). Fistule consécutive. 1884. 20 juillet. Accidents de méningite purulente céré- bro-spinale. 31 ju
érieuse que des douleurs articulaires rhumatismales avec quelques accidents cardiaques consécutifs. Il est sobre, doux avec l
intelligent, pas de convulsions ; 79 autre garçon, mort à 5 mois d' accidents cérébraux ( ? ) sans convulsions ; 8° garçon, 1
de son lit sur la tête et resté une heure sans connaissance; cet accident auquel la mère attache beaucoup d'impor- tanoe.
bres inférieurs. Il est fréquemment atteint de bronchite avec des accidents dyspnéiques inquiétants. Etat actuel il juillet
ans, une soeur, 36 ans, bien portante, n'ont pas d'enfants. Aucun accident pathologique ou psychique intéressant connu dans
morte subitement à 39 ans, d'une rupture d'ané- vrysmc( ? ). Pas d' accidents nerveux. - Grand-père paternel, mort dément à 8
tion qui eut lieu les premiers jours du mariage. Absolu- ment aucun accident durant la grossesse. - Accouchement £ prématuré
t flasque et il restait ainsi immobile durant 5 il 10minutes.)i Ces accidents survenaient une fois ou deux dans une journée e
qu'une diarrhée assez rebelle à 2 ans et la rougeole à 4 ans. Pas d' accidents scrofuleux. Outre, le balancement antéro- posté
t. Mère, 60 ans, brocanteuse, ordinairement bien portante, quelques accidents dyspsnéiques (emphysème ou asthme ? ). Aucnn re
Un oncle et une tante sont paralysés, mais sont âgés et n'ont pas d' accidents mentaux. Aucune autre tare pathologique dans la
pute avec des soeurs « qui, dit-elle, lui en voulaient. Aucun autre accident . Accouchement à terme, normal ; l'enfant est né
ans. -Etat actuel. Ces- dugâlisme il9.a1lS. -Otite supsalion purée. Accidents syphilitiques secondaires à 15 ans. Puberté.- E
is été malade avant son affection ultime, n'avait jamais présenté d' accidents nerveux. 300 IITDRO-SCAPHOCI·.PHALI1;. [Famil
G mois. A 2 ans, il eut en un jour dix-sept accès convulsifs. Aucun accident n'en fut la consé- quence, il se leva le lendem
e de roséole et le résultat' négatif d'une enquête à cet égard, ces accidents paraissent d'origine syphilitique. 1889. Dura
22 ans et est mort d'une chute dans un accès à 26 ans. Aucun autre accident pathologique, ni psychique dans le reste de la
conception. Au 5e mois de la grossesse, grande frayeur non suivie d' accidents graves, causée par l'explosion d'une poudrière
des avaient des dents magnifiques et parfaitement ran- gées. 9" Accidents convulsifs.- Les accidents convulsifs sont les
nifiques et parfaitement ran- gées. 9" Accidents convulsifs.- Les accidents convulsifs sont les symptômes de début de l'hyd
ème est bien portant. Chez aucun de ces enfants, l'on ne constata d' accidents nerveux; une demi- (de mère), morte à 3 ans 1/2
stata d'accidents nerveux; une demi- (de mère), morte à 3 ans 1/2 d' accidents méningitiques avec convulsions. Aucun renseigne
de à 10 ans avec délire, sans trouble psychique consé- cutif. Aucun accident nerveux. Physionomie bonne, régulière ; intelli
lieu clès les premiers jours du mariage. Grossesse absolument sans accident à part une syncope à i; semaines, eans conséque
oi... avait été, du reste, vaccinée avec succès iL un an. Pour tout accident scrofuleux, quelques légères adénites cervicale
la naissance, l'enfant jusque-là bien portant et normal, est pris d' accidents méningitiques, de crises convulsives. Parfois,
antérieure oblitérée à 2 ans. Fracture de la cuisse. Rougeole avec accidents méningitiques à deux ans. Période de 3 ans entr
it abandonné son mari et ses quatre enfants. Elle n'a jamais ou d' accidents nerveux. Un (l'ère est mort tuberculeux à 31 an
« asthme » ( ? ), était peintre en voitures, il n'a présenté aucun accident satur- nin, ni nerveux, était sobre. Mère, mort
che ( ? ) soignée par M. Gillet de Grandmont. L'enfant n'a pas eu d' accidents scrofuleux. Il ne grince pas des dents, n'a pas
e de 15 ans, bien portante, d'intelligence normale, n'a jamais eu d' accidents nerveux. Elle a le front bombé, la tête un peu
fermée qu'à -16 mois (Fig. 69, 70) ; 2° fille, morte à 29 mois, d' accidents méningitiques, après une rougeole. Cette enfant,
-Rien de particulier à la conception. - La grossesse se passa sans accidents autres qu'une forte émo- tion à 2mois, causée p
14 (1934) Oeuvre scientifique
matisme dont il demande à être indemnisé en vertu de la loi sur les accidents du travail. Il déclare qu'il éprouve des douleurs
, on peut affirmer que, si l'hystérie intervient dans la genèse des accidents , elle ne joue qu'un rôle d'importance secondaire
ment quand il s'agit de déterminer dans une expertise relative à un accident de travail s'il existe ou non chez le sujet en
e de faire la part exacte de chacun des facteurs dans la genèse des accidents ; il n'en est pas moins essentiel de savoir dét
sont pas très communs dans la pratique habituelle, hormis les cas d' accidents pouvant entrainer des dommages intérêts et je n
e même facteur est capable de faire naître ou entretenir les divers accidents dits hystériques ou pithiatiques. Il n'était pa
le, à la partie moyenne de la région dorsale, quinze heures après l' accident ; le côté paralysé était flasque et les réflexe
ptième cervicale et l'examen avait été pratiqué neuf heures après l' accident ; chez l'autre la lésion avait pour siège la part
irigée sur les racines postérieures de la moelle, mais la crainte d' accidents m'avait toujours empêché de mettre cette idée à
ense très intenses, peut guérir totalement; et cette régression des accidents n'est-elle pas explicable par l'absence de dégé
rtie moyenne de la région dorsale, et dans lequel 15 heures après l' accident , le côté paralysé présentait de la flaccidité,
on organique du système nerveux. Elle ne se rappelle pas avoir eu d' accidents spécifi- ques. Mais elle a eu une grossesse qui
t la partie postérieure de la tête contre le sol. Un mois après cet accident , elle commença à souffrir de maux de tête qui aug
posés à des syncopes mortelles. Pour ma part, je n'ai pas observé d' accidents semblables, peut-être parce qu'en pareil cas, j
'origine de l'attitude scoliotique. Il réséqua l'exostose, mais les accidents persistèrent et se compliquèrent d'un procolis.
peutiques analogues à celles qu'on emploie quand on a affaire à des accidents hystériques n'infirme-t-elle pas l'idée précéde
ariole à 10 ans ; à l'âge de ig ans, chancre qui ne fut pas suivi d' accidents secondaires, mais qui paraît toutefois avoir été
e, me paraît sincère, mon- trent seulement une fois de plus que les accidents initiaux de la syphilis peuvent être méconnus.
t à ce que nous avons pu l'observer à une époque très éloignée de l' accident (sept ans et demi après), alors qu'une partie d
otion. De même que l'hystérie, la goutte peut se manifester par des accidents variés qui se succèdent et se substituent les u
donc, comme je le disais plus haut, je soutiens que tous les grands accidents hystériques, toutes les variétés de paralysies, d
, comme le fait la paralysie radiale. De même que tous les grands accidents hystériques peuvent être repro- duits par sugge
n- fluence exclusive de la persuasion ; il n'y a pas un seul de ces accidents qu'on n'ait vu parfois s'éclipser en quelques i
cérébral plus ou moins prolongé. Tout ce qui précède s'applique aux accidents que j'appelle primitifs, de beaucoup les plus i
Gazette hebdomadaire. DÉFINITION DE L'HYSTÉRIE G6 caractères des accidents primitifs, sont liés d'une façon très étroite à u
accidents primitifs, sont liés d'une façon très étroite à un de ces accidents et lui sont subordonnés ; mais il faut ajouter à
a-t-on peut-être, jusqu'à présent vous avez cherché à défi- nir les accidents hystériques ; comment définissez-vous l'hystérie
ître, que la persuasion fait disparaître et qui sont identiques aux accidents hystériques. Les manifestations de l'hystérie s
stérie incontestable se manifestant par des crises ou quelque autre accident bien caractérisé qui sont réfractaires à la per-
généralement à le guérir. Ce que je viens de dire s'applique aux accidents primitifs. La défini- tion que j'ai donnée des
plique aux accidents primitifs. La défini- tion que j'ai donnée des accidents hystériques secondaires suffit pour connaître l
rique primitive s'impose ; il est indispensable que le lien entre l' accident primitif et l'accident secondaire soit intime et
e ; il est indispensable que le lien entre l'accident primitif et l' accident secondaire soit intime et il faut bien se garde
onséquent, on n'est pas autorisé à considérer ce phénomène comme un accident hysté- rique secondaire. J'en dirai autant du p
thiatiques », c'est-à-dire guérissables par la persuasion, avec des accidents que la persuasion ne peut faire disparaître. Si j
incontestable, mais ces mêmes causes sont capables d'engendrer des accidents nerveux chez les diabé- tiques et de déterminer
ne ? De même que l'hystérie, la goutte peut se mani- fester par des accidents variés qui se succèdent et se substituent les uns
elque temps pour éviter la confusion. De même que tous les grands accidents hystériques peuvent être repro- duits par sugge
fluence exclusive de la persuasion, et il n'y a pas un seul de ces accidents qu'on n'ait vu parfois s'éclipser en quelques i
epos cérébral pins ou moins prolongé. Ce qui précède s'applique aux accidents que j'appelle primitifs, de beau- coup les plus
ore hystériques des troubles qui, sans présenter les caractères des accidents primitifs, seraient liés d'une façon très étroi
dents primitifs, seraient liés d'une façon très étroite à un de ces accidents et lui seraient subordonnés ; mais il faut alor
y a lieu de conserver, au moins jusqu'à nouvel ordre, le casier des accidents secondaires dans lequel on rangerait des troubl
ous me direz peut-être que, jusqu'à présent, je n'ai défini que les accidents hystériques et vous me demanderez de définir l'hy
chothérapie en dehors de l'hystérie ; je soutiens seulement que les accidents hystériques sont les seuls qui soient susceptible
hystérie, où, en quelques instants, vous guérissez complètement des accidents de plusieurs années de durée. 4° On m'a fait
audrait prouver qu'ils sont parfois étroitement subordon- nés à des accidents hystériques primitifs. Qu'on me montre, par exemp
er dans l'esprit de la malade l'idée qu'elle avait été victime d'un accident , et, ensuite, pour me mettre plus facilement à
s que ces phénomènes soient appelés à faire partie de la classe des accidents hystériques secondaires. L'hystérie peut produi
les autres manifestations hystériques. La considère- t-on comme un accident hystérique primitif ? Il faut alors la reproduire
ément après quelques heures de durée. Veut-on soutenir que c'est un accident secondaire ? Dans ce cas, qu'on montre la fièvr
? Dans ce cas, qu'on montre la fièvre étroitement subordonnée à un accident primitif, il une attaque hystérique, par exemple.
ifestations dites hysté- riques ne seraient pas tout simplement des accidents simulés. Voici mon opinion sur cette question,
à bonne école pourrait arriver à reproduire avec précision tous les accidents hystériques, ce qui est une source de difficult
ec rigueur par la suggestion constitue un des deux carac- tères des accidents hystériques primitifs. La seule différence qui
ître, que la persuasion fait disparaître et qui sont identiques aux accidents hystériques. » Comme on le voit l'hystérie et l
emploient pas avec le même succès. Si maintenant l'on songe que les accidents hysté- riques, suivant qu'ils sont soumis ou no
thiatiques », c'est-à-dire guérissables par la persuasion, avec des accidents sur lesquels la persuasion est sans action ou n
ontestablement, d'une part, le rôle de l'émotion dans la genèse des accidents hystériques a été au moins exagéré et, d'autre
iquerai plus loin la signification exacte de ce terme). Ce sont des accidents tels que certaines espèces de paralysies, de cont
sincérité en doute, soit qu'il se fut agi de prétendues victimes d' accidents , réclamant des indemnités, soit que j'eusse aff
une autre origine. J'ajoute, par parenthèse, que le diagnostic des accidents de nature sugges- tive se fonde sur les signes
elles qui est la plus intéressante pour le médecin, l'idée que les accidents en question peuvent, sous l'in- fluence de la p
anifeste. Il ne me parait pas non plus démontré que la guérison des accidents pithiatiques, même quand elle survient dans des
e son état était curable. Il ne me semble donc pas prouvé que les accidents pithiatiques aient des liens étroits avec l'émo
ième et du troisième groupe prédisposent d'une manière spéciale aux accidents pithiatiques. Si maintenant on recherche systéma-
oré indûment par (') J'ai eu, jusqu'à présent, l'habitude d'appeler accidents hystériques primitifs les troubles pithia- tiqu
ore hystériques des troubles qui, sans présenter les caractères des accidents primitifs, seraient liés d'une façon étroite à un
es accidents primitifs, seraient liés d'une façon étroite à un de ces accidents , lui seraient subordonnés et pourraient être co
une de ses compagnes qui, jus- qu'alors, n'avait jamais présenté d' accidents semblables, est prise d'une crise hystérique id
x de Paris à l'hystérie d'il y a vingt à vingt-cinq ans. Les grands accidents , ces paralysies, ces contrac- tures qui duraien
oir été hospitalisés pendant plusieurs années et avoir présenté les accidents hystériques les plus intenses et les plus varié
nt qu'expert, à donner un avis fondé dans les procès relatifs aux « accidents du tra- vail ». A. D'une part, il ne commettr
assé, sujet à méconnaître l'importance de préjudices causés par des accidents et à priver ceux qui en ont été victimes d'un déd
n mesure qu'autrefois de faire obstacle aux abus que la loi sur les accidents du travail a engendrés et dont la conception an
ficié injustement, au détriment d'autrui, de soi-disant victimes d' accidents du travail, que la notion de ces prétendus trou
aura affaire à un sujet se déclarant atteint, consécutivement à un accident , soit d'hé- morragies viscérales, soit de phlyc
ssible d'établir une relation directe entre le trouble observé et l' accident subi, si le trouble ne lui parait pas dépendre de
de quelque affec- tion bien déterminée qui, tout en ayant précédé l' accident , aurait pu être influencée par lui, il doit son
cédemment, la possi- bilité de sa participation à la production des accidents hystériques en apparence spontanés n'a jamais é
tes «permanents» qui, suivant la croyance ancienne, don- naient aux accidents transitoires un cachet d'authenticité. C'était un
s assuré par l'étude systématique d'une série de malades atteints d' accidents hystériques et qui jusque-là n'avaient été soum
nts se mêlent, s'enchevêtrent, et de leur action combinée résulte l' accident hystérique qui désormais subsiste seul tandis q
ster davantage sur l'importance de la suggestion dans la genèse des accidents hystériques. Mais je n'ai pas encore prouvé qu'el
e. Voici en quoi elle consiste : étant donné un malade atteint d'un accident hystérique, on tâche d'établir par son interrog
et par celui de son entourage les circonstances dans lesquelles cet accident a pris naissance; si parmi ces circonstances on
stances on relève une émotion, on la considère comme une cause de l' accident produit. Ce sont des observations de cet ordre qu
me posé, il ne suf- firait pas d'établir que l'éclosion d'un de ces accidents a été précédée d'un choc psychique; il faudrait
nes conditions qui sont ou semblent être propres au développement d' accidents nerveux, on se met en quête de troubles hystéri
nombre de personnes. Plusieurs médecins, ayant assisté à de grands accidents de chemin de fer et soigné immédiatement les bl
s, contrairement à l'émotion qui est incompa- tible avec de pareils accidents , ils jouent dans la genèse de certains HYSTÉRIE
à l'établir. A ce propos, je dois dire qu'à mon interprétation des accidents hysté- riques on a opposé l'argument suivant :
qui marquent bien le mécanisme sur lequel repose la pathogénie de l' accident pithiatique, permettent de le rapprocher, au moin
otion (émotion-choc) ne peut par elle-même provoquer l'apparition d' accidents hystériques, contrairement à ce qui était autrefo
ose môme à leur développement et n'est pas compatible avec eux. Ces accidents , pour apparaître, ont besoin de l'intervention
iner, dans un cas particulier, s'il entre ou non dans le groupe des accidents pithiatiques. Mais tout cela n'empêche en rien
ais tout cela n'empêche en rien d'admettre qu'il existe un groupe d' accidents pouvant être indépendants de toute perturbation p
ouvant être indépendants de toute perturbation physique, organique, accidents susceptibles d'être reproduits par suggestion che
és comme des stigmates pouvant être « perma- nents » et donnant aux accidents hystériques transitoires un cachet d'authentici
e et qui répondent exactement à la définition que j'ai don- née des accidents pithiatiques. Prenons un autre exemple, celui d
l'ai fait remarquer, les grandes émotions semblent même exclure les accidents hystériques. La notion de la suggestion, de l'i
champ visuel ; et à ces stigmates classiques s'ajoutaient tous les accidents possibles de tremblement, d'hémiplégie, monoplégi
humaine n'ayant pas changé, il y avait tout lieu d'admettre que les accidents hystériques se multiplieraient de nouveau si le
ncontrent-ils souvent dans les circonstances actuelles ? GENÈSE DES ACCIDENTS HYSTÉRIQUES rôle de l'émotion. Quelques neuro
dier de près les manifestations de l'émotion, immédiatement après l' accident et en dehors de tout état comrnotionnel. Nous a
iquée ; ils n'ont pas reparu pendant les huit jours qui ont suivi l' accident . Pour la clarté de l'exposition, nous distingue
des troubles émo- tifs divers, mais on ne voit pas se développer d' accidents hystériques à l'occasion de l'émotion. Les ré
s lignes, dans les formations sanitaires de la zone des étapes, les accidents pithiatiques sont par contre fréquents. C'est c
effets sont d'autant plus rapides qu'elle est moins tardive. Les accidents pithiatiques sont plus fréquents encore dans les
de notables proportions. Étant donné le moment où apparaissent ces accidents , on n'est pas en droit d'éliminer la suggestion
it ainsi à tenir compte, dans les complications pithiatiques dont les accidents nerveux de nos malades peuvent être l'objet, d'
jet, d'un moyen terme qui s'intercale entre le shock initial et les accidents , et ce moyen terme serait la confusion mentale lé
n'attachaient d'importance qu'à l'émotion, au shock nerveux et aux accidents hystériques qui suivaient. Il y a des chances pou
es émotions, on le voit, préparent le terrain et prédispo- sent aux accidents hystériques. Elles exaltent la suggestibilité en
cueillies avant la guerre. Entre le choc émotif et l'apparition des accidents pithiatiques il y a une phase intervallaire par
r d'intervenir. A l'appui de l'idée contraire, d'après laquelle des accidents hystériques pourraient être déterminés uniqueme
it succédé, sans solution de continuité, au choc moral. L'étude des accidents hystériques observés en neurolo- gie de guerre
cci- dents hystériques. Nous avons même soutenu autrefois que ces accidents disparaissent infailliblement, sous l'influence
ne vient contredire jusqu'ici ce que nous disions, à savoir que les accidents hystériques et les émotions violentes sont inco
ot attira l'attention sur le rôle du traumatisme dans la genèse des accidents d'hystérie locale ; cette conception fut défendue
ne, rail- way-brain) étaient considérés, sans discussion, comme des accidents organiques, conformément à l'opinion exprimée p
moins vrai que l'on a souvent rattaché à l'hystéro-traumatisme des accidents nerveux de toute autre nature. C'est ainsi qu'a
es et notam- ment les traumatismes de guerre peuvent déterminer des accidents hysté- riques. S'agit-il d'un traumatisme loc
vacuation, dans le coma. Le coma cesse 48 heures après le début des accidents , mais le blessé est atteint de mutisme complet
rée rythmique, qui cèdent rapidement lorsqu'on lui a assuré que ces accidents sont bénins. Au bout de quelques jours, le suje
- pathique et qui n'était pas alcoolique. La nature pithiatique des accidents était tellement évidente, tellement indiscutabl
ndispensable de la suggestion : celle-ci détermine l'apparition des accidents hystériques, les façonne et, ainsi que nous le
évolution. L'émotion et le traumatisme ne font que prédisposer aux accidents de cet ordre : ils augmentent la suggestibilité
tinué à décrire sous ce nom, outre des phénomènes pithiatiques, des accidents nerveux qui n'ont pas la suggestion pour origin
ndividuelles des malades. Une description complète et détaillée des accidents hystériques observés en neurologie de guerre se
capable de faire disparaître. Ils constituent bien en eux-mêmes des accidents hysté- 536 HYSTÉRIE-PITHIATISME riques (nous
de véritables désordres organiques sur lequels se sont greffés des accidents pithiatiques qui survivent à ceux-ci. On observ
tisans de la doctrine ancienne ; chez de nombreux sujets atteints d' accidents qualifiés d'hystéro-traumatiques, on avait en eff
teurs ont supposé que ces troubles, sans constituer il est vrai des accidents hystériques proprement dits, étaient le résulta
, d'hématémèse, de mé- lama, d'hématurie, d'anurie, ni aucun de ces accidents dont la réalité était admise autrefois sans con
doute à ce queles traumatismes de guerre ontfait surgir une série d' accidents nerveux qui ont été d'abord mal interprétés et ra
celle qui avait consisté, jadis, à considérer comme hystériques des accidents liés à des lésions du système nerveux central,
mentale telle que l'hébéphré- nie. Il n'est pas rare d'observer des accidents hystériques, des paralysies, des contractures,
itre, nous croyons utile de les rapporter ; les voici : i° Pour les accidents hystériques, pithiatiques purs : ni» réforme, ni
s purs : ni» réforme, ni grati(i ? cation. 2° Pour les cas où les accidents pithiatiques sont associés à des désordres orga
ou du moins n'a pas d'action directe. En déclarant que, pour les accidents hystériques purs, il ne doit être question ni d
plupart des neurologistes ne met plus en doute aujourd'hui que les accidents hystériques, auxquels convient bien la dénominati
n est plus à compter, en effet, les très nombreux sujets atteints d' accidents hystériques-pithia- tiques qui ont été récupéré
isme et troubles nerveux d'ordre réflexe, Masson, igi8. Parmi les accidents nerveux constatés en neurologie de guerre, il c
répondent à aucun territoire ana- tomique connu ; et cependant, ces accidents sont parfois d'une assez grande ténacité et, co
hénomènes pithiatiques, ils résistent à la contre-suggestion. Ces accidents se distinguent des manifestations hystériques par
les raisons pour lesquelles il nous semble permis de considérer ces accidents comme étant d'ordre réflexe et nous dirons ce q
celles de Charcot, on trouve enfin de remarquables descriptions des accidents de cette espèce. ' Charcot('), étudiant les a
aralytiques et atrophiques... Pour ce qui est de la persistance des accidents deuthéropathiques (paralysie et atrophie) après l
ns profondes des membres peuvent devenir le point de départ de tels accidents . Nous retrouvons très explicitement indiqués da
l'hystérie et qui sont entrés tout naturellement dans le groupe des accidents hystérotraumatiques le jour où ce groupe a été
e, la distinction entre les troubles nerveux d'ordre réflexe et les accidents hystériques était pour ainsi dire impossible et
ient pas de l'hystérie et qui se rattachaient vraisemblablement aux accidents dits réflexes. Mais la réflectivité tendineuse du
s les mêmes conditions, un certain nombre de blessés présentant des accidents analogues et nous avons plusieurs fois noté pen
ont montré qu'il fallait y regarder de près avant de rattacher des accidents nerveux à l'hystéro-traumatisme et que l'absence,
greffer sur une épine organique initiale. Claude décrit, à côté des accidents hystériques, « certaines manifestations similai
elle et des nerfs, ainsi rice les lésions des vaisseaux) : i° Les accidents hystériques, pithiatiques proprement dits; 2" L
i° Les accidents hystériques, pithiatiques proprement dits; 2" Les accidents nerveux, nettement distincts des précédents, qui
réapparition transitoire sous l'influence de la chaleur. De pareils accidents ne pouvaient s'expliquer que par l'as- sociatio
e ce qui revenait dans cette association à chacun des deux ordres d' accidents . Un autre soldat, à la suite d'une transfixion
de la surexcitabilité mécanique, carac- tères qui appartiennent aux accidents d'ordre réflexe. Mais ces désordres, quelle qu'
e la voie du sympathique. Du reste, il n'est pas surprenant que des accidents d'ordre réflexe puissent être la conséquence d'
lle et des nerfs, ainsi que les lésions des vaisseaux) : « 1" Les accidents hystériques pithiatiques proprement dits ; « "
1" Les accidents hystériques pithiatiques proprement dits ; « " Les accidents nerveux, nettement distincts des précédents, qui
572 et p. 966 (conclusions). SRf TROUBLES PHYSIOPATHIQUES S « Les accidents nerveux répondant à cette deuxième catégorie se p
es signes objectifs sui- vants qui permettent de les distinguer des accidents nerveux de la pre- mière catégorie : troubles v
ques généraux. Sans qu'il y ait lieu de contester la curabilité des accidents nerveux de cette catégorie, il faut reconnaitre q
ster. En ne les négligeant pas, on aura toutes chances d'éviter les accidents qu'on a pu observer après la ponction lom- bair
à l'endroit indiqué et qui est intra-dure-mérienne. Aggravation des accidents pendant quelque temps. Puis, amélioration progr
d'en descendre. Une autre malade (3), chez laquelle le début des accidents semble très ancien, pré- sente à la fin de 191
eil droit, car il est devenu borgne à gauche, à la suite d'un autre accident survenu il y a plus d'un an ; la tête, outre qu'e
servation d'un enfant de t quinze ans atteint, consécutivement à un accident d'automobile, d'une contracture généralisée au
fs. Troubles nerveux consé- cutifs aux lésions des centres nerveux. Accidents hystériques. Troubles ner- veux d'origine réfle
15 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es [seules qui puissent causer la mort. La terminaison fatale par accidents cérébraux est déjà signalée par Hamilton ' qui
it certainement d'autres cas de termi- naison fatale à la suite des accidents cérébraux tels qu'ils ont été indiqués parles a
a plupart de ses malades avaient déjà présenté antérieurement des accidents cérébraux graves (convulsions', attaques épilep
es, etc.). Mais il s'en faut heureusement que le pronostic de ces accidents soit toujours aussi grave; un peu avant l'appar
taux, 1873. 1 Glénereau. Sur une épidémie d'oreillons 'compliqués d' accidents cérébraux (Bull. de Thérap., mai, É884). 4 CL
a goutte, on trouve un cas d'o- reillons dans lequel il survint des accidents cérébraux sous forme de délire avec illusions d
est calme, le pouls est à 40, pas de dilata- tion des pupilles. Ces accidents disparaissent rapide- ment après une nuit tranq
souvent citée, fit bien connaître en France la possi- bilité de ces accidents nerveux et les rendit classiques. On connaît le
ésirons montrer, c'est qu'il existe dans le cours des oreillons des accidents cérébraux autres que ces phénomènes méningitiqu
ns des accidents cérébraux autres que ces phénomènes méningitiques, accidents qui ne sont plus comme ceux-ci aigus et transit
trouve de l'aphasie et une pa- ralysie localisée au bras droit. Ces accidents furent transitoires. Il s'agissait d'un jeune
-ch. de Liège, mai 1884. 8 CLINIQUE NERVEUSE. vulsifs, etc.), les accidents s'amendèrent rapidement et au bout de cinq jour
'artillerie à Orléans, s'esttoujours bien porté, et n'a jamais eu d' accidents de rhuma- tisme, ni de syphilis. Ses parents (p
maintient stationnaire et il faut arriver au douzième jour après l' accident , au 10 avril, pour voir reparaître quelques mou
, sans beaucoup de succès, il faut l'avouer. Pour Eichhorst', ces accidents seraient dûs simple- ment à une hyperhémie céré
ons que nous avons rapportées : chez le malade de Janson-Zuède, les accidents cédèrent en peu de jours aux émissions sanguine
La nuit suivante, le sommeil est assez bon et, le matin, les mêmes accidents se reproduisent. Les accès augmentent d'intensi
tion progressive de la paralysie en huit semaines. Depuis lors, les accidents se reproduisirent de la même façon chaque année
e onze mois signalé dans l'obser- vation de Môbius et le retour des accidents à l'âge de trois ans. Le début à douze ou treiz
, tous les ans, d'une façon transitoire, elle était sujette au même accident . Le 14 octobre, de nouveau paralysie totale per
- viennent à la suite des lésions du cerveau, si nettes lorsque l' accident originel remonte à une époque assez éloignée, ne
les lésions secondaires que plusieurs mois (cinq, six mois) après l' accident initial : dans notre OBSERVATION 11, tout au mo
premier nous rangerons les diverses hypo- thèses qui attribuent les accidents mortels à des altérations matérielles et appréc
l récent, Abeles a signalé chez trois diabé- tiques, morts avec des accidents acétonémiques, l'accumulation de glycogène dans
est primé par l'existence d'un produit toxique, cause réelle des accidents . Une part plus importante doit être faite aux l
puie que sur la disparition brusque du sucre urinaire au moment des accidents ; mais cette suppression de la glyco- surie est
n excès et son passage dans le sang détermineraient l'explosion des accidents . Gehrard et Rupstein ont depuis admis que l'acé
ar lésion cérébrale grossière, ramollissement ou hémorragie, et des accidents urémiques liés à une complication brightique év
ans les urines ou dans l'air respiré. Dans l'un, à aucun moment des accidents qui amènent la mort, on ne constate ni l'odeur
lle de Frerichs, ne nous paraît pas soutenable. La manière dont les accidents se produisent, leur similitude dans tous les ca
ômes qui ne diffèrent pas plus de ceux du coma diabétique que les accidents provoqués par Quincke ou par Gehrardt avec l'éthe
chimiques, de constitution analogue, sont capables de produire des accidents semblables à ceux de l'acétonémie. La démonstra
ond qu'elle s'y trouve en trop petite quantité pour donner lieu aux accidents mortels dont on la rend res- ponsable. Mais l'a
n'éliminant plus l'acé- tone, celle-ci s'accumulait et amenait les accidents mortels. Mais cette hypothèse ne résiste pas à
ion spéciales de l'urine, et cela, à diverses reprises, sans autres accidents qu'un peu d'excitation ou de dépression et quel
bétiqise simple ou collapsus diabétique servant à différencier les accidents de tout autre nature dont nous avons formé notr
DIABÉTIQUE I. Coma diabétique simple ou collapsus diabétique. Les accidents que nous réunissons sous ce titre doivent être ab
eul frappé l'attention du médecin. Aujourd'hui que la possibilité d' accidents comateux comme terminaison du diabète est une c
le détail des divers symptômes qui précèdent ou accompagnent ces accidents . Or, ni le début ni les caractères objectifs du
ssement qui, dès les premiers moments, révèle la gravité fatale des accidents , s'accompagne d'un abaissement de la températur
organisme ; l'acétone ne saurait donc être rendu responsable de ces accidents de collapsus. Par cette seule raison que l'odeu
e toute nécessité exister pour justifier la nature acétonémique des accidents ; et, réci- proquement, chaque fois que ces deu
e nous ne saurions admettre, comme le veut Frerichs, deux groupes d' accidents , suivant que l'on observe ou non la douleur tho
assistants. L'odeur de l'haleine est parfois le premier indice des accidents graves qui menacent le dia- bétique ; dans d'au
erçue, et comme le médecin n'est souvent appelé qu'au moment où les accidents inquiétants se produi- sent, on comprend que ce
s variétés principales, suivant la prédominance symptoma- tique des accidents , et admettre une acétonémie gastro.irates- 70 R
onstitution de variétés cliniques, au point de vue de la marche des accidents , est plus légitime. La plus commune, celle que
jusqu'à la mort. Môme dans cette forme aiguë de l'acétonémie, les accidents n'ont pas toujours une évolution aussi précipit
a quantité de sucre diminuait de moitié; pendant toute la durée des accidents , outre l'odeur de l'haleine, nous pûmes constat
produite en trop faible quantité pour déterminer immédiatement des accidents graves; ou bien l'organisme du malade est encor
crut d'abord à des accès d'asthme et ne modifia pas son régime. Les accidents s'aggravèrent dans la nuit du dimanche au lundi ;
trait à des femmes, Frerichs de même a observé moins souvent des accidents acétonémiques chez la femme que chez l'homme. P
pour venir consulter un médecin ou pour se rendre aux eaux que les accidents éclatent. Nous avons rapporté dans nos Éludes m
lication qui épuise le diabétique. Dans notre Observation LXXV, les accidents se sont dévelop- pés dans la convalescence d'un
ue. Le traumatisme (Verneuil) a été aussi observé comme cause des accidents . Albuminurie. Chez deux de nos malades (OBs. XX
roduire chez des malades soumis au régime exclusivement carné ; les accidents disparaissaient après la suppression du régime.
mblerait que l'emploi des opiacés puisse aider au développement des accidents toxiques. Il est difficile d'attribuer d'une ma
écutive a des lésions céphaliques et à des commotions traumatiques ( accidents ). -Ce genre d'accidents donne naissance : Il à
phaliques et à des commotions traumatiques (accidents). -Ce genre d' accidents donne naissance : Il à des modifications dans l
lité dans le sens le plus large du mot. Il s'agit générale- nieul d' accidents de chemins de fer. Ces manifestations sont géné
t concentrique du champ visuel. Mais il varie en raison directe des accidents psychiques, quelle que soit la progression de l
elligence est plus obtuse que jamais. Elle ne parait avoir eu aucun accident convulsif. Elle est malpropre depuis deux ans.
cependant on n'a qu'un gardien par dix malades; les évasions et les accidents ne sont pas plus nombreux qu'ailleurs, 80 p. 10
ades. L'un en proie presque continuelle- ment pendant dix ans à des accidents syphilitiques, sans autre cause constatable de
avec sensation de brûlure et d'engourdissement dans les pieds; ces accidents disparurent quand les patients cessèrent la dég
rir, on doit pouvoir, dans le cas de paralysie, mettre à l'abri des accidents du décubitus la peau bien plus résistante, en r
la mort de sa femme ; le 2° est mort à soixante ans à la suite d'un accident ; le 3° a soixante-quinze ans et est bien porta
l'accès d'aliénation mentale qu'il a eue semble avoir été un simple accident . En résumé, pendant le cours d'une fièvre saiso
semble indi- quer que l'aliénation mentale n'a été chez lui qu'un accident . Cette exposition descriptive terminée, envisag
e plus en plus au sur et à me- sure que l'on voyait disparaître ces accidents surajoutés et que, d'un autre côté, la physiono
e, des couches optiques, etc., reste donc inconnu, par le fait de l' accident qui m'est arrivé dans la conservation des Fig.
égulière et, quelque temps après, angine diphtéritique bénigne. Les accidents de la malaria revenant de temps en temps déci-
ant en pathologie le nom de morbus divinus; la voilà sous le coup d' accidents épileptiques qui ne cesseront pas de se montrer
. Une circonstance à signaler, c'est l'absence de délire ou d'autre accident cérébral observés chez des rhumati- sants non h
tôt que ce sont les capsules. 21 mai. L... n'a pas eu de nouveaux accidents . Son écriture a repris les caractères qu'elle a
ctes. C'est aux altérations du cône que M. Kir- chhoff rattache les accidents anovésicaux; le centre de ce nom siégerait, pou
ur cutanée perceptible au toucher (action vaso-mo- trice ? ). Pas d' accidents épileptiformes. Nullité des facultés psychi- qu
s. Nullité des facultés psychi- ques. Marasme et mort, sans que les accidents du ;décubitus se fussent étendus. Au<opSM, d
à la moitié gauche de la face et au bras gauche ; répétition de cet accident de plus en plus fréquente avec périodes de sopo
ous éléments que, lorsqu'il s'est écoulé un temps très long entre l' accident et les phénomènes psychopathiques, un spécialis
Il y a environ vingt ans, il éprouva en déchargeant du blé un grave accident crânien. Depuis lors, il se plaignit parfois, not
es douleurs, enjoué, gai. Mais, dès la quinzaine suivante, tous les accidents psychiques reparaissent : idées délirantes avec
pli- cité. La guérison s'est maintenue. M. Schroeter rattache à l' accident d'il y a vingt ans les premiers phénomènes sensor
apte qu'à la garde d'une mère débile et hystérique ; on redoute des accidents . Traité sans résultat à l'hôpital. Entré à l'asil
deuxième frontales gauches, suscite l'hypothèse, qu'à l'époque de l' accident , il peut y avoir eu lésion de l'écorce du cer-
ndividus encore capables de travailler, brusquement fauchés par des accidents traumatiques. On trouva dans le cerveau des gom
Voy. Progrès médical, 1885. SOCIETES SAVANTES. 289 morphine. Les accidents , qui résultent du morphinisme chro- nique, et q
ent à la suite d'un sevrage en appa- rence très fructueux, sont des accidents psychiques capables d'aboutir, à l'occasion, au
ciales unilatérales, formes cliniques pures, à rapprocher des mêmes accidents portant sur le tronc et les extrémités dont ell
rd'hui qu'une lésion limitée au cer- veau ne produit que de simples accidents de déficit fonctionnel qui dépendent exclusivem
u d'expec- toration ; absence complète de murmure vésiculaire, et d' accidents cardiaques. Chaque accès entraîne le découragem
n qui établissent le rapport entre le complexus symptoma- tique des accidents psychiques et l'asthme. Dans les trois autres f
d'hallucina- tions de la vue, d'une ressemblance frappante avec les accidents du cas de Griesinger (névralgie de la cinquième
andis que la pa- ralysie envahit les extrémités supérieures. Le 27, accidents bul- baires ; difficulté de la déglutition et d
baires ; difficulté de la déglutition et delà respiration, mais ces accidents rétrocèdent bientôt; état stationnaire quant à la
on au fer rouge révèle par ses résultats la nature hysté- rique des accidents . M. Fuerstner (d'IIeidelber;).,Nouvcllcs commun
t des années, il y avait eu des accès d'épilepsie, suivis de graves accidents cérébrospinaux, survenus dans le pre- mier cas,
e qu'il persiste plus de trois fois vingt-quatre heures. A part des accidents accessoires tels que le saut d'une fenêtre pendan
re dans les idées, provoquer de nouveaux excès qui engendrent les accidents sus-énoncés. Enfin l'état de nutrition générale
onnelle, mais la recher- che décèle le concours del'abstiuence, des accidents , des malaises. Les troubles digestifs revêtent
d'être en tant que groupe univoque, car diverses causes (blessures, accidents gangreneux du décubitus, diarrhées, attaques d'
alors que l'anesthésie est réa- lisée. Enfin la physionomie de ces accidents est com- plétée par l'atrophie et la diminution
être produites par la diphthérie. Toutefois la marche clinique des accidents observés chez le malade offre une ressemblance
très vif de cette scène; et si, dès cette époque, elle n'eut pas d' accidents nerveux,- elle eut du moins des troubles du som
server attenti- vement sa fille, la date précise de l'explosion des accidents ner- veux dont elle a souffert, sans interrupti
donne du musc; le strabisme cesse, elle devient sourde. 0 Quand un accident , d'une certaine forme cessait, dit sa mère, un
en dehors du cercle du bleu, à gauche surtout. Interrogée sur les accidents nerveux dont elle souffre, Annette G... dit que
- tant cependant toujours dans le type classique. La mobilité des accidents nerveux s'est doublée, comme il arrive presque to
éfecture de police, la suppression de la morphine fut brusque : des accidents vertigi- neux, des spasmes, des syncopes survin
quement, poussait un soupir, paraissait entrer en syncope. Tous ces accidents duraient à peine quelques secqndes, etelle repren
intéressé 'ce lobe, et dont les traces auraient été effacées par l' accident terminal survenu un an plus lard. Suivant l'opi
lité pupillaire, atrophie musculaire et cutanée, cv-tite, in-omnie, accidents du décubitus; mort. Au- topsie. Congestion, éta
repas une heure après. La douleur lombaire ne reparut pas, et aucun accident nouveau ne survint. Ce fait démontre d'abord qu
l'injectant sous la peau on obtient une légère brûlure sans autres accidents ; on peut aussi le donner à l'intérieur en goutte
thésie, anesthésie, unilatérale, bilatérale, etc.), de la motilité ( accidents convulsifs, paralytiques, unilatéraux, ambilaté
16 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
on et parfois même une expulsion effective de matières fécales. Ces accidents se reproduisaient d'ordinaire deux ou trois fois
il-leurs. Je ne connaissais pas alors le lien qui rattache ces divers accidents . Les crises gastriques ont disparu ; mais le ma
r un certain nombre de malades chez lesquels vous pourrez étudier cet accident . Ce sera en même temps, pour vous, une occasion d
que des accès fulgurants siégeant dans les mem-bres inférieurs. — Ces accidents remontent à 5 ou 6 années. Il y a deux ans est su
encore de lire les gros caractères. J'ajouterai que le début de ces accidents par un œil et la lo-calisation prolongée de la lé
tion vulvo-vaginale abondante. Le rectum peut être aussi le siège d' accidents singuliers. Nous rappellerons ici le cas d'un mal
rdre. Or, remarquez cette particularité, il n'existait au moment de l' accident aucun signe d'incoordina-tion motrice. Les jambes
lésion protopathique du système nerveux n'est pas, tant s'en faut, un accident exceptionnel. Je vous l'ai fait pressentir lorsqu
a partie latérale droite du sacrum et sur la fesse du même côté Ces accidents pourraient être considérés comme ne consti-tuant
t jours je reprendrai le cours de mes conférences et je traiterai des accidents qui résultent de la compression lente de la moell
t rapprochées les unes des autres, au moins un instant. En effet, les accidents qu'elles occasion-nent, en interrompant le cours
la tumeur. Ces hémorragies pourront se révéler pendant la vie par des accidents subits et, après la mort, donner le change en fai
qui diffère de la compression ordinaire. L'affection qui produit ces accidents n'est pas rare, et il est possible delà reconnaît
ott, nous ont toujours montré, même à une époque voisine du début des accidents , une altération de texture plus ou moins profonde
qui ont surmonté les premières phases du 1 Leudet. — Curabilité des accidents paralytiques consécutifs au mal ver-tébral de Pot
s-nous à l'étude topographique de la région où se produisent tous les accidents que nous allons avoir à décrire. En procédant d
la première appa-rition des symptômes spinaux proprement dits. Les accidents qu'entraînent les pseudo-névralgies, chez les mal
souffrance. Quels sont les symptômes qui vont inaugurer la série des accidents nouveaux ? Sont-ce les troubles moteurs ou les tr
phie remarquable. Les urines en même temps deviennent purulentes. Les accidents surve-nant dans de telles conditions sont, en gén
arente d'une cause nouvelle, d'une complication quelconque, ces mêmes accidents peuvent se manifester plus ou moins rapidement, à
sions car-diaques, dans certains cas, pour expliquer le pouls lent. — Accidents liés au pouls lent permanent : Syncope, état apop
e le malade succomba, quatre mois environ après le début des premiers accidents . La moelle épinière, à l'autopsie, fut trouvée ra
-quatre heures. Néanmoins pendant les quatre semaines qui suivirent l' accident , en outre de la dilatation pupillaire déjà si-gna
'y surajoute, ainsi que je le laissais pressentir tout à l'heure, des accidents graves capables de déterminer rapide-ment la mort
les de déterminer rapide-ment la mort. Voici d'ailleurs en quoi ces accidents consistent. Ils sur-viennent par accès, se répéta
ent pas. Quelle est donc l'ori-gine du ralentissement du pouls et des accidents qui s'y sura-joutent dans les cas du dernier genr
persista longtemps; cepen-dant durant les deux années qui suivirent l' accident , ce gentle-man put se livrer tant bien que mal à
s, apoplectiformes et épileptiformes, s'observe quelquefois à titre d' accident consécutif a la diphté-rie. Il y a lieu de croire
itish med. Journal. C'est ici le lieu de vous remettre en mémoire l' accident ter-rible qui se produit assez fréquemment dans l
bite, la mort « sans phrase » — passez-moi le mot — qui s'ensuit. Cet accident , je le répète, est loin d'être rare. M. Ogde, à l
ici encore un nouveau trait. Aune époque très rapprochée du début des accidents , la contractilité électrique faradique est amoind
que de la vie où la maladie a éclaté, la brusquerie de l'invasion des accidents , le mode de localisation de l'atrophie des muscle
des quatre membres brusquement développée. Un mois après le début des accidents , le mouvement commença à reparaître dans le bras
mbre 1873, c'est-à-dire deux mois et demi après le début des premiers accidents . Je constatai alors ce qui suit: des deux côtés,
liquai à faire ressortir surtout le début brusque, presque subit, des accidents paralytiques, et mar-qué par une période fébrile
le secours d'appareils électriques ; qu'enfin le retour agressif des accidents n'était guère à re-douter 1. La suite de l'obse
is, dans le cours de sa lon-gue carrière, la rétrocession normale des accidents de la paralysie spinale in-fantile être entravée
ssus du plan du lit. On assure que, quelques jours après le début des accidents , l'amaigrissement des cuisses était déjà apprécia
e, soit dans les muscles, soit dans les nerfs, le point de départ des accidents , serait fort compliquée, fort embarrassée et ne r
c une rapidité singulière, 4, 6, 10 jours après le début des premiers accidents et qu'elles contribuent puissamment à déterminer
s points, s'était désagrégé, vraisemblablement par le fait de quelque accident de prépa-ration, et avait laissé à sa place des l
té relative de son évolution, considérée depuis le début des premiers accidents jusqu'à la terminaison fatale. Celle-ci ne se fai
ypoglosse et pneumogastrique sur-tout, que doivent être rapportés les accidents qui déterminent la mort. Cela contraste avec ce q
peut être espérée. A part leur mode d'invasion et de progression, les accidents , qui constituent la maladie, reproduisent, avec a
emble. Il n'ap-paraît pas que la maladie puisse, par le seul fait des accidents qui lui sont propres, déterminer jamais directeme
exacerbation de la maladie des voies urinaires précède l'invasion des accidents spinaux. — Symptômes : fourmillements, anesthésie
à des amendements et à des exacerbations successives. L'invasion des accidents est quelquefois rapide ; leur cessation peut avoi
ntion d'urine 1 occasionnée par un refroidissement. En général, les accidents spinaux apparaissent plusieurs années seulement a
Gull, la mort est survenue quinze jours seulement après le début des accidents paralytiques. Voici maintenant les renseignemen
nt une modification rapide et parfois même une cessation complète des accidents paralytiques, sous l'influence d'un amendement da
eillie avec le plus grand soin. Il faut faire remonter les premiers accidents vers l'âge de 17 ans ; — aujourd'hui G... est âgé
fort complexe, j'ai négligé à dessein de vous entretenir de certains accidents nerveux que Gir... a éprouvé pendant une bonne
Je pourrais citer aujourd'hui un bon nombre d'autres exemples où les accidents vertigineux dont il s'agit ont été très notableme
urait être vraiment caracté-ristique. C'est le mode de groupement des accidents , leur mode d'évolution, d'enchaînement, la réunio
toutes parts. Nous verrons, dans un moment, quand elle marchera, des accidents analogues se montrer du côté du membre inférieur
-tracture ; enfin le début brusque et véritablement apoplecti-que des accidents . Ce sont là, vous le voyez, des phénomènes qui n'
ou l'autre de ces lésions organiques qu'il convient de rapporter les accidents que j'ai relevés chez noire malade. Les mouveme
sité d'une intervention thérapeutique énergique. Modes de début des accidents convulsifs. — Nouveaux exemples à l'appui. — Succ
pelé par M. le Dr Malhéné auprès de M. X..., âgé de 42 ans, atteint d' accidents céré-braux graves et confiné par ce fait dans sa
rce qu'il craignait toujours d'être repris, dans la rue, de nou-veaux accidents . Vers le milieu du mois de novembre, sans cause
ans, c'est-à-dire 12 ans environ avant l'apparition des pre- miers accidents épileptiformes, M. X... avait contracté un chancr
être exposés, je me crus autorisé à déclarer qu'à mon sens les divers accidents , éprouvés par M. X... depuis dix-huit mois, devai
ngée de doses moyennes s'était montrée insuffisante pour conjurer les accidents et aussi pour les combattre une fois dé-veloppés.
supérieurs, ou par un des côtés de la face, que s'opère le début des accidents convulsifs, dans la grande majorité des cas d'é
n'avait pas cessé de sévir, s'exaspérant cruellement au moment où les accidents convul-sifs allaient se déclarer. Je trouvai en
es re-marques intéressantes de M. Buzzard. (Loc. cit., ?p. 83). les accidents nerveux éprouvés par M. B.,., et je l'engageai à
Pendant un court séjour que j'ai fait en..., un an environ après l' accident du 24 août 187., j'ai eu le plaisir de rencon-tre
c les interruptions réglementaires, pendant environ trois mois. Aucun accident nerveux n'avait reparu. Il peut arriver que les
ma-nifestations syphilitiques qui ont suivi, de près ou de loin, l' accident primitif, figurent une double iritis extrêmement
près ce qui lui en a été dit par les as-sistants. A la suite de cet accident il fut décidé, qu'en raison de l'état depuis plus
e la perte de connaissance était survenue. Le véritable caractère des accidents convulsifs venait ainsi de se révéler : à partir
iétal droit, les in-tervalles des accès étaient restés libres de tout accident per-sistant; mais, dans les premiers jours d'octo
ed en plein air, pendant plus d'une heure. Depuis le 30 oc-tobre, les accidents nerveux n'avaient plus reparu. Malheureusement,
endant un laps de temps suf-fisant ; à la suite de ce traitement, les accidents nerveux dispa-rurent définitivement. M. K... es
s m'empêcher de croire, cepen-dant, que dans les cas où la nature des accidents nerveux étant reconnue à temps, le plan de traite
d'iodure de potassium principalement, dans le but de combattre divers accidents qui toujours étaient rattachés, à tort ou à raiso
céphalalgie et des autres phénomènes qui l'accompagnaient. Aussi les accidents allaient-ils toujours s'aggravant. Un jour on m
ux d'apprendre que, depuis l'époque où je l'avais perdu de vue, aucun accident n'avait reparu. (J.-M. C.) 1 Medical Gazette, J
rapidement ; le cal est volumineux, difforme. Depuis l'époque où cet accident a eu lieu, la main gauche présente une déformatio
connaissance, fit connaître que de temps à autre il souffrait de ces accidents , depuis l'époque où la toux spasmodique s'était m
amené à penser que, dans les cas de ce genre, le point de départ des accidents est peut-être une irritation particulière des ner
océda à l'extirpation. L'opération réussit complè-tement; depuis, les accidents épileptiformes n'ont plus re-paru. » Dans ses d
chats moulés, vermifor-mes. » Pendant le cours de l'année 1877, les accidents spéciaux dont on va donner la description d'après
nts sur la région du larynx ; après trois semaines de traitement, les accidents avaient complètement disparu. » On a pu remarqu
un ou plusieurs membres semble être chose fréquente. Dans un cas, les accidents convulsifs ont revêtu la forme de l'épilepsie par
urd'hui, à titre de proposition, au moins très vraisemblable, que les accidents groupés sous cette dénomination répondent à une f
jours ainsi. On a vu déjà par l'observation du Dr Sommerbrodt que des accidents analogues peuvent se rattacher à la présence d'un
supérieures de la trachée, comme étant le point de départ de tous les accidents . On pourrait invoquer encore les données expérime
lindres axi-les normaux mesurant 0 ¡x, 0033. heures environ après l' accident . Une balle était entrée vers l'é-paule droite et
s'était manifestée. Le huitième jour, à partir du début des premiers accidents , la mort survint inopinément à la suite d'un accè
sie, il se trouvait ramolli ; la mort était survenue 13 jours après l' accident . Les cylindres d'axe, tuméfiés et-variqueux, se r
ble de la sensibilité marqua pour les membres supérieurs le début des accidents . Bientôt après l'atrophie s'empara desmus-ctes de
e et une légère sclérose corticale. 11 est donc assez naturel que ces accidents , dans l'ordre anato-mique, se soient traduits pen
rel d'admettre, pour expliquer la dyspnée habituelle, de même que les accidents qui ont rapidement terminé l'existence de la mala
able de mucosités que la malade ne pouvait rejeter. Le lendemain, ces accidents pa-raissaient en partie dissipés ; mais, dès le s
ent dits, mais elle est le plus souvent encore troublée par les mêmes accidents . L'examen direct du voile du palais n'y fait re
lésions cardiaques dans certains cas pour expliquer le pouls lent. — Accidents liés au pouls permanent : syncope, état apoplecti
exacerbation de la maladie des voies urinaires précède l'invasion des accidents spinaux. — Symptômes : fourmillements, anesthésie
ssité d'une intervention thérapeutique énergique. Mode de début des accidents convulsifs. — Nouveaux exemples à l'ap-pui. — Suc
17 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
gnorer le pourquoi de la maladie actuelle ; ne se souvient pas d'un accident primitif et dit que ces taches sont apparues il y
stoire de la maladie. Né a terme, il a eu dans l'en- fance quelques accidents . A huit ans il fut atteint d'une chorée qui dura
lyser. L'enfant en effet avait à peine dépassé 3 ans ; le début des accidents coïncidait assez bien avec les attaques convuls
onc dans les an- técédents du petit malade, dans cette succession d' accidents qui avaient fait songer des médecins experts to
bien caractérisés et d'aphasie ; enfin, la prompte disparition des accidents , trop variés d'ailleurs pour re- lever d'une lé
sme, peut-être même de la commotion cérébrale dans l'apparition des accidents ; mais cela suffit- il à les expliquer ? L'aute
e provoquer chez un individu bien portant jusque-là, l'apparition d' accidents hystériques, il est tout naturel qu'une affecti
) que revient l'honneur d'avoir établi nette- ment l'existence d' « accidents hystériques simulant l'épilepsie partielle ». S
elle-ci est monosympGomatique (2). On se trouve alors en présence d' accidents locaux, isolés qui, mieux que tous les autres a
présence d'accidents locaux, isolés qui, mieux que tous les autres accidents de la névrose, simulent les affections chirurgica
convulsive et en particulier l'hys- térie des enfants ». Mais ces accidents d'HYS'rÉuiE locale ne sont souvent que de simples
deux yeux sans qu'il y ait eu une maladie aiguë à l'origine de ces accidents . Chez ce même malade, il était possible de loca
it pas paru touché lors de la suture de la plaie, le lendemain de l' accident . Quoiqu'il en soit. comme d'une part les lésion
é lésé, et qui, outre l'anesthésie et la paralysie consécutives à l' accident , ont présenté tous deux des troubles trophiques
ieu, un malade porteur r d'une grosse ampoule venue 8 jours après l' accident . Enfin j'ai retrouvé Il dans mes notes, le cas
à 17 ans. A l'âge de 20 ans, le malade contracte un chancre suivi d' accidents cutanés. Pneumonie à 36 ans. Excès alcooliques
laquelle il aurait ressenti quelques douleurs en ceinture. Mais cet accident n'a pas eu d'autres suites. Il y a un an, chanc
enfants deux autres qui nous sont personnelles. Observation XX. Accidents hystériques et choréiques ayant simulé la méningi
ifestée à l'occasion de l'établissement des règles et sous la forme d' accidents méningi tiques. 27 avril. Nuit calme, bon som
uinon, chef de clinique-adjoint, et grâce à son extrême obligeance. Accidents hystériques simulant successivement la méningite,
ne large plaie du cuir chevelu qui mit longtemps à se fermer. Aucun accident a noter jusqu'au mois de mai 1892. Dans les p
nette de l'hystérie et ce séra la une expli- cation suffisante des accidents divers qu'a présentés notre malade. 13 juin. C'
es secousses rhyt- miques sont il peine ébauchées. 18. - Tous les accidents ont disparu. CHAPITRE Il SYNDROMES HYSTÉRIQUE
(111EDEL, in Berlin. Klin. Loch. 2 avril 1884). Observation XXVI. Accidents hystériques simulant une méningo-ezcéplcalite chr
onna raison. Après trois mois d'iso- lement et d'hydrothérapie, les accidents se sont amendés : crises moins fréquentes, céph
troubles de la sensibilité du côté de la face et des muqueuses, les accidents bulbaires sont plus fré- quents et beaucoup plu
t d'une femme de 47 ans, frappée de paraplégie subite un an après l' accident primitif, et dont la maladie évolua en moins d'
le pha- rynx : depuis cette époque il ne s'est pas produit d'autres accidents cutanés sy- philitiques. Le 7 octobre 1889 (c
as, remontait à 10 ans. Au bout de ce temps, une nouvelle poussée d' accidents syphilitiques se produisit du côté de l'encépha
ud). ' Rien de particulier dans les antécédents héréditaires. Pas d' accidents nerveux dans l'enfance. Mariée do bonne heure,
a 8 ans, elle a contracté la syphilis d'un officier son amant, les accidents secondaires ont été constatés et soignés par son
ignés par son médecin. Depuis lors la malade a présenté une série d' accidents ininterrompus. Ce furent d'abord des céphalées
a 2 mois, nouvel ictus apoplectiforme non suivi de paralysie ; même accident il y a 3 semaines. Survient alors un grand affaib
rvation diffère des deux précédentes. Au point de vue clinique, les accidents médullaires se montrent à une époque beaucoup p
up plus éloignée du début de l'infection, étala suite d'une série d' accidents (céphalées spécifiques, rachialgies violentes, ra
à une lésion de vieille date, dont l'ori- gine remonte aux premiers accidents cérébro-spinaux éprouvés par le ma- lade, c'est
à 7 ou 8 années. Ajoutons que l'ordre d'enchaînement des différents accidents nerveux dans cette longue période, débutant par
27 ans, ayant contracté la syphilis 7 ans auparavant, présente des accidents cérébraux, puis une pa- raplégie qui l'emporte
souvent aussi les complications cérébrales. Voici alors comment les accidents se succèdent. Un malade, syphiliti- que depuis
1893). DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 217 Jusqu'ici tous les accidents paraissent être en relation avec une poussée de
on IV. (Due il l'obligeance de M. le ])1' Gilles de la Tourelle). Accidents de méningite cérébrale syphilitique survenus dans
uhi de roséole légère. Jusqu'à l'époque actuelle (juillet 1892) les accidents de Mme M. ont été remarquablement bénins. Ver
es prodromes de l'affection médullaire. Seulement ici, les premiers accidents syphilitiques, au lieu d'être récents, remontent
va lire, c'est qu'il s'agit d'un névropathe, et que l'apparition d' accidents syphilitiques du côté des centres nerveux paraî
almaire). Seize ans plus lard, à l'occasion d'un revers de fortune, accidents nerveux graves : céphalées nocturnes d'une gran
smodique avec participation des sphincters. Disparition de tous les accidents cérébraux. W... 41 ans, israélite, représentant
e 18 mars 1893. Antécédents héréditaires. Père mort des suites d'un accident de voiture il l'âge de 70 ans; très vigoureux,
rieurement de maladie il proprement par- ler ; mais il eut quelques accidents nerveux. A la mort de l'un de ses frères, qu'il
er- mette de penser à l'existence d'un chancre extra-génital. Pas d' accidents cutanés 222 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
mettre, dans les cas de ce genre, une ana- logie complète entre les accidents cérébraux et ce qui'se passe du côté de la moel
l'apparition d'une paralysie dans le domaine des nerfs crâniens, d' accidents du côté de la moelle épinière indiquent la part
dans l'observation précédente. Dans la suivante, où la mar- che des accidents fut exactement pareille, on put constater, la pha
arcot). Chancre induré en 1886. Cinq ans plus tard (1892) début des accidents nerveux par des vertiges accompagnés de vomisse
. Quel- ques maux de tête peu intenses à la même époque, mais pas d' accidents nerveux. Il a pris alors des pilules et des méd
'ailleurs toujours été bien portante. En 1891 commence la série d' accidents qui s'est poursuivie jusqu'à ce jour. En octobr
leurs qu'ils réveillent. Après 24 frictions mercurielles, tous les accidents cutanés disparaissent. Les douleurs, l'hyperest
emment. L'observation suivante en fait foi. La encore, la série des accidents nerveux est inaugurée par des céphalées d'une gra
de la diplopie. Observation VIII. Chancre induré, 2 ans avant les accidents médullaires. Début par des troubles de sensibil
affection grave antérieure, et n'a jamais présenté en particulier d' accidents nerveux. Il est d'une constitution assez chétive
lides sur le corps : le chancre existait encore sur la verge. Pas d' accidents graves au début d'ailleurs. Le malade a conscie
M. Fournier à cette épo- que il n'a pas présenté, dit-il, d'autres accidents (ni troubles oculaires, ui para- lysie d'aucune
t clinique- ment avec les allures de la myélite centrale aiguë. Les accidents médullai- res, les paralysies se développent av
hebdomadaire, 3 décembre 1892. JEAN-MARTIN CHARCOT 247 terribles accidents nerveux. Établissant les lois physiques du somnam
ent d'être notées en vue du diagnostic. Nous avons vu com- bien les accidents de la période prodromique étaient parfois signifi
ujours ainsi, car il n'y a guère de loi absolue en pathologie : les accidents du côté de la moelle, les paralysies peuvent ap
comprend. Observation IX. Chancre induré en avril 1891. Début des accidents en avril 1892 par de lé- gères douleurs dans le
a jamais eu antérieurement d'affection grave. Il n'a pas présenté d' accidents nerveux dans son enfance ; mais il était sujet à
hilitique depuis un an, et indemne de toute autre tare morbide, les accidents médullaires sont annoncés par des douleurs sour
une poussée de méningite cérébro-spinale, qui a marqué le début des accidents nerveux. ' Mentionnons par exemple les paralysi
oculaires persistantes, ou plus on moins complètement guéries ; des accidents légers du côté des membres supérieurs, tels que
aires sous-jacents. Observation X. Chancre induré 8 ans avant les accidents nerveux. Poussée aiguë de ménin- gite cérébro-s
mois seulement, il n'est jamais sorti de France, et n'a jamais eu d' accident d'impaludismo. Il y a 8 ans environ (1884), il
cun trai- tement interne ; il ne se préoccupa pas d'ailleurs de cet accident , qui ne fut suivi, dit-il, ni de rougeur sur la
tes, survenant la nuit seulement. Au bout d'une dizaine de jours, les accidents cérébraux devinrent très sérieux : il eut du dé
III rap- portée plus haut, dans laquelle les étapes successives des accidents nerveux peuvent se résumer ainsi : céphalées sp
gie lombaire, paraplégie spasmodique. A elle seule l'existence d' accidents cérébraux à un moment donné de la maladie, et p
yphilis cérébrale s'accompagne, dans un très grand nombre de cas, d' accidents médullaires ; et si la plupart du temps les sym
sensibles, et nous limitant toujours aux formes dans lesquelles les accidents médullaires sont de beaucoup les plus important
avec soin l'examen des yeux. Il est inutile de rappeler, parmi les accidents nerveux delà syphilis, la fréquence des paralys
oint de vue. Observation XI. Chancre induré de la verge en 1888 ; accidents secondaires. Céphalées vio- lentes en 1889 ; la
ubait. Réformé en mai 1890 pour sa paraplégie, il éprouva alors des accidents vésicaux ; il urinait dans son panta- lon sans
traité il St-Louis dans le service de M. le professeur Fournier. Les accidents se- condaires ont été très bénins ; et il a pri
qui l'a vu il la fin de l'évolution du chancre et pendant celle des accidents secondaires, il ne fait t aucun traitement. L
ccidents secondaires, il ne fait t aucun traitement. Le début des accidents médullaires s'est fait brusquement, 13 mois après
ait jamais été constatée. Le malade succombe le 2 novembre 1888 à d' accidents pyobé- miques ayant leur source dans une eschar
les jambes le matin même du jour où il tombe paralysé. Ou bien les accidents débutent par des troubles vésicaux : dans l'obser
gne alors d'une fièvre septique, à laquelle se joignent parfois des accidents de pyélo-cystite, de néphrite ascendante, ou bi
ile d'apprécier exactement la fréquence chez les sypliilitiques des accidents spinaux que nous venons d'étudier, on est en dr
rite parce qu'elle se développe à une période éloignée des premiers accidents infectieux, admettre due la gomme solitaire ou
A deux reprises, et à l'occasion de chocs moraux, il a présenté des accidents hystériformes. Seize ans après l'accident primiti
oraux, il a présenté des accidents hystériformes. Seize ans après l' accident primitif, survient un grave revers de fortune,
ie se déclare au bout de quelques mois. Dans l'observation VIII les accidents mé- dullaires sont précédés d'un surmenage phys
ès commun d'obser- ver à cette période, et souvent a son début, des accidents cérébraux plus ou moins graves, céphalées, para
s revu. Observation IV (1). Sigmund S... hystéro-neurastliénique, accidents nerveux provoqués par un coup de foudre. Isra
re et perd connaissance pour ne revenir à lui que 16 heures après l' accident dans son appartement où on l'a- vait transporté
empâtée. La sensibilité n'a pas été examinée. 24 heures après cet accident , son impressario le fait partir pour Vienne dans
e bien la promenade dans le jardin public ; mais non l'orage et son accident , dont il a connu les détails par son impressari
es. Un de ses amis d'Amérique étant venu le voir six mois après son accident fut tout sur- pris de voir que S... ne comprena
ssion douloureuse, le même visage las et désespéré à la fois. Les accidents neurasthéniques déjà signalés à son premier voyag
le sujet qui nous occupe. Il s'agit ici d'une malade, souffrant d' accidents neurasthéniques classi- ques avec quelques symp
qui l'obsèdent aujourd'hui et qui rentrent toules dans le cadre des accidents neurasthéniques. Mais le premier événement qui
hypothèse, de retrou- ver dans les ancêtres ou les collatéraux des accidents nerveux similaires. L'hérédité en neuropatholog
xcessives, ont dû contribuer pour une large part à l'é- closion des accidents nerveux. En somme c'est le chapitre (,Llolociqtie
les malades dont nous avons retracé l'histoire. La prédominance des accidents neurasthéniques est manifeste et l'on est tenté
oncentrique du champ visuel ; dyschromatopsie, micromégalopsie. Les accidents neurasthéniques et hystériques peuvent d'ailleurs
il est presque toujours possible en effet de retrouver les traces d' accidents épileptiques vulgaires, crises con- vulsives, m
18 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
ci encore un nouveau trait. A une époque très-rapprochée du début des accidents , la contractilité électrique faradique est amoin-
et liouvili.e Paralysie des membres inférieurs, survenue après des accidents convulsifs, et persistant pendant l'âge adulte. —
er), en janvier 1871, il y a un an. Il venait pour se faire soigner d' accidents thoraciques qui le for-çaient à interrompre son é
ses souvenirs : Né à terme, d'un père mort depuis quelques années d' accident , et d'une mère qui a succombé à une affection de
tement intacte. Dans les mois qui suivirent, on ne nota pas d'autre accident que des douleurs violentes, continues, gravatives
es veines, cerveau et même les organes abdominaux) donnant lieu à des accidents variés. L'action rapide d'un vomitif, dans de sem
qui suivent : Quand l'émétique est bien employé, il ne produit pas d' accidents . Il n'épuise pas les enfants et ne détermine pas
pas d'accidents. Il n'épuise pas les enfants et ne détermine pas les accidents cholériformes que l'on connaît sous le nom de cho
aire; 4° les infarctus du poumon ; 5° la gangrène pulmonaire ; 6° les accidents dus aux corps étrangers dans les bronches ; 7° le
congestion joue un rôle des plus importants quand il se montre comme accident secondaire, soit dans les maladies générales (fiè
1866, p. 215. la maladie a éclaté, la brusquerie de l'invasion des accidents , le mode de localisation de l'atrophie des muscle
11 s'agit d'un jeune homme qui, à l'âge de 10 ans, éprouva de légers accidents épileptiques et chez lequel des accès complets se
tard, le bromure fut administré de nouveau à hautes doses : les mêmes accidents réapparurent. Le bromure de potassium fut remplac
qu'il faut invo-quer une disposition individuelle pour expliquer les accidents . Bien qu'il soit chargé d'un service de 200 épile
ospital Gaz., 1845.) 2. Tétanos traumatique. — Contre ce redoutable accident des plaies, un grand nombre de remèdes ont été em
écrasement du médius de la main droite. Vingt jours après ce dernier accident , il survint pendant la nuit une espèce d'accès av
carpo-phalangienne. Le Hachisch avait été administré dès le début des accidents : à ce moment, on porta la dose de teinture à tre
ts de verre au bord radial du poignet droit. Un mois après ce dernier accident , elle fut prise subitement de roideur dans le bra
individualités qui, dans nos troubles précédents, n'avaient été qu'un accident , une bulle sans importance à la surface du flot.
t déterminer le cathétérisme jusqu'à une véritable plaie. Or tous les accidents de l'intoxication urineuse sont dus à la pénétrat
on d'urine ; or, quand il est urgent d'évacuer l'urine pour éviter un accident grave, tel que la rupture de la vessie ou la rupt
ie peut en effet abandonner très-facilement la canule du bro-cart. Un accident plus tardif s'est produit plusieurs fois; la vess
giné un nouveau procédé par le-quel il espère éviter presque tous les accidents ; malheureusement, il n'a encore été mis en prati
nature de la cicatrice obte-nue. On ignorait absolument la cause des accidents consécutifs aux opérations pratiquées sur l'urèth
onsécutifs aux opérations pratiquées sur l'urèthre ; et ces terribles accidents , si bien étudiés actuellement, de l'intoxication
faisant une plaie à la vessie ou à l'urèthre, expose les malades aux accidents ? qu'autrefois on appelait accidents consécutifs
'urèthre, expose les malades aux accidents ? qu'autrefois on appelait accidents consécutifs à la lithotritie, et que maintenant n
s-ter, les chapitres qui ont trait à l'évacuation des graviers et aux accidents de la lithotritie, dont M. Reliquet étudie ensuit
de départ dans une méningocèle, dont elle n'est pour ainsi dire qu'un accident . « Pendant la vie intra-utérine, dit-il, il se fo
lente et douloureuse ; il s'écoula beaucoup de sang avec l'urine. Cet accident n'eut pas de suite. —A partir de 1869, les envies
docteur Hacherelle à pratiquer le cathétérisme. La vessie vidée, les accidents généraux, fièvre et prostration, cessent vite, ma
s. Dans les dix ou douze jours suivants, nous avons observé de légers accidents de péritonite, avec augmentation de la températur
; ou bien il subit la décomposition putride et alors donne lieu à ces accidents redou-tables auxquels ont succombé tant de nos bl
yélite et de l'infection purulente. Si l'on craint d'admettre que ces accidents aient leur point de départ ailleurs que dans le f
lui-ci reste arrêté en arrière du gland et du prépuce et pro-duit les accidents suivants : turgescence considérable du gland, ulc
neumonie franche et constituant la maladie prin-cipale se complique d' accidents intermittents dus à l'influence du pays; tantôt l
er à ses occupations de chaque jour. Six mois après le début de ces accidents , il s'aperçut que les mouvements de l'articulatio
si que la fesse, sont le siège d'un très-léger œdème. On attribue cet accident à la pression exercée par l'appareil sur la parti
non consolidée, datant de l'âge de 14 ans. Il n'y eut, au moment de l' accident , ni issue des fragments, ni plaie au niveau du fo
présenter aucune gravité pour la vie du malade, ce tremblement est un accident fâ-cheux pour l'ouvrier qui est obligé de gagner
omatite qui dura trois semaines. Il reprit son métier, et n'eut aucun accident pendant deux ans. Alors, de nouveau, il eut une s
ur, la théorie de la production des péritonites puerpérales et autres accidents consécu-tifs aux couches, la péritonite par réten
du chapitre vi, où se trouve exposée la théorie du développement des accidents périto-niques pendant les suites de couches. L'au
sent et que l'excré-tion supplémentaire n'a plus lieu qu'éclatent les accidents graves qui bientôt occasionnent la mort. Vous s
ez les analogies et du même coup vous êtes frappés du contraste : les accidents cérébraux sont inévitables, à un mo-ment donné, d
urs qui ont admis son existence, car, je le répète, la réalité de cet accident a été mise eu doute. Vous ne le verrez indiqué da
uent à sa plus grande simplicité. Mais bientôt, principalement si les accidents semblent exciter l'intérêt et la curiosité des mé
ur. Le quinzième, le malade évacua une certaine quantité d'urine. Les accidents s'ag- 1 Med. Transad. published by the Collège
vulgaire de l'hystérie. Ainsi, ce matin, vous pouvez recon-naître un accident datant d'une attaque survenue il y a deux jours;
ligé d'abréger, en ayant soin, néanmoins, d'indiquer la filiation des accidents . La première attaque convulsive a éclaté en 186
effort. Je fis mine tout d'abord de n'être point surpris de tous ces accidents . Je me bornai à recommander d'observer discrèteme
où vous pourrez suivre dans les diverses phases de leur évolution les accidents qui se sont offerts à notre observation. Le table
litation de l'ischurie hystérique comme fait clinique réel. Les mêmes accidents , du reste, devaient reparaître bientôt, sous un a
igurie. L'abondance des vomissements a été moindre. En un mol, si les accidents avaient été un peu moins accusés, et si nous n'av
La femme a de fréquentes envies de vomir, elle est pâle, abattue; ces accidents sont attribués à la chloroformisation. La forme d
est gendarme). De son côté, sa mère, âgée de 41 ans, n'a jamais eu d' accidents nerveux et ses grossesses n'ont rien présenté de
t parfaitement normale, devait, on le conçoit aisément, entraîner les accidents les plus fâcheux. Le principal mérite d'avoir a
ers le cinquième mois de la grossesse que commencent à apparaître ces accidents . Les poumons sont donc compromis ; le muscle card
t donc compromis ; le muscle cardiaque lui-même l'est davantage ; les accidents de la deuxième période des maladies du cœur sont
et du pouls apparaissent ; il y a asthénie cardiaque. Tels sont les accidents de la grossesse dans l'insuffisance mitrale, acci
Tels sont les accidents de la grossesse dans l'insuffisance mitrale, accidents bien mis en lumière par M. Peter, et dans le styl
ont les suivants : Elle n'a jamais éprouvé dans son enfance d'autre accident scro-fuleux que des ophthalmies souvent répétées
faut de l'immobilité au début, pendant la période de la fièvre et des accidents inflammatoires. Elle constitue alors le meilleur
che de la maladie. Rien dans sa famille qui puisse faire suppo-ser un accident héréditaire ; pas d'antécédents syphilitiques. Vi
ement notable. Madame X. mourut assez longtemps après, à la suide d' accidents abdo-minaux. Outre la complication de tumeur fi
fille publique âgée de 52 ans, ayant eu déjà à plusieurs reprises des accidents inflammatoires, du côté des organes génitaux inte
lassique. Ce n'est pas, d'ailleurs, seulement par l'intensité que ces accidents convulsifs se distinguent, c'est encore par la fo
sposés à contracter la seconde. Mais, en pareil cas, ajoute-t-on, les accidents convulsifs restent distincts, séparés, sans s'inf
Dunant) ; b) l'épilepsie convulsive est surajoutée à quelques-uns des accidents de l'hystérie non convulsive (contracture, anes-t
tat de mal a per-sisté pendant plus de deux mois et, par moments, les accidents ont été portés au plus haut degré d'intensité. Ai
n notable de la température; sans cause connue, sans l'intervention d' accidents nouveaux, deux jours avant la mort, la scène chan
R LINÉAIRE LIGATURE DE L'ARTÈRE TEMPORALE SUPERFICIELLE - ABSENCE d' ACCIDENTS CONSÉCUTIFS - GCÉRISON PAR M. CAUCHOIS, INTER
rmis de faire l'ablation, lentement à la vérité, mais sans le moindre accident . La totalité du sang perdu dans les divers temps
mens du langage écrit. — État stalionnaire pendant un mois et demi. — Accidents dyspnéiques. — Mort. — Autopsie : ramollissement
janvier 1871. Depuis la dernière note, le malade n'avait offert aucun accident particulier. La parole est toujours perdue: oui,
er. Wjanv. V... est revenu à son état habituel. 27 janv. Nouveaux accidents : pâleur de la face, lipothymie, dyspnée. A l'aus
ci, d'ailleurs, est bien conformé, ainsi que le pénis. 29 janv. Les accidents thoraciques sont de plus en plus accusés. Dyspnée
e apoplectique symptomatique du ramollissement cérébral, et enfin les accidents dypsnéiques qui ont déterminé la mort. Le foyer d
st venue à l'hôpital que le troisième jour au soir après le début des accidents (hémiplégie à droite, aphasie totale). Quoi qu'il
blige à se servir continuellement de mercure; pendant sept ans, aucun accident n'est survenu. A l'âge de 59 ans, pour la premièr
re, en résumé, que notre malade a succombé très-malheureusement à des accidents d'infec-tion purulente, terrible complication don
le corps de l'organe. Cette femme était enceinte : elle accoucha sans accident , malgré la présence de la tumeur. Quelques mois a
doigt complètement mutilé par un coup de feu; quatorze jours après l' accident , la plaie bour-geonnait activement, mais les déso
ur sur cristaux depuis trente ans, a été pris pour la première fois d' accidents d'intoxication mercurielle, il y a un mois enviro
ont précédés de céphalalgie. Le sommeil est calme et suspend tous les accidents . M. Oulmont soumet ce malade au régime suivant
pot et Laurent : 1° Les bains électriques améliorent rapidement les accidents dus à l'intoxication mercurielle, et en particuli
ses aptitudes physiologiques ; sa température dépasse 37° lorsque les accidents inflammatoires débutent; à une période plus avanc
ntative de réduction paraît devoir alors être rc-jetée, à moins que l' accident ne soit récent et que ce ne soit une cause trauma
; en pareille occurrence, la phlébite jugulaire ne serait plus qu'un accident ana-tomo-pathologique de second ordre et sans por
hose que l'hémorrhagie menstruelle avancée de quelques jours. Le seul accident à noter dans le cours de l'opération est une pert
servation VIL — Allongement hypertrophique du col avec antéversion. — Accidents du côté de Vanus et du rectum. — Amputation du co
, ne se reproduisit pas. Non-seulement la malade guérit de tous ces accidents , mais encore les fonctions rectales se rétabliren
ant le museau de tanche et de l'empêcher de comprimer l'intestin. Les accidents nerveux cessèrent ; plus tard la malade fut guéri
ails incomplets, et nous ignorons le mode de début et la cause de cet accident , ainsi que l'époque à laquelle cette collection p
e de Vhypertrophie du col. REVUE ANALYTIQUE OBSTÉTRIQUE VI. Des accidents des plaies pendant la grossesse et l'état puer-pé
nale et dans la composition du sang, modifications qui expliquent les accidents auxquels les plaies exposent la femme grosse. Ces
quent les accidents auxquels les plaies exposent la femme grosse. Ces accidents sont de deux ordres : Yhémorrhagie, Yavortement.
t en cela comme la variole, la fièvre typhoïde et la pneumonie. Les accidents des plaies pendant l'état puerpéral font l'objet
s ne guérissent pas spontanément et elles peuvent don-ner lieu à deux accidents consécutifs, la contracture du muscle sous-scapul
t deux groupes bien distincts. Le premier de ces groupes comprend les accidents dont la production est sous la dépendance immédia
ne, immobilité per-manente de la tête); le second groupe comprend les accidents qui auraient pu s'observer chez les mêmes sujets,
aturé, pro-bablement vers le milieu ou la fin du septième mois. Aucun accident de cause extérieure ne paraît avoir provoqué cet
en chemin de fer le len-demain et faire quatre-vingts kilomètres sans accidents . Dans les deux cas que nous venons de citer, l'
oi la douleur se calma et disparut même totalement. Deux mois après l' accident , souffrant de nouveau de son œil, il alla voir un
derme à la surface des —), par Schuller (An.-L -E. Dupuy), 544. — Des accidents , des plaies pendant la grossesse, par J. Cornillo
19 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
eschares apparaître au sacrum le second ou le troisième jour après l' accident . On peut donc dire, qu'en règle générale, l'opp
semblés avec le plus grand soin (2). a) Affections de la peau,. Les accidents que les lésions trau-matiques des nerfs sont capa
qui, l'un des premiers, a appelé l'attention sur quel-ques-uns dcces accidents , n'hésite pas à avouer son ignorance à cet égard
ur ainsi dire rendue évidente, parles observations où l'on voit ces accidents , après s'être un moment dissipés, se reproduire a
-thésie existe le plus souvent(lepra mutilans) (1). On a attribué ces accidents divers et ces mutilations aux effets de l'anesthé
pulo-humérales par exemple. On a vu plusieurs fois, à la suite de ces accidents divers, la contractilité électrique déjà très not
les affections des nerfs auxquelles se rattachent, chez l'homme, les accidents qui sont l'objet de notre étude. A peu près toujo
crasement ou de la ligature des troncs nerveux, sont com-parables aux accidents qui se produisent chez l'homme,en con-séquence de
e, déjà notablement modifiée, sept jours après le début des pre-miers accidents (1). Quand les malades ne sont pas enlevés trop r
Il a été constaté quatorze jours après le développement des pre-miers accidents , dans un cas de Levier (1 ), le jour même de l'at
blissement de la contractilité électrique dès le sixième jour après l' accident . de cellules motrices {Fig. 2). La névroglie, d
te affection de la peau : Erythème, bulles, mortification du derme. — Accidents consécutifs a la formation des eschares : a) Infe
é des abcès dans le tissu cellulaire circonvoisiu. Deux jours après l' accident , des bulles apparurent aux pieds et à la partie i
eux, les branches artérielles d'un certain calibre mis à nu. Mais les accidents les plus redoutables sont ceux que déterminent la
. 314, 324, 3° édit. 1837. — Aloynier. — De Veschare au sacrum et des accidents qui peu-vent en résulter (Moniteur des sciences m
e d'une chute dans un escalier: la mort eut lieu quatre jours après l' accident . Dès Je deuxième jour, il exis-tait de la rougeur
acrée, dès le quatrième jour. — L'eschare survint trois jours après l' accident , chez un individu dont Ollivier (d'Angers) a rapp
ombre d'observations (3),c'est du quatrième au cinquième jour après l' accident que commencent à apparaître le plus fréquemment l
gion dorsale, ob-servé par J. Ilutchinson, dès le second jour après l' accident , la température prise aux deux pieds, au niveau d
tômes allèrent s'améliorant rapidement jusqu'au douzième jour après l' accident . Ce jour-là on remarqua que, sans cause extérieur
point que nous voulons faire ressortir surtout — peu de temps après l' accident ,sans cause appréciable, une arthropathie se dével
millimètres au-dessus de la troisième paire dorsale.Lejour môme de l' accident , on constate une paralysie complète et une hypére
ie spinale, au-dessus et au-dessous d'elle, 24 heures à peine après l' accident . (Gharcot). Sur la tuméfaction des cellules ner-v
t paralysés ; deux jours plus tard, c!est-à-dire quatre jours après l' accident , une escharé avait commencé à se former à la régi
ailleurs, dans un certain nombre de cas au moins, paraît n'être qu'un accident de la myélite centrale^ témoin le cas cité plus h
ations, le développement du décubitus aigu. Lagrande fréquence de cet accident dans les cas d'hématomyélite aiguë, centrale, où
e eschare se développa sur la fesse droite, le cinquième jour après l' accident . L'eschare s'étendit alors progressivement de man
l est fréquent de constater, peu de temps après le début des premiers accidents paralytiques,une modification plus ou moins profo
urines furent trouvées alcalines également fort peu de temps après l' accident . Les faits de cette espèce sont très intéressants
tout ce temps-là, à l'aide de la sonde œsophagienne. Aujourd'hui, ces accidents ont à peu près complètement disparu. Néanmoins, l
culier, l'histoire clinique de Mlle V... a été traversée par certains accidents qui, sans êter absolument exceptionnels, ne sont
se aujourd'hui d'appeler en premier lieu votre attention sur certains accidents cérébraux qui peuvent venir compliquer la symptom
uent, sans le concours d'autres lésions, expliquer le développement d' accidents qui se produisent le plus souvent presque subitem
sacrée. Si, au contraire, le malade doit survivre, la disparition des accidents ne se fait pas longtemps attendre; l'hémiplégie e
prolongé, suivi d'état apoplectiforme. Deux heures après le début des accidents , la température du rectum était de 38%8; cinq heu
lution. Il n'existait aucune lésion récente, capable d'expli-quer les accidents qui avaient déterminé la mort. Il ne m'a pas ét
ble. Il y aura lieu, à propos de cette période ultime, de relever les accidents , qui, dans l'ordre ordinaire des choses, marquent
rs, je vous ai représenté l'invasion et l'en-chaînement ultérieur des accidents comme lents et uniformé-ment progressifs. C'est l
eux ans plus tard, la malade a un ictère auquel succèdent de nouveaux accidents . Ceux-ci s'amendcnl : mais, à l'occasion d'une br
et le cas rapporté par M. Zenker sont de bons exemples à citer ; ces accidents sont d'autantplus dignes d'être remarqués que nou
vent, que deux, quatre, six ans même après l'appari-tion des premiers accidents de la sclérose multiloculaire. III. Troisième
parfois des proportions énormes et consécutivement toute la série des accidents qui se rattachent à cette complication, tels que
accès, J'ai observé tout récemment deux cas qui se sont terminés de accidents susceptibles, peut-être, d'être rangés parmi les
quelques cas ; mais, le plus souvent, on ne trouve mentionnés que des accidents névropathiques assez mal déterminés : la migraine
nurie ordinaire et de l'anurie expérimentale.— Limite de la durée des accidents compatible avec la vie. — Influence de l'évacuati
calculeuse ; sa lenteur dans l'ischurie hystérique. —L'innocuité de8 accidents est en rapport avec la dose d'urine produite dans
sent et que l'excrétion supplé-mentaire n'a plus lieu qu'éclatent les accidents graves qui bientôt occasionnent la mort. Vous s
les analogies el du même coup, vous êtes frap-pés du contraste : les accidents cérébraux sont inévitables, à un moment donné, da
s qui ont admis son existence, car, je le répète, la réalité de cet accident a été mise en doute. Vous ne le verrez indiqué da
uent à sa plus grande simplicité. Mais bientôt, principalement si les accidents semblent exciter riniérôtetlacuriositédes médecin
our. Le quinzième, le malade évacua un certaine quantité d'urine. Les accidents s'aggravèrent néanmoins et la termi-naison fatale
ul-gaire de l'hystérie. Ainsi, ce matin, vous pouvez reconnaître un accident datant dune attaque survenue ii y a deux jours: c
ligé d'abréger, en ayant soin, néanmoins, d'indiquer la filiation des accidents . La première attaque convulsive a éclaté en 185
vous avez pu voir les stigmates indélébiles qui sont résultés de cet accident . A partir de cette date, les attaques ont continu
effort. Je fis mine tout d'abord de n'être point surpris de tous ces accidents . Je me bornai à recommander d'observer discrèteme
où vous pourrez suivre dans les diverses phases de leur évolution les accidents qui se sont offerts à notre observation. Le table
gurie. L'abon-dance des vomissements a été moindre. En un mot, si les accidents avaient été un peu moins accusés, et si nous n'a-
desiderata. Rapports entre l'hyperesthésie ovarienne et les autres accidents de l'hystérie locale. De la compression ovarien
permettent presque toujours, en raison des caractères qu'offrent ces accidents , de reconnaître la grande névrose pour ce qu'elle
quelque sorte intime, existe entre ta douleur ovarienne et les autres accidents de l'hystérie locale. Vous pouvez reconnaître,
la douleur ovarienne siège à la fois adroite et à gauche, les autres accidents se montrent bilatéraux, prédominant tou-tefois du
st à son début ou même d'y couper court, lorsque déjà l'évolution des accidents convulsifs est plus ou moins ax^ancée. C'est du m
très évidents. Les convulsions, surtout toniques, se compliquent d' accidents épileptiformes; C... se mord la langue, écume, et
Ler^.. a cessé d'être réglée^jLy, a .quatre ans, et malgré cela, les accidents nerveux persistent. Nous vous faisions reconnaîtr
s ^*ayante|!) ^Voy. Fig. 19, 20 et 21.) L'origine vraisemblable des accidents nerveux chez Ler..., mérite d'être signalée. Elle
cture permanente plus ou moins prononcée de la langue. Ces derniers accidents rendent parfois nécessaires pendant plusieurs jou
e très intense, accompagnée de convulsions et suivie 1. C'est là un accident fréquent chez les hystériques lorsque la menstrua
paralysie guérie gauche. Finalement, les seuls vestiges des anciens accidents sont aujourd'hui des craquements, d'ailleurs peu
assique. Ce n'est pas, d'ailleurs, seu-lement par l'intensité que ces accidents convulsifs se distin-guent, c'est encore par la f
édisposés à contracter l'autre. Mais, en pareil cas, ajoute-t-on, les accidents convulsil's restent distincts, séparés, sans s'in
unant) ; b) l'épilepsie convulsive est surajou-tée à quelques-uns des accidents de l'hystérie non convulsive (contracture,anesthé
p. 285.) Depuis cette époque, Chev... Ed-mée a été prise de nouveaux accidents qui ont eu une issue fatale. Nous pensons d'autan
tat de mal a persisté pendant plus de deux mois, et, par moments, les accidents ont été portés au plus haut degré d'intensité. Ai
notable delà tem-pérature ; sans cause connue, sans l'intervention d' accidents nouveaux, deux jours avant la mort, la scène chan
rapprocher cette chorée de la contracture et les envi-sager comme des accidents de même valeur pathologique, des équivalents, pou
s choréiformes devront-ils, comme cela a lieu si fréquemment pour les accidents susnommés, per-sister tels quels, jusqu'à la prem
l y a dix jours ? Les effets de la compression ovarienne sur ceux des accidents qui sont justiciables de l'hystérie ne sont pas t
ant plusieurs heures, on parvient quelquefois à faire disparaître les accidents d'une façon définitive. Par cette manœuvre, nous
ne contracture de la mâchoire, de la langue, des membres, lorsque ces accidents ne se sont point— passez-moi le mot — depuis long
ier volume. (B.). Charcot. Œuvres complètes, t. i. 26 cessation d' accidents fâcheux, qui, depuis longtemps peut-être, résista
symptômes hystériques antécédents ou concomitants, la forme môme des accidents , à savoir surtout : l'harmonie, la régularité de
(1). 1. Voici quelques renseignements sur la marche ultérieure des accidents chez la malade qui a fait l'objet de la leçon qui
no-vembre 1873. Antécédents. —Son père, charpentier, est mort d'un accident lorsqu'elle n'avait que 12 ans. Sa mère, qui a su
ion peut avoir une certaine influence, sur la forme que revê-tent les accidents de l'attaque hystérique. Mais ce n'est pas ici le
me, dont le doigta été piqué ou pincé, se plaindre peu après le petit accident , d'une douleur qui, des doigts, s'étend par en ha
tement dans le même état le 31 mai, c'est-à-dire six semaines après l' accident , alors que M. Charcot vit la malade en consultati
les règles se sont montrées depuis le début de ta con-tracture, sans accident particulier. Pas de modifications quelcon-ques de
mose, mais point de piaie. H... assure que, quelques instants après l' accident , une contracture dans la demi-flexion commença
à elles-mêmes qu'elles reprennent leur attitude première. Tous ces accidents , douleur et contracture, avaient persisté jusqu'a
cusée jusque-là. A partir de cette époque, un grand nombre d'autres accidents hystériques se manifestent successivement, l'hémi
amais éprouvé de maladie sérieuse jusqu'à l'époque où s'est produit l' accident qui l'a amenée à l'hôpital de Saint-Denis. Elle é
veuse, très irritable : mais jamais il ne s'était produit chez elle d' accidents à proprement parler hystériques. Les phénomènes
une parésie ou même une paralysie avec résolution des muscles. Ces accidents , développés à l'occasion d'une action mécani-que,
ble point de vue, on doit les considérer comme les équivalents de ces accidents névropa-tliiques locaux de même ordre, mais dével
t remarquable, en effet, que les traumatismes ne provoquent guère les accidents dont il est question que chez les sujets jeunes e
ficultés ne serontpas atténuées, tant s'en faut, par ce fait, que les accidents reconnaîtront pour origine une influence traumati
II. Ce n'est pas dans l'hystérie seulement que la localisation des accidents palhologi.qu.es peut être déterminée par l'action
affection de la peau : Erythème, bulles, mortification du derme. — Accidents consécutifs à la formation des eschares : a) Infe
nurie ordinaire et de l'anurie expérimentale.— Limite de la durée des accidents compatible avec la vie. — Influence de l'évacuati
e calculeuse; sa lenteur dans l'ischurie hystérique. —L'innocuité des accidents est en rapport avec la dose d'urine produite dans
desiderata. Rapports entre l'hyperesthésie ovarienne, et les autres accidents de l'hystérie locale. De la compression ovarien
s et des urines, 289. — Analyses chimiques, 290, 292. — Rémission des accidents , 291. — Réalité de 1' —, 293. — Bénignité relativ
20 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
éritables ictus d'une durée d'un quart d'heure, environ, sans aucun accident consécutif particulier. L'un des premiers sympt
venue en 1886, Marie B. était devenue très triste; dès le début des accidents oculaires, elle tomba dans une dépression profo
enne ancienne et le fait que la surdité existait avant le début des accidents rendaient ce symptôme inutili- sable. Il n'en é
es psychiques et hallucinatoires présentés par la malade : A. Les accidents mentaux ont précédé les hallucinations et se so
termes quel rôle a joué la production néoplasique vis-à-vis de ces accidents ? Il semble, qu'à ce point de vue, il soit bon
r leur nature même, par leur mode d'apparition et d'évolu- tion les accidents délirants semblent ressortir d'une prédispo- si
ntiels dont se compose l'idée et qui sont : « 1° Le nom, avec ses accidents qui le complètent (articles ou détermina- DU MU
io- logie du corps thyroïde. 11 n'y a aucune différence entre les accidents du myxoedème opé- ratoire décrits par Kocher et
nce dans la goitre' exophtalmique,- dans la crainte d'augmenler les accidents cardiaques. L'auteur espère que le traitement c
- dien. La malade accusa de vives douleurs, et présenta de graves accidents de méningite qu s'étendireet bientôt aux méninges
la mort survint en quatre jours. Qu'aurait été le résultat sans cet accident ? La grande améliora- tiou qui s'était produite
grande opération avant l'ère de l'anesthésie. L'auteur résume les accidents du shock : pâleur des téguments, contraction de
mportance. L'anesthésie doit être pratiquée avec mesure. Beaucoup d' accidents attribués au choc sont dus à l'intoxicatior par
as d'épilepsie. Il importe surtout de savoir dépister la nature des accidents du petit mal. En face de tous les nombreux remè
e du faisceau pyramidal son explication suffisante et rappelant les accidents épileptiques présentés par la malade admet l'ex
al. L'apparition et la disparition brusque, sans cause précise, des accidents , la conservation d'un pouvoir digestif très suffi
qu'ils lui ont manifesté. M. A. Voisin. La morale à tirer de cet accident est qu'il ne faut pas proposer trop facilement
et un faible empâtement, donnant à la main l'aspect lourd. Tous les accidents de la face dorsale disparaissent sous cet empât
ier caractère de la maladie, caractère qui empêche de classer les accidents qu'il présente exclusivement dans aucune des mala
e situation aussi grave et qui, en rai- son de la marche rapide des accidents , menaçait la vie du sujet à bref délai, nous dé
raignant qu'un séjour trop pro- longé de la sonde ne déterminât des accidents , nous jugeons pru- dent de la retirer, pour emp
spérer, il faut bien l'avouer, grand résultat, ne croyant pas qu'un accident purement nerveux, purement hystérique, puisse en
du même avis, que M ? X... sans une intervention rapide mourrait d' accidents qui cependant n'étaient pas de nature hystériqu
il rentra chez lui, sa femme qui avait été très impressionnée de l' accident présentait un état mélancolique avec idées de p
homme par l'état d'af- faiblissement dans lequel l'avait plongé son accident et la névralgie persistante dont il souffrait.
ponctionnée de nouveau elle donne encore un liquide clair. Après l' accident , il reste six heures =ans connaissance et revie
endu; avec un peu de calomel au besoin, on vient à bout de tous ces accidents . On arri- vera même à pouvoir donner à tous des
tance générale des ma- lades. Thermométrie, bains, soins contre les accidents gangreneux. soins aseptiques ; maladies infecti
upposant non susceptible d'amélioration et on aurait évité tous les accidents énumérés par M. Charles. B. La FOLIE D'UNE évan
des et à la science mentale. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. IX. Accidents nerveux causés par l'intoxication goutteuse (acid
s. Les effets du poison se traduisent beaucoup plus souvent par des accidents portant sur le système nerveux que par l'attaqu
nts portant sur le système nerveux que par l'attaque de goutte. Ces accidents sont très variés, étant donné que le poison imp
la digitale ne pro- cure aucun résultat. Ou peut voir éclater des accidents d'angine de poitrine, sous l'in- fluence de l'i
En effet, si l'on reconnaît la nature trop souvent méconnue de ces accidents , il devient facile de les combattre. Il suffit so
reins, en même temps que l'accumulation d'acide urique provoque des accidents . L'ouvrier enrichi tend à subir l'intoxica- tio
Pott pourrait réellement exister concur- remment à l'hystérie. Les accidents hystériques disparaissent brus- quement. Ils cè
présente une paralysie complète et isolée du trijumeau, sans autres accidents . C'est là un fait sinon unique, au moins très r
n trophique du trijumeau. Aujourd'hui, seize ans après le début des accidents , l'état de la malade est le même : elle conserv
la motilité permettent d'éliminer une affection spinale; mais les accidents portent en eux le caractère dégénératif. C'est év
Id.; par Nonne. (NPtl9'OlOI ? Cen- trait., XV, 1896.) Il s'agit d' accidents permettant d'abord de redouter une affec- tion
que-là bien portants. C'est quelques jours ou quelques mois après l' accident que se pro- duit le complexus symptomatique mot
nterne, graduelle et progressive), l'ataxie ptsyclao-motrice et les accidents cérébraux. La démence généralisée et progressive,
énérale alcoolique qui survient chez des individus indemnes de tous accidents nerveux antérieurs. M. GIII.IUD (de Saint-Yon
ppés ; la maladie se propage en second lieu aux méninges : d'où les accidents convulsifs et moteurs, accès épileptiformes et
e, trois causes principales chez l'enfant peuvent faire éclaler les accidents : l'éducation, les émo- tions,,la contagion.
le cadre. Nous devons à la vérité de recon- naître qu'en présence d' accidents nerveux chez les enfants les médecins manquent
t user de beaucoup de circonspection et attendre l'évolution de ces accidents avant de leur appliquer une étiquette nosologiq
je crois d'appeler l'attention des médecins, parce que lorsque ces accidents sont traités peu de temps après leur appari- ti
lisme en ce qui concerne la pathogénie. Toutefois, le mécanisme des accidents hystériques n'est pas unique; dans cer- tains c
était atteinte d'incontinence nocturne d'urine et chez laquelle cet accident a complètement disparu par la suggestion à l'ét
avouer notre ignorance que de mettre sur le compte de l'hystérie un accident dont la véritable natuie nous échappe. Je ferai
rappor- teur fait rentrer dans le cadre de l'hystérie infantile les accidents hystériques qui se développent chez des enfants
que la dénomination d'hystérie infantile ne doit s'appliquer qu'aux accidents de la pre- mière et de la seconde enfance. Alle
ue leur constatation permet de reconnaître la véri- table origine d' accidents qu'on pourrait être tenté sans cela de rattache
ptômes. Celte supposition serait légitime, s'ils ajoutaient que ces accidents seront imputables aux médecins, qui auront appl
extrêmes n'a jamais pro- SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 voqué le moindre accident mortel. Les accidents les plus graves auxquels
pro- SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 voqué le moindre accident mortel. Les accidents les plus graves auxquels son emploi a donné lie
e grande ressem- blance dans le mode de début et dans la marche des accidents . Il s'agit dans les trois cas de choc moral ou
t surtout sur la physio- nomie et la morphologie si spéciale de ces accidents survenus spontanément, je crois être autorisé à
erve au début un choc moral ou physique. Chaque enfant présente des accidents propres : l'un a des crises-syncopales, un autr
s l'influence de l'alcool, dit-on; il est peut-être mort d'un autre accident . D'autre part, le suicide d'un parent ne consti
oignés. Pour ce qui est de la possibilité de la grossesse, c'est un accident qui pèse d'un petit poids dans la balance. M. C
n'a besoin d'être vu que tous les mois ou tous les deux mois, sauf accident . Et il en est de même pour d'autres formes des
pas conséquent avec lui-même. Personne n'ignore d'ailleurs que les accidents ne sont pas rares en Ecosse. M. Colin. - Le sys
d donne, comme plus habituelle, la mort par ictus apoplectique, par accidents .congestifs, convulsions épilepti- formes, etc.
finissent de telle façon, pourquoi telles autres conduisent à tels accidents différents, etc., et l'on ne tarderait pas à cons
tait et le rôle si efficace de la suggestion dans le traitement des accidents hystériques chez le paysan vendéen. Je revien-
douleurs à la pression. 0 HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 303 A des accidents tétaniques ? Mais il n'y pas de trismus, la con-
ion des réllexes éloignaient ce diagnostic. Devait-on penser à un accident occasionné par les vers intesti- naux' ? Nous n
es doutes avaient pu persister dans notre esprit sur la nature de l' accident , ils auraient été assurément dissipés par les man
seulement comprendre par gestes et par la mimique de la face. Cet. accident était survenu après une crise de colère, l'enfant
ion : c'était de l'aphonie 304 CLINIQUE NERVEUSE. hystérique. Cet accident dura trois jours, puis la voix est revenue d'ab
ance il courait dans la chambre; il était guéri. L'étiologie de cet accident est donc assez remarquable. L'enfant s'était fa
ette observation on ne peut soulever aucun doute sur la nature de l' accident : le mode de début, le traumatisme qui est il.
volution de la maladie, sa disparition totale; puis la reprise de l' accident sous l'influence de la sugges- tion faite par l
de la petite malade pour une pseudo-coxalgie hystérique Ce dernier accident de l'enfant semble bien être de même nature- Ob
lise pas. L'enfant guérit au bout de trois jours. A dix ans le même accident se produit avec le même cortège de symp- tômes,
(janvier 1895). Une légère ecchymose au front marque d'abord seul l' accident . Le lendemain l'enfant est prise d'une fièvre vio
le où j'ai réussi par suggestion à l'état de veille à supprimer les accidents . Il n'en est pas ainsi chez mes vieux hystériques
. Nous nous trouvons, six mois après (février 1895), en face d'un accident qui lui, du moins, ne laissera aucun doute, ne pe
t malade ne s'en porte pas plus mal; il grandit et, à part quelques accidents signa- lés, accidents qui n'impliquent en rien
pas plus mal; il grandit et, à part quelques accidents signa- lés, accidents qui n'impliquent en rien une débilité de l'orga
l'école sa main droite tremblait en écrivant. Depuis ce temps, les accidents ont progressé. Le tremblement n'existe pas au r
e après les efforts. -Cet homme ne présente d'ailleurs pas d'autres accidents nerveux, ni troubles réflexes, ni troubles de l
s spasmodiques, ainsi que le début pré- coce et la marche lente des accidents , doivent faire écarter l'idée d'une sclérose de
e de début de cette affection, sur la marche et la localisation des accidents paralytiques et atrophiques, l'auteur pense qu'
r s'affaiblit. On a dit que le bromure peut produire à lui seul des accidents cardiaques. L'auteur d'en a jamais observé chez d
la paupière supérieure guérie par LE traitement 10DURÉ ET SUIVIE D' ACCIDENTS CÉRÉBRAUX TRAITÉS SANS SUCCÈS PAR L'IODURE ET L
d'épilepsie trauma- lique suivi d'autopsie. Le malade avait eu des accidents épilep- tiques consécutifs à un coup de pied de
t pas besoin que la force motrice soit intéressée pour produire des accidents épileptiques. Deux cas de chorée héréditaire av
re hyperstbénique, hyposthénique et même congestive selon que les accidents surviennent de préférence ou se montrent plus acc
PHIE. 361 curieux), les paralysies psychiques, etc., etc., sont des accidents psycho-dynamiques. L'auto-suggestion égalemen
ation dans les rues étroites des quartiers du centre. En raison des accidents qui auraient pu se produire/M. Carpin, commissair
(Observation VI) et de la pseudo-coxal"ie Et puis, un an avant cet accident de pseudo-coxalgie, cet enfant. aurait eu de l'
aujourd'hui de me con- * Cette incontinence nocturne d'urine est un accident fréquent chez les enfants hystériques. Culerre,
nce, devant entraîner la certitude du dia- gnostic là où le premier accident pris isolément pouvait le rendre fort discutabl
si l'on devait considérer comme manifestation hystérique tous les accidents convulsifs pour lesquels on est appelé près des
porte ordinairement cette névrose avec crises convul- sives, mode d' accidents qui révèle une hystérie bien accen- tuée. Pour
, toute spéciale d'un jeune cerveau à peine formé le prédispose aux accidents hystériques, pour peu qu'il y ait de l'hérédité
lles, le mal, et ce mal, créé par la peur, n'était évidemment qu'un accident hystérique. Pris d'un doute sérieux au sujet de
torze ans avec crises convulsives, para- lysie, mutisme, ovaralgie, accidents hystériques associés à une méningite tuberculeu
emment éclairer le diagnostic et vous per- mettre de poser, sur tel accident présenté antérieurement par le jeune malade, sa
rva- tions que c'est le mode d'évolution, que ce sont parfois des accidents ultérieurs qui ont pu me fixer d'une façon certai
est nécessairement rapproché du début; lorsqu'on voit les premiers accidents , qu'on ne s'en préoccupe pas, qu'on les laisse
puyer sur ma pratique personnelle, j'admet- trai évidemment que les accidents hystériques de l'enfance sont, en général, moin
s sujets prédisposés on cite les traumatismes, cause si fréquente d' accidents hystéri- ques. On cite les émotions morales viv
,je disais : «L'hypnotismeestuneexcellentemélhode de traitement des accidents hystériques, paralysies, contrac- tures etc., c
saire, voulue, de l'hypnotisme mes résultats dans le traitement des accidents hystériques sont loin d'être aussi brillants qu
point, doit-on l'utiliser ? On le peut, on le doit même quand les accidents de la névrose ont l'air de s'éterniser et de rési
jour d'endormir un enfant qui jusque- là n'avait jamais présenté d' accidents convulsifs semblables. Indécis sur la véritable
ans les conditions les plus favorables pour voir s'effacer vite les accidents de sa névrose. Combien de manifestations sont d
tats de sa pratique, soutient que le meilleur moyen de conjurer les accidents nerveux qui compliquent si souvent la grippe est
r une fenêtre dans un incendie, se blessa au bras et à la tête. Cet accident remonte à quinze ans. Le malade ne peut dire s'
r une rémission passagère des crises. La cicatrice résultant de l' accident se trouve aux confins des régions pariétale et
tion d'abolition de la vie, d'évanouissement, de folie imminente, d' accident inévitable, etc.), et accompagné des symptômes
nt la puberté, le mariage et les épreuves ordinaires de la vie sans accident . Mais à un moment donné, entre trente et cinqua
violent : c'est, très souvent, la mort d'un parent ou d'un ami ; un accident grave, tel que chute de voiture, de chemin de f
se du traitement : la malade prend, une autre dose suivie des mêmes accidents et, bien qu'elle se trou- vât très affaiblie, e
our les selles deviennent sanguinolentes, l'appétit, est nul et les accidents gastro-intestinaux se répètent. Ajoutons que- l
ion d'étudier une épidémie de ce genre. 11 a trouvé la cause de ces accidents graves suivis même de mort rapide dans la prése
e microbe ou de ses toxines détermine chez les animaux les mêmes' accidents nerveux graves que chez l'homme. L'examen du syst
uire une certaine impotence et qui, dans un cas, se compliquaient d' accidents cérébraux, céder très rapide- ment à l'antiseps
es 30 juillet, 1, 3, 5, 7 aoùl, injections de 30 cent. cube-. Pas d' accidents consécutifs. L'énergie physique et psychique se r
délirant dû à la dégénérescence héréditaire, et par conséquent d'un accident tout à fait indépendant de l'acromégalie que no
méritent, d'attirer l'attention, en raison de la rareté d'un pareil accident . Le premier concerne une multipare de vingt-qua
pour extraire le placenta adhérent. Chez toutes deux, la marche des accidents fut la même et la guérison progressive. Ces fai
pupille réagit parfaitement. D'ailleurs, on ne trouve pas d'autres accidents nerveux. Tout se borne donc à une paralysie com
mnésie de la commotion, amnésie s'élendant aux faits antérieurs à l' accident et qui finalement devint totale. Quand le malad
ertains chirurgiens ont été assez heureux pour rencontrer des cas d' accidents cérébraux caractérisés par de l'épilepsie jackso-
en produisant fréquemment la paralysie, spastique quelquefois. Les accidents d'ordre psychique n'ont pas été dominants. J'ai
e a été obtenue temporairement. Tôt ou tard, celui-ci reparaît, les accident se généralisent et occasionnent la mort. Les dé
de l'étendre à la fosse temporale, elle se complique faci- lement d' accidents hémorragiques ou infectieux. Les grandes exci-
gauche ne laissent pas que de metlrc sa vie en danger. , De tels accidents n'arriveraient pas si le Conseil général et le
. Gomme syphilitique de la moelle, par Orlowsky, 78. Goutteuse. Accidents nerveux pro- duits par l'intoxication- , par
21 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
ilepsie. Dans la première, hystéro-épilepsie à crises distinctes, les accidents convulsifs sont de deux sortes : on observe tantô
de nos malades qui, après être demeurée pendant sept mois sans aucun accident , au point qu'on pouvait la croire complètement gu
er rapporte l'histoire d'une femme saine d'esprit, mais sujette à des accidents hystériques — convulsions avec perte de connaissa
e se lève, et se répète environ une quinzaine de fois par jour. Ces accidents sont absolument comparables à ceux qui forment le
ou la rég'on épigastrique (Charcot, Schùtzemberger) qui détermine des accidents hystériques analogues. J'ai vu deux malades, dit
courait encore après elle. A partir de ce jour elle fut sujette à des accidents qu'elle qualifie de « pertes de connaissance ».
t nous venons de parler est sujette, en dehors de ses attaques, à des accidents bizarres qui sont sous la dépendance de l'excitab
ilibre normal. C'est comme un reste de l'attaque qui s'épuise, et les accidents qui se présentent alors sont justement comparable
la série; la durée en est plus ou moins longue. Puis la violence des accidents diminue peu à peu. Les diverses périodes sont sép
les attitudes passionnelles s'effacent peu à peu, cédant la place aux accidents variés de la quatrième période. Le délire se prol
bituelle, et aucun signe sur la physionomie ne trahit la gra-vité des accidents qui viennent d'avoir lieu. Même chez les hysté-ri
l'in-fluence que peut avoir l'imitation sur la forme que revêtent les accidents de l'attaque hystérique, nous pouvons affirmer qu
s modifications de surface et sans action aucune sur le fond même des accidents . C'est ce dont il est facile de se convaincre p
it le siège d'une violente douleur. Depuis longtemps déjà avant cet accident , Mlle X... ne se nourrissait pas; elle et plusieu
e trouver de la forme grave de l'hystérie (hysteria major). Parmi les accidents convulsifs qui composent les crises décrites par
ns ce cas eut plein succès, il est peu parlé de la forme spéciale des accidents convulsifs. M. Pascal a eu l'obligeance de comble
la vue, de l'odorat, du toucher; visions, hallucinations... Tous ces accidents disparurent peu à peu. A treize ans, époque vers
faisait très bien. Cette observation si intéressante, en outre des accidents de con-tracture de l'œsophage, par la violence et
durée des crises, ne l'est pas moins par la forme que revêtaient les accidents convulsifs et qui ne saurait se rapprocher davant
semblent toutes et offrent les caractères suivants. Elles ont comme accident initial, tantôt — et le plus souvent — de vio-len
es. Tant que dure la crise, la malade est complètement insensible aux accidents extérieurs. Le choc électrique ou la douche ont s
pour consulter à Paris et se faire traiter à Passy. La longue série d' accidents qui marquent sa maladie appartiennent à l'hystéri
la santé du père, l'état, de notre malade est satisfaisant ; un seul accident survient: pendant 36 heures, mademoiselle de B...
s de juillet, les grandes crises reparaissent avec la violence et les accidents variés qu'elles avaient déjà présentés. Puis la m
r un morceau de sucre. Après quinze jours de tranquillité, nouveaux accidents , décidés cette fois par un verre de vin de Champa
ès qui vinrent, huit jours consécutifs, cinq à six fois par jour. Cet accident détermina ses parents à la ramener à la Salpêtriè
manifestement trait à l'hystérie épileptiforme. La res-semblance des accidents convulsifs avec ceux que nous avons ob-servés che
pendant plusieurs jours. Qu'aux yeux de la théorie ce soit plutôt un accident rare qu'une forme hysté-rique, la pratique doit y
e et une instruction variée; sa tante a eu pendant vingt-cinq ans des accidents nerveux présentant de l'analogie avec ceux de cet
été remplacée par une aphonie subite. C'est à la suite de ce dernier accident que ce sont montrées les crises dont elle souffre
onnée; en reprenant sa connaissance, elle n'avait aucun souvenir de l' accident , et se plaignait à peine de la contusion. Pendan^
esures de précaution et une surveillance conti-nuelle ont empêché les accidents . Les crises étaient plus ou moins répétées. Un jo
lsive fatigante des hystériques. Après avoir duré une demi-heure, ces accidents cessèrent, et mademoiselle 67... tomba dans une e
des idées singulières. Dans l'intervalle des attaques reviennent des accidents hystériques très variés, formant quelquefois de l
e à la connaissance. L'accès est passé, mais bientôt reparaissent les accidents hystériques, puis les épileptiques. On trouve i
aques mixtes, l'épilepsie n'était quedans laforme, la nature même des accidents ne relevant que de l'hystérie, mais de la forme g
ue, aux mains, etc. » Quelques hystériques sont, au milieu de leurs accidents convulsifs, dans un état fort remarquable; elles
par un autre ordre de phé-nomènes; une intensité plus grande dans les accidents convulsifs et dans Vexaltation mentale ou le déli
La durée des attaques est ordinairement de plusieurs heures; mais les accidents ne conservent pas toujours la même intensité : to
le corps raide et immobile, comme tétanique ou cataleptique. « Les accidents cérébraux se rencontrent le plus fréquemment. Us
lieu de plusieurs manières: tantôt, et c'est le plus ordinaire de ces accidents , il y a perte de connaissance pendant la violence
elle-même ; elle n'indique qu'un degré d'intensité de plus. (.( Les accidents cérébraux donnent lieu à une autre forme d'hystér
mentale, mais relèvent de l'hystérie elle-même, au même titre que les accidents convulsifs variés qui composent les deux première
malade est dans un coma qui se prolonge, et la gravité apparente des accidents pourrait en imposer au médecin, si des signes dia
tat de mal a persisté pendant plus de deux mois, et, par moments, les accidents ont été portes au plus haut degré d'intensité. «
mme le sceau de la maladie et montre la nature liystéro-épileptique d' accidents bizarres et extraordinaires, qu'une imagination f
et organe suffit généralement, mais pas tou-jours, à couper court aux accidents . » Ce dernier exemple est fort intéressant à ca
iolemment agité dans un vase à parois so-nores. Mais bientôt tous les accidents cessent, après n'avoir duré que quel- !. Des ac
nt d'habitude chez elle. Mais à huit heures du soir elle est pi'ise d' accidents bizarres et inaccoutumés, qui effrayent les infir
n'a d'épileptique que le dehors, et qu'il ne relève, comme les autres accidents , que de l'hystérie. En etfet, presque aussitôt
t demie à donner un peu de chloroforme, et en peu d'instants tous les accidents convulsifs cessent. Cet exemple suffît pour mon
'une gravité tout épileptique se cachait la bénignité ha-bituelle des accidents hystéro-épileptiques. Il importe donc au médecin
rticulièrement chez Ler... Nous les avons re-présentés fig. 50. Les accidents variés consignés dans l'observation suivante et q
ordinaire-ment bien portante, fut prise, le 10 juin 1830, de quelques accidents nerveux analogues aux symptômes de la danse de Sa
t un peu de constipation et se plaignait de céphalalgie frontale. Les accidents nerveux débutaient soudainement, commençant par u
nvier suivant; elle logea clipz moi. Elle n'eut, depuis son premier accident jusqu'à ce jour, aucun accès va-poreux. Sa para
re jusqu'au 12 de mars. De[)uis cette époque jusqu'au 15 avril, les accidents s'éloignèrent, furent moins longs, et ne revinren
rots qui la soulageaienU... Sous le titre de chlorose compliquée d' accidents nerveux des plus curieux, le Dagron a publié dans
très accusé. Mais, sous rinducrice d'un t'ailcment ferrugineux les accidents s'atncndent peu à peu et funsscnt par disparaître
st plus aussi Ibrte ; elle se conlen e, dit-elle, de le mépriser. Les accidents convulsifs n'existent plus. Les exemples qui pr
arrivera le plus souvent à une apprécia-tion plus juste d'une foule d' accidents nerveux bizarres que les auteurs jusqu'ici se son
coup de sensibilité et de tendresse, qui éprouva dans sa jeunesse des accidents hystérique's. Quelquefois cette dame cessait de p
lorsqu'au commencement de juin survinrent des attaques de nerfs, des accidents hystériformes, crises qui se répéiaient vingt ou
PÉRIODES DE l'ATTAQUE Dans cette catégorie, la véritable nature des accidents ne saurait échapper. On voit se joindre aux troub
n. Il est difficile de préciser quelle a été la cause actuelle de ces accidents ; il est évident qu'ils étaient préparés par sa di
e fut très longue, sans cependant qu'elle eût été traversée par aucun accident . Vers la fin, alors que mademoiselle X.... parais
fin, alors que mademoiselle X.... paraissait complètement remise, des accidents nerveux se manifestèrent, et, depuis lors, ne fir
pas d'hallucination. Sur ces entrefaites, environ cinq mois après l' accident signalé plus haut, mademoiselle X..., est atteint
névralgiques et même de légers mouvements convulsifs des membres. Ces accidents ne se montrent guère qu'un peu avant la période d
assages de son obser-vation qui ont particulièrement trait au genre d' accident qui nous occupe ici. Mademoiselle Marie B..., g
es fric-tions d'onguent gris firent la base, fit disparaître tous ces accidents au bout de vingt-sept à trente jours. Il n'en res
s après, cet état mental se dissipa brusquement, faisant place à fies accidents névrosiques analogues à ceux que la malade avait
uatre ou trente heures après : disparition presque instantanée de ces accidents et retour du délire, cette fois avec excitation m
e de la frayeur que lui causa un incendie, et après avoir éprouvé des accidents nerveux semblables à ceux dont nous venons de par
première expérience faite sur Bar..., et qui occasionna le singu-lier accident que nous avons rapporté, cette malade demeure com
ense et inattendu sur la catalepsie hystérique donna lieu à plus d'un accident singulier. Un jour de Fête-Dieu plusieurs hystéri
a malade écrit, travaille, marche avec aisance et sans se heurter aux accidents de terrain ou aux meubles, bien que ses yeux para
rée dans le service de M. le professeur Hardy, à la Charité, pour des accidents d'hysteria major, contrac-tures, paralysie, hémia
rincipalement, et durant plusieurs heures. Une seule année, les mêmes accidents ne parurent pas; elle était enceinte. Depuis, l
s mêmes accidents ne parurent pas; elle était enceinte. Depuis, les accidents se sont aggravés, si bien que cette année elle ne
t donc espérer, par l'emploi d'un traitement rationnel, la guérison d' accidents morbides qui existaient bien réellement. En efl'e
nécessaire de faire intervenir la névrose catalepsie, de même que les accidents épilep-tiformes existent en dehors de Fépilepsie
la rigidité catalep-tique se montre la première pour faire place aux accidents hysté-riques. » Espanet ajoute un troisième mod
stérique la première fois qu'elle vit sa fille en cet état. Outre ces accidents communs aux catalep-tiques, l'odorat de celle-ci
enté d'autres signes d'hystérie (du moins il n'en est pas parlé), les accidents singuliers qu'on observa paraissent se rattacher
t revinrent bien vite à leur malade. Ils la trouvèrent revenue de son accident , qui avait duré trois ou quatre heures, et elle l
user. Au bout d'une heure, l'accès revint dans toute sa force ; les accidents cataleptiques furent les mêmes ou peut-être même
le frappe le plus, c'est la catalepsie; aussi considère-t-il tous les accidents variés qui se sont produits en même temps, comme
, les frictions sur la tête et les mem-bres faisaient disparaître les accidents (paralysie, surdité, cécité, mutité) qui succédai
ée de 30 ans, fut prise au mois de mai 1855, sans cause appréciable d' accidents convulsifs présentant tous les caractères des acc
ort intéressante, et ne permet pas le moindre doute sur la nature des accidents nerveux, si bizarres qu'ils aient été. Cette je
ouche, est sur-venue. 9 septembre. — Depuis deux mois il n'y a eu d' accidents que de loin en loin. Aujourd'hui il y a des doule
renseigne-ments : Agé de vingt ans, atteint depuis un an et demi d' accidents hystériformes, avec somnambulisme. Les accès sont
vement frappée, et c'est à partir de cette époque qu'ont commencé les accidents qu'elle éprouve encore aujourd'hui, à savoir : so
a-mais eu d'attaques convulsives, mais l'hystérie est décelée par les accidents les plus variés. 11 existait, en outre, des attaq
sommeil, et, connaissant à l'air des assistants qu'elle avait eu ses accidents , elle fut extrêmement confuse et pleura le reste
met à môme de satisfaire son goût pour la boisson, est bientôt pris d' accidents alcooliques aigus pour lesquels il est envoyé à S
ulaires plus accusés, con-sistant en des secousses musculaires et des accidents convulsifs généralisés, qui présentent tous les c
e. Le 3 juillet, c'est-à-dire, quatre jours après il n'avait plus d' accidents , mais plus tard, il a eu du côté de la poitrine d
plus d'accidents, mais plus tard, il a eu du côté de la poitrine des accidents d'un autre ordre (infarctus, embolies d'essence d
tion de l'absinthe CHEZ L'hOMME L'absinthe produit chez l'homme des accidents semblables à ceux que l'expérimentation a révélé
uivantes, em-pruntées au travail du D' Magnan, et dans lesquelles les accidents convulsifs épileptiformes et les troubles intelle
équemment encore que d'habitude, à la liqueur d'absinthe. Bientôt des accidents nouveaux surviennent; il est pris subitement d'un
e, dont a été piqué ou pincé le bras, se plaindre, peu après le petit accident , d'une douleur qui, des doigts, s'étend par en li
pa-résie ou même une paralysie avec résolution des muscles. )) Ces accidents , développés à l'occasion d'une action méca-nique,
al nervous affec-tions. London 1837). commfe les équivalents de ces accidents névropathiques locaux de même ordre, mais dévelop
mouvements coordonnés qui donnent à cette affection, ou plutôt à cet accident de la grande hystérie, une physionomie si inatten
ses éléments. Mais il ne faut pas oublier que la longue durée de ces accidents , leur localisation étroite, l'intégrité des facul
d'amyle une ou deux fois par jour pendant trois ou quatre jours. Cet accident choréique avait duré quinze jours. Les mouvemen
es ostendimt. Le bromure de potassium, dont l'effet salutaire sur les accidents épileptiques n'a plus besoin d'être démontré, dem
ent sérieux, même par un usage prolongé. d) Pronostic. — Malgré les accidents si variés et parfois d'ap-parence si grave qui co
convulsions, les rétrocessions, antéversions de l'u-térus et dans les accidents nerveux éprouvés par ces sortes de malades. On a
aque. Elle a cessé d'etre réglée à quarante-cinq ans et cependant les accidents hystéro-épileptiques ont persisté, bien qu'atténu
hystéro-épileptiques ont persisté, bien qu'atténués. Aujourd'hui les accidents convulsifs sont rares, mais elle est encore compl
hésique à droite. Après toute une vie remplie pour ainsi dire par les accidents hystéro-épileptiques les plus violents et les plu
ntracture permanente, dysphagie, crises névralgiques, etc.). Tous ces accidents ont cessé presque subitement en 1875. Et aujourd'
hystérique, tira un coup de pistolet qui à l'instant dissipa tous les accidents . Chez nos malades l'essai des vibrations sonore
en laisser imposer par les dehors effrayants que revêtent parfois les accidents de la grande hystérie, et les exemples de guériso
rie actuellement; il est vrai qu'il y a deux ans qu'elle n'a pas eu d' accidents convulsifs, mais l'hémianesthésie per-siste, marq
u contraire,a vu, sous l'influence d'une vive impression, morale, les accidents hystéro-épdeptiques disparaître presque tout d'un
parents surtout, dont la sollicitude inquiète entretient souvent les accidents qu'ils cherchent à combattre. L'enlever du milieu
ses. Quant à notre pratique de la ville, elle a porté surtout sur les accidents locaux de l'hystérie et sur ce point nous pouvons
ous pouvons être plus affirmatif. Paralysies. Contractures. —Si ces accidents coexistent avecdes attaques ils rentrent dans les
avante *. Toux hystérique, chorée hystérique, blépharospasme. — Ces accidents guérissent très bien par l'électrisation statique
ui, dans certains cas, suffisent à déterminer la forme des principaux accidents . Quoi d'éton- 1. De la folie considérée au poin
ent sur la contagion ner-veuse aujourd'hui parfaitement démontrée des accidents hystériques, et sur la similitude des manifestati
on de la cause surnaturelle attribuée par quelques auteurs à tous ces accidents . Je n'ai d'autre intention que de réunir ici da
ssion de l'abdomen sur l'ar-rêt ou tout au moins l'atténuation de ces accidents variés. « Déjà, en 1374, on avait vu, à Aix-la-
ent des imprécations contre eux et voulaient les mettre à mort. Aux accidents convulsifs nous voyons s'adjoindre les longues pé
a racine du mal lui-même par la violence des accès. » En dehors des accidents convulsifs terribles qu'ils présentaient, les dan
sme d'Italie qui sévit vers la même époque, et dont on attribuait les accidents bizarres à la morsure d'une araignée venimeuse, l
des entraient dans une fureur inexprimable. « Matthioli dépeint les accidents causés par la morsure de la tarentule, comme étan
atteinte des premières, souffrait dans Vhypocondre gauche. Tous ces accidents , les uns effroyables, les autres grotesques qui,
i elles eussent enduré quelque griève peine ^ » Enfin la guérison d' accidents si graves fut constatée chez une des moi-nesses d
andol, et qui sont destinés à jeter quelque lumière sur la nature des accidents morbides qui ont fait croire à la possession. I
parmi les preuves du procès, le fait suivant : « Or outre tous les accidents dont les bonnes religieuses ont été travaillées,
ant bien par une longue expérience Vordre et la suite de ces étranges accidents , un peu devant que la concussion du corps entier
e sans intervalle, il ne serait pas possible qu'on ne lui vît quelque accident de jaunisse, de pâleur, d'exténuation, de faibles
assés et les histoires fantastiques. Vers le mois de mars 1857, des accidents d'apparences extraordinaires, chez deux petites f
dure plusieurs heures. Elle éprouva quelques jours après les mêmes accidents , qui se répétèrent de temps en temps dans la suit
toutes deux faire paître les chèvres et furent encore prises du même accident . A f«artir de cette époque, le mal les prit tou
nambulisme ; depuis et chez toutes les malades que j'ai visitées, les accidents iie sont que convulsifs et les mêmes à peu près c
jamais pu l'employer très convenablement et que la crainte de quelque accident m'a toujours arrêté dans mes essais. » Les orga
terprétation ne pouvait manquer d'amener dans la forme extérieure des accidents quelques modifications en rapport avec la croyanc
ision des détails, nous permet de reconnaître la véritable nature des accidents morbides dont il est parlé. J'en citerai quelqu
esta presqu'entiêrement éteinte jusqu'à sa guérison. » En juin, mêmes accidents . Accès de léthargie du 8 au 14 juillet à la sui
te cinq jours de suite, puis elle est complètement guérie. Chacun des accidents dont elle souffrait a cédé successivement à la su
geron,au sujet des divers symptômes de la maladie et relativement aux accidents convulsifs dont fut saisie la malade au cimetière
ès pendant lesquels elle per-dait connaissance, éprouvait parfois des accidents convulsifs qui se rappro-chent des soubresauts, d
mbre, je me couchais par terre et je m'éloignais du feu, de crainte d' accidents , aussitôt que je sentais l'engourdissement qui pr
e par les secousses partielles ou générales qui marquent le début des accidents , et par la longueur de l'état de mal, qui ne dura
Nous avons étudié l'heureux elfet de la compression ovarienne sur les accidents hystériques. Les violents coups que les convuls
tre les marques de la grande hystérie. A Bristol, il semble que les accidents nerveux aient pris la forme d'at-taques de léthar
'un de nos anciens, personne d'une grande piété, fut saisie des mêmes accidents . )) Le pieux ministre expérimenta sur elle, com
atteintes. Les revivais de 1801-2-3 se firent remarquer par d'autres accidents nerveux que les secousses dont il s'agit. « Une j
violence de ces mouvements que je craignais à chaque instant quelque accident sérieux, mais comment décrire les sons qui sortai
ies de mutité do surdité, de cécité, ou de paralysies partielles. Ces accidents étaient pas-sagers. Voici ce que dit John Ghapm
la parole. D'autres devinrent sourdes et aveugles. « La durée de ces accidents , dit un correspondant d'Archdeacon Stopford n'a p
érique dont il a été question, plusieurs personnes furent saisies des accidents nerveux habituels sans y avoir été prédisposées p
teur Sonden, plusieurs milliers d'individus avaient déjà présenté ces accidents , et l'épidémie, bien qu'elle allât en s'af-faibli
22 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
tsnepourraientquefortifierce soup- çon. Par contre, l'évolution des accidents , la gravité de certains troubles présentés parl
ut être incriminée chez cette femme, ni comme cause primordiale des accidents , ni comme complication. L'hypothèse d'une anest
pas de symptômes d'éthylisme. Elle nie avoir jamais présenté aucun accident spécifique. Jamais elle n'aurait eu d'éruption
nc de ce côté une oph- talmoplégie interne complète. Le début des accidents remonte à 3 ans : il ce moment la vue a diminué
e de l'indica- teur droit, chez un individu prédisposé il faire des accidents du côté de ses articulations, de par un long ac
ns il ne suspendit point ses occupations. C'est alors qu'éclata l' accident grave qui détermina une subite para- .plégie.
oborée par la précision avec laquelle il raconte les détails de son accident . Complètement paralysé des jambes, il fut relev
les signes fournis pas l'examen du sys- tème nerveux. Depuis son accident , le malade a perdu l'appétit : sa langue est sèch
servés par le malade pendant les derniers jours qui ont précédé son accident , se sont transfor- més depuis en une incontinen
rapidement mortelle (3 jours, 19 jours après le début apparent des accidents ) dans lesquels ils n'ont pas noté de dégénérescen
ablement syphilitique, son chancre avait été dûment constaté et ses accidents tertiaires soignés à Saint-Louis avaient laissé u
éclat que dix jours avant la mort : telle est, du moins, la date de l' accident subit, de l'apoplexie, qui a brusquement arrêté
re, son intelligence était parfaitement lucide : il donnait sur son accident des détails circonstanciés précisant le jour, le
d'anesthésie du territoire sous-jacent à la lésion : un sembla- ble accident ne peut être imputé qu'à une lésion soudaine, imp
nées jusqu'à l'adolescence, pendant l'adolescence et l'âge mûr. Les accidents par lesquels elle se manifeste seront donc dits,
premier a trait à un enfant de 52 jours dont la mère présentait des accidents secondaires. Pas de description clinique. L'aut
e s'en- suit pas, d'après les symptômes cliniques observés, que les accidents doi- vent être attribués à la sclérose en plaqu
balle d'une carabine rayée de G millimètres. Immédiatement après l' accident , on a enlevé une esquille osseuse, et six mois
été atteints, puisqu'on a enlevé une esquille immédiatement après l' accident et qu'un séquestre s'est éliminé six mois plus
e-n'ai enlevé -ni l'un ni l'autre parce qu'ils ne déterminent aucun accident . Mais si l'ablation avait été indiquée, cette p
été là un moindre avantage. Supposez qu'on ait été conduit par des accidents quelconques à rechercher la balle, on se serait
second, alors qu'il était certain qu'un seul avait pénétré, et les accidents auraient pu persister après comme avant l'opéra
dure et fait des frictions mercurielles sous l'influence desquels les accidents disparaissent. Vers le mois de juin 189'i, l'
ulcérations du palais et du voile du palais (3 juillet 1893). Des accidents de même ordre se seraient montrés au mois de janv
esse telle des membres inférieurs « qu'il ne pouvait marcher », Ces accidents paraissaient nettement attribuables à la syphilis
cidives mul- tiples de ces syphilides sous la même forme. En outre, accidents syphilitiques nombreux : fistule lacrymale, lés
olécrâniens normaux. ' , A quoi donc attribuer, disions-nous, les accidents dont a souffert et' souffre encore Marius R...
encore existé. « S'il restait quelques doutes sur la nature de ces accidents nous ajoute- rions qu'au bout de quinze jours d
cherches faites à Laennec n'ont rien démontré de précis quant à ces accidents syphilitiques, le diagnostic porté sur sa panca
ispa- raitre ses céphalées survenant par intervalles et sans autres accidents , soit gé- néraux, soit locaux. En 1891, habit
ade, en effet, dit avoir été soignée vers l'âge de 30 ans, pour des accidents vulvai- res ulcéreux suivis de chute des cheveu
\ pbilis, qu'il a pris autrefois de l'iodure de potassium pour des accidents légers I cardio-pulmonaires. Par contre, l'ex
corrobore l'efficacité du traitement mercuriel et ioduré contre les accidents ner- veux que nous avons décrits. Nous prescr
Sée par l'immobilisation et les pointes de feu. Elle garde, de cet accident , de la laxité des téguments péri-articulaires e
avec un succès complet. " Quoi qu'il en soit de l'existence de ces accidents , qui ne nous intéres- sent que d'une manière ac
stence d'une déformation de la main survenue au cours d'une série d' accidents qui* suivirent sa .première vaccination,' faite v
, soit dans le volume, la confor- mation normale de l'individu. L' accident dystrophique qui entraîne la difformité apparaît,
L'INFIDÉLITÉ DU BORAX DANS LE TRAITEMENT DE L'ÉPILEPSIE ET SUR UN ACCIDENT DE CETTE MÉDICATION (purpura borique) PAR M
lepsie,et qui a paru dans ce recueil,avait pour but de signaler un accident de ce traitement (1). Depuis lors, je l'ai ex
p vite au succès définitif. II. J'ai d'autre part insisté sur les accidents du traitement par le borax (1), troubles gastri
ement par le borax (1), troubles gastriques, troubles vaso-moteurs, accidents cutanés, et surtout complications rénales qui p
omplications rénales qui peuvent avoir une marche fatale. Parmi les accidents du borisme, l'oedème tient une place importante.
s des malléoles. La malade continua à prendre (1) Le borisme ou les accidents de la médication par le borax, La semaine médical
uver de diminution de ses paroxysmes, mais aussi sans pré- senter d' accidents gastro-intestinaux. Un mois plus tard les tache
revue chaque mois, et ni l'oedème, ni le purpura n'ont reparu. Les accidents comitiaux sont séparés par des intervalles de p
complètement effacées qu'au commencement de mars (Pl. XXXV). (Les accidents se sont reproduits depuis sous la même influence.
débattait furieusement en poussant des cris terribles. Lorsque ces accidents la prenaient aux champs, on parvenait à les faire
s membres à plusieurs reprises vint encore grossir le nombre de ses accidents . ' Cependant, l'évêque de Langres n'abandonnait
dires de la malade, ou sincèrement convaincus de la réalité de ses accidents , ne pouvaient admettre qu'on niât l'évidence.
s au-dessus de la vérité. . OBSERVATION. Après un bref résumé des accidents de la lithiase urinaire, Morand s'a-' dressant
obligée de remuer et de lever des sacs de blé préten- dait que cet accident lui venait de quelque effort; il se renouvelait d
iques. . LA MALADIE DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSMES 233 Ces nouveaux accidents qui aggravaient la maladie, forcèrent Geneviève à
l lui semblait qu'elle était toute couverte de charbons. Ces deux accidents , savoir le vomissement de sang et l'éruption dart
ang par les parties naturelles. En même temps, il s'est déclaré des accidents d'une autre espèce que tous ceux qui avaient dé
s et de pierres, les crampes qui y succédaient, ont cessé, mais ces accidents ont été rempla- cés par une strangurie et des d
effort et avec bruit. Quelques temps après je fus témoin des mêmes accidents ; lorsqu'ils furent cessés je touchai le pouls
c raison qu'une pareille productioncalcu- leuse n'ait causé que des accidents douloureux insignifiants, et surtout qu'aucun p
la précision avec laquelle il a reconnu et affirmé la nature de ces accidents , en un temps où l'étude des maladies nerveuses
nous avons aujour- d'hui des preuves surabondantes. La nature des accidents hystériques qui constituent toute la maladie de
les humeurs, dans les esprits, et dans le genre ner- veux. Tous ces accidents sont anjourd'hui classés clans le tableau des ma-
ter- nativement, c'est encore à l'hystérie qu'il faut rattacher ces accidents . Ils appartiennent il la série des troubles vas
ille de St-Géosmes, joua certainement un rôle dans la genèse de ces accidents . Toutefois, chez Geneviève, les crises d'anorex
ui succéder plus tard. * , Quelle que soit d'ailleurs la marche des accidents , il est intéressant de constater que non seulem
nourriture», remède souverain, assu- rait-on, contre cette sorte d' accident . 'Mais il n'eut aucun succès. Plus tard, les ph
nite hystérique. , Les phénomènes douloureux qui accompagnaient les accidents présen- tés par Geneviève siégeaient tantôt dan
des vésicatoires ». C'est la même description que Morand donne des accidents éruptifs pré- sentés par Geneviève : , « Erup
missements. - D'autres fois, l'autosuggestion suffit à produire des accidents de toutes sortes. Après que Geneviève eut promi
ces désor- dres psychiques, et ses réflexions sur la pathogénie des accidents de Go- r neviève Martin restent conformes à l'i
de St-Géosmes et de faire plus large la part de la maladie dans des accidents qu'on est trop généralement tenté d'attribuer à
jeune demoiselle de Versailles se rendit célèbre par de semblables accidents : M. Helvetius et M. Lavigne, médecins de la Fa
us réel que ce qui les suivit, au bout de trois ou quatre mois, ces accidents finissaient par rendre des pierres. Le roi, tou
t sur un fond névropathique inépui' sable dans ses modalités. Les accidents convulsifs y figurent au grand complet. Les dés
ège, et le lendemain, reprend son travail.Deux jours après ce léger accident ,la jambe devient impolenle,ce qui oblige le mal
mière est celle d'un enfant de 52 jours dont la mère présentait des accidents secondaires. « Macroscopiquement le cerveau et
ralysie arsenicale, de la nature myéli- tique ou polynévritique des accidents . Pour ce qui concerne en particulier le cas del
c l'hypothèse d'une myélite dans le sens propre du mot. Si donc les accidents présentés par cet enfant ont eu réellement une or
e tenté de soupçonner une origine polyné- vritique à l'ensemble des accidents . M. Rendu également est d'avis qu'on ne saurait
posé les faits et les raisons sur lesquels je lafonde. Pour moi les accidents qu'on englobe dans la paralysie arsenicale sont l
ment d'origine alimentaire, oeuvre d'une main criminelle, ou simple accident . A propos de cette dernière éventualité, je vou
malade, et qui était quelquefois son commensal, présenta les mêmes accidents , sous une forme atténuée. Or savez-vous ce que
intenant la morale de cette histoire : une fois connue la cause des accidents présentés par cette femme, celle-ci, cela va sa
ment une certaine quantité de ce poison et peuvent être la source d' accidents toxiques, à évolution subaiguë, parmi lesquels il
èrent du pain arseniqué. Dans l'intervalle ils avaient été pris des accidents gastro-intestinaux habituels à l'empoisonnement
part de MM. Cougit et Sambuc (2). Les vic- . times ont présenté des accidents qui rappelaient ceux de l'acrodynie, c'est dire
endamment des vomissements et des coliques, la victime présenta des accidents initiaux qui firent croire au médecin traitant qu
ée en vert. Il y avait longtemps que cette dame était sujette.à des accidents variés, lors- qu'elle se décida à consulter un
pour fournir la démonstration objective de l'origine toxique de ces accidents de Iseudo- tabes. (1) DINA, On pseudo-litbes
a période aiguë d'un em- poisonnement arsenical, le malade a eu des accidents convulsifs et jusqu'à des attaques épileplij'o1
n'est pas rare qu'une poussée de fièvre ait accompagné ces premiers accidents . Cependant cette phase -de gastro-entérite qui,
(le cas de notre malade prouve qu'elle peut manquer) ; sauf que les accidents embrassent une durée moindre, et abou- tissent
alors qu'avant leur empoisonnement ils n'avaient jamais présenté d' accidents de ce genre. Mais il s'agit ta de faits exception
e l'intoxication retentit l surlesystéme nerveux ? Une succession d' accidents qui, presque toujours, rappellent le tableau de
u tabes, de façon à constituer un syndrome de pseudo-tabes. Que les accidents soient imputables à l'arsenic ou à l'alcool, de
ront donc des manifestations délirantes qui ouvriront la marche des accidents . Le délire, en ce cas, joue le même rôle que les
nement arse- nical aigu. ^Jamais, du reste, vous n'observerez ces accidents de gastro-entérite, ces accidents cholériformes
, du reste, vous n'observerez ces accidents de gastro-entérite, ces accidents cholériformes, à la-phase prodromique d'une polyn
de 5 mois de mère spécifique (papules, impossibilité de retrouver l' accident primitif, c'est la 3e fausse couche. Foetus macér
mars 1896 (Broca). Foetus à terme de mère spécifique depuis 2 ans. Accidents actuellement. Macéré, pèse 2320 grammes. Organe
5 août 1896 (Broca). Foetus à terme. Mère spécifique depuis 5 ans. Accidents actuels. 3 enfants mort-nés macérés. Mort-né.
. Infidélité du borax dans le traitement de l'épilepsie et sur un accident de cette médication (note sur l') (purpura bori
23 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
de Cholesterine dans le sang, M. Flint a été conduit à attribuer les accidents ner-veux mortels qui s'ensuivirent à l'action mêm
alisant cette vue, il met encore sur le compte de cette substance les accidents nerveux qui résultent de l'a-trophie jaune aiguë
) a avancé qu'une injection de Cholesterine dans le sang provoque des accidents nerveux mortels. Mais, de nouvelles expériences
ger et déter-mine par le mécanisme de la trombose ou de l'embolie des accidents dont la gravité et la forme dépendent du siège de
lésions fonction-nelles et organiques du foie, n'est pas la cause des accidents graves qui se manifestent quelquefois dans le cou
lvante ; elles peuvent aussi, selon toute vraisemblance, produire des accidents d'intoxica-tion se traduisant par des phénomènes
ils peuvent agir à la manière d'un poison vio-lent et occasionner des accidents nerveux graves. a. Parlons d'abord de Vaction d
ose concentrée, les acides biliaires déterminent chez les animaux des accidents nerveux plus ou moins graves. Nous aurons à exami
catégorie de cas d'ictère désignés depuis longtemps en raison de ces accidents , sous le nom d'ictère grave. Je termine ici, Me
biliariis corporis Humani tra-jecti ad mœnum, 1795. (2) De quelques accidents de la lithiase biliaire. Paris, 1869. l'intermi
emarquable de l'urate de soude dans la pathologie de la goutte et des accidents goutteux. Y. Il s'agit maintenant de s'assurer
écrit sur la goutte n'ont pas manqué de citer la présence, à titre d' accident pré-monitoire des accès de goutte, d'une tuméfact
. — Fréquence de la lithiase biliaire. — Opinions des auteurs sur les accidents qu'elle détermine. — Recherches de Volff. — Consi
pens du produit de la sécrétion biliaire, mais encore celle de divers accidents morbides dus à la pré-sence de cette concrétion (
de du mécanisme, ou autrement dit, de la physiologie pathologique des accidents morbides très variés que provoquent les cholélith
re qu'un calcul urinaire ne se relève pas pendant la vie par quelques accidents plus ou moins graves, tandis que dans l'immense m
n cher-chant à établir entre autres que, dans la plupart des cas, les accidents qu'on rapporte vulgairement, sous le nom de coli-
rner à énumérer, en dehors de la coli-que hépatique, quelques-uns des accidents si multipliés que peut déterminer la lithiase bil
leurs cessent, en général, tout à coup et, tôt ou tard, sans nouveaux accidents , il est évacué par l'anus. Mais il arrive quelque
édoque, est parvenu dans l'intestin, il peut être encore l'occasion d' accidents redoutables. Les calculs biliaires, en effet, s'e
° après cela, nous étudierons anatomiquement et physiologiquement les accidents variés dus à leur présence dans l'organisme. Il
es concrétions biliaires cystiques par les voies naturelles, puis les accidents qui les signalent. J'insisterai plus spécialement
; — dimensions des parties qui le constituent. — Gravelle biliaire; — Accidents qu'elle occasionne. — Dilatation des canaux cysti
live ou plus, qu'on rencontre par-fois dans les selles à la suite des accidents d'une colique hé-patique régulière, il existe un
lculeuse devait être, suivant lui, reléguée au se-cond plan, comme un accident rare, exceptionnel. Beau, pour soutenir cette t
hé-patique : je fais allusion aux lypothymies et aux syncopes. Ces accidents sont attribués d'ordinaire à l'intensité des dou-
ques et des syncopes. La mort eut lieu seize jours après le début des accidents . A l'autopsie, on constata que la vésicule renfer
pénétré, sous cette nouvelle influence, dans le canal cholédoque, les accidents précipitent leur cours. De plus un soulagement mo
er dans le canal de l'urèthre. Il est des malades chez lesquels les accidents fébriles se développent toutes les fois que survi
biliaires par le fait de la présence d'un cholélithe ne sont pas des accidents très rares. Ils surviennent dans la majorité des
ortés par Dance, Robert (2) etBristowe (3). Les conséquences de cet accident ne sont pas toujours les mêmes : tantôt le résult
Hoffmann cherche à établir dans un travail récent (2). De tous les accidents qui peuvent marquer la migration des concrétions
ire, celui qu'il importe surtout d'étudier. Les conséquences de cet accident varient du tout au tout suivant le lieu où se fai
liaires. Ces ruptures se produisent quelquefois à la surface du foie, accident redou-table auquel succède à peu près nécessairem
culeuse du canal cholédo-que ou des conduits hépatiques ; c'est là un accident dont le pronostic est fort grave pour peu qu'il p
son. Analogies entre les diverses formes de fièvre hépatique et les accidents de la fièvre dite uréthrale. — Parallèle entre le
s biliaires mêlés au sang semble être insuffisante pour engendrer les accidents obtenus dans les expériences chez les animaux ave
). L'affaiblissement du cœur a été de longue date signalé parmi les accidents de l'ictère prolongé. Sous son influence, ainsi q
es. C'est encore à celle-ci qu'on a fait appel pour rendre compte des accidents nerveux, convulsifs ou coma-teux qui, quelquefois
isance des fonctions hépati-ques. 4° Ainsi que cela arrive dans les accidents fébriles symptô-matiques en général, les accès de
. Elle survient tantôt au milieu de phéno-mènes graves, rappelant les accidents dits pernicieux des fièvres palustres, tantôt dan
qui existent entre les diverses formes de la fièvre hépatique et les accidents du même genre qui compliquent parfois certaines m
forme algide (Per-drigeon), forme apoplectique (Grisolle) (4). Ces accidents variés peuvent tous survenir spontané-ment, dans
e uro-septique. En quoi consiste l'altération de l'urine, cause des accidents fébriles? On ne le sait pas au juste, mais très c
rée formation d'un poison morbide particu-lier, d'où dépendraient les accidents très spéciaux de cette forme de fièvre intermitte
rganique. Les choses ne se passent pas toujours de cette façon et les accidents inflammatoires dont la vésicule devient le sièg
Voilà, Messieurs, quelle est la série, en quelque sorte normale des accidents . Mais, il est possible que telle circons-cance vi
ique hépatique a été plusieurs fois l'occasion de l'apparition de ces accidents redoutables (1). Dans un cas de Leared (2), les p
laté par le Dr Pepper (3). Un homme âgé de 60 ans, fut blessé dans un accident de chemin de fer ; la mort survint promptement. A
itoine, un qua-trième était engagé dans le canal cystique. Un autre accident de la cholécystique calculeuse, non moim Ki) Ca
après être tombé dans l'intestin s'y enclave et détermine les graves accidents de Yiléus. L'histoire de cet enclavement intestin
les cystico-duodénales, observés par M. Murchison, ont occasionné ces accidents ; la mort, tant s'en faut, ne s'en suit pas fatal
re des fistules cystico-intestinales, par l'indication des principaux accidents susceptibles de se pro-duire, quand les calculs s
66, l. xxxvn, p. 417. sphincter anal; mais on triomphe aisément des accidents de ce genre. En outre de l'iléus, il est encore
nre. En outre de l'iléus, il est encore possible de citer parmi les accidents dus à la présence des concrétions biliaires dans
perçu ; tantôt, il survient une cystite suppurative, déter-minant des accidents d'une gravité variable ; puis, il se fait des adh
ez les femmes âgées (1). J'en ai fini, Messieurs, avec l'exposé des accidents produits par la lithiase biliaire. Vous voyez qu'
entéritique, les hémorra-gies gastro-intestinales, l'ascite, l'un des accidents principaux dans l'espèce et qui, au contraire, fa
icules par les infarctus de sang concrète, il peut se dé-velopper des accidents urémiques capables d'amener rapide-ment la mort.
che de l'atlas de Frerichs. (Taf. 1, fig. 9.). Jene sache pas que des accidents quelconques aient été rattachés jamais à la prése
ines, sans avoir jamais eud'œdèrne, et qui aura succombé à la suite d' accidents urémiques. À l'autopsie, on trouve les reins pe
laire. —Albuminu-rie très peu marquée. — Urée en proportion normale Accidents urémiques observés dans la néphrite interstitiell
— ainauroses; — phénomènes nerveux. B.— Urémie aiguë. — Mécanisme des accidents uremique;— influence des émotions morales, des fa
s atteints dè la néphrite interstitielle qu'on voit se développer les accidents nerveux variés, et généralement insidieux, qu'on
ant la vie par aucune altération appréciable à l'oplithalmoscope. Ces accidents sont certaine-ment rares, par comparaison avec ce
sine materia sur trente-huit cas d'amaurose alburninurique. Mais ces accidents , s'ils ne sont pas fréquents, sont assez caractér
s remarque, l'altération du rein était jusque là restée latente : les accidents nerveux en question sont donc quelquefois la prem
s la première révé-lation de la maladie, et c'est à l'occasion de ces accidents que les urines sont examinées pour la première fo
dents que les urines sont examinées pour la première fois. B. — Les accidents urémiques peuvent encore, dans la néphrite inster
la suite de fatigues corporelles, d'une attaque caractérisée par des accidents apoplectiform.es qui ont pu faire songer dans que
ces accès peuvent se reproduire plusieurs fois,, avant l'apparition d' accidents permanents, définitifs (Grainger-Stewart, Bartels
A quoi peut tenir, Messieurs, cette fréquence et cette va-riété des accidents urémiques dans une affection où, géné-ralement, l
es émotions morales. Le mécanisme, suivant lequel se produisent les accidents , peut être plus complexe: ainsi, une femme attein
ng ; aussi dans ce cas, la mort survient-elle rapidement, au milieu d' accidents urémiques. Dans toutes les circonstances qui vi
, dans les périodes avancées de l'altération rénale, l'apparition des accidents urémiques est une circon-stance pour ainsi dire f
tant, par ce fait, considérablement restreinte ou môme supprimée, les accidents urémiques surviennent fatalement. On comprend par
poudre de Do^ver, Dickinson, p. 1G2), l'opium dé-termine parfois des accidents comateux mortels, probablement urémiques ; il par
elle-même (hydrothorax, etc.), soit en devenant le point de départ d' accidents variés : les érysipèles gangreneux, les phlegmons
ologiques ; ainsi, dans les maladies fébriles, graves, accompagnées d' accidents typhoïdes, avec putridité, comme disaient les anc
. - Fréquence de la lithiase biliaire. — Opinions des auteurs sur les accidents qu'elle détermine. — Recherches de Volff. — Consi
: — dimensions des parties qui le constituent. — Gravelle biliaire; — Accidents qu'elle occasionne. — Dilatation des canaux cysti
son. Analogies entre les diverses formes de fièvre hépatique et les accidents de la fièvre dite uréthrale. — Parallèle entre le
ire. — Albuminu-rie très peu marquée. — Urée en proportion normale. Accidents urémiques observés dans la néphrite interstitiell
— amauroses; — phénomènes nerveux. B. — Urémie aiguë. — Mécanisme des accidents urémiques; — influence des émotions morales, des
lle, 345. —? Dans la néphrite pa-renchyma leuse. 360. — Mécanisme des accidents , 238. Uricémie, 111, 115. Urine (Sécrétion de
24 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de vomir, constipation pro- noncée, douleurs dans le cou, autant d' accidents qui pouvaient faire craindre une méningite. A
Cette suspension semblerait indiquer le caractère migraineux de ces accidents . Son père a 73 ans, bien portant. Sa mère est m
Historique. - C'est au mois de novembre 1897 que remon- tent les accidents dont elle souffre al1joUl'd'hui. Les troubles men
véritables douleurs précordiales. Quelque temps après le début des accidents cardio-vasculaires, le corps thyroïde augmentai
piration paraissait gênée et la phonation modifiée. De même que les accidents cardiaques, l'hypertrophie thyroïdienne s'exagé
finiment rare aux alen- tours de la vingtième année : c'est donc un accident du ter- tiarisme moyen dans 81 0/0 des cas ; ta
te sur les paralysies conjugales, sur celles qui s'ac- compagnent d' accidents spécifiques en voie d'évolution et REVUE DE P
e traitement thyroïdien amena rapidement la disparition de tous les accidents . La taille de l'enfant qui ne dépassait pas 1 m
ractéristique de la psychiatrie française. P. Sérieux. 11. -- Des accidents psychiques liés an.).' maladies de l'oreille et d
étaient atteints de dégénérescence physique ou mentale ; mais ces accidents psychiques peuvent survenir chez un oto- pathiq
rie infantile, auxquelles il a ajouté 4 observations inédites : ces accidents sont donc rela- tivemcnt rares. Ils se traduise
beaucoup le diagnostic. A l'autopsie des enfants morts au milieu d' accidents ménin- gitiques compliquant une dothiénentérie,
e li- quide céphalo-rachidien extrait par ponction lombaire ; les accidents méningitiques peuvent être causés aussi par des
, sont les deux moyens thérapeutiques les plus efficaces contre les accidents méningitiques de la do- thiénentérie infantile.
s son évolution particulière, durant une période de 4 ans après l' accident . Observation, BDUd ? âgée de 30 ans; cuire le 5
ir à temps pour em- pêcher qu'elle ne lût écrasée. Aussitôt après l' accident elle fut transportée il J'hùpitall3eaujon. A
lles oscillations, est morte des progrès de la cachexie, sans aucun accident inflammatoire terminal, le 3 août 1905, c'est-à-
'abord, la motilité ensuite, s'améliorent au point qu'un an après l' accident , la malade peut vaquer, quoique difficilement,
lexes ten- dineux. Nous savons qu'au début, immédiatement après l' accident et pendant son séjour à la Salpêtrière, la para-
aplégie dans ces cas. C'est surtout l'évolution en deux temps des accidents médullaires chez notre malade qui frappe : c'es
y eut paraplégie absolue, puis amé- lioration et enfin reprise des accidents . Voyons si les constatations anatomiques peuven
s, durer jusqu'à 4 et 6 mois, ne suffit pas pour expliquer tous les accidents initiaux, car on ne comprendrait pas dans ce ca
ns vrai qu'il faut rendre la pachyméningite interne responsable des accidents postérieurs. Cette espèce de méningite post-tra
s'écarte alors de la poitrine avant toute convulsion à droite. Ces accidents co- mitiaux sont suivis d'un sommeil prolongé q
porteurs do l'exagération des réllexes cutanés du côté parésié, les accidents paralytiques étaient peu accusés ; 5 malades su
ser peut aussi, et Féré en rapporte deux exemples, être la source d' accidents comiliaux chez les pré- disposés que l'on oblig
due 2 fois à des émotions ou à des ennuis de famille, 3 fois à des accidents du travail, fois la cause est. restée inconnue.
, il est probable que la perle san- guine favorisa la genèse de ces accidents qui n'avaient jamais eu lieu. Elle avait du res
s d'aliments. Il s'améliore et peut sortir. En novembre 1898, les accidents reparaissent et il est interné pour la seconde
e paralysie ascendante aiguë avec troubles sphinctériensft menace d' accidents bulbai- res. Lymphocytose positive. D. IL amyol
plus ses vêtements dans le jour que par exception et lorsque pareil accident se produit il se montre très confus, très vexé.
ures ; après aloit se reposer une heure. FOLIES traumatiques ET accidents DU travail. 305 Après son dormir estoit un espa
el. V. pages 43, 44, 45.) CLINIQUE MENTALE Folies traumatiques et accidents du travail ; Par le D' MARIE, médecin en chef d
ulier par rapport à la législation spéciale nou- velle en matière d' accidents du travail. (1) Les principales observations dé
t la question des revendications vis-à-vis des res - ponsables de l' accident et la victime aurait toujours tort. Une questio
s après, et si elle peut légitimement ètre FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 307 attribuée à ce traumatisme. Or
de la psychose surajoutée; : 1° La date d'apparition par rapport à l' accident trauma- tique spécial ; 4° l'examen du sujet au
ut le siège d'un érysipèle dont les consé- FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 309 quences profondes au point de v
ar le Dr Broca. Trois mois après le traumatisme étaient apparus les accidents convulsifs ty- piques qui, s'accuentuant progre
Douze à quatorze crises par mois en- viron. Première crise après un accident de voiture : chevaux d'omnibus emportés. Coup d
es convulsions. La première crise se serait pro- duite au lieu de l' accident (on dut couper les brides qu'il tenait convulsi
Attaques épileptiques depuis une douzaine d'années. Les pre- miers accidents se sont manifestés à la suite d'un traumatisme
. 11 en avait jusqu'à trois la nuit. Fut opéré quatorze ans après l' accident (os du crâne très épais). On ne trouva rien (tr
consécutif aux crises. (Dr Cestan). A. Il.- Le père aurait eu des accidents convulsifs. Un oncle se- rait mort épileptique
ique a produit une érection réflexe qui le FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 311 poussait, à la maison, à recher
immédiatement consécutifs, ils n'en sont parfois pas moins suivis d' accidents tardifs, lointains, tenaces. Parfois, cependa
d'accidents tardifs, lointains, tenaces. Parfois, cependant, les accidents se montrent tardive- ment, sans avoir été précé
les accidents se montrent tardive- ment, sans avoir été précédés d' accidents transitoires nets post-traumatiques. C'est alor
gés dans cette seconde catégorie. Dans ce cas,on conçoit qu'après l' accident ,l'individu a pu rentrer dans les conditions de
n a vu les lésions les plus insignifiantes en appa- rence suivies d' accidents formidables. On ne saurait po- ser en principe
ti en apparence guéri, partit en Amérique. FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. '313 d'où il revint deux ans après
la démence progressive ou même de la paralysie. Mais, côté de ces accidents , positifs pourrait-on dire, au point de vue de
nce de sa situation. Embarras marqué de la FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 315 parole. Trouble paralytique de
pour ses incapacités de travail, consé- cutives à la plupart de ses accidents , sauf toutefois pour l'incapacité mentale ultim
lement de tous ses membres, le 18 novembre 1902, cinq ans après son accident . 4° L'examen du sujet. Nous avons parlé de l'ex
ple, soit intervenu avant ou après letrau- FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 317 matisme le problème reste le mê
traîné imprudence, inconscience ou maladresse, cause vraie de - l' accident ). Le point culminant du problème paraîtrait don
du Ministre de la Justice, en date du lOjuin l8cJ'J, dit que « l' accident , tel qu'il faut l'entendre consistant dans une
ion exogène parti- culière. Dans les cas de mort consécutive à un accident trau- matique, on a pu, s'appuyant sur des auto
ponsabilités. (V. Obs. de Thébault. Etudes médico- légales sur les accidents du travail. Progrès Médical. Dé- cembre 1903, p
res, décembre ]00 ! -]i<03, mai 1905, n° 2.4J7. Assimilation aux accidents du travail de maladies causées par le plomb, le m
nkylostomiase et affections contagieuses.) FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 310 tiens visuelles multiples groui
utre part, il faut distinguer l'état du blessé anté- rieurement à l' accident et postérieurement. Lorsqu'il s'a- git, en effe
n délirant tardif pour lequel se pose la question de responsabilité accident par rapport à l'étio- logie de la folie, il se
e de la folie, il se peut que, depuis, le malade ait bu. De par son accident même, depar l'affaiblissement cé- rébral conséc
ns le liquide céphalo-rachidien de certaines brightiques au cours d' accidents graves. 11 n'existe pas de moyen clinique analo
and la tétanie s'exaspère ; elle s'affaiblit et disparaît quand les accidents téta- niques diminuent. P. KERAVAL. XXXVI. -
; par CONNUS. (Nouv. Icon. de la Salpètrière, 1905, n° 3.) Ces deux accidents survenus chez une femme non hystérique. mais ém
ère spinal diffus de l'évolution clinique et la survenance rapide d' accidents bulbaires mortels. P. T. XLVLHippus monolatéral
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Folies traumatiques et accidents du travail ; Par le D'A. MARIE, médecin en chef
ation médico-légale délicate. Chez ces deux malades les suites de l' accident et les ap- préhensions d'amoindrissement défini
Il résultait un véritable shock à la fois physique et moral de l' accident et des préoccupations inhérentes à ses suites e
rence, préoccupations hypochondriaques, monoirléisme relatif à un accident antérieur auquel il rapporte tout ce qu'il éprouv
il en parle avec détail, c'est par ouï-dire afliI"ITIc-t-il " ? ) L' accident a consisté dans la chute du haut d'un échatl'aw
sme), troubles vasomoteurs. Préoccupations monotones relatives à un accident du travail à dater duquel il n'aurait plus pu t
préalable nette, voue même un état psycliopatlii(lue antérieur à l' accident peut se combiner à des accidents cérébraux trau
tat psycliopatlii(lue antérieur à l'accident peut se combiner à des accidents cérébraux traumatiqucsnon moins réels. l'OLIE
x. Ses intentions sont naïves et s'il n'a peut- être pas, avant son accident , manifesté d'idées proprement par- ler délirant
mptions graves, précises, concordantes, permettant d'affirmer que l' accident du 22 décembre 1901 a con- tribune à produire l
systématique comme des complications prochaines et éloignées de l' accident ? A ce titre l'auteur du dommage semble-t-il de
e générale peut s'appliquer aux hypothèses FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 357 spéciales de psychoses post-tra
traumatisme (railway spine, etc.), de même on pourrait admettre des accidents cérébraux traumatiques réalisant des troubles m
tait-il ou non un taré ? B. La folie est-elle la conséquence de son accident ou de sa tare ? Encore l'absolu de cette second
pression osseuse. Attaques épileptiformes à l'asile; par- le de son accident durant la crise. Embarras de la parole, obtu- s
ation, incohérente. Halluci- nations nocturnes. Amnésie totale de l' accident . Obtusion intel- lectuelle persistante après ce
rale ; mais il est difficile de rattacher nettement ce malaise à un accident sur lequel nous ne possédons aucun renseignemen
de nese souvient de rien de ce qui se serait passé au moment du dit accident ). S'il y a eu accident, il est probable que le
n de ce qui se serait passé au moment du dit accident). S'il y a eu accident , il est probable que le schok ressenti est la c
- reux par l'oreille durant plusieurs jours à l'hôpital après son accident . En dernier lieu, il urinait au lit, divaguait. C
auche- mars. Voyait des voleurs la nuit. FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 359 C. lléclical. - 2(i mars 1904.
ontrerait affirmatif. Quelle que soit l'apparente insignifiance des accidents du début, l'expert devra toujours montrer la pl
ns se multiplieront à cause de l'exemple donné par la loi sur les accidents ,, et il sera difficile aux tribunaux de les rej
rejeter. Il s'ensuit que les questions relatives à la gravité des accidents , à leurs relations avec le traumatisme ou plutô
stinctes : 1° L'état de la victime ; 2° Les suites probables de l' accident ; ,3° La date à laquelle il sera possible d'en
a sur la constatation de symptô- mes cérébraux, au moment même de l' accident et leur persistance plus ou moins nette dans l'
. docteur Wagner : K Pre- mière pratique médicale de la loi sur les accidents du travail» (Thèse de Paris, 1901).] FOLIES
nts du travail» (Thèse de Paris, 1901).] FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 363 Il importe ensuite de détermine
L. 363 Il importe ensuite de déterminer les suites probables do l' accident , suites immédiates et autres, et la date il laq
nt de vue physique et psychique : 1° L'infirmité dépend-elle de l' accident invoqué ? 2° Peut-elle résulter d'une cause ant
on de la blessure ? ) 4° Le blessé qui a repris du travail depuis l' accident a- t-il néanmoins subi une perte importante et
soit immédiate, par psychose ou démence incurable aussitôt après l' accident ,ou médiate, par psychose ou démence tardive, ap
ar psychose ou démence tardive, après une apparente guérison et des accidents précoces suivis de reprise du travail avec ou s
ution des frais médicaux et d'assistance. Ceux-ci. dans les cas d' accidents ordinaires, sont payés aux médecins comme aux é
905. - Lasco ? continue à s'améliorer à tous les points de vue; les accidents nerveux {chorée) ont disparu, fille se porte ad
tent, il suc- 442 CLINIQUE MENTALE. comba le 19 août 1896 à des accidents bulbaires progressifs du côté du coeur et de la
était obligé de l'attacher presque continuellement pour éviter des accidents . Elle était si brouillon qu'elle ne prenait même
mnastique et est très souple dans ses mouvements. Elle n'a pas eu d' accidents épileptiques depuis juillet 1902; de là le déve
rts : classe, ateliers, soins du ménage, tout marche de pair. Aucun accident nerveux à signaler, très grande amé- lioration
anifesta- tions intellectuelles qui se produisent et les nouveaux accidents pathologiques. Prendre le poids et la taille to
tistiques le mot guérison, c'est parce que, s'il survient quelque accident après la sortie, nous pouvons plus facilement i
cérébral, par Miral- lié, 451. Absinthe. L' à l'école, lui.16. Accidents psychiques. V. Oreille. - du travail. Voir Foli
se avec troubles labyrin- thiques, par Bonnier, u22. Oreille. Des accidents psychiques liés aux maladies de 1' et de ses
25 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
s. Il paraît doué d'une très-bonne santé, et il semble que ce soit un accident qui ait amené chez lui la maladie dont il souffre
il est resté une seconde fistule. Enfin, il y a six mois, un nouvel accident est arrivé. Cette fois, tout à fait derrière l'ép
ple de deux individus chez lesquels cet engorgement a déterminé des accidents , postérieurement à la résection, qui ont fini par
que la guérison serait si longue, qu'elle aurait à traverser de tels accidents qu'il vaut mieux subir les chances actuelles de l
j'ai cherché, j'ai demandé tout à l'heure au malade: Avez-vous eu des accidents dénature syphilitique? Il m'a répondu n'avoir mêm
et au pouce gauche. Elle a été amenée environ trois heures après l' accident à l'hôpital de la Pitié. Là, la malade n'a pas vo
on l'importance du lieu anatomique, décrit ou rappelle les principaux accidents de terrain, s'il nous est permis de parler de la
nées, les journaux ont publié des cas de taenia accompagnés de divers accidents et surtout des exemples de guérison par des agent
—Nous avons voulu savoir si, depuis sa sortie, il avait encore eu des accidents nerveux. A cet effet, nous sommes allé (31 janvie
si, depuis l'expulsion de son tamia, Schmidt1 a eu ou non de nouveaux accidents convulsifs; puis, chez lui, l'alcoolisme qui se t
fait voir quels sont les caractères qui permettent de distinguer les accidents dus à l'in¬toxication par la strychnine, de ceux
fait tomber. La teinture d'iode a bientôt fait justice de ces petits accidents , qui n'apparaissent plus qu'à des intervalles trè
e donner à cette nouvelle espèce le nom de tœnia madagas-cariensis. Accidents nerveux dus au taenia.. — Les faits analogues à c
a peu de temps, qu'il ne connaissait pas un seul exempleauthentique d' accidents nerveux occasionnés par la présence du tœnia1. To
e d'une petite fille qui, à 7 ans, devint cataleptique; à 10 ans, les accidents revêtirent la forme de l'épilepsie. Les accès se
ntier de 4 mètres fut rendu. Depuis lors, la malade n'a plus eu aucun accident , et ainsi s'est dissipée l'idée d'une épilepsie e
uelques mots l'histoire d'un médecin qui ressentait, dit-il, tous les accidents d'une congestion cérébrale : céphalalgie, obstruc
ôte importun et fit disparaître tout danger. Dans un autre cas, les accidents nerveux furent de nature para¬lytique. Un homme d
ent abolie à droite. Le côté gauche fut atteint à son tour de pareils accidents , moins la paralysie de la face. Quatre mois après
leptiformes ; chez d'aulres ce sont des phénomènes de vertige, ou des accidents qui pourraient faire croire à une lésion de la mo
criptions des maladies auxquelles on inclinait à les rattacher. Les accidents nerveux, convulsions, paralysies, vertiges, etc.,
palpitations, modifica¬tions du caractère, tendances lypémaniaques. Accidents produits par le taenia du côté de l'appareil dige
outes les dérangements fonctionnels du cerveau étaient accom¬pagnés d' accidents manifestes d'une syphilis invétérée. Dans la prem
ne ponction et une injection iodée. Après quatre ou cinq ans, le même accident est survenu au genou droit, qui fut traité par le
ent des croûtes verdâtres, sales, des sy-philides pustulo-crustacées ( accident tertiaire). Même traitement ; vin de quinquina.
opinion de quelques auteurs, que le tœnia est capable de produire des accidents nerveux de nature très-diverse, mais susceptibles
térieurs de son étendue. Nous n'avons pas vu le malade au moment de l' accident , mais voici les H E V U E P H 0 T 0 G li A P111
à merveille et n'avait jamais, nous fut-il affirmé, présenté depuis l' accident le moindre trouble dans sa santé. Quelques jour
de paraissait devoir guérir parfaitement de cette lésion, lorsque des accidents fébriles et adynamiques se manifestèrent; le mala
taient encore très-dilatéesquoique à un moindre degré qu'au début des accidents . La tête étail lourde. — L'autre malade, le trois
onnées, nous n'avons remarqué qu'un ralentissement dans la marche des accidents . II. Expériences sur les animaux. Extrait de
alabar et 6 milligrammes de sulfate d'atropine, et il s'est remis des accidents toxiques qu'il a éprouvés ; dans la seconde parti
te ; se tient sur les pattes de devant. Accès convulsifs. — 6M0 : les accidents augmentent ; efforts de dégluti¬tion ; il meurt à
— Ni selles, ni urines, ni salivation, etc. — 10M5 : amendement des accidents . L'animal se traîne un peu sur les pattes de deva
de 60 gouttes de solution de fève de Calabar. Après avoir éprouvé des accidents plus intenses que le 25 avril, l'animal s'est par
omatologie générale, chapitre dans lequel sont examinés avec soin les accidents gastriques principaux, ceux qui doivent mettre le
t fréquente, il est relativement assez rare de la voir déterminer des accidents aussi considérables et aussi multipliés. C'est po
les trajets fistuleux se ferment et tout fait espérer que de nouveaux accidents ne se montreront pas. Réflexions. La mère de ce
nt, et pour recueillir l'obser¬vation des femmes qui ont présenté des accidents à la suite de leurs couches. En rassemblant aujou
ents ; sécrétion à peine colorée. — Soir : P. 84 ; T. V. 59°,5. Aucun accident particulier. 22. Seins gonflés, volumineux, dur
acune avec la suspension momentanée du chloral. Nous n'avons eu aucun accident imputable au chloral, si ce n'est, peut-être, un
e pouce de la main gauche saisi clans une mécanique. Dixjours après l' accident , lundi 4 avril, elle commença à ressentir un peu
i les premiers éléments de cette obser¬vation. Antécédents. — Pas d' accidents scrofuleux, ni convulsifs, dans l'enfance; variol
vec ce qu'elle ressent maintenant : elle ne rendait'que des eaux. Les accidents nerveux augmentèrent dans cette période (1862-186
ion définitive. Ce jour-là, notre malade était entièrement remise des accidents consécutifs à la première ponction. Nous avions c
loratrice ; c'est à cette particularité qu'était due l'apparition des accidents qui succé¬dèrent à l'exploration. La malade éta
nnèrent issue à une faible quantité d'un liquide muco-purulent. Les accidents après ces ponctions affectèrent un certain caract
contenait ce kyste, se ré¬pandre dans le péritoine sans provoquer des accidents plus graves que ceux que nous avons signalés. O
transparente : alors, on voit quelquefois survenir toute la série des accidents qui compliquent les plus violentes inflamnialions
t cesse complètement le 20, un peu moins d'un mois après le début des accidents tétaniques. Le malade regagne son pays le 26 avri
'on peut donner des doses très-considérables de chloral sans causer d' accidents ; de cette manière, on tient le malade constamment
. — Tétanos traumatique. — Traitement par le chloral dès le début des accidents . — Amélioration. — Guérison complète en un mois 2
es bons effets obtenus à l'administration du chloral dès le début des accidents , et à la continuation du médicament, sans interru
. 36°,5 ; soir, P. 56 ; T. 55°,8. — 25 mai. P. 64; T. 55°,9. -- Nul accident morbide, chez cette femme, ne peut rendre compte
taires et, dans un prochain article, nous étudierons quelques-uns des accidents puerpéraux. — La suite prochainement. — TÉRAT
par les parents sur ce qu'il est possible de faire pour remédier à un accident si disgracieux, il hésite, en raison de son peu d
la face vers la gauche et les mouvements d'extension de la tête. Aux accidents qui précèdent nous devons encore ajouter ceux-ci
de la face et des yeux, il est rare, très-rare, de voir chez eux des accidents oculaires se produire. Si cela arrive, tout se
se produire. Si cela arrive, tout se borne ordinairement à un léger accident local, car de suite des soins sont pris pour prév
sera trop tard ; déjà, il sera sur le point de perdre la vue, si cet accident ne s'est pas encore produit. Du reste, l'Arabe
.) G. B... 18 ans, tombé d'une charrette le 31 janvier, éprouve des accidents tétaniques le 10 février. M. Denton est appelé se
ontracture. Peau chaude. Pouls 150 ; R. 45 ; Temp. 100° (37°,9); (ces accidents sont-ils le résultat du lavement?). — Chloral en
t. Observation XVII. — Tumeur fongueuse du mollet. — Extirpation. — Accidents tétaniques. — Traitement par le chloral. — Mort d
ayons pas pour objet de tracer dans ces Notes l'histoire complète des accidents qui accompagnent ou suivent la parturi-tion. Notr
vomissements, ne permettent d'ailleurs aucun doute sur la nature des accidents . La fièvre, dans ce cas, a été bien moins consi
26 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
tiologie, les commémoratifs; noter scrupuleusementl'évo- lution des accidents ; s'assurer, en un mot, que rien ne relève d'une
se; un traitement convenablement dirigé pouvant avoir raison de ces accidents . Le malade guérira. Quand et comment ? C'est ce
peine de tomber, mais sans perle de connaissance. A son départ, les accidents s'étaient aîné- ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES
de la sclérose en plaques, l'âge tardif auquel se sont développés les accidents plaident déjà contre la lésion organique. Les é
il s'est couché. C'était environ trois heures. Le lendemain de cet accident , il a voulu se lever et s'est aperçu avec étonn
rcuriel. Un an après, il entra dans le service de M. Rigal pour des accidents ana- logues. Il y resta trois mois ; on aurait,
t Charcot1, et dans les exemples cités par divers auteurs. Mais les accidents ont disparu au bout de trois mois. Or les rémis
RS ». z ? ;) ) provoquée par M. le professeur Tarnier, à la suite d' accidents éclamptiques avec anasarque et albuminurie. C'e
ps que la paraplégie sont survenus de l'incontinence d'urine et des accidents gastriques. L'incontinence disparaissait par mome
. l'hystérie ne faisait aucun doute. Mais en raison de la durée des accidents , de leur ténacité, des troubles urinaires, ocu-
rvenue en huit jours plaide encore pour l'origine névropathique des accidents . Tout ici, en un mot : vertiges, troubles de la
t reperdu l'usage de la voix pendant quelques heures. Aucun autre accident à signaler depuis lors. Elle se plaignait cependa
la suite d'une peur et consécutivement aggravation très notable des accidents . Vives douleurs au niveau des jointures. Améliora
des progrès rapides. Le 28, les idées se troublent de nouveau. Les accidents disparaissent lie 1 er décembre et le 8 février
beaucoup diminué ainsi que les autres symptômes. Mais peu après ces accidents se reproduisent et disparaissent de nouveau sans
dromes que nous étudions. L'évolution de la maladie,la guérison des accidents sans l'intervention de l'iodure, plaident en ce
t. La chute des paupières survint un an après le début des premiers accidents . Actuellement, le malade présente le facies d'H
« avalés de travers » ou encore passent par les fosses nasales. Cet accident n'arrive d'ailleurs pas très souvent. Le malade
squ'il voulut se lever et marcher, une soixantaine de jours après l' accident , que ses jambes étaient lourdes et le portaient
nsons du moins, si l'on se rappelle la gravité, la longue durée des accidents rhumatismaux dont cette main a été le siège pri
cune d'elles, fort chargée en général en ce qui concerne les divers accidents ou manifestations de l'hystérie. La première de
poussé plus loin nos recherches chez cette malade, à cause du petit accident qui avait interrompu notre première série d'exp
accentué, elle a eu pendant son séjour à l'hospice une multitude d' accidents hystériques : chorée rhythmée, attaques de déli
arrhée tenace, la rougeole, la coqueluche avant d'être atteints des accidents qui m'occupent, ce qui corroborerait l'opinion
t un alcoolique invétéré, très violent, mais n'ayant présenté aucun accident nerveux. Il faisait les mêmes exercices que son
nerveux. Il faisait les mêmes exercices que son fils et est mort d' accident . Sa mère était migraineuse et est morte d'un ca
ien parliculier. Il a eu la fièvre typhoïde à 1 ans, et de nombreux accidents imputables à son métier. Il aurait été opéré à
LA SALPÊTRIÈRE. ondulée, et qui présente seulement quelques petits accidents lorsque l'on fait compter, siffler ou rire le m
arut par la suite tous les deux ou trois jours. A la suile de cet accident , sa santé qui auparavant était excellente se mo-
u monde, lorsque dans les premiers jours d'octobre, un mois après l' accident que nous venons de raconter, il lui arriva de t
sse- ments glaireux ou bilieux qui n'ont jamais disparu. Depuis son accident , M. X... n'est plus aussi actif cérébralement.
bre inférieur gauche, cepen- dant il était très manifeste. Tous ces accidents s'étaient développés pro- gressivement depuis u
par une grosse perte d'argent. Le malade n'était pas prédisposé aux accidents névropathiques par le fait de son hérédité, car
éréditaire et des antécédents personnels s'impose. L'apparition des accidents à un âge avancé, indépendamment de toute maladi
lque forme qu'il se présente : chute d'un lieu élevé, choc violent, accident de chemin de fer, peut produire une paralysie des
e (4 mètres de haut), et depuis lors est survenue toute une série d' accidents . C'était le 21 avril 1887. Il ne perd pas conna
sance et on le transporte chez lui. C'est alors que surviennent des accidents bizarres. Il rend du sang noir par l'anus, a des
ériphériques, la moelle, le mal de Pott ne pourraient expliquer ces accidents . Une lésion encéphalique ne les expliquerait pa
e jusque dans la vessie. Rétention d'urine et constipation depuis l' accident . Puis une cystite survient. Février 1889. Nouve
de paraplégie hystéro- traumatique, ne s'installe aussitôt après l' accident , mais il ne s'agit pas là d'une véritable paral
eilla l'énucléation du globe de l'oeil. Le malade refusa et vit les accidents inflammatoires disparaître à la suite d'un voya
et demi. En ce moment, elle y est encore depuis vingt mois pour des accidents du même ordre. Elle est pour- tant calme en app
s en bas âge, l'un à six ans, de méningite, l'autre, en nourrice, d' accident . Du côté des grands-parents, du côté paternel,
t hydrothérapique. A quinze ans, la menstruation s'est établie sans accident ; les règles sont assez régulières mais peu abonda
ce de M. le docteur Joffroy. Antécédents héréditaires. Père, mort d' accident , pas nerveux. -1}1 ère, morte d'une affection c
t. Une fausse couche il y a trois ans provoquée par M. Tarnier pour accidents éclamptiques (avec albuminurie el anasarque) à
e) à la suite de laquelle ont éclaté les symptômes paraplégiques. Accidents actuels (10 août). - Ovarie à droite, anesthésie
insi provoquée n'est pas suivie d'attaque. État mental. -Depuis l' accident dont il a été victime, le malade est triste, ap
es et de ses contusions, mais devenu neurasthénique à la suite de l' accident dont il avait été victime, reprit, au bout d'un
alaise, aucun trouble nerveux notamment, lorsqu'il fut victime d'un accident de chemin de fer dans les circonstances que voi
90 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. tembre sur le lieu de l' accident , assistant au sauvetage et à l'enlèvement des v
de ses camarades, etc. Tantôt il assistait à certaines scènes de l' accident de Velars. Parfois il avait des visions de chats
approches du jour, vers 4 ou 5 heures du matin. Dix jours après l' accident , ses blessures étaient guéries, il put se lever e
ribua tous ces troubles à la vie sédentaire qu'il menait depuis son accident et il se décida à reprendre ses fonctions de co
s de conducteur. Au commencement du mois d'octobre, un mois après l' accident , il fit un voyage à Arienne. Pendant le trajet
que ses comptes étaient faux. Il s'excusa en disant « que depuis l' accident qui lui était arrivé, il n'avait plus sa tête à
mmédiatement et l'écriture devient presque im- possible. OBs. XV. Accident de chemin de fer : neurasthénie et hystérie coiis
(tous les mois ou tous les deux mois), Cah... a présenté plusieurs accidents intéressants : Eu 1887 il eut une seconde attaq
de la névrose hystérique. Il s'est développé quelque temps après l' accident dont elle a été victime, et, si l'on s'en rap-
ngue qu'elle avait à faire. Mais elle avait' éprouvé au moment de l' accident une frayeur très vive, et lorsqu'elle -rentra à
ucune éraflure, aucune trace de contusion. Quelques jours après cet accident , elle commença à éprouver une série de troubles
lade présente de temps en temps, surtout lorsqu'elle est à jeun, un accident assez sin- gulier. Tout à coup elle ressent u
olongées sur le même point. Dans ces cas, il se produit souvent des accidents 1. Les planches qui accompagnent ce mémoire et.
lousaine; dans d'autres cas, il a trouvé des plaques d'ostéite. Des accidents sérieux tels que l'hydrocéphalie, la méningite, p
istique de cette affection, qui peut débuter indifféremment par les accidents DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE. 223 bulbaires o
ysie amvotrophiqusrétaient délar : é.es,.laaxlarche progressive des accidents permettaient de rapprocher ce cas de celui de Eic
-laryngée entraîna la mort six mois après l'apparition des premiers accidents . N'allait-il pas en être de même chez Peyn... m
itement antisyphilitique fut appliqué dès l'apparition des premiers accidents et l'affection n'en poursuivit pas moins son co
r : c'est ce qui est arrivé chez la malade de Seeligmùller, morte d' accidents pulmonaires d'origine cen- DE L'OPHTHALMOPLÉGIE
e de la tête et des yeux (novembre), le malade fut pris de nouveaux accidents . Le 17 décembre il passa une nuit fort agitée;
des élancements dans les membres devenus faibles, apparaissent les accidents morbides caracté- risés essentiellement par une
première fois à Paris en 1883. A cette époque, elle présentait des accidents variés d'hystérie : parésie des membres inférie
en portante pendant quelque temps. En 1887, surviennent de nouveaux accidents plus graves. Une hémiplégie du côté gauche, pro
cot, après un examen approfondi, pensa que la myélite, cause de ces accidents , était guérie; il admit aussi que, à cette contra
t remédier à ces rétractions musculaires cause évidente de tous ces accidents que par des sections tendineuses portant, premièr
actuelle. C'est en 1887, à vingt-deux ans, que survient le premier accident , sous forme d'un « abcès » indolore de l'index
ment compressif.' Les suites de l'opération furent heureuses, aucun accident ne survint; et lorsqu'au cin- quième jour les s
renseigner sur l'époque de l'éruption successive des dents, sur les accidents qui ont pu l'accompagner. Cepen- dant l'examen
l'heure, les principales variétés d'anomalies dentaires. Quant aux accidents pathologiques qui affectent le' plus souvent le
, l'idée fixe d'une paraplégie, puis d'une surdité, a objectivé ces accidents , reconnaissables du reste à leurs caractères ordi
acture du membre inférieur. Les caractères, le mode de début de ces accidents , la présence de cette contracture sur un côté d
s'impose pas. Un an après le début d'une syphilis ignorée quant à l' accident initial, survient une paraplégie bientôt suivie
ite de cette évacuation, un grand soulagement. Pendant un mois, les accidents abdominaux persistèrent, marquant la véritable na
que de la moelle. Mais elle avait été précédée, depuis trois ans, d' accidents analogues qui étaient survenus avec brusquerie,
sans laisser de traces de leur passage. D'autre part, les derniers accidents paralytiques avaient débuté, il y a trois mois,
ens; après cette peur, elle eut une fièvre ? qui s'est compliquée d' accidents cérébraux. En 1881, elle com- mence à marcher d
humeur mobile et capricieuse. Démontrer la nature hystérique de ces accidents nous semble super- flu; la succession seule des
ortes présomptions en faveur de l'origine névropathique de tous les accidents morbides observés chez le malade. Ici l'existence
enfant avait été obligé de garder le lit. Quand il fut guéri de cet accident et qu'on voulut le lever, on s'aperçut qu'il étai
s yeux, la paralysie faciale et les troubles du langage. Ces divers accidents semblent, au dire de la mère, avoir été à peu p
situation était restée sensiblement la même. Il y a deux mois, ces accidents se sont aggravés. L'état général, jusque-là indem
lade. Il est à craindre qu'une issue funeste, que l'aggravation des accidents et l'approche, du coma semblaient faire redoute
sans reprendre ses sens, dans le coma absolu. C'est au cours de ces accidents comateux que quelques secousses bizarres firent
r- vice, a bien voulu nous donner des renseignements sur les divers accidents qu'elle avait présentés. Elle était rentrée pou
hôpital Saint-Joseph, à une tuberculose multiple; mais ces derniers accidents semblent fidèlement calqués sur ceux que la mal
e et les râles du sommet droit, l'origine névropathique de tous les accidents passés et présents. OBs. XLIX (résumée) (Pontop
plégie hystérique simulant une myélite tuberculeuse. 1. Gagey, Des accidents fébriles qu'on remarque chez les hystériques. Th,
puis vingt ans, lorsque, à l'époque de la ménopause, apparurent des accidents hystériques simulant un retour du mal vertébral
les paralysies hystériques, quoique Spring dise dans son Traité des accidents morbides : « Ce qui caractérise surtout la parapl
é quitte pour une fluxion de poitrine. Deux ou trois mois après cet accident , elle s'est aperçue que ses jambes devenaient f
chez laquelle les phénomènes ataxiformes ont débuté à la suite d'un accident émouvant; d'une femme qui est malade depuis dou
de peur de les exagérer. Après cette période de trois semaines, ces accidents dou- loureux se sont amendés; ils ne reviennent
hystérie virile avec l'hystérie féminine, où, comme on le sait, ces accidents oculaires sont fréquents. Le rétré- cissement d
xpliquer ce qui s'était passé. Quelques jours après, au moment de l' accident il n'a- vait ressenti aucune douleur, l'articul
pas d'hystérie, et nous croyons que, chez ce malade, la plupart des accidents relèvent de la névrose, la mort exceptée. Bien
axie ont été auparavant pendant des années tourmentées par tous les accidents de l'hystérie. » Ces succes- sions morbides ne
pendant le rôle pathogénique de la moelle dans la production de ces accidents ne saurait être mis en doute. La démonstration an
lle a été prise, tous les matins, d'asphyxie locale des doigts. Ces accidents disparaissaient rapidemment. Dans tous les cas, a
apparurent un strabisme divergent et une amblyopie de l'oeil droit, accidents qui persistent encore aujourd'hui. Le strabisme
elle est entrée à la Charité, dans le service de M. Luys, pour des accidents d'ordre psychique. En revenant du cimetière, di
le : la si- mulation peut être démasquée par la seule évolution des accidents ; elle ne saurait résister à la lecture de l'ob
de la main, qui, d'après les remarques de Remak et de Roth, est un accident fréquent dans la syringomyélie. Enfin, on sait
yringomyélique, puisque une seule hypothèse rend compte de tous les accidents . En résumé, nous ne pouvons suivre M. Roth dans
apparaître comme conséquence du « schock » nerveux ressenti dans un accident de chemin de fer... à savoir : paralysie agitan
mence à signaler de tous côtés des succès, des insuccès et même des accidents . Les médecins ne sont pas d'accord. Les uns son
se rencontre surtout dans les cas de tabès d'origine récente. Les accidents tels que le vertige, la cyanose, la syncope, les
la suspension pratiquée par des médecins fut suivie non seulement d' accidents menaçants', mais même de mort. Ainsi Borsari (2
27 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
a mort et dont on trouvera la liste au tableau des décès, que des accidents légers dont voici le résumé : 3 enfants ont été
pour eux et pour les autres puisque le mouvement les expose il des accidents par suite de leur inconscience du danger, et ex
survenus après une maladie fébrile ordinaire, accompagnée ou non d' accidents céré- braux (délire, convulsions, etc.), ou il
gauche plus creux que le droit, bien qu'ilaffirmen'avoirjamaiseu d' accidents nerveux.Durant l'enfance, il n'a eu ni manifest
rades. Dès le lendemain le genou droit était gontlé. C'est pour cet accident et pour la rétraction de ses doigts que ses paren
vement lente; mémoire très rudimentaire. » Mars 1887. - Infirme par accidents scrofuleux ; enfant paraissant extrêmement doux
rosées à la périphérie, ayant une direction antéro-postérieure. Ces accidents ont disparu en trois semaines 1. Avril. - Sec
ement symptomatiques d'une sclérose cérébrale, le premier groupe' d' accidents pathologiques observés chez B... et qui se sont
uatre jours après sa naissance, nous n'avons. pu savoir si certains accidents , comme la laxité- des ligaments des coudes, éta
et grand' mère paternels, incon- nus. - Grand-père maternel, mort d' accident de voiture, était sobre et peu nerveux. - Grand
rébenthine ou de l'eau de- vie camphrée. Au bout de deux jours, ces accidents avaient dis- paru et l'enfant revenait à son ét
ussi une idée exacte des progrès de la contracture. VI. Parmi les accidents qui ont compliqué la situa- tion dans les derni
n thyroïdienne. Père, grand, bien portant, excès de boisson ; aucun accident nerveux ou vénérien. - Grand'mère paternelle, m
assez long, large. Ventre de batracien ; petite hernie ombilicale, accident commun chez ces malades. Défor- mation du rachi
ue du lait ; bave, constipation habituelle; pas de chute du rectum, accident fréquent chez ces malades; gâtisme. Sensibili
Malheureusement, au bout de quelques jours, l'enfant a été prise d' accidents pulmonaires auxquels elle a rapidement succombé
ne tarife épileptique a eu la chorée dans son enfance. - Nombreux accidents de tuberculose dans la famille. - Pas de cons ?
bains, puis une fabrique d'encres; il est grand, fort et n'a aucun accident nerveux, - Mère, 55 ans, tenait les bains avec
morte à 78 ans de paralysie. - Grand-père maternel, mort à 99 ans d' accident . - Grand'mère maternelle, morte d'un cancer du
56 ans. - Une demi-soeur pater- nelle, 49 ans, bien portante, sans accident nerveux. - Un oncle paternel mort d'une fluxion
nt nerveux. - Un oncle paternel mort d'une fluxion de poitrine sans accidents nerveux. Pas de tantes paternelles. - Une tante
tante maternelle, (60 ans environ) devenue aveugle (cataracte) sans accidents nerveux. - Arrière-cousine maternelle arriérée,
é (il n'y a pas de nez camus dans la famille), réglée à 16 ans sans accidents . A l'Age de 19-20 ans, elle est devenue anémiqu
e santé ainsi que ses trois enfants. - Deux tantes maternelles sans accidents nerveux, de même que leurs enfants. - Quatre fr
hrepsie; cet enfant était porteur d'un bec de lièvre. - Aucun autre accident morbide ou trouble de développement dans le res
5 3° Notre malade. - Rien de particulier à la conception. - Pas d' accidents bien graves durant la grossesse, vomissements a
a grossesse, vomissements assez fréquents, émotion assez vive, sans accidents une seule fois, la mère croyant avoir perdu son
à quelques grimaces de la bouche sans mouvements des yeux et sans accidents du côté des membres. Aucun trouble n'accompa- g
ns conséquences appa- rentes. - Accouchement à 9 mois, rapide, sans accident . Enfant très beau ( ? ) à la naissance. Allaite
fournis par lanière). - Péri ? 45 ans, forgeron, ni convulsions, ni accidents nerveux; rhu- matisant, pas de dartres, ni de s
testinaux qui paraissent avoir été des asca- rides. Aucune espèce d' accidents scrofuleux, de gourmes, de dartres, d'adénites,
marquer que l'hémiplégie droite, qui avait été manifeste lors des accidents cérébraux, parait avoir complètement disparu. M
ligence ne parait pas trop atteinte. Alors, surviennent de nouveaux accidents convulsifs, répondant sans doute à une exacerba
lésions, suivis d'une hémiplégie passagère du côté droit. Nouveaux accidents trois mois plus tard avec réapparition de l'hém
égie droite et aphasie l'une et l'autre transitoires. Ces doubles accidents ont eu pour conséquences un affaiblissement des
e corps thyroïde n'a pas, à ma con- naissance, provoqué jusqu'ici d' accidents graves, et semble avoir donné, en général, de b
n lobe de thyroïde de mouton. J'ai observé, dès le lendemain, des accidents très graves : température à t0 degrés, pouls extr
tal, un quart ou un huitième de tabloïds. J'ai toujours observé des accidents , toujours de la fièvre, de l'accélération du po
M. Déclère nous a présenté l'an dernier un très bon travail sur les accidents que peut provoquer la médica- tion thyroïdienne
llant avec soin les malades, je pense que l'on n'a pas à redouter d' accidents (1). (1) Ces pesées répondent aux glandes telle
ssemblables, et il n'en est pas une qui puisse mettre il l'abri des accidents . Mais pourquoi recourir à des médicaments de fa
dans l'Ain, cultivateur, bien portant, sobre, pas de goitre, pas d' accidents nerveux. Mère, 50 ans, ménagère, pas de migrain
portant lui aussi. Sept frères ou soeurs, laboureurs, sobres, sans accidents nerveux. - Pas d'aliénés, de difformes, d'épi-
46 IDIOTIE myxoedémateuse. Père, 53 ans, bien portant, sobre, aucun accident nerveux. - Mère, 53 ans, bonne santé, caractère
aune cireux, est chaude. Il y a de l'oppression. Le soir, comme les accidents persistent, que l'enfant souffre, et que la tem
douleurs dentaires. Matin : T. Il. 38°. 3 août. - L'ensemble des accidents n'a pas changé. 4 août. - Les vomissements ont
et la diarrhée a diminué. 5-6 août. - Disparition progressive des accidents . 11 août. - B... est tout à fait remise, a reco
ance de la colonne verté- brale à s'incurver (notée le 17 février), accident qui ne Médication thyroïdienne. 163 s'est poi
ite (lu55). On ne trouve rien à signaler dans ses antécé- dents, ni accidents nerveux, ni syphilis, ni alcoolisme, ni fièvres
ique oit il est mort on ne sait de quoi. - Mère, 52 ans, sobre, nul accident nerveux. Grand-père paternel, pas de renseignem
Deux oncles paternels étaient buveurs, trois autres sobres, sans accidents névropathiques. Il en était de même de deux de se
M. Bourneville, près de l gramme, est considérable, car j'ai eu des accidents chez ces deux jeunes enfants avec 25 centigramm
tion thyroïdienne. 186 M. DEBOVE. M. Bourneville a-t-il observé des accidents ? 't M. Bourneville. Oui-, dans la première sér
ment des jambes, etc. M. DEBOYE. Il est important de signaler ces accidents , parce que je connais clés cas traités par le c
paçant. Le mé- decin n'a pas parlé de méningite. Il a pensé que les accidents étaient dus à l'alcool, car il paraît que l'enf
maladie que l'abus des boissons spiritucuscs. Le jour du début des accidents , attri- bués aune indigestion, l'enfant était i
. Dans les antécédents personnels de l'enfant, nous n'avons aucun accident à relever jusqu'à l'époque où l'enfant, placé d
Ù l'alcool qu'il faut attribuer l'élut de mal convulsif. II. Les accidents aigus observés chez cet enfant paraissent s'êtr
rn (1). L'alcoolisme infantile ne se traduit pas toujours par des accidents et des lésions aussi graves que ceux qui ont ét
es, et ne se plaignent en rien de sa conduite (janvier 1896). Les accidents observés chez cet enfant consistaient beaucoup
fant ou l'adolescent, elle est affaiblie et est compro- mise si les accidents se multiplient. Bourneville, Bicêtre, 1896. 15
Imbécillité et paraplégie spasmodique. ' Trois frères morts, l'un d' accident , l'autre d'apoplexie, l'autre d'un cancer de l'
l n'a eu, comme maladie infectieuse, qu'une rou- geole à ans. Pas d' accidents scrofuleux, ni syphilitiques. Son intelligence
! ' (vil La descente tardive des testicules pent être l'occasion d' accidents tlon- loureux qui méritent d'attirer l'attentio
28 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
L'oedème s'effaça peu à peu. La jambe reprit son volume normal. L' accident n'influa pas sur la grossesse, l'accouchement se
se- maines. Environ un an après en décembre 1892, apparurent des accidents nerveux. Pendant l'enfance, la malade n'a prése
Les deux autres enfants sont morts en bas âge. Jusqu'au début des accidents vésaniques qui l'amènent à l'asile, l'humeur de
ffection fébrile, pouvant aussi présenter, en tant qu'épisodes, des accidents de stupeur et de catatonie, des exacerbations e
mais généralement on peut l'administrer pendant des mois sans aucun accident à des doses de 1 à 3 grammes sans inconvénients.
réveil avec grand malaise sans troubles intel- lectuels. Les mêmes accidents à peu près ont suivi l'ingestion par deux collè
. Avec 5 milligrammes d'hyoscyamtîze, M. Siemens a éprouvé tous les accidents désagréables ordinaires; plus de la polyurie, d
andale ? Et les autres, de quel droit les retiendrez-vous quand les accidents alcooliques auront disparu. Garder un alcooliqu
d'espèce nette et bien définie de l'aliénation mentale, « c'est un accident important dans le domaine des perturbations int
énie classique consécutive à un rhumatisme vague et généralisé avec accidents de phosphaturie et albuminurie... Ces phénomè
Je soussigné... déclare donner mes soins à M. X..., avoué, pour des accidents de neurasthénie consécutive à un Rhumatisme vague
a toujours été parfaite ; il n'a eu aucune maladie, notamment aucun accident vénérien ; il n'a jamais fait d'excès d'aucune
sion qui lui est le plus intimement com- binée. L'intensité de. ces accidents peut être telle que la dissociation entraine un
exposé par M. Ziehen. La confusion mentale paraît en fait un simple accident de la paranoïa. Serbski divise les maladies aig
ion. Dans l'observation XIV de sa thèse, Raynaud dit : jamais aucun accident nerveux. Plus loin, il parle de véritables phén
aynaud dit : A mesure que la maladie se développe et s'enracine les accidents nerveux se généralisent, s'aggravent, aidés par
GIE NERVEUSE. topsies, l'influenza était la seule cause visible des accidents céré- braux. D'après les symptômes cliniques on
rs et Taylor, dans des cas analogues. Ils inclinent à attribuer les accidents cérébraux douloureux à un oedème cérébral ou à
point de départ d'acci- dents toxiques. L'oedème cérébral serait un accident bien plus fré- quent et plus grave si ce n'étai
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'abondance de l'urine et l'intensité des accidents : le petit polyu- rique, qui urine 5 à 6 litres
e comme étant subordonnée à l'hystérie : 1° Sa coïncidence avec des accidents hystériques; 2° Son mode de début. Il n'est pas
manquait aucun des symptômes de l'hématomyélie : début brusque des accidents , paralysie, puis atrophie, exagération des réfl
aveur des lésions vasculaires, a déterminé une hématomyélie; et les accidents médullaires graves datent de cette complication
le territoire de la troisième racine dorsale. A partir du 12 avril, accidents para- lytiques dans les jambes et le tronc, tro
it presque totalement comprimé cet organe. Ainsi s'expliquaient les accidents paralytiques, les troubles de la sensi- bilité,
t les accidents paralytiques, les troubles de la sensi- bilité, les accidents gangreneux du décubitus. Mais le pronostic deva
vait traité comme malade, on n'aurait pas eu à déplorer de nouveaux accidents . Nécessité DE l'assistance DES IDIOTS. Un jeu
visités la veille. Grâce à ces nombreux moyens de surveillance les accidents sont rares. Depuis deux ans, on n'a signalé que
cet endroit, faute de soins. (Rappel de l'Eure, 30 octobre.) Un tel accident n'est pas rare dans l'épilepsie, lorsque les ac
rtain nombre de cas. Le malade de Lannois avait été soigné pour des accidents rhumatismaux pendant son service militaire. I
'idée de la mort. Elle perd sa mère et fait sous cette influence un accident hystérique. Elle perd sa soeur, nouveau choc mo
uient directement la théorie psychologique de l'hystérie. Dans tout accident hysté- rique, dit Janet, un certain trouble des
heures. Y a-t-il contradiction ? Non. La malade est guérie de son accident , non de son hystérie. Et, comme hystérique, elle
dans les antécédents et peut servir de cause localisatrice pour les accidents hystériques; 3° Le début est brusque, l'origine
grandeur et de persécution, un état mélan- colique ou maniaque, des accidents hystériformes, catalep- toïdes, etc. Nous ret
s absolues, se refusant à croire aux détails qu'on lui donnait de l' accident , allant, malgré ses craintes religieuses, jus-
oit dans les grandes commotions physiques et morales, soit dans les accidents de l'hystérie. J'ajoute, et c'est là à mon sens
is ; on les retourne pour les changer de position afin d'éviter les accidents gangreneux ; cette pratique de dépla- cement co
la statistique du suicide y est très favorable, les agités, gâteux, accidents gangreneux du décubitus, n'y sont pas aussi fré
rtier de surveillance continue. Ce n'est qu'après la régression des accidents aigus qu'ils ont été incommodés par le bruit, m
hez ceux qui y sont habitués, et que cetle suppression provoque des accidents morbides est une source intaris- sable d'intoxi
démie de fièvre typhoïde, la constatation de causes d'épuisement, d' accidents antérieurs d'ordre épileptique, les excès d'age
e de Vaucluse, qui, fort heu- reusement, est tout à fait remis de l' accident que nous avons raconté, est nommé directeur-méd
rral apparaît et s'accroît progressivement, annonçant l'arrivée des accidents épilep- tiques ; puis la première attaque éclat
e la langue. Ici comme tout à l'heure les accès s'arrêtent mais les accidents épileptiques ne sont pas terminés, de nouvelles
que soit sa nature ou sa forme, vertiges, accès, trouble mental ou accidents larvés, est annoncée et accompagnée par l'état
de la langue; c'est que la durée de cet état est égale à celle des accidents , et que sa disparition annonce le retour à l'ét
ôt pendant la série, pendant le trouble mental et, enfin, quand les accidents viennent de disparaître. Ces expériences nous o
s qui marchent de pair vont en augmentant jusqu'à l'apparition de l' accident épileptique, que ce soit un vertige, un accès,
stro-intestinaux et leur cortège sont absolument constants dans les accidents épileptiques. Les modifications de la langue, i
de l'estomac et de tout le tube digestif, permettent de prévoir les accidents et s'accom- pagnent de tout l'ensemble symptoma
on. Tous ces signes dont l'évo- lution est parallèle, précèdent les accidents , les accompagnent et par leur disparition^en an
y a des intervalles de* vingt-quatre ou quarante-huit heures sans accidents . En^effet, l'urine' des vingt-quatre heures recue
autres qui ne présentaient pas cette diurèse constante, avaient des accidents convulsifs et ne supportaient que des doses trè
s injectées, aux animaux. Ceux-ci sont morts présentant, les, mêmes accidents , que dans les injections d'urine, c'est-à-' dir
mes accidents, que dans les injections d'urine, c'est-à-' dire, des accidents , convulsifs et avec des doses proportionnelles i
gique' d'un" élément morbide, les autres sur la cause présumée' des accidents psychopathiques ; ' ceux-ci sur l'évolutiontplu
e générale, l'hystérie, l'épilepsie, l'alcoolisme, la sénilité, les accidents traumatiques. Dans le premier cas, les idées de
re portant en lui les traces du,terrain,; qui a donné naissance aux accidents paranoïques. t ; , f. La paranoïa pure,, représ
et des douches. 2° Simé... (Louise), née le 10 juin 1884. Début des accidents à quatre mois, quotidiens jusqu'à liuit mois, p
méningite chronique limitée. Le facial réagit dans l'espèce par des accidents continus : agitation musculaire de la face; fle
t les fibres explique qu'il y ait eu, non de la paralysie, mais des accidents d'incoordination. L'at- teinte du lobe frontal
en diminuantla '' capacité intérieure du crâne, avait provoqué les accidents céré- braux ! Mais quant à la nature de l'hyper
subi à l'âge de quinze ans un trauma- tisme grave. A la suite de l' accident ,'il demeure alité pendantneuf mois, paralysé de
t "ces"' idées fixes conservent -la* forme', hystérique.' Tous; ses accidents , depuis des années, 'ont toujours été déterminés
de ses attaques hystériques et, de ses impulsions, mais même de ses accidents d'apparence organique. Elle a.eu des douleurs l
et répétés et surtout la marche et l'évolution postérieure de ces accidents dont nous avons déjà dit un mot sommaire un peu
n convaincre, on ne retrouve pas la moindre trace anatomique de cet accident ; pas de points ramollis, jamais de foyers hémor
ents dans l'enfance et relèvent d'un accouchement prématuré ou d'un accident obsté- trical dans l'accouchement à terme. Depu
ujours être mis sur le compte d'un accouchement pré- maturé ou d'un accident obstétrical. Combien d'enfants nés avant terme
Esp... 28 ans, maçon, sujet impressionnable ayant eu, comme seuls accidents morbides jusqu'à cette dernière atteinte, des con
enfon- çant dans des crânes le bec de la burette. Au moment de l' accident , perte de connaissance de quelques minutes, mai
du corps vulnérant, mais il y avait, à ce moment (une heure après l' accident ), paralysie fuciale gauche, paralysie totale du
duit dans sa mémoire une lacune pour les vingt années - précédant l' accident , il assurait n'avoir jamais été chauffeur de che-
ce qui était son premier métier. Il avait perdu tout souvenir de l' accident , et il ne l'a jamais retrouvé. Un an après :
lacune dans les souvenirs s'est réduite devingt à cinq ans avant l' accident , au moins pour les événements les plus importan
lobes frontaux, car l'amnésie n'existait pas immédiatement après l' accident . Dr G. B1 : DABT. XLVI.MONOPLÉGIE hystérique du
soutenues : L'opinion allemande qui attribue les convulsions à des accidents urémiques ; l'opinion gé- néralement admise en
linique sur l'obsession. Cinq observations montrent que ce sont des accidents cliniquement autonomes, qui peuvent se montrer
galerie cou- verte, soit du tiers de la cour. Avec ce système, les accidents sont, sans conteste, évités et un seul gardien
s soirs d'hiver. Dès que la nuit arrive, force est, pour éviter les accidents et les évasions, de rentrer les malades ; ils s
Le petit-fils d'un épileptique pourra donc présenter les premiers accidents de l'épilepsie avant qu'ils se soient manifestés
oient une cause de dégénérescence nerveuse, et nous verrons que les accidents alcooliques sont, sous bien des points, compara
e souvent les émotions et les chocs moraux avant l'appa- rition des accidents épileptiques ; nous ne nous y arrêterons pas pl
ns la majorité des cas, cette éclampsie infantile soit un véritable accident épileptique. On a signalé la coïncidence du rhu
mpérament névropathe, une constitution favorable à l'apparition des accidents épileptiques. La prédisposition est essentielle
Guérison. 444 physiologie pathologique. devons ajouter que les accidents comitiaux reparaissent ensuite et sont souvent
édisposition, nous l'avons déjà dit, est indispensable pour que les accidents puissent se produire. C'est là ce qui a fait co
ous les arthritiques, herpétiques, etc., n'auront pas forcément les accidents auxquels leur tempérament les prédispose; il DE
ec la prédisposition épileptique ne seront pas fatalement voués aux accidents de l'épilepsie; une cause déterminante sera pou
si dire les unions, or quand on vient consulter pour un malade, les accidents se sont déjà manifestés : c'est donc à la cause
tent d'attirer l'attention. Tout d'abord, la forme que revêtent les accidents épilep- tiques n'est pas une forme commune; voi
qu'il y ait évacuation, la dose de poison devient moindre, et les accidents cessent. Ceci peut expliquer aussi pourquoi, dans
tion de ce poison. N'est-ce pas ainsi que l'alcoolique présente des accidents divers, de durée variable, lorsqu'il a absorbé
produit toxique entraine un état de malaise général avant que les accidents n'éclatent. N'est-ce pas là ce que l'on voit dans
oment ces signes font leur appa- rition. Le malade n'a pas encore d' accidents , tout au plus commence-t-il à ressentir un peu
et cependant la langue ne change pas d'aspect; c'est qu'alors les accidents convulsifs sont remplacés par des accidents délir
ect; c'est qu'alors les accidents convulsifs sont remplacés par des accidents délirants. Tant que le produit toxique est sécr
édera aux accès, il y aura de l'agitation, etc.. mais il y aura des accidents quelconques. C'est surtout lorsque dans une s
ation l'état saburral ne disparaît pas. C'est seulement quand les accidents vont prendre fin que ces troubles digestifs com
ssent, puis le délire, et la folie épileptique. Tant que durent ces accidents , c'est que l'empoisonnement continue ou augment
dans l'organisme diminue, l'état saburral s'amende, et bientôt les accidents réflexes de l'irritation des DE L'INTOXICATION
ue, et que cette hypotoxicité persiste pen- dant toute la durée des accidents convulsifs ou mentaux. Au contraire, l'urine qu
ou mentaux. Au contraire, l'urine qui est émise après la fin de ces accidents devient hypertoxique. Ceci viendrait donc enfin
i que de toute la jambe et le pied du même côté. Onze jours après l' accident , réclinaison des muscles des gouttières vertébr
rrespondantes. Exagération du déplacement verté- bral avec quelques accidents pendant la station debout. Liga- ture des vertè
bscur et très discuté de la pathologie cérébrale, la pathogénie des accidents apoplectiformes et épileptiformes de la paralysie
o-encéphalite ; 2° on peut presque toujours recon- naître avant les accidents des causes d'auto-intoxication, telles que trou
strique, cons- tipation) ou rétention d'urine; 3° la pathogénie des accidents con- vulsil's ou comateux déterminés par l'acti
conséquent de prévenir dans une certaine mesure l'apparition de ces accidents , elle nous indique en tout cas la base du trait
rméabilité rénale. Archives, t. XXIX. 31 482 nécrologie. 6° Ces accidents convulsifs témoins de désordres anatomiques vis
radicteurs de la So- ciété médico-psychologique, qui expliquent les accidents apoplec- tiformes et épileptiformes par les anc
rin, complété par celui de M. Leprain, la preuve sort forte que les accidents apo- plectiformes et épileptiformes de la paral
29 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sais, salle Delpech. Antécédents IIÉnF : Dl'fAIlOES.- Père mort d' accident , mère d'hydro- pisie. Un frère mort pendant la
6, par suite des circonstances que nous allons indiquer, survint un accident nouveau. Voici du reste la relation écrite de c
rvint un accident nouveau. Voici du reste la relation écrite de cet accident telle que l'a rédigée le malade : a Je demeurai
la suite d'attaques en 1885 et en 1887, en môme temps que d'autres accidents hystériques caractéristiques. Il en fut de même
ent. Delpech, qui s'est particulièrement occupé du phosphore et des accidents qu'il cause dans l'industrie, a vu des purgatio
. L'examen de l'état cérébral chez les choréiques, comparé avec les accidents psychiques qu'on peut rencontrer chez ces malad
on ; cette origine expliquerait la dissémination et la guérison des accidents morbides. M. Korsakow a vu la névrite multilocu
ntation nor- male afin de servir de témoins. Quels qu'aient été les accidents gangreneux provoqués et la gravité des phénomèn
a fois trop intense et trop disséminée. Ainsi s'expliquent tous les accidents de la vie de relation et de la vie végétative d
a dyspepsie gastru-intestinale, des névral- gies intercostales, les accidents de la neurasthénie, de la chlorose, des métrite
ce sont l'ingestion de boissons alcooliques, les excès sexuels, les accidents pendant les attaques, les plaisirs fougueux, le
que suivi d'hémiplégie droite avec aphasie. Rétrocession rapide des accidents paralytiques; diminution de l'aphasie. Trois mo
les paupières, la joue, la commissure buccale, sans dou- leur. Les accidents thoraciques qui l'avaient seuls amené à l'hôpi-
nté il y a dix ans et à plusieurs reprises depuis cette époque, les accidents caractéris- tiques de l'intoxication saturnine,
e à la prostate, des lésions assez graves, qui donnèrent lieu à des accidents pyohémiques bientôt suivis de mort. R. M. C.
ab'isé de l'alcool, n'ayant l fait aucun excès, n'ayant subi aucun accident propre à déterminer la paralysie générale, pren
ement intellectuel très prononcé. Jamais de paralysie ni d'autres accidents physiques. Meurt à soixante-quatorze ans, en juin
uéri la paralysie générale par un traitement antisyphilitique ? Les accidents tabétiques du para- lytique sont dus à un troub
matique survenu chez un machiniste de chemin de fer à la suite d'un accident . Le malade est resté inquiet, nerveux, agité, é
ance on a formé un personnel éprouvé et stylé. Depuis lo : s plus d' accidents ni de suicides. P. KEI,AVAL. UUNE RÉVOLTE A la
que sous forme de léger picotement. La marche et la succession des accidents sont bien - nettes chez cette femme. Pendant l'
a malade en était encore affectée trois aus après le début des ', accidents et l'atrophie surtout, à ce moment, était consi
trophie surtout, à ce moment, était considérable. Cette gravité des accidents est-elle due à l'intensité du traumatisme, qui
éol, le 20 août 1883. Deux accouchements antérieurs normaux et sans accidents con- sécutifs. Pas de maladies antérieures, sau
es branches d'origine du nerf dans le petit bassin, se compliquer d' accidents graves, paralys : e, atrophie musculaire, local
parvenus à notre connaissance, nous n'avons trouvé mentionnée comme accident de la névralgie sciatique cette névrite localis
point aurait pu prêter à discussion chez cette malade. Les premiers accidents douloureux avaient débuté chez elle quelques mo
s pu nous convaincre qu'il n'en était pas ainsi. Tout d'abord les accidents douloureux qui se sont produits après l'accouch
us confirmer dans l'idée que la sciatique ne pouvait être due aux accidents pelviens. Il s'agit donc bien d'une sciatique s
ort tuberculeux et l'autre, employé de chemin de fer, est mort d'un accident , et deux soeurs dont l'une est morte à trente-s
ilité. Cette légère hypoesthésie du membre entier fait partie des accidents déjà connus de la sciatique et est parfaitement
et sa soeur jouissent d'une bonne santé et n'ont jamais présenté d' accident nerveux. 180 PATHOLOGIE NERVEUSE. Il passe la
six mois après, apparaissent, avec la menstruation, les premiers accidents . La jcune fille éprouve une lourdeur de tête cons
ent post-hémiplégique, malgré la mention un peu vague du reste, d' accidents paralytiques signalés par la jeune fille au début
E CHARBON ; Par PiERRE'BOULLOCHE, interne des hôpitaux. Parmi les accidents nombreux auxquels peut don- ner lieu l'empoison
lques cas nouveaux, ont cherché surtout à établir la pathogénie des accidents . Récemment enfin, Bris- saud 2 consacrait dans
est permis de se demander s'il n'y a pas eu entre l'apparition des accidents et l'empoisonnement par le charbon une simple c
peut même dire que c'est la règle, l'asphyxie a marqué le début des accidents . A la période comateuse succède une période de
es troubles paralytiques apparaissent seulement vingt jours après l' accident : D'abord, localisation à un membre inférieur,
Brissaud le fait très justement remarquer, et comme la marche des accidents permet de le supposer, les autopsies n'ont pres
lomb, la diphtérie, etc. Même, l'apparition quelquefois tardive des accidents après que le poison a été éliminé du sang ne pe
ne sont pas assez explicites. Pour nous, passant en revue tous ces accidents , nous PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARB
espectant la face : guérison en un mois. Ici l'origine nerveuse des accidents nous paraît très probable. Il est certain que l
a parole, de l'ouïe, de la vue à la suite de l'asphyxie. Tous ces accidents relevaient probablement de l'hystérie. La névro
eut-être même dans cette hypothèse, le coma qui marque le début des accidents serait-il une variété d'apo- plexie hystérique.
Anglais), produits par les émotions (Page), par une grande frayeur ( accidents de chemin de fer), etc. Si, comme on l'a dit, l
ion (anesthésie et paralysie motrice) avec menace de sphacèle '.Ces accidents seraient causés par la compression des troncs a
ut à peine se servir de sa main. Un examen rapide une heure après l' accident , montre qu'il existe une hyperesthésie très viv
in droite est parésiée. La malade se montre très préoccupée par son accident ; peu de temps auparavant, une blessure légère p
n dynamométrique MD : 3, MG 30. Le 17, quarante-huit heures après l' accident , la douleur a presque complètement disparu au n
rs précédents. Le 26 mai, plus de deux'mois après la production des accidents décrits plus haut, nous examinons la malade de
l et à côté des paralysies hystéro-trau- matique ? Par la durée des accidents (moins de quarante-huit heures), notre observat
is- position nerveuse peut servir à expliquer le peu de durée des accidents , et il est permis de supposer que si le terrain a
atique classique. D'un autre côté, si nous avons eu à constater des accidents plus accusés et plus du- rables que ceux du cho
iabétique paraissant dépendre de la glycosurie. Troubles cérébraux. Accidents du côté de la motilité de l'oeil et des réflexe
ffisance de convergence exactement comme celle qu'il a décrite; cet accident parait donc en rapport avec les proéminences de
- rieures hantées aussi de phénomènes spasmodiques, ainsi que les accidents génito-vésicaux, on arrive à diagnostiqueur une l
u maxillaire inférieur gauche (névrite). Néanmoins, aggravation des accidents . Sous l'influence des bains chauds et de la gal
des bains chauds et de la galvanisation ,spinale desscendante, les accidents paralytiques disparaissent en dix semaines, mais
secondes; puis, repos de quelques minutes, et répétition des mêmes accidents , cela pen- dant plusieurs heures; pas de douleu
tituant; KBr 6 grammes. Il ne s'agissait pas le moins du monde d' accidents réflexes, puisque les mouvements naturels de la l
'os hyoïde et du larynx. Amélioration par les occupations. Jamais l' accident ne se produit pendant une des fonctions qui exi
de température. Intégrité de la sensibilité. Le repos met fin à ces accidents avec la même rapidité qu'ils s'étaient montrés.
idu exercé n'a nul besoin du contrôle attentif de la vue; sinon les accidents en ques- tion se produiraien t aussi dans ces c
ment et successive- ment la main, le pied, la face du côté gauche ; accidents pro- gressifs sans convulsions, ni syncopes, ni
idérée comme appartenant aux cas dans lesquels la folie n'est qu'un accident absolument indépendant du tabes mais surajouté à
ture) mais, à côté de ces malaises et des lacunes irréparables, les accidents n'ont pas progressé, même pour ceux des intoxiq
ade de quarante-un ans qui, après un accouchement et à l'occasion d' accidents puerpéraux, fut prise de troubles intellectuels
on doit être tentée même lorsque le traumatisme qui a déterminé les accidents épilep- tiformes remonte à une époque éloignée,
estion voulue ou involontaire produit des acci- dents analogues. Un accident produit par une auto-suggestion spé- ciale peut
gner tout travail d'aulo-sugges- SOCIÉTÉS SAVANTES. 281 tion. Les accidents ainsi produits peuvent disparaître par une auto-
une autre à Bicêtre. Serait- on plus exposé que par le passé à ces accidents ? - Oui, car les asiles qui jadis ne recevaient
allaitement à l'occasion de terreurs violentes provoquées par un accident de voiture : deux tentatives de suicide antérieur
ant ou du méde- cin les moindres territoires, les linéaments et les accidents de terrain de ce domaine fussent-ils ardus et e
ns son aspect symptomatique à celui des sujets précédents; mais l' accident n'a pas été précédé d'une attaque d'hystérie, o
titre, comme un des stigmates de l'hystérie, constitue pourtant un accident qui n'est pas caractéristique par lui-même. Pre
e, isolement, suggestion, etc.) employées généralement contre les accidents hystériques, tels sont les argu- ments qui peuv
e paraît capable de donner naissance ; ce sont en quelque sorte des accidents spécifiques- qui suffisent à démontrer l'existe
lorsqu'elle provoque l'apparition du mutisme ou de quelque autre accident soi-disant spécifique. Mais il faut reconnaître
condaire. On dit par- fois que la soudaineté dans l'apparition d'un accident nerveux tend à démontrer que l'hystérie est en
t on peut tirer un grand parti ; une disparition rapide de certains accidents peut en effet permettre d'éliminer complètement
s reviennent plusieurs fois par jour. A partir de l'époque où ces accidents se sont développés, la malade n'a pas eu d'atta
nte. Sa couche fut des plus laborieuses, mais ne fut suivie d'aucun accident . Elle vendit alors l'établisse- ment d'épicerie
tat de veille, vient encore à l'appui de cette opinion. Quant aux accidents actuels, ils paraissent nettement s'être dévelo
e catégorie se sont montrés immé- diatement, surtout à la suite des accidents puerpéraux, ceux de la seconde ne se produisent
nheilk, 1888.) Un homme de quarante-trois ans finit, à la suite d' accidents apoplectiformes, par devenir complètement aveug
e chez un enfant. Il s'agit d'un garçon de quinze ans. Identité des accidents avec ceux de l'adulte. Observation III. -- Une
l. (Neurol. Centralbl., 1888.) Rien n'est plus rare que ces doubles accidents spino-cérébranx à cet âge. Aussi les indication
Aussi les indications données par le père et la consta- tation des accidents de syphilis héréditaires revètent-elles une imp
obe temporal droit et ayant donné lieu pendant la vie, tantôt à des accidents d'épilepsie; tantôt à des phénomènes qui rappe-
il la des- truction d'une région si importante, la multiplicité des accidents et en même temps leur mobilité. P. K. LXIlI.
in, une thrombose du sinus longitudinal supérieur et caverneux. Ces accidents relèveraient de l'intoxication morphi- nique ag
ié de la joue passer par les diverses couleurs de l'arc- en-ciel. L' accident , je l'espère, n'aura pas d'autre suite. « La pr
n ne se pré- occupe que de leur travail. On se rappelle le terrible accident sur- venu naguère à l'asile d'Armentières, où u
te insensé qui venait d'être commis, s'empressèrent de parer à tout accident , il fut conduit à la prison d'Hirson. Si cette,
30 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
ons ; - premières convulsions (19 9 mois); - crises nerveu- ses ; - accidents cérébraux prolongés (3 ans); - apparition in- s
un étourdissement. - Traitement par le sulfate de cuivre; doses ; accidents ; insuccès. Etat de mal : description d'un accè
t, ne faisait pas d'excès de boisson et n'avait jamais pré- senté d' accidents névropathiques, [Aucun détail sur son père; - s
ne mi- nute au plus, puis s'endormait. A 4 ans, sont survenus des accidents cérébraux (convul- sions et assoupissement) qui
'a eu d'autre résultat que de suspendre momentanément la marche des accidents . C'est malheureu- sement ce qui arrive en génér
t on la soumit, sans effet, à diverses médications. - Réglée sans accident à 14 ans. - Lors de la rentrée des troupes à Pari
uivre. - 23 février : 2 pil. 7 mars : 3 pil. 31 mars : 4 pil. Aucun accident particulier ; n'a pas rendu de vers. - 15 avril
7 à 10 ans, des convulsions avec paralysie d'un côté du corps; ces accidents auraient ensuite tout-à-fait dis- paru. Mère, 4
la jambe droite, faiblesse qui persista pendant trois mois. Aucun accident épileptique depuis ce moment jusqu'à 5 ans et dem
é modifiée. Une de nos malades 'Ons. m) n'a pas présenté le moindre accident , bien qu'elle ait absorbé 63 gr. de sulfate de
prétexte de fabriquer des sacs pour les barrica- des. Bien que cet accident n'ait pas eu de suites, l'enfant fut vivement i
e. - Préoccupations pendant la grossesse. - Convulsions répétées. - Accidents bi- zarres probablement de nature épileptique :
rées dans leur ensemble, moins souvent malades qu'autrefois, et les accidents graves, tels que l'état de mal, sont devenus pl
Les applications de glace, au niveau de cet organe, éloignèrent les accidents dys- pnéiques'et les rendirent plus courts et m
ale, principalement vers la pointe du coeur, et chez lesquelles ces accidents permanents, en s'exagérant, constituent une vér
ltats. DE L'OXYDE DE ZINC. - 65 non-seulement de la fréquence des accidents , mais encore de la coexistence des accès et des
pétrière (service de M. Charcot) le 20 janvier 1872. - Les premiers accidents remontent à l'âge de 14 ans. - Epilepsie et hys
, p. 562). Chez nos quatre malades, nous n'avons eu à noter que des accidents sem- blables à ceux qu'a signalés Herpin ; ils
10 ou 20 jours. ' L'usage du nitrite d'amyle n'a déterminé aucun accident chez cet homme dont la mémoire serait.au contra
des vaisseaux de se produire, on écarte par là même la série des accidents consécutifs. « Un accès empêché, écrit-il, n'es
D... a eu quel- ques attaques légères. Vers une heure et demie, les accidents if1{ convulsifs ont enfin cesse. D.. a éprouve,
rouge vermillon; durant l'inhalation deux attaques avortées; les accidents cessent ; la face devient excessivement pâle. R
ur ainsi dire à chaque inhalation. Afin de se préserver contre tout accident (1)il sera prudent, croyons-nulis, de s'absteni
e, eu Angle' terre, etc.,aucun journal.n'a, jusqu'ici, enregistre d' accidents graves suscep- tibles d'être inscrits au passif
s au passif du nitrite d'amyle.. . 112 RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES. accidents convulsifs C'est là une question pour la solution
il s'est écoulé bientôt une année depuis qu'elles n'ont éprouvé d' accidents convulsifs. La relation que nous allons en don-
les points importants mis en relief par notre éminent maître. Les accidents qui, par leur enchaînement composent l'histoire
, c'est surtout à la prémunir contre les conséquences de semblables accidents qu'où met tous ses soins. D'autres fois, elle g
ompresse qu'elle secoue de côté et d'autre avec furie. Enfin, les accidents diminuent d'intensité : elle se met à souiller
oit tous les épisodes de son existence, elle assiste de nouveau aux accidents qui ont produit ses peurs ; ou bien elle parle
angé. Nous pourrions établir de nombreux rapproche- ments entre les accidents offerts par Ler ? et ceux que présentaient entr
res à un « coup de sang. » Sa mère, tisserande, n'a jamais offert d' accidents nerveux ; elle est morte subitement pendant la
reins, » en voulant sou- lever un malade, et tomba en arrière. Cet accident la confina au lit pendant trois mois ; cependan
rois vésicatoires, l'un à la nuque, les autres sur les cuisses. Ces accidents ne se seraient dissipés qu'au bout de six semai
lées précédemment. Les membres du côté droit ont pris part à ces accidents d'une manière toute particulière et sont restés
ie en rien l'état des membres. C'est à partir de cette date que les accidents d'ischurie s'accen- tuent et qu'ils sont suivis
nos deux malades. Les miracles de Lourdes relatifs à la guérison d' accidents de ce genre n'ont rien de plus surnaturel. (Pou
e jeta à bas de son lit : Elle croyait qu'elle allait étouffer. Ces accidents ont duré une heure. L'intelligence fut simpleme
vec cyanose de la face, et a demandé qu'on ouvrit la fenêtre. Les accidents n'ont cessé qu'au bout de six heures. Depuis lo
s convulsives pro- prement dites, l'on a vu survenir la plupart des accidents connus aujourd'hui sous le nom d'hystérie local
étention d'urine, qui a duré près de dix ans, a constitué le second accident . Elle a succédé à l'anurie qui avait accompagné
varienne semble être plus spécialement l'in- dice avant-coureur des accidents . Limitée pendant long- temps à l'ovaire gauche
la paralysie du mouvement et la contracture. La connaissance de ces accidents et de leur enchaînement est aujourd'hui classiq
ture, aggravation ou diminution de l'ischurie, etc., etc., tous ces accidents ont été influencés d'une manière évidente par l
xacerbation des symptômes anciens ou du dévelop- pement de nouveaux accidents . Cette sorte de lien qui existe entre les attaq
ro-épileptiques n'avaient jamais produit une disparition totale des accidents ; il n'y avait eu. jusqu'alors, que des guériso
guérisons pour ainsi dire partielles. Malgré la multiplicité des accidents et leur gravité, plus apparente que réelle, éta
pas causé plus d'étonnement ou d'admiration que l'aggravation des accidents en mai 1872 et en mai 1875 n'avait causé d'in-
réditer cette croyance que, quelques jours après la disparition des accidents , le bruit d un miracle à la Salpétrière s'était r
31 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
les ou spinales. En outre, la marche de la maladie, ainsi que les accidents étranges que nous avons relevés chemin faisant,
22 n° 50, p. 225; n° 51, p. 392; n° 52, p. 80; n° 53, p. 20,. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 49 diminution ou
ue dans la thèse de M. N. Chabaud rela- tive à un ouvrier mort d'un accident spinal survenu par l'emploi des cloches à air c
par la pression; matité dans la même région; n'a pas uriné depuis l' accident . T. 38°,2 ; membres inférieurs paralysés et ins
cide et un ramollissement dans la substance grise de la moelle, DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 51 au niveau du r
ort intéressante autopsie d'un ouvrier tubiste mort des suites d'un accident spinal que je reproduis textuellement ici : «
lionen, nebst Bemerkungn üGer die seClln- dllre Degeneratioa, DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 53 douleurs dans
terruptions, sous la pression d'une atmosphère et six dixièmes sans accident . Qua- torze jours plus tard, immédiatement aprè
cystite et la pyélite se développent, et deux mois et demi après l' accident , ils amènent la mort. Au coursde la maladie, la
robiose ischémiques, disséminés et caractérisés par le ramol- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 55 lissement et l
it la vessie deux fois par jour. La pression de la colonne ver- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 57 tébrale n'étai
vient le 4 juin, à savoir le quarantième jour après l'invasion de l' accident . Cet homme avait conservé sa con- naissance jus
es fa- cultés intellectuelles jusqu'à la fin. La durée totale de. l' accident a été de quinze jours. - L'autopsie faite onz
région dorsale, on voit la substance blanche faire saillie dans DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 59 .... quelque
nnelle. Avant de procéder à l'étude physiologico-pathologique des accidents par l'emploi des scaphandres, je dois avouer qu
amen micros- copique du système' nerveux, etc., chez l'homme. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 61 VI. - PHYSIOLO
gico-pathologique les différentes formes cliniques que revêtent les accidents des scaphandriers ? Mainte- nant que nous conna
la neuropathologie moderne aborder la physiologie pathologique des accidents nerveux. Com- mençons par les accidents cérébra
hysiologie pathologique des accidents nerveux. Com- mençons par les accidents cérébraux et tâchons d'ex- pliquer une à une le
hie du même malade. Donc l'embolie multiple et simultanée des DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 63 branches susme
xpres- sion de l'illustre médecin de la Salpêtrière. L'obser- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 6 vation de M. Ga
gazeuses. La paralysie du facial inférieur et du membre supé- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 67 -1 rieur gauch
centuait d'un jour à l'autre, au point que le treizième jour de son accident il était déjà en voie de guérison, obtenue comp
on tiers supérieur, ce qui explique la durée de trois mois de cet accident cérébral paralytique, mais cette altération n'é
lytique, mais cette altération n'était certes pas matérielle, car l' accident rentrerait dans la catégorie des affections per
et de' la disparition rapide parfois brusque, instantanée de DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 69 la cécité. En
mprimé jus- qu'à sa guérison, c'est justement pour éviter une DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. il suraugmentatio
tat vertigineux de notre malade. Forme mentale. - La pathogénie des accidents en question peut aisément expliquer le mode de
en question peut aisément expliquer le mode de produc- tion de l' accident mental de l'OBSERVATION XLIX. Est-il difficile,
s artérielles. Nous voilà à l'étude physiologico-pathologique des accidents spinaux. La période prodromique de ces acci- de
ymptômes extrinsèques. L'étude de la phy- siologie pathologique des accidents cérébraux, nous fait dispenser de nous occuper
sation de l'agent patho- gène est intraspinale ou extraspinale. Les accidents DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 73
t patho- gène est intraspinale ou extraspinale. Les accidents DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 73 spinaux paraly
moelle par des em- bolies gazeuses de ses vaisseaux. - Parmi les accidents extra-nerveux, les plus fréquents sont les arth
fet d'intercepter la voie d'éli- mination de gaz par la peau. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 115 b). Défendre
le du long tra- vail dans l'air comprimé, qui prédispose tant aux accidents . Pour la même raison, il faut bien s'ali- mente
osé rapide des moyens qu'il faut immédiatement employer dès que l' accident arrive. Je suis autorisé par mes observa- tions
mpression immédiate est le seul moyen de combattre efficacement les accidents par l'emploi des sca- phandres. La recompressio
la parole par la recompressioll au fond même de la mer. En cas d' accidents permanents, la base du traite- ment doit être l
e, etc. Mais comment expliquer l'efficacité de ce traitement. DES ACCIDENTS PAR L EMPLOI DES SCAPHANDRES. / / On sait qu'av
de gangrène pulmonaire, et qui à l'âge de quatre ans avait eu des accidents nerveux suivis.d'une paralysie complète du memb
onique (Fer, gentiane, bains), elle s'est remise promptement. Les accidents névropathiques, en somme très légers chez cette
nte novembre. Elles auraient été très légères. Depuis ledébutde ses accidents nerveux, il travaille moins bien. La sensibilité
bien. Grande irascibilité. 1889. Décembre. - Il n'a plus eu aucun accident nerveux. Il est resté un peu irascible. Il est
st obéissant et affectueux." Il est plus grand que son frère. Les accidents observés chez ces deux jeunes garçons sont inco
ile ayant eu plusieurs accès de vertige. Au mois d'août dernier les accidents suivants sans aucun phénomène aphasique ni para
nsi; on avait dû suspendre l'opium chez deux d'entre eux à raison d' accidents inquiétants : perte de l'appétit, vomissements,
i supprimât la médication ; eh bien, il ne se reproduisit aucun des accidents qu'on attribue au sevrage de ce toxique. Sans a
es résultats ont été très favorables. Six seulement ont éprouvé des accidents accessoires tellement désagréables qu'ils contr
dose jusqu'à trois mit- ligrammes au maximum. Il ne se produisit d' accidents sérieux que chez une vieille démente bénite de
le ne se souvenait absolument de rien. La journée s'est passée sans accident notable. Après une FAITS DIVERS. 153 uuit ass
encore là ? » On la rassura, et elle reprit son service sans autre accident . Putz fut cité à comparaître devant la justice
ysies; grand, fort, brun, sobre, d'un caractère doux, n'ayant pas d' accidents nerveux. Il est mort en 1873, à de quarante-cin
émorrhagie cérébrale, et qui pourtant ne sont point liés à ce grave accident . On la préconise également dans la chorëe, l'an
ouvent des enfants névropathes,; chez le même malade, en outre, les accidents diabétiques peuvent alterner avec les accidents
lade, en outre, les accidents diabétiques peuvent alterner avec les accidents nerveux. - Pour compléter cette étude, il faut
tense, légères pous- sées de fièvre. A raison des céphalalgies, des accidents du côté de l'oculomoteur commun, de la négation
ste enfin une psychose fonctionnelle qui doit sa gravité à certains accidents somatiques considérés comme autant de complicat
pèce tient souvent aux personnes de l'entourage, qui, exagérant les accidents , poussent in- consciemment le patient à amplifi
ous apprend-elle pas en effet que l'on rencontre en pareils cas les accidents de l'embarras gastrique : enduit saburral de la
tres malades atteintes d'ostéoma- lacie au début a révélé les mêmes accidents . Il existe donc une pa- ralysie des femmes gros
ardiaque et de crampe des écrivains, se fait masser pour guérir ces accidents convulsifs.A la suite de quarante et une séances
u laboratoire clinique et ne pas la confier au malade, de crainte d' accidents . Discussion. M. IüTZic communique à son tour le
x de M. Erb. C'est un procédé qui améliore plus ou moins certains accidents morbides, mais L'amélioration n'est d'ordinaire q
elles sont revenues plus vives et plus fréquentes à la suite de l' accident en question, laissant à leur suite une lassitude
tard il était renvoyé comme amélioré. Depuis il n'a présenté aucun accident de ce genre. Je le vois de temps à autre. Il y
he. Puis, elle reprend un certain degré d'activité et manifeste des accidents lypémaniaques entre- tenus par des hallucinatio
endant la convalescence d'un morphinisme. - C'est une observation d' accidents d'épuisement nerveux tenant au surmenage du sys
organes affaiblis parla privation de leur excitant accoutumé. Ces accidents pouvant survenir plusieurs mois après la cure de
nteux qui ait l'efficacité complète et instantanée réclamée par ces accidents . Le laryngoscope décède pendant les crises l'ad
fait s'est passé à Béziers et on dit qu'après enquête sur ce triste accident , M. le ministre de l'Intérieur prendrait des mesu
formelle, en 186, dans son ouvrage intitulé : Recherches sur les accidents diabétiques. Il donne dans ce livre le signal 1
ui est encore pis, les confis- quer, comme cela est arrivé pour les accidents dont il est question dans ce chapitre ; car il
rait aussi jouer le rôle d'une cause à l'égard du développement des accidents ner- veux. Il est difficile de faire un choix
rte de perturbation singulière, qui fait que dans l'histoire de ces accidents spinaux ou pseudo-spinaux du diabète, tout est
lons tout d'abord de la maladie constitutionnelle cause de tous les accidents , parlons du diabète. Je dois vous dire que dive
troubles urinaires que des mic- tions nocturnes involontaires; ces accidents arrivent assez fré- quemment, une ou deux fois
ns du ménage que la surveil- lance se relâche et que la plupart des accidents arrivent. Il y a là un mal réel, dont le remède
ur la berge qu'après vingt minutes de re- cherches. Ce qui rend cet accident tout à fait singulier, c'est que la jeune fille
'interner les malades atteints d'aliénation mentale. La plupart des accidents de ce genre pourraient être évités et les malad
n'aurait pas, comme cela arrive trop souvent, à regretter de graves accidents , la mort même de citoyens courageux. BULLETIN B
xpertises médico-légales pour), par Sclilleler, 391. Scaphandres ( accidents produits par l'emploi des), par Catsaras, 48.
32 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
maginaires, elle ne vit plus que d'une existence empoisonnée. Les accidents débutèrent ainsi : elle avait pour con- fesseur
malade à l'asile de Clermont ; comme après sa première entrée, les accidents aigus, les lamentations, les angoisses, les ter
ent malheureux qui s'est produit 52 RECUEIL DE FAITS. n'est qu'un accident dans le cours d'un accès vulgaire de mélancolie
d même qu'elle ne perdait pas connaissance ( ? ). On attribuait ces accidents à la « force du sang » ; ils cessèrent à la sui
n soir, il se sentit tout à coup mal à l'aise, et craignant quelque accident , il alla demander dans un poste qu'on le recond
t d'être mises en relief. I. L'alcoolisme d'une part, l'existence d' accidents iîév2,opatlii- ques de l'autre, nous paraissent
gique) était à peu près dans le même état où il se trouvait avant l' accident , c'est-à-dire que la rigidité y était à peu prè
ontrairement à l'opinion de von Graefe. D. B. II. Remarques SUR LES accidents déterminés par DES FRACTURES CHEZ LES FEMMES ÉP
ar moments gâteuse, peu excitable, que par hasard dix jours après l' accident . Elle mouvait en tous sens pied et jambe, et ne
eure et infé- rieure, et si ce fait probable n'expliquerait pas les accidents différents observés sur leurs épileptiques. D.
se mélangeant que très rare- ment avec d'autres modalités. Que ces accidents précèdent, suivent (majorité des cas) ou rempla
s centres nerveux de leur ir- ritant accoutumé puisse entraîner les accidents les plus graves. Il faut ne se faire aucune ill
160. Par ce mode de traitement, l'auteur n'a jamais vu survenir d' accidents .graves, tels que le collapsus. L'état général s'
n délire confus, calme, entre- coupé parfois d'accès de manie ; les accidents marchent paral- lèlement avec les ascensions et
m- médiatement. La seconde série d'observations (28) concerne les accidents psychiques qui se proloii-en jusqu'à la convalesc
u- monique entraine, comme à la suite de toute autre pyrexie, des accidents cérébraux de nature asthénique au moment de la
nt pas plus de trois jours, excepté quand elles fusionnent avec les accidents céré- braux de la suppuration (25 p. 100 des fa
yperthermie reste médiocre, c'est que l'infec- tion agit seule. Les accidents prononcés devraient toujours être rattachés à u
et obstructions emboliques des sinus. Dans les cas favorables, les accidents cessent avec l'état fébrile, à moins qu'une pré
rs de la deuxième semaine, en même temps que la température baisse, accident d'ailleurs passager. L'évo- lution de toutes ce
. 100, tandis qu'il ne meurt que 21,8 p. 100 malades en proie aux accidents psychiques de la période d'état. Les symp- tôme
ue diffuse avec complication de méningite. Cinq à six jours après l' accident , la sensibilité est extrême dans tous les membres
llec- tuelle cédant bientôt à la somnolence. Mort dix jours après l' accident . L'autopsie montre à droite et en avant trois d
titique s'améliorer nonobstant, té- moin chez ce dernier aliéné les accidents du décubitus avec fièvre, sans que la périeticé
tiente, qui avait complètement guéri de la totalité de ses premiers accidents , a d'ailleurs été reprise de troubles mentaux q
lis originairement bénignes, eu égard à la fois au petit nombre des accidents , à leur peu d'intensité et de durée. Presque touj
ès spécifique sur les arguments suivants : Il fréquence extrême des accidents syphili- tiques chez les ataxiques ; 2° dévelop
U DÉLIRE DES NÉGATIONS. 167 signalés chez quelques anxieux, sur les accidents cata- leptiformes des stupides, mais je ne puis
e violente congestion cérébrale. Depuis lors marche progressive des accidents . Les habitudes alcooliques sont devenues effrén
éréditaires qui, avant le début de l'aliénation, ont présenté des accidents névropathiques ou des anomalies intellec- RECHE
ante malades, dix seulement dans leur jeunesse avaient présenté des accidents névropathiques ou des anomalies intellectuelles
erture se ferme ; le malade se lève un peu. Vingt-six jours après l' accident , le blessé, parfai- tement guéri, reprend ses o
intelligence est parfaitement nette ; la seule trace qui reste de l' accident consiste dans l'impossibilité où il se trouve d
sation du complexus symptomatique et la monotonie stéréotypée des accidents chez le même malade, toujours aussi incapable de
érer à d'autres substances d'action analogue, si l'on considère les accidents qui peuvent résulter de l'usage pro- longé de l
, au grand étonnement de l'administration. Il n'est jamais arrivé d' accidents . Or, savez-vous par qui j'ai remplacé ces malad
el sous forme de friction a en trois mois déterminé la guérison des accidents ocu- laires ; il ne reste plus que de la parési
qu'il fit développa une conception délirante inébranlable. Un tel accident n'avait été jusqu'alors signalé que chez des faib
Plusieurs journaux ont fait beaucoup de bruit au sujet de ce triste accident et ont essayé de faire croire qu'il était dû à ce
eligieuses, les bai- gneuses sont des laïques. Malheureusement, les accidents de ce genre sont beaucoup plus fréquents qu'on
et de Troeltsch entre autres en citent des plus curieuses. C'est un accident morbide plus fréquent qu'on ne pense, et a-mesu
ue j'ai montrés dans ce travail. En général nos malades, à part les accidents d'équi- libration et leurs troubles auditifs, j
avait, par des lésion des canaux semi-circul aires , provoqué les accidents de déséquilibration, et qui plus tard entendaie
Mais cette opinion est inadmissible, car si la surdité persiste, l' accident vertigineux a disparu : si les canaux sont guér
pour que la production du vertige ait lieu. Comment expliquer cet accident subit, l'accès de vertige ? quelle excitation s
subitement; mais après quelques semaines elle fut reprise des mêmes accidents et amenée à Vanves dans un état d'agitation anx
ulalion au souvenir de ces histoires et aussi au contact des clous. Accidents hystériques; idées hypochondria- ques ; halluci
i volonté, ni résis- tance. Survint une nouvelle aggravation. Les accidents , qui ne se manifestaient que la nuit et dans le
En dehors de ces crises spasmodiques, M. X... est sujet à d'autres accidents , qui se rapprochent de ceux déjà connus; c'est
tités d'eau ; il souffre aussi de granu- lations pharyngiennes. Les accidents qu'éprouve M. X... sont plus ou moins intenses,
d'un état maladif, que démontrent les antécédents héréditaires, les accidents hystériques, les idées hypochondriaques, les ha
que, et dont le père metancu- 1. [(Ill(" çs n).0t't, : i la suite d' accidents cérébraux aigus. Laissant de coté les autres tl
RD etCn. FÉRÉ. Marchai (de Calvi), qui a appelé l'attention sur les accidents cérébro-spinaux dans le cours du diabète, a émi
ils se produisent. Disons toutefois que M. Bouchardat pense que ces accidents « s'observent surtout chez les glycosuriques qu
général de la nutrition que détermine la glycosurie. D'ailleurs des accidents très analogues se rencontrent assez fréquemment
les urines n'est pas la condition indispensable à la production des accidents , c'est qu'ils se manifestent souvent quand le s
ué ; et il n'est pas rare de voir des dia- bétiques succomber à des accidents cérébraux précisément au moment où ils ne sont
et peuvent atteindre la '.Marchai (de Calvi). liecleerclees sur les accidents diabétiques et essai d'une théorie générale du
le. Il arrive souvent que ces para- .ysies coïncident avec d'autres accidents qui sont en relation évidente avec le diabète e
complet, qui laissa après elle une hémiplégie qui guérit, et les accidents se reproduisirent l'année suivante, avec une inte
ombreux dans les divers auteurs qui ont traité du diabète et de ses accidents ; nous en trouvons plusieurs encore dans; les no
apporte le cas du docteur Peter Shee, diabétique, qui fut affecté d' accidents convulsifs et para- lytiques du côté droit; M.
(de Calvi) qu'ils étaient d'origine congestive, mais la plupart des accidents localisés qui guérissent peuvent tout aussi bie
iennes diabétiques pourra sans doute aider à pénétrer la nature des accidents cérébraux de même ori- gine. Nous ne parleron
ue depuis le travail de r1111. Bourneville et Teintu- rier C'est un accident qui s'annonce par une céphalalgie frontale inte
aucun doute ; mais on est loin d'être fixé sur la pathogénie de ces accidents . C'est là un point qui a été étudié récemment e
bolies pulmonaires ; mais si cette hypothèse peut rendre compte des accidents dyspnéiques, elle explique moins bien les autre
que le diabète chez les enfants se termine assez sou- vent par des accidents cérébraux, quelquefois par des phéno- mènes d'i
gage arti- culé était redevenu normal. Il n'avait pas souvenir de l' accident ; et, bien qu'il se rappelle quelques circonsta
t, selon M. Monakow, de rendre la tumeur numérale irresponsable des accidents nerveux constatés. - Latrès faible atteinte de
cusés. Troubles modérés de la sensibilité. Cystite ; contracture. Accidents du décubitus. Mort. Foyers scléreux à travers la
dans les quatre extrémités. Incontinence d'urine et des matières ; accidents du décubitus. Mort le 15 mai 1880. L'autopsie d
. La maladie peut débuter peu de temps après bibliographie. 399 l' accident , mais ordinairement elle n'apparaît que des mois
pourrait porter un pronostic favorable sur les enfants nés avant l' accident . II. Dans la paralysie générale on rencontre so
asile de Ville-Evrard, a été victime, le 11 oc- tobre dernier, d'un accident qui aurait pu avoir les plus tristes con- séque
aques), par Marie, 42. Epileptique (cerveau d'). ). Epileptiques ( accidents déterminés par les fractures chezles femmes),
33 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
des cartes d' entrée( 1). Ces promenades n'ont donné lieu il aucun accident capable d'attirer l'attention et de troubler la
Les parents ont été amenés à le faire séquestrer pour éviter des accidents et des fugues. L'enfant Lorra... exerce ses vio
agrin d'amour. Mère, fille d'un alcoolique, mort à la .suite d'un accident survenu pendant qu'il était ivre, et d'une femm
onvulsions dans l'enfance ; pas de fièvre typhoïde, de migraines, d' accidents scrofuleux, de rhumatismes, ni de syphi- lis. I
glissé sur son ventre. Cette chute n'occasionna ni émotion ni aucun accident ; elle se releva seule et vite. -Accouchement h
onvulsion durait une minute, revenait au bout d'une demi-heure. Ces accidents se reproduisirent pendant trois se- maines. Le
édité, on trouve chez les ascendants paternels, l'alcoolisme, des accidents cérébraux, des convulsions ; chez un collatéral
ral, l'alcoolisme et la folie ; du côté maternel, l'alcoolisme, des accidents cérébraux. De plus, la tuberculose apparaît che
à l'autopsie, nous ne saurions le dire. Mais il est certain que ces accidents surajoutés à l'hérédité ont préparé le terrain
résie. - Oncle maternel, ivrogne. - Frère, asphyxiera la naissance. Accident au 2 ? mois de la grossççge. Frayeur légère au
e de la (1) Le père; interrogé à part, affirme -n'avoir jamais en d' accidents vénériens. Idiotie MICROCÉPHALIQUE. 25 famill
j ? sains de corps et d'esprit; deux sont morts; l'un écia4,par,' accident , l'autre au cours d'une fièvre typhoïde. - Pas de
longée, paraît en être la première conséquence. Rappelons que cet accident s'était déjà produit dans la famille, le frère
ation céphalique, constatée par le médecin, appelé pour soigner les accidents convulsifs. Tout ceci nous permet de croire que
nue sa méningite. Il n'a pas eu de fièvres éruptives, mais quelques accidents scrofuleux. Comme traite- ment antérieur, il a
uberculose pulmonaire chronique; dyspepsie. (Père, mort à 73 ans, d' accident ; pas d'excès de boisson. - Mère, sobre, morte à
: d'un délire violent ; néammoins la guérison se serait opérée sans accidents et sans troubles psychiques. Il a été réformé à
ues qu'elle ne peut préciser, la mère eut peur deux fois au sujet d' accidents survenus à sa petite fille. Lipothymies fréquen
« Jamais, nous dit sa mère, il ne pouvait tenir en place ». - Nul accident scrofuleua, nul traumatisme sérieux. Gourmand,
frère aîné et sa demi-soeur paternelle ont présenté tous deux des accidents méningitiques graves. II. Les incidents de la g
diverses. Affaiblissement au 8me mois, chute dans un escalier sans accidents consécutifs. z Accouchement pénible, le travail
faire préci- ser aux parents l'état réel de leur enfant avant les accidents auxquels ils rattachent avec plus ou moins de r
, il ne paraissait pas avoir eu, la syphilis et n'a jamais eu aucun accident nerveux. Il buvait et fumait beaucoup. D'un car
cupe des soins du ménage. Elle n'a jamais été malade, ni présenté d' accidents nerveux. Elle parait intelligente ; son visage
ère, morte à 66 ans, d'une « maladie de ven- tre ». n'a jamais eu d' accidents nerveux. - Grands-parents paternels et maternel
lle, 21 ans, domes- tietfie, pas de convulsions de l'enfance, pas d' accidents nerveux, bien portante, intelligente; - 4° garç
n'a pas été conçu durant l'ivresse. - Grossesse bonne, chute sans accident consécutif; à part cela, rien de particulier. - A
l'abcès et pratiqua ensuite la craniectomie. St.. n'a jamais eu d' accidents scrofuleux, ni de dermatose (t) Notre ami M. La
ie complète observée chez St... nous parait être la conséquence des accidents survenus à l'âge de trois semaines, qui ont per
fit, étant en bas Age, une chute sur la tête qui n'a pas amené d' accidents consécutifs. Il est actuellement sujet à des céph
rnelle, morte à' 7f¡' ans. -'Grand- père maternel, mort à 77 ans, d' accident , était petit et'mai- gre, mais bien conservé et
Mère, 39 ans, couturière, n'a jamais été malade et n'accuse aucun accident nerveux, ni arthritique; cependant depuis la na
vigne- ron, très sobre. Grand'mère paternelle, morte à 68 ans, d' accident ; robuste. Grand père maternel, mort à 5 ans :
se, sauf une chute au 7">" mois qui ne fut accom- pagnée d'aucun accident . - L'accouchement à terme, fut normal. Le trava
en les aliments. Il n'aurait jamais eu de vers intestinaux. Aucun accident scrofuleux. Comme autres antécédents pathologiq
ques, notons la rougeole à H mois et une bronchite à 15 mois; aucun accident nerveux spécial n'a été constaté durant ces mal
e sont suffisam- ment nettes pour expliquer la prédisposition aux accidents cérébraux des trois enfants issus de ce mariage
t pas de bubon suppure, ni aucune manifestation cuta- née. Certains accidents se manifestèrent néanmoins clu côté de la gorge
orté. [Père, maître modeleur, grand fu- meur, sobre, très vif, sans accidents nerveux, mort à G3 ans après une maladie qui a
de courte durée, au début de la grossesse. Pas d'albuminurie, pas d' accidents . nerveux. Pas de tentative ouverte d'avortemen
re typhoïde, pas de diphtérie, etc. Coqueluche vers 3 ans. Quelques accidents de gourme à la face, et quelques glan- des au c
ures. Allaitement au lait de vache. Première dent à 2 ans passés. Accidents scrofuleux. Symptômes méningitiques en 1891. El
Une tante et un oncle maternels, morts très âgés, n'ont jamais eu d' accidents nerveux. - 3 frères et 4 sce2crs. L'aînée, 55 a
timents, a eu plusieurs hémoptisies et des coliques de plomb. Pas d' accidents nerveux. De ses 4 enfants, 3 sont en bonne sant
Anthrax à 2 ans sur l'épaule. - Aurait eu le carreau; pas d'autres accidents scro- fuleux. Pas de vers intestinaux. - Gâteux
mplet; pas de vomissements. . Laryngite (il y a un mois). - Pas d' accidents traumatiques. Huit ou dix jours avant son entré
L'hérédité avait préparé le terrain pour l'évolu- tion ultérieure d' accidents nerveux. -L'accouchement par la face s'est néce
s durant trois jours et suivies d'une hémiplégie droite. - Nouveau* accidents couculsifs à partir de 13 ans. - Parole et marc
s d'étr tnglement herniaire qu'aurait alors eu le père. Aucun autre accident . Accouchement normal, à terme, sans anesthésie.
uelques abcès au cou à 2 ans, et engelures annuelles ; pas d'autres accidents scrofuleux. Il est glouton, ne peut manger seul
talon droit. On la panse à la gaze salolée tous les .8 jours. Pas d' accidents . Celle du talon gauche s'est détachée, et la ré
est suffisamment chargée pour qu'on puisse y trouver l'origine des accidents nerveux observés chez Marie Bais... Elle le ser
u arriérés, mais il est excep- tionnel de la voir donner lieu à des accidents aussi graves que ceux qui sont survenus chez ce
uis la guerre, fut pris en 1873, après la naissance, de l'enfant, d' accidents articulaire avec fiè- vre qui s'accompagnèrent
es les personnes qu'il rencontrait. » Depuis il ne fut pris d'aucun accident nerveux. Il n'a jamais été atteint de dermatose
syphilis, est vive, nerveuse, sans avoir jamais eu de crises, ni d' accidents nerveux d'au- cune sorte - Père, robuste, sobre
260 Antécédents héréditaires. (vingt-sept ans) n'ayant jamais eu d' accidents nerveux, ni de convulsions, toujours bien porta
uses crises convulsives; 5° un garçon de dix- neuf ans, sobre, sans accidents nerveux; 6° une fille, sans accidents nerveux,
dix- neuf ans, sobre, sans accidents nerveux; 6° une fille, sans accidents nerveux, bien que nourrie pendant le siège ; 7° n
Antécédents personnels. d'un côté. Depuis, il n'a pas eu d'autres accidents convulsifs. Première dent iL cinq mois. Dentiti
s avec des adénites cervicales et sous- maxillaires. Aucune trace d' accident primitif; pas de roséole. Une enquête à son éga
tie chez Ros... sont nombreuses. Au point de vue de l'hérédité, les accidents neuro-arthri- tiques abondent, tant dans la fam
que suffisants pour expliquer l'état psychique de notre malade. Les accidents convul- sifs rares, survenus à deux mois et san
a pas envie, donne des coups de pied et de poing. Elle n'a pas eu d' accidents scrofuleux, pas d'engelures, etc. 296 Antécéden
aleine a toujours senti très mauvais. II ne lui est jamais arrivé d' accidents d'aucune sorte, mais elle nécessitait une surve
plus « que la peau et les os. » Serait-ce le carreau ? ' ! 5 Les accidents se sont aggravés progressive- ment et l'enfant
. - Oncle maternel, ivrogne. - Frère asphyxié à la nais- sance. - Accident au 2""= mots de la grossesse. - Frayeur légère
- Allaitement au lait de vache. - Première dent à 2 ans passés. -- Accidents scro- {tÛeux. - Symptômes méningitiques en 1891
. - Allaitement au lait de vache. Première dent à 2 ans passés. - Accidents scrofuleux. - Symptômes méningitiques en 1891.
és. Bien que, de son entrée au mois d'août « de cette année, divers accidents aient entravé le traitement, « déjà nous avons
34 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
ve et la présence constante de gardes-malades expérimentées. Tous ces accidents ne sont graves qu'en apparence chez un malade qui
hien qui l'avait mordu un animal sain en tout point semblable, et les accidents disparu-rent.Ces faits démontrent assez clairemen
une chute sur le siège et, à la suite de cette chute, il présenta des accidents nerveux qui durèrent deux mois et paraissent avoi
é sans résultat; c'était bien pendant son sommeil et à son insu que l' accident lui arrivait. On l'avait alors conduit à plusie
raumatisme. Ce sujet est entré dans mon service à la Charité pour des accidents nerveux, caractérisés par des phénomènes subits d
n de la controverse entre Ziemssen et Forel en 1889 ; il rapporte des accidents effrayants et prévient de nouveau du danger du tr
jeunes fillesde 11 à 13 ans furent atteintes, pendant l'année 1891, d' accidents nerveux, états de sommeil, vertiges, maux de tête
ait certaine, quand survint une complication rénale qui détermina des accidents presque foudroyants. Cet habile praticien est emp
conséquence de provoquer la mort ou même de déterminer simplement des accidents quelconques ? » « Jamais, à ma connaissance, un
u nombre de vingt ou trente ; ils n'ont jamais vu survenir le moindre accident . On soufflait sur les yeux du sujet et il se réve
UES INCONSCIENTS et des rêves dans la pathogénie et la curation des accidents hystériques, par M. le professeur A. Pitres.
ne fièvre typhoïde à 17 ans. Elle a été réglée à 10 ans et demi, sans accident . Mariée à 16 ans, elle a eu neuf enfants à terme
nstatation nous permet de faire rétrospectivement le diagnostic des accidents qu'a présentés notre malade : elle a été atteinte
grande crise convulsive. C'est le commencement d'une nouvelle série d' accidents hystériques. Les crises se multiplient. Elle en a
sions classiques. Enfin, le délire éclate. Il a toujours pour objet l' accident du 20 décembre. La malade revoit son enfant tomba
ant. Il est évident que pendant ce délire, elle revit la scène de l' accident avec les sentiments et les angoisses qui l'ont ag
ant, qu'il n'a en aucun mal. Quand elle raconte comment s'est passé l' accident , elle le fait sans émotion. Elle avoue qu'elle a
dans sa chute de voiture. Eh bien, désormais, quand vous penserez à l' accident qui vous est arrivé, vous songerez tout de suite
ea complètement de caractère. La malade songeait bien à la scène de l' accident . « Mon Dieu, s'écriait-elle, mon enfant est tombé
'a pas de mal. Quel bonheur! » Quelques jours après, le souvenir de l' accident ne se présentait même plus du tout à la fin des a
la hutte ou de la tente. Ces exercices les font tomber en catalepsie, accident tenu pour très heureux. C'est surtout après ces a
UES INCONSCIENTS et des rêves dans la pathogénie et la curation des accidents hystériques, par M. le professeur A. Pitres.
uence des actes psychiques inconscients sur la production de certains accidents hystériques. Le délire de l'attaque roulant sur u
me où d'autres prétendaient les constater. Je n'ai jamais observé d' accidents fâcheux à la suite de l'hypnotisme, mais il faut
es et affaiblies par l'épilepsie, l'hystérie, etc., avait produit des accidents physiques et même des crises convutsives. J'ai pu
ques et même des crises convutsives. J'ai pu toujours neutraliser ces accidents . Pour parer à ces inconvénients on pourra obliger
avait eu la région orbitaire droite blessée par un éclat de mine. Cet accident fut suivi d'une méningite et il en résulta une am
tée le surlendemain par le Dr Dozous, qui traitait cet homme depuis l' accident , et vérifiée par le Dr Verger, médecin des eaux d
e Bruges, la formation d'un cal ne put être obtenue. Huit ans après l' accident , en 1875, la partie inférieure de la jambe est
ient médecins ou psychologues, à faire des expériences. Car, à chaque accident , sans rechercher à qui et à quoi en incombe la re
er, Bérillon, etc., etc., sont unanimes à déclarer que pas le moindre accident n'est survenu aux centaines, aux milliers de mala
t absolu, tout en lui laissant l'initiative nécessaire pour parer aux accidents imprévus qui peuvent venir compromettre la réussi
ue, lequel grandit et se développe parfaitement, sans présenter aucun accident syphilitique. La femme, d'ailleurs, parait indemn
s la bouche ; ce qui le désole, c'est que sa femme présente les mêmes accidents , et il m'affirme que depuis son mariage il ne s'e
j'arrive au point important de cette communication. En présence des accidents syphilitiques présentés par Mme G..., j'institue
ecin qui lui conseille le sirop de Gibert. Dès ce moment éclatent les accidents neurasthéniques : Perte complète de l'appétit, cr
ution notable de la mémoire et de la force morale, ainsi que pour des accidents cardiaques. La famille du malade attribuait ces a
ue pour des accidents cardiaques. La famille du malade attribuait ces accidents à des abus considérables de tabac, et on me l'ava
espérer que. la cicatrisation de la plaie se fera rapidement et sans accident . Cette tentative de meurtre parait avoir été pr
étuité. Appelé comme témoin dans son affaire, à propos des causes des accidents maladifs de son enfant, moins que jamais je douta
oolisme par la suggestion. En 1887 je traitais un officier pour des accidents secondaires de la syphilis; il avait l'habitude d
appelé auprès de lui ; je constatai une hémiplégie gauche, due à des accidents tertiaires du cerveau; un traitement, énergique (
nature grippale. Très amélioré au bout de vingt jours, il fut pris d' accident non douteux d'embolie pulmonaire (dyspnée, toux,
eures plus tard en disant que l'hypnotisme l'avait tué. La marche des accidents était déjà contraire à cette hypothèse; l'autopsi
ssus des valvules sigmoides. Telle est l'interprétation exacte de l' accident mortel. L'hypnotisme par lui-même est inoffensif,
es notions psychologiques, qui vous seront utiles pour comprendre les accidents des hystériques. Je dois vous parler des idées fi
is vous parler des idées fixes, qui jouent dans la pathogé-nie de ces accidents un rôle considérable, et dont il faut sans cesse
e a commencé, comme vous le savez, avec les travaux de Charcot sur Us accidents traumatiques des hystériques. Dans ses leçons de
t of idea. » Charcot insista sur l'émotion primitive au moment de l' accident , sur la reproduction de faits identiques par la s
t en particulier Mœbius et Strümpell, ont adopté cette conception des accidents hystériques et ont été jusqu'à déclarer que « l'o
Bastian en Angleterre (4), qui cherchent à interpréter autrement les accidents hystériques. D'autre part, Charcot lui-même et se
s malades, le mot précis d'idêes fixes qui devrait caractériser leurs accidents . Cette hésitation nous semble facile à explique
t peu intelligente, quoiqu'elle n'ait pas présenté dans sa jeunesse d' accidents nerveux bien caractérisés. Elle s'est mariée jeun
ndaire et dérive de la première, comme l'idée (1) Pierre Janet. — « Accidents mentaux des hystériques » 1894, p. 30, 56. (2)
is groupes de symptômes, les stigmates antérieurs, l'idée fixe et les accidents consécutifs, sont tous les trois parfaitement s n
ouvent il n'en est pas ainsi. Si nous considérons quelques-uns de ces accidents hystériques que nous sommes disposés à expliquer,
us toutes les trois avec la même netteté. Voici d'abord un cas d'un accident hystérique assez rare et dont la description seul
uée pour que je vous la raconte ; elle a déjà présenté la plupart des accidents que les hystériques peuvent avoir, somnambulismes
me vertige la prend aussi et avec violence quand elle est assise. Cet accident se produisait, au début du mois de mars, plusie
t en même temps exagéré : il constitue, si j'ose m'exprimer ainsi, un accident absurde qui ne se rattache à rien de précis. Je c
une maladie purement physique. Cette même malade présente un autre accident plus banal, ce sont des peurs qui la tourmentent
réveil. Cette malade fort intéressante présentait beaucoup d'autres accidents . Je rappellerai seulement un phénomène curieux qu
s de symptômes que nous présentaient d'ordinaire (1)Pierre Janet.—« Accidents mentaux des hystériques », p. 163. les malades
s fixes conscientes pour le sujet et conservées dans le souvenir, les accidents consécutifs à l'idée fixe, nous n'en pouvons obse
t devenus beaucoup plus nets et beaucoup plus caractéristiques. Les accidents consécutifs sont aussi très évidents ; ce sont de
la mémoire, etc. Mais le phénomène intermédiaire, cause supposée des accidents , l'idée obsédante et impulsive, le rêve émotif, o
donc que beaucoup d'auteurs aient hésité à expliquer avec Charcot les accidents des hystériques par des idées fixes, car il est i
stent pas chez ces malades et chercher une autre explication de leurs accidents ? Nous savons aujourd'hui que notre conscience n
ue idée fixe bien nette. Cet exemple nous montre seulement comment un accident physique comme l'incontinence peut être le résult
oubliés au réveil, de phénomènes uniquement subconscients. Tous ces accidents que je vous avais présentés étaient donc bien dét
é ses symptômes; d'après les observations que j'ai déjà faites de ses accidents , je sais qu'ils disparaîtront très facilement qua
tificiel que vous avez vu, c'est-à-dire qu'ils ont disparu en tant qu' accident hystérique. M... qui, pendant quatre ans, a uriné
été possible d'agir sur ces idées fixes, de les dissocier. Autant ces accidents sont rebelles à toute thérapeutique quand on les
es lui-même, dans un article du Progrès médical en 1893, montrait les accidents que pouvaient produire des rêves dont le sujet n'
défendre l'interprétation si juste qu'il avait présentée de certains accidents hystériques. (1) L. Lévy. — " D'une forme hysté
levé contre ces craintes chîmériques et dit ne jamais avoir observé d' accidents chez les sujets qu'il a été assez heureux de déba
n chien dans la cour du couvent où elle s'amusait avec ses amies. Cet accident est survenu le 26 janvier 1895. La plaie fut soig
écédents de la malade ? Jusqu'à ce moment elle n'avait présenté aucun accident nerveux, mais sa grand'mêre maternelle a été enfe
l résulte de cette observation: 1° Qu'il n'est pas besoin de grands accidents pour déterminer une paralysie hystéro-traumatique
alysie peut survenir chez des sujets n'ayant présenté jusque-là aucun accident hystérique. 4° Que les sujets atteints peuvent
35 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
alcoolisme du père, l'hystérie, la déséquilibration mentale, divers accidents névropathiques de la mère, et chez les collatér
ont sujets débutent sou- vent par les convulsions de l'enfance, les accidents pseudo- méningitiques, pour se continuer par le
uvent rencontré cette relation de l'inconti- nence infantile et des accidents ultérieurs de même ordre, en particulier les pe
à l'égard de son sphincter, ne se réveille-t-il pas aussitôt que l' accident se produit ? Non seule- ment il n'est pas révei
t depuis la première en- fance ; n'a jamais eu de convulsions, ni d' accidents cérébraux. Sa mère me l'amène parce qu'étant da
de chose. 13. Une seule nuit mouillée depuis le 6. 18 mai. Aucun accident depuis cinq semaines; les règles sont survenues
it, sentir le besoin d'uriner et se réveiller aussitôt. » 13. Pas d' accident depuis le 10. 17. Une seule nuit mouillée depui
depuis le 10. 17. Une seule nuit mouillée depuis le 13. 20. Pas d' accident depuis de 17. 24. Deux nuits mouillées depuis l
ouillées mais très peu, depuis le 31 décembre. 1er février. Pas d' accident depuis le 18 janvier. A partir de ce moment la
s depuis le 27. 11. Trois nuits mouillées depuis le 4. 18. -Pas d' accidents depuis le il. A partir de ce moment la guérison
guérison s'est maintenue. Avril 1894. Apparition des règles sans accident . Août. Fièvres intermittentes paludéennes, cach
ntaire. Les deux dernières nuits ont été mouillées. 27 mai. Pas d' accident depuis le 4. Juillet. La guérison se maintient.
suite de l'ab- sorption d'une grande quantité d'eau. 4 mai. Pas d' accident . 5 juin. Il a eu la rougeole depuis la dernière
y a six mois son père, employé au chemin de fer a été victime d'un accident grave dont elle a été vivement émue. A partir d
vée alors qu'elle a dormi tout d'une traite. 31 janvier 1895. Aucun accident pendant ce mois. La santé physique s'est sensib
ne mine et bon appétit. 28 février. La guérison se maintient sans accident , l'enfaut se lève régulièrement une fois par nu
mais ce besoin sera de moins en moins fréquent. 11 novembre. Pas d' accident . Il ne se réveille qu'une fois par nuit ou même
epuis le 18. 28. Deux nuits mouillées depuis le 24. 7 mars. Pas d' accident depuis le 28 février. Elle se réveille jusqu'à
e réveille jusqu'à trois fois la nuit pour uriner. 4 avril. Aucun accident . Guérison. 1e'' avril 1896. La guérison s'est m
Guérison. 1e'' avril 1896. La guérison s'est maintenue sans aucun accident , l'enfant est placée comme domestique et on est c
réveille très bien la nuit maintenant quand il a besoin. 10. Pas d' accident . Il n'a plus besoin de se lever la nuit et gard
s légèrement. Juillet. Une seule miction involontaire. OM(. Pas d' accident . 14 octobre. - L'enfant est complètement guéri
en ce moment. 14. Deux nuits mouillées depuis le 7. 21. - Pas d' accident . Elle ne se réveille plus la nuit, mais au mome
ysiques peut-être excessives. Deux nuits mouillées. 12 mai. Aucun accident . L'état physique est meilleur, les règles régul
e l'incontinence. Plus on fait lever le sujet la nuit pour éviter l' accident , et plus il se produit, le réveil provo- qué n'
atre nuits mouillées dans ce mois, mais très peu; 29 février. Pas d' accident . 31 m( ! 1's. - Pas d'accident. Considéré comme
, mais très peu; 29 février. Pas d'accident. 31 m( ! 1's. - Pas d' accident . Considéré comme guéri par son maître qui ne le
tellement suggestible que la première séance d'hypnose est suivie d' accidents nerveux inquiétants. Guérison rapide et qui sem
ncore un dégénéré avec cette circonstance aggravante qu'il a eu des accidents convulsifs dans sa première enfance. Malgré cel
illées depuis le 4. 1e'' avril. Une seule nuit mouillée. 8. Pas d' accidents . 14 octobre. A eu deux ou trois nuits mouillées
irréguliers. Bien qu'il y ait eu une période de quatorze jours sans accidents , les parents se lassent et cessent de me l'amener
L'INCONTINENCE D'URINE PAR SUGGESTION. 31 C'est sans doute dans les accidents cérébraux survenus à plu- sieurs reprises chez
ommes trouvé en présence d'un dégénéré héréditaire, lequel a eu des accidents qui se ren- contrent fréquemment chez cette sor
ablissant que la lésion doit être un hématome. Le début brusque des accidents à la suite d'une sorte d'ictus, qui se rappro-
à l'âgé de vingt ans. Mais pendant ce laps de temps, elle a divers accidents de nature certainement hystérique. Cette femme
trouble fonc- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1)1 tionnel jusqu'à l' accident mortel qui le fit découvrir. (Americalz journal
réflexes patellaires, finalement une paralysie complete des jambes. Accidents qui rétrocèdent sous l'influence d'onctions mer
mercurielles énergiques. Le malade sort et se remet à boire; les accidents reviennent. On le séquestre; tout disparaît. Enfi
tres activités (voir p. 48). P. K. XIX. Observation d'hystérie avec accidents d'akinésie DOULOUREUSE; par A. PANI30CK. (Neuro
e raison, quand l'akinésie dou- loureuse s'accompagne, comme ici, d' accidents nets d'hystérie. La thérapeutique électrique ou
s tous les mem- bres. Troubles passagers de la vessie et du rectum. Accidents du 54 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. décubitus
des malaises neurasthéniques à forme d'irritation spinale. Tous ces accidents supposent des altérations compliquant, en l'abs
tifs et intellectuels de paralysie générale tabétique syphilitique, accidents de gomme osseuse; Kl; amélioration. P. K. XXI
lantes qui se produisent surtout après des écarts de régime; et les accidents transitoires" simulant ceux du glaucome, dureté
isme à la tempe gauche devient amnésique ; deux ans et demi après l' accident on constate un état d'affaiblissement intellect
ntérieur ou bien la sclérose due à l'âge a-t-elle été activée par l' accident , c'est ce qu'il est SOCIÉTÉS SAVANTES. 71 mal
ue de fois ne voit-on pas l'hématome à néomembrane évoluer avec des accidents convulsifs insignifiants et sans aucune contrac
ur suffisait sur un pareil terrain pour déterminer les plus fâcheux accidents , soit vers le foie ou les reins, soit vers l'en-
sont aussi mal disposés que possible à résister au sirock et autres accidents chiruigicaux. Il faut parer à ces inconvénients
ée du côté droit (plus déprime que le gauche). Malheureu- sement un accident grave de chloroforme interrompit l'opération, l
es et de crises convulsives prouvent bien la nature épileptique des accidents présentés par cette jeune fille. Ajoutons que s
chez une femme de soixante-treize ans, jusque-là indemne de tout accident vésanique. (Annales médico-psychologiques, avril
fait soigner et qui a disparu au bout de quelques jours. Jamais d' accident secondaires, ni tertiaires. Marié depuis dix ans.
ure avec leur apparition, les antécédents rhumatismaux, l'absence d' accidents hystériques. Encore ceux- ci ont-ils été notés
en bas âge. Comme antécédents personnels, elle ne signalait quedes accidents hystériques. Elle était bien réglée. Pendant le
te ; elle ne pouvait marcher par suite d'une douleur plantaire; ces accidents étaient survenus à la suite d'une émotion. Je l
ières crises d'épilepsie à quinze ans, c'est-à-dire six ans après l' accident . La tumeur a toujours continué à se développer
e, jamais sur la tête. Décédée à l'âge de quarante ans, par suite d' accidents méningés hémorragiques consécutifs à des crises
araît .exempt de toute tare névropathique ; la mère n'a jamais eu d' accidents convulsifs et semble bien équi- librée ; deux s
marié et l'autre encore enfant n'auraient présenté jusqu'ici aucun accident pathologique sérieux ; un troisième est mort de
rûlure intense. K..., dans les premiers moments qui avaient suivi l' accident , était resté sous le coup d'une terreur profond
spoir. Lorsqu'il put parler, c'est-à-dire cinq ou six jours après l' accident , ses parents qui n'avaient jamais remarqué chez
terme et nous ne retrouvons dans ses antécédents per- sonnels aucun accident pathologique grave ; il n'a pas eu de con- vuls
rects aucun trouble de la parole. Il n'a jamais eu de vertiges ni d' accidents convulsifs d'au- cune sorte et n'a jamais prése
its qui prouvent que la plupart de ses actes, tout au moins avant l' accident , étaient provoqués par ses caprices et que le r
secousses qui agitent le reste du corps : d'une façon générale, les accidents con- vulsifs y affectent une forme atténuée et
en contraction à la moindre manifestation verbale. L'intensité des accidents convulsifs est susceptible d'éprouver les diffé
rovoqueront chez lui, lorsque la parole tendra à se manifester, des accidents convulsifs plus ou moins accentués, selon que l
Plus la connaissance d'une langue est familière au malade plus les accidents spasmodiques sont atténués, c'est ainsi qu'interr
oujours dans les mêmes conditions, les troubles de la parole et les accidents convulsifs disparaissent complètement; d'autres
de sujets deve- nus bègues à la suite d'une vive émotion. Mais ces accidents sont survenus chez notre malade à un âge où il
ire pathologique des malades qui en étaient affectés. Toutefois les accidents convulsifs pré- sentés par K... semblent offrir
aspect extérieur présentant une assez grande ressemblance avec les accidents convulsifs dont TROUBLES moteurs DE l'articulat
nifestations épileptiques, peuvent entrer en jeu dans la genèse des accidents que nous avons observés. Hâtons-nous de dire qu
, affectent dans leur marche des carac- tères communs. Bien que les accidents présentés par notre malade soient assurément so
269 membre inférieur, rend compte de l'apparition successive des accidents convulsifs : « ... l'onde remonte de l'extrémité
» Ceci dit, si nous nous reportons à la description clinique des accidents présentés par K..., voici brièvement résumé ce qu
in Traité de médecine, t. VI, p. 85. 270 asiles d'aliénés. divers accidents que nous venons de relater; le tic et le bé- ga
us à noter, au point de vue étiologique, que les causes banales des accidents hystériques. On n'en a pas rencontré un seul ca
rusquement frappée d'hémiplégie et elle demeura grabataire avec des accidents de décubitus. Douze ans après le début de l'af-
tte grave opération furent des plus heureux, la plaie gué- rit sans accident , les douleurs disparurent rapidement et rapide-
réditaires, syphilitique avérée depuis dix ans et ayant éprouvé des accidents nerveux syphilitiques, enlre autres une hémiplégi
us, bonne santé habituelle, syphilis trois ans avant l'éclosion des accidents actuels. Depuis le chancre jusqu'à présent sauf
mais inégalité des pupilles. Aggravation rapide de l'état général, accidents de décubitus aigu et mort quatre jours après l'
e, vingt-neuf ans, mariée, tare nerveuse héréditaire, mais jamais d' accidents nerveux avant le phénomène morbide actuel. Opér
lysie s'accompagne d'atrophie musculaire. En janvier 1893, nouveaux accidents : la tête ne peut se maintenir droite, elle est
et qu'il n'épargne pas la moelle. Mais quelle est la pathogénie des accidents médul- laires de la blennorrhagie ? Le gonocoqu
de s'aliter, puis déclina rapidement et mourut cinq jours après cet accident . A l'autopsie on trouva dix-neuf fractures de l
oire de sa tentative et de la période consécutive. Il n'y eut pas d' accidents convulsifs. Dans les trois cas dont il s'agit l
t 1896.) Cet envoi, fait en temps opportun, aurait évité ces graves accidents . On conçoit difficile- ment que cette mesure n'
pable d'aucun travail, la privaient complètement de sommeil. Ces accidents cessent brusquement. En février 1893 premiers s
; lassitude dans les membres inférieurs à la fin de la journée. Ces accidents vont progressant pendant une quinzaine de jours
péroné de la jambe droite avec luxation du pied. A la suite de cet accident il reste couché pendant six semaines. Pendant t
paralysie générale vraie. Il s'agissait donc, dans ces deux cas, d' accidents alcooliques ayant revêtu le masque de la paraly
e ans et demi. Parait avoir eu d'abord une choréee vraie et non des accidents choréiques consécutifs à un ictus apo- plectiqu
. Pendant les soirées qui précédaient les nuits dans lesquelles les accidents nerveux se manifestaient, les malades étaient d
ent d'ailleurs être très modérées en raison de l'intolérance et des accidents diarrhéiques et fébriles. Le même numéro contie
ait l'angine diphté- rilique qui a précédé de très peu le début des accidents . Les arthropathies seraient ainsi sous la dépen
tenue auprès d'une malade, elle ne peut remédier au désordre et aux accidents qui peuvent se produire sur un autre point. «
st nécessaire d'aller chercher l'interne de garde, on éviterait les accidents comme celui qui s'est produit ré- cemment à l'a
féliciter. La surveillance laissera moins à désirer; les chances d' accidents seront diminuées. * En provoquant une visite de
36 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
s laissaient entre elles des intervalles presque entièrement libres d' accidents nerveux, à part une lé- (1) Leçon du 12 mai 189
aître. Malheureusement les accès convulsifs n'étaient pas les seuls accidents dont souffrait notre malade. La phthi-sio était l
ce malheureux ne se plaignait guère, car c'est exclusivement pour les accidents nerveux qu'il venait nous consulter. J'avais, en
la vie, sans aucune hésitation, se présentait tout naturellement. Les accidents épilep-toïdes,'à début crural, vous disais-jeil y
du moins par son volume, qui existait chez ce malade comme cause des accidents convulsifs? Comment ai-je été conduit à fixer, pe
urgicale pratiquée de bonne heure débarrasserait le patient et de ses accidents con-vulsifs ou paralytiques et des dangers de l'i
quelques chances pour que l'opération soit suivie de la cessation des accidents cl epilepsie partielle relevant évidemment de la
iblesse ne tardait pas à disparaître au bout de quelques jours. Ces accidents cérébraux poursuivirent leur cours régulier, tand
lade, qui se présentait à notre consultation, ne se plaignant que des accidents convulsifs. Et pourtant, une exploration de la po
hacune d'elles, fort chargée en général en ce qui concerne les divers accidents ou manifestations de l'hystérie. La première de
s poussé plus loin nos recherches chez cette malade, à cause du petit accident qui avait interrompu notre première série d'expér
us accentué, elle a eu pendant son séjour à l'hospice une multitude d' accidents hystériques : chorée rhythmée, attaques de délire
nambules dans leur jeunesse, n'offrent plus ultérieurement le moindre accident nerveux d'ordre hystérique ; cette considération
esnet(l). Il s'agissait d'une jeune femme de 30 ans, soignée pour des accidents hystériques graves, consistant surtout en grandes
s'agit dans ce second cas d'un homme de 27 ans, chez qui le début des accidents nerveux se fit à l'occasion d'une plaie par arme
ion d'une plaie par arme à feu du crâne et du cerveau, plaie suivie d' accidents paralytiques qui guérirent parfaitement bien. Les
ère catégorie. Nous avons pu observer plusieurs enfants offrant des accidents de ce genre dans le service de M. le Pr Charcot,
ui ses parents niaient toute hérédité nerveuse, avait vu les premiers accidents nerveux se développer sans cause connue. Ainsi qu
etit garçon, âgé de 12 ans, était fils d'un père qui, à la suite d'un accident survenu clans un éboulement, avait présenté les s
pendant deux mois environ, aux approches du jour anniversaire de son accident , il était pris de crises de nerfs qu'il nous a dé
aud, et qui était survenue, au dire des parents, peu de temps après l' accident arrivé à l'enfant. Chez ce petit malade le déli
uillet 1889. Charcot, t, il 6 quatre jours. Dès le lendemain de l' accident et pendant les quinze jours qui suivirent la mala
e du traumatisme, plaie ou contusion, lequel a provoqué réclusion des accidents hystériques. Les autres se localisent, au contrai
Constant..., âgé de 57 ans, soldat libéré. Cet homme était atteint d' accidents hystériques avérés et portait les stigmates perma
s avons soigné à la Salpêtrière trois des sœurs de Sch...er, pour des accidents d'hystérie manifeste. (G. G.) Le lendemain elle
itôt perdit connaissance. Il resta ainsi près d'une heure et demie. L' accident était arrivé vers cinq heures du soir et personne
eu, de sang. Enfin lel7juin, c'est-à-dire trente-cinq jours après l' accident de l'ascenseur, il traînait une petite voiture à
il fut enfin guéri, mais deux mois plus tard éclatèrent les premiers accidents nerveux. Le début de ces troubles eut lieu sans
. Auparavant il pouvait voyager en chemin de fer sans souffrir de ces accidents . Pendant son séjour à Marseille, il se surmena
'état normal. C'est une jeune fille de 22 ans chez qui les premiers accidents nerveux remontent à l'âge de quatorze ans. A ving
ment, vers le soir, pendant plusieurs heures. Au milieu de tous ces accidents se placent divers épi-phénomènes de nature hystér
gles dont l'apparition est toujours marquée par une recrudescence des accidents nerveux, de morphine pour calmer ses diverses dou
fant revient à son état antérieur. Quelques jours après, retour des accidents convulsifs et, à leur suite, de l'état d'amnésie,
'existence fort peu mouvementée d'une jeune fille de seize ans. Les accidents qui l'ont amenée à la Salpêtrière ont débuté au m
motion ressentie alors qu'elle attribue le développement des premiers accidents . Ce furent d'abord des attaques de nerfs avec p
e permettant de rattacher sa maladie à l'hystérie, la périodicité des accidents morbides étant un des phénomènes les plus fréquen
s soirs. Pourquoi vouloir faire de deux manifestations identiques des accidents morbides différents, sous prétexte que l'une ne d
é parfaite. Je dois cependant vous mentionner ici une série de petits accidents survenus dans ces trois dernières années, qui nou
d'un père diabétique présenter un tremblement des mains, entre autres accidents nerveux. Il a vu chez les descendants des diabéti
diabete, Lisboa, 1864. (2) Marchai (de Calvi).— Recherches sur les accidents inflammatoires et gangreneux des diabétiques, Par
buté parle gros orteil gauche, où existe actuellement un tophus ; les accidents , qui sont restés longtemps cantonnés à l'orteil,
... n'a jamais eu la syphilis. En juillet 1889, il a été victime d'un accident de voiture : son cheval s'était emporté, il a vou
it. Le malade fait naturellement remonter sa maladie actuelle à cet accident , mais quand on l'interroge de plus près, on s'ape
ette influence, que des symptômes tabétiques existaient déjà et que l' accident n'a influé que sur l'apparition de la deuxième pé
tre les signes classiques du diabète, on constate un certain nombre d' accidents nerveux tels que- : engourdissement, hypéresthési
ypéresthésie, impuissance génitale, perte des réflexes rotaliens. Ces accidents relèvent-ils du tabès ou en sont-ils indépendants
ie avait été sous la dépendance de celui-ci. En résumé, si quelques accidents nerveux : perte du réflexe rolalien, troubles de
ique. La première objection n'est pas soutenable, car, si parmi les accidents nerveux quelques-uns sont communs au tabès et au
sans s'en douter. Le seul régime suffit en quelques mois à guérir les accidents . L'analyse du mois d'avril 1890 que nous avons eu
ent la scène. Que peut-on conclure de cette succession morbide? Les accidents nerveux actuels ressortissent-ils au tabès vrai?N
t-il-, subitement et définitivement le jour où le malade fut frappé d' accidents cérébraux, dus probablement aune hémorrhagie du c
clinique : tantôt au cours d'un diabète authentique, surviennent des accidents nerveux tabétiformes ; tantôt, chez un tabé-tique
stension de la vessie (Bouchard, Congrès de Blois, 1884), si quelques accidents vésicaux peuvent s'y montrer \ ils n'ont rien de
ière question : Etant donné un diabétique chez lequel surviennent des accidents nerveux tabétiformes, déterminer si ces accidents
uel surviennent des accidents nerveux tabétiformes, déterminer si ces accidents relèvent du vrai tabès ou du pseudo-tabes diabéti
s cette seconde face : Etant donné un (l) Dreyfous. — Pathogénie et accidents nerveux du diabète sucré. Th. agrég., 1883, p. 89
: A. — Etant donné un diabète sucré au cours duquel surviennent des accidents nerveux tabétiformes, dire si on se trouve en pré
re si on se trouve en présence d'un vrai ou d'un faux tabès. Si les accidents nerveux se bornent à des signes tels que : pertes
lement aux autres signes spinaux. Si, par contre, l'amendement de ces accidents est notable et général, il plaidera pour l'existe
t histoire de la maladie. Né à terme, il a eu dans l'enfance quelques accidents . A huit ans, il fut atteint d'une chorée qui dura
qui semble avoir été sans influence directe sur le développement des accidents actuels. Début, à l'âge de 12 ans 1/2, sans cau
e. Les bromures, au contraire, sans effet notable sur l'évolution des accidents hystériques, modifieront bien souvent d'une façon
pagnement d'autre stigmate ; si bien que l'hystérie dans laquelle ces accidents existent représente en quelque sorte une forme an
onvulsives en pareil cas sont vraiment rares ; rares aussi les autres accidents d'hystérie locale tels que clou, contractures, pa
onnue, il a été pris de maux de tête, puis d'inappétence et de divers accidents qui ont été caractérisés, paraît-il, par le médec
strique, et c'est huit jours après qu'il a commencé à ressentir les accidents nerveux qui ont persisté jusqu'aujourd'hui. Vous
rquez-le bien, le diagnostic est d'un grand intérêt pratique, car les accidents de la maladie des tics, bien qu'ils paraissent su
sthésie alcoolique, c'est-à-dire appartenant en propre à la série des accidents nerveux de l'alcoolisme chronique ? Vous savez,
dée qui viendra peut-être à l'esprit sera de chercher à rattacher ces accidents et l'hémianesthésie constatée sur le malade au sa
alysie des extenseurs, arthralgies, etc. On sait, d'ailleurs, que les accidents cérébraux encéphalo-pathiques du saturnisme peuve
sans être précédés d'autres affections que l'anémie saturnine. Les accidents convulsifs que présente notre malade appartiennen
Journal Hebdomadaire, 1836, t. IV). C'est là que la pathologie de ces accidents a été tracée pour la pre- mière fois, et de mai
ilepsie. Il résulte de ce rapprochement que si l'on veut mettre les accidents convulsifs et l'hémianesthésie de notre malade su
écédé et suivi l'attaque hémiplégique. Il y a deux jours, de nouveaux accidents se sont manifestés, au moins aussi singuliers et
par semaine cinq litres d'eau-de-vie ou d'alcool. En conséquence, des accidents d'alcoolisme se sont montrés, consistant en tremb
ervention d'une autre cause occasionnelle — l'incendie — pour que les accidents apparussent. Si l'on a dans l'esprit l'idée, co
37 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
considérer avec Frey comme la cause principale de la bronchite et des accidents consécutifs. Quant aux lésions pulmonaires, elles
vaient succombé de un mois à six semaines après le début des premiers accidents thoraciques. C. Induration grise, ardoisée: And
nous ne connaissons malheureusement pas tous les détails1, ce genre d' accident serait même dans l'espèce assez fréquent, puisque
elconque des parois de l'excavation, et que telle a été l'origine des accidents graves qui se sont manifes-tés à un moment donné.
tite quantité de sang mêlé aux crachats. Elle fit peu attention à cet accident et put continuer son travail, quoique imparfaitem
t "s'étaient formées à une époque plus ou moins éloignée du début des accidents thora-ciques, et alors que l'induration pulmonair
u pour cela la moindre tendance à la récidive, le moin-dre retour des accidents fébriles. Les cas de ce genre n'ap-partiennent év
rvation d'une personne atteinte de syphilis qui succomba à la suite d' accidents thoraci-ques. Al'autopsie, on trouva une indurati
le début d'une pneumonie catarrhale. Bans l'autre cas, les premiers accidents thoraciques avaient paru quatre ans avant la mort
dans son évolution el dans sa défervescence, le ma-lade est repris d' accidents fébriles et succombe deux mois et demi après le d
n cas de pneumonie régulière chez un homme de 60 ans, chez lequel les accidents locaux persistèrent après la chute de la fièvre.
chez une femme de 20 ans, morte en couches, un an après le début des accidents pulmonaires. La lésion était au premier degré dan
la quatrième côte, à droite du sternum. Dans ces chez laquelle les accidents pulmonaires s'étaient développés à la suite d'une
prend, faciliter, dans une certaine mesure, l'é-tude pathogénique des accidents . Depuis longtemps, l'attention des médecins ava
ans le second cas, une maladie à forme typhoïde avec prédominance des accidents thoraciques. A l'autopsie, on trouve, dans le pre
e de Laënnec. Laënnec envisage, d'ailleurs, ces granulations comme un accident rare dans l'histoire de la tuberculose du poumon.
ladie a évolué et s'est terminée par la mort en 15 jours, au milieu d' accidents fébriles très accentués, de manière à offrir un b
présente communication a pour but d'appeler l'attention sur quelques accidents qui surviennent dans le cours de l'évo-lution de
Incurables, pendant les trois dernières années ; à en juger par lacet accident ne serait pas rare. Il se manifeste d'ailleurs au
séreuses à peine marquées. Observation. — Bonne santé habituelle. — Accidents véné-riens.— Exostoses symétriques. — Chagrins: d
ouvé, à deux reprises, et pour la dernière fois, il y a cinq ans, des accidents vénériens (blennorrhagies?) ; il porte actuelleme
oloration de la substance grise chez des individus morts à la suite d' accidents cérébraux dont la nature était restée douteuse :
des observations rap-portées par Planer, les malades présentaient les accidents de la cachexie paludéenne à un degré plus ou moin
assez marqué,, sans qu'elle ait été révélée par des symptômes ou des accidents capables d'en faire soupçonner la présence. Plane
ien qu'assez rare-ment, des convulsions ou des paralysies. Tantôt ces accidents éclatent à l'improviste, sans prodromes, tantôt i
sable, de la cachexie qui lui est particulière. Dans les cas où des accidents cérébraux attribués aux altéra-tions pigmentaires
milieu des symptômes si variés que ces accès peuvent s'adjoindre. Ces accidents , en effet, quelle que soit d'ailleurs la forme qu
mes existant isolément, ou encore se succédant et s'entremêlant ; ces accidents , si l'on en croit la description donnée par Freri
ste à un haut degré, une certaine part dans la production de quelques accidents des fièvres coma-teuses. L'obstacle qu'une pareil
, et le malade succombe de un à six jours après le début des premiers accidents , ou bien il tombe comme frappé d'apoplexie, et la
ques à l'aide des-quels on triomphe le plus habituellement des divers accidents de la cachexie palustre. Dans un cas du même genr
ous ne savions pas que la contracture s'observe parfois au milieu des accidents si variés de l'ataxie, nous ferons cependant une
ur. C'était au trouble de ces fonctions que nous rapportions tous les accidents observés; il nous a été cepen-dant impossible d'é
a phlébite oblitérante. Une étude complète et régulière de ce genre d' accidents nous paraît être encore à peu près im-possible da
écolorées. L'emploi des révulsifs n'est suivi d'aucun amendement; les accidents s'aggravent au contraire rapidement et la malade
terminent par la mort au bout de quatre heures. La physionomie de ces accidents terminaux a été si particulière, que, jointe aux
en couches sont tout particulièrement expo-sées à ce dernier genre d' accident . IL Mais ce n'est pas dans l'état puerpéral s
as dans l'état puerpéral seulement qu'il sera donné de rencontrer les accidents redoutables sur lesquels nous appelons l'attentio
nes par un caillot fibrineux. C'est là, sans doute, en pareil cas, un accident heu-reusement fort rare ; mais le médecin ne doit
du voisinage fut immédiatement appelé, et arriva dix minutes après l' accident : il nota les phénomènes suivants: Le pouls est in
ait, comme on l'a vu, dans les troncs principaux de l'ar-tère, et les accidents produits ont été rapidement mortels. Dans une his
y produire une occlusion complète, on voit survenir chez l'animal des accidents formidables sem-blables à ceux qui se sont déclar
III, X). Elle a eu lieu quelques minutes seulement après le début des accidents dyspnéiques dans deux autres cas (obs, XII, V) ;
ans l'artère pulmonaire et s'y enclavaient sans provoquer toutefois d' accidents sérieux, parce que, en raison de leur forme irrég
estaient. Dans les cas où la mort n'est pas extrêmement rapide, les accidents déterminés par l'oblitération de l'artère pulmona
considération des circonstances au milieu desquelles se déclarent les accidents . La coexistence d'une oblitération veineuse manif
ur Jacquemier, pourrait bien être un exemple de ce genre. Obs. XV,— Accidents très vraisemblablement produits par une oblitérat
apismes, etc. A mon arrivée, une heure et demie après le début de l' accident , la malade était dans l'état suivant : immobilité
coup plus long aux assistants. Dans l'hypothèse très probable que les accidents étaient détermi-nés parla présence d'un caillot s
hose à cet égard. Ce queje puis assurer, c'est qu'avant comme après l' accident , il n'y a eu ni dans les membres inférieurs, ni d
sixième jour, elle fit des progrès rapides, et, le dixième jour de l' accident , le retour à la santé pouvait être considéré comm
ent, le retour à la santé pouvait être considéré comme complet. Les accidents relatés dans cette intéressante observation ont p
és par M. Jacquemier et par lesquels on voit « qu'avant comme après l' accident , il n'y a eu, ni dans les membres inférieurs, ni
; 2° une période de rémission et d'amendement ; 3° une période où les accidents de l'infection purulente se développent subitemen
ce à des lésions viscérales; mais il est difficile de dis-tinguer les accidents produits par les matières athéromateuses, de ceux
tre com-primés, oblitérés ou détruits ; au-dessous du diaphragme, les accidents pourront atteindre la veine cave inférieure, l'es
rcot. (Euvres complètes, t. v, Poumo?is et Cœur. 32 péritonéal: cet accident , lorsqu'il ne détermine point une mort instantané
ue, on peut mesurer l'espace de temps qui s'écoule entre les premiers accidents et la mort. Dans 30 cas rassemblés par Lebert, la
anglo-saxonne, mais l'abus des liqueurs fortes et la fréquence des accidents gout-teux, même chez les gens du peuple, pourraie
sont pas les mêmes au début de la maladie ; d'ailleurs, la marche des accidents diffère complète-ment de ce que l'on observe dans
utre, les symptômes se manifestent du même côté. L'état du pouls, les accidents localisés au bras ou à la région cervicale gauche
ne des symptômes, en indiquant les meilleurs moyens de com-battre les accidents les plus pénibles qui résultent de cette affectio
la conséquence. Il est inutile d'insister sur la gravité d'un pareil accident . Lorsqu'on voit la peau qui recouvre le sac anévr
fois par l'ouverture du sac dans le péricarde, peu après le début des accidents . Sur les deux autres, le pre-mier mourut assez ra
nté de confondre les anévrismes de cette espèce. Le début brusque des accidents , et l'existence d'un bruit de souffle continu sac
ré, peuvent occasionner une insuffisance valvu-laire. Sauf ce dernier accident , les dilatations simples de l'aorte n'occasionnen
ès avoir acquis un très grand volume qu'elles peuvent dé-terminer des accidents mortels. Les dilatations simples de l'aorte, qu
ire, une altération intérieure du vaisseau est le point de départ des accidents observés, la gravité de l'affection dépen-dra du
origine des artères carotides, ne permit point de leur attri-buer les accidents encéphaliques, on comprend que de telles collecti
e gauche avait éprouvé la fonte puriforme ; sa rupture fut suivie d' accidents apoplectiques et d'un état typhoïde, qui se ter-m
altérée peuvent détermi-ner, une fois transportées dans le sang, des accidents analo-gues à ceux des infections générales les pl
lles, sont au nom-bre des causes prédisposantes les plus efficaces. L' accident peut alors se produire spontanément, mais, en tou
res de repos, cela suffit en général pour faire dis-paraître tous les accidents , et on peut le remettre au trot. Au commencement
e quelques minutes suffisait toujours pour faire disparaître tous les accidents . Il eût été important de rechercher si, pendant
e reproduites chez l'homme, qu'on voit surve-nir chez les animaux les accidents graves, tels que respiration précipilée et inégal
rouvé, pendant plusieurs mois, dans les membres infé-rieurs, d'autres accidents que des fourmillements, accompa-gnés d'un sentime
ente, telle que nous l'avons décrite, doit être comptée au nombre des accidents qui surviennent chez l'homme à la suite de l'obli
repos de cinq à dix minutes. Avec la reprise de la marche, retour des accidents . Ce sont bien là, vous le voyez, en petit, bien e
désormais possible d'éviter la terminaison par sphacèle, lorsque les accidents de la claudication pourront être reconnus à temps
ira peut-être par se sphacéler ; mais il y a en tous cas, loin de cet accident à la perte de la jambe et du pied; et il est bien
ent, d'ailleurs, comme ulcérées à leur bord libre. Aceite époque, les accidents qui ont déterminé la mort de ce malade étaient po
on, mais elle n'a certainement pas été le point de départ de tous les accidents . Il nous semble que cette cause, quelle qu'elle s
u en particulier tout récemment, chez un homme âgé de 26 ans, par des accidents généraux graves à forme typhoïde. APPENDICE A
cette conséquence, que l'hémorragie n'est ici, pour ainsi dire, qu'un accident qui a lieu dans le cours du deuxième stade d'une
38 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Ici comme dans l'éclampsie puerpérale n'est-il pas possible que les accidents soient dus tantôt à une auto-intoxication, tant
t détermi- nerait l'ensemble d'actions réflexes qui constituent les accidents épileptiques. Ceux qui n'admettent pas la théor
'il faudra mettre en avant. Un rapide coup d'oeil sur la marche des accidents et l'évo- lution de la maladie, nous fera mieux
sans préjuger du reste de l'origine du poison. Or, la marche des accidents est très différente dans ces deux espèces d'épi-
ire est la première condition, capitale, indispensable pour que les accidents épileptiques puissent apparaître ; 2° que l'épi
sait inaperçu et il s'ap- puyait seulement sur cette brusquerie des accidents et sur les asymétries faciales pour porter son
ne de son malade. Avec une bonne hygiène, on peut éviter beaucoup d' accidents . Le méde- cin, en effet, est en présence d'un t
é, si la mort a suivi ce dernier de près, si les circonstances de l' accident parlent en faveur de ce diagnos- tic, enfin si
ainsi que des REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 55 suites immédiates de l' accident ; il tiendra compte de la limitation exacte de l
conséquences immédiates et éloignées ; il faut démontrer qu'avant l' accident aucun symptôme morbide ne s'était produit, et q
. VI. TROIS rapports SUR LES TROUBLES morbides consécutifs .1 DES accidents ; par S. MENER. (Archiv. f. Psychiat., XXVI, 1.)
pas une rareté. Cette simultanéité éclate souvent en dehors de tout accident . L'hystérie ou les troubles fonctionnels nerveu
peut fermer l'oeil droit, toujours largement ouvert; épipuora sans accidents inflammatoires.' Côté droit du front implissable,
es accès d'asthme s'accroissent et le cou commence à se tuméfier; accidents typiques du goitre exophthalmique; dyspnée (bronc
rde, entre à la Salpêtrière en 1892. Syphilis douze ans auparavant, accidents secondaires, pas de traitement sérieux. Début d
peau et des tissus voisins de l'articula- tion malade. En effet, l' accident se produit d'un coup. Il est extra- ordinaire q
'ataxie, or, la syringomyélie est d'autant plus apte à produire ces accidents qu'elle est plus douloureuse. Il en résulte que
aphasie s'établit parfois définitivement, aussi faut-il traiter cet accident dès qu'il se manifeste. Les bromures réussissen
s prennent en dormant la posture du malade, elles n'éprouvent pas l' accident qui a frappé celui-ci, dont les nerfs circonfle
les autres il n'y a rien d'étonnant à ce qu'il survienne de graves accidents comme celui que nous venons de relater. Nous av
tion frontale qui n'a guéri qu'après suppuration. Le lendemain de l' accident et les jours suivants, il y eut du trismus et d
râne qui sans avoir causé de lésions internes a déterminé de graves accidents nerveux. Lanature deces 104 MÉDECINE LÉGALE.
de graves accidents nerveux. Lanature deces 104 MÉDECINE LÉGALE. accidents ainsi que de l'exaltation cérébrale constatée che
uble sclérose du tympan. Il e=.t possible que peu accentuée avant l' accident , elle se soit accrue depuis par la superposition
disposition héréditaire et déterminée selon toute probabilité par l' accident du mois de juillet dernier. C'est également à l'h
ire observés chez Marie C... depuis sa détention. Ce sont aussi des accidents hystériques, des manifestations de la déséquili-
affection si réelle que le danger couru par cet enfant lors de son* accident a puissamment contribué à faire naître chez elle
riction. Nous ferons remarquer d'abord que Marie C..., même avant l' accident qui parait avoir été chez elle le point de dépa
ulgence. Qui nous dit, répéterons-nous ici en terminant, que sans l' accident provocateur de l'hystéro-trau- matisme dont ell
u six mois d'intervalle. Avec la saturation bromique arrivaient ces accidents vertigineux et de folie furieuse. Chez ce même
de la langue est très accentué avant les accès, ou bien lorsque les accidents sont déjà com- mencés et dans l'état de mal que
tâcher de découvrir quelle est la marche que suivent chez eux les accidents (accès isolés, en série, survenant régulièrement
traitement doit viser deux points : 1° la prédis- position ; 2° les accidents de l'épilepsie; 9° Les bromures agissent sur la
ne et une alimentation convenables ; 10° Les médications visant les accidents épileptiques ne doivent pas être continuées ent
ne doivent pas être continuées entre les périodes d'accès ; 11° Les accidents de l'épilepsie par intoxication peu- vent être
rante-six ans, de délire alcoolique aigu. Chez les deux soeurs, les accidents ont disparu après la suppres- REVUE DE PATHOLOG
érer, d'après lui, l'efficacité du traitement cardiaque, contre les accidents mentaux et tout en l'employant, ne pas formuler
choc, c'est que sa constitution moléculaire le pré- disposait à cet accident . , La notion de prédisposition doit donc être c
isposition à délirer, atteindre parfois un âge avancé sans qu'aucun accident men- 202 CLINIQUE MENTALE. tal grave vienne a
xistence n'a été traversée, semble-t-il au premier abord, par aucun accident mental. Même, l'intégrité actuelle des facultés
somme; et, si cette pré- disposition n'a pas donné lieu à l'un des accidents souvent fugaces, à un de ces orages si fréquent
pas la main de mon fils, car il avait eu le pouce écrasé dans un accident de machine, et j'aurais toujours reconnu la défor
di- naires de la malade. Nous n'avons invoqué, pour attribuer les accidents à la dégé- nérescence mentale, que la forme du
ctivité et de sys- tématisation. Il faut prévoir aussi que certains accidents men- taux peuvent être, même chez le vieillard,
chez trois, la masturbation chez la qua- trième marque le début des accidents qui s'annoncent chez toutes par une bronchite a
chez l'homme, le trai- tement thyroïdien intensif dirigé contre les accidents de myxoedème a provoqué des symptômes analogues
l'homme on a provoqué par ingestion en excès de corps thyroïde des accidents graves et même mortels. Du reste les résultats de
lace au syndrome basedowien, ne pourrait-on voir, dans les nouveaux accidents qui ont apparu, une modalité nouvelle d'un même
° la précision des symptômes, qui, en dehors de la connaissance des accidents épileptiques convulsifs, permettent de rattacher
impulsions épileptiques proprement dites surviennent en dehors des accidents convulsifs; 4° l'examen des conditions où, en d
même indépendamment de la constatation ou de la connaissance des accidents convulsifs. Arrivons maintenant aux caractères
ant et souvent plus délicat, c'est de savoir, abstraction faite des accidents convulsifs de l'épilepsie, si l'on a affaire à
vent se présenter dans d'autres états morbides. La connaissance des accidents convulsifs et des divers signes de l'épilepsie
e, 1894.) ÉTUDE SUR LA lIfENINGO-llfY&LITE. 275 nature de cet accident , son peu de connaissance de là langue fran- çai
tat mental rendant l'interrogatoire difficile. Il n'aurait pas eu d' accidents secondaires ; il a deux enfants bien portants et
étourdissement, et se met à vomir, c'est tout ce qu'il sait de cet accident , mais depuis la céphalalgie est continuelle, il y
d'une lésion infectieuse banale, évo- luant sous la dépendance des accidents ultimes. Les capillaires de la moelle elle-même
e s'agit pas d'une infection ultime de la moelle, contemporaine des accidents qui ont amené la mort. L'aspect des lésions, le
ême que, par un hasard singulier, nos trois tabétiques ont nié tout accident suspect. D'un autre côté l'histologie ne nous f
n'est suivi que d'une obnu- 1»lation passagère : le soir même de l' accident , délire fugace qui s'efface ensuite en même tem
dant contre l'hypo- thèse d'une lésion organique. D'autre part, les accidents comateux qui suivirent, à quelques jours de dis
différents de ceux des arthropathies neuro-spinales. E. BLIN. XV. Accidents cérébraux dans LE cours DE la BLE : VNGRRII1GIE;
un rapport de cause à effet entre la blennorrhagie primitive et les accidents céré- braux qui l'avaient suivie d'autant plus
e mortelle : M. Tambourer attribue à une embolie gonococcique les accidents cérébraux qui ont entraîné la mort de son malade.
che : l'amélioration s'accentue de jour en jour, et un mois après l' accident le malade sortait, complètement guéri, de l'hôp
action de la glande thy- roïde est donc évidente, et, en raison des accidents , il convient de surveiller l'emploi avec soin a
nts, il convient de surveiller l'emploi avec soin afin d'éviter des accidents qui peuvent devenir mortels'. 1. 1 Nous publi
cte la syphilis et fait' plusieurs séjours à l'Antiquaille pour les accidents de sa maladie. A son dernier séjour, en février
tracté la syphilis il y a dix ans, et fut atteinte dès les premiers accidents d'hypocondrie, causée par l'ennui d'être attein
ortent très bien le médicament tandis que les autres présentent des accidents avec de petites doses. M. Bérillon (de Paris),
syphilis par allaitement et ayant^ présenté peu de temps après des accidents cérébraux graves (apoplexie, hémiplégie droite, a
la toxicité des urines. M. DUBREUILH (de Bordeaux), cite « un cas d' accidents hystéri- 340 « SOCIÉTÉS SAVANTES. : formes dans
isite de l'asile public des aliénés de Cadillac. Malheureusement un accident est venu attrister dès le matin cette promenade
p souvent croire à l'incurabilité, sont la cause des regrettables accidents de ce genres Lorsque les aliénés sont traités com
atteinte pro- bable du diaphragme. En présence de la gravité de ces accidents , on a recours à la curarine, d'abord à doses mi
bien pratiquée, est absolument inoffensive. Négligeant les quelques accidents qui se sont produits, et admettant, avec M. Lucas
le de ces observations, c'est que le chloralose, en dehors même des accidents d'hyperexcitabilité musculaire qu'il est suscep
eune femme ner- veuse ou à un alcoolique font provoquer une série d' accidents peu graves, mais désagréables. Il y a d'abord u
uitte l'hôpital, et une lettre de sa mère datée de six mois après l' accident la représente comme parfaitement guérie. Elle n
lle ne se souvient absolument de rien de ce qui s'est passé entre l' accident et l'opération et ses souvenirs rela- tivement
du champ visuel, l'achro- matopsie, le scotome. Au point de vue des accidents convulsifs l'auteur a observé la combinaison de
ontaires survenues dans les asiles et ils constateront que ce grave accident s'est produit dans une chambre d'isole- ment de
Mort d'une fluxion de poitrine à cin- quante-sept ans, sobre, pas d' accidents nerveux. Mère. Migrai- neuse, morte à cinquante
soeur, pas d'enfant.] Mère, quarante-huit ans, bien portante, pas d' accidents nerveux, physionomie intelligente. A son mariag
mère. Père. Mort écrasé par un mur, sobre, très intelligent; pas d' accidents nerveux. Mère, soixante-douze ans, bien portante
d'accidents nerveux. Mère, soixante-douze ans, bien portante pas d' accidents nervenx; deux frères : un mort de l'influeuza, a
is, elle a de véritables idées fixes. Quand elle entend parler d'un accident ou de quelque chose qui l'impressionne, elle y
et fait avec le couteau le simulacre de se couper le cou. De peur d' accident on lui retire le couteau. L'attention, bien que
mauvaises conditions d'entourage, de développement, quelquefois un accident ou une maladie, ont affaibli le sens moral, ce
e produire par accès une hallucination reprodui- sant la scène de l' accident . On connaît bien également les obser- vations d
ngien, de l ? et de l'hypoglosse, par Turner et Bul- loch, 154. Accidents . Troubles morbides consé- cutifs il des -, par
te par amputation congénitale par Le- clerc, 152. B.cwoaea.uae. Accidents cérébraux dans la , par Pitres 209. Blennorri
ographie cranio-cérébrale par Falcone, 475. Traumatismes suivis d' accidents ner- veux rares, par llarvey, 320. Tremblemen
39 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de fer; et l'on a été jusqu'à en décrire, comme particulière à ces accidents , une variété sous le nom de Railway spine. Les
s Ilospital Rep., v. Y, p. 45). 3 On cases of injury from railway accidents (The Lancet, 1867, v. I, p. 389). l'lie Lance
ction autour de la racine des membres inférieurs et 'du bassin. Ces accidents ont débuté vers deux heures du matin et ont eu
e soir à 38°,3. COMMOTION DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 13 93° jour. Les accidents de la veille ont disparu, le malade est revenu
our de plusieurs mois pendant l'hiver de 1883 pour y être traitée d' accidents choréiformes convulsifs accompagnés de l'émissi
est grande et forte. Elle n'est pas réglée. Sa mère n'a jamais eu d' accidents nerveux. Son père a un tic convulsif non doulou
nt quelques paroles banales ou grossières. Après quelques mois, les accidents disparurent. Mais un an plus tard, ils se montr
ue nous sachions, à la dose limite, et, dans l'espèce, la crainte d' accidents possibles, pouvant se produire lors d'un accès
ressive, puis guérison. Observation V. Jeune fille de dix-huit ans, accidents convul- sifs à la suite de chagrins d'amour, pu
aires; il est intelligent; il y a deux semaines, il eut de nouveaux accidents convulsifs ; il eut chaque jour, durant six jou
voir parer de suite par la ligature, avec une bande roulée, à un accident , est l'injection sous-cutanée dans les membres av
aternel aliéné. Antécédents pathologiques de la malade. - Parmi les accidents de la première dentition, elle eut des convulsi
ations inférieures. L'intégrité du sensorium, l'uni- latéralité des accidents de la face excluent l'idée d'une lésion protubé
ment en une entité chronique semblable à la paralysie générale. Ces accidents sé- vissent surtout sur des troupes on marche,
s-cutanées; Il milligr. à 33 milligr. suspendent invariablement les accidents de la molililê dès les heures sui- 8ï- le revue
piratoires quelconques. Sous l'intluence de cette méthode, tous les accidents disparaissent. On s'occupe ensuite de déshabitu
fectueuses dt l'égard de l'étiolo- gie et de la localisation de ces accidents . Une forme particu- lièrement obscure, c'est la
on. Celle-ci provient d'un adulte jeune, bien portant, victime d'un accident de chemin de fer. Ouest frappé delà proéminence
d'autre part, comme influence sus- ceptible de donner naissance aux accidents observés, que le défaut de relation entre l'ovu
x dans lesquels l'exa ni en.anatd'm'iqùe' fait peu de temps après l' accident , n'a révélé aucune lésion appréciable de l'orga
avant et en arrière dans le wagon. Pendant le délai qu'occasionna l' accident , il resta sur le talus de la voie. 11 ressentit
l'amélioration générale s'arrêta, et il mourut quatre mois après l' accident . L'autopsie révéla une hépati- sation des deux
hragmatique; abolition du pouvoir réflexe. ' Mort le lendemain de l' accident . Ni fracture ni déplacement au crâne et à la co
s symptômes augmentèrent gra- duellement; trois ans et demi après l' accident , il y avait une émaciation considérable, il mar
elli- gence étaient intacts. Il mourut près de quatre ans après l' accident . Ce cas, dit Erichsen, présente les traits ordi
'ataxie se caractérisèrent et il succomba trois ans et demi après l' accident . Lockhart Clarke cons- tata une sclérose limité
s exercices corporels il cessa d'y prendre part. Cinq ans après l' accident , pendant la chasse au coq de bruyères, dont il
anchester, avait reçu sur la nuque une.balle.de tissu de coton; cet accident fut suivi immédiatement de légère raideur. du-
rissement des muscles fut rapide et eut lieu peu de temps après l' accident . La marche et le caractère de l'atrophie prouva
minutes et dut rester aulit pendant uumois. Au bout dece temps, les accidents d'ataxie se dévelop- pèrent. 1 Revue mensuell
, des contusions violentes, comme celles qui se produisent dans les accidents de chemins de fer, doi- vent figurer dans l'éti
les rattacher à la commotion, à cause de l'intervalle qui sépare l' accident de l'appari- tion des symptômes; il attribue ce
vive ; par l'analyse chimique des urines, on y trouva du sucre. Ces accidents disparurent par le repos et un traitement simpl
présenta aucune affection nerveuse. A cette époque, on constata les accidents suivants : Il avait une convulsion de la face,
pas, avait des accès' de cris, était très méchant. Attribuant ces accidents au lait de la nourrice, on la remplaça par une au
des sottises et a voulu frapper un de ses camarades. T. A. 38° Les accidents se sont peu à peu dissipés. 8 juin. Brûlures lé
ès. 1883. S janvier. Cr... est complètement remis de ses derniers accidents . 9 février. Dans la nuit du 6 au 7, 17 accès. T
s traumatismes ; ci la naissance, il était asphyxié. Les premiers accidents ont consisté en accès de cris (in- làice), remp
dans la plupart des cas; celles que l'on trouvait consistaient en accidents puerpéraux, '.surtout en hémorrha-ies, en des cas
ent eu la syphilis dont trois femmes, cinq l'avaient peut-être eue ( accidents secondaires douteux). Des onze qui restent, sep
trent également eu ligne de compte dans la genèse de l'ensemble des accidents enregistrés. P. K. XXII. Contribution A l'étu
eures s'atrophient rapide- ment. Quatre semaines après le début des accidents , réaction dégénérative complète ou partielle, s
ient ex- cessive ; délire; incontinence de l'urine et des matières; accidents du décubitus ; oedème des extrémités; un peu de
ions 1. - A ce propos, le ramollissement cérébral observé ici comme accident ultime constitue une particularité remarquable
avoir fait le décompte, dans l'espèce, du genre de spiritueux, des accidents auxquels ils ont donné naissance chez les ascenda
de troubles dans le domaine du système nerveux, psychoses ou autres accidents , dont M. Knecht enregistre l'énumération eliiff
rattachent immédiatement aux phénomènes de commotion produits par l' accident , biles représentent, soit la prolongation affai
, une certaine importance aux 27 : 2 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. accidents suivants qui permettent de conclure que le trauma
nclure que le traumatisme a laissé quelque infirmité cérébrale. Ces accidents sont : la propension à des congestions encéphal
ri- son. Le' Fort (1882) : Névralgie et paralysie à la suite d'un accident de chasse; guérison complète après l'élongation
r la résorption du sang, la disparition quelquefois très rapide des accidents . Nous manquons de données précises à cet égard;
ue, dans un cas emprunté par Eri- chsen' à A. Cooper, un an après l' accident (torsion de la colonne vertébrale), on trouva e
cale à la deuxième dorsale. Notons, en outre, qu'il n'y eut aucun accident primitif, que les troubles consécu- tifs, ne se
ble, et avec quels éléments peut-on l'établir ? La soudaineté des accidents n'est pas spéciale à la commotion; une fracture
n retrouvait des traces d'hémato-myélie près de. six mois après l' accident . La critique qui s'est attachée à contester la
boutissant à la sclérose. Dans notre observa- tion, l'évolution des accidents , aussi bien que les lésions, trahissent l'exist
Pleurésie sèche (1880). Traitement par les injections de curare : accidents locaux du côté paralysé; insuccès. Mort dans un
à quatre-vingts ans; on l'a noyé, pense-t-on, ou il est tombé par accident dans le canal du Loiret; menuisier, il faisait de
la jambe et est resté trois mois à Lariboisière, et, un an après l' accident , il est mort de la poitrine, il n'avait pas d'e
sobre, a une physionomie régulière, agréable, n'a jamais eu aucun accident nerveux; elle n'a jamais eu de convulsions dans
t son enfant. Une soetii- est sujette à des douleurs d'estomac sans accidents nerveux. Elle a deux filles : l'une d'elles a e
igr.). La douleur est presque nulle au moment de l'injection; pas d' accidents locaux, sauf par- fois une légère ecchymose, pa
ans les antécédents 'personnels du malade nous avons à signaler des accidents nombreux. b) De quatre à douze ans, Lef... a eu
s dans lesquels nous sommes entrés, car ils verront là un exemple d' accidents très communs chez les enfants, encore trop peu
ans, a tou- jours été régulière. A vingt et un ans, elle eut des accidents cérébraux mal déter- minés, qui furent suivis d
four à plomb et de dessécher la litharge. A la suite de différents accidents saturnins, il prit quelques précautions consist
oubles de la sensibilité et absence du phénomène du genou. Tous ces accidents s'améliorent par le traitement galvanique. Un p
évrose en rapport avec la terreur éprouvée après la disparition des accidents qui, eux, auraient pu être rattachés à la diphthé
oite ; perte du sens de la température. Six mois après le début des accidents , les petits muscles de la main gauche s'atrophi
Dans neuf observations, l'infection primitive se traduisit par des accidents secondaires presque toujours très légers; une d
lairage ; des crises gas- triques avaient immédiatement succédé à l' accident et plus tard on nota le complet tableau du tabe
LEWIN souscrit à l'opinion de la simultanéité chez les ma- lades d' accidents syphilitiques et de refroidissements. Le traite-
litiques certains (14 cas), caractérisés par un chancre induré, des accidents secondaires, des avortements mul- tiples s'effe
ent après l'infec- tion ; il faut noter que le temps écoulé entre l' accident primitif et les premiers phénomènes tabétiques,
t celle des malades ayant eu une ulcération quelque part, mais sans accident secondaire (14 cas); 6 d'entre eux avaient, peu
ée, etc.), tandis que chez les hémiplégiques ou observe souvent ces accidents . Il n'a pas parlé à dessein de ses faits ancien
Emilie Bovell avait fait sa thèse à la Salpê- trière : De quelques accidents de l'épilepsie et de <*/tte)'o-ëp ! 76ps : c
ickleover, a été grièvement blessé par un aliéné, avec un ciseau. L' accident eutlieu dansl'ate- lier des charpentiers. AI. A
40 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
enades, même dans des lieux très fréquentés, n'ont donné lieu à des accidents capables d'attirer sérieu- sement l'attention e
les plus violents, les plus excités, les plus dangereux ; d'où des accidents possibles. - n Et puis, les enfants savent que
de nous ranger plutôt à l'opinion des médecins qui considèrent ces accidents comme des accès incomplets. - Ce n'est pas à di
proche delà précédente, nous paraît concerner un cas de chorée avec accidents procursifs concomitants. Nous l'aurions même éc
gnée. Le malade succomba cinq heures après l'invasion des premiers accidents , et ne fut pas observé pendant les deux dernièr
maine ; enfin, depuis deux mois, c'est-à-dire depuis l'apparition d' accidents choréiques qui constituen aujourd'hui l'élément
t certaines parties du corps. Pendant les jours qui ont précédé cet accident , elle a eu très souvent ses accès, ses idées ét
ôté gauche de la face et du corps ; pendant huit à dix jours, les accidents se sont bornés là ; puis la jambe droite a été pr
le bras et tout le côté droit ont été agités à leur tour ; mais les accidents ont été toujours plus intenses du côté gauche q
re (trois mois après le début) on constate une différence entre les accidents des deux côtés du corps. La maladie a fait de r
au contraire causée par ce nouvel élément morbide ; ou si tous ces accidents ne sont là que comme coïncidence. - Tous les tr
tre siècle, c'est-à-dire durant une période où l'on considérait les accidents que nous étudions comme appartenant à la chorée
e trois ans et demi, à la suite d'une vive frayeur, fut frappée des accidents propres à la chorée. A neuf ' Salues. - Revue m
ent, si ce n'est de l'anorexie et la cessation complète de tous les accidents carac- téristiques de la chorée. Le quatrième j
a longue durée de la maladie, les accès pro- cursifs fréquents, les accidents lélanifoI'1l1es qui les accompagnaient, la rémi
, situées à une assez grande hauteur. Jamais il ne lui est arrivé d' accident . Au moment de sa crise, on le voit courir préci
à la cordonnerie chez ses parents. Pas de fièvres éruptives, pas d' accidents strumeux. a A mon idée », dit la mère, « l'enfa
flexe rotulien. 11 Bicêtre, nous avons cons- taté chez Grand... des accidents épileptiques divers : 1° Des vertiges non procu
oolique, a succombé à une affection génito-urinaire. - Mère morte d' accidents pulmonaires sans aveir jamais eu d'affection ne
; sa mère est morte quelque temps après sa naissance, à la suite d' accidents puerpéraux. En 1870, étant âgée de six mois, el
e fièvre inter- mittente ; combattus par le sulfate de quinine, les accidents diminuèrent de fréquence, d'intensité, mais le
ès de boisson. - Mère, soixante ans, n'a jamais été malade, pas d' accidents nerveux. - Trois frères ; un poitrinaire, faisait
le sang à la tête. - Quatre frères, l'un est mort en huit jours, d' accidents cérébraux con- sécutifs, à la peur des Prussien
; un est marié, a quatre enfants en bonne santé et n'ayant pas eu d' accidents nerveux. - Les deux derniers frères ne sont pas
le prendre, il devenait d'abord très pâle, puis rouge après. Ces accidents venaient irrégulièrement quelquefois deux fois pa
présenter concurremment avec des accès de type procursif divers des accidents procursifs dont quelques-uns semblent se rappro
us tard, persistent seuls. Il n'en est pas de même pour ceux où l' accident procursif n'apparaît que longtemps après le déb
après le début de l'épilepsie et chez lesquels il paraît être un accident isolé indépendant de l'accès. Tel est le cas du
nts fournis par la mère. - Père naturel, plom- bier zingueur, pas d' accidents saturnins, sobre, mort de phthisie l'âge de qua
sseur de musique qui, en donnant une leçon à une demoiselle, eut un accident épileptique si léger que son élève ne s'en aper
t sur les personnes; un jour, la première fois qu'on a remarqué ces accidents , il a donné un violent coup de main sur l'épaul
bre des autopsies de malades atteints d'épi- lepsie procursive ou d' accidents procursifs est assez restreint, soit parce que
ccès, et par suite, dans le cas particulier, oh peut considérer les accidents procursifs comme constituant des accès incomple
a mère jusqu'à seize mois. A six mois il aurait été soigné pour des accidents cérébraux qui ont duré deux mois, sans convulsi
trouve dans la plupart des cerveaux d'idiots. Ce malade a eu des accidents cérébraux dès l'âge de six mois sans convulsion
rvation diffère un peu des nôtres au point de vue clinique, car les accidents procursifs qui précédaient et suivaient l'accès
es pratiquées jusqu'à ce jour, que dans l'épilepsie procursive, les accidents procur- sifs, certains mouvements de manège, de
es; aucun de leurs malades n'est signalé comme ayant présenté des accidents procursifs, mais il est à noter que tous étaien
nséquent sont très variables. Le diagnostic nous paraît facile. Les accidents pro- cursifs, vertiges ou accès, diffèrent de l
s facultés intellectuelles, par le long intervalle qui sépare les accidents , par la perte du souvenir de l'ac- cident, etc.
t chez les hystériques, à la fin des séries d'attaques surtout, des accidents procursifs, 1 Ces auteurs ont confondu encore s
.) DE r : ÉrJr.ErIE rrWCURS1VE. Ion un besoin de courir, mais ces accidents ne consti- tuent qu'un épisode de l'attaque et
de convulsions; mais, depuis trois ans, il serait sujet à de petits accidents cérébraux que l'on décrit ainsi : yeux fixes, p
rs que pieds nus. Observation II. - Père très nerveux, sujet ci des accidents probable- ment épileptiques (vertiges procursif
AVEC IMBÉCILLITÉ. le 28 décembre. Pas de symptômes généraux, pas d' accidents locaux, sauf de petites indurations avec la sol
70 ; taille, 1m,35. 11 janvier. 4 gouttes de liqueur de Fowler. Ni accidents lo- caux, ni accidents généraux. Les symptômes
janvier. 4 gouttes de liqueur de Fowler. Ni accidents lo- caux, ni accidents généraux. Les symptômes cboréiformes ne paraiss
e à indiquer par signes ce que les autres font, et avertit en cas d' accidents . Il avait pris en affection nne personne du ser
, s'installant quelques heures ou quelques jours avant ou après les accidents convulsifs. Après avoir affirmé que la « doctri
régulière, mais l'état général restait le même. Deux heures après l' accident le pouls était à 72-76 et la tem- pérature touj
hes sur la poitrine et les membres inférieurs. Trois heures après l' accident : P. 72 ; T. R. 3G°,8 ; respiration plus réguli
la température rectale à 38°,4 ; la peau chaude. Six heures après l' accident : le pouls était le même, la res- piration à 20
e 28 septembre, à 9 heures du matin, c'est-à-dire 20 heures après l' accident : P. 88 ; R. 20 ; T. R. 39°,3. Le malade a dormi
rature se relève pour atteindre assez rapidement dix heures après l' accident , 40°, 3, soit 2°,S au-dessus de la température
vingt-quatre heures, et cen'est que le troisième jour, à dater de l' accident , qu'elle a descendu de 39° au taux normal. Ces
Père, berger, mort à GO ans d'une fluxion de poitrine, sobre, pas d' accidents nerveux. - Mère, G8 ans, bien portante, pas ner
41 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
nts personnels. Il a souffert pendant sa première enfance de divers accidents strumeux sans gravité. Il a eu la fièvre typhoïde
té gauche étant ordinairement moins affecté que l'autre côté. Les accidents qui se présentent alors sont d'abord la paralysie
ième terminale avec des rétractions et des troubles trophiques; ces accidents se développant en 10 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
xploration. La malade porte des cicatrices de brûlures et, lors des accidents qui les ont occasionnées, elle n'a pas souffert
avoir-joué'un rôle prépondérant quoique indirect dans la genèse des accidents .- - ' ' On peut rappeler à cette, occasion que
er aucun renseignement sur-eux. Son père est mort à la. Suite, d'un accident ; sa mère a succombé à une phtisie pulmonaire. Un
membre n'ont jamais été égales il celles du bras droit, depuis cet accident . Début. L'affection actuelle a débuté il y a se
qu'un intervalle d'intégrité du membre aussi considérable sépare l' accident t de sa conséquence. J'ai retrouvé toutefois un
ns auparavant il était tombé sur le coude et fut, à la suite de cet accident , qu'on traita pour une luxation, trois mois à rec
particularité tranche dès l'abord. Mais sont-ce là seulement des accidents semblables réalisés par des causes différentes
sives, anesthésie, dyschromatopsie, rétrécissement du champ \isuel, accidents d'aphasie, de surdité, de paralysie, etc., etc. N
e nous avons rapporté prouve au moins la part qui dans ces sortes d' accidents peut revenir à la seule attitude d'extension fo
vateur. - On a pu remarquer, pendant les quatre mois qu'a durés cet accident chez notre malade, que le degré du gonflement v
is entra le 1 cr novembre 1887 à l'hôpital. Dès le lendemain de l' accident , les membres supérieurs et inférieurs se seraie
ntaires. Ni le cou ni le tronc n'étaient rigides. Le lendemain de l' accident , à l'aues- thésie avait succédé une hyperesthés
être mise en exten- sion très forcée, ce qui n'existait pas avant l' accident , et ce qu'on ne trouve pas au pouce de l'autre
cture, si intenses pourtant dans les premiers temps qui suivirent l' accident , s'amendèrent progressivement jusqu'à sub- sist
as de troubles trophiques cutanés. Enfin, environ huit mois après l' accident primitif, sur- vinrent des phénomènes douloureu
l est à noter qu'elle n'eut jamais d'engelures antérieurement à son accident .) Ces lésions sont les suivantes : sur la face
asques les jambes devinrent raides. De plus, quelques jours après l' accident , se développeront des eschares qui évoluèrent j
dès cette époque, du deuxième au quatrième mois après le début de l' accident , coïncidant avec la période la plus forte de l'ét
muler un pronostic à son sujet, eût été peut-être, en présence des accidents nerveux si intenses des quatre premiers mois, por
es fins à gauche. (Il est à noter que le malade, antérieurement à l' accident , n'avait jamais toussé.) La température s'est
, n'avait jamais toussé.) La température s'est maintenue depuis l' accident aux environs de 38". Hier soir, 39°,3. 25 nov
fracture remontant seulement à huit mois; mais dans les autres, cet accident datait de plusieurs années. Or, dans tous, nous
ez un sujet dont la croissance n'était pas terminée à l'époque de l' accident . Les troubles génito-uriaaioes et les troubles
sons attribuer nettement à la fracture du rachis le développement d' accidents épileptiformes présentés par un de nos malades.
analogues. Voici, en substance, comment il décrit l'évolu- tion des accidents nerveux consécutifs aux fractures vertébrales.
eux membres. Il ne faut pas considérer comme étant à l'abri de tout accident les sujets même complètement guéris en apparenc
idive de la fracture avec déplacement considérable des fragments et accidents paralytiques mortels (après treize ans de guéri
avons observés. Resterait à savoir au point de vue pratique si ces accidents dépendent t de la lésion médullaire primitive o
une confirmation nette de cette idée) que la fracture constitue un accident plus grave au point de vue de la perma- nence d
titue un accident plus grave au point de vue de la perma- nence des accidents nerveux. Signalons, à propos de l'observation V
e, la- respiration devient irrégulière et les deux tracés par leurs accidents , leurs oscillations, décèlent à la fois la fati
te-deux ans, à hérédité très chargée, chez lequel, en six mois, les accidents de la série tabétique avaient presque atteint l
bâti- ments, se porte bien, n'a jamais été malade, n'a jamais eu d' accidents saturnins. Deux oncles paternels sont bien port
Pas d'alcoo- lisme ni du côté du père, ni du côté de la mère. Pas d' accidents connus de la grossesse. A. V. E... a un frère â
es, il avait déjà eu cinq luxations de ce genre avant son entrée; l' accident s'est reproduit une fois du côté gauche : la luxa
, de Boulogne, une jeune fille hystérique, présentant, entre autres accidents variés de la névrose, une contrac- ture de l'or
du membre supérieur droit. Tous les matins, on fait disparaître ces accidents par sug- gestion, sauf les douleurs arthralgiqu
nt, même pendant toutes les phases de l'état hypnotique* Les autres accidents se reproduisent d'ail- : DE LA SUPERPOSITION DE
par semaine. Le 10 mars, à quatre heures de l'après-midi, un nouvel accident de nature hystérique est venu s'ajouter aux art
de ce membre n'est aucunement modifié par l'adjonction de ce nouvel accident . Nous résumerons maintenant, en quelques mots,
lants de cette longue observation qui nous restent à exposer. Les accidents choréiques ont persisté jusqu'à la fin de juin 18
r à l'étude du seul blépharospasme présenté par notre malade. Cet accident n'est pas rare dans l'hystérie. Dans son mémoire
r une distinction symptoma- tiquequelcondue entre ces deux ordres d' accidents . Or, mon expérience sur ce sujet me semble prou
le et chétif. Le cinquième enfant est un garçon, mort à 17 ans d'un accident de voiture. Le sixième est une fille, morte à,")
les trophiques de la peau et de ses annexes sont mieux établis. Les accidents du décubitus sont fréquents, le zona n'est pas
e satisfaisante jusqu'en 'IG54., époque à laquelle il lui arriva un accident qui devait troubler définitivement son esprit.
ts et lav oiture reste comme suspendue sur le bord de l'eau. « Cet accident où Pascal s'était vu si près de sa fin, fit sur
nt une vision, « le lundi z3 novembre 1654, un mois environ après l' accident du pont de Neuilly, de dix heures et demie du s
i on attribue particulièrement la mort de M. Pascal et les derniers accidents qui l'accompagnèrent, c'est qu'il y avait au de
r défavorablement sa constitution débile et favoriser l'explosion d' accidents qui à la vérité furent tardifs, car au moment d
égie est aussi flasque que le premier jour. En ce qui regarde les accidents conuilsifs du début, ou ils sont d'origine pure
nges du saint qui l'a miraculeusement délivrée de ses maux. « Des accidents de plusieurs mois, d'une année même, dit Briquet,
secours. Il resta ainsi sur le sol pendant trois heures au moins. L' accident étant arrivé à quatre heures et demie le soir,
t parce qu'il y avait urgence. Une demi-heure plus tard survenait l' accident que nous avons décrit. Une fois entré Li l'hô
brusquement encore. Pendant cette période de dix mois à dater de l' accident , la main droite et NOUVELLE ICONOGRAPHIE T It
u'elle n'atteint pas. Pendant les six premiers mois qui suivirent l' accident , B... nepouvaitavaler les liquides et les solid
- Mlle B..., âgée de dix-sept ans, après avoir présenté une série d' accidents de nature hystérique (contracture du bras droit,
nt disparut comme il était venu. Le 7 mars de la même année, pareil accident se produisit à l'autre jambe. A son tour, le me
ceux qui, en plus des stigmates permanents, présentent la série des accidents variés : attaques, états de mal, vomissements,
agnostique importante entre «.la fièvre nerveuse » du goitre et les accidents fébriles intermittents, indépendants de l'affec
42 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Du moins en 1882, cinq ans après, le malade n'avait plus eu aucun accident nerveux depuis. Observation III. (Personnelle
l y eut de l'anorexie et de l'amaigrissement, puis sur- vinrent les accidents qu'on observe aujourd'hui, dans les membres inf
n dut l'aider à rentrer chez lui et on le coucha. A la suite de cet accident ,- il resta faible et sans sommeil une quinzaine
présenter concurremment avec des accès de type procursif divers des accidents procursifs dont quelques-uns semblent se rappro
us tard, persistent seuls. Il n'en est pas de même pour ceux où l' accident procursif n'apparaît que longtemps après le déb
après le début de l'épilepsie et chez lesquels il paraît être un accident isolé indépendant de l'accès, Tel est le cas du
ments fournis par la mère. Père naturel, plom- bier zingueur, pas d' accidents saturnins, sobre, mort de phthisie à l'âge de q
té le domicile conjugal. Sa mère a présenté pendant sa jeunesse des accidents convulsifs de nature hystérique. M. B... est l'
date de l'apparition des attaques de sommeil par rapport aux autres accidents hystériques dé- veloppés chez le même individu.
ion des phénomènes de la série hystérique chez un même sujet. Ces accidents nerveux antérieurs sont très variés, et il fau-
t-il par- faitement raison de décrire comme nous l'avons noté ces accidents sous la rubrique : «Variété de l'attaque par immi
ieurs heures, même une journée. » Joignons à cela la connaissance d' accidents antérieurs plus éloignés, d'ordre variable, et
rs plus éloignés, d'ordre variable, et la fréquence immédiate des accidents convulsifs, signalés par P. Richer, et nous pourr
aques de sommeil ne sont que très rarement le symptôme de début des accidents de la série hystérique, chez le sujet qui les p
aux données généralement admises en ce quiregarde l'explosion des accidents hystériques envisagés sous toutes leurs formes. N
indistinctement toutes les modalités psychopathiques ; ils sont des accidents spéciaux dans les condi- tions que nous venons
pagnés de fièvre élevée. Série d'exacerbations et de rémissions des accidents psychiques et nerveux; guérison graduelle presq
s années durant, les premiers phénomènes que l'on constate sont des accidents tabétiques. D'autres, au contraire, sont exclus
plusieurs dans lesquels ils ouvrent la scène exactement comme les accidents tabétiques : telle est, par exemple, l'exagératio
des extrémités; ce n'est alors que plus tard que le diagnostic des accidents cérébraux apparaît indubi- table. Dans ces cas-
années, un tabès avec absence de réflexes. Plus tard apparurent des accidents paralytiques du côté droit qui rétrocédèrent qu
s du côté droit qui rétrocédèrent quelques mois après ; finalement, accidents paralytiques du côté gauche permanents. Mort qu
e cervicale. A aucune période de la maladie il ne s'était produit d' accidents spasmodiques, et notamment d'exagération des ré
ré ? Prenons parallèlement le cas de Zacher 2 caracté- risé par des accidents spasmodiques extrêmes, les faisceaux pyra- mida
atteints de goitre exophthalmique surtout quand ils se plaignent d' accidents du côté de cet organe. SOCIÉTÉS SAVANTES. 129
rps restiforme d'un côté; i celui-ci parait n'avoir déterminé aucun accident pendant la vie. M. le professeur SCHOTTELlUS (d
rvations de dyslexie avec autopsie. Le terme de dyslexic désigne un accident intermédiaire à l'alexie et à la paialexie. L'a
té de la vision, ou troubles de la vue n'ayant rien à voir avec cet accident . Soudai- neté d'ailleurs delà dyslexie survenue
gauche, si l'on s'en rapporte à l'observation quasi simultanée d' accidents paralytiques, convulsifs, sensoriels et sensitifs
relatives à la dyslexie conduisent incontestablement à ceci. Cet accident , en apparence si insignifiant, si facile à confon
si fortement, qu'il ne put dès lors faire un pas. A la suite de cet accident , il recouvra enfin la raison, et, une fois son
t suffisant. Dans l'année qui vient de s'écouler, il n'y a eu aucun accident mortel, ni grave; il n'y a eu qu'une seule éva-
plusieurs fois, mais sans qu'elle durât plus de quelques jours; cet accident se passa sans qu'on ait eu besoin de recourir a
acta la syphilis; il s'était ré- gulièrement soigné et n'a pas eu d' accidents tertiaires. A l'âge de quarante-cinq ans, chanc
rouble chez une femme de cinquante-deux ans. La cause immédiate des accidents paraît être le plus souvent une émotion plus ou
ie, etc. Les procédés.mis en oeuvre habituellement pour la cure des accidents hystériques, la suggestion hypnotique, notammen
sseur de musique qui, en donnant une leçon à une demoiselle, eût un accident épileptique si léger que son élève ne s'en aper
t sur les personnes; un jour, la première fois qu'on a remarqué ces accidents , il a donné un violent coup de main sur l'épaul
e aux attaques de sommeil ne diffèrent pas des malades en butte aux accidents hystériques d'un autre ordre. Si même la résolu
elatifs à des malades nettement hystéri- ques, présentant plusieurs accidents de la névrose. » Sur le même plan que le transf
t (p. 422), l'attaque léthargique a paru avoir épuisé la source des accidents , car il y a eu de l'amélioration d'une manière
res variétés, l'attaque de sommeil peut laisser après elle nombre d' accidents plus ou moins tenaces; mais, pas plus que les a
us de la normale , fait important lorsqu'on est appelé au début des accidents . A rapprocher de cette hypothermie celle que l'
l n'est plus accompagné ou suivi d'attaques convulsives ou d'autres accidents hystériques. Il survient brusquement, de lui-mê
que joue le traumatisme dans l'apparition etle développement des accidents hystériques. Nous ferons remarquer encore que l
utanées de 0,25 l'une aurait provoqué 6 à 8 heures de sommeil, sans accident local, ni général. Koenig préfère l'ingestion g
contient les observations de plusieurs malades qui ont été guéris d' accidents divers (névralgies, vomissements, toux nerveuse
ent le contraste entre cette profonde démence apparente et le peu d' accidents somatiques (aucune hé- sitation dans la démarch
ilité de fournir des renseignements sur sa person- nalité ; puis, l' accident augmente à ce point, au cours des quatre semain
laquelle il se fracture le col du fémur. Il survient rapidement les accidents gangreneux du décubitus, des frissons, de la fi
s dif- ficile. Diverses causes démoralisantes sont plus graves; des accidents arrivent plus souvent parmi les malades, pendan
RT (Ch.). -Etude ntédico-légale sur les blessures produiles par les accidents de chemins de fer. Volume in-8" de 118 pages.- Pr
e toute altération chez des malades qui, de leur vivant, ont eu des accidents d'ap- parence tabétique. Des névrites multiples
mps en temps de ses douleurs aiguës dans les hanches, et resta sans accidents nouveaux jusqu'au mois de mars 1880. A cette ép
ulté à uriner et de faux besoins d'aller à la garde-robe. Quand ces accidents survenaient, il ne pouvait pisser debout; il ét
nts variés ayant été employés sans succès pour combattre ces divers accidents , Pur.. se décida à entrer à l'hôpital Saint-And
de dessin où il pouvait rendre des services, sans être exposé à des accidents . Il revint à l'hôpital en octobre 1883 et les n
reux et d'une bonne santé antérieure est pris, sans cause connue, d' accidents nerveux variés analogues à ceux qui caractérise
stante ou s'il est le résultat d'un simple trouble fonctionnel. Les accidents qui paraissent relever le plus sûrement des lés
ette paralysie faciale qui apparaissait, au premier abord, comme un accident imputable au froid, à une émotion ou à tout aut
système ner- veux. La paralysie faciale n'a pas été chez elle un accident isolé, c'est un trouble nerveux de plus à ajout
égative en ce qui concerne les ascendants et les col- latéraux, les accidents nerveux dont ont été frappés les deux enfants d
e souffre très souvent de violentes dou- leurs de tête. Pas d'autre accident nerveux à signaler. La paralysie faciale est su
bien portante. Antécédents personnels : Le malade n'a jamais eu d' accidents nerveux ; mais il nous dit qu'il est très impre
ste exclusivement le matin au réveil. La malade n'a pas eu d'autres accidents nerveux et parait, du reste, jouir d'une bonne
a syphilis. Au mois de mars 1881, trois mois après l'apparition des accidents syphilitiques, le malade s'est aperçu qu'il ne
bre des autopsies de malades atteints d'épi- lepsie procursive ou d' accidents procursifs est assez restreint, soit parce que
accès, et par suite dans le cas particulier on peut considérer les accidents procursifs comme constituant des accès incomple
Thomsen. (Arch, f. Psych., XVII, 2.) Revue, sans observation, des accidents somatiques ou psychi- ques suivants, survenant
se au milieu d'une foule compacte, un jour de grande cérémonie. Cet accident ne s'est jamais renouvelé. Au point de vue ps
; elle porte plainte au commissaire. Est-ce qu'en présence de tels accidents , d'un délire aussi nettement systématisé, de ce
ue, ni d'un paralytique général, et l'alcool n'expliquerait pas ces accidents . Donc c'est un saturnin qui, de par sa professi
ue (Berlin Klin. Wochensc/¡¡'îft, 1871). M. Folk. Des suites d'un accident de chemin de fer.- Le mécani- cien F... projeté
s de la cuisse. Intégrité du facial à tous égards. Légers oedèmes ; accidents du dé- cubitus progressifs, malléolaires, maras
ent à une névrite dégénérative périphérique du nerf médian, car les accidents , y compris la réaction dégénérative, n'ont pas
à une simple piqûre. M. Bernhardt présente une malade atteinte d' accidents faisant penser à une (altération centraleglioma
main du côté droit, de la parésie de la jambe du même côté avec des accidents spasmodiques, de l'anesthésie de la jambe gauch
il regarde fortement en haut; depuis un an il présente encore ces accidents sur un sol uni, ainsi que des céphalalgies occipi
ici ne vient plaider en faveur d'une affection cérébelleuse; pas d' accidents témoignant d'une action à distance, aucun phéno
, ébranle assez certains organismes prédisposés pour déterminer des accidents divers : ce sont les paralysies flasques ou rig
e vue éliolo- gique il est intéressant de noter la fréquence de ces accidents chez l'homme, alors que les diverses manifestat
on du placement, en prenant les précautions voulues pour éviter des accidents . Il dresse un procès-verbal des faits et le tra
43 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
d'elles a été précédée d'une violente secousse morale : un duel, — un accident d'automobile, — une vive colère, — une dispute de
nce à la somnolence, des préoccupations morales ; car, au moment de l' accident , le malade était menacé de poursuites judiciaires
rouble général de l'équilibre du système nerveux, auquel sont dus ces accidents particuliers. La médication hypnotique, soit en
. le Dr Pamart, professeur à l'Ecole de psychologie. Par suite d'un accident de mise en pages, une partie de la communication
euvent se joindre de mauvaises conditions de vie intra-utérine ou des accidents au moment de la naissance ou des premiers âges de
, chez des sujets prédisposés, l'occasion de l'explosion des premiers accidents nerveux. Mais l'objection me parait tomber lorsqu
véritables miracles, comme à Lourdes, dans le traitement de certains accidents locaux.tclles les contractures et les paralysies.
t indiqué. L'idée fixe est, en effet, à la base d'un grand nombre d' accidents hystériques, et, dans ces cas, elle en commande l
de " se livre sans cesse. M. Janet a été jusqu'à suggérer au sujet un accident réel, une contracture, par exemple, pour détourne
ui annonce un héritage de sept mille francs ; de cette femme dont les accidents cessent brusquement lorsque, dans la procession,
ire, un véritable changement à vue s'opère dans l'état du malade. Les accidents actuels disparaissent rapidement, l'idée qui les
ns le cerveau, avec d'autant plus de persévérance que la ténacité des accidents hystériques n'est, en somme, que la manifestation
rd Boores était muet et interné dans un hospice de Londres. Un simple accident vient de lui faire récouvrer l'usage de la parole
i rencontrée. On a tort de confondre trop souvent l'hystérie avec l' accident hystérique. 11 ne faut pas oublier pourtant que b
pnose, déterminer des paralysies ou des contractures hystériques. L' accident hystérique n'est que la manifestation extérieure,
adie. Il n'est même pas nécessaire pour que la maladie soit. De ces accidents , quelle est la genèse? Il arrive, parfois, qu'on
n, de l'autosuggestion, de la suggestion. Voilà comment se créent les accidents de l'hystérie. Mais les malades étaient déjà
jà des hystériques. La suggestion n'est capable de faire naître que l' accident ; elle n'est pas capable de faire naitre la maladi
ident; elle n'est pas capable de faire naitre la maladie, elle crée l' accident chez un individu déjà hystérique. Peut-être obj
, et que la suggestion faite par la mère est venue ensuite produire l' accident paralytique. Or le traumatisme n'a pas créé la
phrase malheureuse, et malgré le traumatisme, nous n'aurions pas eu d' accident hystérique. Telle est, du moins, l'interprétation
ts d'hystéro-traumatisme : on est hystérique avant d'être frappé d'un accident hystérique. Tous les hystériques sont-ils sous
influence suggestive. L'hystérique, ainsi préparé, est mûr pour les accidents ; qu'une suggestion survienne, faite par les paren
n même, ou bien que le malade s'autosuggestionne lui-même, et alors l' accident hystérique apparaît, ici une paralysie, là une co
ion. Certaines conditions sont ordinairement nécessaires pour que l' accident survienne ; lorsquelles font défaut, nous sommes
reste à l'état latent sans se manifester au dehors. II — Genèse des accidents hystériques. 1° Lorsque la maladie sous-jacente
intoxications, des infections, etc., l'hystérique est mûr pour l' accident , mais l'accident n'est pas encore constitué. 2°
des infections, etc., l'hystérique est mûr pour l'accident, mais l' accident n'est pas encore constitué. 2° Survienne alors
Survienne alors la suggestion ou l'autosuggestion et le phénomène, l' accident hystérique s'installe. Diagnostic différentiel
focation. De nouvelles émotions ont entretenu la répétition des mêmes accidents . Notons qu'une de ses grand'mères a la manie de
s de maléfices. En outre, l'imitation et la contagion font naître les accidents hystériques chez les prédisposés. Le Dr Terrien e
suggérer de toutes les façons possibles à la malade que c'était là un accident sans gravité et qui disparaîtrait rapidement sous
itement anodin, par des pointes de feu et des massages. Depuis, les accidents se sont amendés ; l'opérée marche très bien au bo
que. En effet, le sujet est un grand hystérique et présenta plusieurs accidents pathognomoniques de la grande névrose : la parapl
l semble bien qu'on soit en droit de la considérer comme un véritable accident hystérique. FOLKLORE ET SUPERSTITIONS POPULAIRE
matîsmes physiques ou moraux qui font, le plus communément, appel aux accidents hysiériques. — « Mais, le traumatisme, objecte-
a facilement la suggestion d'un trouble trophique, mais au moment des accidents hystériques, lorsque la névrose s'affirme à g
le cas cité plus haut de Szol-lôsy ; il intéresse une femme dont les accidents hystériques avaient précisément consisté en gangr
a d'autant plus aisé que l'hystérie sera en pleine floraison, que (és accidents seront surtout cut&nés et que, parmi les acci
aison, que (és accidents seront surtout cut&nés et que, parmi les accidents cutanés, ce seront surtout des troubles trophique
d'un enfant dont la santé est délicate et qui successivement fait des accidents pathologiques ? Est-ce que la fille-mère qui acco
re, le défaut grave d'amener du surmenage et de provoquer parfois des accidents du côté II) Nous pourrions encore citer la bicy
à eux-mêmes, mais aussi dangereux pour les autres personnes. En cas d' accident , c'est avec raison qu'on punira ceux qui se seron
a a slnistrose * Un des effets inattendus de la loi de 1898 sur les accidents du travail a été d'enrichir le dictionnaire médic
e par l'idée fixe qui s'emparait de l'ouvrier accidenté, que tout accident survenu au cours du travail constitue un dommage
d'indemnités que pour les incapacités qui sont la suite directe d'un accident du travail ; Attendu que l'incapacité dont l'ou
tendu que l'incapacité dont l'ouvrier parait atteint résulte non de l' accident , mais de l'opinion erronée que le blessé s'est fa
leur constituer une petite rente. De là à s'exposer bénévolement à l' accident il n'y avait qu'un pas. Qui pourrait prétendre qu
it courir aux malades et à leur entourage. On lui prédisait les pires accidents . A l'Asile Clinique, où il a cessé d'y recourir d
t Charcot a fait jouer à l'idée fixe dans la genèse de la plupart des accidents de la névrose, à la suggestion dans leur reproduc
ôle considérable de ces deux derniers facteurs dans la genèse des accidents hystériques et cela qu'ils se montrent sous forme
durée, par des -crises transitoires, des stigmates permanents ou des accidents paroxystiques. Les hystériques confirmés ne sont
ins un rôle capital dans la genèse de la plupart des stigmates et des accidents hystériques qui lui sont en quelque . sorte subor
Bérillon. Le malade est parti et le temps critique s'est passé sans accident . Il s'abstient depuis cinq mois de toute espèce d
dorsale des mains. Elles étaient apparues à la suite d'un très grave accident de voiture qui aurait pu lui coûter la vie. Cit
e Professeur Raymond. Voici un malade de 33 ans, ayant présenté des accidents nerveux, survenus dans certaines conditions très
ce exclusive de la persuasion. » Mais, je vous l'ai dit, il est des accidents hystériques qu'il est aussi impossible de pro
ce. C'est une erreur de croire que l'hystérique organise toujours son accident comme il le comprend. La plupart du temps il en v
rière. Mlle S., âgée de 19 ans, fut victime en octobre dernier d'un accident de voiture. Elle est tombée de voiture et a faill
pendues immédiatement et, dans la nuit, cette jeune fille fut prise d' accidents convulsifs à la suite d'un rêve qui représentait
prise d'accidents convulsifs à la suite d'un rêve qui représentait l' accident dont elle avait été victime. Elle criait : enleve
renouvellent toutes les nuits sous l'influence d'un rêve rappelant l' accident . Le 6 décembre 1907 la malade vient à ma consul
: « Vous n'aurez plus de rêve la nuit. Vous ne penserez plus à votre accident , vous De serez plus impressionnée par la vue des
lus à votre accident, vous De serez plus impressionnée par la vue des accidents de voiture, vous serez bien portante. » 27 déce
a disparition du réve, c'est-à-dire de la représentation mentale de l' accident et rinefHcacité de l'application de l'or ou de l'
t qui reproduisait le traumatisme initial : incendie, cheval emporté, accident de voiture, etc. Dans tous ces cas, j'ai remporté
é » et c'est sur ce fond mental qu'évoluent les divers stigma^ tes et accidents comme autant d'épisodes morbides passagers. Dan
r Pitres (de Bordeaux) « L'hystérie, dit-il, est une névrose dont les accidents très variés ont pour caractères communs : a. de n
e et véritablement précieuse du choc thérapeutique dans la guérison d' accidents nerveux provoqués eux-mêmes par un choc moral ;
agit d'une déformation consécutive à un écrasement de la phalangette, accident d'ailleurs fréquent, et cet ongle obsède la jeune
44 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e. Rôle de ces deux agents dans le développement et l'évolution des accidents nerveux : cumul des agents provocateurs. Mess
source, où il est repré- senté comme un << absinthique ». Les accidents ner- veux que nous avons décrits plus haut à sa
cercle, comme on le voit chez les hystériques ovariennes, tous ces accidents sont considérés là comme relevant directement d
ce. En 1885, à l'âge de dix-huit ans, il est victime d'un premier accident traumatique. Mais les temps n'étaient pas encor
trois semaines il était complètement guéri.. 1 En 1887, deuxième accident : comme' employé à l'Entrepôt des vins, il étai
t reprendre son travail. Il importe de relever qu'à la suite de cet accident les effets du shock nerveux n'ont pas cessé de
ant sur lui. C'est sur ces entrefaites, deux mois environ après l' accident , que se manifeste la première attaque hys- téro
ître : le grand ébranlement psychique (nervous shock) produit par l' accident du tonneau détermine un état nerveux permanent
'incendie se rallume et nous assistons à une nouvelle explosion des accidents convulsifs un instant endormis. Au contraire, n
técédents personnels. Rien dans l'enfance, réglée à quinze ans sans accidents , mariée à vingt-sept ans, a eu en dix ans sept
er les églises que depuis cinq ans environ. Pas d'obsessions, pas d' accidents hystériques. - Ménopause à quarante-sept ans. -
établi. Bien plus, la pathogénie de ces 3 ? PATHOLOGIE NERVEUSE. accidents a été formulée, et leur reproduction expérimental
importants, notre observation était con- forme à la description des accidents hystéro-traumatiques telle qu'elle a été donnée
rins et à une vive frayeur. Skey a observé un cas analogue après un accident de chemin de fer. Briquet a vu une paralysie co
celle-ci. - Mère : asymétrie faciale. A dix-sept ans, variole avec accidents cérébraux graves (délire, coma). Peu intel- lig
e, car la voiture traversant la foule, D... redoutait sans cesse un accident . Arrivée à destination, elle ressent, une fois.
t hallucinatoire qui, durant trois jours, n'a fait que reproduire l' accident supposé cause de la frayeur et des crises convu
rétrécissement du champ visuel, très accusé à droite, au début des accidents , tend à redevenir normal avec l'apparition de l
sant la part importante qui revient à la frayeur dans la genèse des accidents que nous étudions, il faut reconnaître qu'elle
et complètement impossibles, n'ait pu avoir dans la pathogénie des accidents paralytiques un rôle analo- gue à celui de l'im
ion des membres, leur-paralysie. Remarquons enfin que la fixité des accidents semble avoir été en rapport avec l'intensité du
gie gauche graduelle, papille étranglée bilatérale; tels furent les accidents . P. K. II. Un cas DE POLIO-ENCÉPAALO-MYÉLITE PR
parésie des fonctions sensitives sur la moitié gauche du tronc; ces accidents portaient surtout sur les impressions dou- lour
f à l'aide des bras; l'épaule droite porta. C'est à la suite de cet accident qu'il se développa une paralysie périphé- rique
ervation avec autopsie. Elle ne révèle aucun autre symptôme que les accidents classiques. Comme l'a dit Virchow, le diagnostic
xtrême vieil- lesse. A l'àge de dix-huit ans, il fut victime d'un accident se- rieux. Ayant pénétré imprudemment dans une
es se passent, sans que le moindre symp- tôme vienne lui rappeler l' accident ; puis, tout à coup le 16 avril z890, il y a jus
titude qui était vraisemblablement celle du malade au moment de l' accident . C'est vous dire que si- un projectile a pénétr
e trouve confirmée par ce qu'on observe parfois dans ces sortes d' accidents . En définitive, la balle pénétrant dans le corp
drer des phénomènes nerveux beaucoup plus graves que n'avait fait l' accident pri- mitif. Vous trouverez des renseignements à
l'usage d'aucun membre, d'au- cune faculté. Le dixième jour après l' accident , il fut pris d'un commencement d'hémiplégie dro
lessure, de ne remarquer aucun trouble physiologique consécutif à l' accident , ni pendant la durée de la présence du drain da
. Mais chez ces malades, le crime n'est, à proprement parler, que l' accident de la maladie. Il faut se souvenir toutefois qu
doit-il son état men- tal à une blessure reçue le 4 avril 1886 ? l' accident du 15 août 1887 y est-il pour quelque chose ? R
dose maximum qu'on ne peut dé- passer sans risquer de provoquer des accidents toxiques. On ne doit l'atteindre que par des au
evinrent de plus en plus violents. L'au- teur n'a jamais constaté d' accidents directement imputables au médicament. Monaz. ,
action persisterait pendant 3 à 5 mois, sans qu'on ait à déplorer d' accident , quel que soit l'état mental, même chez un viei
de délire alcoolique, suivis de guérison et après la disparition d' accidents subaigus, l'individu présente des modifications
typhoïde. 2° observation. - A. P., attaques d'hystérie antérieures, accidents délirants à l'occasion d'une fièvre typhoïde, d
s depuis cette époque. Ce n'est pas la fièvre typhoïde qui crée les accidents , les accidents vésaniques qui surviennent sont
époque. Ce n'est pas la fièvre typhoïde qui crée les accidents, les accidents vésaniques qui surviennent sont des accidents h
ée les accidents, les accidents vésaniques qui surviennent sont des accidents héréditaires, c'est de la folie en germe, la fièv
ilà donc un auévrysme très ancien n'ayant pas donné lieu à d'autres accidents qu'à une névralgie intense opiniâtre, cela quatre
'est qu'une apparence, car l'autre côté du corps est occupé par des accidents spasmodiques, qui masquent la catalepsie. L'é
tout temps présenté des anomalies marquées de la menstruation, avec accidents nerveux. Chez quatre d'entre elles, l'onde mens-
; ce symptôme survient en général quelque temps avant le début des accidents convulsifs et ne cesse qu'après leur dispari- t
antécédents héréditaires a été souvent négative au point de vue des accidents convulsifs. Quant aux antécédents personnels, d
naissance aux secousses de la tête ou les aggraver, mais comme les accidents peuvent faire leur apparition à un âge où la de
s tous les faits donnés par les journaux politiques, concernant les accidents occasionnés par les aliénés c'est dans le but d
père diabétique présenter un tremble- ment des mains, entre autres accidents nerveux. Il a vu chez les descendants des diabé
e à diabète, Lisboa, 1864. - Marchai (de Calvi). Recherches sur les accidents inflammatoires et gangreneux des diabétiques .
té par le gros orteil gauche où existe actuellement un tophus ; les accidents , qui sont restés longtemps cantonnés à l'orteil,
. n'a jamais eu la syphilis. En juillet 1889, il a été victime d'un accident de voiture : son cheval s'était emporté, il a vou
. Le malade fait naturellement remonter sa maladie actuelle à cet accident , mais quand on l'interroge de plus près, on s'ape
te influence, que des symptômes tabétiques existaient déjà et que l' accident n'a influé que sur l'apparition de la deuxième
ut de la falaise : comme il était seul, on ne put savoir si c'était accident ou nouvelle tentative de suicide. Lorsqu'enfi
térieure. L'affection dont l'enfant souffre est la conséquence d'un accident ,. d'un traumatisme sur- venu le i or janvier de
s de l'enfance. - Soeurs 1¡e¡'Veuses. - Frère débile. Soeur morte d' accidents céré- brait.- consécutifs à une rougeole. - Mar
Trois saurs, bien portantes; leurs enfants sont bien portants, sans accidents nerveux. Pas d'aliénés, d'épileptiques, d'hysté
nt qu'on dut le maintenir assis sur un fauteuil pour éviter quelque accident . - Vers midi il tomba dans un sommeil léthargiq
onnements d'oreilles. Pas de perte de connaissance. La durée de ces accidents est d'environ trenle secondes. - Il assure que le
le père et le grand-père du malade; des migraines chez la mère; des accidents nerveux , divers chez les frères et soeurs (hys
ration sur le cou; le troisième est bien portant et n'a jamais eu d' accidents nerveux. Il en est de même de ses trois enfants
lant pas jusqu'à l'ivresse, « c'est comme un tonneau J. Calme, sans accidents nerveux. [Mère morte il y a longtemps, d'une affe
ier malade : hérédité et alcoolisme. II. A treize ans, à la suite d' accidents qui l'avaient fortement impressionné, H... devi
iait de 1 à 2 grammes et l'auteur n'a observé que rarement quelques accidents consécutifs et toujours passagers, tels que ver
ope et de l'action hypnotique de la morphine, en même temps que des accidents consécutifs à sa pénétration dans le système ve
uels on l'applique, ce qui frappe, c'est qu'on la dirige contre des accidents spinaux. Puis il s'agit, notons-le, de déments;
que l'intensité des conceptions délirantes est en rapport avec les accidents spinaux; il n'est donc pas surpre- nant que la
la cuisse gauche. Il présentaitles signes d'un tabes-type, mais ces accidents étaient plus accentués du côté de l'extrémité lés
On constatait qu'il avait éprouvé des douleurs lancinantes avant l' accident , de plus, le callus de consolidation était celui
tion était celui d'un tabé- tique. Il était néanmoins évident que l' accident avait aggravé con- sidérablement l'ataxie. M.
s les cocaïnistes j'ai observé les mêmes symptômes; l'intensité des accidents dépend simplement de la durée de l'intoxication e
. Le rôle de cinquième roue de carrosse, utile seulement en cas d' accident , attribué jusqu'ici aux médecins adjoints est pou
as d'idiotie et d'imbécilité ont pour cause et sont le résultat des accidents au temps de la grossesse. Un autre pour cent co
Un autre pour cent considérable est dû aux fièvres infectieuses et accidents après la naissance. Toutefois d'autres cas sont d
société qu'il appartient de séparer ces derniers des délinquants d' accident et de leur appli- quer les mesures à la fois ra
menté qu'il était par la douleur aiguë et «déchirante» suite de c l' accident ». A la levéedu pansementà Il heures du soir, un
ès un second examen à trois heures du soir (dix-huit heures après l' accident ), toutes les petites vésicules s'étaient confondu
45 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e femmes enceintes à la clinique Baudelocque sans avoir jamais vu d' accident ni dans le présent, ni dans la suite : il donne
. M. Lahbé et 31. Drouardel font remarquer qu'il peut arriver des accidents aux opérateurs les plus soigneux et les plus ins-
rapeutique parlraenkel; la méthode n'est applicable que lorsque les accidents aigus sont calmés, que l'état est devenu stable
logique microscopique restreignent, d'année en année, le groupe des accidents mentaux sans lésions d'aucune sorte. Encore peu
e peut faire que des hypothèses pour ex- pliquer la périodicité des accidents et leur l'apport avec les modi- fications de la
omane à la suite d'ahstinence et qui ont rappelé de tous points les accidents épisodiques de l'alcoolisme chronique : accès d
tte observation des conclusions sui- vantes. Le diabète produit des accidents nerveux et mentaux. Tous les symptômes qui cons
108, boulevard Saint-Germain, Paris (6c). AVIS A NOS ABONNÉS. - Un accident nous oblige à 1le mettre que quatre feuilles da
nt, mais ici, entrent en jeu les altérations des tissus de soutien ( accidents pczra-toi-iaJ'ectieu). Ainsi la démence précoce
onditions très favorables, M. Taty ayant suivi la malade depuis les accidents syphilitiques se- condaires jusqu'à l'éclosion
générale qui né- cessita l'internement cinq ans après les premiers accidents syphilitiques et se termina par la mort après c
amortavaitétédue à des maladies infectieuses variées accompagnées d' accidents men- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEURO
uivies d'hémiplégie. On trouve tous les termes de passage entre ces accidents fugitifs et les « ictus» lacunaires. L'artéri
sa sénilité non seulement par des hémiplégies, des paraplégies,des accidents convulsifs, mais encore par des trem- blements,
variétés, paralysies etcontractures, troubles sensitifs, mu- tisme, accidents viscéraux, somnambulisme, état crépuscu- laire,
- ci ou se présentent spontanément sans aucune connexité avec les accidents convulsifs, réalisant ainsi un équivalent psychi-
hybrides, où il est im- possible de faire dans la psychogenèse des accidents le dé- 132 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET
peut compromettre le jeu pré- caire. - La pathogénie de tous ces accidents s'éclaire, si on la com- pare aux autres symptô
ît donc que, sous le nom de « crise laryngée », ont été compris des accidents complexes pouvant ressortir de la paralysie ou
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES 139 que. - La thérapeutique de ces accidents résulte de leur mé- canisme physiologique. Au m
e de guérison, la façon dont se comportent et réagissent les purs accidents hystériques. Dans le premier cas. chez une hyst
che de la face, du cou et de l'épaule gauche, remplacer une série d' accidents hystériques antérieurs qui ont commencé dix ans
e une hygiène spéciale et, dans bien des cas on pourrait éviter les accidents ultérieurs. Bestialité ET inceste. - A Annebecq
, par suite du dégoût qu'il inspire au bout de peu de jours, et des accidents de dénutriton qui résul- tent de ce manque d'al
qui résul- tent de ce manque d'alimentation. Ce sont ensuite les accidents d'intoxication par le brome qui apparaissent pl
s avons constaté, indépendam- ment du dégoût de l'alimentation, des accidents variés, les uns nettement sous la dépendance d'
insisterons sur ce dernier diagnostic d'état de mal, appliqué à des accidents caractérisés par la perte de connaissance, l'él
ont confirmé, déterminant toujours de l'hypothermie. Pour que des accidents aussi intenses apparaissent avec le régime ordi
ons de poids furent à peine apprécia- bles. Mais l'apparition des accidents de bromisme dut bientôt faire cesser le régime.
LE TRAITEMENT DE L'ÉPILEPSIE. 163 Ce furent, dès lors, une série d' accidents un peu analogues il ceux que nous avions observ
e, bien que cette bromuration n'ait point, dans ce cas, déterminé d' accidents graves d'intoxication. Le résultat de cette hyp
poser l'organisme, sans cependant amener les inconvénients et les accidents que l'on a signalés dans ce régime. Elles évite
trouve rien d'intéressant. Il va a cinq mois, il lui est arrivé un accident à la batteuse où il travail- lait. Une roue del
DE LA MOELLE 173 qu'il est revenu à l'état de santé antérieur il l' accident . Si on l'examine, on constate que la force dyna
dans les membres, s'accentuant de plus en plus. Trois mois après l' accident , il entre dans un hôpital départemental, avec u
mois après le début de la paralysie, c'est-à-dire une année après l' accident , le malade guérit complètement, après une cure
et dss incoordinatious du tronc inaperçues, donne la clef de tes accidents . Il en indiqueaussi le traitement. Par des exer-
a cer- tainement beaucoup trop grand; il risquera d'augmenter les accidents ; -en tout cas, il fatiguera les malades et les d
aud et ORRRTHUR (de Paris)apportent un nouveau cas de coexistence d' accidents cutanés spécifiques etde tabès franc qu'ils ont
e. L'auteur insiste surtout sur le rôle du foie dans l'éclosion des accidents éclampti- ques qui seraient de véritables accid
l'éclosion des accidents éclampti- ques qui seraient de véritables accidents d'intoxication. Il ratta- che les vomissements
SE. 223 dent qui l'amène. D'après L3abinsl : i, les caractères de l' accident hystérique sont : la reproduction par suggestio
.(ReV. de méd., n° de mai 1905.) On doit désigner sous ce nom les accidents cérébraux apoplec- liformes survenant plus ou m
e guère dé- crite que depuis la promulgation des lois relatives aux accidents BIBLIOGRAPHIE. 231 du travail : Bollinger,
é d'hémiplégie droite avec aphasie et albuminurie six jours après l' accident .Plus tard il eut des crises d'épilepsie urémiqu
r survenir chez deux sujets issus d'une grossesse gémellaire, des accidents psychiques analogues et presque contempo- rains
i est, affirme-t-il, la seule origine pathologiqueadmissible de ces accidents de la vraie folie gémellaire, accidents qui se
thologiqueadmissible de ces accidents de la vraie folie gémellaire, accidents qui se manifestent au même instant, suivent che
en risquent autant. Eh bien, ô étranger ! sais-tu la cause de ces accidents ? sais- lu que si les pensionnaires étaient sur
cela ne serait pas arrivé. On ne prête pas assez d'attention à ces accidents ; à peine le quotidien glisse cette phrase : «
ès réticent et très sournois depuis son entrée à l'Asile. Après l' accident , dans un interrogatoire -ultérieur, Madec a lin
lcoolique, quelques verres de vin même, suffisent à ré- veiller les accidents cérébraux. J'ai même vu, au cours de l'an- née,
ar suite d'une crise, elle tomba dans l'eau. Sa mère s'aperçut de l' accident dix minutes après et un voisin retira la malheu
droite siège d'une douleur assez vive. Très saisi au moment de l' accident , D ? devint tout pâle; il se demandait s'il n'a
ler le lendemain consulter le médecin. Rentré chez lui le soir de l' accident , il constata qu'il ne pouvait retirer seul son
t D ? de même que l'électricité «. Environ trois semaines après l' accident , le bras droit présentait une abolition totale
ertainement dans un temps difficile à préciser. Sept mois après l' accident , on ne fit plus rien; le bras fut considéré com
à l'état de veille et de l'isolement. Sept mois après le début des accidents , ceux des sou- venirs qui étaient restés encore
ression de Dupré, provoque l'appa- rition et détermine le siège des accidents hystériques. Le nombre, la variété des phénomèn
; par BOI,,ET (de \larseille). L'autour a observé une trentaine d' accidents dus à une décom- pression Iropbrusque, dont une
sion, et les scaphandriers connais- sent bien comme remède de leurs accidents légers la recompres- sion préconisée par Catsar
ne chutesur le vertex, chez un homme de 53 ans, lequel survécut à l' accident . B. fait justement remarquer que si la lésion d
. La pellagre donne lieu à un syndrome pseudo- paralytique dont les accidents cachectiques de la fin sont en tous points anal
depuis longtemps et surtout depuis quelques années, à l'occasion d' accidents particulièrement graves, 1 objet des préoccupatio
égarde et sera mort d'inanition. (L'Aurore, 25 juin 1906.) Triste accident . - L'autre soir, à .'IIanlilly, Louis Lelandais,
2). Antécédents héréditaires. - Père : mort à 33 ans, tué dans un accident de chemin de fer. On ne relève aucune trace de
ropre le jour et urine encore au lit quelquefois la nuit. Quand cet accident lui arrive, elle dit en riant : « Pas moi ? pas
L'évolution de ces symp- tômes est lente et suit parallèlement les accidents nerveux. Il est possible qu'ils soient une cons
tervention leur a permis d'obte- nir une amélioration manifeste des accidents méningés. Observation. Résumée ; olorrhée bilat
e de côté les faits de paralysie générale arthritique et les divers accidents lacunaires des vieux rhumatisants et s'oc- cupe
de l'ostéite déformante de Pajet peuvent figurer sur la liste des' accidents nerveux du rhumatisme chronique. G. C. L. Consi
rhumatisme chronique. G. C. L. Considérations pathogéniques sur les accidents nerveux du rhumatisme chronique; par \I..1. Lép
Dans trois autres observations il s'agit de malades présentant des accidents médullaires au cours d'un rhumatisme chronique
irréductibles, mais de malades à signes articulaires mo- dérés. Les accidents médullaires ne sont donc pas liés aux formes le
te et méningo-myélilo. Dans la première série d'observations, les accidents nerveux sont à localisation radiculaire, ce son
uteur,de voir s'arrêter et rétrocéder dès le dé- but ces différents accidents médullaires. G. C. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ
o-névrose. Dans un assez grand nombre de cas même, l'apparition des accidents névro- pathiquesest liée d'une façon étroite av
46 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
inement une grande généralité, elles s'appliquent à la majorité des accidents hystériques ; mais il est évident, d'autre part
laignaient pas, et qui cependant persistaient en même temps que les accidents ou même dans leurs intervalles. Ces symp- tômes
urs ont essayé d'appliquer aux stigmates la même explication qu'aux accidents et de les rattacher égale- ment à des idées fix
s accidentels. 1° Il y a toujours un événement précis au début de l' accident par idée fixe, ici nous ne voyons rien dans l'h
constater une idée fixe relative aux stig- mates. 4° La pensée de l' accident détermine la nature du symp- tôme, en d'autres
qu'on le croit. D'ailleurs ces phénomènes sont presque toujours des accidents par idée fixe.) Si les stigmates ont toujours c
malades. L'attention est lente à se fixer, pénible, s'accompagne d' accidents de toute espèce, s'épuise très rapide- ment et
n opposition avec les conclusions de nos précédentes études sur les accidents . Le dédoublement de la personnalité est bien pl
es anesthésies sont des symptômes moraux. Mais il existe d'autres accidents hystériques dont l'interprétation psychologique e
oyons pouvoir les ranger dans trois catégories principales : 1° les accidents viscéraux de l'hystérie; 2° les 1 DOl1kili. Hys
es vaso-moteurs et secrétoires; 3° les troubles tro- phiques. Les accidents viscéraux sont très nombreux chez les hysté- ri
ment fréquentes et jouent probablement un grand rôle dans certains accidents comme le tympanisme abdominal 2. Cepen- dant on
idents comme le tympanisme abdominal 2. Cepen- dant on sait que les accidents les plus nombreux portent sur le système digest
e, ne fait-elle pas rentrer sous le titre d'hystérie une quantité d' accidents qui appartiennent à d'autres maladies. Il est i
les autres. Nous n'aurions quelque hésitation qu'en songeant à un accident encore incomplètement analysé, l'automatisme ambu
déjà par M. Jules Voisina d'après les commémoratifs, la nature des accidents qui précèdent ou qui terminent l'état second. N
ixes, comme M. Charcot l'a établi autrefois, qui rendent compte des accidents de l'hystérie. Inversement, il est assez diffic
e retrouve chez ces malades au suprême degré, il joue dans tous les accidents un rôle capital : c'est ici, comme toujours, l'
roit elle-même- qu'il s'agit d'un trouble de la déglutition et d'un accident simplement phy- sique, on serait mal venu à déc
le rôle « d'agents provo- cateurs » et viennent manifester par des accidents cette pré- disposition latente : ce sont les hé
plus variés, d'apparence uniquement physique, c'esl-à-dire par les accidents . Si on veut résumer en deux mots cette définiti
t autres parties du corps, démence progressive, parole indistincte, accidents spasmodiques et finalement contracture, dysphag
elle du 25 octobre 1892. M. A. ROISNILOF. Névroses consécutives aux accidents . A la suite d'un coup de tonnerre qui éclata no
raumatique. Étude médico-légale sur les blessures produites par les accidents de chemins de fer et les trauma- tismes analogu
races aujourd'hui. Le malade fait remonter à trois ans le début des accidents ac- tuels. Vers cette époque, il a commencé à é
oup dans son travail. Peu de temps après les débuts de ces premiers accidents , les mêmes phéno- mènes se produisirent dans le
* que ,nous.ignorons, et le) mécanisme, et la localisation, de cet- accident extraordinaire. , > r1 r frl, .· ? 1 t) i* *
ra de bonne heure le tabès (ce diagnostic précoce prévient bien des accidents ), en¡ recherchant : '1 ? \ , ? t « ? ,') 1°' L'
Pas de troubles de la parole. L'iodure n'est pas supporté... Pas d' accidents convulsifs. Sensibilité^ tactile et à la Cou- l
ce' et'longue durée de -l'aphasie dans la. paralysie générale, sans accidents paralytiques -du côté des extrémités, sans hémi
erveau l'y invitait; - 4° la mortalité opératoire, sans compter des accidents graves, est beaucoup plus considérable que le d
dans la famille névropathique, et l'avoir extraite de la masse des accidents névropathiques. P. S. III. Contribution à l'éta
s malades; et Seguin donne des conseils minutieux pour aboutir sans accidents au résultat cherché. Il rappelle que les doses
n devra aussi diminuer ou sus- pendre le traitement bromure. Si des accidents de bromisme sur- viennent, on ne suspendra pas
r l'idée que l'excès d'aliments hydrocarbonés est cause de tous les accidents nerveux. Il recommande une nourriture forte, co
xication antérieure sur le mode de localisation et sur la forme des accidents hystériques. - 1888 : Arthralgie hysléro-trauma
infantile contractée 35 ans auparavant ; De la syringomyélie ; Des accidents nerveux provoqués par la foudre (1889) ; - Trai
s qui confirment notre manière de voir. Ce n'est pas que j'aie eu d' accidents toxiques aigus graves à déplorer, et cependant
ours opposé une vive résistance aux piqûres, mais il n'eut jamais d' accidents locaux. , Observation XIV. Félix Mauii..., tren
en avait assez de tout ce qu'il endurait déjà, mais il n'eut pas d' accidents locaux. Observation XV. - Henri Sau..., cinquan
iqûres étaient très douloureuses et lui abîmaient la peau; jamais d' accident local. 224 4 THÉRAPEUTIQUE. Observation XIX
lement doulou- reuses et une machination de ses ennemis, mais pas d' accident local. Observation XXIV. Pierre Toun..., tren
les piqûres qu'il déclarait douloureuses et toxiques, mais jamais d' accident local. Osbervation XXXV. - Urbain Rosen..., tre
e Paris) signalel'intoxication iodoformique comme- cause possible d' accidents délirants, post-opératoires graves et même de m
ronage. La responsabilité de la Com- mission de patronage, eu cas d' accidents causés par les aliénés sortis, a été le princip
pes de malades on pourrait peut-être, sans crainte d'incidents ou d' accidents graves, s'acheminer sûrement vers la colonie fami
avec exagération des fonctions cosmi- ques du moi et l'ensemble des accidents connus, qui tous sont loca- lisables en des zon
près l'influenza, se produire, à la suite des excès d'alcool et des accidents aigus ou subaigus., une véritable psychopathie or
provoquent des idées de persécution, sans idées de grandeurs, avec accidents anxieux consécutifs. Marche très rapide, guérison
use de tout le mal, sont des hallucinations élémentaires. Ces mêmes accidents , si graves de la folie systématique chronique n
riels. L'hypnotisme et' l'emploi de l'aimant firent disparaître ces accidents paralytiques y compris la parésie faciale (c'es
ontracture passa- gère des vaisseaux de l'encéphale qui produit ces accidents , peut devenir permanente et provoquer l'oblitér
M. Meige paraissent' être les mêmes qui provoquent l'éclosion des accidents hystériques'et neurasthéniques : émotions vives,
ue ce cas, unique en France, laisse bien loin derrière lui tous les accidents cataleptiques qui peuvent se produire de temps
éterminées. Un frère bien portant. Un frère mort à vingt-deux ans d' accident ; un autre frère mort pendant son ser- vice milt
es. Ou bien encore comme pour les autres troubles de cet ordre, l' accident est demeuré latent, existant en puissance, et sem
it ? « Une quinzaine de fois à peu près. » Voici la relation de son accident textuellement écrite par B... lui-même (l'ortho
e proprement dite. Mais après avoir précisé le lieu d'origine des accidents convulsifs, M. Hughlings Jackson s'efforce auss
c de bons instruments et une surveillance suffisante, les risques d' accident sont négligeables; le seul écueil, et il est ai
upilles étroites, yeux fermés, grincements de dents; pas de chorée; accidents gangreneux du décubitus; mort le 18 ; t =35,4.
casion d'examiner le cerveau d'un enfant viable, né à terme, mort d' accident après dix-huit heures d'existence. Cet examen a
dans ses antécédents héréditaires ou person- nels. ' Le début des accidents actuels remonte à sept ans environ. La malade q
: 1° que l'hypnotisme est une excellente méthode de traitement des accidents hystériques : paralysies, contractures, spasmes
RE PREMIER HYSTÉRIE CHEZ LES ENFANTS HYPNOTISABLES. GUÉRISON DES- ACCIDENTS HYSTÉRIQUES PAR L'HYPNOTISME Observation I. Aph
ieurs restaient tou- jours en demi-flexion. Appelé dès le début des accidents , je cons- tatai, en outre des phénomènes décrit
e facilité qu'autrefois. Depuis cette époque, il n'a présenté aucun accident nerveux. - A propos de ce dernier cas, il me se
l'autosuggestion. Le malade n'a rien présenté d'anormal depuis cet accident , c'est-à-dire depuis six mois. Observation II
ne tue jamais, et dont il est facile par l'hypnotisme d'enlever les accidents qu'elle peut produire. DE L'HYSTÉRIE EN VENDÉ
evient aussitôt; elle parle avec la même netteté qu'auparavant. Les accidents remontaient à huit jours. Ces accidents se repr
netteté qu'auparavant. Les accidents remontaient à huit jours. Ces accidents se reproduisirent plusieurs fois, je les fis di
on puissante de la suggestion pendant le sommeil hypnotique sur les accidents dus à l'hystérie. Chez un sujet hypnotisable, e
S NON HYPNOTISABLES OU QUI refusent d'être hypnotisés. guérison DES accidents hystériques par la suggestion A l'état DE veill
trois mois ces phénomènes avaient disparu. Il y a un an environ ces accidents reparurent; c'est alors qu'on me fit appeler.
ntéressante à plusieurs points de vue : 1° L'apparition tardive des accidents hystériques, soixanle-qua- torze ans; 2° Appari
ccidents hystériques, soixanle-qua- torze ans; 2° Apparition de ces accidents sous l'influence d'un traumatisme chirurgical ;
Observation I. Hët't'e. Neurasthénie. Guérison par hyp- notisme des accidents hystériques. Contractures. Persistance des trou
ue. A un moment donné elle peut à ce titre être frappée de certains accidents dont l'hypnotisme aura raison. Et si l'on n'y p
e de mes observations, je voudrais pourtant dire un mot de certains accidents hystériques que j'ai eu à consta- ter depuis qu
pas créé le mal ? Et ce mal créé par la peur ne pouvait être qu'un accident hystérique. J'ai examiné à nouveau ces malades,
montrer toute la puissance de la suggestion dans le traitement des accidents hystériques. Mais là se borne son action. L'hys
prétend bien que le neurasthénique est amélioré, guéri même de ses accidents par l'hypnotisme. Mais le neurasthénique est souv
ev bi , JJ 'it'r 4, p .. m ? IIB Pl7rtl8A 1 '11 \I,.l Hitzig. Des,, accidents consécutifs au sevrage^de la morphine et' L t,
orphine, suivent,la privation ,de' cet exci; 1 tant ressemblent aux accidents nerveux qui accompagnent la bas-3 ' p...T;- >
ant le sevi-a-e des morphinomane-, au point de permettre e com[ Iës" accidents *en question à ceux que'l'on permettre de compar
Iës"accidents*en question à ceux que'l'on permettre de comparer les accidents en question 1 ceux que 1 on observe dans, la ga
nce d'hémoglobinurie périodique ; la seconde est remarquable parles accidents rappelan , . tle ebnleus'syn-ipràtiq- ne de ' 13S
t périphérique. Le malade en ques- tion présente successivement les accidents suivants : en 1870, chancre douteux; en janvier
influence de l'électricité et des grandes marches. Ayant cessé, les accidents paraplégiques reparaissent.il ade l'aboli- tion
a chorée bilatérale congénitale. L'auteur fait une grande place aux accidents obstétri- caux (traumatisme pendant la naissanc
B.) 504 bibliographie. que M. Rosenthal arrive à conclure que ces accidents ont pour cause « différents processus morbides
47 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
de l'hypnotisme dans l'enseignement officiel. Dr Edgar Bérillon. ACCIDENTS HYSTÉRIQUES GRAVES SURVENUS CHEZ UNE FEMME A LA S
ajuste titre, lui imputer. Ceux-ci arrivent parfois à constituer des accidents morbides réellement sérieux et d'autant plus regr
naissons aujourd'hui. Le mutisme n'est pas, tant s'en faut, le seul accident hystérique que nous ayons à relever chez notre ma
ces les plus fâcheuses, puisqu'elles ont provoqué la réapparition des accidents nerveux qui, cette fois, se sont produits sous un
. D un autre côté, nombre de faits ont établi parallèlement que les accidents que nous signalons ne concernent pas seulement le
a population, l'affolèrent, et déterminèrent par-ci, par-là, quelques accidents plus ou moins sérieux. La manie d'hypnotiser péné
eurs élèves pratiquèrent l'hypnotisme sur leurs camarades et quelques accidents nerveux s'ensuivirent. Le principal du lycée mi
uant à l' hypnotisme produire sur eux-mêmes, ou surleurscamarades,des accidents plus ou moins graves. Ainsi, à Brcslau, lors du p
animales, son objet est de conduire le corps, de le garantir de tout accident , de veiller continuellement à sa conservation. Le
MM. Charcot et Paul Richer (1). On sait quelle est la gravité de ces accidents épileptiformes ; on sait aussi combien la thérape
ains cas. cette compression a été faite avec une telle force, que des accidents graves ont été notés. M. Comby a publié un cas de
ptômes. Cette supposition serait légitime, s'ils ajoutaient que ces accidents seront imputables surtout aux médecins qui auront
d'acquérir de l'expérience aux dépens de quelques malades. Encore ces accidents constatés n'ont jamais dépassé les limites d'un s
(1). chez des individus manifestement hystériques que surviennent les accidents : mais d'autres fois, au contraire, c'est sous les
as peu surpris d'assister, un matin, au transfert inopiné de tous les accidents à gauche, et put surprendre \î secret de leur nat
ose en plaques, à laquelle de ces affections peuvent se rattacher les accidents ? — D'une manière précise, à aucune. D'autre pa
ificatif pour trancher la question. En ce qui a trait à la genèse des accidents , le rôle de la névrose serait, sur celui de l'int
te : « Les séances publiques d'hypnotisme sont certainement cause d' accidents ou de scandales qu'il importe de faire cesser. Le
Pour ma part, après des centaines d'hypnotisations faites sans aucun accident , je crois pouvoir me ranger à l'opinion de nos co
dra s'abstenir de tentatives d'hypnolisatïon, si l'on veut éviter des accidents . En tout cas, au moyen de procédés plus violents
es hystériques elles conservent une inlluence énorme sur la forme des accidents ?» A mesure que les faits d'observation s'accumule
fluence que l'intoxication peut exercer sur la forme particulière des accidents ; un certain nombre de faits nous ont démontré que
e spécifique Ils sont l'occasion et impriment un cachet déterminé aux accidents . Quant à ceux-ci. il se peut qu'ils n'éclatent qu
que de répéter ce que tout le monde sait, je dirai donc, qu'outre les accidents nerveux immédiats qui peuvent frapper les sujets
tre confrère, je suis appelé en toute hâte à l'hôtel .du Nord pour un accident grave, me dit-on. Je suis reçu par un monsieur qu
e rien obtenir. Le temps pressait. l'absoption devait se faire et des accidents graves ne devaient pas tarder à se produire. |e d
perdre ses caractères. Je le rassurai alors sur les conséquences de l' accident , conseillant d'administrer une infusion aromatiqu
s femmes présentant les symptômes de l'hystérie confirmée et dont les accidents utérins relèvent de cet état pathologique. Chez c
l prouve nettement la possibilité de l'anesthesie chloroformique sans accidents , pendant le sommeil, au moins chez l'enfant. Pr
et caractéristique de l'intoxication par le plomb, avait pensé à des accidents saturnins. La malade avait, en effet, quelques (O
ence. Il s'agit d'une hystérique de quinze ans qui, à-la suite d'un accident de voiture, avait été subitement frappée de parap
utre cas qui me parait très instructif à cause de la longue durée des accidents qui ont cédé à la suggestion hypnotique. Il est
la dernière fois et que jamais elle ne serait la victime d'un pareil accident . A la suite de cette seconde séance. Mme X.... do
u chloroforme cher un certain nombre de sujets, et par conséquent les accidents qu'il peut déterminer. Il y a quelques jours à
Ce n'est pas tout encore. Oui certes. Il faut bien revenir sur les accidents de l'hypnotisme. 11 ne sont pas niables, et les
isse supposer le malade lui-même assez insensé pour être l'auteur des accidents par auto-suggestion ? Mais ce serait contraire A
ssieurs, la suggestion n'a rien à faire dans ces infortunes, dans ces accidents , dans ces malheurs de l'hypnotisme. Non certes,
z lui aucune intoxication A invoquer en dehors du tabac, et comme les accidents disparurent sous l'influence de la thérapeutique
nts disparurent sous l'influence de la thérapeutique assez banale des accidents hystériques (agents cestniogènes, etc.) j'en conc
pations 4 sa sortie oe l'hôpital a eu progressivement une rechute des accidents pour lesquels je Pavois dèja traité. Occupant d'a
en ce moment que de l'anesthésie partielle. Ce malade prétend que ces accidents sont assez fréquents a la manufacture des tabacs,
rt possible : je n'ai cependant rien trouvé en dehors du tabagisme. Accidents nerveux provoqués par la foudre Dans une de ses
lques égards, comparables au choc de la foudre par la soudaineté de l' accident , le caractère terrifiant des circonstances, par l
développée cheï lui i l'occasion de la fulguration. Mais, tous les accident » nerveux qui ont été observés dans ce cas, sont-i
victimes un terrain prédisposé, peuvent déterminer le développement d' accidents hystériques. La foudie doit donc figurer parmi le
conclure ce qui suit : 1° Dans les cas de fulguration, en outre des accidents nerveux qui relèvent directement de la commotion
ion, en effet, ne se fait pas sans fatigue et peut même provoquer des accidents . (b) J'ai voulu constater si le chaud aux pieds
ue je pratique mon exercice d'auto-suggestion pour avoir des idées, accidents DUS a l'aUTO-SUGGESTION. Les accidents provenan
tion pour avoir des idées, accidents DUS a l'aUTO-SUGGESTION. Les accidents provenant de la pratique de l'auto-suggestion son
ux pas développer ce sujet, je veux cependant faire connaître que ces accidents existent. Je ne citerai que le cas suivant de c
e, prudence, et une bonne observation de soi-même, ne développe aucun accident , pas plus que l'hypnose pratiquée avec sagesse et
teur P. BUROT. Professeur à l'École de médecine de Rochefort. Les accidents morbides qui relèvent de l'hypnotisme sont de plu
plus ou moins directe des manœuvres pratiquées par l'opérateur. Ces accidents , signalés par divers observateurs ci étudiés par
ut d'amusement esta la lois immoral et dange- est une autre sorte d' accidents qu'il importe de connaître. Il peut arriver qu'on
rriver qu'on soit surpris, au cours d'un traitement régulier, par des accidents qui relèvent du sujet lui-même, par une sorte d'a
cablantes. C'est donc bien l'auto-suggestion qui a été la cause des accidents céré-braux. On pourrait jusqu'à un certain point
croyance au surnaturel. Il faut être prévenu de la possibilité de ces accidents ; ils imposent l'obligation de préparer les sujet
troubles mentaux, jamais par contre, n'a jamais, provoqué le moindre accident . L'insinuer serait une véritable imputation cal
s les moyens, surtout quand on veut éviter des scènes pénibles et des accidents possibles, le troisième moyen de violence, qu'on
er, si dans certains cas, i! n'aurait pas été possible d'empêcher les accidents consécutifs de se produire. HOSPICE DE LA SALPÊ
parties. la douleur, la chaleur, l'inflammation, et, de ces derniers accidents , les différents désordres dans les fonctions de l
, la catalepsie, la folie, là perte des sens, la paralysie, et autres accidents semblables. « Il est vrai que la négligence â c
t, ce sont certains malades qui eux-mêmes, font remonter le debut des accidents mentaux ou nerveux dont ils souffrent à des manœu
ouvrier très habile dans une profession qui confine à l'art. Quelques accidents rhumatismaux depuis de grands froids supportés pe
nous a été répondu au ministère de la guerre, qu'aucun acte, qu'aucun accident survenu dans les hôpitaux militaires n'est venu j
n empêcher le retour, il doit assister impassible à tout le cycle des accidents convulsifs. La modeste pilule mica partis, inoffe
ne grande frayeur. A partir de ce moment, elle a été sujette à divers accidents nerveux. De plus, elle avait de l'ovarie du côté
taque de nerfs, et, après l'attaque, on voit souvent réapparaître les accidents qui avaient disparu par la suggestion. Mais j'ava
que les praticiens, entre tes mains de qui l'hypnotisme a produit des accidents — d'ailleurs généralement peu graves — en sont eu
lement par leurs troubles sensitivo-sensoriels, non seulement par les accidents convulsifs à répétitions fréquentes qu'ils nous o
se plaindre de céphalagie, de gastralgie, de vomissements, et autres accidents nerveux. Les lèglessont à peu près régulières ;
ible et violent. Elle, mariée à dix-sept ans, a eu six enfants sans accidents de couches. Mme A... a reçu dans sa jeunesse un
icultés qui viennent l'assaillir. Quinze années se passent avec les accidents hystériques les plus variés, sans que Mme A... vi
eux qui. en plus de ces stigmates permanents, présentent la série des accidents variés: attaques, état de mal, etc. constituant l
dicaments ont déterminé, et ne cessent de déterminer chaque jour, les accidents les plus redoutables. Si on voulait relever les c
sur la berge qu'après vingt minutes de recherches. Ce qui rend cet accident tout à fait singulier, c'est que la jeune fille,
des états de conscience, il a pu faire disparaître des crises et des accidents dont un traitement purement somatique avait vaine
nd tact et l'énergie seuls de ce maître expliquent l'absence totale d' accidents ou de phénomènes détavocables dans ses expériment
utisme, comme il arrive fréquemment, se produisit chez elle a titre d' accident hystérique mono-symptomatique- La malade était pe
chez une dégénérée (guéris par suggestion), par Roubi-nowitch, 244. Accidents hystériques chez une femme à la suite d'hypnotisa
es inférieures de l'activité normale, par Pierre Janet, 14. Foudre ( accidents nerveux provoqués par la), par Charcot, 156. Fo
48 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
sa famille, les renseignements qui suivent : Son père est mort d'un accident , alors que sa mère était enceinte d'elle depuis s
.— Convulsions à 41 mois. — Hémiplégie à gauche. — Peur vive suivie d' accidents épileptiques ans).— Menstruation.—Aggravation des
nnée par les tentatives obscènes d'un individu ivre, elle fut prise d' accidents qu'elle caractérise ainsi : chaleur par tout le c
Une fois par an, L... est sujette, durant vingt-quatre heures, à des accidents bizarres : les membres paralysés se contracturent
urtout par de la loquacité et des divagations. Elle dort, et tous ces accidents disparaissent sans accès épileptique ni convulsio
nous nous occuperons encore, nous retrouvons toujours la même série d' accidents : 1° Convulsions affectant les allures d'un état
vre l'exposé des faits, arrêtons-nous dès maintenant sur les premiers accidents qui (1) A 17 mois (Obs. Il) ; — à 7 ans (Obs.
e observation, qui semblerait indiquer une affection congénitale, les accidents primitifs, à savoir les convulsions, se montrerai
En ce qui le concerne personnellement, il déclare n'avoir jamais eu d' accidents nerveux ou syphilitiques ; il jouit d'une bonne s
tombe quand on le soulève, que l'enfant ne s'en sert pas. Puis, les accidents aigus produits parles convulsions ayant disparu,
it eu d'affections nerveuses.] Mère : bonne santé habituelle; pas d' accidents nerveux, pas de rhumatismes. Migraines jusqu'à la
de consanguinité. 9 enfants (1 ) : 10 garçon mort en nourrice d'un accident ; 2° garçon mort à 6 semaines, on ne sait de quoi
pointe du pied. A cinq ans, taenia; à cette époque,elle bavait et cet accident aurait persisté pendant une année. —Croûtes du cu
455.¦ attacher pourtant une grande importance, car l'ensemble des accidents observés chez notre malade sont dus à une lésion
on qu'on a déclaré être un rhumatisme du col de la vessie, mais pas d' accidents syphilitiques. Pas de maladies nerveuses. [Père,
qu'elle était seule, elle se balançait, se frottait, etc. Jamais d' accidents scrofu-leux. — Elle a pissé au lit, de temps en t
ragments d'os. Rien de pareil sur le reste du corps. On ignore si cet accident a modifié les accès. On se rappelle seulement qu'
ravant, était, dit-on, magnifique. Réglée à 14 ans, sans le moindre accident , les règles ont été régulières jusqu'à son admiss
pas l'aspect des cicatrices consécutives à des nécroses. Est-ce là un accident qu'il faut rattacher à la paralysie? S'agit-il là
enu un mois après le premier. — Les règles, qui se sont établies sans accident , ont paru quelques mois plus tard, vers 13 ans et
à gauche et la malade a beaucoup de peine à parler. L'eosemble de ces accidents constitue un accès incomplet. Dans un accès com
est conservée. Depuis longtemps, nous n'avons eu à relever aucun accident particulier vers les organes pulmonaires. A droit
mettre bien en relief les caractères qui autorisent à considérer les accidents que nous avons décrits comme appartenant à une fo
enfin rendit environ un verre et demi de sang. Eile entra, pour ces accidents , à l'hôpital Cochin où on la conserva deux mois (
à elle. Ces crises durent, au plus, une minute et demie. Outre ces accidents , on note encore des secousses rapides comme des s
... revient à elle sans rien éprouver de particulier. En avril, aucun accident ; — en mai, 6 attaques épilep-tiformes ; — en j
la jambe droite ; — contracture dit bras droit ; — disparition de ces accidents . — Perte de la notion de position ; ataxie. Eff
nce d'une pleurésie. [Son père aurait eu une paralysie. — Aucun autre accident nerveux dans la famille.] Mère, 41 ans, domesti
travers du dos et y demeure contracture entre les crises. Ces deux accidents : torsion exagérée du cou et delà tête, contractur
— Hier, pendant toute la journée, X... a été calme, n'a offert aucun accident . Ce matin, elle a quelques mouvements incoordonné
e secousses des bras et des épaules : chloroforme, disparition de ces accidents . 27 mars. — X... est remise de ses secousses et
es époques, plusieurs semaines, plus d'un mois même, sans avoir aucun accident convulsif. I. — Si nous entrons dans des détail
leur et le gonflement diminuèrent; tout se dissipa en huit jours. Ces accidents n'ont jamais reparu. Les attaques, en général t
nuit, le cuisinier nègre de la maison. 26 juin. — A... est prise d' accidents d'un genre particulier : oppression très-marquée,
10r octobre; — du 21 au '28 novembre ; — du 12 au 16 décembre. Les accidents convulsifs, maniaques, etc., n'ont point paru inf
(Obs. III), nous l'avons rencontrée chez les ascendants. II. — Les accidents ont suivi une marche progressive, au point de vue
caractères propres aux tumeurs squirrheuses ou fibreuses (1). » Les accidents locaux de l'hystérie induisent souvent les chirur
a fait ressortir les dangers d'une intervention chirurgicale dans les accidents de ce genre, en particulier les contractures hyst
tembre. Plusieurs fois auparavant, la malade avait présenté les mêmes accidents . Le second cas de M. Liouville concerne une fem
curvation du tronc, 145. Injections hypodermiques ^atropine, 103; — Accidents , 105; — de morphine, 141. L Langue (Contractu
49 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
inal. L'hémiplégie fa- ciale, toujours en corrélation avec d'autres accidents nerveux existant soit chez le sujet lui-même, s
ngt à vingt- cinq minutes, il eut des sanglots bien nets ; puis les accidents se dissipèrent, il se remit de son émotion en p
verre d'eau-de-vie auquel il paraissait accoutumé. Il avait de ces accidents plus ou moins fréquents depuis trois ans et les
ois, il devint très dyspeptique, puis tout d'un coup éclatèrent des accidents hystériques très violents. Il vomissait réguliè
nistrées avec beaucoup de constance, ont amené la disparition des accidents . En plusieurs années ils n'ont été observés que
santé fut fort délabrée, depuis l'alcoolisme il n'avait plus eu d' accidents convulsifs, et les vomissements étaient devenus
e je le dirai plus loin, ils pa- raissent engendrer communément des accidents hysté- riques qui jettent un jour fort intéress
indigènes, sont entourés de beaucoup de précautions pour éviter des accidents . Ces individus agi- tés, hors d'eux, ivres, qui
uses.Or, c'est là une assertion absolument contraire aux faits. Les accidents sont rares parce qu'ils prennent les plus grand
pproche delà précédente nous paraît concerner un cas de chorée avec accidents procursifs concomitants. Nous l'aurions même éc
gnée. Le malade succomba cinq heures après l'invasion des premiers accidents , et ne fut pas observé pendant les deux dernièr
maine ; enfin, depuis deux mois, c'est-à-dire depuis l'apparition d' accidents choréiques qui constituent aujourd'hui l'élémen
t certaines parties du corps. Pendant les jours qui ont précédé cet accident , elle a eu très souvent ses accès, ses idées ét
té gauche de- la face et du corps ; pendant huit à dix jours, les accidents se sont bornés là ; puis la jambe droite a été pr
le bras et tout le côté droit ont été agités à leur tour ; mais les accidents ont été toujours plus intenses du côté gauche q
re (trois mois après le début) on constate une différence entre les accidents des deux côtés du corps. La maladie a fait de r
au contraire causée par ce nouvel élément morbide ; ou si tous ces accidents ne sont là que comme coïncidence. -. Tous les t
tre siècle, c'est-à-dire durant une période où l'on considérait les accidents que nous étudions comme appartenant à la chorée
e trois ans et demi, à la suite d'une vive frayeur, fut frappée des accidents propres à la chorée. A neuf ans, cette maladie
ent, si ce n'est do l'anorexie et la cessation complète de tous les accidents carac- téristiques de la chorée. Le quatrième j
a longue durée de la maladie, les accès pro- cursifs fréquents, les accidents tétaniformes qui les accompagnaient, la rémissi
, situées à une assez grande hauteur. Jamais il ne lui est arrivé d' accident . Au moment de sa crise, on le voit courir préci
s épileptiques. Il s'agirait en un mot d'une épilepsie réflexe. Cet accident est certainement plus rare que les vertiges et
du traumatisme ou de la compression; dans ce cas, au contraire, les accidents sont survenus spontanément et paraissent devoir
1887. « Nous nous proposons seulement de montrer la place que les accidents extérieurs de la névrose hystérique ont prise dan
lades dans des cabanons, sans soins, sans traitement, exposés à des accidents de tout genre. Nulle ' Cette pratique existe da
rusquement certains ' organismes prédisposés peuvent déterminer des accidents divers, d'ordre pure- ment psychique, caractéri
contracture) et le choc. C'est d'ordinaire plusieurs jours après l' accident que se montre l'impotence fonctionnelle; tout d
ou- vement et de la sensibilité survint cinq ou six jours après l' accident . (Voir Charcot, 111° vol., 20e et 21' le- çons.
e, et ce n'est qu'après la levée de l'appa- reil, deux mois après l' accident , que l'on constate une monoplégie brachiale, év
plégique. Il reste incessamment sous le coup de l'impression de son accident , dont il évoque le souvenir dans ses rêves. O
essité de garder la main en écharpe pendant une dizaine de jours. L' accident en lui-même fut insignifiant. Cependant, à pa
e pour les paralysies psychotraumatiques : néanmoins la durée des accidents prémonitoires (fatigue douloureuse des DES MONO
, c'est la grande attaque qui commence avec son cortège classique d' accidents sensitifs, sensoriels et paralytiques; la monop
uis rapidement se produit une conva- lescence complète, et tous les accidents se bornent comme par lé passé, à des troubles d
d'origine psychique ^ il n'est pas jusqu'à ce brusque transfert des accidents de membre droit au membre gauche, qui ne soit e
s que la syphilis, quand elle atteint le cer- veau, y détermine des accidents qui peuvent jusqu'à un certain point simuler la
ême étendue et le même siège. Une gomme cérébrale, quelque graves accidents qu'elle ait déterminés, guérit par le traitemen
j'ai toujours constaté que les spécifiques font dispa- raître ces accidents réellement vénériens, mais res- tent sans influ
riole, la diphthérie, la fièvre typhoïde, il se produit souvent des accidents paralytiques, principa- lement dans les membres
lcoolique, a succombé à une affection génito-urinaire. Mère morte d' accidents pulmonaires sans avoir jamais eu d'affection ne
; sa mère est morte quelque temps après sa naissance, à la suite d' accidents puerpéraux. En 1870, étant âgée de six mois, el
xcès de boisson. Mère, soixante ans, n'a jamais été malade, pas d' accidents nerveux. Trois frères ; un poitrinaire, faisait d
t le sang à la tête. Quatre freines, l'un est mort en huit jours, d' accidents cérébraux con- sécutifs, à la peur des Prussien
; un est marié, a quatre enfants en bonne santé et n'ayant pas eu d' accidents nerveux. Les deux derniers frères ne sont pas m
263 prendre, il devenait d'abord très pâle, puis rouge après. Ces accidents venaient irrégulièrement, quelquefois deux fois p
rvenant à l'occasion d'un trauma- tisme pourront entraîner, quand l' accident résultera d'un service commandé, ce que l'on ap
a malade a guéri mais n'a jamais depuis retrouvé le souvenir de son accident , ni des événements accomplis pendant la durée d
en présence d'un état aigu, la préparation a été longue. Semblables accidents ne sont en effet que la manifes- tation d'une l
erveau, par inflammation de la table in- terne et des méninges. Les accidents épileptiformes durent en- core ; le dernier, ob
céphalalgies. Les jours suivants, règles; gaîté ; bon appétit sans accidents . Les 27 et 28, six accès de perte de connaissan
s d'épilepsie larvée, de l'hébétude, de l'af- faissement, enfin des accidents caractérisques dans le fonds de l'oeil. Cette t
énés. La perte de la parole, abstraction faite de l'aphasie, est un accident assez fréquent chez les aliénés; on la rencontr
e d'observations comprend des cas ressem- blant à s'y méprendre aux accidents déterminés par des lésions cérébrales ; les suj
in nombre de cas sont mention- nés dans lesquels l'apoplexie et les accidents consécutifs offraient tous les attributs des ph
au 304 BIBLIOGRAPHIE. résumé des caractères qu'elle revêt et des accidents auxquels elle donne naissance. Toutes les forme
r de l'existence et des caractères de J'attaque apoplectique ni des accidents qu'elle entraîne et qui forment le sujet princi
mental déprimé très fréquent et permanent, on voit survenir divers accidents inter- mittents : le vertige, les hallucination
assez bonne, a joui d'une bonne santé habituelle jusqu'au début des accidents actuels. Toutefois, nous trouvons dans ses anté
efois à garder le lit. Pendant la puberté, elle ne présente pas d' accidents chloroti- ques, mais elle est sujette à des tro
lus ni coudre ni lire. Un léger purga- tif lui est prescrit, et ces accidents disparaissent au bout de quel- ques jours. Le
de convulsions; mais, depuis trois ans, il serait sujet à de petits accidents cérébraux que l'on décrit ainsi : yeux fixes, p
liers que pieds nus. Observation II. Père très nerveux, sujet à des accidents probable- ment épileptiques (vertiges ]JI'oeurs
ive à onze gouttes le 28 décembre. Pas de symptômes généraux, pas d' accidents locaux, sauf de petites indurations avec la sol
ilogr. 70 ; taille, 1 1 janvier. 4 gouttes de liqueur de Fowler. Ni accidents lo- caux, ni accidents généraux. Les symptômes
janvier. 4 gouttes de liqueur de Fowler. Ni accidents lo- caux, ni accidents généraux. Les symptômes choréiformes ne paraiss
e à indiquer par signes ce que les autres font, et avertit en cas d' accidents . Il avait pris en affection nne personne du ser
de dans sa chute et que c'est celte chute seule qui a déterminé les accidents qui ont amené la mort. Ici, c'est le malade qui
i ont amené la mort. Ici, c'est le malade qui a été la victime de l' accident ; il aurait pu ar- river aussi, et ce n'aurait p
u au moins l'amélioration de nos malades, de prévenir souvent des accidents auxquels ils sont exposés par leur affection. J'a
eur affection. J'ai eu l'oc- casion de vous énumérer ces différents accidents et je ne revien- drai pas sur ce sujet; je veux
50 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ymptômes d'une paraplégie. Ce fut seulement dix-huit mois après cet accident que D... recommença à marcher, d'abord avec des b
ont contribué à cette sorte d'aban- don. Tout d'abord, ce sont les accidents mortels, occasion- nés par la pendaison. On com
cas d'Erb; un cas de Remak; un cas d'Erb, etc. « La plupart de ces accidents se sont t produits à la suite de la pendaison,
Il est évident que ce n'est pas le procédé qui est la cause de ces accidents , mais son application vicieuse' ». Ce savant ne
lus de 20000 suspensions et affirme ne jamais avoir eu le moindre accident à déplorer. Néanmoins, les accidents produits par
e ne jamais avoir eu le moindre accident à déplorer. Néanmoins, les accidents produits par la pendaison eurent lieu et malgré
t aux malades eux-mêmes, ce qui futl'une des principales causes des accidents mortels publiés. Outre les accidents mortels, l
e des principales causes des accidents mortels publiés. Outre les accidents mortels, la pendaison occasionna des nombreux i
rusque lui cause des tourments, de l'angoisse, se terminant par des accidents , allant jusqu'à l'étouffement. Fig. 4. 2b THE
nce des matières, exagération des réflexes tendineux, etc. Tous ces accidents doivent être attri- bués, d'après l'auteur, à u
Un enfant de trois ans et demi fut atteint au cours d'une grippe d' accidents comateux, puis de parésie des bras et des jambes
n était notablement exagéré des deux côtés. L'auteur attribue ces accidents à des lésions nerveuses détermi- nées par la to
accompagnée de tremblement puis de ptosis de la paupière droite. Accidents transitoires qui devinrent permanents avec strabi
mbolus. Une thrombose ? La soudaineté et la subite délimitation des accidents d'un seul coup l'excluent d'emblée. La notable ét
re, et il avait cer- tainement absorbé de l'aniline, par suite d'un accident . Prodromes : malaise général, troubles de coord
al, troubles de coordination des jambes. Puis, trois heures après l' accident , coloration bleuâtre de la peau et phéno- mènes
organes sensoriels. Une observation à part' montre l'apaisement des accidents tabétiques déjà anciens du fait d'une paralysie
mures, co- déine, et de sédatifs du coeur a amélioré l'ensemble des accidents . P. KERAVAL. L. L'épilepsie larvée ; par W.-F
à son tour sans aucune manifestation fébrile. La pathogénie de ces accidents dystrophiques du tissu conjonctif doit être rap
cinq ans mordu par un chien enragé peu de temps avant le début des accidents morbides suivants : céphalée constante, vomisse
énignité, par la régression rapide et presque toujours complète des accidents ; 2° L'autre par l'acuité des phénomènes du déb
t pas, de prime abord, devoir la faire ranger dans la catégorie des accidents hystériques. Il s'agissait cependant bien de pa
morte à trente-quatre ans, de suite de couches. Le père est mort d' accident . Rien à signaler chez les collatéraux. 11 a épo
tre à l'hôpital Saint-André six semaines environ après le début des accidents . Etat actuel le 8 mars 1900.-Du... est de physi
ur de pierres. Antécédents héréditaires. - Nuls. Le père est mort d' accident . La mère d'une pneumonie. Deux frères en bonne
lication de l'extension nous n'avons jamais eu à noter le moindre accident . Néanmoins, nous croyons que la suspension au m
s et des patrons, il est possible de réduire au minimum le nombre d' accidents ; 3° la population apprend très vite à soigner
alité dans l'état somnambulique, hypnotique, hystérique et dans les accidents épi- leptiques n'est consécutif qu'à des troubl
ine Louis fin juillet 1900 : c'est un hystérique qui a présenté les accidents paroxystiques crises, fugues ambula- toires, qu
t plus plaint des dents. Il me reste enfin à dire un mot du dernier accident de février 1901, de la crise de contracture que
illé encore six ou sept fois Louis ; je n'ai jamais plus observé un accident quel qu'il soit. J'ai fait faire à Louis du rév
l'on ne peut plus déceler, à l'heure actuelle, chez mon malade, un accident pas plus qu'un stigmate d'hystérie. Voilà donc
te d'aujour- d'hui, n'est pour quelque chose dans l'atténuation des accidents du tabétique. Nous avons dans ce but parcouru
ladie procède par étapes, chaque étape étant caractérisée par un accident nouveau, ou par un retour d'accidents anciens, le
tape étant caractérisée par un accident nouveau, ou par un retour d' accidents anciens, les périodes de rémissions plus ou moi
uelles, deux au moins ont une action nette sur cette répression des accidents tabétiques. Ce sont : 1° La cure de Lamalou,
es après un petit nombre d'étapes, et qui amène l'atténuation des accidents déjà constitués. ,20 La rééducation motrice, qu
u cerveau», interné. Etait dans l'industrie, affaires diffi- ciles, accident de voiture où il faillit être tué : consécutiveme
t pour but, dans les cas de ce genre, de modifier non seulement les accidents actuels, mais encore. après la disparition de c
où il se noyait, etc. Or il était impossible matériellement que cet accident ait pu arriver, l'enfant en question venant de qu
is plusieurs semaines, A... est triste et ennuyé. Présente quelques accidents cardiaques (palpitations). Il écrit à son grand
ns, mais la fonction commence à se rétablir (il y a deux mois que l' accident est arrivé), et la réaction'est de plus en plus
ans la fente sphénoïdale. Le malade n'a pas été vu aussitôt après l' accident ; les commémo- ratifs manquent. La situation de
317 , . 1 laires sert à faire le diagnostic différentiel avec les accidents hys- tériques. Dans les attaques d'hystérie et
e suis, au contraire, parmi ceux qui sont portés à admettre que ces accidents sont nécessairement liés à la syphilis ; niais
e fonde sur ce que l'ou ne voit jamais de ces malades atteints de l' accident initial de la syphilis ; ces sujets sont tiès n
ogie de la lèpre, dom Sauton apporte une classification nouvelle en accidents primaires d'infection, en acci- dents secondair
, en acci- dents secondaires d'invasion générale de l'organisme, en accidents tertiaires ou trophoneurotiques (il admet, en e
précoce). 11 établit ainsi une classification analogue à celle des accidents syphilitiques et poursuit cette analogie jusqu'
ration très simple à la portée de tous. Jamais elle n'a déterminé d' accidents graves ou même inquiétants, à la double conditi
usement de son état de santé et à envisager toute la gravité de ses accidents con- vulsifs. Lors de son premier séjour à l'hô
ttement paralysée. 0 On peut se demander s'il s'agit là d'un nouvel accident analogue à ceux qui se sont produits il y a vin
on trouvait néanmoins du phosphore dans les matières fécales. Les accidents névritiques sont nettement en un certain rapport
ns appui, accueille le médecin comme d'habitude, et lui raconte son accident : le dos lui fait un peu mal, elle éprouve quel
e est venue dans son lit. En se recueillant, elle se rap- pelle son accident et ses motifs. Mais c'est tout : depuis sa chute,
tranquille. Le lendemain la santé est rétablie, trois jours après l' accident , elle a repris son service. Il y a donc eu, dan
e la cornée, plusieurs fois de la parésie, jamais, en tout cas, les accidents épileptiformes des parents. Pour Sommer, « la t
1'énié psichiatrii, V, 1900. Ana- lysé. , P. IiERAV-1L. LXXX. Des accidents paralytiques d'origine cérébrale consécutifs à
s'agit évidemment d'un foyer central et la simultanéité de tous les accidents rapidement développés en quelques semaines indiqu
antisyphilitique résout la tuméfaction des genoux, et en partie les accidents cornéens. Persistance des troubles pupil- laire
és par des aliénés sur le même pied que ceux qui sont le résullàt d' accidents inévitables. SIMON. XIV. Folle ou criminelle; p
festent. » En se basant sur cette définition, on peut grouper les accidents épileptiques de la manière suivante : 1° Attaques
ation peut faire accorder des circonstances atténuantes et dans les accidents du travail la responsabilité du patron peut êtr
t resté le type parfait d'un praticien d'autrefois, le De Maire. Un accident l'a emporté à l'âge de soixante-quatre ans. 11
la syphilis, elle avait alors vingt-quatre ans. Elle n'a eu que des accidents secondaires de peu d'impor- tance, quelques pla
gnifiantes. Vers l'âge de trente-cinq ans, elle a été sujette à des accidents énigmatiques : pendant près deux mois, en proie
le propre de l'épilepsie essen- tielle. ' Pour rendre compte des accidents convulsifs qui sur- viennent dans ces condition
nsitoirement de son apport sanguin. Il y a là de quoi expliquer les accidents épileptiformes présentés par notre malade, l'af
Or, tandis que les deux premières catégories de manifes- tations - accidents épileptiformes, diminution de l'intel- 442 '1)
ation. Je doute qu'elle soit durable, en raison de l'ancienneté des accidents . Je crains que malgré ce que nous ferons, l'aff
elle on constate également une hémianopsie double, associée à des accidents épileptiformes. En outre, elle présente des troub
tait aucune trace de paralysie. Quinze jours plus tard, les mêmes accidents se sont repro- duits, vers six heures du soir.
t-elle ? La chose est possible, étant donné le peu d'ancienneté des accidents présentés par cette seconde ma- lade (ils ne re
oeur. Je ne vois donc qu'une interprétation plausible à fournir des accidents multiples qu'on relève dans son passé, elle con
mie locale, en rapport avec l'athéromacie, pour ce qui concerne les accidents paroxys- tiques : accès de vertige, hémiparésie
sombre que chez la première, en raison de la moindre ancienneté des accidents et de la moindre intensité des accès vertigineu
ineté du début, l'idée vient immédiatement à l'esprit de mettre les accidents présentés par cet homme sur le compte, soit d'u
intervention d'une hémorrhagie cérébrale, comme cause prochaine des accidents présentés par notre troisième malade. / , I
dre sur le vaisseau dont la rupture a été la cause déterminante des accidents qui, dans leur ensemble, consti- tuent un si cu
le, consti- tuent un si curieux syndrome. De par leur nature, ces accidents supposent la suppres- sion de l'apport sanguin
brale moyenne, est à même de nous rendre compte de presque tous les accidents présentés par notre malade. Des réserves ne son
introspection mentale 1. 1 III L... Maria, quarante-trois ans. Accidents neuro-pathologiques chez les collatéraux. Signe
hérédité. La stérilité des époux et l'évolution si intéressante des accidents chez la femme : tabes préparaly- tique nous sem
début de 1899, il éprouve vomissements, fièvre, faiblesse générale, accidents du décubitus, céphalalgie, affaiblissement de l
les maladies mentales et nerveuses, une anomalie du caractère, des accidents paralytiques d'origine apoplectique, le suicide
rien ne peut les tirer; tantôt ils sont distraits par les moindres accidents extérieurs Ou par des phénomènes d'automatisme
de semblerait au contraire le médicament de choix et éviterait tout accident . Appuyant son étude clinique sur de nombreuses
e, 228. Impulsion homicide pure . Voir Meurtre. Influenza . Des accidents paraly- tiques d'ongine cérébrale consé- cuti
51 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
gulières. Il y a deux ans, une première grossesse se manifeste. Nul accident ne l'accompagne, si ce n'est quelques douleurs da
au matin vers dix heures, l'accouchement s'opère spontanément et sans accident ; mais à la suite de douleurs assez vives, vingt-q
ement du sang ne soit pas trop abondant, si l'on ne veut pas voir les accidents nerveux s'exaspérer, et la faiblesse s'ac-croître
dynamie est encore très prononcée ; elle s'accompagne, en partie, des accidents que nous venons de signaler, mais, cette fois, el
médi-cament devra, naturellement, varier en raison de l'intensité des accidents nerveux (5 à 10 centigrammes d'extrait thébaï-que
ute beaucoup moins indiqué si l'insomnie, le délire et le cortège des accidents nerveux viennent à prédominer dans les premiers
ous laquelle se manifestent les maladies laryn-gées typhiques, et les accidents qu'elles ont déterminés dans 1. En collaboratio
cessants, l'ictère est plus prononcé; il s'y joint de bonne heure des accidents cérébraux ; un état de collapsus, en môme temps q
génération graisseuse des éléments cellu-laires du foie et des reins, accidents cérébraux, etc., etc.), qui ne se trouve pour ain
eurs, que la maladie éclate à l'improviste, sans avoir été précédée d' accidents prodromiques. C. Peste foudroyante (A.). — a. A
ires, un sentiment de lassitude plus ou moins prononcé. Mais tous ces accidents cessent ou dimi-nuent d'une manière notable, vers
fébrile est alors souvent très intense, et elle peut s'accompagner d' accidents généraux plus ou moins graves. Faut-il rattacher
à la source du mal, de reconnaître que le point de départ de tous les accidents , n'est autre que le virus charbonneux transmis pa
on continuelle et ne sait quelle position prendre dans son lit. — Les accidents gastriques se montrent les premiers. D'abord peu
issement de la première période : tel malade chez qui les plus graves accidents ont disparu comme par enchan-tement et qu'on peut
'opium, le camphre, le musc, trouvent leur emploi dans les cas où les accidents nerveux se décla-rent. Lorsque la fièvre jaune se
cet ordre de rayons qui paraît être l'agent principal, essentiel des accidents . H suffit, en effet, pour préserver les yeux, ain
encore ces exemples ont-ils peu frappé les observa-teurs, malgré les accidents divers qu'ils ont occasionnés, en gênant dans leu
re elle, le résultat a été quelquefois heureux. Sous le rapport des accidents qu'ils occasionnent et sous celui du diagnostic,
parois auraient été, je crois, une garantie suffi, santé contre tout accident redoutable, si on eût pratiqué l'ou-verture penda
ième à la fin du septième. Les enfants de 7 mois furent expulsés sans accident . Pendant ces grossesses, la tumeur, en comprima
térieur. Cette tumeur s'accrut, mais, sans déterminer aucune espèce d' accident pendant cinq ans. Mais, pendant les trois années
as non plus d'intérêt. L'existence du kyste est mé-connue, malgré les accidents qu'il cause du côté des voies urinaires, malgré l
ous assistons à une guérison incomplète, mais amenée par un cortège d' accidents assez graves, qu'une opération, excitant l'évacua
ne révèle leur présence. Toutefois, on con-çoit qu'il cause certains accidents plus ou moins graves, alors même que leur volume
cessaire. Il sera même sage, dans bien des cas, d'aller au-devant des accidents , comme cela a été fait avec succès par M. Roux.
ation, laquelle a pu être couronnée de succès. Nous avons parlé des accidents assez graves déterminés par l'inflammation sponta
n ; ne conviendrait-il pas, en pareille circonstance, de prévenir ces accidents et de déterminer, par exemple, chez l'homme, l'ou
dans la cavité du péritoine, généralement du reste sans y provoquer d' accidents . Pareille chose pourrait arriver sans doute à des
ientôt suivis d'une mort rapide, qui signa-lent constamment un pareil accident . IV. Hydatides du cerveau et du cœur1. Obse
avons rapportée, c'est l'époque à laquelle sont arrivés les premiers accidents cérébraux, par comparaison avec le grand volume d
a persisté pendant deux ou trois jours. Dix jours après ce premier accident , nouvelle chute. Cette fois, ce n'est plus la têt
e la rate et de l'ecchy-mose, celles-ci ont dû suivre immédiatement l' accident . Dans cette hypothèse, le sang infiltré dans le
lles complications seront à redouter pour chaque période, prévoir les accidents qui viendront troubler la convalescence. L'expéri
it même, dans certains cas, favo-riser leur évolution. De redoutables accidents sont trop sou-vent la conséquence de la suppressi
s, des palpitations du cœur suivies de lipothymies in-quiétantes, des accidents cérébraux redoutables, sont, le plus souvent, en
on peut voir se produire, sous l'influence de cette médica-tion, des accidents plus ou moins graves. Ces accidents, pour la plup
fluence de cette médica-tion, des accidents plus ou moins graves. Ces accidents , pour la plupart, ont été, dans ces derniers temp
atre heures, sans interruption pendant plusieurs se-maines. Les seuls accidents un peu intenses qu'il éprouvait en pareil cas, co
après la suspension du remède : ce serait donc là, en définitive, un accident fort sé-rieux, fort à redouter, s'il devait se pr
nté jusqu'ici ; mais, par con-tre, c'est là très vraisemblablement un accident fort rare. En effet, on ne le trouve mentionné, —
adie constitutionnelle. Dans le but de prévenir, en pareil cas, ces accidents , plu-sieurs auteurs ont proposé de modifier la mé
'exposerait sans doute à bien des mécomp-tes, si l'on considérait les accidents primaires de l'arsenicisme 1. Bardsley, Médical
t néces-sairement toujours précéder et annoncer, pour ainsi dire, les accidents placés plus loin avant la série. L'observation dé
s les membres infé-rieurs. Attribuant à l'influence de l'humidité ces accidents qui 1. Le nitrate d'argent peut être administré
temps après l'entrée à la Salpêtrière qu'eut lieu la ménopause, sans accidents particuliers. A partir de ce moment, il y eut u
partir de ce moment, il y eut une aggravation progressive de tous les accidents ; deux ou trois ans après l'entrée à la Salpê-tri
la malade de quitter son état. Quatre mois environ après le début des accidents , se montrèrent pour la première fois des douleurs
ponctuellement chaque mois. Quelque temps après son entrée, tous les accidents augmentent encore, les dou-leurs sont plus violen
quinze mois. Quelque temps avant qu'on instituât le traite-ment, des accidents assez graves s'étaient manifestés indi-quant, sui
ique éeu-meux, qui finit par suffoquer l'animal, sans amener d'autres accidents nerveux que ceux qui résultent directement de l'a
uefois survenir un peu de gastralgie et de légères coliques; mais ces accidents disparaissent promptement, et es malades arrivent
ire la teinte ardoisée. Il n'est pas même indispensable, pour que cet accident se déclare, que l'argent ait été administré à l'i
s le nitrate d'argent pris à l'intérieur triomphait rapidement de ces accidents , et rétablissait dans leur intégrité les fonction
otion de la moelle épi-nière, et qui avait persisté longtemps après l' accident ; le nitrate d'argent, dans l'un et l'autre cas, a
maladie, de l'usage interne du nitrate d'argent, surtout lorsque les accidents convulsifs sont très prononcés. Il le donne à la
ré leurs forces ; jamais nous n'avons remarqué qu'ils présentassent d' accidents indiquant soit une tendance aux hémorrhagies, soi
52 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
lques frictions d'arnica au cours desquelles, vingt minutes après l' accident , il s'évanouit. Cet état dura une demi-heure sa
ralytique du côté des membres ondes sphincters. Trois jours après l' accident , il essaya de se lever seul : il mit les pieds
par une canne. Il songea alors (juillet 1887), quatre mois après l' accident , à reprendre son travail. Il put s'occuper chez
lom- baire largement dessiné et dont le fond uni ne présente aucun accident , elle a parfaitement reproduit les changements
icien inexpérimenté. La syphilis avait été la cause occasionnelle d' accidents hystériques dont la véritable nature fut d'abor
Les caractères mêmes de cette rachialgie permettent d'en faire un accident hystérique et de la classer parmi les zones hyper
UR NOTE SUR L'ANATOMIE MORPHOLOGIQUE. 23 Celle-ci, en dehors de l' accident initial qui paraît avoir été mal observé, se ma
des vomissements qui inaugurèrent, il y a deux ans, la série de ces accidents . Tous les ingesta quels qu'ils fussent étaient vo
e plus longtemps en diminuant toutefois d'intensité. Du fait de ces accidents la malade avait dû s'aliter, lorsqu'elle fut pris
rsqu'elle fut prise il y a seize mois (huit mois après le début des accidents ) par des vomissements, des sortes de crises de
ys- tériques. C'est peu préjuger que de qualifier d'hystériques les accidents qu'elle a présentés; les vomissements incoercib
effotts et sans douleur et évidemment de nature névropathique ; des accidents qu'elle appelle des syncopes et qui paraissent
ées sans résultat, nous ne pouvions compter sur une disparition des accidents par voie de suggestion. Les moyens employés ont
l'âge de quatre ans Anna a souffert pres- que constamment de divers accidents scrofuleux : écoulements prolongés des oreilles
n qui, en s'ouvrant, donne issue à une notable quantité de pus. Cet accident obligea la malade à garder le lit pendant trois
souffert à diverses reprises de suppurations superficielles, et ces accidents ont pu jouer un certain rôle dans la genèse des
troubles urinaires que des mictions nocturnes in- volontaires : ces accidents arrivent assez fréquemment, une ou deux fois par
du côté de la mère qui ont eu trois enfants : 1° un garçon mort, d' accident à seize ans; 1° notre malade; 3°un garçon âgé d
ur ses antécédents paternels. 1 Le grand-père maternel est mort d' accident ; la grand'mère maternelle a succombé à soixante
serait produit des douleurs et du gon- flement de la jambe gauche, accident qui fut qualifié de sciatique par le médecin,,
e est couverte d'ecchymoses qui s'accentuent quelques jours après l' accident ; un médecin est alors appelé qui diagnostique u
l'appartement en s'appuyaht sur une chaise. Un mois environ après l' accident , il peut sortir de chez lui en s'appuyant sur u
n traumatique du sciatique poplité externe, nous voulons parler des accidents paralytiques survenant à la suite de compressio
tibial anté- rieur, c'est la douleur ressentie au moment même de l' accident au niveau de la partie terminale de ce nerf tib
t; mais à ces phénomènes primitifs ne tardèrent pas à s'ajouter des accidents secondaires de paralysie. Enfin, chez notre mal
des accidents secondaires de paralysie. Enfin, chez notre malade, l' accident primitif date de plus de deux mois et la paraly
frontale (sa soeur ne sait pas s'il a été malade à la suite de cet accident , mais elle a entendu dire, qu'à partir de ce mo
ers, avec pâleur de la face et résolution mo- mentanée des membres; accidents très fugaces qui se sont montrés trois ou quatr
le proprement dite, qu'il était intéressant de rechercher si ? [cet accident fonctionnel, correspondait un accident organique
sant de rechercher si ? [cet accident fonctionnel, correspondait un accident organique homologue. L'ouverture du crâne a été
ame Julie-Anlonine B., âgée de quarante-deux ans, a eu ses premiers accidents en 1880. A la suite d'une attaque d'hystérie pend
ré. - A l'âge de vingt-trois ans, syphilis nettement établie, peu d' accidents ulté- rieurs, sauf du côté de la gorge. Jusqu'à
fractures du rachis. . Les troubles nerveux qui suivent de près ces accidents ont été bien étudiés; on les trouvera très bien
ement plusieurs mois. Il raconte avec beaucoup d'intelligence les accidents qu'il éprouva à cette époque; son récit représe
lent. Sorti de la gouttière de Bonnet vers le centième jour après l' accident , le malade commença à marcher, d'abord à l'aide
DES SUITES ÉLOIGNÉES DES TRAUMATISMES. 223 Un an et demi après l' accident , reprise du travail (il travaille assis). Il se
égion dorsale datant de onze ans. Troubles trophiques. - Engelures, accidents épileptiformes. L..., Désiré, journalier, âgé d
ne année de service militaire pendant laquelle il ne présenta aucun accident nerveux. Pas de syphilis ni d'alcoolisme. Au
peu d'assu- rance, des douleurs dorsales ressenties à la suite de l' accident . Le trauma- tisme lui aurait, dit-il, fracturé
s jambes devenaient bleuâtres quand il marchait. Six mois après l' accident , il reprend son travail de maçon, mais il se voit
s, laquelle s'était beaucoup amendée, qu'à cause du développement d' accidents épileptiques. Ces derniers éclatèrent cinq mois
d'accidents épileptiques. Ces derniers éclatèrent cinq mois après l' accident . Ils revêtaient les carac- tères qu'ils ont con
, d'autant mieux que D... n'est ainsi légèrement voûté que depuis l' accident subi à cette époque. Depuis ce temps aussi il é
es réflexes rotuliens sont un peu amoindris des deux côtés. Enfin l' accident le plus grave consiste dans les attaques épilepti
l'avons vu, se présentèrent pour la première fois cinq mois après l' accident primitif. Elles étaient alors très fréquentes (
la paralysie vasomotrice de la peau des pieds. 3° Que penser des accidents épileptiformes présentés par L..., cinq ans apr
técédent vénérien ; dans les commémo- ratifs, rien qui rappelle.les accidents spécifiques, sauf ce fait, parfaite- ment expli
e ses membres inférieurs, qui s'est établi lentement à la suite des accidents douloureux, et pour les troubles consécutifs de
huit jours environ. Deux mois après, c'est-à-dire cinq mois après l' accident , des abcès appa- rurent dans différents endroit
s l'oeuvre d'un maître allemand fort apprécié et nous y verrons les accidents syphilitiques les plus variés reproduits avec un
53 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
eurs passagères. Dans nombre d'observations, on trouve signalés des accidents dus il la compression des organes du médiasliu.
tation des veines sous-cutanées du tho- rax, etc. D'autres fois les accidents sont beaucoup plus menaçants (cas de M. Hayon,
e guérit de la même UN CAS D'ANOREXIE HYSTÉRIQUE 55 façon que les accidents hystériques vulgaires, par l'isolemenl, mais l'ét
C'est à l'occasion de cette syphilis que se seraient développés les accidents spéciaux dont il souffre actuellement. -S..., sob
prix d'une hémorrhagie tellement abondante qu'elle fait redouter un accident immédiat. On se contente donc d'enlever la tume
trop, en tous cas le nom de « mal herculéen » est resté synonyme d' accidents ner- veux convulsifs. Le remède employé avait é
ES DE VENTRE 91 pathologique des émotions, mais à cette catégorie d' accidents hypersé- crétoires qui portent sur toutes les g
s étonnant qu'une sueur nau- séabonde suinte au-dessous de moi. » Accidents malencontreux dont l'expérience a maintes fois co
aïonnette. En 1851, il fut tamponné par un wagon. A la suite de cet accident , il eut de la rétention d'u- rines pendant 24 h
elle contracte un chancre. Ce chancre, unique, n'a pas été suivi d' accidents consécutifs : il avait été cautérisé et la malade
otiques dont la cécité marque du même coup le dé- but et la fin des accidents nerveux. Observation I. Racariés, berger, 48
semblable pour la paralysie faciale qui peut s'accompagner d'autres accidents dus à une méningite de la base; d'ailleurs, par
la verge à caractère nettement syphilitique et bientôt apparition d' accidents secon-' daires ; alopécie très étendue, sypbili
érie. P... âgée de 26 ans. Pas d'antécédents. Syphilis en 1896 avec accidents se- condaires. Traitement pendant 2 mois en 189
erveuse. Mariée le 16 septembre 1893. Syphilis en octobre 1893 avec accidents secon- 160 ' R. CGSTYN daires. Traitement ant
ion des frictions mercurielles. En octobre 1895, nouvelle poussée d' accidents cutanés syphili- tiques et traitement par l'inj
ques auteurs. Ils font remarquer il juste titre et la rareté de ces accidents malgré le nombre sans cesse crois- sant des syp
par le mercure. Le mercure peut, en effet, créer, en dehors de tout accident , hystérique, des troubles moteurs sous la forme
ttention sur les polynévrites mercurielles aiguës ou subaiguës. Cet accident est rare, il est vrai ; parmi les dangers des inj
vous laisser cette conviction qu'il n'est pas vraisemblable que les accidents présentés par notre malade soient la con- séque
e dire si ces polynévrites doivent être classées dans le groupe des accidents syphilitiques secondaires analogues à la pleuré
daire syphilitique, ce qui est très probable, ou dans le groupe des accidents tertiaires préco- ces. D'ailleurs les auteurs n
s, pleurésie, néphrite, que les auteurs classent dans le groupe des accidents secondaires et qu'on est dès lors très porté à
ne blessure a été faite, un coup donné avec intention, et celui des accidents purs et simples. Dans la première catégorie nou
cine légale à étudier. Dans la seconde catégorie, nous rangerons 27 accidents divers. Les 5 tentatives de suicide ont toutes
uent banale. Mais les faits,que nous rangeons dans la catégorie des accidents , offrent des particularités plus intéressantes.
ède à une Rebute et c'est pourquoi la plupart des hémiplégiques par accident appartiennent à la corporation des peintres en bâ
corporation des peintres en bâtiments ou il celle- des maçons. Les accidents de voiture sont aussi à noter. Enfin, et ce ne
à noter. Enfin, et ce ne sont pas les moins nombreux, rappelons les accidents dus à l'impru- dence d'enfants ou même de grand
légie ne survient qu'après un certain laps de temps écoulé depuis l' accident . A. Hémiplégie traumatique. On peut lui consi
une période aiguë qui dure pendant les quelques jours qui suivent l' accident et une période de chronicité qui survient ensui
ation de grains de poudre dans la peau. Il y eut, dès le début de l' accident , un énorme gonflement, mais un écoulement sangu
guë et qui comprend les grands signes immédiatement consécutifs à l' accident ne dure pas plus d'une huitaine de jours en moy
J'ai été appelé à voir P. C. au début de 1886, environ 5 mois après l' accident . La santé générale était bonne, le développemen
ure cependant à un degré assez accentué, deux années encore après l' accident , et avec elle des mouvements d'athélose. DE L'H
uir le 9 avril 1890, atteint d'une hémiplégie gauche résultant d'un accident survenu le mois pré- cédent. Antécédents. Son
locomotive. Il fut transporté à l'hôpital moins d'une heure après l' accident . Il était alors conscient et essayait de répond
remarquable était que les vingt dernières années de sa vie avant l' accident étaient disparues de sa mémoire. Il prétendait
t il avait travaillé dans une ferme.Tout souvenir se rapportant à l' accident a disparu et n'a jamais reparu. Lorsqu'il quitta
mémoire et une certaine excitabilité de caractère. Un an après l' accident , il y avait une hémiplégie du côté gauche qui aff
événements les plus im- portants de sa vie jusqu'à cinq ans avant l' accident et jusqu'à environ deux mois plus tard..... Nou
mémoire plus nettes, mais le caractère restera moins bon qu'avant l' accident initial. Dans un très intéressant travail sur «
coup des nôtres. En voici un exemple : « Un homme était avant son accident , bien élevé, affable, gai et très propre ; aprè
t son accident, bien élevé, affable, gai et très propre ; après son accident il tomba dans les défauts exactement opposés. Il
Harlow sur un autre malade : « Les patrons du malade qui, avant son accident , le considéraient comme un de leurs plus actifs
en géné- ral de la manière suivante : Un individu est victime d'un accident au cours duquel il fait une chute, ou reçoit un
relève, il se relève même seul et après que le trouble causé par l' accident est passé, on ne constate aucune blessure, à pe
cience qui a duré plus ou moins longtemps. Et cependant parmi les 8 accidents relatés dans l'étiologie des cas correspondants
été altérées. Le malade sait lire et écrire aussi bien qu'avant son accident . ~ Enfin l'examen clinique des autres appareils
la joue droite, mais survenue seulement trente- six heures après l' accident . Au premier abord, on est tenté de penser que l
e des rap- ports indirects avec le coup de feu et qu'il s'agit d'un accident d'hystéro-trau- matisme comme ceux qui survienn
cident d'hystéro-trau- matisme comme ceux qui surviennent après les accidents de chemins de fer ou les chutes de cheval par e
fer ou les chutes de cheval par exemple. En effet l'apparition des accidents hystéro- traumatiques survient en général un ce
ourquoi l'hé- miplégie n'est survenue que trente-six heures après l' accident . L'expérimenta- tion sur le cadavre, avec une b
éniqne. Maison apprit par un interrogatoire plus soigné que lors de l' accident le malade avait en outre été atteint à la tête.
était bien portant et très vigoureux ; il mourut encore jeune d'un accident de travail. Veuve une seconde fois à cinquante
cinq autres dents qui man- quaient déjà étaient tombées, avant cet accident , nous ne savons pas comment). Cette large fract
fracture que l'on peut qualifier de spontanée, car la gravité de l' accident a été hors de propor- tion avec la médiocre int
n 1880, marche talonnante, les jambes écartées. En 1883, survint un accident . En hissant une caisse sur un évier, il glissa,
nq ans et ne suivit, à son dire, aucun traite- ment spécifique. Les accidents qu'il présenta, à la suite, furent néanmoins de
quent à SI ans, sans que cette période critique fut marquée par des accidents particuliers. Ses antécédents personnels sont b
tres, auxquelles elle ressemble encore par l'apparition tardive des accidents ; mais on ne saurait se prononcer à ce sujet d'u
belleuse seront sans doute plus judicieusement soupçon- nées si les accidents surviennent après une maladie infectieuse ; mais
: le type (t) Dejerine et Thomas, Elude clinique et anatomique des accidents nerveux déve- loppés au cours de l'anémie perni
cultés) ; il ne faut pas oublier que dans les névroses le début des accidents est plus rapide, leur évolution plus bizarre ;
claire : il peut y avoir au début, ou dans les jours qui suivent l' accident , un simple suintement, puis, la pression sanguine
délicats. En juin 1891, il vint à la polyclinique à l'occasion d'un accident à la jambe, pour lequel il réclamait une indemn
la capsule interne. En pratiquant une expérience pour reproduire l' accident , avec le même tube, les auteurs ont trouvé que
amené à l'hôpital Laénnec dans le service de M. Damaschino pour des accidents dont le début remonte à deux mois. Les renseign
ur la cap- sule interne se comprend facilement et explique bien les accidents hémiplé- giques..... ' * Quanta la paralysie
tion de Vignaud la paralysie ne survint que 3 ans et 3 mois après l' accident initial. Lors de l'opération on trouva que l'ab
est-elle un peu émoussée, mais pour quelqu'un qui ignore- rait son accident on serait facilement tenté d'attribuer ces imperf
t elle peut jusqu'à un certain point exprimer ses besoins. Depuis l' accident elle était devenue très irritable, d'un tempérame
matique. Au point de vue médico-légal elle se pré- sente : 1° comme accident du travail, 2" comme lentative de suicide, 3o c
icide, 3o comme attentat à la vie humaine. En ce qui concerne les accidents du travail, on pourra constater en lisant les o
Et même si la paralysie guérit en apparence, rien ne prouve que des accidents ultérieurs plus graves ne se montreront pas un
lle dans son crâne, elle était susceptible d'en avoir plus tard des accidents mortels, ils eussent probablement été plus sévè
e enfant est notre malade ; un sixième, né il terme, a présenté des accidents d'étranglement herniaire trois mois ; il est mort
her. La difficulté de cette localisation dans la longue sé- rie des accidents qui affligent les tabétiques tient surtout à l'ig
ux mâchoires un mor- ceau de liège ou de bois, pour se garer de cet accident ; la peinture ne permet pas de l'affirmer. L'i
ou suturnisme, peut à son tour provo- quer l'apparition de nouveaux accidents hystériques. Ainsi on peut dire que le syndrome
excès alcooliques, que sa mère morte à 75 ans à la Salpê- trière, d' accidents cérébraux, avait toujours été très nerveuse, impr
ve, mais on ne relève pas de maladies graves dans son enfance, ni d' accidents nerveux. Elle a été réglée à 16 ans, et toujours
puis qu'il a eu une fièvre ty- phoïde à 9 ans, coléreux, mais pas d' accidents caractérisés. Au bout de 13 ans elle a eu un en
ne rupture du tendon d'Achille droit, n'a guère offert, de tous les accidents de la série tabétique, que quelques troubles se
ndées par les nécessités professionnelles ou par les exigences d'un accident pré- dominant du tabes. Voici en quoi : certain
ant si un ataxique, dans l'énumération de la longue séquelle de ses accidents nous raconte qu'après avoir présenté de la vous
soins à un enfant de trois ans, en proie depuis quelques jours aux accidents d'une brûlure par du bouillon de viande. Le liq
perception Conditions étiologiques. - Le 1er avril 1885 a eu lieu l' accident initial. Jusque-là notre homme avait mené une v
a bien voulu nous communiquer quelques renseignements. Le soir de l' accident il est plongé dans le coma le plus complet qui du
... mémoire affaiblie. Le malade raconte que quelques jours après l' accident , il a rendu par le nez DE l'hémiplégie traumati
, ni par les oreilles. Quand il revint à lui, quatre heures après l' accident , il présentait les symptômes suivants; Ptosis à d
tion. La situation ne tarda pas à se modifier. Quinze jours après l' accident , le malade répondait assez clairement aux quest
diminution dans l'acuité visuelle de l'oeil sain (gauche) depuis l' accident . Quant à l'oeil droit il ne s'en sert plus ; il a
ion sensible depuis 2 ou 3 mois, n'est pas ce qu'elle était avant l' accident . La mémoire laisse beaucoup à désirer B... ne r
pieds, soit des rotules Au. mois de juin 1889, treize mois après l' accident , voici ce que nous écrit le malade : « La march
ique, mais à part cela très bien portant et très actif jus- qu'à un accident qui eut lieu il y a sept ans, en mars 1889. A cet
on et hyperesthésiée. C'est le point où la douleur a régné depuis l' accident continuellement pendant des mois puis s'aggrava
tem on'trouva une fracture de la base du crâne qui dataitdu jour de l' accident . Observation XXV. HILTON, Repos et douleur, N
r un sol gelé où il resta nus connaissance. Il fut aussitôt après l' accident porté à l'hôpital où l'on observa ce qui suit :
u côté gauche de la tête. Il per- dit connaissance aussitôt après l' accident et ne revint à lui que pendant le trans- port à
ifficile. Enfin il y a 9 mois, c'est-à-dire 3 ans et 3 mois après l' accident , survient une hémiplégie droite complète avec a
ême : en effet Léonard avait dépassé la soixantaine quand survint l' accident dont il s'agit, et il est établi qu'il écrivait
pe si souvent la maladie de Recl;linghausen.. La prédominance des accidents spinaux, l'atténuation chez notre malade des ph
54 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u épileptique et était resté quatre ans épileptique à la suite d'un accident de chemin de fer; pendant ce temps, avait eu un
riodes de la vie embryonnaire; on peut donc comprendre que certains accidents de la gesta- sion soient capables de déterminer
amille avec l'idiotie, l'épilepsie, l'alié- nation, le suicide, les accidents nerveux bizarres, etc. M. Charcot professe depu
stème vasculaire et la lésion ne constitue en quel- que sorte qu'un accident . Si les liens de parenté qui existent entre les
inence névropathique diffus, indécis. Mais qu'on suppose que par un accident de la conception ou de la gestation, le dévelop
cropsie, ont été in- suffisantes pour nous expliquer la mort et les accidents ultimes qui l'ont précédée. Nous serions portés
ns de fièvre typhoïde : elle était intelligente et n'avait pas eu d' accidents nerveux; - 2° une fille, mort-née par strangula
nt est généralement resté en bonne santé, à part toutefois quelques accidents d'origine scrofuleuse : amygdalites, impétigo d
amme tous les huit jours, dirigé à la fois contre la névrose et les accidents cutanés; en sirop d'iodure de fer, huile de foi
s avons observés, il y aurait donc une différence notable entre les accidents vertigineux des hys- tériques et les vertiges é
ises depuis quatre mois. Et, depuis cette époque, il n'a eu que des accidents très légers, occasionnés par des émo- tions viv
coqueluche; enfin une soeur a succombé à une fièvre typhoïde. Pas d' accidents nerveux dans la famille. Pas de mérycoles du cô
nonçait bien aucun mot; chantonnait les airs qu'il entendait. Pas d' accidents scrofuleux, pas de maladies antérieures. Il n
Au mois de décembre 1882, on remarque chez l'enfant de nou- veaux accidents : par moments, fout le corps est agité par une se
que dans les derniers temps, la période de stertor se compliquait d' accidents asphyxiques; 2° que ces accidents se montraient
riode de stertor se compliquait d'accidents asphyxiques; 2° que ces accidents se montraient surtout dans les accès qui suivaien
très bien constitué, très sobre. Aucune maladie; pas de migraine, d' accidents nerveux, de syphilis. [Aucun antécédent névropa
'attaques de nerfs ni de syncopes. [Père et mère : n'ont présenté d' accidents nerveux d'aucune sorte. Deux tantes du côté pat
retenir pour l'heure du cas de M. Legrand du Saulle, c'est que les accidents hystériques ont, chez la malade dont il s'agit,
int, qu'on ad- mette,-et le fait n'est pas invraisemblable,-due les accidents se soient amendés au boutde quelques heures, qu
ont le plus grand mérite est d'exposer très net- 1 G. Ballet. - Des accidents épileptiformes dans l'hystérie. Mémoire couronn
'épileptie, a frappé six personnes de coups de couteau. C'est là un accident assez com- mun et qui montre que les administra
tion intempestive. Ces derniers font partie du groupe si divers des accidents de la goutte rétro- cédée. Ces métastases, d'au
a. (Arne,'ican jour, o/' nzed. se, october 1881.) 5 Gastowtl. Des accidents prémonitoires de la goutte. Thèse de Paris, 187
e urique, d'après M. Charcot', peut chez les femmes se compliquer d' accidents hystériformes. C'est sans doute à cet ordre de
orsqu'il dit que certains états vaporeux, que l'on confond avec des accidents hypochondriaques ou hystériques, sont quelquefo
l Reynolds ap- partient peut-être à ce groupe défaits*. Parmi les accidents de la goutte rétrocédée, Scuda- more cite le sp
urs avant l'apparition d'un tophus auriculaire. Ce sont surtout ces accidents apo- plectiformes ou congestifs que l'on voit s
les dyna- miques. L'hémiplégie accompagne quelquefois ou suit ces accidents apoplectiformes qui peuvent se terminer par la
quer que les nerveux héréditaires sont plus sujets à ces sortes d' accidents , et il dit que quand les troubles cérébraux se
er l'aphémie chez les goutteux ; et, dans quelques cas, il a vu cet accident ne se mon- trer qu'au moment des accès de goutt
. de Neurologie, 1S82. t. IV, p. 336. F. Dreyfous. Pa- tkuycrzze et accidents nerveux du diabète. Thèse d'agrégation. Paris,
d'ailleurs fort variable suivant les cas. ' ' La pathogénie de ces accidents est encore très obs- cure. M. Pierret pense qu'
une violente céphalalgie frontale et de vomissements abondants. Ces accidents se calmèrent spontanément, mais depuis cette da
sei vice (le M. CmncoT) dans la thèse de .11. llovell : De quelques accidents de l'épilep,,e et de Vhgslcro-epilepsie. Thèse de
se, se servit de la main et de l'avant-bras pour la ramasser. - Les accidents restèrent localisés aux extenseurs de cette rég
e du bras droit). Le traitement spécifique eut rai- son de tous ces accidents . G. D. XIII. BLESSURE DE la MOELLE cervicale pa
a troisième et la quatrième vertèbres cervicales. A la suite de cet accident on observa une perte de connaissance, et une pa
auteur, c'est après un effort, un excès de fatigue que survient cet accident ultime. Et les observations de Frerichs confirm
utre, le tableau clinique y est moins uniforme. On y retrouve comme accident terminal la faiblesse avec refroidissement des
ssi embarrassé dans le choix d'une théorie qui puisse expliquer ces accidents . Après les avoir battues en brèche pour la plup
uvons donc pas accepter, dit-il, que l'acétonémie soit la cause des accidents ; et le mot même devrait être effacé de la patho
lement chez les diabétiques qui succombent à la phthisie sans aucun accident nerveux. Frerichs conclut que la cause de la
première fois consulter Seitz pour son goitre, n'avait alors aucun accident Revient trois mois plus tard avec de la toux, u
t que le premier pour la liberté individuelle. D'ailleurs de graves accidents arrivés récemment à la suite soit d'évasions, s
ès son arrivée dans sa famille ; mais c'est là fort heureusement un accident rare qui doit rendre le médecin circonspect, ma
aris, où en serait-on ? Depuis quelque temps, on ne voit que trop d' accidents ou d'événements tragiques, occasionnés par des
provi- soires et les congés, c'est ouvrir la porte à toute espèce d' accidents , à une multitude d'actes criminels, à toutes so
rs recherchés et réintégrés le plus tôt possible, afin d'éviter les accidents graves qui arrivent presque inévitablement dans
TÉS SAVANTES. dehors de l'asile. Je n'ai, pour ma part, jamais eu d' accidents à signaler depuis que je suis cette coutume.
urgitations habituelles et qui enfin fut atteint de rumination. Les accidents concomitants diminuaient et dispa- raissaient q
ce de réflexes cutanés et tendineux. T. 39 Analgésie. Le lendemain, accidents pulmonaires. Mort. Le profes- fesseur Meynert r
es dans tout le cours de la maladie, la complication prématurée des accidents du décubitus. L'impossibilité d'établir un diag
du côté droit. Enfin, affaiblissement de la moitié droite du corps. Accidents du décubitus. Vaste foyer de ramollissement dans
es quatre extrémités, des sueurs, de l'anesthésie par régions; tous accidents d'origine médullaire (pas de perte de connaissa
rs sous l'influence d'une infiltration des sommets compliquée des accidents du décubitus. Les lésions portent sur le lobe fro
employés dans une fabrique de caoutchouc soufflé qui furent pris d' accidents comparables à ceux de l'alcoo- lisme aigu; leur
rg, considérations sur la sciatique, de la migraine, de l'onanisme, accidents nerveux du diabète, ergotisme convulsif épidémi
, accidents nerveux du diabète, ergotisme convulsif épidémique, des accidents cérébraux qui surviennent dans le cours de la n
premier groupe comprenant des alcooliques avérés ayant déjà eu des accidents cérébraux etchez lesquels il s'agit véritableme
e ; b) un second groupe comprenant les sujets qui n'ont jamais eu d' accidents cérébraux attribuables à l'alcoolisme et chez l
ument qui contient la relation ingénue, faite par un procureur, des accidents divers éprouvés par une hys- térique qui, en 15
que et en particulier de la scia- tique survenant dans le cours des accidents secondaires; par Dultois. Thèse de Paris, 1884.
d. Déjà les dégâts étaient considé- rables lorsqu'on s'aperçut de l' accident . Grâce à l'habileté du super- intendantde l'asi
as d'aura les avertissant assez à temps pour se prémunir contre les accidents . Instabilité MENTALE.- Sous le titre de : L'esc
55 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
elle de M..., garçon boucher de 4 ans, soigné depuis 8 ans pour des accidents cardiaques d'origine rhumatismale, ayant présen
manifestant sous l'influence d'un écart de régime alimentaire, des accidents d'obstruction rénale et du délire très actif, q
elle de R..., boulanger de 36 ans, buveur de vin, mais chez qui les accidents délirants ont disparu en même temps que les div
ire, les cauchemars, les cram- pes avaient été considérés comme des accidents exclusive- ment alcooliques. D'ailleurs, en p
toxique ? Au point de vue thérapeutique, le traitement immédiat des accidents délirants toxiques sera, pour tous et avant tou
être passager et pouvoir le mettre en garde contre le retour des accidents qui l'ont amené à l'asile. Le malade ayant prés
lis l'a beaucoup préoccupé. Il ne présente à l'heure actuelle aucun accident spécifique et aucune trace de spécificité. Un p
ps de sa grossesse, sa santé générale avait été très bonne et aucun accident (traumatisme, maladies infectieuses) n'était ve
r. Renseigne- meH<s nuls sur sa famille. Mère eczémateuse, pas d' accidents nerveux. Grand-père maternel mort de paralysie
on, les parents étaient encore bien unis. Grossesse normale : pas d' accidents , pas de traumatisme; pas d'émotions morales, pa
lique. Si donc après une recherche infructueuse par cette voie, les accidents persistants ne témoignent de l'exis- tence de c
ction fut renouvelée tous les deux jours pendant un mois sans aucun accident . Il faut noter que les accès d'épilepsie que pr
ffrent un cer- tain intérêt au point de vue de la pathogénie de ces accidents et qui peuvent être en même temps mises à profi
n qui leur fait défaut que l'on arrive à corriger la plupart de ces accidents . La discipline psycho-motrice n'est pas moins p
re de supposer l'existence constante d'un poison pour expliquer les accidents consécutifs à une émotion. On a peut-être trop
d'un trouble fonctionnel des centres nerveux. La répétition de ces accidents peut être également le fait d'une habitude foncti
une insuffisance des interventions corticales. La correction de ces accidents se fait facilement à l'aide du traitement par le
ue l'on doit étudier comme une maladie générale, peut, en outre des accidents polymorphes qu'elle occa- sionne, déterminer de
utre des accidents polymorphes qu'elle occa- sionne, déterminer des accidents cérébraux. Mais ce qu'il y a de fort intéressan
partie détruites. 1897. 11 n'est survenu durant cette année, ancun accident . 1898. Juillet. Puberté : Le visage, les aissel
cès. Poids après décès : 36 kg. 200. Le matin et jusqu'au début des accidents mortels, Deb... n'avait rien offert de particul
l'âge de 31 ans, il a reçu sur la tête un madrier assez lourd. Cet accident n'a pas eu de con-équences im- médiates. Le mal
à propos de la moindre con- trariété. Sept moi'' avant le début des accidents qui l'ont conduit à l'a-ile il a perdu de tuber
termittente. Jamais il n'eut de troubles cérébraux. Soigné pour ses accidents cardiaques, il était abstinent depuis trois ans
s permettent d'écarter l'influence de l'al- cool dans la genèse des accidents hallucinatoires et délirants. Observation V. Se
l'emploi de doses d'iodure supérieures à 10 grammes. La crainte des accidents cardiaques ne doit pas être un obstacle, en rai
ide et marquée de la nutrition en rap- port avec l'amélioration des accidents morbides ; six cas concer- naient des sujets af
es, il y eut dis- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 149 parition totale des accidents quelconques dès le premier mois de l'expérience
e 29 kilog. Chez les 2 malades dont l'état s'aggrava, les crises et accidents épileptiques augmentèrent à tous égards, et il
1 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. '16). il janvier 1901, présente les accidents suivants. Elle enlre à 1'1)ô- pital parée qu'el
e de cas tout à fait légers, et surtout dans ceux où une partie des accidents peut être mise sur le compte de l'hystérie. É
ères, de troubles trophiques et vasomoteurs (bulles de pemphigus et accidents du décubitus), d'une somnolence durant des jour
sujet chez lequel on ne peut supprimer la morphine sans produire d' accidents . L'élément es- sentiel pour qu'un morphine devi
i revient. Cette amnésie doit-elle être mise sous la dépendance des accidents épileptiques ou du toxique éthylique ? R. Leroy.
e et traumatique, la nature et l'évolution lente et irrégulière des accidents , qu'on doit rapporter à la compression de la mo
c et de l'intestin sont la cause occasionnelle du déve- loppement d' accidents hystériques (oesophagisme, éructation, cri- ses
ffirmé par l'al- lure et l'évolution des symptômes, la guérison des accidents et le résultat négatif du cyto-diagnostic, s'es
r de méningite tuberculeuse cinq mois après, a l'ait une récidive d' accidents pseudoméningitiques. dont elle a guéri en quelq
ugée nécessaire. Celle-ci ne réussit pas et l'enfant succomba à des accidents cérébraux. Le pauvre père devint alors complète
ranger, très sobre, rhumatisant, n'aurait pas eu la syphilis. Pa, d' accidents nerveux. Il aurait été « débauché » à dix- sept
nés à la maison et dans la rue. Au début, à sept ans, alors que les accidents rachitiques commençaient à dis- paraître, l'enf
oriations, et même des ulcérations des régions humectées. Nul autre accident concomitant n'est à noter. Malgré ses tics, V..
assique de la démence précoce : l'âge du patient, la façon dont les accidents avaient débuté, leur caractères et leur évolution
es dans cette notice. Il me reste pourtant à dire quelques mots des accidents . Ils sont relativement rares à la Colonie de Gh
bien que les aliénés soient exposés comme tout le monde à tous les accidents de la vie ordinaire. Cela tient sans doute au per
Colonie, je compte, pour tout le territoire de ma sec- tion, comme accidents graves, une mutilation de la main dans l'engren
amènent promptement l'amélioration et même la disparition de ces accidents , qui sont l'occasion ordinaire de la mort des tab
ande majorité des tabéli- aues est antérieurement syphilitique, les accidents du tabes n'ap- paraissent souvent chez eux qu'à
i on met à part celles dont lé délire n'a que la signification d'un accident psychi- que po<t-opératoire et celles où l'é
de est des plus simples, rapide, réduisant au minimum les chances d' accident et de pénétration dans la trachée (je ne l'ai j
ions déli- rantes ; 5° présence de l'hématozaire; 6" curabilité des accidents par la quinine, au moins au début de la maladie
érique, ou perte complète absolue de la vision des deux yeux est un accident rare, plutôt fréquent chez la femme. Le mode d'
té, leurs causes provocatrices rappellent en tous points les autres accidents hystériques. Les malades de ce genre sont compl
malade à tendances plutôt malfaisantes et capable de provoquer des accidents qu'il sera peut-être impossible d'éviter dans u
lleurs pas été spécialement étudié, si ce n'est au point de vue des accidents qui peuvent y survenir. On sait que les accès n
L'emploi des alcalins est réputé comme préventif et curatif de ces accidents . Le ti-ioi2zal a le grand avantage d'être moins
les cas aigus, l'al- coolisme en particulier, il a donné lieu à des accidents toxiques. L'emploi des opiacés est en tout cas
iyoscine pro- duit une rémission tout à fait satisfaisante sans les accidents gas- triques et l'influence néfaste sur la sant
ien connue, mais de moins en moins employée. Cet ostracisme, dû aux accidents con- sécutifs (cas de mort par congestion pulmo
jours suffi de sup- primer le médicament pour faire disparaitre ces accidents . L'orateur ajoute que c'est seulement dans les
à refuser les aliments et ne succomba qu'au bout de deux ans à des accidents pulmonaires d'origine tu- berculeuse. M. A. M
éthodiquement et rigoureusement pratiquée, il ne se produisit aucun accident post-opératoire. Le résultat anatomique prévu f
sitôt le besoin de morphine créé par son administration dès que ces accidents se montraient. Il est donc de toute nécessité d
tuer à la morphine, que la morphine ne calme clu'en apparence leurs accidents et ne fout que les masquer en aggravant l'hysté
grande facilité un rapport, difficile à détruire ensuite, entre les accidents et le besoin de morphine, et qu'en conséquence
e qu'avec la plus grande circonspection quand il s'agit chez elle d' accidents non nerveux et douloureux qui en réclament habi
t habituellement l'emploi. Donner de la morphine pour combattre des accidents hystériques n'est pas seulement une faute théra
AVANTES. 371 un épisode cicatriciel insolite, mais donna lieu à des accidents de psychose, à des anomalies de température, de
es trémulations avaient acquis une importance toute spéciale. Les accidents convulsifs du spasme facial se présentent chez ce
es morbides, l'instant de l'évolution progressive ou régressive des accidents . P. 11E11.1VdL. XVII. Y a-t-il des voies centri
btient de la première série une postérité vigou- reuse et indemne d accidents convulsifs, tandis que les petits de la seconde
Avec ses pelouses aux corbeilles fleuries, sa pièce d'eau et ses accidents de terram « Meerenberg » ressemble beaucoup plus
édullaire. L'es- charre est apparue quelques jous seulement après l' accident , mais Charcot n'a-t-il pas trouvé de l'hypertro
ocytes au voisinage d'une plaie spinale vingt-quatre heures après l' accident . Le fait le plus curieux à signaler, est incont
pleins devant la capacité dictatoriale. « Le régiment, il y a un accident ; il faut débarrasser de suite la qualité. Je n'
urs bien portés et sont morts à un âge avancé. Mie ne connaît pas d' accidents névropatliiques dans sa famille, ; un de ses fr
ement guérie le 30 avril; elle a conservé intact le souvenir de ses accidents et nous confirme la réalité de ses hallucinatio
is reconnue, son traitement aura le double avantage d'améliorer les accidents physiques et les accidents mentaux. En résumé
aura le double avantage d'améliorer les accidents physiques et les accidents mentaux. En résumé les relations entre les ma
qui peuvent ou doivent être l'objet d'une mention spéciale, (morts, accidents , cas spéciaux, matelas mouillés, visites du per
un état organique qu'étaient venus compliquer transitoi- rement des accidents hystériques. La valeur séméiologique du clo- nu
ld Lévi et Melloizel présentent un sujet de trente ans victime d'un accident du travail à la suite d'une chute grave le 28 j
et insiste sur l'utilité medico-légale de ce signe en présence des accidents du travail. M. S)CtttD ajoute que si ces signes
a cotisail- guinité, les impressions et obsessions maternelles, les accidents de l'accouchement, l'alcoolisme, les profession
lieu, le sérum de chien avait provoqué chez deux de nos malades des accidents locaux et généraux (tétanie, accidents convulsi
chez deux de nos malades des accidents locaux et généraux (tétanie, accidents convulsifs), qui nous avaient fait cesser le tr
56 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lir un diagnostic exact dans le cas où l'on se trouve en présence d' accidents céré- braux et spinaux, Baillarger s'exprime en
me songer un instant, comme on l'avait fait à la Salpêtrière, à des accidents hystériques, d'autant plus que le malade présen
ivo-labial au devant de la canine gauche supé- rieure. Les premiers accidents passés, on constata une amaurose absolue. Apr
sentant elle-même un état semblable. Premier accès.- Les premiers accidents mentaux gravesontéclalé d'une façon subite. En
ts où l'apparition des idées de négation a lieu, dès les premiers accidents mentaux ; plusieurs détails donnent à notre cas u
eu qu'à des troubles trophiques, et celle des glandules amenant les accidents convulsifs). L'auteur manifeste nettement ses p
yer de ramollissement. La malade meurt dans le coma un mois après l' accident . En regard des symptômes cliniques minutieuseme
ion des autres symptômes. La maladie ne doit pas être attribuée aux accidents cardiaques, qui en marquent le plus souvent le
nales), et une p.édisposi- tion psychopathique déjà prouvée par des accidents antérieurs. Quant à la forme cataleptique des a
vée par des accidents antérieurs. Quant à la forme cataleptique des accidents cérébraux, on peut. sans invoquer l'hypothèse d
s par les malades. Dans les encéphalopathies toxiques, la forme des accidents est déterminée, en effet, au moins amant par le
médicaux multiples concluant à la rente réglementaire pour cause d' accident . Cinqaus plus tard, contractions de divers musc
ne thyrollectomie partielle ; la malade meurt le soir même avec des accidents d'as- phyxie aiguë. A l'autopsie, on constate
eure. Elle contracte une broncho-pneumonie très forte. Tétanie. Les accidents typhiques et broncho-pulmonaires dispa- raissen
temps àautre de vomissements, d'obnubilation de la connaissance, d' accidents parétiques du facial, du hras et de la jambe ga
d'après son volume et l'aplatissement des circonvolutions. Mais les accidents symptomatiques de l'augmentation de la pression i
ion clinique. Démence paralytique compliquée à plusieurs reprises d' accidents paralytiques à droite, avec phéno- mènes spasmo
as un effet du hasard. Les géants et les acromégales présentent des accidents similaires : anesthésie géné- rate, torpeur int
de la région dorsale avec quelques contusions aux membres. Après l' accident , le malade regagne seul son domicile et marche
ber le tronc en avant pour atténuer ces douleurs. Huit mois après l' accident , le dos est arrondi en voûte, le redressement i
atteint, depuis l'âge de 20 ans, de toutes les sortes de phobies et accidents nerveux, tels qu'angoisses, sténocardie vasomot
vasomotrice, polyurie, accès de rage avec instincts de destruction, accidents neurasthéniques, conceptions hypochondriaques c
t été atteints malgré un traitement spécifique antérieur énergique. Accidents hémiplégiques précédés de quelques prodromes, g
s et hémorrhagie cérébrale. Mais il peut y avoir thrombose avec les accidents correspondant à la localisation. Il faut admini
tions des muscle et du tégument. Bientôt là main gauche est prise d' accidents analogues à ceux de la jambe 132 REVUE DE PAT
anée. Celte sclérodermie s'est effectuée sans qu'on ait observé des accidents continus du début de la sclérodermie ordinaire
ses, diminution REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. in'nu de tous les accidents ; reste simplement de la parésie de l'extré- mi
. SYRINGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE LA MOELLE. 177 dominé par des accidents cérébraux, dans les deux autres par des acciden
dominé par des accidents cérébraux, dans les deux autres par des accidents cérébelleux. Quant aux symptômes spinaux, ils s
es facteurs qui jouent pourtant un grand rôle dans la genèse de ces accidents . Il convient d'admettre qu'il peut exister dive
ouze jours sans que l'agitation ait cessé et sans qu'il y ait eu un accident local capable d'expliquer la mort. Une deuxième
a suite de la thyroïdectomie et les nombreux cas de guérison de ces accidents par le rétablissement artificiel de la fonction
autres causes peuvent agir efficacement dans la pro- duction de ces accidents . Les unes ont une importance des plus considéra
troubles psychiques post- opératoires consistera doue à éviter les accidents chloroformiques, les suppurations, etc. ; en ou
de la malade en s'éton- nant qu'elle n'eût conservé ni céphalée ni accident . Frappée de cet examen et de ces remarques, la
rouver des douleurs lombaires et de la difficulté pour marcher. Ces accidents s'aggravant, cet homme se décida, au mois d'oct
e nerveux, il est, en revanche, considérable dans toute une série d' accidents qui doivent être considérés comme la conséquenc
physiologie pathologique dominent l'histoire d'une grande classe d' accidents dus à l'artérite. Ils éclairent, en outre, la p
orsque l'artérite se traduit par l'ectasie anévrismale, ce sont les accidents consécutifs, soit à la présence de la tumeur anév
es nerveux des phénomènes de thrombose suivie d'oblitération et des accidents consécutifs. C'est presque uniquement, semble-t
accidents consécutifs. C'est presque uniquement, semble-t-il, à ces accidents et à leurs conséquences, qu'il faut réduire, av
particulier dans la pathologie du système nerveux. En dehors de ces accidents , des lésions artérielles, même très avancées, p
ons de la vie journalière, et depuis son retour dàns sa famille les accidents n'ont pas reparu. En dehors de la longue durée
er buccal. Le traitement psychothérapique supprime instantanément l' accident . Troisième cas. Homme de soixante ans, opéré d'
le malade est guéri. Ces trois malades n'avaient jamais présenté d' accidents hystériques, mais avaient une hérédité névropal
c exagération des réflexes rotuliens, avec atrophie du triceps. Ces accidents spasmodiques disparurent progressivement en l'e
vu des internes l'employer avec trop de violence, et déterminer des accidents graves; elle a été supprimée il y a quelques an
dans l'espace par trois fois consécutives. Une fois rétabli de cet accident , rien d'anormal ne s'est produit dans son état
ile; mais l'auteur ne' croit pouvoir expli- quer la physionomie des accidents apoplectlformes que par la com- plication, soit
té de l'atteinte de tabes est en raison inverse de la gra- vité des accidents spécifiques initiaux et de l'énergie du traitemen
de et montre quel est le rôle de cette paralysie dans la genèse des accidents . La paralysie n'est due ni à une myosite, ni au
ées par le cerveau, en rapport aussi avec l'époque d'apparition des accidents . Certains sujets jouissent d'une intelli- gence
servation em- bryologique permet à bon droit de les rattacher à des accidents de l'évolution de la gouttière rachidienne et d
l présenta alors de la tachy- cardie avec faiblesse du pouls et des accidents d'oedème pulmo- naire, le tout accompagné d'un
ras droit qui s'amaigrit; quel- ques douleurs lancinantes. Tous ces accidents s'aggravent jusqu'en 1895. Déjà, en décembre 18
des ganglions axillaires et sus-claviculaires. Deux ans avant ces accidents , cette femme avait déjà présenté des troubles psy
n héréditaire ou acquise est nécessaire pour le développe- ment des accidents désignés sous le nom de folie post-opératoire.
voir quelles seraient la nature du délire, la forme et la durée des accidents . Il est cependant une catégorie de prédisposés po
es à caractère hystérique et de grands accès épileptiques, tous les accidents ont complètement disparu à la suite de l'opéra-
r la première fois surtout il n'est pas renseigné sur la marche des accidents survenus dans le cours de l'épilepsie. c) Parfo
approchée que possible du début de l'aliénation. Alors on évite les accidents de tous genres et on augmente les chances de gu
même. En allant du simple au composé et en remontant l'échelle des accidents mentaux d'origine alcoolique nous voyons que l'
uoi- qu'il soit probable que si le foie n'eût pas été touché, ces accidents eussent pu se faire longtemps attendre. L'insuffi
laissa pendant trois heures sans con- naissance. A la suite de cet accident se développa un accès de manie avec un satyrias
où l'état du corps est identique dans l'hypothèse du suicide, d'un accident ou même d'un homicide. De tels exemples sont co
isonnement où par noyade, aucune d'elles ne figure dans la classe d' accidents , que ceux d'accidents de chemin de fer, d'indus
de, aucune d'elles ne figure dans la classe d'accidents, que ceux d' accidents de chemin de fer, d'industrie ou de mines, ces
que ceux d'accidents de chemin de fer, d'industrie ou de mines, ces accidents peuvent être et ont en effet été diminués de fr
s le tableau suivant, je donnerai les proportions de sui- cide et d' accidents par armes à feu et armes blanches pour les deux
DE EN GRANDE-BRETAGNE. 399 très discutable si elles sont dues à des accidents ou à des sui- cides. Les chiffres de ces colonn
à la fois en Angleterre et en, Ecosse, et les morts imputables aux accidents diminuent en Angleterre, l'augmentation des sui
400 STATISTIQUE SOCIALE. contre-balancée par la diminution des accidents . L'exactitude e de la balance pour l'Ecosse est
e des mouvements, le début de l'affection, et enfin le fait que les accidents , qui offrent tous les caractères objec- tifs de
lessure grave à la jambe et d'une frayeur intense à la suite de cet accident , des secousses muscu- laires, et quelques mois
paramyoclonus parait relever d'une cause person- nelle, acquise : l' accident ; et l'épilepsie serait de nature hérédi- taire.
nal, juin 1897.) Le cas suivant est plein d'intérêt en raison des accidents graves d'intoxication provoqués par l'ingestion
ggère quelques considérations intéressantes sur la patho- génie des accidents observés. On n'attribue pas au whisky de pro- p
bien à 'une intoxication alcoolique aiguë qu'il faut attribuer les accidents présentés par cet enfant. Quelle est la nature
UII,TO%7. (Neuroloil. Ccnlral0l., XVI, 1897.) Deux observations d' accidents de ce genre chroniques pendant des semaines et
la théorie à la pratique. Au lieu de mélanger les sujets atteints d' accidents récents au résidu des chroniques, on les place
a conception. Débilité intellectuelle : émoussement du sens moral ; accidents neuras- théniques. Homosexualité; rapprochement
57 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n cadre en se fondant sur la nature essentiellement mobile de ses accidents - elle paraît avoir été considérée jusqu'à prés
r que cette hypothèse ne peut être longuement soutenue et que les accidents divers présentés par le malade sont bien de nat
e chez le malade n'est pas du tout permanente; depuis le début de l' accident , la flac- cidité et la rigidité se succèdent à
est entré à l'hôpital et que nous avons pu constater, a eu déjà des accidents à peu près semblables, il y a de cela seize ans
LA FACE. ARTHROPAT111ES AIGUËS. - DISPARITION COMPLÈTE DE TOUS LES ACCIDENTS AU BOUT DE TROIS MOIS ET DEMI ; par le Dr E. DU
dans la moitié gauche du corps et de mou- vements de rotation. Ces accidents 'après avoir persisté pendant quelques jours av
ereaux, ne correspondent pas à des maladies distinctes, ce sont des accidents alternes d'un même état général, l'athérome art
indemnes, mais. soeur idiote, hémiparétique. Originalité, hystérie, accidents mens- truels. Il y a sept ans, agitation due à
ral, par une éruption roséolique très peu marquée ainsi que par des accidents typhiques bénins. La température rectale fut cl
suivie d'une opération (castration unilatérale pour remé- dier aux accidents causés parl'enclavementdans le canal inguinal d
0; chez les femmes, cette proportion est à peine appréciable. Les accidents , les blessures donnent une proportion d'environ
érysipèle gagne, les troubles psychiques rétrocèdent. Finalement, l' accident somatique et l'aliénation mentale guérissent co
ôté. C'est REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 89 quatorze jours après l' accident , lorsque le malade reprend con- naissance, qu'o
. WESTPHAL présente un homme atteint d'une névrose consécutive à un accident de chemin de fer. Absolument sain jusqu'au 14 jea
emin de fer. Absolument sain jusqu'au 14 jean- vier 1885, jour de l' accident , il est violemment projeté contre la 'paroi d'u
t les cauchemars pendant lesquels revient sans cesse 'histoire de l' accident ; pendant la journée, le malade est pris d'accè
du reste, même au début, de la névrite, on peut avoir affaire à des accidents d'exci- tation du pneumo-gastrique qui entraîne
e affection rhumatismale sont insuffisants BIBLIOGRAPHIE. 125 Les accidents rhumatismaux ont souvent manqué chez les cho- r
par J. Pineau. (Thèse de Paris, 1885.) Contribution à l'étude des accidents laryngés chez les ataxiques, par Munschina. (Th
téger et de soutenir les os fracturés, la conduite à tenir dans les accidents d'urgence, tels que l'asphyxie, les noyades, les
embre supérieur gauche est complètement paralysé comme le jour de l' accident , et cette paralysie est flasque. Le membre infé
racture et le retour des mouve- ments ? Une semblable évolution des accidents est inadmissible; cette supposition est en cont
Le malade est examiné à la Salpêtrière quatre mois environ après l' accident ; la contracture persiste toujours, les mouvemen
rnier lieu aux Halles cen- trales ; c'est là que lui est arrivé son accident . Il y a quatre mois et demi (le malade ne peut
, il se décida à entrer à l'hôpital, quatre jours seulement après l' accident . Non seulement le malade n'éprouvait pas de dou
nements que nous avons eus sur son compte, s'est habitué depuis son accident à vivre dans l'oisiveté et à se ser- vir de sa
mais ces phénomènes ne furent que transitoires. Trois mois après l' accident , le malade est exa- miné à la Salpêtrière et on
ent été aussi comprimés. Les ouvriers présents, s'aperce- vant de l' accident , firent signe au machiniste qui, aussitôt, fit
nséquent, selon toute vrai- semblance, le côté droit était, ayant l' accident , le plus développé. Nous sommes d'autant plus p
te exercée dans certains cas par la suggestion hypnotique sur les accidents de l'hystérie, si graves et si invétérés qu'ils s
parole très nette, n'avait jamais été troublée depuis le début des accidents . Le membre supérieur droit était le siège d'une
moelle. - Un homme de trente et un ans, atteint un an auparavant, d' accidents infectants, est atteint brusquement d'hémiplégi
e du voile du palais; le 2 novembre, commencèrent à se produire des accidents oculaires et des troubles delà m otiii té volon
la pression; affection articulaire passagère avec fièvre ; quelques accidents ataxi- formes ; disparition des réflexes patell
ion des zones sensorielles. Tumeur probable, quoi qu'il n'existe ni accidents épileptiformes, ni convulsions quelcon- ques, n
-Par où s'est éffectuée la contagion ? Résulte- t-elle d'un simple accident ? La jeune fille était elle nceinte au moment d
e grande partie du lobe frontal, les symptômes se rapprochèrent des accidents expérimentaux pro- voqués par Munk chez les sin
pement autour du chiasma, à laquelle on peut attribuer la série des accidents visuels tout en s'étonnant que la cécité n'ait
uro- REVUE DE pathologie NERVEUSE. 235 psychique. A la suite d'un accident de voiture, qui cependant ne l'atteignit point
aires pour émettre ses,idées.Le troisième jour des convulsions, les accidents , qui ont débuté par le facial inférieur, et ont p
NS CÉPHALIQUES ET A DES commotions CERÉI3ROôPINALESdCIYtS l'espèce, accidents des voies ferrées); par M. H. Oppenheim (Arch.
trophiques du nerf optique, par de la torpeur des pupilles, par des accidents fébriles. Conclusions. 1 Voir Charcot. Leçons d
s traits fondamentaux de l'ensemble des syndrômes consécu- tifs aux accidents de chemin de fer en font, dans beaucoup de cas,
dres opiniâtres, mais mitigés durant la première année qui suit l' accident , s'aggraveraient plus tard. P. KÉRAVAL. L. De l
, à s'hypnotiser lui-même. Ces pratiques répétées déterminent des accidents nerveux; pendant plus d'un an, on constate des
e). L'auteur en tire que les pre- miers phénomènes étaient, non des accidents autonomes en REVUE DE pathologie mentale. 2t3
à la contemplation d'objets brillants, ceux-ci ne provoquent aucun accident dès que l'épi- lepsie convulsive est constituée
, Gowers, Boeumler). L'évolution, la constatation dela modalité des accidents (perte de connaissance absolue) et de leurs car
ibution de l'eau chaude dans les baignoires et éviter ces terribles accidents qu'on a souvent signalés par suite de la néglig
clinique de la paralysie générale ultérieurement remplacée par des accidents catatoniques entrecoupés d'attaques congestives
s réguliers, figure agréable, pas de goitre; elle ne présente aucun accident nerveux J. Notre malade. - Durant la grossesse,
rossesse, à trois mois, la mère fut renversée par une voiture ; cet accident sans conséquences graves lui causa seulement pe
iculaire et dans d'autres régions, mais la priorité relative de ces accidents pathologiques est inconnue. Dans les quatre cas
ente et un ans; la ménopause est arrivée à cinquante et un ans sans accidents . Pas de convulsions, pas d'attaques de nerfs, p
nquanle-huit ans, sobre; était né à Vannes et n'a jamais présenté d' accidents nerveux. - Hère, ménagère, sobre, morte à quatr
'excitation alcoolique la plus légère,- Grossesse bonne, sans aucun accident . Accouchement à terme, naturel, sans chloroform
s sous nos yeux. OBSERVATION. - Tentative de suicide par pendaison. Accidents d'oedème de la glotte et de distension du plexu
avalant duverre pilé, qu'elle vomit presque immédiatement. - Pas d' accidents . *» 16. - B... avale dans les cabinets du chlor
déposé quelques instants auparavant. Vomissements. Pas d'au- tres accidents . Depuis lors, la malade devient de plus en plus
épaule droite. L'amélioration que l'on constate au point de vue des accidents qui ont suivi le suicide n'est point la seule;
me qu'hier soir vendredi, c'est-à-dire trente et une heures après l' accident ; elle se rappelle avoir été oppressée à ce moment
ide a déterminé des effets locaux assez importants : 1° d'abord des accidents d'oedème de la glotte, qui ont laissé le pronos
us sur la moelle. Quand l'affec- tion médullaire eut rétrocédé, les accidents psychopathiques qui avaient momentanément rétro
58 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sel gront Rrf ? h i 1) -à ' « ' Mais je ne sache pas que parmi ces accidents uremiques consécutifs à'la sténose uréthrale; l
t,de 7éactions, intellectuelles Et le même -auteur, étudiant,,les : accidents cérébraux, du, mal de.,Bright, met en premièret
· la· folie.strptluool6'lsb sïi 3s sup buo'oq ulq 111, Lasèguer Des accidents cérébraux qui surviennent daas; le,coiers de la
ouvement parfcdestdoses d'alcool trop faibles pour,, provoquerq les accidents , spécifiques. D'une part, on a le delirium trem
40 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1· HÉ\fIANOPSIE ET NEURASTHÉNIE, ACCIDENTS DE CHEMIN DE' FER J . par le Dr BADAL. (&a
r ici quelque chose det plus, et porte à admettre qu'au moment de l' accident , il s'est produit du côté des centres' nerveux'
e' faisait trébucher en "marchant.111 aj ? ~'K'' 5, Un mois'après l' accident , la' paralysie' avait' envahi les quatre membre
e la sensibilité, la rachialgie syphilitique de Charcot, et par des accidents cérébraux moins constants, comme la céphalée, l
nt d'une affec- : tion du système. nerveux entièrement imputable, à l' accident de décembre 1886. 11 y a eu, selon toutes proba
s fait mention des bains permanents chauds pour le traitement .des* accidents gangreneux du décubitus' - M. DrrTMAR ? Les grand
ivée au sixième mois de sa grossesse ; il existe chez elle tous les accidents , de l'éclampsie, comprit unea albuminurie colossa
on absolue à la fin de la deuxième semaine. La forme subaiguë : les accidents aigus persistent une à six semaines- dès lors m
rdre des actes, souvent dangereux en rapport avec. cet état mental. Accidents somatiques multiples; lassitude; amaigrissement
ration des réflexes, tremblements musculaires, etc. La durée des accidents aigus dépend de la persistance avec laquelle le m
nt ponctionné la fontanelle antérieure. Suspension momentanée des accidents convulsifs, bientôt repa- rus puis suivis de mo
s malades et leurs branches. Comme moyen thérapeutique contre les accidents des névrites traumatiques, on ne connaissait au
e alpha, fut injectée au bras, pendant quinze jours, à six malades. Accidents signalés : fièvre, syncope, érythème. Un cas de
a été notée dans les antécé- dents du malade et dans les cas où les accidents antérieurs de la syphilis ont été traités de fa
ouvent aussi l'abaissement de la tempéra- ture est provoqué par des accidents seconda ires qui en sont la cause déterminante.
'influence de la catalepsie, son bras étendu sans qu'il survienne d' accidents convulsifs. Cette malade est une russe de trent
ression du thé, du café et du tabac l'a délivrée de tous les autres accidents . On fait venir le sujet. La fixation du regard
en cause, ne fut pas dé- dommagée de ses pertes. Le lendemain de l' accident , 111 ? B... élait installée dans un petit logem
ie. L'affaiblissement de la mémoire a dû, bien que consé- cutif à l' accident , se développer peu à peu et suivre une marche p
son, et qui s'éten- dait sur la période de sa vie consécutive à cet accident et remontait même plus ou moins loin dans le pa
l lui est impossible de dire la date, même très approximative, de l' accident , ni combien de temps il s'est écoulé depuis, ni c
it sauvée sans voir le feu. " Ainsi les souvenirs correspondant à l' accident ne sont pas nombreux et ne semblent.pas être to
ur que son père et sa mère sont morts l'un avant et l'autre après l' accident ; et d'autres fois elle établit une chronologie di
-dessus. Mais, en résumé, les souvenirs de la période qui a suivi l' accident sont à peu près nuls; il y a dans sa mémoire un
i s'agrandit tous les jours. Un va voir que la lacune qui précède l' accident n'est pas moins considérable. , D'abord elle ne
tout ce qu'elle se rappelle des événements de sa vie antérieure à l' accident . Mais il lui reste d'autres souvenirs. D'abord la
ie très étendue, portant sur la période de temps contemporaine de l' accident , sur celle qui l'a précédé (amnésie rétrograde)
i-îz., 21 février 1894.) Le malade est un mécanicien blessé dans un accident de chemin de fer par une tige métallique ayant
nétré à travers la paroi crânienne gauche. Deux ans et demi après l' accident une partie des REVUE DE pathologie NERVEUSE. 20
troubles respiratoires (dyspnée, crises laryngées, dysphagie). Les accidents prennent une intensité toute particulière au mo
nsciente, l'autre automatique, nous donne la clef de la plupart des accidents mentaux de l'hystérie. Qu'on ait affaire à un s
ères très spé- ciaux qui ont été précisément observés dans tous les accidents hys- tériques. Ces délires sont produits par le
manifestations variées de la dégénérescence. La coexistence de ces accidents de dégénérescence et de l'hystérie ne prouve pas
ela il convient de n'accorder la dénomination d'hysté- rique qu'aux accidents qui se rattachent ou dérivent directement de l'
-sept ans, marchande de quatre sai- sons, a eu en '1887 une série d' accidents hystériques dont elle gué- rit rapidement. Le 2
'hypnose provoquée, la malade se souvenait de tous les détails de l' accident et parfois le souvenir de la scène déterminait
. Je suggérai à la malade que désormais, quand elle penserait à l' accident dont son fils avait failli être victime, elle son
arrassée de ses attaques, la 'malade conservait un certain nombre d' accidents qui la retenaient à l'hôpital. Elle se plaignait
lésions appréciables du genou gauche. J'essayai de faire passer ces accidents par suggestion; je n'y réussis pas. Cette malade
nt successivement par le même procédé. D'où je conclus que certains accidents hystériques, inaccessibles à la suggestion dire
stérique pourrait être considérée comme un équivalent psychique des accidents con- vulsifs moteurs. M. JOFFROY. M. Ballet n
l'influence d'un traumatisme, soient susceptibles de présenter des accidents hystériques. M. Pitres. Il n'est pas douteux qu
sque tous présenté dès leur plus tendre enfance un certain nombre d' accidents ner- veux : crises et hoquets, quintes de toux,
es et hoquets, quintes de toux, attaques syncopales, etc.; mais ces accidents n'autorisent pas à considérer ces sujets comme
iffre des ivrognes profession- nels qui, de temps en temps, ont des accidents d'alcoolisme qui les font interner comme aliéné
ion n'a jamais été de con'- " ondre les délirants systématisés avec accidents alcooliques sur- ajoutés, par exemple, avec les
régularités ou des extravagances, que son enfance a été traversée d' accidents nerveux ou psychiques, que ses ascendants étaie
nait convenablement, dormait bien, mais présentait encore les mêmes accidents syphilitiques, peut-être un peu plus accu- sés,
tes s'enfuient, le paralytique obtus reparaît. Deux fois, semblable accident est venu couper la rémission, et, chaque fois,
psie et 'de passion hystérique furent employés pour expliquer les accidents qu'elle présenta. Quoique les faits du même ord
tinale, troubles dyspeptiques, constipation, etc. La plupart de ces accidents s'amendèrent sous l'influence du traitement, ma
ent, s'exagéraient au moindre effort de travail. En outre, quelques accidents se développèrent qui firent songer à la possibi-'
mme de trente-cinq ans qui, cinq ans auparavant, avait présenté des accidents de syphilis cérébrale extrêmement graves. Elle av
e à la Salpê- trière le 5 juin 1894 par une de ses tantes, pour des accidents intel- lectuels survenus une dizaine de jours a
ucun souvenir de ces atta- ques, fait assez explicable eu égard aux accidents mentaux qu'elle présente d'autre part. Les plus
r; la para- lysie unilatérale complète du récurrent. Ce sont là des accidents lents et insidieux dus à l'ascension du process
ante du cerveau sans qu'on ait à craindre les hernies ou les autres accidents des larges ouver- tures crâniennes. (Revue neur
e la mastication; impossibilité de chanter à voix haute. Bien que l' accident date de douze ans, il n'y a ni atro- phie de la
ation au bistouri de la cicatrice et du corps du délit supprime les accidents ; guérison graduelle complète. ' P. K. LXIII.
iénés, idiots, épileptiques et criminels. Le crime en soi, c'est un accident social. Le criminel est, de par sa prédispositi
ervosisme. Son adoles- cence s'est écoulée, comme son enfance, sans accidents : à vingt ans, elle a contracté une bronchite t
t physique n'avait été troublé, de l'enfance à l'âge mûr, par aucun accident ; la seule affection à noter, durant cette longu
ite d'une déduction logique (Foville), qu'elle soit le produit d'un accident fortuit ou d'une hallucination révélatrice; qu'
blable; il buvait et urinait comme tout le monde. Dix jours après l' accident , alors qu'il était encore à Saint-Louis, il aur
C'est du reste aujourd'hui un fait banal dans l'interprétation des accidents hystériques. Il est de règle que les hystérique
'une idée fixe, d'ordre urinaire, .prenne origine au milieu de tels accidents ? C'est donc psychologiquement qu'il faut conce
leur fréquence moindre que celle des localisations cérébrales, les accidents spinaux sont beaucoup moins variés cliniquement
trèrent que, à l'autopsie des syphilitiques qui succombent avec des accidents spinaux, l'infiltration plus ou moins diffuse d
méningite spinale. Dans certains cas, elle est caractérisée par des accidents cérébro-spinaux. Les phénomènes cérébraux sont
ujours la méningite cérébrale de la base qui inaugure cette série d' accidents . b. A la période des paralysies, l'ensemble sym
par les caractères de la phase prémonitoire et la coexistence des accidents cérébraux mentionnés plus haut. C. Myélite. Dan
yphilis médullaire en général. - Il nous paraît bien établi que les accidents médul- LA 11Z&NINGO-11ZYLITE` SYPHILITIQUE.
type de la méningo-myélite. C'est à cette forme anatomique que les accidents précédemment étudiés semblent ressortir le plus
olue dans la plupart des cas, graduellement, rarement on y voit des accidents aigus fougueux. Cette foiie systématique d'embl
trairement à ce qui se passe dans la folie systématique aiguë, les accidents morbides sont soumis collectivement à un continue
et diagnostic; par le Dr BRUGÈRE. (Thèse de Bordeaux n° 47.) Les accidents de pseudo-méningite hystérique existent réelle-
almique ou d'un goitre simple, il y a toujours à craindre les mêmes accidents avec une évolution similaire. M. le professeu
it jamais être pratiquée à la légère, non seulement par crainte des accidents subits et mortels qui se produisent par- fois,
des u myéline, par ltcnaut, 329. Neurasthénie, hémianopsie et - accidents de chemin de fer, par Badal, 40; palustre, par
59 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
'hypnose provoquée, n'est-on pas en droit de les considérer comme des accidents de nature hystérique, quand ils se montrent réuni
s un balancement analogue à celui qu'on peut observer dans les divers accidents qui dépendent de l'hystérie, — Enfin une attaque
é et par l'éthylisme et par une certaine sommo d'hérédité. Survient l' accident : notre homme est enseveli jusqu'au cou et perd c
avec œdème rouge et chaud ; on fit une incision et il en résulta des accidents très graves. Quelquefois, le médecin croit voir
ire, ou pour faire naitre l'espérance ou la crainte d'un succès, d'un accident ou de tout autre événement chimérique se sera fai
inence que cette périodicité mathématique dans le retour éloigné de l' accident ? Une jeune fille de 18 ans vient me confier qu
n ai pas lu d'exemples dans nos revues, mais nous savons tous que les accidents nerveux, même dus à une intoxication, sont suscep
e M. le professeur Combemale, une hystérique qui y est entrée pour un accident dépendant de sa névrose, accident assez fréquent
hystérique qui y est entrée pour un accident dépendant de sa névrose, accident assez fréquent d'ailleurs et bien connu. Notre in
t conservée. L'aphonie peut être observée à l'exclusion de tout autre accident hystérique. La respiration est normale. La duré
erveux, celui-ci est la conséquence d'une émotion vive, celui-là d'un accident . Bien souvent un cheval victime d'un accident a
n vive, celui-là d'un accident. Bien souvent un cheval victime d'un accident a présenté une boiterie, une paralysie sans qu'au
cles et les sphincters restèrent intacts. Deux mois environ après l' accident , une servante voulant se rendre compte si les cha
e souviens de plusieurs cas de chiens devenus aphones à la suite d'un accident , d'une bataille avec un congénère, etc. La fo
ouvent produit des blessures ou des brûlures insignifiantes suivies d' accidents hystériques graves, le plus souvent une paralysie
iques graves, le plus souvent une paralysie ou une contracture. Les accidents arrivés depuis quelque temps sur les plots électr
é à réclusion hystérique. La maladie des jeunes chiens est suivie d' accidents nerveux épilepti-formes, choréiques, dans lesquel
e : la castration. — Il ne faudrait pas oublier d'étudier de près les accidents nerveux des juments soumises constamment à ia rep
e aucun résultat. La castration du cheval a quelquefois déterminé des accidents insuffisamment étudiés et qui probablement, aurai
t spécial au mal comitial ; chez cette femme il s'agit seulement d'un accident hystérique. Le traitement de cette malade peut
- , Royal s'entresalgnaient a toute occasion, souvent même pour des accidents hystériques, on conçoit à quel degré de gravité p
elles sont même capables de faire apparaître chez les diabétiques des accidents nerveux et de déterminer des troubles circulatoir
émotion. De même que l'hystérie, la goutte peut se manifester par des accidents variés qui se succèdent et se substituent les uns
si donc, comme je le disais plus haut, jesoutiens que tous les grands accidents hystériques, toutes les variétés de paralysies, d
ps, comme le fait la paralysie radiale. De même que tous les grands accidents hystériques peuvent être reproduits par suggestio
l'influence exclusive de la persuasion ; il n'y a pas un seul de ces accidents qu'on n'ait vu parfois s'éclipser en quelques ins
cérébral plus ou moins prolongé. Tout ce qui précède s'applique aux accidents que j'appelle primitifs, de beaucoup les plus imp
rencorehystériques des troubles qui, sansprésenter les caractères des accidents primitifs, sont liés d'une façon très étroite à u
s accidents primitifs, sont liés d'une façon très étroite à un de ces accidents et lui sont subordonnés ; mais il faut ajouter à
dira-t-on peut-être, jusqu'à présent vous avez cherché à définir les accidents hystériques; comment définissez-vous l'hystérie e
t naître, que la persuasion fait disparaître etquisont identiques aux accidents hystériques. Les manifestations dcl'hystcrieson
hystérie incontestable se manifestant par des crises ou quelque autre accident bien caractérisé qui sont réfractaires à la persu
ve généralement à le guérir. Ce que je viens de dire s'applique aux accidents primitifs. La définition que j'ai donnée des acci
s'applique aux accidents primitifs. La définition que j'ai donnée des accidents hystériques secondaires suffit pour connaître les
stérique primitive s'impose; il est indispensable que le lien entre l' accident primitif et l'accident secondaire soit intime et
pose; il est indispensable que le lien entre l'accident primitif et l' accident secondaire soit intime et il faut bien se garder
conséquent, on n'est pas autorisé à considérer ce phénomène comme un accident hystérique secondaire. J'en dirai autant du phéno
pithiatiques », c'est-à-dire guérissables par la persuasion, avec des accidents que la persuasion ne peut faire disparaître. Si j
lui revenoit après de courts intervalles » (!). A 13 ans, d'autres accidents apparurent qui persistaient à 15 ans : « Maux de
ou même si le paroxysme d'angoisse n'est pas déjà de l'épilepsie. Les accidents d'épilepsie tardive sont peut-être ainsi la résul
sympathie qui viennent quelquefois de la vue d'une souffrance ou d'un accident . Tels sont encore les cas d'imitation involonta
i-vité. Elle n'ose môme plus lire un journal, car le récit du moindre accident la bouleverse au plus haut point. Son trembleme
du thorax un appareil inamovible pendant 26 jours. A la suite de son accident , elle a eu des hémoptysies, peut-être traumatique
ont-elles augmenté, qu'on s'attende à une explosion- plus forte des accidents .....Tout moyen, qu'il soit tiré de la thérapeut
at mental. Toutes les fois que, pour une cause ou pour une autre, ces accidents réapparaissent, elle m'appelle auprès d'elle ou v
ours été un peu triste et emporté. II y a deux ans, à la suite d'un accident , il a l'arcade zygomatique gauche fracturée ; il
t second. Notre homme, jusque-là intelligentetactif, est victime d'un accident de chemin de fer et subit un traumatisme violent.
amateur qui a déterminé par le magnétisme, chez un jeune garçon, des accidents qui durent plus d'une année. En 1850, les époux
anquant de l'habileté ou de l'honnêteté nécessaire, ont déterminé des accidents terribles, tant au pointde vue physique qu'au poi
d temps de les rendre au médecin, si l'on désire voir disparaître les accidents qu'elles occasionnent entre les mains des ignoran
occasionnent entre les mains des ignorants. Alors on ne verra plus d' accidents nerveux touchant l'aliénation mentale, après des
orta à son domicile, où elle resta alitée pendant plus d'un mois. Cet accident produisit chez elle de fortes contusions au nivea
urs nuits de suite, la malade eut des cauchemars : elle rêvait de son accident et se réveillait en jetant des cris d'effroi. Dep
et troublé par des cauchemars, quoiqu'elle eut cessé de rêver de son accident . Trois mois après l'accident, la jeune fille
uoiqu'elle eut cessé de rêver de son accident. Trois mois après l' accident , la jeune fille commence à avoir des crises qui s
térie ; on l'a endormie jadis, mais l'hystérie n'est pas la cause des accidents actuels. C'est ud cas d'aboulie sur un terrain ne
s, elle reçoit un coup de pied dans le flanc droit. A la suite de cet accident , souffrances très vives et crises nerveuses fréqu
ien à signaler dans ses antécédents. Sur cet ensemble se greffent des accidents nerveux (boule). Tous ces troubles ont été causés
rte à la suite de couches. Réglée pour la lre fois il y a 9 mois sans accidents , celte jeune Ûlle eut dans son enfance plusieurs
u. Il peut arriver que l'événement se soit présenté sous forme d'un accident assez grave, ayant entraîné des blessures ou n'ay
en détaillé de la malade, les caractères de la crise et la genèse des accidents montrent qu'il s'agit d'autre chose : ce délire r
doit pas être mis sur le compte d'une psychose quelconque : c'est un accident hystérique causé par les méfaits de ses deux hypn
60 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
e environ. Ces grandes crises dans lesquelles se succèdent tous ces accidents ner- veux d'apparence inquiétante que nous veno
ssance survenant après le scotome scin- tillant, et quelques autres accidents encore, qu'il serait trop long d'énu- mérer et
it là de migraine ophtalmique et que quelque intense que soient les accidents , ils disparaîtront pour reve- 'nir vraisemblabl
toute lésion cérébrale antérieure peut en se prolongeant amener des accidents durables et par conséquent grades. Il n'est pas e
n effet, à part la douleur hémicrànienne et le scotome scintillant, accidents essentiellement transitoires, un seul des phéno
ne irritation des vaso-moteurs. Mais, la nature si particulière des accidents de la migraine ophthallnique doit répondre à un
s variées de l'aphasie, les troubles moteurs ou de sensibilité, les accidents épileptiformes ? Dans l'étal actuel de nos conn
dantes pourra rendre compte des troubles moteurs, sensitifs, et des accidents épilepti 1'0 1'111 es qui si souvent reviennent
e ophlhalmique. Nous avons vu que chez notre -malade la plupart des accidents men- tionnés se sont montrés simultanément, et
tériole est affectée plutôt que telle autre ; : 3° Enfin pourquoi les accidents habituellement passagers deviennent ainsi que n
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE existe entre ces deux sortes d' accident une certaine relation. Cela m'a conduit à pense
ode si je ne me trompe, a réussi plusieurs fois dans des cas où les accidents inquiétants semblaient en raison de leur persista
sont devenus moins intenses, moins longs, le plus souvent même les accidents concomitants ont cessé de les accom- pagner.
les l'apparition de troubles cérébraux longtemps après le début des accidents médullaires, ainsi que la constatation nécroscopi
ture spécifique, sont du moins d'origine syphilitique ; il s'agit d' accidents « parasyphilitiques ». Toutes ces opinions ont
attribuer la paraplégie à une poussée congestive de la moelle. Ces accidents de paraplégie ne furent du reste que passagers. L
ême de l'établissement de ses règles. 1 Six mois avant le début des accidents actuels, nouvelle clrute sur lecoc- cyx. Elle r
-même est migraineuse. Au mois de février 1893, elle a présenté des accidents de pseudo-péritonite, accom- pagnés de rétentio
ue des troubles ano-vésicaux et mie eschare au siège. Seulement les accidents éclatent avec brusquerie; d'emblée, la paraplégie
peu accusée comparativement à l'élément contracture; d'ailleurs les accidents sont bilatéraux. Enfin une confusion du tabès
e traumatique, pendant les premiers jours ou semaines qui suivent l' accident . Quelquefois, ils ne peuvent marcher qu'en s'ap
um, ou les nerfs qui en partent. Chez le malade de Kirchhoff, les accidents ,' survenus à la suite d'un traumatisme, ont déb
violence du choc traumatique, perdent connaissance, au moment de l' accident . Quand ils reviennent à eux, ils sont dans l'im
Kahler (Prayer medicin. lvocheiischi,ift, 1882, n°2, p. 18), où les accidents avaient été occasionnés par la luxation de la 5
? t. XV, fasc. 3, p. G07). Il s'agit d'un malade chez le- quel les accidents incontinence d'urine et de matière fécale- s'étai
Psychiatrie und llTm2etL ? t. XX, fasc. 1, p. 298). Ici encore les accidents se sont développés à la suite d'une chute sur l
noté cette manifestation. Une jeune fille de seize ans fut prise d' accidents hys- tériques très violents après une contusion
cre Paris. Nous aurons à revenir sur ce cas curieux dans lequel les accidents qui affectèrent le sein gauche s'étendirent presq
estation, dans les autres on en est réduit à l'étiologie banale des accidents hystériques. Il est permis toutefois de remarquer
use, à l'occasion de chagrins de famille et qui présentait certains accidents du côté des seins. Au début de son examen, ceux
alement chez lui d'hématomyétie. Rappelez-vous le début brusque des accidents , à la suite d'une sorte d'ictus qui n'est pas s
et de la pyélo-né- pyrite. Cet homme succomha sept semaines après l' accident . Or, à l'autop- sie, on constata une lésion int
tôt indépendamment de toute lésion extérieure, tantôt à .la suite d' accidents traumatiques, de même l'eczéma accompagnant l'hys
enfants, dont six sont bien portants, les deux autres étant morts d' accidents méningi tiques, l'un à 5 ans, l'autre à 14 mois
a malade s'est mariée; elle a eu un enfant qui est mort à 13 mois d' accidents méningitiques ; à la suite de ses couches elle au
aucun autre stigmate d'hystérie. On ne relève dans son passé aucun accident nerveux, sauf une « crise » sur laquelle la malad
llectuelles subissent souvent des perturbations en rapport avec les accidents psychopathiques qu'on peut rattacher à l'hystér
ment, quelque aven- ture malencontreuse. De ce nombre étaient les accidents ou les maladies qui, troublant mo- mentanément
émoire ces curiosités pathologiques qui occasionnent en général des accidents très graves et qui nécessitent toujours une opé
et la plaie est toujours le fait et non le but de l'opération. Ces accidents auraient cependant pu donner matière à des compos
pétueusement sur les parties inférieures, n'excitent divers fâcheux accidents en plusieurs parties du corps. C'est pourquoi Mes
e, il me semble nécessaire de vous exposer l'évolution clinique des accidents . La connaissance de ces données est d'ailleurs,
ir, sur le pronostic du cas. Vous vous rappelez que l'évolution des accidents nous a permis de constater une certaine amélior
alise aux muscles du tronc pour gagner le larynx et occasionner des accidents asphyxiques. Nous avons dit que la tétanie proc
bien d'autres sur les bords de la Sprée ou du Danube, seraient des accidents extrêmement communs, tandis que les médecins de
A SALP £ TRI1- RE T VI11 PL. %LIV LT XLV cHWTW OL 1<kRHnUI·. ACCIDENTS TETANIQUES D'ORIGINE HYSTERIQUE Chez une femme
es, déboîtes, et de bandes à pansement. Pourra- t-il traverser sans accident le Ilot humain qui l'enserre ? Pour compléter l
ba de sa gondole et se noya dans un canal. On voulut voir, dans cet accident , une punition du ciel, Andries Both ayant aidé,
orté, riant et pleurant facilement, la malade n'a jamais présenté d' accidents nerveux définis ; elle a eu 2 accou- chements n
ans le courant de 1891 elle eut une fluxion de poitrine et quelques accidents culanés syphilitiques au bras gauche. Maladie a
trouble du côté du sphincter anal. Deux jours après le début des accidents la jambe gauche se prenait de la même façon que
sensation assez pénible d'engourdissement et de fourmillement. Ces accidents aigus avaient été précédés pendant quelques semai
celles du foie, qui sont si caractéristiques, enfin l'évolution des accidents et les commémoratifs établissent d'une fa- çon
n'a souvent pas de valeur, nous voyons que dans le premier cas les accidents graves n'ont été annoncés par aucun symptôme pr
e ces avertisse- ments qui précèdent habituellement l'explosion dès accidents graves de la syphilis cérébro-spinale : céphala
ouleurs paroxystiques dans les jambes. A part cela, l'évolution des accidents et leur durée ont été très analogues ; la maladie
myélite syphilitique, appliquée à la cause anatomi- que de certains accidents aigus de la syphilis médullaire, me paraît donc
ue, les trois qui l'ont précédé auraient succombé en bas âge il des accidents convulsifs ou méningés. 1 AUTOMATISME AMBULATOI
domen où il existe une éventration au niveau de la ligne blanche, - accident fréquent chez la femme qui a eu de nombreux enfan
les acci- dents : et j'ai vu cela dans beaucoup d'autres cas ». Les accidents céré- braux peuvent avoir du reste pour seule c
vec des siccatifs. » Si la fracture est pénétrante, on attendra les accidents pour perforer complètement l'os et alors pour a
oÙ l'os bascule vers le cerveau, on n'opérera que s'il survient des accidents : « l'os sera perforé en lieu sain l'environ du l
61 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l est, dans la pathologie des nerfs périphériques, tout un groupe d' accidents , essentiellement passagers et superficiels, qui
des thyroïdiennes : n'est-il pas légitime d'admettre que certains accidents , consécutifs à la thyroïdectomie (aphonie, acc
e, intimenent associées , et, dans l'athérome , un grand nombre d' accidents nerveux, reconnaissent, sans doute, une telle p
ie avait été sous la dépendance de celui-ci. En résumé, si quelques accidents nerveux : perte du réflexe rotalien, troubles d
s'en douter. Le seul régime suffit en quelques mois à guérir les accidents . L'analyse du mois d'avril 1890 que nous avons
la scène. Que peut-on conclure de cette succession morbide ? Les accidents nerveux actuels ressortissent-ils au tabes vrai
l, subitement et définitivement le jour où le malade fut frappé d' accidents cérébraux, dus probablement à une hémorrhagie d
gnement d'autre stigmate ; si bien que l'hystérie dans laquelle ces accidents existent repré- sente en quelque sorte une form
vulsives en pareil cas sont vraiment rares ; rares aussi les autres accidents d'hystérie locale tels que clou, contractures,
nue, il a été pris de maux de tête, puis d'inappétence et de divers accidents qui ont été caractérisés, paraît-il, par le méd
astrique et c'est huit jours après qu'il a commencé à ressentir les accidents nerveux qui ont persisté jusqu'aujourd'hui. Vou
ez-le bien, le diagnostic est d'un grand intérêt pratique, car, les accidents de la maladie des tics, bien qu'ils paraissent
que (contraction électrique lente avec prédominance de an S Z). Les accidents sont particu- lièrement marqués sur l'éminence
DNEY Kob. (Arch. f. Psych., XXII, 3.) 1 Un homme ayant présenté les accidents primitifs de la syphilis est affecté de tabes;
u péronier, de la vessie, du rectum). Quelle est la genèse de ces accidents ? Il est probable qu'ils déri- vent de l'épaiss
degré d'altération dans le muscle, il est légitime de rapporter les accidents parétiques, paralytiques et atrophiques au génie
la place qu'on devait assigner dans les cadres neurologiques, aux accidents nerveux d'origine traumatique. Tandis que l'école
itement hydro- thérapique prolongé amena la disparition de tous ces accidents . G. D. XXXVI. UN cas DE MYOCLONIE (CHORÉE ÉLE
stre 1 gr. 50 de chloral, le ma- ' Jade dort; le lendemain tous les accidents ont cessé. Chose parti- culière, la même provis
péricarde des petits morceaux de bois pointu qui ont déterminé des accidents mortels. M. B. Séance du lunli 30 novembre 1891
nt. Ils nous montrent la folie se développant en même temps que les accidents articulaires, alternant avec eux, leur suc- céd
annexes, ont été complètement détruits. On n'a eu à déplorer aucun accident . Tous 142 faits DIVERS. les malades ont pu êt
s, qu'ils ne doivent pas attendre qu'un crime ait été commis, qu'un accident grave soit survenu pour autoriser l'admission d
ique quelque temps après la naissance du malade. Il n'a jamais eu d' accidents syphilitiques. Côté maternel. La mère est morte
a présenté aucune anomalie dans son développe- ment physique, aucun accident névropathique. CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE PROGRE
de leur action. Tous ces cas ne constituent, en réalité, que des accidents , et ils n'empêchent pas qu'on reconnaisse comme
nnent encore chez beaucoup de malades, non chez tous cependant, des accidents divers, comme les accès de folie qui viennent d
ique : tantôt, au cours d'un diabète authentique, surviennent des accidents nerveux tabétiformes; tantôt, chez un tabé- tiq
ension de la vessie (Bouchard, Congrès de Blois, 1884), si quelques accidents vésicaux peuvent s'y montrer 2, ils n'ont rien
question : Etant donné un diabétique chez lequel surviennent des accidents nerveux tabétiformes, déterminer si ces acciden
surviennent des accidents nerveux tabétiformes, déterminer si ces accidents relèvent du vrai tabes ou du pseudo-tabes diabé
ens. Dans le cas d'Oppenheim, la malade ' Dreyfous. PathQ[jénilJ et accidents nerveux du diabète sacré. Th. agréa., 1883, p.
: A. Etant donné un diabète sucré au cours duquel surviennent des accidents nerveux tabétiformes, dire si on se trouve en p
si on se trouve en présence d'un vrai ou d'un faux tabès. Si les accidents nerveux se bornent à des signes tels que : pert
aux. Si, par contre, l'amendement de ces 192 PATHOLOGIE NERVEUSE. accidents est notable et général, il plaidera pour l'exis-
iscussion intéressante d'un cas dans lequel la véritable nature des accidents convulsifs n'a pu, malgré l'autopsie, être déterm
être entourés de sauvegardes spéciales, dans le but de prévenir les accidents qui peuvent les atteindre. P. BLIV, XXXIII. L
la circulation, ni la digestion : il n'a jamais donné lieu à aucun accident . C'est en somme un bon analgésique, un bon narc
autre part, que les troubles que l'on croit décéler aient précédé l' accident sans qu'il existe de psychose proprement dite.
les élé- ments que de déterminer les perturbations préexistant à l' accident traumatique. La simulation n'a pu être établie
On a, à partir du septième jour, observé chez cet animal les mêmes accidents que si on lui avait extirpé cet hémisphère. Il
des autres vertébrés. Il serait donc possible que l'absence de tout accident moteur, malgré la destruction étendue du cervea
sent gra- duellement ; finalement la mort a lieu dans le coma ; les accidents ont duré un à trois ans ; on aurait même pratiq
que m'a appris ma pratique comme médecin de la Société contre les accidents la Zurich. Mais, dans les petits villages, on a m
die, à plusieurs reprises; la digitale à hautes doses met fin à ces accidents . La malade se serait levée dans les premiers jour
lisae. Il s'agit de quatre ma. lades qui présentaient, en outre des accidents toxiques que l'on con- naît, cette particularit
'analogie des phénomènes que je signalais à son attention, avec les accidents que présentait une jeune malade de sa clientèle
e est mort d'apoplexie et pendant sa vie il avait été sujet à des accidents épileptiques : c'étaient des accès de sommeil q
: Une jeune fille d'une vingtaine d'années avait été victime d'un accident assez grave; elle était tombée au travers d'une p
risait tant bien que mal, quand la jeune fille peu de jours après l' accident se présentait à la consultation ; elle éprouvai
us présente le type de l'hystérie la plus banale : père alcoolique, accidents névro- pathiques dans l'enfance, mouvements cho
nzédico-psyck., nov. 1880. ? Bowell. TI. de Paris, 1877 : Di quelques accidents de l'épilepsie et de l'hysté7'o-épilepsie. 11
de calme de quatre, sept, huit, quinze jours. Une seconde période d' accidents , suivie elle-même d'une seconde période de calm
uer que les vertiges surviennent eux aussi au moment des périodes d' accidents , ils s'entremêlent plus ou moins aux attaques,
ou dont la paroi épaisse est farcie de noyaux. P. IERAVAL. IV. DES accidents QUI SUCCÈDENT A la DESTRUCTION DES DIVERSES par-
scendantes de l'hémisphère gauche qu'il faut imputer l'ensemble des accidents . A ce niveau, il existe un sarcome du volume d'
so-pharyngien). Au début, la digitale et le strophantus calment les accidents y compris la fré- . quence du pouls qui les acc
ce. Le malade s'affaiblit et mourut sept mois après le début de ces accidents . A l'autopsie, on constata diverses altérations
tremblements ataxiques, anarthrie, troubles de la déglutition, sans accidents hémilatéraux. 2° Amélioration faisant espérer l
gaie ou triste et d'angoisse extrême. Désordre dans les idées. Ces accidents durent huit jours, puis graduellement, ils disp
enir chirurgicalement, au hasard, et de risquer de préci- piter les accidents par des complications expérimentales, il con- v
rs des journaux. Sans cela, il verrait à chaque instant citer des accidents occasionnés'par des enfants idiots, aliénés ou ép
sitôt que possible après le début. C'est le seul moyen d'éviter des accidents graves, soit pour les malades eux-mêmes, soit p
x pour la sécurité publique. Ils attendent souvent qu'il y ait un accident . Au lieu de donner les places dont ils disposent
es procédés policiers et médicaux employés à l'égard des victimes d' accidents , feignit de se trouver mal dans la rue. On le tra
62 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
l- ques branches du plexus brachial fut l'origine et la cause des accidents . Quelques mois en effet après la blessure, des
ape de la phase dégénérative). - A,, cylindre d'axe mis à nu par un accident de préparation. Fig, 11. - C, portion de fibr
s de délire alcoolique; au bout de trois à six jours diminution des accidents alcooliques et appari- tion des symptômes de «
rs de l'alcoolisé simple, et ce n'est qu'après la dis- parition des accidents aigus que l'on retrouve la mala- die principale
e Sainte-Anne, le 1er avril 1880 avec du délire mélancolique et des accidents alcooliques, après avoir éprouvé il y a quelque
pleurait, se lamentait, se croyait perdu, voulait se tuer; tous ces accidents s'amendèrent et disparurent après un érésipèle.
pacées, mais dans leur intervalle se produisaient des vertiges. Ces accidents épileptiques étaient fréquemment suivis d'actes
sous l'influence des 76 CLINIQUE MENTALE. bains sulfureux.-Aucun accident nerveux ni chez lui, ni dans sa famille. Mère
l'enfant, eux-mêmes sains et intelligents d'ailleurs, n'a offert d' accidents nerveux et qu'on ne saurait invoquer l'alcoolis
errïballeur, bien portant, sobre, tempérament un peu nervi. - Aucun accident névropathique dans sa famille. Mère, 40 ans, fl
es aux yeux, auraient été les pre- miers symptômes. A deux ans, les accidents se seraient aggravés, tout en prédominant à la
te d'une attaque congestive ou épileptiforme, survenir aussitôt des accidents divers, surtout du côté des poumqns. A l'autops
caractérisées, M. Doutrebente est disposé à croire que les premiers accidents pouvaient tenir à un simple état congestif, don
eur mentionne ici les cas attribués aux orages de la puberté, aux accidents de la menstruation et de l'époque critique, aux e
celle-ci atteint dans un même nerf. Or , si nous supposons que cet accident se soit produit sur un grand nombre de fibres,
cette triste complication [survient plus.prompte- ment lorsque lés accidents vertigineux," autrement dit le petit mal, se ma
s âgés, l'un de 25 ans; .le deuxième de 18 ans, n'ont jamais eu d' accidents nerveux. Une fausse couche. ' Notre malade est
ce de la suppu- ration,,M...,resta,sz;x.mois à compter du jour de l' accident sans avoir d'accès; lorsque . ceux-ci ' reparur
uillet, 1 et 3; -àoîlt,2accès. , J h ! . . l "'1 , , Les premiers accidents ressemblent beaucoup à ceux de, la paralysie in
''f nisse vers 17'mois; fièvre scarlatine vers 19 mois. - Pas ( d' accidents scrofuleux. u ? iu ? L'enfant a.commcncé a. par
étaient plus nombreux ,que ,I;L,e('l'n.cFque. l, tableau, jcar ces accidents réchappent» souvent..C'est à'a eux, surtout qu'
e sans antécédents héréditaires. Débuta la suite d'une peur par des accidents hystériformes (boule) ; vertiges et accès de pl
une frayeur en faisant une chute près d'une voiture, et c'est à cet accident qu'elle rapporte la maladie de son enfant. A
e passé l'âge de deux ans. Au cours de la troisième année, tous les accidents avaient presque complètement disparu. L'année s
e la maladie ; car, d'après toutes les indications recueillies, les accidents qui se produisirent dès lors appartiennent à l'
le chloroforme, ni l'éther ne sont in- demnes d'inconvénients et d' accidents : on espère trouver mieux. Déjà Flourens (t84.7
s que nous avons cru pouvoir tenter une explication rationnelle des accidents observés pen- dant l'anesthésie. La mort peut
eur continue ses battements pendant quelques courts instants. Des accidents mortels peuvent aussi survenir, sous le chloro-
s préexistants ont une influence incontestable sur la genèse de ces accidents : nous avons pris soin d'établir leur réelle ex
la balance des ris- 'lues pour le patient. Toutefois la rareté des accidents , relati- vement au nombre immense des chlorofor
e année, se développa une pneumonie ulcéreuse à marche rapide, avec accidents putrides et une tuberculose intestinale, qui am
( 'Ht 1<) '')1 ;jft m'It'It, ? brachial serait, d après lui, un accident rare. On rapporte une autopsie faite dans un ca
1" L'autopsie montra qu'il exis- tait une compression de la moelle, accident qui parait être l'origine) de cette hyperthermi
27°,5 immédiatement avant la mort, qui survint 48 heures, après, l' accident . Ces hypothermies s'accompagnent "géiérale-' me
, ,on trouve des troubles nerveux .variables,, le plus, souvent des accidents vertigineux ou épileptiformes,, et l'on constat
. dans' les deux cas' il s'âgit 1 d'n"retentissemerit'prolongéd ? l' accident initial, d'une maladie continue, tantôt latente
1 1 1 -' III' j 0)' "1 " f.' 1 l r> r. Il ,L, t (f ,' . <| 1 accident primitif, acquis « une diathèse morbide, qui déci
n du,crâne, la guérison, n'est trop souvent t qu'une suspension des accidents . » C'est, en termes meilleurs et'plus absolus,'
aladie de- cerveau ; il faut que dans les, antécédents se trouve un accident éloigné survenu subitement et, de plus, que la
mble englober, dans la pensée, de M. Lâsègûe ? On peut en douter. L' accident initial se découvrira toujours avec un peu de,
acé que soit le caractère des, crises ultérieures, sans connaître l' accident initial, on n'hésitera 'jJ(l rt : t1JpH li|i'&g
fort, comme à l'habitude. » Il faut remarquer ici qu'il s'agit d'un accident préépileptique et non post-épileptique, comme o
ait ordinairement bien portante, et elle- même n'aurait jamais eu d' accidents spécifiques; c'est du reste une très forte fill
ions donc en présence des hypo- thèses de méningite tuberculeuse, d' accidents ménin- gés au cours d'une lésion cérébrale plus
méningite tuberculeuse dans sa première période. 2° L'hypothèse d' accidents aigus, greffés sur une an- cienne lésion cérébr
cienne lésion cérébrale, n'avait pour elle que le début brusque des accidents , mais à moins que cette lésion supposée n'eût s
cas tout diagnostic est discutable), l'absence de paralysie et d' accidents épileptiformes chez cette malade faisait t reje
uestions qu'on lui pose, mais elle se met ensuite à divaguer. Aucun accident paralytique : M. Gérin-Roze prescrit des ventou
27 juillet. A deux heures du matin, la malade est reprise de ses accidents délirants. Nous venons lavoir et nous la trou-
quer aucune. P. 130; T. A. 38°, 8, le soir. Il s'agissait bien là d' accidents nouveaux, d'origine médul- laire, greffés sur l
en là d'accidents nouveaux, d'origine médul- laire, greffés sur les accidents cérébraux des jours précédents. Dans la journée
et il y aurait eu des convulsions du côté droit. En présence des accidents de paralysie, localisée quoique fugace, qui ont
teinture d'iode au niveau des dernières fausses côtes gauches. Les accidents pulmonaires persistent, peut-être avec un peu m
te fièvre, les divers autres MÉNINGITE CEREBRO-SPINALE AIGUË. 389 accidents présentés par le malade rappellent ceux d'un typh
longtemps ; elle ne sait de quelle maladie; ils n'auraient pas eu d' accidents nerveux; quatre frères et soeurs bien portants. R
rnière fois il y a six mois environ. De plus, il aurait eu quelques accidents scrofuleux et des poux en quantité. M... n'a
tion qui se prolongeait durant un temps considé- rable. C'est là un accident assez commun chez les en- fants de cette catégo
nis par sa mère, le 21 no- vembre).- Père, 30 ans, jardinier; aucun accident nerveux, pas d'alcoolisme, etc. Rien dans sa fa
; il y a douze ans, elle fut atteinte d'une pneumonie accompagnée d' accidents nerveux et d'une raideur du membre inférieur ga
lles auraient constaté un peu d'agitation et de râlement. Puis, ces accidents s'étant calmés, elles croient que la vieille femm
une déchirure qui donne issue à un liquide brunâtre, épais. - Même accident au niveau de la première temporale : à la coupe,
logie NERVEUSE. 463 du diagnostic, ce début de la pneumonie par des accidents cérébraux, qui, chez un esprit non prévenu pour
res années. D'après une statistique de 168 cas, pris au hasard, les accidents cérébraux et médullaires seraient plus fréquent
oire lu à la Société des hôpitaux, M. Féréol a décrit en détail les accidents REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 465 laryngobron
les, les deux autres lui ont été communiquées par M. Charcot. Les accidents laryngés sont fort variables d'un malade à l'au
re qu'ils se repètent. Dans une des observations, l'inten- sité des accidents a été telle qu'elle a nécessité la laryngotomie.
hin et bien portante pendant quatre ans, elle fut prise de nouveaux accidents hystériques en mars 1880. A la suite d'un refro
surdité, des vertiges et des attaques de petit mal épileptique. Ces accidents cessèrent par l'administration du bromure de po
orizontaux. D'autre part, MM. M'Bride et James, considérant que ces accidents épileptiformes sont vraisemblablement liés à un
e 39°,5 , subit un abaissement notable, que, concurremment avec les accidents trau- matiques, s'amendent les phénomènes céréb
E. tique, la fièvre intermittente, la pneumonie, l'érysipèle, les accidents du côté de la peau et du tissu cellulaire (furonc
CCI. (Lo Sperimentale, fasc. 5, mai 1880.) La constipation est un accident fréquent chez les aliénés, Esquirol la rangeait
'une négation absolue : la malade fut atteinte deux ans plus tard d' accidents hystériques graves, et si l'on voulait admettre
u bras droit avec hémianesthésie environ un an après le début des accidents initiaux. Guérison par le traitement spécifi- q
n I JfflftI^i91(ffTf ."atn .en^ lefon , lite de la connaissance des accidents et différences 19 ,90flBn0qmi cihfIfi'I 29'IJ 1
de troubles de la vue1.111-11'' .frmSix-moisr,apres le début de ces accidents , la marche com- 0mencaaajêtrerincer,tai,ne, le^
mme l'anesthésie, etc. Et nous retrouvons en effet, pour ces divers accidents de l'hystérie, identiquement la même action des
lité de provoquer l'apparition des symptômes, etc. Par conséquent l' accident hys- térique local, quel qu'il soit, devra être
plus générale. Voilà donc une nou- velle méthode de traitement des accidents de l'hystérie; il est inutile d'entrer maintena
rte de l'excitabilité faradique (10 à 16 jours après le`' début des accidents ); simultanément', altération dans la qualité de
cutanées, indifférentes, de certains autres à nier effrontément des accidents de cette nature, le médecin devrait, selon M. W
emières embolies mécaniques par une moins grande intensité dans les accidents de cet ordre et la plus longue durée des manife
ment'du malade. Quoiqu'il en soit, le meilleur moyen `de parer aux accidents locaux (sugillations, suppurations, frac- tures
et de l'excitation temporaire du pont de Varole (disparition de ces accidents au moment du ramollissement périnéoplasique de
ayant eu 11 grossesses, dont une gémellaire, trois années avant les accidents considérés (rapport médico-légal au sujet de l'
base de la langue déchirée à l'aide des ongles, n'entraîna d'autres accidents qu'une hémorrhagie modérée, un peu d'hy- perthe
is ancienne et bénigne chez un homme hypochondriaque ou sujet à des accidents hystériformes. H. DE B. LVIII. SUR LE délire tr
étape de la phase dégénérative). .1, cylindre d'axe mis a nu par un accident de préparation. Fig. il. - C, portion de fibr
63 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rs, et leurs enfants sont très bien portants, n'ont jamais eu aucun accident nerveux. Dans le reste de la famille, rien à no
(25 de l'entrée de l'enfant à la fin du mois d'août). Souvent, ces accidents ne s'accompagneraient pas de phénomènes convuls
bâtonnets. Il conviendrait de bien saisir l'ordre de succession des accidents du nerf optique et de la macula, uliu de résoud
lGlat. ? Ju°rm'nlxeillr, \\1', \. I. \lll, 190 ? . ) Groupons les accidents par séries chimiques : série ¡ ! l'a'51', sé- r
à l'électricité, maisaussil<ll que, possible après le début des accidents . G. 1). 1'[. Un syndrome catatonique supprimé p
breux dans le domaine Ile la nwlililé. Trois ans après le début des accidents mentaux, l('n"ol) pie, grimaces, attitudes méca
tait très occupée. La ménopause s'est établie il y a deux; ans sans accidents apparents, mais des chagrins domestiques étant
une dériva lion de la crise an- xieuse au même titre que les autres accidents névropa- tllicjncs multiples observés chez cett
c a l'P1'OIl"<'- à partir de 1 (j ails une dyspepsie tenace avec accidents neurasthé- niques qui n'a cédé qu'au bout de pl
e de son mariage. Elle conduit à bien une grossesse et allaite sans accidents . Habituellement bien portante et réglée régulière
générés. Le père parait indemne, mais son frère est mort à 45 ans d' accidents cérébraux. La mère est névropathe. De leurs six e
es. Toutefois la menstruation l'l'S- te irrégulière et l'nlmine des accidents névropalbiques avec dé- les·ion ly luwllniaync.
on placement il Depuis bientôt I roi- ans, cette lille présente des accidents llll'n- lauxd'un PUI)IIlUl'phislIle 1',\ ! l'èl
remier médecin trai- tant, soit chez l'homme, soit chez la femme, d' accident antérieur de nature suspecte ; et enfin dans le
vou- lait l'empoisonner. Le rapprochement de la date des premiers accidents avérés de '.\phiiis (roséole de 1896), a\ec cel
it, chez les époux G. B..., pré- paré le. terrain il l'éclosion des accidents paralytiques, attendu que, du côté du mari, on
bservation, mérite encore qu'on s'y arrête, en raison de ce que les accidents initiaux ont certaine- ment débuté chez le mari
é. puisqu après son mariage avec Marie 13 ? celle-ci présentait des accidents secondaires dès 189û. c'est-à-dire 2 ans enviro
ement, évaluer à une di- zaine d'années l'intervalle qui a séparé l' accident syphi- litique initial de l'apparition des symp
cet égard, que chez le cousin paralytique de Marie B..., on vit les accidents do paralysie générale débuter une douzaine d'an
a toujours été de caractère emporté, mais il n'a jamais présenté d' accidents nerveux, ni de troubles mentaux proprement dits
nté qu'une dizaine. En même temps qu'ils devenaient plus rares, ces accidents auraient aussi changé de caractère : dans ces d
n et suicide, dont le malade héritait directement de son père ; des accidents alcooliques, éga- ÉP1Ll : PSI1 : ¡ DÉLIRE 1LCOO
agissantes. Mais le régime d'abstinence de l'asile atténue vite les accidents alcooliques ; les nuits devien- nent rapidement
és il un terrain de déséquilibration mentale d'origine héréditaire, accidents alcooliques, paralysie générale il laquelle la
lement modéré- ment saillanl, dès les quelques heures qui suivent l' accident . Comme l'a dit De Gr.el'e en 1S(M, pour qu'il y
l'écriture est conservée, l'au- eu montrant l'origine centrale des accidents , l'abaisse la valeur du centre moteur dans la t
uit une fracture de.la base indiscutable. C'est deux mois après l' accident que le voit M. lilocll. Il existe une paralysie
s méningites aiguës et dans les tumeurs cérébrales où l'on a vu des accidents mortels. Puis il indique les dilféronls caractè
e folie à double forme et présentant le syndrome paralyti- que avec accidents épilepLifol'l1H's, à l'aulopciu duquel on trouva
moignages de sympathie qu'ils lui on ! adressés à l'occasion de son accident , dont il est d'ailleurs aujour- d'hui complètem
iseau, bec de lièvre, etc.; mais celui qui doit son anormalite à un accident survenu plus ou moins longtemps après sa naissa
dès que l'influence en question cessera de s'imposer. A ce groupe d' accidents primitifs, appartiennent les attitudes et les m
n épiphénomène de la méningite spécifique chronique ; c'est par cet accident que débutent les processus sy philitiques des c
flammation catarrhale chroni- que. . Enfin se sonl manifestés des accidents évidemment i·ltilt·ltti- ques (perle de connais
inférieurs et à présenter de l'ataxie. Au mois de juillet 1904, les accidents nerveux, subirent une poussée ; quand if vint a
ontinence d'urine jusqu'à 5 ans.Depuis,des cette époque, les autres accidents nerveux ont aussi diminué de fréquence ; tellem
ent rapi- de. Mais quelques semaines plus tard, il prit part à un accident de voiture où il eut plus de peur que de mal ; il
nt que dans leurs familles, il -n'existait aucune difformité, aucun accident nerveux on mental et qu'eux-mêmes étaient tout,
on mental diseases, 1901, p. 370,- Ch. FÉRÉ. Contrib. à 1 étude des accidents névropathiques de l'indi- gestion. (Revue de mé
e bois- sons. ycatriémeesitr·· cn mai IS ! J4. -I : n plus de ses accidents d'o- rigine alcoolique, on note à ce moment une
QUE NERVEUSE. Pendant qu'évoluaient ainsi les troubles mentaux, des accidents \ de nalUl'e lI1anil'pll'lI1l'llt Il)'stéri(IUe
, du houblon el un peu de . café depuis trois semaines. Mais si les accidents Lwirluos ee sonl amendés, le fond hystérique su
fois comme le facteur occasionnel de ses troubles mentaux et de ses accidents hystériques. Ce qui fait surtout l'intérêt, à n
on est atténuée, présentent pendant un temps plus ou moins long des accidents psychiques. M. Blum en a observé chez 18 chiens
nt <'1 un état de mal éllileplique. Quelle est la proportion des accidents mentaux chez les ani- maux qui, privés de leur
ntelle. Pas d'hérédité nérolaLltiyue·, pas d'hystérie, pas d'autres accidents pathologiques. Les nerfs de l'extrémité droite
técédents héréditaires. Elles ne nous indiquent pas non plus si ces accidents ont été le point de départ d'une épilepsie dura
(fêtait une méningite gommeuse de la hase. Quanta la pathogénie des accidents convulsifs, elle n'a pu être tranchée, l'intoxi
alcoolisme qui jouerai un grand rôle 'aussi bien dans la genèse des accidents yu'uu poinL tle we tlul'lurctlif(.C'esl surtout
nt qu'elle travaillait. Personne ne louche dans sa famille. Le même accident si; produit dans d'autres circons- tances. En t
ments froids et les frictions. Vers le 7e jour après le début deces accidents , le hoquet se transforme en une crise plus viol
a- nos à forme chronique, sans lièvre où avec peu de fièvre, sans accidents graves, qui guérissent sans le secours d'aucune m
ne médica- tion ; 30 les tétanos à forme subaigu : : avec crainte d' accidents aigus ultérieurs (comme dans le cas des auteurs
aie infectée et qui pour- raient,sans lui, déterminer plus tard des accidents aigus, graves, mortels. , Les injections peuv
e préventi- ves puisque, si elles ont une action incertaine sur les accidents en évolution, elles peuvent, en tout cas, s'opp
évolution, elles peuvent, en tout cas, s'opposer à l'appari- tion d' accidents tétaniques plus graves que les premiers. Elles
ableaux. ( : OUIrELI,EION"I' (\'Iclol'). Contribution à l'étude des accidents nerveux, consécutifs au méllill"ites aiguës sim
, mais l'entourage de la.malade est sceptique sur la réalité de cet accident qui ne se traduit par aucun trouble objectif. C
s occuper intéresse plus directement le méde- cin aliéniste. Ici, l' accident survient dans des condi- tions bien déterminées
alade maintient dans la bouche et qu'il avale par inadvertance. L' accident peut également se produire pendant le som- meil
t l'ali- mentation est défectueuse qui sont le plus exposés à cet accident . Parmi ces malades figurent les épileptiques,les
hématémèses intermittentes plus difficiles il expliquer. C'est à un accident (le ce genre que succomba l'un des ma- lades do
ur- 440 CHIRURGIE DES ALIENES. , ncvillc,le diagnostic causal des accidents ne put être fait qu'à l'autopsie. Cette difficu
té de fournir au médecin des renseignements précis sur la cause des accidents . Toutes ces circonstances rendent particulièrem
et d'être avalés. En définitive, si l'on songe il la multiplicité d' accidents qui peuvent résulter d'une 'alimentation défect
omyélie médullaire. L. WAHL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE LXXVll. Accidents syphilitiques pendant le tabès ; pal' Dalous, (
., janvier 1904.) L'auteur rapporte des observations personnelles d' accident spécifiques observés sur des Labetiques ; il ré
weanatomo-pathologique,carils ont été longtemps confondus avec les accidents névritiques. La ponction lombaire juinte aune é
e produit très bibliographie. 457 souvent. On pourrait éviter ces accidents regrettables, en exami- nant très sérieusement
par Marfan, Aviragnet et Délot, 320. Contribution à l'étude des accidents nerveux, consécutifs aux aiguës simples, par
moteur du trijumeau, par P. Marie et Léri, 249. Voir Réflexes. Accidents syphilitiques Pc n- dant le-, par Dalous, 446.
64 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
coup de sabre sur la tète le 28 août 1870. Manque de détail sur les accidents primitifs. On sait seulement que, le 23 octobre
ux hérédi- taires avoués. N'a jamais été malade, et n'a jamais eu d' accidents convulsifs avant l'âge de neuf ans. A neuf an
t se reproduisent pendant trois ou quatre jours. Il a deux sortes d' accidents épileptiques : 1° Vertiges sans perte de connai
cou (trois frères et soeurs plus jeunes sont aussi scrofuleux, sans accidents ner- veux officiels); à l'âge de huit ans, elle
d'épilepsie. Un grand-oncle paternel, ayant cru étouffer dans un accident de voiture, eut pendant trois ans des crises ne
époque à laquelle, la menstrua- tion s'établit, elle n'offrit aucun accident nerveux. A partir de ce moment jusqu'à vingt et
suite de l'établissement de la menstruation se manifestèrent des accidents vertigineux; à propos d'une grossesse, les atta
idents sympathiques soient plus exposées... ; il en est de même des accidents qui paraissent avoir plus de rapport avec l'écl
s antécédents héréditaires ou personnels révé- laient l'existence d' accidents convulsifs antérieurs (cas de Terrillon, deFerr
i, chez certaines femmes, a pu se traduire dans l'enfance par des accidents convulsifs, plus tard par des phéno- mènes hyst
le médicament sup- primé au mois de juin. A la fin de juillet, les accidents repa- rurent ; on reprit l'élixir aux doses de
'avait pas éprouvé de maladie, jusqu'à l'époque où ont commencé les accidents actuels, elle n'avait souffert d'aucun trouble
? Antécédents héréditaires : 10 son père a succombé à la suite d'un accident de voiture, à trente-deux ans ; se portait bien
e porte bien pour le reste, a trois enfants qui n'ont jamais eu d' accidents nerveux ; 2Q sa mère a actuellement quaraute-six
'une intelligence moyenne, fort calme, n'avait jamais eu le moindre accident nerveux. Elle a été réglée à seize ans, correct
, jusqu'à l'accouche- ment qui ne setermina que par le forceps. Les accidents con- vulsifs paraissent avoir cessé après la dé
endant plusieurs jours ; elle n'avait eu aucune connaissance de l' accident ; aussi ne s'en préoccupa-t-ellepas. Mais trois se
n consé- quence d'une prédisposition névropathique trahie par des accidents antérieurs héréditaires ou personnels. Ces épil
s qui n'influa d'ailleurs en rien sur son état mental. Le début des accidents est en effet de beaucoup antérieur à cette époq
nts de la guerre franco-allemande. Mme A.... \L.. fut prise alors d' accidents mélancoliques semblables à ceux de son père : c
e délire, de convulsions et de coma; il succomba en huitiours à des accidents encéphalopathiques. La moelle, le cervelet et l
iscérales, pas de perturbations psychi- ques, pas de syphlls. - Ces accidents ne relèvent ni d'une affec- tion cardiaque, ni
franche. Aucun foyer cérébral. ill. Kirchhoff rapproche ce fait des accidents semblables dus à l'anémie (chorea dimidiata d'Eul
mpossible^ pendant l'accès, qui n'entraîne d'ailleurs au- cun autre accident immédiat ou consécutif. Durée de l'accès, une à
ontairement les mâchoires et se blesse ainsi fréquemment. Nul autre accident ni avant ni après. Absence d'étiologie. M. Berger
issance et put rentrer à pied chez lui. Vingt-quatre heures après l' accident , il éprouvait seulement un peu de céphalalgie e
topiques et hygiéniques que l'on emploie, éviter la progression des accidents , et ses conséquences (phlegmons, des- truction
m- mence. Celle immersion prévient, calme ou fait disparaître les accidents généraux de tous ordres, apaise l'agitation, relè
, ou de 16 milligrammes en deux fois. Cette dernière dose amena les accidents d'intoxication que l'on sait sans autre inconvé
parfoisl'évolu- tion d'une myélite ascendante, jusqu'au jour où des accidents cépha- liques viennent assurer le diagnostic; 4
uberculeuse. J. COMBY. 126 BIBLIOGRAPHIE. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Accidents cérébraux au début de la pneumonie chez les enfan
ion de M. Charcot, d'autres relatés par différents 1 G. Ballet. Des accidents épileptiformes dans l'A ? sLérie. lllém. inédit,
nsidérable des attaques. | Trois ou quatre jours après le début des accidents , notre attention est appelée sur certains signe
analogie remarquable, nous pourrions dire l'identité parfaite des accidents convulsifs, dans le cas en question, avec ceux
ne; c'est, d'autre part, la nature hystérique non douteuse de ces accidents . ' En. ce qui concerne le premier fait, les dét
xistence de l'hystérie chez la malade et la nature hystérique des accidents convulsifs. Cette observation suffirait donc, à
rrait être tenté de s'étonner que la détermination de la nature des accidents ait provoqué des hésitations, tant s'impose ave
at de mal a persisté pendant plus de deux mois, et par moments, les accidents ont été portés au plus haut degré d'intensité.
bien qu'on peut poser la règle suivante : - "' ? " '' En présence d' accidents convulsifs partiels, lorsque ces accidents se m
' ? " '' En présence d'accidents convulsifs partiels, lorsque ces accidents se manifestent sous forme d'attaques successive
ent pour la deuxième fois à la Salpétrière. " ' ' Description DES ACCIDENTS . - Elle a été observée et suivie avec attention
ues peu'fréquentes ''depuis lrois*anç.*A>')plusièurs" reprisés,' accidents pulmonaires à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 205
isme chronique (thèse, 1883); par M. Danie Jouet. Description des accidents somatiques dus à l'intoxication mor- phinique ;
malade raconte que c'est à l'âge de dix-neuf ans que les pre- miers accidents nerveux se sont manifestés. A la suite d'une fr
ur leur part, à établir le diagnostic de la nature hys- térique des accidents (ouverture de la bouche pendant les accès, batt
semaines (181 ? ); sauf une plaie du sourcil gauche, c'est le seul accident grave qui lui soit survenu pendant les accès. D
époque, dans le cours d'une fièvre typhoïde ( ? ), il fut atteint d' accidents cérébraux- sur lesquels des renseignements préc
nomènes éprouvés par notre malade, et notamment la prédominance des accidents convulsifs, dans le membre supérieur gauche, do
'application des courants continus guérit presque complè- ement des accidents , mais après six ans de traitement. REVUE DE PAT
re aux deux derniers doigts (domaine du cubital) et la symétrie des accidents . La névrite pourrait donc être tenue pour la ca
r le fonctionnement de l'orifice pylorique, quelque temps après les accidents en question, on fit ingérer aux malades deux do
teurs, de l'anarthrie, de la parésie des extré- mités gauches, tous accidents permettant le diagnostic de proces- sus bulbair
RFS phréniques; par E3111NGIL1U8. (N8211'OL. Centralbl., 1883.) L' accident a trait à trois femmes. Les deux premières reprir
n retour dans la pièce. Elle tombe de nouveau en syncope; les mêmes accidents exigent le même traitement, qui révèle la même
ivité cardiaque, sans élévation de température. La soudai- neté des accidents , leur nature, leur coïncidence avec les violences
ans,rit, au point de vue clinique, dans la mobilité et le vague des accidents symptomatiques.C'estau der- nier jour de la mal
l- ligr.),lesautres,de constipation(un à quinze disparu- tion des accidents intestinaux quand ils existaient préalablement.
l'ouïe, de l'intelligence. Or, le contrôle d'Hitzig montre que les accidents moteurs décrits sont loin d'être aussi faciles à
et chez un malade encore en traitement, la syphilis avait précédé l' accident ; dans ce dernier fait, des onctions mercurielles
e consécutive à l'insolation; par Dony. Thèse de Paris, 1884. Des accidents tétaniformes dans la dilatation de l'estomac; par
65 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
linique (Ste-Anne) le 11 avril 1885. Son père est mort à la suite d' accidents cérébraux. Elle a fait, dans son enfance, une c
assement de sa colonne vertébrale s'est produit au moment même d'un accident de chemin defer signalé le lendemain dans les j
aux mains et aux avant-bras. f f - . 1 Bientôt après ces derniers accidents , son oeil droit fut atteint et la chute de la p
rvint en même temps qu'il voyait double. ' ' Au cours de tous ces accidents , un travail escharotique avait DE LA PARALYSIE
lade. Le plus souvent les choses se passent ainsi : à la suite d'un accident ou d'une émotion, l'hystérique, qui semblait ju
si, j'ai vu amener à l'hôpital du Havre une femme qui avait eu un accident de ce genre. A la suite d'une attaque survenue
le, changeant conti- nuellement, entrecoupé de spasmes et de petits accidents con- vulsifs. Un jour, dans un de ces états som
cilement.- A huit mois, Ser... a eu, une fois, des convulsions. Cet accident est resté isolé et il a eu une très bonne santé
au niveau de la région antéro-supérieure droite. Trois mois après l' accident il devient épileptique. L'épilepsie marche touj
e marche toujours en s'aggra- vant et aujourd'hui, neuf ans après l' accident , le sujet est en démence épileptique et il a un
au coma, on craignait fort une meningo-encéphalite généralisée. Ces accidents pouvant également être dus à un drainage défect
ment et la plaie finit par se cicatriser sans qu'il survint d'autre accident . De suite après ^opération et pendant les premi
lence et d'épuisement. Aux doses de 0,0025 et 0,003, on produit des accidents toxiques (agitation, convulsions cloniques des
eut continuer à lire. Pas de prodromes. Intégrité de la vue. Autres accidents aphasiques : aphasie amnésique, surdité ver- Fi
Il y a cinq ans, paralysie transi- toire des muscles des yeux. Les accidents du côté de la parole datant d'un an ; plusieurs
uvent jusque dans le genou. Au début de décembre 1889, pas d'autres accidents qu'un maiaise subjectif avec endolorissement lo
H., de soixante ans, ayant eu un chancre mou dans la jeunesse (sans accidents syphilitiques), puis attaques d'épilepsie grave
est dans les hallucinations en masse du stade initial, et dans les accidents paralytiques de la période terminale. Toutefois
at de somniation posthys- térique ou des tentatives de suicide; ces accidents sont en réalité un bonheur pour ces aliénés. Ma
i-je moi, n'est pas un phénomène pathologique, et encore moins un accident atavique. Sans doute, un individu, qui est affect
evient pour elles un être su- perflu dans le traitement spécial des accidents psychopathologiques. Il y a plus fort que cela;
pour termes à la dégénéres- cence morale des enfants tarés. Si les accidents psychopathiques se montrent isolés et, pour ain
ra donc en vigueur que dans des cas qui, à raison de la gravité des accidents morbides et de l'insuccès des sociétés savantes
ue. Il ne peut se servir de son bras légèrement contusionné dans un accident de chemin de fer. Il n'est en réalité pas le moin
é, l'émotion exagérée avec les préoccupations bien naturelles que l' accident a provo- quées, se sont imprimées dans la consc
ions impératives à adresser au malade suggéré pour faire cesser ces accidents . ' La théorie permet donc de ne fonder d'espéra
it très curieux de faire une enquête si les chancres indurés et les accidents secondaires se soient jamais observés chez un t
avantes. 129 défaut pendant l'année suivante, mais deux ans après l' accident , elles firent leur réapparition, devinrent de p
crâne. L'opération fut faite le 9 décembre 1890, trois ans après l' accident . Au cours de l'opération, il brisa plusieurs fa
L'hydrocéphalie consécu- tive à la guérison du spina bifida est un accident connu depuis' longtemps. Nous en avons vu plusi
is, 1892. H. Jouve. Rousselet (Albin). Les secours publics en cas d' accidents . Volume in-8° de 150 pages. Prix : 3 fr. 50. Pa
pense à un pa- rent, à un ami, il s'imagine, qu'il leur arrivera un accident , qu'il il sera cause de leur mort. Il fait alor
des prières, répète plusieurs fois les mêmes actes pour conjurer l' accident .. , 1 1 A propos des objets à influence funeste
it. Elle s'est imaginée qu'elle pouvait être cause elle-même de ces accidents par la seule présence dans son discours, d'un m
manie ; mots pouvant porter malheur; accès de délire mélancolique ; accidents hystériques. P...(Adèle), femme V..., entre à S
e tête se traduit parune véritable douleur et se complique d'autres accidents , qui apparaissent et disparaissent en même temp
- quelles les attaques d'amblyopie transitoire figurent parmi les accidents prodromiques de l'ataxie locomotrice, et d'autres
qu'il était marin ; cette attaque très intense, dura deux mois; les accidents cardiaques commencèrent; sans doute, il y eut e
s le soir, il constatait un léger gon- flement des malléoles. Pas d' accidents syphilitiques avoués ni constatés. Le 8 août
ère fais le 29 septembre 1891, J un mois et demi après le début des accidents . Pas de surdité verbale appréciable; pas de céc
Kerl..., entre à l'hôpital Saint-Antoine, salle Broussais, pour des accidents cardio-pulmonaires qui ont débuté il y a six se
e paraphasie. Depuis longtemps il peut lire aussi bien qu'avant son accident . Pas de troubles visuels. Pas de troubles de la
s avons vu pour la première fois le malade, un mois et demi après l' accident . On sait que tout ictus, c'est-à-dire tout proc
evenu mélan- colique et sujet à des impulsions homicides. Avant son accident ; il vivait heureux dans sa famille. Il n'y avai
aincre qu'immédiatement après DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 251 l' accident , une quinzaine environ, s'étaient montrés des sym
t et la jambe. A l'âge de quinze ans, c'est-à-dire huit ans après l' accident , il eut des accès épileptiformes surtout dans l
parfaitement, le malade mourut d'inflammation septique. C'est là un accident dont on peut se mettre à l'abri. Quelques mal
te vos positifs, vous dessinez les sutures craniennes et les divers accidents normaux et anormaux du crâne sur l'image cérébr
ique ; par BOEDEKER. (Archiv f. Psychiat., XXIII, 2.) D'abord les accidents sus-désignés du côté de l'oeil, puis accidents
III, 2.) D'abord les accidents sus-désignés du côté de l'oeil, puis accidents du tabes et de la paralysie générale. On observ
gt-sept ans, forte tare héréditaire. Longue dépression et multiples accidents puerpéraux (fièvre, hémorrhagie intense), puis
lions spinales analogues à celles des véritables osléomalaciques ( accidents parétiques, démarche de la cane, signe de Romberg
as, la santé revenait entre les grossesses; à chaque grossesse, les accidents reparaissaient. Il croit que des lésions de la
aucoup de prudence dans la sélection des malades, afin d'éviter les accidents , et dans la sélection des familles pour ern- pê
, au moins com- parable, celui d'une femme qui, après une période d' accidents neurasthéniques et dyspeptiques très marqués, f
individu a un accès épileptiforme de cette nature, ce n'est pas un accident , mais on peut le considérer comme un épileptiqu
mure de potassium. Avec ce médicament, M. Deny n'a jamais observé d' accidents de bromisme. M. Vallon (de Paris) a également e
depuis quelque temps, il l'était devenu beaucoup moins jusqu'à son accident récent qu'on attribue à sa dentition. Les paren
et Doré, est devenu une date funeste qui lui fait craindre soit un accident , soit un assassinat, soit un suicide, et il s'e
RIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 411 an après son premier accident sa maladie actuelle se manifesta de la façon su
du connaissance, ce qui lui arrivait pour la première fois depuis l' accident de la foudre, effraya beaucoup B.... Le jour su
ontre combien le milieu de famille est, favorable à l'entretien des accidents hystériques. ' ' * J 414 4 PATHOLOGIE NERVEUSE.
les crises convulsives se développèrent chez Bar... un an après l' accident dont il fut victime. Je répondrai par les exemple
it remarquer le rapport qu'il y a entre les attaques de Bar... et l' accident de la foudre. Ce rapport montre que cet acciden
s de Bar... et l'accident de la foudre. Ce rapport montre que cet accident a été la cause provocatrice de la névrose, et il
même tous les jours avec une précision extraordinaire, un fait, un accident , une- idée quelconque qui ont vivement impressi
ans, elle a failli se mouiller les pieds dans un ruisseau. D'autres accidents , en dehors des crises et des rêves, mani- feste
à l'enterrement de son neveu qui a eu le bras droit coupé après un accident de machine, il rentre avec une paralysie hystér
parce qu'elle avait apporté une purge à un malade. En dehors de ces accidents extérieurement visibles, ces malades ont sans c
elle nous connaît tous très bien. Vous n'avez pas oublié les divers accidents hystériques, con- tracture, oedème bleu, attaqu
e en vous disant une chose qui est cependant juste : la plupart des accidents hystériques sont, au début, presque volontaires
génésiques la maladie qui l'amène à l'hôpital. Pas de syphilis. L' accident actuel est le troisième du même genre. La premi
insomnies, rêves fantastiques, tels que chutes de chevaux, graves accidents ..., etc. Troubles gastriques, constipation, doule
onstamment passer devant lui des chevaux de course, il rêve chutes, accidents , etc. Les jours suivants, il arrive à prononcer
ans les jambes; il lui semble qu'elle marche sur du feutre. A ces accidents se sont successivement ajoutés de l'affaiblisseme
s pupilles. Plusieurs années plus tard apparurent simultanément les accidents du tabès et de la paralysie générale : diminution
es faits, il y en a un petit nombre témoignant de la simultanéité d' accidents parético-spasmodiques, et choréico-athétosiques
n'existe pas de troubles du système nerveux d'un autre ordre ou d' accidents psychiques. Il n'y a pas lieu d'admettre l'existe
ut, dans tous ces cas, administrer de 20 centigrammes à 1 gramme. Accidents physiologiques^ : congestions céphaliques; accélé
66 (1913) Exposé des travaux scientifiques
le, à la partie moyenne de la région dorsale, quinze heures après l' accident ; le côté paralysé était flasque et les réflexes
liquide céphalo-rachidien. Chez deux de ces malades, on notait des accidents certains de syphilis ; chez un troisième, on re
gmates d'un chancre mou ; chez les trois autres, on ne notait aucun accident spécifique. Le signe d'Argyll, comme l'a montré
ortant sur les racines postérieures de la moelle, mais la crainte d' accidents m'avait toujours empêché de CONTRACTURE' 67 m
si curieux : notre observation, remarquable par la longue durée des accidents , fera d'ailleurs l'objet d'un travail spécial; au
prati- quée par M. Tuilier, d'assister à une disparition rapide des accidents , et nous vous présentons, aujourd'hui, notre ma
ation, ce qui a lieu très souvent dans les expertises relatives aux accidents du travail. Ils peuvent contribuer à établir le
s ne sauraient être fixées. Les causes auxquelles on rapportait les accidents hystériques n'étaient pas moins variées et leur
nt donné le moyen d'évi- ter de pareilles erreurs et, l'intrusion d' accidents organiques dans l'hystérie n'étant plus à redou
sensibilité (anes- thésie, hyperesthésie). des troubles sensoriels, accidents ayant pour caractère commun do pouvoir être rep
st capable d'en déterminer la forme, l'in- tensité et la durée. Ces accidents , soit dit en passant, peuvent être imi- tés par
des individus d'ailleurs normaux que chez ceux qui présentent des accidents du premier groupe : attaques de nerfs, contractur
rc guérissable, qui exprime l'un des caractères fondamentaux de ces accidents : la possibilité de les guérir sous l'in- fluen
es qu'on fait disparaître au moyen de ces pratiques ne sont que des accidents hystériques, pithiatiques, greffés sur la neura
récédemment, la possibilité de sa participation à la production des accidents hystériques en appa- rence spontanés n'a jamais
s « perma- nents » qui, suivant la croyance ancienne, donnaient aux accidents transitoires un cachet d'authenticité. C'était
s assuré par l'étude systématique d'une série de malades atteints d' accidents hystériques et qui jusque-là n'avaient été soumis
nts se mêlent, s'enchevêtrent, et de leur action combinée résulte l' accident hystérique qui désormais subsiste seul tandis que
ster davantage sur l'importance de la suggestion dans la genèse des accidents hystériques. Mais je n'ai pas encore prouvé qu'
e. Voici en quoi elle consiste : étant donné un malade atteint d'un accident hystérique, on tâche d'établir par son interrog
par celui de son entourage les cir- constances dans lesquelles cet accident a pris naissance ; si parmi ces circonstances o
stances on relève une émotion, on la considère comme une cause de l' accident produit. Ce sont des observations de cet ordre
lème posé, il ne suffirait pas d'établir que l'éclosion d'un de ces accidents aéré précédée d'un choc psychique ; il faudrait e
nes conditions qui sont ou semblent être propres au développement d' accidents nerveux, on se met en quête de troubles hystéri
ombre de personnes. Plusieurs médecins, ayant assisté à de grands accidents de chemin de fer et soigné immédiatement les bl
ais, contrairement à l'émotion qui est incompatible avec de pareils accidents , ils jouent dans la genèse de certains d'entre
er à l'établir. A ce propos, je dois dire qu mon interprétation des accidents hystériques on a opposé l'argument suivant : de
i marquent bien le méca- nisme sur lequel repose la pathogénie de l' accident pithiatique, per- mettent de le rapprocher, au
ion (émotion-choc) ne peut par elfe-même pro- voquer l'apparition d' accidents hystériques, contrairement à ce qui HYSTÉRIE. P
e même à leur déve- loppement et n'est pas compatible avec eux. Ces accidents , pour appa- raître, ont besoin de l'interventio
iée où les phénomènes pithiatiques se greffent sourde- ment sur les accidents organiques sans que le malade semble avoir cons
es doubles organi- ques est chose utile. D'une part, en effet, un accident hystérique une fois reconnu et combattu comme i
ques et 1 incapacité qu'ils entraînent. Par suite, la loi su ries accidents du travail prèle moins aux divers abus qu'elle
communication de Brissaud au « Congrès interna- tional de Rome des accidents du travail » et intitulée : « Les troubles nerveu
hamp visuel ; et h ces stigmates classiques s'ajou- taient tous les accidents possibles de tremblement, d'hémiplégie, monoplégi
67 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bien que dès le 15 novembre, deux mois seulement après le début des accidents la malade était devenue com- plètement aveugle.
a grande cavité ~sous-arachnoïdienne. Il s'agit donc là, au fond, d' accidents de compression, qu'on peut, au point de vue de
eut, au point de vue de la patho- logie générale, placer à côté des accidents de compression cérébrale, si communs au cours d
tique depuis l'âge de trente ans; pris subitement en pleine santé d' accidents nerveux caracté- risés par hémiasynergie du mem
rétrécissement de lapupille gauche. Douze jours après le début des accidents , mort en syncope. A l'autopsie, lésions syphi-
volume d'une orange comprimant le lobe frontal gauche, les premiers accidents convulsifs permettent d'établir que l'évolution
es rotuliens et achilleens, etc. La succession et l'ensemble de ces accidents permettent d'affir- mer l'existence d'une compi
eau suivie d'hémorrhagie. En effet, troissemames après le début des accidents , presque tout à coup, le patient cessait de compr
utanés, exagération des réflexes tendineux, etc. En présence de ces accidents révélateurs d'une lésion du faisceau pyramidal,
é droit avec rétrécissement du champ visuel, amnésie, etc. Tous ces accidents , sauf l'amnésie, ont disparu brusquement dans c
trépidation épileptoï ie, des mouve- ments nystagmiformes, etc. Ces accidents qui s'étaient développés REVUE DE PATHOLOGIE NE
s dégénérescences qu'il a ren- contrées à Rosières-aux-Salines, des accidents quiles accom- pagnaient ; il a trouvé des imbéc
oïde frais ou thyroïo- dine), mais je n'ai pas tardé à observer des accidents dont je tirerai aujourd'hui argument en faveur
c... Que l'épilepsie éclate le plus souvent à la puberté, que les accidents symptomatiques en soient plus intenses chez la
organes génitaux que l'épileptique adulte a le plus grand nombre d' accidents , qu'il est le plus exposé aux accès subin- tran
es médecins. Son mari est mort il y a deux ans et demi à la suite d' accidents cérébraux. Elle raconte qu'il a été cinq ans ma
z actuel- lement la femme en traitement. « Le dit R... est mort d' accidents cérébraux qui se sont succédé dans l'ordre habi
une vie très régulière; pas d'alcoolisme. Je n'ai jamais constaté d' accidents syphilitiques. Son affection a débuté par des t
à la syphilis des conjoints, n'ayant jamais eu à soigner chez eux d' accidents propres à cette maladie. Mais on sait assez que
ître, que la persuasion fait disparaître et qui sont identiques aux accidents hystériques. Lorsqu'on lit attentivement le tra
arcération, la foi dans le surnaturel et les piscines ont guéri des accidents similaires. Puis l'hypnose, ajouterons-nous, pa
té se rétablit parfaite; une Se grossesse en 1889 ne provoqua aucun accident et pendant les dix années qui ont suivi, la mal
estement subi un retard dans leur développement et qu'on y voit des accidents de stase plus ou moins prononcés. A noter encor
malade a présenté dès le début des troubles cer- tains. Depuis les accidents cérébraux, l'état morbide a progressé lentement
Il s'agit toujours d'héréditaires qui souvent aussi sont atteints d' accidents nerveux, principalement hystériformes ou neurasth
). M. Lannois rapporte l'observation d'un malade qui présente des accidents épileptiformes par l'excitation du nez, plus part
revue les théories pathogéniques de la paralysie générale et de ses accidents , et montre ce qu'elles conseillent et permetten
n. La prédisposition héréditaire in- tervient spécialement pour les accidents délirants du début. Une fièvre épuisante prolon
la prédisposition de la malade, la responsabilité de l'auteur de l' accident doit être très atténuée. M. BRIAND insiste sur
e qui en fait l'objet aurait pu, en effet, demander à l'auteur de l' accident une indemnité pour le préjudice causé par neura
est fort probable que les tribunaux auraient condamné l'auteur de l' accident et cependant, s'il est vrai que la blessée était
t le même choc avec un traumatisme insignifiant. Les uns rient de l' accident , les autres y restent indifférents, une ou deux
allet. Quand les tribunaux demandent à un expeit si la victime d'un accident , laquelle a vu se développer chez elle, une neu
e d'une prédisposition, prédisposition d'ailleurs latente car aucun accident antérieur ne l'avait révélée. Pour terminer et
près à la même date, réagir différemment sous l'influence d'un même accident . Comme exemple je citerai le cas d'un malade, q
mme exemple je citerai le cas d'un malade, que j'ai soigné pour des accidents d'hystéro-traumatisme. En février, il fut victime
et s'en tira avec quelques contusions sans gravité; il ne lit aucun accident consécutif. Un mois plus tard, il fut encore vi
Que c'est l'état émotionnel du blessé au moment et à la suite de l' accident qui constitue le principal facteur pathologique.
ixante-cinq ans. syphilis il vingt-cinq ans, traitée, au moment des accidents secondaires. pendant trois mois; aucun accident
tée, au moment des accidents secondaires. pendant trois mois; aucun accident depuis, fièvre typhoïde pro- longée il cinquant
omniques les plus rebelles un très bon sommeil, mais elle cause des accidents tels que vertiges, titubation et éruptions cuta
deux fois ', des vertiges avec chute et perte de connaissance. Ces accidents ont ; été suivis de parésie linguale et de béga
aient accompagnés d'une amaurose com- plète. Puis l'ensemble de ces accidents disparurent subitement. Cinq jours après récidi
insi que cela a été dit simplement à cause des contractures ? - Ces accidents peu- .vent, comme l'indique M. Thiebierge, être
ièvre typhoïde, son cerveau retrouve une activité normale, tous les accidents liés à l'épilepsie disparaissent jus- qu'à la c
res, lésions qui se sont produites d'autant plus facilement que les accidents encéphaliques pathogé- niques de l'épilepsie éc
ions peu après la naissance et qui sont restés ensuite sans avoir d' accidents convulsifs, chez beau- coup de ces enfants écla
vulsifs, chez beau- coup de ces enfants éclatent, à la puberté, des accidents franchement épileptiques qui les font alors cla
s, màis comme idiots épileptiques, imbéciles épileptiques, etc... ? accidents con- vulsifs nouveaux qui, apparaissant après l
tel individu l'épilepsie se manifeste habituellement par tous les accidents de l'épilepsie complète, que chez tel autre, on
ion anatomique ou une excitation fonctionnelle qui est la cause des accidents . Le traitement qui a été prescrit et qui a cons
en 1881. Ce n'est qu'au mois d'août 1899 que remonte le début des accidents actuels. La malade s'aperçut alors d'une petite
la part dans tous les cas et nous devons distinguer nette- ment les accidents dus à la compression et à 1' 'envahissement des
a compression et à 1' 'envahissement des troncs nerveux, véritables accidents mécaniques, des processus d'ordre toxique relev
de diabétique, d'Addisonnien, etc.) , Je reviens, Messieurs, aux accidents mécaniques, les seuls dont j'aie à m'occuper au
98 CLINIQUE NERVEUSE. z étroite analogie entre la pathogénie de ces accidents et la lésion de même nature des racines rachidi
, peut être, avons-nous dit, atteint par le cancer de deux sortes d' accidents : les accidents d'ordre toxique, ceux d'ordre m
-nous dit, atteint par le cancer de deux sortes d'accidents : les accidents d'ordre toxique, ceux d'ordre mécanique; les der-
vu que les extré- mité, en contact avec le poison sont le siège des accidents saturnins, et pour lui la peau saine peut servi
iennent surtout des troubles aigus (troubles convul- sirs), que les accidents aigus (convulsions) sont dus à l'ablation des p
. MM. Barjon et Cade publient l'observation d'un malade atteint d' accidents de tétanie manifestement liés à une gastropathie
es pour qu'on puisse affirmer leur influence dans la production des accidents toxiques tétaniques. G. Carrier. REVUE DE PATHO
ou non vraiment engendré la psychose que l'on a sous les yeux, des accidents hystériformes imputables à cette psychose même.
ouleurs abdominales localisées, des syndromes d'astasie-abasie, des accidents convul- sifs en rapport avec la compression d'u
té quasi-absolue des accès; la réap- parition inéluctable des mêmes accidents associés à la phase dé- pressive ; leur dispari
nisme des accès de folie, l'influence sur eux de l'état mental, des accidents psychopathiques et somatiques. il faut examiner l
. Tou- louse, avec le certificat suivant : « Déséquilibre mental. Accidents hystériques. Impulsions génitales. » Cette malade
dence le froid rigoureux que l'on subissait à l'époque du début des accidents . R. LEROY. LX. Suites de la section du facial c
y a deux ans, au cours d'une rixe, mais il n'en était résulté aucun accident . Le siège de la plaie contuse correspondant à l
e l'infection ; 3° par l'intérêt médi- co-légal de la filiation des accidents . " G. C. Deux cas de nanisme achondroplasique c
sagère causée par un courant industriel. Contribution à l'étude des accidents nerveux causés par les courants industriels ; p
ontact et suivant la situation du corps par rapport au courant. Les accidents causés parles courants sont de deux ordres : le
s brûlures ; les autres sont des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 399 accidents nerveux qui consistent en perte de connaissance i
point de vue nosologique, les auteurs émettent l'hypothèse, que les accidents nerveux, causés par les courants industriels, doi
tre eux ne sont des criminels en aucun sens du mot. Le crime est un accident qui survient au cours de la maladie mentale; il
Antécédents héréditaires. - Rien de précis à ce sujet. Père mort d' accident , mère en bonne santé. 462 CLINIQUE MENTALE. A
ps thyroïde. exopthalmie, augmentation du poids du corps, vertiges, accidents convulsifs. La démence précoce évolue vers un
68 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
ents, aujourd'hui nous pouvons le mettre en pantalon sans crainte d' accident . , Quatre enfants : Parrlo..., l'ellc..., Paccl
rs qu'ils font absorber en quantité exagérée aux malades. De là des accidents auxquels il faut remédier et une augmentation d
i se sont conformés il nos conseils, il n'est survenu, jusqu'ici, d' accidents cérébraux. XLII Visites du service. précédent
ever les fragments d'os ou de tendons, susceptibles de produire des accidents , de couper les aliments en très menus morceaux,
de 1) ans, est atteint de crises épilep- tiformes. En dehors de ses accidents convulsifs, il lui arrive fréquemment, au momen
: ni constipation, ni diarrhée. Aucune maladie infec- tieuse. Aucun accident lymphatique, si ce n'est une blepha- ritc chron
t. Guérison des engelures. Suppression du traitement il cause des accidents pulmonaires et des poussées de fièvre. Le poids
avoir si M.. s'est mordue ou si la lésion est duc à la succion. Ces accidents ont été notés il y a un mois. Amaigrissement, s
ortie le 31 mai 1901. Antécédents héréditaires. Père, 47 ans, pas d' accidents nerveux graves; mais très emporté, « une soupe
ant, « tout le monde l'est dans ma famille. » Pas de dartres, pas d' accidents vénériens. [Père, mort d'un coup d'apoplexie, à
peine (son frère a bien parlé à 15 mois). Réglée à 10 ans 1/2, sans accident : écoulement peu abondant ; pas de pertes blanc
me qu'on l'attache pour qu'elle ne puisse pas recommencer. - Deux accidents de gâtisme. Septembre. Nouvelles manifestations
maternels sont tous morts très vieux, sans avoir jamais présenté d' accidents nerveux. Du côté paternel, trois oncles et troi
é, il avait obtenu à 11 ans son certificat d'études. A 12 ans, un accident assez particulier lui causa une frayeur vive qu
hyxie à la naissance. Accès de cris. Consul- sions au dixième jour. Accidents épileptiformes à 11 mois. Paralysie spasmodique
Famille du père. Père, mort à 91 ans, éthylisme (eau de vie). Aucun accident nerveux. Mère, 75 ans, a eu un tic qui consista
maladie infectieuse, aucune fièvre éruptive. Il n'a présenté aucun accident scrofuleux. Les parents ne savent à quelle caus
es ; grand, fort, brun, sobre, d'un carac- tère doux, n'ayant pas d' accidents nerveux. Il est mort en 1873, à l'âge do quaran
cès. Poids après décès : 36 kg. 200. Le matin et jusqu'au début des accidents mortels, Deb... n'avait ' rien offert de partic
. - Renseigne- ments nuls sur sa famille. - Mère eczémateuse, pas d' accidents nerveux. - Grand-père maternel mort de paralysi
on, les parents étaient encore bien unis. Grossesse normale : pas d' accidents , pas de traumatisme; pas d'émotions morales, pa
ranger, très sobre, rhumatisant, n'aurait pas eu la syphilis. Pas d' accidents nerveux. Il aurait été « débauché » à dix- sept
nés à la maison et dans la rue. Au début, à sept ans, alors que les accidents rachitiques commençaient, à dis- paraître, l'en
oriations, et même des ulcérations des régions humectées. Nul autre accident concomitant n'est à noter. Malgré ses tics, V..
Pas de maladies infectieuses, sauf les oreillons étant petit. Aucun accident sCl'ofu/eu,\'. - Traumatisme sur le front il y
t des lèvres, cela durait cinq minutes environ. Sa mère appelle ces accidents des grimaces. Les jours suivants ces grimaces s
fois, en se levant, brouillard devant les yeux. En raison de ces accidents , durant lesquels le caractère est devenu plus i
cles maternels, ainsi que chez l'oncle et la tante maternels. Aucun accident nerveux dans le reste de la famille]. Pas de
alors de l'enflure, une suppuration blanchâtre et des croûtes. Ces accidents se répètent très souvent, du reste. La moindre
es été suivies de coma, de fièvre, de folie, etc. - Y a-t-il eu des accidents consécutifs ? Quel était l'état intellec- tael
es à se gratter, à se mordiller. Nous avons pu faire ces- ser les accidents chez Vig.... Au contraire, chez Ler.. ils se so
maladie de peau. - Mère, âgée de 71 à 72 ans, bien por- tante, sans accidents nerveux, sobre, laborieuse. Pas de ren- seignem
on ne sait de quoi. -Deux soeurs mariées avec les deux frères, sans accidents nerveux : l'une a deux enfants bien portants, l
le reste de la famille.] Mère, 38 ans, très calme, n'ajamais eu d' accidents nerveux, sauf quelquefois des doul-urs de tête;
morte en 18U3, à 56 ans, d'une affection du coeur, n'a jamais eu d' accidents nerveux, a toujours été sobre. Grand-père pater
ts, en bonne santé ; l'autre est mort il y a 3 mois, à 64 ans, sans accidents nerveux, avait trois de Antécédents héréditaire
au monde. Une tante paternelle, usée par le travail, 69 ans, pas d' accidents nerveux. Elle a eu un fils qui faisait des excè
son et est mort d'une fluxion de poi- trine ses enfants n'ont pas d' accidents nerveux.-Deuxsoeurs : l'aînée, âgée de 30 ans e
cidents nerveux.-Deuxsoeurs : l'aînée, âgée de 30 ans et demi, sans accidents nerveux, a eu deux enfants : une fille morte du
vant, ni après. André. l'accouchement; pas d'émo tion après l' accident . A eu lieu peut-être quel- quesjoursavant ter
te de toute influence exté- rieure, d'une affection acquise ou d'un accident de la vie intra-utérine ; - (1) ces caractères
erforation crânienne congénitale. Thèse de Paris. Prime (J.). Des accidents toxiques produits par l'éosinate de sodium. Thè
69 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
Montsouris, etc. Aucune de ces promenades n'a été troublée par des accidents . Des visites ont été faites dans diverses usine
rait eu lieu sur les cuisses. Pendant l'acte, mas- turbation. Aucun accident . D... connaissait les parents de cet enfant, qu
r des rapports avec lui. Il n'y aurait pas eu intromission. Pas d' accidents . Bien que l'intelligence s'affaiblisse, cet enfan
touchements, le soir, quand il était au lit. Pas de rapports; aucun accident . 7° Lemass., E. Armand, 13 ans : Imbécillité; b
en même temps, le masturbait. Il ne peut préciser les dates. Pas d' accidents . Les rapports sexuels, les attouchements, ont t
considérables ; tous 26 DÉCORTICATION DE LA SUBSTANCE GRISE. ces accidents graves ont guéri. Mais, bientôt, la diarrhée a
- me qu'elle ne perdait pas connaissance ( ? ). On attribuait ces accidents à la « force du sang » ; ils cessèrent à la suite
oir, il se sentit tout à coup mal à l'aise, et, craignant quelque accident , il alla demander dans un poste qu'on le recondui
t d'être mises en relief. I. L'alcoolisme d'une part, l'existence d' accidents né- zoopathiques de l'autre, nous paraissent av
ntes de migraine, de 10 à 14 ans. Vers l'âge de 10 ans, il a eu des accidents pulmonaires qui ont né- cessité un séjour au li
'avait éprouvées la mère, lors des événements de 1848. Pas d'autres accidents ner- veux dans la famille.] , Consanguinité.
Notre malade n'a pas présenté d'autres antécédents morbides que ses accidents névropathiques jusqu'à ce jour. En 1875, il est
mbée 3 fois en para- lysie. Trois soeurs sont bien portantes, pas d' accidents ner- veux, etc. - Pas de consanguinité. Les par
ès la naissance chez une en- fant héréditairement prédisposée à des accidents ner- veux. L'intelligence ne paraît pas avoir
enfants. Quant à la constatation des complications, par exemple des accidents pulmonaires, elle était entourée encore de plus
Epilepsie. - Débilité mentale con- sécutive. - Teigne. - Rougeole : accidents pulmonaires et intestinaux. - Adénites et bléph
Père, 59 ans, fruitier; très nerveux; fait des excès de boisson; accidents névropathiques dans sa famille. Mère, bien port
nfirmerie. Observation V. - Convulsions. - Idiotie.- Epilepsie. - Accidents paralytiques transitoires consécutifs aux accès
. 38°. 14 février. L'enfant sort de l'infirmerie. A part quelques accidents légers, tels qu'une exaspé- ration passagère du
és intellectuelles.] Mère, 36 ans, couturière, intelligente, sans accidents névropathiques. Elle a ou une attaque de rhumat
ne présente pas de troubles nerveux. [Mère, morte phtisique; pas d' accidents névro- pathiques dans la famille.] Mère, 45 ans
a rou- geole. Observation XI. Père alcoolique. Mère nerveuse. - Accidents névropathiques multiples dans la. famille mater
ait à des violences au dire de sa femme. 11 ne pré- senterait pas d' accidents nerveux, sauf quelques étourdis- sements passag
la gêne circulatoire, peut-être devons-nous voir[dans une syncope l' accident terminal. La présence de caillots cruoriques, v
r 1831 1. Père, 39 ans, employé de chemin de fer, n'a jamais eu d' accidents nerveux, mais est sujet à des accès de colère.
e, morte d'une « hydropisie au ventre »; était très nerveuse. Pas d' accidents névropathi- ques dans la famille.] . Pas de c
;esse. - Convulsions. Idiotie complète. Rougeole. - Convalescence, Accidents pulmonaires. - Mort. /lutops : e. P y opneumo t
par son père. Père, 43 ans, employé de commerce ; ne présente pas d' accidents ner- veux. [Père rhumatisant; pas de maladies n
re, alcoolique, mort avec des douleurs de tête très intenses. Pas d' accidents nerveux dans la famille]. Pas de consanguinité.
Bientôt celle-ci a été brusquement interrompue par l'ap- parition d' accidents pulmonaires à marche rapide et in- BOURN. 4A
2° Tantôt cette influence ne se manifeste que pendant la durée des accidents ; 3° Tantôt elle survit à la ma- ladie, et c'es
erons pas sur les tracés relatifs aux cas de rougeoles compliqués d' accidents mortels; nous nous bornerons à dire qu'ils témo
70 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tique du bromure de camphre (érections douloureuses et cystalgie, accidents dus à la dentition, spermatorrhée, insomnie, hyst
ouvement spasmodique de l'épaule droite. De trois à neuf ans, aucun accident convulsif, ni cauchemars, ni terreurs, ni verti
Pas d'atteinte de l'intel- ligence. Aucune maladie infectieuse, ni accidents scrofuleux; plu- sieurs bronchites légères. E
ifice laissant passer l'index. Les premières règles ont apparu sans accidents particuliers. Le traitement, outre les douches,
onduit bien et elle affirme qu'elle n'a eu, depuis son départ,aucun accident t nerveux. ,1901. - Le 23 janvier, nous recevon
bonne santé, bien qu'elle ait un peu maigri et n'au- rait eu aucun accident nerveux. La surveillante, Allie Langlet, qui es
oigné, très propre. Rachel était absente. Voir page 11 marche des accidents épileptiques. RÉFLEXIONS. I. U hérédité est trè
puis l'âge de sept mois jusqu'à trois ans. De là à . neuf ans aucun accident convulsif. C'est à neuf ans qu'aurait débuté l'
ique z). Bromure DE camphre. Guérison. ' ' Sommaire . Père, aucun accident nerveux, mort de tuberculose en décembre 1890.
epsie qui durent six mois. Trois mois d'accalmie. Enfin, retour des accidents épileptiques qui motivent l'entrée dans le ser-
é ET épilepsie SYMPTOMATIQUE. Sommaire. Père, enfant naturel, aucun accident syphilitique. Céphalalgies après la naissance d
es contre un factionnaire : affolement à la sortie. - Pî-eniie ? ,s accidents épileptiques deux semaines après cette émotion. V
rtt depuis qu'il n'avait eu ni accès, ni vertiges. - j Marche des accidents épileptiques. ÉPILEPSIE VERTIGINEUSE' ET BROMUR
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. de concert avec les accidents ' cérébraux, d'abord penser à' une tumeur céréb
oins démonstra- tifs, bien que n'étant pas d'actualité. Un triste accident a mis eu émoi, le jour de Noël, les habitants d
ombés dans l'Elbe et s'y sont noyés. ' Elle a constaté que tous ces accidents sont dus à la malveillance et que le coupable e
. Ces mouvements rappellent ceux présentés par le frère aîné mort d' accidents méningitiques et ont débuté à peu près à la mêm
même symptôme. Elle avait été amenée par la mère, dans la crainte d' accidents mémngitiques analogues a ceux qui avaient empor
ation secondaire à un choléra infantile. Chez un dernier enfin, des accidents méningi- tiques mortels sont les seules manifes
deux soeurs sont bien portantes; le père est mort à l'étranger d' accidents paludéens ; sa mère est morte des suites d'une af
ce on note : urination au lit jusqu'à l'âge' de onze ans, mais sans accidents convulsifs constatés ; pendant l'adolescence, u
la venue de NOTE SUR UN CAS DE DÉLIRE ÉPILEPTIQUE. 1'23 nouveaux accidents cérébraux capables de l'obliger à un nouvel int
classique, la plus clinique pour parler en médecin, celle dont les accidents nerveux se succèdent dans l'ordre le plus régul
entres ner- veux, qu'il faudrait, d'après M. de Buck. rattacher ces accidents paralytiques : il s'agirait en un mot de paraly
ent 15 000 marks. Mais il y a gagné une conjonctivite et les autres accidents du zzicoliczisme. Depuis deux ans il éprouve de
elé immédiatement auprès de la victime, et sur les lieux mêmes de l' accident , je constatai tout d'abord une hémorragie légèr
ulière, suspirieuse. Le décès survenait environ deux heures après l' accident . Observation II. Joseph V..., âgé de deux ans e
ation jusqu'à la mort qui survint dans la soirée du 19, au milieu d' accidents congestifs pulmonaires (fig. 13 et 17). Observa
s- tations inflammatoires, enfin leur relation constante avec des accidents cérébraux de nature profonde et grave, indi- qu
entait de la douleur et du gonflement d"un sein coïncidant avec des accidents hystériques. Les observations de Carré de Montg
tte sensation, se produisent de nombreuses aventures et parfois des accidents fort graves : un mystique se lance par la fenêt
isamment reconnu, à savoir que la plupart des tics sont non pas des accidents commandés par des lésions acquises du système ner
ans I'oeil. 11 est bien évident que lorsque le sujet victime de cet accident a porté pour la première fois la main à l'oeil
Quatre ans après, le même malade fut repris de nouveau des mêmes accidents , survenant dans le même ordre et sous les mêmes
es. Par opposition à ces deux cas et pour montrer combien ce même accident , qui cause de graves complications, peut aussi re
tres trembleurs qui se montrent très efficaces dans le traitement d' accidents neurasthéniques, de paralysies, d'anesthésies, et
rrauconal, de Montredon, qui avait perdu la raison à la suite d'un accident dans lequel un de ses enfants, âgé de quatre an
presque exclusivement du vin en grande quantité. En 1893 il eut un accident de voiture (jambe broyée), pour lequel il resta
. Pas de troubles urinaires. Il est imparfaitement conscient de ces accidents qu'il met sur le compte du parquet glissant. Po
a loi que les directeurs d'asile seront toujours irresponsables des accidents causés par les aliénés mis en liberté avant guéri
m'objecter, en présence de cette identité, qu'il s'agis- sait là d' accidents hystériques. Mais il n'en est rien, car les mal
ues spécifiques, et peut- être surtout chez eux, car souvent chaque accident tabétique a - accompagné ou suivi l'apparition
ons, alors que pendant la période où la syphilis était seule, aucun accident tabétique n'était apparu. Ce sont surtout la gr
it que l'extension du gros orteil est, dans les états cérébraux, un accident de contracture susceptible de se montrer associ
paraly- sie générale ; il ne détermine pas les congestions, ni les accidents comateux dont on l'accuse. Fausse grossesse d
relèvent de complications secondaires. Elles sont la signa- ture d' accidents toxiques (maladies infectieuses, cachexie, troubl
orité des géants présentent des troubles trophiques, qu'ils ont des accidents circu- latoires, des imperfections physiques de
pplément par heure, quand on n'arrête pas ? D. Vous n'avez pas eu d' accident ? R. Si, un cocher nous a versés, par malveilla
ée, une légère périostite des racines. Isu trois semaines, tous les accidents disparaissent, sauf de temps à autre quelque se
deux ans, qui a présenté depuis l'âge de seize ans presque tous les accidents de la névrose et à qui il a été appelé à donner
ions. Cette malade était atteinte d'amaurose de l'oeil gauche ; cet accident remontait à plus de dix ans; il s'était mani- f
e, elle voyait deux objets au lieu d'un. Depuis l'apparition de cet accident , la perte de la vision s'était étendue à l'oeil
ce énorme des troubles de la parole chez les hystériques atteints d' accidents du côté droit, ainsi que cela est connu pour le
la polypnée, le hoquet, la toux, le lire, etc., qui constituent des accidents fort fréquents et fort curieux de l'hystérie, s
tion singulière, E. B. XXXVII. Syphilis cérébrale sept mois après l' accident primitif. Oblitération de la sylvienne gauche,
ant présenté son accident' primitif en août 1896, et qui, après des accidents secon- daires multiples et prolongés, fut attei
, la mort étant survenue cepen- dant trois jours après le début des accidents , fait qui vient con- A 4 438 REVUE DE PATHOLO
de la glande qui aurait pour conséquence la disparition de tous les accidents . 444 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. Vit. L'usage et
bricitant, infecté, intoxiqué, et présentant, pour ces raisons, les accidents cliniques qui consti- tuent le tableau du délir
té appelé à donner ses soins à un hystérique, atteint, entre autres accidents , d'un tic de déglutition se produisant dans les
la venue du parquet, prévenu. (Radical, 24 juin 1902.) Si un tel accident survenait dans un hôpital laïque, la bonne pres
tion d'abolition de la vie, d'évanouissement, de folie imminente, d' accident inévitable, etc.) et accompagnée des- symptômes
dans les cas de psychoses fonc- tionnelles, notamment à la suite d' accidents , il n'est pas du tout rare d'observer une inéga
ans la maladie de Friedreich. Il existe - parfois dans le tabès des accidents cérébelleux accusés ; alors la dégénérescence d
ue la valeur d'une cause occasionnelle banale. Elle ne crée pas les accidents délirants ; elle n'est à leur égard qu'un simpl
érant. C'est elle qui, non seulement provoque, mais encore crée les accidents délirants qu'elle tient sous sa dépendance, à q
te de violentes émotions, a été interné une quatrième fois pour des accidents semblables accompagnés de rigidité généralisée
er ensuite dans l'immobilité et le mutisme. D'après l'auteur, ces accidents ne sont pas d'origine hystérique, les stigmates d
e désorientation. 522 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Ces différents accidents ne peuventêtre attribués, d'après l'auteur, qu'
est mort en état-d'alié- nation mentale, mais de sa folie avant les accidents termi- Ancmvrs, 20 série, t. XIV. 34 ' 530 RE
l I)OLBLE, j)iU Dide, 179. Syphilis cérébrale sept mois après l' accident , par Clumrt, 437. Voir Paralysie générale. Sy
71 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
rs qu'ils font absorber en quantité exagérée aux malades. De là des accidents auxquels il faut remédier et une augmentation d
quité de la teigne à Bicêtre et croyant qu'il s'agissait là d'un accident récent, l'Administration a chargé M. le D'' Sab
r notre baigneur-doucheur. Si un jour, par malheur, il survenait un accident aux bains durant ces absences, l'Administration
ever les fragments d'os ou de tendons, susceptibles de produire des accidents , de couper les aliments en menus morceaux, de v
nie ; 3 pour tuberculose pulmonaire ; 1 pour ménin- gite; 1 pour accidents cérébraux (congestion); 2 pour fièvre typhoïde
r les enfants arriérés n'offrant ni perrersïons des instincts, ni accidents convulsifs . » Le 2 juin 1896, nous vous avons
tre impuis- sance a réaliser autre chose qu'une sédalion dans les accidents , et, dans certains cas, à sauvegarder par le trai
en temps opportun à l'internement des aliénés, d'où de redoutables accidents comme celui qui vient de se produire à Tunis.
, scarlatine, variole, vac- cin (âge), coqueluche, fièvre typhoïde, accidents syphilitiques, diphtérie, faux croup, oreillons
hoïde, accidents syphilitiques, diphtérie, faux croup, oreillons. Accidents scrofuleux. Gourmes, dartres, otorrhée, blé- ph
tique d1t bromure de camphre (érections douloureuses et cystalgie, accidents dus à la dentition, spermatorrhée, insomnie, hyst
uvement spasmodique de l'épaule droite. De trois il neuf ans, aucun accident convulsif, ni cauchemars, ni terreurs, ni verti
Pas d'atteinte de l'intel- ligence. Aucune maladie infectieuse, ni accidents scrofuleux; plu- sieurs bronchites légères. E
ifice laissant passer l'index. Les premières règles ont apparu sans accidents particuliers. - Le traitement, outre les douche
conduit bien et ellea/yw'mequ'elle n'a eu, depuis son départ,aucun accident nerveux. 990t.- Le 23 janvier, nous recevons un
bonne santé, bien qu'elle ait un peu maigri et n'au- rait eu aucun accident nerveux. La surveillante, Mile Langlet, qui est
oigné, très propre. Rachel était absente. Voir page 11 marche des accidents épileptiques. Réflexions. - I. L'hérédité est t
depuis l'âge de sept mois jusqu'à trois ans. De là à neuf ans aucun accident convulsif. C'est à neuf ans qu'aurait débuté l'
( ? ). Bromure DE CAUP11RIS. . Guérison. Sommaire. - Père, aucun accident nerveux, mort de tuberculose en décembre 1890.
lepsie qui durentsix mois. Trois mois d'accalmie. Enfin, retour des accidents épileptiques qui motivent l'entrée dans le ser-
é ET ÉPILEPSIE symptomatique. Sommaire. Père, enfant naturel, aucun accident syphilitique. Céphalalgies après la naissance d
pierres contre un factionnaire : affolement à la sortie. -Premiers accidents épileptiques deux semaines après cette émotion. V
u cerveau»; interné. Etait dans l'industrie, affaires difil- ciles, accident de voiture où il faillit être tué : consécutiveme
pour but, dans les cas de ce jjenre, de modifier non seulement les accidents actuels, niais encore, après la disparition de
ù il se noyait, etc. Or il était impossible matériellement, que cet accident ait pu arriver, l'enfant en question venant de qu
plusieurs semaines, A... est triste et ennuyé et présente quelques accidents cardiaques (palpitations). Il écrit à son grand
aigu. - Mère, morte à 36 ans de la poitrine (en 3 ou 4 ans), pas d' accidents nerveux. - Grand- père paternel mort à 70-72 an
mais pas de sphacèle, ni d'éraillurc. C'est la seconde fois que cet accident lui survient. Son état général reste station- n
'estomac. - Arrière-grands-parents des deux côtés, morts vieux sans accidents nerveux. Mère, morte hémiplégique et aphasique.
l'enfant, vue isolément, insiste beaucoup sur ce que : « lors de l' accident de notre malade la famille s'estenquisede l'éta
une fille âgée de 28 ans est mariée, a deux enfants n'offrant aucun accident nerveux ; le troisième est âgé de 2G ans. Des
issements ali- mentaires qui la fatiguent beaucoup. En dépit de ces accidents , H.... conserve sa gaieté et son humeur habitue
ifier le terrain patholo- gique et d'empêcher le retour de nouveaux accidents . Ces conseils n'ont pas été suivis. Depuis so
elle était mala- de quand on nous l'a ramenée à la Fondation. Ces accidents coïncidaient avec son époque. Sa sceur, qui SUC
à 14 mois, de la parole à 18 mois. Jamais de convulsions ni autre accident nerveux. Aucune maladie infectieuse. Caractère
liqueurs. La seconde était normale, sobre, et n'a jamais présenté d' accidents nerveux. Ni l'une ni l'autre n'ont eu des enfan
ents héréditaires. ans, une fièvre typhoïde bénigne, sans délire ni accidents cérébraux. Pas de convulsions, pas de chorée, p
s de chorée, pas de rhuma- tismes, pas de migraines, pas le moindre accident nerveux. Caractère doux. Sobre, elle boit habit
ivante, est âgée de 61 ans, de caractère doux, elle n'a jamais eu d' accidents nerveux. - Grand père paternel, mort à 77 ans,
permettait de rattacher cette idiotie à clos lésions en foyer. Les accidents de la grosesse, l'asphyxie à la naissance ont p
erforation crânienne congénitale. Thèse de Paris. Primé (J.). Des accidents toxiques produits par l'éosirzate de~sodium. Th
72 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
plus rétrocéder. Nous décrirons successivement : 1° la période des accidents curables; 2° la période des accidents incurable
ssivement : 1° la période des accidents curables; 2° la période des accidents incurables. - z10 Période des accidents curable
rables; 2° la période des accidents incurables. - z10 Période des accidents curables. On peut dès celte période accepter la
à un avertissement grave, et si le malade n'en fait son profit, des accidents sérieux ne tarderont pas à survenir. Cependant
ujours imposer des réserves au point de vue du pronostic. Tous- ces accidents paralytiques présentent les caractères que nous
aide de l'interrogatoire du malade, lorsqu'il a été appelé pour des accidents plus sérieux. Objectivement en effet elle se tr
cérébrale postérieure, paraît tout particulièrement exposée à cet accident . On a vu une compression du chiasma, sur son an
ft<o/. et syphil., 1886. 10 CLINIQUE NERVEUSE. II. Période des accidents incurables. Il ne s'agit plus d'ischémie, les l
se basera surtout sur l'étude des antécédents, la connaissance des accidents anté- rieurs, la recherche des manifestations a
ussi cette évolution est arrêtée avant la démence terminale par des accidents plus graves qui emportent le malade. Lés cas bi
t mental du sujet exerce aussi son action sur la reproduc- tion des accidents nerveux et il est certain qu'une première attaque
est ou non introduite dans l'oesophage; en cas de fausse route, les accidents d'asphyxie ne sont plus à redouter. Simulation
et qu'il suffisait de - les réreiller pour les débarrasser de leurs accidents d'abord, de leurs stigmates ensuite. Poursuivan
mes, que le réveil avec toutes ses conséquences, la disparition des accidents et stigmates hystériques, pouvait être le fait
ait de supprimer la sensibilité pour ramener en même temps tous les accidents , y compris l'état de somnambulisme. De cette
dans le service le 6 janvier 1897. Quinze jours après sa sortie les accidents ont fait une nouvelle apparition. La céphalalgie
oliques ou saturnins ont. habituellement, présenté tout d'abord des accidents psychiques qui les fai- saient considérer comme
par les variations symptomatiques, et par l'évolution, et par les accidents dits intercurrents, et l'on est bien tenté quel-
seudop-méningitique, de méningisme. L'origine infectieuse de ces accidents ne semble pas douteuse; la maladie apparaît comme
en circulation dans le sang, provoquant de la vaso-dilatation. Les accidents dus à ces vaso-dilatations et aux oedèmes consé
E THÉRAPEUTIQUE. 163 d'excitation de sa maladie, comment éviter les accidents et les fractures ? 2° durant la période de calm
in suppléant résidant à Bicêtre. Ce médecin est chargé de parer aux accidents qui pourront survenir dans la maison, de soi- g
douze ans; un oncle maternel a eu des enfants qui sont morts tous d' accidents cérébraux. J... Gabriel est à la seconde périod
cat suivant de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale avec accidents alcooliques. Excitation passagère. Hallucinatio
haut et en dedans pour aboutir aux gros vaisseaux centraux. (Ici un accident n'a pas permis d'en préciser exactement l'embou
, n'a pas conscience qu'elle voit ; mais en réalité, elle voit. Cet accident serait un phénomène de déficit, analogue au rét
e hystérique unilatérale parait devoir être rattachée au groupe des accidents mentaux par idée fixe. A. FENAYROU. II. Contr
ns seulement cette particu- larité que l'encéphalopathie saturnine, accident rare et générale- ment tardif du saturnisme chr
peu près complète de l'aspect ichthyosique de la peau, etc. Divers accidents , énervement, vomissements, oppression, douleurs
a nuque et difficulté pour ouvrir la bouche. Progression rapide des accidents ; le deuxième jour, trismus complet et interval
ur localisée à la région lombaire gauche. Quelques semaines après l' accident , des crampes douloureuses se déclarèrent dans le
, envahi en dernier lieu, n'a été qu'incomplètement paralysé. Aucun accident bulbaire ne s'est produit au cours de la maladi
miplégie gauche presque totale. Dix mois environ après les premiers accidents , on fit la trépa- nation et l'ablation d'un gli
tingent le plus fort d'aliénés; vient ensuite la race indienne. Les accidents psychiques deviennent d'autant plus facile- men
fusion intellectuelle. Plus tard il allégua une amnésie de tous ces accidents pseudo-délirants et en même temps de tous les f
a succombé aux convulsions à t'àge de six mois. La mère est morte d' accidents puerpéraux en accou- chant de cette fille ; ell
ession sympathique. Jusqu'à la puberté, elle n'avait présenté aucun accident nerveux et n'avait souffert d'ailleurs que de q
à huit ans, mais en dehors de ce trouble elle n'a souffert, d'aucun accident nerveux jusqu'à la puberté qui s'est établie nor-
lle eut successivement trois grossesses qui se passèrent sans autre accident que des vomissements d'ailleurs peu durables. Les
preuve de l'hérédité directe de son anomalie sexuelle, et dans les accidents nerveux des deux autres son inaptitude génératr
, elle paraissait abso- lument normale. Pas d'autres maladies, ni d' accidents cons- tatés. Etat actuel (décembre). Adipose
la syphilis du système nerveux central. D'.une façon générale, les accidents se rencontrent plus fréquemment dans les cas où
, les accidents se rencontrent plus fréquemment dans les cas où les accidents secon- daires ont été les plus légers ; de même
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. avec les chancres extragénitaux. Les accidents surviennent d'une façon assez variable par rapp
que temps des troubles de paralysie brachiale. Il ne présenta aucun accident immédiat. Ce n'est qu'au bout de deux mois qu'o
dans ce cas, c'est que l'enfant n'a accusé aucune douleur lors de l' accident et que l'atrophie n'a été constatée que deux à
'auteur : 1° sur la prédomi- nance du côté de la paralysie d'autres accidents hystériques (sensi- tivo-sensoriels) ; 2° sur l
dical Journal, juin 1897.) . Ce cas, très intéressant en raison des accidents mortels qu'il a présentés, mérite d'être rappor
nt REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 331 jamais eu de convulsions ni d' accidents nerveux, n'ayant pas l'ha- bitude de boire de l
intéres- santes et cherche à expliquer la pathogénie de ces graves accidents . On sait que l'absinthe, prise à forte dose, pr
convulsif, qui a amené la mort. Il n'y a donc pas de doute que ces accidents , observés dans des conditions aussi nettes, ne re
es conditions aussi nettes, ne relè- vent de l'alcoolisme aigu. Ces accidents rappellent-ceux de l'état de mal épileptique. P
'eau-de-vie et le vin blanc produisent, chez les enfants, les mêmes accidents que le whisky. 13. XXXI. Obsession ET IMPULSION
rer sur le fond démentiel de la paralysie générale. Par contre, les accidents hystériques sont fré- quents, bien qu'il n'en s
oduit avec toutes les phases ordinaires, telles qu'arc de cercle et accidents hallucinatoires, zoopsie, visions de fleurs, etc.
hystériques au défaut presque absolu d'alimentation. Mais tous ces accidents sont toujours survenus à la suite d'une sorte d
rile, et il est devenu bien souvent impossible de faire la part des accidents imputables à l'hystérie ou à l'hystéro-épilepsi
lade est atteinte d'hystéro-épilepsie avec manifestations isolées d' accidents 392 RECUEIL DE FAITS. épileptiques et d'accid
tions isolées d'accidents 392 RECUEIL DE FAITS. épileptiques et d' accidents liystéro-épileptiques, comme cela se produit d'
e crois aussi pouvoir relier cette amaurose à la même cause que les accidents décrits au début de cette observation, à la mêm
'ALEXANDRE PARIS, Médecin enchefdel'stledeMar6tHc-Nahcy. Voici un accident dont la pathogénie de prime abord assez simple
sur sa demande dans l'espoir d'améliorer sa santé, troublée par des accidents pulmo- naires. Il en revint au bout de quelques
infectieuse. Il me éner- giquement la syphilis, n'a présenté aucun accident vénérren, aucune manifestation cutanée ou muque
père d'abord la pression, bientôt modératrice à son tour. Les mêmes accidents s'observent à la cuisse gauche, mais disparaiss
quelques semaines ou des années après; il éclate à l'occasion d'un accident quelconque, d'une émotion, par exemple. Il faut
a méningite spinale syphilitique peut rentrer dans la catégorie des accidents dits précoces. Eu effet, elle peut quelquefois
rs même qu'elle est tardive, elle n'en ouvre pas moins la scène des accidents médullaires. Cliniquement, c'est une affection
nstruation dans les maladies du système nerveux. Lévy (Edmond). Des accidents nerveux au cours des arthropathies blennorrhagi
erdinaud). De l'homologie des os du crâne. XV11. Nouvelle étude des accidents pseudo-méningitiques de nature hystérique; par
diagnostic, incertain au début, se fera surtout par l'évolution des accidents ; on tiendra compte de l'apyrexie, puis de la prés
omatique n'est pas toujours couronné de suc- cès. Dans ces cas, les accidents ont cédé à l'administration du pyramidon. Dr F.
er sur ce fait, qu'avec des pré- cautions rigoureusement prises ces accidents peuvent être presque évités. Autre inconvénie
évident qu'une surveillance sérieuse suffira pour éviter un pareil accident ; et si même il arrivait que le malade mangeât u
ât une certaine quantité de mousse, il n'en pourrait résulter aucun accident grave. On peut encore faire une autre objection
73 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, mais prédominant dans l'oeil gauche par lequel ont commencé les accidents . Dans certains cas, l'accès s'arrête là. Mais il
iplégique il droite, de bas en haut. A ce moment apparaissent des accidents aphasiques comprenant à la fois de l'aphasie mo
ce qu'il lui fallait pour panser sa plaie et n'éprouva aucun autre accident fâcheux. Quelque temps après, il se persuada qu
la croissance; 3° le myxoedème infantile opératoire, désignant les accidents qui sur- viennent après l'ablation du goitre, q
hyroïde manquerait ou serait insuffisant dès la naissance, mais les accidents ne se produiraient qu'au moment où les organes
ade mourut dans le coma, dix-huit mois environ après le début des accidents . La compression de la branche postérieure de la
al interprétés par des imaginations en puissance du délire. Aucun accident de chloroforme n'est survenu dans le service. L
entie. Une diminution sensible a été constatée dans le nombre des accidents causés par l'alcoolisme depuis les quarante derni
gisait au fond du réservoir, presque méconnaissable ; toute idée d' accident devait être écartée, car ce bassin qui s'élève
8, en travaillant dans les caves d'un marchand de vins, il eut, des accidents d'intoxication alcoo- lique, dus en grande part
sus, des places à cet ami, à tous ses parents et aux chrétiens. Ces accidents durèrent peu de jours (mai 1878). En juillet
à terme et sans aucune complication, quoique un peu long. Depuis l' accident elle est restée souffrante. L'enfant était bien
catégorique, que son infirmité lui venait d'une maladie et non d'un accident ; il n'y avait donc pas à s'arrêter à l'idée d'
a traité par la sup- pression brusque. En neuf jours, il a pu, sans accident , supprimer totalement le poison. Un purgatif, a
itzig, attribuant à l'hyperacidité du suc gastrique, la plupart des accidents de la démorphinisation, conseille, pen- dant ce
tance aux doses habituellement prescrites dans le traitement des accidents de la ménopause, amena presque immédiatement, une
ire éclater un trouble intense de cette portion incluse et le choc ( accident grave), dans le cas actuel, a déterminé une myo
er par une fenêtre, etc. Ces phobies étaient venues à la suite d'un accident de voiture et résistèrent à différents traiteme
ues dans leurs effets et celles plus dissimulées qui provoquent des accidents physiques, on rencontre tous les degrés. On voit
générales, celle de l'émotion venant comme un déclic déchaîner les accidents ou venant par sa violence ou sa répétition, enf
ires des malades : l'existence antérieure d'une pleurésie ou même d' accidents pulmonaires moins caractérisés peut avoir une r
l'on pourrait considérer la période qui s'écoule entre les premiers accidents et le coma comme une période prodromique très p
brûlée vive, la nuit dernière, à la suite d'une imprudence ou d'un accident . Elle était descendue de sa chambre, portant un
ents (on ne les interrompt que pour la nuit) conviennent à tous les accidents gangreneux, phlegmoneux, ulcé- reux, traumatiqu
à hautes doses. Devignevielle (Amédée). Contribution à l'étude des accidents nerveux consécutifs aux frac- turcs. Deyber (Re
prévoir quelle serait la nature du délire, la forme et la durée des accidents ». En outre de ces différences essentielles que
parti- cularités qui ont pu jouer un rôle dans l'étiologie de ces accidents . Or, parmi la multitude des cas de troubles psy-
isfaire sa passion; son orga- nisation cérébrale a subi alors, sans accident , l'action toxique de doses considérables d'alco
ication éthylique est fré- quemment relevée dans l'étiologie de ces accidents , et il est établi que, dans le sexe masculin, c
évoir quelle serait la nature du délire, la forme et la durée des accidents ». Nous n'insisterons pas sur les particularité
nstata une impotence complète du membre inférieur du même côté. Ces accidents survinrent sans troubles de la parole et se pré
é, d'atrophie musculaire et de réaction de dégénérescence. Tous ces accidents rétrocédèrent peu à peu, sans toutefois dispara
, Rufus Soranus, Galien, Arétée, etc.), ont vu et décrit les divers accidents que l'abus du vin peut provoquer chez l'homme.
accidents que l'abus du vin peut provoquer chez l'homme. Parmi ces accidents , M. Delpeuch mentionne spécialement la cir- rho
L'auteur fait en outre observer qu'en raison de la courte durée des accidents , les malades peuvent en général ètre soignés da
inq ans. Chute d'une hauteur de trois mètres. Immédiatement après l' accident paraplégie inférieure complète, douleurs, aboli
e douleurs. Le malade quitte l'hôpital au bout de deux mois après l' accident avec paralysie bilatérale des nerfs péroniers.
up de couteau. 11 a été arrêté. (boit- homme Normand, 24 août.) - Accident en ivresse. A Croix, près Roubaix, un ou- vrier
t meilleur, les mains trem- blent moins. Quinze jours après, tout accident alcoolique a disparu. Mais la malade reste tris
ou et des zones hystériques ainsi que de la rachialgie. Juin. Aucun accident nerveux. Les progrès en classe et en gymnastiqu
té. L'impressionnabilité s'est fortement atténuée. Juillet. Aucun accident nerveux. - Persistance de l'amélio- ration inte
soit par le médecin qui nous l'avait amené. L'enfant n'a plus eu d' accident nerveux. Il est retourné au collège, où il se c
tation par une lettre de sa grand'mère du 7 octobre. TABLEAU DES ACCIDENTS NERVEUX REVUE D'ANATOLE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
la compression ? Un traumatisme an- cien suivi, longtemps après, d' accidents paralytiques et de troubles de la sensibilité l
raitement anti-syphilitique, cystite incurable, fièvre rémittente ; accidents gangreneux au sacrum. Le malade demandant une opé
Aussi estime-t-il qne, de toutes les méthodes employées contre cet accident suraigu de l'alcoolisme, la méthode de Brand es
le mercure donne-t-il de si piteux résultats ? Nous savons que les accidents tertiaires ne cèdent pas aussi promptement au m
nts tertiaires ne cèdent pas aussi promptement au mercure que les accidents secondaires, et qu'il nous faut, pour eux, associ
v- rolog. Centralbl., XVII, 1998.) 1° D'abord, le développement d' accidents survenus chez les malades, doit-il être attribu
ontre les morsures rabiques ? . Il n'y avait pas d'auti-es causes d' accidents paralytiques en dehors des inoculations en ques
é le plus immédiat duquel on ne trouvait rien qui put expliquer les accidents paralytiques; point d'excès alcooliques , point
les deux observations en question, il y avait polynévrite, donc les accidents polynévritiques, consécutifs aux inoculations a
- lite que par une lésion du système nerveux périphérique. 2° Les accidents paralytiques consécutifs aux inoculations sont-
de ses parents, et que seul il fut paralysé. Dans les deux cas, les accidents paralytiques suivirent très rapi- dement les in
recueillis près du médecin traitant éclairent très complètement ces accidents déjà anciens. Il s'agissait d'un accès violent d'
aleur de l'électro-diagnostic ; par P. LEREBOULLET et F. ALURD. Les accidents nerveux qui surviennent à la suite de l'empoison-
térie peut venir, à la faveur de l'intoxication, provoquer divers accidents d'allure souvent complexe, et dont la vraie natur
sonnel permettent de con- sidérer comme certain que, au moment de l' accident , il existait une immobilisation des extrémités
llaires ; atteinte des nerfs sensitifs et moteurs; localisation des accidents surtout aux parties extrêmes des membres. En fa
'analgésie disséminées; exagération des réflexes patellaires. Pas d' accidents cérébraux généraux. Ilien aux organes internes.
tions de l'intestin grêle, du gros intestin et de la vessie sont un accident constant de l'attaque d'épilepsie : a) celles d
on comprise entre la troisième lombaire et la troisième sacrée. Cet accident , rare, expliquerait le début subit, l'atrophie
, barré les veines et les granulations de Pacchioni. Il y a donc eu accidents de pres- sion cérébrale et à la fois symptômes
ients en sont évidents, notamment au point de vue de la loi sur les accidents . M. Francke vient par exemple de publier une ob
3. Or, c'est une névrite qui n'est pas traumatique. A la suite de l' accident , le malade a souffert d'une névrose traumatique
, pas davantage. Bien plus tard, et tout à fait indépendamment de l' accident , il a eu une affection organique. En admettant
rattachée au traumatisme. On ne saurait dire, dans l'espèce, que l' accident a affaibli les parties du système nerveux ultérie
une maladie organique' ? On le dit aujourd'hui, même quand, entre l' accident et la maladie, il s'est écoulé un laps de temps
de doute, on incline à favoriser le côté humain de la question des accidents , il ne faut pas cependant exagérer et affirmer
de la participation du grand sympathique. Ascension centrale des accidents caractérisée par : des douleurs irradiées de l'ép
et indolore à la pression. La température monte à 3 î°,8 et 40 ? Accidents gangreneux du décubitus. P= : i24; Il = 2'\'. Int
l., XVIII, 1899.) Observation complète, presque depuis le début des accidents jusqu'à la mort, c'est-à-dire pendant plus de d
oncerne un jeune homme de dix-sept ans ayant d'abord pré- senté des accidents permettant de penser à une néphrite avec uré- m
e gisait au fond du réservoir, presque méconnaissable. Toute idée d' accident devait être écartée, car ce bassin, qui s'élève
74 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ômes relevés chez un même sujet aux diverses phases évolutives de l' accident méningé qui le frappe. Ce sont là les deux poin
ort à quatre-vingts ans. Sa mère, soixante-dix-neuf ans, sobre sans accidents nerveux, est eczémateuse. Grands-parents 1)(/te1'
, gâtisme. Oxyures vers douze ans. Aucune maladie infectieuse, ni accidents scrofuleux, sauf un peu d'impétigo du cuir chev
lies, de ridicules et de préjudices. L'élément fondamental de ces accidents réside en une sorte de modification de l'affect
un trouble hysté- rique quelconque, et comme d'après lui, tous les accidents hysté- riques sont dus à des modifications de l
dans le cas particulier, sont impuissantes à guérir les buveurs des accidents de l'alcoolisme et même à les rendre réfractaires
accidents de l'alcoolisme et même à les rendre réfractaires il ces accidents . 3° Il parait, a priori, difficile de concevoir q
de l'alcool, sans doute en vertu de cette idée que l'apparition des accidents a sa principale cause dans la suppression de l'
oit être peu considérable. Il est rare qu'il arrive aux malades des accidents sérieux. De 1888 à 1893 il n'y a eu qu'un cas d
ration de l'opium à doses aussi élevées n'était pas sans amener des accidents quelquefois sérieux : vomis- sements, constipat
e, crises diarrhéiques, hyper- thermie, hallucinations, délire. Ces accidents seraient sur- tout à craindre au moment de la s
ésultats du traitement à l'égard des paroxysmes con- vulsifs et des accidents délirants de leurs malades. En même temps, de p
le cas d'accès très violents. Il signale aussi l'améliora- tion des accidents psychiques, surtout il forme mélancolique. . Au
troubles psychiques. Ces différents auteurs signalent bien quelques accidents au cours du traitement, mais jamais sérieux. Il
taques et d'un retour à l'état antérieur. Il a noté fréquemment des accidents graves d'intoxication au cours de l'administrat
ent le bromure. Au moment de la cessa- sion de l'opium, il a eu les accidents les plus graves, quel- quefois même des décès.
u bout de trois jours, à 0,20, sans avoir eu, d'ailleurs le moindre accident . 5 autres ont dû cesser le traitement : 1 à 0,S
1 à 0,SO d'extrait d'opium, 1 0,60, 1 à 0,70, 1 à 0,80, en raison d' accidents d'intoxication. Ces accidents consistèrent en
60, 1 à 0,70, 1 à 0,80, en raison d'accidents d'intoxication. Ces accidents consistèrent en vomissements, diarrhées abondan
Les 6 autres ont subi tout le traitement en ne présentant que des accidents très légers et seulement pendant la période pro
ndant la période progressive de la cure d'opium. Ils n'ont eu aucun accident au moment de la cessation brusque de l'opium et
e total annuel des vertiges n'a pas été sensiblement abaissé, ces accidents vertigineux semblent cependant avoir été heu- r
malades, plus ou moins idiots ou imbéciles, ne présentaient pas d' accidents psychiques de nature vraiment comitiale, suscep
ium, a refusé de continuer le traitement, bien que n'ayant eu aucun accident d'intoxication. Un autre, arrivé à Os ? 60 d'op
e malade, arrivé à 0,70 d'extrait d'opium, commença à présenter des accidents légers qui, le lendemain, avec la dose de 0,80,
tion, anurie, ralentissement considé- rable de la respiration). Ces accidents perdirent tout caractère sérieux en quarante-hu
ssé. Au moment de son arrivée dans le service la fréquence de ces accidents était moyenne; de une à trois fois par mois, de t
réditaires et personnels. Syphilis en 1883 avec cortège classique d' accidents secondaires. La maladie actuelle a débuté en 18
du grand sympathique se rendant à la pupille. En somme, tous ces accidents , troubles pupillairès, douleurs fulgurantes, ex
ré le 8 octobre 1898, était ainsi libellé : « Débilité mentale avec accidents hystériques et idées mélancoliques aujour- d'hu
travaille comme tailleur. Une soeur, mariée, n'a jamais présenté d' accidents nerveux ; elle a deux-filles, l'ainée, âgée de
e l'eau bouillante. L'enfant était'âgée de trois ans au moment de l' accident . Au-dessus de la grande Cica- trice, il en exis
s'est depuis rapidement développée. Les règles ont paru, sans aucun accident physique ou mental pour la première fois du 4 a
puberté se sont développés régulièremeet. Les règles ont paru sans accident . Le poids et la taille ont aug-' menté. Jamais
aliénés dangereux. Plus de bruit dès lors, plus de disputes, plus d' accidents , plus de drames ; diminution des mesures restrict
té sur la poitrine et la colonne vertébrale. D'après l'auteur ces accidents ne sauraient être attribués à une lésion médull
une polynévrite et d'une héma- tomyélie croit pouvoir attribuer ces accidents à une myélite, ayant évolué lentement au début,
ation rapide. Ce cas est surtout intéressant par le développement d' accidents hystériques chez un homme de 45 ans, menant une
récissement du demi-champ resté sain ; elle se montre parfois comme accident transitoire dans l'hystérie. L'hémianopsie due a
urs de l'uré- mie. Les centres auditifs peuvent présenter les mêmes accidents par propagation de la décharge épileptique. F.
rès ankylose. L'étude des antécédents rapprochée de l'évolution des accidents actuels révèle une arthrite rhumatismale de div
de de la vésicule oculaire primitive (Virchow et Beruheimer). Les accidents convulsifs et l'idiolie constatée en ce cas parti
n haut de cette cavité, sur l'os iliaque. Impossible de traiter cet accident parce que l'immobilité dans un appareil d'exten
art des signes de néoplasme syphilitique intracranien. Ces derniers accidents ont aisément guéri sous l'in- fluence du traite
ue, chimique et histologique; 2° de leur épaisseur. La nature des accidents auxquels ils donnent lieu dépend : z11, de leur
e leur résistance ; 2° de leur répartition. On comprend comment ces accidents surviennent. Dès qu'un neuro-diélectrique est c
ement des os, au niveau de l'occi- puten tombant dans une cave. Cet accident fut suivi de perte decon- naissance, de vomisse
- bilité est normale. En raison de ces derniers phénomènes et des accidents bulbaires, l'auteur croit pouvoir affirmer qu'il
ble de tra- vailler pendant de longues années encore et que c'est l' accident qui en venant agir comme cause occasionnelle a
cérébrale apoplectiforme est, dans le plus grand nombre des cas, un accident épileptique ou éclamptique, quelquefois une syn
s huit ans de goitre exophtalmique, chez qui se sont manifestés des accidents (bouffissure et induration des tissus de la fac
st survenue par insuffisance cardiaque, onze ans après le début des accidents . L'auteur fait remarquer que, dans ce cas, la n
ne fortune de l'entendre exposée'par son auteur; malheureusement un accident , d'ailleurs sans gravité, arrivé ces jours dern
sécrétions normales et même exagérées. Remarquons en outre, que cet accident de la convalescence de la fièvre typhoïde n'a p
moins souvent à l'usage du forceps et les lésions produites par des accidents ; 2° Les cas post-fébriles (inflammatoires) com
judicieux du forceps. SECTION DE PSYCHIATRIE. 311 Dans les cas d' accidents par chute sur la tête pendant le jeune âge. ent
t sur la voie ferrée au pont du Chemin-Vert, au risque de causer un accident terrible. On s'en est aperçu à temps. Cet enfan
s, M. Hitzig a cherché à rendre matériellement impossibles certains accidents que le relâchement de la surveillance du per- s
lance du per- sonnel doit toujours faire prévoir. Un grand nombre d' accidents peuvent déjà être évités par l'emploi presque e
ut conformes â ce modèle. Grâce à ces fenêtres sans barreaux, pas d' accidents , pas d'évasion, liberté complète laissée aux ma
dans la position tête en bas, position supportée sans incidents ni accidents et jugée par tous les malades qui peuvent la co
les tabéliques : disparition rapide des douleurs, rétrocession des accidents pupillaires et des troubles trophiques ; chez les
dans la Revue de médecine, un mémoire sur la pathogénie de certains accidents paralytiques observés chez le vieillard. Or, quel
le deviennent ; les autres ne présentent, jusqu'à leur mort, aucun accident para- lytique. Peut-être l'examen du cerveau, s
faire mouvoir le rasoir d'une main et de l'autre parer aux petits accidents qui viennent compromettre à chaque instant l'inté
ession de certaines lésions cellulaires corticales accompagnant les accidents mentaux des maladies générales. (Laboratoire de
e d'intensité des lésions cor- ticales, des troubles mentaux et des accidents généraux de la maladie. Si donc l'hypothèse,
En est-il de même en ce qui concerne les brûlures ? On sait que les accidents consécutifs aux brûlures graves et étendues, de m
ession de certaines lésions cellulaires corticales accompagnant les accidents mentaux des 'Ina ladies amené- ¡'ales. M. MAT
sque incapables de mouve- ment, atteints d'atrophie musculaire, des accidents gangreneux du décubitin avec oedème et état tro
n. M. Jadis, à la Pitié, une malade de Dumontpallier présenta des accidents syphilitiques, et, cependant, elle affirmait n'
environ vingt ans, le garde-frein Diettrich fut victime d'un grave accident de chemin de fer, il fut blessé à la tête. perdit
trouvé, du reste, une lettre qui confirme cette opinion. Avant l' accident de chemin de fer qui retrancha, pour ainsi dire,-
s, par û0lltlll, 45. Cellulaires. Lésions - corticales dans les accidents mentaux des maladies générales, par Maurice F
75 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lter le médecin compétent avant que la maladie soit confirmée ; des accidents , des suicides peuvent ainsi être prévenus ; -di
on du sérum sous la dure-mère avait , probablement commencé avant l' accident , et était la cause de cer- · tains troubles men
avec quelque certi- tude dans 7 cas. La durée d'incubation entre l' accident primitif et l'apparition des premiers symptômes
yélie de l'épicône et de la base du cône terminal de la moelle. Les accidents ont débuté brusquement en novembre 1855 par une
suite d'un traumatisme de la région pariétale droite, a été pris d' accidents cérébraux gra- ves. Ceux-ci ont disparu après a
tologie ressemble tout à fait à celle de la confusion mentale, avec accidents aigus d'éthylisme; il est extrêmement curieux e
bles névropathiques. Son père, alcoolique, est mort des suites d'un accident : sa mère, vivante a dépassé quatre-vingts ans
endant d'assez notables différences : chez Célestine, la marche des accidents est plus précoce et plus rapide ; le délire est
r joué un certain rôle dans l'éclo- sion des désordres mentaux. d' accidents cérébraux indéterminés qualifiés de « sorte de mé
chez les deux su- jets précédents, nous voyons ici se produire des accidents psychopathiques sous forme d'épisodes aigus qui
ée, mais il existait des troubles trophiques des ongles. Tous ces accidents ont disparu à la suite d'une opération qui ai c
général il n'est pas toujours possible de découvrir la cause des accidents , c'est pourquoi il n'est pas permis de diagnostiq
x du pneumogastrique chez deux malades qui avaient succombé à des accidents cardio-pulmonaires d'origine bulbaire. Ils ont co
teinte de tabes depuis vingt et un ans. Sept ans après le début des accidents , l'amyotrophie des membres inférieurs était telle
IRF; même en l'absence de phénomènes spinaux. La prédominance des accidents médullaires et de la déforma- tion du thorax, l
ment, qui ont été guéris en peu de temps. En ce qui concerne les accidents ultimes ayant déterminé la mort chez les typhitlq
ire des négations. Celui-ci ne serait, pour certains auteurs, qu'un accident de la sénilité chez les mélan- coliques chroniq
à peu près nulle, M. Ferrand pense avoir au moment de ces nouveaux accidents constaté l'hémianopsie.- A la face interne du l
les yeux du lecteur : la loi sur l'exercice de la médecine, sur les accidents du travail, le décret sur la nomination des exp
ne seule attaque semblable. . 111 : y,a trois ans, à la suite d'un. accident , Henri G....eut unefrac- .turc .de la jambe. dr
a jambe gauche qui persista une année. Huit mois après le premier accident , alors, que le malade tra- vaillait encore aux
mière prise, maigrissait et s'atrophiait. Un an après le début de l' accident , la différence entre les deux membres était fort
ed. Le malade sent bien la terre en marchant, mais au moment de l' accident et pendant trois ou quatre mois il ne la sentait
angue et des doigts. Il a été réformé du service mi- litaire pour l' accident qu'il a eu à la main. Il est marié depuis deux
e une déformation de la main droite qui a été la consé- quence de l' accident relaté plus haut : elle consiste en une flexion
aire à peu près complètement indemne de toute tare' consécutive aux accidents nerveux de son adolescence ; tout' au plus cons
Mais dans quel cadre nosologique ranger une pareille catégorie d' accidents ? La question nous paraît difficile à trancher.
ts analogues publiés par Déjerine, Killion et Pitres, croit que les accidents présentés par un malade, y compris l'atrophie m
Sa voix disparut au REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 251 moment de l' accident pour ne revenir qu'après plusieurs semaines, en
oyait pas aussi bien de l'oeil gauche que de l'oeil droit. Depuis l' accident il a eu des vomisse- ments très fréquents, qui
mais leur examen in sitit-ne révélait aucun signe de fracture. L' accident était survenu un lundi : le malade a survécu jusq
ront l'influenza. Il faut probablement admettre, pour expliquer les accidents nerveux, un empoisonnement rapide ou pro- longé
Déterminer quelle a été l'influence de l'hérédité, du milieu, d'un accident sur ses accès de colère ? Savez-vous sur quelle
po) : <<tHme) : < ? ReM<t à treize ans ; évanouissements. Accidents hystériques; suggestionnable. Grand-père matern
des membres ; arrêt de développement de la tète, du front surtout. Accidents méningitiques ; mort rapide. Autopsie. Crâne mi
ractère calme. - Sa mère, quarante-huit ans, n'au- rait jamais eu d' accidents nerveux et jouirait d'une bonne santé. Ses gran
n d'une voiture. Elle s'est évanouie et a perdu un peu de sang. Cet accident a occa- sionné une cicatrice de 3 centimètres :
ses règles étaient venues régulièrement. Quel- ques jours après cet accident , son mari est revenu en France pour affaires et
t en excellente santé. Ce qui semble dominer chez elle, ce sont des accidents hystériques, avec troubles intellectuels. Rappe
uivie d'une émotion vive et par des ennuis et des contrariétés. Cet accident , les inquiétudes morales, jointes à ce fait que
le cuir chevelu. Le père qui nous donne les renseignements sur l' accident de ce matin et sur la période d'agitation qui l
épilepsie, danse de Saint- Guy, etc. , La brusquerie du début des accidents , la violence des phéno- mènes d'excitation qui
iques et abdominaux ne révèle aucune lésion capable d'expliquer les accidents survenus pendant la vie et la cause de la mert.
be dans le coma complet, et meurt, trente heures après le début des accidents . 1 L'autopsie démontre l'existence d'une conges
celles-ci sont choisies ayant passé le retour d'âge pour éviter des accidents sexuels; résultats écono- miques avantageux. Il
cidents sexuels; résultats écono- miques avantageux. Il y a moins d' accidents là que dans les asiles. Certainement, il y a de
le cas de M. Ferrand. Faut-il accorder une part importante à ces accidents dans l'étio- logie de l'acromégalie ? M. Mari
nitiale avec langueur progres- sive, tristesse inertie, somnolence, accidents légers; 2" période d'état, sommeil continu avec
RAPHIE. 353 du ver et non les individus adultes qui déterminent les accidents . Cependant l'examen du liquide des papules n'a
0 dont moitié par guérison, et les décès atteignent 4 p. 100, pas d' accident sérieux (deux évasions en 1900). Pas de restrei
l'annonce des livres qui accompagnent le Sommaire. Par suite d'un accident dans le tirage des Planches I, Il et ? elles ne
centre convulsivogène devra, a priori, entraîner la suppression des accidents convulsifs. Corollaire rationnel ; je vous répè
ses de bromure et de chloral ne le mit pas à l'abri d'un retour des accidents convulsifs. - Le 13 mars 1896, on procéda à l'e
n lui avait excisé la vieille cicatrice crânienne qui datait de son accident , et on l'avait trépané. Immédiatement après cette
nce n'était pas troublée. Le malade a été opéré, sept ans après son accident , le 18 décembre 1890 : après avoir déterminé, à
parole. On soupçonna une hémorragie méningée d'être cause de ces accidents , et on procéda à l'ouverture de la plaie, le 3 av
d, le malade a eu des accès d'hystérie. Enfin, vingt mois après son accident , il a eu sa première attaque épileptoïde généra
tombé du quatrième étage@d'une maison en construction. Le jour de l' accident on avait remarqué une agi- tation insolite des
ues, cette paralysie s'est amendée lentement. Quatre années après l' accident , le malade a eu pour la pre- mière fois une att
. Le cas de notre malade rentre dans cette catégorie : chez B..., l' accident qui a entraîné à sa suite les attaques d'épilep
plus rares qu'autrefois dans nos services, mais il est surtout un accident , jadis assez commun, que nous ne voyons plus que
ppement peut atteindre des proportions énormes sans causer d'autres accidents que ceux dus à la compression ; aucun trouble v
oir recours aussi fréquemment à son remède favori, l'alcool, et les accidents s'amendent rapide- ment. Si l'on voulait inte
dre une corde et de se pendre. La mère était sous l'influence des accidents secondaires de la syphilis lorsqu'elle accoucha
eux garçon atteint lui-même de syphilis. Plus tard, la mère eut des accidents tertiaires que je lomballis du mieux possible p
ilitique de père et de mère et que lui-même a eu dès le bas âge des accidents secondaires de syphilis. - 1 Il me semble dif
occasionna une fracture du crâne avec enfoncement, bientôt suivie d' accidents épileptiques généralisés, intenses et fréquemment
la chloroformisation ; peut-être pourrait-il faire éviter bien des accidents . Ces conclusions sont peut-être un peu avancées
oindre est suffisante, et dans d'autres 90 grains sont tolérés sans accidents . 41° Dans quelques cas, de petites doses, admin
x ans qu'il emploie continuellement le sulfonal, il n'a jamais eu d' accidents sérieux, tels que hémato-porphyninurie, trouble
Pour retirer · 1 â âyille il faut employer une certaine force. L«s accidents sont rares', et le plus souvent sans importance
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 493 ne pensent pas qu'il s'agisse là d' accidents de nature hystérique ou épileptique. Au point
loppe une démence progressive. L'apparition et l'aggravation de ces accidents a nettement coiincidé avec l'entrée en scène d'
es doivent faire porter le diagnostic de la nature hystérique des accidents . M. Bi31NsKi. Je ne veux pas discuter la questi
76 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
« avec une glande- suppurée au cou. » Cet enfant n'aurait eu aucun accident nerveux et pas de convulsions; - 2° garçon mort
e lui faire avouer la cause. A part cela, grossesse normale et sans accidents . - Accouchement normal, iL terme, après une heu
l a eu quelques céphalalgies et deux ou trois épistaxis abondantes, accidents qui ne se sont pas-repro- duits depuis qu'il es
n nerveuse, ayant eu des enfants qui n'ont jamais présenté d'autres accidents mor- bides que des troubles dus au lymphatisme.
ognathisme ; caractère un peu vif; sobre ; n'a jamais eu le moindre accident nerveux (migraines, crises nerveuses, syn- cope
portante, vive, intelligente, n'a jamais eu de con- vulsions, ni d' accidents nerveux ; 3° fille de 15 ans, actuel- lement en
endance il la masturbation, Traité, il la suite de l'apparition des accidents nerveux, par les médications antiscrofuleuses e
'iodure de potassium et aux frictions mercurielles. 17 octobre. Les accidents ont disparu ; seule l'adénite sous-maxillaire p
lors, il n'a pas eu de nouvelles convulsions, mais a été sujet aux accidents suivants : Accès de colère fréquents, cris aigu
ales constatées et probablement (les lésions spinales. Les autres accidents survenus ensuite : accès de colère, elastomanio
. Pas de chorée, pas de convulsions ni fièvre typhoïde. Réglée sans accidents à Il ans et demi, régulière- ment ; depuis 3 an
eu 12 enfants. - Grand'père ma- ternel, sobre, mort à la suite d'un accident (chute d'une échelle avec traumatismes graves).
a toujours été très dur pour apprendre. » N'aurait pas eu d'autres accidents ner- veux jusqu'à il y a huit mois. A la suite
minutes de travail, ça ne va plus. On ne sait à quoi attribuer ces accidents . Durant l'année 1895, René s'est mis à fumer av
é est très gai quand il n'est pas, toutefois, sous l'influence d'un accident nerveux; aime beaucoup rire, jouer, taquiner se
cinq minutes environ. A partir du 26, l'enfant ne présente aucun accident ner- veux et suit régulièrement le traitement s
ptembre. La défervescenco commence et s'effectue régulièrement sans accidents . Le malade quitte l'infirmerie le 5 octobre.
défervescence est effectuée, la conva- lescence suit son cours sans accidents et le malade sort guéri le 14-septembre. - OB
d'aggravation des symp- tômes locaux. La convalescence s'opère sans accidents . Exeat le 20 septembre. .. Traitement : Diète
é d'après le milieu épidémique au sein duquel se sont déroulés- les accidents . OBs. VII. - Idiotie légère ; surdi-mutité. S
'inflammation ; salivation abondante. Vers le 20 septembre tous les accidents inquiétants ont disparu. Cas guéris. ni 1 O
ature tombe aux environs de Bio et la convalescence s'achève sans accidents . Le traitement général a consisté on diète lact
ulsions. Rougeole, scarlatine, pas de fièvre typhoïde antérieure. Accidents scrofuleux. . 1'aLnt... (Marcel), IG ans entre
tète avec une casserole d'eau chaude (pas de cicatrices). l'as d' accidents de scrofule (gourme, adénite). A l'âge de six a
diminué d'intensité Fig. 9. - Rougeole. -j- Éruption complète. [-[- Accidents pulmonaires. Scarlatine. 127 Urines très char
enfance; travailleur, intelligent, pas d'excès de boissons ; pas d' accidents rhumatismaux, ni d'affections cutanées. - [Fami
raumatisme, ni émotion, etc... - Accouchement" terme; facile, pas d' accidents ni du côté de la mère, ni du côté de l'enfant,
raissait avoir une marche régulière quand, brusquement, sans autres accidents préalables, sont survenus une pâleur de la face
; Obs. Bon...) 3° Qu'aucun malade n'a été soigné dès le début des accidents ; tous se sont présentés à la période d'état de
t trois sont morts jeunes et dont les autres n'ont présenté aucun accident nerveux. Cousin au 1er degré, 25 ans, est aliéné,
mme idiot. Les deux autres on- cles maternels vivant encore ; pas d' accidents nerveux ; ils ont chacun perdu un enfant phthis
t 'complétés en mars 1897.) . Père, 38 ans, courtier en vins, aucun accident nerveux, ni vénérien, eczéma il y a 2 ans, quel
, etc.] Mère, 25 ans, née en janvier 1871, sans profession, aucun accident . nerveux, si ce n'est des névralgies dentaires, c
a pleuré, a été triste doux ou trois jours, mais' il n'y a eu aucun accident sérieux. Quelques nausées non suivies de vomiss
culier. L'enfant n'aurait eu aucune maladie infectieuse, ni aucun accident scrofuleux. La sensibilité générale parait cons
77 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
erses modi- fications du squelette vu le caractère insidieux de ces accidents , sans réac- tions, sans douleurs. En février
edème des membres inférieurs. L'attention n'est attirée que sur les accidents cardio-pulmonaires. Deux mois après il sort amé
eintre des paysans, a in- terprété d'une façon toute différente les accidents d'origine hystérique qu'il a eus sous les yeux.
e l'hystérie. On pourrait citer encore d'autres interprétations des accidents convul- sifs de la névrose où intervient une in
ents (1). III - Dans tous les temps et chez tous les peuples, les accidents convulsifs (1) Cette opinion a paru très plausi
s, elle a cherché à expliquer par une intervention surnaturelle des accidents qui semblent échapper aux lois de l'équilibre v
de cer- taines cérémonies religieuses qu'on voit se manifester ces accidents hys- tériques, en tous points comparables à ceu
nge n'ont pas été mordus par la tarentule (1). Ce sont encore des accidents de même nature qu'on retrouve dans les pratique
philitique qui a amené en quelques semaines la guérison de tous les accidents céré- braux, en même temps que de la double par
ysie oculaire. Résumé DE l'observation. Syphilis 12 ans auparavant, accidents secondai- res. Début de la maladie il y a 2 ans
, accidents secondai- res. Début de la maladie il y a 2 ans par des accidents cérébraux : céphalées, vertiges, perte de la mé
mir la nuit. Il consulta un médecin en province, qui diagnostiqua : accidents secondaires de la syphilis et lui donna des pilul
t il n'a jamais repris le traitement spécifique qu'à l'occasion des accidents actuels. Marié il y a 8 ans, c'est-à-dire envir
fin elle a perdu ses cheveux et ses sourcils. Celle-ci n'a pas eu d' accidents très graves : mais elle offre encore (1892) des t
de la pachyméningite cervi- cale hypertrophique (1) : tels sont les accidents cérébraux du début, la paralysie des moteurs oc
, p. 5-i4) un cas de pachyméningite cervicale hypertrophique où les accidents bulbaires occupent une place importante (vomiss
s nerveuses dans ses antécédents héréditaires ; son père est mort d' accident , sa mère de fluxion de poitrine. A part une ple
douleurs dans les os » à en crier. La fatigue la prédisposait Ù ces accidents . Dès l'âge de 15 ans elle courait aussi très di
ésenté de grandes at- taques classiques. Dans ses ascendants, les accidents nerveux sont fréquents. Sa mère a des attaques
? il . 1 pouvait reprendre son dur travail sans se ressentir de cet accident . A 16 ans, il aurait eu « un tour de reins » :
tion quelconque se préparait dans ses jointures. Le plus souvent, l' accident se produit tout d'un coup : c'est en se réveillan
ceur qu'il semblait devoir éclater. Je n'ai pas à vous dire que cet accident n'est pas il craindre, mais il résultait de la
ait être le point de départ de phénomènes inflammatoires aigus. Les accidents de ce genre ne sont pas rares, mais ils guériss
syphilis. Elle n'est pas alcoolique, elle n'a éprouvé jamais aucun accident morbide spontané auquel nous puissions rattache
e. Admet- trons-nous que la tête lmméralcavait été décol- tee ? L' accident est bien ancien et nous sommes mal informés. Ce
ues celles de l'ataxie, me parait d'autant plus apte à produire cet accident qu'elle est plus douloureuse. Les douleurs de l
aucune ;« sa marche, dit-elle, n'avait ja- mais changé » avant son accident articulaire. Le 20 novembre 1888, vers 9 heures
eil : les jours suivants il diminua peu à peu et, dix jours après l' accident , le genou avait à peu près repris son volume no
près un paroxyme dou- loureux. Le 21 janvier (deux mois après cet accident ), elle va chercher des pissenlits dans les cham
ré qui fut suivi de plaques muqueuses, roséole, calvitie, etc., ces accidents syphilitiques furent traités avec soin. A cet â
pour sa maladie articulaire, parce qu'elle est pour lui le premier accident grave. Pour toutes ces raisons il faut admettre
démoniaque. Mais, puisqu'on admet aujourd'hui sans conteste que ces accidents relèvent de l'hystérie, c'est un mérite de plus
on pour anomalie de conformation du tronc. A 24 ans, pneumonie avec accidents cérébraux. A 38 ans, à suite d'une chute, dit-i
ni gonflement considérable ni douleur. A différentes époques, les accidents du travail lui ont occasionné des panaris aux d
médius droit, panaris indolore. Chute des ongles à la suite de ces accidents . En janvier 1894 il ont une bronchite aiguë ave
fusé même un simple massage ou de l'immobilisation, affirmant qu'un accident pareil lui était arrivé plusieurs l'ois, toujou
marlhrose que avais cl abord porte, en y joignant, sur la durée des accidents , un pronostic tout à fait erroné : erreurs qu'on
étés de coexistence et de succession de l'ulcération cutanée et des accidents articulaires. A ce point de vue toutes les asso
se fait, en tout cas, quel- ques jours ou quelques semaines après l' accident , et mène plus ou moins rapidement à l'ankylose
arthrose avec début subaigu pseudo- inflammatoire, qu'affectent les accidents articulaires signalés sur les membres paraplégi
ments considérables. L'oedème ne dépassait pas les mal- léoles. Ces accidents restèrent stationnaires ainsi que la paraplégie j
malades s'impose : l'étendue des lésions osseuses et la gravité des accidents infectieux peuvent même parfois conduire à faire
travaux ont eu pour conséquence d'introduire dans l'étude de chaque accident hystérique un élément nou- veau et tout il fait
ion hysté- qui représenterait mieux la partie la plus saillante des accidents (1) ». Inanition vaudrait certainement mieux qu
s, de gonflement et de rougeur, très appréciables le lendemain de l' accident . Le surlendemain, on l'a conduite chez un chiru
e espèce de trouble. On peut la considérer comme guérie de tous ses accidents . Du 25 juillet au 15 août elle est reprise de q
irait à le prouver. D'autre part, il suffit de lire l'évolution des accidents , leur guérison brus- que, leur retour inopiné,
lgie et on prescrit un traitement approprié. Plus tard, lorsque les accidents graves surviennent, par suite de l'erreur origi
verneuse. La tuberculose pulmonaire dont il s'agit ici n'est pas un accident surajouté ; on en jugera par les antécédents su
e conservée. J'intervins le 11 mai, c'est-à-dire onze jours après l' accident et six après mon premier examen. La reclinaison
acines correspondantes. Exagération du déplacement vertébral et des accidents dans' la station debout. Ligature des vertèbres
on en avant et a droite de la IV0 vertèbre cervicale sur la Ve. Les accidents paralytiques, siégeant tous du côté gauche, c'est
t normaux. En somme, la localisation des symptômes physiques et des accidents fonc- tionnels était parfaitement parallèle, le
èbres correspondantes. D'autre part, la limitation bien précise des accidents sans retentissement aucun du côté des membres i
et l'autre déterminaient, on l'a vu au cours des observations, des accidents graves avec impotence complète : dans le premier
78 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
de rentrer de nou- veau dans le service de M. IIanot; aucun nouvel accident depuis cette époque, sauf que la jambe du côté
Le malade reconnaît qu'il a beaucoup changé de caractère depuis son accident à Pont-Saint-Esprit et l'apparition consécutive d
e à l'âge de vingt-huit ans, il y a par 'conséquent seize ans, d'un accident grave qui semble avoir été l'originè des troubles
ans la salle. Quand il sortit de l'hôpital, cinquante jours après l' accident , il marchait péniblement; ce n'était pas, nous
istait pas, au dire du malade, lorsqu'il quitta l'hôpital après son accident , il ne sait à quelle époque elle a commencé à s
ésenta à ses collègues une jeune femme de vingt-neuf ans atteinte d' accidents hystériques non douteux et d'un tremblement des
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SaLP);TI211.II1 ? certains sujets comme l' accident hystérique initial auquel viendront s'ajouter p
ur où une attaque, l'apparition d'une hémia- nesthésie ou tel autre accident significatif vient révéler la névrose dont il é
cousse. Son émotion fut nulle; et il est à peu près certain que cet accident auquel il n'attacha pas d'importance, n'est pou
reste, dans ce cas par- ticulier, n'a pas manqué de rapprocher ces accidents les uns des autres et il est bien près d'indiqu
: la voici devenue triste, inquiète, toutes les nuits elle rève à l' accident et, un beau matin, elle se réveille contracturé
ise, le simple développement des facultés cérébrales triompheront d' accidents qui chez l'adulte resteront CONSIDÉRATIONS SUR
istre, pâle,, défiguré, ensanglanté, tèl qu'il était au moment de l' accident . Il sent sa mémoire affaiblie, il est distrait, n
e là. Or, son histoire figurait tout entière dans une thèse sur les accidents nerveux du saturnisme; jamais il ne put se rapp
à l'homme adulte, il se montre également chez la femme lorsque les accidents hystériques débutent tardivement, à l'époque de l
e 8 mai 1888. Dans ses antécédents héréditaires, on ne relève aucun accident névropathique, sauf chez sa mère qui a eu de l'in
violent chagrin; et ce fut là, semble-t-il, l'origine des premiers accidents nerveux bien caractérisés qu'il a éprouvés. Un
puis cette époque, les règles ont été régulières jusqu'au début des accidents actuels, mais elles n'ont pas paru depuis le mois
fant bien portant. Pendant sa grossesse sont survenus chez elle des accidents nerveux variés. Elle avait parfois la sensation d
es de nerfs. La grand'mère est peu connue. Le grand-père est mort d' accident . , . La malade a une soeur qui est bien portant
ans le cours de leur existence, ni dans la maladie terminale, aucun accident nerveux. Il en est de même pour les collatéraux d
r à Pâques 1889, mais on n'a que très peu de renseignements sur les accidents qu'il a présentés à ce moment. Des camarades du
n. Sa mère est morte à l'âge de cinquante-cinq ans, à la suite d'un accident . Elle était nerveuse, sujette à des colères viole
u survenir m. 9 13U NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALl'ÈTRIËUË. d' accidents sérieux sur un total de plus de 10,000 suspension
s, il n'y eut pas de résultat favorable, mais on n'observa jamais d' accidents ultérieurs, si ce n'est dans deux cas de légère
les deux syncopes précédemment signalées, nous avons observé comme accidents anormaux : 1° une paralysie du bras droit (il y a
interrompait pas la séance. Nous laisserons de côté tous les autres accidents qu'on a pu signaler, et qui sont plus que négli
ts, l'un d'apoplexie (soixante- seize ans), l'autre des suites d'un accident (chute d'un escalier à soixante-sept ans). Les
ôpital au septième mois de sa grossesse, si elle voulait éviter les accidents qui s'étaient produits la première fois. Il s'a
tatives souvent répétées en ont rendu l'usage plus supporlahle, ces accidents diminuent peu il peu d'intensité et finissent par
de 30 à 40 grammes de tembéki dissipe momenta- nément chez eux les accidents narghiléiques. . D' P. EMIRZH, MdeLin en chef
ndes. A la main droite le médius est resté ankylosé à la suite d'un accident de machine et. présente les cicatrices des anci
-dire à des doses considérées comme toxiques, et non seulement sans accidents , mais encore avec profit. Je vais résumer quelq
TINALE. ? 3 lorsqu'on atteignai t des doses plus considérables. Les accidents cutanés du bromisme sont fréquemment conjurés p
nic donne souvent, comme on sait, de bons résultats. Pourtant les accidents du bromisme cutané ne se montrent guère isoléme
ion avec des tisanes diurétiques qui permettent l'introduction sans accidents de hautes doses de médicament. Mais si certains
ses et des troubles gastro-intestinaux, quelquefois précur- seurs d' accidents plus graves. L'antisepsie a été réalisée par l'
hagie par le nez et l'oreille gauche et vomit. Quinze jours après l' accident , l'auteur cons- tate une paralysie complète du
ation sont demeurées intactes. Cette femme ne présente pas d'autres accidents cérébraux. L'iodure de po- tassium, la strychni
l raconte qu'il est pris depuis six ans, au Jlrin- temps, des mêmes accidents oculaires qui s'amendent ordinairement au bout
ut atteint de paralysie bulbaire inférieure. Au dire du malade, les accidents oculaires revenaient chaque année au printemps
t aussi diabétique. Lui-môme, d'un caractère calme, n'a jamais eu d' accidents nerveux avant l'apparition de la maladie actuel
e, un médecin qui, constatant la grosseur du cou, rapporta tous les accidents au goitre et prescrivit des gargarismes astring
été que passagère (mois d'août et de sep- tembre). Depuis lors les accidents reparaissent comme en 18G7. J'ai revu la malade
79 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
s lambeaux conserveraient leur épaisseur et leur dureté. Aucun de ces accidents n'eut lieu. La peau de la verge devint de plus en
du sang dans la carotide primitive n'a pas été suivie, dans ce cas, d' accidents sérieux. Cette observation porte à six le nombr
is ; 3° Administré chez les enfants qui présentent quelques-uns des accidents delà période de dentition, caractérisés par l'agi
ion, par l'insomnie, par la toux, il réussit fréquemment à calmer ces accidents , et probablement, par son usage prudemment réglé,
puis deux mois. En irritant quelques points de la face et du cou, des accidents épileptiformes très caractéristiques ont été prov
ie à leurs petits. Reste à savoir s'il y a identité absolue entre ces accidents provoqués et l'épilepsie chez l'homme. M. Brown-S
en tolérée, on ne saurait prendre trop de précautions pour éviter les accidents , suites de piqûre, qui sont mis sur le compte du
ut et d'arrière en avant, sans complication d'hémor-rhagie ni d'aucun accident . L'os enlevé, frappé de cancer dans sa totalité
ritent d'être signalés à l'attention publique. « Je veux parler des accidents que peut déterminer l'emploi, dans la teinture, d
« Nous avons donc repris les chaussettes qui avaient déterminé les accidents observés par moi dans le cas dont j'ai parlé. Apr
onservant sa couleur spéciale et ses propriétés tinctoriales. « Les accidents qu'a déterminés la coralline chez l'homme se sont
us sérieux dangers. « La science possédait déjà plus d'un exemple d' accidents produits par des matières colorantes. Le vert de
t notable qu'aucune maladie n'est venue contrarier. Jamais il n'eut d' accidents syphilitiques. En 183g, par conséquent à l'âge
avate, à la partie antérieure du cou. Au bout de dix-huit mois, ces accidents s'arrêtèrent, et les tumeurs développées demeurèr
igné de son domicile, avoir quelque influence sur la fréquence de cet accident , on voit que la profession qui figure pour le chi
ucoup de cas, d'obtenir des suspensions très prolongées de tous les accidents épileptiques. Ces rémissions équivalent presque à
u'on observe dans la plupart des maladies virulentes. 3° Le premier accident appréciable qui résulte de la contagion ou de l'i
uit au lieu même où a pénétré cette matière et non ailleurs. 4° Cet accident primitif reste pendant un certain temps isolé, so
e manifestation qu'on a donné la dénomination toute conventionnelle d' accidents secondaires. Ces lois découlent non-seulement d
— Explosion de symptômes multiples et disséminés. Généralisation des accidents . M. Fournier passe ensuite à l'étude de la lési
t lui fait mettre un bandeau sur l'œil. Vingt-quatre heures après l' accident , le malade, en enlevant son bandeau, réussit à ou
rier 1864) pour un embarras gastrique, la seconde (mai 1864) pour des accidents semblables et, de plus, pour des douleurs occupan
ont ils connaissent l'inexorable terminaison. La marche de tous ces accidents est continue mais intermit tente, et ce sont pr
vec iritis, de l'œil gauche; traitement approprié; disparition de ces accidents . Le 25 mars. Lymphangite et adénite axillaire d
n les observations très positives dont j'ai entretenu l'Académie. Les accidents déterminés par l'usage de bas de soie teints en r
forces; il a toussé trois semaines durant après l'opération, puis cet accident a complètement disparu. Bien que l'expression l
qu'après la section du thyroïde la voix est plus souvent altérée. Cet accident ne peut cependant pas être considéré comme une co
l'opération (Erckmann, Boeckel), ou par la nature des lésions ou des accidents qui avaient déterminé l'opération, on peut se dem
prévisions et ont trop souvent une issue fatale. Ce n'est pas que les accidents qui se produisent ainsi (résorptions purulentes,
nt après avoir subi la fonte purulente. Ceux-ci, d'ailleurs, sont des accidents qui ne se manifestent guère que clans un stade bi
u ni rhumatisme, ni maladie grave. Sa grossesse a été naturelle, sans accidents . Présentation occipito-iliaque gauche antérieur
80 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u bénéfice de la même prophylaxie il y aurait lieu de divulguer les accidents causés par la fréquentation des séances de spir
our les avoir. Le calme augmenta de jonr en jour. L'ensemble de ces accidents aigus et de leur con- valescence avait duré qua
de graminée pendant qu'il dormait dans un champ. A la suite de cet accident , cet homme présenta une mydriase spasmodique un
niens sous la dépendance des lésions du sympathique. G. C. XXVII. Accidents pseudo-méningitiques à répétition au cours de l
âge de huit ans et demi, puis à l'âge de dix-sept ans, présenta des accidents REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 59 cérébraux gr
t l'intérêt de cette observation, c'est d'abord la répéti- tion des accidents pseudo-méningitiques à grande distance, puisque
e ce syndrome et trouvé des lésions thala- miques chez les deux.. Accidents bulbaires d'origine auriculaire. M. Bonnier pré
phénomène d'ordre général. M. Bon- nier a souvent remarqué que les accidents généraux'accompagnent surtout les lésions droit
les de l'in- toxication saturnine : colique de plomb, néphropathie, accidents nerveux. La paralysie saturnine a pris une exte
on considérable de la mémoire. Mort deux ans ans après le début des accidents , après une crise de céphalée avec vomissements
ectomie totale de la glande principale n'était pas suivie des mêmes accidents que chez d'autres animaux (chiens, chats, etc.)
89 comme le chien, le chat, etc., meurt après'avoir présenté des accidents analogues. A partir de la découverte de Gley, l
suivie de mort constante après quelques jours, en général avec des accidents aigus paralytiques (paralysie surtout) ou con-
l'ani- mal. Certaines conditions peuvent modifier l'évolution des accidents consécutifs à la parathyroïdectomie, en particu
thyroïdectomie, en particulier l'age ; chez les jeunes animaux, les accidents sont beaucoup plus rapides et plus aigus. : L
élève après la thyroïdectomie; la courbe de toxicité suit celle des accidents ; enfin la toxicité s'élève considérablement au
on; elle persista de 1900 à 1902. En 190` apparu- rent les premiers accidents sérieux; ils siégeaient à la main gauche et con
se par le profes- seur Bard qui n'explique pas tout le phénomène. Accidents nerveux tardifs du rhumatisme articulaire franc.
i, à la suite d'une polyar- thrite rhumatismale aiguë, offre divers accidents nerveux : amyo- trophie des mains, de l'avant-b
de plus en plus fréquentes et éten- dues de la nouvelle loi sur les accidents du travail, les experts seront plus souvent app
68 SOCIÉTÉS SAVANTES. les aliénés sortis guéris des asiles au cas d' accidents survenus chez l'employeur, coïncidant avec une
umatisme crânien. Enfin les indemnités à accorder à une vic- time d' accident ordinaire en dehors du travail. 4° Les question
t avoir à répondre ont trait aux articles de la loi de 1898 sur les accidents du travail. Outre les questions d'incapacité de
. LA PHOBIE DU REGARD. 205 et phobie de la rougeur sont donc deux accidents psycho- émotifs bien distincts. Toutefois, il e
« Phobie du regard. - Mais, à ce moment, j'étais atteint déjà d'un accident particulier, la peur du regard. J'ai souffert de
ormes (céphalée, neurasthénie, crises convulsives,' etc.), suivis d' accidents délirants polymorphes, mais offrant néanmoins c
e : ou les malades quittent l'asile pour y rentrer bientôt avec des accidents analo- . gués qui, eux-mêmes, disparaissent à l
aladie et lui imprimer des allu- res spéciales, ne seraient que des accidents accessoires, épisodi- ques ; elles ne constitue
et occupent le premier plan de la scène mor- bide, loin d'être des accidents accessoires, sont des éléments fon- damentaux e
es deux cas de rémission ou de véritable guérison; la cessation des accidents est en tout cas complète. Ces faits sont analog
rmes congestives de la tuberculose pulmonaire, mais encore dans les accidents nerveux qui peuvent survenir au début de cette
Les formes fébriles du tabès. Maurie FAURE (de Lamalou). Il y a des accidents fébriles au cours du tabes, et des formes fébri
briles au cours du tabes, et des formes fébriles du tabes. 1. Les accidents fébriles du tabes sont en relation avec l'in- f
elquefois aussi de l'intestin ou de l'arbre broncho-pulmonaire. Ces accidents sont surtout fréquents dans les cas de tabes av
2° réta- blissement de la tonicité des parois font disparaître ces accidents . II. Il existe des formes fébriles du tabes, ra
à deux types schématiques : 1° Dans le premier type, les poussées d' accidents tabétiques sont nettement accompagnées de fièvr
elle-même ou bien si, plus probablement, la lésion tabétique et les accidents qu'elle entraine sont, comme la fièvre, des con
aryngées, cachexie rapide, etc., mort trois mois après le début des accidents . Durant touté l'évolution de sa maladie, le suj
ux mois, X... se livrait à cette flagellation voluptueuse, quand un accident banal fit éclore une nouvelle obsession plus gê
d'esprit. Développement régulier, fièvre typhoïde à douze ans, sans accidents cérébraux bien graves. Intel- ligence ordinaire
avait eu occasion de lire parmi les faits divers des gazettes, des accidents de ce genre, sans en avoir été jamais ému. Il n
adies infectieuses, la rougeole, les oreillons et la varicelle sans accidents cérébraux. Très brillantes facultés intellectue
une hystérique anesthésique totale. Cette anesthésie a déterminé un accident qui attire immé- diatement l'attention : ce son
o- noncée que dans les cas de ce genre. L'anémie, le marasme, les accidents du décubitus ne se montrèrent que lorsque l'attei
oduit parfois un état d'angoisse assez fort. M. Pick a retrouvé cet accident en un cas de neurasthénie sexuelle; le malade i
a lame a pénétré dans le cerveau de 4 centimètres. lien résulte des accidents immédiats et consécutifs qui permettent de cons
d'une affection spinale aiguë. L'atrophie de la jambe gauche, sans accidents paralytiques, tient à ce que l'affection est su
gération quand la malade parle. L'auteur croit devoir rattacher ces accidents à la première menstruation, la jeune personne n
n campagne. Le transport à longue distance des militaires frappés d' accidents mentaux pré- sente, en effet, de tristes inconv
posséder pour bien agir dans la vie un casier utérin vierge de tout accident », nous dit M. le professeur Pinard 1. Il est de
nir dans beaucoup de cas les con- vulsions de l'enfance et tous les accidents qui en résultent, mais on place le système nerv
surveillé chez l'enfant, la puberté se passera plus facilement sans accidents graves. La puberté, outre les mesures prophyl
re de' l'enfant pour lequel on 380 CLINIQUE NERVEUSE. redoute des accidents de nature syphilitique et l'on rendra, certes,
re. On peut, dans quelques cas, lorsque le bromure occasionne des accidents cutanés, par exemple, substituer le trional au
s accepté bien longtemps par les malades; il peut occasionner des accidents , généralement peu graves, je le veux bien, mais
e en deux temps. Mais deux années plus tard le patient présente des accidents du côté de la moelle (sclérose en plaques proba
nt le plus souvent pro- duits par l'imitation, par les enfants, des accidents névropathi- ques de leurs parents. Les faits d'
une paralysie faciale bilatérale. On n'a encore donné de ce dernier accident aucune explication satisfai- sante. G. D. REV
décès de - 166 p. 100. Les évasions ont été au nombre de 7. Un seul accident (suicide par submersion) s'esi. produit pendant
BOURDIN, médecin en chef de l'asile d'aliénés du Mans (Sar6e). L' accident arrivé à notre collègue, le Dr Vallon, le disting
de succombe '(période méningitique) . Enfin, dans d'autres cas, les accidents méningitiques disparaissent, Fig. 16. - Tracé d
ète évident. La mort est survenue brusquement en 24 heures avec des accidents imprévus ne rappe- 494 REVUE DE PATHOLOGIE NERV
ie de cette variété de chorée congénitale on relève généralement un accident de la grossesse ou surtout un accouche- ment la
oeur, avec une tempé- rature de 40° 9, six jours après le début des accidents . Une ponc- tion lombaire avait donné un liquide
qu'il pût courir sans effleurer les pieds ni caresser les visages; accident qui, outre le mal qui aurait pu en résulter, au
du corps et une diminution de la sensi- bilité dans le côté gauche, accidents en voie d'amélioration. L'instrument de l'atten
guéii i par la suggestion, par Stembo,881. Abcès. Voir Cerveau. Accidents bllbaiues. D'origine au- l'lculalre, par Bonmer
e pathologique et de la pathogénie de la - par Kopc- zynslii, ù4. Accidents pseudo-mé- ningitiques à répétition au cours
des -, par Du- bonrdieu, 279. RLvEs Voir Anesthésie Rhumatisme. Accidents nerveux tar- 1 difs du - articulaire franc, par
81 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s instants par suite de la raideur des muscles du cou : c'est là un accident qui se reproduit encore quelquefois actuellemen
pu la retrouver dans trois générations de sa propre famille où les accidents nerveux sont d'une remarquable fréquence. Sa
ngeant la soupe, il tombe subitement sans perdre connaissance; même accident le lendemain en se le- vaut; bruit de jet d'eau
eur est aussi une cause occasionnelle efficace du développement des accidents vertigineux, quand les oreilles ont été frappée
téristiques de l'état normal reparaissent. Certains traumatismes ou accidents auriculaires sont des expériences toutes prépar
n auriculaire immédiate; surdité, légère otorrhagie. Au moment de l' accident et quelques jours après, la montre est parfaite
ion nette de la montre par le crâne, et à 30 cent. Au moment de l' accident , la commotion labyrin- thique a été relativemen
é; aussi, on voit l'audition crânienne, qui existait au moment de l' accident , se perdre plus tard, et la provocation des acc
au moment de l'accident, se perdre plus tard, et la provocation des accidents vertigineux reste long- temps facile ; mais le
, avec engourdissement du côté droit et 'embarras de la parole. Les accidents oculaires sont caractérisés par le développe- m
utsemblabie a)a première. Le malade est resté un an sans éprouver d' accidents semblables; mais dans cet intervalle, il se pro
ractères, avec quelques modifications dans leur localisa- tion. Les accidents ont encore débuté par le côté droit, où ils sont
manifestations hystériques. Car chez plusieurs sujets, il a vu les accidents disparaître aussitôt après avoir quitté le pays,
luculaire cérébro-spinale, d'origine intra-utérine vu, le début des accidents à quelques jours de l'accouchement '. L'immobil
de vertiges nécessitant un re- pos de plusieurs jours. Récidive des accidents neuf jours après, avec tendance à tomber à gauc
confrère aliéniste qui suspend l'administration de l'alcool et les accidents toxiques cessent. Mais voici qui est plus grave
l'alcool administré à l'intérieur est le plus souvent la cause des accidents , celui qu'on applique sur cer- taines plaies pe
ntant une prédisposition pathologique, pré- serverait peut-être des accidents en question. Le Dr Burghard rejette les tension
e que la vision est confuse,; il n'a jamais vu double. Le début des accidents oculaires n'a été accompagné d'aucun autre symp
envi- ronnants. Le matin, il remarque que la vue est trouble. Ces accidents persistent les jours suivants. Le malade a de la
tendance à tomber du côté gauche, qui persiste depuis le début des accidents . J'insiste sur ce fait, qu'elle n'est pas le pr
rise. Une violente céphalalgie s'est déclarée en même temps que les accidents oculaires. Dans le mois de mars, le malade est
besoin de rappeler le rôle que l'on fait jouer au cervelet dans les accidents de cette nature et eu particulier dans le verti
surdité. Je possède plusieurs faits de cet ordre, et l'on a vu cet accident se produire dans l'otite traumatique décrite pl
ébrale (saignées répétées, purgatifs chaque jour, etc.). Depuis cet accident , le sujet est resté sourd et abasourdi, étourdi
olonté ; et l'exa- men en ce sens est nécessairement arrêté par cet accident démonstratif. Epreuve de l'auscultation penda
oi qu'on fasse, accroître la portée de l'ouïe davantage; au moindre accident du côté de la gorge, la surdité reparait avec t
poques menstruelles, au moment de la ménopause. Le vertige est un accident dans les affections auri- DU VERTIGE DE MÉNIËRE
t jouer un rôle important dans la genèse et dans la répétition de l' accident vertigineux. L'hyperesthésie acoustique, l'ou
Une de ses soeurs, plus âgée qu'elle, est mariée et sujette à des accidents nerveux, se manifestant surtout sous forme de gas
a élevée, aurait eu, parait-il, il y a plu- sieurs années, certains accidents encéphaliques. A treize ans, les règles sont ap
augmentèrent de violence jusqu'au 16 août, jour où se montrent des accidents nouveaux. Tout à coup, au plus fort de l'agitat
veau aient été pratiquées. D. B. 250 SOCIÉTÉS SAVANTES. SUR les accidents apoplectiformes QUI peuvent compliquer LE DÉBUT
es, des attaques épileptiformes peuvent simultanément survenir. Ces accidents relèvent de l'ataxie même. L'hémiplégie et l'ap
nclinaison céphalique 262 SOCIÉTÉS SAVANTES. naturelle; delà, les accidents de la myopie et de la scoliose; de là, l'inoppo
rébrale avait impitoyablement pro- gressé, après la disparition des accidents de la vérole. La question des rapports des excè
uche.. ' . " ' u - Transporté à l'hôpital quelques jours après -cet accident , nous constatons chez le malade une paralysie m
l.J J l --M si '[\i, f> 1111M '" 'lUUl.iH ,IW. W r1 .t,r ,d, ,,r accidents commencèrent, a; ,etret,connus ? iC'est-;a;dire,
nestllésiclues,hientfaüto ilipour nou,lmêttrè : en garde,contre les accidents , ) ! )y,l ? t -, 311 1· " T'Ill ? PIiTSIOLOGI)J
'liystérie.\éanmoins; - n q ? il'tioiqu'elle 1 loi lie comme' ces accidents a ... <iA |i ? lr. l-l. à",i ,1 ' >' 1,,
110;lt 1-lil-f et (1 1- li.1 Il ' 1 , Il ., connu, tabès dont « les accidents avaient etorpbur ainsi dire, ? il H'iM'll.il.'ipn
l'encéphale peuvent, chez des sujets hystériques, s développer ,des accidents d'appa- rence formidable susceptibles de donner
bles défaire croire, dans,les cas par exemple comme le nôtre a des accidents de méningite lorsque somme toute, ils. relèvent,
'cinq'gouttes, aurait progressivement raison de tout le cortège des accidents en question, emprovo- quant le transfert d'un c
idicii, de photophobie,' de rougeur et de' I larmoiement' de^sang,' accidents qui' disparaissent'au bout' de huit mois ot'1'é
sidérations cliniques par lesquelles l'auteur rattache la série des accidents , y compris l'aphasie et la polydipsie, à l'état
de la syphilis, de, son malade, favorisée occasionnelle- ment par l' accident , les efforts et l'émotion qui en sont résultés.
rofond. Puis la guérison s'effectue. Dix mois plus tard, retour des accidents qui persistent à peu près aussi longtemps que l
h. gerichtl. Medic, XXXIX, 1.),, , M. Scliüle a dressé le bilan des accidents traumatiques et des blessures dont les aliénés
mentsqpŸrâlytiqüés;l,aliatômié,ptatli,ologiqng ^Li,W\ ? 8, sortel d' accidents dans lep ZODES MOIiCeS du cerveau .J sorte,, c.
ten voulant demander sa roule à des passants qu'il s'aperçût de cet accident . Quelques minutes auparavant, il avait ressenti
i- heure. Depuis cet époque, presque tous les mois, de semblables accidents se reproduisent, et, suivant l'expression du ma
, il attend aujourd'hui sa trentième attaque. On doit attribuer ces accidents à une ischémie cérébrale fonctionnelle, sans al
sont, à son avis, les symptômes différentiels qui sépareraient des accidents épileptiques incomplets de ceux qu'il vient de
de vue, le cas de M. Ball demeure mystérieux, comme la plupart des accidents de même nature. M. Ball penche pour l'anémie, s
te iéflexe. 11 s'agit ici de blessures de tête légères, sans grands accidents psychiques immédiats ; les ma- nifestations vés
ommie est de règle. Cette période est remarquable par l'existence d' accidents cérébraux, en particulier de phénomènes congest
olie, mélancolie ou manie. Quand la mort arrive, c'est du fait d'un accident ou d'une congestion céphalique, attaque épilept
igramme par jour, mais on a pu aller jusqu'à 0,07 centigrammes sans accident ; la tolérance pour ce médicament parait consid
- tomie pathologique du erétinisme, la trophonévrose faciale, les accidents cérébraux dans le mal de Bright, l'alcoolisme chr
22, 423. Ataxie locomotrice héréditaire, 117. Ataxie locomotrice ( accidents apo- plectiformes qui peuvent compli- quer le
82 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
ades, dans des lieux très fréquentés, jamais elles n'ont présenté d' accidents susceptibles de gêner les promeneurs ou d'attir
, teuton les laissant à la proximité immédiate des enfants en cas d' accident . BATIMENT DES IDIOTS GATEUX INVALIDES. XLI El
constances, refuse son concours, attendant qu'il se pro- duise des accidents , un scandale public. L'état des ma- lades est s
l y a des nausées violentes et parfois des vomissements aqueux. Ces accidents durent une journée, et sont moins fréquents en
les semaines; ils n'ont aucun rapport avec les règles. Pas d'autres accidents ner- veux. Cette personne, qui est originaire d
sa fille qui est une enfant naturelle. - Mère, bien portante, sans accidents nerveux, change souvent de profession. Elle ass
n jusqu'au mariage de sa maîtresse avec Hornick; il n'avait pas d' accidents nerveux, ne buvait pas; il était intelligent, d'u
[Pas de névropathes dans sa famille.] "'" : - Grossesse bonne, sans accidents , pas d'alcoolisme, etc.1. - accot- chement à te
la rougeole, ni aucune autre fièvre : n'a jamais présenté d'autres accidents nerveux que ceux qui sont mentionnés plus haut
côté paternel, même chose. Le père des Horu... ne présentait pas d' accidents nerveux, mais il faisait de fréquents excès de
ronc qui n'a pas reparu. Pas d'alcoo- lisme, ni de migraines, pas d' accidents nerveux ni rhumatismaux ; caractère doux. [Père
ctère doux. [Père : soixante-sept ans, n'a jamais été malade; aucun accident ',nerveux ; quelques excès de boisson. Mère : m
ns 1. - Deux semeurs : dont l'une encore vivante, n'ont jamais eu d' accidents nerveux.] Mère : quarante-deux ans; brodeuse, i
. Ces phénomènes disparaissaient sous l'influence du sommeil. Aucun accident cutané, rhumatis- mal ou pulmonaire ; pas de ma
ère : mort d'un asthme à soixante ans, sans'avoir présenté d'autres accidents ner- veux. - Mère : soixante-dix-sept ans, bien
d'accès de tristesse, d'excentricité, d'embarras de la parole. Les accidents ont débuté quinze jours avant l'entrée à l'asil
un ans, l'autre de dix-neuf, bien portantes, intelligentes ; aucun accident nerveux. 4° un garçon (Louis-Oscar), mort idiot
i compte déjà un idiot dans sa famille, est elle-même sujette à des accidents nerveux. Ici l'hérédité se manifeste directemen
itôt que ce sont les capsules. 21 mai. 1 ? n'a pas eu de nouveaux accidents . Son écriture a repris les caractères qu'elle a
âgé de 47 ans est bien portant et a eu neuf enfants exempts de tout accident nerveux. De ses trois soeurs, l'aînée est morte
il a fait de sérieux progrès. Une émotion vive a été l'origine des accidents qui nous l'ont fait conduire. Ces accidents se
ive a été l'origine des accidents qui nous l'ont fait conduire. Ces accidents se sont résumés en une impressionnabilité très
conservée ; le raisonnement n'offrait aucune modifi- cation. Ces accidents ont disparu très vite aussitôt que l'en- fant a
83 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
pression du médicament et quelques jours de repos mettent fin à ces accidents . On remarque alors (8 août) que l'éminence thén
ptiques, dans le but de chercher à modifier par cette opération les accidents nerveux. Après trente-deux expériences, l'auteu
nze seulement moururent de mort spon- tanée ou à la suite de divers accidents : l'un d'eux succomba à l'action du chloroforme
é d'anesthésie qu'ils peuvent supporter. Nous n'avons pas observé d' accidents épileptiques chez les lapins dont le nerf avait
avait été rompu ; nous n'avons pas réussi non plus à provoquer ces accidents en irritant les zones épileptogènes d'après les
ue sous la forme d'hypérémie, d'hémorrhagies capillaires, suivies d' accidents inflam- matoires. Selon toute probabilité, ces
suivies d'accidents inflam- matoires. Selon toute probabilité, ces accidents in- flammatoires consécutifs sont le point de d
rtu de l'élasticité, la forme des trous vacuoliques. Evidemment cet accident arrivera souvent et s'accentuera sur des cellul
isent une amélioration instable ; le tableau morbide se complique d' accidents gangreneux au sacrum (decubitus) d'amaigrisseme
e fois formée, l'ecchymose se comporte comme toute ecchymose. Cet accident névropathique ne doit pas être ignoré du méde-
la poussent à inventer des histoires de gens auxquels semblables accidents seraient arrivés; une fois sur ce chapitre elle n
onnaissance, idée de persécution et parfois agitation maniaque; ces accidents surviennent pendant les quel, ques jours qui su
les de la parole, d'irrégularité du pouls, de météorisme; durée des accidents : onze heures. Il espère aussi de bons effets d
r 0,10; 0,03 demeurent sans effet. M. mindel n'a vu qu'une fois les accidents désagréables sus- mentionnés. Dans vingt à ving
prédis- position ; le sujet était mûr pour l'éclosion de pareils accidents . Pour bien comprendre le rôle que peut jouer le
plectiforme2 Nous l'ignorons; peut-être faut-il la rapprocher des accidents analogues que l'on observe dans la paralysie gé
nfé- rieur, du pharynx, etc., et emmenant le malade par suite des accidents bulbaires. Mais il y a eu toujours auparavant u
l y a des nausées violentes et parfois des vomissements aqueux. Ces accidents durent une journée, et sont moins fréquents en
es semaines ; ils n'ont aucun rapport avec les règles. Pas d'autres accidents ner- veux. Cette personne, qui est originaire d
80 à l'asile de Bonneval avec un certificat médical ainsi conçu : « Accidents de nature épileplique datant du mois de mai 187
troduisit sa main dans le péritoine, survinrent à deux reprises des accidents : pâleur de la face, refroidissement, ralentissem
état parétique des membres supérieur et inférieur du même côté. Ces accidents qui guérirent rapidement furent attribués à l'e
atre jours. Cette malade n'avait jamais présenté anté- rieurement d' accidents hystériques, si ce n'est une légère attaque de
l contracta la syphilis, celle-ci provoqua par la suite une série d' accidents comateux et paralytiques qu'on crut devoir rap-
traitement spécifique amena peu à peu la disparition de tous les accidents . La guérison se maintint pendant 4 années au bout
spécifique ne réussit pas, et le malade fut emporté par de nouveaux accidents cérébraux. XXVI. UN cas DE MYÉLOPATIIIE AIGUE.\
11 était alité depuis trois semaines; pas d'autopsie. Cette série d' accidents doit être attribuée, d'après l'auteur, à une al
que. Elles constituent, notamment l'atrophie du nerf optique, des accidents assez fréquents dans la sclérose en plaques. Dans
qu'elle, remonte à quelques mois à peine; il1eslime que c'est à cet accident qu'il, faut faire remonter la formation de l'ab
propose de laisser pendante la question de l'assu- rance contre les accidents sus-mentionnée. Adopté. J, ? J, 'Jt j . " , -
els il pxis.[e. des idées détirantes ! U'p.gçhgn4rj ! HI(I( ? l L ? accidents de dyspepsie ne cqpsljlNgql ¡HP ! de £ °nlr§-Jn
que avec phlhisie du, globe, oculaire gauche, la relation entre cet accident et le lobe occipital n'est pas démontrée. ' ''
ante, était kleptomane ; un cousin germain a une fille qui a eu des accidents épileptiformes à la convalescence d'une angine
hemise mouillée, et alors je vois que j'ai pissé de- dans ». Pareil accident lui arrivait pour le moins une ou deux fois par
sa fille qui est une enfant naturelle. - Mère, bien portante, sans accidents nerveux, change souvent de profession. Elle ass
n jusqu'au mariage de sa maîtresse avec Hornick; il n'avait pas d' accidents nerveux, ne buvait pas ; il était intelligent, d'
calme. [Pas de névropathes dans sa famille.] Grossesse bonne, sans accidents , pas d'alcoolisme, etc. '. -Accou- chement à te
la rougeole, ni aucune autre fièvre : n'a jamais présenté d'autres accidents nerveux que ceux qui sont mentionnés plus haut
côté paternel, même chose. Le père des Horn... ne présentait pas d' accidents nerveux, mais il faisait de fréquents excès de
ronc qui n'a pas reparu. Pas d'alcoo- lisme, ni de migraines, pas d' accidents nerveux ni rhumatismaux; caractère doux. [Père
ctère doux. [Père : soixante-sept ans, n'a jamais été malade; aucun accident .nerveux ; quelques excès de boisson. - Mère :
t ans 1. Deux soeurs : dont l'une encore vivante, n'ont jamais eu d' accidents nerveux.] . Mère : quaranté-deux ans; brodeuse,
. Ces phénomènes disparaissaient sous l'influence du sommeil. Aucun accident cutané, rhumatis- mal ou pulmonaire; pas de mal
Père mort d'un astfime à soixante ans, sans avoir présenté d'autres accidents ner- veux. Mère : soixante-dix-sept ans, bien p
d'accès de tristesse, d'excentricité, d'embarras de la parole. Les accidents ont débuté quinze jours avant l'entrée à l'asil
-un ans, l'autre de dix-neuf, bien portantes, intelligentes ; aucun accident nerveux. 4° un garçon (Louis-Oscar), mort idiot
i compte déjà un idiot dans sa famille, est elle-même sujette à des accidents nerveux. Ici l'hérédité se manifeste directemen
, pendant une grossesse. En 1883. à propos d'une fausse couche, les accidents nerveux redoublent, syncopes, atta- ques de lét
'aggraver la situation et jamais, pour notre part nous n'avons eu d' accidents , loin de là, chaque séance étant suivie d'un mi
de Neurologie, 188,2, t. 1\', p. 336. 2 Dreyfous. - Patltogenie pl accidents nerveux du diabète sucré. Th. agr{'g-" 188a.
l s'agit d'une femme de trente-deux ans qui, avant l'apparition des accidents céré- braux, avait présenté des troubles de la
s, vertiges, céphalalgie. Aussi est-on en droit de redouter quelque accident grave quand on voit per- sister d'une manière a
de la puberté que ces caractères s'accusent. On voit survenir des accidents convulsifs. choréiformes ou délirants qui déroute
ts très intéressants mais mal interprétés; il y a des crises et des accidents cérébraux subits à apparence grave, mais d'un p
n trouve une de M. Henri Bonnet, auquel il vient d'arriver un grave accident . Notre confrère a en effet été frappé dans la rég
é, couché. Toute la première partie de sa vie, de sa naissance, à l' accident de la vipère qui a causé sa maladie, tout ce qu
oyé aux travaux d'agriculture. Son souvenir s'arrête exactement à l' accident de la vipère dont l'évocation amène infaillible
e mourut personne ; en revanche, on constata une fièvre élevée, des accidents de néphrite et d'hépatite, une pro- pension à l
84 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
alors le changement de direction et la résistance ont dû avertir de l' accident qui est survenu. Delpech cite un fait analogue, o
'ordinaire, sa canule, sur laquelle il fit cicatriser la plaie. Aucun accident n'est survenu. — Pour un cas qui lui a paru sembl
r de haut en bas, de manière à achever la section sans secousses, cet accident pouvant faire brusquement vider l'œil. Si des mou
hors. S'il reste étranglé dans la section de la cornée trop étroite , accident assez commun dans les cas de section impar-faite
la rupture des membranes de la fenêtre ovale et de la fenêtre ronde, accident d'où résulte une surdité incurable. Du reste, mêm
qu'on se soit rendu maître du cours du sang par tous les moyens. Cet accident et la syncope forcent même quelquefois à remettre
nion à s'opérer de nouveau malgré tous les efforts du chirurgien. Cet accident s'est renouvelé trois fois chez le malade de Hors
e buc-cale des plaies inoins bien affrontée que celle de la peau. Cet accident est surtout à craindre chez les jeunes enfans, qu
ant il ne s'est présenté que deux faits d'hémorragie foudroyante; cet accident n'étant encore arrivé qu'à Heister, et plus récem
est vrai, par la situation de la plaie dans un encastrement osseux. L' accident le plus commun a été la paralysie du côté corresp
du pharynx* larynx etde la langue: mais surtout nous avons vu (pie l' accident le plus commun est la paralysie d'une moitié de l
ujours désobstruer, si elle venait à s'engorger, tandis que si pareil accident a lieu au pourtour de l'orifice, par des concréti
uchant l'isthme du gosier, fut vérifié par l'autopsie. i° Le deuxième accident est l'hémorrhagie, d'autant plus à craindre, aprè
de ceux de M. Roux, en sont morts. Chez un certain nombre, et le même accident est arrivé à plusieurs chirurgiens, la réunion n'
e dans le pharynx. Aujourd'hui, avec les pinces airignes doubles, cet accident n'est point à redouter; mais ce mode de sec-tion
métal, etc. Dans d'autres cas, le corps étranger est le produit d'un accident traumatique , soit une balle, un fragment d'étoff
ur la paroi antérieure où la sonde pourrait pénétrer dans le larynx , accident encore plus commun , et dont un exem-ple a été vu
ques moyens simples, mais qui n'ont d'effet qu'à l'in-stant même de l' accident ; tels sont : la déglutition de liquides visqueux
es de poitrine ou dans l'opération de l'empyème semble devoir être un accident assez commun. Le danger de cette hémorrhagie, qui
M.Thierry (Biblioth. méd., 1838), où l'hémorrhagie causa la mort. Cet accident se reconnaît à ses signes généraux , la dyspnée,
vité des plèvres. Or, si la complication existe déjà par le fait de l' accident , rien de mieux à faire, à ce qu'il nous semble, q
d'épanchement. i° Épanchement de sang. Quelle que soit la nature de l' accident , lésion traumatique ou dé-chirure spontanée, la s
du sang dans l'organe peut néanmoins causer une syncope. Dès cpie cet accident menace, il faut immédiate-ment boucher l'ouvertur
nq fois et M. Caf-ford plusieurs fois à son exemple, apparemment sans accident . 3° Par le trocart. Procédé ordinaire. L'espace
le faciliter. Il se supprime ce-pendant quelquefois tout-à-coup. Cet accident est dù le plus ha-bituellement, soit à la présenc
second , pour repousser les viscères au dedans. On empêche ce dernier accident de se reproduire en inclinant la canule dans dive
st ordinairement causée par des veines. Il arrive quelquefois que cet accident est produit par la lésion de quelqu'une des veine
e recherche est souvent assez difficile, mais ordinairement quand cet accident existe, il se trahit de lui-même par une dou-leur
er leurs rapports de manière que la sortie de la lame s'effectue sans accident . Deuxième sous-procédé. Il consiste à débrider
idérable, soit par exemple de un ou deux jours, s'est écoulé depuis l' accident . Ce cas alors pouvant être assimilé à l'étranglem
, la prudence est d'attendre, mais en se tenant prêt à combattre tout accident qui peut survenir. Si au contraire ce qui est le
r but d'établir un anus artificiel, et seront décrits à propos de cet accident ; les autres ont pour objet une guérison immédiate
seulement que le collet du sac était le siège le plus fréquent de cet accident , lorsqu'un chirurgien de nos jours s'est efforcé
qui a son siège à l'an-neau crural ou au canal inguinal. Lorsque cet accident arrive, quela gangrène soit plus tardive, ainsi q
écution du taxis. Lorsque l'on a affaire à une hernie exempte de tout accident , cette petite opération est simple et exige même
aussi cpii doit toujours guider le chirurgien. L'étran-glement est un accident dont la marche rapide et la gravité s'ac-commoden
pression ; il est quelquefois néces-saire, pour échapper à ce dernier accident , d'échancrer le bord inférieur et interne de la p
'y a donc de réellement important que la hernie étranglée; mais ici l' accident est d'une telle gravité qu'il compromet au plus h
l'odeur propre à la gangrène, le chirurgien, reconnaissant ce funeste accident à ses signes caractéristiques, ne doit pas tenter
és contre les plaies des intestins. — La blessure d'une artère est un accident qui, t. vii. aujourd'hui, est devenu rare, gr
émorrhagie. Plusieurs auteurs ont, en effet, cité des exemples de cet accident , devenu ordinairement mortel, parla difficulté où
Ce n'est, au reste, que par inadvertance que peut arriver ce dernier accident , car on doit toujours faire uriner le malade avan
té faites par ce procédé. Chez l'un des malades , homme adulte, aucun accident n'avait paru jusqu'au vingt-cin-quième jour et to
olutifs , sur la région , ont été les seuls soins consécutifs : aucun accident n'est survenu , mais les deux hernies se sont rep
ompli-cations qui s'opposent à l'occlusion de l'anus accidentel. Un accident ordinaire est. l'invagination de l'intestin qui f
r en totalité le sphincter anal. Jlèmorrliagie. Il est rare que cet accident soit assez grave pour inspirer des craintes après
corps étranger se trouve logé dans le rectum par l'effet d'un simple accident . Les seuls corps de ce genre, et qui n'offrent ja
ières fécales durcies après une longue constipation. Enfin, à moins d' accident trau-matique, une canule échappée de sa seringue
ser l'intestin sur un appareil delà dilatation. HÉMORRHAGIES. Cet accident est commun à toutes les opérations qui se prati-d
considérable, et lorsqu'un mal très grave et peut-être irréparable, l' accident même qu'il s'agissait de prévenir, est déjà accom
s en avoir les avantages, et finalement en ré-clame l'emploi en cas d' accident . Excision. Procédé ordinaire. Le malade étant m
mité inférieure de l'intestin dans toute son épaisseur. C'est le même accident qui complique si fréquemment l'anus contre nature
elle n'est jamais accompagnée d'hémorrha-gie, ni suivie d'aucun autre accident , et que les cas où elle peut être appliquée sont
d'une hydrocèle simple, à une-ponction près, ne saurait en traîner d' accident ; tandis qu'en agis-sant autrement on ferait doubl
vin ; de plus, comme on injecte beaucoup moins d'iode que de vin, cet accident est aussi moins à craindre. M. Velpeau a dit avoi
en elle-même est courte, peu douloureuse, et qu'elle n'expose à aucun accident . Si, comme nous n'en cloutons pas, les rapides gu
ature qu'à toute autre cause, puisque celle-ci était tombée lorsque l' accident survint. Lorsque la ligature est bien appliquée ,
otum, du cordon spermatique et des parties contiguës. On oppose à cet accident les antiphlogistiques locaux et généraux ; toutef
ler sur eux l'at-tention du chirurgien. Lorsqu'il ne survient aucun accident , le premier pansement se fait du troisième au cin
pas porté à un degré con-sidérable, et s'il n'est accompagné d'aucun accident grave, on peut espérer de le guérir en faisant un
ulté , mais il y a souvent impuissance. Enfin, dans fa troisième, cet accident a toujours lieu. Si l'urètre, au lieu de se ter
. 20 Sondes flexibles. L'idée de soulager les malades et d'éviter l' accident dont parle J.-L. Petit a stimulé l'imagination de
sonde de tomber dans la vessie. On ne se rend pas compte comment cet accident peut arriver avec un instrument qui a 9.7 à 3i ce
ur le malade obligé d'avoir recours au chirurgien chaque fois que cet accident lui arrive. En Angleterre, il y a des sondes en g
issoudre, ce qui a empêché de les adopter dans la pratique, crainte d' accident . Autrefois on se servait beaucoup debougies méd
a-neuse de l'urètre, son orifice de sortie ouvre clans la vessie. Cet accident est presque inévitable, en particulier lorsqu'il
probable que clans les cas où Boyer a em-ployé la sonde conique, cet accident lui est arrivé plus d'une fois, mais que ses suit
ent séjourner plus ou moins de. temps dans le canal sans déterminer d' accident grave et sans être reconnus. Alors ils se creusen
s il parait, d'après l'observation de Thomas et de A. Cooper, que cet accident n'a pas lieu , et que l'urètre recou-vre complète
urine s'infiltrait dans le tissu cellulaire; ou tout au moins, si cet accident n'avait pas lieu, il fallait réintroduire la canu
ante. Boyer rap-porte qu'il a vu deux malades dont l'un a porté, sans accident , une sonde de gomme élastique au-dessus du pubis
, blesser les vaisseaux et les nerfs du périnée, mais ce doit être un accident rare. Enfin, ce qui s'oppose le plus à ce qu'on c
vieillard, la présence d'un calcul qui n'a jamais donné lieu à aucun accident ; mais ces cas sont rares et partant exceptionnel
ifestent, à se laisser sonder, les malades qui n'éprouvent plus aucun accident . Sur six malades qui étaient dans ce cas, le trai
dans la crainte qu'un pli de la vessie ne soit pincé entre les mors, accident qui peut arriver malgré la distension de la vessi
obliquement de dedans en de-hors et d'avant en arrière, on évite cet accident sans nuire pour cela à l'expulsion de la boue et
rupture de l'instrument dans la vessie; il y a quel-ques mois que cet accident , arrivé à l'Hôtel-Dieu, fut cause que le malade s
aitement préparatoire in-dispensable en pareil cas, l'absence de tout accident immédiat après la première séance , le retour et
conséquence. i° Rupture des instrumens dans la vessie. Bien que cet accident soit rare, et qu'on puisse l'éviter en soumettant
fait suite. Dans deux cas de sa pratique, M. Le-roy a vu survenir cet accident : dans l'un ce fut la tête du foret, et dans l'au
morceau de pince plus gros s'était détaché dans la vessie. Semblable accident est arrivé à l'Hôtel-Dieu, vers le milieu de l'an
développe assez souvent pendant la litho-tritie; mais ce n'est qu'un accident léger et qui se termine tou-jours heureusement.
e endurer de vives souf-frances au malade, et de rendre fort grave un accident qui, bien conduit, ne présente d'autre inconvénie
point de déter-miner la mort. 5° Phlébite du col de la vessie. Cet accident est cité par les au-teurs, mais ils ne se fondent
vessie, coïncidant avec l'étroitesse du canal à cet âge. Bien que cet accident n'ait aucune gravité par lui-même, surtout depuis
chant de la lame il est impossible tt d'intéresser l'intestin rectum, accident qui laisse presque tou-« jours une fistule, urina
t qu'il survient ou non des accidens après l'opération. Lorsque aucun accident ne trouble la marche de la nature, le malade épro
'inflammation de la vessie et du tissu cellulaire voisin est un autre accident assez fréquent et très re-doutable. Boyer assure
ux, Yecchymose du scro-tum et Yengorgement des testicules. Ce dernier accident , assez commun, dépend de la division ou de la con
du périnée reste quelquefois fistuleuse. Il y a lieu de craindre cet accident lors-qu'au bout de cinquante ou soixante jours, l
x qu'on indique à l'occasion de cette maladie. L'impuissance est un accident propre à la taille médiane et à la taille latéral
cicatrisés isolément ou oblitérés dans une certaine étendue. C'est un accident au-dessus des res-sources de l'art. Blessure du
e suite; mais si la blessure a une certaine étendue, on reconnaît cet accident à la sortie des gaz et des matières fé-cales. L
autre aux fistules urinaires. L'expérience a démontré à Vacca que cet accident ne survenait pas lorsqu'on n'incisait le rectum q
ui peuvent accompagner la taille hypogastrique. i° Hémorrhagie. Cet accident est assez rare ; on en cite cepen-dant quelques e
stins par l'ouverture péri-lonéale , ne complique même pas beaucoup l' accident . Nous connaissons nous-mêmes plusieurs faits de c
ue, le résultat n'en ait pas été malheureux. L'essentiel, lorsque cet accident est arrivé, est de tenir le malade presque assis
up de circonspection , pour éviter l'infiltration de l'urine, car cet accident est grave, et lorsqu'il est survenu il n'est pas
mais aucuns des chirurgiens qui l'ont employée n'ont vu survenir cet accident . Au reste l'anatomie indique suffisamment qu'il n
e sauver les jours de la malade et de diminuer un peu les suites d'un accident aussi grave, il eut le bonheur de réussir complèt
tablie de ses suites de couches, c'est-à-dire un mois ou deux après l' accident , qu'il convient de pratiquer l'opération. Manue
de la division. La réunion fut prompte, et ne fut entravée par aucun accident . Procédé de M. Montain, de Lyon. Une fois que l
vider l'urine à mesure qu'elle y arrive; lorsqu'il ne survient aucun accident , l'agglutination des lèvres de la plaie peut être
onné à lui-même, fut entraîné par la suppuration. Il ne survint aucun accident , et au bout de peu de temps, la guérison fut comp
. Dans le cas, au con-traire, où son application n'est suivie d'aucun accident , il faudrait la laisser en place, et en augmenter
générale. Lorsque, au bout de quelques jours, il n'est survenu aucun accident , il est important de faire quelques injections ti
ortes en peu d'heures. Pourtant, d'après la plupart des auteurs , cet accident ne serait pas aussi commun. Ainsi, Sanson dit que
e espoir de succès cpie clans les premiers momens qui ont succédé à l' accident , c'est-à-dire presque toujours à la suite de l'ac
divisait toutes les cloisons intérieures qu'il pouvait atteindre sans accident , et livrait l'expulsion du reste à la suppu-ratio
la déchirure des symphyses sacro-iliaques, qui constitue toujours un accident très grave. Enfin, nous pensons aussi qu'il ne fa
a un obstacle insurmontable qui s'oppose à la sortie de l'enfant, cet accident réclame impérieusement l'opération, surtout si l'
. de mèd. chirurg. prat., tome v , page 170). Disons pourtant que cet accident est très rare. B. OPÉRATIOIN CÉSARIENNE VAGINAL
done n'a pas réussi à déterminer le relâchement du col, ou si quelque accident nécessite une prompte terminaison de l'accou-chem
par la forme de la lame et la ma-nière dont elle est introduite, cet accident est peu probable, et s'il survenait, facile à rem
gne expose à déchirer la conjonctive par la sclérotique et la cornée, accident qui est arrivé à M. Phillips en opérant sur un ch
le-même. Si effectivement dans beaucoup de cas il n'est survenu aucun accident cela prouve que l'opération est très inoffensive;
, après laquelle le petit malade aurait guéri. 3° Inflammation. Cet accident est plus commun, mais bien rare encore, puisque s
cles droits externe, supérieur et inférieur. Il est proba-ble que cet accident doit être arrivé plusieurs fois à d'autres chirur
sections multiples de quatre ou cinq muscles; à propos de ce dernier accident , nous parlerons de l'opération nouvelle imagi-née
avons vu de l'anatomie pathologique du strabisme, on con-çoit que cet accident a lieu inévitablement lorsque la nouvelle implant
ar conséquent plus près du centre de l'œil. C'est pour remédier à cet accident que M. J. Guérin a imaginé une nouvelle opération
s paraît donc bien préférable. 8° Strabisme inverse consécutif. Cet accident causé par la con-traction du muscle opposé à celu
de tomber, et dite plus exactement œil de boulon buphthalmie, est un accident inévitable des sections multiples, l'œil privé de
influence sur les névroses consécutives. Dans les premiers temps, cet accident semblait irrémédiable, mais depuis quelques mois
e tous les muscles qui pou-vaient y concourir. L'auteur pense que cet accident peut tenir à un état de rigidité de l'enveloppe d
s douleurs névralgiques cpie nous avons signalées plus haut, un autre accident résultant quel-quefois de l'opération du strabism
confuse : nous ignorons complètement quel remède opposer à un pareil accident . Comme les faits sont en-core nouveaux, peut-être
les , quoique cette circonstance ne paraisse avoir donné lieu à aucun accident . Mais ce qui est le plus important, ce sont les r
ène une effusion de sang qui oblige d'interrompre l'opération. Si cet accident n'a pas lieu, on continue le décolle-ment jusqu'à
e soulèvement de la langue n'a pas lieu, on peut être tranquille, cet accident n'est plus à craindre. ACCIDENS IMMÉDIATS DE L'
bsista pendant douze jours. M. Bonnet signale la tuméfaction comme un accident inhérent à la méthode sous-cutanée. Mais il assur
forts, mais dont, assure l'au-teur, il ne faut pas s'effrayer, aucun accident inflammatoire n'étant survenu après ces tentative
teints d'affections tuberculeuses des os, et n'a jamais produit aucun accident . 7° La section sous-cutanée du sphincter de l'a
amélio-rant à mesure, sans que les opérations donnassent lieu à aucun accident local. Nous n'hésitons donc pas à considérer cett
toire a pour but d'éviter l'introduction de l'air après la ponction , accident que des faits récens ont montré moins dangereux q
85 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
'une bonne santé habituelle ont éclaté, sans cause appréciable, des accidents gastro-intestinaux aigus, sous la forme de vomi
inaperçue. - Eh bien ! Messieurs, la brusquerie dans l'invasion des accidents est un mode de début, commun aux formes aiguës
isir, je vous l'ai déjà signalée dans le cours de cette leçon : Des accidents crânio-bulbai- res, quand ils éclatent dans le
une mort à peu près certaine. Dans un cas de polynévrite, ces mêmes accidents dépen- dent de lésions qui peuvent se cantonner
t peu, et pour lesquels il ne serait pas venu nous consulter si des accidents plus graves n'étaient surve- nus dans la suite.
ne difficulté il opérer les premiers mouvements de mastication. Cet accident ne se produisait que de temps à autre, irrégutiê-
et qui est le signe pathognomonique de la maladie de Thomsen. Ces accidents ne se produisent pas à l'occasion de tous les mou
nutrition cellulaires se manifeste chez les trois rejetons comme un accident inévitable de la (t) KAPO81, trad. par Besnier
uente. Cette consistance nous a fait penser tout d'abord à quelques accidents survenus lors de l'extraction. Cependant, ce
ES DE LA TOURETTE ET G. DURANTE l'iodure de potassium, le début des accidents dans ce jeune âge et les dents d'Utchinson sont
qu'il eût été le siège de douleurs vives. Toutefois un an après cet accident , les fonctions de ce membre sont récupérées et
loyé à la préparation des échantillons dans les chais. C'est de cet accident que date l'atrophie qui est toujours allée s'ac
ition relative des forces dans le membre atrophié. En dehors de ces accidents et de l'atrophie du membre supérieur droit qui
as de btennorrha- gie. A 20 ans, plusieurs chancres suppurés. Pas d' accidents syphilitiques. Cet homme a contracté des habitu
cellente sauté ; ils n'ont eu ni troubles paralytiques, ni chorée, ni accidents nerveux d'aucune sorte, ni rhumatisme, ni obési
e, déc. 1895. (2) Gaz.hebdom., 21 août 1817, et Thèse de Giraudeau, Accidents verlig. et apopleclif, dans les maladies de la
tremblement généralisé survenu quelques jours avant à la suite d'un accident . Dans ses antécédents nous trouvons la grand'mè
demi-tour : il se releva sans aucun mal, mais très effrayé par cet accident il se mit à trembler et conserva ce tremble- (1
ital ; pendant son séjour il continua sous nos yeux la série de ses accidents hystériques : il se plai- gnit successivement d
t la nature n'est pas bien établie. Le malade n'a jamais présenté d' accidents secondaires. Jusqu'en 1882, il ne s'est pas a
plètement l'influence des émotions morales sur le développement des accidents chlorotiques, on admet volontiers que ces causes
eilles théories hippocratiques sur la ge- nèse et le traitement des accidents nerveux imputés de nos jours à l'hysté- rie. C'
peut se traduire par des épistaxis dits de la puberté. Ces derniers accidents disparaissentra- pidement'sous l'influence de l
uoi de la congestion. « A. Robin, continue M. Dalclié, rattache les accidents à une altération du sang ou des parois vasculai
die larvée. Je pose en principe que la thyroïdine ne guérit que les accidents d'lrypo- thyroïdie. La thyroïdine est essenti
présenté des fausses couches ? Les couches ont-elles été suivies d' accidents hémorrhagiques ? A-t-elle allaité et combien '
érioste alvéolaire. Je ne suis pas éloigné de croire que beaucoup d' accidents de la grossesse, 288 E. HERTOGHE les vomissem
d il y a soupçon d'hy- pothyroïdie, et ne pas perdre de vue que ces accidents , inguérissables par tout autre traitement, disp
abandon du remède. Actuellement elle suit de nouveau sa cure et les accidents ne tarderont pas à disparaître. OBs. 111. - X3.
lit n° 10. Antécédents. Son père est mort à 65 ans des suites d'un accident de che- min de fer ; sa mère est morte subiteme
UR DEUX TICS DU PIED 355 Elle eut, dès le début de son mariage, des accidents syphilitiques, il y,a 17 ans. Une dizaine d'ann
un jeune homme de 20 ans, Te..., qui présente également au pied un accident très comparable au précédent. Ce jeune homme ma
sa jambe, était à peine obtenue que Db... eut à souffrir d'un autre accident . A la suite d'une querelle violente avec sa con
nt violent de colère et des im- pulsions à frapper et à mordre. Cet accident rentre dans les délires émo- tifs systématiques
t surtout d'ordre émotif. Nous n'avons pas à insister sur ce nouvel accident qui est en dehors de notre étude actuelle. Il m
ous montrent aujourd'hui le méca- nisme psycho-physiologique de ces accidents . (1) Névroses et idées fixes, 11,-ch, IV, p. 5.
La précocité du début. 3) Les modes de début ; 4) L'adjonction d' accidents rares, les arthropathies ; 5) La présence d'hér
tteint un âge avancé; mère morte à 57 ans, asthmatique; père mort d' accident . Un frère, atteint de bronchite bacillaire ( ?
Cachexie extrême. A aucun moment le malade n'a présenté le moindre accident bulbaire. Le malade succombe à une véritable ca
servations II et'IV) ou hérédi- taires (observation V) ; présence d' accidents trophiques anorniaux (obser- vation VI). Et c
des plaies qui saignent, ils sont peu nombreux ceux qui après leur accident voient se développer une atrophie musculaire et i
elle existait depuis plusieurs mois, et elle était consécutive à un accident que nous a raconté le malade. C'était en 1898 l
ions de l'épaule droite et gauche. Quel- que quinze jours après son accident , c'était au mois de juillet 1898, il veut repre
uin, reçoit une contusion à la région humérale droite. II n'a aucun accident immédiat, il continue à se servir de son bras. Un
dent immédiat, il continue à se servir de son bras. Un mois après l' accident les mouvements deviennent difficiles dans l'épaul
orrha- gie. La plaie guérit sans complication. Peu de temps après l' accident , le malade qui n'avait pas cessé de travailler,
Il put se relever aussitôt et faire une assez longue marche après l' accident . La plaie guérit rapidement, mais au bout de qu
wagon tombe et s'érafle la jambe, fait une longue mar- che après l' accident et ne s'immobilise pas. Le malade qui fait le suj
observation avait tous les mouvements de son bras normaux après son accident . Donc la théorie de l'inactivité musculaire est i
rose, il n'y a là rien que de très conforme à ce que l'on sait des accidents syncopaux fréquents dans cette maladie. ' Pou
t surtout par cet air d'assurance et de profond dédain en face d'un accident qui émeut les moins sensibles ? Tel est bien
e vieille 'femme se précipite angoissée, et à la vue de ce tragique accident , exprime à la fois toute son épouvante et tout
se reposer dans sa famille; au bout d'un mois ou six semaines, les accidents disparais- saient ; la marche et le travail red
edema des Anglais, etc.). Les auteurs s'accordent à voir dans ces accidents des manifestations dys- trophiques d'origine ne
tement thyroïdien n'aurait pas de prise. Ce sont là, pense-t-on des accidents comparables à ceux du myxoedème et sous la dépe
s analogies avec l'urticaire chroni- que. L'origine nerveuse de ces accidents semble indiscutable, et l'hystérie peut souvent
nôtres où le tissu osseux était strictement respecté 1). Parmi ces accidents vaso-moteurs dont la cause et le mécanisme sont
et à des poussées d'oedème aigu. Le père de l'enfant présentait des accidents identiques. LE TROPllOIïDÈIIiE CHRONIQUE HÉRÉDI
fection initiale font défaut, et que dans l'un ou l'autre genre les accidents oedémateux sont généralement transitoires. Ce n
e avoir été le cas d'un des oncles de nos jeunes malades. Mais ces- accidents exceptionnels ne sauraient faire oublier le carac
us les exemples pu- bliés ont été considérés comme représentant des accidents dystrophiques. Et tous s'accordent à supposer q
nt à supposer qu'un désordre nerveux est la cause ini- tiale de ces accidents . Mais comme rien n'est plus obscur encore que l
- flure d'aspect éléphantiasique. Mais n'est-ce pas le propre des accidents dystrophiques d'un même système d'affecter tant
rs sui- vants à ses travaux habituels et ne se préoccupa pas de cet accident . Au commencement de novembre il sentit de nouve
86 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
E. IX même dans les lieux très fréquentés, n'ont donné lieu à des accidents capables d'attirer sérieusement l'atten- tion e
s réguliers, figure agréable, pas de goitre; elle ne présente aucun accident nerveux '. Notre malade. Durant la grossesse, à
iculaire et dans d'autres régions, mais la priorité relative de ces accidents pathologiques est inconnue. Dans les quatre cas
ente et un ans; la ménopause est arrivée à cinquante et un ans sans accidents . Pas de convulsions, pas d'attaques de nerfs, p
nquante-huit ans, sobre; était né à Vannes et n'a jamais présenté d' accidents nerveux. - Mère, ménagère, sobre, morte à quatr
'excitation alcoolique la plus légère.- Grossesse bonne, sans aucun accident . - Accouchement à terme, naturel, sans chlorofo
ap- partenant à Bruns, n'avait été suivi quatre mois après d'aucun accident . ' Hans Schmidt. - Ein Fall von Cachexia strumi
'1Ïn- ce, type lorrain ; pas de convulsions dans l'enfance, nas d' accidents nerveux; ni migraines, ni céphalalgies, ni rh m
: soixante ans, n'a jamais eu de maladies et n'a jamais présenté d' accidents nerveux. - Sept frères et soeurs au inoins (de
endant six semaines, il eut une légère rémission après laquelle les accidents reprirent plus forts que jamais. Il se tenait m
nfant était atteinte de fièvre cérébrale. Huit jours plus tard, les accidents fé- briles disparurent, mais consécutivement on
ment de l'intelligence ; gâtisme passager. Amélioration. Nouveaux accidents de méningite et tuberculose pul- 1) ? ,onaire.
res. Il s'était toujours bien porté jusqu'en 1881 ; à partir de là, accidents de bronchite avec amaigrissement et diarrhée. I
. z IL C'est dans le cours de la sixième année que les pre- miers accidents seraient survenus. En quoi ont-ils exacte- ment
s mensura- tions, données dans le cours de l'observation. IV. Les accidents auxquels a succombé l'enfant ont eu une marche
châtain ; a toujours été bien portant, sobre, il n'a jamais eu d' accidents nerveux (migraines, etc.), ni de rhumatismes, d
étaient bien portants. La grossesse a été absolument normale, aucun accident n'est survenu. L'accouchement s'est fait à term
giste, et à la suite de libations répétées qu'apparurent de graves accidents . La nature des symptômes et leur évolution appa
mps, Enderl... éprouva des vertiges, du tremblement, des secousses, accidents susceptibles d'être rattachés aux lésions produ
ien portant, fait do fréquents excès de boissons ; il n'offre pas d' accidents nerveux. - Mère morte du charbon. Grand-père pa
pour la battre. Le temps de la grossesse s'écoula sans aucun autre accident , sans syncopes, ni envies de boire, etc. Accouc
lées dans le sens vertical. Voici les dimensions de la tête : 170 ACCIDENTS MÉNINGITIQUES. le volume d'une petite olive ; l
igr. 17 février. Cinq selles verdâtres avec le purgatif; la nu'it ACCIDENTS MÉNINGITIQUES. 171 a été bonne ; l'enfant ne s'
granuleuse(\882). Pemphigus à petites bulles (1883).- Entérites. - Accidents méningitiques ; affaiblissement progressif; mor
mporté; antécédents. 179 n'est sujet ni aux migraines, ni à aucun accident nerveux; pas de dermatose. [Père, peintre en ta
avril. - 3 octobre. Tuméfaction des deux joues, surtout de la 182 ACCIDENTS MÉNINGITIQUES. droite, mais sans rougeur ni cha
squ'à deux ans et demi, on peutse demander s'il n'a pas eu d'autres accidents convulsifs qui auraient été dissimulés. (1) L
se souvenir de l'insuffisance des renseignements recueillis sur les accidents de l'enfance, on comprendra notre indécision.
algré cette situation, rendue encore plus fâcheuse par de fréquents accidents ayant nécessité des séjours souvent assez prolo
use ou syphilitique. [Père, bien portant, cultivateur, sobre, pas d' accidents nerveux. - Mère, sobre, morte à 61 ans,en 8 jou
ulle ( ? ). Pas de consan guinilé. Premières convulsions à 3 ans. - Accidents convulsifs revenant 4 à 6 fois chaque année jus
é de Ménag... aurait été bonne jusqu'à l'âge de 3 ans; dès cet âge, accidents convulsifs; les premiers au- raient duré une de
idents convulsifs; les premiers au- raient duré une demi-heure. Ces accidents sont revenus jusqu'à 6 ans, séparés par des int
iodes d'excitation maniaque. II ne s'agit là que d'une hypothèse, l' accident remontant à une date an- térieure à 1879 (3).
isolés qui ouvrent la marche (1) : et c'est tantôt au cours de ces accidents convulsifs, tantôt lorsqu'ils ont cessé pt sont
déc.) - Père : grand, fort, bien portant, ne fumant pas, n'ayant ni accidents nerveux, ni maladies de la peau, marchand de vi
la parole est suspendue ; puis l'accès éclate ; d'autres fois, les accidents s'arrêtent la ; la face devient rouge et Lel...
87 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
résultent de la rupture d'anévrysmes miliaires. ' Elles constituent l' accident presque fatal, le terme extrême d'une maladie à p
e connaissance, avec résolution musculaire et rougeur de la face. Ces accidents disparaissaient rapidement après une saignée et n
ui s'est élevée jusqu'à 39°,6 trente-quatre-heures après le début des accidents , le 23 juin 1868. Al'autopsie, on trouve une va
ectique le 9 août 1888 ; elle devient paralysée à droite, est prise d' accidents convulsifs épileptiformes, et meurt le 16 août 18
attaque, la malade meurt clans le coma, sept jours après le début des accidents récents, le 31 août18G7. A Vautopsie, on trouve
ras gauche éprouvait des sensations subjectives clans le moignon. Des accidents cérébraux, caractérisés par une diminution de la
res à la région sacrée, qui a lieu fréquemment quelques jours après l' accident , chez les sujets dont la moelle épinière est lésé
mençant ordinairement vingt à vingt-quatre heures après le début des accidents est à son summum les deuxième et troisième jours
n peu de bouillon. Le 15 septembre, sans qu'il y ait eu de nouveaux accidents , la malade paraît plus affaissée que les jours pr
s, qui, après avoir été atteinte déjà tout à coup, le 27 mars 1860, d' accidents cérébraux mal déterminés et de courte durée, est
et la mort survient le 18 septembre, treize jours après le début des accidents . — A l'autopsie, on trouve une hérnorrhagie intra
Œuv. corapl. t. ix, Hémorragie cérébrale. 8 mois avant les derniers accidents , il y a eu une attaque dont les caractères ne peu
e temps, peut-être quelques heures seulement, et n'a pas été suivie d' accidents de paralysie ou de contracture, car, après que la
probable que la perte de connaissance observée à cette époque et les accidents consécutifs ont été produits non par une hérnorrh
, par le seul fait de cet accroissement, elles peuvent déterminer des accidents plus ou moins graves, ou contribuer, dans une cer
émorrhagïes ne seraient en définitive, dans la plupart des cas, qu'un accident de la pachyméningite ; une complication qui pourr
is. Il n'a jamais eu ni chancres, ni éruption cutanée, ni aucun autre accident qu'on puisse rattacher à la syphilis. Il ne se ra
a aussi depuis ce moment un embarras marqué dans la parole. Comme ces accidents augmentaient de jour en jour, le malade se décida
34 ans qui, sans avoir reçu de coups sur la tête et sans avoir eu des accidents syphilitiques avérés, a été pris il y a deux ans,
avant sa mort, qu'elle est prise de fièvre et de délire furieux. Ces accidents disparaissent après une saignée. Elle continue à
faire remarquer qu'à une époque de sa vie, Mme B... n'a pas éprouvé d' accidents qu'on puisse rattacher à l'influence de la diathè
rencontrer M. le docteur X, qui présentait, comme on va le voir, des accidents du même genre. Obs. II. M. X... me tut adressé,
les exacerbations de ces douleurs correspondent aux exacerbations des accidents cardial-giques (1). Quant à la titubation, il est
dres gastriques observés chez ce malade. Jusqu'ici peu remarqués, les accidents cle ce genre constituent cependant quelquefois, a
Jamais, même le premier jour, cette affection ne s'est accompagnée d' accidents généraux, de fièvres ou de troubles gastriques. L
mpossible de se relever et l'on dut la porter sur son lit. Malgré cet accident , la tuméfaction continua à décroître, et au bout
institué. Depuis cette époque, M. B... ne paraît pas avoir éprouvé d' accidents qu'on puisse rapporter directement à la syphilis.
ux talons, sur d'autres points encore, quelques jours à peine après l' accident , de telle sorte que l'influence mécanique de la p
um du huitième au douzième jour, aux talons le quinzième jour après l' accident . La moelle épinière était ramollie et renfermait
ées, rouges et quelque peu douloureuses (2), de manière à simuler les accidents du rhumatisme articulaire subaigu. J'ai observé,
out le tégument externe qui paraît être le siège le plus habituel des accidents sur lesquels j'appelle ici l'attention : on voit
st-elle point exposée à voir sous l'action de la première émotion les accidents nerveux reparaître ? Quelques observations que
ellement. Nous allons étudier aujourd'hui (1) le plus important des accidents permanents de l'hystérie, hysteria major, ou hys-
I. Troubles de la sensibilité, à. Anesthésie. — Ces troubles sont les accidents permanents de l'hystérie, les plus 1. Leçon du
malade toute la liberté de ses mouvements. Voici le récit d'un de ces accidents : 22 décembre 1880. — Pendant le cours d'expéri
agents anesthésiques, bien faite pour nous mettre en garde contre les accidents . Après quelques inhalations, nous constatons un
en propres à expliquer le développement, chez notre jeune malade, des accidents dont elle a souffert. Les débuts de Y hystérie
tendance aux contractures n'a pas disparu. C'est une guérison de l' accident de l'hystérie locale ; ce n'est pas une guéri son
veauté, et l'on a cité dans ces derniers temps, nombre cle cas où des accidents hystériques variés, qui avaient résisté à d'autre
la population, raffolèrent et déterminèrent, par-ci par-là, quelques accidents nerveux plus ou moins sérieux, en particulier l'a
eurs élèves pratiquèrent l'hypnotisme sur leurs camarades et quelques accidents nerveux s'ensuivirent. Le principal mit bon ordre
ant à l'hypnotisme, produire sur eux-mêmes ou sur leurs camarades des accidents plus ou moins graves. Ainsi, à Breslau, lors du p
même développement sous l'influence de tentatives d'hypnotisation, d' accidents plus ou moins sérieux et plus ou moins durables,
et femmes, à la suite d'hypnotisations mal faites, inopportunes. Ces accidents me paraissent être surtout fréquents, chose remar
ais chez ceux qui, avant l'hypnotisation, n'avaient jamais présenté d' accidents de ce genre. C'est là un fait intéressant que j'a
re de l'hypnotisme peut être suivie, chez les assistants eux-mêmes, d' accidents soit immédiats, soit à longue échéance, plus ou m
un balancement analogue à celui qu'on peut observer entre les divers accidents qui relèvent de l'hystérie. Nous avons vu plusieu
88 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
campe, et du stratum lacunoszcm, qui n'est pour ainsi dire qu'un accident , résultant de ce que les vaisseaux, ne trouvant
tantes et le père lui-même atteignent un âge avancé, sans qu'aucun accident nerveux ait attiré l'at- tention ; quant aux as
in que parait chaque fois témoigner l'entourage, du retour de ces accidents ; d'ailleurs l'intelligence est libre et peut être
e occupation sérieuse comme si rien n'était advenu. Le début de ces accidents remonte à 1865; jamais avant cette époque, on n
r Savage , c'est l'encéphale qui est le point de départ de tous ces accidents nerveux. Le 1e mai 1880, Goodhart' publie un ca
ani- maux, etc. Il est difficile de préciser la date du début des accidents actuels. Tout ce que le malade peut dire, c'est
es plus évidentes. La mort, résultat de la déchéance organique, des accidents gangreneux du décubi- tus, et d'une pneumonie d
es cas, le malado perd connais- sance ou meurt peu de temps après l' accident ; 2° Bien que la littérature ophthalmologiquc mo
lade toute la liberté de ses mouvements. Voici le récit d'un de ces accidents : . 23 clécemhre 1880. - Pendant le cours d'exp
père, qui a disparu depuis plusieurs années, n'aurait jamais eu d' accidents nerveux. Il en serait de même des trois frères qu
tion complète pour éviter les attaques; la malade revient bien sans accident . Les douleurs ont notablement diminué, les pied
rie, s'étendent avec un soin jaloux sur la description complète des accidents con- vulsifs, des troubles sensitifs et moteurs
nt à sa plus grande simplicité. Mais bientôt, principalement si les accidents semblent exciter l'intérêt et la curiosité des
de catalepsie de l'intelligence, l peuvent donner lieu à différents accidents chez les hystériques : ainsi nous avons vu que
hements se répètent et conduisent à l'érotisme, à la nymphomanie, accidents qui peuvent, nous le répétons, compliquer l'hysté
hystériques peuvent faire sur la gravité ou la bénignité de, leurs accidents morbides ; elle est due aussi et surtout à un é
qu'on est souvent obligé de les tromper pour éviter la production d' accidents toxiques. C'est ainsi qu'elles abusent de la mo
érique ; on voit même parfois de ces malades qui sont atteintes des accidents convulsifs les plus accusés ou encore des phéno
e connaissance incom- plètes que l'on confond trop souvent avec des accidents épilep- 208 REVUE CRITIQUE. tiques, surtout s
l'hystérie. Voici encore d'autres exemples qui, en relatant divers accidents nerveux du jeune âge, dévoilent bien le caractè
avec symptômes d'hydrophobie nerveuse et de convulsions générales, accidents dont un traitement moral eut seul rai- son '. D
moins mobiles ; mais d'autres fois t aussi on peut voir éclater des accidents nerveux connus sous' le nom d'hystérie de retou
et les moyens à mettre en oeuvre pour combattre utilement certains accidents rebelles, il leur apprend aussi le secret de ce
trois semaines qui avaient précédé le crime. Il fut prouvé que des accidents convulsifs étaient survenus chez Laros le samed
r de l'achat du poison) et enfin le mer- credi, jour du crime ; ces accidents s'étaient en outre reproduits le lendemain (jeu
Intégrité des fonctions. Une pleure-pneumonie, de concert avec les accidents du décubitus, enlève le patient après six ans d
trans- mission par les centres vasculaires d'une Meee à l'autre des accidents inflammatoires. 11 concerne un garçon de dix-ne
angement de localité est un moyen souvent efficace. Ch. F. V. Des accidents réflexes survenant après l'opération de l'empyème
utlin, Cayley, Aubouin, J. Simon ont publié des cas semblables. Ces accidents nerveux réflexes se montrent toujours après l'i
st pas de même de son abondance et de la force de projection. Ces accidents varient par leur mode d'apparition; tantôt ils su
disparu et a été remplacée par une hémiparésie de l'autre côté. Les accidents à forme lente ne s'accompagnent point de phénom
accompagne point de troubles de la sensibilité. A quoi sont dus les accidents réflexes ? Est-ce à l'irritation du phrénique ou
vont en- semble, mais exceptionnellement on les trouve isolés. Ces accidents sont rarement subaigus. Le seul traitement effi
ement chez des sujets qui ont été atteints à plu- sieurs reprises d' accidents saturnins. Elle apparaîtrait le plus sou- vent
ILÉSION DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 277 est juste d'ajouter qu'avant son accident le blessé avait des varices de la jambe gauche.
sensibilité aux températures était encore entière dix jours après l' accident . Ces faits sont assez fréquents, et s'expliquen
les du pouls ont duré une semaine à partir du troisième jour de l' accident . Il semble donc probable que le centre cardiaqu
degré était-elle altérée ? C'est ce que nous ignorons, puisque ces accidents ont été transitoires et que l'affection ver- té
s syphilitiques qui ont une constitution névropathique, à lasuite d' accidents , d'excès, etc. L'iodure de potassium, même à ha
mie papillaire, origine de plusieurs théories pathogéniques. Des accidents névralgiques, une sensation de tension oculaire
on par plusieurs jours. L'aphasie dans ces diverses modalités est l' accident qui se surajoute le plus fréquemment aux phénom
a migraine ophthalmique. Si le caractère de ces symptômes et de ces accidents est d'être transitoires, de courte durée, M. Ch
ique. Quant à la physiologie pathologique, fort obscurcie par ces accidents , M. Féré, s'appuyant principalement sur les trava
longtemps par un de nos confrères, mais il s'est produit de fols accidents , que la famille n'a pas voulu consentir à une nou
que, et l'état de mal. Au bromure de zinc, il faudrait réserver les accidents convuisisssm vivant a l'ad- ministration des br
évralgie, par Mac- intosh, 93. 382 TABLE DES MATIÈRES. Empyème ( accidents reflètes ala suite de l'), 2115. Epilepsie (l
53; - (conserva- tioii des dans locolilo- hic['),2t ? 1LIleaca ( accidents survenant après l'opération de l'cil] 1) par J.
89 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
te jeune femme! eut plusieurs émotions extrêmement vives à la suite d' accidents sur-venus aux enfants. Au mois d'avril 1886, al
ment de l'accouchement qui eut lieu au commencement de décembre, sans accident . Pendant les deux premiers jours qui suivirent l'
esse. — Hypnose pendant la première partie du travail. — Récidive des accidents au retour des règles : Suggestion. — Guérison.
couches normales. Au moment du retour des règles, réapparition des accidents névro-pathiques observés avant Iû grossesse. Je n
ant Iû grossesse. Je ne suis averti que huit jours après le début des accidents , et une seule séance de sommeil fait tout rentrer
, ou dans le cas d'une nouvelle grossesse, on assiste a un réveil des accidents névropathiques. UN CAS CURIEUX DE SOMNOLENCE
en deux catégories : la population flottante composée de criminels d' accident et d'occasion, ceux qui. après une première chute
isser surprendre. Il peut, à toute heure, être appelé à combattre les accidents les plus graves, et il doit toujours en être capa
oir jamais vu l'hypnotisme expérimental ou thérapeutique déterminer d' accidents a condition que la suggestion soit employée métho
lles ment par un train, il avait eu l'esprit tellement frappé par cet accident qu'il ne cessait de répéter qu'il ne tarderait pa
t que cette sclérose soit la lésion primitive et la cause directe des accidents épileptiques: elle pourrait tout aussi bien en êt
oduit l'état épileptique. H y a toujours en effet à la base de tout accident épileptique une prédisposition spéciale. On pou
ur la part qui peut incomber à une maladie aiguë dans la production d' accidents de même nature remet la question à l'ordre du jou
nos, ni trismus, ni aggravation au cours de l'évolution suiviepar les accidents . Elle est de nature hystérique ; et voici pourquo
me de quarante trois ans qui. après un accouchement et à l'occasion d' accidents puerpéraux, fut prise de troubles intellectuels a
conclusions : L'auto-suggestion voulue ou involontaire produit des accidents analogues: névralgies, congestions, contractions
ogues: névralgies, congestions, contractions spasmodiques, etc. Les accidents produits par l'auto-suggestion peuvent disparaîtr
ait plus le lit. Jusqu'à cette époque, la malade n'avait eu que des accidents rares d'hvs-térie convulsive. Dans l'enfance, cep
deux mois), toute la famille composée de cinq personnes, présenta des accidents typhoïdes : le père et les deux fils moururent; l
aucun des enfants soumis au traite-ment par la suggestion, le moindre accident consécutif (2). En 1889. au premier Congrès int
arie Ch..., âgée de vingt et un ans, sujette depuis son enfance à des accidents névropathiques variés et. ..depuis l'âge de dix-h
t cariée, Elle eut des douleurs épigastriques assez vives, mais pas d' accidents sérieux, Obs- V. — Mathilde Lor..., a fait six
es supercheries les phénomènes qu'on ne comprenait pas- On a vu des accidents rebelles à des traitements réputés actifs guérir
près l'administration de pilules de mica panis et on a conclu que ces accidents étaient simulés, ce qui constitue une faute de ra
ique, avec enflammation du nerf optique de l'un, et de l'autre œil. L' accident primitif date de 1875, quatre ans après la malade
a morphi-nomanie. Sous le nom de morphinisme on réunit l'ensemble des accidents produits par l'abus prolongé de la morphine. La m
térines, perforation des membranes, et autres, qui peuvent offrir des accidents , engendrer des péritonites et entraîner la mort d
ortir la tète hors de l'eau, et 9 fallut le soulever pour prévenir un accident . Le 13, on faisait une application de pointes d
tieles. Le repos et l'ergotîne eurent raison des pertes ainsi que d' accidents pareils qui survinrent trois ans après, vers le 2
C... jouit d'une santé excellente. Ses règles se sont supprimées sans accident il va quelques mois. Les fibromes utérins ont d
ble importance, tels que outrages aux mœurs, abus de confiance. Ces accidents se développent sur un terrain névropathe, chez de
ua-non ou qu on leur fait entrevoir une ordonnance de non-lieu. Ces accidents survenus pendant la détention ne supppimênt pas l
cl. Mais il peut dire qu'il l'a échappé belle. Huit jours après cet accident , M. le docteur Mordret, médecin en chef de l'asil
d'une bonne santé, mais depuis une quinzaine de jours elle éprouve un accident qui l'alTaiblit beaucoup et lui fait redouter de
peu affectueuse, d'un caractère triste. Elle était déjà sujette à des accidents hystériques variés, mais elle se préoccupait surt
is de père et mère inconnus. 11 parait avoir eu. dès son enfance, des accidents névropathiques. Abandonné par ses parents, privé
l883), dans le service de M. Jules Voisin, à Bicètre. Il eut là des accidents très variés, dont un au moins rappelle l'incident
t malade, car ses souvenirs s'arrêtent au moment précis où eut lieu l' accident provoqué par la vipère. Il a, d'ailleurs, toutes
sion de la personnalité, à une époque antérieure au développement des accidents hystériques, fait disparaître l'hémianesthésie et
lade de MM. Bourru et Burot, la reproduction artificielle de certains accidents paralytiques évoque, ipso factot l'étal mental qu
évoque, ipso factot l'étal mental qui avait autrefois accompagné ces accidents . Les deux (1) J. Voisin.Note sur un cas de gran
sophiques le respect de la personnalité humaine. D'ailleurs, divers accidents dont nous avions été témoins, à In suite d'expéri
s théâtres, il n'en offre guère. Jamais je n'ai eu l'ombre du moindre accident dans ma pratique; je puis ajouter : ni vu dans la
je puis ajouter : ni vu dans la pratique des autres, si ce n'est des accidents sans graude importance. Quand ils ont revêtu une
parole. C'est M. le D* Bernheim qui devait venir; mais, victime d'un accident , il n'a pu répondre au désir du défendeur de Gabr
iente était très calme; elle disait ne pas souffrir et avait oublié l' accident de la luette. Comme l'effort de la presse abdom
ion avait cessé et où elle avait été réveillée en grande partie par l' accident de la luette. Je revis la patiente le lendemain
terrible. Je bandai provisoirement le pied, comptant profiter de cet accident pour faire une expérience. Le lendemain, je Gs ap
ente a « évidemment été plus vile débarrassée des conséquences de son accident « que si l'on n'avait employé que des moyens loca
pense », c'est à dire l'agglomération vague et illimitée de tous les accidents névrosiques qui ne rentrent dans aucune des série
ièvre typhoïde avec délire : dans la première enfance il avait eu des accidents convulsifs (méningite1). Jusqu'à sept ans, il ava
ère, les règles se supprimèrent et n'ont pas reparu. j Le début des accidents qui l'amènent ici remonte à cette date. C'est alo
du jour, ni de la veille, ni des trois jours qui précèdent. Ainsi, l' accident étant arrivé le lundi, il a oublié que le dimanch
es quatre jours qui ont précédé sa chute. «Cinq à six jours aprè* l' accident , qui n'a eu du reste aucune suite, Philippe X...
ppe X... n'a tu se manifester !'amnosic que huità dix minutes après l' accident . a L'amnésie rétrograde peut donc être la consé
Fay, d'une nature légèrement hystérique depuis sa jeunesse, a eu des accidents névrosiques qui, à un moment donné, assumèrent le
Nous avons en vain recherché les stigmates de l'hystérie : jamais d' accidents conv'ulsifs, de sensation de boule. Pas de douleu
90 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de deux ans avant l'apparition des symptômes mentaux; 2° Les mêmes accidents oculaires se produisirent chez une autre malade
rais plus volontiers que les obses- sions qui peuvent aboutir à des accidents vésaniques carac- térisés, quelle qu'en soit la
priori redouter étaient les suivants : dangers de fractures ou d' accidents à l'occasion de chutes possibles, fatigue trop
t n'hésite plus à sortir seul. En février 1902, il est victime d'un accident tout à fait indépendant de ses exercices, il se
nombreux filets qui s'y annexent en différents points. G. C. XII. Accidents nerveux consécutifs à la suppression d'une otite
es asiles publics et privés, dans le cas de suicide, d'évasion et d' accidents graves, ainsi que dans les sorties d'essai ? 2
l se pourrait fort bien qu'il ne s'agit pas d'un suicide, mais d'un accident . Le malheureux, en effet, était sujet à des cri
de Montreuil, et avait failli être écrasé par une voiture. Quand l' accident s'est produit, le tapissier venait de sortir de l
'a pas fait de graves maladies dans son enfance, et n'a jamais eu d' accidents convulsifs. Cependant elle a toujours montré un
bles du côté des adducteurs et des muscles rotateurs en dehors. Les accidents sont aussi moins intenses, moins étendus, moins
ué indépendamment l'un de l'autre ; la physionomie, la'marche des accidents asthéniques ne semblent pas avoir été influencés
heure ou deux, coïnci- dence qui n'est point constante du tout. L' accident en question est manifestement d'origine vasomo-
Observation, avec autopsie, d'un homme de cinquante-cinq ans. Les accidents paralytiques et les phénomènes convulsifs lémoi-
) M. Duplant présente un malade qui, immédiatement après un grave accident , eut une paralysie flasque du membre supérieur
leurs ne sont que l'hypertrophie mentale de sensations banales. Les accidents ont débuté par des clignements d'yeux à l'occas
urtout lorsque le jeune homme fixe un certain temps un objet. Des accidents analogues ont été signalés chez des hystériques.
lisé sur les muscles de l'accom- modation, trouble comparable à ces accidents toniques convulsifs, dont l'auteur a signalé la
it plusieurs séjours à la Salpêtrière en 1893, 1896, 1900, pour des accidents de paralysie amyotrophique. C'est un peintre-verr
l'âge de vingt-quatre ans (crises fréquentes de coliques de plomb ; accidents d'encéphalopathie, avec accès épileptiformes, s
ot de l'Hôtel-Dieu. Les règles qui se produisaient au mo- ment de l' accident , furent suspendues, puis reprirent au bout de q
e. P... Marie, Victorine, née en 1861. Réglée à quatorze ans sans accident , mariée à vingt-six ans. Une grossesse normale à
opérée le 4 juillet 1897, par M. Terrier, d'une grossesse tubaire. Accidents fébriles consécutifs. Deux mois après l'opérati
quatre semaines. Mais pendant la durée de cette pleurésie d'autres accidents de même nature avaient éclaté, abcès multiples,
explique comment peuvent se produire des escarres. Pour éviter cet accident , Bordier conseille l'aluminium ou le cuivre pla
utre, l'interruption accidentelle du courant ne peut produire aucun accident grave, sauf peut-être chez quelques arlério-scl
esse de la main gauche. Devant l'évolution lente et progressive des accidents , M. Pauly pense qu'il s'agit d'un processus pac
n homme de quarante-cinq ans, est victime, le 22 octobre 19Ol, d'un accident de chemin de fer, qui ocassionne une commotion
. 100; -20 Coma mortel par suite d'attaques en série, 23 p. 100; 3° Accidents concomi- tants à l'attaque, 50 p. 100 ; - 4° Au
un degré moins prononcé encore, une paralysie delà convergence. Ces accidents ont succédé à un ictus et sont associés à une h
e de médecine, nov. 1901.) M. II. LVI. Contribution à l'étude des accidents névropathiques de l'in- digestion ; par Ch. Fér
t les trou- bles gastriques, l'auteur donne quelques observations d' accidents nerveux consécutifs à des indigestions. Ces obs
confusion de l'esprit, etc. Comme étiologie, l'auteur pense que les accidents tardifs et durables peuvent être attribués à un
sensibilité. C'est en se fondant sur le développement rapide de ces accidents de trois ou quatre jours et sur l'intensité des
des subterfuges qu'elle emploie que de l'idée fixe qui préside aux accidents et aux puériles pré- cautions prises pour y por
ent qu'au moment où l'acte fonctionnel devrait se manifester. Ces accidents tics ou crampes dits « professionnels » sont en
re pendant plus de cinq ans, état normal. En 1901, réapparition des accidents , cette fois sous la forme de paralysie associée
sie double du pneumogastrique pulmonaire. M. Max EGGER rappelle les accidents produits chez le chien par la section des deux
réant ainsi une sorte d'accoutumance, tandis, que la soudaineté des accidents contribue à tuer rapidement les chiens opérés des
'est pas la première fois que la méningite a été considérée comme l' accident primitif du tabes. Cette idée avait été déjà av
ilis; mais il survient dans un organisme syphilisé plutôt que comme accident directement syphilitique. D'ailleurs si la syph
OCIÉTÉS SAVANTES. jamais aucun traitement spésipique même en pleins accidents syphi- litiques et dont le tabès a pourtant rét
ables, aliénés. 1° Assistance aux mutilés, notamment aux victimes d' accidents du travail bénéficiaires d'une loi récente; 2°
l'on croyoit que je n'en reviendrois pas. Je relevai encore de cet accident ; mais je continuai d'avoir les infirmités que j
averneux, la compression du cerveau, leschokopératoire sontautant d' accidents immédiats possibles et à craindre. On a égale
les. Au mois de janvier 1900, elle est renversée par un cheval. Cet accident , toutefois, n'amène aucune modification dans so
simplement la malade avec nu traitement très actif pour parer aux accidents somatiques qui menacèrent encore sa vie. Après un
un traumatisme de la main nécessita l'amputation d'un doigt. Cet accident eut un retentissement sur la moitié correspondant
ntation de l'une d'elles. Fillette de sept ans, née à terme et sans accident . Point de lues chez les parents. Le père mort à
e, médicamenteux et psychique, poursuivi avec persévérance, que ces accidents mentaux s'atténuent, sans avoir . disparu encor
aladies de coeur, qui ne relève aucune lésion, et attribue tous les accidents à l'état gastrique. Le malade rassuré une fois
stématisé avec hallucinations et idées mé- lancoliques rappelle les accidents cérébraux qui surviennent, au cours de la lièvr
as du Fossé donne la mesure de sa suggestibilité, et prouve que ces accidents étaient d'origine hystérique (liyperamiboïsme d
qui peuvent ou doivent être l'objet d'une mention spéciale, (morts, accidents , cas spéciaux, matelas mouillés, visites du per
moyens habituels dirigés contre le lymphatisme, la tuberculose, les accidents cérébraux et surtout l'épilepsie. J'ai obtenu d
e si la définition de l'hystérie vaut pour distinguer entre eux les accidents psychiques, elle vaut a fortiori pour différenc
pas sug- gestion (lisez persuasion). Après avoir ainsi défini les accidents hystériques, l'auteur s'occupe de l'hystérie el
re, que la persuasion fait disparaître et qui sont iden- tiques aux accidents hystériques. » ' Voir Diagnostic différentiel d
pour le traitement habituel des aliénés aigus, soit pour parer aux accidents les plus à craindre : ni les infirmiers ni les ma
de la paralysie générale n'est presque plus à discuter; c'est un accident parasyphilitique dont les symptômes peuvent rétro
rapidité avec laquelle les symptômes paralyti- ques ont succédé à l' accident initial (quatre à cinq ans) d'une intensité trè
ans) d'une intensité très atténuée, et sur la gravité ultérieure d' accidents syphilitiques très bénins en apparence. Il affi
SOCIÉTÉS SAVANTES. 555 d'un an et demi. A ce moment ont eu lieu des accidents méningo- encéphaliques graves, et l'accroisseme
: ce qu'il faut enten- dre par ces mots, par )lac Dnncan, 371. Accidents nerveux, consécutifs à la suppression d'une oti
oir Réactions sensorielles, Voir Mémoire. Apophyse mastoïde. Voir Accidents nerveux. Apoplexie. Voir Orteils. ARG1LL-13
lsions Voir Obsessions. Indigestion. Contribution à l'étude des accidents névropathiques de par Péré, 281. Infantilisme
- poplexie, par Urissaud, 101. Ostéite. Voir Pagel. Otite. Voir Accidents nerveux. Pncnvméswcme. Sur un cas de liéinorr
nation. Voir abcès cérébral double. -(le t'apophysemastoide. Voir Accidents nerveux. Trépidation épileptoïde, par Lévi et
91 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
éditç, de patient ,peut;Jà'la rigueur, traverse)la)vie sanstnotable accident du côté mental;·s;il;se développent, s'il évolu
l'llol' 'm\'l' "" "'1'1 ? 1''1 ? l ? ffO'1 ger'e. En outre 'de' ces accidents placés'sôus lr1`dépeiîdâncé ün m édiatc^ du ? s
ITIQUE... y du. avec.'les .phénomènes décrits par'Di : / G.'Bâllot ( accidents convulsifs, hémiplégie,' hémianesthésie; glycos
uë de l'adulte, qui se distingue, au début, par la^brusquerie des : accidents , la- fièvre intense,» la ! paral3-sie mus- cula
ifl im ? ir,ii u Y ? ' tandis que les sept malades, indemnes de cet accident , 1 ? p.\lp.\lr. '' , "j "' · K'">'f ? t'' -
3l p, 100); neuf malades (17,6 p. 100) avaient eu, un. chancre sans accidents sëè'oiid&ir'es'IJien 'cerlains : Deux'auLres
avaienu présenlépriin un exajithemo syphilitique grave, l'autre des accidents , cérébraux de mGnuo;nature. ! Lesl'lpl'ell11el'
aient pas faits pour jeter beaucoup de lumière' sur la pathogénié d' accidents aussi nom- breux : ils sont exposés, d'ailleurs
lade en huit jours. Durée dé'l'affection nerveuse ? deux mois;3 nul accident de décubitus : = Le'microscope permet'de recon-
ne répond à la réalité que s'il a antérieurement éprouvé un de ces accidents . Mais ce qui est le plus remarquable, c'est qu'
igent; il semble qu'ils sont parfaitement rassurés sur l'issue de l' accident . Mais il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'hys
e pour les formes chroniques, entrecoupées d'accès d'agitation. Les accidents consécutifs sont entre autres le collapsus qui, t
alade en observation à l'asile, constata les accès d'épilepsie, les accidents nocturnes, une grande irritabilité du caractère
. pendant facile de prévoir qu'il aurait, un jour ou l'autre, des accidents significatifs. Je les attendais et ils se sont
-huit ans, il a eu encore des chancres qui n'ont été suivis d'aucun accident secondaire. A trente-sept ans, il vit apparaîtr
'incurva de façon à former un angle obtus ouvert en avant. Tous ces accidents cessèrent cependant : les abcès se tarirent, le
lieu à une dé- viation très notable* de la colonne vertébrale sans accidents de compression médullaire : Dans les derniers j
mme de peine ; pas d'excès d'aucun genre ; assez intelligent; pas d' accidents nerveux. [Père, cultivateur, mort à soixante-qu
s, intel- ligent, pas de convulsions;- 2° fille, morte à neuf ans d' accidents pulmonaires ayant duré huit jours; convulsions
gouttes (6 centigrammes) ; ces injections n'ont ja- mais produit d' accidents locaux, ni généraux. T. Il. 39°, 6. Dans la jou
ion des réflexes tendineux ro- tuliens;puis,faibles accès dcfièvre, accidents du décubitus, parésie vésicale. Le douzième jou
le titre de : Contribution ci la pathologie du tabès, envisage des accidents apoplectiformes tout spéciaux,, survenus prémat
llie dans la bibliographie. Erb et Leyden n'ont point mentionné ces accidents dans le tabes. M. Wernicke fait ressortir que,
cas communiqués par lui rentrent trait pour trait dans la série des accidents tabétiques encore peu connus. 80 SOCIÉTÉS/ SAVA
nsi que nous allons essayer de le démontrer en passant en revue les accidents consécutifs à l'ex- tirpation du goitre. Ces
revue les accidents consécutifs à l'ex- tirpation du goitre. Ces accidents sont divisés en immédiats et consécutifs : les ac
oitre. Ces accidents sont divisés en immédiats et consécutifs : les accidents BIBLIOGRAPHIE. 291 immédiats sont Y hémorrhag
le conseillent MM. Reverdis, à s'en passer tout à fait. Parmi les accidents consécutifs, les plus constants sont les troubles
ircu- latoi1'es (refroidissement, petitesse du pouls), et enfin des accidents nerveux (tétanie, hystérie, myxoedème ? ) sur l
ion du corps thyroïde sur les phénomènes hystériques. A côté de ces accidents , dont le mécanisme duit s'expliquer par une mod
'opération et après une période de bien-être assez marquée, que ces accidents se développent. Ils disparaissent, en général,
ionnaire souvent fort longue. Quelle peut être la pathogénie de ces accidents ? Il est incontes- 292 INDEX BIBLIOGRAPHIQUE.
uire ici, ces auteurs préfèrent accorder, dans la pathogénie de ces accidents , un rôle prépondérant aux lésions nerveuses sym
'ici, entre le crétinisme, le myxoe- dème ou état crétinoïde et les accidents que nous venons de signa- ler et auxquels les a
périostite cachec- tique favorisée par un traumatisme ; l'absence d' accidents de ce genre, la période de calme où l'on était
nomènes dont le développement est souvent très actif provoquent des accidents qui viennent troubler la marche de la maladie p
signe de dé- rangement moral. Leurs désordres datent du jour où des accidents épileptiques ont pris naissance, à la suite d'u
dant vingt ans, aurait présenté de la déchéance psychique. Depuis l' accident , cause de son traumatisme, on aurait constaté c
utérin n'a, entre les mains du pre- mier orateur, jamais engendré d' accidents nerveux; l'état psychique des aliénés n'a jamai
cinations nocturnes, hallucinations de la vue chez des aveugles par accidents , etc...). M. Fuerstner limite son sujet à l'influ
ou la déchéance soudaine de l'acuité auditive, l'auteur a vu ces accidents être, en deux cas, suivis de mélancolie, notammen
dérable des veines. Jusque-là, il n'y a aucune crainte à avoir; ces accidents passagers disparaissent plus ou moins vite : un
expriment. 5° Douleurs musculaires redoutables dans les jambes. Ces accidents que Schüle a vus survenir chez deux de ses mala
évolution bruyante en rapport avec la rétrocession graduelle des accidents pyrétiques. Ces psychoses asthéniques diffèrent d
our être petit, n'en est pas moins constant; aussi, pour parer àcet accident , a-t-il dû se résigner à l'emploi des moyens de
ccupe de préserver les tra- vailleurs de l'industrie des effets des accidents et des conséquences de la vieillesse, il serait
rner ses désirs à assurer les gardiens et les gardiennes contre les accidents proprement dits. Ceci obtenu, on pourrait en- s
er, dans le projet de loi en préparation sur l'assurance contre les accidents , on comprenne soit l'ensemble des gardiens hosp
sur des chiffres sta- tistiques concernant le nombre et le genre d' accidents arrivés dans chaque asile. M. DE Rinecker fai
ses et accompagnées des mêmes troubles. Cu. F. IX. Palho[Jénie et accidents nemeux du diabète sucré (Thèse d'agré- gation)
e ; de la théorie nerveuse du diabète, on était amené à l'étude des accidents nerveux qui en dépendent. L'auteur n'a pas pensé
dans ce mémoire '. M. Dreyfous a bien indiqué les caractères de ces accidents nerveux : « au point de vue des phénomènes nerv
lis, où les étapes sont encore mieux marquées, alors même que les accidents sont subits en apparence, on peut, par une étude
ion de l'aponévrose palmaire. Il arrive enfin à la description de l' accident le plus redoutable de tous : le coma diabétique
asion d'un voyage, d'une fatigue, d'un choc moral ou physique, d'un accident médical ou chirurgical intercurrent (colique hé
les diabétiques qui sont sous le coup du coma. La pathogénie des accidents comateux reste encore obscure, on a invoqué les
uivant les cas « il est une condition invariable et qui donne à ces accidents leur véritable cachet : c'est le terrain où ils
certaine unité au milieu de la multiplicité et de la diversité des accidents nerveux : c'est là un point que l'auteur a eu le
les lésions bulbo-protubérantielles, 112. Diabète ,'pathogénie et accidents nerveux du), par Dreyfous, 436. Divorce et fo
entral (affections du), 1 05 ;-(dans l'ergotisme), 1 1 1 . Tabes ( accidents apoplectiformes du-),279;- troubles vertigi-
92 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
qui nous récompensent de nos persévérants efforts. D'autres fois, des accidents imprévus-viennent com-promettre la marche en avan
on de géographie. Bon caractère : enfant poli et docile, n'a pas eu d' accidents épileptiques depuis longtemps ; pourrait être pla
des repos, les mesures de quatre, trois et deux temps, le pouvoir des accidents , l'armature des tonalités. Par une nouvelle maniè
onanistiques, des accès en plus grand nombre. C'est pour obvier à ces accidents , sans causer de préjudice au personnel enseignant
vin, qu'ils font absorber en quantité exagérée aux malades. De là des accidents auxquels il faut remédier et une augmentation des
omme ayant des accès épileptiqucs, n'a jamais eu à la Fondation aucun accident nerveux. ans. — A son entrée (10 août 1902). l'
on était obligé de l'attacher presque continuellement pour éviter des accidents . Elle était si brouillon qu'elle ne prenait même
mnastique et est très souple dans ses mouvements. Elle n'a pas eu d' accidents épileptiques depuis juillet 1902; de là le dévelo
..... 4 accès pas de vertiges. Elle n'a eu, nous le répétons, aucun accident épi-leptique depuis le 1er juillet 1902, jusqu'à
nlever les fragments d'os ou de tendons, susceptibles de produire des accidents , de couper les aliments en très menus morceaux, d
nos malades, surtout les idiotes, les imbéciles et les arriérées, des accidents lymphatiques et, dans une certaine mesure, de la
manifestations lymphati-ques, l'arrêt, en maintes circonstances, des accidents tuberculeux. Nul doute pour nous que si, chez les
endre capables de donner les premiers secours à leurs élèves en cas d' accidents . (Voir p. cxlvi). Il en est parmi les anormaux
être considérée comme tout à fait caractéristique. Sommaire. —Père, accidents méningiliques de l'enfance; excès de boisson ains
ues, etc. Mèiie, 39 ans (en 1895), fièvre typhoïde à 12 ans ; aucun accident nerveux, Sa famille. — Son père est mort de la
des que-relles entre lui et son frère. Il n'y aurait pas eu d'autres accidents . Mouvements du fœtus à 4 mois 1/2. — Accouche-men
che et de la parole à 17 mois. — Propreté à 18 mois. Les p7-e?me?'s accidents convulsifs ont paru à 9 ans et demi. Alors B.. ét
arlatine à 5 ans et demi; pas d'autres maladies infectieuses. — Pas d' accidents scrofuleux, sauf une blépharite ciliaire à 9 ans.
ies de vomir, constipation pro-noncée, douleurs dans le cou, autant d' accidents qui pouvaient faire craindre une méningite. A 1
ecommandation de toujours prendre la température quand il survient un accident , elle-n'a pas été notée dès le moment de son trau
. Cette suspension semblerait indiquer le caractère migraineux de ces accidents . Son pè?*e a 73 ans, bien portant. — Sa mère es
t des accès de cris plaintifs. Le terrain était donc préparé pour les accidents ultéri-eurs. III. S., n'aurait jamais eu de con
une santé parfaite. L'autre, morte à 78 ans n'avait jamais présenté d' accidents nerveux. — Un frère, mortà2mois, d'une maladie in
nos conseils étaient suivis, on préviendrait, dans bien des cas, des accidents nerveux plus graves (méningites, convulsions, ave
uccès). Coqueluche à 6 ans. Aucune autre maladie contagieuse. — Aucun accident scrofuleux. — Pas d'autres traumatisme. L'enfant
. D'autre part, le placement rapide permettait d'évi-ter les graves accidents qu'enregistrent presque quo-tidiennement les jour
rant le ira/., il y aurait eu explo-sion, incendie et, peut-être, des accidents de personne, a été conduite à l'Asile clinique, n
t répondu qu'on ne pou-vait intervenir parce qu'il n'y avait pas eu d' accident , qu'il fallait attendre que la malade mette le fe
d'une pneumonie ou d'une fièvre typhoïde, on aurait évité les graves accidents qu'il a causés. Ce malade réalisant le programme
édé immédiatement au place-ment d'office. Eh bien ! en exigeant qu'un accident se produise pour intervenir, alors qu'on leur app
erforation crânienne congénitale. Thèse do Paris. Prime (J.). — Des accidents toxiques produits par l'éosinate de sodium. Thèse
93 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
us ses vête- ments dans le jour que par exception et lorsque pareil accident se produit il se montre très confus, très vexé.
stiques, des accès en plus grand nombre. C'est pour obvier il ces accidents , sans causer de préjudice au personnel enseigna
n, qu'ils font absorber en quantité exagérée aux malades. De la des accidents auxquels il faut remédier et une augmentation d
qui se sont conformés à nos conseils, il n'est survenu jusqu'ici d' accidents cérébraux. Traitement de l'épilepsie. L\'rI f
ever les fragments d'os ou de tendons, susceptibles de produire des accidents , de couper les aliments en très menus morceaux,
tribuons la guérison des manifestations lymphati- ques, l'arrêt dos accidents tuberculeux. Nul doute pour nous que si, chez l
ur la com- mune etc. (1), sans compter les dictées concernant les accidents dus à l'imprudence d'enfants, qui nous servent
4, I¡Juin, - Puberlé et organes génitaux. Les règles, pa- rues sans accidents en juillet 1903, ont toujours été réguliè- res
trai- tement. Puberté : Les règles ont paru en avril 1;)O1, sans accident et ont été régulières ; elles durent 2 ou 3 jou
Pas d'ab- sences, aurait eu des vertiges dans son bas-âge. Aucun accident scrofuleux. Teigne soignée à Saint-Louis et gué
z épaisse. Les testicules ont le volume d'un oeuf de merle. Aucun accident relevant de l'épilepsie jusqu'en 1896. On const
é à huit mois - Nanisme avec infantilisme. 57 avec succès et sans accident . Pas de fièvre typhoïde. Pas d'oreillons, ni de
nt. Pas de fièvre typhoïde. Pas d'oreillons, ni de diphtérie. Pas d' accidents syphilitiques. Aucune maladie de l'appareil res
nts syphilitiques. Aucune maladie de l'appareil respiratoire. Pas d' accidents scrofuleux, ni de rachitisme. Engelures aux mai
aux. Septembre. Fièvre typhoïde qui évolue sans complications, ni accidents . La défervescence s'effectue brusquement le 18
ids : 15 ka. Taille 1 m. 155 Le traitement est suspendu à cause d' accidents tuberculeux. 1904. Juin. - Poids : 21 kg. 500 ;
ttaque d'a- poplexie. La grossesse a été troublée par de nombreux accidents . (Mauvais traitements du mari, etc.) Première d
! RATON intellectuelle : nanisme ; obésité. SOMMAIRE. - Père, pas d' accidents nerveux. Renseignements insuffisants sur sa fam
ère maternel. Gnand'mère maternelle morte vers 70 ans, sobre, pas d' accidents nerveux. Deux oncles pa- ternels morts très vie
ormes DE nanisme scarlatine, ni de coqueluche, ni de typhoïde, ni d' accidents syphilitiques. Pas de diphtérie, pas d'oreillon
ilitiques. Pas de diphtérie, pas d'oreillons ; pas de faux croup. - Accidents scrofulcux : rien à signaler. Sommeil absolumen
nception probablement dans l'ivresse. Grossesse : bonne, sans aucun accident , ni vomissements, ni traumatisme, ni intoxicati
2 ans 1/2 à 4 ans, céphalal- gies, caféisme, coléreuse. Grand'mère, accidents hystéri- formes, morte d'un cancer de l'estomac
riée, bien portante, a un garçon nor- mal et une fille qui a eu des accidents convulsifs.; - 2° Notre malade; - 3° Fille mort
Garçon 5 ans et 1/2, chétif aurait eu deux fois le croup, a eu des accidents convulsifs. Il'2 DE QUELQUES formes DE nanisme.
ion de scrofule. Réglée à 17 ans : les règles se sont établies sans accidents . Jusqu'à cette époque l'enfant avait un embonpo
s de nanisme ni d'obésité. Mère 44 ans. Jamais de convulsions aucun accident arthri- tique ou névropathique, mais elle est i
ne autre maladie infectieuse que la scarlatine vers cinq ans. Pas d' accidents scrofulcux. - Pas d'onanisme, pas gourmande, pa
? ), la rougeole vers 2 ans 1/2, la coque- luche vers 3 ans. Comme accidents scrofuleux, elle a eu un abcès sur le côté droi
upir a la façon des tailleurs, 16S DE QUELQUES FORMES DE nanisme. accidents scrofuleux divers; enfin, comme la plupart des
3 mois) et une amélioration nette au point de vue intellectuel. Les accidents pulmonaires et péritonéaux nous ont empêché de
uspendre pendant 2 ou 3 mois et de re- commencer. Pour éviter des accidents , nous surveillons le pouls et nous prenons régu
ut avoir des résultats plus lents, moins brillants, que d'avoir des accidents . Pour nous assurer des résultats, nous notons l
rs, et leurs enfants sont très-bien portants, n'ont jamais eu aucun accident nerveux. Dans le reste de la famille, rien il.
(25 de l'entrée de l'enfant à la fin du mois d'août). Souvent, ces accidents ne s'accompagneraient pas de phénomènes convuls
ir. 302 EPILEPSIE ; déchéance. Pas de maladies infectieu-pq, ni d' accidents . scrofuleux. - L'enfant est un peu gourmand, s
n'ac- cuse aucune maladie antérieure, prétend n'avoir jamais eu d' accidents nerveux d'aucun'' sorte [Famille de la mère. Le
gn]111'i'¿'I""¡11 lmr situation. La gros- sesse se passa sans autre accident , qu'un ennui très sérieux de la mère de se voir
foration crânienne congénitale. Thèse de Paris. Prime (J.). - Des accidents toxiques produits par l'éosinate de sodium. Thè
94 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
Odile, elle aurait été de trois ans, d'autres fois au contraire les accidents se suc- 26 MONSSEAUX, DE GOTHARD ET RICHE cèd
dans le domaine des nerfs qui vont être frappés. - La marche des accidents est ordinairement assez rapide et la durée dé-
que se manifeste par une simple érup- tion ortiée, une syncope, des accidents choréiformes, quelquefois la mort subite. L'urt
ssi des hallucinations de l'ouïe. Le 23 décembre, mort à la suite d' accidents infectieux. Autopsie. La dure-mère adhère aux p
l'a souvent remarqué ils ont pu res- ter longtemps sans entraîner d' accident grave et la mort ne leur est pas im- putable. L
er en montrant l'intégrité des extrémités osseuses. Malgré tous ces accidents pathologiques dont les membres inférieurs de no
'on observe au cours de la coxalgie créent une prédisposition à ces accidents . Mais, d'après cet auteur, le principal rôle re
ne font pas tous un genu recurvatum (puisque fort heureusement cet accident est rare). Pour que cette déformation se produi
e matière extérieure. Non seulement des substances, mais encore des accidents actifs de la troisième espèce, deviennent des p
pas douteux. Seule à celle époque, la lèpre pou- vait produire des accidents semblables. La syphilis n'existait pas, ou du m
en 6 à 8 mois, devint très prononcée. En novembre 1898, survint un accident de voiture : assis dans une voiture découverte
un fort traumatisme de la région naso-orbitaire. A la suite de cet accident , brusquement, à l'amblyopie succéda l'amaurose.
e premier signe de l'affec- tion ; et, huit mois après le début des accidents , la cécité absolue était définitive. Une partic
Mort au service militaire, étant sergent-fourrier, à la suite d'un accident (chute dans un escalier). 3o S'ceur du père. -
, 16 ans. Un frère, 14 ans. Aucun des frères ou soeur ne présente d' accidents semblables à ceux que nous allons décrire. Tous
dait la voix. Voyait-elle une chute dans la rue, une dispute ou un accident : « Çà lui faisait un drôle d'effet, çà la sais
s'inquiétait et s'imaginait toujours qu'il lui était arrivé quelque accident . Mettait-elle une lettre à la poste elle était
jouant à l'école elle avala, à l'âge de cinq ans, une épingle. Cet accident provoqua de la toux et gêna les mouvements de l
haute stature, n'a eu en effet pendant sa grossesse ni émotion, ni accident , ni fièvre. Elle a remarqué que, dès la naissan
atisme, ou de striction funicu- laire ou amniotique, en un mot d'un accident quelconque entravant à un moment donné le dével
en est pas de même pour l'achondropla- sie ; elle ne relève ni d'un accident arrivé à l'embryon, ni d'une maladie intra-utér
. Il faut donc admettre que l'achondroplasie n'est ni le fait d'un accident intra-utérin, ni le résultat d'une maladie foet
imentaire dé- fectueuse qu'il faut chercher la raison véritable des accidents rachitiques. Il est à peu près certain que l'in
ur ainsi dire toujours à l'origine de la maladie. La production des accidents au sein d'une même famille n'est donc liée à l'
ion spéciale : 10 Les effets du traitement ; 2° La pathogénie des accidents . Sur les secousses myocloniques rythmées et fib
un exci- pient commode pour la suggestion. 1 La pathogénie de ces accidents myocloniques a été assez mal étudiée.On sait le
,ou par les mauvaises odeurs comme la friture (Joal). On a cité des accidents parétiques du côté des membres (2) ou même des
a cité des accidents parétiques du côté des membres (2) ou même des accidents plus graves : d'après Tissié les cour- tiers en
ne peut guère douter qu'elles soient capables de produire tous les accidents du surmenage et qu'elles concourent dans un cer
é, La pathologie des émotions, 1892, p. 483, 484. (2) B. DEBOURGES, Accidents déterminés par les émanations des tubéreuses (J.
e pathogénique fort complexe doit prési- der à la détermination des accidents si variés et si nombreux du syndrome des tumeur
ux éléments entrent pour une certaine part dans le déterminisme des accidents ; et, sans vouloir discuter ici le mécanisme de
tumeurs cérébrales. Or, il est certain que le tableau clinique des accidents présentés par TUMEUR CÉRÉBRALE 355 notre mala
). Cet auteur, à propos d'une malade, guérie par la trépa- nation d' accidents de céphalée et d'amblyopie progressive, consécuti
imètres cubes environ) semble amender, au moins temporairement, les accidents encéphaliques de l'urémie récente et d'in- tens
ries, de symptômes analogues : et ils tentent de rapporter tous ces accidents à l'hypertension du liquide céphalorachidien. -
et de l'urémie nerveuse en particulier, c'est l'origine toxique des accidents . La nature toxique des troubles cérébraux de l'ur
'accord avec eux pour chercher une cause pathogénique commune à des accidents communs, nous préférons invoquer, comme agent p
L'hypothèse de la compression cérébrale, invoquée comme cause des accidents diffus des tumeurs cérébrales, est passive d'obje
forte compression évi- dente de l'encéphale, sans avoir présenté d' accidents cliniques durables dus à cette compression : le
e, ni dans l'ordre de succession, ni dans la marche et la durée des accidents observés. II ne semble d'ailleurs pas logique d
possible à admettre anatomiquement, la cause de cette riche série d' accidents qui composent le syndrome diffus des tumeurs cé
cidents qui composent le syndrome diffus des tumeurs cérébrales ces accidents témoignent au contraire de l'atteinte inégale,
x est également démontrée (2). Klippel distingue judicieusement les accidents de la tumeur et ceux de la cachexie, dans le ca
compris. » Appliquant cette notion générale à l'interprétation des accidents céré- braux présentés par notre malade, nous co
97 ; de Klemperer, llommclaire, Jaccoud, Albarran. (2) Klippel, Les accidents nerveux du cancer. Archives générales de médecine
e, de l'aveu des auteurs, d'invoquer la compression comme cause des accidents diffus et à distance imputables à la tumeur. Le
tes hydatiques multiples disséminés de l'écorce, ayant entraîné des accidents aphasiques sensoriels, hallucinatoires, épilept
iques et délirants. Dans la discussion relative à la pathogénie des accidents diffus présentés par le malade, P. Marie propos
tômes, l'intermittence, la sou- daineté, la foudroyante gravité des accidents engendrés par les kystes - hydatiques du cervea
ystes cadre fort bien avec l'hypothèse de la pathogénie toxique des accidents : ceux-ci étant déterminés par des phénomènes-
quement avec perte de connaissance et convulsions généralisées. Ces accidents disparurent petit à petit au bout de deux ans,
assez tôt. Le 20 octobre de la même année, elle me consulta sur cet accident , et j'ob- servai les symptômes suivants : Mai
ans préjudice notable pour la santé. La tropltoedème est parfois un accident isolé. D'antres fois, il est hérédi- taire et f
? Le terme même de tl'ophoedème donne à entendre qu'il s'agit d'un accident dystrophique. La participation du tissu conjonc
elte localisation. On ne peut manquer de saisir l'analogie avec les accidents trophiques et sensitifs de la syringomyélie. Le
rop insisté sur les liens de parenté du trophoedéme avec les autres accidents dystrophiques pour pouvoir méconnaître sa parti-
rie spinale est capable d'expliquer ? Puis, l'ordre dans lequel les accidents se sont succédé, ré- péterons-nous encore, n'in
décédés, l'un est mort de la pe- tite vérole et l'autre par suite d' accident . Une soeur plus jeune est en bonne santé. Fanny
8 ans. Il y a eu en outre une fausse couche de six semaines. Sans accidents particuliers, la grossesse a été relativement pén
Il est assez difficile de se prononcer sur la nature exacte de ces accidents : à cause du début lent, de l'absence de morsur
95 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
nts paralysés ou faibles à monter et descendre les escaliers et les accidents graves auxquels ces montées et ces descentes ex
rs semaines (1872); sauf une plaie du sourcil gauche, c'est le seul accident grave qui lui soit survenu pendant les accès. D
époque, dans le cours d'une fièvre typhoïde ( ? ), il fut atteint d' accidents cérébraux sur lesquels des renseignements préci
nomènes éprouvés par notre malade, et notamment la prédominance des accidents convulsifs, dans le membre supérieur gauche, do
ue nous sachions, à la dose limite, et, dans l'espèce, la crainte d' accidents possibles, pouvant se produire lors d'un accès
ssive, puis guérison. Observation V. - Jeune fille de dix-huit ans, accidents convul- sifs à la suite de chagrins d'amour, pu
aires; il est intelligent; il y a deux semaines, il eut de nouveaux accidents convulsifs ; il eut chaque jour, durant six jou
voir parer de suite par la ligature, avec une bande roulée, à un accident , est l'injection sous-cutanée dans les membres av
i for- ml11pp. 30 DU CURARE Nous n'avons jamais eu à déplorer d' accidents généraux d'aucune sorte. Il est vrai que nous n
vive ; par l'analyse chimique des urines, on y trouva du sucre. Ces accidents disparurent par le repos et un traitement simpl
pas, avait des accès de cris, était très méchant. Attribuant ces accidents au lait de la nourrice, on la remplaça par une au
es sottises et a voulu frapper un de ses camarades. T. A. 38° - Les accidents se sont peu à peu dissipés. 8 juin. - Brûlures
. 1883. 8 janvier. - Cr... est complètement remis de ses derniers accidents . 9 février. - Dans la nuit du 6 au 7, 17 accès.
des traumatismes; à la naissance, il était asphyxié. Les premiers accidents ont consisté en accès de cris (in- fance), remp
Pleurésie sèche (1880). - Traitement par les injections de curare : accidents locaux du côté paralysé; insuccès. - Mort dans
à quatre-vingts ans; on l'a noyé, pense-t-on, ou il est tombé par accident dans le canal du Loiret; menuisier, il faisait de
la jambe et est resté trois mois à Lariboisière, et, un an après l' accident , il est mort de la poitrine, il n'avait pas d'e
sobre, a une physionomie régulière, agréable, n'a jamais eu aucun accident nerveux; elle n'a jamais eu de convulsions dans
et son enfant. Une soeur est sujette à des douleurs d'estomac sans accidents nerveux. Elle a deux filles : l'une d'elles a e
igr.). La douleur est presque nulle au moment de l'injection; pas d' accidents locaux, sauf par- fois une légère ecchymose, pa
dans les antécédents personnels du malade nous avons à signaler des accidents nombreux. b) De quatre à douze ans, Lef... a eu
s dans lesquels nous sommes entrés, car ils verront là un exemple d' accidents très communs chez les enfants, encore trop peu
pour cause un arrêt de développement des circonvolutions. II. Les accidents divers survenus successivement chez cet enfant
nt l'intelligence offre un développement ordinaire, qui n'ont pas d' accidents con- vulsifs et que l'on désigne généralement s
éphalalgies. Grimpeur. Première admission à l'Asile clini- que. - Accidents hystériques. - Idées érotiques. - Tentative d'é
t à 48 ans d'une pneumonie, laissant 6 enfants en bonne santé, sans accidents nerveux. L'autre frère a eu, à 25 ans, un court
petit verre de rhum. C'est vers cette époque, qu'il eut de nouveaux accidents cérébraux. Après avoir éprouvé de la céphalalgi
e plaint de la gorge qui est légèrement rouge; pas d'adénite. Ces accidents disparaissent en quelques jours. Pendant les mo
u à sa famille au bout de six mois, il est mort à Necker en 1875, d' accidents urémiques, à l'âge de 53 ans. De ce côté, on ne
urémiques, à l'âge de 53 ans. De ce côté, on ne nous signale comme accidents nerveux que de l'insensibilité du côté gauche,
e, 48 ans (en 1880), coloriste, bien portante, n'a pré- senté comme accident nerveux que des convulsions dans l'enfance : sa
arades et était tombé à l'eau ; de là une grande émotion, mais sans accidents immédiats. Huit jours après, il se promenait av
96 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
tiers autorisé; 2° S'enquérir auparavant si le sujet est atteint d' accidents nerveux et de la nature de ces accidents. Même pr
nt si le sujet est atteint d'accidents nerveux et de la nature de ces accidents . Même précaution pour les troubles circulatoires
la plupart de ceux qui n'ont eu à enregistrer que des insuccès ou des accidents , le doivent uniquement à leur défaut de méthode,
e l'expérience, tels qu'ils se présentent, avec leur imprévu et leurs accidents . » EXPÉRIENCE DEVANT SERVIR A L'EXPLICATION DE
ntre les deux côtés. » Cette expérience, bien que contrariée par un accident qui, heureusement, affecta le côté insensibilisé,
ngt-cinq ans, a eu deux grossesses antérieures n'ayant présenté aucun accident particulier; les suites de couches ont été heureu
i quelques pages où rien n'est oublié. minutieusement tel ou tel accident du sol; sans quoi il risque de se perdre dans l'a
fférents théâtres de la ville. Cette interdiction est motivée par des accidents survenus chez quelques sujet* hypnotisés. A l
deux des sœurs ont souvent des suffocations, des évanouissements, des accidents nerveux plus ou moins dans la voie de l'hystérie.
entale qui frise la démence, à moins qu'il ne soit enlevé par des accidents d'alcoolisme aigu ou chronique. Les moyens thér
séquestration: d'autres fois, l'agitation est plus durable. Si les accidents dipsomaniaques sont rapprochés, durables ; si sur
ige dans la station debout; les urines étaient albumineuses, puis les accidents se dissipèrent. M. le docteur Miquel a rapporte
ament. Je m'arrêtai à la difficulté de sa posologie et à la crainte d' accidents terribles. » Aujourd'hui que la nitro-glycérine
est d'autant plus prompte qu'il a été appliqué plus près du début des accidents ; mais, avant tour, il faut bien établir son diag
s'occupent de pathologie dentaire ont été frappés de ce fait que les accidents provoqués par l'éruption de la dent de sagesse so
ue la dent de sagesse gauche est sortie péniblement en provoquant des accidents plus ou moins graves, ou qu'elle manque complètem
isons d'ordre purement anatomique, on n'observe que très rarement des accidents de dents de sagesse au maxillaire supérieur. Le
convient de distinguer les gauchers héréditaires et les gauchers par accidents ; qu'un enfant, par exemple, ait une fracture du r
édé, de modifier l'état psychique et empêcher le retour de semblables accidents . Dans un second cas, il s'agissait d'une jeune
convénients sérieux. Il serait facile de signaler un certain nombre d' accidents survenus dans plusieurs villes après les passages
qui se plaignent de n'avoir eu à enregistrer que des insuccès ou des accidents , le doivent uniquement à leur défaut de méthode,
es mouvements gymnastiques réguliers pendant l'état d'hypnolisme, les accidents choréiques peuvent disparaître complètement au ré
ants que nous avons soumis au traitement par l'hypnotisme, le moindre accident consécutif. Au contraire, l'enfant, qui const
de sujets hypnotisés nous n'avons jamais, a Nancy, obtenu le moindre accident en procédant par notre méthode de suggestion douc
tole pour une rougeole grave pendant laquelle j'ai eu i combattre des accidents nerveux et un subdelirium qui a duré plusieurs jo
e par son pouvoir, c'est son tour d'avoir peur. II a entendu parler d' accidents produits, de crises survenues, et, ne sachant com
près de périr; en effet, ses cheveux sont tombés huit jours après cet accident . A côté de ces taits, j'en possède d'autres n
us merveilleux et les plus faits pour déconcerter la raison? Si les accidents paraissent exciter !a curiosité, ils s'accentuent
ne d'intérêt, viennent à l'appur. Dans le premier, par suite d'un accident de voiture, un jeune homme de 29 ans, ayant été v
. On put se rendre maître de suite du commencement d'incendie que cet accident avait provoqué, mais Mlle X... fut bouleversée pa
atigué l'esprit ? Nous regrettons qu'il ne se soit pas demandé si les accidents observés dans sa pratique pouvaient l'être par to
n état sub-hypnotique, et la plupart des paralysies produites par les accidents de chemins de fer ne sont très probablement que d
ne névrose artificielle. Sous peine de voir se développer une foule d' accidents , il serait médicalement interdit d'hypnotiser des
ous assurer que la plupart de ceux qui n'ont eu à enregistrer que des accidents ou des insuccès, le doivent uniquement à leur déf
l'autre moitié. Voici l'une de ces observations : « Mal de Pott. — Accident de compression médullaire. — Douleurs sciatiques.
ètement disparu. L'état puerpéral pourrait expliquer à lui seul les accidents qui ont amené la malade à l'asile. Mais la courte
qui ont hypnotisé des milliers de malades, on n'a pu constater aucun accident , il n'en faudrait pas conclure que le premier ven
érant que la pratique vulgarisée de l'hypnotisme entraine souvent des accidents graves à sa suite chez les sujets et chez les ass
riques, ce serait déjà fort beau de les débarrasser immédiatement des accidents urgents, sauf à faire ensuite un traitement de fo
l était nécessaire au début avant d'agir par la suggestion contre les accidents , d'agir d'abord pour faciliter les séances hynoti
t ce sont certains malades qui, eux-mêmes, font remonter le début des accidents mentaux et nerveux dont ils souffrent a des manœu
vue de ces phénomènes extraordinaires, au point que surviendront les accidents que nous 'avons signalés tantôt en nous basant su
l affirme que les pratiques des magnétiseurs n'ont jamais déterminé d' accidents sérieux. Depuis deux ans que nous avons l'honne
ambulants et de saltimbanques avaient déterminé l'éclosion de graves accidents . Enfin, récemment, nous recevions de M. Briant,
Nous avons eu nous-mème l'occasion d'enregistrer un certain-nombre d' accidents analogues dus à des tentatives d'hypnotisme-faite
if de celui-ci pour échapper au coup qui le menace peut déterminer un accident grave. Inefficace, car l'enfant terrifié se souci
ypnotisé. « S'enquérir au préalable si le sujet n'est pas atteint d' accidents nerveux ou de troubles circulatoires, et quelle e
pratique de l'hypnotisme, vulgarisée ou non, ait entraîné souvent des accidents graves à sa suite, ni chez les sujets, ni chez le
M. Heger. — M. Kuborn déclare ne pas savoir s'il y a eu en Belgique d' accidents produits par les pratiques hypnotiques des magnét
ous devons rester sur le terrain de l'hygiène. Il faut donc que les accidents survenus à la suite des représentations publiques
propose de les interdire. J'ai lu le rapport, mais on ne parle que d' accidents survenus à la suite de pratiques privées. Je cr
97 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
tiers autorisé; 2° S'enquérir auparavant si le sujet est atteint d' accidents nerveux et de la nature de ces accidents. Même pr
nt si le sujet est atteint d'accidents nerveux et de la nature de ces accidents . Même précaution pour les troubles circulatoires
la plupart de ceux qui n'ont eu à enregistrer que des insuccès ou des accidents , le doivent uniquement à leur défaut de méthode,
e l'expérience, tels qu'ils se présentent, avec leur imprévu et leurs accidents . » EXPÉRIENCE DEVANT SERVIR A L'EXPLICATION DE
ntre les deux côtés. » Cette expérience, bien que contrariée par un accident qui, heureusement, affecta le côté insensibilisé,
ngt-cinq ans, a eu deux grossesses antérieures n'ayant présenté aucun accident particulier; les suites de couches ont été heureu
i quelques pages où rien n'est oublié. minutieusement tel ou tel accident du sol; sans quoi il risque de se perdre dans l'a
fférents théâtres de la ville. Cette interdiction est motivée par des accidents survenus chez quelques sujet* hypnotisés. A l
deux des sœurs ont souvent des suffocations, des évanouissements, des accidents nerveux plus ou moins dans la voie de l'hystérie.
entale qui frise la démence, à moins qu'il ne soit enlevé par des accidents d'alcoolisme aigu ou chronique. Les moyens thér
séquestration: d'autres fois, l'agitation est plus durable. Si les accidents dipsomaniaques sont rapprochés, durables ; si sur
ige dans la station debout; les urines étaient albumineuses, puis les accidents se dissipèrent. M. le docteur Miquel a rapporte
ament. Je m'arrêtai à la difficulté de sa posologie et à la crainte d' accidents terribles. » Aujourd'hui que la nitro-glycérine
est d'autant plus prompte qu'il a été appliqué plus près du début des accidents ; mais, avant tour, il faut bien établir son diag
s'occupent de pathologie dentaire ont été frappés de ce fait que les accidents provoqués par l'éruption de la dent de sagesse so
ue la dent de sagesse gauche est sortie péniblement en provoquant des accidents plus ou moins graves, ou qu'elle manque complètem
isons d'ordre purement anatomique, on n'observe que très rarement des accidents de dents de sagesse au maxillaire supérieur. Le
convient de distinguer les gauchers héréditaires et les gauchers par accidents ; qu'un enfant, par exemple, ait une fracture du r
édé, de modifier l'état psychique et empêcher le retour de semblables accidents . Dans un second cas, il s'agissait d'une jeune
convénients sérieux. Il serait facile de signaler un certain nombre d' accidents survenus dans plusieurs villes après les passages
qui se plaignent de n'avoir eu à enregistrer que des insuccès ou des accidents , le doivent uniquement à leur défaut de méthode,
es mouvements gymnastiques réguliers pendant l'état d'hypnolisme, les accidents choréiques peuvent disparaître complètement au ré
ants que nous avons soumis au traitement par l'hypnotisme, le moindre accident consécutif. Au contraire, l'enfant, qui const
de sujets hypnotisés nous n'avons jamais, a Nancy, obtenu le moindre accident en procédant par notre méthode de suggestion douc
tole pour une rougeole grave pendant laquelle j'ai eu i combattre des accidents nerveux et un subdelirium qui a duré plusieurs jo
e par son pouvoir, c'est son tour d'avoir peur. II a entendu parler d' accidents produits, de crises survenues, et, ne sachant com
près de périr; en effet, ses cheveux sont tombés huit jours après cet accident . A côté de ces taits, j'en possède d'autres n
us merveilleux et les plus faits pour déconcerter la raison? Si les accidents paraissent exciter !a curiosité, ils s'accentuent
ne d'intérêt, viennent à l'appur. Dans le premier, par suite d'un accident de voiture, un jeune homme de 29 ans, ayant été v
. On put se rendre maître de suite du commencement d'incendie que cet accident avait provoqué, mais Mlle X... fut bouleversée pa
atigué l'esprit ? Nous regrettons qu'il ne se soit pas demandé si les accidents observés dans sa pratique pouvaient l'être par to
n état sub-hypnotique, et la plupart des paralysies produites par les accidents de chemins de fer ne sont très probablement que d
ne névrose artificielle. Sous peine de voir se développer une foule d' accidents , il serait médicalement interdit d'hypnotiser des
ous assurer que la plupart de ceux qui n'ont eu à enregistrer que des accidents ou des insuccès, le doivent uniquement à leur déf
l'autre moitié. Voici l'une de ces observations : « Mal de Pott. — Accident de compression médullaire. — Douleurs sciatiques.
ètement disparu. L'état puerpéral pourrait expliquer à lui seul les accidents qui ont amené la malade à l'asile. Mais la courte
qui ont hypnotisé des milliers de malades, on n'a pu constater aucun accident , il n'en faudrait pas conclure que le premier ven
érant que la pratique vulgarisée de l'hypnotisme entraine souvent des accidents graves à sa suite chez les sujets et chez les ass
riques, ce serait déjà fort beau de les débarrasser immédiatement des accidents urgents, sauf à faire ensuite un traitement de fo
l était nécessaire au début avant d'agir par la suggestion contre les accidents , d'agir d'abord pour faciliter les séances hynoti
t ce sont certains malades qui, eux-mêmes, font remonter le début des accidents mentaux et nerveux dont ils souffrent a des manœu
vue de ces phénomènes extraordinaires, au point que surviendront les accidents que nous 'avons signalés tantôt en nous basant su
l affirme que les pratiques des magnétiseurs n'ont jamais déterminé d' accidents sérieux. Depuis deux ans que nous avons l'honne
ambulants et de saltimbanques avaient déterminé l'éclosion de graves accidents . Enfin, récemment, nous recevions de M. Briant,
Nous avons eu nous-mème l'occasion d'enregistrer un certain-nombre d' accidents analogues dus à des tentatives d'hypnotisme-faite
if de celui-ci pour échapper au coup qui le menace peut déterminer un accident grave. Inefficace, car l'enfant terrifié se souci
ypnotisé. « S'enquérir au préalable si le sujet n'est pas atteint d' accidents nerveux ou de troubles circulatoires, et quelle e
pratique de l'hypnotisme, vulgarisée ou non, ait entraîné souvent des accidents graves à sa suite, ni chez les sujets, ni chez le
M. Heger. — M. Kuborn déclare ne pas savoir s'il y a eu en Belgique d' accidents produits par les pratiques hypnotiques des magnét
ous devons rester sur le terrain de l'hygiène. Il faut donc que les accidents survenus à la suite des représentations publiques
propose de les interdire. J'ai lu le rapport, mais on ne parle que d' accidents survenus à la suite de pratiques privées. Je cr
98 (1911) La pratique neurologique
ase sur- vient souvent, d'une manière précoce, peu de temps après l' accident primitif, sans autre lésion appréciable du syst
. Ces cas traumatiques ont une importance très grande dans le cas d' accident du travail et doi- vent être bien connus des ne
EILLE. raissent généralement après cessation. Mais parfois tous les accidents IH'rsis ! <'nl. Ll'III' IlIl"l'anisllH' ('st
onsécutif. Description clinique de l'apoplexie. -L'apoplexie est un accident soudain, brutal, frappant tout l'organisme. Mai
pratique au point de vue médico-lob surtout en ce qui concerne les accidents du travail. ^fp Quels qu'aient pu être les phén
parfois 55 degrés seulement. Trois il quatre heures au plus après l' accident morbide, il y a réascen- [MOUTIER.] 1 gO APOP
ie est exceptionnelle après quatre jours d'étal comateux. Enfin, un accident nouveau peut être constaté, trouble trophiquedo
en dehors même des paralysies, la convalescence ménage de nombreux accidents , les uns prévus et annoncés par le médecin, d'a
plus tard le diagnostic et la valeur séméiologique du coma : peu d' accidents à vrai dire simulent l'apoplexie. L'étiologie,
imulent l'apoplexie. L'étiologie, l'âge, du malade, l'évolution des accidents contri- buent à circonscrire bientôt le diagnos
épileptique est parfois très difficile. Cependant la répétition des accidents , leur brièveté, l'intensité du vertige, la cons-
Il nous reste à écarter d'un mot l'asphyxie : la prédominance des accidents circulatoires et respiratoires lui tracent, en de
le nouvel ictus participe a priori à la béni- gnité antérieure des accidents . ' Le diagnostic de traumatisme est en général
ma, dépendent el' hél1w1Tagies ou de ramollissements cérébraux. Ces accidents déter- minent les syndromes typiques que nous a
ur du ramollissement se trouveront être une évolution graduelle des accidents , l'absence de perte de connaissance, de choc, en
ileptiformes. Certains comas sont encore mal étudiés, tels sont les accidents du coup de froid et de l'insolation. Leur diagn
pissement mor- bide. Mais l' 1t1'émie et le diabète déterminent des accidents plus fréquents et plus graves. 11 est rare que
ysants; les pupilles sont tantôt punctiformes, tantôt dilatées. Ces accidents s'accompagnent généralement de troubles gastro-
es. La convalescence, si le malade survit, est longue, et marquée d' accidents nombreux, polynévrites, troubles trophiques. De
d'emblée : délire ou accès épileptiformes annoncent l'imminence des accidents nerveux plus graves. L'urémie ressemble à s'y m
ma est coupé de convulsions intenses. , Le myosis caractérise les accidents dus aux opiacés, la mydriase les accidents déte
e myosis caractérise les accidents dus aux opiacés, la mydriase les accidents déterminés par les solanées (belladone, atropine,
mettre quelques sangsues aux mas- toïdes. En réalité, en dehors des accidents toxiques, urémie, empoi- SOIlI1l'tlI('lll oxyca
es, la pondre de Lucas-Champion- nière, permettraient d'enrayer les accidents . Le massage méthodique des bords de la perte de
s la forme et, la direction des figues sont seuls modifiés ici. Les accidents morbides qui les peuvent déterminer sont, le, t
des troubles périphériques éventuellement existants à expliquer les accidents reconnus. Il convient de distinguer avec soin l
ys- tériques et qui jouent un si grand rôle; dans la pathogénie des accidents de cette névrose, ni les idées obsédantes ou ob
é, est' la cause la plus importante, suivant Bourneville. Enfin les accidents , delà grossesse, de l'accouchement, la naissanc
l'évolution et les récidives ultérieures, la constatation d'autres accidents de même nature ne lais- seront aucun doute il c
névral- gies tardives. Les névralgies précoces, contemporaines des accidents secondaires, atteignent avec élection le trijum
ns le nerf sciatique peuvent être sui- vies de névrites graves et d' accidents paralytiques, aussi je crois que cette méthode
ulement dans les toxémies nerveuses du diabète, mais aussi dans les accidents nerveux des affections hépatiques. M. Léopold L
et génitaux acquerra une importance toute particulière, et même tel accident vésical ou génital peut être un véritable « sig
suivre l'évolution de para- plégies organiques dans lesquelles les accidents moteurs ne se manifes- tèrent qu'après une péri
it en une ou deux aimées au maximum, et la mort survient au cours d' accidents glosso-Iabio-Iaryngés. Il n'y a donc de phénomè
. La ponction lombaire ne décèle point de lymphocytose au cours des accidents pottiques. On a décrit un mal de Pott syphiliti
être unilatérales; elles peu- vent être pendant des années le seul accident que déterminent la pré- sence et l'évolution de
t plus irrémédiables. Pour ne parler que de la moelle en effet, les accidents précoces, survenant de 18 mois à ô ans après le
er les formes subaiguës, qui, justement, sont les types à début par accidents méningés. On signale aussi des formes curables
existe des troubles vaso-moteurs intenses, et la mort survient par accidents bulbaires. Il semble bien que le plus souvent i
n'existe ni troubles sen- sitits, sphinctériens ou électriques, ni accidents trophiques. L'état des réflexes est parallèle à
s'arrête et tout se calme bientôt; puis il reprend sa route et les accidents recommencent. La claudication intermitlcnl1 êtr
fois même elle demeurera purement sensitive. Le mode de début des accidents dits hystériques, ne fournit que de médiocres r
u de tels malades dans son entourage. Parfois encore, s'il s'agit d' accidents post-traumati- ques, on pourra songer à la névr
ique en présence de la dispropor- tion entre la cause et l'effet, l' accident et la paralysie. Ce sont la des cas relativemen
dans la sensibilité, ni dans le jeu des sphincters. Il n'y a pas d' accidents tro- phiques. L'enfant présente une attitude ab
and les malades ne viennent consulter que quelques jours après leur accident , ils ont généralement disparu., . Les troubles
déjà parlé des douleurs spon- tanées ou provoquées consécutives à l' accident et qui ordinairement régressent vite. Plus tard
as de traumatisme léger on exa- mine le malade peu de temps après l' accident , on trouve toujours une bande d'hypoesthésie ou
essent vite, et si l'on n'examine le malade que longtemps après son accident , il peut ne subsister qu'une paralysie du type
ement tandis que le malade s'immobilise dans la crainte de nouveaux accidents . Très fréquemment aussi le malade tombe, obnubi
pratiquer la trachéotomie. Mais même dans ces formes extrêmes, les accidents peuvent se dissiper avec la brusquerie qui a ca
étiologique professionnelle et la constatation des stigmates el des accidents saturnins (liséré gingival, coliques de plomb, et
sant, dans la presque totalité des cas, on trouvait à l'origine des accidents une fièvre typhoïde, maladie infectieuse dont on
pupillaire, pas ou très peu de troubles urinaires et génitaux. Les accidents sont souvent tardifs, plusieurs semaines ou plu
lydypsie, polyphagie, et de quelques-uns des mille petits ou grands accidents du diabète. Il n'est guère facile de rapporter
lissement ou dégénérescence nucléaire systématisée, mais encore par accidents extrin- sèques,rnéningites, tumeurs ou caries o
processus morbide ou sont frappées en dehors du bulbe. Il s'agit d' accidents évolutifs, se déve- loppant en général selon un
ls. Ce cycle évolutif n'a plus la régularité observée ailleurs. Les accidents cardiaques et respiratoires peuvent en effet exis
érantiels adjacents. Ce syndrome, nucléaire est caractérisé par les accidents sui- vants : vertige avec (lerobelllent partiel
symptomatique est dans ces cas particulièrement étendu. Aux divers accidents bulbaires proprement dits s'ajoutent des signes
est plus variable d'ailleurs que la marche, que le grou- pement des accidents dans les compressions du bulbe par tumeur. C'est
céphalique et dont l'évolu- tion banale est soudain abrégée par des accidents bulbaires aigus. En d'autres cas, ce sont les p
es-ci n'existe d'ailleurs jamais de rémissions dans l'évolution des accidents . Les lésions extrinsèques du bulbe autres que l
es, les syndromes observés pouvant être subaigus ou chroniques. Les accidents se limitent rarement au bulbe et inléres- sent
ers, ni altérations de la sensibilité. On rencontre quelquefois des accidents respiratoires menaçants avec rythme de Cheyne-S
, et même une paralysie congénitale liées lune et l'autre à de gros accidents cérébraux, atrophie et sclérose corticales, mic
'ictus, ou s'améliorer au contraire, le malade succombant à quelque accident intercurrent. Dans d'autres cas, de nou- veaux
définitive avec D. R., et non pas une simple fatigue (Raymond). Les accidents des pseudo-bulbaires ont un début rapide; eux a
rieuses et peuvent indiquer, principalement dans la scarlatine, des accidents urémiques. Si l'on ne trouvait rien, s'il n'y a
ée par les troubles respiratoires (larynx ou diaphragme) ou par des accidents d'alimentation. Le pronostic est des plus grave
la maladie des tics ne peut se faire que par l'extrême variété des accidents , leur brusque appa- rition et disparition. Le
de la peau mais encore des muqueuses. Il peut éclater en ce cas des accidents menaçants d'oedème aigu du pou- mon ou de la gl
ur gravité ultime est en général fonction de cette infection. Les accidents ulcéreux se rangent sous trois chefs fort proches
e hystérique les mêmes remarques qu'il propos de tous les prétendus accidents viscéraux et trophiques de l'hystérie ; il faut s
vient plus rapi- dément, sorte de soupape de sûreté qui retarde les accidents sans rien changer aux indications du traitement
ue ou mal conduit, avec évacuation trop rapide par exemple, que les accidents aigus éclatent : frissons, fièvre intense, dou-
ue le cathétérisme joue un rôle considérable dans la production des accidents ; je renvoie donc il la technique exposée à l'arti
nage ou une décapsulation est de nature, non seulement à éviter les accidents graves immédiats, mais à. rétablir la sécrétion
est en cause eu de tels cas, et cette chute des dents peut être un accident précoce. . Mal perforant buccal. On peut observ
sa surface, les troubles de sa sensibilité et de sa inutilité, les accidents trophiques qu'elle peut présenter. Aspect. Le s
t. Le simple examen de la surface de la langue est impor- tant. Les accidents syphilitiques, rhagades, sclérose, leucoplasie on
nt souvent irréguliers et variables d'un côté Ü l'autre. D'autres accidents bulbaires évoluent plus lentement. La langue est
elligence normale peuvent, d'un moment à l'autre, éclater de graves accidents respiratoires et cardiaques. Cette évolution est
éaires et les lésions péri- phériques, mais dans ce dernier cas aux accidents moteurs se superpo- sent des troubles de la sen
ou de la sensibilité. Les premiers de ces troubles comprennent des accidents paralytiques et des accidents spastiques. Nous
miers de ces troubles comprennent des accidents paralytiques et des accidents spastiques. Nous négligerons la paralysie de l'oe
ge dont l'existence est peu précise : on a bien signalé, au cours d' accidents cérébraux ou plutôt bulbaires, dans les altérat
ubles de la sensibilité de l'oesophage ressortissent une partie des accidents précédemment décrits. La boule hystérique n'est a
se, elles laissent la santé florissante et coexistent avec d'autres accidents . Il est bon de toujours. songer à la simulation.
il faudrait songer à quelque occlusion intestinale plutôt qu à des accidents sine nza.lefUa. Pseudo-péritonite. Le malade ac
nt, une névralgie de la douzième intercostale a été le thème de ces accidents ; c'est le point perforant du nerf qui simule le
e personnel une pathologie digestive. Il se croit toujours menacé d' accidents funestes, mais au contraire du mélan- colique,
du vertige, de la pâleur, des sueurs, une tendance syncopale. « Ces accidents disparaissent lorsqu'on remplace les grands rep
les paraplégies flasques, et nous insisterons spécialement sur les accidents des méningo-myélites aiguës, il y a gâtisme absol
tre ces causes, il convient de ne pas confondre le gâtisme avec les accidents qui pourraient le simuler. Ces troubles sont no
ade une rigoureuse surveillance; la pré- vention et la guérison des accidents cutanés sont il ce prix. SÉMÉIOLOGIE DE LA MAIN
s d'Hutchinson, du tibia en fourreau de sabre, du front olympien, d' accidents spécifiques éventuels. Il est en tout cas fort
la bouche et de l'anus, alopécie. Chez la femme, la notion de ces accidents et surtout de l'accident initial est le plus so
alopécie. Chez la femme, la notion de ces accidents et surtout de l' accident initial est le plus souvent absente. La syphili
énérale qui sont consi- dérés par la majorité des auteurs comme des accidents syphilitiques. Nous nous contenterons de rappel
Nous ne voulons pas cependant terminer sans signaler l'existence d' accidents syphilitiques tertiaires, de gommes chancriform
e gommes chancriformes qui peuvent fré- quemment être pris pour des accidents initiaux de la syphilis et faire rejeter par co
. TRAITEMENT DE LA SYPHILIS DU NEVRAXE par Georges GUILLAIN Les accidents nerveux d'origine syphilitique doivent être trait
les dégénérations secondaires. * Dans la syphilis nerveuse dont les accidents sont souvent menaçants, le traitement doit être
outte de teinture d'iode. LIQUIDE CI : PHALO-RACIIIDIEIV. 1125 9° Accidents de la ponction lombaire. On peut observer des acc
onction lombaire. On peut observer des acci- dents immédiats et des accidents consécutifs. A) Les accidents immédiats sont ra
er des acci- dents immédiats et des accidents consécutifs. A) Les accidents immédiats sont rares : ce peuvent être des vertig
tus apoplectique survenu au cours d'une ponction lombaire; mais des accidents plus graves ont été rapportés; on a observé, en
fait le total des cas publiés jusqu'en 1909 et en comptent 34. B) Accidents tardifs. Le plus important des accidents tardifs
1909 et en comptent 34. B) Accidents tardifs. Le plus important des accidents tardifs est la céphalée; le mal de tête est ass
huit jours après la soustraction d'un centimètre de liquide. Ces accidents étaient attribués autrefois à la piqûre des ménin
on des réflexes après la ponction lombaire. Quoi qu'il en soit, ces accidents sont des plus rares. Ségua a signalé aussi, che
s, Ces éléments disparurent après la gué- rison et la cessation des accidents . Le passage de ces pigments et sels biliaires d
ne à un foyer de mortifi- cation médullaire. A côté de ces grands accidents de la syphilis nerveuse, les petits acci- dents
e à des troubles nerveux. 2° Cyto-diagnostic dans la syphilis, sans accidents nerveux. L'existence de la lymphocytose au cour
, sans accidents nerveux. L'existence de la lymphocytose au cours d' accidents nerveux de la syphilis ont amené Milian, Crouzo
du profes- seur Fournier s'ils pouvaient surprendre le début de ces accidents , par l'examen du liquide céphalo-rachidien. Dan
st la première où on constata la lymphocytose dans la syphilis sans accidents nerveux, elle eut d'autre part un intérêt diagnos
) qui a montré que sur 54 syphilitiques en période secondaire, sans accidents , ou avec accidents cutanés superficiels (roséole,
sur 54 syphilitiques en période secondaire, sans accidents, ou avec accidents cutanés superficiels (roséole, plaques mu- queu
ce fait que la cocaïne qui, par sa toxicité, avait donné lieu à des accidents , a été remplacée par la stovaïne. et, d'autre p
es affections épendymaires, elle nous montre du moins qu'à côté des accidents immédiats, consécutifs à l'inondation des ventr
elés, la culture ou l'inoculation. Plus on s'é- loigne du début des accidents , plus on a naturellement de chances de tomber s
irconstances étiologiques, l'intensité de la fièvre, la gravité des accidents , on ne manque pas de porter le diagnostic d'abcès
d, les ventricules et l'on évacue un liquide clair et abondant. Les accidents disparaissent comme par enchantement el, après un
paraplégies tardives. Dans ces différents cas, il pourra s'agir d' accidents purement névro- pathiques ou de maladies défini
lité des mesures exactes en radiothérapie a déterminé autrefois des accidents fréquents entre les mains d'opérateurs peu prév
accidents fréquents entre les mains d'opérateurs peu prévenus, (les accidents sont actuellement presque toujours évita- Irlcs
est, bien entendu, susceptible de déterminer ici comme ailleurs des accidents de radiodermite dans les cas d'applications trop
d'emblée ou trop répétées ; il est actuellement facile d'éviter ces accidents à la l'ois par la mesure exacte des doses, par le
87 l'affection d'origine traumatique (enfant de 1 ans. victime d'un accident d'automobile) se modifia à la suite de radiogra
nt des limites qu'il convient de ne pas dépasser; l'observa- tion d' accidents survenus avec des courants continus industriels m
nt avoir les lésions, d'après leur origine supposée. Dans des cas d' accidents du tra- [E. HUET.] g 56 ... ' - ' Li;);GTRO-D
GOITRE EXOPHTALMIQUE, ' , PARALYSIE AGITANTE, ETC. Hystérie. Les accidents pathologiques si nombreux et si variés créés pa
lectricité ont été appli- quées en médecine. On sait que beaucoup d' accidents morbides développés sous l'influence de l'hysté
lus ou moins nombre d'autres affections ; on sait aussi combien les accidents hystériques sont susceptibles d'être influencés
l'hystérie, nombre de faits pour- raient le démontrer. On a vu des accidents hystériques disparaître après des applications
sie de la peau, 1121. - Ecoulement du liquide. Inci- dents, 1122. Accidents , 1125. Résultats, 1124. - Thérapeutique dans
agnostic dans la - nerveuse, I 158. Cyto- diagnostic dans la-sans accidents ner- veux, 'Il ? - Vol. Stigmates. 1400 IND
99 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
s autres des impulsions ou des périodes d'excitation, pendant ces accidents et les jours qui suivent ils ne peuvent tra- va
nre. LXXXIV Construction des asiles d'aliénés. occasion de tant d' accidents , en un mot, qu'il fournira à 'lasile un véritab
se troublée par une chute d'un second étage au sixième mois, sans accidents consécutifs et, tout le temps par une tendance
tions intellectuelles. - Diarrhée séreuse. - Salicylale de chaux, - Accidents pulmonai- res : Mort. Autopsie. Adhérences co
as d'acoidents 30 Epilepsie ; démence consécutive. nerveux, pas d' accidents scrofulcux, rougeole à 2 ans 1/2; aurait eu des
nts sur sa famille. Mère, rien de particulier. Grand-père maternel, accidents ner- veux mal déterminés. - 9rrièe-grand'mére m
philis, etc. - Mère, 60 ans, n'a jamais été malade, n'a jamais eu d' accidents nerveux. - Grand-père paternel, mort à 82 ans,
les yeux, et restait ainsi immobile pendant quelques minutes ; ces accidents se seraient renou- velés 3 ou 4 fois. - En nove
maladies qu'a eues l'enfant, surtout les maladies infectieuses, les accidents scro- fuleux et les convulsions ou autres manif
es- sita l'enveloppement ouaté pendant deux mois. III. Ces divers accidents ont eu pour conséquence l'idiotie complète et u
sses, pas de stertor, pas d'écume ni de morsure de la langue. Aucun accident post-épileptique, pas de folie, etc. Quelquefoi
- luche il 7 mois ; - vacciné à trois semaines avec succès. Pas d' accidents scrofuleux, pas de gourme, pas de dartres, etc.
et épilep- tique. - Deux oncles, excès de boisson. - Mère, aucun accident nerveux. Consanguinité (cousins-germains). Diff
Une tante pater- nelle a six enfants, ne présentant également aucun accident nerveux. - Un oncle maternel en bonne santé, cé
sept premiers mois de 1897, elle a eu 42 accès et 30 vertiges. Les accidents comitiaux ont disparu dans le dernier mois de l
, elle paraissait absolument normale. - Pas d'autres maladies, ni d' accidents constatés. État actuel (Décembre). - Adipose pr
ée intermittente. Capsules de bromure de cam- phre : suspension des accidents épileptiques. - Absence 124 Antécédents PERSONN
t tous les mois. - [La famille du père ne présente absolument aucun accident morbide, digne d'at- tention.] Mère, 26 ans,
e maladie générale, contagieuse ou non. Il n'est pas vacciné. Aucun accident strumeux ; pas d'otite, ni d'ophtalmie; pas de
DIOTIE et épilepsie. 135 considérés comme devant faire craindre des accidents nerveux graves. Cependant, dès le premier mois
nce. Plusieurs séries d'accès. Mort en état de mal épileptique avec accidents Se2lcL0-111('n tngitt(jLleS AUTOPSIE. - Congest
es deux premiers enfants sont venus morts-nés et le troisième a des accidents oculaires dus à la syphilis héréditaire. Notre
nt ivre. Fume peu. - [Père, en bonne santé, n'a jamais présenté d' accidents nerveux ni de migraines, ainsi que sa mère, qui
Ses père et mère vivent encore ; ils n'auraient eu ni migraines, ni accidents nerveux. Il en serait de même de ses oncles et
pendant quelque temps. Mais nous manquons de détails sur les autres accidents nerveux qu'il a pu présen- ter. Deux mois après
ésumer ainsi : enfant normal jusqu'à 3 ans ; fièvre typhoïde avec accidents cérébraux, d'oit sclérose et arrêt de développe
rs ; n'aurait pas eu de convulsions de l'enfance, n'offrirait aucun accident nerveux, mais serait sujet il des poussées d'ec
otie. sesses et de l'allaitement sur la suspension cle ce genre d' accidents nerveux. Il y aurait là le sujet d'une thèse ou
100 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
01\S, 13A1\S ET IlI'DRtlT1·.IlAPII : . XXIII aux malades. De la des accidents auxquels il faut remédier et une augmentation d
ever les fragments d'os ou de tendons, susceptibles de produire des accidents , de couper les aliments en petits morceaux, de
s d'irritabilité nerveuse, survenue à la suite de fièvres graves, d' accidents méningitiques, de céphalées, de chorée, etc. Le
de maladie de peau. Mère, âgée de 71 à 72 ans, bien portante, sans accidents nerveux, sobre, laborieuse. Pas de renseignemen
on ne sait de quoi. Deux soeurs mariées avec les deux frères, sans accidents nerveux : l'une a deux enfants bien portants, l
le reste de la famille. ] Mère, 38 ans, très calme, n'a jamais eu d' accidents nerveux, sauf quelquefois des douleurs de tête;
morte en 1893, à 56 ans, d'une affection du coeur, n'a jamais eu d' accidents nerveux, a toujours été sobre. Grand-père pater
s, en bonne santé; l'autre est mort ily a 3 mois, à 6 ! t ans, sans accidents nerveux, avait trois de ses quatre enfants bien
au monde. Une tante paternelle, usée par le travail à 69 ans, pas d' accidents nerveux. Elle a eu un fils qui faisait des excè
dents nerveux. D. ux soeurs : l'aînée, âgée de 30 ans et demi, sans accidents nerveux, a eu deux enfants : une fille morte du
ture huit jours avant l'accou- chement ; pas d'émotion a- près l' accident . A eu lieu peut-être quel- ques jours avant t
te de toute influence extérieure, d'une affection acquise ou d'un accident de la vie intra-utérine ; d) ces caractères doi
Dieu, d'une hernie étranglée; il était sobre et n'avait jamais eu d' accidents nerveux, mais était rhumatisant. Il a une fille
les épileptiques, soit durant un accès, soit pendant les repas. Ces accidents sont dus à ce que certains malades mastiquent m
jours de suite. Jusqu'à l'âge de 4 ans, l'enfant n'a présenté aucun accident nerveux. A cet âge il fut mordu à la fesse par
epsie. Aucun accès du ICI' au 5 novembre, c'est-à-dire durant les accidents occasionnés par le corps étranger. Température
ralysie. Grand'mère maternelle morte à 76 ans de pleurésie, pas d' accidents nerveux; la mère de cette dernière est morte al
n renseignement n'est fourni sur les phénomènes qui ont précédé les accidents . L'enfant a eu deux hématémèses hier soir et tr
iodes d'amnésie, un arrière grand père et une arrière grand'mère, accidents cérébraux. Notons aussi un demi oncle et une de
i ophtalmie. La mère ne sait s'il a eu des vers. Il n'a jamais eu d' accidents scrofuleux. Jamais d'étour- dissements. Sommeil
des membres ; arrêt de développement de la tête, du front surtout. Accidents Mten ! 'n9 : < : 9t;es ; mort rapide. - Auto
ractère calme. - Sa mère, quarante-huit ans, n'au- rait jamais eu d' accidents nerveux et jouirait d'une bonne santé. Ses gran
n d'une voiture. Elle s'est évanouie et a perdu un peu de sang. Cet accident a occa- sionné une cicatrice de 3 centimètres :
ses règles étaient venues régulièrement. Quel- ques jours après cet accident , son mari est revenu en France pour affaires et
t en excellente santé. Ce qui semble dominer chez elle, ce sont des accidents hystériques, avec troubles intellectuels. Rappe
uivie d'une émotion vive et par des ennuis et des contrariétés. Cet accident , les inquiétudes morales, jointes à ce fait que
, excès de boisson. Grand'lante paternelle, très coléreuse, morte d' accidents cérébraux. Autre grand' tante paternelle morte
erforation crânienne congénitale. Thèse de Paris. Prime (J.). Des accidents toxiques produits par l'éosiaaate de sodium. Th
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