rale et le som- met à l'extrémité inférieure de la moelle épinière (
Fig
. 1). Le système du rhinencéphale unit l'écorce
ire et moyen qui limitent la capsule interne, en particulier dans
Fig
. 1. - Schéma du système des libres de projectio
microscopiques, colorées suivant les méthodes de Weigerf ou de Pal (
Fig
. 281 à 28G et 293, T. 1 p. 328 à Si-8 et 3GcJ).
et 293, T. 1 p. 328 à Si-8 et 3GcJ). Considéré dans son ensemble (
Fig
. 2), après dissociation de cerveaux durcis dans
mygdalien et la substance perforée antérieure(Voy. coupe sagittale,
Fig
. 281). Au point de vue de l'origine, de la dire
de ses cornes, et présentent un certain nombre de rapports communs (
Fig
. 3, 7, 10). Leur face interne recouvre les fibres
périeur et croisé par quelques fibres du faisceau occipito-frontal (
Fig
. 4, rOr) et par les radiations calleuses qui conv
atéral. 1. Segment antérieur de la couronne rayonnante. - (CII (a),
Fig
. 2, 3, 4,5,6,13, 14,18). Le segment antérieur d
verticales qu'elles se rapprochent davantage du segment moyen (Voy.
Fig
. 2 et G). Sur les coupes horizontales microscop
ur les coupes horizontales microscopiques de l'hémisphère cérébral (
Fig
. 3, 13 et 14) traitées par les méthodes de Weiger
sur les coupes horizontales. ' 6 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fig
. 3. - Segment antérieur de la couronne rayonnante
onro. Méthode de Wcigcrt. (Voy. description [de cette coupe T. le',
Fig
. 29, p. : il0.) AM, avant-mur. Ce( ? ), genou d
ut-être moins à la finesse qu'à la moindre abondance de ces fibres (
Fig
. 4). La dis- tinclion en couches externe et int
X. Son aspect sur les coupesvertico-trans- versales. calleux (
Fig
. 8) ; en arrière du genou, au niveau du pied de l
terne (fSgi) et de couche sagittale externe (fSge) du lobe frontal (
Fig
. 4). Sur les coupes microscopiques ve2-lico-1î,
calleux. Méthode de Weigert (voy. description de cette coupe T. 1 ?
Fig
. 280, p. S2j). Ce, corps calleux. - Oing, Cinq'
la partie orbitaire de la première circonvolution frontale (oF,), (
Fig
. 5 et Fig. 279, p. 522, T. le") ; son seg- ment
orbitaire de la première circonvolution frontale (oF,), (Fig. 5 et
Fig
. 279, p. 522, T. le") ; son seg- ment interne,
s fibres de projection de la première circonvolution frontale (F,) (
Fig
. 5), sectionnées presque paral- lèlement à leur
e sagittale interne, prennent la voie du faisceau occipito-frontal (
Fig
. et 6, OF + Pr), contournent la tète du noyau c
u faisceau occipito-frontal. 10 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fig
. 7. - Les segments supérieur et inférieur de la c
e circonvolution frontale et de l'opercule rolandique cas Moriceau (
Fig
. 137 et 140, p. t47);Voy. aussi cas Schweigoffer,
cas Moriceau (Fig. 137 et 140, p. t47);Voy. aussi cas Schweigoffer,
Fig
. 416 et 118, p. 134). Dans ces différents cas,
e du segment postérieur (Cip) voy. en particulier cas Schweigoffer,
Fig
. 116, p. 134). 2. Segment moyen ou supérieur de
. Segment moyen ou supérieur de la couronne rayonnante. (CR, CR(s),
Fig
. 2,6, 7, 9, 13, 19, 23). Les fibres du segment mo
ochet. Méthode de Weigert (voy. description de cette coupe T. leur,
Fig
. 286, p. o48). Alv, alveus. - Aile, avant-mur.
le segment postérieur ou lenliculo- optique de la capsule interne (
Fig
. 7) et de là dans le pied du pédoncule cérébral
) et de là dans le pied du pédoncule cérébral (voy. coupe sagittale
Fig
. 282). 3. Segment postérieur de la couronne ray
3. Segment postérieur de la couronne rayonnante. - (CR(p)RTh, Fli,
Fig
. 2, 6, 8, 9, 10, 13, -14, 15, 16). Le segment pos
de la cavité ventriculaire et se réfléchit autour de son plancher (
Fig
. 9). Dans la région occipitale (Fig. 8), il for
fléchit autour de son plancher (Fig. 9). Dans la région occipitale (
Fig
. 8), il forme un cône creux qui emboîte la corne
l'une externe, fortement colorée par la laque hématoxylinique [Fli (
Fig
. 8, 9 et 10)]; l'autre interne (RTh), plus pâle
carrefour ventriculaire, ces deux couches fusionnent en une seule (
Fig
. 10). Les fibres de projection de la couche sag
Segment inférieur de la couronne rayonnante. (CR(i)RTh,Fli,FT CSgt,
Fig
. 2, 6, 7, 11, 12, 26, 29, 30).- Le segment inféri
ayonnante que sa délimitation est impossible à établir à ce niveau (
Fig
. 6). Ce segment est tributaire des parties post
ibres de projection du lobe occipital (voy. cas Courrière, et Bras,
Fig
. 83, 84, 85 et 93, p. 112 et 120). Les fibres
ure le plancher et la paroi externe de la corne sphénoïdale (Vsph) (
Fig
. 7). Elles font suite aux couches sagittales ex
fibres sont plus antérieures et plus voisines du noyau amygdalien (
Fig
. 2, 6, 11, et 32). Arrivées au voisinage de la
erne. Méthode de Weigert. (Voy. description de cette coupe, t. If",
Fig
. 292 p. 56'r.) A3[, avant-mur. C, cunéus. - CA,
rébral. Méthode de Weigert. (Voy. description de cette coupe, Lier,
Fig
.326, p. 637.) AU, avant-mur. AI], aqueduc de Sy
le putamen, puis longent la face inférieure du noyau lenticulaire (
Fig
. 7). Ainsi s'explique l'aspect si spécial que l
oyau amygdalien : on les voit se recourber en dedans et en arrière (
Fig
. 11, 28, 33 et T. 1, Fig. 297) et s'arrêter bru
voit se recourber en dedans et en arrière (Fig. 11, 28, 33 et T. 1,
Fig
. 297) et s'arrêter brusquement le long de la fa
ieure du putamen et de la moitié pos- térieure du noyau amygdalien (
Fig
. 11 et T. Ier, Fig. 297). Les coupes vertico-tr
de la moitié pos- térieure du noyau amygdalien (Fig. 11 et T. Ier,
Fig
. 297). Les coupes vertico-transversales montren
ntinuent avec le seg- ment sous-lenticulaire de la capsule interne (
Fig
. 7) ; sur les coupes horizontales obliques et p
coupes horizontales obliques et parallèles à la bandelette optique (
Fig
. 12, 31, 32, et T. 1 ? Fig. 325), on les voit d
s et parallèles à la bandelette optique (Fig. 12, 31, 32, et T. 1 ?
Fig
. 325), on les voit décrire une anse à convexité a
eur ou lenticule-optique (Cip) est par contre mat et foncé. T. le ?
Fig
. 224, 225, 226 et suiv. Sur les coupes vertico-
est de 25 à 30° au niveau du pied de la couronne rayonnante (pCR) (
Fig
. 17) et du segment antérieur de la capsule intern
us. izcl, pli cunéo-limbiqtic. 22 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fig
. 1 ? - Coupe horizon- tale passant par la régio
u voisinage du segment postérieur de la couronne rayonnante (CSgt) (
Fig
. 4 ï). Cette inclinaison de la capsule interne
que de la capsule interne(Cip)sur les coupes vertico-transversales (
Fig
. 17), permettent de diviser la capsule interne
(Cisl) et la branche commune par le pied du pédoncule cérébral (P) (
Fig
. -17). La division de la capsule interne en rég
rcation nette. Il n'en est pas de même sur les coupes horizontales (
Fig
. 18). Sur toutes les coupes horizontales qui pa
egments du globus pallidus (NL2, NL,), l'angle du genou s'accentue (
Fig
. 18); il incline d'au- tant plus vers l'angle d
rieure. Méthode de Weigert (voy. description de cette coupe, T. 1 ?
Fig
. 282, p. 532). ,4m, avant-mur. AU', avant-mur d
e substance grise appartenant à la zone réticulée du thalamus (Zr) (
Fig
. 47, p. 68). Quant au segment sous-lenticulaire
. Segment antérieur ou lenticulo-caudé de la capsule interne (Cia) (
Fig
. 2, 3, G, 13, ·1 ? 19, 20, 21, 23, il, 43, 47). -
aucune connexion avec le segment postérieur de la capsule interne (
Fig
15, 24, 28, 33). Dans leur trajet à travers le
re la région an- térieure et basale de la tête du noyau caudé (NC) (
Fig
. 213 et 281, T. 1er), la partie moyenne de la c
281, T. 1er), la partie moyenne de la commissure antérieure (coa) (
Fig
. 19, 244, T. 1er) et les fibres les plus antéri
s fibres les plus antérieures de l'anse du noyau lenticulaire (Al) (
Fig
. 23). Elles sont en outre dissociées et entourées
s de substance grise qui relient la tête du noyau caudé au putamen (
Fig
. 19, 20). Entre le noyau caudé et le globus pal-
e interne (CILb) (l' i. 1J). Genou de la capsule interne (Ci[g]) (
Fig
. 14, 21, 22, 23, 42, 43, 47). Le genou de la ca
e d'un segment de sphère, et le genou n'existe pour ainsi dire pas (
Fig
. 20). Ces coupes in- téressent en effet bien pl
rieures. Sur les coupes qui passent par le tiers moyen du thalamus (
Fig
. 21), le genou de la capsule n'est formé que de
les coupes qui intéressent le tiers inférieur de la couche optique (
Fig
. 22), l'on voit à découvert l'extrémité antérie
interne. Méthode de Weigert (voy. description de cette coupe T. leur,
Fig
. 306, p. 59 i). dlu, alveus. - AU, avant-mur.
o-transversales qui passent par l'extrémité antérieure du thalamus (
Fig
. 23); elles montrent les rapports du faisceau g
e la partie adjacente de l'opercule frontal (Voy. cas Schweigoffer (
Fig
. 116 à 122, p. 133 et suiv.), et que ses libres p
- Méthode de Wei- gert. (Voy. description de cette coupe, T. Leur,
Fig
. 283, p. 536.) Al, anse du noyau lenticulaire.
rne du pied du pédoncule cérébral (Voy. cas Rivaut, Racle, Richard,
Fig
. H2 il 162, 165 à 173, 213, p. 1,'il, 165, 197)
e la protubérance et dans la pyramide bulbaire (cas Schwei- goffer,
Fig
. 116 à 122, p. 133). 2. Segment postérieur ou l
ment postérieur ou lenticulo - optique de la capsule interne (Cip).
Fig
. 7, 13, 1 li., 15,16, po, 21, 22, 24, 26,28, 41,
dedans, les postérieures obliquement en bas, en dedans et en avant (
Fig
. 6). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE
en avant (Fig. 6). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 35
Fig
. 24. - Le segment sous-lenticulaire et le segment
et le faisceau de Turck. (Voy. description de cette coupe T. ICI',
Fig
. 310, p.. 614.) Al, anse du noyau lenticulaire.
e (Th) et les trois segments du noyau lenticulaire (.fla, NL iNl,, (
Fig
. 7). La limite antérieure du segment postérieur
ieur (Cia) qui s'irradient dans l'extrémité antérieure du thalamus (
Fig
. 14-, 21). La limite postérieure est formée par l
rizontales qui passent par le tiers supérieur de la couche optique (
Fig
. 13, 20), sont très accusées sur celles qui passe
s accusées sur celles qui passent par ses tiers moyen et inférieur (
Fig
. 21, 43). Dans la région sous-thalamique (Fig.
s moyen et inférieur (Fig. 21, 43). Dans la région sous-thalamique (
Fig
. 21.), le segment postérieur de la capsule inte
s médials avec le noyau rouge (NH) et la capsule de ce noyau (CNU) (
Fig
. 28). Dans la partie moyenne de la région sous-
NU) (Fig. 28). Dans la partie moyenne de la région sous-thalamique (
Fig
. 24), le faisceau lenticulaire de Forci corresp
fibres du segment sous-lenticulaire de la cap- sule interne (Cisl) (
Fig
. 24 et 25). Ce contingent sous-lenticulaire abord
ptique. Méthode de Weigert (voy. explication de cette coupe T. ter,
Fig
. 32t, p. 651). AU, avant-mur. - Aq, aqueduc de
entre les segments postérieur et rétrolenticulaire (Cirl) et (Cip) (
Fig
. 47), puis entre le segment postérieur (Cip) et
e de substance grise apparte- nant à la zone réticulée du thalamus (
Fig
. 25). Par son aspect, ce con- tingent se distin
ur (Cip) qui traversent la région thalamique de la capsule interne (
Fig
. 24, 28, 47). Celles-ci sont en effet sectionné
jusque dans les régions supérieures du pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 25). Il s'agit, en effet, ici de fibres à dire
stérieur de la capsule interne (Cip) de la région sous- thalamique (
Fig
. 25) n'est donc pas l'équivalent du segment posté
s l'équivalent du segment postérieur (Cip) de la région thalamique (
Fig
. 21). Il représente ce dernier segment, plus le
plus ou moins volumineux traverse en diagonale la capsule interne (
Fig
. 7, p. 10). Il se dirige obliquement de haut en
nent aux radiations strio- thalamiques : dans la région thalamique (
Fig
. 21), elles proviennent en grande partie des fi
s le noyau externe du lhalamus. Dans la région .so2.v-tlalazziqztc (
Fig
. 24) elles sont fournies àlafois parles fibres ra
très grand nombre FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 39
Fig
. 26. - Les segments postérieur, rétro-lenticulair
noyau lenticulaire (Al) et le faisceau lenticulaire de Forel (FI) (
Fig
. 21, 28, 312, 323 et 321). Un grand nombre de f
laire. 3. Segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl). (
Fig
. 10, 14, 15, 20, 21, 25, 2G, 41, 43, 47, 48. -
au caudé (NC) et la partie recourbée de la queue (NC,) de ce noyau (
Fig
. 26). Le taenia semi-circularis le sépare de l'
Sur les coupes qui passent par le bord postérieur du putamen (nul,,
Fig
. 26), on se rend nettement compte des connexion
horizontales passant par les tiers supérieur et moyen du thalamus (
Fig
. 10 et 21), le segment rétro-lenticulaire de la c
tiers inférieur de la couche optique et la région sous-thalamique (
Fig
. 24), le segment rétro-lenticulaire (Cirl) est re
rtical. 4. Segment sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl). (
Fig
. 7, 12, 16, 25, 26, 27, 28, 29, 30,31, 32, 33).
riangulaire qui concourt à former la voûte de la corne sphénoïdale (
Fig
. 281, p. 309) : son sommet atteint en avant le
tsc) et par la partie recour- bée de la queue du noyau caudé (NC") (
Fig
. 281); sa face supérieure est recouverte par le
le faisceau temporo-thalamique d'Arnold. Le faisceau de Tiirck (FT)
Fig
. 25) occupe la partie postérieure du segment so
s genouillé interne (RCgi) et à la partie ven- trale du thalamus (
Fig
. 29, p. 30). Le faisceau le2zlo-o- thalamiq
nliculaire de la capsule interne (Cirl) qu'il croise à angle droit (
Fig
. 27, 29, 30 et coupe sagittale Fig. 281). 1 i
irl) qu'il croise à angle droit (Fig. 27, 29, 30 et coupe sagittale
Fig
. 281). 1 ic. z ? 7. - Figure schématique destin
rieure. - Méthode de Weigert (voy. description de cette coupe, T. le,
Fig
. 311, p. 618). z Al, anse lenticulaire. - 1lv
ce sur les coupes vertico-transversales et sagittales de la région (
Fig
. 29, 30 et 281) : la couche supérieure comprend
ieur de la couronne rayonnante jusqu'au pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 29 et 7). La couche inférieure est con- stitué
tituée par le faisceau temporo-thalamique d'Arnold (fTth), faisceau
Fig
. 30. - Le segment sous-lenticulaire de la capsule
r du faisceau tem- poro-thalamique d'Arnold partiellement dégénéré (
Fig
. 31), la courbe à convexité antérieure que décr
couches sagittales du segment inférieur de la couronne rayonnante (
Fig
. 32). Méthode de Weigert. Les zones dégénérées
ones dégénérées sont colorées en jaune (voy. Cas Courrière, p. 108,
Fig
. 80 à 86). Al, anse lenticulaire. - AU', partie
ncipnl.- FTth, faisceau temporo-thalamique d'Arnold, son irradiation (
Fig
. 31) dans le pulvinar. - ft, fibres tangentiell
semi- circularis et la partie recourbée de la queue du noyan caudé (
Fig
. 29, 30 et 2S1). Le segment sous-lenticulaire
s vertico-transversales qui intéressent le corps genouillé externe (
Fig
. 30), que le faisceau temporo-thalamique attein
s à la bandelette optique, (fin. 12, 31, 32, cas Courrière et Bras,
Fig
, 93, p. 108 a 120) on constate | nettement que
té antérieure correspond à la partie externe du noyau amygda- lien (
Fig
. 31 et 32). Le faisceau temporo-thalamique ne rel
es deuxième et troisième circonvolutions temporales (cas Neumann,
Fig
. 135, p. 144) et ne dégénère ni à la suite de lés
NCULE CÉRÉBRAL. VOIE PÉDONCULAIRE Le pied du pédoncule cérébral (P,
Fig
. 12, 25, 33, 34, 35, 36, i) fait suite il la ré
eau (T. ICI' p. 577), sectionnent le pied du pédoncule obliquement (
Fig
. 33) : La partie antérieure de sa surface de se
embrassée par les libres horizontales de l'anse lenticulaire (Al), (
Fig
. 33 et 44) qui se portent en arrière, dans la r
on de la voie pédonculaire. Sur les coupes un peu plus inférieures (
Fig
. 34), intéressant l'émergence même du bord inte
uge. - Méthode de Weigert. (Voy. description de cette coupe T. le',
Fig
. 312, p. 622.) Al, anse du noyau lenticulaire.
iacomini. - Méthode de Weigert (voy. description de cette coupe Ti,
Fig
. 314, p. 629). Alv, alvéus. - AU, avant-mur. -
t le pied du pédoncule cérébral perpendiculairement à sa direction (
Fig
. 12, 25, 48). Il s'y présente sous (l'aspect d'un
che dorsale du pied du pédoncule cérébral (Flechsig). (Stri el PLp,
Fig
. 35.) Du stratum inlermedium et en particulier
pied à la calotte, le pes lemniscus de Meynert et de Flechsig (PLp,
Fig
. 35). L'étude des dégénérescences récentes, tra
de des dégénérescences récentes, traitées par la méthode de Marchi (
Fig
. 37 et 38), montrent qu'il s'agit ici de véritabl
e détacher du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule (PLs,
Fig
. 38), se diriger obliquement en bas et en dedan
rtie interne du ruban de Reil médian. Plus bas, elles rentrent dans
Fig
. 35. - Le pied du pédoncule cérébral, sa couche i
du pédon- cule cérébral passant au-dessous de la coupe précédente (
Fig
. 3o) et sectionnant les fibres protubéranhelles
a toujours aux confins de la région sous-optique (cas Schweigoffer,
Fig
. 120, p. 136), en dedans de ce faisceau dégénéré,
correspondante du locus niger (Ln), du pes lemniscus profond (PLp,
Fig
. 37) et du pes lemniscus superficiel (PLs, Fig. 3
niscus profond (PLp, Fig. 37) et du pes lemniscus superficiel (PLs,
Fig
. 38). (Méthode de Marchi.) Cette dégénérescence
aîné une hémiplégie gauche. Dans la région pédonculaire supérieure (
Fig
. 39), la zone dégénérée occupe la partie moyenne
yenne du pied du pédoncule; dans la région pédonculaire inférieure (
Fig
. 40), elle s'étale à la surface du faisceau inter
culaire commun. il exisle un pes lemniscus superficiel (cas Cogery,
Fig
. 177, p. 175), on verra sur les coupes voisines
les dé- générescences récentes traitées par la méthode de Mardi ! (
Fig
. 37 et 38). Elles permettent d'interpréter la t
moyen du pied du pédon- cule cérébral, telles que le cas Bizaguet (
Fig
. 39 et 40). Dans ce cas, la zone dégénérée (P(c
ion pédonculaire supérieure la partie moyenne du pied du pédoncule (
Fig
. 39); elle est limitée en dedans et en dehors p
orte en dedans, s'étale à la surface du faisceau interne sain (P') (
Fig
. 40) et le refoule dans la profondeur du pied du
rieures de la protubérance, en particulier au 1--iiia pontis (Tpo,
Fig
. 33, 36, 337, 351, 361), et ne doivent être con
i s'irradient dans la couche optique et forment les fibres radiées (
Fig
. 41). Pour la commodité de la description, on a
es des noyaux interne et externe du thalamus (cas Moriceau, p. 149,
Fig
. 137 et 140); les lésions des circonvolutions r
t pariétales (cas Scheule, Naudin, Heudebert, Schweigoffer, p. 128,
Fig
. 106 à 128) déterminent la dégénérescence du no
Sylvius. Les lésions du lobe pariétal (cas Jouan, Leu- dot, p. 121,
Fig
. 96 à 105), retentissent sur la partie postérieur
thalamus; celles du lobe occipital (cas Courrière et Bras, p. 108,
Fig
. 80 à 95) sur le pulvinar; celles du lobe tempora
du lobe temporal (cas Heu- debert, Le Seguillon, Neumann), p. 137,
Fig
. 12 à 136) sur la partie ventrale et externe de
miques antérieures, pédoncule antérieur de la couche optique) PaTh,
Fig
. 3, 14, 20 à 23, 41, 12, 43. - Les fibres cortico
l'opercule frontal et de l'opercule rolandique (voy. cas Moriceau,
Fig
. 139 et 140,rp. U7, cas Schweigoffer, Fig. 116 à
dique (voy. cas Moriceau, Fig. 139 et 140,rp. U7, cas Schweigoffer,
Fig
. 116 à 122, p. 134); elles passent par les segm
opto-slrié [veine du corps strié, et taenia semi-circularis ([se)] (
Fig
. 41) et entrent dans la constitution du stratum
rface libre du thalamus et en particulier son noyau antérieur (Na) (
Fig
. 20 et T. I°r, Fig. 303, 305) ; 2° Les suivante
amus et en particulier son noyau antérieur (Na) (Fig. 20 et T. I°r,
Fig
. 303, 305) ; 2° Les suivantes entourent le noya
nt le noyau antérieur (Na) des noyaux externe (Ne) et inlerne (Ni) (
Fig
. 41 et T. ICI', Fig.30t, 305); 3° Les autres
r (Na) des noyaux externe (Ne) et inlerne (Ni) (Fig. 41 et T. ICI',
Fig
.30t, 305); 3° Les autres fibres cortico-thalami
émité antérieure du thalamus dont elles forment les fibres radiées (
Fig
. 42). Elles croisent le faisceau de Vicq d'Azyr (
ue pourquoi, sur FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 61
Fig
. 42. - Coupe sagittale des ganglions de la base e
'1, nerf moteur oculaire externe. les coupes vertico-transversales (
Fig
. 323, p. 324, T. 1er), intéressant la moitié an
oyennes ou supérieures, pédoncule supérieur de la couche optique.) (
Fig
. 7, 26.) Les fibres cortico-thalamiques moyenne
arties adjacentes des lobes frontal et pariétal. (Voy. cas Scheule,
Fig
. 106 à 112, p. 129, cas Naudin, Fig. 113 à 115, p
et pariétal. (Voy. cas Scheule, Fig. 106 à 112, p. 129, cas Naudin,
Fig
. 113 à 115, p. 132, cas Heudebert, Fig. 191 Ù 1
6 à 112, p. 129, cas Naudin, Fig. 113 à 115, p. 132, cas Heudebert,
Fig
. 191 Ù 128, p. 138, cas Schweigoffer, Fig. 116
5, p. 132, cas Heudebert, Fig. 191 Ù 128, p. 138, cas Schweigoffer,
Fig
. 116 il 122, p. 134). Intimement mélangées aux
a hauteur et toute l'étendue autéro-postérieure de sa face externe (
Fig
. 7). Elles se comportent absolument comme les fib
semi- lunaire de Flechsig (NF), autour desquels elles se terminent (
Fig
. 43). En raison de leur direction, les coupes v
que de haut en bas, explique pourquoi, sur les coupes horizontales (
Fig
. 41), le noyau externe de la couche optique est t
issement de 12 diamètres. (Voy. description de cette coupe, T. 1er,
Fig
. 307, p. 601.) Alv, alvéus. - AU, avant-mur. -
dale. - Il, bandelette optique. moitié supérieure du noyau externe (
Fig
. 21 et T. le., Fig. 301, 305), diminue dans la
tte optique. moitié supérieure du noyau externe (Fig. 21 et T. le.,
Fig
. 301, 305), diminue dans la moitié inférieure d
le., Fig. 301, 305), diminue dans la moitié inférieure de ce noyau (
Fig
. 1a3, 7 et Fig. 7) ; l'obli- quité des fibres r
305), diminue dans la moitié inférieure de ce noyau (Fig. 1a3, 7 et
Fig
. 7) ; l'obli- quité des fibres radiées est, en
ons optiques de Gratiolet, pédoncule postérieur du thalamus). PpTh,
Fig
. 10, 14, 15, 16, 20, 21, 24, 33, 41, 43). - Les
, du gyrus supra-marginalis et du pré- cunéus. (Voy. cas Courrière,
Fig
. 80 à 86; cas Bras, Fig. 87 à 95 ; cas Dautrich
lis et du pré- cunéus. (Voy. cas Courrière, Fig. 80 à 86; cas Bras,
Fig
. 87 à 95 ; cas Dautriche, Fig. 92 à 96; cas Jou
as Courrière, Fig. 80 à 86; cas Bras, Fig. 87 à 95 ; cas Dautriche,
Fig
. 92 à 96; cas Jouan, Fig. 96 à 100; cas Leudot,
6; cas Bras, Fig. 87 à 95 ; cas Dautriche, Fig. 92 à 96; cas Jouan,
Fig
. 96 à 100; cas Leudot, Fig. 101 à 105; cas Le S
as Dautriche, Fig. 92 à 96; cas Jouan, Fig. 96 à 100; cas Leudot,
Fig
. 101 à 105; cas Le Seguillon, Fig. 129 à 133.) El
Jouan, Fig. 96 à 100; cas Leudot, Fig. 101 à 105; cas Le Seguillon,
Fig
. 129 à 133.) Elles font partie intégrante des c
substance grise du pulvinar dont elles forment les fibres radiées (
Fig
. 43). 4. Fibres cortico-thalamiques inférieures
-inlerne de la couche optique. 1. Les fibres destinées au pulvinar (
Fig
. 12, 26, 30, 31, 32) sont origi- naires des tro
tion de l'hippocampe (II) et du lobe occipital. Voy. cas Heudebert (
Fig
. 124 a 128, p. 140); cas Courrière (Fig. 80 à 8
ital. Voy. cas Heudebert (Fig. 124 a 128, p. 140); cas Courrière (
Fig
. 80 à 86, p. 108); cas Bras (Fig. 87 il 95, p
4 a 128, p. 140); cas Courrière (Fig. 80 à 86, p. 108); cas Bras (
Fig
. 87 il 95, p. 114); elles passent par le segm
te et le segment sous-lenticulaire cle la capsule interne (Cisl) (
Fig
. 29 et 30). Les unes suivent le trajet du fai
rne après avoir traversé le champ triangulaire de Wernicke (W) (
Fig
. 31 et 32). 2. Les fibres qui forment le pédo
s qui forment le pédoncule inféro-in- terne du thalamus (PiTh) (
Fig
. 33,44, 45, 46) ne pas- sent pas parle segment
t faire suite à la couche sagittale interne du lobe temporal. (RTh,
Fig
. 44 et 23). De là, elles se portent en avant et e
oyau amygdalien (NA) et la partie morcelée de l' avant-l1wl' (AM') (
Fig
. 23), parcourent en diagonale toute la substance
le toute la substance innominée sous-lenticulaire de Reichert (Sti (
Fig
. 44) et sont renforcées à ce niveau par des fib
e du lobe frontal. Arrivées au voisinage du troisième ventri- cule (
Fig
. 43), les libres du pédoncule inféro-interne de l
ent être suivies jusqu'au voisinage du ganglion de l'habenula (Gh) (
Fig
. 45). Dans son trajet à travers la substance in
jet à travers la substance innominée sous-lenticulaire de Reichert (
Fig
. 46) le pédoncule inféro-interne de la couche opt
générescences secondaires montre (Voy. cas Bras, hémisphère gauche,
Fig
. 93) qu'elles occupent dans le segment postérie
ossissement de 12 diamètres. (Voy. description de cette coupe T. Ier,
Fig
. 308, p. 60G.) Alv, alvéus. - AU, avant-mur.
r, fibres c'ortico- quadrigézzzinales, affectent un trajet sinueux (
Fig
. 47). Elles passent au- dessus et en avant du c
t dans la couche moyenne du tubercule quadrijumeau antérieur (RQa) (
Fig
. 169, cas Racle, Fig. 147, cas Rivaut, côté sain
nne du tubercule quadrijumeau antérieur (RQa) (Fig. 169, cas Racle,
Fig
. 147, cas Rivaut, côté sain et T. ter, Fig. 320
a) (Fig. 169, cas Racle, Fig. 147, cas Rivaut, côté sain et T. ter,
Fig
. 320, p. 6H). Elles représentent les radiations l
se- ment de 12 diamètres. (\'oy. description de cette coupe T. Ier,
Fig
. 322, p. 61-d.) AU, avant-mur. - Aq, aqueduc de
genouillé interne, profon- dément enclavée dans la couche optique (
Fig
. 47 et 48). Elles persistent intactes dans les
ntactes dans les lésions de la sphère visuelle (Voy. cas Courrière,
Fig
. 82) et dans les lésions du lobe pariétal (cas He
ière, Fig. 82) et dans les lésions du lobe pariétal (cas Heudebert,
Fig
. 121., Leudot, Fig. 103) et grâce à la dégénére
ans les lésions du lobe pariétal (cas Heudebert, Fig. 121., Leudot,
Fig
. 103) et grâce à la dégénérescence du segment rét
au assez compact (bras du tubercule quadrijumeau pos- térieur BrQp,
Fig
. 18), qui passe en avant du corps genouillé inter
Reil; il s'accole ensuite à la partie postérieure du ruban de Reil (
Fig
. 48), dont il se distingue par le trajet horizont
on du tubercule quadrijumeau postérieur, dans lequel il se termine (
Fig
. 44). Il est recouvert dans une partie de son tra
rale, en particulier, de la corticalité pariétale (Voy. cas Pradel,
Fig
. G9, 70, 71, 72, cas Leudot, Fig. 101.). L'or
calité pariétale (Voy. cas Pradel, Fig. G9, 70, 71, 72, cas Leudot,
Fig
. 101.). L'origine corticale et le trajet des ra
artie sous-sylvienne ou temporale en occupent le cinquième externe (
Fig
. 49). On peut donc, pour la commodité de la descr
ontal, c'est-à-dire de la zone motrice facio-I)ha-y21go-Ici,yiègée (
Fig
. 236). Elles passent dans la région thalamique
ie interne du pied du pé- doncule cérébral. (Voy. cas Schweigoffer,
Fig
. 116 à 122.) Le plus grand nombre de ces fibres
nution de volume toujours très appréciable de la pyramide bulbaire (
Fig
. 121 et 122, p. 136, cas Schweigoffer). Dans so
sous-optique), par les fibres de l'anse du noyau lenticulaire (Al) (
Fig
. 33, 120) et du pédoncule du tubercule mamillai
(Al) (Fig. 33, 120) et du pédoncule du tubercule mamillaire (PTml) (
Fig
. 3-) ; en bas (au voisinage immédiat de la prot
immédiat de la protubérance), par les fibres du lænia pontis (Tpo) (
Fig
. 35, 36, 337, 351 et tGi.), c'est-à-dire par le
t ne s'effectue qu'au voisinage immédiat de la prote- bérance (Voy.
Fig
. 3 -i0). Le faisceau interne du pied du pédoncu
e cérébral dégénère à la suite de lésions de l'opercule rolandique (
Fig
. 116 à 122, cas Schweigoffer) et après les lési
ieure du segment antérieur de la capsule interne (Cia) (cas Cogery,
Fig
. 174 à 180); dans ce dernier cas le faisceau geni
a capsule interne (Cia) respectent le faisceau geniculé (cas Racle,
Fig
. 165 à 173), et, partant, ne déterminent pas la
erne (Cip), situées immédiatement en arrière du genou (cas Séjalon,
Fig
. 181 et 182, cas Jouan, Fig. 97 à 100, cas Carr
ement en arrière du genou (cas Séjalon, Fig. 181 et 182, cas Jouan,
Fig
. 97 à 100, cas Carré, Fig. 186 à 188), respecte
(cas Séjalon, Fig. 181 et 182, cas Jouan, Fig. 97 à 100, cas Carré,
Fig
. 186 à 188), respectent le faisceau interne du pi
res saines, disposées en fascicules lâches et obliques (cas Rivaud,
Fig
. 150; cas Richard, Fig. 231), qui s'épuisent ch
n fascicules lâches et obliques (cas Rivaud, Fig. 150; cas Richard,
Fig
. 231), qui s'épuisent chemin faisant dans le locu
e faisceau interne du pied du pédoncule cérébral. (Voy. cas Rivaud,
Fig
. 142 à 162, p. 151 et suiv.) Tous les cas ne so
u pied du pédoncule cérébral et intégrité complète des corps striés
Fig
. 66 à 78, p. 100) démontre d'emblée que ces fibre
peuvent avoir une origine caudée ou lenticulaire. Le cas Mauriceau (
Fig
. 137 à 1 il, p. 14,) montre en outre qu'elles n
frontal, une importante zone motrice pour les mouvements des yeux (
Fig
. 240 et 241), et il n'y a rien d'étonnant à ce qu
aines, cette zone participât nettement à la lésion primitive. (Voy.
Fig
. 142 et 147.) Le cas Richard (Fig. 213 il 233)
nt à la lésion primitive. (Voy. Fig. 142 et 147.) Le cas Richard (
Fig
. 213 il 233) pourrait être invoqué en faveur de l
ème et troisième cinquièmes internes Au pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 49), et passent par la partie moyenne du segme
uième externe et sont limitées en dehors par le faisceau de Tiirck (
Fig
. t9). Les libres des trois cinquièmes moyens du
uban de Reil médian (Rm), en formant le pes lemniscus profond (Voy.
Fig
. 35, 3G, 37, 38). D'autres contournent parfois
ielle du pied du pédoncule et forment le pes lemniscus superficiel (
Fig
. 38, i.0). Mais la plupart des libres descenden
ORCE CÉRÉBRALE. 9 volume de la pyramide bulbaire (cas Schweigoffer,
Fig
. 116 à 122); et que les dégénérescences des tro
); et que les dégénérescences des trois quarts moyens (cas Scheule,
Fig
. 106 à 112) s'accompagnent toujours d'une dégén
de Burdach, les cordons postérieurs de la moelle au lobe occipital (
Fig
. 51). Pour Charcot, ce faisceau n'était jamais
ne. » (J. Dejerine, Illénz. Soc. Biologie, 1893.) (Yoy. cas Cogery,
Fig
. 4 ïG, p. 173; cas Dautriche, Fig. 192 à 19G.)
iologie, 1893.) (Yoy. cas Cogery, Fig. 4 ïG, p. 173; cas Dautriche,
Fig
. 192 à 19G.) La dégénérescence du faisceau de T
- symétrie appréciable de la pyramide bulbaire (voy. cas Neumann,
Fig
. 134 à 136), tandis que les dégénérescences du fa
tite diminution de volume de cette pyramide (voy. cas Schweigoffer,
Fig
. 122). Les dégénérescences des trois quarts moy
e d'une atrophie complète de la pyramide bulbaire (voy. cas Scheule,
Fig
. 112). Historique des fibres de projection de l
de fibres de projection. 84 zur ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fig
. i. - La constitution du tronc encéphalique, en p
orps strié envoyait les siennes dans le pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 50). Les fibres du noyau caudé (FC) et les fib
t t les fibres les plus internes du pied du pédoncule cérébral (CF,
Fig
. 1). La plupart des fibres de l'anse lenticulai
g du sillon médian antérieur. Quant aux autres fibres striées (Cbr,
Fig
. : il, coupe 1),les unes s'arrêtaient dans la sub
uaient dans le cordon latéral du côté opposé de la moelle épinière (
Fig
. 51). Outre le contingent strié qui occupait le
rnières occupaient la partie externe du pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 51, coupe 1, Cp), la partie externe de la pyra
formaient l'entre- croisement supérieur ou sensitif des pyramides (
Fig
. 51, coupe 5), puis se rendaient aux noyaux des
aux fibres du locus niger (pédoncule du locus niger de Meynert) (SS,
Fig
. 51, coupe 1), elles occupaient la couche profo
ECTION DE L'ÉCORCE CEREBRALE. 87 fibres pédonculaires indirectes (
Fig
. 0), c'est-à-dire se terminant dans l'épaisseur d
ule avec l'anse du noyau lenticulaire et avec le faisceau d'Arnold.
Fig
. 53. - La région pyramidale de la capsule inter
orsale ou supérieure. La couche ventrale comprend quatre faisceaux (
Fig
. 53) : . 1° Le faisceau externe (a), faisceau c
d au stratum intermedium de Meynert; elle est constituée en dedans (
Fig
. 53 (d) par les fibres du faisceau cortico-protub
fixer l'origine de ces fibres, au moins chez l'homme, - ont démontré (
Fig
. 49) : l°Que le pied du pédoncule cérébral ne c
dale du pied du pédon- cule cérébral, d'après Dejerine. (Yoy. aussi
Fig
.49,) Travaux de Dejc- rine sur l'origine ex
couche optique, et les faits que nous rapportons dans cet ouvrage (
Fig
. 66 à 141, p. 90 à 149) montrent une fois de pl
nt égale- ment chez l'adulte dès que la lésion est un peu ancienne (
Fig
. 55, cas Brichard, cas Dautriche, Fig. 192 à 19
a lésion est un peu ancienne (Fig. 55, cas Brichard, cas Dautriche,
Fig
. 192 à 194, p. 182). Nous savons enfin que les
une atrophie de la bandelette optique, ou du ruban de Reil médian (
Fig
. 57 et 58, cas Pichepin, voy. aussi cas Rivaud,
diminution de volume de la corne antérieure de la moelle épinière (
Fig
. 77 et 159). Les atrophies indirectes ou second
faisceaux de la voie pédonculaire respectés par la dégénérescence (
Fig
. 60, cas Bizaguet), ou le système de projection
de projection du rhinencéphale, en particulier le trigone cérébral (
Fig
. 61, cas Rivaud), mais encore toute la moitié cor
e la moitié correspondante de la calotte pédonculo-protubérantielle(
Fig
. ti0, cas Bizaguet; Fig.73 à 75, cas Pradel), l
te de la calotte pédonculo-protubérantielle(Fig. ti0, cas Bizaguet;
Fig
.73 à 75, cas Pradel), la moitié correspondante
aguet; Fig.73 à 75, cas Pradel), la moitié correspondante du bulbe (
Fig
. 76, cas Pradel ; Fig. 57, cas Pichepin; Fig. 1
s Pradel), la moitié correspondante du bulbe (Fig. 76, cas Pradel ;
Fig
. 57, cas Pichepin; Fig. 152, cas Rivaud) et la
rrespondante du bulbe (Fig. 76, cas Pradel ; Fig. 57, cas Pichepin;
Fig
. 152, cas Rivaud) et la moitié de la moelle épini
) et la moitié de la moelle épinière opposée à la lésion cérébrale (
Fig
. 77, cas Pradel; Fig. 157, 158, 159, cas Rivaud
moelle épinière opposée à la lésion cérébrale (Fig. 77, cas Pradel;
Fig
. 157, 158, 159, cas Rivaud). A topographie de l
à cet égard les cas d'hémiplégie cérébrale infantile (cas Pichepin,
Fig
. 56 à 59; cas Rivaud, Fig. 142 à 162) aux cas d
plégie cérébrale infantile (cas Pichepin, Fig. 56 à 59; cas Rivaud,
Fig
. 142 à 162) aux cas d'hémiplégies anciennes de l'
d'hémiplégies anciennes de l'adulte, cas Pradel, onze ans de durée (
Fig
. 66 a 78); cas Bizaguet, quinze ans de durée (F
nze ans de durée (Fig. 66 a 78); cas Bizaguet, quinze ans de durée (
Fig
. 60); cas Cogery, vingt-deux ans de durée (Fig. 1
quinze ans de durée (Fig. 60); cas Cogery, vingt-deux ans de durée (
Fig
. 178,179,180). Dans les cas d'hémiplégie cérébr
ire (im(a) et hémia- trophie en masse de la moitié droite du bulbe.
Fig
. 58 ? Coupe transversale delà VU3 i- icnepi 1 I
vicariante pour ainsi dire; très appréciable dans le cas Pichepin (
Fig
. 57 et 58), elle atteint un degré excessif dans
(Fig. 57 et 58), elle atteint un degré excessif dans le cas Rivaud (
Fig
. G2 et 63; voy. aussi les figures 1 il, 147 à 1
endu au voisinage immédiat du foyer primitif cortical et se réduira
Fig
. 59, - Cas Pichepin. fragments des couches intero
ant atrophiée. Double coloration. (Méthode de Weigert et Carmin.)
Fig
. 61. FiG. 60. Atrophie en masse de la calolte d
a partie moyenne du pied du pédoncule cérébral. (Cas Bizaguet, voy.
Fig
. 39, p. 55.) FiG. Gi. Atrophie en masse du pili
trigone dans un cas d'hémiplégie cérébrale infantile. (Cas Rivaud,
Fig
. 142 à 162, p. l : il et suiv.) L'atrophie porte
l médian dans un cas d'hémiplégie cérébrale infantile. (Cas Rivaud,
Fig
. 142 à 162, p. 150 et suiv.) (Colorai, au carmin)
Fie. 62 et 63. - Hypertrophie compensatrice de la voie pédonculaire (
Fig
. 62) et de la pyramide antérieure du bulbe (Fig
voie pédonculaire (Fig. 62) et de la pyramide antérieure du bulbe (
Fig
. 63) du côté sain dans un cas d'hémiplégie céré-
vec agénésie de la pyramide du côté lésé. (Cas Rivaud, voy. p. 151,
Fig
. 142 à 102.) Bibliothèque des Internes en Méd
ent dans le sens celluli- pète (voy. en particulier, cas Dautriche,
Fig
. 192, à 194, p. 182, lésion du segment rétro-le
du segment postérieur de la couronne rayonnante et le cas Brichard,
Fig
. 55 lésion protubérantielle, dégénérescence rétro
terne et interne; une partie du noyau rouge et du tubercule quadri-
Fig
. 6.i. - Irrigation vasculaire des circonvolutions
ules, le cylindre- axe et la gaine de myéline atrophies indirectes (
Fig
. 61). L'écorce retentit indirectement sur la pa
phasie datant de onze ans chez un vieillard mort à l'âge de 68 ans (
Fig
. 66 à 78) - représente en quelque sorte le cas
z un homme mort à 68 ans. Topographie de la vaste lésion corticale.
Fig
. 67. Cas Pradel. Hémiplégie droite avec contractu
es branches antérieure et moyenne de l'artère cérébrale antérieure (
Fig
. 65 et 79). La plaque jaune intéresse l'écorce
re étaient de volume normal comme aspect bien que réduit de volume (
Fig
. 67 et 68). FIG. 68. - Cas Pradel. Coupe horizo
(Cia), postérieur (Cip), rétro (Cirl) et sous lenticulaires (Cisl) (
Fig
. 67, 68, 69) ; une dégénérescence totale de toute
du pédoncule cérébral (P), y compris le stratum intermedium (Stri; (
Fig
. ' ? 0-7t); une dégénérescence totale des fibres
des fibres longitudinales de l'étage antérieur de la protubérance (
Fig
. 75); une dégénérescence totale de la pyramide bu
(Fig. 75); une dégénérescence totale de la pyramide bulbaire (Py) (
Fig
. 76) et des fibres directes et croisées que cette
ère, fibres pouvant être suivies dans toute [la hauteur de la moelle (
Fig
. 77) ; une dimi- nution de volume considérable
77) ; une dimi- nution de volume considérable du locus niger (Ln) (
Fig
. 71-74) et de la substance grise de l'étage ant
) et de la substance grise de l'étage antérieur de la pl'otuberanc«(
Fig
. 75), due en grande partie à la disparition du fe
fibres radiées des noyaux externe et interne du thalamus (Ne, Ni) (
Fig
. 67), du pulvinar (Pul) (Fig. G et. 68), des corp
terne et interne du thalamus (Ne, Ni) (Fig. 67), du pulvinar (Pul) (
Fig
. G et. 68), des corps genouillés externe et int
Fig. G et. 68), des corps genouillés externe et interne (Cge, Cgi) (
Fig
. 69-72), de la zone de Werniche (W) et une atroph
égéné- rescence de la partie antéro-supérieure du noyau rouge (NU) (
Fig
. 70-72) et de la partie supéro-externe de la ca
2) et de la partie supéro-externe de la capsule de ce noyau (CN13) (
Fig
. 69). Par contre, le corps strie (noyau caudé e
3), le globus pallidus (NL2, NI.)), la partie ventrale du thalamus (
Fig
. 67, 68), le centre médian de Luys (\m), le FiG
nérescence totale du pied du pédoncule cérébral. corps de Luys (
Fig
. G8-ï0) étaient intacts ou n'avaient subi qu'une
s) bien qu'atrophiés, ne participent nullement à la dégénérescence (
Fig
. G7 à 73); il en est de même du faisceau lentic
ule interne (Cip) dans les ré- gions thalamique et sous-thalamique (
Fig
. Gi à 70 et 78). En d'autres termes, toutes les
se de la capsule interne, conséquence directe de sa dégénérescence (
Fig
. 78). FiG. 70. - Cas Pradel. Région sous-thalam
ssocient le pied du pédoncule cérébral (comparez avec coupe normale
Fig
. 36). Remarquez sur toutes ces coupes l'atrophie
tronc encéphalique, ainsi que du locus niger. 2/1 grandeur nature.
Fig
. 75. - Cas Pradel. Coupe transversale de la protu
ié droite de la moelle. Méthode de Weigert 3/1 grandeur nature.
Fig
. 78. - Cas Pradel. Coupe horizontale du segment
-Com- parez cette coupe avec la région sous-optique du côté sain (
Fig
. 67), et avec la Fig. 161, p. 163, cas Rivaut,
oupe avec la région sous-optique du côté sain (Fig. 67), et avec la
Fig
. 161, p. 163, cas Rivaut, hémiplégie infantile;
ours sain, ni sur le segment postérieur de la capsule interne (Voy.
Fig
. 49). Le lobe occipital ne participe donc pas à l
tion cortico- bulbaires ou cortico-médullaires (voy. cas Courrière,
Fig
. 80 à 80, et cas Bras, Fig. 87 i à 95, p. 115).
u cortico-médullaires (voy. cas Courrière, Fig. 80 à 80, et cas Bras,
Fig
. 87 i à 95, p. 115). Les lésions du lobe occi
limbique (Voy. p. 278). Dans le cas Courrière (cécité verbale pure,
Fig
. 80-86), il s'agit d'une lésion de la pointe et
cunéus, l'écorce des lèvres des scissures calcarine et collatérale (
Fig
. 80) s'étendant en profondeur jusqu'à l'épendym
ier le faisceau longitudinal inférieur) et le tapetum de la région (
Fig
. 8G). Cette lésion a entraîné les dégénérescenc
paroi externe de la corne occipitale et du carrefour ventriculaire (
Fig
. 8B). Cette dégénérescence se poursuit d'une pa
llé externe (Cge) le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa) (
Fig
. 81 il 83). D'autre part elle se poursuit dans
t du plancher de la corne sphénoïdale jusqu'au noyau amygdalien (NA) (
Fig
. 83 à 8)); une partie des fibres dégénérées du
ibres longues 110 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. d'association) (
Fig
. 83), l'autre partie (fibres de projection) se re
u'elle concourt à former, dans la partie inférieure du pulvinar (Pul,
Fig
. 83 et 84). Le corps genouillé interne (Cgi), l
rck (FT), le pied du pédoncule cérébral (P) sont absolument normaux. (
Fig
. 82 à 85). 2° Une dégénérescence très intense
le faisceau inférieur du forceps postérieur du corps calleux (Fm') (
Fig
. 86). La dégénérescence du tapetum se continue
mort du malade. Dégénérescence du bourrelet du corps calleux. (Voy.
Fig
. 8G.) Ce cas a trait à un malade que l'un de no
rieure du bourrelet, en particulier le bec et le genou postérieurs (
Fig
. 8G). , 3° Une dégénérescence des courtes fibre
le est en partie masquée par le foyer de ramollissement récent (Rr,
Fig
. 86). FIG. 81. - Cas Courrière. - Cécité verbal
ibale pure. Coupes horizontales passant par la région sous-optique (
Fig
. 82) et par la partie inférieure de cette région
inférieure de cette région au voisi- nage de la bandelette optique (
Fig
. 83). Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature.
re de la région sous-optique au voisinage de la bandelette optique (
Fig
. 84) et par le pédoncule cérébral (Fig. 8a). Méth
ge de la bandelette optique (Fig. 84) et par le pédoncule cérébral (
Fig
. 8a). Méthode de Weigert. 3/2 gran- deur nature
pique et persistance de la réaction pupillaire. L'hémisphère droit (
Fig
. 88) présente la lésion la plus étendue : on cons
de quelques millimètres seulement. Les coupes vertico-transversales (
Fig
. 89) montrent que celte plaque a détruit les tr
he qui est dégénéré dans sa partie interne, inférieure et supérieure (
Fig
. 92). 2° Une dégénérescence très intense des co
les des segments postérieur et inférieur de la couronne rayonnante (
Fig
. 89). Au milieu des fibres dégénérées des couches
s segments rétro et sous-lenticulaires de la capsule intem- (Cirl) (
Fig
. 90), de la zone de Wernicke (W), du corps genoui
ébral, en particulier le faisceau de Turck sont absolument normaux (
Fig
. 91) : la bandelette optique est intacte, ainsi
e la capsule externe con- tiennent de nombreuses fibres dégénérées (
Fig
. 91). 3° Une dégénérescence des courts faisceau
gp)qui peut être sui- vie dans le corps etlepilier anteriell1'(Tga)(
Fig
. 90 et 91)jusque dans le tubel'Cllle 11la11lillai
usque dans le tubel'Cllle 11la11lillail'e. Sur l'hémisphère gauche (
Fig
. 87) il n'existe à la face interne du lobe occipi
a dégénérescence si intense du forceps major que présente la coupe (
Fig
. 92) est essentiellement constituée par les fibre
RALE. n9 qui doublent la paroi inférieure de la corne occipitale (
Fig
. 92) ; les fibres dégénérées se concentrent sur
à la hauteur de la deuxième circonvolution temporale et occupent la
Fig
. 92. - Cas Bras. Cécité corticale.7JemMp/t<i)'
nférieur, la partie externe des radiations thalamiques. La coupe (
Fig
. 93) très oblique en bas et en dehors et à peu pr
le au plan de section des ganglions de la base du cas Schweigoffer (
Fig
. 116) passe par la voûte de la corne sphénoïdal
ns ce cas une dégénérescence limitée bien que très intense du corps
Fig
. 93. - Cas Bras. Cécité corticale. - Hémisphère g
t intacte et le pied du pédoncule cérébral est parfaitement normal (
Fig
. 94 et 95). LOBE PARIÉTAL. - Les lésions du lob
auche. Coupes obliques en bas et en dehors passant par le thalamus (
Fig
. 91), la région sous-optique (Fig. 95), le pied
en dehors passant par le thalamus (Fig. 91), la région sous-optique (
Fig
. 95), le pied du pédoncule cérébral et la bande
éminés dans le seg- ment interne du noyau lenticulaire. L'un d'eux (
Fig
. 97) empiète sur le segment pos- térieur de la
cinquième interne du pied du pédoncule cérébral et du locus niger (
Fig
. 99, 100). Il existe enfin (Fig. 98) dans la pa
doncule cérébral et du locus niger (Fig. 99, 100). Il existe enfin (
Fig
. 98) dans la partie inférieure et postérieure de
pact du segment postérieur de la couronne rayonnante. Le cas Jouan (
Fig
. 96 à 100) en est un exemple très net. Il exist
intacte, dans le fond du foyer, la striai ion des couches sagittales (
Fig
. 96). Fin. 98. - Cas Jouan. Coupe horizontale u
iétale, qu'elles représentent les fibres de projection du pli courbe (
Fig
. 97 et 98). - Ces fibres peuvent être suivies.
pulvinar (Pul) et la paitie supérieure de la zone de Wernicke (W) (
Fig
. 97 et 98). Aucune fibre dégénérée ne se rend dan
donc que le pli courbe contient des fibres de projection, et qu'il
Fig
. 99 et 100. Cas Jouan. Monoplégie facio-linguale
es à la voie pédonculaire. Coupes passant par la partie supérieure (
Fig
. 99) et la partie inférieure (Fig. 100) du pédo
passant par la partie supérieure (Fig. 99) et la partie inférieure (
Fig
. 100) du pédoncule cérébral. Méthode de Weigert.
e. Lorsque la lésion du lobe pariétal est plus étendue (Cas Leudot,
Fig
. 101 à 105), lorsqu'elle intéresse toute la cir
ale ascendante, à la dégénérescence du pulvinar, de la partie supé-
Fig
. 101. - Cas Leudot. (Bicêtre 1890.) Plaque jaun
partie adjacente du segment rétrolenticulaire de la capsule interne (
Fig
. 102). Dégénérescences des couches sagittales e
artie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip,
Fig
. 102 et 103). Dans la région sous-thalamique (F
ule interne (Cip, Fig. 102 et 103). Dans la région sous-thalamique (
Fig
. 10) elle est refoulée en avant par les fibres du
menl le faisceau de Turck (FT); dans le pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 105), la dégénéres- cence se place en avant et
e dégénérescenc( de la partie antéro-supérieure du noyau rouge (NR,
Fig
. 103 et 104). Le lobe pariéta contient donc des
les passant par la région thalamique moyenne de la capsule interne (
Fig
. 102), la partie inférieure de la région jthala
interne (Fig. 102), la partie inférieure de la région jthalamique (
Fig
. 103) et la région sous-thalamique (Fig. 104). Mé
e de la région jthalamique (Fig. 103) et la région sous-thalamique (
Fig
. 104). Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature.
rescence partielle des radiations du corps genouillé interne (RCgi) (
Fig
. 103) et du corps genouillé interne (Cgi). Dégé
p) et la sépare du segment rétrolenticulaire de la capsule interne (
Fig
. 104). Bibliothèque des Internes en Médecine
dégénérées s'irradient dans la première cir- convolution temporale (
Fig
. 103); 3° du tapetum (Tap) qui envoie ses fibres
cinquième interne du pied du pédoncule 'cérébral (cas Schweigoffer,
Fig
. 116 à 122) ; clans une lésion du lobule paracent
volutions frontale (Fa) et pariétale ascendantes (Pa) (cas Scheule,
Fig
.100 à 112), elle occupera dans la région thalamiq
nterne et du bord interne du pied du pédoncule cérébral (Cas Naudin,
Fig
. 113 à 41a, cas Heudebert, Fit. 124 à 128). C'est
émité antérieure du thalamus qui sont dégénérées (cas Schweigoffer,
Fig
. 119); si elle occupe la partie postérieure du
thala- mus qu'il faut chercher les fibres dégénérées (cas Scheule,
Fig
. 108). Ce fait montre donc que dans le segment
upérieure des circonvolutions rolandiques. (Voy. dégénéres- cences,
Fig
. 102 à 117.) 130 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip,
Fig
. 107), delalame médullaire externe (Lme) etdes
tha- lamus dans la partie adjacente à la dégénérescence capsulaire (
Fig
. 108). Coupes hori- zontales passanl par la par
(Fig. 108). Coupes hori- zontales passanl par la partie supérieure (
Fig
. 107) et la partie moyenne (Fig. 108) de la rég
les passanl par la partie supérieure (Fig. 107) et la partie moyenne (
Fig
. 108) de la région tlialamique de la capsule in
sous-optique de la capsule interne (fin.109), les parties supérieure (
Fig
.110) et infé- rieure (Fig. 111) du pied du pédo
nterne (fin.109), les parties supérieure (Fig.110) et infé- rieure (
Fig
. 111) du pied du pédoncule cérébral et la partie
. 111) du pied du pédoncule cérébral et la partie moyenne du bulbe (
Fig
. 112). Dégénérescence du deuxième cinquième exter
égénéré dans les lésions de la zone rolan- dique (cas Schweigoffer,
Fig
. 417 et 118) et la dégénérescence intéresse, non
des circonvolutions frontale et pariétale ascendantes (cas Scheule.
Fig
. 106 à 112). - Les lésions du lobule paracentra
rd postérieur du putamen et rentrent ainsi dans la capsule interne (
Fig
. 107 et 108). Elles occupent la parlie postérieur
rieure de la circonvolution pariétale inférieure (Voy. cas Leudot) (
Fig
. 101 à 105). Le champ de dégénérescence du segm
ée (Zr) et à la partie adjacente du noyau externe du thalamus (Ne) (
Fig
. 108), puis aborde la région sous-thalamique delà
s aborde la région sous-thalamique delà cap- sule interne (Cip (d),
Fig
. 109) où il est refoulé en dedans et en avant par
andonne dans son trajet pédonculaire des fibres au locus niger (Ln). (
Fig
. 110 el 411). Dégénérescence très intense de la
es circonvolutions frontale et pa- riétale ascendantes (cas Naudin.
Fig
. 113 à 115).- Il s'agit dans ce cas d'un enfon-
la zone rolan- dique et déterminé une monoplégie brachiale droite (
Fig
. 113). Ici la dégénérescence capsulaire occupe
le interne (Cip) un siège plus antérieur que dans le cas précédent (
Fig
. 114). Il en est de même pour le secteur dégéné
e même pour le secteur dégénéré du pied du pédoncule cérébral (P). (
Fig
. If;j). Comme dans le cas précédent, il existe
s fibres radiées dans la partie du noyau externe du 'thalamus (Ne) (
Fig
. 1l4) adjacente à la dégénérescence capsulaire, e
énérescence capsulaire, et une dégénérescence du locus niger (Ln). (
Fig
. 115.) 3° Lésion du deuxième quart inférieur de
art inférieur de la zone rolandique. - Le cerveau du cas Heudebert (
Fig
. 124 à 128) présente deux lésions; l'une intéress
en airière du genou (Ci[g]) et siège dans la région sous- thalamique (
Fig
. 126) et dans le pied du pédoncule (P) à l'unio
P) à l'union du quart interne et des trois quarts externes optique (
Fig
. 127 et 128). Comme dans les cas précédents, on o
re dégénérée. 4° Lésion de l'opercule rolandique (cas Schweigoffer.
Fig
. 116 à 122). - Il s'agit dans ce cas d'une pore
DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 135 circonvolution frontale (
Fig
. 11 7) et empiétant d'un centimètre environ sur l
lvien paraissent intacts, mais les coupes vertico- transversales (
Fig
. 118) montrent que la lésion a détruit toutes
Coupes horizontales obliques en bas et en dehors section- nant (
Fig
. 119) la région thalamique et (Fig. 120) la r
as et en dehors section- nant (Fig. 119) la région thalamique et (
Fig
. 120) la région sous-thalami- que de la capsu
optique. Dans la région sous- thalamique de la capsule interne (
Fig
. 120) la zone dégénérée est limitée en dedans
e postérieure du segment antérieur de la couronne rayonnante (pCR) (
Fig
. 116), pénètre dans le segment antérieur de la ca
plus antérieure du segment postérieur (Cip) de la capsule interne (
Fig
. 119).Dans son trajet à travers le segment anté
antérieure des noyaux ex- terne et interne du thalamus (Ne, Ni) (
Fig
. 119). Dans la région sous-thala- mique (Fig. 1
u thalamus (Ne, Ni) (Fig. 119). Dans la région sous-thala- mique (
Fig
. 120,, le faisceau dégénéré occupe la partie an
uis forme le cinquième interne du pied du pédoncule cérébral (P) (
Fig
.121). La dégénérescence, très ma- nifeste à la
nce de volume que présentent dans ce cas les pyramides antérieures (
Fig
. 122). LOBE TEMPORAL. Les lésions isolées du lo
es circulatoires dans le domaine de l'artère cérébrale postérieure (
Fig
. 65, p. 99). Les lésions du lobe pariétal (artè
t de préfé- rence à la partie postérieure et supérieure de ce lobe (
Fig
. 123). Dans le premier cas (cas Heudebert, Fig.
périeure de ce lobe (Fig. 123). Dans le premier cas (cas Heudebert,
Fig
. 124 à 128) ce sont les 3e et 2' circonvolutions
ntérieure en rose, celui de l'artère cérébrale postérieure en vert.
Fig
. 124. - Cas Heudebert (Bicêtre, 1892). Aphasie to
faisceau de Turck. sont atteintes; dans le second (cas Le Seguillon,
Fig
. 129 à 133), ce sont le gyrus supra- marginalis
eudebert. Coupes horizontales passant par les régions tha- lamique (
Fig
.i2a) et sous-thalamique de la capsule interne (Fi
ns tha- lamique (Fig.i2a) et sous-thalamique de la capsule interne (
Fig
. 126) et par la partie supérieure du pédoncule
terne (Fig. 126) et par la partie supérieure du pédoncule cérébral (
Fig
. 127). 1° La lésion du lobe occipito-tempol'al
27). 1° La lésion du lobe occipito-tempol'al dont le foyer atteint (
Fig
. 125) l'épendyme ventriculaire au voisinage du
entraîné une dégénérescence des segments rétro-lenticulaire (Cirl) (
Fig
. 125 et 126) et sous-lenticulaire (Cisl), (Fig.
lenticulaire (Cirl) (Fig. 125 et 126) et sous-lenticulaire (Cisl), (
Fig
. 127) de la capsule interne, des fibres radiées e
Strz) de la partie postéro-supérieure du noyau externe du thalamus (
Fig
. 125) et du pulvinar (Pul, Fig. 126), de la zone
rieure du noyau externe du thalamus (Fig. 125) et du pulvinar (Pul,
Fig
. 126), de la zone de "Wernicke (W), du corps geno
(Qa). Dégénérescence du faisceau temporo-thalamique d'Arnold (Cisl,
Fig
. 127) et du faisceau de Tiirck (FT) dans son traj
(Fu), de la substance blanche de la pointe temporale, de l'insula (
Fig
. 12a et 126) et de la face orbitaire du lobe fron
l'insula (Fig. 12a et 126) et de la face orbitaire du lobe frontal (
Fig
. 127). Intégrité des radiations du corps genouill
ig. 127). Intégrité des radiations du corps genouillé interne. (RCgi,
Fig
. 126). Inté- grité de la commissure antérieure
du thalamus dans la région adjacente à la dégénérescence capsulaire (
Fig
. 125 et 126) et une dégénérescence du deuxième
scence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 127 et 128). Méthode de Weigert-Pal. 3/2 grandeu
dégénérescence du corps genouillé inlerne (Cgi). Le cas Heudebert (
Fig
. 42'r à 128) qui nous a déjà servi pour les local
es postérieure et moyenne des 2e et 3 cir- convolutions temporales (
Fig
. 124). Elle longe en haut la scissure parallèle
- ral, la couche épendymaire du plancher de la corne sphénoïdale (
Fig
. 127). Cette vaste lésion a entraîné une dégéné
ans cette région, comme dans les régions thalamiques de la capsule (
Fig
. 9 2 et 126), par des fibres saines ( ! le) qui
s fibres saines. Dans la région thalamique de la capsule interne (
Fig
. 123), le segment rétro-lenticu- laire (Cirl) s
de de Weigert. z ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. interne (R Cgi) (
Fig
. 126). Sur les coupes plus inférieures il occupe
eures il occupe le cinquième externe du pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 128). Il existe donc dans ce cas une dégénésce
les lésions du lobe occipital rapportées plus haut (cas Courrière,
Fig
80 à 83 et cas Bras, Fig. 87 à 9 : i, p. 109 à 12
pital rapportées plus haut (cas Courrière, Fig 80 à 83 et cas Bras,
Fig
. 87 à 9 : i, p. 109 à 121), il est permis d'affir
eure de l'insula (la), et dans la face orbi- laire du lobe frontal (
Fig
. 126 et 127). Il est probable que les petites z
tie de la dégénérescence du faisceau uncinatus. Cas Le Seguillon (
Fig
. 129 à 133) : il s'agit d'une lésion du pli cou
la partie inférieure de la circonvolution pa- riétale inférieure (
Fig
. 129), de la partie postérieure de la 1 ? circo
carrefour ventriculaire. La dégénérescence occupe dans ce cas (
Fig
. 130 et 131) la région rétro-lenticulaire de la
du pulvinar (Pul) dont les fibres radiées ont complètement disparu (
Fig
. 131) et l'extrémité supérieure de la zone de Wer
supérieure de la zone de Wernicke (W). Dans la région sous-optique (
Fig
. 132) le segment rétro-lenticulaire de la capsule
i correspond à la partie profonde du corps genouillé interne (Cgi) (
Fig
. 132). En dehors, elle se prolonge en avant du co
sule interne (Cirl) ; en dedans et sur les coupes plus inférieures (
Fig
. 133), elle intéresse le bras du tubercule quad
ons de la calotte et la partie supéro-posté- rieure du noyau rouge (
Fig
. 133). Une seconde zone de dégénérescence occup
s. Dégénérescence du pumnar ;W u) CL de la zone de w er- nicke (W.)
Fig
. 131). Cas Le Soguilloii. Plaque jaune du pli
nt par les régions thalamiques supérieure (fin.130) et moyenne (
Fig
. 131). La plaque jaune (Ram a) a sectionné le
de la commissure antérieure. Comparez à ce dernier point de vue la
Fig
. 132 avec le cas Leudot (Fig. 103 et 10 ! r) (com
Comparez à ce dernier point de vue la Fig. 132 avec le cas Leudot (
Fig
. 103 et 10 ! r) (commis- sure antérieure intact
et 10 ! r) (commis- sure antérieure intacte), et avec le cas Jouan (
Fig
. 98) dans lequel la commissure antérieure est d
scence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 133). Il existe en outre une dégénérescence de
tielle du locusniger (Ln), du stratum intermedium de Meynert (Stri) (
Fig
. 133), du faisceau uncinatus (Fu) (Fig. 132) et
termedium de Meynert (Stri) (Fig. 133), du faisceau uncinatus (Fu) (
Fig
. 132) et du faisceau longitudinal inférieur (Fli)
une particularité intéressante. Dans la région thalamique moyenne (
Fig
. 131) on voit, en effet, un faisceau sain se déta
que lorsque le lobe temporal est lésé (p. T9 et 80). Le cas Neuman (
Fig
. 134 à 136) a trait aune lésion isolée du lobe te
meau pos- térieur, et de la face superfi- cielle de ce tubercule (
Fig
. 135). Fig. 134, topographie de la lésion cor
érieur, et de la face superfi- cielle de ce tubercule (Fig. 135).
Fig
. 134, topographie de la lésion corticale. Fig.
bercule (Fig. 135). Fig. 134, topographie de la lésion corticale.
Fig
. 135, coupe dupédoncule cérébral. Fig. 136, c
hie de la lésion corticale. Fig. 135, coupe dupédoncule cérébral.
Fig
. 136, coupe des pyramides anté- rieures du bu
cipito- Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
Fig
. 137. - Cas Moriceau. Hémisphère gauche. Aphasie
, des noyaux externe et interne du thalamus (Ne et Ni). (Voy. aussi
Fig
. 138 et 141.) Cas Moriceau. Ra- mollissement
, jusque dans la face orbitaire du lobe frontal (cas Heudebert,
Fig
. 126 et 127). LOBE FRONTAL. Les lésions du lo
ei,co21vollitio ? Sfi-012tales(Fi et 1<'2) (cas Moriceau IL d.,
Fig
. 139 et 140) entraînent une dégénérescence au s
s de la troisième circonvolution frontale (F3) (cas Moriceau, IL g.
Fig
, 137, 138 et 141) sectionnent le plus souvent le
u thalamus et respectent elles aussi le pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 141). Dans ces deux variétés de lésion, le seg
a minceur de ses fascicules que par l'étendue des zones dégénérées.
Fig
. 111. - Cas Moriceau. Hémisphère gauche. Inté g
section du ses £ ! ment antérieur de la couronne rayonnante. (Voy
Fig
. 137 et 138.) Méthode de Weigert, 2/1 grandeu n
arqué ou longitudinal su- périeur, faisceau occipito-frontal (OF) (
Fig
. 137 et 140), et dans les lésions de Fa sur le
bec (Cc[r]) ou de la partie antérieure 'du tronc du corps calleux (
Fig
. 137 et 140). 3. Dégénérescences secondaires co
sont rares. Celles qui en occupent la partie supérieure (cas Racle,
Fig
. 165 à 173) empiètent en général sur la partie an
inférieure du segment antérieur de la capsule interne (cas Cogery,
Fig
. 174 à 180), intéressent en même temps, dans la r
sous-thalamique. Lorsque le faisceau du genou est lésé (cas Cogery,
Fig
. 174 à 180), la dégénérescence occupe la partie
de la couronne rayonnante qui est con- jointement lésé (cas Racle,
Fig
. 165 à 173), la dégénérescence siège en arrière
ions du segment postérieur de la capsule interne (Cip) (cas Rivaud,
Fig
. 142 à 162; cas Racle, Fig. 165 à 173; cas Cogery
de la capsule interne (Cip) (cas Rivaud, Fig. 142 à 162; cas Racle,
Fig
. 165 à 173; cas Cogery, Fig. 174 à 180; cas Car
as Rivaud, Fig. 142 à 162; cas Racle, Fig. 165 à 173; cas Cogery,
Fig
. 174 à 180; cas Carré, Fig. 186 à 188; cas Séjalo
; cas Racle, Fig. 165 à 173; cas Cogery, Fig. 174 à 180; cas Carré,
Fig
. 186 à 188; cas Séjalon, Fig. 181 et 182; cas J
cas Cogery, Fig. 174 à 180; cas Carré, Fig. 186 à 188; cas Séjalon,
Fig
. 181 et 182; cas James Fig. 183 à 185) détermin
one dégénérée en occupe le deuxième cinquième interne (cas Séjalon,
Fig
. 182; cas Carré, Fig. 188); les lésions de la p
pe le deuxième cinquième interne (cas Séjalon, Fig. 182; cas Carré,
Fig
. 188); les lésions de la partie moyenne du segm
générer la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral (cas James,
Fig
. 184); les lésions de la partie postérieure du se
ieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) (cas Carré,
Fig
. 186; cas Lavigne, Fig. 189) entraînent une dég
ieur de la capsule interne (Cip) (cas Carré, Fig. 186; cas Lavigne,
Fig
. 189) entraînent une dégénérescence du deuxième
segment sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl) (cas Cogery,
Fig
. 176 et 177). Les lésions exclusivement limitée
onséquent une dégénéres- cence du faisceau de Turck (cas Dautriche,
Fig
. 192 à 196). Ces considérations une fois posées
il. A. - Vaste lésion corticale et sous-corticale. Le cas Rivaud (
Fig
. 142 à 162) se rapporte à une lésion corticale et
rconvolution frontale (oFj), l'insula et la région rétro-insulaire (
Fig
. 142). Dans la profondeur, elle atteint l'épendym
rayonnante et détruit presque complètement son segment postérieur (
Fig
. 143 et 144). Cette lésion respecte les noyaux
ion respecte les noyaux gris centraux, en particulier le noyau caudé (
Fig
. 144) ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Hicau
nage du segment rétro- lenticulaire de la capsule interne (Cirl) (
Fig
. 147). La destruction du pied de la couronne ra
s existent sur les cou- pes qui passent au-dessus du noyau caudé (
Fig
. 143) CR); plus bas, elles s'accolent à la face
3) CR); plus bas, elles s'accolent à la face externe de ce noyau (
Fig
. 144 x, pCR), s'infléchis- sent ensuite et pass
sula de la région rétro-insulaire et de l'opercule sylvien droit (
Fig
. 142). Section des pieds des segments moyen e
pieds des segments moyen et antérieur de la couronne rayonnante (
Fig
. 143). Lacoupe ho- rizontale (Fig. 143) section
ieur de la couronne rayonnante (Fig. 143). Lacoupe ho- rizontale (
Fig
. 143) sectionne le tiers supérieur de l'hémisph
dans les tiers interne et moyen du pied du pédoncule cérébral (P) (
Fig
. 150) et s'épuisent dans le locus niger (Ln) et
udé. Méthode de Weigert. Même échelle (5/4 grandeur nature) que les
Fig
. 14.3, lra et 147. la capsule interne, n'étant
e interne, n'étant pas directement intéressé par la lésion primitive (
Fig
. 148 et 149), contient un très grand nombre de
u pédoncule (P) on trouve un faisceau de Tiirck (FT) très apparent (
Fig
. 150). Abstraction faite de ces rares fibres co
grité remarquable du noyau caudé et du putamen (com- parer la
Fig
. 145 avec le côté sain de la Fig. 144 dessiné
et du putamen (com- parer la Fig. 145 avec le côté sain de la
Fig
. 144 dessiné à la même échelle). Intégrité du
ur (Tgp) du trigone. externe et interne du thalamus (Ne, Ni) (
Fig
. t4a, 146). Les noyaux externe et interne du th
res radiées; le pulvinar, par contre, en est complètement dépourvu (
Fig
. 146), ce qui tient évidemment Fic. 147, 148, 1
tales passant par la partie inférieure de la région tha- lamique (
Fig
. lié7) et par la région sous-thalamique (Fig. 1
région tha- lamique (Fig. lié7) et par la région sous-thalamique (
Fig
. 148 et 149) de la capsule interne. Le foyer pr
ne. Le foyer primitif dont la topographie est très visible sur la
Fig
. 147 sectionne le bord postérieur du putamen, l
saines, en particulier le faisceau de' Turck (FT), abordent, sur la
Fig
. 149, la partie postérieure du segment postérie
ie secondaire très évidente du faisceau rétroflexe de Meynert (FM) (
Fig
. 147), du faisceau de Vicq d'Azyr ou mamillaire p
échelle (5/4 grandeur nature) que les Fi-. 143, 144,145 et 148; les
Fig
. 14G et 149, 3/2grandeurnature. 156 ANATOMIE
de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 157
Fig
. 150. - Cas Rivaud. Dégéné- rescence des quatre
primitif dans le segment rélro-lenticulaire de la capsule interne (
Fig
. 147). 2° Une dégénérescence des corps genouill
nt le noyau arqué. Les libres saines du pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 150) se sont toutes épuisées dans la substance
hie de la pyramide gauche. Méthode de Weigerl. 4/1 grandeur nature.
Fig
. 133. - Cas Rivaud. Coupe transversale du bul
le collet du bulbe et l'entre-croi- sement moteur des pyramides. La
Fig
. loi montre l'entre-croisement de la pyramide g
(Py a) borde le sillon médian antérieur, s'entre-croise (xPy) sur la
Fig
. 155 et envoie des travées névrogliques dans le
ière. Des fibres pyramidales homolatérales (fPyhl) aban- donnent (
Fig
. 136) la pyra- mide hypertrophiée; elles form
donnent (Fig. 136) la pyra- mide hypertrophiée; elles forment (
Fig
. 157) un petit fascicule compact qui, très ra
g. 157) un petit fascicule compact qui, très rapidement, se perd (
Fig
. 158) dans la masse des fibres du cordon laté
, nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 161 {Ln) (
Fig
. 150), du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) (
E. 161 {Ln) (Fig. 150), du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) (
Fig
. 149) et des fibres de la substance grise centr
de la substance grise centrale (Sgc) au voisinage de ce tubercule (
Fig
. 148 et 149); 3° Une dégénérescence presque com
e des quatre cinquièmes internes du pied du pédoncule cérébral (P) (
Fig
. 150), une atrophie très accusée de la substance
e très accusée de la substance grise antérieure de la protubérance (
Fig
. 131) et une agénésie complète de la pyramide bul
e (Fig. 131) et une agénésie complète de la pyramide bulbaire (Py) (
Fig
. 152 et 153); remplacée par un petit amas névrogl
le cordon latéral du côté croisé (faisceau pyramidal croisé) (xPy;
Fig
. 1;¡ ? puis disparaît rapi- dement sur les coup
1;¡ ? puis disparaît rapi- dement sur les coupes plus inférieures (
Fig
. 156 et 137); une autre partie, poursuivant son
g du sillon médian antérieur (faisceau pyramidal direct) (FPyd (a) (
Fig
. 156, 137, 158), disparaît à son tour sur des pla
faisceaux pyramidaux dégénérés (Comparer ce cas avec le cas Pradel,
Fig
. 77). Ce n'est que sur les coupes do la région ce
ire indirecte, il faut citer : Y atrophie du trigone cérébral (Tg) (
Fig
. 61, p. 94) et du faisceau de Vicq d'Azur (Fmp. F
cérébral (Tg) (Fig. 61, p. 94) et du faisceau de Vicq d'Azur (Fmp.
Fig
. 147 à 149), caractérisée, comme le sont toujou
ie secondaire des pédoncules cérébelleux supérieur (l'cs) et moyen (
Fig
. 150 à 9 : ;1); l'atrophie du ruban de Reil (Rm)
(Rm) dans son trajet pédoncu- laire, 1)rotubéi-anLiel et bulbaire (
Fig
. 149 à l : i2); Fatiophie des fibres arci formes
l (NCG) et de Burdach (\C13) du côté opposé iL la lésion cérébrale (
Fig
. 153). Cette atrophie est en tout comparable ce
(Fig. 153). Cette atrophie est en tout comparable celle du trigone (
Fig
. 61, p. 91). L'atrophie de ces différents faisc
nt postérieur de la région thalamique de la capsule in- terne de la
Fig
. 145, p. 154. Le segment postérieur de la capsule
r(présente dans toutes ses parties une légère diminution de volume (
Fig
. 155 à 159)'; c'est là un fail banal dans l'hémip
upérieure de la couche optique (pulvinar, noyaux externe et interne) (
Fig
. 1 15 et 46) et le développement presque normal
if) (Iviô. li7). Le corps strié (\C, NI ? NL3,) est de même normal (
Fig
. I i lit 147), bien qu'il participe a la diminuti
Forel [F1J etc.), et les fibres que le tænia semi-circularis (fisc) (
Fig
. 160) envoie il la couche optique. Contrairemen
orticales de l'adulte, même lorsqu'elles sont très anciennes, comme
Fig
. 161. - Cas Rivaud. Un fragment grossi de la part
rio-Ihalamiques les unes des autres. (Comparer cette figure avec la
Fig
. 78 du cas Pradel.) Méthode de Weigert- Pal. 10
omolatéral. 164 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. dans le cas Pradel (
Fig
. 78), les radiations strio-tlialamiclues et strio
es, serrés et parallèles, et forment presque une couche con- tinue (
Fig
. 161). A première vue le segment postérieur de la
érine, cette disparition est encore plus accusée (voy. cas Richard,
Fig
. 220). Chez l'adulte, par contre, les faisceaux d
aru, tout en occupant une étendue moindre que ce dernier (cas Pradel,
Fig
. 78). Le cas Rivaud est enfin remarquable par l
ire et médullaire (t''ig. H7 il 158). Au niveau du collet du bulbe (
Fig
. loi, 156 et 1G ? ) elle donne un faisceau pyrami
en arrière et en dehors, décapite la corne antérieure du même côté (
Fig
. 151, 156, 162) et se rend au cordon latéral de l
du même côté, où il se place en avant du col de la corne postérieure (
Fig
. lî). FIG. 162. - Cas Rivaud. Coupe passant par
capsule interne (FiG. 163) sur neuf coupes vertico-trans- versales (
Fig
. 16'r) passant par le segment antérieur (Cia) le
articipation du faisceau géniculé (Ci)g).- Le cerveau du cas Racle (
Fig
. 165 à 173) présente une lésion centrale dans l
lier d'un certain nombre d'arières lenticulo-striées externes (voy.
Fig
. 163 el ltii). La lésion a détruit le putamen e
en bas, en arrière et en dedans, passant par la partie supérieure (
Fig
. 165) et la partie moyenne (Fig. 166 et 167) de
, passant par la partie supérieure (Fig. 165) et la partie moyenne (
Fig
. 166 et 167) de la région thalamique de la capsul
gment antérieur de la capsule interne (Cia) complètement dégénérée (
Fig
. 165) apparaissent (Fig. 166 et 167) de gros fasc
psule interne (Cia) complètement dégénérée (Fig. 165) apparaissent (
Fig
. 166 et 167) de gros fascicules de libres saine
ure de la tôle du noyau caudé et de la partie adjacente du putamen (
Fig
. 169 et 170), irriguée par l'artère cérébrale ant
imité correspon- dant à la circonvolution postérieure de 'l'insula (
Fig
. 103) et à la lèvre sylvienne de l'opercule par
vant d'une lésion dans le domaine des artères lenticulo- striées (
Fig
. iG5-1G7), qui atteint la cortica- lité cérébra
e est masquée en grande partie par les radiations strio-luysiennes (
Fig
. 109 et 170), mais elle devient très manifeste, l
nifeste, lorsque ces fibres ont pénétré dans le corps de Luys (CL) (
Fig
. 171). Intégrité partielle du faisceau géniculé (
des fibres radiées des régions antérieure et ventrale du thalamus (
Fig
. 169), du faisceau lenticulaire de Forel. La Fi
trale du thalamus (Fig. 169), du faisceau lenticulaire de Forel. La
Fig
. 1G9 permet de suivre, en outre, le trajet des ra
fibres anté- rieures du trigone, un faisceau 'aberrant (fTga) (
Fig
. 167) qui . passe en avant de la commissure a
(Fig. 167) qui . passe en avant de la commissure anté- rieure (
Fig
. 169). Il est situé au voisinage de la bandel
st situé au voisinage de la bandelette diagonale de Broca (bd) (
Fig
. 170 et 171), sur les côtés de la lame termin
du pilier antérieur (Tga) aborde le tuber- cule mamillaire (Tm,
Fig
. 171). Méthode de Weigei t. 3/2 grandeur natu
deur nature. sépare seule de la cavité du ventricule latéral (
Fig
. 1 G¡i à 167). Cette lésion a entraîné les dé-
en gros fascicules dans l'extrémité antérieure du thalamus (Pa Th) (
Fig
. 167 et 169) et envoyer dans la partie antérieure
t moins nombreuses, moins denses, moins serrées qu'à l'état normal (
Fig
. 172), s'épuisent chemin faisant dans la région
BRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CEREBRALE, ni ques rares fascicules (
Fig
. 173) atteignent seuls le sillon pédonculo-protub
s le long du raphé mé- dian. Malgré l'apparence que présente la
Fig
. 169, ces fibres saines ne proviennent pas du n
erne, s'irradient dans l'extrémité antérieure de la couche optique (
Fig
. 167); il existe néanmoins dans ces régions une d
st limitée en dedans par les fibres saines du faisceau interne (Fi,
Fig
. 172) jusque dans l'étage antérieur de la protu
ne (Fi, Fig. 172) jusque dans l'étage antérieur de la protubérance (
Fig
. 173). Il existe en outre une dégénérescence tr
laire. 2° Une dégénérescence partielle de la commissure anlérieure (
Fig
. 170 et 171), des radia- tions stnio-thalamique
corps de Luys et des régions antérieures et ventrales du thalamus (
Fig
. 167, 1G9 à 171). Néanmoins on voit un grand nomb
globus pallidus tra- verser, en fascicules denses et serrés (lsth,
Fig
. 9 6cl), la zone dégénérée du segment pos- téri
pénétration des radiations strio-luysiennes dans le corps de Luys (
Fig
. 170 et 171). 3° Il existe dans ce cas une inté
ce cas une intégrité parfaite du noyau antérieur du thalamus (Na) (
Fig
. 166), du tiers postérieur du segment postérieur
e du pilier anté- rieur du trigone a la hauteur du trou de Monro (
Fig
. 107), passe en avant de la com- missure antéri
art postérieur du segment postérieur de la capsule in- terne Cip (
Fig
. 175 et 176). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
ive à la lésion du segment sous-lenticulaire de la capsule interne (
Fig
. 176) (Méthode de Weigert), Cas Cogery. Hémi-
k et du deuxième cin- quième externe du pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 177). Dégénérescence du bras (BrQa) et des cou
ctes dans la cap- sule interne et le pied du pédoncule cérébral :
Fig
. 178, 179, 180. - Cas Cogery. Coupes passant par
ce; dégénéres- cence presque totale de la pyramide bulbaire droite (
Fig
. 179 et 180). 20 Diminution de volume considéra
s la région thalamique le ge- nou de la capsule interne Ci(g)J (
Fig
. 175) et, plus bas, dans la région sous- thal
thalamique, le cinquième interne du segment posté- rieur (Cip) (
Fig
. 17G), puis le faisceau inlerne du pied du .
17G), puis le faisceau inlerne du pied du . pédoncule cérébral (
Fig
. 177). Elle a entraîné, en outre, une dégénéres
faisceau occipilo- frontal (OF) et de la capsule ex- lerne (Ce) (
Fig
. l'7). La deuxième lésion cen- trale sectionn
ian de Luys (1\m), enfin le pilier postérieur du trigone (Tgp) (
Fig
. J î6). Les dégéuéres- cences secondaires sont
agittale externe et la partie interne de la couche sagittale interne (
Fig
. t 7'1 et 170). Cette dégénérescence peut être
générescence occupe le tiers externe du pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 178); elle intéresse, par conséquent, le faisc
ed du pédoncule cérébral dégénéré à la suite de la lésion du genou (
Fig
. 175). Dans le rhombencéphale on constate une d
quée des fibres velticales de l'étage antérieur de la protubérance (
Fig
. 178), d'autant plus marquée que l'on s'approch
tte optique (II) avec intégrité de la commissure de Mey- nert (CM) (
Fig
. 176) ; 2° par suite de la lésion du pilier posté
scence considérable du corps et du pilier antérieur du trigone (Tga) (
Fig
. 175) qui peut être suivie jusqu'au tubercule m
excessi- vement marquée dans le pédoncule et dans la protubérance (
Fig
. 177 et 178), elle se dissipe dans le bulbe (Fi
s la protubérance (Fig. 177 et 178), elle se dissipe dans le bulbe (
Fig
. 199). Mais il existe encore ici une certaine min
s du segment postérieur de la capsule interne (Cip).-Cliez Segalon (
Fig
. 181 et 182), il s'agit d'une lésion centrale de
d du pédoncule cérébral, et siège immé- diatement en dehors de lui (
Fig
. 182). Dans le cas Carré (Fig. 186 à 188), l'hé
e immé- diatement en dehors de lui (Fig. 182). Dans le cas Carré (
Fig
. 186 à 188), l'hémisphère droit présente deux lés
t postérieur de la capsule inlerne (Cip); l'autre occupe le thalamus (
Fig
. 186) et sectionne, dans la région thalamique m
ne (Cip), et la zone dégénérée occupe, dans la région sous-oplique (
Fig
. 187) et dans le pied du pédoncule cérébral (Fi
gion sous-oplique (Fig. 187) et dans le pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 188), une situation plus postérieure que dans le
dans le pied du pédoncule cérébial son deuxième cinquième externe (
Fig
. 188). Dans le cas James (Fig. 183 à 185), la l
ial son deuxième cinquième externe (Fig. 188). Dans le cas James (
Fig
. 183 à 185), la lésion centrale occupe la partie
nérescence occupe la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 181), et la pyramide bulbaire est ici dégénéré
(Fig. 181), et la pyramide bulbaire est ici dégénérée en totalité (
Fig
. 18). TOME Il. 12 Cas Séjalon. Des- tructio
; dégénéres- cence de la partie moyenne du pied du pédoncule.
Fig
. 181 et 182. Cas Séjalon. Lésion centrale de la
cinquième interne du pied du pédoncule cérébral et du locus niger (
Fig
. 188). 2° Lésion destruc- Cas Carré. 1° Lé- s
ceau longitudinal inférieur (Fli), radiations thala- miques (RTh)
Fig
. 186 et Fig. 187). Dégénéres- cence partielle d
tudinal inférieur (Fli), radiations thala- miques (RTh) Fig. 186 et
Fig
. 187). Dégénéres- cence partielle du globus pal
t postérieur de la capsule interne. Dans la région sous-thalamique (
Fig
. 187), cette zone dégénérée est refoulée en ava
et la région dite région du ruban de Reil médian; il sec- tionne (
Fig
. 189) le segment postérieur de la capsule inter
posté- rieure du globus pallidus et du putamen (1\LI, KLa, NI,3,
Fig
. 189 et 190). Dégé- nérescence de la partie pos
(Lme), et de la zone réti- culée (Zr) du noyau externe du thalamus (
Fig
. 190); dégénérescence de la couche de fibres su
on- tales obliques en arrière et en dehors de la partie inférieure (
Fig
. 190) de la région thalamique de la capsule int
thalamique de la capsule interne et du pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 191). nié- thode de Weigert. 3/2 grandeur natu
t s'étend à la partie postérieure du globus pallidus et du putamen (
Fig
.189 et 190). Cette lésion a entraîné une dégénére
n sous- thalamique immédiatement en avant du faisceau de Ttircl\ : (
Fig
. 191) et occupe le deuxième cinquième externe d
ouche de fibres superficielles du tubercule quadrijumeau antérieur (
Fig
. 191), une dégénérescence partielle du bras du tu
optiques en amont et en aval du foyer primilif. Le cas Dautriche (
Fig
. 192 à 190) a trait à un homme de 54 ans atteint
ntales passant par la région sous-thalamique de la capsulE interne (
Fig
. 193) et la partie supérieure du pédoncule aux co
tions thalamiques) du segment postérieur de la couronne rayonnante (
Fig
. 192, 193, 191) pouvant être suivi jusque dans la
latéral jusque dans la substance grise qui borde la corne frontale (
Fig
. 192 et 193). Le tapetum paraît intact dans tou
ur (Qa), une dégénérescence partielle de la bandelette optique (II,
Fig
. 194 et 195), une dégénérescence partielle du cor
, Fig. 194 et 195), une dégénérescence partielle du corps genouillé
Fig
. 193 et 196. - Cas Dautriche. Hémiplégie gauche a
re. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 185 interne (Cgi,
Fig
. 194); 2° une dégénérescence partielle de la comm
; 2° une dégénérescence partielle de la commissure antérieure (coa,
Fig
. 192, 193 et 194); 3° une dégénérescence partiell
ieur, mais qui est infiniment moins intense que dans le cas Cogery (
Fig
. 175) où la lésion avait sectionné le pilier po
le deuxième cas (cas Richard), il existe bien un manteau cérébral (
Fig
. 213, 214, 216) presque complètement développé sa
capsule interne. Ce cas peut être rapproché du cas Rivaud (p. 151,
Fig
. 142 à 162), chez le- quel une lésion pathologi
ar la partie inférieure, ganglionnaire ou basale du septum lucidum (
Fig
. 200 et 217). Cette disposition n'est pas sans
conduits l'étude des dégénérescences secondaires. Cas Longery. - (
Fig
. 197 il 212). Hydrocéphale avec malformation céré
ons très limi- tées de la face inféro-interne des deux hémisphères (
Fig
. 199 et 200). A droite, les deux tiers postérie
on du corps calleux développée dans ses trois quarts pos- lérieurs (
Fig
. 200). A gauche, les circonvolutions cérébrales d
tions vasculaires des différentes bran- ches de l'artère sylvienne (
Fig
. 199). A la base du cerveau (Fig. 199) on disti
ran- ches de l'artère sylvienne (Fig. 199). A la base du cerveau (
Fig
. 199) on distingue un losange opto-pcdonculceire
entricule latéral. Le cervelet parait normal comme la protubérance (
Fig
. 199); il la face antérieure du bulbe les pyram
de la membrane on pénètre dans la cavité de la vésicule cérébrale (
Fig
. 200), on constate que les deux hémisphères possè
e fond de la scissure de Sylvius. Les coupes vertico-transversales (
Fig
. 202 et suiv.) montrent que les corps opto-striés
grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 193
Fig
. 206. - Cas Longery. Coupe vertico-trausversale p
cérébrale ont été débités en coupes vertico-transversales sériées (
Fig
. 202 à 207). L'étude de ces coupes montre : 1
dullaires, fait complètement défaut; le pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 202 à 207) et l'étage antérieur 'de la protubéra
e cérébral (Fig. 202 à 207) et l'étage antérieur 'de la protubérance (
Fig
. 208 et 209) ne contiennent aucune fibre vertic
ve que les petits noyaux arqués appliqués sur l'olive bulbaire (Narc,
Fig
. 210). Dans la région bulbaire inférieure, au n
bulbaire inférieure, au niveau de l'entre-croisement piniforme (xpin,
Fig
. 211), l'iG.zu». cas Longery. uoupe passant par
yramide arrètée dans son développement. Dans la moelle cer- vicale (
Fig
. 212) il existe des zones presque complètement dé
iche en fibres à myéline. 2° Les ganglions de la base du cerveau (
Fig
. 202 à 207) séparés l'un de l'autre par 'étroit
de substance grise; il en est séparé par les segments Moteurs (Cia,
Fig
. 202) et postérieur de la capsule interne (Cip, F
s Moteurs (Cia, Fig. 202) et postérieur de la capsule interne (Cip,
Fig
. 203, 204 et 205) qui con- ,Íenennt de nombreus
nt épaisse. La face externe du putamen est irrégulière et bosselée (
Fig
. 204 et 205), son bord inférieur se continue av
205), son bord inférieur se continue avec le noyau amygdalien (NA,
Fig
. 202, 203 et 204). Le globus pallidus est remarqu
pallidus est remarqua- blement développé dans sa partie antérieure (
Fig
. 202 et 203) et comprend deux et trois segments
ormalement développés. Il en est de même de l'anse lenticulaire 11,
Fig
.202 côté gauche, et Fig. 203 côté droit), du fais
l en est de même de l'anse lenticulaire 11, Fig.202 côté gauche, et
Fig
. 203 côté droit), du faisceau lenticulaire de For
it), du faisceau lenticulaire de Forel (11, rg. 203 côté gauche, et
Fig
. 204 côté droit), des fibres slrio-luysiezznes, d
204 côté droit), des fibres slrio-luysiezznes, du champ de Fore, F,
Fig
. 204), de la commissure de Meynert (CM, Fig. 202
s, du champ de Fore, F, Fig. 204), de la commissure de Meynert (CM,
Fig
. 202 et 203). Tous ces faisceaux son Fin. 209.
ur (Na, Cig. 203), un noyau interne pauvre en fibres à myéline (Ni,
Fig
. ` ? Or), une lame médullaire interne (Lmi), un n
par son développement et une zone réticulée (Zr) anormalement large (
Fig
. 203); on reconnait en outre le tænia thalami (
nnait en outre le tænia thalami (tth), le ganglion de l'habenula (Gh,
Fig
.20G) avec son faisceau rétroflexe (Fil), le cen
onnaît ni pulvinar distinct, ni corps genouillé interne ou externe (
Fig
. 206, 207). Quant à^la partie postérieure et ve
out, lorsqu'elles remontent à la première enfance (voy. cas Rivaud,
Fig
. 145 et cas Pradel, Fig. G7 et 68). Elle tient
ent à la première enfance (voy. cas Rivaud, Fig. 145 et cas Pradel,
Fig
. G7 et 68). Elle tient indubitablement à la pré
nterne, en passant d'abord entre le thalamus et le globus pallidus (
Fig
. 204 et L,0 : 3), puis entre le noyau caudé et le
terne est envahi sur ce cerveau mal forint par la zona incerta (Zi,
Fig
. 20 el 205) qu sépare la région ventrale du tha
vêtrées dans tous les sens et circonscrivant des îlots gris informes (
Fig
. 206 et 207). Le faisceau thalamique de Forel
informes (Fig. 206 et 207). Le faisceau thalamique de Forel (Fth,
Fig
. 203), le champ de Forel (F, Fig.20t). lacapsule
e faisceau thalamique de Forel (Fth, Fig. 203), le champ de Forel (F,
Fig
.20t). lacapsule du noyau rouge, les radiations
g.20t). lacapsule du noyau rouge, les radiations de la calotte (RC,
Fig
. 20), paraissent normaux. Le noyau rouge (NR, F
e la calotte (RC, Fig. 20), paraissent normaux. Le noyau rouge (NR,
Fig
. 205, ` ? 00, 20G) contient toutefois, dans sa pa
Rm) est bien développé et peut être suivi dans son trajet bulbaire (
Fig
. 211 et 210) protubérantiel (Fig. 209) et pédoncu
re suivi dans son trajet bulbaire (Fig. 211 et 210) protubérantiel (
Fig
. 209) et pédonculaire (Fig. 208 et 209) jusque
bulbaire (Fig. 211 et 210) protubérantiel (Fig. 209) et pédonculaire (
Fig
. 208 et 209) jusque dans la partie ventrale du
grise antérieure du [pont paraît plus abondante qu'à l'état normal (
Fig
. 208, 209). On trouve tous les éléments constit
onvolutions cérébrales soient en grande partie développées chez cet
Fig
. 213. - Cas Richard. Porencéphalie double avec ma
re 1,2, 3, 4, 5, G, correspondent aux coupes vertico-transversales (
Fig
. 219 à 221). D'après une photographie. FIBRES D
supérieure, inférieure, antérieure et postérieure des hémisphères (
Fig
. 213). Leb parties latérales des hémisphères fo
ommunique largement de chaque côté avec l'espace sous-arachnoidien (
Fig
. 214). Ce large orifice est incomplètement fermé
ons de la base ont été débitées les coupes hori- zontales obliques (
Fig
. 226 à 231). Le cerveau s'est aplati pendant le d
atiquant sur un encé- phale normal la coupe dite de Meynert (T. 1 ?
Fig
. 3, p. 19). Si la perte de substance paraît si
e la corticalité détruite par la porencéphalie dans le cas Richard.
Fig
. 210. - Cas Richard. Porencéphalie double avec ma
RALE. 201 partie avant de tapisser la cavité ventriculaire. (Voy.
Fig
. 222 à 227, 229 et 230.) Cette disposition n'ex
Cel hydrocéphale possède une scissuie interhémisphérique profonde (
Fig
, 213) et une faux du cerveau bien développée. L
pour redevenir profonde dans la région orbitaire des lobes frontaux (
Fig
. 216). Par suite de l'aplatissement de la pièce
r la photographie siéger à la face inférieure des hémisphères (Etr,
Fig
. 214 et 216); il correspond, en réalité, à l'extr
g, un méplat médian bordé de chaque côté par la saillie des olives (
Fig
. 216). A la convexité des hémisphères, on topog
si fréquentes dans les porencéphalies peu étendues (Voy. cas OHier,
Fig
.237) ou dans les agénésies du corps calleux. Le
sillon transversal de la parlie postérieure de la convexité gauche (
Fig
.`3t3) appartient probablement au sill-on pariétal
hémisphères, il existe une scissure calloso-marginale, interrompue
Fig
. 217. Cas Richard. La paroi inférieure de la ca\i
lcarine avec un ruban de Vicq d'Azyr très manifeste sur les coupes (
Fig
. 219). Ici encore, n'existe donc pas celte dispos
le corps du trigone et les plexus choroïdes du ventricule latéral (
Fig
. 217 et 226), et en avant, par une mince cloison
formée par le ganglion du septum lucidum (SI), cloison qui s'étend (
Fig
. 226) du sommet du corps du trigone à la partie a
n une véritable face. Immédiatement en arrière de la porencéphalie (
Fig
. 220) les trois couches entourent bien encore c
ventricule et qui appartiennent au faisceau occipito-frontal (OF) (
Fig
. 220, 221, 222 et 223). Fil,. 219. - Cas Richar
le du lobe occipital gauche, passant par la ligne de repère 6 de la
Fig
. 213. Méthode de Weigert 2/1 grandeur nature. C
ra- diations strio-thala- nuques et strio-aous- thalamiques.
Fig
. 220 et 221. - Cas Richard. Coupes vertico-transv
utre au niveau de la porencéphalie (lignes de repère \\ et 4 de- la
Fig
. 213). - CR, couronne rayonnante de la face supér
- CSgt, couches sagittales se concentrant le long de la face externe (
Fig
. 220)' FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRA
OJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 203 et de l'angle inféro-externe (
Fig
. 221) du ventricule latéral. Ec, sections d'îlots
/1 grandeur nature. La cavité ventriculaire en s'ouvrant au dehors (
Fig
. 221), au niveau de la porencé- phalie, détruit
affleurent l'épendyme ventriculaire au niveau de la porencéphalie (
Fig
. 221). Le faisceau supérieur (CR), le plus petit,
(CSgt), très volumineux, forme une épaisse couche verticale, homo-
Fig
. 222. Cas Richard. Fragment d'une coupe vertico-t
rection sagittale, particulièrement manifeste sur la coupe suivante] (
Fig
. 223). Le faisceau supérieur (pCR) des fibres d
séparés l'un de l'autre. Les coupes horizontales obliques montrent (
Fig
. 229 et 230) que le faisceau inférieur (CSgt) p
ne et s'irradie dans le pulvinar et la partie ventrale du thalamus (
Fig
. 228, 229, 230). A son volume et à ses rapports v
'hémisphère et dont le pied affleure l'épendyme ventriculaire (pCR,
Fig
. 222 et 223). La plupart de ses fibres se por-
sversale du manteau cérébral passant par la ligne de repère 3 de la
Fig
. 213. Cing, cingulum. - Fc, le faisceau des fib
utions de la convexité à celles de la face interne de l'hémisphère (
Fig
. 222). Le faisceau supérieur de la couronne ray
es est très manifeste et facile à suivre sur la plupart des coupes (
Fig
. 224, 225). Lorsque l'on s'approche des régions
t aux fibres calleuses, elles se déplacent de plus en plus en dedans (
Fig
. 222), puis se concentrent en un petit faisceau
la base de la circonvolution du corps calleux dans la région où le
Fig
. 22 - Cas Richard. Coupe vertico-transversale du
eau cérébral du cas Richard, passant par la ligne de repère 2 de la
Fig
. 213. Les fibres du faisceau calleux sagittal (
ES NERVEUX. bourrelet et le tronc du corps calleux font défaut (Fc,
Fig
. 223). Dans les régions anté- rieures de l'hémi
interne du fais- ceau compact des libres qui se portent en dedans (
Fig
. 223 et 22'), pénètrent dans la lame membraneus
re du côté opposé en constituant un tronc calleux rudimentaire (Ce,
Fig
. 225). Au sur à mesure que le tronc calleux se co
tion sagittale, le forceps majeur ou postérieur du corps calleux (Fm,
Fig
. 8, p. 14), dont les fibres après un trajet sag
ieure du manteau cérébral et passant par la ligne de repère 1 de la
Fig
. 213. La partie inférieure de la coupe intéress
médiatement en arrière de la région étranglée du lobe frontal (voy.
Fig
. 2H et 21G). Le faisceau calleux sagittal a dis
isceau supérieur de la couronne rayonnante(CR) du manteau cérébral (
Fig
. 223); elles représentent très probablement la
du bourrelet et de la partie postérieure du tronc du corps calleux.
Fig
. 227. - Cas Richard. Coupe horizontale oblique pa
PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉ13 U A LE. 213 Les ganglions de la base (
Fig
. 220 à 230) comprennent un noyau caudé, un noyau
(Fg. 329 et 230) et la couronne rayonnante du lobe orbitaire (pCR),
Fig
. 226 et 227) s'irradient dans le thalamus. Les
r de la capsule interne (Cia) dans la région thalamique inférieure (
Fig
. 226 à 228) contient des fibres cortico-protubéra
egment, sous l'aspect d'un petit faisceau, faisceau géniculé (Cig),
Fig
. 227), occupent dans la région sous-thalamique
partie antérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cig,
Fig
. 228, 229, 230), et plus bas la partie interne du
), et plus bas la partie interne du pied du pédoncule cérébral (Fi,
Fig
. 231), puis s'épuisent rapidement dans la région
le de ces fibres du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 231)' ? proviennent-elles comme les apparences p
e épendymaire qui recouvre les ganglions de la base (comparer les
Fig
. 22G et 227 avec les Fig. 202 à 204 du cas Long
e les ganglions de la base (comparer les Fig. 22G et 227 avec les
Fig
. 202 à 204 du cas Longery). Le segment postér
l'ente une disposilion diffé- rente dans les régions thalamique (
Fig
. 227) et sous-thalamique de la capsule interne
udé occupe une situation un peu plus antérieure qu'à l'état normal (
Fig
. 227). Dans les régions thalamique inférieure et
g. 227). Dans les régions thalamique inférieure et sous-thalamique (
Fig
. 228,229, 230), par contre, le segment postérieur
u lenticulaire au segment rélro-lenliculaire de la capsule interne (
Fig
. 228), rien n'indique la moindre trace d'un segme
de la capsule interne et à sa place on trouve la zone reticulée (Zr,
Fig
. 228) et plus bas la zona incerta (Zi), anormal
r, Fig. 228) et plus bas la zona incerta (Zi), anormalement larges (
Fig
. 229) qui s'adossent directement FiG. 231. - Ca
t au faisceau lenticulaire de Forel. Le pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 231) ne contient (à l'exception de sa partie i
pédon- culaire fait partout défaut dans son trajet protubérantiel (
Fig
. 32), bulbaire (Fig. 233) et médullaire; la pér
it partout défaut dans son trajet protubérantiel (Fig. 32), bulbaire (
Fig
. 233) et médullaire; la périphérie du cordon an
sente la même pauvreté en fibres à myéline que dans le cas Longery (
Fig
. 212). Fibres de projections, Dégénérescences s
igués par les deuxième et troisième branches de l'artère sylvienne (
Fig
. 65).(artère frontale ascendante et artère pari
zone motrice a été pratiquée il différentes reprises chez l'homme (
Fig
. 236). Elle a montré que les centres du membre su
ans l'angle formé parle deuxième sillon frontal avec le sillon pré-
Fig
. 236. - La zone motrice de l'homme d'après les re
a zone motrice et le lobule paracentral, comme dans le cas Scheule (
Fig
. 106), elle se traduit cliniquement par une mon
onvolution rolandique elle donne lieu, comme dans le cas Heudebert (
Fig
. 124), iL une monoplégie bruchio- faciale. Le plu
avant la naissance, relever d'une porencéphalie double (cas Ollier,
Fig
. 237), et présentent alors le tableau clinique
rieur des circonvolutions rolandiques, comme dans notre cas Naudin (
Fig
. 113), ou bien partielles et n'intéresser que les
voile du palais et de troubles de la déglutition (cas Schweigoffer,
Fig
. 117). Enfin, si la lésion de l'extrémité infér
tait également d'une ma- nière très nette dans notre cas personnel (
Fig
. 238). Dans ces trois cas, l'opercule frontal é
e de nombreuses expériences faites sur l'animal, en TONII, Il. 15
Fig
. 238. - Paralysie pseudo-bulbaire d'origine corti
système nerveux. In Bouchard, Traité de pathol. étz., T. V, p. 4GO,
Fig
. 13; Comte, Des paralysies pseudo-bulbaires, Th.
cée chez le macaque et l'orang que chez l'homme. Chez le macaque (
Fig
. 239), la zone motrice occupe la région rolandiqu
bas le centre des mouvements de la tète et des yeux. Chez l'orang (
Fig
. 240), les centres du membre inférieur (MI) du me
tres secondaires du membre inférieur sont disposés chez le macaque (
Fig
. 241) d'avant en arrière, dans l'ordre suivant :
férieure, au voisinage du centre moteur de la face. Chez l'orang (
Fig
. 242), les centres du membre inférieur n'occupent
ouvements de la face, en particulier ceux des lèvres et de la langue (
Fig
. 242). Ils ont montré que le centre des mouveme
s des mouve- ments de la tête et des yeux occupent chez le macaque (
Fig
. 241) la partie postérieure des première et deu
mouvements conjugués de la tête et des yeux est situé chez l'orang (
Fig
. 242) entre le centre du pouce et le centre du fa
n trajet et une étendue variables suivant les hau- teurs. - Dans la
Fig
. 243 empruntée aux auteurs précédents, la région
ments des orteils. Horsley et Beevor ont montré que lorsque, sur la
Fig
. 2H représentant les différentes régions excitabl
tif dans la partie moyenne de la première circonvolution temporale (
Fig
. 247). Fletcher Beach et lluguenin ont constaté
itives des mots, (A) et le centre des images visuelles des mots (Pc) (
Fig
. 248). Par leur réunion, ces trois centres form
8). Par leur réunion, ces trois centres forment la zone du langage (
Fig
. 248) zone hautement différenciée, appropriée à
e cas rapporté par );tienne (1896) et dans celui représenté dans la
Fig
. 97 (cas Jouan), la paralysie faciale sera isol
'origine corticale (lésion bilatérale de l'opercule rolandique) (voy.
Fig
. ? 3S), sous-corticale, capsulaire, ou relever
anale sans troubles de la sensibilité. Les cas qui sont représentés
Fig
. 181, 182 cas Carré, Fig. 129 à 133, cas Lavign
sensibilité. Les cas qui sont représentés Fig. 181, 182 cas Carré,
Fig
. 129 à 133, cas Lavigne, Fig. 187 à 188, cas Le
t représentés Fig. 181, 182 cas Carré, Fig. 129 à 133, cas Lavigne,
Fig
. 187 à 188, cas Le Seguillon, sont des plus démon
pissent que les bords saillants du pédoncule eL du tubercule olfac-
Fig
. 250. - Coupe vertico-trans- versale du pédoncu
t entre ainsi dans la constitution du faisceau olfactif du trigone (
Fig
. 2(2). Les radiations olfactives superficielles
f de troisième ordre. Les radiations olfactives profondes (1-'tolp)(
Fig
. 231) formenl la substance blanche profonde du
inuent avec les fibres du tænia semicircularis et du tænia thalami (
Fig
. 253 et 234). Une autre partie des radiations F
ERVEUX. olfactives profondes poursuit son trajet antéro-postérieur (
Fig
. 252), tra- verse, en fascicules lâches et ondu
s de la région sous-optique et de la calotte du pédoncule cérébral (
Fig
. 252). Les radiations olfactives profondes ne r
tive; elles suivent le trajet du faisceau olfactif du trigone (Fol,
Fig
.252) etunissentles circonvolutions limbiques au l
2. faisceau SEPTO-THALAMIQUE. - Le faisceau septo-thalamique(fsth) (
Fig
. 253) naît des cellules de l'aire olfactive et du
Il représente donc un faisceau indépendant du système du trigone.
Fig
. 253. -Coupe sagittale passant en dedans du plan
. Fig. 253. -Coupe sagittale passant en dedans du plan de la coupe,
Fig
. 251, intéressant l'aire olfactive, la partie a
nt par le noyau antérieur du thalamus, en dedans du plan des coupes
Fig
. 251 et 253. (Méthode de Weigert.) Al, anse len
RVEUX. Son trajet. t. Ses rapports. Ses connexions. En avant (
Fig
. 2G1), le taenia semicircularis émerge de la subs
ion, au genou de la capsule interne. A la hauteur du trou de Monro (
Fig
. 41, p. 58), le faisceau se resserre, puis occu
la lame cornée, le sillon opto-strié. Sur les coupes horizontales (
Fig
. 255) et vertico-transver- sales (Fig. 256), il
Sur les coupes horizontales (Fig. 255) et vertico-transver- sales (
Fig
. 256), il présente une surface de section triangu
s genouillé externe ou de la bandelette optique qui lui fail suite (
Fig
. 30 et 256). Il correspond assez exac- tement à
s fibres se détachent à angle droit du taenia semicircularis (fisc,
Fig
. 255) dans son trajet, ascendant et antérieur, se
nérescences de la cap- sule interne, tel que le cas Rivaud (p. 151,
Fig
. 142 à 162). En dedans de la capsule interne, e
elle-ci et la zone réticulée de la couche optique, on trouve alors (
Fig
. 255) des fascicules de fibres il direction sagit
pointe au voisinage de la partie postérieure de la couche optique (
Fig
. 145), et abandonnent à cette dernière des fibr
coî-iiii Aï ? îî2îojiis) longe le bord interne de la corne d'Ammon (
Fig
. 256), puis se prolonge sur le bord externe du pi
Fig. 256), puis se prolonge sur le bord externe du pilier postérieur (
Fig
. 41 ) Il et du corps du trigone (Fig. 7,26). El
externe du pilier postérieur (Fig. 41 ) Il et du corps du trigone (
Fig
. 7,26). Elle constitue un faisceau de fibres lon-
ans la fimbria en formant sur les coupes vertico-transversales(fCg,
Fig
. 256) un petit faisceau de fibres convergentes qu
raventriculaire de la corne d'Am- mon (CA), depuis les digitations (
Fig
. 11) jusqu'à l'isthme de l'hippocampe (Fig. 15
depuis les digitations (Fig. 11) jusqu'à l'isthme de l'hippocampe (
Fig
. 15 et 16), et occupe cet espace extrazezzlricula
e (Fig. 15 et 16), et occupe cet espace extrazezzlriculaire (Alvx) (
Fig
. 2â6), très réduit chez l'homme, beaucoup plus
iables suivant les régions. L'(ilvezi.9 existe seul sur les coupes (
Fig
. 26, p. 39, Fig. I 1, p. 17) qui sectionnent les
es régions. L'(ilvezi.9 existe seul sur les coupes (Fig. 26, p. 39,
Fig
. I 1, p. 17) qui sectionnent les digilalions de l
e qui donne insertion aux plexus choroïdes de la corne sphénoïdale (
Fig
. 26). Elle augmente rapidemenl de volume, s'éta
emenl de volume, s'étale sous l'aspect d'une lame mince et étroite (
Fig
. 7 et 256) qui recouvre le fascia dentata (Cg) et
ria s'épaissit, son bord interna s'applique sur sa face supérieure (
Fig
. 30, p. 45), et elle se présente sous l'aspect
raventriculaire. Quant à l'alveus. ex'l1'llvenll'iculail'e (Al\"X) (
Fig
. 30 et 256), il constitue un petilfaisceau situé
n du pilier postérieur du trigone. 2. pilier postérieur du TRIGONE.(
Fig
? l,ll ? GO.)-Lep111e1'pOSL- rieur du trigone (
faisceau replié sur lui-même dans le sens de son axe longitudinal (
Fig
. 41, p. 59); sa parlie interne est épaisse, s'a
rale ou réfléchie du splenium avec la partie dorsale ou supérieure (
Fig
. 9, p. 14, 42 et 268). A ce niveau, une petite
euses qui, provenant de la face interne et de la pointe occipitale (
Fig
. 2GO), forment le forceps postérieur du corps cal
corps calleux par la mince lamelle névroglique intertrigonale. (Voy.
Fig
. 2j8.) Bibliothèque des Internes en Médecine
incipal ou ammonique du corps du trigone. - 3. corps du trigone. (
Fig
. 7, 2(;, z2, 257, 259, 259, 26-9.)-Le corps du
irrégu- lièrement quadrilatéral, situé au-dessous du corps calleux (
Fig
. 257,258). Un profond sillon médian(s Tg), d'au
ppar- tient en réalité au corps du trigone et non au corps calleux (
Fig
. 200 à 205, 217, 227). C'est là un fait que met
tronc du corps calleux fait complètement défaut, dans le cas Longery (
Fig
. 201), il n'est développé dans le cas Richard (
le cas Longery (Fig. 201), il n'est développé dans le cas Richard (
Fig
. 22) que dans sa partie antérieure. Néan- moins
s de la Lase la paroi inférieure de la cavité ventriculaire unique (
Fig
. 200 et 216). Sa face supérieure est parfaiteme
one et se fusionne avec la partie basale de la tête du noyau caudé (
Fig
. 220, p. 209). Les coupes montrent que le corps
oite et gauche, qui, accolées dans la région du corps du trigone (
Fig
. 227) par une mince laine intertrigonale, re-
ola cinerea, le taenia tecta et les stries de Lancisi. A ce niveau (
Fig
. 258, 1,) les fibres de l'alveus extravenlricul
. Il se place an-dessous de la lame névroglique inLcrLrigonalc(iL) (
Fig
. 258,2) concourant avec les libres obliques du
corps du trigone. Lorsque le sillon médian du Irigone se rétrécit (
Fig
. 258,3 et 4), le fascicule abandonne la profond
interne, puis les faces inférieure et externe du corps du trigone (
Fig
. 23S, 5), se porte par conséquent obliquement e
nombre de fibres des stries de Lancisi qui, perforant le corps cal-
Fig
. 259. - Les fibres perforantes du bourrelet du co
c beaucoup de net- teté sur les coupes sagittales du corps calleux (
Fig
. 259, 260 ); elles lui impriment en effet'un as
coupes sagittales de cerveaux durcis dans les bichromates alcalins (
Fig
. 268,269, T. ICI'). Sur les coupes fines, on vo
du bourrelet et du liers postérieur du tronc du corps calleux (fp) (
Fig
. 259) se coudent, se portent en avant, se réuni
FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 281 1 du tiers moyen (
Fig
. 262) du corps calleux n'entrent pas en connexion
eptum lucidum et entrent dans la constitution de son pédoncule (
Fig
. 262). Les fibres perforantes pro- viennent s
aut a cause de la situation lalé- rale du fasciola cinerca (Fc,
Fig
. 257) - les chercher sur des coupes plus latéra
rrelet du corps calleux consécutives aux lésions du lobe occipital (
Fig
. 260), le trajet de toutes ces fibres perforant
amine des coupes sagittales des parties latérales du corps calleux (
Fig
. 2(il), on constate de nombreuses fibres à direct
i y arrivent ne se recourbent pas et ne se réunissent pas en fasci-
Fig
. 261. - Coupe sagittale passant par les parties
ctif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl. Le faisceau olfactif (Fol,
Fig
. 262) du trigone comprend à la fois des libres
jet. trigone diminue de volume et s'arrondit. Les plexus choroïdes (
Fig
. 257) qui s'inséraient le long de son bord infé
intimement avec les fibres de l'alveus et celles du fornix longus (
Fig
. 258). Ainsi se trouvent constitués les piliers
ent constitués les piliers antérieurs ou colonnes du trigone (Tga) (
Fig
. 257) qui de chaque côté se portent en bas, en
rière et en dedans, passent en arrière de la commissure antérieure (
Fig
. 22, p. 32, et Fig. 263), s'en- foncent dans la
passent en arrière de la commissure antérieure (Fig. 22, p. 32, et
Fig
. 263), s'en- foncent dans la substance grise ce
faisceau de Gudden. Coupe sagittale passant en dehors du plan de la
Fig
. 262. Méthode de Weigert-Pal. (4/1 Grandeur natur
cule et une face antérieure intimement adhérente au septum lucidum (
Fig
. 41, p. 58). Dans la région sous-optique (Fig.
te au septum lucidum (Fig. 41, p. 58). Dans la région sous-optique (
Fig
. 263), chaque pilier antérieur du trigone passe a
tie anté- rieure de la couche optique. Il croise dans cette région (
Fig
. 25 i) : 1° le lænia semicircularis (tsc), auqu
héma- toxylinique, le faisceau du tuber cinereum (fTc) de Gudden (
Fig
. 2C3 et. 262). Il est, en outre, en rapport ave
c beaucoup de nellelé sur les coupes horizontales sériées (T. Nier,
Fig
. 309 à 314) et sur les coupes sagittales 262 et
bien spécial et distinct de celui du corps du trigone (comparez la
Fig
. 262 avec la Fig. 263). De parallèles, rectiligne
distinct de celui du corps du trigone (comparez la Fig. 262 avec la
Fig
. 263). De parallèles, rectilignes et serrés qu'
DES CENTRES NERVEUX. Ses fascicules aberrants. leur direction (
Fig
. 2(j3 et 261). Le pilier antérieur du trigone pré
enfoncer dans le tuber cinereum el aborder le tubercule mamillaire (
Fig
. 265). Ce faisceau, figuré dans les schémas ('1'.
amillaire (Fig. 265). Ce faisceau, figuré dans les schémas ('1'. fer,
Fig
. 202 et 203), est intéressé sur les coupes hori
02 et 203), est intéressé sur les coupes horizontales du cas Racle (
Fig
. 168 à J 72). Il ne doil être confondu, ni avec
Le pilier antérieur du trigone entoure toule la face inférieure ou
Fig
. 263. Le fascicule aberrant du pilier anteneur du
e . Ces connexions sont bien mani- festes sur la coupe horizontale (
Fig
. 193, T. 1'), sur la coupe sagittale (Fig. 263)
sur la coupe horizontale (Fig. 193, T. 1'), sur la coupe sagittale (
Fig
. 263), et surtout sur la coupe horizontale obliqu
ttale (Fig. 263), et surtout sur la coupe horizontale oblique de la
Fig
. 275 qui intéresse le pilier antérieur du trigo
a circonvolution de l'hippocampe, ou qu'il s'agisse, comme dans les
Fig
. 266 à 272, d'une lésion purement corlicale lim
tubercule mamillaire. ainsi que le montrent les coupes sagittales (
Fig
. 263). Cas Chab trouvaille d'autopsie. Ce cas s
djacente du lobule lingual et de la circonvolution de l'hippocampe (
Fig
. 266), localisée à l'écorce, sans participation
e les fibres dégénérées occupent sa par- lie interne ou ammoniques (
Fig
. 269 et 270), la fimbria est relativement intacte
eau du corps qu'au niveau des piliers antérieur et postérieur (Tgp,
Fig
. 2go). Le pilier postérieur reçoit en effet le fa
cidum et concourent à la formation du faisceau olfactif du trigone (
Fig
. 2GO et 270); 3e une dégénérescence partielle du
et 270); 3e une dégénérescence partielle du tamia 'lotir : m. 19
Fig
. 268. - Cas Chab. Plaque jaune superficielle du p
ampe. Coupe vertico-transversale passant par la ligne aa du schéma (
Fig
. 2Gi), et sectionnant le bourrelet du corps calle
rontal. 290 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. thalami du même côté (
Fig
. 269), qui ne peut être suivie sur les coupes ver
celte dégénérescence dans le système du trigone cérébral, il existe (
Fig
. 267 et 268) une dégénérescence partielle du fa
ntré (1892), la partie ventrale ou inférieure du splenium (Spl (i) (
Fig
. 267) et se placent en arrière des fibres commis-
ui passent par le bec postérieur du corps calleux. Les fibres dégé-
Fig
. 269,270, 271. Cas Chab. Plaque jaune superficiel
rtico-transversales passant par l'extrémité antérieure du thalamus (
Fig
. 269), le genou (Fig. 270) et le segment anté-
assant par l'extrémité antérieure du thalamus (Fig. 269), le genou (
Fig
. 270) et le segment anté- rieur de la capsule i
e genou (Fig. 270) et le segment anté- rieur de la capsule interne (
Fig
. 271) et sectionnant le pédoncule inféro-interne
eure et externe du canefour ventriculaire et de la corne sphénoïdale (
Fig
. 207 et 268). Celles de la couche sagittale ext
rontal envoie dans la capsule externe (OF). Méthode de Weigert-Pal.
Fig
. 273. - Dégénérescence du tapetum, sans dégénéres
ule olfactif jusqu'à la partie moyenne de la commissure antérieure (
Fig
. 271). Le tapetum est surtout dégénéré dans sa
e. Au niveau des parois inféro-externes du carrefour ventriculaire (
Fig
. 267), les grosses fibres vertico-transversales
n bas et en dehors et traversent le pied de la couronne rayonnante (
Fig
. S69 à 272). Ce cas montre donc que les faiscea
céphale avec porencéphalie et malformation cérébrale (cas Richard,
Fig
. 220 à 223, p. 201). Chez l'adulte, ces deux co
es consécutive à certaines lésions encéphaliques. Dans le cas Chab (
Fig
. 2G et 2GS). les libres sagittales occipito-front
ventriculaire, et les fibres calleuses y sont presque normales. La
Fig
.273 est la contre-partie de ce cas : ici les fibr
convolution temporale et sectionnant, sur un plan plus élevé que la
Fig
. 213, le tapetum et les couches sagittales du s
e, la vaste et puissante commissure transversale du psalterium (Pslv,
Fig
.274) qui relie entre elles les deux cornes d'Am
dorsal de la corne d'Ammon. Le feuillet antérieur ou ventral, insi-
Fig
. 27t. Coupe sagittale du cerveau du lapin adulte
trale des cornes d'Ammon (Kôlliker). Le psalterium ventral (Pslv,
Fig
. 273) reçoit ses fibres de la fimbria, de l'alveu
périeure de la partie réfléchie du bourrelet du corps, calleux (FI,
Fig
. 2-il), longe ensuite la face inférieure du corps
nnent au faisceau septo-thalamique (Voy. p. ? gaz). Notre cas Chab (
Fig
. 266 à 272, p. 28a) n'est pas non plus en faveu
en montré, deux ganglions : l'un interne, l'autre externe (Tm, Tml,
Fig
. 275). Le ganglion ou noyau interne l'orme la p
e, à grand axe vertical, le tuber- cule mamillaire accessoire (Tma,
Fig
. 254, 333). Le ganglion interne conlient des ce
ées de volume moyen, mesurant 20 à 30 y-, et réunies en petit amas (
Fig
. 276); leurs dendrites épineuses et richement a
qui se réunissent bientôt en un faisceau épais arrondi et compact (
Fig
. 2(j2). Il se dirige ensuite oblique- ment en h
posté- rieure, puis entre dans la région sous-thalamique de Forel (
Fig
. 277). Situé d'abord en arrière du pilier antér
ut manifeste chez les mammifères inférieurs (rat, souris, lapin)(
Fig
. ' : ? 7 4 el 276), où le faisceau de la calott
a calotte de Gudden (fasciculus legmenlo - mamillaris Kôlliker)FG,
Fig
. 274, 277 et 252). Chez le lapin, la souris, et
inal postérieur : le ganglion profond de la calolle de Gudden (GGp,
Fig
. 252). Chez l'homme, le trajet et la ter- minai
te s'adossanl en effet au faisceau thalamique et au champ de Forel (
Fig
. 277). Ces connexions sont faciles à suivre sur
ascicules que l'on peut suivre jusque dans le tubercule mamillaire (
Fig
. 277). Faisceau de Vicq d'Azyr, VA. Le faisceau
au niveau du point de bifurcation du faisceau mamillaire principal (
Fig
. 277), le fais- ceau de Vicq d'Azyr est adossé
semble se confondre complète- ment. Il s'en dégage très rapidement (
Fig
. 310), traverse de bas en haut el un peu de deh
e optique (PiTh) qui le sépare du pilier antérieur du trigone (voy.
Fig
. 45), en dehors de la lame médullaire interne,
ise les fibres radiées du pédoncule antérieur de la couche optique (
Fig
. 253 et 254). Arrivé dans la région thalamique
que (Fig. 253 et 254). Arrivé dans la région thalamique supérieure (
Fig
. 3 I 0), le faisceau de Vicq d'Azyr s'infléchit
înent une dégénérescence du pilier antérieur du trigone (Cas Chab.,
Fig
. 266 à 272). Les recherches récentes faites à l'a
elques fibres directes du pilicr antérieur du trigone du même côté (
Fig
. 277), mais il tire son origine principale du g
erne du tubercule mamillaire el du tubercule mamillaire accessoire (
Fig
. 254); chez le lapin (Fig. 274), le chien, etc.,
re el du tubercule mamillaire accessoire (Fig. 254); chez le lapin (
Fig
. 274), le chien, etc., reçoit en outre quelques
cule cérébral, et croise les fibres du nerf moteur oculaire commun (
Fig
. 251 et 277). Au voisinage du sillon pédonculo-pr
iger; elles passent ensuite au-dessous et en dehors du noyau rouge (
Fig
. 277) vers la région du ruban de Reil médian (F
s du noyau rouge (Fig. 277) vers la région du ruban de Reil médian (
Fig
. 3 ? lui., 23), au delà de laquelle nous n'avon
ngitudinal postérieur. Chez les mammifères tels que le lapin, etc. (
Fig
. 2Ci), le pédoncule du tubercule mamillaire con
décrits par Gudden, les ganglions profond et dorsal de la calotte (
Fig
. 252). Le ganglion profond, qui reçoit en outre d
aille, véritables cellules géantes, à den- drites amples et velues (
Fig
. 278), à cylindre-axe épais, de trajet flexueux
e ou de moyenne dimension à corps cellulaire poli[ et grêle, remar-
Fig
. 278. - Cellule géante du type Il de Golgi (à c
l- lules épendymaires du ventricule latéral. Chez le foetus humain (
Fig
. 280), ces prolongements, extrêmement longs, so
trairement à ce que semblent indiquer l'élude des coupes sagittales (
Fig
. 281 et 282), le corps strié (noyau caudé et pu
enne hypothèse de Foville et de Meynert (VOYCl Historique, p. 82 et
Fig
. 50). S'il est un fait qui semble aujourd'hui b
(Compa- rez cette coupe avec les Figures 29 à 32 et avec le schéma,
Fig
. 27). Méthode de Weigert. 2/1 Grandeur nature.
oïdale du ventricule latéral. 310 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fig
. 282. - Coupe sagittale passant par les trois seg
activité fonctionnelle de ces mêmes régions. Le cas Rivaud (p. Cil,
Fig
. 142 à t62) en est un exemple très frappant. Les
sont respectés par la lésion primitive corticale et sous-corticale (
Fig
. 144 à li6), sauf au niveau du deuxième cinquième
parlie correspondante du segment postérieur de la capsule interne (
Fig
. 147, p. 1JJ). Dans ce cas datant de la première
oyau caudé droit de la figure 143 avec le noyau caudé du côté sain (
Fig
. 144) dessinés au même grossissement.] Il prése
putamen paraît encore plus intime que du côté sain. (Voy. également
Fig
. 116 dessiné à un grossissement plus fort.) Le pu
sselé, d'apparence godronnée, et paraît légèrement diminué de volume (
Fig
. lit5 et 147), ce qui tient probablement au voi
qu'il s'agisse de lésions du lobe frontal (cas Moriceau Hg. et 11(l.,
Fig
. 137 î et 140, p. 147 et 148), soit qu'il s'agi
d'une destruction complète de la corticalité cérébrale (cas Pradel,
Fig
. 66 à 78, p. 100 et suiv.) Dans le premier cas le
ibres il myéline sous-épendymaire qui tapisse le noyau caudé (f NC,
Fig
. 290), appartienne en propre à ce noyau et représ
icalilé cérébrale [lobe frontal, zone rolandique (cas Schweigoffer,
Fig
. 116 à 121, p. 133 et suiv.), lobe occipito-tempo
rement à la suite de toutes les lésions qui intéressent le tapetum (
Fig
. 2GG à 272)]. Elles n'abandonnent au noyau caudé
ntales pas- sant par les parties moyenne ou inférieure du thalamus (
Fig
. 295, RGp), il est le plus souvent facile de su
en général normales sur le champ dégénéré (ItGp) (cas Le Séguillon,
Fig
. 131, p. 143 ; cas Jouan, Fig. 97, p. 122). Sur
mp dégénéré (ItGp) (cas Le Séguillon, Fig. 131, p. 143 ; cas Jouan,
Fig
. 97, p. 122). Sur les coupes sériées on peut, dan
nt la queue du noyau caudé au globus pallidus (Fie) (cas Heudebert,
Fig
. 126, p. 139; Cas Bras, Fig. 90 et 91, p. 117 e
u globus pallidus (Fie) (cas Heudebert, Fig. 126, p. 139; Cas Bras,
Fig
. 90 et 91, p. 117 et 118). Dans les lésions cor
[particulier du 3° cinquième externe du pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 285); une dégénérescence de l'étage antérieur
avons désignée sur le nom de Région du ruban de Reil médian (Hg Rm,
Fig
. 284). Elle respecte toutefois le ruban de Reil m
Rm, Fig. 284). Elle respecte toutefois le ruban de Reil médian (Um,
Fig
. 285) lequel apparaît sain sur toutes les coupes
te enfin une dégénérescence de la partie externe du taenia thalami (
Fig
. 283). Fig. 283, 284,285. - Cas Caillot. Hémipl
dégénérescence de la partie externe du taenia thalami (Fig. 283).
Fig
. 283, 284,285. - Cas Caillot. Hémiplégie gauche a
inquième postérieurs du segment posté- rieur de la capsule interne (
Fig
. 283 et 284), du tiers moyen du pied du pédoncu
tiers moyen du pied du pédoncule et du pes lemniscus profond (PLp),
Fig
. 28 : i). Dé- générescence de la moitié postéri
u ruban de Reil médian (RgRm). Intégrité du ruban de Reil médian (
Fig
.28S) dans la région pé- donculaire supérieure.
également quelques fibres radiées. Dans la région sous-thalamique (
Fig
. 284) on voit ces libres dégénérées entrer dans
ps de Luys (CL), dont la dégénérescence est légère, mais manifeste (
Fig
. 281). Cas Hilaire. - Hémiplégie gauche avec hé
d'angine de poitrine au quarantième jour. Double lésion corticale (
Fig
. 28t). (\'oy. Lox(1, Thèse de Paris 1899, obs.
s n'atteint pas le segment rétrolenticulaire de la capsule interne (
Fig
. 287 et 288). A droite, les dégénérescences son
t poslérieur (Cip) de la capsule interne dans ses régions thalamique (
Fig
. 287) et sous-thalamique (Fig. 288), ainsi qu'u
interne dans ses régions thalamique (Fig. 287) et sous-thalamique (
Fig
. 288), ainsi qu'une dégénérescence partielle du f
, ainsi qu'une dégénérescence partielle du faisceau de Tiirck (FT) (
Fig
. 289); une dégénérescence des trois cinquièmes ex
xterne, interne et antérieur. Dans les régions thalamiques moyenne.(
Fig
. 287) et inférieure (Fig. 288), la dégénérescence
eur. Dans les régions thalamiques moyenne.(Fig. 287) et inférieure (
Fig
. 288), la dégénérescence se cantonne dans le ro
nnes. Coupes horizontales passant par la région thalamique moyenne (
Fig
. 287), la région thalamique inférieure aux confin
région thalamique inférieure aux confins de la région sous-optique (
Fig
. 288) et le pied du pédoncule cérébral (Fig. 28'.
e la région sous-optique (Fig. 288) et le pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 28'.)). Bibliothèque des Internes ' en Médec
djacente à la dégénérescence capsulaire. Dans la région thalamique (
Fig
. 287), la dégénérescence n'occupe que la moitié p
tié postérieure du globus pallidus; dans la région sous-thalamique (
Fig
. 288), une partie des fibres dégénérées du glob
origine corlicale et intégrité complète du corps strié (cas Pradel,
Fig
. G6 à 78, p. 100); 2° dans plusieurs cas de lésio
ieurs cas de lésions étendues ou limités du corps strié (cas Ronse,
Fig
. 296 à 301); 4° dans deux cas de malformation d
a partie supérieure du corps strié. Dans l'un des cas (cas Longery,
Fig
. 197 à 212, p. 187), l'écorce céré- brale de la
ojec- tion corticale faisait défaut. Dans l'autre cas (cas Richard,
Fig
. 213 à 231, p. z toute l'écorce était développé
ueur. Ceux de la tête sont les plus longs et les plus volumi- neux (
Fig
. 290) ; ils s'irradient suivant le plan sagittal,
nc du noyau caudé affectent l'aspect d'un pointillé assez régulier (
Fig
. 290 et T. Nier, fig. 302 et 303). Sur les coup
ui intéressent les tiers moyen et infé- rieur de la couche optique (
Fig
. 291, 21, 13 et 47), les fascicules de la tète
résentent un aspect pointillé sur les coupes vertico-transversales (
Fig
. 19 p. 27). Quelle que soit leur direction, ces
caudé traversent le segment antérieur de la capsule interne (Cia) (
Fig
. 19, p. 27, et Fg. 23, p. 33); celles du tronc, l
e lésions du lobe occipital et du lobe occipito-pariétal (cas Bras,
Fig
. 90 et 91, p. 117 et 118, el cas Heudebert, Fig
pariétal (cas Bras, Fig. 90 et 91, p. 117 et 118, el cas Heudebert,
Fig
. 125 et 126, p. 139). Les fibres lenticulo-caud
TL3) présentent le même aspect arborescent que ceux du noyau caudé (
Fig
. 291, 21, 2Í, 43, 47). Arrivés au niveau de la
isseur et la courbure très accen- tuée de son extrémité antérieure (
Fig
. 292), el s'étend du genou (Ci[g]) au segment p
résentent sur les coupes horizontales un aspect nettement réticulé (
Fig
. 24, p. 35 et Fig. 43, p. 63; Fig. 47, p. 69; F
coupes horizontales un aspect nettement réticulé (Fig. 24, p. 35 et
Fig
. 43, p. 63; Fig. 47, p. 69; Fig. 292 et Fig. 295)
les un aspect nettement réticulé (Fig. 24, p. 35 et Fig. 43, p. 63;
Fig
. 47, p. 69; Fig. 292 et Fig. 295). Les lames mé
ttement réticulé (Fig. 24, p. 35 et Fig. 43, p. 63; Fig. 47, p. 69;
Fig
. 292 et Fig. 295). Les lames médullaires supplé
culé (Fig. 24, p. 35 et Fig. 43, p. 63; Fig. 47, p. 69; Fig. 292 et
Fig
. 295). Les lames médullaires supplémentaires so
') cloisonne incomplètement le segment moyen du noyau lenticulaire (
Fig
. 43, p. 63; Fig. 47, p. 69) ; Y interne (lmi'),
omplètement le segment moyen du noyau lenticulaire (Fig. 43, p. 63;
Fig
. 47, p. 69) ; Y interne (lmi'), beaucoup plus a
t du noyau lenticulaire, et partant du genou de la capsule interne (
Fig
. 23, p. 33). Trajet et terminaisons des radiati
horizontales sériées qui sectionnent la partie moyenne du thalamus (
Fig
. 91), mais deviennent d'autant plus denses et p
ition qui sépare la région thalamique de la région sous-thalamique (
Fig
. 292). Cet aspect, très apparent sur les coupes s
t dégé- nérées à la suite d'une vaste lésion corticale (cas Pradel,
Fig
. 66 à 78, p. 100), ou sous-corticale, surtout l
t lorsque cette dernière remonte à l'en- fance (cas Rivaud, p. 151,
Fig
. 142 à 162). La comparaison des figures 293 et
rative à cet égard. Dans la partie moyenne de la région thalamique (
Fig
. 293), les radiations strio-thalamiques (Rsth)
ées du thalamus. Dans la partie inférieure de la région thalamique (
Fig
. 294), les radiations strio-thalamiques (Rsth)
ulaire, elles se concentrent en une couche compacte de fibres (FI),
Fig
. 7, p. 69) qui se place entre le globus pallidu
et aplati qui s'étale en avant et au-dessus du corps de Luys (CL), (
Fig
. 318 T. ICI', p. 637 et Fig. 312) en formant la
nt et au-dessus du corps de Luys (CL), (Fig. 318 T. ICI', p. 637 et
Fig
. 312) en formant la couche dorsale du corps de
u corps de Luys de quelques auteurs. Il se porte ensuite en dedans (
Fig
. 323, 324), s'adosse au faisceau thalamique de
tales montrent ses rapports au-dessus et en avant du corps de Luys (
Fig
. 312 et Fig. 21), les coupes horizontales oblique
nt ses rapports au-dessus et en avant du corps de Luys (Fig. 312 et
Fig
. 21), les coupes horizontales obliques, ses conne
ous l'aspect d'un faisceau triangulaire formé de fibres parallèles (
Fig
. 318 T. Ie1'). Les coupes vertico-transversales
capsule interne avant de former la couche dorsale du corps de Luys (
Fig
. 323, 324, 325). Les radiations strio-luysienne
cule cérébral en fascicules denses, nombreux, serrés et parallèles (
Fig
. 295 etT. ICI', Fig. 319, po, 321), puis pénètr
ascicules denses, nombreux, serrés et parallèles (Fig. 295 etT. ICI',
Fig
. 319, po, 321), puis pénètrent dans le corps de
as avec la bandelette optique et la commissure de Meynert (T. ICI',
Fig
. 321). Comme les radiations strio-luysiennes se m
de son trajet, elle longe la face inférieure du noyau lenticulaire (
Fig
. 23), appartient à la substance inno- minée sou
e inféro-interne du thala- mus, au-dessus desquels elle est située (
Fig
. 2f, 4S, 269, 270 el 293). Elle forme avec ce d
reum, l'anse lenticulaire se coude, se porte en haut et en arrière (
Fig
. 23, 251 à 253) et s'enfonce entre le bord antéro
lle est accolée aux radiations strio- luysiennes les plus internes (
Fig
. 295); passe en dedans du corps de Luys (CL), e
lier antérieur du trigone (Tga) et du faisceau de Vicq d'Azyr (VA) (
Fig
. 45 et T. le', Fig. 319 et 320, p. 639). Dans l
rigone (Tga) et du faisceau de Vicq d'Azyr (VA) (Fig. 45 et T. le',
Fig
. 319 et 320, p. 639). Dans la région sous-optiq
e dans la partie antéro-interne de la capsule du noyau rouge (CNR) (
Fig
. 251^253 et 254, p. 268). Contrairement à l'opi
hes de l'artère sylvienne, et de l'artère choroïdienne antérieure. (
Fig
. 163 et 1G ? p. 165.) Les lésions étendues du c
ence par la méthode de Weigert-Pal. Dans le cas Racle, par exemple (
Fig
. 165 à 173, p. 167 et suiv.), bien que le putam
ent presque la dégé- nérescence des fibres de projection corticale (
Fig
. 169, 170, 171, p. 169). Dans le cas Dautriche
tion corticale (Fig. 169, 170, 171, p. 169). Dans le cas Dautriche (
Fig
. 192 à 196, p. 182 et suiv.), il existe une lés
onfinent au plan du secteur lenticulaire lésé. Dans le cas Segalon (
Fig
. 181 et 182, p. 178), il existe une dégénéresce
du corps de Luys et de l'anse lenticulaire ; dans les cas Lavigne (
Fig
. 189 à 191, p. 180) et Carré (Fig. 186 à 188, p
ticulaire ; dans les cas Lavigne (Fig. 189 à 191, p. 180) et Carré (
Fig
. 186 à 188, p. 179) (section de la partie posté
les voit traverser, en fascicules serrés et parallèles (Cas Ronse,
Fig
. 296 à 301), le segment postérieur de la capsule
ce corps. La dégénérescence du faisceau lenticulaire de Fore] (FI) (
Fig
. 297 el 298) est de même très manifeste et peul
interne, et s'irradie dans la partie anléro-ventrale du tha- lamus (
Fig
. 297) et la partie antéro-inlerne de la capsule d
nce très étendue du segment postérieur de la capsule interne (Cip) (
Fig
. 296 et 297) pouvant être suivie dans la partie m
être suivie dans la partie moyenne du pied du pédoncule céré- bral (
Fig
. 299 et 300), dans l'étage antérieur de la protub
de la capsule interne, en particulier le genou de la capsule (Ci (g) (
Fig
. 298) sont respectées par la dégénérescence et
xterne du pied du pédoncule cérébral, y compris le faisceau de Turck (
Fig
. 299 et 300) . FIG. 296, 297 et 298. - Cas Rons
rallèles à la bandelette optique passant par les par- ties moyenne (
Fig
. ? 9G) et inférieure (Fig. 297 et 298) de la régi
ptique passant par les par- ties moyenne (Fig. ? 9G) et inférieure (
Fig
. 297 et 298) de la région thalamique : 1° Dégé-
u ruban de Reil médian. 2° Lésion du putamen et du globus pallidus (
Fig
. 29G). Dégénérescences des fibres radiées et de
ue dans toute la partie adja- cente a la dégénérescence capsulaire (
Fig
. 9G, 297, 298). Une dégénérescence particu- liè
rement accusée de la partie postérieure du noyau externe du thalamus (
Fig
. 29G), qui se continue autour et en dehors du c
, qui se continue autour et en dehors du centre médian de Luys (Nm,
Fig
. 297 et 298) e dont l'intensité est due très pr
33G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. remplis de corps granuleux (H,
Fig
. 296 et 297), foyers allongés dans le sens antéro
et dans la région occupée par le faisceau thalamique de Forel (Fth,
Fig
. 297). La partie antéro-supérieure du putamen e
son segment interne, ne contient que très peu de fibres dégénérées (
Fig
. 296), mais il est contourné par les fibres dég
culé (Cig), puis s'irradient dans la partie antérieure du thalamus (
Fig
. 296). Dans la partie inférieure de la région t
us (Fig. 296). Dans la partie inférieure de la région thalamique (
Fig
. 297), au voisinage de la sub- stance innominée
ng du bord externe du segment postérieur de la capsule interne (X) (
Fig
. 298). Elles traversent ensuite ce segment caps
rne (X) (Fig. 298). Elles traversent ensuite ce segment capsulaire (
Fig
. 297); les supérieures suivent la voie des radi
térieure non dégénérée du segment postérieur de la capsule interne (
Fig
. 297). D'autres fibres, enfin, suivent la voie de
bres, enfin, suivent la voie des radiations strio- luysiennes (RsL,
Fig
. 298). Un grand nombre de ces fibres dégénérées c
constitution du champ de Forel (F) et de la capsule du noyau rouge (
Fig
. 298). D'autres fibres dégénérées ne traversent
lenticulaire et prennent la voie de la commissure de Meynert (CM) (
Fig
. 297et298). Elles peuvent être suivies dans la su
delettes optiques jusque dans le noyau lenticulaire du côté opposé (
Fig
. 301). Dans la région sous-optique (Fig. 299),
enticulaire du côté opposé (Fig. 301). Dans la région sous-optique (
Fig
. 299), il existe : 1° en avant du corps genouillé
d'intensité de haut en bas et dans la région du pédoncule cérébral (
Fig
. 300), le noyau rouge (NR), le ruban de Reil mé
s isolés qui disparaissent rapidement. Dans la région sous-optique (
Fig
. 299), il existe, en outre, une légère dégénéresc
, dans ce cas, une dégénérescence partielle du toenia thalami (tth,
Fig
. 2 ! je, 297, 298) et une dégénérescence partiell
, 298) et une dégénérescence partielle de la commissure antérieure (
Fig
. 297, 298); cette dernière relève de la lésion di
ui est connu sous le nom de commissure de Meynert (CM). (Cas Ronse,
Fig
. 297, 298 et 301.) Ce faisceau appartient donc au
ares. Dans un cas qu'il nous a été donné d'ol)sei ? er(Cas Gardette,
Fig
. 302 à 309), la dégénérescence de l'anse lentic
e, des fibres striofuges et des fibres striopètes. Cas Gardette. - (
Fig
. 302 à 309.) Ici il s'agit d'une double lésion de
e de la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne (
Fig
. 303 à 30), et du pied du pédoncule cérébral (F
capsule interne (Fig. 303 à 30), et du pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 30G à 309), dégénérescence qui peut être suivie
moelle. Il existe, en outre, une dégénérescence du locus niger Ln,
Fig
. 307 et 308) et une dégénérescence des voies aber
e : pes lemniscus profond (PLp) et pes lemniscus superficiel (PLs) (
Fig
. 308 et 309). Ces fais- ceaux s'adossent à la p
es radiées (fr) et de la lame médullaire externe (Lme) du thalamus (
Fig
. 303, 304 et 303) infiniment plus étendue que cel
ubstance de la partie antéro-ventrale du noyau externe du thalamus (
Fig
. 305), s'étendant jusqu'au champ de Forel (Fig. 3
u externe du thalamus (Fig. 305), s'étendant jusqu'au champ de Forel (
Fig
. 30G). Ce foyer lacunaire est bordé d'une couro
interne dont les cellules sont en voie de désintégration vitreuse (
Fig
. 30G et 307). Cette lésion a entraîné : 1° une
nt le segment postérieur de la capsule interne (Cip) soit en avant (
Fig
. 302 et 303) soit au niveau (Fig. 303 et or), s
capsule interne (Cip) soit en avant (Fig. 302 et 303) soit au niveau (
Fig
. 303 et or), soit en arrière (Fig. 304 et 305),
(Fig. 302 et 303) soit au niveau (Fig. 303 et or), soit en arrière (
Fig
. 304 et 305), de la zone capsulaire dégénérée (Ci
e long du bord interne du segment postérieur de la capsule interne (
Fig
. 304) au-dessus et en dedans du corps de Luys (Fi
capsule interne (Fig. 304) au-dessus et en dedans du corps de Luys (
Fig
. 305), et se présente sous la forme caractérist
t le segment postérieur de la capsule interne (Cip), soit en avant (
Fig
. 304), soit au niveau (Fig. 30a) de la zone capsu
la capsule interne (Cip), soit en avant (Fig. 304), soit au niveau (
Fig
. 30a) de la zone capsulaire dégénérée (Cip (d)) p
trer dans la constitution des lames médullaires du globus pallidus (
Fig
. 304). Malgré cette dégénérescence de l'anse le
ie antérieure du segment posté- rieur de la capsule interne (Cip), (
Fig
. 30j et 30G) ni de la partie interne du pied du
, du fascicule que ce faisceau envoie au plancher du 3e ventricule (
Fig
. 30, Fl'), de l'anse lenticulaire (Al), du globus
NGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 341 pédoncule cérébral (P) (
Fig
. 307, 308). L'anse lenticulaire n'envoie pas de f
doncule cérébral au voisinage du sillon pédonculo-protubéran- tiel (
Fig
. 309), sont dues à la dégénérescence du pes lemni
e du faisceau thala- mique de Forel (Fth) et du champ de Forci (1) (
Fig
. 30G). La partie interne de ce champ contient e
end au noyau rouge (\Il), et surtout il sa capsule de fibres (C\C) (
Fig
. 307) ; elle se confine ensuite à la partie int
fine ensuite à la partie interne delà capsule du noyau rouge (CNR) (
Fig
. 308), puis s'épuise très rapi- dement (Fig. 30
e du noyau rouge (CNR) (Fig. 308), puis s'épuise très rapi- dement (
Fig
. 309) et disparaît complètement dans la région pé
ro-interne du thalamus et s'étendant jus- qu'au champ de Forel (Fp,
Fig
. 306). Dégénérescence du faisceau thalamique (Fth
e Vicq d'Azyr (VA) et de la capsule du tubercule ma- millaire (Tm) (
Fig
. 306). Intégrité du faisceau interne du pied du p
Forel envoie à la substance grise centrale du 3e ventricule (FI') (
Fig
. 305) au-dessus des tubercules maxillaires. Il
aire (NF) et de la partie interne du corps genouillé interne (Cgi) (
Fig
. 306 et 307), malgré la dégénérescence du champ d
culaire (FI), malgré la dégénérescence de l'anse lenticulaire (Al) (
Fig
. 30t, : 30.5, 306, 30T), il n'existe dans ce cas
érescence du ruban de Reil médian (Rm), dans son trajet pédonculaire (
Fig
. 308 et 309). Ce n'est en effet que dans la rég
éline connue sous le nom de couche zonale, de stratum zonale (Strz,
Fig
. 290). Burdach distingua dans la couche optique
vues de nombreuses et courtes arborisations dépourvues d'épines (B,
Fig
. 318). Le cylindre-axe que l'on ne peut suivre
zellen), caractérisées par leur mode d'arborisation dendritique (A,
Fig
. 318). Ce sont des cellules de moyenne et petite
la manière d'un coin entre les noyaux externe (Ne) et interne (Ni) (
Fig
. 310). Il est recouvert par le stratum zonale e
lée en forme de queue, appartient à la face supérieure du thalamus (
Fig
. 310 et 7, p. 10). Les cellules nerveuses du no
xterne (Ne), puis abordent le noyau antérieur par sa partie externe(
Fig
. 291). L'origine et le lieu de terminaison de ces
udden, prend son origine dans les cellules du tubercule mamillaire (
Fig
. 274, 276 et 277) et traverse de bas en haut le
(com). 11 aborde le noyau antérieur par sa partie postéro-externe (
Fig
. 310) et y pénètre sous forme de fins fascicule
nterne n'atteintpas les limites anté- rieures de la couche optique (
Fig
. 310 et 291) et n'apparaît sur les coupes verti
au antérieur (Na) et se continue en arrière avec le pulvinar (Pul) (
Fig
. 291 et 310), Sur les coupes horizontales supérie
et le pulvinar se fusionnent sans ligne de démarcation appréciable (
Fig
. 21, p. 31). Dans la région thalamique moyenne (F
on appréciable (Fig. 21, p. 31). Dans la région thalamique moyenne (
Fig
. t3, p. 63), la limite entre ces deux noyaux es
es fibres radiées qui lui viennent par les segments antérieur(Cia) (
Fig
. 21,43,47 et Fig. 291 et 310) et postérieur (Cip)
qui lui viennent par les segments antérieur(Cia) (Fig. 21,43,47 et
Fig
. 291 et 310) et postérieur (Cip) de la capsule in
t avec beaucoup de netteté sur le fond clair du noyau interne (Ni) (
Fig
. 21). Ils affectent pour la plupart une directi
vu sur les coupes vertico-transversales, un aspect tacheté spécial (
Fig
. 284, T,1er). Ces fibres tirent leur origine de l
inférieure des noyaux interne et externe du thalamus (cas Gardette,
Fig
. 302 à 309). Le noyau interne reçoit en outre q
ons thalamiques moyenne et inférieure. Centre médian de Luys (Nm), (
Fig
. 15, 43, 47, 311). Au noyau interne de la couch
ntre médian de Luys (Nm); c'est un noyau irrégulièrement sphérique (
Fig
. 311), situé entre le pul- vinar (Pul), le noya
chsig (NF), en avant et au-dessus du corps genouillé interne (Cgi) (
Fig
. 43). Il est situé Ses connexions corticales.
prennent leur origine ou y arrivent. Lame médullaire interne (Lmi) (
Fig
. 7, 21, 43, 47, 310, 311, 323, 324. 325). La la
yau interne du noyau externe. Sur les coupes verlico-transversales (
Fig
. 7, p. '10, 323, 32u., 325), elle occupe toute
e médullaire interne, soit comme un dédoublement du stratum zonale (
Fig
. 323, 324, 325). La lame médullaire interne n'a
se présentant ainsi l'aspect d'un S italique. La courbe antérieure (
Fig
. 21, p. 31) passe en arrière du noyau antérieur,
interne n'atteint plus l'extrémité antérieure de la couche optique (
Fig
. 43, p. 63). Sur les coupes qui inté- ressent l
s coupes qui inté- ressent le tiers inférieur de la couche optique (
Fig
. 47, p. 69), la partie antérieure de la lame mé
edans, du corps genouillé interne (Cgi). Elle se dédouble en outre (
Fig
. 47, p. G9 et Fig. 311) et donne naissance à un
nouillé interne (Cgi). Elle se dédouble en outre (Fig. 47, p. G9 et
Fig
. 311) et donne naissance à une lamelle médullai
amique de Forel (Fth). Aux confins de la région sous-optique enfin (
Fig
. 312), la lamc médullaire interne, réduite encore
s par les faisceaux radiés des régions antéro-externes du thalamus (
Fig
. 310), qui traversentle noyau externe et la lam
e dans le thalamus, d'autres qui s'y terminent. Noyau externe (Ne) (
Fig
. 7, 10, Il., 21, 41, 43, 47, 310, z1, 312, 323,
sur les coupes traitées suivant les méthodes de Pal ou de Weigert (
Fig
. 21 et 43). Il est donc facile à reconnaître su
en dehors, et qui occupe les trois quarts anté- rieurs du thalamus (
Fig
. 21, p. 31). Sur les coupes vcrtico-transversales
Son étendue. 3Cî4 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ses rapports.
Fig
. 304 et 305). Ce n'est que sur les coupes plus in
que lorsque le noyau antérieur commence déjà à diminuer de volume (
Fig
. 323). Le noyau externe (Ne) enveloppe donc en
ès manifeste déjà chez l'homme (Voy. éga- lement Coupes sagittales,
Fig
. 310 et 311), est encore beaucoup plus accusée
rieur (Na), du noyau interne (Ni) et du centre médian de Luys (Nm) (
Fig
. 21). En dehors, il est recouvert par le segmen
ieure du noyau externe est recouverte par le stratum zonale (Strz) (
Fig
. 290) et concourt à former la face supérieure du
ar la toile choroïdienne et le corps du trigone (Tg) (Voy. T. le1",
Fig
. 216, p. 378). Par sa face inférieure le noyau
ieure le noyau externe repose sur la région sous- optique de Forel (
Fig
. 310, 311, 312 et 2t, p. 35). Il est en rapport d
lamique de Forel (Flli), les radiations de la calotte (RC) (T. Il ?
Fig
. 285) et le ruban de Reil médian (Rm); 4° son t
niger (Ln), la partie postérieure du pied du pédoncule céré- bral (
Fig
. 7, p. 10) (P) et avec le corps genouillé interne
rps genouillé interne (Cgi) aux confins du pulvinar (Pul) (T. Ie1",
Fig
. 287). En avant, le noyau externe concourt avec
traversé dans toute sa hauteur par le faisceau de Vicq d'Azyr (VA,
Fig
. 310). En arrière, le noyau externe se continue
l'on s'approclie davantage des régions ventrales du noyau externe (
Fig
. 21, p. 31 et u3 p. 63). Dans ces régions, le n
ieur (BrQa) et le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) (
Fig
. 312, Fig. 17, p. 69 et Fig. 24, p. 35). Le noy
) et le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) (Fig. 312,
Fig
. 17, p. 69 et Fig. 24, p. 35). Le noyau externe
bercule quadrijumeau postérieur (BrQp) (Fig. 312, Fig. 17, p. 69 et
Fig
. 24, p. 35). Le noyau externe reçoit par toute
iées qui suivent le segment, antérieur de la capsule interne (Cia) (
Fig
. 291 el 21, p. 31) et pénètrent en pinceau dans
vu sur les coupes vertico-transversales, un aspect Lâcheté spécial (
Fig
. 323, 324, va). Les fibres qui lui arrivent par
nées parallèlement à leur axe sur les coupes vertico-transvcrsales (
Fig
. 7, p. 10) et plus ou moins obliquement sur les
7, p. 10) et plus ou moins obliquement sur les coupes horizontales (
Fig
. 291 et T. ler, Fig. 305 à 307). Particulièrement
moins obliquement sur les coupes horizontales (Fig. 291 et T. ler,
Fig
. 305 à 307). Particulièrement abondantes dans l
externe (Lme) du thalamus et au faisceau thalamique de Forel (Flh) (
Fig
. 47, p. 69), faisceau volumineux qui occupe les
ur nos coupes sous le nom de région du ruban de Reil médian (RgRm) (
Fig
. 47, p. 69 et Fig. 312) et se continuent dans l
le nom de région du ruban de Reil médian (RgRm) (Fig. 47, p. 69 et
Fig
. 312) et se continuent dans la région sous-optiqu
ne se trouve plus sur le prolongement du segment postérieur (Cip) (
Fig
. 21, p. 31). Dans la région du noyau externe, l
n segment pos- térietir. 1. Noyau semi-lunaire de Flechsig (NF), (
Fig
. 47, 312, 311), (Schalen- formigerKorper,v.Tsch
e, il ebt en rapport avec la région du ruban de Reil médian (RgRm) (
Fig
. 47 et 312); en bas, il repose sur la région so
les radiations du noyau rouge. 2. Zone réticulée ou grillagée (Zr) (
Fig
. 29, 43). La zone grillagée se rat facile au no
rel (Fth), et se continue avec la zona incerta du même auteur (Zi) (
Fig
. 32. Le segment postérieur de la zone réticulée
ntérieur, et forme avec ce dernier un angle obtus ouvert en dehors (
Fig
. 43, p. 63). Dans les régions thalamiques infér
ulaire de Wernicke vient coiffer le corps genouillé externe (Câc), (
Fig
. 312 et 47, p. G9). La partie posté- GANGLIONS
e. - Méthode de Weigert (voy. des- cription de cette coupe, T. Ier,
Fig
. 30ru, p. 612). Alv, alvéus. - 1.11, avant-mur.
ieure du segment postérieur de la zone réticulée disparait bientôt (
Fig
. 47, p. 69), et ce segment se trouve alors réduit
ntre le corps genouillé externe (Cge) et le faisceau de Turck (FT) (
Fig
. 312). Ces deux segments. de la zone réticulée
rtie antéro-inférieure du noyau externe de Burdach. Pulvinar (Pul.,
Fig
. 295, 310, 311, 313). Rattaché suivant les aute
(Tgp) et plus médiatement le bourrelet du corps calleux (Ce [Spl],
Fig
. 310 et 311). 11 constitue l'extrémité postérie
Les premières montrent nettement la courbe décrite par le pulvinar (
Fig
. 311, 282); les autres, les rapports de ce gang
les autres, les rapports de ce ganglion avec les corps genouillés (
Fig
. 47, 312,24 et Fig. 48, 25, 12). En haut et e
pports de ce ganglion avec les corps genouillés (Fig. 47, 312,24 et
Fig
. 48, 25, 12). En haut et en avant, le pulvinar
ie le démontre, à la surface exté- rieure du cerveau intermédiaire (
Fig
. 310). La face externe du pulvinar est adhérent
en particulier par le faisceau temporo-thala- mique d'Arnold (fTth,
Fig
. 313). Elle est convexe, et fait une saillie be
base infé- rieure, que Wernicke a comparée à une corne d'abondance (
Fig
. 313). En haut, il s'effile et s'implante sur l
e (Cge) qui se loge dans sa concavité. Sur les coupes horizontales (
Fig
. 295), ce champ affecte la forme d'une gouttièr
es fibres verticales du champ de Wernicke en rangées transversales (
Fig
. 295). Sur les coupes horizontales sériées, le
es de Weigert et de Pal. Sur les coupes horizontales supé- rieures (
Fig
. 21, p. 311 il est impossible de délimiter le pul
est impossible de délimiter le pulvinar du noyau interne. Plus bas (
Fig
. 43, p. G3), la limite est constituée par le gang
l'habenula (Gh) et le centre médian de Luys (Nm). Plus bas encore (
Fig
. 47, p. 69), aux confins delà région sous-optique
face inféro-externe du lobe temporal. Corps genouillé externe (Cge,
Fig
. 12, 16, 24, 25, 28, 30, 47, 282, 295, 312, 313
de ce ganglion est en rapport avec la substance grise du pulvinar (
Fig
. 313), et dans les régions inférieures (Fig. 31
ance grise du pulvinar (Fig. 313), et dans les régions inférieures (
Fig
. 312 et 47, p. 69)avec le bras du tuber- cule q
t tapissée par le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (Br Qa) (
Fig
. 47, p. 69) et par le segment postérieur de la zo
47, p. 69) et par le segment postérieur de la zone réticulée (Zr) (
Fig
. 312) qui, s'insinuant entre le segment postérieu
tent en relation avec un nombre considérable de cellules nerveuses (
Fig
. 314 c, D). Les fibres profondes traversent le
de la calotte du pédoncule cérébral et sur les coupes horizontales (
Fig
. 28, p. 43 et 47, p. 69), apparaît aux confins
de Flechsig (NF) et de la région du ruban de Reil mé- clian (rgRm) (
Fig
. 47, p. 69 et Fig. 312). Plus bas, aux confins de
t de la région du ruban de Reil mé- clian (rgRm) (Fig. 47, p. 69 et
Fig
. 312). Plus bas, aux confins de la calotte du p
g. 312). Plus bas, aux confins de la calotte du pédoncule cérébral (
Fig
. 24, p. 33), lorsque le corps genouillé interne
u postérieur (BrQp) le sépare en avant du ruban de Reil médian (Rm,
Fig
. 313). Le corps genouillé interne est dépourvu
reux fascicules de libres radiées qui s'irradient dans son intérieur (
Fig
. 48, p. 71) (V. radiations cortico-genouillées
a partie postérieure du segment postérieur de la cap- sule interne (
Fig
. 295), puis entrent dans le segment sous-lenticul
a sub- stance blanche des circonvolutions rolandiques (cas Hilaire,
Fig
. 286 p. 313) la dégéné- * rescence occupe, dans
ale (cas Longery, Richard). Dans l'un des cas (cas Longery, p. 187,
Fig
. 197 à 212), l'écorce et partant son sys- tème
n faisaient complètement défaut; dans l'autre (cas Richard, p. 198,
Fig
. 213 à 231), l'écorce était développée en partie,
libres radiées qui s'en- chevêtrent au niveau de la zone ré)icuIée(
Fig
. 31 et 31G) puis remontent dans la capsule inte
èrent soit à la suile de lésions du corps strié (Cas Ronse, p. 330,
Fig
. 29fi à 301), soit consécuti- vement à une lési
it consécuti- vement à une lésion thalamique (Cas Gardette, p. 336,
Fig
. 302 à 309). 3. Connexions de la couche optique
s un cas d'agénésie du manteau cérébral. (Voy. Cas Longery, p. 186,
Fig
. 197 a 212.) 374 ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
us et traitées à l'aide de la méthode de Marchi (Voy. cas Gardette,
Fig
. 302 à 309 p. 338). Mais ces fibres sont en gén
issure postérieure (cop) l'ail saillie dans l'aqueduc de Sylvius (
Fig
. 317), rétrécit sa cavité immédiate- ment en av
triangle sous-pinéal une striation trans- versale très manifeste (
Fig
. 339). C'est un faisceau volumineux, formé par
s'amin- cissent dans la lame inférieure de la glande pinéale (Gp,
Fig
. 317), au-des- sous du diverliculepinéal; les f
r (Qa). Cette disposition très manifeste sur les coupes sagittales (
Fig
. 31 i; explique pourquoi sur certaines coupes hor
i; explique pourquoi sur certaines coupes hori- zontales obliques (
Fig
. 320 et 321, T. ICI') qui sectionnent les deux la
ssure inlerhahenulaire et le ganglion de l'habenula du côté croisé (
Fig
. 320), mais la commissure postérieure était tou
ptique, le tubercule quadri- jumeau antérieur et la glande pinéale (
Fig
. 321, 338, 339). Il est La couche optique n'c
taenia tha- lami qui le met en connexion avec l'aire olfactive (
Fig
. 3 1 9) ; il émet un faisceau com- pact de fi
u rétroflexe (fut) (Meynert), ou faisceau de Meynert ( Forci ) (
Fig
. 321) qui le relie a la caiowe peuoncuiaire, en
ctéristiques et remar- quables par leur petitesse et leur nombre (
Fig
. 318). Serrées les unes contre les autres et
se et enchevêtré, fourni par les fibres internes du trenia thalami (
Fig
. 319), et tout à fait analogue aux nids péricellu
es cellules de Purkinje du cervelet. Les cellules du noyau externe (
Fig
. 318) sont très analogues à celles du thalamus;
le ganglion de l'habenula homolatéral et dans celui du côté opposé (
Fig
. 320, voy. aussi cas Caillot, Fig. 283, cas Hilai
ral et dans celui du côté opposé (Fig. 320, voy. aussi cas Caillot,
Fig
. 283, cas Hilaire, Fig. 287). Une autre partie
té opposé (Fig. 320, voy. aussi cas Caillot, Fig. 283, cas Hilaire,
Fig
. 287). Une autre partie provient des différents
Elles suivent le trajet des radial ions olfactives profondes (Rolp) (
Fig
. `>5't) et du faisceau septo-thalamique (fst
ndes (Rolp) (Fig. `>5't) et du faisceau septo-thalamique (fsth) (
Fig
. 253), passent au-dessous de la commissure anté
ne l'ont pas non plus rencontrée. Commissure interhabénulaire (cih,
Fig
. 317 et 320). - La commissure interhabénulaire
la suite de certaines lésions étendues de la corticalité cérébrale (
Fig
. 320). La commissure interhabe- nulaire reçoit
rit de chaque côté du troisième ventricule une courbe en forme d'S (
Fig
. 3l). La courbe supérieure à convexité externe, t
UCIIE OPTIQUE. 3si ganglion de l'habenula, ce faisceau est situé (
Fig
. 47, p. 69) : en dedans du centre médian de Luy
e recouvre, en dedans, de la commissure interhabenulaire. Plus bas (
Fig
. 28, p. 43), il se place en avant du ruban de R
an (Rm), en dehors et en avant du faisceau longitudinal postérieur (
Fig
. 321). Puis il traverse de haut en bas, de deho
rizontales détermine dans ce dernier une échancrure assez profonde (
Fig
. 320, 321 et 322, T. le ? p. 641 et suiv.) cons
e du noyau rouge. Arrivé à la partie inféro-interne du noyau rouge (
Fig
. 323, T. le ? et Fig. 321), le fais- ceau rétro
ivé à la partie inféro-interne du noyau rouge (Fig. 323, T. le ? et
Fig
. 321), le fais- ceau rétrollexe se confond avec
cylindres-axes des petites cellules du noyau interne de l'habenula (
Fig
. 318 A); les autres, volumineuses et pourvues d
disposés sur une'ligne légèrement courbe, à concavité postérieure (
Fig
. 319, p. 639, T. ICI'). Sur les préparations co
Cajal l'ont constaté de visu, dans le ganglion interpédon- culaire (
Fig
. 322). La prédominance de ces fibres chez les mam
u ganglion et sont situés sur plusieurs plans vertico-transversaux (
Fig
. 322). Gudden et Ganser avaient du reste signal
fibres se détachent du ganglion de chaque côté de la ligne médiane (
Fig
. 332), se portent sagittalement d'avant en arrièr
mis- sure interhabénulaire, mais à la, face supérieure du conarium (
Fig
. 317) et au voisinage de son sommet, ainsi que
de Jteynert. Sa forme. La région sous-optique ou sous-thalamique (
Fig
. 21" 28, 33, 7, 15, 253, 310, 311, 323, 324, 32
uée dans le cerveau humain et très nette sur les coupes sagittales (
Fig
. 310) que les faisceaux sagittaux qui traversent
s deux tiers posléro-inféricurs à la calotte du pédoncule cérébral (
Fig
. 310, p. 348). Considérée dans son ensemble, la
affectera par conséquent la forme d'un triangle à sommet antérieur (
Fig
. 21, p. 33), d'autant plus étendu que l'on examin
des coupes plus supérieures; sur les coupes vertico-transversales (
Fig
. 323, 321, 325), elle est de forme quadrilatéra
sagittales, elle forme un triangle très allongé à sommet antérieur (
Fig
. 310). Il résulte en outre de l'inclinaison de
meau antérieur, ainsi que le montre nettement la coupe horizontale (
Fig
. 312, p. 359) qui passe à la limite du thalamus
entre le faisceau de Vicq d'Azyr cl le pilier antérieur du trigone (
Fig
. 310 et 312). En haut, le sillon de Monro const
r-pédonculaire séparent la région sous-optique droite de la gauche (
Fig
. 323, 324, 325). La face externe de la région s
a région de la calotte par les corps genouillés externe et interne (
Fig
. 312). Le sommet de la région sous-optique corr
re, le corps de Luys. 1. COUCHE DORSALE DE LA RÉGION SOUS-OPTIQUE. (
Fig
. 24, 28, 46, 47, 7, 253, 310, 323, 321r, 325.)
s longitudinales de la calotte pédonculaire, et forme à elle seule (
Fig
. 323) la partie de la région sous-optique située
laire et thalamique de Forel. Le faisceau lenticulaire (FI, p. 327,
Fig
. 24, 28, 78, 203, 204, 46, 253, 310, 323, 324, 32
p. 327, Fig. 24, 28, 78, 203, 204, 46, 253, 310, 323, 324, 325, et
Fig
. 318, T. Ie') large et épais, limite la région
fibres qui entoure le corps de Luys. Le faisceau thalamique (Fth) (
Fig
. 7, 24, 28, 47, 253, 312, 324, 325), beaucoup p
as le plan vertico-trans- versal de la commissure molle ou moyenne (
Fig
. 312, 2 et 324); il fait corps avec la lame méd
es de fibres enchevêtrées. Dans le plan des tubercules mamillaires (
Fig
. 324), la région sous-optique change d'aspect :
la région sous- optique, et qui représente le champ de Forel. (F) (
Fig
203. 204, 324, 325). Celui-ci est surtout const
itent le noyau semilunaire de Flechsig et le centre médian de Luys (
Fig
. 312, 324, 22); il reçoit en outre la partie po
u de Tiirck et le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (
Fig
. 312). Le champ de Forel, comme les faisceaux t
sales, et reçoit le faisceau de la calotte de Gudden (voy. p. 300 et
Fig
. 277). Ainsi constitué, le champ de Forel repré
y. Région de la calotte, IIIe partie). 2. CORPS DE LUYS (Forel). - (
Fig
. 15, 16, 21, 28, 33, 44, 46, iS, 203, 204, 253,
oupes qui passent par la partie moyenne des tubercules mamillaires (
Fig
. 321.), Corps de Luys, Sa situation à 1a la
avec la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne (
Fig
. 24, 1'ts. 324. - Coupe vei tico-transversale p
'abord les deuxième et troisième cinquièmes internes de ce segment (
Fig
. 28, p. 42), puis les trois cinquièmes internes (
de ce segment (Fig. 28, p. 42), puis les trois cinquièmes internes (
Fig
. 33, p. 48) et atteint ses plus grandes dimensi
ied du pédoncule cérébral et de la région sous-optique. Il diminue (
Fig
. 44, p. 64) ensuite graduellement de volume tou
ibrement à la base du cerveau, au-dessous de la bandelette optique (
Fig
. 34, p. 50). Sur les coupes sagittales sériées,
le formé par le pied du pédoncule céré- bral et la capsule interne (
Fig
. 311). On peut décrire au corps de Luys deux fa
au externe du thalamus, et d'avant en arrière du champ de Forel (F,
Fig
2S1. T. Ils), du faisceau thalamique de Forel (
e Forel (F, Fig 2S1. T. Ils), du faisceau thalamique de Forel (Fth,
Fig
. 324, 24, p. 35) des radiations de la calotte (Fi
e de Forel (Fth, Fig. 324, 24, p. 35) des radiations de la calotte (
Fig
. 28, p. 43) et de la partie antéro-externe du n
tte (Fig. 28, p. 43) et de la partie antéro-externe du noyau rouge (
Fig
. 33, p. 49). La face ventrale ou in/'él'o-e,r;l
e la bandelette optique et du segment interne du . globus pallidus (
Fig
. 324, 325). Le bord externe est en même temps s
st en rapport avec la partie interne du pied du pédoncule cérébral (
Fig
. 32 et 325). L'extrémité postérieure du corps d
ièrement nette sur les coupes horizontales et sagit- tales sériées (
Fig
. 24, 28, 33, 44, 48, 46, 253, 254, 311). Le fai
é cérébrale sans participation des corps opto-striés (cas Pra- del,
Fig
. 78, cas Rivaud, Fig. 148, 149), soit dans les an
icipation des corps opto-striés (cas Pra- del, Fig. 78, cas Rivaud,
Fig
. 148, 149), soit dans les anomalies d'évolu- ti
rce cérébrale et du système de projection corticale (cas Lon- gery,
Fig
. 203, 20ut, cas Richard, Fig. 226 à 228), soit en
e projection corticale (cas Lon- gery, Fig. 203, 20ut, cas Richard,
Fig
. 226 à 228), soit encore dans les cas de dégéné
noyau lenticulaire et traitées par la méthode de Marchi (cas Ronse,
Fig
. 298). Le corps de Luys elle système des radiat
IQUE. 401 lequel elles s'irradient (Déjerine et Long) (cas Caillot,
Fig
. 283 et 284 et cas Hilaire, Fig. 287 et 288). L
nt (Déjerine et Long) (cas Caillot, Fig. 283 et 284 et cas Hilaire,
Fig
. 287 et 288). Le corps de Luys reçoit donc quelqu
06) qui occupe la sub- stance grise de l'espace perforé postérieur (
Fig
. 325) ; ces fibres relient probablement le corp
e Meynert ne peut relever que de la lésion lenticulaire (cas Ronse,
Fig
. 297, 298 et 301). Le corps de Luys est-il en c
de chaque côté un ou plusieurs petits amas gan- glionnaires (Es,El,
Fig
. 333), tantôt insignifiants, tantôt proéminents,
re confondues avec le petit tubercule mamillaire acces- soire (Tma,
Fig
. 333) en avant et en dedans duquel elles sont sit
a calotte, IIIe partie). La commissure sous-thalamique postérieure (
Fig
. 325) est en rapport de chaque côté avec le fai
ance grise centrale, ainsi que nous l'avons figuré dans le T. le,, (
Fig
. 321), et forment avec celles du côté opposé une
ux de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral (Voy. T. 1er,
Fig
. 191, p. 326). Meynert, Forel, Gudden n'ont pu
ininterrompue de coupes hori- zontales obliques en avant et en bas (
Fig
. 320 à 328, T. Ie ? p. G 1 ). La commissure de
de Marchi) par suite de la lésion du noyau lenticulaire (cas Ronse,
Fig
. 297, 298, 301), soit dans les dégénérescences
s de la commissure de Meynert avec le corps de Luys du côté croisé (
Fig
. 301). Quoi qu'il en soit, si notre interprétat
du chiasma et inscrit dans l'arc de la commissure de Meynert (FTc) (
Fig
. 321, T. 1'), on trouve un petit entre- croisem
jusque dans la substance grise centrale de l'aqueduc deSylvius(fTc,
Fig
. 262, p. 282). Ces coupes montrent en outre, mi
- ! \IEYNERT. Commissitr im centralen Hohlengrau. Strickers Handb.,
Fig
. 246 A p. 732. V. Monakow. Experim. u. path. an
es qui appartiennent au trijumeau (Brunn, Lenhossek). Voy. T. leur,
Fig
. 3G9, p. 733. Leur corps cellulaire est bipolai
s arborisations libres dans les glomérules olfactifs (Voy. T. Nier,
Fig
. 370, p. 3715). Plusieurs fibres olfactives abo
eux par la partie, olfactive de la commissure antérieure (Rolp, 1,
Fig
. 327) ; ils sont reliés au cerveau moyen par le
ues fibres qui se rendent directement dans le tubercule mamillaire (
Fig
. 327, Rolp, 5). Toutes ces fibres constituent'
(FG), les relient à la calotte p édonculo.-pro Liib é Pan[ i elle (
Fig
. 327). 1° Le bulbe olfactif (Fig. 326) est le r
édonculo.-pro Liib é Pan[ i elle (Fig. 327). 1° Le bulbe olfactif (
Fig
. 326) est le relais d'arrivée du neurone péri-
ns olfactives pro- fondes (Rolp) et le taenia semicircularis (tsc) (
Fig
. 327). Les radiations olfactives profondes reli
ancini (sL) et du faisceau olfaclif du Irigone (Fol), d'autre part (
Fig
. 327) ; 2° Au cerveau intermédiaire : a) Par qu
ns la formation réticulée de la calotte pédonculaire (Rolp, 4 et 5,
Fig
. 327) ; b) Par le faisceau septo-lhala- mique (
'intermédiaire des fibres que nous avons décrites (Voy. cas Rivaud,
Fig
. 160, p. 162). Il contient en outre quelques fibr
ommissure antérieure, se rendent dans le lobe olfactif croisé (coa,
Fig
. 327). Fig. 327. - Les voies olfactives central
érieure, se rendent dans le lobe olfactif croisé (coa, Fig. 327).
Fig
. 327. - Les voies olfactives centrales. (Systèmes
Les centres olfactifs secondaires ou corticaux sont repré- sentés (
Fig
. 327) par la corne d'Ammon (CA), le fascia dentat
subiculum et au reste de la circonvolution de l'hippo- campe (Voy.
Fig
. 351, T. le,*), les fibres moussues des grains de
tend au cuneus (C), au lobe lingual (Lg) et à la pointe occipitale (
Fig
. 215). Les deux segments de l'appareil visucl s
hes, si étendues, si denses et si complexes des fibres rétiniennes (
Fig
. 314) entourent un nombre considérable de cellu
a et les deux nerfs optiques d'autre part (Voy. cas Cogery, p. 173,
Fig
. 174 à 180 et cas Dautriche, p. 182, Fig. 192 à
(Voy. cas Cogery, p. 173, Fig. 174 à 180 et cas Dautriche, p. 182,
Fig
. 192 à 196). Les dégénérescences consécutives a
des radiations optiques de Gratiolet (Voy. cas Cour- rière, p. 109,
Fig
. 80 à 86; cas Bras, p. 1-15, Fig. 87 à 95) ne dép
let (Voy. cas Cour- rière, p. 109, Fig. 80 à 86; cas Bras, p. 1-15,
Fig
. 87 à 95) ne dépassent pas, en général, les cen
faisceau maculo-papillaire ou simplement de faisceau maculaire (fm,
Fig
. 328 et mn, mt, Fig. 329), qui se porte transvers
llaire ou simplement de faisceau maculaire (fm, Fig. 328 et mn, mt,
Fig
. 329), qui se porte transversale- ment en dehor
bres du nerf optique. Les fibres de la partie inlerne ou nasale (N,
Fig
. 329), de la rétine convergent radiairement ver
ciproques le long du nerf, du chiasma et de la bandelette optiques (
Fig
. 329). Immédiatement en arrière du globe oculai
ire, le groupement des fais- ceaux est le même que dans la papille (
Fig
. 329,1). Le faisceau maculaire (mn, mt) occupe
le sorte que sa base devient centrale et son som- met périphérique (
Fig
. 329,2). Plus en arrière encore, dans la partie n
orme d'un ovale vertical qui longe encore le côté temporal du nerf (
Fig
. 329,3), puis il devient central et s'aplatit d
e du trou optique et dans le trajet intra- cranien du nerf optique (
Fig
. 329,4). Avec la migration du faisceau maculair
seul faisceau qui occupe la partie inféro-externe du nerf optique (
Fig
. 329, 3) et entoure dans la région intra-cranienn
intra-cranienne le faisceau maculaire d'une sorte de fer à cheval (
Fig
. 324,4). La fusion des deux faisceaux temporaux
centrale que dans le nerf optique et qu'il forme un faisceau fermé (
Fig
. 329, 5, 6, 7). Il n'en est pas de même du fais
utre dans le chiasma et dans la bandelette. Le faisceau nasal (fn
Fig
. 330), en traversant le chiasma, diverge en for
interne de la bandelette controlalérale. Le faisceau teîzpnî,al(ft,
Fig
. 330) ne constitue pas, en général, comme l'adm
occuperaient la partie dorso-latérale de la bandelette optique (p,
Fig
. 329) ; d'après v. Monakow elles se termineraient
s visuelles de la bandelette par le lui calibre de ses fibres (C G,
Fig
. 274). Ce faisceau persiste intact après l'énuclé
e de Vieussens et décrite par Ilis sous le nom d'isthme postérieur (
Fig
. 337). Le cervelet embrasse le tronc encéphaliq
férieure un sillon plus ou moins mar- qué suivant les sujets (eoc),
Fig
. 332). Il n'affecte qu'un rapport éloigné avec
paires et symétriques, les hémisphères cérébelleux ou lobes (1-ICv,
Fig
. 331, 332 et 333) réunis par une partie médiane
formes, et à sa situation celui du lobe moyen du cervelet. (Vs, Vi,
Fig
. 331, 332, 338, 339, 340, 31l). Dans la série d
t, il faut ou hier pratiquer la coupe dite de Meynert (Voy. T. 1er,
Fig
. 3 et 4), c'est-à-dir( séparer le manteau céréb
que le cervelet présente une face supérieure inclinée en dos d'àne (
Fig
. 312, 310), une face inférieure irrégulière et bo
s d'àne (Fig. 312, 310), une face inférieure irrégulière et bombée (
Fig
. 332, 333, 3 il) et une grande circonférence. Lor
encéphalique, on voit qu'il présente en outre une face antérieure (
Fig
. 334) concave, dans laquelle le quatrième ventric
du toit ou de le tente du quatrième ventricule. Face supérieure (
Fig
. 331, 338, 339, 340, 312). - Vu par sa face sup
au-dessus du toit du qua- trième ventricule et du hile du cervelet (
Fig
. : 331, el 33G). On considère à la face supérie
uperficiel, le sillon longitudinal supérieur (sis) droit et gauche (
Fig
. 339, 31O), simple (lépres- sion qui loge une d
ou faite, le culmen (VCu) et un revers ou pente, le déclive (Vdc) (
Fig
. 338, 339). Les anciens anatomisles (Malacarne,
d'Azyr (ssV) (sillon postérieur et supérieur de quelques auleurs) (
Fig
. 331, 338, 339) qui atteint en dedans le fond d
le en dedans et constitue le lobe postérieur (LP). Face inférieure (
Fig
. 332, 333, 3H). - La face inférieure ou occi- p
u encore le sectionner au voisinage du sillon bulbo-protubérantiel (
Fig
. 332). Le vermis inférieur se présente alors so
'une est antérieure, l'autre postérieure, les deux autres externes (
Fig
. 3 i e). Le sommet de la pyramide est connu sou
'échancrure marsupiale, au niveau des lames transversales d'Arnold (
Fig
. 332). La crête antérieure, se porte en avant et
en triculaire, la toile et les plexus choroïdiens du 4e ventricule (
Fig
. 336). Elle comprend deux lobules nettement dél
délimités : le nodule (No) en avant, et la luette (Uv) en arrière (
Fig
. 31). Deux profonds sillons, convexes en dehors
en avant où ils aboutissent au nid de pigeon ou d'hirondelle (Voy.
Fig
. 315 et p. 471), ils deviennent plus super- fic
' empreinte jugulaire de Henle (lî21l)i-essioj ? tgzila2,i.9) (eoc,
Fig
. 332) qui correspond au rebord du trou occipital
zyr). Un profond sillon, le sillon inférieur de Vicq d'A ? yr (siV,
Fig
. 333), l'homologue du sillon supérieur, divise la
ui sont antérieurs, postérieurs et externes. Les bords antérieurs, (
Fig
. 333) obliques en arrière et en dehors, lon- ge
tale du sinus latéral. Un profond sillon, le grand sillon circonfé-
Fig
. 333. -L'espace opto-pédollculaire et le rhombenc
. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 4M rentiel de Vicq d'Azyr (scf) (
Fig
. 338, 340, 32) ou grand sillon horizon- 1(il de
centrale le diverticule angulaire du toit du quatrième ventricule (
Fig
. 331); de chaque côté, le hile du cervelet (hCv
tronc encéphalique passe en arrière du trijumeau (côté gauche de la
Fig
. 331.). la surface de section intéresse les trois
pour peu que la coupe passe en avant du trijumeau (côté droit de la
Fig
. 33, il est en général facile de reconnaître da
oncentrique est surtout manifeste à la face supérieure du cervelet (
Fig
. 338) et dans la région postéro-externe de la f
(Fig. 338) et dans la région postéro-externe de la face inférieure (
Fig
. 333). Dans la région antéro-interne de cette f
et que les sillons de l'amygdale sont presque antéro- postérieurs (
Fig
. 333). Sur un cervelet recouvert de la pie-mère
postérieurs (Fig. 333). Sur un cervelet recouvert de la pie-mère (
Fig
. 331), ces sillons parais- sent tous égaux en p
u en pratiquant des coupes sagittales du vermis ou des hémisphères (
Fig
. 336, 358, 359), on constate qu'ils pénètrent à
ent et quadruplent ainsi l'écorce cérébelleuse visible àla surface (
Fig
. 336, 339, 3111, 31-3). Quelques- unes de ces l
lon ou se portent obliquement d'une lèvre à l'autre du même sillon (
Fig
. 341 et 343), disposition déjàsignalée et ligurée
s parties hémisphériques possèdent une partie médiane très réduite (
Fig
. 341 el 343). De cette façon s'explique l'inéga
s rudimentaires, comme la lingula et le lobule central par exemple (
Fig
. 337); tel lobe, très épais au niveau des hémi-
ÉPHALE. -117 bourgeon terminal (Bt) el le tubercule va/vu/aire (Tv.
Fig
. 311) tandis que le lobule grêle n'est représen
lons profonds que le vermis, ainsi que le montre la comparaison des
Fig
. 358 et 359 intéressant une coupe sagittale du ve
lamelles dans la région vermienne et dans la région hémisphérique (
Fig
. 335). Dans le lobe supérieur (LS), la région m
et, se continuent directement avec celles de la région du vermis (
Fig
. 335). Les trois lobes inférieurs (LL) (lobe
bstance blanche incomplète- ment revêtue par l'écorce cérébelleuse (
Fig
. 31 ? ). La crête d'union du lobe Fic. 33 ? - .
jumeaux, de chaque côté par les sillons marginaux antérieurs (sma) (
Fig
. 334) dont il forme la lèvre supérieure, en arr
ant plus volumineux qu'ils occupent une situation plus postérieure (
Fig
. 336). Leurs parties hémisphériques se fusionne
re communs. Sillons limitant 4M ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fig
. 336. Les lobes primordiaux et les secondaires du
onds dans leur partie moyenne que dans leur parties hémisphériques (
Fig
. 338 et 339). Le sillon précentral est le moins
le plus antérieur; il sépare le lobe de la lingula du lobe central (
Fig
. 336) et devient rapidement superficiel sur ses
ermis, il atteint généralement la masse blanche centrale du vermis (
Fig
. 336) et sépare le lobe central de la branche v
e à angle droit dans le tiers interne du sillon marginal antérieur (
Fig
. 334). Il atteint sa plus grande profondeur dan
on du vermis où il sépare, comme le montrent les coupes sagittales (
Fig
. 336), la branche verti- cale de l'arbre de vie
Lobe de la lingula : lingula (Lig) et freins de la lingula (Lig') (
Fig
. 334, 336 et 337). Le lobe de la lingula est prof
ppliqué sur les deux tiers infé- rieurs de la valvule de Vieussens (
Fig
. 337), entre les deux pédoncules cérébelleux su
de sa facc postérieure. le lobule central et le lobule du culmen (
Fig
. 337), ou encore pratiquer une coupe sagittale
culmen (Fig. 337), ou encore pratiquer une coupe sagittale médiane (
Fig
. 336). Le lobe de la lingula se présente alors
ésentent la par- lie hémisphérique rudimentaire de ce petitlohe(
Fig
.337). La face anté- rieure fait corps avec
des pédoncules céré- belleux moyens. Les coupes sagit- tales (
Fig
. 336) montrent en effet que la lingula re-
la, accessoire ou dédoublée, appliquée sur la valvulc de Vieussens (
Fig
. 336). La base du lobe de la lingula se continu
s. II. Lobe central : lobule central et ailes du lobule central. (
Fig
. 336, 33 i, 339). Plus volumineux que le lobe de
ntent en formant les ailes du lobule central. La face antérieure (
Fig
. 331) recouvre, au niveau du vermis, la lingula,
ux postérieurs. La face postérieure, plus étendue que l'antérieure (
Fig
. 336), est recou- verte par le lobe du culmen d
sert de limite aux ailes ou parties hémisphériques du lobe central (
Fig
. 334, 339). La base d'implantation de ce lobe e
tuée dans la région du vermis en avant de la branche verticale (bv,
Fig
. 336) de l'arbre de vie médian qu'elle contribu
eins de la lingula et la large base du lobe quadrilatère antérieur (
Fig
. 358). Les faces antérieure et postérieure et l
e du culmen : culmen(V, Cu) et lobe quadriltère anté- rieur (Lqa). (
Fig
. 338, 339, 336, 3u.2, 358, 359, 360.) Ce lobe occ
s à l'échancrure semi-lunaire; tantôt, comme dans le cervelet de la
Fig
. 339, ils présentent la disposition suivante :
sentent la disposition suivante : Le lobule le plus antérieur (1,
Fig
. 339) appartient à l'hémisphère droit, limite le
édian et qui atteint seule la substance blanche centrale du vermis (
Fig
. 336). Dans la région des hémisphères, les sillon
s sagittales sériées rendent nettement compte de cette disposition (
Fig
. 336, 358, 359, 360). IV. - Lobe du déclive (
déclive (V,dc) : déclive et lobe quadrilatère postérieur (Lqp). - (
Fig
. 338, 339, 340, 341, 342, 336, 358, 359, 360).
térieure forme la lèvre postérieure du sillon transverse antérieur (
Fig
. 336). Elle est tapissée, surtout dans sa partie
nt plus profonds et le délimitent mieux des parties hémisphériques (
Fig
. 339). Trois à quatre sillons interlobulaires s
ternes décrivent une courbe à concavité anlé- rieure et inférieure (
Fig
. 311), puis se ,jettent sur le lobe postérieur et
s fibres dans la branche horizontale (bh) de l'arbre de vie médian (
Fig
. 336). La base d'inser- tion de ce lobe est lar
élargit considérablement au voisinage du sillon marginal antérieur (
Fig
. 358, 359, 360). II. LOBE POSTÉRIEUR OU LOBE DE
prolonge- ment de la branche horizontale de l'arbre de vie médian (
Fig
. 336). Lapartie inférieure, beaucoup plus consi
et le sillon inférieur. Le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV) (
Fig
. 336, 338,339, 340,341), qui porte encore les n
rofondeur dessillons inler- lobulaires qui segmentent le monticule (
Fig
. 341 et Coupes sagittales, Fig. 336, 358, 359,
ulaires qui segmentent le monticule (Fig. 341 et Coupes sagittales,
Fig
. 336, 358, 359, 3G0), le sillon supérieur devient
nent la face supérieure du cervelet même recouvert de ses méninges (
Fig
. 331), - grâce à la disposition des lamelles qui
s (Fig. 331), - grâce à la disposition des lamelles qui le bordent (
Fig
. 338). Les lamelles de sa lèvre antérieure, qui a
n- crurc marsupiale (cm). Lorsqu'on écarte les lèvres de ce sillon (
Fig
, : H3¡, FIC, 311. - Le sillon supérieur de Vicq
supérieur de Vicq d'Azyr ont été écartées.) Même pièce que celle des
Fig
. 339, 3'rl, 313, 314. 131, bourgeon terminal.
s ce cas par une lamelle sessile adhérente au tubercule valvulaire (
Fig
. 341). Fig. 342. - Face latérale du rhombencéph
une lamelle sessile adhérente au tubercule valvulaire (Fig. 341).
Fig
. 342. - Face latérale du rhombencéphale : les lob
aphie d'une pièce durcie dans le formol. - Même pièce que celle des
Fig
. 340,338 et 334. B, bulbe rachidien. - BrQp, br
DU RHOMBENCÉPHALE. t6 : ; Le sillon inférieur de Vicq d'Azyr (siV) (
Fig
. 3H-), l'homologue du sillon supérieur du même
aphie d'une pièce durcie dans l'alcool. - Même pièce que celles des
Fig
. 339, 31, 344.) 131, bourgeon terminal. - f.r¡p
le présente constamment un mince lobule aplati en lame de couteau, (
Fig
. 341) très bien délimité, situé dans la profondeu
vilignes et sensiblement parallèles au bord postérieur du cervelet (
Fig
. 341). Les lamelles et lobules de la face inné-
nds dans leur partie moyenne, et super- ficiels à leurs extrémités (
Fig
. 33). Les plus inférieurs et les plus anté- rie
gle droit ou à angle aigu sur une lamelle de concentration commune (
Fig
. 313), d'inégale épaisseur qui occupe les bords d
lobe précédent, c'est-à-dire avec le bourgeon terminal. Fusionnés (
Fig
. 313), ces lobes forment une petite masse que l
face inférieure de la branche horizontale de l'arbre de vie médian (
Fig
. 336, p. 452). Lorsque les deux lobes sont indé
la lèvre inférieure du grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr (
Fig
. 313); une face antérieure, en contact avec le
ntent généralement beaucoup d'analogie avec les lobules du déclive (
Fig
. 31). La partie postérieure (1,1) comprend deux
dehors sur la partie correspondante du lobe semi-lunaire supérieur (
Fig
. 343, côté gauche). En dedans, les nombreuses lam
raphie d'une pièce durcie dans l'alcool. - Même pièce que celle des
Fig
. 339, 341, 343, 315.) amygdale. - Bt, bourgeon
le valvulaire. La partie antérieure du lobe semi-lunaire inférieur (
Fig
. 344, 2, 2) comprend un ou deux minces lobules se
grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr au sillon semi-lunaire (
Fig
. 313, côté gauche). Le lobe grêle (Lgr), plus p
largeur de l'hémisphère, déjà considérablement réduite à ce niveau (
Fig
. 333, 3f ). Il atteint en dedans la pyramide du
e. Un sillon intcr-lobulaire profond, le sillon du lobe grêle (sgr,
Fig
.3H.) (sulcus gracilis, sulcus interracilc'sde Sch
valvulaire et de la partie interne du lobe semi-lunaire inférieur (
Fig
. 336, 344). Il reçoit sur les parties latérales
e à concavité interne qui sépare le lobe digastrique de l'amygdale (
Fig
. 344 345); sa partie concave embrasse l'amygdal
icale qui unit la pyramide au lobe digastrique. La pyramide (Pyc,
Fig
. 332, 336, 344, 345, 108 et 410 à 414) (pyra- m
ie médian, au voisinage de la substance blanche centrale du vermis (
Fig
. 336). La pyramide est reliée au lobe digastriq
t concave, dépourvue d'écorce cérébelleuse (Voy. Coupes sagittales,
Fig
. 3G0 et h1 4), dirigée obliquement en avant el
be grêle (Lgr). Pour l'apercevoir, il faut donc enlever l'amygdale (
Fig
. : ils) ou pratiquer une coupe sagittale en dehor
. : ils) ou pratiquer une coupe sagittale en dehors de la pyramide (
Fig
. 414 et 1 3). Le lobe digastrique (Ldg) (Fig. 3
hors de la pyramide (Fig. 414 et 1 3). Le lobe digastrique (Ldg) (
Fig
. 333, 334, 344, 345) (lobe inférieur et MORPHOL
s de le voir, par une mince crête d'union aux ailes de la pyramide (
Fig
. 34.5); sa base est en rapport, de dedans en de
trouve les lobules accessoires du flocculus lorsqu'ils exis- tent (
Fig
. 333 et 334) ; 3° le sillon marginal antérieur do
inférieure, interne et exleme. La face inférieure ou superficielle (
Fig
. 333, 334, 34t) est creusée d'une empreinte obl
ère et en dedans, et plus ou moins profonde, Y empreinte jugulaire (
Fig
. 332) qui loge le rebord du trou occipital; sa
à direction presque sagittale; un sillon antéro-postérieur profond (
Fig
. 3 ? ), le sillon digastrique, la subdivise en de
e sillon post- pyramidal (spop). La face interne est irrégulière (
Fig
. 333, 341) : convexe en avant, où elle est en r
aquelle se continue avec la crête d'union des ailes de la pyramide (
Fig
. 345). Le lobe digastrique présente une mince b
hémisphères et empiète en avant sur le pédoncule cérébelleux moyen (
Fig
. 316 et 116). IV. LOBE 1\llslt0-I\TER\E. LOBE D
rte en avant, que complète la face interne des lobes digastriques- (
Fig
. 334, 3 il) el qui loge la face postérieure du bu
idien le nom de lobules du bulbe rachidien. La luette ou uvula (Uv,
Fig
. 336, 341, 345, 408 et u10 à 413) forme- une pa
polit lobule bien délimité, large en arrière, plus mince en avant (
Fig
. 3t.5). La luette est triangulaire sur une coup
3t.5). La luette est triangulaire sur une coupe sagittale médiane (
Fig
. 33G) et s'implante par un mince pédicule à la
t avec le nodule. La face superficielle ou inférieure de la luetle (
Fig
. 345) présente une crête sagittale médiane qui
), et qui ne deviennent visibles qu'après l'ablalion des amygdales (
Fig
. 3u5). Elles mesurent 10 à 12 millimètres dans
d'hirondelle (Beil) ou simplement nid cle l'amygdale (Burdach) (nh,
Fig
. 345). Elle loge l'extrémité supérieure de l'amyg
s blanches qui la recouvre dans celte région. Les amygdales (Amg,
Fig
. 344, 313, 34G, 348 et 410 à 415) consti- tuent
quablcs par leur mobilité, la direction sagittale de leurs lamelles (
Fig
. 314) et la situation de leur étroite base d'im
et la situation de leur étroite base d'implantation qui est latérale (
Fig
. 316) et non pas supérieure, comme pour les aut
ué à l'union de son tiers supérieur avec ses deux tiers inférieurs (
Fig
. 34G). Il est allongé dans le sens sagittal et
al et s'étend des ailes de la pyramide au pédon- cule du flocculus (
Fig
. 313). On peut considérer à l'amygdale trois fa
est supérieure, l'autre inférieure. La face antérieure est concave (
Fig
. 3 ? et 38); elle appartient à la face antérieu
icule dont la sépare un feuillet pie-mérien et la valvule de Tarin (
Fig
. 346, 414, z). L'amygdale se trouve donc en que
isinage de la région bulbo-protubérantielle. Les coupes sagittales (
Fig
. 410 à 415) et vertico-transversales (Fig. 346) m
e. Les coupes sagittales (Fig. 410 à 415) et vertico-transversales (
Fig
. 346) mon- trent, en outre, les rapports qu'aff
lamelles, il résulte que sur les coupes sagittales et horizontales (
Fig
. 410 à 415 et 437) qui sectionnent les lamelles p
et aspect ne se rencontre que sur les coupes vertico-transversales (
Fig
. 346) un peu obliques qui sectionnent le pédi-
Pour l'étudier, il faut donc ou bien renverser le bulbe en avant (
Fig
. 311), ou en- lever la protubérance et le bul
t (Fig. 311), ou en- lever la protubérance et le bulbe rachidien (
Fig
. 334, 31 : i), ou encore pratiquer une coupe
), ou encore pratiquer une coupe sagittale mé- diane du cervelet (
Fig
. 336, 347). On constate alors que le nodule o
e antéro-inférieure de la substance blanche cen- trale du vermis (
Fig
. 336, 31 )). Plus ou moins volumineux suivant
issée de lamelles cérébelleuses et recouverte en partie par la mem-
Fig
. 31Î. - Coupe sagittale du nodule. La face in-
HOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 177 branc épendymaire du 1," ventricule (
Fig
. 347). Au niveau du point d'arrêt de cette dern
transversaux du 1," ven- tricule : il résulte de cette disposition (
Fig
. 108, 110 et 3 i.7) que la moitié postérieure d
deux ou trois lobules secondaires. Des parties latérales du nodule (
Fig
. 315) se détachent deux minces voiles membraneu
aire postérieur, vêla valvitl-- se) ? îz'-ci2,cztlciîes cerebelli) (
Fig
. 3 in, 354 et 411 à 1 ), qui relient le nodule
ent apparentes à l'extérieur qu'après ablation du lobe tonsillaire (
Fig
. 315). On considère à chaque valvule de Tarin d
concourt à former le versant inférieur du toit du live ventricule (
Fig
. 331, 412). La face inférieure ou extra-ventric
ord antérieur de celte valvule apparaît libre, mince et tranchante (
Fig
. 345). Elle se continue en réalité avec la minc
transversaux du 4.° ventricule et la toile choroïdienne inférieure (
Fig
. 33 i). Flocculus (Floc), lobule du nerf vague,
lus (Floc), lobule du nerf vague, lobule du nerf pneumo- gastrique (
Fig
. 333, 312, 31 ! z, 31, 31S. il5, 4lli, 4 L ï, .3G
tivement épais à la face inférieure du pédoncule cérébelleux moyen (
Fig
. 437). Le Ilocculus constitue le plus petit des
qui se continue avec la partie externe de la valvule de Tarin (VT) (
Fig
. : H8). Un sillon constant, dans le fond duquel
graphie d'une pièce durcie dans le formol. Même pièce que celle des
Fig
. 338, 340, 342. Amg, amygdale ou tonsille céréb
la moelle épinière et en haut où elle fait suite au cerveau moyen (
Fig
. 319). Sa limite supérieure est marquée : en avan
ntérieure, une pos- térieure et deux latérales. Face antérieure. (
Fig
. 319). Celte face repose sur la gouttière basil
dans le cervelet en formant les pédoncules cérébelleux moyens (Pcm,
Fig
. 333). Sur la ligne médiane elle présente un sill
let. Sur un rhombencé- phale dont le cervelet n'a pas été enlevé (
Fig
. 333), ce pé- doncule représente un volu- min
phie d'une pièce durcie dans le formol. - Menu pièce que celle des
Fig
. 338, 342, 318, 3S2.) Fll, faisceau latéral du
flocculus, el croisent les faisceaux inférieurs qu'ils recouvrent (
Fig
. 319). Ils constituent le faisceau oblique de la
rance perpendiculairement à l'axe lon- gitudinal du rhombencéphale (
Fig
. 362 et 36.'i), on la voit constituée par deux
taenia pontis , et Arnold sous celui de fila pontis lateralis (Tpo,
Fig
. 3 : i0 et 351). 11 présente dans son volume et s
pénètre avec le pédoncule céré- belleux supérieur dans le cervelet (
Fig
. 351); d'autres fois encore, un fascicule crois
et s'y enlre-croi- sent avec des fibres de même nom du côté opposé (
Fig
. 319). Les pyramides antérieures du bulbe (Py)
à 7 millimètres et sert à délimiter le bulbe de la moelle épinière (
Fig
. 333, 349). La majorité des fibres de la pyrami
deux olives. (Voy. Cas Longery, MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. z
Fig
. 199, 210 et Cas Richard, Fig. 216. 233.) D'autre
y, MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. z Fig. 199, 210 et Cas Richard,
Fig
. 216. 233.) D'autres fois encore, a la suite de
peut observer une agénésie complète d'une pyramide (cas Ri- vaud,
Fig
. 132, 153, p. 158). Dans ces cas, la pyramide
dans son dévelop- pement. L'olive inférieure ou bulbaire (Oi ,
Fig
. 349) décrite par Eustachi et Vieussens est u
est d'autant plus accentuée, que ces fibres sont moins nombreuses (
Fig
. 349); elle est moins marquée chez l'adulte que
ant nouveau-né. Lorsqu'on sectionne le bulbe à son tiers supérieur (
Fig
. 366, 367), on constate que l'olive est formée
gne de Vicq d'Az.'Jr, for amen caecum ou trou borgne inférieur (tb,
Fig
. si-9), dans laquelle pénètre une volumineuse art
uelle on pénètre dans la cavité du 4 ventricule. Isthme postérieur (
Fig
. 331, 3 : 1 ). L'isthme postérieur représente u
ntôt elles s'étalent sur loule la surface du pédoncule cérébelleux,
Fig
. 331. - L'islhme postérieur et le cerveau moyen
téral, fibres arciformes, supérieures de l'isthme (fai) de Retzius (
Fig
. 337 et 351). D'autres fois encore, ces faiscea
qui s'étend jusqu'au sillon longitudinal médian interquadrigéminal (
Fig
. 337 et 351). Bulbe. Lorsque, sur un cerveau du
eur du bulbe représente en effet une véritable fis- sure médiane (
Fig
. 447) qui sépare complètement les pyramides p
du collet du bulbe, ce sillon devient de plus en plus superficiel (
Fig
. z48 à z3) el se réduit à la moelle à une légère
ux des corps restiformes, noyau de Burdach, noyau de Monakow (\'oy.
Fig
. 112 il H7). Ils se portent en divergeant en haut
les diverticules latéraux du quatrième ventricule ont élé arrachés (
Fig
. 352), on constate : que les corps resti- forme
lement aux valvules de Tarin (VT) et aux pédon- cules du flocculus (
Fig
. 334); son sommet occupe l'angle du V et s'insinu
paire et médiane, tendue entre les deux pyramides postérieures (ob,
Fig
. 15 ? 3 : 55). C'est une formation très inconstan
mité supérieure des corps restiformes sur laquelle elles s'insèrent(
Fig
. 353), On peut leur considérer deux segments en
les de Tarin. (Voy. à ce point de vue les coupes sagittales S 1 à S ,
Fig
. 108 a 412.) l3andelcticsctlan- guettes do la
, postérieur ou ventriculaire, ligula ou languette postérieure (lv,
Fig
. 3 : ;f), adhère au corps restiforme et à l'extré
la paroi inférieure du diverticule latéral du quatrième ventricule (
Fig
. 353 et 354 et coupes S6 à Ss, Fig. 414 à 416). E
latéral du quatrième ventricule (Fig. 353 et 354 et coupes S6 à Ss,
Fig
. 414 à 416). Exceptionnellement elle double tou
mérien constant, à bord générale- ment concave, tranchant et lisse (
Fig
. 354), et tapissé par l'épithélium épendymaire.
nt et par des travées sous-arachnoïdiennes souvent fort nombreuses (
Fig
. 333). Lorsqu'on enlève avec prudence les IXO e
i-lunaire qui s'étend du nerf auditif au bord externe du flocculus (
Fig
. 331), mais que l'on ne trouve pas enroulé en spi
falciforme une poche plus ou moins profonde, llasque et affaissée (
Fig
. 353 et 354). A la toile choroïdienne inférieur
anche du nodule sous forme de deux minces traînées de granulations (
Fig
. 354). En bas, ils commencent par une extrémité '
es de Tarin et à la partie mem- braneuse des diverticules latéraux (
Fig
. 3Si). Ils comblent en grande partie la cavité
tie moyenne, émet en arrière un diverticule angulaire, médian (fV;,
Fig
. 336), qui s'enfonce dans la substance blanche
he du cervelet, et de chaque côté deux diverticules latéraux (rlV;,
Fig
. 348) qui entourent la base du bulbe. En bas, ell
plancher, et une paroi postérieure coudée, le toit, voûte ou tente (
Fig
. 336). plancher du 4' ventricule (Fig. 352 et 3
dée, le toit, voûte ou tente (Fig. 336). plancher du 4' ventricule (
Fig
. 352 et 355). Comme la cavité du quatrième vent
nom de stries acoustiques, stries médullaires, barbes du calamus (
Fig
. 352). Le grand axe du plancher est parcouru
lle du plancher pour former une véritable fos- sette médiane (fm,
Fig
. 3 : 5 et 335), puis se rétrécit, devient super
une petite dépression encul-dc-sac, appelée ventricule d'lrazatius (
Fig
. 444). Le sillon longitudinal médian est bor-
- gitudinaux cylindriques el saillants, les funiculi teretes (fi,
Fig
. 352, 355) ou fais- ceaux arrondis, qui parcour
la ligne médiane, connue sous le nom d'aile blanche interne (apl,
Fig
. 355), s'élargissent dans la région moyenne du
ssettes inférieure (al) et supérieure (fsa) du plancher rhomboïdal (
Fig
. 355). La fossette inférieure est la plus profo
re à sommet supérieur et connue sous les .noms de : aile grise (Ag,
Fig
. 352), ala cinerea (al, Fig. 355), cuneus ciner
nue sous les .noms de : aile grise (Ag, Fig. 352), ala cinerea (al,
Fig
. 355), cuneus cinereus, eminentia cinerea. La f
- raux. Elle porte le nom de zone acoustique, d'area aCll5tica (Aa,
Fig
, 352 et 355), et contient les noyaux de termina
ieure sont seules visibles sur le plancher du quatrième ventricule (
Fig
. 352). L'extrémité inférieure appar- tient à la
stiforme, appartient au plancher des diverticules latéraux (Tub.ac,
Fig
. 439), reçoit une partie des fibres terminales du
gauche. Il y a des planchers sur lesquels il n'existe aucune strie (
Fig
. 355), il y en a sur lesquels une seule strie f
e; il y en a d'autres sur lesquels on en compte douze et même plus (
Fig
. 352). Elles peuvent être grêles ou volumineuse
atlas (1896). Lorsqu'elles font défaut d'un côté comme de l'autre (
Fig
. 3GG), ou plutôt lorsqu'elles ne sont pas visib
endymaire et les funiculi teretes visibles dans toute leur étendue (
Fig
. 355). Lorsque les stries acoustiques sont très
. Lorsque les stries acoustiques sont très développées ( s trac ,
Fig
. 352) elles masquent en grande partie cette stria
aquelle elles s'enfoncent (stries obliques ou ascendantes) (stac.a,
Fig
. 106 et 366, coupe H 9); plus rarement on voit
on inférieure ou bul- baire : elle contient l'emillenfia teres (et,
Fig
. 352 et 355), saillie arrondie qui correspond a
les existent; la fossette médiane (fm), et le locus cærltlelts (Le,
Fig
. 352). La région inférieure ou bulbaire est bea
e, dont le sommet est inférieur et n'atteint pas le bec du calamus (
Fig
. 355). L'aile grise ou cendrée (al, Fig. 355) (
eint pas le bec du calamus (Fig. 355). L'aile grise ou cendrée (al,
Fig
. 355) (fossette inférieure ou postérieure, trig
postérieure, mais en est séparée par l'area postrema de Retzius (ap
Fig
. 1üÕ), l'aile grise extrême, petite languette a
ntes zones de Retzius avec la structure du bulbe, on constate (voy.
Fig
. 441, .H2, 443, 444) que : l'aile blanche inter
ngle dont le sommet est pos- térieur et s'enfonce dans le cervelet (
Fig
. 336). La voûte, le toit ou paroi postérieure d
pédoncules cérébelleux supérieurs. Vu par la face ventriculaire (
Fig
. 343), le versant supérieur présente trois band
n haut du locus ca·ruleus et de la fossette supérieure du planchcr (
Fig
. 352. Voy. aussi coupes P3, P4, H 1, H 2, H 3, Fi
ure du planchcr (Fig. 352. Voy. aussi coupes P3, P4, H 1, H 2, H 3,
Fig
. 368, 369 et 433 à 425, p. 620 à 628). Le ver
Fig. 368, 369 et 433 à 425, p. 620 à 628). Le versant inférieur (
Fig
. 3S4) est plus irrégulier que le supérieur; il
plantent les plexus choroïdes transversaux du quatrième ventricule (
Fig
. 354). La partie horizontale limite avec la par
oy. Coupes sagittales avec cavité ventriculaire colorée, S 1 à S 5,
Fig
. 408 à 413). diverticules latéraux du quatrième
iverticulaire et une partie externe libre à la surface du cervelet (
Fig
. 318). A l'insertion de la paroi membra- neuse
s, plus ou moins développées, les liqitlw antérieure et supérieure (
Fig
. 353). L'extrémité renflée des diverticules est
'arrêt, décrit dans son ensemble une courbe à convexité supérieure (
Fig
. 3.8). Très accen- tuée et saillante sur la lig
pédoncule cérébelleux supérieur et du pédoncule cérébelleux moyen (
Fig
. 337) ; elle décrit ensuite une courbe à pente
arrêt, est plus irré- gulière et plus accidentée que la supérieure (
Fig
. 315 et 31ls); sur la ligne médiane, elle corre
plus saillante du bourgeon terminal, la crête d'union de la luette (
Fig
. 411 à 413), celle de la pyramide (Fig. 414, zu
crête d'union de la luette (Fig. 411 à 413), celle de la pyramide (
Fig
. 414, zu) sont généralement dépourvues d'écorce
blanche visible il l'extérieur constitue le pédoncule du flocculus (
Fig
. 31S). Fis. 3aG. - Coupe vertico-transversale d
s, moyens et infé- rieurs , émergent au niveau du hile du cervelet (
Fig
. 318) et relient le cervelet au tronc encéphali
de vie ou thuya, et connue sous le nom d'arbre de vie du cervelet (
Fig
. 358 et 339). Dans l'épaisseur de la substance
horizontale passant par le tiers supérieur des olives cérébelleuse (
Fig
. 3G1), telle qu'elle est figurée par Vicq d'Azyr,
e par Vicq d'Azyr, ou mieux encore sur la préparation dite de Reil (
Fig
. 337) qui consiste à écarter les deux lèvres du
g des sillons marginaux antérieurs et de l'échancrure semi-lunaire (
Fig
. 357). Sur le segment inférieur de. la préparat
ce blanche cen- trale des hëmlsphc- coupes vertico-transversales (
Fig
. 346 et 35G) et sagittales (coupes S8, S9) une
s et se continue en avant avec le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm,
Fig
. 358). De la périphérie de celle masse ovalaire,
randeur nature. (Voy. description de cette coupe, p. OU, Coupe S 9,
Fig
. 417.) fec, feutrage extraciliaire ou toison. -
Dans la région du vermis, la substance blanche centrale (coupe SI,
Fig
. 336, p. 452) est infiniment moins considérable e
andeur nature. (Voy. description de [cette coupe, p. G9, coupe S 2,
Fig
. 110.) bh, branche horizontale de l'arbre de vi
La figure si caractéristique de l'arbre de vie du vermis (coupe SI,
Fig
. 336) appartient au plan sagittal médian; elle s'
haut et en avant avec le pédoncule cérébelleux supérieur (coupe S5,
Fig
. 360), et l'on voit apparaître au-dessus du nid d
-traesve·.sales qui passent par la partie anté- rieure du cervelet (
Fig
. 316), la substance blanche centrale du vermis
noyaux du toit qu'elle renferme. Sur les coupes plus postérieures (
Fig
. 336), elle se réduit à un pont transversal, mi
deur nature. (Voy. des- cription de cette coupe, p. G02, coupe S 5,
Fig
. 413.) bh, branche horizontale de l'arbre de vi
pédoncule cérébelleux supérieur qu'il comprime (coupes H 5 et H 6,
Fig
. 4 28 et 429). Les coupes horizontales inférieu
un noyau accessoire de l'olive cérébelleuse. (Voy. aussi coupe S 6,
Fig
. 414.) Noyau sphérique (Ngl), nucleus globulus,
seur de la branche horizontale de l'arbre de vie médian (coupe S 4,
Fig
. 360), en avant de l'axe d'insertion de la luette
blanche tapissée par l'épendyme ventricu- laire (coupes S 4 et S 5,
Fig
. 412, 360). Il siège en partie sur le même plan
raison de Stilling, à une massue, à un champignon (coupes S 4, S 5,
Fig
. 412, 369) dont la partie inférieure arrondie e
Grandeur nature. Voy. description de cette coupe, p. gaz, coupe C 5
Fig
. 436.) Cj, corps juxla-resliforme. - fec, feutr
du feuillet pie-mérien qui tapisse le nid d'hirondelle (coupe C 6,
Fig
. 437). Les parties externe, supérieure, inférie
tes alcalins ou colorées suivant les procédés de Weigeit ou de Pal (
Fig
. 316, 338, 361). En contact immé- diat avec le
comprennent deux groupes, dont l'un, exlezwe et superficiel (fsme,
Fig
. 361), occupe la moitié supérieure de la substanc
èlîe-cî,oise2 ? îeiit des noyaux du toit (xNt coupes H 5, H 6, C 4,
Fig
. 428, 429, 135). La troisième couche recouvre l
(Pcs), aux dépens du feutrage intra-ciliaire (fic, coupes S 4, S 5,
Fig
. 360, 363, 412); le feutrage intra-ciliaire (tic)
ution du pédoncule cérébelleux inférieur (Pci, coupes H4, S 6, S 7,
Fig
. 396, 414, 415). Pédoncules cérébelleux moyens
'extérieur dans la profondeur du sillon marginal anté- rieur (sma) (
Fig
. 333), puis se portent en avant et en dedans vers
des autres par une gangue de substance grise, connue sous le nom de
Fig
. 36 ? . - Les pédoncules cérébelleux supérieur et
tis (Strs). fibres protubérantielles antérieures [FPoa] (coupe S 1,
Fig
. 336), occupe toute la hauteur de la protubéran
voie pédonculaire; elle présente sur les coupes horizontales (H 3,
Fig
. 362) une surface de section triangulaire, augmen
la face profonde de celle couche en fascicules souvent fort grêles (
Fig
. 362). Leurs connexions avec les fibres semi-circ
es à constater sur les coupes horizontales (H 3 à H 7 et C 1 à C 5,
Fig
. 361, 362, et 427 il à 3 : ). Lorsqu'il exist
2, et 427 il à 3 : ). Lorsqu'il existe un faisceau oblique du pont (
Fig
. 349), on voit se déta- cher de la couche super
plus bas avec la substance blanche des hémisphères cérébelleux (Fo,
Fig
. 362). La couche profonde et postérieure (strat
s quelques fascicules arrondis, les adosse au ruban de Reil médian (
Fig
. 381, 382), puis les fait rentrer plus bas dans l
ntermédiaires, s'entre-croisent à angle obtus sur la ligne médiane (
Fig
. 362). Les fibres antérieures se continuent ave
fibres arquées de la formation réticulée du côté opposé (coupe H 3,
Fig
. 362). Pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs). S
f longitudinal sur le versant supérieur du toit du live ventricule (
Fig
. 345) et une face postérieure libre, recouverte
antérieure du cervelet. Les pédoncules cérébelleux supérieurs (Pcs,
Fig
. 363 et 360,coupe S 5) émergent de la partie su
t par l'épendyme ven- triculaire et la valvule de Tarin (coupe S 5,
Fig
. 360) en arrière par une mince lame de substanc
mince lame de substance grise appartenant à l'olive cérébelleuse (
Fig
. 363). Ils forment ensuite les parties latérales,
rapports variables dans chacun cle ses segments intra-cérébelleux (
Fig
. 361), juxta- ventriculaire (Fig. 362), et intr
le ses segments intra-cérébelleux (Fig. 361), juxta- ventriculaire (
Fig
. 362), et intra-tegmcntaire (Fig. 392). Segment
(Fig. 361), juxta- ventriculaire (Fig. 362), et intra-tegmcntaire (
Fig
. 392). Segment intra-cérébelleux. Dans la profo
r (Pcs) se distingue mal du feutrage intra-ciliaire dont il dérive (
Fig
. 363 et coupes Cl à C5, Fig. 361, 432 à 435). I
feutrage intra-ciliaire dont il dérive (Fig. 363 et coupes Cl à C5,
Fig
. 361, 432 à 435). Il ne commence iL former un fai
du globule (Ngl) et de rentre-croisement des noyaux du toit (xNt) (
Fig
. 361); sa face antérieure ou intra-ventriculair
(Sem) et la lame supérieure du corps dentelé (Oc, coupes C 2 à C 5,
Fig
. 435, 431, 433); il est traversé dans toute son é
fibres semi-circulaires internes (fsmi) qui croisent sa direction (
Fig
. 43 1, lui-35, 3G3 coupes C3, C4, H 6,). Au-des
G3 coupes C3, C4, H 6,). Au-dessus du hile de l'olive cérébelleuse (
Fig
. 432, coupe C 1,), le pédoncule cérébelleux sup
uatrième ventricule et affecte une surface de section semi-lunaire (
Fig
. 362, 395 coupes H 3, H 2). Son extrémité posté
oupes plus supérieures. Cet intervalle est comblé en bas (coupe H3,
Fig
. 3G2, côté droit) par le noyau moteur du trijumea
du trijumeau et l'extrémité supérieure du noyau sensitif, en haut (
Fig
. 362, côté gauche) par l'olive supérieure ou pr
(FG coupe H3, Fig. 362) et au ruban de Reil latéral (RI, coupe H 2,
Fig
. 3je). Segment intra-tegmentaire. - Aux confins
esque droit les fascicules longitudinaux de la formation réticulée (
Fig
. 394, coupe H 1). De nombreuses travées névrogl
an de Reil médian au faisceau longitu- dinal postérieur (coupe P 1,
Fig
. 364). L'entre-croisement des pédoncules cérébe
al postérieur, ainsi que nous l'avons déjà figuré dans le tome 1er (
Fig
. 328, p. 661). On peut donc distinguer dans l'e
-croisement dorsal ou supérieur (xsPcs) à direction dorso-ventrale (
Fig
. 364). Immédiatement après leur entre-croisemen
eux volumineux fais- ceaux arrondis, les noyaux blancs de Stilling (
Fig
. 363 et 392, coupe n° 12 x bis); dans leurs par
dissent au sur et à mesure que l'on examine les coupes supérieures (
Fig
. 363 et Fig. 25, 26, 48), et se superposent fin
ur et à mesure que l'on examine les coupes supérieures (Fig. 363 et
Fig
. 25, 26, 48), et se superposent finalement aux
R), entrent dans la constitution des radiations de la calotte (RC) (
Fig
. 363) et se terminent dans la partie ventrale du
ieur qui l'aborde presque immédiatement après son entre-croisement (
Fig
. 363 et 42) en arrière et en dedans, du corps d
et 42) en arrière et en dedans, du corps de Luys et du locus niger (
Fig
. 48, p. 71, 46, p. 68, 44, p. 64), en dedans du
ion réticulée de la calotte et du faisceau longitudinal postérieur (
Fig
. 25, p. 37, 26, p. 39) ; il se trouve limité en d
l'anse lenticulaire qui entrent dans la constitution de sa capsule (
Fig
. 33, p. 49), et plus bas par le raphé médian et
plus bas par le raphé médian et le faisceau rétroflexe de Meynert (
Fig
. 34, p. 50). Ce dernier faisceau traverse la part
dernier faisceau traverse la partie supéro-interne du noyau rouge (
Fig
. 321), de telle sorte que, sur les coupes intéres
elle sorte que, sur les coupes intéressant la calotte pédonculaire (
Fig
. 34), le noyau rouge présente, à sa partie inte
formation réticulée et la partie inlerne du ruban de Reil mé- dian (
Fig
. 12, p. 61), et se prolonge en avant et en haut d
tue le champ et le faisceau thalamique de Forel (coupes sagittales,
Fig
. 253 et 254, p. 268). De sa partie externe, par
haut et en dehors, s'irradient dans la région ventrale du thalamus (
Fig
. 321, p. 385) en avant du ruban de Reil et port
rnes; il reçoit du vermis de nombreuses fibres qui participent à la
Fig
. 365. - Les ganglions centraux (noyau du toit, em
arrière, le noyau du nerf cochléaire (NNvmc) en avant (coupe H 8,
Fig
. 398, p. 563); plus bas, elle est recouverte par
e tubercule (Tub.ac) et les stries acoustiques (Str.ac) (coupe H 9,
Fig
. 366). Dans le bulbe (coupe H 10, Fig. 367), la
ustiques (Str.ac) (coupe H 9, Fig. 366). Dans le bulbe (coupe H 10,
Fig
. 367), la face postéro-externe du corps restiform
en bas; de sa face antérieure, accidentée et saillante (coupe H 9,
Fig
. 366) se détachent de nombreuses fibres arcifor
de la couche inter-olivaire. Sur les coupes sagil laies (coupe S 2,
Fig
. 359, p. 509), la lame grise fes- tonnée de l'o
le nom de capsule de l'olive. Les coupes horizontales H 8 et H 15 (
Fig
. 398, p. 563 et 4 f.G, p. 679) qui sectionnent
Sur toutes les coupes qui passent par sa partie moyenne (coupe H 9,
Fig
. 366), l'olive apparaît formée de deux lames, u
de l'olive bulbaire et la traversent parfois (Coupes H 11 il H 14 (
Fig
. 441 à 4H ? p. 669 à 677). Le feutrage intra-ol
deur nature. (Voy. description de cette coupe, p. 000, coups H, 10
Fig
. 410.) . Ci, corps juxta-restiforme. - Crst, co
ité supérieure de l'olive à l'entre-croisement sensitif, coupe S 1 (
Fig
. 408, p. 590). Réuni en haut et en arrière au n
es se place en arrière de la pyramide bulbaire (coupes H 14 à H 17,
Fig
. 444 à 447, p. 677 à 682). Les coupes vertico-t
s moyenne et intérieure uu pieu uu peuon- cule cérébral (coupe P 1,
Fig
. 364), où l'on assiste à un changement de direc
u locus niger (Ln) et plus bas par les noyaux pontiques (coupe P 2,
Fig
. 393). La dissociation commence à la partie anl
bral, de chaque côté du trou borgne supérieur (coupe P3, Fig. 368).
Fig
. 368. - Dissociation de la partie interne et prof
artie postéro-externe formant encore un faisceau compact (coupe P 4
Fig
. 3G9). Ce n'est qu'au voisinage du tiers supérieu
st qu'au voisinage du tiers supérieur de la protubérance (coupe Hl,
Fig
. 3994,p. 557) que la dissociation se complète, et
- deur nature. (Yoy. description de celle coupe, p. 019, coupe P 4,
Fig
. z.) Feue, faisceau central de la calotte. - Fl
e par quelques rares fibres du stratum complexe (coupes H 6 et H 7,
Fig
. 365, p. 527 et 397, p. 561). Ce fais- ceau com
VIe paire. Au voisinage du sillon bulbo-protubérantiel (coupe H 8,
Fig
. 398, p. 5G3), le stratum profundum disparaît, la
C/fol'me ou de noyau arqué des pyramides (Narc) (coupes H 8 à H 16,
Fig
. 370, et 138 à 416, p. 657 à 680). Le volume, la
iennent pour la plupart au système du corps restiforme (coupe HjlO,
Fig
.3U7),et qui passent les unes en avant, les autr
ndeur nature. (Voy. description de cette coupe, p. 679, coupe H 16,
Fig
. lui46.) Cil, cordon de Burdach CG, cordon de G
enfin appartiennent au système des stries acoustiques (coupe H 10,
Fig
. 367). La face postérieure du faisceau pyramida
u faisceau central de la calotte (Fcc). Un peu plus bas (coupe H 8,
Fig
. 398 côté droit), l'olive bulbaire (Oi) et sa c
insi la formation de la couche inler-olivaire (SRa, cio, coupe H 9,
Fig
. 3GG, p. 529). La délimitation du faisceau pyra
s fibres arciformes transversales les plus antérieures (coupe H 11,
Fig
. 399, FiG. 371. - Décussation des pyramides et
le séparent de la capsule de l'olive bulbaire (coupes H 9, à H 14,
Fig
. 438 à 4H., p. 657 à 677). Dans quelques cas to
s'étaler à la surface de l'olive bulbaire (coupes H 10, H 11, H 12,
Fig
. 440 il 442, p. 667 à 672), en masquer la saillie
énérescence du faisceau pyramidal traités par la méthode de Marchi (
Fig
. 383). Au-dessous de l'olive bulbaire (coupes H
du noyau juxta-olivaire inlerne (Noi); plus bas enfin (coupe H 18,
Fig
. 403, p. 573), immédiatement au- dessus de la d
ce grise située en avant et en dehors du canal central (coupe H 21,
Fig
. 371), décapitent la corne antérieure, se place
ans les cas de dégé- nérescences traités par la méthode de Mardi ! (
Fig
. 390); tantôt elles se réunissent en petits fas
forment un véritable petit faisceau compact et très bien délimité (
Fig
. 372 et cas Rivaud (fPyhl), Fig. 151, 156, 157
ceau compact et très bien délimité (Fig. 372 et cas Rivaud (fPyhl),
Fig
. 151, 156, 157 et 162, p. 159, 160 et 1Gi). Dan
ules onduleux et enchevêtrés, sectionnés plus ou moins obliquement (
Fig
. 370). Le faisceau pyramidal conserve cet aspec
ion corlicale (cas Longery et Richard, p. 185 à oh6, en particulier
Fig
. 208 à 212 et 231 à 233), soit dans les cas de
a myélinisation est plus ou moins parachevée (cas Rivaud, p. 151 et
Fig
. 152 à 159) ; suivant les cas, cette absence de l
plat répondant à la partie antérieure de la couche inter- olivaire (
Fig
. 152, p. 158; 210, p. 196; 233, p. 215). Sur les
normale et les fibres transversales de la protubérance font défaut (
Fig
. 373). C'est FiG. 3n. - Atrophie complète des f
ban de Reil médian. Le pes lemniscus profond (PLp, coupes P 1, P 2,
Fig
. 3G4, p.51 ; 393, p. 556) se détache de la face
ansversales de la protubérance. Le pes lemniscus sllperficiel (PLs,
Fig
. 377), moins constant, contourne en écharpe la
eau externe du pied du pédoncule et le sillon latéral de l'istlime (
Fig
. 377 et 3 iG), se portent en haut, en arrière et
ère et en dedans, passent en avant du corps genouillé interne (Cgi,
Fig
. 3 in, 37 i) dans le sillon qui sépare ce corps
nante de la calotte, les autres traversent le ruban de Reil médian (
Fig
. 374) et s'irradient dans le tubercule quadriju
de la région du pédoncule cérébral : Pes lemniscus profond (PLp), (
Fig
. 375, 3 in, 377), pes lemniscus superficiel (PL
fond (PLp), (Fig. 375, 3 in, 377), pes lemniscus superficiel (PLs) (
Fig
. 377), fibres aberrantes posléro-exlernes (Fpe) (
perficiel (PLs) (Fig. 377), fibres aberrantes posléro-exlernes (Fpe) (
Fig
. 377, 37C, 375, 374), dans un cas de dégénéresc
RATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCEPHALE. 343 3 jumeau antérieur (BrQa) (
Fig
. 374) consécutive à la lésion du segment rétrolen
e de la voie pédonculaire trai- tés par la méthode de Mar- chi (
Fig
, 3-il aL 377). Étant données chez l'homme l'in-
contourner Loule la largeur du pied du pédoncule TONII, 1[. u. 3
Fig
. 378, 379, 380. - Dégéné- rescence de la voie p
lles (Fap) qui s'incorporent dans le ruban de Reil médian (Rm) (
Fig
. 378), descendent dans la couche inter-olivaire
t la voie pédoncu- laire dans les régions bul- baires supérieure (
Fig
. 379) et moyenne (Fig. 380). Dégé- nérescence
re dans les régions bul- baires supérieure (Fig. 379) et moyenne (
Fig
. 380). Dégé- nérescence de la substance grise
ste parfois une dégénérescence partielle des fascicules obliques (
Fig
.374, 375 et 376) qui traversent le ruban cle
rporent dans la partie interne et moyen- ne du ruban de Reil (Rm,
Fig
. 381), sont particulièrement abondantes dans
ièrement abondantes dans la région pro- tubéranlielle inférieure (
Fig
. 382), occupent la partie antéro- interne de
ne de la'couche inter-oli- vaire dans la région bulbaire moyenne](
Fig
.383), puisréintè- grent la voie pédonculaire da
ticipe àl'en- tre-croisementpiniforme(xpin) ou sensitif du bulbe (
Fig
. 384). Méthode de Marchi. 1 Bibliothèque des
n nombre de libres, les fibres aber- rantes protubérantielles (Fap,
Fig
. 378, 381, 382) : elles se détachent de Fig. 38
protubérantielles (Fap, Fig. 378, 381, 382) : elles se détachent de
Fig
. 383 et 384. - Fibres pyramidales homolatérales s
elle. Elles sont particulièrement abondantes en arrière de l'olive (
Fig
. 383 et 384). La couche inlero- livaire contien
n certain nombre de]libres aberrantes de la voie pédonculaire (Fap,
Fig
. 383), qui font suite aux fibres aberrantes protu
nt la N oie pyramidale au-dessus de la décus- sation des pyramides (
Fig
. 381). Méthode de Marchi. (Voy. pour l'Obs. anato
faisceau pyramidal (Py) dans la région moyenne de l'olive bulbaire (
Fig
. 385), s'en différencient dans la région inférieu
5), s'en différencient dans la région inférieure de l'olive bulbaire (
Fig
386) sous forme de 5 à 7 fascicules compacts qu
ssent en dehors, contournent la périphérie antéro-externe du bulbe (
Fig
. 387), puis descendent dans le cordon latéral hom
bulbe (Fig. 387), puis descendent dans le cordon latéral homolatéral (
Fig
. 388 et 389) en avant de la corne postérieure.
rcées par des fibres pyramidales homolatérales profondes (f l'yli) (
Fig
. 390 et 3991) qui décapitent la corne antérieur
ascicules du pes lemniscus profond et du pes lemniscus superficiel (
Fig
. 378,379, 380). Dans le ruban de Reil médian, c
traitées suivant les méthodes de Weigert ou de Pal (coupes H2 etH3,
Fig
. 1-21- et 425, p. 626 et 628). Leur trajet, et su
érescence de la voie pédonculaire traitée par la méthode de Marchi (
Fig
. 378, 379, 380, 381, 382). L'examen de ces cas
onculaire dans les régions protubérantielles supérieure ou moyenne (
Fig
. 375, 381, 382), tantôt seulementdans la région
ntes hauteurs du bulbe, ou seule- ment au niveau de sa décussation (
Fig
. 379, 383 et 3S>·). Elles ne parti- cipent p
groupent en fascicules, affectent un trajet superficiel; les unes (
Fig
. 383, 384) contournent l'olive bulbaire à la ma
aire à la manière des fibres arciformes superficielles, les autres (
Fig
. 387) s'inflé- chissent au-dessous de l'olive,
e cordon latéral de la moelle, soit en arrière de l'olive bulbaire (
Fig
. 383, 384), soit , en avant de la corne postéri
bulbaire (Fig. 383, 384), soit , en avant de la corne postérieure (
Fig
. 387 à 389). Leur présence au devant de l'olive
les profondes qui décapitent la corne antérieure homolatérale (voy.
Fig
. 372, p. 5f.1). Au niveau du collet du bulbe en
médian, enformantle noyau innominé de Bechterew(SR, coupen°12xbis,
Fig
. 392). Dans la protubérance ils forment : au vois
noyaux superposés, le noyau central supérieur (Ncs, coupes Hl, H 2,
Fig
. 394 et 395) et le noyau réticulé (Nrt, coupes H3
ns la région postéro-cxternc, le noyau circonflexe (Nef, coupe H 2,
Fig
. 395) et dans la région antéro-externc, l'olive s
la région antéro-externc, l'olive supé- Pleure ou protubérantielle (
Fig
. 396 et 39-1). Dans le bulbe enfin, ils forment
u voisinage du raphé le noyau central inférieur (Nci, coupes H7,H8,
Fig
. 397, 398), et le noyau du cordon antérieur (Nr,
8, Fig. 397, 398), et le noyau du cordon antérieur (Nr, coupe H 11,
Fig
. 399) et plus en dehors les noyaux du cordon la
es cornes antérieure et latérale de la moelle (coupes H 19 et H 20,
Fig
. l'e9 à 450, p. go). Celte concentration irrégu
dedans et les irradiations de la commissure postérieure en arrière (
Fig
. 28, p. 43, Fig. u.8, p. 71, Fig. 310, p. 348 e
radiations de la commissure postérieure en arrière (Fig. 28, p. 43,
Fig
. u.8, p. 71, Fig. 310, p. 348 et T. le ? Fig. 3
commissure postérieure en arrière (Fig. 28, p. 43, Fig. u.8, p. 71,
Fig
. 310, p. 348 et T. le ? Fig. 320 à 323, p. 611 à
rière (Fig. 28, p. 43, Fig. u.8, p. 71, Fig. 310, p. 348 et T. le ?
Fig
. 320 à 323, p. 611 à Gi9). Sur les coupes plus
ement de volume; il s'étale en arrière et en dehors du noyau rouge (
Fig
. 33, p. 49 et G2, p. 73), se fusionne avec la c
noyau rouge et du pédoncule cérébelleux supérieur, qui lui succède (
Fig
392), à la subs- tance grise des tubercules qua
l. 1° Aux confins du cerveau moyen et du rhombencéphale (coupe Pus,
Fig
. 393), la formation réticulée est traversée dan
du pédoncule cérébelleux supérieur. La zone antérieure (coupe P 2,
Fig
. 393), mince et allongée, est comprise entre les
ndeur nature. (Voy. des- criplion de cette coupe, p. 622, coupe Hl,
Fig
. 423). Fcc, faisceau central de la calotte. - F
rf pathétique. M : j;j8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. coupe Hl,
Fig
. 394); sur quelques coupes, correspondant à l'ent
imité en dehors; il est adossé clans celle région à une zone parti-
Fig
. 395. - La formation réticulée de la région protu
ur nature (Voy. descrip- tion de cette coupe, p. si ? 5, Coupe H 2,
Fig
. 424). a lingula, a lobe central, axe de la lin
). 3° Dans la région protubérantielle moyenne (coupes H 3 ct H 4,
Fig
. 362 p. 518 et 396) qui correspond à l'émergence
andeur nature. (Voy. description de cette coupe, p. 632, coupe H 4,
Fig
. i ? 7.) aLc, axe du lobe central. - bu, branch
nt, en allant de dedans en dehors et d'avant en arrière (coupe H 7,
Fig
. 397), l'olive supérieure (Os), le noyau d'origin
x et denses fascicules de fibres longitudinales (coupes H10 et Hll,
Fig
. 399 et 367, p. 532); il existe alors dans la for
dernier segment que l'on trouve dans la région inférieure du bulbe (
Fig
. 399), un amas gris, étroit, le noyau respirato
moteur de Meynert, présente sur les coupes horizontales (coupe Hll,
Fig
. 399) une surface irrégulièrement quadrangulair
lée blanche par les fibres radiculaires de l'hypoglosse (coupe Hll,
Fig
. 399) et le noyau juxta-olivaire interne (Noi, co
rtie antéro-externe ou périphérique de la formation réticulée grise
Fig
. 399. - La formation réticulée du segment bulbair
andeur nature. (Voy. description de cette coupe, p. 668, coupe Hll,
Fig
. 441.) Cj, corps juxta-restiforme. - Crsl, corp
e de l'olive et masque le sillon olivaire interne (comparer avec la
Fig
. 383). - SgR, substance gélati- neuse de Roland
n latéral ou de noyaux latéraux du bulbe (N1L) (coupes H 11 à H 17,
Fig
. 399, 400 et 442 à 446, p. 672 à 680). D'abord
oyau moteur des nerfs vague el glosso-pltarY1lgien (Nab, coupe Hll,
Fig
. 399; coupes H9 et H10, Fig. 366 et 367, p. 529 e
ès que l'entre-croisement sensitif est terminé (coupes H19 et H 20,
Fig
. 401), les trabécules gris de la formation réticu
stance gélatineuse de Rolando et le noyau de Burdach, et représente
Fig
. r00. - La formation réticulée au niveau de l'ent
deur nature. (Voy. description doucette. coupe, p. G8G, coupe H 20,
Fig
. 450.) Ca, cordon antérieur de la moelle. - CB,
ps restiforme (Crst) et juxta-restiforme (Cj) (coupes H 13 et H 14,
Fig
. 402, 411) au collet du bulbe (coupe H21, Fig.
saillie des pyra- mides postérieures et des tubercules cunéiformes (
Fig
. 352). Ils repré- sentent deux colonnes grises
s prononcée, du sommet de laquelle se détachent (coupes H18 à H 21,
Fig
. 403 et 419 à 451, p. 685 à 687) d'épais fascicul
latéralement et plongée au sein du cordon postérieur de la moelle (
Fig
. 426, p. 630). Les noyaux de Goll et;de Burdach
tre- croisement piniforme (xpin) de Spitzka (piniform décussation) (
Fig
. 401). Cet entre-croisement s'étend en longueur
du fond du sillon médian antérieur à la substance grise centrale (
Fig
. 404), et en liauteur,del'entre-croise- ment
tre- croise- ment moteur qu'elle semble en provenir (coupe H19,
Fig
.H9,p. 685); elle ne peut en être distinguée que
il 680) puis la partie postérieure du ra- pliC(coupesHl2 etH13,
Fig
. H2 et ! 4.3,p.Gï` ? ,Gii); ses fibres se disti
autres fibres de la formation réticulée blanche (coupes Hll à H17,
Fig
. 441 à 447, p. 669 à 682). La couche interolivair
ian. Couche rubanée. Au-dessus de l'olive bulbaire (coupe H8, H7,
Fig
. 398, côté gauche, 397) le ruban de Reil (Rm) s'é
dessus des noyaux moteurs et sensitifs du trijumeau (coupes H2, Hl,
Fig
. 395 et 391) l'olive protubérantielle n'existe pl
de l'isthme. Sur les coupes horizontales de cette région (coupe Hl,
Fig
. 391), le ruban de Reil latéral (RI) apparaît sou
9 Dans les régions voisines du pédoncule cérébral (coupes P3, P4,
Fig
. 369 et 368, p. 536 et 535) et qui intéressent la
tubercules quadrijumeaux antérieurs (coupes n° 12 x bis à n° 10 x,
Fig
. 392 et Tj.r, Fig. 325 a.; 327),.lorsque le rub
jumeaux antérieurs (coupes n° 12 x bis à n° 10 x, Fig. 392 et Tj.r,
Fig
. 325 a.; 327),.lorsque le ruban de Reil latéral
eife). , , i , Dans la région sous-optique (coupes n° 9 x à n° 7 x,
Fig
. 23, p. 37, 48, p. 71, et Ti«, Fig. 322 à 321),
optique (coupes n° 9 x à n° 7 x, Fig. 23, p. 37, 48, p. 71, et Ti«,
Fig
. 322 à 321), le ruban de Reil médian change encor
ns désignée sous le nom de région du ruban de Reil médian (Ilg lim,
Fig
. 47, p. 69). Le ruban de Reil se termine dans la
me des fibres corlico-quadrigémi- nales postérieures (coupe n° 9 x,
Fig
. 25), et des radiations de la calotte (coupe n°
pe n° 9 x, Fig. 25), et des radiations de la calotte (coupe n° 7 x,
Fig
. ors). D'autres font partie du pédoncule du tub
oncule du tubercule mamillaire (PTml, coupes n° 9 x à n° 10 g, TI ?
Fig
. 324, 323 et TII, Fig. 374 à 376, p. M4). D'aut
millaire (PTml, coupes n° 9 x à n° 10 g, TI ? Fig. 324, 323 et TII,
Fig
. 374 à 376, p. M4). D'autres encore semblent re
sans que l'on connaisse toutefois leur origine ou leur terminaison (
Fig
. 234, p. 214); ce qui parait certain, c'est qu'
dans les cas d'agénésies de la voie pédonculaire (cas Richard, xLn,
Fig
. 231, p. 204). Faisceau longitudinal postérieur
des noyaux de la troisième paire (coupes n° 6x à n° 10 x, T. ICI',
Fig
. 321 à 323, p. 644 à 655) jusqu'au noyau central
duc de Sylvius dans le troisième ventricule (coupe n° 6 x, T. ICI',
Fig
. 321, p. 6H), le faisceau longitudinal postérieur
ent sous-thalamique postérieur de Forel (eF) (coupe n° 6 g, T. le,,
Fig
. 321, p. 644). Sur les coupes qui intéressent l
essent les noyaux de la IIIe paire (1Tm), (coupes n° 7 x et n° 9 x,
Fig
. 18, p. 71 et Fig. z, p. 37) le faisceau longit
de la IIIe paire (1Tm), (coupes n° 7 x et n° 9 x, Fig. 18, p. 71 et
Fig
. z, p. 37) le faisceau longitudinal postérieur
re dos coupes plus infé- rieures (Coupes n° 10 x, n° 11 x, T. ICI',
Fig
. 32f;, 326, p. 6tH et 657). Sa grosse extrémité
la partie inférieure des noyaux de la IIIe paire (coupe n° 12 xbis,
Fig
. 392, p. 554), la surface de section du faisceau
tielle intérieure cérébelleux supérieurs (coupe n° 13 x, T. ICI',
Fig
. 328, p. 661), ce pont devient transversal et u
rs. Avec la disparition du noyau de la IVe paire (coupes P 1, P2,
Fig
. 419, 120,j. 617, 618), la cupule de la face post
l'aqueduc une fine saillie angulaire. Au-dessous de la IVe paire (
Fig
. 406 et coupes H2, H3, H4, Fig. 424, 425 à 427,
é de ses fascicules. Surles coupes plus inférieures (coupes H5,H6),
Fig
. 428, lui-29, p. 635 et 638), ces limites antér
, formation réticulée. - slrac.a, strie acoustique ascendante (Yoy.
Fig
. É39). - r, libres sagittales du raphé. - Rm ru
isceau distinct, dans la concavité de la commissure de (coupe Hl,
Fig
. 423 p. 623). Accolé au pédoncule cérébelleux sup
ons protubérantielles moyenne et inférieure (coupes H3, H4, H5, 6H,
Fig
. à il 129, p. 628 à ti38), il s'adosse et se fusi
noyau central inférieur (Nci). Immédiatement au-dessous (coupe H 9,
Fig
. 366, p. z)), il est séparé du ruban de Reil mé
l'olive bulbaire dont il concourt à former la capsule (coupe H 10,
Fig
. 367, p. 532). CONFIGURATION INTÉRIEURE UU RHOM
rvelet. COUPES SAGITTALES La série des coupes sagittales SI à S9 (
Fig
. 408 à 417) n'est pas rigoureusement parallèle
vie légèrement en dehors et en bas, de telle sorte que la coupe SI (
Fig
. 408), par exem- ple, qui intéresse le plan sag
ut dans celte série de coupes; il est compensé par la coupe SI bis (
Fig
. 409) que nous intercalons dans celle série, à la
loi avec les coupes SI 588 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. et S2 (
Fig
. 408 et 410), le vermis, sectionné à gauche de la
ure 409. Comme on peu s'en rendre compte par le schéma de repérage (
Fig
. 407), la déviation dans celte série de coupes
DU CERVELET (Coupes Si, S2, S3, Fig. 408, 410 et 411). Coupe SI (
Fig
. 408). Coupe passant par la ligne sagillale média
supérieur sur le versant inférieur du toit du quatrième ventricule (
Fig
. 347, p. 476) et présente une sorte de crête, s
et lamelles de l'amygdale. Le tronc encéphalique de la coupe S 1 (
Fig
. 408) étant sectionné à droite de la ligne médi
éder sa description de l'élude de la coupe sagittale médiane S bis (
Fig
. 409). Le quatrième ventricule présente sur cet
t aux fibres arciformes internes (t'ai) du bulbe. Sur la coupe S 1 (
Fig
. 408), la division du tronc encéphalique en régio
e Goll est en réalité plus long qu'il ne le paraît sur la coupe SI (
Fig
. 408); il descend jusqu'au collet du bulbe (Coupe
e SI (Fig. 408); il descend jusqu'au collet du bulbe (Coupe SI bis,
Fig
. 409, voy. aussi Fig. 4 ? 6) ; sa brièveté tient
escend jusqu'au collet du bulbe (Coupe SI bis, Fig. 409, voy. aussi
Fig
. 4 ? 6) ; sa brièveté tient à ce que la coupe SI
e SI sectionne ce noyau en dedans de son grand axe. -. Coupe S 2 (
Fig
. 410). Très voisine de la précédente, cette coupe
téristique de l'arbre de vie du vermis de la coupe précédente (S 1,
Fig
. 408) se modifie très rapidement dès qu'on s'éloi
r près, la même disposition que sur la coupe sagittale médiane S 1 (
Fig
. 408). La coupe S 2 intéresse déjà l'écorce des
rotubérance, sont aussi manifestes que sur la coupe précédente S 1 (
Fig
. 408), et contiennent la surface de section des i
e sagittale S 3 du vermis, passant par la ligne de repère S 3 de la
Fig
. 407. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature
ux du bulbe ou les noyaux des cor- dons latéraux (Nlt). Coupe S3 (
Fig
. 411). La coupe S 3 passe par lesparties latérale
vermis est beaucoup plus marquée que sur la coupe précédente (S 2,
Fig
. 410). La substance blanche cen- trale s'est ép
la substance blanche de la lingula se continuait, sur la coupe S 1 (
Fig
. 408), avec la valvule de Vieussens, mais elle
du toit (Nt) et atteint sur cette coupe et la suivante (coupe S 4,
Fig
. 412) sa plus grande profondeur. Il est fermé en
trs), la substance grise n'affleure plus, comme sur la coupe S 2 2 (
Fig
. 410), la surface de la protubérance, mais en est
tantes, qui transforment peu à peu l'arbre de vie médian (coupe SI,
Fig
. 408) en arbre de vie des lobes latéraux du cer
3), puis s'étale dans la région des hémisphères (coupes S 6 et S 7,
Fig
. 414, 415) et finit par disparaître complètement
414, 415) et finit par disparaître complètement (coupes S 8 et S9,
Fig
. 416 et 417) en se fusionnant avec la substance b
rieure de la branche verticale de l'arbre de vie médian (coupe S 1,
Fig
.408), s'étalent dans la région des hémisphères
e la substance blanche centrale des hémisphères (coupes S 8 et S 9,
Fig
. 416 et 417). Les sillons interlobulaires augme
sphères (comparer entre elles les coupes SI, S3, S4, S5, S6 et S 7,
Fig
. 408, et 411 à 415). 2° La branche horizontale
OGRAPIIIQUE DU RHOMBENCEPHALE. 601 trifurquée (Coupes SI, S 2, S 3,
Fig
. 408, 410, 411), qui envoie ses branches dans l
nt en arrière sur une ligne oblique (comparer les coupes S4 et S 5,
Fig
. 112 et 413, avec les coupes S 6 et S 7, Fig. 4
les coupes S4 et S 5, Fig. 112 et 413, avec les coupes S 6 et S 7,
Fig
. 414 et 415) qui fait suite à la ligne d'implan
pe S 4), puis se fusionne avec l'axe de la luette (cUv) (Coupe S 5,
Fig
. 413) en un moignon informe qui présente deux c
e de l'amygdale, l'inférieure l'axe du lobe digastrique (Coupe S 6,
Fig
. 414). Ce dernier, long, grêle et mince dans la r
se continue avec la valvule de Tarin (VT) (Coupes S 3, S4, S5, S 6,
Fig
. 411 à 414). Entre la pyramide et le tubercule
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. du globe grêle (slg, coupes S 5 et S 6,
Fig
. 413 et 4'l4) sépare, dans toute la région de t
e assez régulière à légère convexité supérieure (Coupes S 8 et S 9,
Fig
. 416 et 417), ligne sur laquelle s'insèrent en av
ntrale grandit. Dans la région de transition (Coupes S 4, S 5, S 6,
Fig
. 412 à 414), la substance blanche centrale augm
ui passent immédiatement en dehors du nid d'hiron- delle(Coupe S 8,
Fig
. 416), la substance blanche centrale des hémisphè
ibres fournies par le pédoncule cérébelleux moyen. Coupes S4etS5 (
Fig
. 412 et 413.) Ces coupes appartienent la région
e (bv) et la présence de l'axe de la pyramide, les coupes S4 et S5 (
Fig
. -4t2 et 413) rap- pellent, jusqu'à un certain
a base d'implantation sur la substance blanche centrale (coupe S 4,
Fig
. 412). Sur les coupes plus externes (coupe S 5, F
ale (coupe S 4, Fig. 412). Sur les coupes plus externes (coupe S 5,
Fig
. 413), elle se racourcit en s'épaississant et c
onticule, qui se fusionne insensiblement sur les coupes S 6 et S 7 (
Fig
. 414 et 415), avec la substance blanche central
n'être qu'un des lobules du lobe quadrilatère antérieur (Coupe S 5,
Fig
. tl3). La branche horizontale (bh) de de vie a
par l'écorce cérébelleuse, on trouve sur ces deux coupes S4 et S5 (
Fig
. 412 et 413), un court moignon dé- pourvu d'éco
e la luette (c Uv), et que l'on voit se continuer sur la coupe S 6 (
Fig
. 414) avec un des axes de l'amygdale. Quant à l
che de l'axe du lobe digastrique auquel il s'unit sur la coupe S 6 (
Fig
. 414). L'amygdale forme ici encore (coupes S4 e
. Le globule ou noyau sphérique (Ngl) existe seul sur la coupe S 4 (
Fig
. 4 12); il se présente sous l'aspect d'une masse
aut et en avant un long et étroit pédicule au bouchon. La coupe S5 (
Fig
. 413) intéresse les deux noyaux accessoires de l'
ainsi que les fibres senzi-circu- laires internes (fsmi, coupe S 5,
Fig
. 413). TRONC ENCÉPHALIQUE.-Les coupes S4 et S5
nfléchir et à être sectionnées parallèlement à leur axe (coupe S 5,
Fig
. 413); elles appartiennent déjà aux fibres (Voy
tiennent déjà aux fibres (Voyez Coupes horizontales, séries H et C,
Fig
. 424 à 431) qui limitent les noyaux pontiques e
ce grise du pont. Dans la calotte protubérantielle de la coupe S4, (
Fig
. 412) on trouve, en arrière de l'étage antérieu
ontales qui sont infiniment plus favorables à leur étude. Coupe S5 (
Fig
. 413). Cette coupe est intéressante parce qu'elle
INTÉRESSANT LES HÉMISPHÈRES CÉRÉBELLEUX (Coupes S 6, S 7, S 8, S 9,
Fig
. 414 il 417) Coupes S6 et S7 (Fig. il et 415.)
EUX (Coupes S 6, S 7, S 8, S 9, Fig. 414 il 417) Coupes S6 et S7 (
Fig
. il et 415.) - Si les coupes S4 et S5 (Fig. 112
417) Coupes S6 et S7 (Fig. il et 415.) - Si les coupes S4 et S5 (
Fig
. 112 et 413) montrent le mode d'émergence du pédo
cervelet, au-dessus du quatrième ventricule, les coupes S 6 et S 7 (
Fig
. il et 415), mon- trent la façon dont le pédonc
rtiennent par conséquent aux hémisphères cérébelleux. La coupe S 6 (
Fig
. 414) passe par le noyau moteur du trijumeau (NVm
diverticule latéral du quatrième ventricule (l'IV.). La coupe S 7 (
Fig
. li.15) située en dehors d'elle, passe par la par
e verticale de l'arbre de vie médian, représentée sur la coupe S 5 (
Fig
. il 3) par un court et large monticule, a disparu
e la région de transition, passant par la ligne de repère S 6 de la
Fig
. 407. Méthode de Weigert- Pal. 2/1 grandeur nat
(sta). Le lobe quadrilatère postérieur, le lobe semi- TOME II. 39
Fig
. 415. - L'arbre de vie dans la région de transiti
isinage de la région de transi- tion, passant parla ligne S 7 de la
Fig
. 407. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature
ourt que l'on considère des coupes plus externes (coupes S6 et S 7,
Fig
. 414 et 415). La partie antérieure du lobe grêl
15). La partie antérieure du lobe grêle est encore sur la coupe S6 (
Fig
. 414) sans con- nexion avec la substance blanch
ontinue avec la crête de la pyramide (cPyc), ainsi que la coupe S5 (
Fig
. 413) le faisait du reste prévoir; il décrit une
ntéressée en effet au niveau de son bord externe. Sur la coupe S7, (
Fig
. 415), elle fait place aux premières lamelles du
s la substance blanche centrale on trouve encore, sur la coupe S 6 (
Fig
. 414\ le noyau emboliforme ou bouchon, plus volum
noyau emboliforme ou bouchon, plus volumineux que sur la coupe S 5,
Fig
. 413), plus allongé dans le sens sagittal. Sa fac
en arrière du pédoncule cérébelleux inférieur (Pci). La coupe S7 (
Fig
. 415) passe en dehors du bouchon et n'intéresse q
à sa limite avec le pédoncule cérébelleux moyen. Sur la coupe S 6, (
Fig
. 414), on trouve encore une gangue de substance g
artenant à la racine motrice ou nerf mas- ticateur. La coupe S 7 (
Fig
. 415) n'intéresse par contre que le pédoncule cér
ès manifestes sur les coupes suivantes S 8 et S 9. Coupes S8 et S9 (
Fig
. 416 et 417). - Ces coupes intéressent l'hémisp
cérébelleux et le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). La coupe S 8 (
Fig
. 416) passe par le pédoncule du flocculus (PFloc)
ig. 416) passe par le pédoncule du flocculus (PFloc), la coupe S 9 (
Fig
. 417) par l'émergence du nerf trijumeau (V). La
profondeur des autres sillons interlo- baires. Sur la coupe S 8 (
Fig
. 416), le lobe semi-lunaire inférieur et la parli
nt encore une grosse branche d'insertion commune; sur la coupe S 9 (
Fig
. 417) l'insertion de ces deux lobes se fait - grâ
s deux coupes, forme un lobule irrégulier, réduit sur la coupe S 8 (
Fig
. 4.16) à 7 ou 8 lamelles sessiles, ou plus ou moi
rticule latéral du quatrième ventricule (l'IV 4); sur la coupe S9, (
Fig
. il 7), le pédoncule du flocculus est plus réduit
manteau cérébral (T. II, p. 73). Les quatre coupes P1, P2, P3, P4, (
Fig
. 419 à 422), sectionnent le pédoncule cérébral
ont par suite obliques en haut et en avant. (Voy. lignes de repère,
Fig
. 431, p. 613.) Elles sont favorables à l'étude de
r les fibres transversales de la protubérance. Les coupes Hl à H 3 (
Fig
. 423 à 425) sont obliques en bas et en ÉTUDE TO
la région protubéran- tielle, perpendiculairement à son axe. (Voy.
Fig
. 418.) Les coupes H 4 à H23 (Fig. 427 à 430 et
rpendiculairement à son axe. (Voy. Fig. 418.) Les coupes H 4 à H23 (
Fig
. 427 à 430 et Fig. 438 à 453) sont horizon- tal
à son axe. (Voy. Fig. 418.) Les coupes H 4 à H23 (Fig. 427 à 430 et
Fig
. 438 à 453) sont horizon- tales, et partant un
xe longitudinal du tronc encéphalique. (Voy. re- pérage des coupes,
Fig
. 418) et leur plan de section est sensiblement pa
es coupes horizontales obliques du cerveau, N° lx à N° 13x du T. I (
Fig
. 315 à 328). Nous avons intercalé dans la série
éphalique et leurs rapports réciproques, six coupes, Coupes C 1 C6 (
Fig
. 432 à 437) sectionnant à la fois le tronc encé
à montrer les connexions du cervelet avec le tronc encéphalique.
Fig
. 418. - Face latérale du tronc encéphalique avec
SANT LA RÉGION PÉDONCULO-PROTUBÉRANTIELLE Coupes PI, P 2, P3, P4 (
Fig
. 419 à 422. (Voy. Fig. 431, p. 643 les plans de
CULO-PROTUBÉRANTIELLE Coupes PI, P 2, P3, P4 (Fig. 419 à 422. (Voy.
Fig
. 431, p. 643 les plans de repérage de ces coupe
avec les coupes horizontales ou horizontales obliques du Tome Ier (
Fig
. 312 à 314, p. 622 à 631 et Fig. 323 à 328, p.
horizontales obliques du Tome Ier (Fig. 312 à 314, p. 622 à 631 et
Fig
. 323 à 328, p. 619 à 661). Comme d'autre part,
oncule au- dessus du sillon pédonculo-protubérantiel. Coupe P 1, (
Fig
. 419). La plus élevée des quatre coupes : elle pa
e que cette masse grise ne s'étend plus comme sur la coupe N° 13 x (
Fig
. 328, T. du bord interne au bord externe du pie
r du pédoncule et que l'on peut suivre, sur les coupes P2, P3, P4, (
Fig
. 420, 421, zu ? ), jus- qu'au delà du sillon la
pédoncules se présente sous le même aspect que sur la coupe N° 13x (
Fig
. 328, p. 661, T. Ier) : elle s'effectue par deux
e du sillon pédonculo-protubérantiel, passant par la ligne PI de la
Fig
. 431, p. 043. Méthode de \Veiert-Pal, 3/1 grandeu
igine du nerf de la troisième paire (T. fer, coupes N° 9x à N° 12x,
Fig
. 324 à 327, p. 651 à 659), n'existe plus sur cett
ergent en arrière du ruban de Reil latéral (RI). Coupes P2, P3, P4 (
Fig
. 420, 421, 422). Les coupes P2, P3, P4, situées
des dimensions peu habituelles. Sur les coupes suivantes, P3 et P4 (
Fig
. 421 et 422), l'échancrure inter-pé- donculaire
) est ici encore très réduite et recouvre à peine, sur la coupe P4 (
Fig
. 422), la moitié interne de la face superficielle
cules cérébelleux supé- rieurs (Pcs) occupe encore sur la coupe P2 (
Fig
. 420) toute l'étendue sagittale du raphé, mais
ventricule. 622 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sur les coupes P3 (
Fig
.421)P4(Fig. 422), la décussation des pédoncules c
. 622 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sur les coupes P3 (Fig.421)P4(
Fig
. 422), la décussation des pédoncules céré- bell
UBÉRANTIELLE ET LA PARTIE ADJACENTE DU CERVELET Coupes Hl à H 7, (
Fig
. 123 à 430). Coupe Hl (Fig. 423). - Oblique en
DJACENTE DU CERVELET Coupes Hl à H 7, (Fig. 123 à 430). Coupe Hl (
Fig
. 423). - Oblique en bas et en [avant (voy. plan d
l (Fig. 423). - Oblique en bas et en [avant (voy. plan de repérage,
Fig
. 418, p. 613,) et perpendiculaire au grand axe lo
'axe longitudinal de la protubérance passant par la ligne H 1 de la
Fig
. 118, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeu
Reil médian (Rm) et appartiennent déjà au corps trapézoïde (Voy. Tr,
Fig
. 456, 630). Une étroite rangée de fibres longit
l, appartiennent au tænia pontis (Tpo) (Voy. trajet de ce faisceau,
Fig
. 351, p. 487). Coupe H2 (Fig. 2). Cette coupe p
s (Tpo) (Voy. trajet de ce faisceau, Fig. 351, p. 487). Coupe H2 (
Fig
. 2). Cette coupe passe par le tiers supérieur de
rmation du raphé de la calotte et qui atteignent sur la coupe H3 3 (
Fig
. 125) un grand développement. Les noyaux pontiq
tique; il tire son origine du noyau antérieur de l'acoustique (Voy.
Fig
. 426, p. 630), s'entre-croise au niveau du raphé
très accentuée, ainsi que le montre la coupe vertico-transversale (
Fig
. 426), et ainsi s'explique pourquoi ce système
de fibres n'est intéressé qu'au voisinage du raphé sur la coupe Hl (
Fig
. 423), tandis que sur la coupe H2 (Fig. 424), on
ge du raphé sur la coupe Hl (Fig. 423), tandis que sur la coupe H2 (
Fig
. 424), on peut le suivre jusque dans le ruban d
s H3 à H7), montrent ses connexions avec l'olive protubéraaztielle (
Fig
. 425) et avec le noyau antérieur de l'acoustiqu
béraaztielle (Fig. 425) et avec le noyau antérieur de l'acoustique (
Fig
. 426). Le ruban de Reil latéral très réduit ne
dehors et qui n'atteint pas en dedans le raphé médian. Coupe H3 (
Fig
. 425). Cetle coupe passe par les noyaux moteur et
ue; elles forment le faisceau oblique de la protubérance (Fo) (voy.
Fig
. 349, p. 481) et ne s'infléchissent vers la subst
. La comparaison de cette coupe avec la coupe vertico-transversale (
Fig
. 46) que nous intercalons dans cette série, est p
sceau est très facile à suivre sur cette coupe H3 (FG). Coupe H4 (
Fig
. t ? 7). La coupe H 4 est empruntée à une autre
ntérieure de la coupe H 4 passant au-dessus du plan de la coupe H3 (
Fig
. 425), tandis que sa partie posté- rieure secti
de Bechterew et dans ETUDE TOPOGRAPIIIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. G33
Fig
. 127. - La calotte et l'étage antérieur de la rég
e horizontale H 4 du rhombencéphale, passant par la ligne H 4 de la
Fig
. 418, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeu
rvelet (comparer cette coupe avec les coupes sagittales S 6 et S 7,
Fig
. 414 et 415, p. 608 et 609). Le pédoncule céréb
du cervelet (fsme), fortement colorés par l'hématoxyline. Coupe H5 (
Fig
. 428). - Celte coupe appartient à la même série q
série que la ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCEPHALE. 63H coupe H4 (
Fig
. 427), au-dessous de laquelle elle passe. Elle in
u du bouchon (Nem), les méandres supérieurs de l'olive cérébelleuse
Fig
. 428. - La région protubérantielle moyenne et ses
inuer avec le dernier ou quatrième segment du facial. La coupe H 6 (
Fig
. 129) montre le trajet ultérieur de ces fibres qu
blanche non différenciée de l'hémisphère cérébelleux. Coupe H 6 (
Fig
. 429). - Cette coupe intéresse le noyau de la V
s qu'elles étaient (comparer avec les coupes sagittales S 6 et S 7,
Fig
. 604 et 60a), et ainsi s'explique le très grand n
teur du bulbe et descend jusque dans la moelle épinière. CoupeH7 (
Fig
. 13û). - Celte coupe passe au-dessus du sillon bu
plan de section du cervelet, très voisin de celui de la coupe C 5,
Fig
. 436 p. 651, passait par l'olive cérébelleuse et
de fibres est nettement visible sur la coupe vertico-transversale (
Fig
. ? 6, p. 630) intercalée dans cette série de coup
horizon- tale H7 du rhombencéphale, passant par la ligne H 7 de la
Fig
. 418, p. 615 Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grande
n arrière et en dedans et se placent, comme le montre la coupe C 5 (
Fig
. 436, p. 651), en arrière du faisceau longitudi
essent la moitié inférieure de la protubérance : ainsi la coupe H5 (
Fig
. 428, p. 635) intéresse le segment horizontal (VI
au point où il se continue avec le segment horizontal; la coupe H6 (
Fig
. 429, p. 638) intéresse isolément le genou du f
genou du facial (VlIg) et le quatrième segment (VII.) la coupe H 7 (
Fig
. 430) intéresse le genou et le premier segment
430) intéresse le genou et le premier segment (VIL); la coupe C 5 (
Fig
. 436, p. Li51) inté- resse le premier segment (
se le premier segment (VII.) à sa fusion avec le genou; la coupe H 8 (
Fig
. 438, p. 657), qui sectionne la partie inférieu
oculaire externe (Nvi) est volumineux et ovalaire sur la coupe H 7 (
Fig
. 430); de sa partie interne se détachent les fibr
S DU RHOMBENCÉPHALE : CERVELET ET PROTUBÉRANCE (Coupes C 1 à C 6,
Fig
. 432 à 437.) La série des coupes C 1 v C 6, int
e et de l'étage antérieur de la protubérance des coupes H 1 à. H 7 (
Fig
. 423 à 430) sur lesquels nous n'avons plus à re
23 à 430) sur lesquels nous n'avons plus à revenir. La coupe C 1 (
Fig
. 432) passe au-dessus de l'olive cérébelleuse et
ignes de repérage des séries de coupes P et C. Les Coupes P 1 à P4 (
Fig
. 419 à 4 ? 2,p. 616 à 622; sont obliques en hau
rallèles au sillon pédonculo-protubérantiel. Les coupes C 1 il C 6 (
Fig
. 432 à 437) sont obliques en bas et en avant et p
au niveau des noyaux du trijumeau et passant par la ligne C 1 de la
Fig
. 431. Méthode de Weigert-Pal, 2/1 Grandeur natu
r- tant sectionnées perpendiculairement à leur axe. La coupe C 2 (
Fig
. 433) passe un peu au-dessous de la précédente.
téressé sur une plus grande étendue que sur la coupe précédente Cl (
Fig
. 432), mais occupe néanmoins principa- lement l
et qui se rendent dans le C01'pS juxta-I'estiforme (Cj). Coupe C 3 (
Fig
. 434). Cette coupe passe par la substance blanche
partie antérieure passe à peu près au même niveau que la coupe H 6 (
Fig
.'42 *9), tandis que sa partie cérébelleuse corres
2 *9), tandis que sa partie cérébelleuse correspond à la coupe H 5 (
Fig
.lW8). Cette coupe intéresse les circonvolutions
ine de la Salpêtrière ÉTUDE TOPOGRAPIIIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 647
Fig
. 434. Le cervelet; l'entre-croisement commissural
eur oculaire externe et facial, et pas- sant par la ligne C 3 de la
Fig
. 431. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature
obe semi- lunaire supérieur forment encore, comme sur la coupe C 1 (
Fig
, 432), des îlots entièrement indépendants de la
grand arc régulier autour du 4° ventricule comme sur la coupe C 1 (
Fig
.432) ; leur partie vermienne parait s'infléchir
s, fasciculi teretes, ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 649'
Fig
. 435. - Le cervelet; sa substance blanche, ses no
iers inférieur de la protubérance et passant par la ligne C 4 de la
Fig
. 431. La cavité du quatrième ventricule est color
eure du vermis inférieur, en particulier le nodule (Voy. coupe C 4,
Fig
. 435). Coupe C4 (Fig. 435). Très voisine de la
r, en particulier le nodule (Voy. coupe C 4, Fig. 435). Coupe C4 (
Fig
. 435). Très voisine de la précédente, cette coupe
s de la coupe C 4 se continuent en effet avec celles de la coupe C3(
Fig
. 434). Cet entre-croisement occupe avec les noy
tiennent encore à 1'entl'e-croisement commissural (Eca). Coupe C 5 (
Fig
. 136). - Cette coupe passe par la partie inférieu
espond à peu près, dans la région protubéranticllc, à la coupe H 7 (
Fig
. 430). La coupe intéresse, dans la région des h
éresse le noyau d'origine du facial et passe par la ligne C 5 de la
Fig
. 431. La cavité du quatrième ventricule est color
plexus choroïdes transversaux du quatrième ventricule. Coupe C 6 (
Fig
. 437). Cette coupe passe au-dessous du sillon mar
tie supérieurè du bulbe rachidien et passant par la ligne C 6 de la
Fig
. 431. (La cavité du quatrième ventricule est colo
ne du quatrième ventricule où elles s'arrêtent brusquement. (PFloc,
Fig
. 35) (Voy. Pédoncule du flocculus, chap. IV.) B
estiforme, l'angle postéro-externe du bulbe. Les coupes H 8 à H 13 (
Fig
. 438 à H3) sectionnent la partie supé- rieure d
lus voisine du sillon hulho-protuhérantiel. Les coupes H 14 à H 23 (
Fig
. 444 à 453) intéressent la partie infé- rieure,
u collet du bulbe, et partant, de la moelle cervicale. Coupe H 8 (
Fig
. 438). Cette coupe passe au-dessus des diverticul
t existe encore; la coupe se rapproche à cet égard de la coupe H 7 (
Fig
. 430, p. 640). Bibliothèque des Internes en M
ne de la Salpêtrière ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 657
Fig
. 438. - Le tronc encéphalique dans la région bulb
bulbe, aux confins de la protubérance, passant par la ligne H 8 de la
Fig
. 418, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 5/1 grand
ieur (Nci). Moins étendu dans le sens sagittal que sur la coupe H7 (
Fig
. 430, p. 640), ce noyau est limité en avant par
uche de fibres beaucoup plus épaisse et dense que sur la coupe H 7 (
Fig
. 430). La partie exlerne de la formation réticu
zontales les connexions de ce noyau avec le corps trapézoïde. (Voy.
Fig
. 426, p. 630). Sous l'épendyme ventriculaire, d
atrième ven- tricule. (Voy. p. 491 et Quatrième ventricule, p. 501,
Fig
. 353 et 354, p. 492.) Cette insertion épendymai
a valvule de Tarin (VT) et l'olive cérébelleuse (Oc) (Voy. Coupe C 6.
Fig
. 437, p. 633); l'autre externe, infiniment plus
l'une avec l'autre au- dessus de la strie acoustique. Coupe H 9 (
Fig
. /39). - Cette coupe intéresse la partie supérieu
re, un grand nombre conservent, comme sur la coupe pré- cédente H8 (
Fig
. 438), leur position superficielle et appartienne
tion un peu anor- male, qui se retrouve sur les coupes H 10 et Hll,
Fig
. 440 et 441, et qui est due, - ainsi que le mon
de fibres pyra- midales homolatérales superficielles (Voy. p. 547,
Fig
. 383). En général le fais- ceau pyramidal est m
atérale du quatrième ven- tricule, au voisinage du locus coeruleus (
Fig
. 406, p. 583). En dehors de cette strie anormal
inférieure de la strie acoustiques (stac) de la coupe précédente H 8 (
Fig
. 438, p. 657); ses fibres sont sectionnées para
avec la cavité ventriculaire au-dessus de la strie de la coupe H8 (
Fig
. 438, p. 657). La membrane obturatrice qui le fer
la coupe passe en effet par le trou de Luschka (TL). Coupe H 10 (
Fig
. 1110). -Cette coupe passe au-dessous des diverti
s nettement mise en évidence sur la coupe sagittale médiane SI bis (
Fig
. 409, p. 592). L'olive bulbaire n'a subi qu'une
lan d'émergence du nerf glosso-pharyngien et par la ligne H10 de la
Fig
. 418, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. o/i grandeu
ngé d'aspect, il ne comprend plus, comme sur les coupes H 8 et H 9 (
Fig
. 438 et 439), des fibres longitudinales, striées
ion superficielle et atteignent la périphérie du bulbe. Çoupe H 11 (
Fig
. 441). -Celte coupe passe par la partie moyenne d
qu'elles n'en atteignent que la moitié postérieure sur la coupe H9 (
Fig
. 439) et les deux tiers postérieurs sur la coupe
coupe H9 (Fig. 439) et les deux tiers postérieurs sur la coupe H 10 (
Fig
. 440). Comme sur les coupes précédentes, il exi
. 669 au-dessous de la zone des stries acoustiques (Coupe SI bis,
Fig
. 409, p. 592); la plupart des fibres ne parcour
ulée blanche (SRa) sont plus courtes et plus grêles, elles semblent
Fig
. 441. - La région bulbaire supérieure au niveau d
rne (Noe) contourne l'extrémité postérieure de l'olive (coupe H 10,
Fig
. 440) et longe sa face externe (coupes H 11, H 12
H 10, Fig. 440) et longe sa face externe (coupes H 11, H 12, H 13,
Fig
. 441 à 413). Il n'appartient qu'à la partie supér
s la légère diminution de teinte visible sur les coupes H9 et H 10 (
Fig
. 439 et 440) dans la partie moyenne, sous-jacente
ive bulbaire (voy. coupes H 10, H9, Fig. 440 et 439). Coupe H 12 (
Fig
. 442). Cette coupe intéresse la partie inférieure
dante de la branche vestibu- laire du nerf auditif). Co upe H 13 (
Fig
. li43). - Cette coupe passe au-dessous des plexus
; ce ne sont plus, comme sur la coupe H 12 de la figure précédente (
Fig
. 442), de grêles fascicules faiblement colorés pa
optique. La cavité du quatrième ventricule qui, sur la coupe H 12 (
Fig
. 442), présentait une figure triangulaire et po
ite la face interne du noyau des cordons postérieurs. Coupe H 14 (
Fig
. 44t.). - Cette coupe intéresse la partie inférie
t) représenté sur cette coupe (comme sur la précédente, coupe H 13 (
Fig
. 443), et la suivante, coupe H 15 (Fig. 4 hui) pa
r la précédente, coupe H 13 (Fig. 443), et la suivante, coupe H 15 (
Fig
. 4 hui) par un faisceau horizontal qui occupe l
disparaissent, l'entre-croisement piniforme s'accroît (coupe H 15,
Fig
. H5), se porte en avant (coupe H 16, Fig. 446)
rme s'accroît (coupe H 15, Fig. H5), se porte en avant (coupe H 16,
Fig
. 446) et occupe finalement toute l'étendue sagitt
t occupe finalement toute l'étendue sagittale du raphé (coupe H 17,
Fig
. 447). Les trabécules gris de la formation réti
les coupes qui passent au-dessous de l'olive bulbaire (coupe H 17,
Fig
. 447). Coupe H 15 (Fig. i 15. - Cette coupe int
u-dessous de l'olive bulbaire (coupe H 17, Fig. 447). Coupe H 15 (
Fig
. i 15. - Cette coupe intéresse la partie fermée d
16, il occupe le sillon latéral de la pyramide; sur la coupe H 18 (
Fig
. 448), il a disparu. La pyramide est adossée en
nterne- liculées, ni de l'entre-croisement sensitif. Coupe (H 16,
Fig
. 44G). - Celte coupe passe au-dessous de l'olive
du bulbe. - Coupe transversale H 15 passant par la ligne H 15 de la
Fig
. 418, p. 615. Méthode Weigert-Pal. 6/1 grandeur n
t piniforme.-Coupe transversale H16 passant par la ligne H 16 de la
Fig
. 418, p. 015. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeu
arqué (Narc) et aux fibres arciformes pré-pyramidales. Coupe H17 (
Fig
. 447). Cette coupe passe dans la région inférieur
ndeur. On con- state sur cette coupe, comme sur la précédente (H 16
Fig
. 446), les champs poly- gonaux des fascicules d
piniforme. - Coupe transversale H17 passant par la ligne H 17 de la
Fig
. 418, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeu
au. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. G83 Sur la coupe H 17 (
Fig
. 44 ï), la grosse racine sensitive descendante du
atre amas irréguliers et déchiquetés de substance grise Coupe H 18 (
Fig
. 448). Cette coupe passe au-dessus de l'entre-cro
entrale par un pédoncule court et épais. Les coupes H 18, H 19, H20(
Fig
. .ls à 450) intéressent en effet la région du bul
sont moins proéminents et moins volu- mineux que sur la coupe H 17 (
Fig
. 447). Le noyau de Burdach (NB) représente une
toure le noyau de Burdach d'une sorte de cupule. Sur la coupe H 19 (
Fig
. 449) les fibres du cordon de Burdach sont si den
lée grise. Coupe trans- versale H18 passant par la ligne H18 de ! a
Fig
. 418, p. 015. Méthode [de Weigert-Pal. 0/1 gran
ure que l'on s'approche du collet du bulbe (coupe H20, Fig. 450).
Fig
. 119 et 1 : )0. L'entre-croisement moteur et la r
ite à mesure que l'on aborde des plans plus inférieurs (coupe H 19,
Fig
. 449), puis s'étrangle sur la coupe H20 (Fig. 4
nférieurs (coupe H 19, Fig. 449), puis s'étrangle sur la coupe H20 (
Fig
. 450). La couche de fibres qui le revêt et qui co
mais elle s'accroît rapidement de haut en bas. Coupes H 19 et H20 (
Fig
. 419 et ? 0). - Les coupes H19 et H20 passent p
de telle sorte que la ligne oblique, qui limite sur la coupe H 18 (
Fig
. 448) la corne anté- rieure (Coa), devient pres
re (Coa) encore mal délimitée en dehors, surtout sur la coupe H 19 (
Fig
.449) et une région intermédiaire (SRg), adjacen
) en avant de la base de la corne postérieure. Coupe H21,H22,H23 (
Fig
. 4.'il, i. : p2, 453). - Ces coupes passent par
amidaux (Py) au niveau de leur entre-croisement comme la coupe H20 (
Fig
. 450), mais encore la partie croisée de ces fai
sont représentés sur les Figures 45 l, 452 et 453. La coupe H21 (
Fig
. 451) montre la décapitation des deux cornes anté
ondant au bord externe de la corne latérale (Col) de la figure H20 (
Fig
. 4.0). La coupe H22 (Fig. 452) passe entre deux
a corne latérale (Col) de la figure H20 (Fig. 4.0). La coupe H22 (
Fig
. 452) passe entre deux fascicules entre-croisés e
pe H22 (Fig. 452) passe entre deux fascicules entre-croisés et l'on
Fig
. 431. - La partie inférieure de l'entre-croisemen
fibres du cordon 11nté¡'o-laléral de la moelle. Sur la coupe H23 (
Fig
. 453), ]'e1l{¡'e-C¡'OlÚment pyramidal est terminé
première paire cervicale (CI). La partie gauche de la coupe H23 (
Fig
. 453) présente un aspect autre, et FIG. i : 2.
ou moins grêle. La disposition est un peu autre sur la coupe H 22 (
Fig
. 452). - Le noyau de Burdach a disparu, le noya
on col. - Les cornes postérieures, qui étaient situées (coupe H 21,
Fig
. 451) sur la même ligne transversale que la sub
enne de la moelle épinière, la distance qui sépare TOME II. 44 't
Fig
. 433. La région cervicale supérieure de la moelle
une seule rangée. Examinées au microscope, un faible grossissement (
Fig
. H54), les coupes sagittales ou vertico-transve
massue et en raquette, et sont dirigés plus ou moins obli- quement (
Fig
. 4sus). L'emploi de la méthode de Nissl permet
es il angle droit et dont l'extrémité libre est légèrement renflée'(
Fig
. 45G). Ces caractères les distinguent des épine
ui occupe chez l'adulte toute l'épaisseur de la couche moléculaire (
Fig
. 435 et 4JG). Chez l'embryon, celle arborisatio
es sagittales, perpendicu- laires à la direction de la lamelle (
Fig
. i.5 et L 406) et qu'elle est vue de champ ou
rofil l sur les coupes vertico- transversales ou hori- zonales (
Fig
. 457), qui sectionnent les lamel- les cérébel
utour des corps et des dendrites des cellules de Purkinje voisines (
Fig
. 155 et 1-56). Couche interne. - Comparée à la
llée de v. Kôlliker, se présente sur les coupes colorées au carmin (
Fig
. in, sous l'aspect d'un amas serré de grains poly
'on ne rencontre dans aucune autre région du névraxe. Les grains (
Fig
. 457) représentent de petites cellules nerveuses,
risations des cellules de Purkinje sont vues de champ ou de profil (
Fig
. 457), et que les fibres parallèles se trouvent
e, en une rangée presque aussi serrée que celle de ces der- nières (
Fig
. 458). Le cylindre-axe est court et se résout e
rent de chaque côté dans la couche moléculaire adjacente (Retzius) (
Fig
. 458). D'autres dendrites se coudent après avoi
les arborisa- tions à direction sagittale des cellules de Purkinje (
Fig
. 457 et 459), un certain nombre de cellules pro
ns le plan sagittal, perpendiculairement au grand axe des lamelles (
Fig
. 485 et hui9), comme les cellules de Purkinje. Le
(v. ou d'un nid périccllulaire suivant l'expression de Cajal (b, d,
Fig
. t.9). Le nombre de ces collatérales descendant
iphérie de la couche moléculaire où elles s'arborisent libre- ment (
Fig
. 459). Cajal (1895) a signalé enfin dans la couch
es névrogliques spéciales, dites cellules empanachées de Cajal (ce,
Fig
. 456), dont les corps siègent dans la partie supé
ulièrement nombreuses sur les coupes traitées suivant la méthode de
Fig
. 459. - Les éléments constitutifs de l'écorce céi
la couche granuleuse, et dont les autres, beaucoup plus longs (t'B,
Fig
. li 6), se comportent d'une façon spéciale et c
ue très dense et de nombreuses cellules araignées (astrocyles) (as,
Fig
. 153) dont les prolongements fort nombreux sont
n variqueuse et plexiforme étendue (Cajal, Iiüllil : er, lielzius) (
Fig
. 'tJ9 et lui-60). Les fibres grimpantes sont au
bles aux fibres moussues des grains de la circonvolution godronnée (
Fig
. 3G5, p. 728, T. 1). Les arborisations terminal
raciliaire, s'y couder et se continuer avec une fibre de la région (
Fig
. 4 fil); mais nous n'avons jamais pu les suivre
orées suivant les procédés de Wei- ert ou de Pal. [Coupes H5 il H7 (
Fig
. 428 à ! a0) et, Coupes C3 à C6 (Fig. 31. à li-
t ou de Pal. [Coupes H5 il H7 (Fig. 428 à ! a0) et, Coupes C3 à C6 (
Fig
. 31. à li-a-7).] Les cellules nerveuses occupen
et étendues, dans le corps dentelé d'un foetus humain de six mois (
Fig
. 462). Comme à cet âge les cellules de Purkinje
isine : elles constituent les fibres en guirlande cle Stilling (fg,
Fig
. 4G5, p. 720, et sont les homologues des fibres
été désignées par Stilling sous le nom de fibres dendritiques (fd,
Fig
. 16 ? p. 720). La longueur de ces libres varie né
formant à la base des lobes un feutrage sous-lobaire inextricable (
Fig
. 4G3), tout à fait analogue à cette couche péri
ent le noyau du toit par sa par- tie postérieure et inférieure (bh,
Fig
. 410 el 165). Les fibres de la pyramide de Mala
rs, traversent le feutrage sous-lobaire en dehors du noyau du toit (
Fig
. Hl p. a997), puis se placent en arrière du bouch
forment ici un faisceau volumineux, irrégulièrement arrondi (l'Py,
Fig
. 436, p. 651), qui longe toute la face postérie
e postérieure du bouchon, puis s'infléchit en avant et se conlinue (
Fig
. 412, p. 603) avec les fibres semi-circulaires ex
ule où ses fibres s'infléchissent et changent de direction. (PFloc,
Fig
. 437 et h<i8, p. 6G3 et 6 : )ï), Ce faisceau,
canal qui relie le quatrième ventricule à son diverticule latéral (
Fig
. aï el 439); il se trouve intéressé sur toutes
able suivant les ré- gions. 710 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fig
. 463. - L'écorce cérébelleuse du lobe supérieur d
37), sagittales (SI à S9 Fig. ? OS a 417) ou vertico-transversales (
Fig
. 346 p. 474 et Fig. 356 p. 505) sectionnent les
à S9 Fig. ? OS a 417) ou vertico-transversales (Fig. 346 p. 474 et
Fig
. 356 p. 505) sectionnent les fibres du feutrage s
entre elles par les innombrables interstices (voy. Coupes C2 à C6,
Fig
. 433 à 437, p. 645 à 653), qui séparent les lâche
fascicules serrés, fortement colorés par la laque hématoxylinique (
Fig
. 363, p. 521). Le feutrage intraciliaire reçoit
nt commissural de Stilling (Eca). Les fibres dugroupe inlerne (fsmi
Fig
. 463), plus rapprochées des parois latérales du
u simplement sous le nom de fibres semi-circulaires externes (fsme,
Fig
. hG3), et celles du groupe interne sous le nom de
la lingula (aLig); 3° dans la substance blanche centrale du vermis (
Fig
. 465, p. 720). Une petite partie des fibres se
érieure de la branche horizontale de l'arbre de vie du lobe médian (
Fig
. 437, p. G : 3); la couche sagittale de cette bra
ide des coupes horizontales et sagittales sériées (coupes Cl il C6,
Fig
. 432 à 437, H3 à H6, Fig. 425 à 420 et S4 à S9, F
ur ensemble sous l'aspect caractéristique d'un faisceau falciforme (
Fig
. 464), mince et effilé en arrière, volumineux e
et de la paroi externe du quatrième ventricule (coupes H3, H4, Cl,
Fig
. 425, 427 et 432). Ce parallélisme des libres c
t en dedans d'abord par la toison (fec, côté gauche de la coupe Cl,
Fig
. 432), plus bas par le bouchon (Nem) et l'extré
férieure qu'elles doivent décrire (voy. Coupe vertico-transversale,
Fig
. 316), avant de s'entre-croiser dans le vermis,
s faisceau de fibres compris sur les coupes horizontales H4, et C2 (
Fig
. 427 et 433), entre la toison et le pédoncule c
ulaires externes diminuent, puis disparaissent (Coupes C 3, C4. C5,
Fig
. 431 à 436 et Coupe H6, Fig. 429). Ils ne sont pl
iques de la pyramide du vermis (Voy. Coupes horizontales, C4 et C5,
Fig
. 463 et 43(i, et Coupe sagittale, S4, Fig. 412, p
ce de section affecte la forme d'une lame coudée, ouverte en avant (
Fig
. 465) et qui mesure 0m'V- à 1 millimètre d'épai
de l'olive cérébelleuse et du bouchon. (Voy. coupe horizontale C 4,
Fig
. 435, p. 649.) 1,'iG. 16. - La substance blanch
CONTENUES DANS LES PLANCHES DE CET ATLAS. ---mm--- PLANCHE L
Fig
. 1. Cerveau d'un Homme blanc français (profil). F
ig. 1. Cerveau d'un Homme blanc français (profil). Forme restituée.
Fig
. 2. Cerveau d'une Femme bojesmane connue autrefoi
é figurée par Tiedemann, Phil. trans. Forme restituée. PLANCHE IL
Fig
. 1. Cerveau du même Homme blanc (face dorsale). F
ig. 1. Cerveau du même Homme blanc (face dorsale). Forme restituée.
Fig
. 2. Cerveau de la Vénus hottentote (face dorsale)
e la collection du muséum de Paris. Forme restituée. PLANCHE III.
Fig
. 1, 2, 3 et A. Cerveau d'un Orang de Sumatra. De
g de Sumatra. De la collection du muséum de Paris. Formes restituées.
Fig
. 5 et 6. Cerveau d'un autre Orang. PLANCHE IV.
es restituées. Fig. 5 et 6. Cerveau d'un autre Orang. PLANCHE IV.
Fig
. 1 et 2. Cerveau de YHylobates syndactylus, d'apr
Fig. 1 et 2. Cerveau de YHylobates syndactylus, d'après Sandifort.
Fig
. 3. Profil du cerveau d'un fœtus de Gibbon. De la
cerveau d'un fœtus de Gibbon. De la collection du muséum de Paris.
Fig
. 4, 5 et 6. Cerveau du Gibbon cendré (Hylobates l
leuciscus). De la collection du muséum de Paris. Forme res-tituée.
Fig
. 7, 8 et 9. Cerveau de l'Entelle (Semnopithecus E
ecus Enlellus). De la collection du muséum de Paris. Forme restituée.
Fig
. 10, 11 et 12. Cerveau du Semnopithèque maure (Se
De la collection du muséum de Paris. Forme restituée. PLANCHE V.
Fig
. 1 et 2. Cerveau du Semnopithèque nasique (Nasali
t. D'après un cerveau déformé. De la collection du muséum de Paris.
Fig
. 3, 4, 5 et 6. Cerveau du Callitriche (Cercopithe
6. Cerveau du Callitriche (Cercopithecus sabœus). Forme restituée.
Fig
. 4 bis. Profil du même cerveau; l'opercule du lob
ule du lobe postérieur a été enlevé pour montrer les plis de passage.
Fig
. 7, 8, 9 et 10. Cerveau de la Mone (Cercopithecus
one (Cercopithecus mono). D'après un cerveau déformé. PLANCHE VI.
Fig
. 1, 2 et 3. Cerveau du Chimpanzé [Troglodytes nig
lodytes niger). De la collection du muséum de Paris. Forme restituée.
Fig
. 4. Face inférieure de Chimpanzé, d'après Tyson.
rme restituée. Fig. 4. Face inférieure de Chimpanzé, d'après Tyson.
Fig
. 5 et 6. Cerveau de Chimpanzé, d'après Vrolick et
er Van-der-Kolk. PLANCHE VU. fin de l'explication particulière.
Fig
. 1, 2, 3, i et 5. (Cerveau d'un Magot (Pilhecus i
. Du côté droit, le lobe temporal était atrophié. Forme res-lituée.
Fig
. 6, 7, 8, 9 et 10. Cerveau d'un Macaque toque (Ma
Macaque toque (Macacus radiatus). Forme restituée. PLANCHE VIII.
Fig
. 1, 2 et 3. Cerveau d'un Ouanderou (Macacus silen
1, 2 et 3. Cerveau d'un Ouanderou (Macacus silenus). Forme restituée.
Fig
. 4, ô et 6. Cerveau d'un Mangabey (Cercopithecus
t 6. Cerveau d'un Mangabey (Cercopithecus JEthiops). Forme restituée.
Fig
. 7, 8, 9, 10 et 11. Cerveau de Rhésus (Macacus Rh
Cerveau de Rhésus (Macacus Rhésus). Forme restituée. PLANCHE IX.
Fig
. 1, 2, 3, 7 et 9. Cerveau d'un Papion (Cynocephal
et 9. Cerveau d'un Papion (Cynocephalus sphinx). Formes restituées.
Fig
. 4, o, G, 8 et 10. Cerveau d'un Mandrill (Cynocep
'un Mandrill (Cynocephalus mormon). Formes restituées. PLANCHE X.
Fig
. 1,2, 3 et 4. Cerveau du Belzébuth (Ateles Belzeb
ANCHE X. Fig. 1,2, 3 et 4. Cerveau du Belzébuth (Ateles Belzebuth).
Fig
. 5 et 6. Cerveau d'un Lagotriche (Lagothrix Ilumb
6. Cerveau d'un Lagotriche (Lagothrix Ilumboldtii). Forme restituée.
Fig
. 7, 8, 9 et 10. Cerveau d'un Saï capucin (Cebus c
9 et 10. Cerveau d'un Saï capucin (Cebus capucinus). Forme restituée.
Fig
. 11, 12, 13 et 14. Cerveau d'un Sajou brun (Cebus
uée. Fig. 11, 12, 13 et 14. Cerveau d'un Sajou brun (Cebus apclla).
Fig
. 12 bis. Profil du même cerveau; le pli de passag
ert par la résection de l'opercule. Formes restituées. PLANCHE XL
Fig
. 1, 2 et 3. Cerveau d'un foetus humain de dix-hui
. 1, 2 et 3. Cerveau d'un foetus humain de dix-huit semaines environ.
Fig
. 4, 5 et 6. Cerveau du Saïmiri (Pithesciureus Sai
environ. Fig. 4, 5 et 6. Cerveau du Saïmiri (Pithesciureus Saimiri).
Fig
. 7, 8 et 9. Cerveau du Moloch (Callithrix Moloch)
us Saimiri). Fig. 7, 8 et 9. Cerveau du Moloch (Callithrix Moloch).
Fig
. 10, 11 et 12. Cerveau du Douroucouli (Nyctipithe
12. Cerveau du Douroucouli (Nyctipithecus Duruculi). Forme restituée.
Fig
. 13, 14 et 15. Cerveau du Pinche (QEdipus). Fig
). Forme restituée. Fig. 13, 14 et 15. Cerveau du Pinche (QEdipus).
Fig
. 16, 17 et 18. Cerveau du Ouistiti vulgaire (Jacc
re les comparaisons. * PLANCHE XIII. Moules internes de crânes.
Fig
. 1 et 3. Orang jeune. Fig. 2 et 4. Orang adulte.
PLANCHE XIII. Moules internes de crânes. Fig. 1 et 3. Orang jeune.
Fig
. 2 et 4. Orang adulte. Fig. 5 et 6. Gorille femel
ernes de crânes. Fig. 1 et 3. Orang jeune. Fig. 2 et 4. Orang adulte.
Fig
. 5 et 6. Gorille femelle. EXPLICATION GÉNÉRALE
E MI». V BOTÎCIIA RD-1IUZ A R1 , RITE DE Ï.V.PEROX, 5. PLANCHE 1.
Fig
. 1. Fi£ 2. homme » PLANCHE iiI Fig. 1. "F
V.PEROX, 5. PLANCHE 1. Fig. 1. Fi£ 2. homme » PLANCHE iiI
Fig
. 1. "Fié. 2. HOMME. planche 111. F 1 H -3
iiI Fig. 1. "Fié. 2. HOMME. planche 111. F 1 H -3- H 5
Fig
. 2. Fig. 5 Kg. 6. ORANG. PIANCHE 1V. H-
. 1. "Fié. 2. HOMME. planche 111. F 1 H -3- H 5 Fig. 2.
Fig
. 5 Kg. 6. ORANG. PIANCHE 1V. H-1 Kg. 2.
g. 2. Fig. 5 Kg. 6. ORANG. PIANCHE 1V. H-1 Kg. 2. MB.
Fig
4. Fig. 5. Fig. 6 Fig.7. M 8. H 9- Fi
ig. 5 Kg. 6. ORANG. PIANCHE 1V. H-1 Kg. 2. MB. Fig 4.
Fig
. 5. Fig. 6 Fig.7. M 8. H 9- Fié.10. F
. 6. ORANG. PIANCHE 1V. H-1 Kg. 2. MB. Fig 4. Fig. 5.
Fig
. 6 Fig.7. M 8. H 9- Fié.10. Fié. h. F
ANG. PIANCHE 1V. H-1 Kg. 2. MB. Fig 4. Fig. 5. Fig. 6
Fig
.7. M 8. H 9- Fié.10. Fié. h. Fié. i2.
Fié. h. Fié. i2. ©niBIBÛISS ET SEMTOOTISÈfllJIES . PLanche V.
Fig
. i. H-3 Fig.7. Fij S. Fig.8. Fig. 2 F
2. ©niBIBÛISS ET SEMTOOTISÈfllJIES . PLanche V. Fig. i. H-3
Fig
.7. Fij S. Fig.8. Fig. 2 Fig. 4. Fig.9.
SEMTOOTISÈfllJIES . PLanche V. Fig. i. H-3 Fig.7. Fij S.
Fig
.8. Fig. 2 Fig. 4. Fig.9. Fie. 4bls Fig.
SÈfllJIES . PLanche V. Fig. i. H-3 Fig.7. Fij S. Fig.8.
Fig
. 2 Fig. 4. Fig.9. Fie. 4bls Fig.' 6. Fi
. PLanche V. Fig. i. H-3 Fig.7. Fij S. Fig.8. Fig. 2
Fig
. 4. Fig.9. Fie. 4bls Fig.' 6. Fig. 10.
he V. Fig. i. H-3 Fig.7. Fij S. Fig.8. Fig. 2 Fig. 4.
Fig
.9. Fie. 4bls Fig.' 6. Fig. 10. SEMNOPITHE
Fig.7. Fij S. Fig.8. Fig. 2 Fig. 4. Fig.9. Fie. 4bls
Fig
.' 6. Fig. 10. SEMNOPITHEQUES ET GUENONS PLA
Fij S. Fig.8. Fig. 2 Fig. 4. Fig.9. Fie. 4bls Fig.' 6.
Fig
. 10. SEMNOPITHEQUES ET GUENONS PLAN CHE v
Fig. 10. SEMNOPITHEQUES ET GUENONS PLAN CHE vi. Fié. 1.
Fig
.3. H-5 Ù.2. T"ig. 4. Fig. 6. Ddakayt,,
ENONS PLAN CHE vi. Fié. 1. Fig.3. H-5 Ù.2. T"ig. 4.
Fig
. 6. Ddakayt,, dtl. CHEMPANZÉ PLAN che V
T"ig. 4. Fig. 6. Ddakayt,, dtl. CHEMPANZÉ PLAN che VII
Fig
. l. Ftg 6. M 4. %9- Fig. 2. Fig. s. F
dtl. CHEMPANZÉ PLAN che VII Fig. l. Ftg 6. M 4. %9-
Fig
. 2. Fig. s. Fig. 7 Kg... Fig. îo. Kg 8.
MPANZÉ PLAN che VII Fig. l. Ftg 6. M 4. %9- Fig. 2.
Fig
. s. Fig. 7 Kg... Fig. îo. Kg 8. MACAQUE
LAN che VII Fig. l. Ftg 6. M 4. %9- Fig. 2. Fig. s.
Fig
. 7 Kg... Fig. îo. Kg 8. MACAQUES PLAN
Fig. l. Ftg 6. M 4. %9- Fig. 2. Fig. s. Fig. 7 Kg...
Fig
. îo. Kg 8. MACAQUES PLAN che VIII. r,
Kg... Fig. îo. Kg 8. MACAQUES PLAN che VIII. r,g. i.
Fig
. 4. Fig. 7. Fig. 10. Fig. 2 Fig. 5. Fig
ig. îo. Kg 8. MACAQUES PLAN che VIII. r,g. i. Fig. 4.
Fig
. 7. Fig. 10. Fig. 2 Fig. 5. Fig. 8. Fig
Kg 8. MACAQUES PLAN che VIII. r,g. i. Fig. 4. Fig. 7.
Fig
. 10. Fig. 2 Fig. 5. Fig. 8. Fig. h. Fig
AQUES PLAN che VIII. r,g. i. Fig. 4. Fig. 7. Fig. 10.
Fig
. 2 Fig. 5. Fig. 8. Fig. h. Fig. 3. Fig.
LAN che VIII. r,g. i. Fig. 4. Fig. 7. Fig. 10. Fig. 2
Fig
. 5. Fig. 8. Fig. h. Fig. 3. Fig. 6. Fig
VIII. r,g. i. Fig. 4. Fig. 7. Fig. 10. Fig. 2 Fig. 5.
Fig
. 8. Fig. h. Fig. 3. Fig. 6. Fig- 9- J}t
r,g. i. Fig. 4. Fig. 7. Fig. 10. Fig. 2 Fig. 5. Fig. 8.
Fig
. h. Fig. 3. Fig. 6. Fig- 9- J}tlahayt,, d
Fig. 4. Fig. 7. Fig. 10. Fig. 2 Fig. 5. Fig. 8. Fig. h.
Fig
. 3. Fig. 6. Fig- 9- J}tlahayt,, dil. MACA
Fig. 7. Fig. 10. Fig. 2 Fig. 5. Fig. 8. Fig. h. Fig. 3.
Fig
. 6. Fig- 9- J}tlahayt,, dil. MACAQUES PLA
Fig. 6. Fig- 9- J}tlahayt,, dil. MACAQUES PLAN CHE IX
Fig
. i. Fig. L % 9- Fig. 10. Fig. 2. Fig. 7
Fig- 9- J}tlahayt,, dil. MACAQUES PLAN CHE IX Fig. i.
Fig
. L % 9- Fig. 10. Fig. 2. Fig. 7 Fig, S.
ahayt,, dil. MACAQUES PLAN CHE IX Fig. i. Fig. L % 9-
Fig
. 10. Fig. 2. Fig. 7 Fig, S. Fip. 3. o
. MACAQUES PLAN CHE IX Fig. i. Fig. L % 9- Fig. 10.
Fig
. 2. Fig. 7 Fig, S. Fip. 3. o Fig. 8 F
ES PLAN CHE IX Fig. i. Fig. L % 9- Fig. 10. Fig. 2.
Fig
. 7 Fig, S. Fip. 3. o Fig. 8 Ffc 6. CT
CHE IX Fig. i. Fig. L % 9- Fig. 10. Fig. 2. Fig. 7
Fig
, S. Fip. 3. o Fig. 8 Ffc 6. CTTO(EIÊIP3
Fig. L % 9- Fig. 10. Fig. 2. Fig. 7 Fig, S. Fip. 3. o
Fig
. 8 Ffc 6. CTTO(EIÊIP3MÏLII§. PLAN CUE X
Fip. 3. o Fig. 8 Ffc 6. CTTO(EIÊIP3MÏLII§. PLAN CUE X
Fig
. 5. Fig. 12 ¦ Flè 7; Fig. n. Fig. 2. Fi
o Fig. 8 Ffc 6. CTTO(EIÊIP3MÏLII§. PLAN CUE X Fig. 5.
Fig
. 12 ¦ Flè 7; Fig. n. Fig. 2. Fig. 6. Fi
CTTO(EIÊIP3MÏLII§. PLAN CUE X Fig. 5. Fig. 12 ¦ Flè 7;
Fig
. n. Fig. 2. Fig. 6. Fig. 5. Fig 8. Fig.
P3MÏLII§. PLAN CUE X Fig. 5. Fig. 12 ¦ Flè 7; Fig. n.
Fig
. 2. Fig. 6. Fig. 5. Fig 8. Fig. 12. ' F
PLAN CUE X Fig. 5. Fig. 12 ¦ Flè 7; Fig. n. Fig. 2.
Fig
. 6. Fig. 5. Fig 8. Fig. 12. ' Fig. 4. F
UE X Fig. 5. Fig. 12 ¦ Flè 7; Fig. n. Fig. 2. Fig. 6.
Fig
. 5. Fig 8. Fig. 12. ' Fig. 4. Fig. îo.
ig. 5. Fig. 12 ¦ Flè 7; Fig. n. Fig. 2. Fig. 6. Fig. 5.
Fig
8. Fig. 12. ' Fig. 4. Fig. îo. Fig. 13.
Fig. 12 ¦ Flè 7; Fig. n. Fig. 2. Fig. 6. Fig. 5. Fig 8.
Fig
. 12. ' Fig. 4. Fig. îo. Fig. 13. Fig. i4.
lè 7; Fig. n. Fig. 2. Fig. 6. Fig. 5. Fig 8. Fig. 12. '
Fig
. 4. Fig. îo. Fig. 13. Fig. i4. Fig. 9 S
g. n. Fig. 2. Fig. 6. Fig. 5. Fig 8. Fig. 12. ' Fig. 4.
Fig
. îo. Fig. 13. Fig. i4. Fig. 9 SAPAJOUS
. 2. Fig. 6. Fig. 5. Fig 8. Fig. 12. ' Fig. 4. Fig. îo.
Fig
. 13. Fig. i4. Fig. 9 SAPAJOUS PLANCHE XI.
6. Fig. 5. Fig 8. Fig. 12. ' Fig. 4. Fig. îo. Fig. 13.
Fig
. i4. Fig. 9 SAPAJOUS PLANCHE XI. % 1 FM
5. Fig 8. Fig. 12. ' Fig. 4. Fig. îo. Fig. 13. Fig. i4.
Fig
. 9 SAPAJOUS PLANCHE XI. % 1 FM. 4. Fig.
ig. 13. Fig. i4. Fig. 9 SAPAJOUS PLANCHE XI. % 1 FM. 4.
Fig
. 7. Fig. 10. Fig. 13. Fig. 16. Fié. 2.
Fig. i4. Fig. 9 SAPAJOUS PLANCHE XI. % 1 FM. 4. Fig. 7.
Fig
. 10. Fig. 13. Fig. 16. Fié. 2. ô Fig. 5
Fig. 9 SAPAJOUS PLANCHE XI. % 1 FM. 4. Fig. 7. Fig. 10.
Fig
. 13. Fig. 16. Fié. 2. ô Fig. 5. Fig. 8.
PAJOUS PLANCHE XI. % 1 FM. 4. Fig. 7. Fig. 10. Fig. 13.
Fig
. 16. Fié. 2. ô Fig. 5. Fig. 8. Fig. h.
1 FM. 4. Fig. 7. Fig. 10. Fig. 13. Fig. 16. Fié. 2. ô
Fig
. 5. Fig. 8. Fig. h. Fié, i4. o Fig. 17.
Fig. 7. Fig. 10. Fig. 13. Fig. 16. Fié. 2. ô Fig. 5.
Fig
. 8. Fig. h. Fié, i4. o Fig. 17. Fig. 3
Fig. 10. Fig. 13. Fig. 16. Fié. 2. ô Fig. 5. Fig. 8.
Fig
. h. Fié, i4. o Fig. 17. Fig. 3 Fig. 6.
Fig. 16. Fié. 2. ô Fig. 5. Fig. 8. Fig. h. Fié, i4. o
Fig
. 17. Fig. 3 Fig. 6. Fig. 9. Fig. 12. Fi
Fié. 2. ô Fig. 5. Fig. 8. Fig. h. Fié, i4. o Fig. 17.
Fig
. 3 Fig. 6. Fig. 9. Fig. 12. Fig. 15. Fi
ô Fig. 5. Fig. 8. Fig. h. Fié, i4. o Fig. 17. Fig. 3
Fig
. 6. Fig. 9. Fig. 12. Fig. 15. Fig. 18.
. 5. Fig. 8. Fig. h. Fié, i4. o Fig. 17. Fig. 3 Fig. 6.
Fig
. 9. Fig. 12. Fig. 15. Fig. 18. Dda/iayL,
. 8. Fig. h. Fié, i4. o Fig. 17. Fig. 3 Fig. 6. Fig. 9.
Fig
. 12. Fig. 15. Fig. 18. Dda/iayL, dtl. mmm
h. Fié, i4. o Fig. 17. Fig. 3 Fig. 6. Fig. 9. Fig. 12.
Fig
. 15. Fig. 18. Dda/iayL, dtl. mmmm et owsiri
i4. o Fig. 17. Fig. 3 Fig. 6. Fig. 9. Fig. 12. Fig. 15.
Fig
. 18. Dda/iayL, dtl. mmmm et owsirinnrs. PLA
sirinnrs. PLANCHE XII. H- Homme. Fié 2 o Orang. Gibbon.
Fig
. 4. Semnopithèque. Fig. 5. Guenon. Fig 6.
H- Homme. Fié 2 o Orang. Gibbon. Fig. 4. Semnopithèque.
Fig
. 5. Guenon. Fig 6. Chimpanzé. Fig. y Ma
o Orang. Gibbon. Fig. 4. Semnopithèque. Fig. 5. Guenon.
Fig
6. Chimpanzé. Fig. y Magot. F,g, 8. Mac
Fig. 4. Semnopithèque. Fig. 5. Guenon. Fig 6. Chimpanzé.
Fig
. y Magot. F,g, 8. Macaque.' ?1A- 9 ' Rh
panzé. Fig. y Magot. F,g, 8. Macaque.' ?1A- 9 ' Rhésus.
Fig
. in. Mandrill Fig. h. Atele. Fig. 12. L
t. F,g, 8. Macaque.' ?1A- 9 ' Rhésus. Fig. in. Mandrill
Fig
. h. Atele. Fig. 12. Lago triche. Fig 13.
que.' ?1A- 9 ' Rhésus. Fig. in. Mandrill Fig. h. Atele.
Fig
. 12. Lago triche. Fig 13. S aï. Fig. 14.
Fig. in. Mandrill Fig. h. Atele. Fig. 12. Lago triche.
Fig
13. S aï. Fig. 14. Sajou. Fig. iS. Sago
rill Fig. h. Atele. Fig. 12. Lago triche. Fig 13. S aï.
Fig
. 14. Sajou. Fig. iS. Sagouin. Fig. 16.
le. Fig. 12. Lago triche. Fig 13. S aï. Fig. 14. Sajou.
Fig
. iS. Sagouin. Fig. 16. Ouistiti. PLAN c
triche. Fig 13. S aï. Fig. 14. Sajou. Fig. iS. Sagouin.
Fig
. 16. Ouistiti. PLAN che XIII Fig. 1.
u. Fig. iS. Sagouin. Fig. 16. Ouistiti. PLAN che XIII
Fig
. 1. Fig.2. Fig. 3. Fig. 4. Fig. 5. Fig.
iS. Sagouin. Fig. 16. Ouistiti. PLAN che XIII Fig. 1.
Fig
.2. Fig. 3. Fig. 4. Fig. 5. Fig. 6. EMPI
ouin. Fig. 16. Ouistiti. PLAN che XIII Fig. 1. Fig.2.
Fig
. 3. Fig. 4. Fig. 5. Fig. 6. EMPISEIIOTiEi
g. 16. Ouistiti. PLAN che XIII Fig. 1. Fig.2. Fig. 3.
Fig
. 4. Fig. 5. Fig. 6. EMPISEIIOTiEi MTÉMIIIEI
uistiti. PLAN che XIII Fig. 1. Fig.2. Fig. 3. Fig. 4.
Fig
. 5. Fig. 6. EMPISEIIOTiEi MTÉMIIIEIÏMIEi BIS
PLAN che XIII Fig. 1. Fig.2. Fig. 3. Fig. 4. Fig. 5.
Fig
. 6. EMPISEIIOTiEi MTÉMIIIEIÏMIEi BIS ©MEFIES ©'
©MEFIES ©'©EÂWSS ET ME ©©MÏÏLIL3E. PLAN che XII. % 1 Homme.
Fig
. 2. Orang. Fig. 3. Gibbon. Fig. 4. Semn
ME ©©MÏÏLIL3E. PLAN che XII. % 1 Homme. Fig. 2. Orang.
Fig
. 3. Gibbon. Fig. 4. Semnopithèque. F.g. S
AN che XII. % 1 Homme. Fig. 2. Orang. Fig. 3. Gibbon.
Fig
. 4. Semnopithèque. F.g. S. Guenon. Fig. 6
Fig. 3. Gibbon. Fig. 4. Semnopithèque. F.g. S. Guenon.
Fig
. 6. Chimpanzé. Fig. 7. Magot. Fig. 8. .
Fig. 4. Semnopithèque. F.g. S. Guenon. Fig. 6. Chimpanzé.
Fig
. 7. Magot. Fig. 8. . Macaque.' m q. Rhé
èque. F.g. S. Guenon. Fig. 6. Chimpanzé. Fig. 7. Magot.
Fig
. 8. . Macaque.' m q. Rhésus. Fié. îo. o
. Fig. 8. . Macaque.' m q. Rhésus. Fié. îo. o Mandrill.
Fig
.- n. Atele. Fig. 12. Lago triche. Fig 13.
que.' m q. Rhésus. Fié. îo. o Mandrill. Fig.- n. Atele.
Fig
. 12. Lago triche. Fig 13. S ai. Fig. U.
ié. îo. o Mandrill. Fig.- n. Atele. Fig. 12. Lago triche.
Fig
13. S ai. Fig. U. Sajou. Fi i5. o Sagou
ll. Fig.- n. Atele. Fig. 12. Lago triche. Fig 13. S ai.
Fig
. U. Sajou. Fi i5. o Sagouin. 1.6. Ouist
ou anneau œsophagien. 3. Nerf double. 4. Nerf unique. Sangsue.
Fig
. 1. Chaîne ganglionaire. i. Ganglion. 2; Cordon
ganglionaire. i. Ganglion. 2; Cordon inter-ganglionaire. 3. Nerf.
Fig
. 2. Un ganglion de la sangsue, légèrement aplati
e, et l'homme. 3. Petit lobe, éminence lobulaire, flocons. Lapin.
Fig
. ire Face supérieure de l'encéphale. Lobes céré
roduirai plus l'explication que j'en donne ici. Rat d'eau femelle. (
Fig
. i,e) Cerveau sans circonvolution , ayant, quant
, ayant, quant à la forme, de l'analogie avec le cerveau du castor.
Fig
. 2. Base du cerveau, analogue à celle du lapin.
t difficilement quand on extrait le cerveau de la cavité crânienne.
Fig
. 2, Même encéphale vu par sa base. Tous les nerfs
ère propre aux circonvolutions cérébrales de cette famille. Renard.
Fig
. ire. Face supérieure de l'encéphale. Tout-à-fait
rouve seulement sur le cerveau de l'homme, de l'éléphant et du singe.
Fig
. 2. Face latérale de l'encéphale du même animal.
ser en (A) antérieures et en (P) postérieures, indique, comme dans la
Fig
. i, la place des circonvolutions supplémentaires.
tres e, 0, p, etc., désignent les nerfs, comme dans la planche III.
Fig
. 3. Encéphale du renard, coupé d'avant en arrière
celui du loup est un gros cerveau de renard. Chien de berger, mâle.
Fig
. re. J'ai choisi le cerveau du chien de berger, p
lées, moins rapprochées du type primitif, que le chien de berger.
Fig
. 2. Encéphale du même chien vu par sa base. Les n
que le lion, le tigre, le jaguar, etc., et de plus, les hyènes. iT.
Fig
. i. Encéphale de chat, vu par sa face supérieure.
Les auties objets sont désignés comme sur les planches précédentes.
Fig
. 3. Encéphale du chat coupé d'avant en arrière, e
divisées que toutes celles des cerveaux que nous avons vus jusqu'ici.
Fig
. ire face supérieure. Fig. 2. Face inférieure:
es cerveaux que nous avons vus jusqu'ici. Fig. ire face supérieure.
Fig
. 2. Face inférieure: les mêmes lettres expriment
ent les mêmes objets que pour les figures des planches précédentes.
Fig
. 3. La scissure de Sylvius est très oblique; elle
E LA FAMILLE DES MOUTONS {comprenant les ruminanset les solipèdes).
Fig
. ire. Encéphale du mouton, vu par sa face supérie
nal et présentant l'origine de la première paire des nerfs spinaux.
Fig
. 2. Face inférieure de l'encéphale du même animal
ttres désignent les mêmes objets que dans les planches précédentes.
Fig
. 3. Encéphale du même animal vu du côté externe e
jusqu'au cerveau. Les chiffres , . comme dans la figure précédente.
Fig
. 4- Encéphale de mouton coupé d'avant en arrière,
t XVIII PLANCHE HUITIÈME SUITE DE LA FAMILLE DES MOUTONS. Bœuf.
Fig
. i. Côté gauche de l'encéphale du bœuf, vu par sa
elet et plus en arrière encore , une portion de la moelle épinière.
Fig
. 2. Face externe du lobe droit de l'encéphale du
s-unes des principales divisions du lobe moyen du cervelet. Cheval.
Fig
. ire. Face interne du lobe droit du cheval. Les m
ONS. vre les tubercules quadri jumeaux et une partie du cervelet.
Fig
. 2. Face interne du lobe droit du cheval. S. Sc
T ENCÉPHALE DU SANGLIER, DU COCHON TONQUIN ET DE L'AI. Chevreuil.
Fig
. i™. Face supérieure de l'encé- » phale. S.
; les autres cerveaux en sont comme des exemplaires perfectionnés.
Fig
. 2. Lobe de l'encéphale du chevreuil. v. Ventri
I. Trois circonvolutions peu profondes et très légèrement ondulées.
Fig
. i. Encéphale vu par sa face supérieure. " S. S
ius. 1. Lobe moyen du cervelet. 2. Lobe latéral du même organe.
Fig
. 2. Encéphale du même animal, vu par sa base. T
anches précédentes. ENCÉPHALE DU PHOQUE. ENCÉPHALE DU MARSOUIN.
Fig
. i. Encéphale vu par sa (ace supérieure et dont l
du lobe latéral^) qui a un développement énorme ; le lobe externe (3,
Fig
,3j est très peu considérable et retiré au-dessous
,3j est très peu considérable et retiré au-dessous du lobe latéral.
Fig
. 2. Face interne du lobe droit du cerveau. si,
phoque est plus élevé que celui du cheval, du bœuf du mouton, etc.
Fig
. 3. Base de l'encéphale du phoque. Toutes les p
ou scissure de Rolando. i Petite portion du lobe moyen du cervelet.
Fig
. 3. Portion détachée du lobe cérébral gauche, en
indiquée près des lettres P) n'est autre que le lobe d'hippocampe.
Fig
. 4- Côté gauche de l'encéphale. S. S. Scissure
ieure S', S', S', avec le prolongement de la circonvolution interne. (
Fig
. 5). 2. Lobe latéral du cervelet, dont le lobe
artie fig. i et fig. 5. 3. Troisième lobe du cervelet ou flocons.
Fig
. 5. Le lobe cérébral gauche a été enlevé ; on voi
CEPHALE l)'lIN ENFANT né à sept mois, ot ayant vécu quelques jours.
Fig
. i. Face supérieure du cerveau. Lobe gauche. I.
rconvolutions du singe et celles de l'homme adulte ou du vieillard.
Fig
. 3. Lobe droit du cerveau vu par sa face interne.
E LATÉRALE EXTERNE DE S/ENCÉPHALE. — CIRCONVOLUTIONS DE L'INSULA.
Fig
. \. Face latérale droite de l'encéphale d'un homm
obes latéraux. T. Touffes. N. A, Nerfs auditifs. N. F. Nerf facial.
Fig
. 2. Fosse de Sylvius dilatée pour montrer son fon
ieiuw? gumouet. ENCÉPHALE HUMAIN. — FACE INTERNE DE L'HÉMISPHÈRE.
Fig
. \. Coupe médiane du crâne et de l'encéphale, des
ux. a. v. Arbre de vie résultant d'une coupe médiane du cervelet.
Fig
. 2. Développement de l'ensemble du ventricule lat
paire. st. Stries dans la substance corticale du lobe postérieur.
Fig
. \. Charruas. fr. Extrémité frontale, oc. Extré
C. Cervelet. B. Bulbe. P. V. Protubérance ou pont de Varole(l).
Fig
. 2. Enfant blanc. Recourir, pour l'explication
UAS ADULTE. — FACE SUPÉRIEURE DU CERVEAU. — ENFANT BLANC. MÊME FACE
Fig
. \. Charruas adulte. — La forme de ce cerveau se
o. S. S. Scissure de Sylvius. P. P. Circonvolutions postérieures.
Fig
. 2. Enfant blanc L'explication de la figure \ c
CE LATERALE DROITE EXTERNE DU CERVEAU. - ENFANT BLANC. MÊME FACE.
Fig
. \. Charruas. fr. Extrémité frontale, oc. Extré
ERNE DE L'UNE DES MOITIÉS DE L'ENCÉPHALE. ENCÉPHALE DE F1ESCHI.
Fig
. \. Face supérieure. ig. 2. Profil du cerveau
re. A. Bulbe. B. Renflement cervical. C. Renflement lombaire.
Fig
. 2. Profil gauche de la môme moelle. a. Tubercu
. I. Olive. m. Pyramide antérieure. n. Sillon latéral postérieur.
Fig
. 5. Face antérieure de la même moelle. a. Émine
u borgne antérieur. y'., /. Sillon médian antérieur do la moelle.
Fig
. 4. Face postérieure d'une portion de la moelle d
funicules grêles. e. Cordons postérieurs de la région cervicale.
Fig
. 5. Coupe de la moelle de l'enfant nouveau-né dan
cordons postérieurs, et des racines postérieures des nerfs spinaux.
Fig
. 6. Coupe de la même moelle vers le milieu du ren
ons, re lativement très-grandes, des axes gris dans cette région.
Fig
. 7. Coupe de la même moelle vers le milieu de la
uer une réduction simultanée des faisceaux blancs et des axes gris.
Fig
. 8. Coupe de la même moelle, vers le milieu du re
rtion des axes gris, comparés à i'écorce blanche qui les enveloppe.
Fig
. 9. Coupe de la moelle d'un homme adulte vers le
g. 6). à. Sillon médian antérieur, á. Sillon médian postérieur.
Fig
. 4G\ Coupe de la même moelle vers le milieu de la
g. 7). a. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian postérieur.
Fig
. \\. Coupe de la même moelle, vers le milieu du r
parente dans les coupes pratiquées au niveau de la région lombaire.
Fig
. -12. Cellule nerveuse centrale dont un prolongem
de cette cellule qui se porte dans l'axe de la fibre nerveuse d'.
Fig
. 45. Cellules conjuguées de l'axe gris dans la ré
MICROCÉPHALE HUMAIN, COMPARÉ A CELUI D'UN ORANG ET D'UN CHIMPANZÉ.
Fig
. 4. Coupe transversale de la moelle du Chat prati
x moyens confondus avec les antérieurs. R. Faisceaux postérieurs.
Fig
. 2. Structure d'une feuille du cervelet. a. Fai
d'éléments prisma- tiques semblables aux bâtonnets de la rétine.
Fig
. 5. Structure de la couche corticale du cerveau (
nche, l'autre grise. c. Troisième système pareillement constitué,
Fig
. 4. Profil du cerveau d'une fille microcéphale âg
nquième paire, o. Moteur oculaire externe. p. Facial et acoustique*
Fig
. 5. Profil réduit d'un Orang-Outang, de la collec
xterne. k. Troisième pli de passage. /. Quatrième pli de passage.
Fig
. 6. Profil d'un cerveau d'un troglodyte Chimpanzé
ALE PRÉPARÉ PAR ÉNUCLÉATION ET REPRÉSENTÉ SOUS DIFFÉRENTES FACES.
Fig
. 4. Face inférieure ou ventrale du noyau. La band
divisée immédiatement au-devant des corps genouillés du même côté.
Fig
. 2. Face supérieure du noyau (d'après la préparat
ment duquel se développent les hémisphères, coupé vers sa racine.
Fig
. 5. Face supérieure du corps calleux énu-cléé ave
, parcourant d'avant en arrière la vallée médiane du corps calleux.
Fig
. 4. Bouton terminai de l'axe gauche vu par sa fac
ux rayons postérieurs du cornet de 1 ' é ven ta il péd o n eulaire.
Fig
. 5. Face interne du bouton terminal de l'axe gauc
ssure antérieure. v. Fibres antérieures de l'éventail pédonculaire.
Fig
. 6. Face externedu boulon terminal de l'axe gauch
onculaire divisé vers son point d'implantation dans l'hémisphère.
Fig
. 7. Face interne du bouton terminal de Taxe gauch
n point d'implantation dans l'hémisphère. t. Commissure antérieure.
Fig
. 8. Marche des faisceaux médullaires suivie sur l
PAPIÓN. Cette planche représente l'hémisphère cérébral droit d'un
Fig
. \. Les couches corticales seules ont été enlevée
ale. E.S. Extrémité sphénoïdale. C.C.j CC Couches corticales. CCI
Fig
. 2. Le plan des fibres de l'ourlet a été enlevé p
de la cavité ancyroïde, et à laquelle Reil a donné le nom de Tapis.
Fig
. 5. La branche descendante du corps calleux a été
ièrement dans la région de P étage inférieur du ventricule latéral.
Fig
. 4. Cette préparation est une modification très-s
al. l . Leurs entre-croisements avec les fibres du corps calleux.
Fig
» 6. L'anse du pédoncule a été en partie détruile
t qui se mêlent au plan formé par les fibres directes du pédoncule.
Fig
. \ . Cette figure représente la préparation déjà
e l'hémisphère. EF. Extrémité frontale. EO. Extrémité occipitale.
Fig
. 2. Cette préparation est destinée à montrer la d
. Décussation des fibres du corps calleux avec les fibres directes.
Fig
. 5. Cette figure représente la face inférieure du
es du lobe latéral en relation avec les fibres du pont de Varole.
Fig
. 4. Cette figure est destinée à montrer la succes
et. x. Corpus fimbrialum. y. Genou postérieur du corps calleux.
Fig
. 5. Coupe verticale du cerveau du Papion, pratiqu
e porte à l'hémisphère droit. 0. Racine de l'un de ces faisceaux.
Fig
. 6. Ensemble des expansions cérébrales du nerf op
se confond avec le corps strié externe, o. Commissure antérieure.
Fig
. \. Face supérieure du cervelet d'un enfant nouve
ro supérieur. d. Monticule du cervelet médian. e. e. Amygdales.
Fig
. 2. Face postérieure du même cervelet. a. Lobe
Lobes digastriques. f. Amygdales. g. Vermis du cervelet moyen.
Fig
. 5. Face antérieure du même cervelet. a. Bord a
. Lobe digastrique confondu avec le bord antérieur de l'amygdale.
Fig
. 4. Face antérieure du même cervelet après l'abla
f. Section des pédoncules cérébelleux. g. Luette du vermis médian.
Fig
. 5. Cervelet du Papion vu de profil. Le plan su
atéral. d\ Masse du vermis latéral. e. Bulbe. Pédoncule cérébral.
Fig
. 6. Même cervelet; les plans profonds de la protu
ce pédoncule embrassant l'olive du cervelet. d. Vermis latéral.
Fig
. 7. Même cervelet. Le corps restiforme a été en p
pédoncule qui enveloppent l'olive du cervelet. d. Vermis latéral.
Fig
. 8. Cervelet d'un fœtus humain d'environ dix-sept
ième ventricule. /'. Ouverture postérieure du quatrième ventricule.
Fig
. 9. Même cervelet. Face postérieure, vue d'en hau
quatrième ventricule. e. Plexus choroïde du quatrième ventricule.
Fig
. 40. Cervelet d'un fœtus humain âgé d'environ vin
ain âgé d'environ vingt-quatre semaines, vu par sa face antérieure.
Fig
, M. Face postérieure du même cervelet, vu d'en ba
térieure. Fig, M. Face postérieure du même cervelet, vu d'en bas.
Fig
. 42. Profil du même cervelet. Fig. 4 5. Face po
du même cervelet, vu d'en bas. Fig. 42. Profil du même cervelet.
Fig
. 4 5. Face postérieure du même, vue d'en haut.
même cervelet. Fig. 4 5. Face postérieure du même, vue d'en haut.
Fig
. 44. Sa face antérieure ou inférieure après l'abl
, malgré sa petitesse, présente déjà des plis sur toute sa surface.
Fig
. 45. Profil du cervelet de l'Atele Belzébuth. a
ire. e. Lobule auriculaire énorme dans les singes amé- ricains.
Fig
. 16. Profil du cervelet d'un Macaque. (Maca-eus r
du cervelet latéral. c et d. Son vermis. e. Lobule auriculaire.
Fig
. 47. Face postérieure du cervelet de l'Hyp-sprymn
moins épais que son vermis. á. Cervelet latéral. c. Son vermis.
Fig
. 48. Profil du même cervelet. Les lettres ont l
es lettres ont la même signification que dans la figure précédente.
Fig
. 49. Face postérieure du cervelet d'un Éléphant d
en très-réduit. b. Cervelets latéraux énormes et chargés de plis.
Fig
. 20. Cervelet du lapin (Lepus cuniculus), vu en a
supérieur. c. Corps du cervelet latéral. d et d\ Vermis latéraux.
Fig
. 24. Même cervelet. Face postérieure vue d'en bas
e l'ordre spécial, suivant lequel apparaissent les circonvolutions.
Fig
. 4. Fœtus d'environ deux mois et demi, donné par
Hémisphères cérébraux, semblables encore à deux vésicules creuses.
Fig
. 2. Profil du cerveau d'un fœtus de vache, représ
r que les courbures primitives de l'axe sont complètement effacées.
Fig
. 5. Profil du cerveau déjà représenté fig. \, les
nt qu'a cet âge les courbures primitives de Taxe subsistent encore.
Fig
. 4. Cerveau d'un fœtus âgé d'environ 4 4 semaines
s, l'une correspondant au lobe frontal, l'autre au lobe sphé-noïdaL
Fig
. 5. Profil du même cerveau. B. Bulbe. C. Gran
ives de l'axe sont encore apparentes mais s'effacent manifestement.
Fig
. 6. Face supérieure du même cerveau. B. Bulbe.
ux encore vésiculeux mais ayant acquis une amplitude remarquable.
Fig
. 7. Cerveau d'un fœtus âgé d'environ quatre mois
. F. Extrémité frontale du cerveau. E. 0. Son extrémité occipitale.
Fig
. 8. Profil du même cerveau. B. Bulbe. C. Cerv
les caractères principaux de la forme définitive sont déjà acquis.
Fig
. 9 Face supérieure du même cerveau. E. F. Extré
dont la prédominance est encore sensible au moment de la naissance.
Fig
. 40. Profil du cerveau d'un fœtus âgé de cinq moi
à son tour par le degré de dével ppement des détails de sa surface.
Fig
. 4 4. Profil du cerveau d'un Saïmiri adulte. E.
arallèle, longue et profonde. L. A. Lobule auriculaire du cervelet.
Fig
. 42. Face supérieure du même cerveau. E. F. Ext
lèle. P. P. Plis de passage indiqués par la présence d'un sillon.
Fig
. 45. Face inférieure du cerveau d'un fœtus âgé d'
transverse séparant ie lobule orbi-taire d'avec le lobule frontal.
Fig
. 4 4. Profil du même cerveau. E. F. Extrémité f
is se développent ainsi autour d\me fosse de Sylvius encore béante.
Fig
. \5. Face supérieure du même cerveau. E. F. Ext
LANCHE TRENTIEME. DÉVELOPPEMENT ET STRUCTURE DU CERVEAU DU FŒTUS.
Fig
. \. Face inférieure du cerveau d'un fœtus âgé d'e
corps pituitaire. L. SPH. Lobe sphénoïdal. N. OP. Nerfs optiques.
Fig
. 2. Profil du même cerveau. E. F. Extrémité fro
lèle. B. Bulbe. OL. Olive. CL. Cervelet latéral. T. Touffe.
Fig
. 5. Face supérieure du même cerveau. E. F. Extr
du lobe occipital par l'intermédiaire d'un large pli de passage.
Fig
. 4. Face interne de l'encéphale, déjà figuré Pl.
apparente, mais on n'aperçoit encore aucune trace du corps calleux.
Fig
. 5. Même cerveau dans lequel la cavité vési-culai
aillie dans son intérieur, que revêt une couche grise très-épaisse.
Fig
. 6. Face interne de l'un des hémisphères du cerve
iés non encore réunies. C. C. Rudiment originel du corps calleux.
Fig
. 7. Même cerveau dans lequel l'ensemble du ventri
e la structure du cerveau d'un fœtus humain âgé d'environ six mois.
Fig
. 8. Face interne du demi-encéphale d'un fœtus hum
sa bifurcation le lobe triangulaire. N. OL. Nerf ou lobe olfactif.
Fig
. 9. Cette figure montre l'expansion des fibres de
orps calleux. Jr _|_ _j_ Anneau formé par les fibres de l'ourlet.
Fig
. SO. Expansions du corps calleux clans l'hémisphè
veau de la cavité ancyroïde, ainsi que cela a lieu dans les singes.
Fig
\\. Expansions cérébrales du nerf optique . Cf. P
externe, -f -)- + Expansions du nerf optique dans Thé-mi sphère.
Fig
. \ 2. Coupe médiane du cerveau du Kanguroo de Ben
e latéral; N. OP. Nerf optique. C. Cervelet. L. 0. Lobe olfactif.
Fig
. 4 5. Hémisphère d'un Kanguroo de Bennett, prépar
e cérébrale directe. CERVEAU DU FOETUS ET DE L'ENFANT NOUVEAU-NÉ.
Fig
. \. Cerveau d'un fœtus humain d'environ sept mois
èle n'est point nettement dessinée sur le lobe occipito-sphénoïdal.
Fig
. 2. Face supérieure du même cerveau. E. F. Extr
Étage moyen du lobule frontal. 3. Étage supérieur du même lobule.
Fig
. 5. Proûl du cerveau d'un enfant à terme. B. Bu
du lobule frontal. 2. Son étage moyen. 3. Son étage supérieur.
Fig
. 4. Profil de l'hémisphère droit du même cerveau
obule quadrilatère. L. T. Lobule triangulaire. L. 0. Lobe olfactif.
Fig
. 5. Face inférieure du même cerveau. B. Bulbe.
fe. L. SPH. Lobe sphénoïdal. P. L. 0. Pli du lobule orbi taire.
Fig
. 6. Face supérieure du même cerveau. E. F. Extr
montre qu'à la naissance le système des plis cérébraux est complet.
Fig
. 4. Face supérieure. C. Bulbe. C. G. Cervelet l
moyen du lobe frontal. F. F. Étage supérieur divisé en deux plis.
Fig
. 2. Profil du même cerveau. B. Bulbe. 0. Olive.
le point le cerveau des singes, et conserve ses caractères humains.
Fig
. 5. Face inférieure du même cerveau. P. A. Pyra
ètement à découvert. C. B. Corps bordant également à découvert. 1
Fig
. 4. Coupe médiane du même cerveau, face interne d
out en arrière où il a à peine l'épaisseur d'une feuille de papier.
Fig
. 5. Face interne du même hémisphère. Le cervelet
v, corps vitré. EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCIIE PREMIÈRE.
Fig
. i. Systèmes nerveux delà raie bouclée vus en-des
use nasale du murena congcr.c. plexus des vaisseaux de la narine.
Fig
. 4 et 5. Entrelacements des rameaux vasculaires,e
a con- vexité de la narine du même poisson.-c. plexus vasculaire.
Fig
. G. Encéphale et nerf pneumo-gaslrique de la carp
lrique de la carpe (cyprirus carpio) vus en- dessus. PLANCHE IL
Fig
. i. Sylsème nerveux de la raie ronce (rais rabus)
re, replié en dedans, a sa direction transversale derrière l'évent.
Fig
. 2. Encéphale de l'agouti (cavia aguti), vu en-de
évent. Fig. 2. Encéphale de l'agouti (cavia aguti), vu en-dessus.
Fig
. 3. Encéphale du même , vu en-desso us. ` Fic ?
gts (bradypes diclactJ-Gacs ) , vu en- dessus. . PLANCHE III. '
Fig
. i. Systèmes nerveux du squalus ga feus, vus en-d
ttres groupées ont le même sens que dans lang. i™ de la pl. I.. .
Fig
. 2. Profil de l'encéphale et des insertions des 4
Erg. 3. Lobe du quatrième ventricule du même squale, vu en-dessus.
Fig
. 4- Profil d'encéphale de raie bouclée, avec les
ec les insertions des 2°, 3', zk" 5e, 7e et 8' paires de nerfs. 1
Fig
. 5. Canaux demi-circulaires, cc. cartilagineux et
eur antichambre ou tambour commun a. 11t., dans le squalus g aki«s.
Fig
. 6, Système cérébro-spinal de la tortu e d'Europe
6, Système cérébro-spinal de la tortu e d'Europe, vu cn-dessus. 6
Fig
. 7. Système cérébro-spinal du pigeon, vu en-dessu
ssus. 6 Fig. 7. Système cérébro-spinal du pigeon, vu en-dessus.
Fig
. 8. Encéphale de pigeon, vu en-dessous. Fig. 9.
pigeon, vu en-dessus. Fig. 8. Encéphale de pigeon, vu en-dessous.
Fig
. 9. Encéphale développé du paon. Fig. 10. Systè
le de pigeon, vu en-dessous. Fig. 9. Encéphale développé du paon.
Fig
. 10. Systèmes nerveux de la grande lamproie, vus
avec la matière même du système cérébro-spinal. . . PLANCHE IV. %
Fig
. 1. Systèmes nerveux du sr¡na[.u.s catulus, vus e
% Fig. 1. Systèmes nerveux du sr¡na[.u.s catulus, vus en-dessus.
Fig
. 2. Systèmes nerveux du même squale, vus en-desso
-dessus. Fig. 2. Systèmes nerveux du même squale, vus en-dessous.
Fig
. 3. Nerf de la cinquième et de la huitième paires
e , vus sur une coupe passant verticalement par l'axe de la tète.
Fig
. . Encéphale de taupe, vu en-dessous. Fig. 5. E
t par l'axe de la tète. Fig. . Encéphale de taupe, vu en-dessous.
Fig
. 5. Encéphale de taupe , vu en-dessus. Fig. 6.
taupe, vu en-dessous. Fig. 5. Encéphale de taupe , vu en-dessus.
Fig
. 6. Encéphale de hérisson développé, et vu en-des
dessus. Fig. 6. Encéphale de hérisson développé, et vu en-dessus.
Fig
. 7. Moelle épinière de l'homme avec les insertion
ier nerf lombaire (fig. réduite de l'atlas de Gall). PLANCHE V.
Fig
. 1. Systèmes nerveux du telrodon naolcc (poisson
Systèmes nerveux du telrodon naolcc (poisson lune), vus en-dessus.
Fig
. 2 /Systèmes nerveux et organe électrique de la t
organe électrique de la torpille (raia torpédo), vus en- dessus.
Fig
. 3. Lobe du quatrième ventricule et cervelet retr
voit- la commissure du quatrième ventricule, dans la torpille. ,
Fig
. 4. Systèmes nerveux de l'esturgeon (acipenscr. s
mes nerveux du crapaud ordinaire (·ctaxa-blr ? o), vus en-dessus. ,
Fig
. 6. Encéphale d'amphisbène (antph-isb. fzsliznosa
. 6. Encéphale d'amphisbène (antph-isb. fzsliznosa ), vu en dessus.
Fig
. 7. Encéphale de jeune trigonocéphale, vu en-dess
et montre terminées sur. elle les racines du nerf pneumo-gastrique.
Fig
. 2. Encéphale du même petromyzon, vu en-dessus.
mo-gastrique. Fig. 2. Encéphale du même petromyzon, vu en-dessus.
Fig
. 3. OEil de la lamproie, où l'on a coupé le segme
dans une membrane aponévrotique qui coiffe le globe de l'oeil. '
Fig
. 4. Encéphale, nerf optique et rétine déplissés d
e du névrilemme , fendue pour montrer le nerf op- tique plissé. ,
Fig
.- 5. Systèmes nerveux du trygla lyra (ou rouget),
nerveux du trygla lyra (ou rouget), vus en-dessous. PLANCHE VII.
Fig
. i. Distribution des deuxième et troisième branch
é. Une épingle marque le calibre du plus extérieur de ces canaux. ,
Fig
. 2. Systèmes nerveux du trygla lyra, vus en-dessu
rfs encépha- liques, jusqu'à la septième paire inclusivement. ' '
Fig
. 3. Encéphale du trygla hïrundo (ou perlon), vu e
des lobes post - cérébelleux dans ces deux es- pèces de trygles.
Fig
. . Systèmes nerveux de la morrue (ga.dias mO'1'r
nerveux de la morrue (ga.dias mO'1'r ! 1/I.{¡a )' , vus en-dessous.
Fig
. 5. Systèmes nerveux de la lotte (gadus iotta), v
Fig. 5. Systèmes nerveux de la lotte (gadus iotta), vus en-dessus.
Fig
. 6. Coupe horizontale de l'oeil de l'homme, i e
. Coupe horizontale de l'oeil chez la baleine (balceza mysiicetus).
Fig
. 8. Même coupe chez le cygne ( anas cycn,us). F
za mysiicetus). Fig. 8. Même coupe chez le cygne ( anas cycn,us).
Fig
.. 9. Même coupe chez le crocodile ( crocodil. scl
me coupe chez le crocodile ( crocodil. sclerops). , PLANCHE VIII.
Fig
. 1. Systèmes nerveux du lump (v1tig. bas.) cyclop
affluents , aussi sous-cutanés, mais à direction transversale. -
Fig
. 2. Encéphale d'embryon humain de trois mois, dév
Fig. 2. Encéphale d'embryon humain de trois mois, développé. ' '
Fig
. 3. Coupe verticale du même sur la ligne médiane.
oppé. ' ' Fig. 3. Coupe verticale du même sur la ligne médiane. '
Fig
. 4. Même encéphale d'embryon un peu plus âgé mont
embryon un peu plus âgé montrant la commissure posté- rieure. . ,
Fig
. 5. Encéphale d'embryon humain de quatre mois , v
Fig. 5. Encéphale d'embryon humain de quatre mois , vu en-dessous.
Fig
. 6. Encéphale du même, vu en-dessus : la membrane
nlevée à gauche pour montrer la couche optique et le corps strié.
Fig
. 7. Coupe verticale du cervelet; des lobes optiqu
cervelet; des lobes optiques et de la protubérance chez l'homme.
Fig
. 8. Moelle allongée, premier étage de la protubér
repli forme les éminences mamillaires chez l'homme. - PLANCHE IX.
Fig
. 1. Systèmes nerveux de la darpe, vus en-dessous.
ilagineuse et mobile qui le sépare de la base du crâne. - , " 1
Fig
. 2. Rapports du grand sympathique avec les systèm
t par juxia-position au-devant de la base des lobes optiques. ' ,
Fig
. 4. Système nerveux de la vive (t1'achinus draco)
ntrés ' ouverts par une section faite près du lobe optique. ' - -
Fig
. 5. Systèmes nerveux du merlan (gadus mC1'ang1t),
g. 5. Systèmes nerveux du merlan (gadus mC1'ang1t), vus en-dessous.
Fig
. G. Coupe transversale du nerf optique déplissé d
sé de la cigogne à marabou (A1'dec £ Dubia. Ginei.). PLANCHE X.
Fig
. 1. Systèmes nerveux du barbeau (cyprinus barbus)
g. 1. Systèmes nerveux du barbeau (cyprinus barbus), vus en-dessus.
Fig
. 2. Idem, vus en-dessous. On voit de chaque côté
de la membrane muqueuse de la bouche, continu avec le palais. - .
Fig
. 5. Coupe verticale du cerveau humain au sixième
e du cerveau humain au sixième mois de la conception. PLANCHE XI.
Fig
. 1. Systèmes nerveux du turbot ( pleuronectes 1'h
particulière : il est interrompu par le tronc de la huitième paire.
Fig
. 2. Encéphale de tortue terrestre, vu en-dessous.
paire. Fig. 2. Encéphale de tortue terrestre, vu en-dessous. - '
Fig
. 5. Idem, vu en-dessus. Le lobe optique est ouver
rébral gauche, pour montrer le plexus choroïde et le corps strié.
Fig
. Zi. Idem, vu de profil. ' , Fig. 5. Coupe vert
exus choroïde et le corps strié. Fig. Zi. Idem, vu de profil. ' ,
Fig
. 5. Coupe verticale du cerveau et du crâne pour m
u et du crâne pour montrer le rapport des aires entre ces coupes.
Fig
. G. Artères du système cérébro-spinal de la tortu
figures de la tortue sont dessinées d'après Bojanus. PLANCHE XII.
Fig
. 1. Systèmes nerveux du congre, murena conger, vu
son. Cette plaque esf vue projetée sur un canal de la mu- cosité.
Fig
2. Idem, vus en-dessous. On voit en position deux
de la figure n. s., g. s., nerfs et ganglions du grand sympathique.
Fig
. 3. Glande pituitaire du congre vue par la face s
érieure et de grandeur rron- propo-rtionnelle avec la fig. 2. , ,
Fig
. ft. Encéphale de marmose (didelphis ? nu1'ina).
fig. 2. , , Fig. ft. Encéphale de marmose (didelphis ? nu1'ina).
Fig
. 5. Id. de fourmilier a deux doigts (7nJrmeeolaag
ig. 5. Id. de fourmilier a deux doigts (7nJrmeeolaagc < ? c ? ).
Fig
. 6. Id. de jeune tatou à neuf bandes ( IiQSIL2GS
d. de jeune tatou à neuf bandes ( IiQSIL2GS novc'111,-cinct'tts). ,
Fig
. 7. Id. de marmotte (mus lIlpinus). , PLANCHE X
. , Fig. 7. Id. de marmotte (mus lIlpinus). , PLANCHE XIII. ,
Fig
. 1. Lobe du quatrième ventricule, ou moelle allon
pressions des racines inférieures ou abdominales des nerfs spinaux.
Fig
. 2. Le même organe montrant la structure des oliv
ire; et les lettres italiques celle des deux figures précédentes.
Fig
. ! i. Mêmes organes chez le veau.-x, faisceau de
ersale pos- térieure ? pédicule cendré de la glànde.pituitairc. .
Fig
. 5. Moelle allongée, valvule de Vieussens et tube
ment les tubercules cendrés.-o. lame de réunion des faisceaux gris.
Fig
. 6. Coupe transversale de la protubérance annulai
e. i. étage inférieur. Les autres signes ont la valeur ordinaire.
Fig
. 6 bis. Coupe du même organe un peu au-devant du
rès de son bordinférieur.-1'. V. racines de la cinquième paire. ,
Fig
. 8. Coupe du même organe faite au-dessus de l'ori
t entre les fibres de l'étage moyen de la commissure du cervelet.
Fig
. 9. Coupe transversale de la moelle allongée, trè
nce. -d. corps dentelés des olives, ouverts sur la ligne médiane.
Fig
. 10. Coupe du même organe, au-dessous ou derrière
avec la jonction des deux faisceaux cendrés de la moelle épinière.
Fig
. il. (Elle est vue renversée, ainsi que la Il ibi
faisceaux gris latéraux de la moelle avec leur lame de réunion. -
Fig
. 1 1 bis. Coupe faite au sommet de l'angle du qua
s. Coupe faite au sommet de l'angle du quatrième ventricule. 12 '
Fig
. 12. Coupe de la moelle allongée du' boeuf, une l
moelle épinière. ? S. étage supérieur de la commissure du cervelet.
Fig
. 1 /1. Encéphale de mouton développé vu par la fa
A COLONNE VERTÉBRALE. EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE PREMIÈRE.
Fig
. 1. — Colonne vertébrale de Séraphin. — Pièce du
evait être singulièrement gênée par l'immobilité absolue des côtes.
Fig
. 2 et 3. — Exemples de lordose paralytique. —Page
. 1512. (3) Loc. cit., observation CLXXXIX, p. 82ft. Bouvier. 1
Fig
. k et 5. — Rachis normal d'enfant, avec ses ligam
st directe ; le rachis n'offre pas la moindre apparence de torsion.
Fig
. 6. — Rachis d'un enfant de deux ans atteint de s
llongement et un relâchement des disques ligamenteux du rachis (2).
Fig
. 7. — Scoliose pleurétique. — Pièce de ma collect
FLEXIONS LATÉRALES PHYSIOLOGIQUES DU RACHIS. (Pages 360 et suiv.)
Fig
. 1. — Flexion latérale générale, le bassin étant
on latérale générale, le bassin étant horizontal. — Pages 361, 562.
Fig
. 2. — La même flexion, avec élévation du bassin d
avec élévation du bassin du côté où le tronc s'incline. — Page 362.
Fig
. 3. — Attitude du hancher. — Page 363. Fig. h.
s'incline. — Page 362. Fig. 3. — Attitude du hancher. — Page 363.
Fig
. h. — Flexion latérale semblable à celle de la fi
lle de la figure 1, mais moins générale et moins étendue. — Page 361.
Fig
. 5. — Flexion latérale en S, le bassin restant ho
5. — Flexion latérale en S, le bassin restant horizontal.— Page 364.
Fig
. 6. ;— Flexion en S, réunie à l'attitude du hanch
ig. 6. ;— Flexion en S, réunie à l'attitude du hancher. — Page 364.
Fig
. 7 — Flexion en S, avec abaissement du bassin du
du côté de la concavité lombaire. — Page 365. PLANCHE TROISIÈME.
Fig
. 1. — Scoliose au troisième degré ; courbure dors
achis dans la cavité thoracique. Le bassin est ample et régulier.
Fig
. 2. — Scoliose au troisième degré; deux courbures
gauche, du côté où la colonne lombaire est inclinée sur le sacrum.
Fig
. 3 et 4. — Difformité analogue a celle de la figu
ertébraux et leur croisement avec la ligne des apophyses épineuses.
Fig
. 5 et 6. — Scoliose au troisième degré; courbure
son bord supérieur avec le corps de la cinquième dorsale. 3 I—i
Fig
. 7. — Courbure latérale triple ou en sujet adulte
par suite de l'angle que la colonne lombaire forme avec le sacrum.
Fig
. 8. — Autre forme de scoliose ; courbure lombaire
rps vertébraux et des dernières côtes gauches. PLANCHE QUATRIÈME.
Fig
. 1. — Courbure dorsale droite principale; squelet
s courbures, des vertèbres affaissées dans le sens de la concavité.
Fig
. 2. —Courbure dorsale droite principale ; femme a
horax paraît dû en grande partie au mode de préparation du squelette.
Fig
. 3. — Scoliose anguleuse ; homme adulte. — Ma col
re dans une plus forte proportion que celle des vertèbres voisines.
Fig
. 4 et 5. —Courbure sus-aortique principale ; femm
e et en avant, du côté vers lequel s'incline la totalité du rachis.
Fig
. 6. ,—Courbure dorsale droite principale, 3e degr
respond à l'inclinaison de la région lombaire. PLANCHE CINQUIEME.
Fig
1 — Courbure dorsale droite principale, 3e degré;
x est recourbé à gauche, en sens contraire de la courbure lombaire.
Fig
. 2. —Courbure dorsale droite principale, plus ava
roite, dans le même sens,- cette fois, que les vertèbres lombaires.
Fig
. 3 et 4- — Types de courbure dorsale droite en vi
oracique et des différentes portions ou loges dont elle se compose.
Fig
. 5. — Courrure dorsale droite principale ; femme
voit, du côté où le rachis a été entraîné par la courbure dorsale.
Fig
. 6 —Courbure dorsale droite principale; femme adu
imètres en avant et en arrière. Pl. V PL. VI PLANCHE SIXIÈME.
Fig
. 1. — Squelette de femme adulte; rachitisme; scol
gme, que l'on ne voit, au reste, qu'imparfaitement sur cette pièce.
Fig
. 2. — Squelette de femme très rachitique, parvenu
ême que dans le cas précédent, elle est plus marquée du côté droit.
Fig
, 3 et 4 — Courrure lombo-dorsale gauche principal
ose et qu'on observe sur cette pièce. PL. VII PLANCHE SEPTIÈME.
Fig
. lot 2. — • Squelette de la nommée Iïourék, âgée
droits; la clavicule droite est un peu plus courbée que la gauche.
Fig
. 3. —Squelette de femme rachitique, très âgée; sc
e était la plus prononcée. Toutes trois étaient légères en arrière.
Fig
. 1. — Septième vertèbre cervicale, vue par la par
r, du coté droit, répondant à la convexité de la première courbure.
Fig
. 2. — Première vertèbre dorsale, vue également pa
u plus courte. L'apophyse épineuse se recourbe légèrement à droite.
Fig
. 3. — Deuxième dorsale, vue de la même manière et
physaire. L'apophyse épineuse se dirige plus sensiblement à droite.
Fig
. li. — Troisième dorsale. La lame et les apophyse
irection des apophyses épineuses des première et deuxième dorsales.
Fig
. 5, a et h. — Quatrième dorsale, vue par ses face
ation de cette quatrième dorsale, intermédiaire aux deux courbures.
Fig
. 6, a et b. — Cinquième dorsale, vue par ses face
auche, par l'influence de la première courbure, à convexité droite.
Fig
. 7, a et b. — Sixième dorsale, vue par ses faces
llant en avant se trouve sur le côté, à droite de la ligne médiane.
Fig
. 8. — Septième dorsale, vue par sa face supérieur
ules. Cette vertèbre formait le milieu de la courbure principale.
Fig
. 9, a et b. — Huitième dorsale, vue par ses faces
irige en arrière, ce qui se voit déjà dans les sixième et septième.
Fig
. 10, a et 6. — Neuvième dorsale, vue par ses face
ue, surtout à la face inférieure. Le trou est plus arrondi PL VU]
Fig
. 11. — Dixième dorsale, vue par la face supérieur
arrière, dans le même sens que celles qui constituent la troisième.
Fig
. 12. — Onzième dorsale, vue par la face supérieur
tié gauche de l'arc apophysaire. Apophyse épineuse déviée à gauche.
Fig
. 13, a et b. — Douzième dorsale, vue par les face
vertèbre fait bien voir l'inclinaison de Yarc par rapport au corps.
Fig
. 14, a et b. —Première lombaire, vue parles faces
e la partie postérieure de l'os par rapport à sa partie antérieure.
Fig
. 15. — Deuxième lombaire, vue par la partie posté
n droite, comme dans la figure, le corps vertébral penche à gauche.
Fig
. 16. — Troisième lombaire, vue par la partie post
ndis que l'apophyse transverse gauche est plus grêle que la droite.
Fig
. 17. — Quatrième lombaire, vue par la face supéri
mblent pas être le même os à droite cl à gauche. PLANCHE DIXIÈME.
Fig
. 1. — Scoliosk au 3e degré, a courbure lombaire g
ivent la courbure du rachis; on les retrouvera dans la planche XVI.
Fig
. 2. — Scoliose au 3e degré, a courbure dorsale dr
tant un peu dans le même sens que l'aorte. 22 PLANCHE ONZIÈME •
Fig
. 1 et 2. — Scoliose au 3e degré, a courbure dorsa
a partie la plus arquée de la courbure dorsale. PLANCHE DOUZIÈME.
Fig
. 1 et 2. —Scoliose au 3° degré; deux courbures a
des organes des cavités splanchniqucs. — Pages 413 à 418, 420, 422.
Fig
. 1 : Premier plan des viscères. Fig. 2 : Second p
s. — Pages 413 à 418, 420, 422. Fig. 1 : Premier plan des viscères.
Fig
. 2 : Second plan. Poumon droit, lig. 1, assez r
as et de droite à gauche. PL. XII Pl.XIll. PLANCHE TREIZIEME*
Fig
. 1 cl 2. —Courbure dorsale droite principale; hom
'aorte, s'éloignant peu, par conséquent, de la direction du rachis.
Fig
. 3. —Courbure dorsale droite principale, moins pr
à croiser l'aorte et à représenter la corde de la courbure dorsale.
Fig
. 4. — Courbure dorsale droite légère, courbure lo
RS ORGANES THORACIQUES ET ABDOMINAUX. Pages M5 à 418, 620 à 622.1
Fig
. 1. —Plan profond des cavités splancliniques. R
s, dans la direction de la corde de la courbure dorsale principale.
Fig
. 2. — Coeur, vu par sa face antérieure, d'un volu
t comprimé, aplati et privé d'air dans toute sa partie postérieure.
Fig
. 3. — Foie assez volumineux, d'une forme très irr
le, paraît produite par la pression du cœur sur sa face supérieure.
Fig
. II. — Rachis, vu de face, de sorte que la courbu
gauche. PI XV. PLANCHE QUINZIEME. Pages 616 à 619, 621, 622.
Fig
. \. — Courbure lombo-dorsale gauche principale, c
uement en bas et à gauche, comme l'aorte et la colonne dorsale. »
Fig
. 2. — Courbure lombo-dorsale gauche principale, m
es vertèbres dorsales vis-à-vis la partie moyenne de leur courbure.
Fig
. 3. — Courbure dorsale droite principale, chez un
de la courbure dorsale, figure assez bien la corde de cette courbe.
Fig
. h. — Courbure lombo-dorsale gauche principale, a
ncurvation supérieure du rachis. Pl. XVI. PLANCHE DIX-SEPTIEME.
Fig
. I et 2. —Courbure lombo-dorsale droite principal
ons cliniques, page 615. PI.XVIU Pl.XIX PLANCHE DIX-NEUVIEME.
Fig
. \ et 2. — Région postérieure do tronc de M1Ie V.
ir de réussir de la même manière dans des circonstances semblables.
Fig
. 3 et 4. — Région postérieure du tronc de Mlle X.
edressement permanent des courbures. Pl. XX. PLANCHE VINGTIEME.
Fig
. 1 et 2. — Région postérieure nu tronc de Mlle Y.
ette jeune personne approchait du terme de sa croissance naturelle.
Fig
. 3 et k — Région postérieure du tronc de MUe Z...
nences raamillaires, est bien propre à montrer ce qu'il y a de plus
Fig
. 1. — Coupe verticale et transversale du cerveau
ale. saillant dans la disposition réciproque des parties centrales {
Fig
. i). Immédiatement au-dessus de la protubérance
e qui est pratiquée immédiatement en avant des pédoncules cérébraux. (
Fig
. 1). Vous reconnaissez ici, en PP, la partie ap
aise. l'homme, par exemple, la ressemblance est frappante (l ) en
Fig
. 2. — Face externe du cerveau du singe magot (Pit
â, Voici la représentation d'un cerveau de singe, vu latéra-lement (
Fig
. 2), d'après une figure empruntée à l'ouvrage de
el ouvrage de Foville, vous fera reconnaître sans peine cette vérité {
Fig
. 3) Vous y retrouvez la scissure de Sylvius (s
ère, deuxième et troi-sième circonvolutions frontales (F1, F2, F3),
Fig
. 3. — Face convexe d'un hémisphère du cerveau de
mettre en regard d'elles les cellules pyramidales de l'écorce grise (
Fig
. 4). Ces cellules présentent des dimensions trè
ter maintes fois la vérité de sa descrip-tion. Ce prolongement basai (
Fig
. 4, b), pour employer l'expression usitée par M.
thiere. Siricher's Handbuch: T.' II, p. 704. 2° La deuxième couche {
Fig
. 5, 2) est marquée par une agglomération de cellu
muniquent une couleur grise très manifeste. 3° La troisième couche (
Fig
. 5, 3) est en grande partie formée par des cellul
l une coloration jaunâtre. 4° Viennent ensuite la quatrième couche (
Fig
. 5, 4) où l'on aperçoit des granulations ou cellu
cellules fusiformes, dont nous avons parlé il y a quelques instants (
Fig
.o, 5). (1) Allas, etc., pl. XX, fig 4, (2) ho
ns indi-quées ci-dessus ont été pour la première fois reconnues par
Fig
.6. — Face interne de l'hémisphère cérébral, dessi
qui s'observent à la face interne de l'hé-misphère. Sur cette coupe (
Fig
. G), qui a divisé le corps calleux d'avant en arr
d'abord au centre, la surface de section de cette grande commissure (
Fig
. 6, 1) ; au-dessous, le septum lucidum, la face i
au-dessous, le septum lucidum, la face interne de la couche optique (
Fig
. 6, 3), puis, la surface de section des pédoncule
ue (Fig. 6, 3), puis, la surface de section des pédoncules cérébraux (
Fig
. G, 4). Prenons, pour nous mieux orienter, un p
des lésions qui se bornent aux cornes antérieures de substance grise (
Fig
. 7, D, D). Ce sont dans le mode aigu, la paralysi
uvent être lésés isolément et que la région des bandelettes externes (
Fig
. 7, B, B), dans l'aire des faisceaux latéraux,
latérale-ment, porte le nom à'artère sylvienne ou cérébrale moyenne. (
Fig
. 8, S.). Une anastomose transversale (communicant
ébrales antérieures, et associe d'une façon plus ou moins complète,
Fig
. 8. — Schéma de la circulation artérielle de la b
ercle ganglionnaire, dans lequel serait compris le cercle de Willis. (
Fig
. 8). Les régions corticales (circonvolutions de
ires secondaires qui correspondent à chacune de ces circonvolu-tions {
Fig
. 9.) Nous n'insisterons pas davantage quant à p
rameaux communiquent quel-quefois avec ceux des territoires voisins (
Fig
. 10.) Les ramifications et les arborisations so
nn. De ces artères, les unes sont longues, les autres sont courtes.
Fig
. 10. — V, artère principale. — B, arborisation pr
Dans les circonvolutions, le réseau possède les caractères suivants (
Fig
. 11) : 1° la première couche, «, a une épais-seur
d, les mailles sont plus larges encore et allongées verticalement.
Fig
. 11. —1, 1, Artères médullaires. — 1' Groupe d'ar
st dans cette grande région, en effet, que l'expérimentation tend à
Fig
. 12. — Territoires vasculaires de la face supérie
es a été soigneusement étudiée par M. Duret et par M. Heubner. (Voyez
Fig
. 9 et 12). La première est désignée par M. Dure
a été aussi la seule lésion correspondante, révélée par l'autopsie. [
Fig
. 13 et 14.) C'est làMessieurs, incontestablement
ais mieux l'appeler artère de la circonvolution frontale ascendante. [
Fig
. 9,2 elFig. 12,11). La troisième est Y artère p
ia. 14. — 3, troisième circonvolution du côté droit, ayant ses dimcn-
Fig
. 13. — 3, circonvolution de Broca du côté gauche
mmée, suivant nous, artère de la circonvolution pariétale ascendante.(
Fig
9, 3 et 7^?V/ J 2, III). La quatrième branche s
e se rend au pli courbe et à la pre-mière circonvolution sphenoidale (
Fig
. 9, 4, 5 et Fig. 12, IV). Les deux circonvoluti
courbe et à la pre-mière circonvolution sphenoidale (Fig. 9, 4, 5 et
Fig
. 12, IV). Les deux circonvolutions auxquelles s
a seconde et la troisième branche de la sylvienne seraient, d'après
Fig
. 15. — Fa, Circonvolution frontale ascendante. —
che optique etle corps strié fussent dans ce cas tout à fait indem-
Fig
. 17. — Territoire vasculaire -de la face inférieu
per-manente, dans les membres supérieur et inférieur du côté opposé (
Fig
13). C'est là, Messieurs, un résultat qui contr
partie, sans doute, à sa direction par rapporta la carotide in terne {
Fig
. 12, 16 et 17,) Cette artère fournit trois bran
que la cérébrale postérieure, à la circonvolution du corps cal-leux {
Fig
. 16), au corps calleux CC, à la première circon-v
lobe frontal, à la première et à la deuxième circonvolution frontale (
Fig
. 17), enfin à l'extrémité supérieure de la circon
i fourni tout à l'heure un exemple. IV. La cérébrale postérieure (
Fig
. 12, 16,17) est le siège fréquent d'altérations p
tre suivie à travers l'isthme, jusque dans les régions les plus in-
Fig
. 18. — N C, noyau caudé. — C 0, couche optique. —
res) sont en rapport avec la transmission des impressions sensitives (
Fig
. 18). En résumé, la capsule interne, d'après le
pas du pédoncule cérébral d'autres faisceaux que ceux du tegmentum.
Fig
. 19. — 1, 2, 3, noyau lenticulaire. — B, portion
de la couche optique] 4° à toute l'étendue de la capsule interne.
Fig
. 20. — Coupe transversale des hémisphères cérébra
im-portant et assez caractéristique. Cette artère dont la distribu-
Fig
. 21. — Coupe verticale et transversale du cerveau
érieur du pédoncule. Les planches que je fais passer sous vos yeux {
Fig
. 20 et 21), et sur lesquelles les territoires vas
tères striées. Une première coupe, pratiquée en arrière du chiasma (
Fig
. 20), nous montre seulement le noyau caudé et le
peu près verticalement, parallèlement au noyau gris de l'a-vant-mur. (
Fig
. 22). Quandl'épanchement sanguin estabon- Fig.
ris de l'a-vant-mur. (Fig. 22). Quandl'épanchement sanguin estabon-
Fig
. 22. —Foyer hémorrhagique extra-lenticulaire. (Co
; aucun trouble durable de la sensibilité ne viendra s'y adjoindre.
Fig
. 23. — Foyer cl'he'morrhagie extra-lenticulaire a
la capsule interne seraient seules altérées d'une façon dé-finitive (
Fig
. 23). J'ai à dessein, dans l'exposé qui précède
de voisinage, d'une compression s'exerçant sur la capsule interne.
Fig
. 24. — Cette figure montre le siège, le mode de f
moins fortement comprimés en conséquence d'une semblable altération (
Fig
. 24). Au point de vue des symptômes produits, deu
sera une hémiplégie, exclusivement motrice, du côté opposé du corps (
Fig
. 22). Tantôt, s'éten-dant de proche en proche, d'
'extension des divers foyers des hémorrhagies centra-les (Voyez aussi
Fig
. 23). Tels sont les faits. Un mot maintenant co
. C'est là, vous le voyez, un faisceau direct, puisque les fibres
Fig
. 26. — A, corpus striatum. — B, noyau lenticulair
dans la pro-tubérance, ou peut-être dans les pédoncules cérébraux.
Fig
. 27. — Coupe transversale d'un cerveau de chien,
orte seulement sur un point quelconque de ses deux tiers antérieurs. (
Fig
, 27 et Fig. 28.) Tels sont-, en somme, les résu
ent sur un point quelconque de ses deux tiers antérieurs. (Fig, 27 et
Fig
. 28.) Tels sont-, en somme, les résultats fonda
ls sont-, en somme, les résultats fondamentaux de ces ex-périences.
Fig
. 28. — Coupe transversale du cerveau du chien au
et ceux qui n'y su-bissentpas l'entrecroisement. Ces derniers (voyez
Fig
. 29, a\b) c'est-à-dire les tubes nerveux non entr
t aisément servir à l'in-terprétation des divers modes de l'hémiopie {
Fig
. 29). Occupons-nous d'abord de Vhémiopie homolo
e cha-que rétine (GG), ou en d'autres termes soit d'obnubiler, soit
Fig
. 29. — Schéma des line à faire comprendre les phé
igSO. — Empruntée à M. Meynert (Stricker's Handbuch, t. il, p, 793. —
Fig
. 233) Coupe antéro-postërieure du cerveau du cerc
ven-tricule (f) qui joue ici, dans la topographie, un rôle important (
Fig
. 32). On a détaché le noyau caudé dont les cont
onnant, c'est-à-dire le plan des fibres rayon-nantes cortico-striées (
Fig
. 31, FK). De la sorte se trouve à découvert le pl
ve à découvert le plan des faisceaux rayonnants cortico-optiques (FT,
Fig
. 31 ; hh, ii, kk, Fig. 32). Il est possible de di
des faisceaux rayonnants cortico-optiques (FT, Fig. 31 ; hh, ii, kk,
Fig
. 32). Il est possible de distin-guer alors dans c
niers faisceaux trois groupes de fibres : 1° Les unes antérieures (hh,
Fig
. 32), sont dites racine anté-rieure de la couche
les régions frontales ; 2° d'autres sont moyennes ou laté-rales (ii,
Fig
. 32. Expansions latérales) ; 3° d'autres enfin, p
lation les points divers d'un même hémisphère. La figure ci-contre (
Fig
. 30), empruntée h M. Meynert (toc, cit., fig. 233
et qui établit une relation entre le lobe frontal et le sphénoïdal.
Fig
. 31. — N G, noyau caudé. — GO, couche optique. —
le nom d'expansions cérébrales optiques ou des nerfs optiques (/•, k,
Fig
. 32). Fig 32.—Radiations de la couche optique —
ansions cérébrales optiques ou des nerfs optiques (/•, k, Fig. 32).
Fig
32.—Radiations de la couche optique — (Schéma emp
vail de M. Meynert et qui con-cerne le singe (Cercocebuscinomolgus.) (
Fig
. 33). On voit sur cette planche comment des fai
irectes dont nous avons déjà donné la description (Leçons VIII et IX,
Fig
. 26), et (1) Les bras conjonctifs antérieurs et
ils avaient une coloration d'un blanc mat, un Peu teintée de jaune.
Fig
. 33. — Cette figure est empruntée à l'ouvrage de
lenticulo-optique, comprend, vous ne l'avez pas oublié: 1° les deux
Fig
. 34. —A,, coucha optique. — Arri, avant-mur. - CC
très prononcée, mais encore de longue durée, souvent même incurable (
Fig
. 34). Je voudrais rechercher avec vous la raiso
s phénomènes d'excitation qui compliquent assuré-ment la situation.
Fig
. 35. — Coupe transversale d'un cer-veau de chien,
serve chez l'homme en conséquence de la lésion de ces mêmes parties. (
Fig
. 35.) Tenu suspendu par la peau du dos, l'animal
pel à des espèces relativement haut pla-cées dans l'échelleani-male. (
Fig
. 36). C'est peut-être ici le lieu de rappeler q
, ainsi que cela s'observe criez l'homme, l'bémianesthésie croisée.
Fig
. 36. — Coupe transversale du cerveau du chien au
oblitération d'une branche volumineuse de l'artère sylvienne (voir la
Fig
. 37), ces lé-sions-là, dis-je, alors même qu'il n
nte) et les parties atte-nantes du lobe pariétal et du lobe frontal. (
Fig
. 38). Je revien- Charcot. Œuvres complètes, t.
s ; la nature de l'altération n'a pas d'influence marquée. Le siège
Fig
. 38. —Vaste foyer de ramollissement cortical ayan
encore la nature du processus morbide et met en évidence les carac-
Fig
. 39, 40, 41. — Coupes transversales de la moelle
tives, la lésion fasciculée est nécessairement double, c'est-à-dire
Fig
. 42.— Coupe transver- Fig. 43.— Coupe Fig Ai.— Co
e est nécessairement double, c'est-à-dire Fig. 42.— Coupe transver-
Fig
. 43.— Coupe Fig Ai.— Coupe trans-sale de la moell
ystème des fibres spinales propres au faisceau latéral. (Comparez les
Fig
. 39, 40 et 41, et les Fig. 42, 43 et 44.) Enfin
propres au faisceau latéral. (Comparez les Fig. 39, 40 et 41, et les
Fig
. 42, 43 et 44.) Enfin, la sclérose primitive a
éresse pas davantage le bord antéro-externe de la corne postérieure. (
Fig
. 39.) Dans la région dorsale, la partie sclérosée
inue progressivement de diamètre et tend à revêtir la forme ovalaire {
Fig
. 40). Enfin dans le renflement lombaire [Fig. 41)
vêtir la forme ovalaire {Fig. 40). Enfin dans le renflement lombaire [
Fig
. 41), c'est de nouveau, comme dans la région cerv
ves, qui constituent la partie profonde des faisceaux latéraux. (Voir
Fig
. 42, 43, 44). Il faut ajouter que les bords de la
je fais passer sous vos yeux vous montre un bel exemple de ce genre (
Fig
. 45.) Vous voyez, d'après ce qui précède, que,
ions que peuvent occuper les lésions systématiques jusqu'ici connues (
Fig
. 46). Les faisceaux postérieurs, considérés en
moelle présidante la vie automatique. Voici un plan topographique {
Fig
. kTl) qui résume assez exactement les études de M
ec le plan qui nous a servi à indiquer le siège des lésions spinales (
Fig
. 46). C'est ainsi qu'il vous sera facile de voir
à émise par Billard, la vie du système nerveux est en quelque sorte
Fig
. 48. — Région cervicale. —F. p. d., Faisceau pyra
issent aveugles et, comme ceux de l'homme, privés de déterminations
Fig
. 49. — Région lombaire. — F. p. c., Faisceau pyra
ux, et commençons, si vous le voulez bien, par les faisceaux croisés (
Fig
. 48 et 49). Immédiatement au-dessus de l'entrec
s : 1er type. C'est le plus vulgaire (75 0/0. Il consiste dans la
Fig
. 50 et 51, d'après Plechsig. — a, prédominance du
nous orienter. Dès maintenant, nous pouvons en faire abs-traction.
Fig
. 53. — Coupe horizontale de la région pédonculair
ment l'étage inférieur des pédoncules, le pied des pédoncules. Chez
Fig
. 54. — Coupe horizontale de l'hémisphère droit, p
u lenti-culaire accolé à son bord externe, la couche optique coupée
Fig
. 55. — Coupe pariétale de l'hémisphère (Pitres).
sous la forme de deux tractus blancs qui semblent marcher à la ren-
Fig
. 56.-- Coupe verticale ante'ro-postérieure, un pe
s une deuxième? Voilà des questions intéressantes sans doute, mais,
Fig
. 57. — A, dégénération dans le pédoncule cérébral
de correspon-dante, laquelle présente en même temps une teinte grise (
Fig
. 57). Du côté opposé à la lésion, au-dessous de l
rébrale; et du côté opposé à la lésion, le faisceau pyramidal croisé (
Fig
. 58). Vous voyez, Messieurs, comment ce dernier f
i-gnements qui nous ont été fournis par l'anatomie du déve-loppement (
Fig
. 55). La démonstration que j'ai voulu vous prés
s. Faites partir de la couche profonde de toute cette zone grise,
Fig
. 60. — A, coupe horizontale du noyau caudé. — B,
cel- lules des cornes antérieures et des racines antérieures est
Fig
, 61. — Schéma indiquant l'ensemble de l'appareil
il y a quatre ans, est entré dans des détails anatomo-pathologiques
Fig
. 62. — Coupe de la moelle e'pinière entre la sept
echsig désigne sous le nom de faisceau cérébelleux direct, augmente
Fig
. 63.— A, Coupe de la moelle épinière (région dors
(renflement cervico-brachial), correspond au faisceau de Goll. (Voy.
Fig
. 63, G c.) La dégénération peut, d'ailleurs, comm
lément, aussi bien dans l'état normal que dans l'état pathologique.
Fig
. 65.— Coupe transversale de la moelle cervicale d
rdons latéraux, d'après les préparations de M. Pierret(B). Fia. 66.
Fig
. 67. Fig. 68. Fig. 66.— Coupe de la moelle d'un
éraux, d'après les préparations de M. Pierret(B). Fia. 66. Fig. 67.
Fig
. 68. Fig. 66.— Coupe de la moelle d'un embryon
rès les préparations de M. Pierret(B). Fia. 66. Fig. 67. Fig. 68.
Fig
. 66.— Coupe de la moelle d'un embryon humain d'un
a, Zone radiculaire antérieure — 6, Zone radiculaire postérieure.
Fig
. 67. — Coupe de la moelle d'un embryon humain âgé
a, b,c, etc., comme dans la figure précédente. — l, Cordon latéral.
Fig
. 68. — Coupe de la moelle d'un embryon humain âgé
ceaux médians ou faisceaux de Goll ne sont pas encore développés.
Fig
, 69. — Coupe transversale d'un embryon de huit se
rs, C, représente l'épithélium du canal central (d'après Kolliker).
Fig
. 70. — Coupe transversale de la moelle cervicale
ue de la moelle épinière jusqu'au plancher du quatrième ventricule.
Fig
. 71. — A, Sclérose de la totalité des cordons pos
eaux de Goll et zones radicuîaires). — Ataxic locomotrice vulgaire.
Fig
. 72. — B, Sclérose des deux zones radicuîaires po
eures (les faisceaux de Goll sont respectés). — Ataxic locomotrice.
Fig
. 73. — G, Sclérose limitée aux faisceaux de Goll
agit là surtout d'un processus inflammatoire, cette lésion ne reste
Fig
. 11. Fig. 72. Fig. 73. pas confinée dans so
tout d'un processus inflammatoire, cette lésion ne reste Fig. 11.
Fig
. 72. Fig. 73. pas confinée dans son foyer d'o
rocessus inflammatoire, cette lésion ne reste Fig. 11. Fig. 72.
Fig
. 73. pas confinée dans son foyer d'origine ; el
ts. 2° Mais ce sont surtout les dégénérations descendantes qui, ¦
Fig
. 74. —A, Coupe de la moelle au-dessous de la lesi
tution de la moelle tout entière, nous pouvons cons-truire un schéma (
Fig
. 75), qui ne s'éloigne pas, d'ailleurs, notableme
faisceaux postérieurs ne modifie en rien les mouvements volontaires (
Fig
. 76) (2). 2° Il est très remarquable que toute
ibres longues, directement cérébrales, dans les faisceaux antérieurs (
Fig
. 77). 3°La substance grise peut être coupée dan
. 77). 3°La substance grise peut être coupée dans toute son éten-
Fig
. 76. Fig. 77. due, les faisceaux antéro-latérau
3°La substance grise peut être coupée dans toute son éten- Fig. 76.
Fig
. 77. due, les faisceaux antéro-latéraux subsist
il se produise aucune modification dans les mouvements volontai-res. (
Fig
. 78). 4° Si, au contraire, la substance grise e
ce grise ne suffit pas à la transmission des incitations volontaires (
Fig
. 79). Fig. 79. Fig. 78. 5° Dans le cas de sec
suffit pas à la transmission des incitations volontaires (Fig. 79).
Fig
. 79. Fig. 78. 5° Dans le cas de section des fai
s à la transmission des incitations volontaires (Fig. 79). Fig. 79.
Fig
. 78. 5° Dans le cas de section des faisceaux la
s membres antérieurs. Le train de derrière est complètement paralysé (
Fig
. 80). 6° Enfin, si la section est totale, un se
membre obéit encore à la volonté ; si on l'étend, l'animal le retire (
Fig
. 81). C'est donc bien par les faisceaux pyramidau
res. Mais il est possible que ce rôle des faisceaux pyramidaux ne
Fig
. 81. Fig. 80. soit pas exclusif ; il représen
il est possible que ce rôle des faisceaux pyramidaux ne Fig. 81.
Fig
. 80. soit pas exclusif ; il représente sans dou
s tirer. D'ailleurs, il suffit de jeter les yeux sur ces deux tracés (
Fig
. 82 et 83), pour constater du premier coup la dif
s (Fig. 82 et 83), pour constater du premier coup la différence qui
Fig
. 82. — Rétlexe rotulien (hémiplégie avec contract
démontrer l'exagération du pouvoir réflexe du centre spinal dans la
Fig
. 83. — Réflexe rotulien. Côté contracture. Le tem
alysés. En effet, tandis que du côté demeuré sain, l'acte réflexe a
Fig
. 84. — Exagération de la contracture du triceps c
enir à son état primitif, reste pendant quelque temps plus raccourci (
Fig
. 84), qu'il ne l'était au moment de la percussion
uellement moins accusée que dans le membre supérieur. Un degré même
Fig
. 85. — Hémiplégie ancienne. — Contracture en flex
t clair que la marche est rendue dès lors dé-finitivement impossible {
Fig
. 85). 3. Enfin, il n'est pas exceptionnel que l
pourrait être représentée, en pareil cas, par le schéma suivant (voy,
Fig
, 86). L'arc diastaltique des réflexes cutanés n'e
e la main, la région hyperesthésiée, la jambe se rétracte convulsi-
Fig
. 86. — Arcs diastaltiques tendineux et cutané dan
n-dineux sont exaltés, tandis que les réflexes cutanés sont abolis.
Fig
. 87. — Arcs diastaltiqu.es tendineux et cutanés d
sans résultat; elles ne sont suivies d'aucun mouvement réflexe (voy.
Fig
. 87). 3° Au contraire, dans le cas de l'hémiplé
à dé-tacher ses pieds et il commence à progresser. C'est ici qu'il
Fig
. 88. convient, Messieurs, de vous présenter le
cita-bilité normale. 11 existe donc un contraste bien tranché, sous
Fig
. 89. tous les rapports, entre cette affection e
vous présente et qui sont relatifs à diverses époques de la maladie (
Fig
. 1, 2, 3, 4 et 5). lu ^s «un; 10. y 2* f M i
, 2, 3, 4 et 5). lu ^s «un; 10. y 2* f M i l I I I l-+-j-1--i-i
Fig
. 1.— Respiration normale d'une hystérique très ém
e d'une hystérique très émotive.Elle est fréquente (30 par minute).
Fig
. 2. — Ler.. .., 1er sept. La respiration se fait
part des bâillements sont doubles (B). Huit bâillements par minute.
Fig
. 3. — Ler....., 15 août. Alternance de la toux (T
er....., 15 août. Alternance de la toux (T) et des bâillements (B).
Fig
. 4. — Ler....., 15 oct. Bâillements (B) séparés p
Bâillements (B) séparés par des respirations à peu près régulières.
Fig
. 5. — Bâillements par imitation chez une hystériq
nt et en arrière, comme il est indiqué sur la figure n° 6 (A. B.) ;
Fig
. 6. — État de la sensibilité chez Ler..... (8 sep
te un rétrécissement du champ visuel à peu près égal des deux côtés (
Fig
. 8 et 9). Fig. 7. — État du champ visuel chez L
ment du champ visuel à peu près égal des deux côtés ( Fig. 8 et 9).
Fig
. 7. — État du champ visuel chez Ler..... (8 septe
vous présente et qui a été recueilli en suivant la méthode de Marey (
Fig
. 8 et 10). Fig. 8. — Dyspnée hystérique. Marie
qui a été recueilli en suivant la méthode de Marey (Fig. 8 et 10).
Fig
. 8. — Dyspnée hystérique. Marie B.....Respiration
né de planches admirables, faites d'après nature, où vous 2e cas.
Fig
. 10 Attitude dans la Sciatique gauche. Attitu
étendu, ¹ 1. — Légende. a. Anesthésie. b. Plaque hystérogène.
Fig
. 11. ¹ 2. — Légende. a. Point sacro-iliaque.
nt les deux yeux à peu près également, existe, porté à un haut degré (
Fig
. 12), à l'état de permanence. Cette constatation
es c'est de l'hémianesthésie dans l'acception rigoureuse du mot (Voy,
Fig
. 11 bis.) Par une sorte d'anomalie fort curieuse,
u pli de l'aine et parallèlement à sa direction une plaque, allongée (
Fig
. 11 bis Fifí, 11 b\ ¹ 1 ¹ 2 n°l,è.)ovalai
, et également sur toute l'étendue du membre inférieur correspondant (
Fig
. 13.) Vous savez que cette circonstance est fort
on parfaitement indiqués dans plusieurs observations d'intoxication
Fig
. 14. parle sulfure de carbone, en particulier d
rt régulière, et qui ferait presque envie à un expérimentateur (1).
Fig
. 15. Cas de Millier. a. Le couteau. b. La m
sique ne remonte pas aussi haut, il s'en faut de beaucoup, que cela
Fig
. 16. devrait être dans les cas, comme le nôtre,
oisième ou quatrième vertèbres dorsales. Ainsi dans le cas de Müller (
Fig
. 16) qui pour la plupart des détails est comparab
ne tandis qu'en arrière elle ne remonte pas même jusqu'à la taille.
Fig
. 17. Hémiplégie spéciale avec hémianesthésie cr
extenseurs de la jambe devient tellement puissante qu'il se produit
Fig
. 18. — Les membres inférieurs vus Figv19. — Les m
est très manifestement amaigri (fig.18,19,20,21) ; l'amaigrissement
Fig
. 20. - Atrophie totale du membre Fig. 21. - Le mu
8,19,20,21) ; l'amaigrissement Fig. 20. - Atrophie totale du membre
Fig
. 21. - Le muscle tenseur du fasci inférieur gau
stigmates chez lui va donner plus de poids encore à notre assertion. (
Fig
. 22). Il existe sur la tête, le tronc, les membre
2). Il existe sur la tête, le tronc, les membres, une hémianalgésie
Fig
. 22. — 1. Aoesthésie complète. 2. Diminution de l
elevés par M. Parinaud à propos de l'examen oculaire de notre malade (
Fig
. 23). L'examen de l'œil D G Fig. 23. droit
'examen oculaire de notre malade (Fig. 23). L'examen de l'œil D G
Fig
. 23. droit fait constater un champ visuel-absol
ont presque complètement disparu. Température 38°, pouls 130, 120.
Fig
. 24. Voici enfin l'état dans lequel nous le tro
it attendre plus de quatre ou cinq jours, ainsi que vous pou- » G
Fig
. 25. —Champ visuel de D.... vue deux jours après
Fig. 25. —Champ visuel de D.... vue deux jours après l'accès. D G
Fig
. 26. — Champ visuel de D.... vue 9 jours après l'
pour ce qui est des antécédents personnels, ils n'offrent également
Fig
. 21. — A. Points hysterogèucs. B. Anathésie cut
imés aux doigts ou au poignet, le sens musculaire est compiè- D G
Fig
. 28. tement aboli et l'on peut tordre, distendr
couche la plus superficielle de la substance corticale. C'est là la
Fig
. 29. seule altération qu'il ait été permis de c
core à propos du cas, je relèverai d'abord un affaiblissement D g
Fig
. 30. D G Figr. 31. génital très prononcé et
ller détruire chez les animaux, ces seules cornes antérieures, sans
Fig
. 32.— Croupe de la moelle faite dans la région lo
e aujourd'hui, et toute tracée. On ne saurait s'y engager cependant
Fig
. 33. — Coupe de la moelle à la région cervicale d
yeux, régulièrement concentrique, plus prononcé à droite qu'à gauche (
Fig
. 34.) Ceci encore est un symptôme hystérique pres
34.) Ceci encore est un symptôme hystérique presque univoque D G
Fig
. 34. — 5 décembre 1888. pour peu qu'il soit bie
lité cutanée a fait constater la présence d'une hémianalgésie droite (
Fig
.35).Le goût du côté droit de la langue esta peu p
n voit dans l'ataxie. Il ne saurait donc être question ici, vous le
Fig
. 36. voyez, de ce rétrécissement concentrique e
tait il y a dix mois. L'acuité visuelle, elle aussi, a faibli D G
Fig
. 37. — m m m m m-mm — Le champ visuel pour le rou
m — Le champ visuel pour le rouge. ..... == — pour le bleu. D G
Fig
. 38. — mm m m , m» — Le champ visuel pour le roug
raît en général comprimée que sur une partie de la face antérieure.
Fig
. 39. — Pachyméningite caséeuse dans le mal de Pot
déjà à un haut degré et justement, vous le voyez, c'est dans notre
Fig
. 40 et 41. — aa, bb. Anesthésie pour tous les mod
aises variés ; elle ressent souvent des bouffées de chaleur qui G
Fig
. 42. — Champ visuel de l'œil gauche. Le champ vis
; de chaque côté, à droite et à gauche, la ceinture s'étend sur les
Fig
. 43. — a. Plaque hyperesthésique ; Fig. 44. — a.
la ceinture s'étend sur les Fig. 43. — a. Plaque hyperesthésique ;
Fig
. 44. — a. Ceinture hyperesthe'sique ; ò. Hypere
qu'il ne sera pas inutile d'en donner ici une description sommaire.
Fig
. 46. —Appareil suspenseur. Il se compose d'une
e collier de glisser lorsque le malade sera suspendu. L'application
Fig
. 47. — Appareil en place pour la tête. de celte
pratique est tolérée, la suspension et la traction plus effectives.
Fig
. 48. — Lejnalade suspendu : mouvements latéraux d
abuse tant et que l'on emploie si souvent à tort et à travers (1).
Fig
. 52. — Attaque de contracture. Fig. 53. — Arc d
uvent à tort et à travers (1). Fig. 52. — Attaque de contracture.
Fig
. 53. — Arc de cercle. J'ai vu ce genre d'attaqu
tanée et profonde (Voir le schéma). Au niveau de cette plaque, une'
Fig
. 54. — a. Anesthésie. Fig. 55. — a. Anesthésie.
schéma). Au niveau de cette plaque, une' Fig. 54. — a. Anesthésie.
Fig
. 55. — a. Anesthésie. b. Hyperesthésie. b. Hype
maurose. Examen du 8 janvier 1889. G Examen du 22 janvier 1889.
Fig
. 57. — Champ visuel de l'œil gauche. Celui de l'œ
alade entre à la Salpêtrière le 19 décembre 1888, deux mois environ
Fig
. 58 et 59. après le début des accidents. Voici
che, goût aboli des deux côtés ; rétrécissement du champ visuel G
Fig
. 60. — Champ visuel de l'œil gauche. beaucoup p
t, c'est-à-dire sans causes appréciables, tantôt à l'occasion D G
Fig
. 61. des tentatives d'alimentation. Dans ce der
d'une façon fort originale qu'on peut reconnaître sur le schéma ci-
Fig
. 62 Fig. 63 contre ; ainsi du côté du pied la l
çon fort originale qu'on peut reconnaître sur le schéma ci- Fig. 62
Fig
. 63 contre ; ainsi du côté du pied la limite es
té les premiers en date, et ils ont seuls tenu la scène pendant une
Fig
. ¡64. — 12ïdécembre ¡1888. d a Fig. 65. — 23
ls tenu la scène pendant une Fig. ¡64. — 12ïdécembre ¡1888. d a
Fig
. 65. — 23 janvier 1889. période de plusieurs mo
oût aboli sur toute l'étendue de la langue. Insensibilité du pharynx (
Fig
. 68). Le dynamomètre a donné il y a un mois 60
e de la main et en même temps fortement déviés vers le bord cubital. (
Fig
. 71). Veuillez prendre note, Messieurs, de cett
ession sera confirmée d'ailleurs par tout ce qui nous reste à dire.
Fig
. 71. Le membre inférieur droit présente, au niv
d axe du membre, passant à quelques centimètres au-dessous du genou. (
Fig
. 72, 73). Les mouvementspassifsimprimésàl'articul
de la maladie ; dans ce temps-là les douleurs occupaient, Pig. 72.
Fig
. 73. semble-t-il, toute retendue de la cuisse ;
t qui peu à peu se seront fixées, en quelque sorte, par suite de la
Fig
. 14 Fig. 75 Distribution des troubles de la sen
u à peu se seront fixées, en quelque sorte, par suite de la Fig. 14
Fig
. 75 Distribution des troubles de la sensibilité
parésie des membres supérieur et inférieur du côté anesthésié (côté
Fig
. 76. Fig. 77. droit). Le dynamomètre donne 20 p
es membres supérieur et inférieur du côté anesthésié (côté Fig. 76.
Fig
. 77. droit). Le dynamomètre donne 20 pour la ma
u champ visuel très prononcé (à 15°). Il y a de plus microme- d o
Fig
. 78. — Amaurose à droite. galopsie ; pas de dip
noculaire.Le goût et Todorat sont manifestement obnubilés à gauche.
Fig
. 79. Fig- 80. La peau du scrotum à gauche est t
ndément et il faut soumettre la région à une compression un peu D
Fig
. 81. — Champ visuel de l'œil droit, celui de l'œi
resthésie particulière dont nous reparlerons parce qu'elle offre un
Fig
. 82.— a. Anesthésie généralisée pour le contact,
'elle offre un Fig. 82.— a. Anesthésie généralisée pour le contact,
Fig
. 83 — a. Anesthésie. la douleur, le chaud et le
a été produite hier par le contact de la plaque métallique du D g
Fig
. 84. thermomètre de surface qu'on avait trop ch
ystéro-épilepsie. Le malade se comporte comme un épileptique, en ce
Fig
. 85. — Aus der Periode der contorsionen. Pig. 8
ontorsions ou encore du clownisme, que nous avons si souvent décrite.
Fig
. 85, 86, 87. Fig. 87. — Arc de cercle. Emprosth
e du clownisme, que nous avons si souvent décrite. Fig. 85, 86, 87.
Fig
. 87. — Arc de cercle. Emprosthotonos. Voici enf
la forme, est, comme tout le reste, hystérique et rien qu'hystérique.
Fig
. 88, 89,90, 91. Il paraîl exister un autre cara
isais tout à l'heure que dans l'épilepsie, MM. Lépine et Mairet ont
Fig
. 88. —Periode der Hallucinalionen. Fig. 89. — P
, MM. Lépine et Mairet ont Fig. 88. —Periode der Hallucinalionen.
Fig
. 89. — Periode der Ilalluciaationen. constaté u
er un accroissement du taux de l'urée, on constate au contraire que
Fig
. 90. — Periode der Hallucinationen. Fig. 91. —
constate au contraire que Fig. 90. — Periode der Hallucinationen.
Fig
. 91. — Période der Hallucinationen. l'urée a di
icament. II est surtout accusé aux mains. Nous avons étudié graphi-
Fig
. 92. — «. Tracé pris un quart d'heure après l'inj
and les malades s'en cachent, ce qui est d'ailleurs assez fréquent.
Fig
. 93. — b. Tracé pris 2 heures après l'injection.
ez fréquent. Fig. 93. — b. Tracé pris 2 heures après l'injection.
Fig
. 94. — e. Tracé pris 4 heures et demie après l'in
la boule de feu il s'est dégagé trois bouffées, trois petits nuages
Fig
. 95. — D'après un croquis fait par le malade. — a
nt décisive, de la non-existence de l'insensibilité annoncée par le
Fig
. 96. Fig. 97. a. Analgésie. La distribution est
ve, de la non-existence de l'insensibilité annoncée par le Fig. 96.
Fig
. 97. a. Analgésie. La distribution est à peu pr
côté, en particulier au niveau de l'épaule, et en même temps ÏÏ G
Fig
. 98. tous les mouvements de ce membre sont mani
ais placer sous vos yeux et qui représentent graphiquement les mou-
Fig
. 99. Tracés reproduisant les mouvements involon
ensibilité en question seraient vraisemblablement contemporains des
Fig
. 101. Fig. 102. Distribution et intensité de l'
en question seraient vraisemblablement contemporains des Fig. 101.
Fig
. 102. Distribution et intensité de l'Hyperesthé
production gliomateuse occupe généralement la moelle 'dans toute sa
Fig
. 113. — Moelle de syringomyélie par gliomatose mé
ogie de la moelle épinière telle que l'ont faite les travaux récents (
Fig
. 104). Nous savons que les lésions étendues et du
04). Nous savons que les lésions étendues et durables des faisceaux
Fig
. 104. — A,A, cordons latéraux : — A' faisceaux de
entier, puis, en commençant par la main, le membre supérieur gauche
Fig
. 105. — La main droite de Bar......my. Etat actue
it, les réactions soit faradiques, soit galvaniques font absolument
Fig
. 106 Fig. 107 Sensibilité au tact. défaut. Le
éactions soit faradiques, soit galvaniques font absolument Fig. 106
Fig
. 107 Sensibilité au tact. défaut. Les interos
e est qu'il s'agit chez lui de l'atrophie musculaire progressive du
Fig
, 108 Fig, 1Q9 Sensibilité à la douleur. Analg
il s'agit chez lui de l'atrophie musculaire progressive du Fig, 108
Fig
, 1Q9 Sensibilité à la douleur. Analgésie géné
i consistent ces troubles sensitifs ; je vous engage, pendant l'ex-
Fig
. 110 pig. m Sensibilité à la chaleur (1). posé
rusques qui pourraient avoir pour effet de rompre le tube capillaire.
Fig
. 112. plètement défaut est représentée panine l
te l'étendue du tiers supérieur de la poitrine en avant (fig. 110).
Fig
. U3 Fig. 114 Sensibilité au froid (0*). Les f
nt stationnaire. Vous voyez (fig. 115) comment l'amyotrophie et les
Fig
. 115. troubles moteurs occupent exclusivement l
de a fait reconnaître (voir les figures). 1° Les sensa- Pisr, 116
Fig
. 117 Sensibilité au tact. tions tactiles sont
et 119).3° Dans une première exploration,l'application d'un morceau
Fig
. 118 i'jg. 119 Sensibilité à la douleur. de g
l'application de la plaque du thermomètre ne donne la sensation de
Fig
. 120 Fig. 121 Sensibilité au froid. brûlure q
ation de la plaque du thermomètre ne donne la sensation de Fig. 120
Fig
. 121 Sensibilité au froid. brûlure que lorsqu
répartition des troubles sensitifs, dans ce cas, rappelle la dispo-
Fig
. 122 liy. 123 Sensibilité à la chaleur. sitio
ingomyélie est vous le savez, par excellence, une maladie lentement
Fig
. 124. — A. la main droite de P... eyn, anesthésié
ie, Hystérie et Morphinomanie.) B. - FIGURES, FAC-SIMILE ET TRACÉS.
Fig
. 1, 2, 3, 4, 5, — Bâillement hystérique. Tracés d
ystérique. Tracés de la respi- ration ......................4, 5*
Fig
. 6. — Bâillement hystérique (Sensibilité)........
...4, 5* Fig. 6. — Bâillement hystérique (Sensibilité)......... 8
Fig
. 7. — — (Champ visuel)....... 9 74 Pages. F
ité)......... 8 Fig. 7. — — (Champ visuel)....... 9 74 Pages.
Fig
. 8- — Dyspnée hystérique (Tracé respiratoire)....
ages. Fig. 8- — Dyspnée hystérique (Tracé respiratoire)....... 12
Fig
. 9,10. — Sciatique (Déformation du tronc dans la)
Fig. 9,10. — Sciatique (Déformation du tronc dans la) . . .20, 21
Fig
. 11 — ! (Points douloureux)............ 26 Fig.
ns la) . . .20, 21 Fig. 11 — ! (Points douloureux)............ 26
Fig
. 11 — et hystérie (Sensibilité).......... 33 Fi
)............ 26 Fig. 11 — et hystérie (Sensibilité).......... 33
Fig
. 12 — (Champ visuel)......... 31 Fig. 13. — Hém
e (Sensibilité).......... 33 Fig. 12 — (Champ visuel)......... 31
Fig
. 13. — Hémiplégie hystérique (Sensibilité).......
... 31 Fig. 13. — Hémiplégie hystérique (Sensibilité)......... 47
Fig
. 14 — — (Champ visuel)....... 49 Fig. 15.—Syndr
ue (Sensibilité)......... 47 Fig. 14 — — (Champ visuel)....... 49
Fig
. 15.—Syndrome de Brown-Séquard (Etat de la moelle
49 Fig. 15.—Syndrome de Brown-Séquard (Etat de la moelle) ... 54
Fig
. 16 — (Sensibilité) ..... 59 Fig. 17 — — id....
quard (Etat de la moelle) ... 54 Fig. 16 — (Sensibilité) ..... 59
Fig
. 17 — — id........60 Fig. 18,19. — Amyotrophie
.. 54 Fig. 16 — (Sensibilité) ..... 59 Fig. 17 — — id........60
Fig
. 18,19. — Amyotrophie de cause articulaire (Attit
Fig. 18,19. — Amyotrophie de cause articulaire (Attitude) ... 73
Fig
. 20,21 — (Atrophie) ... 74 Fig. 22. — Alcoolism
ause articulaire (Attitude) ... 73 Fig. 20,21 — (Atrophie) ... 74
Fig
. 22. — Alcoolisme, paralysie infantile, hystérie
22. — Alcoolisme, paralysie infantile, hystérie (Sensibilité) . 97
Fig
. 23 — — (Champ visuel) 98 Fig. 24. — Chorée aig
antile, hystérie (Sensibilité) . 97 Fig. 23 — — (Champ visuel) 98
Fig
. 24. — Chorée aiguë grave (Tracé de la températur
Fig. 24. — Chorée aiguë grave (Tracé de la température)..... 107
Fig
. 25,26. — Epilepsie (Rétrécissement du champ visu
Fig. 25,26. — Epilepsie (Rétrécissement du champ visuel) . . . 120
Fig
. 27.—Hystérie chez un saturnin (Sensibilité) ....
120 Fig. 27.—Hystérie chez un saturnin (Sensibilité) ....... 122
Fig
. 28 — — (Champ visuel)...... 124 Fig. 29. — Cho
in (Sensibilité) ....... 122 Fig. 28 — — (Champ visuel)...... 124
Fig
. 29. — Chorée aiguë grave (Lésions cardiaques) ..
24 Fig. 29. — Chorée aiguë grave (Lésions cardiaques) ....... 128
Fig
. 30,31.'—H)stéro-neurasthénie (Champ visuel) ....
. 128 Fig. 30,31.'—H)stéro-neurasthénie (Champ visuel) ...... 137
Fig
. 32. — Paralysie infantile (Lésions médullaires,
32. — Paralysie infantile (Lésions médullaires, région lombaire) 141
Fig
. 33 — — du membre supérieur (Lésions médullaires)
. 33 — — du membre supérieur (Lésions médullaires)............. 146
Fig
. 34. — Ataxie et hystérie (champ visuel) ........
. 146 Fig. 34. — Ataxie et hystérie (champ visuel) .......... 159
Fig
. 35 — — (Sensibilité)............ 160 Fig. 36.—
visuel) .......... 159 Fig. 35 — — (Sensibilité)............ 160
Fig
. 36.—Sclérose en plaques et hystérie (Sensibilité
Fig. 36.—Sclérose en plaques et hystérie (Sensibilité) . . . . 167
Fig
. 37, 38 — — — (Champ visuel) . . . 168 Fig. 39.
nsibilité) . . . . 167 Fig. 37, 38 — — — (Champ visuel) . . . 168
Fig
. 39. — Pachyméningite caéseuse dans le mal de Pot
Fig. 39. — Pachyméningite caéseuse dans le mal de Pott . . . 181
Fig
. 40,41. — Mal de Pott et hystérie (Sensibilité) .
Fig. 40,41. — Mal de Pott et hystérie (Sensibilité) . ,..... 185
Fig
. 42 — — (Champ visuel) ..... 187 Fig. 43. 4L—Si
e (Sensibilité) . ,..... 185 Fig. 42 — — (Champ visuel) ..... 187
Fig
. 43. 4L—Simulation hystérique du mal de Pott (Sen
Fig. 43. 4L—Simulation hystérique du mal de Pott (Sensibilité) 193
Fig
. 45 — * — — (Champ visuel) 196 Fig. 46.—Suspens
mal de Pott (Sensibilité) 193 Fig. 45 — * — — (Champ visuel) 196
Fig
. 46.—Suspension dans le tabès. Appareil suspenseu
6 Fig. 46.—Suspension dans le tabès. Appareil suspenseur .... 205
Fig
. 47.—Appareil en place pour la tête . . .........
... 205 Fig. 47.—Appareil en place pour la tête . . ......... 206
Fig
. 48. — Suspension du malade.............. 20 Pa
... 206 Fig. 48. — Suspension du malade.............. 20 Pages.
Fig
. 49, 50. —Tremblement raercuriel (Tracés)........
Pages. Fig. 49, 50. —Tremblement raercuriel (Tracés)......... 233
Fig
. 51. — Tremblement de la maladie de Basedow(Tracé
Fig. 51. — Tremblement de la maladie de Basedow(Tracés) . . . 233
Fig
. 52. — Attaque hystérique. Attaque de contrature.
233 Fig. 52. — Attaque hystérique. Attaque de contrature..... 253
Fig
. 53 — — Arc de cercle.......... 253 Fig. 54, 55
ue de contrature..... 253 Fig. 53 — — Arc de cercle.......... 253
Fig
. 54, 55. — Hystéro-neurasthénie (Sensibilité)....
253 Fig. 54, 55. — Hystéro-neurasthénie (Sensibilité)........ 263
Fig
. 56, 57 — — (Champ visuel) ........ 264 Fig. 53
sibilité)........ 263 Fig. 56, 57 — — (Champ visuel) ........ 264
Fig
. 53, 59 — — (Sensibilité)....... . . . 267 Fig.
suel) ........ 264 Fig. 53, 59 — — (Sensibilité)....... . . . 267
Fig
. 60 — — (Champ visuel)........ 268 Fig. 61. — A
sibilité)....... . . . 267 Fig. 60 — — (Champ visuel)........ 268
Fig
. 61. — Attaque de sommeil (Champ visuel).........
... 268 Fig. 61. — Attaque de sommeil (Champ visuel)......... 272
Fig
. 62, 63.—Tabès et hystérie (Sensibilité).........
. 272 Fig. 62, 63.—Tabès et hystérie (Sensibilité)........... 280
Fig
. 64,65. — Hystéro-neurasthénie (Champ visuel)....
280 Fig. 64,65. — Hystéro-neurasthénie (Champ visuel)....... 290
Fig
. 66, 67 — — (Sensibilité).......... 291 Fig. 68
mp visuel)....... 290 Fig. 66, 67 — — (Sensibilité).......... 291
Fig
. 68 — — (Champ visuel........ 294 Fig. 69, 70 —
(Sensibilité).......... 291 Fig. 68 — — (Champ visuel........ 294
Fig
. 69, 70 — — (Sensibilité)........... 295 Fig. 7
p visuel........ 294 Fig. 69, 70 — — (Sensibilité)........... 295
Fig
. 71.-- Hystérie mâle (Contracture)............. 3
..... 295 Fig. 71.-- Hystérie mâle (Contracture)............. 350
Fig
. 72,73.—Paralysie hystérique (Sensibilité).......
350 Fig. 72,73.—Paralysie hystérique (Sensibilité).......... 351
Fig
. 74, 75. — Paraplégie alcoolique (Sensibilité)...
1 Fig. 74, 75. — Paraplégie alcoolique (Sensibilité)......... 387
Fig
. 76, 77. — Hystérie mâle (Sensibilité)...........
. 387 Fig. 76, 77. — Hystérie mâle (Sensibilité)............. 396
Fig
. 78 — (Champ visuel........... 397 Fig. 79, 80
sibilité)............. 396 Fig. 78 — (Champ visuel........... 397
Fig
. 79, 80 -« (Sensibilité)............. 401 Fig.
suel........... 397 Fig. 79, 80 -« (Sensibilité)............. 401
Fig
. 81 — (Champ visuel)........... 402 Fig. 82, 83
ibilité)............. 401 Fig. 81 — (Champ visuel)........... 402
Fig
. 82, 83. — Hystérie, épilepsie et morphinisme (Se
. 82, 83. — Hystérie, épilepsie et morphinisme (Sensibilité). . 422
Fig
. 84 — — (Champ visuel) . 423 Fig. 85, 86, —Hyst
morphinisme (Sensibilité). . 422 Fig. 84 — — (Champ visuel) . 423
Fig
. 85, 86, —Hystérie mâle. Phases de l'attaque.....
423 Fig. 85, 86, —Hystérie mâle. Phases de l'attaque........ 426
Fig
. 87 — — — ........ 427 Fig. 88, 89 — — — ......
mâle. Phases de l'attaque........ 426 Fig. 87 — — — ........ 427
Fig
. 88, 89 — — — ......... 428 Fig. 90, 91 — — — .
426 Fig. 87 — — — ........ 427 Fig. 88, 89 — — — ......... 428
Fig
. 90, 91 — — — ......... 429 Fig. 92.— Morphinis
Fig. 88, 89 — — — ......... 428 Fig. 90, 91 — — — ......... 429
Fig
. 92.— Morphinisme. Tremblement . . ........... 43
...... 429 Fig. 92.— Morphinisme. Tremblement . . ........... 431
Fig
. 93,94 — — ............. 432 Fig. 95.—Foudre gl
Tremblement . . ........... 431 Fig. 93,94 — — ............. 432
Fig
. 95.—Foudre globulaire................... 439 F
........... 432 Fig. 95.—Foudre globulaire................... 439
Fig
. 96,97. — Paralysie de foudroyés ethyslérie (Sens
g. 96,97. — Paralysie de foudroyés ethyslérie (Sensibilité) . . 454
Fig
. 98. — — (Champ visuel) 455 Fig. 99. —Tic convu
ethyslérie (Sensibilité) . . 454 Fig. 98. — — (Champ visuel) 455
Fig
. 99. —Tic convulsif et chorée chronique (Tracé de
. 99. —Tic convulsif et chorée chronique (Tracé des mouvements) 466
Fig
. 100. — Abasie trépidante (Champ visuel).........
s) 466 Fig. 100. — Abasie trépidante (Champ visuel).......... 477
Fig
. 101, 102 — (Sensibilité............ 478 Pages.
ges. Fig1. 103.— Syringomyélie (Lésions médullaires)......... 491
Fig
. 104. — Coupe de la moelle normale ....... 493
)......... 491 Fig. 104. — Coupe de la moelle normale ....... 493
Fig
. 1 OS. — Syringomyélie. Main en griffe...........
... 493 Fig. 1 OS. — Syringomyélie. Main en griffe........... 503
Fig
. 106, 107 -- Sensibilité au tact.......... 504
.......... 503 Fig. 106, 107 -- Sensibilité au tact.......... 504
Fig
. 108,109 — Sensibilité à la douleur....... 505
.......... 504 Fig. 108,109 — Sensibilité à la douleur....... 505
Fig
. 110, 111 — — àlachaleur.......... 506 Fig. 112
la douleur....... 505 Fig. 110, 111 — — àlachaleur.......... 506
Fig
. 112. — Thermomètre de surface............... 507
....... 506 Fig. 112. — Thermomètre de surface............... 507
Fig
. 113,114. —Syringomyélie (Sensibilité au froid)..
07 Fig. 113,114. —Syringomyélie (Sensibilité au froid)....... 508
Fig
. 115. — Syringomyélie................... 510 Fi
roid)....... 508 Fig. 115. — Syringomyélie................... 510
Fig
. 116, 117 Sensibilité au tact......... 512 Fig.
.............. 510 Fig. 116, 117 Sensibilité au tact......... 512
Fig
. 118, 119 — — à la douleur...... 513 Fig. 120,
ité au tact......... 512 Fig. 118, 119 — — à la douleur...... 513
Fig
. 120, 121 — — au froid ... .... 514 Fig. 122.12
— à la douleur...... 513 Fig. 120, 121 — — au froid ... .... 514
Fig
. 122.123 — — à la chaleur..... 515 Fig, 124. —S
— — au froid ... .... 514 Fig. 122.123 — — à la chaleur..... 515
Fig
, 124. —Simulation hystérique de la syringomyélie.
15 Fig, 124. —Simulation hystérique de la syringomyélie...... 520
Fig
. 125, 126. — Hystérie provoquée par la foudre (Se
ne d'innervation deramuscules provenant des 3e et lie intercostaux (
Fig
. 1). Le membre inférieur du côté gauche était l
; celle-ci, au dire du malade, avait été beaucoup plus ac- cusée.
Fig
. 1. - La partie ombrée correspond au territoire d
aculté (Voir à l'Index ? 1blio[jI ? Senr.o, Ldtz et JACKSON). x 2
Fig
. 1. Amèle parfail (cas de Uuck) : Fille de quat
emplacés par des moignons charnus, mammiformes, sans squelette.
Fig
. 2. - Amèle imparfait (musée de GoeUingen) : Ho
elon saillant ; organes génitaux nor- maux ; intelligence moyenne. (
Fig
. 1.) 5. OTTO, 1841. Foetus mort-né ; aucun vest
te cicatrice ombiliquée ; clavicu- les, omoplates, bassin normaux. (
Fig
. 7.) 6. RANKE, 1880. Fille robuste, 3950 gramme
à des « mamelles » ; morte d'affection vulgaire ; pas d'autopsie. (
Fig
. 3.) 7. Cholmogoropf, 1888. Garçon né à terme,
t pelvienne, organes génitaux normaux ; absence totale de membres. (
Fig
. 4.) L'auteur signale à ce propos deux exemples
ment dé- faut, ce qui rend ce cas particulièrement extraordinaire. (
Fig
. 6.) 9. GRAVELY, 1889. Fille née à terme, ayant
, pourvues d'un mamelon, il la place des ex- trémités inférieures. (
Fig
. 5.) 10. SCIInGCIC, 1892. Fille née à terme, mo
nues, longues d'un demi-pouce et sans squelette. Fi ? 3 (IIANKE).
Fig
. 4 (CnoLSOCOOOrF). Fig. 5 (Gn.\ \'ELY). Fig.
ouce et sans squelette. Fi ? 3 (IIANKE). Fig. 4 (CnoLSOCOOOrF).
Fig
. 5 (Gn.\ \'ELY). Fig. 6 (COESAR). AMÉLIE PARF
Fi ? 3 (IIANKE). Fig. 4 (CnoLSOCOOOrF). Fig. 5 (Gn.\ \'ELY).
Fig
. 6 (COESAR). AMÉLIE PARFAITE. Fig. 7 (Otto).
OOrF). Fig. 5 (Gn.\ \'ELY). Fig. 6 (COESAR). AMÉLIE PARFAITE.
Fig
. 7 (Otto). 20 HENRI MEUNIER II. AMÈLES IMPARF
té supérieure de l'humérus, pourvue de ses insertions musculaires. (
Fig
. 9). 4. JosE Parada Y S : 1\TIN, 1881. Garçon,
ine de femme) ; rudiments de bras, contenant un segment d'humérus. (
Fig
. 8). '" 2o Amèles imparfaits à tendance phocomé
ieur, composé de segments articulés et terminé par un gros orteil. (
Fig
. 10.) 5. Le cinquième exemple concerne notre pr
L'enfant nous avait été confiée sans renseigne- Fjg. 8 (Buwu'r).
Fig
. 9 (MACLAunuLix) Fig. 10 (Souza Fontes). Fig.
é confiée sans renseigne- Fjg. 8 (Buwu'r). Fig. 9 (MACLAunuLix)
Fig
. 10 (Souza Fontes). Fig. 8 et 9 : à tendance hé
Fjg. 8 (Buwu'r). Fig. 9 (MACLAunuLix) Fig. 10 (Souza Fontes).
Fig
. 8 et 9 : à tendance hé ? ? zii2éliqzie. Fig. 1
. 10 (Souza Fontes). Fig. 8 et 9 : à tendance hé ? ? zii2éliqzie.
Fig
. 10 : à tendance phocomélique. 22 HENRI MEUNIER
ambes, et que cette rencontre l'avait beaucoup impressionnée >,.
Fig
. 1 i. - Epaule gauche de notre amèle : clavicule
uche de notre amèle : clavicule et omoplate ; T. G : tête glénoïde.
Fig
. 12. Masses musculaires : D, deltoïde; G P, grand
par la déformation globulaire, sphé- rique de la cavité glénoïde. (
Fig
. 11.) Les muscles sous-scapulaire, sus- épineux
ente, séparée d'elle par une couche de tissu cel- , lulaire lâche. (
Fig
. 12.) . Fig. 13. - Dissection de l'épaule gauch
d'elle par une couche de tissu cel- , lulaire lâche. (Fig. 12.) .
Fig
. 13. - Dissection de l'épaule gauche (creux axill
épuisent in- sensiblement en se distribuant aux muscles précédents (
Fig
. 13.) La hanche choisie pour la dissection fut
de l'appendice se présente sous un aspect tout à fait inattendu. (
Fig
. 14.) Les trois segments consti- tutifs de l'os
i, dans ce cas, étaient très en retard sur les pièces terminales.
Fig
. 14. - Radiographie de la hanche droite et de l
êmes bains colorants (picrocarmin, hématoxyline, Weigert et Pal).
Fig
. 15. - Surface comparée de l'axe gris chez notr
e rotatif ac- tionné par une pile au bichromate ou un accumulateur (
Fig
.1) ; l'axe du moteur porte une came de forme sp
epro- duction suffisamment nette. J'en ai fait un croquis sommaire (
Fig
. 1). - Le tableau est signé en bas et à droite
g. 1). - Le tableau est signé en bas et à droite : I. D. TENIERS.
Fig
. 1. - Le Docteur de village. Croquis d'après un
ographie de la thermoauesthésie est indiquée sur le schéma suivant (
Fig
. 1 et 2). Pas de troubles sensoriels d'aucune s
ui écarter les bras du tronc, il n'oppose qu'une faible résistance.
Fig
. 3.- Main « succulente potelée » chez le nommé Ga
a main ont diminué de volume. Quelque temps après, la main droite a
Fig
. 4 et 5. - Topographie de la thermoanalgésie chez
u de soutènement de la moelle, les septa conjonctifs sont épaissis (
Fig
. 1).Ce qui devient très manifeste, c'est que la
édominance sur les faisceaux de Goll et les faisceaux pyra- midaux (
Fig
. 1). La sclérose est pseudo-systématique. On pe
u pyramidal (1) Ballet et Minor, Arcli. neurol., VII, janv. 1884.
Fig
. 1. - Sclérose pseudo-systématique de la moelle d
peut-être une pointe de dou- leur perce-t-elle dans la physionomie (
Fig
. 2). « C'est que le maître du lieu,-le chirurgi
illot de bois, soutenant sa cuisse gauche entre ses mains croisées (
Fig
. 3). Les accessoires n'ont guère varié : fauteu
coiffé plus mal encore d'un feutre gris déformé, ce n'est pas pour
Fig
. 3. - L'Etuve de Village d'après un tableau d' Ad
s petits yeux bridés, son gros nez épaté et sa mâchoire sans dents (
Fig
. 4). Son client au contraire n'a pas trop mauva
t plus par des hurlements accompagnés de grimaces et de contorsions
Fig
. 4.- L'Opération sur le Pied, d'après un tableau
l'an dernier dans la collection du musée des Offices, à Flo- rence (
Fig
. 5). Il est traité dans la manière habituelle a
tesque, car elle traduit un vio- lent effort de volonté. x ' 10
Fig
. 5. - Le Pédicure, d'après un dessin d'AoRiAEN Br
imaçante, levant la main droite avec un geste de dou- leur comique (
Fig
. (i). , Fig. 6. La Ventouseuse d'après une eau-
nt la main droite avec un geste de dou- leur comique (Fig. (i). ,
Fig
. 6. La Ventouseuse d'après une eau-forle de Corne
A. CIIIPAULT L'appareil que nous avons fait construire dans ce but (
Fig
. 1) se compose essentiellement d'une table bass
table, les jambes étendues, la poulie située dans leur intervalle (
Fig
. 2) : le tronc est fixé par la sangle du dossie
dun anneau dans lequel s'engage la corde de traction : celle-ci se
Fig
. 1. TRAITEMENT DE L'ATAXIE PAR L'ÉLONGATION VRA
eil étant en place et manoeuvré, à se courber, à fléchir le rachis (
Fig
. 3). Il est des sujets chez lesquels les disque
lule et s'allongent en fuseaux dans les expansions protoplasmiques (
Fig
. 1 empruntée à D. S. Ra- mon y Cajal). Au nivea
Socie- das depanola de historia natural), tomo XXV, cuaderno 1°.
Fig
. 1. 158 J. SABRAZÈS ET C. CABANNES triquement
irus rabique. On est d'abord frappé par la topographie des lésions (
Fig
. 2). Les cor- nes postérieures, les groupes cel
à 40 N sur 24 à 25 ? elles ont con- s81vé'leur forme, multipolaire (
Fig
, 3, planche XIX, D), leur nojau, leurs dépôts c
ses prolongements ; le noyau est parfois reporté vers la périphérie (
Fig
. 4 et planche XIX, A). Des phénomènes de chro
ination dans le spongioplasma donne lieu à l'apparence d'un réseau (
Fig
. 5) ; tantôt la chromatolyse s'exerce dans l'es
matolyse s'exerce dans l'espace qui sépare le noyau de la membrane (
Fig
. 6) et la substance chromophile ne persiste qu'
n voit, dans un môme corps protoplasmique, des régions vacuolaires (
Fig
. 7) ou non, totalement dépourvues de granulations
r places et d'aspect jaunâtre. Le spongioplasma n'est plus visible (
Fig
. 8, 9, 10, 11, 12, 13,14, 15, 16). D. A un st
de globe à contours assez marqués doué d'une réfringence anormale (
Fig
. 17 et 18, planche XIX, B).Dans la tête de la c
vue l'impression des bactéries filamenteuses incluses dans le noyau (
Fig
. 19, 20, 21,22,23). On ne rencontre jamais da
itable pe- loton chromatique reporté à la périphérie de la cellule (
Fig
. ? 4. et 25). En dehors de cet état du noyau bi
symétriques. - Comme on peut le voir sur la photographie ci-joinle(
Fig
. 1),Ia main pro- prement dite n'est pas déviée
l'extrémité des phalangettes. On peut appuyer alors sur la tête des
Fig
. 4. - Déviation des doigts en coup de vent. DÉV
t de développement avec ce qu'on peut taxer de my.roedème fruste » (
Fig
. 1). Il s'agissait d'un garçon de 18 ans et qui
un garçon de 18 ans et qui paraissait n'en avoir pas plus de douze (
Fig
. 2). L'aspect du visage, le faciès lunaire, les y
issement des extrémités seront prédominantes, mais la motilité sera
Fig
. i.- Infantilisme myxoe- démateux. Sujet de 18
beaucoup plus simple. ' Voici d'abord une jeune femme Savoisienne (
Fig
. 3), âgée de 25 ans, (1) Revue médicale de la S
, âgée de 25 ans, (1) Revue médicale de la Suisse romande, 1 897.
Fig
. 2. - Infantilisme m3yoedémateux, t8 ans (même
i au palper ni à la vue. Deux jeunes hommes l'un de vingt-deux ans (
Fig
. 4), l'autre de dix-neuf (Fig. 5) et tous les F
jeunes hommes l'un de vingt-deux ans (Fig. 4), l'autre de dix-neuf (
Fig
. 5) et tous les Fig. 3. - Infantilisme myxoedém
e vingt-deux ans (Fig. 4), l'autre de dix-neuf (Fig. 5) et tous les
Fig
. 3. - Infantilisme myxoedémateux. Femme de 25 ans
t tous les Fig. 3. - Infantilisme myxoedémateux. Femme de 25 ans.
Fig
. 4. -Infantilisme myxoellé- mateux ; sujet de v
g. 4. -Infantilisme myxoellé- mateux ; sujet de vingt-deux ans.
Fig
. 5. Infantilisme mycede- malcux , sujet de dix-
eil- lie par Henry Meige dans le service du professeur Brouardel (
Fig
. G et 7) appar- tient également à ce type de l'
eige. Loc. cit. Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière. ? 4. 1891. x 18
Fig
. G.- Infantilisme myxoedé- mateux (cas de lJeiâ
. et mém. de la Soc. méd. des IIôp. Séance du 26 mars 1897, p. 425.
Fig
. 8 et 9. Myxoedème et infantilisme chez un sujet
tiles. Une très complète observation de MM. Marfan et Louis Guinon (
Fig
. 8 et 9) relative à un cas de myxoedème survenu
nt que l'infantilisme pour justifier la classification de Lo- rain (
Fig
. 10). Ce garçon de 17 ans que j'ai fait photograp
\Je l'enfant, je veux dire grosse par rapport au reste du corps (
Fig
. 11), il n'a pas les grosses joues, le torse arro
nti- lisme ; c'est d'une autre cause qu'il s'agira de déterminer.
Fig
. 10. - Infantilisme du type Lorain ; garçon de
ner. Fig. 10. - Infantilisme du type Lorain ; garçon de 11 ans.
Fig
. 11. Infantilisme du type Lorain. Garçon de 11
servé les apparences extérieures d'une petite fille de 10 à 12 ans (
Fig
. 12). Vous lirez son histoire dans le mémoire d
la précédente qu'on pourrait la prendre pour une soeur de celle-ci (
Fig
. 13). Elle non plus, n'a aucune manifestation sex
antilisme du type Lorain. femme de 30 ans (cas de [1. ]eige). a
Fig
. 13. - Infantilisme du type Lorain. Fille de 20
ces deux personnages : le plus grand a 16 ans et le plus petit 18 (
Fig
. 14). Ce dernier joint à ces tares héréditaires
able (1) Broda. Archiv. di psichiatria, XVII, fasc. 5, 6, 1896. -
Fig
. 14. infantilisme myxoedèmatèux et anangioplasiqu
e, un fils, une fille-chez lesquels le myxoedème était congénital ;
Fig
. 13. - Famille de myxoedémateux (père, fille et f
u'on pût le souhaiter pour les besoins d'une description classique (
Fig
. 13). Or, ce père n'a rien perdu de ses aptitud
e Pl. XXVII avec la figure empruntée au Traité d'anatomie de Morel (
Fig
. 1), il est facile de se x 19 Fig. I. - Plexu
au Traité d'anatomie de Morel (Fig. 1), il est facile de se x 19
Fig
. I. - Plexus cervical superficiel. 266 G. ÉTIEN
u développement général. ' Elle est constituée par une large tache (
Fig
. 2), de couleur violacée assez claire, à contou
a partie antéro-supérieure de l'hélix, vers la fossette naviculaire
Fig
. 2. - Nævus vasculaire veineux plan développé sur
millimètres. Cette tache, facile à systématiser topographiquement (
Fig
. 3) intéresse en haut l'espace intersourcilier
apparente. Sur le côté gauche du thorax existe un nrcvus linéaire (
Fig
. 4) consti- tué par l'agglomération de taches p
tre anomalie appa- rente. Dermographisme. Cheveux et poils noirs.
Fig
. 4. - Nævus pigmentaire légèrement ver- ruqueux
lu rendre plus répugnant encore, en le do- tant d'un double goitre (
Fig
. 2). Deux grosses tumeurs arrondies pendent au
toute vraisemblance, un bouffon attaché à quel que cour princière (
Fig
. 3). Le bonnet qui le coiffe et la fraise qu'il
e cas de neuoofibromatose généralisée. Thèse Paris, Pion, 1896. -
Fig
. 3. - Fou de cour, goitreux. 300 HENRY MEIGE
bonnet à oreilles d'âne et tenant à la main une marotte ou un bâton (
Fig
. 4). Ce fou est pourvu d'un goitre de l'espèce
eurs figurines en étoffe, et cela, avec un réel souci de la vérité (
Fig
. 5). (1) Je tiens à adresser tous mes remerciem
et qui m'a obligeamment permis d'en publier les repro- ductions.
Fig
. 4.- Bouffon goitreux. Médaillon en buis sculpté
cru retrouver des figurations de goitre exophtalmique sur certaines
Fig
. 5. - Poupées goitreuses du Guatémala. 304 HENR
entent des prolongements descen- dant des cellules psycho-motrices (
Fig
. 1). Par leurs arborisations termi- nales, ils
otrice, peut se ramener, somme toute, à deux neurones superposés.
Fig
. 1. 314. - ... F. RAYMOND -Un neurone central
perposés. Fig. 1. 314. - ... F. RAYMOND -Un neurone central Ne (
Fig
. 2), dont le corps cellulaire est représenté pa
le noyau de Goll G, sous l'orme d'une arbori- sation terminale ;
Fig
. 2. SUR UN CAS D'UÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA
longitudinales qui- leur donnent naissance. Le dessin que voici (
Fig
. 3), vous donne une représentation objective de
ensystcms, rodigirt von V. Babes. IV Lieferuno Berlin, t895, p. 13;
Fig
. 3. 316 F. RAYMOND la ligne médiane, elles se
une hémisection qui intéresse la moitié droite de la moelle en a b (
Fig
. 4). Les lignes que vous voyez dessinées en noir
les branches ascendantes b a, issues de la bifurcation des. fibres
Fig
. 4. 318 F- RAYMOND radiculaires postérieures,
ssaud, et dont vous avez une reproduction sous vos yeux. Ce schéma (
Fig
. 5), je vous le répète, est très ingénieux. A p
impressions - tactiles. Dans ces conditions, le schéma suivant (
Fig
. 6) nous rendrait compte des deux éléments prin
endue, entraine une double hémi-anesthésie corrélative, d'où l'on
Fig
. 5. - Schéma de Brissaud. CSD, colonne sensitiv
je me borne à vous faire remarquer que chaque moitié du cer- velet (
Fig
. 7) est en communication avec la voie motrice par
e assez considérable, quoique non compacte, des fibres ner- veuses (
Fig
. 1). Mais, en général, dans les cordons postéri
substance grise des deux cornes est pénétrée dans toutes les direc-
Fig
. l. - Coupe delà moelle, région lombaire, trait
delà moelle, région lombaire, traitée par la méthode de Marchi.
Fig
. 9. - Coupe de la moelle, région cervicale, tra
bre des fibres saines est plus grand que celui des libres altérées (
Fig
. 2). Dans les cordons de Hllrdacn, on rencontre
ou moins large un champ bleu-pâle, situé au centre de la cel- lule (
Fig
. 3). ) Plus la dissolution de la substance chro
de la cellule reste dans la partie cen- trale du corps cellulaire (
Fig
. 4). Les cellules avec modification centrale de
névrite parenchymateuse très accentuée. Pour ces recherches ont été
Fig
. 3. - Cellule de la corne antérieure de la moelle
é Fig. 3. - Cellule de la corne antérieure de la moelle épinière.
Fig
. 4. - Cellule de la corne antérieure de la moelle
hapitre consacré aux « pouils » que nous avons reproduit plus Haut (
Fig
. 1). On y voit une charitable dame, occupée à
ossièrement sans doute, et surtout très grossis, le nombre de leurs
Fig
. 1. , 364 HENRY MEIGE 'pattes est assez fanta
us montrer les détails naturalistes ^d'un intérieur villageois. ,
Fig
.2. LES POUILLEUX DANS L ART 365 Nous possédon
éblouissante où le gamin lézarde en ses resplendissantes guenilles (
Fig
. 2). Entr'ouvrant sa chemise, il y chasse la ve
e charme et le naturalisme de cette fantaisie du maître hollandais (
Fig
. 3). Dans un intérieur rustique que meublent un
eaux-Arts de Vienne (4 ) que (1) N° 902. B. II, 24. L, 34, 5. , .
Fig
.3. LES POUILLEUX DANS L'ART 367 les poux de s
nçant fort les lèvres, l'homme s'apprête à occire un nouvel ennemi (
Fig
. 4). ' Enfin, c'est une petite pouilleuse, blot
tre PIETER DE IIoocH, sur un tableau du Rijks Muséum d'Amster- dam (
Fig
. 5). L'artiste excelle en l'art de mettre en va
mier abord, ce sont ses mains en « pinces de homard » comme on dit (
Fig
. 1). (1) Extrait d'un ouvrage qui sera publié p
octeur Pierre Janet sous ce titre : Névroses et Idées fixes. x 26
Fig
. 1.- Malformation des mains en « pinces de homard
remière"phalange et libres seulement à l'extrémiCé; ilssoil.l)làcés
Fig
. 2. Fig. 3 et 4. Malformation congénitale des
alange et libres seulement à l'extrémiCé; ilssoil.l)làcés Fig. 2.
Fig
. 3 et 4. Malformation congénitale des doigts su
Malformation congénitale des doigts sur une seule main chez le père (
Fig
. 2). Aux deux mains chez la fille (Fig. 3 et 4)
une seule main chez le père (Fig. 2). Aux deux mains chez la fille (
Fig
. 3 et 4). RADIOGRAPHIES DES MAINS EN « PINCES D
l'hôpital de la Pitié : le premier représente la main droite du père (
Fig
. 2), la seule atteinte chez lui et les deux aut
eule atteinte chez lui et les deux autres les deux mains de la fille (
Fig
. 3 et 4). Vous voyez que chez le père et chez l
core c'est une asymétrie complète dans toutes les parties du corps (
Fig
. 5 et Pl. XLI). Le crâne est à peu près régulier,
à 1 cent. 1/2. Les deux bras ne sont pas non plus de même longueur (
Fig
. 5) et par une sorte de compensation le plus gr
oit d'un centimètre. La jambe gauche est de beaucoup plus courte et
Fig
. 5. Asymétrie du corps chez une épileptique. MA
HOMARD 373 plus grosse que la droite. C'est ce que le schéma de la
Fig
. 5 vous présente avec précision. Ceci oblige ce
e un bon exem- ple de gigantisme avec acromégalie consécutive. La
Fig
. 9 reproduit la photographie que nous avons faite
e signalé par P. Marie dans les cas d'acromégalie à début tardif.
Fig
. 1. Géant acromégalique de l'Asile des ouvrie
DE GIGANTISME SUIVI D'ACROMÉGALIE 381 Nous reproduisons ci-contre (
Fig
. 2, 3 et 4) le contour de la main de ce malade,
lui-là. .Jg. . Main du géant acromégale de Lisbonne (tig. 1).
Fig
. 3. Main d'un homme de très grande taille (1m
peuvent acquérir des dimensions considérables ; cependant z x 28
Fig
. 1. Cas de Curling. 402 R. CES'lAN une dist
lade de Curling dont le médius mesurait 14 centimètres de longueur (
Fig
. 1) ; et le malade de Grüberdont l'index était
Grüberdont l'index était à la fois hypertrophié et dévié latéralement(
Fig
,2) les autres présentent une sorte d'état éléph
ent en troubles vaso-moteurs; la sensibilité est normale.Les autres
Fig
. 2. Cas de Grüber. HYPERTHOPIIIE CONGÉNITALE
endre néanmoins le métier pénible d'ouvrier agricole qu'il continua
Fig
. 1. Atrophie musculaire et déformation en griff
rophie des petits muscles des deux mains; les mains sont en griffe (
Fig
. 1). La grille s'est accusée dès le début de l'
par jour. Il peut le faire grâce à des chaussures de son invention (
Fig
. 2) qu'une âme compatissante fait fabriquer à s
sophie bonhomme et « ne maudit pas le jour où il naquit ». x 29
Fig
. 2. Chaussures portées par un chemineau atteint
sse et se traînant avec les mains appuyées sur de petits chevalets (
Fig
. 1). Indubitablement, il s'agit t d'un cul-de
mités d'un Lépreux qui devaient répugner à son pin- ceau délicat.
Fig
. 1. Lépreux cul-de-jatte,^ sur une fresque de l
mpte huit, tous cruellement frappés par les infirmités de la Lèpre (
Fig
. 2). Au premier plan, l'un se traîne à genoux s
cuns n'ayant pour visage que quatre trous rouges et béants, pauvres
Fig
. 2. Groupe de Lépreux dans la fresque du Triomp
tan- dis que l'avant-bras semble immobilisé dans la demi-flexion (
Fig
. 3). Des jambes il est assez difficile de sai
ous parait pas douteux que Masaccio se soit inspiré d'un Lé- x 30
Fig
. 3. Lépreux sur une fresque de Masaccio (XVO
de contempler au cours de nos recherches dans les musées d'Italie (
Fig
. 4). Le torse, les bras et les jambes nus, un l
d'un malheureux, celui-ci fùt-il le plus hor- rible des Lépreux.
Fig
. 4. Lépreux, avec déformation en griffe et muti
on de voir de près, récemment, cette oeuvre d'art de premier ordre (
Fig
. 5). La Sainte, est représentée debout, belle e
CHARCOT et PAUL RICHER, L. C., p. 59. , LA LEPRE DANS L ART 41,7
Fig
. 5. Lépreux sur le volet d'un Iryptiquc de Hans
des plus beaux spécimens des Lé- preux que l'Art nous a conservés (
Fig
. 6). Son étude scientifique a été pour Charcot
tout le corps porte les stigmates de la lèpre atrophique. x 31
Fig
. G. , Lépreux sur une eau-forte d'ALBE ! u' Duh
du vêtement laisse à découvert les plaies ulcéreuses et les tuber-
Fig
. 7. Saint Edouard le Confesseur, roi d'Angleter
ion léguée par l'antiquité à l'iconographie chrétienne. Elle a pour
Fig
. 8. Sainte Adélaide, reine d'Italie, puis impér
par des proportions quasi-surnaturelles de ceux qui les entourent (
Fig
. 7). « Dans la seconde gravure dont nous voulon
: atrophie, griffe des interosseux et tubercules ou ulcé- rations (
Fig
. 8). 4 « Rapprochés du lépreux d'Albert Durer,
et dévoré par un mal horrible, ne serait autre qu'un syphilitique (
Fig
. 9). A l'appui de cette hypothèse, M. Keller a
d'une teinte gris verdâtre el leur auréole rouge vineux ? Sur le /
Fig
. 9. Lépreux sur un tableau représentant Saint A
cte. Nous lui adressons à ce sujet nos plus sincères remerciements.
Fig
. i. couchés ou qui sont dans l'état de crise. C
ruments de précision pour la Photographie, 4? rue du Rocher, Paris.
Fig
. 2. Laboratoire noir. Il faudra ensuite adopt
us court une canalisation d'eau sur laquelle sont placés un certain
Fig
. 3. Meuble à développer. nombre de robinets t
rs dispositifs qui sont indispensables et qu'il nous faut examiner.
Fig
. 4. Chambre noire. Le cadre d'avant doit être
L'objectif devra pouvoir se déplacer latéralement et en hauteur.
Fig
. 5. Adaptateur Molleni. Tous les appareils bi
ement, mais, si l'on fait faire un appareil, on exigera toujours le
Fig
. 6. Adaptateur (Clégil). plus grand déplaceme
tions sensibles, quel que soit le type adopté, on doit veiller à ce
Fig
. 7. Châssis négatif. qu'ils ne laissent passe
eux objectifs rigoureusement semblables et nous donnant, par suite,
Fig
. 8. Chambre double. deux images identiques de
de différents formats. Le verre dépoli est sur le corps d'arrière.
Fig
. 9- Chambre d'atelier. En vertu de la loi des
uera les objectifs rigoureusement au même moment. Si cette simulta-
Fig
. 10. Chambre stéréoscopique Londe et Dessoudeix
ndre. L'obturateur Guerry, grâce au moyen d'un deuxième volet qui
Fig
. 11. est solidaire du premier et qui vient ferm
vons cité et qui est connu sous le nom obturateur Londe-Dessoudeix.
Fig
. 12. Obturateur Londe et Dessoudeix. C'est un
r cette planchette une deuxième planchette identique qui est montée
Fig
. 13. Pied d'atelier. à charnières sur la prem
t fait en une étoffe quelconque, noire et imperméable à la lumière.
Fig
. 14, chapitre ii. TECHNIQUE PHOTOGRAPHIQUE.
dans ses Conférences cliniques, passe la plus grande partie de ses
Fig
. il. journées dans son fauteuil, immobile, cour
à cette partie de l'individu, il sera nécessaire d'opérer à moindre
Fig
. 16. distance que pour le corps entier afin d'a
e sujet faite dix ans auparavant et qui est jointe à l'observation.
Fig
. 17. Fig. 18. Ici nous devons ouvrir une pare
te dix ans auparavant et qui est jointe à l'observation. Fig. 17.
Fig
. 18. Ici nous devons ouvrir une parenthèse pour
insi des documents authentiques sur les modifications qui auront pu
Fig
. 19. se produire, documents qui lui serviront m
ne impassibilité caractérisées par l'absence de rides. Comme le dit
Fig
. 20. Faciès dans la paralysie agitante. si bi
ra au contraire, dans d'autres, conserver la face tout entière, qui
Fig
. 21. Fig. 22. peut revêtir un caractère parti
aire, dans d'autres, conserver la face tout entière, qui Fig. 21.
Fig
. 22. peut revêtir un caractère particulier, com
udra donc poser en général plus que d'habitude. Dans la plupart des
Fig
. 23. cas, ce sera facile, car la main est maint
mains. Nous donnons (Pl. IV) un magnifique spécimen des résultats
Fig
. 24. que l'on peut obtenir dans la photographie
laire. Pieds. — On aura souvent à reproduire les pieds de malade,
Fig
. 25. soit qu'il s'agisse encore de contractures
s deux reproductions de pieds faites dans ces conditions (fig. 26).
Fig
. 26. Pieds d'acromégalique. Durillon du pied
çon à ne pas immobiliser notre malade dans une attitude quelconque?
Fig
. 27. qui peut être non perçue par notre œil (Jî
une épreuve rapide, nous la figerons dans une attitude ou une autre
Fig
. 28. Tout ce que nous venons de dire s'applique
tion. Dans cette même période de l'état cataleptique, on peut pro
Fig
. 29. l'on peut tour à tour, rien qu'en modifian
es lèvres. La réaction du geste sur la physionomie est manifeste et
Fig
. 30. Fig. 31. Faradisation du muscle orbiculair
. La réaction du geste sur la physionomie est manifeste et Fig. 30.
Fig
. 31. Faradisation du muscle orbiculaire Faradis
ogressive du muscle iïontal chez une hystérique dans la catalepsie.
Fig
. 32. Fig. 33. Faradisation du muscle frontal Fa
du muscle iïontal chez une hystérique dans la catalepsie. Fig. 32.
Fig
. 33. Faradisation du muscle frontal Faradisatio
e de l'état léthargique pourra être également consignée par la Pho-
Fig
. 34. Fig, 35. encore que dans le cas précédent,
at léthargique pourra être également consignée par la Pho- Fig. 34.
Fig
, 35. encore que dans le cas précédent, la Photo
passe dans les membres, la contracture ne persiste jamais. Ici plus
Fig
. 36. Fig. 37. Pl. VII. 1. Verre jaune. 'L
les membres, la contracture ne persiste jamais. Ici plus Fig. 36.
Fig
. 37. Pl. VII. 1. Verre jaune. 'L Verre vert
Si l'on fait entendre un bruit de cloches, la malade s'attriste et
Fig
. 38. Contraction de l'orbiculaire palpébral sup
ui désireraient étudier à fond cette question si intéressante, nous
Fig
. 39. Jes renvoyons au bel Ouvrage de P. Ricber,
iques sur la grande hystérie. V" Babé et G'% éditeurs. Paris, i885.
Fig
. 40. de vue de la reproduction photographique,
daine. Parmi ces phénomènes, qui peuvent nous intéresser au point
Fig
. 41. {fig- 41)' Pll*s survient la deuxième phas
ique, la malade exécute avec les membres quelques grands mouvements
Fig
. 42. Fig. 43. Fig. 44. c'est celle de l'arc
lade exécute avec les membres quelques grands mouvements Fig. 42.
Fig
. 43. Fig. 44. c'est celle de l'arc de cercle.
e avec les membres quelques grands mouvements Fig. 42. Fig. 43.
Fig
. 44. c'est celle de l'arc de cercle. La malade
e repose sur les pieds et la tête complètement renversée (fig. 46).
Fig
. 46. Vient alors une nouvelle phase, c'est cell
ne qui est particulièrement typique et que l'on trouve fréquemment,
Fig
. 45. C'est dans cette période qu'il faudra opér
. Les difficultés photographiques dans cette hypothèse sont presque
Fig
. 47- nulles et l'on peut obtenir avec facilité
- nulles et l'on peut obtenir avec facilité des épreuves de grand
Fig
. 48. Fig. 49. format absolument irréprochable
et l'on peut obtenir avec facilité des épreuves de grand Fig. 48.
Fig
. 49. format absolument irréprochables [Pl. VIII
Fig. 48. Fig. 49. format absolument irréprochables [Pl. VIII).
Fig
. 50. permettront de faire l'analyse complète de
e on puisse obtenir des poses d'une durée quelconque et à des inter
Fig
. 51. Si l'on veut opérer à des intervalles plus
ous avons eu plus en vue la reproduction des mouvements rapides et,
Fig
. 52. est fort difficile de réaliser un appareil
2° Temps de pose très courts à intervalles plus ou moins éloignés ;
Fig
. 53. chés, rallongement de la distance focale i
les de la Tourette, La marche dans les maladies du système nerveux.
Fig
. 54. nous avons fait avec le Dr Gilles de la To
nous avons fait avec le Dr Gilles de la Tourette, de réduire d'un
Fig
. 55. Empreinte du pied dans la maladie de Fried
rateur dont nous reparlerons plus tard; l'objectif supérieur sert à
Fig
. 56. (') Nous devons ce dessin à l'obligeance d
œil jeté dans la collection du D1' Bourneville, à Bicêtre, prouvera
Fig
. 57. La reproduction des anomalies que l'on con
a un caractère variable suivant la nature du tremblement (fig- 58).
Fig
. 58. Reproduction d'écritures. — Certains nerve
s par le malade, pourra en tirer des indications sérieuses au point
Fig
. 59. de vue du diagnostic; car ces modification
de ce fil qui serre les deux extrémités. Ce fildépasse la papillote
Fig
. 60. tinueront à brûler après l'inflammation et
de faibles dimensions, mais d'une épaisseur considérable, on éprou-
Fig
. 61. sorte la pièce avec du papier buvard non p
beaucoup plus volumineux dans son Pl. XIII. Atrophie cérébrale.
Fig
. 62. Crâne d'acromégalique. Crâne normal. e
oment où l'on a besoin de lui. Son usage n'est nullement compatible
Fig
. 63. qui est du reste le moins coûteux des appa
yons dans une direction constante. Le modèle que nous employons, et
Fig
. 64. A, tube servant à monter le chalumeau; B,
Sur la conduite de gaz nous adaptons un système différent ; nous
Fig
. 65. RaO, robinet d'arrêt de l'oxygène; RrO, ro
ossissant convenablement. Bien que, par suite d'un préjugé que nous
Fig
. 66 l'étroitesse du tube du microscope sera un
en d'obtenir par son allongement des agrandissements considérables.
Fig
. 67. pour augmenter la netteté générale. Avec l
t-Tailfer fabrique également d'excellentes plaques isochromatiques.
Fig
. 68. reil tel que celui que nous avons fait con
tudes microphotographiques on opérera différemment. On aura à poste
Fig
. 69. d'un prisme intérieur placé sur le trajet
la chambre noire. Un tube supérieur à angle droit permet, au moyen
Fig
. 70. Fig. 71 toutes la valeur de la correctio
noire. Un tube supérieur à angle droit permet, au moyen Fig. 70.
Fig
. 71 toutes la valeur de la correction que l'on
ent des cadres de la chambre; V, soufflet de raccord du microscope.
Fig
. 73. obtenir tel ou tel grossissement. Les cadr
e boîte rectangulaire en bois montée sur quatre pieds (fig. 73). Le
Fig
. 74. mètre placé à l'intérieur. Il est en effet
es-unes sont assez fluides pour pouvoir servir sans être rebroyées.
Fig
. 76. tous les jours l'enduire de vernis lithogr
èvera de l'encre. Le rouleau de cuir demande à être fait : on devra
Fig
. 77 Préparation de la couche sensible. — Voici
après les avoir mélangés, on les versera dans la solution de géla-
Fig
. 78. bords, de façon que même les biseaux soien
aller chercher des épreuves éparses à différentes pages de l'album.
Fig
. 79. Nous avons fait faire par M. Borgeaud un m
us les changements et toutes les transpositions voulues ( fig. 79).
Fig
. 80. appareils fonctionnent suivant les ressour
et mutisme. Il était inca-pable de précéder à aucun soin de toilette {
Fig
. 1). 1903. — La compréhension semble se dévelop
. Les progrès sont satisfaisants à la gymnastique ainsi qu'à l'école (
Fig
. 2). 1905. -—? L'amélioration devient notable;
ots seu-lement, est aujourd'hui existante; l'enfant répond de mieux
Fig
. 2. — Jul., à 6 ans (1904). Fro. 1. — Jul., à 4
ns (1902). l'enfant commence à se vêtir et à se débarbouiller seul (
Fig
. 3). Décembre. — Il n'est plus timide, devient es
ig. 3). Décembre. — Il n'est plus timide, devient espiègle, raconte
Fig
. 3. — Jul., à 7 ans (1905.) et observe tout ce
ser lentement de la cuiller. Il ne pouvait manger que des bouil-lies (
Fig
. 4). « Oh ! papa, maman, du pain, ça y est; nou
nt de la force. 1888. — L'enfant n'a subi presque aucun changement (
Fig
. 5). 1889. — La parole semble vouloir venir, et
Fig. 5). 1889. — La parole semble vouloir venir, et il prononce :
Fig
. 5. — Maz., à 3 ans et demi (18ö8.) Fig. 4. — M
r venir, et il prononce : Fig. 5. — Maz., à 3 ans et demi (18ö8.)
Fig
. 4. — Maz., à 2 ans t[demi;(1887). 1890. — Le v
et y arrive. Ses jambes se sont fortifiées et aujourd'hui il marche (
Fig
. 6). Fig. 7. — Maz..., à 8 ans (1892) Fig. 6.
e. Ses jambes se sont fortifiées et aujourd'hui il marche (Fig. 6).
Fig
. 7. — Maz..., à 8 ans (1892) Fig. 6. — Maz., à
aujourd'hui il marche (Fig. 6). Fig. 7. — Maz..., à 8 ans (1892)
Fig
. 6. — Maz., à 5 ans (1890) nulle. A la fin' de
chaque jour, mais ne sait pas distinguer lès couleurs. Gymnastique
Fig
. 9. — Maz..., à 14 ans (1898). Fio. 8. — Maz...
uliers et se nettoie seul. Les progrès scolaires sont sta-tionnaires [
Fig
. 7). 1893. — Les progrès sont satisfaisants. Il
s [Fig. 7). 1893. — Les progrès sont satisfaisants. Il commence à
Fig
. 10. — Maz., à 15 ans (1899). reproduire quelqu
réfléchit avant d'agir; c'est-à-dire que si on lui commande quelque
Fig
. 11. —Maz. àlôans (1890). 1897. — Le caractère
e, du raisonnement et de l'intelligence. 1899. — Etat stationnaire (
Fig
. 10 et 11). chose, et qu'il s'aperçoive que c'e
les surfaces,et fait très bien tous les mouvements à la gymnastique (
Fig
.8 et g) 1896. — Commence à syllaber, à mieux éc
La conduite est bonne, et il se plaît à rendre service aux employés (
Fig
. 12 et i3). 1905. — La vue reste toujours assez
eint d'idiotie complète, est en-tré le 27 juin 1892, âgé de 2 ans \\i(
Fig
. 14). A son arrivée, il gâtait nuit et jour; la p
é la difformité de ses mains idiotes, Charm... est parvenu à former
Fig
. 14. - Charm..., à 2 ans 1/2 (1802). une écritu
cette année (1901), ce que nous n'avions pu obtenir jusqu'à présent. [
Fig
. i5 et 16). Il est vrai que, grâce au traitemen
se pas volontiers. Ce n'est qu'au prix d'un effort qu'il répond aux
Fig
. 16.- Charm..., a Cans 1/2 (1896). Fir;. 15. —
et la soustraction simple, assiste avec plaisir aux leçons de choses {
Fig
. ij). Fin. 18. — Clinrrn... à 15 ans 1/2 (1905)
existe encore. iqo5. — Les progrès sont très lents, mais continus. [
Fig
. 18). 1905, décembre. — Cet enfant a progressé
ction; il fait les quatre opérations, mais ne saurait les appliquer. [
Fig
. 22.) 1898. — Les progrès continuent; ils sont
reproches, il est pris d'une envie de rire qu'il a peine à contenir. [
Fig
. 23 et 24). 1900. — 11 reprend goût à la classe
à l'atelier du tailleur. 1901 et 1902. — Les progrès s'accentuent. [
Fig
. 25et 26). 1903. — Cet élève continue à bien trav
à bien travailler pour tous les Fio. 19. - Robà 5 ans 1/2 (1893).
Fig
. 20. — Rob..., à 5 ans 1/2 (1893). Fig. 81. — R
. - Robà 5 ans 1/2 (1893). Fig. 20. — Rob..., à 5 ans 1/2 (1893).
Fig
. 81. — Rob..., à 5 ans 1/2 (1893). Fig. 22. —Ro
ob..., à 5 ans 1/2 (1893). Fig. 81. — Rob..., à 5 ans 1/2 (1893).
Fig
. 22. —Rob..!, à 10 ans 1/2 (1897). Fïg. 23. — Rob
érons pouvoir le présenter l'année prochaine au certificat d'études. (
Fig
. 27, 28 et 2g). Fig. 25. — Rob..., à 14 ans 1/2
nter l'année prochaine au certificat d'études. (Fig. 27, 28 et 2g).
Fig
. 25. — Rob..., à 14 ans 1/2 (19011. ^1904. — Il
s professionnels de l'école d'infirmiers et infirmières de Bicêtre,
Fig
. 26.— Rob..., à 14 ans 1/2 (1901). Fn. 27. -Rob
Rob..., à 16 ans 1/2 (1903). Fis. 28. - Rob..., àl6 ans 1/2 (1903).
Fig
. 29. — Rob..., à 16 ans 1/2 (1903). Fir. 30.- R
en elle tous les symptômes qui caractérisent Vidiodie myxœdémateuse. (
Fig
. 33, 34 et 35.) Elle a été mise en traitement p
tous les soins de toilette, essaie même de se les donner elle-même.
Fig
.33.— Harb.... à l'âge de 4 ans 1/2 (1902). leure,
versation. Elle s'améliore de jour en jour sous tous rapports et
Fig
. 31. — Harb... à l'âge de 4 ans 1/2 (1902). les
la Fon-dation Vallée, le 16 mars 1901,. La physionomie peu exprès-
Fig
. 36. — Lar... à 8 ans (1901). che, ne courait, ni
t voilée. de propreté, ne savait ni s'habiller, ni se déshabiller. (
Fig
. 36, 37 et38.) Fio._3S.WLar... à;8 ans (1901).
1). Au point de vue intellectuel, l'enfant n'était pas plus avan-
Fig
. 39.—L... à 13 ans (1905). cée, cela va sans dire
s vêtements et les principaux objets Msuels. Nulle notion scolaire.
Fig
. 40. — L... à 13 ans (1905.) Fjo. 41. - L... à
ices et tous les nouveaux mouvements avec, une très grande facilité. (
Fig
. 3g, 40 et 41.) LXII. Kram... (Aline), 8 ans, a
ats. Selon notre habitude nous avons pris des spécimens de récriture {
Fig
. 42, Fig 42. — Choréc. Fig. 43. — Chorée. (
notre habitude nous avons pris des spécimens de récriture {Fig. 42,
Fig
42. — Choréc. Fig. 43. — Chorée. (t) C'est gi
avons pris des spécimens de récriture {Fig. 42, Fig 42. — Choréc.
Fig
. 43. — Chorée. (t) C'est gi'Aceà M. le M' Clin
us avons pu faire nos expériences physiologiques et thérapeutiques.
Fig
. 44. —Choree ; amelioration. Fig. 4b. — Choree
hysiologiques et thérapeutiques. Fig. 44. —Choree ; amelioration.
Fig
. 4b. — Choree ; guérison. 43, 44 et 45), (date,
en que ses mouvements opposaient de grandes difficultés à son avan-
Fig
. — W... à 13 ans 1 2 (1839.) Fig. t.—W, . b È "
grandes difficultés à son avan- Fig. — W... à 13 ans 1 2 (1839.)
Fig
. t.—W, . b È "èç 1/2 (1887.) Bourneville, Eicèt
.) Fig. t.—W, . b È "èç 1/2 (1887.) Bourneville, Eicètre, 1?05.
Fig
. 3. — W... a 13 ans 1/8 (1889). Fig. 4. — W... à
) Bourneville, Eicètre, 1?05. Fig. 3. — W... a 13 ans 1/8 (1889).
Fig
. 4. — W... à 19 ans 1/2 (1895.) Bourneville, Bì
). Fig. 4. — W... à 19 ans 1/2 (1895.) Bourneville, Bìcctre, 1905
Fig
.'-ß. — W... ii 19 ans 1/2 (1895.) Fig. 6, — W..
Bourneville, Bìcctre, 1905 Fig.'-ß. — W... ii 19 ans 1/2 (1895.)
Fig
. 6, — W... à 21 ans (1897.) Fig. 7. — W... à 24
'-ß. — W... ii 19 ans 1/2 (1895.) Fig. 6, — W... à 21 ans (1897.)
Fig
. 7. — W... à 24 ans (1900). Fig. 8. — W... à 25
Fig. 6, — W... à 21 ans (1897.) Fig. 7. — W... à 24 ans (1900).
Fig
. 8. — W... à 25 ans;(1901). Fig- 9/— W... à 26
. Fig. 8. — W... à 25 ans;(1901). Fig- 9/— W... à 26 ans(1902).
Fig
,— 10. — W... à 27 ans (1903). Fig. il— W.7, à 2
Fig- 9/— W... à 26 ans(1902). Fig,— 10. — W... à 27 ans (1903).
Fig
. il— W.7, à 29 ans (1905). Fig. 12. — W... à 30 a
Fig,— 10. — W... à 27 ans (1903). Fig. il— W.7, à 29 ans (1905).
Fig
. 12. — W... à 30 ans (1906). Fig. i3. — W... à
. Fig. il— W.7, à 29 ans (1905). Fig. 12. — W... à 30 ans (1906).
Fig
. i3. — W... à 30" ans (1906). Fig. 14 —W... à 3
ig. 12. — W... à 30 ans (1906). Fig. i3. — W... à 30" ans (1906).
Fig
. 14 —W... à 30ans (1906). Fig. i5. — W. à30 ans
Fig. i3. — W... à 30" ans (1906). Fig. 14 —W... à 30ans (1906).
Fig
. i5. — W. à30 ans (1906). Fig j. — Kram... à 4
6). Fig. 14 —W... à 30ans (1906). Fig. i5. — W. à30 ans (1906).
Fig
j. — Kram... à 4 ans ,1895). Fig. 2. — Kram... à
). Fig. i5. — W. à30 ans (1906). Fig j. — Kram... à 4 ans ,1895).
Fig
. 2. — Kram... à 4 ans (1895). Fig. 3. — liram..
Fig j. — Kram... à 4 ans ,1895). Fig. 2. — Kram... à 4 ans (1895).
Fig
. 3. — liram...ià 4 ans [lojo). Bourneville, Bic
Fig. 3. — liram...ià 4 ans [lojo). Bourneville, Bicètre, 1905.
Fig
.l4- — Kram... à 5 ans (1896.) Fig. 5. — Kram... à
o). Bourneville, Bicètre, 1905. Fig.l4- — Kram... à 5 ans (1896.)
Fig
. 5. — Kram... à 5 ans (1896.) Fig. 6. — Kram... à
Fig.l4- — Kram... à 5 ans (1896.) Fig. 5. — Kram... à 5 ans (1896.)
Fig
. 6. — Kram... à 5 ans 1/2 (1896.) Fig. 7. — Kra
5. — Kram... à 5 ans (1896.) Fig. 6. — Kram... à 5 ans 1/2 (1896.)
Fig
. 7. — Kram... à 5 ans 1/2 (1896.) Fig. 8. — Kram.
— Kram... à 5 ans 1/2 (1896.) Fig. 7. — Kram... à 5 ans 1/2 (1896.)
Fig
. 8. — Kram... à 6 ans 1/2 (1898.) Fig. g. — Kram.
. — Kram... à 5 ans 1/2 (1896.) Fig. 8. — Kram... à 6 ans 1/2 (1898.)
Fig
. g. — Kram... à 8 ans 1/2 (1900.) Bourneville,
Fig. g. — Kram... à 8 ans 1/2 (1900.) Bourneville, Bicêtre, 1905.
Fig
. io. - Kram... à 9 ans 1/2 (1901.) Fig. ï. — Kr
ourneville, Bicêtre, 1905. Fig. io. - Kram... à 9 ans 1/2 (1901.)
Fig
. ï. — Kram... à 9 ans 1/2 (1901.) Fig. i2.— Kra
Kram... à 9 ans 1/2 (1901.) Fig. ï. — Kram... à 9 ans 1/2 (1901.)
Fig
. i2.— Kram... à 12 ans 1/2 (1904.) Fig. i3. — K
ram... à 9 ans 1/2 (1901.) Fig. i2.— Kram... à 12 ans 1/2 (1904.)
Fig
. i3. — Kram. . à 12 ans 1/2 (1904.) Fig. 14. -
m... à 12 ans 1/2 (1904.) Fig. i3. — Kram. . à 12 ans 1/2 (1904.)
Fig
. 14. - Kram... à 14 ans 1/2 (1906.) Fig. i5 — K
m. . à 12 ans 1/2 (1904.) Fig. 14. - Kram... à 14 ans 1/2 (1906.)
Fig
. i5 — Kram... à 14 ans 1/2 1906.) Fig. 16.— Kra
ram... à 14 ans 1/2 (1906.) Fig. i5 — Kram... à 14 ans 1/2 1906.)
Fig
. 16.— Kram... à 14 ans 1/2(1906). Fig. 17. —Kram.
— Kram... à 14 ans 1/2 1906.) Fig. 16.— Kram... à 14 ans 1/2(1906).
Fig
. 17. —Kram... à 14 ans 1/2 (19C6.) cément; rien
nt a fait de réels progrès au point de vue physique et intellectuel. (
Fig
. 46, 47, 48,4g, 5o et 51.) La physionomie est m
jours le sourire sur les lèvres; elle est très affectueuse pour les
Fig
. 46.— Robe... a 5 ans (1901.) Fig. 4j. — Robe..
e est très affectueuse pour les Fig. 46.— Robe... a 5 ans (1901.)
Fig
. 4j. — Robe... ii 5 ans (1901.) Fig. 48. — Robe
46.— Robe... a 5 ans (1901.) Fig. 4j. — Robe... ii 5 ans (1901.)
Fig
. 48. — Robe... à 8 ans (1903 ) Bourneville, Bic
Fig. 48. — Robe... à 8 ans (1903 ) Bourneville, Bicêtre, 1905.
Fig
. 4g. - Robe... à 10 ans (1905.) Fig. 5o. — Robe..
) Bourneville, Bicêtre, 1905. Fig. 4g. - Robe... à 10 ans (1905.)
Fig
. 5o. — Robe... à 10 ans (1905. Fig. 5t. — Robe...
ig. 4g. - Robe... à 10 ans (1905.) Fig. 5o. — Robe... à 10 ans (1905.
Fig
. 5t. — Robe... à 10 ans (1905). personnes qui l
thérapie, la gymnastique, le travail ma-nuel continuent sans arrêt.
Fig
. 52. — Prov... à 6 ans (1894.) Fig. 53. — Prov.
ma-nuel continuent sans arrêt. Fig. 52. — Prov... à 6 ans (1894.)
Fig
. 53. — Prov. à 7 ans (1895 ) Fig. 54. — Prov...
g. 52. — Prov... à 6 ans (1894.) Fig. 53. — Prov. à 7 ans (1895 )
Fig
. 54. — Prov... à 13 ans (1901.) Fig. 55. — Prov
. 53. — Prov. à 7 ans (1895 ) Fig. 54. — Prov... à 13 ans (1901.)
Fig
. 55. — Prov... à 17 ans (1895.) 1905. — Notre é
diotie complète. — Est arrivé gâteux, ne mar-chant et ne parlant pas (
Fig
. 52). Il ne s'aidait en quoi que ce soit pour l'a
est satisfaisant. 1895. —• Est devenu propre et a appris à marcher (
Fig
. 53). 1897. — Amélioration notable. P... parle
qui ne se conduisent pas bien, ce qui ne lui arrivait pas auparavant (
Fig
. 54). 1905. — P... est passé à la grande école
ns à lui qu'au maître qui ne s'attache que médiocrement à ses élèves (
Fig
. 55.) Les notices qui précèdent se rapportent à
NCES ÉLECTRO-PHYSIOLOGIQUES. Figures 1, 2, 3, à, 5, 6. LÉGENDE.
Fig
. 1. — Préparation anatomique des muscles de la fa
vres, carré du menton, houppe du menton et triangulaire des lèvres.
Fig
. 3. — Physionomie photographiée, au repos, d'un v
ro-physiologiques, représentées par la photographie dans cet album.
Fig
. 4. — Physionomie photographiée, au repos, d'un j
hysiologiques et naturelles seront reproduites par la photographie.
Fig
. 5. — Photographie d'une petite fille fronçant le
; grimace semblable à celle qui est produite par le tic de la face.
Fig
. 2 bis.—Appareil volta-faradique à double courant
n des côtés des figures 7, 9,10, 11, et en masquer le côté opposé.)
Fig
. 7. — Destinée à l'étude du mécanisme et de l'exp
à l'arc du sourcil) : attention. A gauche, repos de la physionomie.
Fig
. 8. — Destinée à montrer comment les lignes secon
aux. Excitation électrique modérée des deux frontaux : attention.
Fig
. 9.— Destinée à l'étude expressive du muscle fron
s frontaux : grande attention. A gauche, repos de la physionomie.
Fig
. 10. — Destinée à l'étude des lignes expressives
nt du sourcil, occasionné par l'impression d'une lumière trop vive.
Fig
. 11. — Destinée à l'étude des lignes secondaires
chacun des côtés des ligures 12, 14, et en masquer le côté opposé.)
Fig
. 12. — Destinée, ainsi que la figure 13, à l'étud
l'orbiculaire palpebral supérieur: réflexion. A gauche, attention.
Fig
. 13. —Electrisation plus forte des orbiculaires p
sement léger des commissures labiales : méditation, contention. 3
Fig
. lu. — Destinée à montrer comparativement, chez l
contentement, pensée sombre. A droite, électrisation du sourcilier.
Fig
. 15. — Destinée à démontrer que le mécanisme de l
ESSION (pyramidal du nez, P, iig. 1). Figures 17,18. LÉGENDE.
Fig
. 16. — Destinée à démontrer, par l'expérimentatio
caractère doux (voy. son portrait, fig. h) : expression de dureté.
Fig
. 17. — Destinée, ainsi que la figure 18, à l'étud
ion du pyramidal du nez : dureté, agression. A gauche, attention*
Fig
. 18. — Électrisation forte des deux pyramidaux ;
és des figures 19, 21, 22, 21, 27 et 28 et masquer le côté opposé.)
Fig
. 19. — Destinée, ainsi que la figure 20, à l'étud
rdu (le côté opposé était dans cet état au moment de l'expérience).
Fig
. 20. — Contraction électrique, à un degré moyen,
airée de manière à jeter une ombre forte sur sa moitié inférieure.)
Fig
. 21. — Destinée principalement à démontrer l'anta
aire du frontal et regard en haut : souvenir et appel à la mémoire.
Fig
. 22. — Destinée à démontrer, chez le même sujet,
A droite, repos de la physionomie (photographiée en plein soleil).
Fig
. 23. — Destinée à l'étude des lignes expressives
iers et regard en haut : souvenir douloureux ou pensée douloureuse.
Fig
. 2Zi. — Destinée à l'étude de la contraction volo
bouche un peu entr'ouverte : souvenir d'amour ou regard extatique.
Fig
. 25. — Destinée à montrer, chez le même sujet vu
par l'impression d'une vive lumière : pas d'expression douloureuse.
Fig
. 2G. — Destinée, ainsi que la figure suivante, à
u frontal, avec regard un peu latéral : attention, regard attentif.
Fig
. 27. — Même expérience que dans la figure précéde
lus forte et l'expression est proportionnellement plus douloureuse.
Fig
. 28. — Destinée à l'étude des lignes expressives
que du sourcil en masse, occasionné par l'impression de la lumière.
Fig
. 29. —Contraction électrique plus forte du sourci
des côtés des figures 30, 35 et 36, et en masquer le côté opposé.)
Fig
. 30. — Destinée, ainsi que la figure 31, à l'étud
grand zygomatique : rire faux. A gauche, repos de la physionomie.
Fig
. 31. — Excitation électrique un peu plus forte de
quelques fibres du muscle dit sphincter des paupières : rire faux.
Fig
. 32. — Destinée à montrer, chez le même sujet, co
s deux grands zygomatiques et de l'orbiculaire palpébral inférieur.
Fig
. 33. — Destinée à démontrer, chez le même sujet,
ession incomplète, fausse, de la surprise agréable, de Vadmiration.
Fig
. 3zj. — Destinée à montrer, chez le même sujet, q
ctrique forte des grands zygomatiques et des sourciliers : grimace.
Fig
. 35. —Destinée à l'étude des lignes expressives p
fondamentales propres à l'action du muscle de la joie . rire faux.
Fig
. 36. — Destinée à l'étude expressive de l'associa
e du nez, q, lig. 1). Figures 37, 38, 39, 40, 4 1, 42. LÉGENDE.
Fig
. 37. — Portrait du vieillard vu de profil (représ
1, 32, 33, 34, 35, 36). Comparer cette figure aux figures 38 et 39.
Fig
. 38. — Destinée à l'étude de la contraction parti
xiste des variétés individuelles qui dépendent de la forme du nez.)
Fig
. 39. — Destinée à l'étude de la contraction combi
on attirée par un sujet qui provoque des idées ou des désirs lascifs.
Fig
. /|0. — Portrait, vu de profil, d'un homme âge de
du transverse du nez. Comparez cette figure aux figures Al et A2.
Fig
. Al. — Destinée à montrer, chez le même sujet, le
enir les paupières entr'ouvertes : mauvaise humeur, mécontentement.
Fig
. A2. — Destinée à montrer la grossièreté et le cy
iangulaire des lèvres, M, fig. 1). Figures 43, 44, 45. LÉGENDE.
Fig
. Zl3. —Destinée à l'étude des mouvements, des rel
angulaire des lèvres : dégoût. A gauche, repos de la physionomie.
Fig
. hh. — Destinée à l'étude expressive des triangul
figures 4fi, 47, 48, 49, 50 et M, et en masquer le côté opposé.)
Fig
. h6. — Destinée à l'étude des lignes qui caractér
e du petit zygomatique gauche : pleurer, larmes cl'attendrissement.
Fig
. hl. — Destinée à étudier l'action différentielle
e et contraction volontaire des paupières : nuance du même pleurer.
Fig
. 48.— Destinée à l'étude comparative des lignes e
tion électrique modérée du grand zygomatique: rire faux, incomplet.
Fig
. 49. — Destinée à l'étude de l'association du pet
ureux. A droite, physionomie au repos, avec regard fixe en avant.
Fig
. 50. — Destinée à l'étude expressive du petit zyg
des paupières : pleurer grimaçant. A gauche, physionomie au repos.
Fig
. 51. — Destinée à l'étude de l'action partielle d
ession que sur le côté gauche de la figure 51, mais plus prononcée.
Fig
. 53. — Destinée à montrer, d'un côté, l'action ex
elrs du maxillaire inférieur). Figures 54, 55, 56, 57. LÉGENDE,
Fig
. 54. — Destinée à l'étude des lignes, des reliefs
guments de la partie inférieure de la face ; mouvement inexpressif.
Fig
. 55. — Destinée à montrer qu'il ne suffit pas d'o
: étonnement mal rendu par le sujet; expression ridicule et niaise.
Fig
. 50. — Destinée à l'étude de la contraction combi
ICIEU, Y, fig. 1). Figures 58, 59, (il, (52, 03, Ci, G5. LÉGENDE.
Fig
, 58 et 59. — Destinées à l'élude du mécanisme de
auciers : cette contraction partielle du peaucier est inexpressive.
Fig
. GO. — Destinée à l'étude de la contraction combi
action électrique combinée des peauciers el des frontaux : frayeur.
Fig
. 01 et 02. — Destinées à l'élude de la contractio
froi, vu de face dans la figure 61, et de profil dans la figure 02.
Fig
. 63. — Destinée à montrer que l'expression de l'e
de la paupière supérieure et. regard en bas : expression d'effroi.
Fig
. G/i et 05. —Destinées à l'étude de la contractio
u front, et le second, ce mouvement oblique et, sinueux du sourcil.
Fig
. 68. —Même tête, dont la courbe du sourcil est mi
, comme sous l'influence du sourcilier (voy. fig. 19, 20, 2/i, 25).
Fig
. 70. — Tête du Laocoon de Rome. Les lignes médi
lier; mais le modelé des parties latérales du front est impossible.
Fig
. 71. — Même tête, dont la partie latérale du fron
mme dans la nature, et comme elle devrait l'être dans la figure 70.
Fig
. 72. —Tête du Laocoon de Bruxelles (appartenant a
s de l'agonie. Même modelé défectueux que dans l'original, fig. 70.
Fig
. 73. — Tête de la Niobé, dont le front plat et le
ner complètement et devenir souvent d'une grande beauté. LÉGENDE.
Fig
. 7/i. — Portrait, au repos, de la jeune fille d'a
expressions diverses représentées dans les figures 75, 76, 77, 78.
Fig
. 75. — Vue dans son ensemble : Religieuse prononç
gard tourné en haut et léger abaisssement des commissures labiales.
Fig
. 76. — Vue dans son ensemble : Même prise de voil
mouvement du globe oculaire oblique en haut et un peu latéralement.
Fig
. 78. — Scène de coquetterie, avec expressions dif
es représentées dans la première et la deuxième série. LÉGENDE.
Fig
. 79. — Bonheur maternel mêlé de douleur, ou étude
lectrique légère du petit zygomalique, associée au sourire naturel.
Fig
. 81. — Lady Macbeth : « S'il n'avait ressemblé à
é. Contraction électrique faible du pyramidal du nez (P, fig. 1).
Fig
. 82. —Lady Macbeth : « Venez, venez, esprits infe
e de cruauté. Contraction électrique moyenne du pyramidal du nez.
Fig
. 83. — Lady Macbeth au moment d'assassiner le roi
féroce. Contraction électrique, au maximum, du pyramidal du nez.
Fig
. 8/i. —Lady Macbeth reçoit le roi Duncan avec un
On leur apprend à se tenir debout il l'aide des barres parrallèles (
Fig
. 7) ; à marcher soit en les tenant sous les bra
x enfants à s'habiller et à se déshabiller; - 2° un petit appareil (
Fig
. 12) qui a pour objet de leur apprendre l'apaem
enfants appliquent les surfaces simi- laires découpées en bois. Les
Fig
. 2, 3, 4 et 5 nous dispensent d'insister davant
u'on leur apprend à se tenir debout à l'aide des barres parallèles (
Fig
. 7); ensuite à marcher soit à la main, soit ave
main, soit avec le chariot; enfin à sauter au moyen d'un escabeau (
Fig
. 8) à mar- Fia. 1. FIa. 8. XL Enseignement
epuis son ouverture, servant à appren- dre aux enfants à boutonner (
Fig
. 9 et 10), à nouer, à lacer (fin. 11), nous avo
maginé un petit appareil qui sert aux filles à s'exercer à agrafer (
Fig
. 12) et nous avons obtenu de M. Pinon, directeu
XLI main, nous en avons ajouté de nouveaux, représentés sur la
Fig
. 13, et qui préparent les enfants à apprendre à
enfants inca- pables de manger seules. Les deux ateliers que nous
Fig
. 9. Boutonnement. Fig. 10. - Boutonnement. XL
e manger seules. Les deux ateliers que nous Fig. 9. Boutonnement.
Fig
. 10. - Boutonnement. XLH Enseignement professio
8), le crochet (7), à marquer (5), à faire de la tapisserie (25).
Fig
. 11. t. - Lacement. VISITES, bains, hydrothérap
malades. Voici la statistique des bains et des douches en 1893 :
Fig
. 12. Agrafement. ci I I M oe oui Pi E'
2. P- o ? : : 0 : z o il : en O U -l N -.¡ N oR-
Fig
. tt. a, bâtonnet en bois de 37 centimètres de lon
en avant de son sommet, se trouve comprise dans la membrane de la
Fig
. 1. Ons. I. Fontanelle antérieure. z 20 IDIOT
t formant une bande de 0,005 mm. à droite et à gau- che, la côtoie (
Fig
. 1). La fontanelle postérieure (Fia. 2) a l'asp
table interne de l'os est très lisse et n'offre que de très fai-
Fig
. 2. Ons. I. - Fontanelle postérieure. TRAITEMEN
ur d'un centimè- tre. La suture lambdoïde est extrêmement sinueuse (
Fig
. 3). Les sutures sont également très apparentes
qui indique, même de ce côté, l'absence complète de synostose. La
Fig
. 4 représente l'encéphale vu par sa face convexe
âne d'un microcéphale mort à 59 ans, sur lequel il y a une synos-
Fig
. 3. - on=. II. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 23 t
dé- rable, 6 à 7 millimètres au niveau du frontal et de la partie
Fig
. 4. - OBS. II. 24 IDIOTIE. moyenne de l'occ
dont l'un a près de 2 centimètres carrés, et 2 autres sur le droit (
Fig
. 5). > Ons. IV. IDIOTIE symptomatique d'un a
lques excès de boisson (absinthe); cauchemars; caractère violent.
Fig
. 5. - ODS. III. traitement CHIRURGICAL. 25
ère. - Adhérences nombreuses de la face interne des lobes /')'on-
Fig
. G. - ODS. IV. 26 IDIOTIE. taux. Arrêt de d
; il est très-mince, d'un à 2 millimètres d'épaisseur. La suture
Fig
. 8. - Uns. V. 28 IDIOTIE. métopique existe
t à 3 mois. Début des accidents convulsifs à 8 mois. - Succion du
Fig
. 9. - On5. VI. . TRAITEMENT CHIRURGICAL. 29 p
-pariétale et des occipitaux, se voient des plaques transparentes. (
Fig
. 9). OBS. VII. IDIOTIE congénitale. Sommaire.
, des bosses pariétales, de l'occipital et de la suture coronale. !
Fig
. 10). ' 1 ' OBS. VIII. - IDIOTIE congénitale.
ion cérébrale. Pas de consanguinité. Inégalité - d'âge de 10 ans.
Fig
. 10. Uns. VII. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 31 P
ns). Crâne. Il est ovoïde, avec un degré assez léger de plagiocé-
Fig
. 11. - Ons. VIII. 32 IDIOTIE. phalie. Son é
ntanelles et la suture métopique sont fermées. (1'ir/. 12). i Les
Fig
. 13, lu, 15 et 16 donnent une idée précise de la
ss, scissure de Sylvius. sr, sillon de Rolando. 44 idiotie.
Fig
. 22. - Ons. XI. - Hémisphère cérébral gauche ; fa
calleux. , sr, sillon de Rolando. traitement chirurgical. 45
Fig
. 23. 0118. XI. Hémisphère cérébral droit; face ex
ss, scissure de Sylvius. sr, sillon de Rolando 4G IDIOTIE. -
Fig
. 24. - Ou;. 11. - Hémisphère cérébral droit ; fac
éricur du crâne. Elles sont sinueuses môme au niveau de l'obélion. (
Fig
. 24 bis). " " , OBS. Xir. Idiotie symptomatique
LE, Bicêtre, 1893. 4 ? ,Fia. 25. - Ons. XII. ..., 50 0 idiotie.
Fig
. 20. Ous.XIÎ. Hémisphère cérébral gauche; face ex
e l'insula. ss, scissure de Sylvius. traitement chirurgical. 51
Fig
. 27. Ons. XII. Hémisphère cérébral gauche ; face
tout le'trajet de ces sutures on ne note aucune trace de synostose (
Fig
. 25). ; L'aspect général du crâne est caractéri
Fia. 2G et 27 montrent l'hémisphère gauche atrophié sclérosé, et la
Fig
. 28 la face convexe de l'hémisphère droit plus
ré, sur chacun dos côtés de la suture 1<lnlhdoïdc (le'ir. 29).
Fig
. ? UI1S ? Ij. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 55 OI3S
- Actes inconscients. - Tenlative d'incendie. - Granulie. - Mort.
Fig
. 30. - Ons. Xl\-. 56, : idiotie. ' - AUTOPSIE
mètres d'avant en arrière, et de Il centimètres transversale- ment (
Fig
. 31). En arrière de cette membrane, il existe une
es. Sur les sutures pariéto-occipitales des deux côtés, il existe
Fig
. 31. -ou. XV. 58 IDIOTIE. " une dizaine d'os-
tte et la dure-mère, il y a une sorte de vide assez considérable.
Fig
. 32. - On5. XVI. 60 . IDIOTIE. T Ainsi qu'on
du crâne sont symétri- ques. Le trou occipital n'est pas rétréci. (
Fig
. 32.) Les trois crânes suivants ont un grand in
sur les deux hémisphères du cerveau. Tubercules du poumon gauche.
Fig
. Il. - ont, XVII. 62 , IDIOTIE. .- Gauch... (
e est dirigée obliquement de droite à gauche et d'arrière en avant (
Fig
. 33). D'après les auteurs, la /l'irJonocdp/wlie
t soudé. Lors du premier examen de la tète, on avait noté que les
Fig
. 31.- OIl5. XLVIII. - Écartement des sutures. 6
fournir^ croyons-nous, un argument sérieux contre la crâniectomie (
Fig
. 34). C'est parce que les os - du crâne ont pu
ussi en bas dés impressions digitales qui les rendent translucides (
Fig
. 35). La base est sensiblement symétrique. Le p
elle résulte de l'applica- tion d'une série de couronnes de trépan (
Fig
. 36) ; elle empiète un. peu en avant, sur la su
de la suture sagittale jusqu'au voisinage des trous pariétaux, 1
Fig
. 31.. - 0115. XX. 6$IDiOTlË» où, sur une éten
e de chaque côté dans cette partie rectiligne. A la face interne,
Fig
.37. - Ous. XXI. 70 idiotie. cette scissure es
n'est plus, par le fait, que de 7 centimètres sur un centimètre.
Fig
. 38. - OBS. XXII. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 73 3
il de réparation osseuse. La plus antérieure l'est beaucoup moins. (
Fig
. 38J.. Notre musée de Bicêtre possède 350 crâne
nduire la machine à coudre. Il est sorti à la fin de décembre 1892 (
Fig
. 39, 40, 41 et 42). La phothographie collective
-dessus du pli lormé par la jonction de la jambe et de la cuisse.
Fig
. 39. HÉMIMÉLIE BI-ABDOMINALE. l.61 Le fémur
ouchée sur la moitié de la, jambe, Bourneville, Bicêtre, 1893. il
Fig
. 40. 161 ' - IMBÉCILLITÉ. ' ' ? .. qui corres
s, écartées, en dedans d'elles, à 4 ou 5 cm. au-dessous du scrotum (
Fig
. 11 et 12) et les deux pieds adossés l'un à l'a
e for- mée de deux demi-croissants dont le droit est plus profond
Fig
. 41. - : 0, nerf optique. T, tumeur. P, pédoncule
inaire. face interne offre un amincissement considérable du corps
Fig
. 42. Elle représente le crâne de Coeur ? réduit d
n des tes- ticules tardives ; occlusion .des fontanelles à 8 ans (
Fig
. 43). En 1886, l'enfant eut une série d'accès é
es intercurren- tes et, entre autres, la conjonctivite purulente.
Fig
. 43. - Aspect et attitude de Coeur... et, rappe
hydrocéphalie, on notait, une contracture des jambes et des bras.
Fig
. 44. Hydrocéphalie : réflexions. 2t A l'ent
la suture sagittale, accès de cris, contracture des quatre membres (
Fig
. 45), cyphose, cryptorchi- die. z Nous n'insi
ption qui termine l'ex- posé des cas de cette première catégorie.
Fig
. 45. 214 . IDIOTIE HYDROCÉPHALIQUE. ' t . Obs
e est asy- métrique, le côté droit est plus saillant que le gauche (
Fig
. 45 et 49). On sent en avant de la bosse pariét
dentelée comme Pinter-pariétale, de 3 ou 4 cm. de longueur qui ne
Fig
. 46. Profil du crâne d'un enfant normal âgé de 6
11 ti : d 0 ro M P> r 5 n 7 t7 « .1 co
Fig
. 47 et 48. Profil du cràne de Vign..., réduit de
riétale gauche presqu'entièrement synostosée. A droite, la suture
Fig
. 49. Crâne de Vign.... Le diamètre transversal es
ture lambdoïde présente cinq os wormiens à droite et six à gauche. (
Fig
. 45, 47 et 49). Fin. 50. - Squelette de la face
nvulsions 1 d'un frère aîné ; mais bien que cette hérédité soit I
Fig
. 51. Crâne de Vign... La circonférence est réduit
sente environ les ? 5 d'une.sphère BOURNEVILLE, Bicêtre, 1893. 17
Fig
. 52. - Callotte crânienne d'AU... 258 Hydrocéph
tte suture,. que l'on pourrait regarder comme la partie droite de
Fig
. 53. - L F, lobe frontal. - L M, lobe moyen. - I.
pour les 2/3 antérieurs et par le pariétal pour le a/3 postérieur (
Fig
. 52). La fontanelle postérieure a la forme d'un
. 52). La fontanelle postérieure a la forme d'un triangle isocèle
Fig
. 54. V L, ventricule latéral. - C L. cloison tran
du même côté est oblitérée par une throm- bose ainsi que ce sinus. (
Fig
. 54. v, v). De chaque côté de la faux du cervea
rties postérieures et aplatissement transversal (scaphocé- phalie) (
Fig
. 55). ). - t80 Hydrocéphalie. . t882. Mars.
t d'aspect rugueux, la table interne offre des sillons accentués.
Fig
. 5C. Elle représente le moulage de la tête de Che
phalie (allongement antéro-postérieur et aplatissement bilatéral). (
Fig
. 56). La cltL1'e-m.ère adhère assez fortement a
t en effet de 1900 ger. Lorsqu'on le saisit, on est frappé par là
Fig
. 57. Cervelet, bulbe et protubérance de lier... E
s saillies, dont la face interne est en rapport avec ces organes (
Fig
. 57 et 58). Ces tumeurs, qui présentent une forme
d à la partie antérieure du plancher du 4° ventricule se continue
Fig
. 58. Coupe du bulbe et du 4^ ventricule faite au
ent réunies par une sorte de membrane plus ou moins transparente (
Fig
. 59). Lors du premierexamen de la 316 Hydrocéph
plus graves, ont offert une grande lenteur et même des rémissions
Fig
. 59. Face convexe du crâne de Ber... 1 i ! '
la petite quantité de liquide qui s'est écoulée. Il y a un paquet
Fig
. Go. Crâne de Marie Bais ? 320 Hydrocéphalie sy
sidérable. Déviation du bassin à gauche, plus élevé qu'à droite (
Fig
. 61). Poumons. - Sonorité un peu exagérée, râle
re malade. Comme lui, elle est blonde et a le front haut et bombé. (
Fig
. 62 et 65) [Famille de la mère. Pè7'e, mort à 6
uleux. Il ne grince pas des dents, n'a pas de tics, ni de manies.
Fig
. 62. Pe... ù l'ùge de 10 nus ; sa mère et sa dern
e un peu développée, mais l'instituteur constate que P... devient
Fig
. 03. Pe... vu de profil, à 10 ans. 34G Hydroc
Il est très susceptible, emporté, paresseux, surtout à l'atelier,
Fig
. 6 ? Pe... vu de face à l'âge de tu ans. Hydroc
au niveau des pariétaux. Occiput saillant. Pas de trace au palper
Fig
. 65. La mère de Pe... et sa soeur à l'tige de 45a
ognathisme supérieur très accentué. Menton assez petit et pointu.
Fig
. Gag. La soeur de Pua... à l'lige de 5 uns. Hyd
qué que la fontanelle antérieure ne se serait fermée qu'à -16 mois (
Fig
. 69, 70) ; 2° fille, morte à 29 mois, d'acciden
organes. 1890. 6 nouei7707'e. L'enfant est dans un état station-
Fig
. 67. Esco... avec sa mère, vue de face, à l'tige
donne toujours des marques d'intelligence. Poids : 8 lui. 400. '
Fig
. 08. - Esco... (avec sa mère), vue de profil, 11
u- tient. 23 avril. La fontanelle antérieure a 6 centimètres de
Fig
. f ! 9. Esco... (avec sa soeur, Henriette), à l'â
e à actuelle- ment 72 millimètres de longueur sur 110 de largeur.
Fig
. 70. Esco... aveu sa soeur, vue de profil iL l'âg
tre de Vigo sur la tête au moyen de bandelettes formant capeline.
Fig
.'il. Esco... vue de profil à l'âge de 14 mois.
nti- mètres de long sur 10 centimètres de large. V... a actuelle-
Fig
. 72. - Esco... (avec sa soeur, Marie), à (le de m
blement diminué. Sa longueur est de 38 millimètres, sa largeur de
Fig
. 73. Fsco ? avec sa soeur, vue de profil, il l'â
mots : papa, maman, bonjour, porter, par terre, pain, eau, nana,
Fig
. 75. - Esco... (avec son père), à de 3 ans 1 mois
nt, éveillée, attentive, gaie, a un regard plus expressif et plus
Fig
. 7G. - Esco... à l'âge de 3 ans 3 mois. s ' a
nification relativement au triceps crural du même côté. Le tracé I {
Fig
. 1) obtenu pendant la veille démontre l'existence
r qui correspond au biceps brachial trace une liane droite (B. b.).
Fig
. 1. — Diffusion des réflexes tendineux pendant la
de même pendant le sommeil provoqué, ainsi que le montre le tracé II (
Fig
. /). Par la fixité du regard en convergence supér
les bras et sur tout le corps. On voit, en effet, sur le tracé II (
Fig
. 1) la contraction du biceps brachial suivre cell
ural obtenue par la percussion directe de son tendon. Le tracé III (
Fig
. 1) a été obtenu sans changer la disposition des
eu à un mouvement d'extension de la main et des doigts. Le tracé I (
Fig
. 2) a été obtenu pendant l'état de veille. La sec
Exp. du 16 février). Un signai électrique Marcel Despretz marque le
Fig
. 2.— Modification, pendant la léthargie, de la co
e en extension. Nous avons ainsi obtenu des tracés que nous n'avons
Fig
. 4. —Suite de l'expérience représentée Fig. 3. Tr
tracés que nous n'avons Fig. 4. —Suite de l'expérience représentée
Fig
. 3. Tracé III. Pendant la léthargie, quatre chocs
dans les expériences rapportées plus haut, p. 321. Sur le tracé I (
Fig
. o), obtenu pendant la veille, on remarque que le
choc porté sur le tendon rotulien. Pendant la léthargie (tracé II,
Fig
. 5), le biceps demeure également immobile , mais
ne reviendrons pas sur la disposition des appareils enregistreurs.
Fig
. 5. — Contracture par choc tendineux pendant la l
otulien ne se propage pas au membre supérieur du même côté. (Tracé I,
Fig
. 6). Pendant la léthargie hystérique provoquée,
ras du même côté est très marquée. Les trois excitations du tracé II [
Fig
. 6), ont été portées successivement, et l'on rema
usculaire. Nous rapporterons, à titre d'exemple, quelques détails
Fig
. 6. — Diffusion du réflexe et tendance à la contr
e temps pendant lequel elle a été maintenue. On voit par la courbe (
Fig
. 7) que la contracture met plus de temps à se pro
à se produire que par le choc et qu'elle débute moins brusquement.
Fig
. 7. — Contracture par pression légère exercée sur
démontrés dans l'expérience citée plus haut et accompagnée du tracé (
Fig
. 7). La pression brusque se rapproche du choc e
rte, le milieu entre les deux modes d'excitation. Le tracé suivant (
Fig
. 8) montre en effet que, dans ce cas, la contract
lle qui suit l'excitation des nerfs ou le corps du muscle lui-même.
Fig
. 8. — Contracture par pression brusque sur le ten
éciale, se rapprochant de l'attitude hiératique et représentée par la
Fig
. 9. Le poignet est légèrement fléchi et la main t
dans la paume de la main recouverte alors par les doigts en flexion {
Fig
. 10). Au milieu de ces quelques variations qui
s, index et médius. Ciiaiicot. OEuv. compl. t. ix, Hypnotisme. 22
Fig
. 9. — Griffe cubitale. Fig. lU. — Griffe cubitale
icot. OEuv. compl. t. ix, Hypnotisme. 22 Fig. 9. — Griffe cubitale.
Fig
. lU. — Griffe cubitale. Une attitude aussi cara
flexion complète de l'index et du médius, ainsi qu'on le voit sur la
Fig
. 11. Les deux derniers doigts (annulaire et petit
s que la distribution de ses rameaux peut facilement faire prévoir,
Fig
. 11. — Griffe médiane. Fig. 12. — Griffe médian
rameaux peut facilement faire prévoir, Fig. 11. — Griffe médiane.
Fig
. 12. — Griffe médiane. Le nerf radial innerve s
itation mécanique du nerf radial au point indiqué, a pour caractères (
Fig
. 13) : à) La supination de l'avant-bras ; b)
scles excités. Mais, dans ce cas, la contracture est-elle la cotisé
Fig
. 13. — Griffe radiale. §. III. — Excitation des
appréciable. Nous les avons représentés sur les schémas ci-joints :
Fig
. 14 et Fig. 15. A la face antérieure : le rond
. Nous les avons représentés sur les schémas ci-joints : Fig. 14 et
Fig
. 15. A la face antérieure : le rond pronateur ;
n mécanique. A la face dorsale de la main, l'excitation des interos
Fig
. 14. — Quelques points moteurs de la face antérie
; b) De la possibilité d'exciter un muscle, soit directement, en
Fig
. 15. — Quelques points moteurs de la face postéri
alors toujours plus faiblement. C'est ce qu'on peut constater sur la
Fig
. 1 de la Planche VI, où l'excitation du muscle or
ction partielle de chacun de ces muscles sont indiqués sur le schéma (
Fig
. 16). Fig. 10. —Points moteurs des principaux m
lle de chacun de ces muscles sont indiqués sur le schéma (Fig. 16).
Fig
. 10. —Points moteurs des principaux muscles de la
ée dans les schémas suivants : 1° Frontal : Muscle de l'attention. (
Fig
. 17). — Sa con- Fig. 17. — Contraction du muscl
ivants : 1° Frontal : Muscle de l'attention. (Fig. 17). — Sa con-
Fig
. 17. — Contraction du muscle frontal. Muscle de
Contraction du muscle frontal. Muscle de l'attention de Duchenne.
Fig
. 18.— Contraction du muscle orbicidaire supérieur
rcil ; 2° Orbiculàire palpébràl supérieur : Muscle de laréflexion. (
Fig
. 18). — Abaissement du sourcil en masse et efface
sement des poils du sourcil; 3° Sourcillier : Muscle de la douleur (
Fig
. 19). — La Fig. 19. — Contraction du Fig. 20. —
du sourcil; 3° Sourcillier : Muscle de la douleur (Fig. 19). — La
Fig
. 19. — Contraction du Fig. 20. — Contraction du
er : Muscle de la douleur (Fig. 19). — La Fig. 19. — Contraction du
Fig
. 20. — Contraction du muscle sourcillier. pyram
deux tiers externes ; 4° Pyramidal du nez : Muscle de l'agression (
Fig
. 20). — La tête du sourcil est tirée en bas, la m
isolée du Frontal est très facile à obtenir par la pression du point (
Fig
. 16, 1) qui correspond au nerf frontal, ou par la
, ou par la pression portée sur un point quelconque du muscle (Pl. V,
Fig
. 3). L'orbiculaire palpébral supérieur se contr
ortée près de la queue du sourcil au point figuré en 3 sur le schéma (
Fig
. 16). Lorsque l'excitation porte sur un point plu
ramidal du nez se joint à celle de l'orbiculaire palpébral supérieur (
Fig
. 2, Pl. VI). Nous n'avons pu obtenir complètement
cherchant à l'exciter aux points indiqués par Duchenne, de Boulogne (
Fig
. 16, 4) le pyramidal s'est, il est vrai, contract
umée dans les schémas suivants: Grand zygomatique : Muscle du rire (
Fig
. 21). —Lignes fondamentales : mouvement oblique e
l'œil. Orbiculaire palpebral inférieur: Muscle de la bienveillance (
Fig
. 22). — Relief de la paupière inférieure, au-dess
t l'excitation dans ce muscle... Cette localisation est assez diffi
Fig
. 21.— Contraction du muscle grand zygomatique.
muscle grand zygomatique. Muscle du rire, de Duchenne, rire faux.
Fig
. 22. — Contraction simultanée du grand zygomatiqu
que. C'est un muscle du pleurer. Le schéma suivant résume son action (
Fig
) 23. Il attire en haut et en dehors la portion mo
sclelui-mè-me. Duchenne résume ainsi l'action partielle de ce muscle (
Fig
. 24) : L'aile du nez est attirée en haut, le sill
appelle le muscle de Ciiarcot. OEuv. comp. t. ix, Hypnotisme. 24
Fig
. 24. — Contraction du muscle élévateur commun de
scle est susceptible de grandes variations, suivant les individus. La
Fig
. 4 de la Planche VI montre d'une façon fort nette
t en demeurant unique, se rapproche de la ligne médiane, comme sur la
Fig
. 3 de la Planche VI, le mouvement de dilatation e
uement en bas et en dehors, la narine est abaissée et moins ouverte. (
Fig
. 25). La contraction partielle des muscles du m
s appartenant à plusieurs muscles soif superposés, soit juxtaposés.
Fig
.2o. — Contraction du muscle triangulaire des lèvr
férieur et du point d'élection indiqué par l'électrisation localisée {
Fig
. 16), on obtient un mouvement complexe de la lèvr
point d'excitation du triangulaire, et à peu près à la même hauteur (
Fig
. 2, Pl. VIII). C'est à ce niveau que le carré du
dégage de dessous le triangulaire, pour devenir superficiel. Sur la
Fig
. 4 delà Planche VIII, l'excitation portée sur le
à l'orbiculaire palpébral supérieur, ne donne lieu qu'à une grimace (
Fig
. 3 de la Pl. IX). Il nous a été possible de repré
uvement d'ensemble qui en est la conséquence et représenté plus haut (
Fig
. I de la Pl. VIII), se produit avec une égale éne
tracture persiste après le réveil. — Trois cas peuvent se montrer :
Fig
. 26. — Contracture par choc tendineux pendant la
ractéristique que nous avons désignée sous le nom de griffe cubitale (
Fig
. 9). Nous approchons alors de l'avant-bras gauc
ons de ce membre pendant qu'un pneumographe appliqué sur la poitrine (
Fig
. 27) donne la courbe- des mouvements respiratoire
a poitrine (Fig. 27) donne la courbe- des mouvements respiratoires.
Fig
.27. — Dispositif des expériences. — R, tambour de
pond au membre étendu, trace une ligne droite parfaitement régulière (
Fig
. 28, II). Fia. 28, — Tracés obtenus chez une hy
ée, marquée par instants de grandes oscillations disposées en séries (
Fig
. 29, 1). Fig 29. — Tracés obtenus chez un homme
instants de grandes oscillations disposées en séries (Fig. 29, 1).
Fig
29. — Tracés obtenus chez un homme qui essaie de
n est rare, superficielle, la fin du tracé ressemble au commencement (
Fig
. 28,1). Chez le simulateur le tracé se compose de
du trouble de la respiration qui accompagne le phénomène de l'effort (
Fig
. 29, I). En résumé, la cataleptique ne connaît
a paume des mains tournées en avant ainsi qu'il est représenté sur la
Fig
. 2 (Pl. X). Une fois produite, cette attitude per
as s'immobilisent en une attitude d'agression et de défense. (Pl. XI,
Fig
. 3). Si c'est le muscle sourcillier que nous fa
eur se peint sur la physionomie et dans les gestes du sujet. (Pl. XI,
Fig
. 4). De même pour le grand zygomatique qui est
De même pour le grand zygomatique qui est le muscle du rire. (Pl. XI,
Fig
. 5 et 6) ; pour le muscle élévateur commun de l'a
ave la contraction des muscles directement excités. Des graphiques (
Fig
. 30, 31, 32) selon la méthode de M. Ma-rey, nous
action limitée plus rapide. La durée de la contracture diminue avec
Fig
.dO. — Dispositif de l'expérience (schématique). —
expériences. Il est probable qu'on arriverait ainsi à l'épuisement.
Fig
. 31. — Expérience du 9 avril [1883. — Contraction
omène de Westphal. Dans les uns comme dans les autres, en effet, la
Fig
. 32. — Expériences du 12 avril chez la même malad
e de quoi la pointe du pied se place souvent derrière le talon droit (
Fig
. 34). Cela gêne la marche, mais ne l'empêche pa
's Verlay, 1888. PLANCHES EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE I.
Fig
. 1. — Lésions de la périartérite diffuse. A, Ar
argée de noyaux. D, Noyaux de cette gaîne notablement multipliés.
Fig
. 2. — Aspect que présentent à l'œil nu les anévry
évrysmes miliaires A, B, etc., dans les circonvolutions cérébrales.
Fig
. 3. — Aspect que les anévrysmes miliaires présent
épaisseur de la protubérance. !" io 2 . Hip 5 ö PLANCHE II.
Fig
. 1. — Périartérite où Ton voit disparaître les li
noyaux de l'adventice se multiplient et que le vaisseau se dilate.
Fig
. 2. — Artère cérébrale moyenne. B, Artère de la
couche optique. C, Un anévrysme miliaire dans la couche optique.
Fig
. 3. — Artérioles atteintes de périartérite et pré
teintes de périartérite et présentant des dilatations moniliformes.
Fig
. 1 . 'Fig-. 2 . Î I" i f î G Charcot ad n
i f î G Charcot ad nal.del. ÜýñêåãÜãøåã lith. PLANCHE III.
Fig
. 1. —Arteriole prise dans la paroi d'un foyer hém
e sang extravasé qui a distendu, puis déchire la gaine lymphatique.
Fig
. 2. — Vaisseau rompu et entouré par un fragment d
par un fragment de caillot qui, à l'œil nu, simulait un anévrysme.
Fig
. 3. —Arterioles avec trois dilatations anévrysmal
s anévrysmales dont l'une a éclaté sous l'influence de la pression.
Fig
. 4. — Anévrysme miliaire qu'on a fait éclater par
li Ih Charcot. ÜEuv. compi, ò. ix, Hypnotisme. 35 PLANCHE IV.
Fig
. 1 et 2. — Surfiiee earpienne des articulations r
glénoïdienne de l'articulation scapulo-humérale, dans l'obs. n° II.
Fig
. 4 et ~ . — Deux fragments de la membrane synovia
respondants des deux articulations radio-carpiennes dans l'obs. n» 6,
Fig
. 4, côté sain ; Fig. 5, côté paralysé. Vu:. 6.
articulations radio-carpiennes dans l'obs. n» 6, Fig. 4, côté sain ;
Fig
. 5, côté paralysé. Vu:. 6. — Tendons de l'exten
les recouvre au niveau du ligament dorsal du carpe est hypérémiée.
Fig
. 7. — Le nerf médian à l'avant-bras du membre sup
longues et trop volumineuses. Fig-.i. Fi g: 2 . " î H-, Ë.
Fig
*. 6. î Fig-. 4. ×7- PLANCHE Y. Excitation
Excitation des muscles de la face pendant la léthargie hypnotique.
Fig
. 1. — Excitation du muscle sterno-mastoïdien du c
ontraction simultanée des muscles de l'œil, du nez et de la bouche.
Fig
. 3. — Excitation bilatérale du muscle frontal.
de la bouche. Fig. 3. — Excitation bilatérale du muscle frontal.
Fig
. 4. — Excitation bilatérale du muscle orbiculaire
— Excitation bilatérale du muscle orbiculaire palpebral supérieur.
Fig
. i Fig. 2 PLANCHE VI. Fig. 1. — Excitation
tion bilatérale du muscle orbiculaire palpebral supérieur. Fig. i
Fig
. 2 PLANCHE VI. Fig. 1. — Excitation unilatéra
le orbiculaire palpebral supérieur. Fig. i Fig. 2 PLANCHE VI.
Fig
. 1. — Excitation unilatérale du muscle patpébral
uscle du côté opposé à l'excitation, un léger degré de contraction.
Fig
. 2. — Dans cette figure, à la contraction des deu
eurs excités directement s'est ajoutée celle des pyramidaux du nez.
Fig
. 3. — Excitation unique et médiane des eux dmuscl
itation unique et médiane des eux dmuscles dilatateurs des narines.
Fig
. 4. — Excitation du transverse du nez du côté gau
arines. Fig. 4. — Excitation du transverse du nez du côté gauche,
Fig
. i Fig. 2 PLANCHE VIL Fig. 1. — Excitation
Fig. 4. — Excitation du transverse du nez du côté gauche, Fig. i
Fig
. 2 PLANCHE VIL Fig. 1. — Excitation bilatéral
u transverse du nez du côté gauche, Fig. i Fig. 2 PLANCHE VIL
Fig
. 1. — Excitation bilatérale du grand zygomatique.
gomatique. Fif. 2. — Excitation unilatérale du grand zygomatique.
Fig
. 3. — Excitation unilatérale du petit zygomatique
ion du muscle élévateur de l'aile du nez et de la lèvre supérieure.
Fig
. 4. —Excitation unilatérale du muscle élévateur c
tement localisée, porte sur le rameau nerveux destiné à, ce muscle,
Fig
. 1 Fig. 2 PLANCHE Y HT. Fin. 1. — Excitatio
calisée, porte sur le rameau nerveux destiné à, ce muscle, Fig. 1
Fig
. 2 PLANCHE Y HT. Fin. 1. — Excitation bilatér
ngulaire des lèvres. Fia. 'i.— Excitation de la houppe du menton.
Fig
. 1 Fig. 2 PLANCHE IX. Fig. 1. — Excitation
des lèvres. Fia. 'i.— Excitation de la houppe du menton. Fig. 1
Fig
. 2 PLANCHE IX. Fig. 1. — Excitation simultané
Excitation de la houppe du menton. Fig. 1 Fig. 2 PLANCHE IX.
Fig
. 1. — Excitation simultanée des muscles frontaux
et pcauciers. — Masque de l'effroi d'après Duchenne (de Boulogne).
Fig
. 2. — Même expérience que la précédente pendant l
sans que l'expression de la physionomie ait été modifiée pour cela.
Fig
. 3. — Excitation simultanée des muscles orbiculai
cles orbiculaires palpébraux supérieurs et des grands zygomatiques.
Fig
. 4. — La malade est rendue cataleptique du côté g
l. Du coté cataleptique, une excitation semblable demeure sans PfiU
Fig
. 1 Fig. 2 PLANCHE X. Etat cataleptique sans
é cataleptique, une excitation semblable demeure sans PfiU Fig. 1
Fig
. 2 PLANCHE X. Etat cataleptique sans expressi
bes avec la balançoire-tremplin (Fiy. 1); on leur apprend ensuite
Fig
. 1. - Balançoire-tremplin. IDIOTS COMPLETS : EX
PRÉLIMINAIRES. V à se tenir debout à l'aide des barres parallèles (
Fig
. 2) ; à marcher, soit en les tenant sous les br
archer, soit en les tenant sous les bras, soit à l'aide du chariot (
Fig
. 3 et 4); on fortifie leurs membres en exerçant
enu par le bout du doigt, De plus, il s'habille et se déshabille.
Fig
. 2. Barres parallèles. VI IDIOTS COMPLETS : exe
mb ? Lou ? Baud ? Pat.. (2) Leboe ? IIiin]) ? Lou ? lncqu ? Doi..
Fig
. 3. - Chariot.. IDIOTS incurables; ÉPILEPTIQUES
fauteuils spéciaux, que nous avons décrits, à l'usage des gâteux (
Fig
. et 6). La seconde catégorie comprend les idiot
nctionner que le personnel nécessaire, c'est-à-dire un infirmier.
Fig
. li. - Chariot. vin IDIOTS incurables; épilepti
un bénéfice pour eux et au grand détriment des enfants éducables.
Fig
. 5. Fil),6. Petite école. lx II. Enfants 'i
clmeill .. 110111 ? Troc (3) (3enr ? Dup ? Gili ? Via.. Fiv. 1.
Fig
. 8. X Petite ÉCOLE. Voici un résumé très somm
urent ; il com- mence sur le cahier à tracer des o et des barres.
Fig
. ! ). Fig. 10. Petite école. xi Geor... (Fe
om- mence sur le cahier à tracer des o et des barres. Fig. ! ).
Fig
. 10. Petite école. xi Geor... (Fernand), 9 an
résent de voir sa famille, et de passer quelques jours avec elle.
Fig
. Il, Fig. 12. XII PETITE école. Mart... (Ga
oir sa famille, et de passer quelques jours avec elle. Fig. Il,
Fig
. 12. XII PETITE école. Mart... (Gaston), né l
amélioration s'est produite dans le caractère qui est Fia. 1 : 1.
Fig
. 14. Fig. 1 : Petite ÉCOLE. Jçiii aujourd'h
n s'est produite dans le caractère qui est Fia. 1 : 1. Fig. 14.
Fig
. 1 : Petite ÉCOLE. Jçiii aujourd'hui gai et p
venue plus fixe, quelques progrès ont été obtenus en gymnastique.
Fig
. 16. Fig. 17. xiv Traitement médico-pédagogiq
fixe, quelques progrès ont été obtenus en gymnastique. Fig. 16.
Fig
. 17. xiv Traitement médico-pédagogique. Lam..
s let- tres de l'alphabet, commence à tracer les a, o et u sur lo
Fig
. 18. PETITE ÉCOLE. XV cahier, et il exécute b
us les enfants sont exercés à la gymnastique des échelles de corde (
Fig
. 7 à 15), des ressorts (Fig. 16 à 18), du saut,
à la gymnastique des échelles de corde (Fig. 7 à 15), des ressorts (
Fig
. 16 à 18), du saut, à la montée et à la descent
à la montée et à la descente des escaliers à l'aide de l'escaheau (
Fig
. 19 et 20), sauf ceux qui, venus du premier gro
gymnastique. 27 enfants ont travaillé cette année dans les divers
Fig
. 19. - Escabeau : montée. · Petite école... XVI
avons décrits dans plusieurs de nos précédents COi\IP- TES rendus (
Fig
. 21); - 2° les leçons de toilette (Fig. 22) qui
écédents COi\IP- TES rendus (Fig. 21); - 2° les leçons de toilette (
Fig
. 22) qui consistent à apprendre aux enfants à s
1898 et que nous complétons d'an- BoURNE91LLE, Bicêtre, 1899. **
Fig
. 20. - Escabeau : descente. 1-3 ? 3 b S
ente. 1-3 ? 3 b S M z q 0 a cp >-3 m 5
Fig
. '21. - Traitement du gâtisme. PETITE-ÉCOLE. XI
ses, soit à-l'école, soit dans les jardins aveo le tableau roulant (
Fig
. 43), soit enfin dans les promenades. ' .. ,
promenades. ' .. , Quelques-unes des parties de cet enseignement
Fig
. 22. - Leçon de toilette. xx Traitement MEDlCO-
s est, en général, très défectueuse et très sou- vent inhabile. Les
Fig
. 23,24 et 25 en donnent une Fig. 23. - Main idi
e et très sou- vent inhabile. Les Fig. 23,24 et 25 en donnent une
Fig
. 23. - Main idiote. Main idiote. xxi. idée (1
e que nous publierons dès que nous l'aurons revu et mis au point.
Fig
. 24. - Main idiote. xxii TRAITEMENT ? MÉDICO-PÉ
ettes, des cylindres, des boules en bois de différentes dimensions (
Fig
. 26 et 37) nous ser- vent à exercer successivem
ait toucher des surfaces rugueuses ou lisses à divers degrés, etc. (
Fig
. 27). Fig. 25. -Main idiote. b M H H
des surfaces rugueuses ou lisses à divers degrés, etc. (Fig. 27).
Fig
. 25. -Main idiote. b M H H 1 : > : 1
a vue et par suite de l'atten- tion en général. 1° Boîte à trous (
Fig
. 28). Ce petit appareil a pour hut d'apprendre
faire passer par ces trous, des boules du diamètre correspondant.
Fig
. 27. Éducation de la main, DE la vue, etc. XLV
, L XXVI Traitement MÉDICO-PÉDAGOGIQUE. . 2° Cône à chevilles (
Fig
. 29). - L'enfant place dans des trous, obliquem
ut des doigts et de diriger vers un endroit donné. 3° clievilles (
Fig
. 30). - Le prisme eL che- villes fait, pour ain
eL che- villes fait, pour ainsi dire, suite au cône à chevilles.
Fig
. 29. · PETITE ÉCOLE. XXVII L'exercice du pris
ères, l'autre munie de boutons de moins en moins fendues et gros (
Fig
. 31, 32); à lacer à l'aide d'un soulier à lar-
e rouge et de bleu, dans lesquels l'enfant fait passer des rubans
Fig
. 30. Prisme à chevilles. "XXVIII Boutonnage ET
bans Fig. 30. Prisme à chevilles. "XXVIII Boutonnage ET laçage.
Fig
. 31. Fig. 32. Fig. 33. .. Agrafage, enfilag
30. Prisme à chevilles. "XXVIII Boutonnage ET laçage. Fig. 31.
Fig
. 32. Fig. 33. .. Agrafage, enfilage, etc. xxi
à chevilles. "XXVIII Boutonnage ET laçage. Fig. 31. Fig. 32.
Fig
. 33. .. Agrafage, enfilage, etc. xxix égaleme
. 33. .. Agrafage, enfilage, etc. xxix également rouges et bleus (
Fig
. 33), à agrafer (Fig. 34), à enfiler (Fig. 35)
enfilage, etc. xxix également rouges et bleus (Fig. 33), à agrafer (
Fig
. 34), à enfiler (Fig. 35) des boules percées d'
galement rouges et bleus (Fig. 33), à agrafer (Fig. 34), à enfiler (
Fig
. 35) des boules percées d'un trou dans un bâton
x en bleu : la couleur n'est là que pour guider Le premier tableau (
Fig
. 37) ne comprend que deux te 1 1 z t E 1
et cercle; le second, quatre : carré, rectangle - cercle, ellipse (
Fig
. 38) ; le troi- sième, six figures, triangle, c
pse (Fig. 38) ; le troi- sième, six figures, triangle, carré, etc. (
Fig
. 39), le der- nier, dix (Fig. 40). Nous ne pass
e, six figures, triangle, carré, etc. (Fig. 39), le der- nier, dix (
Fig
. 40). Nous ne passons au second tableau que qua
te- lier de menuiserie des solides en bois de grandes dimensions (
Fig
. 41) que nous faisons mettre en regard de figur
jaune, puis tableaux de couleurs de Bourneville, Bicêtre, 1899. ?
Fig
. 38. XXXIV Traitement MÉDIGO-PÉDAGOGIQUE. plu
, par un jeu de dominos en couleurs. Ces exercices sont complétés
Fig
. 39. Education de la parole. xxxv par d'autre
mis- sion d'un son articulé (planche à rainure pour le souf- fle (
Fig
. 42), gymnastique des lèvres et de la langue, e
chambre à coucher, en classe, les animaux qui lui sont familiers,
Fig
. 40. xxxvi 1 LEÇONS DE CHOSES. les personnes
les jardins. Pour celles-ci nous avons recours au tableau roulant (
Fig
. 43 et 44) qui nous . Fig 41. TABLEAU roulant
nous avons recours au tableau roulant (Fig. 43 et 44) qui nous .
Fig
41. TABLEAU roulant. xxxvii permet, si l'enfa
ire proprement dit. Lecture. Pour la lecture, comme du reste pour
Fig
, "2, Fig. 43. Lecture. xxxix tout, nous avo
ent dit. Lecture. Pour la lecture, comme du reste pour Fig, "2,
Fig
. 43. Lecture. xxxix tout, nous avons à suivre
nseignement du dessin se fait au moyen du jeu des boutons 11 tige. (
Fig
. 45). - Ce jeu c E Dessin et écriture. XLII
ées, on peut avec eux constituer toutes sortes de figures, telles
Fig
. 40. Fig. 47. XLIV DESSIN ET écriture. qu'u
eut avec eux constituer toutes sortes de figures, telles Fig. 40.
Fig
. 47. XLIV DESSIN ET écriture. qu'un losange r
rayon (prisme à chevilles), il faut lui apprendre à le diriger. Les
Fig
. 46 et 47 représentent la double règle à charni
i a la forme d'un angle droit, d'un carré, d'un poly- gone, etc. (
Fig
. 48 et PL. XI et XII.) Nous croyons bon de cite
n gros les chiffres, afin de mieux frapper leur attention visuelle (
Fig
. 50). Vient ensuite le boulier à tringles verti
visuelle (Fig. 50). Vient ensuite le boulier à tringles verticales (
Fig
. 51)......... - z Ce nouveau boulier que nous
trer à l'en- fant que le nombre de boules que nous voulons, et de
Fig
. 50. XLVIII Casier A bâtonnets ET boulier. di
e élémentaire. Ces deux appareils, casiers et boulier, ne se font
Fig
. 51. Petite école complémentaire. XLII pas su
é de suivre les moniteurs dans tous leurs mou- vements de bras. Les
Fig
. 52 et 53 donnent une idée de ce genre de gymna
ement et sans secousse, et ne les accélérer qu'insensiblement. La
Fig
. 53 représente un autre genre d'exercice où l'o
devrait être placé dans toutes les classes de nos écoles publiques (
Fig
. 54). Enseignement du chant. Cet enseignement e
aux. Nous ne pouvons les représenter tous ; nous nous bornons aux
Fig
. 55 à 58, qui montrent des exercices au tambour
paraîtront le jour ou l'Administration voudra bien nous seconder.
Fig
. 55. Danse, jeux. LXV avis, en faveur de cett
outes les branches de renseignement et dans tous les servi- ces !
Fig
59.) Danse. - Les exercices de danse ont eu lie
enu dans ces concours des médailles Bourneville, Bicêtre, 1899. ?
Fig
. 5(; Fig. : 7, Fig. 58. 1 iy. 59. 7'') ?
s concours des médailles Bourneville, Bicêtre, 1899. ? Fig. 5(;
Fig
. : 7, Fig. 58. 1 iy. 59. 7'') ? no. Fanfa
es médailles Bourneville, Bicêtre, 1899. ? Fig. 5(; Fig. : 7,
Fig
. 58. 1 iy. 59. 7'') ? no. Fanfare, orphéon.
améliorés as reconnaître les objets des animaux (Images graduées,
Fig
. 61); 3" Pour les enfants imbéciles, arriérés et
prisons. Tâche difficile LXXIV Enseignement par les projections.
Fig
. 61. - On projette le mot coq qui est lu il haute
coude. Dans la région do l'omoplate, il y a une série de surfaces
Fig
. 3. Zona thoraco-brachial. 67 rouges avec des
iment l'hébétude, en rapport, du reste, avec son état intellectuel (
Fig
. 4). Fig.4 . . Go ro M' n S M a
étude, en rapport, du reste, avec son état intellectuel (Fig. 4).
Fig
.4 . . Go ro M' n S M a f t- a
o M' n S M a f t- a"- n j 3 ci 7y M w
Fig
. 5. 138 SCLÉROSE EN plaques disséminées. IX.
sions de ces hospices d'un certain nombre de malades suffisamment
Fig
. 7. - Tracé d'une ligne horizontale d'un point à
Tracé d'une ligne horizontale d'un point à un autre (5 juin 1898).
Fig
. 8. 140 Assistance ET surveillance. améliorés
rue, vagabonds ou instruments de vol, souteneurs ou prostituées.
Fig
. 9. - La comparaison du tracé ci-dessus d'un poin
ient nuls. La physionomie était en harmonie avec ces symp- tômes (
Fig
. 10). L'alimentation était réduite aux aliments
t pas la forme ogivale. - La déglu- tition est normale, mais lente (
Fig
. 11). Dentition très mauvaise, érosions poussée
ts ont nié tout accident syphilitique.) PUBERTÉ PRÉMATURÉE. 213
Fig
. 11. 314 PUmmTÉ PRÉMATURÉE .- Thorax. Rien de
- Les réflexes irions il la lumière sont très lents. Les réflexes
Fig
. 12. 2)G Cachexie tuberculeuse. patellaires s
aucune lésion organique des organes thora- ciques ou abdominaux.
Fig
. 13. Puberté prématurée. 217 La physionomie e
conséquence des incidents antérieurs que nous venons de rappeler.
Fig
. 14- 224 Hydrocéphalie ventriculaire. III. La
ontinué à grossir. V. Jusqu'à 8 ans pas de convulsions. A cet âge
Fig
. 15. Squelette crânien d'un hydrocéphale. 225
très rare. Le crâne, en effet, ressemble a un chapeau de gendarme (
Fig
. li et J ;)). M. le JJ" Paviot auquel nous devo
Fournier, a bien voulu nous communiquer une photographie de sa (1)
Fig
. 1, cas personnel. Fig. 2, cas de P. Marie. - Fig
nous communiquer une photographie de sa (1) Fig. 1, cas personnel.
Fig
. 2, cas de P. Marie. - Fig. 3-4, d'après Lunn (Il
graphie de sa (1) Fig. 1, cas personnel. Fig. 2, cas de P. Marie. -
Fig
. 3-4, d'après Lunn (Illus- trated med. News), L
vrier ils89, p. 1S3, 1SG; d'après des croquis de JI. Henry Meige,
Fig
. 1. Fig. 2. 13 NOUVELLE ICONOGRAPUIE DE LA SA
9, p. 1S3, 1SG; d'après des croquis de JI. Henry Meige, Fig. 1.
Fig
. 2. 13 NOUVELLE ICONOGRAPUIE DE LA SAL1'L : 'l'
; Omoplate Ne 0. 2° et 3° métacarpiens atteints d'ostéite de Paget.
Fig
. 3. Fie. 4.. SUR UN CAS D OSTEITE DEFORMANTE
cription et considérer le dessin remarquable ci-dessus (fig. 5) que
Fig
.5. 14 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
En suggérant une surdité gauche, la contracture réflexe rétinienne
Fig
. 6. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES RÉFLEXES INTRA
u sujet des expériences des suggestions hétéronymes, il faut encore
Fig
. 8. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES RÉFLEXES INTR
femmes portant les différents attributs des danses dionysiaques.
Fig
. 10. 58 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALI'L'l'R1
ère, la tète renversée d'une façon excessive, et le cou proéminent (
Fig
. 11) (1). Les bras harmonieusement disposés ind
désordre, et il n'est pas rare que le haut du corps soit mis à nu (
Fig
. 12) (2). (1) Voy. Wieseler. Il. 196, 564, 583,
196, 564, 583, 616. (2) Voy. Stackelberg. Die Graber der Ilellenen.
Fig
. 2L Fig. 11. Les possédées des dieux dans L'A
583, 616. (2) Voy. Stackelberg. Die Graber der Ilellenen. Fig. 2L
Fig
. 11. Les possédées des dieux dans L'ART antique
n, Peintures de vases, II, 68, et Baumeister, 1. c., fig. 1 : 3111.
Fig
. 13. LES POSSÉDÉES DES DIEUX DANS L'ART ANTIQUE
QUE 63 excessifs, rappelant ceux des ménades possédées par le dieu (
Fig
. 13) (1). Dans ces divers monuments figurés, il
et P. Richer. Etudes cliniq. sur la grande hystérie, 1885, p. 5.
Fig
. li. Fig. 15. 64 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
er. Etudes cliniq. sur la grande hystérie, 1885, p. 5. Fig. li.
Fig
. 15. 64 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
rendra facilement compte de l'analogie des altitudes et des gestes (
Fig
. 14 et 15). Quoiqu'il en soit, il convient de n
ue côté du corps. La face est verticale, l'oeil dirigé à l'horizon (
Fig
. 16) Cette attitude se rapproche beaucoup de ce
otogra- phies ainsi obtenues, et que le dessin ci-contre reproduit (
Fig
. 17). Dans la première (1. Fig. 17), le modèle
t que le dessin ci-contre reproduit (Fig. 17). Dans la première (1.
Fig
. 17), le modèle repose sur la pointe des pieds.
ssemble en rien il celle de la station droite. Dans la deuxième (2.
Fig
. 17), le modèle repose sur les talons, et la di
de celle qui est propre à ce mode de station. Dans la troisième (3.
Fig
. 17), au contraire, le modèle repose sur le mil
équilibrée, ainsi que le confirme la quatrième photo- graphie (4..
Fig
. 17) qui représente le même sujet reposant sur un
i est au centre, la résistance en avant et la puissance en arrière (
Fig
. 18). Mais cette contraction des muscles de la
ongueur. Il suffit de tourner le visage légèrement en haut pour que
Fig
. 18. DE LA STATION 75 la ligne de gravité pas
ce en avant représentée par les ligaments et les muscles distendus (
Fig
. 19). Station des cuisses sur les tibias. Les
s ligaments articulaires et en particulier des li- gaments croisés (
Fig
. 20). Il nous parait légitime de faire interven
lieu d'une ligne horizontale passant par la 2e pièce slernale (E.
Fig
. 22). Une verticale tracée de ce point tombe su
te en un point situé en avant et au-dessus du grand trocbanter (II.
Fig
. 22). La distance qui sépare les deux plans ver
lle distance augmente chez les sujets qui se cambrent, exagérant le
Fig
. 22. 80 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S A L P ET
illon transversal se dessine au niveau de son extrémité inférieure (
Fig
. 16). Le jarret est tendu et les plans du muscl
s l'articulation tibio-tarsienne même supportant le poids du corps (
Fig
. 23). M. le D' Imbert dans ses annota- tions a
lecentre de rotation, au milieu, dans l'articulation tibio-tarsienne (
Fig
. 24). La vérité est que le mouvement de soulève
ngiennes et coupe l'axe du membre inférieur à la hauteur du genou. (
Fig
. 25.) Dans, ce genre de station, l'équilibre es
aire et disparaissent lorsque celui-ci est parfaite- ment établi.
Fig
. 20. t 1 86 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ
s, c'est elle qui par de légers mouvements contribue à l'y ramener (
Fig
. 28). La jambe sur laquelle le corps s'appuie p
is posés, l'aplomb d'un homme qui hanche est très facile à établir (
Fig
. 26 et 27). L'axe du membre portant incline en
u pubis peut, suivant les circonstances, être incliné latéralement (
Fig
. 27) dans un sens ou dans l'autre ou même demeure
ans un sens ou dans l'autre ou même demeurer parfaitement vertical (
Fig
. 26). Il est légèrement incliné dans le même sens
incliné, parfois môme d'une façon très notable dans le sens opposé (
Fig
. 27), ainsi qu'on l'observe fréquemment dans les
spécia- les et qui méritent d'être étudiées avec quelques détails (
Fig
. 28). Nous commencerons parles extrémités infér
s sont égaux à la longueur de la jambe. Lorsque le corps est droit (
Fig
. 29). la ligne de gravité passe au niveau des
n point d'appui sur les talons et que la station à genoux se Lrans-
Fig
. 29. 9C NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
ique. - E. Brissaud. . Professeur agrégé, médecin des hôpitaux.
Fig
. 30. Trajet et rapports de la bandelette sous-opt
la.racine antérieure du thalamus se dirigent d'avant en arrière.
Fig
. 31. - Trajet et rapports de la bandelette sons-o
é, jusqu'à la fosse iliaque en avant, la crête iliaque en arrière. (
Fig
. 32 et 33). La transition des parties anesthési
tion de tiédeur, tandis que plus loin la sensation de contact était
Fig
. 32 et 33. 116 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
du Vray Potier près les Malhurins. AVEC PRIVILÈGE DU ROY. i;61.
Fig
. 31. 'un des documents les plus intéressants qn
à notre disposition par : \1;\1. Hahn et Corlieu, bibliothécaires.
Fig
. 311. - Ambroise Paré ¡\ 4 : i ans, d'après le po
STE HUMAINE 121 dontnous reproduisons l'nn des meilleurs spécimens (
Fig
. 34), les en-tôle, lefrontiscipe, entouré d'un
du titre, et entouré de sa devise « Labor improbus omnia vincit » (
Fig
. 35). L'ouvrage lui-même est divisé en deux par
ter, faut premièrement raser le poil puis coupper le cuir musculeux
Fig
. plan- cette décorée du croissant de Diane
acera le cuir musculeux du front près l'os, transversalement jus- .
Fig
. 37. Bistouri d'a- 124 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
fiée. Or il y a d'aucuns soy disants chirurgiens (mais plutost sont
Fig
. 38 et 39. - Trépans perforatif et exfoliatif d'a
tu d'un mécanisme pour lequel plusieurs théories ont élé proposées (
Fig
. 40). La théorie musculaire qui remonte il Fabr
ds et sur laquelle la plupart des auteurs ont alliré t'attention.
Fig
. SI. Fig. 12. '136 NOUVELLE ICONOGRAPHIE Il L
aquelle la plupart des auteurs ont alliré t'attention. Fig. SI.
Fig
. 12. '136 NOUVELLE ICONOGRAPHIE Il LA SALPÊTRIÈ
auche de la moitié de sa longueur ou d'un pas, et réciproquement.
Fig
. 43, DE LA STATION ET DE LA MARCHE CI ! EX LES
diverses phases du double pas se succèdent dans l'ordre suivant :
Fig
. 44. 13S NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
côté de la jambe oscillante. Mais cette inclinaison est fort légère (
Fig
. 46, D, G). Elle varie avec les individus, en t
arche de canard. C'est sur ce point que je veux surtout insister.
Fig
. 16. Inclinaisons opposées du tronc et du bassin
nt l'appui unilatéral droit, et celle chute se produira à gau- che (
Fig
. 1t6 D'). Donc, dans la phase d'appui unilatéral
bas par l'épaisse masse graisseuse qui recouvre les fessiers (Voy.
Fig
. 49 et 50). On peut donc déjà présumer que les
avant qu'elle prend quand la malade est au repos. Les mouvements de
Fig
. /17. 152 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
let il existe une dépression plus marquée qu'à l'état normal. (Voy.
Fig
. u9 et 50). La malade étant assise ne peut se l
un raccourcisse- ment apparent de ce segment du membre inférieur. (
Fig
. 48). Les mouvements du pied sont également trè
existe assurément un certain degré de rétraction des muscles de la
Fig
. 48. Fjg. 49. Fig. 50. 154 NOUVELLE ICONOGR
certain degré de rétraction des muscles de la Fig. 48. Fjg. 49.
Fig
. 50. 154 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
ains, puis il incline le tronc en avant en se soulevant légèrement (
Fig
. 51). Dans un second temps, il descend sa main ga
la tête et vient placer sa main droite sur la fesse du même côté. (
Fig
, 52) (2). Placé par terre, clans le décubitus h
roéminent, la (1) Revue de médecine, 1885, p. 259 et 269. (2) Les
Fig
. 51 et 52 qui reproduisent des dessins du malade
A. Souques, Chef de la Clinique des maladies du système nerveux.
Fig
. 51 Fig. 52. UN CAS D'AMYOTROPHIE PRIMITIVE.
s, Chef de la Clinique des maladies du système nerveux. Fig. 51
Fig
. 52. UN CAS D'AMYOTROPHIE PRIMITIVE. ACCOMPAG
mie » et un léger gonflement du cou dans la région thy- roïdienne. (
Fig
. 53). Les deux mains et les deux pieds sont trè
n'a jamais noté de tremblements fibril- laires dans les muscles.
Fig
. 33. 190 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
chez des sujets dont l'intelligence était parfaitement con- servée (
Fig
. 54). Aussi avions-nous pensé que ce faciès si
de la Salpêtrière, de grandes analogies avec le facies myopathique (
Fig
. 54 et 55). Dans son volumineux ouvrage sur la
le page ne sont que l'expression des fantaisies de son imagination.
Fig
. 55. 202 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
essin inédit d'une jeune myopathique dû aussi à M. Paul Richer (1) (
Fig
. 56). (1) Le buste de myopathiques est celui du
hotographie du même malade est reproduite Pl. XVII (à droite). La
Fig
. 56 représente la malade Lavr. dont l'observation
et XXI), la malade de M. Savill (Pl. XXII et XXIII) et notre dessin
Fig
. 53 d'après une photographie de cette dernière.
notre dessin Fig. 53 d'après une photographie de cette dernière.
Fig
.5G. NOUV. ICONOGN. DE LA SALPtTll : 'ftI : T. V
a jambe qui accompagne souvent les pieds- bots y est bien indiquée (
Fig
. 57). i On ne peut cependant pas prétendre qu'i
her, qu'il s'agit là d'une figuration de paralysie infantile avec .
Fig
. 1. 204 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
oppent brusquement affectent. le plus souvent cette singulière dis-
Fig
. 58. ARTHROPATHIES NERVEUSES ET TROUBLES DE LA
forme schématique dans la dix-neu- vième leçon de Pierre Marie (1) (
Fig
. 59). Il s'agit dans noire cas d'un homme de qu
ous ai dit tout (1) Leçons sur les maladies de la moee (page ni).
Fig
. 59. 218 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
une supination et dans une pronation égale- ment invraisemblables (
Fig
. 60. 1, 2, 3). Par la spontanéité et la brusque
tanéité et la brusquerie de son arthropathie, par la soudaineté \
Fig
. GO. \ ARTHROPATHIES NERVEUSES ET TROUBLES DE L
Jelleml paresis, I' ! n ! ade1;)hia)fospitn[t{epo)'tsfot' 1892. '
Fig
. Gl. NOUV. ICONOGR. DE LA SALPtfqILKE T. VII, P
é des précédents, car dans l'observa lion de J. M. Charcot, où il y
Fig
.G2.(l) avait arthropathie de l'épaule et du poi
d'une ossification péri-articulaire comme dans le cas d'Hoffmann (
Fig
. G2). - On pourrait encore ajoutera notre stati
IÈRE Description de la malformation du membre supérieur gauche Voy.
Fig
. 63 (1). ' La malade présente depuis sa naissan
une amputation irrégulière, comme celle que produirait une machine.
Fig
. 63. L index et le médius sont absents : seul
in orthographique obtenu était réduit de moitié au panto- graphe » (
Fig
. 68). La technique que nous suivons, au moins a
aurait gagné en vérité et en vigueur. PAUL Richer et Henry MEIGE.
Fig
. 75. TÈTE DE POSSÉDÉE d'après UNE ESQUISSE PE
Le malade de J. M. Charcot offrait un bel exemple de luxation per-
Fig
. 76. 288 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
thérapeutique appropriée peut rendre le plus de service au malade (
Fig
. 7C). Les luxations peuvent apparaître soit dès
nt qu'il s'agit d'une véritable arthropathie suppurée d'emblée sans
Fig
. 'il. 290 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
e sont aussi celles d'un coude (obs. de P. Berbez et P. Blocq) (1) (
Fig
. 78). A. l'épaule la tète humérale d'une part,
e faite par M. P. Blocq in Bullet. de la Soc. Anat., 1887, p. 83.
Fig
. 78. 292 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
couvrit l'atrophie musculaire et la dissociation de la sensibilité (
Fig
. 79). Il faut savoir que la valeur de ce symptô
ibution à l'élude des tumeurs névrogliques de la moelle épinière.
Fig
. 79. Arthropathie syringomyélique de l'épaule et
- thique, sauf une analgésie complète de l'articulation atteinte (
Fig
. 80). Mon second exemple a trait a un malade, â
puis oedème s'étendant jusqu'à moitié du bras et de l'avant-bras :
Fig
. 80.- Arthro- pathie tabétique dupoignet, aya
arthropa- thique, dont nous citons plus loin un fort bel exemple (
Fig
. 81 et 82). J'ajoute que cette observation, en
iques de lésions infectieuses : l'arthropathie n'est plus alors une
Fig
. 81 et 82. Arthropathie tabétique du coude pend
ente : chez notre premier ma- lade, tabétique et porteur d'un du-
Fig
. 83 et su Arthropathie syringomyé- lique de l'a
nnait à la main une ressemblance étonnante avec une patte de singe (
Fig
. 83 et 84). - : 3° Enfin une forme hypertrophiant
à l'angle interne d'un valgus ou sur le dos d'un orteil ennarteau-(
Fig
. 85). Dans quelques cas exceptionnels seulement,
Cette-nouvelle variété revêt'deux formes très différentes l'une de
Fig
. S ? Petites arthropathies du pied, chez un tab
f3 C M o 1=1 50 a M Q o > f Ci : ) es
Fig
. 86, 87, et 88. - Pied tabétique. A. Aspect clini
à l'action de la cocaïne ou de l'éther et l'on devra recourir, dès
Fig
. 89. - Amputation sous-as- tragaliennepourulcér
leux qui peuvent présider à la coordination et il l'appropriation .
Fig
. 93. LE NERF LABYRINTHIQUE 359 simplement réf
permettra d'ex- poser brièvement le mécanisme de l'équilibration (
Fig
. 93). Trois grandes sources d'informations péri
ité il la pression profonde était, il droite et à gauche conservée (
Fig
. 94 et 95). -Des deux côtés, le rellexe crémastér
a lame mais aussi par la masse latérale de la vertèbre et la partie
Fig
. 94 et 93. - Distribution des troubles sensitifs
la base des cornes postérieures, petites (20 f'-) et de forme variée (
Fig
. 90). 2° Le noyau de Bechterew (B), noyau vesti
(D), le noyau de Becblerew(B) et surtout le noyau interne (VIII i)(
Fig
.90). D'après Edin- ger, d'antres fibres se déta
RSO-LOMBAIRE; LAMNECTOMIE; GUÉRISON L BATTAILLE ET Ci. Éditeurs
Fig
. 90. Projection de toutes les fibres homologues d
l'usage du nerf labyrinthi- Hémisphère droit. Hémisphère gauche.
Fig
. 91 et 92. 356 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
91 et 92. 356 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE que droit (
Fig
. 91 et 92). Nous trouvons du côté opposé une rema
aquelle je suturai la dure-mère et, sans drain, les parties molles (
Fig
. 96). Il n'y eut acucune élévation de températu
ur le membre inférieur droit, l'li3,pooslliésie avec retard vu 25
Fig
. 96. - Mécanisme de la compression osseuse de la
sie cutanée; il n'y avait pas d'autres troubles de la sensibi- ité (
Fig
. 97 et 98). Les réflexes du membre supérieur gauc
nt du reste, la moelle avait été autrefois commotionnée ou contuse,
Fig
. 97 et 98. - Distribution de t'hyperestliésie che
ni fièvre, et se levait le 8° jour. Il carda sa minerve un mois.
Fig
. 99. - Ligature réductrice des apophyses épineu
résultats Sclérose limitée aux cordons médians ou cordons de Goll.
Fig
. 1. Région cervicale. — Fig. 2. Région dorsale.
e aux cordons médians ou cordons de Goll. Fig. 1. Région cervicale. —
Fig
. 2. Région dorsale. tômes de l'ataxie locomotri
de toute participation dans la production des symptômes essentiels. (
Fig
. 1, 2, 3, 4, a, a ; voyez aussi Planche I, Fig. 1
symptômes essentiels. (Fig. 1, 2, 3, 4, a, a ; voyez aussi Planche I,
Fig
. 1). L'examen attentif des lésions que présente l
ordons de Goll. Fig- 3. Coupe au niveau de la 12e vertèbre dorsale. —
Fig
. 4. Partie supérieure du renfle-ment lombaire. (C
sensi-tives les plus internes paraissent en émerger (Voyez Planche I,
Fig
. 2). Sur les coupes transversales, elles se montr
ses ; le faisceau médian était exempt de toute altération (Planchk I,
Fig
. 3.) Il résulte évidemment de tout ce qui précè
n dési-gne communément sous le nom de faisceaux radiculaires inter-
Fig
. 5. — A, Racines postérieures. — B. Filets radicu
se des cordons postérieurs à la corne antérieure grise du côté droit (
Fig
. 5). La malade ayant succombé à une affec-tion in
ement et bientôt il se produisit une luxation de l'épaule en arrière (
Fig
. 6). Ce cas revient de droit, comme le précéden
he — et je me sers toujours de la description classique — les symp-
Fig
.6. —Extrémité supérieure d'un humérus sain et d'u
s cas récents. Comparez, par exemple, l'humérus que je vous présente (
Fig
. 6) et provenant d'une malade ataxique qui a succ
ainsi que cela avait lieu dans un fait dont j'ai rapporté l'histoire (
Fig
. 6 et 7) l. Voici les principaux phéno-mènes qu'i
arcot. — Hémiparaplégie déterminée par une tumeur qui comprimait la
Fig
. 6 et 7. muscles abdominaux de ce même côté. Le
mètres et demi environ et son axe transversal un centimètre et demi. (
Fig
. 6 et 7, a.) Elle est située à cinq centimètres a
e dans une dépression qu'elle s'est creusée aux dépens de la moelle. {
Fig
. 7, b.) Elle n'est pas placée exactement sur la l
Idem, 1866, p.213. 2 Medic. chir. Tramact., t. II. London, 1868.
Fig
. 8. — Coupe de la moelle à la région cervicale da
s points exclusivement, les cornes antérieures de la substance grise (
Fig
. 8). Dans toutes les régions de la moelle, les gr
cale, nos 41, 43. 45, 48, 51. (Octobre, novembre et décembre 187i.)
Fig
. 9. — Coupe de la moelle faite à la région lombai
-conscrit qui correspond à un groupe ou agrégat de cellules motrices (
Fig
. 9). Comment concevoir que cela puisse être, si l
it dans le centre cérébro-spinal, soit dans les nerfs périphé-riques (
Fig
. 16, B). plus graves, sans qu'il y ait dissocia
t, sont toutes, anatomiquement parlant, atrophiques ou dégénératives (
Fig
. 10, C, D, E.). 3° Je signalerai, en passant, l
convaincre encore que cette altération n'est pas un produit de l'art (
Fig
. 10, F). 4° J'insisterai plus longuement sur l'
exemple, d'atrophie musculaire progressive, ou de paralysie bulbaire (
Fig
. 10, C, D). 5° Enfin, une dernière forme d'alté
cas d'amyo-trophie spinale liée à un processus irritatif bien accusé [
Fig
. 10, E.). (Gharcot: Cours de la Faculté, 1874.)
ellu-laires de la gangue conjonctive présentent les traces manifes-
Fig
. 11. — Coupe delà moelle épinière à la région cer
es, la corne grise peut offrir une réduction dans tous ses diamètres (
Fig
. 11). Pour ce qui est des cellules nerveuses, c
nerveuses, ce sont tantôt les ca-ractères de l'atrophie pigmentaire (
Fig
. 10, C, D, p. 203), tantôt ceux de l'atrophie s
taire (Fig. 10, C, D, p. 203), tantôt ceux de l'atrophie scléreuse (
Fig
. 10, E, p. 203) qu'on y observe. En somme, nous
cornes antérieures ont disparu, à l'exception d'un seul petit groupe {
Fig
. Il, b). — Les racines antérieures, émanant de la
tral est fermé en arrière, la masse embryonnaire tend à se séparer,
Fig
. 12. — Coupe de la moelle d'un embryon humain d'u
vent ébauchés, en premier lieu, les rudiments des cornes antérieures [
Fig
. 12, a), et des cornes postérieures (Fig. 12, b)
ents des cornes antérieures [Fig. 12, a), et des cornes postérieures (
Fig
. 12, b) de substance grise. A chacune de ces part
Pierret. portent les unes, le nom de zones radiculaires antérieures (
Fig
. 12, a"1); elles entreront, chez l'adulte, pour u
ro-latéraux ; les autres s'appellent zones radiculaires postérieures (
Fig
. 12, tt). Avec l'adjonction des faisceaux de Goll
ce embryonnaire, où les tubes nerveux ne se montreront que très tard (
Fig
. 13, /). Vers cette même époque (c'est-à-dire la
t dans toute la hauteur de la moelle: ce sont les fais-ceaux de Goll (
Fig
. 14, m). En même temps, une formation analogue
est relative aux petits faisceaux que j'ai proposé de désigner sous
Fig
. 13. — Coupe de la moelle d'un embryon humain âgé
emi. — a, b, c, etc., comme dans la figure 14. — /, cordon latéral.
Fig
. 14. — C. de la moelle d'un embryon hu-main âgé d
sous la forme d'un espace triangulaire correspondant à la partie la
Fig
. 15. — C. de la moelle cervicale d'un embryon hum
moelle, dans le bulbe et dans Charcot. Œuvres complètes, t. ii. i
Fig
. 16. — Coupe transver-sale delamoelle épinière pa
lle épinière pas-sant par la partie moyenne du renflement cervical.
Fig
. 17. — Coupe transversale passant par le milieu d
7. — Coupe transversale passant par le milieu de la région dorsale.
Fig
. 18. — Coupe transversale passant par le milieu d
ile de la moelle par un tractus de substance blanche restée intacte. {
Fig
. 16, A, A. —Voiraussi Pl. IV, Fig. 1, 2,3; Pl. Y,
substance blanche restée intacte. {Fig. 16, A, A. —Voiraussi Pl. IV,
Fig
. 1, 2,3; Pl. Y, Fig. 1 et 2). Toutes les autres
estée intacte. {Fig. 16, A, A. —Voiraussi Pl. IV, Fig. 1, 2,3; Pl. Y,
Fig
. 1 et 2). Toutes les autres parties des faiscea
latéraux. b) A la région dorsale, la lésion est plus circonscrite. [
Fig
. 19.) En avant, elle n'atteint même pas une ligne
Il est à remarquer que, en dehors, elle touche à la zone corticale. {
Fig
. 19). B. En second lieu, qu'observe-t-on dans l
sement des pyramides antérieures dans toute leur étendue en hauteur. (
Fig
. 19.) Au-dessus, dans la partie inférieure de la
ent de l'étage inférieur du pédoncule, n'est cependant pas envahie.
Fig
. 19. — Coupe transversale du bulbe passant par la
truites en même temps que la névroglie qui les englobe est sclérosée (
Fig
. 20). Mais je me contente, pour le moment, d'indi
amyotrophies bulbaires et la paralysie labio-glosso-laryngée. V.
Fig
, 20. — Coupe transversale du bulbe, faite au nive
ma-nière essentielle, de celles qu'on rencontre dans l'amyotrophie
Fig
. 21. — Coupe de la langue. État normal. conjonc
nimées de mouvements pour ainsi dire vermiculaires, qu'on y observe
Fig
. 22. — Coupe de la langue dans un cas de sclérose
te par la végétation excessive du pérymisium tant interne qu'externe (
Fig
. 21 et 22.) Après cet exposé des lésions propre
ntuées. Les déformations, pour une part, sans aucun doute, dépen-
Fig
. 23. — Attitude de Vavant-bras et de la main chez
, tandis que les doigts sont recroquevillés vers la paume de la main (
Fig
. 23). Ces attitudes forcées, les douleurs produ
re supérieur, voici quelle est l'attitude qu'il offre habituellement (
Fig
. 23). de les modifier, suffiraient déjà en quel
yeux; car, sur les coupes transver-sales, convenablement pratiquées (
Fig
. 24), on reconnaît L'altération de la dure-mère
diagnostic et vous savez qu'à ce point de vue rien n'est à négliger. (
Fig
. 25.) Quelle est la raison de cette indemnité r
se para-lysent à leur tour et plus tard se contracturent tout comme
Fig
. 25. — Attitude de la main dans la pachyméningite
l'é-tendue du membre supérieur et du membre inférieur d'un même côlé (
Fig
. 26). Ce mode de répartition des lésions muscul
lequel, dans mon opinion, s'effectue, dans ces cas, l'envahissement
Fig
. 26. — Coupe de la moelle épinicre u la région lo
certains points celui des faisceaux musculaires, et même le dépasse (
Fig
. 27). Ces travées, ainsi qu'on peut s'en convainc
peuses entre ces fibrilles mar-quent une phase nouvelle du processus (
Fig
. 27, G.). Les cel-lules sont discrètes d'abord, i
ume est très prononcée. Dans ce dernier cas, l'examen microscopique
Fig
. 27. — Coupe transversale d'un muscle dans la par
les unes contre les autres'et que la'pression réciproque a rendues
Fig
. 28. — Coupe longitudinale d'un muscle dans la pa
au plus), enveloppés de toutes parts par les fibrilles conjonctives (
Fig
. 27,1), soit des tractus fibril- Ciiarcot. Œuvr
laire et mis en rapport im-médiat avec les cellules du tissu adipeux (
Fig
. 28). En somme, la substitution graisseuse repr
ssants d'investiga-tion anatomique dont nous disposons aujourd'hui.
Fig
. 29. — A, A, cordons latéraux; — A', faisceaux de
décomposés en deux régions bien distinctes: 1° les faisceaux deGoil (
Fig
. 29, E) dont la lésion isolée a été déjà plusieur
te, com-parable, même de loin, à nos cartes géographiques modernes (
Fig
. 29, B. B), substratum anatomique de l'ataxie loc
gie se confond presque toujours avec celle des faisceaux latéraux ;
Fig
. 30. — Coupe transversale de la région lom-baire
vations établissent cependant qu'elles peuvent être lésées isolément (
Fig
. 30, A). L'altération s'est traduite, dans ces ca
olée des commissures, et en ce qui con-cerne les cornes postérieures (
Fig
. 29, C), on sait seulement que, lorsqu'elles sont
. aussi dans le même ouvrage les Figures 11 et 12 de la Planche IV.
Fig
. 31. — Myélite trauma-tique. — «, Cylindres axi-l
des tubes nerveux ont acquis un diamè-tre relativement considérable. (
Fig
. 31.) Quelques mensurations ont donné ce qui suit
lalé-raux ou postérieurs ; mais on les rencontre aussi, en certain
Fig
. 32. — a, a, Cylindres axiles les plus volumineux
ces renfle-ments, le cylindre récupère à peu près le diamètre normal (
Fig
. 33 h On peut suivre les cylindres axiles à dilat
poui 1871 (7 octobre, p. 451), voulant me borner, sur ces points, à
Fig
. 33. — a, Cylindres axiles les plus volumineux.
adipeuses entre ces fibrilles marque une phase nouvelle du processus (
Fig
. 32.) Les cel-lules graisseuses sont discrètes d'
ons qu'elles se substituent aux fibrilles, lesquelles finissent par
Fig
. 34. —Coupe transversale d'un muscle dans la para
llaire et mis en rapport immédiat avec les cellules du tissu adipeux (
Fig
. 33). Mais je le répète, partout, dans le deltoïd
esure qu'elle progresse, le tissu fibrillaire de formation nouvelle
Fig
. 35.— Coupe longitudinale d'un muscle dans la par
nes des cordons postérieurs. b, Sclérose du cordon intermédiaire.
Fig
. 1 (à droite). — Coupe transversale de la région
nes des cordons postérieurs ne présentant aucune trace de sclérose.
Fig
. 2 (à gauche). — Coupe transversale de la moelle
s racines postérieures, c, sont envahis totale-ment parla sclérose.
Fig
. 2 (à droite). — Coupe de la région dorsale de la
. La sclérose a envahi les mêmes parties qu'au renflement cervical.
Fig
. 3 (à gauche). — Coupe transversale de la moelle
éreux situé immédiatement en arrière de la com-missure postérieure.
Fig
. 3 (à droite). — Coupe transversale de la moelle
nsidérables. — h, Cylindre d'axe refoulé sur les parties latérales.
Fig
. 2. — Substance blanche de la moelle chez un suje
volume normal; les autres,c, sont d'un volume beaucoup plus petit.
Fig
. 3. — Pachy méningite externe; coupe longitudinal
es . ñ i 7 ? p . ñ) . Î PLANCHE III MAL DE POTT; TAIUPLÉGIE
Fig
. 1. — Examen de la moelle par coupes successives
xiste plus. — c, Vestiges delà partie latérale droite de la moelle.
Fig
. 3. — Coupe à la région cervicale dans un cas de
is . PLANCHE IV SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES CORDONS ANTÉRO-LATÉRAUX
Fig
. 1. — Coupe transversale du bulbe rachidien au ni
se. e, Entre-croisement des pyramides. p, p, Cornes postérieures.
Fig
. 2.— Coupe transversale de la moelle épinière à l
antérieurs. c, c, Cornes antérieures, p, p, Cornes postérieures.
Fig
. 3. — Coupe transversale de la moelle épinière à
ration occupant différents points de la substance grise antérieure.
Fig
. 4. — Elle représente les différentes phases de l
O' PLANCHE V SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES CORDONS ANTÉRO-LATÉRAUX
Fig
. 1 . — Coupe transversale de la moelle épinière à
dons latéraux, c, c, Cornes antérieures. p, p, Cornes postérieures.
Fig
. 2.-— Coupe transversale de la moelle épinière à
? \padAyluy~l___ PLANCHE VII ATROPHIE MUSCULAIRE PROTOPATH1QUE
Fig
. 1. — Coupe transversale de la moelle épinière à
, Faisceau de Tiirck. — Ces trois faisceaux sont tout à fait sains.
Fig
. 2. — Coupe transversale de la moelle épinière à
es. Il n'y a plus de sclérose de la zone radiculaire antérieure, T.
Fig
. 3. — Partie moyenne de la région dorsale. — A, Z
à la ré-gion cervicale et con'enant une ou deux crllules nerveuses.
Fig
. 4.— Diverses phases de la destruction des cellul
um, séparés les uns des autivs par de larges faisceaux conjonctifs.
Fig
6. — Petit vaisseau pris dtans la substance grise
contenant plusieurs noyaux. — c, Noyau d'une cellule endotbéliale.
Fig
. 7. — Vaisseau pris dam la même région et dont le
g. 7. Fi î. 4. PLANCHE VIII ATROPHIE MUSCULAIRE PROTOPATHIQUE
Fig
. 1. — Coupe transversale du nerf phrénique. — a,
s nerveux ont totaltment disparu (dessin fait à la chambre claire).
Fig
. 2. — Coupe transversale d'un nerf phrénique norm
la chambre claire avec le même grossissemmt que pour la figure 1).
Fig
. 3. — Un tube du nerf phrénique malade {névritepa
Le cylindre d'axe a disparu. Grossissement 700 diamètres en-viron.
Fig
. 4. — Coupe longitudinale du diaphragme normal.
res en-viron. Fig. 4. — Coupe longitudinale du diaphragme normal.
Fig
. 5. — Coupe longitudinale du diaphragme malade. —
udes. J'ai fait placer sous vos yeux une planche qui met assez bien
Fig
. 1. — Schéma montrant les principaux traits de l'
quelques-unes des particularités sur lesquelles je viens d'insister (
Fig
. i). Elle est empruntée à un intéressant travail
s justement estimés qui aient paru sur la matière 2. Cette planche (
Fig
. 2) représente la coupe pratiquée suivant l'axe p
diculaire. Dans le cas que nous supposons, le nombre des rameaux de
Fig
. S. second ordre, y compris ceux qui proviennen
ploi de cette dénomination acinus pulmonaire à laquelle je m'arrête. [
Fig
. 3et6.) Comme chacune des bronches terminales s
1 Houghton Waters. — The anatomy of the human Lung. London, 1860.
Fig
. 3. — Sytème des conduits alvéolaires avec les in
ne forme polyédrique. Leurs dimensions sont différentes suivant les
Fig
. 4, — Coupe pratiquée sur le poumon de l'homme.
l'aide des plus forts grossissements, les espaces interalvéo-laires {
Fig
. 4) -. Cette disposition explique les apparence
nt de l'arrangement lobulaire du poumon, en d'au-tres termes Vacinus (
Fig
. 5). J'aurai très prochainement l'occasion de v
construites sur le même plan et avec les mêmes matériaux que -V"
Fig
. 5. — Un acinus pulmonaire. — Préparation origina
millimètre, de celles dont le calibre reste au-dessous de ce chiffre (
Fig
. 6). B. Les premières, c'est-à-dire les bronche
fi-breux, dense, disposé sous forme de faisceaux, les uns longitu-
Fig
. 6. — Une partie de la coupe d'une bronche de 6 m
épaisseur de cette tunique que se voient les plaques cartilagineuses (
Fig
. 6, a), ainsi que les glandules muqueuses. 2° P
, compo sée par des fibres lisses disposées en faisceaux circulaires (
Fig
. 6, b). Chez l'homme, l'épaisseur de celte couche
rder comme correspondant au derme de la membrane muqueuse bronchique (
Fig
. 6, c). Du côté de la cavité bron-chique, elle se
stituée par des cellules épithéliales cylindriques à cils vibrátiles (
Fig
. 6, d). Le revêtement, ici, est formé d'une couch
nsi, sur une bronche de 0,4 y- de diamètre, elle a seulement 0,02 y. (
Fig
. 1, a). De plus, et c'est là un trait important,
tre, vous le savez, est au-dessous de 1 u. 2° La couche musculaire (
Fig
. 1,, b) est, ici encore, très accentuée ; mais el
dans les conduits alvéolai-res2. 3° La couche interne ou muqueuse (
Fig
. 7, c), conserve Fig. 7. — f7»â partie de la co
olai-res2. 3° La couche interne ou muqueuse (Fig. 7, c), conserve
Fig
. 7. — f7»â partie de la coupe d'une bronche de 0,
ment ôpithé-lial, elles gardent leur caractère jusqu'aux bronchioles (
Fig
. 7, d). A cet endroit, elles prennent la forme cu
nent pavimenteuses i Rindfleisch, toc. cit., 4e édition, p. 488. (
Fig
. 8) en même temps qu'elles perdent leurs cils (Fi
dition, p. 488. (Fig. 8) en même temps qu'elles perdent leurs cils (
Fig
. 9.) D. Les développements qui précèdent nous m
uiert, pas moins, dans l'état pathologique, une épaisseur considé--
Fig
. 8. — Emprun-tée au Traité d'histologie de M. Kôl
mon — ou dans la broncho-pneumonie chro-nique de nature tuberculeuse (
Fig
. 9). Les fibres élastiques constituent par leur
ules res-piratoires lorsqu'on les examine au microscope. Elles sont
Fig
. 9. — Coupe d'un infundibulum latéral. Poumon d'u
d'une manière sommaire, la disposition qu'il offre chez les animaux
Fig
. 10. — Epithelium pulmonaire du triton, (trito cr
oire, examinée par sa face interne, laisse voir les détails suivants [
Fig
. 10). ? Yous reconnaissez tout d'abord les mail
re, tandis que les plaques de protoplasma recouvrent les capillaires (
Fig
. H)1. Fig. H. — Schéma d'une coupe perpendicula
ue les plaques de protoplasma recouvrent les capillaires (Fig. H)1.
Fig
. H. — Schéma d'une coupe perpendiculaire d'une ma
bien accentué, recouvre la paroi de la cavité dans toute son étendue [
Fig
. 12). Tout récemment, un fœtus de sept mois, qu
e de faire une distinction : 1° Les uns, relativement très étroits (
Fig
. 13, n), avaient conservé ce que j'appellerai le
s que larges; — 2° Sur d'autres alvéoles plus larges, plus distendus (
Fig
. 13, m), les cellules de l'épithélium avaient sub
-diaire. Sur une portion de la cavité, le revêtement était encore
Fig
. /5—1. Epithélium des alvéoles pulmonaires, chez
illeurs, les caraclères du revêtement épithé-lial chez le nouveau-né (
Fig
. 14). L'épithélium est continu, composé pour la
s et, par contre, les plaques sans noyaux recouvrent les vaisseaux.
Fig
. 14. — Revêtement épithélial des alvéoles pulmo-n
mplété par une ligne également demi circulaire de fines granulations (
Fig
. 15) 2. Les divisions qui séparent les cellules l
à le troisième jour, de chaque côté de cette partie du tube digestif (
Fig
. 17), on trouve, par la dissection, deux prolonge
ce aux tissus élastique, musculaire, cartilagineux, conjonctif, etc. (
Fig
. 18), qui entrent dans la composilion des paroi
our. Nous ferons tout à l'heure l'application de ces notions élé-
Fig
. ¡7. — Schéma d'une portion du canal digestif d'u
cellules hypobla-stiques, —p, diverticulum vésicu-laire qui en naît (
Fig
. 42 des Elé-ments d'embryologie de Foster et Balf
en naît (Fig. 42 des Elé-ments d'embryologie de Foster et Balfour).
Fig
. IS. — Quatre schémas destinés à montrer la forma
présenter les signes de change-ments internes qui se sont produits. (
Fig
. 43 de Foster et Balfour, loc. cit.). mentaires
itiques, on observe, ainsi que l'ont fait voir MM. Cornil et Ranvier (
Fig
88)2, absolument la même disposi-tion. Fig. 19.
r MM. Cornil et Ranvier (Fig 88)2, absolument la même disposi-tion.
Fig
. 19. — Coupe à travers un noyau d'hépatisation. —
éveloppent les éléments musculaires, élastiques, les vaisseaux, etc. (
Fig
. 20 et 21). Pour en revenir aux lésions broncho
nies chroniques. Mais le fait vous paraîtra, sans doute, plus digne
Fig
. SO. — Schéma d'une portion du canal digestif d'u
verticulum pancréatique et diverticulum vésiculaire qui en naissent. (
Fig
. 42 des Eléments d'embryologie de Foster et Bal-f
issent. (Fig. 42 des Eléments d'embryologie de Foster et Bal-four).
Fig
. Si. — Quatre schémas destinés à montrer la forma
omposés surtout de canaux collecteurs 1 et restés relativement sains (
Fig
. 22). Histologiquement, deux faits dominent la
ite d'altérations diverses présente l'altération granulo-graisseuse
Fig
. 22. ?— Coupe faite sur un rein contracté perpend
.(Figure demi-schâmatique, d'après les pré-parations de M. Kelsch).
Fig
. 23. — Tubes uriui-fères atrophiés et con-tenant
tologie du rein contracté: G. Johnson, Cornil, Ranvier, Kelsch, etc. (
Fig
. 23). Je n'ai pas manqué de vous la faire remarqu
iblaste et le mésoblaste. — C'est le 1er rudiment du corps de WolLT. (
Fig
. 24, GG). L'amas en question, composé de cellules
bes re-pliés sur eux-mêmes. Ces tubes sont, comme le canal de Wolfl
Fig
. 34. — Coupe transversale de l'embryon de poulet
es traînées de tissu conjonctif em-bryonnaire. Substance corticale (
Fig
. 25). — Comparons cette figure à la Fig. 26, qui
naire. Substance corticale (Fig. 25). — Comparons cette figure à la
Fig
. 26, qui représente les parties homologues du rei
ès miliaires n'ont du reste pas de siège de prédilection car on les
Fig
. 25. — Rein droit d'un cobaye sou-mis à l'expérie
bes contournés (A, A.). — Au premier abord, quelques-uns paraissenl
Fig
. 26. — Rein droit du même cobaye dont l'uretère e
ube pourvu d'un revêtement très régulier de petites cellules cubiques
Fig
. 26) et dont la cavité est complète-ment vide ou
rait l'apparence représentée dans un schéma ingénieusement construit (
Fig
. 27) que je trouve dans la récente publication de
is, 1877.) 1 Voir les Leçons sur les maladies du foie, p. 42, 43.
Fig
. 27. — (D'après M. Farabeuf). — V, V, vaisseau. —
es vaisseaux avec lesquels elle était au-trefois en contact immédiat (
Fig
. 28). Quand le processus est parvenu à son plus h
le lieu, pour compléter le parallèle, de faire intervenir, pour le
Fig
. 28. — Cirrhose hypertrophique du cheval. (Pièce
urface externe ou épidermique, regarde les parois du sac lymphatique (
Fig
. 29). Bientôt, il se forme autour du corps étrang
étendue par son epithélium régulièrement disposé, de manière à rap-
Fig
. SO. — Schéma, d'après Zielonko. — G, la cornée r
use. Ainsi, au contact de l'épithélium ancien, l'épithélium nouveau
Fig
. 30. — Coupe microscopique d'un cancer épithélial
pes pratiquées perpendicu-lairement à la surface du tégument externe (
Fig
. 30), des pro-longements épithéliaux partir soit
. Il s'agit, après cet exposé, de rechercher la raison de ces ea-
Fig
. Si. — Pneumonie lobulaire consécutive à la rouge
menlopographiquedelacoupe d'unlobule failavecun grossissement faible (
Fig
. 31). Cet examen montre les travées interlobulair
tion et des points de splénisation. Ceux-ci sont répandus dans tout
Fig
. 32. — Coupe d'un nodule péribronchique. — A, art
naître la nature des éléments qui encombrent les cavités alvéolaires (
Fig
. 32). L'examen fait alors connaître : A. Dans l
bles, que les lésions se réparent : d'où une période de réparation,
Fig
. 33. — Coupe d'une bronche d'un certain calibre e
ur delà paroi, et autour de chaque conduit alvéolaire à leur origine (
Fig
. 34). Rindfleisch suppose qu'à ce niveau, les é
te, leur moule interne, c'est-à-dire l'apparence déjà signalée d'un
Fig
. S4. — Schéma de Rindfleisch montrant le début de
s lobaires, c'est-à-dire occupant tout ou partie d'un lobe du poumon (
Fig
. 35). Les grandes cavernes ont parfois des paro
montre que, dans la règle, elles sont divisées en plusieurs grandes
Fig
. 35. — Schéma montrant te mode de formation des c
umonie concomitante, tout annonce un processus chro-nique primitif.
Fig
. 86.— (Dessin demi-schématique).— A, tubercule de
ans le syphilome et le sarcome angioplastique, les cellules géantes
Fig
. 37. — A A', granulations grises du poumon compos
airement, dans ses parties centrales, toute formation tuber-culeuse. (
Fig
. 37.) Le tubercule élémentaire une fois connu,
î-tre que ces îlots ou nodules qui, à l'œil nu, offraient les appa-
Fig
. 38. — Tubercule massif. Pneumonie caséeuse des a
'on les étudie de plus près, autant $ aggloméra-tions tuberculeuses. (
Fig
. 38). La condensation du tissu pul-monaire dans c
elief. Si, maintenant, on s'arrête à considérer l'état que présente
Fig
, 39. — Alvéoles de la pneumonie péri-tuberculeuse
oles dis-tendus par ces produits inflammatoires et formant, sur les
Fig
. 40. —Dessin demi-schématique, d'après un dessin
comme une seconde zone, autour et en dehors delà zone embrtjonnaire (
Fig
. 39 et 40). Ces produits divers de l'inflammati
dans chaque préparation, et ils sont devenus encore plus nombreux.
Fig
. -il. — Cristaux oclaédriques trouvés dans le san
l, être constitués par des tables losangiques ; mais un examen plus
Fig
. 42. — Concrétion fibrineuse expectorée par un su
ent immédiatement la cavité du kyste sont verdâtres et très friables (
Fig
. 43). Le liquide extrait du kyste présenle, à l
); 5° des cristaux en aiguille dont la nature n'a pas été déterminée {
Fig
. 44 et 45). Les parois du kyste renferment à pe
e liquide puri'orme contenu dans le kyste. — Avant l'action de l'eau (
Fig
. 44); après l'action de l'eau (Fig. 45). dans l
kyste. — Avant l'action de l'eau (Fig. 44); après l'action de l'eau (
Fig
. 45). dans leur moitié supérieure, mais à mesur
tude détaillée de cha-cune de ces formes anatomiques en particulier. {
Fig
. 46, etc.). À. Lianévrisme cylindroïde peut sou
ces tumeurs sacci-formes à son anévrysma spurium, ou mixte externe.
Fig
. 48. Fig. 40. Fig. 50 Fig. 46, 47,48, 49, 50. —
rs sacci-formes à son anévrysma spurium, ou mixte externe. Fig. 48.
Fig
. 40. Fig. 50 Fig. 46, 47,48, 49, 50. — Principa
formes à son anévrysma spurium, ou mixte externe. Fig. 48. Fig. 40.
Fig
. 50 Fig. 46, 47,48, 49, 50. — Principales varié
on anévrysma spurium, ou mixte externe. Fig. 48. Fig. 40. Fig. 50
Fig
. 46, 47,48, 49, 50. — Principales variétés des an
, 50. — Principales variétés des anévrismes saccitormes de l'aorte. —
Fig
. 46. Cavité de l'anévrisme communiquant avec le v
l'anévrisme communiquant avec le vaisseau par une large ouverture. —
Fig
. 47. —Cavité de l'anévrisme communiquant avec le
'anévrisme communiquant avec le vaisseau par une ouverture étroite. —
Fig
. 48 et 49. La tumeur est entée sur un anévrysme f
e. — Fig. 48 et 49. La tumeur est entée sur un anévrysme fusiforme. —
Fig
. 50. Les deux extrémités du vaisseau proéminent d
ue une flexion an-guleuse, et contribue à l'oblitérer en le déformant[
Fig
, 51). En résumé, c'est à une occlusion prématur
65, p. 86 et 90. PLANCHES EXPLICATION LES PLANCHES PLANCHE I.
Fig
. 1. — Fragment de parenchyme pulmonaire atteint d
lus petites. d, e, f, Faisceaux de fibres élastiques pulmonaires.
Fig
. 2. — Cellules épithéliales pavimenteuses des can
ce d'une de ces cellules (on en voit de semblables sur les autres).
Fig
. 3. — Cellules analogues et finement granuleuses
es qu'à l'état normal et renferment de deux à douze noyaux environ.
Fig
. 4. — Faisceaux de corps fusiformes fibro-plastiq
la même préparation. a, b, c, Extrémité libre des corps fusiformes.
Fig
. 5, a, b, c, d, — Tissu dur, fibroïde, des cas di
ps fusiforme très granuleux, allongé, tiré de la même prépara-tion.
Fig
. 6. Leucocytes (globules de pus) plus ou moins gr
nuleux. G fiar cot QBT1VP8S completes. í.'V.'fL.l PLANCHE II.
Fig
. 1. — Anthracose pulmonaire. Fig. 2. — 1, parti
etes. í.'V.'fL.l PLANCHE II. Fig. 1. — Anthracose pulmonaire.
Fig
. 2. — 1, particules de charbon. Les cellules qui
umis à l'inhalation du poussier de charbon de bois, par M. Charcot.
Fig
. 3. 4 et S. — Elles sont relatives à de la sidéro
Inde soumis à l'inhalation de l'oxyde de fer pendant un an et demi.
Fig
. 3. — 1, l1, alvéoles. — 2, epithélium. — 3, paro
ig. 3. — 1, l1, alvéoles. — 2, epithélium. — 3, parois alvéolaires.
Fig
. 4. — 1, grande plaque à plusieurs noyaux. — 2, 2
à plusieurs noyaux. — 2, 21 tissu élastique de la paroi alvéolaire.
Fig
. S. — Divers détails de prolification des cellule
fication relativement au triceps crural du même côté. Le tracé I (
Fig
. 1) obtenu pendant la veille démontre l'existen
qui correspond au biceps brachial trace une ligne droite (B. b.).
Fig
. 1. Diffusion des réflexes tendineux pendant la M
ême pendant le sommeil provo- qué, ainsi que le montre le tracé II (
Fig
. 1). Par la fixité du regard en convergence sup
les bras et sur tout le corps.. On voit, en effet, sur le tracé II (
Fig
. 1) la contraction du biceps brachial suivre ce
al obtenue par la percussion directe de son tendon. Le tracé III (
Fig
. 1) a été obtenu sans changer la dis- position
rapidemont à la contracture ainsi que le prouvent les tracés de la
Fig
. 3 et 4. L'excitation portée sur les muscles fl
dans les expériences rapportées plus haut, p. tt. Sur le tracé I,
Fig
. 5, obtenu pendant la veille, on remarque que l
e choc porté sur le tendon rotulien. Pendantla léthargie (tracé II,
Fig
. 5), le biceps demeure éga- lement immobile, ma
ulien ne se propage pas au membre supérieur du même côté. (Tracé I,
Fig
. 6.) Pendant la léthargie hystérique provoquée,
ontrés dans l'expérience citée plus haut et accompagnée du tracé (
Fig
. 7). - La pression brusque se rapproche du choc
le milieu entre les deux modes d'ex- citation. Le tracé suivant (
Fig
. 8) montre en effet que, dans ce cas, sa contra
iale, se rapprochant de l'attitude hiératique et représentée par la
Fig
. 9. Le poignet est légèrement fléchi et la main
a paume de la main recouverte alors par les deux doigts en flexion (
Fig
. 10). Au milieu de ces quelques variations qui
t de la main. 1 En effet, le nerf cubital fournit des rameaux aux
Fig
. 10. - Griffe cubitale. 64 PHYSIOLOGIE PATHOLOG
musculaire et que nous désignerons sous le nom de griffe médiane,
Fig
. 11. - Griffe médiane. 72 PHYSIOLOGIE PATHOLOGI
antage et la main prendre complètement l'attitude du poing fermé (
Fig
. 12) - Si l'excitation a été intense ou prolong
le mouve- ment de pronation forcée de l'avant-bras tend à s'exa-
Fig
. 12. Griffe médiane. ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ
ion mécanique du nerf radial au point in- diqué, a pour caractères (
Fig
. 13) : a) La supination de l'avant-bras; b) L
les conditions requises d'hyperexcitabilité neuro-musculaire. La
Fig
. (PL. IX) est la représentation d'une expé- rie
Nous les avons représentés sur les schémas ci-joints : (F. 14 et
Fig
. 15.) A la face antérieure : le rond pronateur
par- tielle de chacun de ces muscles sont indiqués sur le schéma (
Fig
. 16). Fig. 16. Fig. 16. Points > moteurs d
e de chacun de ces muscles sont indiqués sur le schéma (Fig. 16).
Fig
. 16. Fig. 16. Points > moteurs des princip
de ces muscles sont indiqués sur le schéma (Fig. 16). Fig. 16.
Fig
. 16. Points > moteurs des principaux muscles
cil; 2° Orbiculaire palpébral supérieur : Muscle de la réflexion (
Fig
. 18). - Abaissement du sourcil en masse et effa
des poils du sourcil; f 3" SOURCILLIER : lVI2lSGZB de la douleur (
Fig
. 19). - La tête du sourcil, gonflée, s'élève en
bas et de de- dans en dehors. Il affecte la forme d'une ligne si-
Fig
. 17. Contraction du muscle frontal. Muscle de
ction du muscle frontal. Muscle de l'attention, de Du- clicnne.
Fig
. 18. Contraction du muscle orbiculaire palpéb
externes; .1 1 q , 1 4° Pyramidal du NEZ : Muscle de l'agression (
Fig
. 20). La tête du sourcil est tirée en bas, la m
on du muscle sottrcillier. Muscle de la douleur, de Du- uhenne.
Fig
. 20. Contraction du pyramidal du izez. Muscle
lée du Frontal est très facile à obte- nir parla pression du point (
Fig
. 16, 1) qui correspond au nerf frontal, ou par
u par la pression portée sur un point quelconque du muscle (PL. IX,
Fig
. 3). L'orbiculaire palpébral supérieur se contr
midal du nez se joint à celle de l'orbiculaire palpébral supérieur (
Fig
. 2, PL. X). Nous n'avons pu obtenir complètemen
cherchant à l'exciter aux points indiqués par Duchenne, de Boulogne(
Fig
. 16,4) le pyramidal s'est, il est vrai, contrac
de- grés ; mais, pour que l'expression soit complète, il est 13
Fig
. 21. L. Contraction du muscle grand zygomatiq
le grand zygomatique. Muscle du rire, de Duchenne, rire faux.
Fig
. 22. Contraction simultanée du grand zygomati
dans les schémas suivants : , , Grand zygomatique : Muscle du rire (
Fig
. 31). Lignes fondamentales : mouvement oblique
oeii. Orbiculaire palpébral INFÉRIEUR Muscle de la bienveillance (
Fig
. 22). Relief de la paupière infé- rieure, au-de
C'est un muscle du pleurer. Le "schéma'suivant résume son action (
Fig
? 3) ? Il'attire" en" hàut'et' en' dehors la po
enue chez notre malade. Dans la Figure 4 de la Planche XI, la , '
Fig
. 3. t, î 1 19 Contraction du petit' zygomatique
e.' ' ' Muscle du pleurer, de Duchenne.' - T t d''f<i 1 ) i, t
Fig
. 4. ! ,r-t 1 Contraction ' du muscle élévateur
t en bas et en dehors, la narine est abaissée et moins ouverte.- (
Fig
. 25). ' ' ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉR
dedans du point d'excitation du triangulaire, et à peu près à la
Fig
. ? 5. 1 p p i i du MtMc/e <)' ! a7 : - '
t))'e ? 1 , t f ? , 200 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. même hauteur (
Fig
. 2, PL. XII). C'est à ce niveau que le carré du
éristique que nous avons désignée sous le nom de griffe cubitale (
Fig
. 9). Nous approchons alors de l'avant-bras gauc
ceau longitudinal supérieur Archives de Neurologie T. II. Pl. IX.
Fig
. 1. Fia. 2. rig. 0. fig. 4. EXPLICATION DES P
Loreau, modeleur du musée anatomo-patholojique de la Salpêtrière.)
Fig
. 1. Excitation du muscle sterno-mastoidien du côt
u muscle sterno-mastoidien du côté gauche. Contraction du muscle.
Fig
. 12. - Excitation du nerf facial en avant de l'or
ontraction simultanée des muscles de l'mil, du nez et de la bouche.
Fig
. 3. Excitation bilatérale du muscle frontal. Fi
et de la bouche. Fig. 3. Excitation bilatérale du muscle frontal.
Fig
. 4. Excitation bilatérale du muscle nrbiculaire p
bral supé- 1 leti Il. 33H EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE X
Fig
. t. Excitation unilatérale du muscle palpébral su
cle du côté opposé à l'excitation, un léger degré de contraction.
Fig
. 2. Dans crtte figure, à la contraction des deux
s excités directement, s'est ajoutée celle des pyramidaux du nez.
Fig
. 3. Excitation unique et médiane des deux muscles
ation unique et médiane des deux muscles dilatateurs des narines.
Fig
4. Excitation du transverse du nez du côté gauche
e. Archives de Neurologie T. II. Pl.1. 1 ! '19. 1. ' Il il 2.
Fig
. 3. Fig. 4. Archives de Neurologie T il. PI. xi
hives de Neurologie T. II. Pl.1. 1 ! '19. 1. ' Il il 2. Fig. 3.
Fig
. 4. Archives de Neurologie T il. PI. xi. Fig.
' Il il 2. Fig. 3. Fig. 4. Archives de Neurologie T il. PI. xi.
Fig
. 1. Fig. 3. Fig. 3. Fig. 4. EXPLICATION D
Fig. 3. Fig. 4. Archives de Neurologie T il. PI. xi. Fig. 1.
Fig
. 3. Fig. 3. Fig. 4. EXPLICATION DES PLANCHE
Fig. 4. Archives de Neurologie T il. PI. xi. Fig. 1. Fig. 3.
Fig
. 3. Fig. 4. EXPLICATION DES PLANCHES. 331 1
Archives de Neurologie T il. PI. xi. Fig. 1. Fig. 3. Fig. 3.
Fig
. 4. EXPLICATION DES PLANCHES. 331 1 PLANCHE X
Fig. 3. Fig. 4. EXPLICATION DES PLANCHES. 331 1 PLANCHE XI
Fig
. I. Excitation bilatérale du grand zygomatique.
ygomatique. Fi.q. 2. Excitation unilatérale du grand zygomatique.
Fig
. 3. Excitation unilatérale du petit zygomatique.
n du muscle élévateur de l'aile du nez et de la lèvre supérieure.
Fig
. 4. Excitation unilatérale du muscle élévateur co
destiné à ce muscle. 132 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE XII
Fig
. 1. Excitation bilatérale du muscle élévateur com
lèvre supérieure. L'excitation porte sur le corps même du muscle.
Fig
. 2. Excitation bilatérale du carré du menton. F
me du muscle. Fig. 2. Excitation bilatérale du carré du menton.
Fig
. 3. Excitation bilatérale du triangulaire des lèv
menton. Fig. 3. Excitation bilatérale du triangulaire des lèvres.
Fig
. 4. Excitation de la houppe du menton. Archives
ion de la houppe du menton. Archives de Neurologie T. II. PI XII.
Fig
. 1. Fig. 2. Fig. 3. Fig. 4. Archives de N
houppe du menton. Archives de Neurologie T. II. PI XII. Fig. 1.
Fig
. 2. Fig. 3. Fig. 4. Archives de Neurologie
menton. Archives de Neurologie T. II. PI XII. Fig. 1. Fig. 2.
Fig
. 3. Fig. 4. Archives de Neurologie T. 11. l'I
Archives de Neurologie T. II. PI XII. Fig. 1. Fig. 2. Fig. 3.
Fig
. 4. Archives de Neurologie T. 11. l'I XIII. F
g. 2. Fig. 3. Fig. 4. Archives de Neurologie T. 11. l'I XIII.
Fig
. 1. Fig. 2. Fig. 3. Fig. 4. EXPLICATION D
g. 3. Fig. 4. Archives de Neurologie T. 11. l'I XIII. Fig. 1.
Fig
. 2. Fig. 3. Fig. 4. EXPLICATION DES PLANCHE
g. 4. Archives de Neurologie T. 11. l'I XIII. Fig. 1. Fig. 2.
Fig
. 3. Fig. 4. EXPLICATION DES PLANCHES. 33 : !
chives de Neurologie T. 11. l'I XIII. Fig. 1. Fig. 2. Fig. 3.
Fig
. 4. EXPLICATION DES PLANCHES. 33 : ! PLANCHE
Fig. 3. Fig. 4. EXPLICATION DES PLANCHES. 33 : ! PLANCHE XIII
Fig
. 1. Excitation simultanée des muscles frontaux et
t peaussiers. Masque de l'effroi, d'après Duchenne (de Boulogne).
Fig
. 2. Même expérience que la précédente, pendant la
que l'expression de la phy- sionomie ait été modifiée pour cela.
Fig
. 3. Excitation simulatanée des muscles orbiculair
es orbiculaires palpébraux supérieurs et des grands zygomatiques.
Fig
. 4. -La malade est rendue cataleptique du côté ga
aine, à quelques centimètres au-dessous de la crête de l'os iliaque. (
Fig
. I et 3): Nous avons décrit les régions hystéro
maire pour ne décrire ici, avec détails que les régions hystérogènes (
Fig
. 1), leur relation avec l'aura, le sommeil nature
ndantes. Une friction même modérée détermine aussitôt une attaque. (
Fig
. 2). 2° Région sous-mammaire. Elle siège à 2 ce
timètre en dedans du mamelon. La peau correspondante est insensible. (
Fig
. 1). . 3° Région hystérogène sus-inguinale. — E
que ; elle n'est pas, d'ailleurs, immédiate; M... a d'abord des se-
Fig
. 1. cousses, change de couleur et les convulsio
degré dans la portion du cuir chevelu qui répond au clou hystérique. (
Fig
. 2.) 2° Rachialgie. — Occupant l'apophyse épine
de diamètre. Anesthésie. Ni douleur spontanée, ni attaque provoquée. (
Fig
. 2.) 4° Point douloureux au centre du flanc gau
l'expérience. Le choix étant fait, on asseoit la malade devant soi [
Fig
. S) et on la regarde dans les yeux. Ici, disent l
uces sur les globes oculaires en refermant les paupières supérieures (
Fig
. 4). Le sommeil est alors immédiat ; le sujet tom
st alors immédiat ; le sujet tombe en arrière en poussant une suite
Fig
. 3. de soupirs ; un peu d'écume vient même quel
dont il est impossible d'arrêter le regard pendant assez longtemps.
Fig
. 4. On peut avantageusement combiner encore les
ulte une sorte de malaise qui hâte beaucoup l'arrivée du sommeil.
Fig
. 5. Dans quelques cas, quand, par exemple, on v
rs de Braid. On fait encore asseoir la malade sur une chaise, puis (
Fig
. 5) on place entre ses yeux un corps quelconque (
milieu des cours, dans les escaliers. Un jour qu'en plaisantant on
Fig
. 6. lui avait fait croire qu'elle serait subite
avez une malade bien exercée qui s'hypnotise vite : il vous suffira {
Fig
. 6) d'étendre subitement la main sur la tête, ell
puissant excitant électrique seul peut produire dans l'état normal.
Fig
. 7. Il est même possible de tétaniser à ce poin
u entre deux chaises comme cela est représenté par la Planche XIV .
Fig
. 8. C'est encore pendant le sommeil hypnotique
elle s'endormait en cousant et qu'alors elle dormait debout, ce qui
Fig
. 9. lui attirait de fréquents reproches de la p
nt besoin d'être prolongés. Le bruit subit et inattendu d'un tam-tam (
Fig
. 10), l'explosion d'un paquet de fulmi-coton enfl
osion d'un paquet de fulmi-coton enflammé par l'étincelle électrique (
Fig
. 11), entraînent une catalepsie instantanée. La
NOTISME. 177 habitués à l'hypnotisme : l'habitude rend, en effet,
Fig
. 10. la névrose beaucoup plus facile à développ
uant avec un tam-tam qui se trouvait au laboratoire, le laissa tom-
Fig
. 11. ber, et demeura en catalepsie : c'est en n
fixe et dormant. Une autre fois, la nommée R..., écoutant une mu-
Fig
. 12. sique militaire tomba cataleptisée à un mo
lui fait regarder le bout de ses doigts, puis on se recule lentement {
Fig
. 12.) Dès lors, le sujet vous suit partout, mais
cs et tomberait directement sur son crâne si un aide ne la retenait. [
Fig
. 13). Dans cet état de fascination, le sujet hy
l'une permet d'obtenir les hallucinations provoquées, dont l'autre,
Fig
. 13. souvent utilisée par les magnétiseurs, n'a
s hypnotisé. On le met en état de catalepsie, et quand on a, par le
Fig
. 14. moyen du regard, réussi à le mettre en fas
r des mots usités), on simule soi-même certains actes, on fait sem-
Fig
. 15. blant par exemple de poursuivre un oiseau
on fait sem- Fig. 15. blant par exemple de poursuivre un oiseau (
Fig
. 14). Immédiatement l'hypnotisée est prise d'une
complit une série d'actes automatiques se rapportant à l'acte qu'on
Fig
. 16. lui a suggéré. On peut varier à l'infini c
ar exemple, on place un sujet hypnotisé dans la position représentée (
Fig
. 16), c'est-à-dire la main appuyée contre un mur,
n prévenue, l'explosion et l'inflammation d'un paquet de fulmi-coton (
Fig
. 11). Suggestion. — C'est durant l'état catalep
ant B... un paquet de fulmi-coton: elle tombe aussitôt en catalepsie (
Fig
. 11) et il est facile d'imposer aux membres et au
brusquement sur un tam-tam: immédiatement, elle entre en catalepsie (
Fig
. 10) — (Cette expérience a été faite bien des foi
grande facilité, une série d'hallucinations : l'oiseau qui s'envole (
Fig
. 14), le serpent qui menace (Fig. 15), etc., et o
lucinations : l'oiseau qui s'envole (Fig. 14), le serpent qui menace (
Fig
. 15), etc., et on note toutes les modifications d
dien, Pl. XXXYIII);— excitation du nerf facial (phénomènes habituels,
Fig
. 8). — Puis les paupières sont ouvertes et M. Gha
Les autres y vont, tantoft sur vn bouc, tantoft fur vn cheual volant (
Fig
. ly), tantoft sur vn ballet, fortent le plus fouu
n'y bafton. Mais il faut croire ausfi que le bafton, ni la befte ne
Fig
. i-. profite non plus aux Sorciers que la gretl
entiô expreffe ou tacite qu'ils ont faicl auec eux. Ils renoncent à
Fig
. iS. Dieu, au Baptesme au Chresme (Fig. 18); il
auec eux. Ils renoncent à Fig. iS. Dieu, au Baptesme au Chresme (
Fig
. 18); ils déclarent adherer à Satan, croire enluy
tefme, ains il le contraint encore de fe rebaptifer au nom du Diable (
Fig
. ig), de prendre vn autre nom : ce qu'il 1%. If
cun citant tiré hors son naturel. » (de Lancre, loc. cit., p. 119.)
Fig
. 20. Les Sorciers elttans allemblez en leur Syn
e de couleur bleue, puis le baifent aux parties hon-teufes derrière2 (
Fig
. 20) : quelques-vns le baifent fur l'ef-paule : à
ls ont vne autre inuen-tion au mefme effec~l, qui est de fe mafquer. (
Fig
. 21 ) « Il y a encore des Démons, écrit Boguet,
auffant les mains ballets en haut, pour teftifier donner va certain
Fig
. 21. tefmoignage d'allegreffe, que de bon cœur
, bien qu'elle soit naturelle... » (de Lancre, loc. cit., p. i)'2.)
Fig
. 2 2. « le lailïé à penfer, dit Boguet, fi l'on
: par deçà la table eftoit couuertede beurre,'de froumage, de chair. (
Fig
. 22). L'on y boit auiïi tantoft du vin, tantolt
de la greffe propre à cela, du moins il les leur fait auffi croire. (
Fig
. 23). Il le leur fait encore bien folemnellemen
tants oincis font tournez en loups courant d'une légèreté incroyable (
Fig
. 24) : Fig. 24. puis qu'ils eftoient changez
font tournez en loups courant d'une légèreté incroyable (Fig. 24) :
Fig
. 24. puis qu'ils eftoient changez en homes, fou
l s'efleuoit vne nuée laquelle fe converti libit par après en greffe (
Fig
. 25), tomboit la part ou il plaifoit aux Sorcière
en greffe (Fig. 25), tomboit la part ou il plaifoit aux Sorcières.
Fig
. 25. Quelques fois encore l'on dit la Mette au
représente une femme nue dont le menton est orné d'une barbe touffue (
Fig
. I). Sa nudité révêle manifestement qu'elle app
ci-joint qui a évidemment pour buL de représenter une femme à barbe (
Fig
. H]. Cette femme porte au menton une barbe arti
(À la fin:) Basilex, per Henrieum Petri... M.D.LVH C1557), In-fol.
Fig
. I. Femme a barbe, (CAroaicm tf* Wmm*m§, UOÎt
e qui représente une femme à barbe habillée d'un costume de l'époque (
Fig
. III). Dans ce dessin on retrouve l'expressio
taille douce nous en révèle à La fois le nom et le lieu de naissance (
Fig
. IV). Au-dessus du portrait, on peut lire la me
e la gravité de sa phj'sionomie avec les vers plutôt libertins dont
Fig
. IV. Madame Hélène Anthonia née à LU-gc. femme a
haelis sur la femme à barbe de Dresde (de virginc barbatâ Dresdens!) (
Fig
. 5.). Comme le dit Michaelis, cette femme est la
ez rapprochée. C'est celui de ZcnoraPaatrana, alors âgée de 33 ans [
Fig
. 6). Elle ne différait des autres personnes de
e sous des désignations différentes. Mais elle eslsurtoutconnuesous
Fig
. 9. Toguina (famille d'Ambras, Tyrol. xvie siecle
s sur hois dont l'une représente en pied, la fille âgée de douze ans (
Fig
. 7), et l'autre la fille âgée de huit ans (Fig. 8
lle âgée de douze ans (Fig. 7), et l'autre la fille âgée de huit ans (
Fig
. 8). Le troisième portrait est celui de la troi
ans (Fig. 8). Le troisième portrait est celui de la troisième sœur (
Fig
. 9). Elle vécut à Parme et y était connue sous le
cut à Parme et y était connue sous le nom de Tognina (Antonine). Il
Fig
. 10. La famille velue d Ambrai iTyrol). xvie siec
preuve d'un talent hors ligne- dont nous donnons la reproduction {
Fig
. 10). Le père, debout, a la figure et les mains v
des badauds non seulement durant sa vie, mais encore après sa mort.
Fig
. 15. L'enfant de Julie Pastrana. [à suù-re}.
laotienne Krao. — La tille de Scawe-Maong. — Les femmes à crinière.
Fig
. Il Julla Paeiraoa, femme barbue et velue par Kon
ressive, bien arrondie a des lèvres assez grosses qui sourient fre-
Fig
. is. Krao, Jeune Laoticnni, barbue ti vetje. 4-,-
stème pileux du fœtus, qui habituellement s'atrophie après la nais-
Fig
.20 Shwe-Maong et sa famille. sance. En elTet, c
exceptés, était couvert d'un poil soyeux et doux qui sur certaines
Fig
. 31. La fille de SchweMaoog. barbue « velue, ifie
avait acquis dans la région pubienne un développement assez intensif (
Fig
. 24). Il (1) Deuxième bulletin de la Faculté de
u moment où elle était exhibée à Londres, au Spring Gardens, en 1818 (
Fig
. 25). Les détails de son costume dénotent une gra
capote de drap que l'hôpital mal à la disposition des pensionnaires (
Fig
. 26). On aurait peine à reconnaître dans ce portr
vanie en 1851. Son portrait la représente à Tige de trente-trois ans (
Fig
. 29). Voici ladescription qu'en donnait le D' Duh
st d'autant plus excusable que l'usage de la teinture Peul lui Per_
Fig
. 30. - Mme T«ylor, femme à lwrte.;tgae del^juu-18
be fut considérée par l'imprésario comme un nouvel élément de succès (
Fig
. 30). Cette dernière tournée fut fructueuse, et e
x-huit ans, que fut prise la photographie que nous.donnons ci-joint, (
Fig
. 31.), à ce moment les moustaches commençaient à
moment les moustaches commençaient à se dessiner et le visage était
Fig
. 3t. — Eva S, femme a barbe, tgee de 1S an» déj
vie de ses compatriotes du sexe masculin. Dans le portrait en pied (
Fig
. 32.) que nous publions elle est en costume de sc
me confortable. Sa photographie, lorsqu'elle avait trente-cinq ans (
Fig
. 33), nous Fig. Ï3. — Mejer. >..,..- a barbe
Sa photographie, lorsqu'elle avait trente-cinq ans (Fig. 33), nous
Fig
. Ï3. — Mejer. >..,..- a barbe, ig** de » an*.
mait beaucoup à s'occuper des travaux du ménage. Pendant de longues
Fig
. 3t. - Mme Augeard, femme k ùarbe, àg M de 36 un
lure soyeuse est d'une longueur extraordinaire et une immense barbe
Fig
. 38. Jones Elliot, femme à barbe. Agée de 28 ans
poitrine, entre les deux seins, le système pileux est assez marqué.
Fig
. U. Louise G..„ àjee do 31 an*, Itmiut s barbe.
nages et de toutes les grâces de la féminité. Son portrait en pied (
Fig
. 42} nous la montre dans une toilette d'intimité
ticulièrement favorisés. Mme I. Y... dont nous donnons le portrait (
Fig
. i'i] est née en Cata- lognc. Elle est représ
n dos ne portent de poils. Elle n'est donc pas atteinte d'hypertri-
Fig
43. Mm* Y.„ femme à barbe, espagnole, igtfc de 38
Ces poils avaient résisté à l'emploi de diverses pâtes épilatoires.
Fig
. Si. — Urne X..., femme a barbe, agôe de 61 an*.
ur le plumage et les caractères du coq, on doit la considérer comme
Fig
. 52. Femme à barbe agée de 42 ans (1873), cas du
joutait aucun renseignement sur le sujet qui en avait été l'occasion (
Fig
. 53). (I) Ch. Mercier, Sanily and Jnsamiy, p. 1
st montrée à l'âge où elle apparai! habituellement chez les hommes.
Fig
. 53. Sarah Danton, femme à barbe, âgée de 57 ans
tice, quo de dépecer sa victime et d'en disperser les tronçons (»).
Fig
. Si. — T6ie d'une femme a barba de Sî ans, apport
ras contribuait à donner à cette tête un aspect absolument masculin. (
Fig
. 54). Qu'un médecin expert se trouve en présenc
n individu dont la barbe était en désaccord avec le costume féminin. (
Fig
55). Leur première impression fut qu'ils se trouv
1.230grammes. (Obersteiner : Anatomie des centres nerveux, 1693).
Fig
. 55. - Fanny Kubaba, femme a barbe agée de 48 ans
isage orné d'une barbe majestueuse, a provoqué bien des commentaires (
Fig
. 56). Il a été envoyé à plusieurs services d'anth
ent toujours une histoire d'influence maternelle ayant eu sa réper-
Fig
. S6.— MuwKoch. n*o Potkc. (k vlugeotned'uoa BaUM
un exemple qui concerne la jeune femme dontnous donnons le portrait (
Fig
. 57). Sa mère était blanchisseuse et logeait dans
la peau de l'animal qui avait échappé & l'immersion dans l'eau
Fig
. 57. — jVoiu pilotai ai tribut a une Influence ma
e de la jeune femme qui se trouve représentée dans un autre portrait (
Fig
. 58}, est encore plus surprenante. Peu de temps a
cose éthyl-méthylique, par Wiazemsky, p. 305. TABLE DES FIGURES
Fig
, 1. Femme à barbe (Chronique de Nuremberg, 1493),
GURES Fig, 1. Femme à barbe (Chronique de Nuremberg, 1493), p. 6-
Fig
. 2. Femme à barhe (Chronique de Conrad Lycosthène
ig. 2. Femme à barhe (Chronique de Conrad Lycosthènes, 1557), p. 7.
Fig
. 3. Gravure de Nicolas Emmanuel Deutsch, 1494-153
avure de Nicolas Emmanuel Deutsch, 1494-1530 (Musée de Bâle), p. S.
Fig
. 4. Madame Hélène Anthonia née à Liège, femme a b
. La mort do Molière (sculpture sur bois, grandeur naturelle), p. 32.
Fig
. 5. Rosina Margarita Mullerin (de Dresde), femme
in (de Dresde), femme à barbe, âgée de 64 ans (1668-1763), p. 40.
Fig
. 6. Mme Zenora Pastrana, femme à barbe, âgée de 3
6. Mme Zenora Pastrana, femme à barbe, âgée de 33 ana (1889), p. 41.
Fig
. 7. Jeune fille velue, âgée de 12 ans (Famille d'
velue, âgée de 12 ans (Famille d'Ambras, Tyrol, XVIe siècle), p. 42.
Fig
. 3. Jeune fille velue. Agée de 8 ana (Famille d'A
e velue. Agée de 8 ana (Famille d'Ambras. Tyrol, XVIe siècle), p. 43.
Fig
. 9. Tognina (Famille d'Ambras, Tyrol. xvie siècle
p. 43. Fig. 9. Tognina (Famille d'Ambras, Tyrol. xvie siècle), p. 44.
Fig
. 10. La famille velue d'Ambras (Tyrol, xvie siècl
s (Tyrol, xvie siècle). Tableau de G. Hoefnagel (1547-1600). p. 45.
Fig
. 11. Barbara Urslerln, femme a barbe, âgée de 20
femme a barbe, âgée de 20 ans (Galerie d'art de Bâle, 1653), p. 68.
Fig
. 12. Barbara Ursterin, femme à barbe, âgée de 20
à barbe, âgée de 20 ans, par Isaac Brun (1590-1G69) (1653). p. 69.
Fig
. 13. Barbara Urslerln, femme à barbe, âgée de 25
a Urslerln, femme à barbe, âgée de 25 ans, par Gaywood (1653), p. 70.
Fig
. 14. Julia Pastrana, femme barbue et velue, âgée
Julia Pastrana, femme barbue et velue, âgée de 23 ans (1858). p. 72.
Fig
. 15. L'enfant de Julia Pastrana, p. 74. Fig. 16
e 23 ans (1858). p. 72. Fig. 15. L'enfant de Julia Pastrana, p. 74.
Fig
. 16. Julla Pastrana, femme barbue et veine, par K
a Pastrana, femme barbue et veine, par Konig (igée de 22 ans), p. 97.
Fig
. 17. Julla Pastrana. femme barbue et velue, p. 99
ans), p. 97. Fig. 17. Julla Pastrana. femme barbue et velue, p. 99.
Fig
. 18. Krao, jeune Laotienne, barbue et velue, âgee
Krao, jeune Laotienne, barbue et velue, âgee de 6 ans (1880), p. 101.
Fig
. 19. Krao. Jeune Laotienne, barbue et velue, p. 1
80), p. 101. Fig. 19. Krao. Jeune Laotienne, barbue et velue, p. 103.
Fig
. 20. Shwe-Maong et sa famille, p. 104. Fig. 21.
barbue et velue, p. 103. Fig. 20. Shwe-Maong et sa famille, p. 104.
Fig
. 21. La fille de Schwa-Maong. barbue et velue, ig
lle de Schwa-Maong. barbue et velue, igée de 30 ans (1855), p. 105.
Fig
. 22. Femme velue (Chronique de Nuremberg, 1493),
105. Fig. 22. Femme velue (Chronique de Nuremberg, 1493), p. 106.
Fig
. 23. Bella-Cartor, femme a crinière, âgée de 23 a
Fig. 23. Bella-Cartor, femme a crinière, âgée de 23 ans. p. 107.
Fig
. 24. Marie-Madeleine Lefort, femme à barbe, âgée
rie-Madeleine Lefort, femme à barbe, âgée de 16 ans (1815), p. 133.
Fig
. 25. Marie-Madeleine Lefort. femme a barbe, âgée
barbe, âgée de 19 ans. Exhibited In Spriog Gardens (1818), p. 135.
Fig
. 26. Marie-Madeleine Lefort, femme âgée de 65 ans
. Dans le service du Dr Hor- teloup, à l'Hotel-Dteu (1864), p. 137.
Fig
. 27. J. B., femme à barbe, âgée de 20 ans. Cas du
barbe, âgée de 20 ans. Cas du Dr Chowne, Londres (1852), p. 139.
Fig
. 28. Mme X., femme à barbe. Agée de 50 ans. Cas d
e à barbe. Agée de 50 ans. Cas du Dr Ecker (Fribourg 1376), p. 142.
Fig
. 29. Mme Viola M..., femme à barbe, igée de 33ans
.., femme à barbe, igée de 33ans. Cas du D' Duhring (I877), p. 161.
Fig
. 30. Mme Taylor, femme à barbe, Agée de 58 ans (1
Fig. 30. Mme Taylor, femme à barbe, Agée de 58 ans (1890), p. 164.
Fig
. 31. Eva S., femme à barbe, igée de 18 aus. p. 16
. 108. Fig- 33. Mme Meyer, femme à barbe, âgée de 35 ans, p. 169.
Fig
. 34. Mme Augeard. femme à barbe, âgée de 30 ans (
Ffg. 35. Mme Augeard, femme à barbe, igée de 17 ans (1897), p. 197.
Fig
. 36. Miss Léo Hernandez, femme à barbe, âgée de 3
. Miss Léo Hernandez, femme à barbe, âgée de 32 ans (1886), p. 198.
Fig
. 37. Annie Jones Elllot, femme a barbe, igée de 2
Annie Jones Elllot, femme a barbe, igée de 25 ans (1888), p. 200.
Fig
. 38. Annie Jones Elliot, femme a barbe, Agée de 2
39. Annie Jones Elliot, femme à barbe. Agée de 35 ans (1898), p. 202.
Fig
. 40. Maria N'ekrassow, femme a barbe, âgée de 38
. 40. Maria N'ekrassow, femme a barbe, âgée de 38 ans (1895), p. 209.
Fig
. 41. Louise G..., femme A barbe, Agée de 34 ans (
. Fig. 41. Louise G..., femme A barbe, Agée de 34 ans (1896], p. 270.
Fig
. 42. Louise G..., femme A barbe, Agée de 34 ans (
. Fig. 42. Louise G..., femme A barbe, Agée de 34 ans (1896). p. 27!.
Fig
. 43. Mme y..., femme A barbe, espagnole. Agée de
Fig. 43. Mme y..., femme A barbe, espagnole. Agée de 38 ans, p. 272.
Fig
. 44. Mme Delait, femme à barbe, Agée de 33 ans (1
2. Fig. 44. Mme Delait, femme à barbe, Agée de 33 ans (1900), p. 273.
Fig
. 45. Mme Delait, femme à barbe. Agée de 35 ans (1
3. Fig. 45. Mme Delait, femme à barbe. Agée de 35 ans (1902), p. 274.
Fig
. 46. Mme X..., femme à barbe. Agée de 35 ans (189
274. Fig. 46. Mme X..., femme à barbe. Agée de 35 ans (1892), p. 291.
Fig
. 47. Bertbe Akaira. femme à barbe. Agée de 33 ans
mme à barbe. Agée de 33 ans. Dr Haberda, de Vienne, (1877), p. 292.
Fig
. 48. Mlle I L, femme à barbe, Agée de 23 ans. D*
le I L, femme à barbe, Agée de 23 ans. D* Mac Dowall, (1868), p. 295.
Fig
. 49. Mme E. P. H., femme A barbe. Agée de 26 ans.
P. H., femme A barbe. Agée de 26 ans. Dr Mac Dowall (1876), p. 296.
Fig
. 50. Femme A barbe, âgée de 83 ans. LV Harris Lis
50. Femme A barbe, âgée de 83 ans. LV Harris Liston (1894), p. 323.
Fig
. 51. Mme X..., femme A barbe. Agée de 64 ans. Dr
.., femme A barbe. Agée de 64 ans. Dr Marris Liston (1894), p. 324.
Fig
. 52. Femme A barbe, Agée de 42 ans 1873. D' Willi
emme A barbe, Agée de 42 ans 1873. D' William Hills (1873), p. 335.
Fig
. 53. Femme A barbe.Agée de 57 ans. LDr E. Wbfte (
Fig. 53. Femme A barbe.Agée de 57 ans. LDr E. Wbfte (1878), p. J26.
Fig
. 54. Tote d'une femme à barba de 82 ans, apportée
e femme à barba de 82 ans, apportée l' la morgue de Berlin, p. 356.
Fig
. 55. Fanay Kubaba. femme à barbe. Agée de 48 ans
Mme Koch, née Folke (le visage ornée d'une fausse barhe), p. 359.*
Fig
. 57. Voevtattribué A une influence maternelle, p.
359.* Fig. 57. Voevtattribué A une influence maternelle, p. 320.
Fig
. 58. Xœvus vile - Voeuspyl pilotes chez une Jeune
traitement : On fortifie leurs jambes avec la balançoire- tremplin (
Fig
. 1); on leur apprend ensuite à se tenir debout
plin (Fig. 1); on leur apprend ensuite à se tenir debout à l'aide
Fig
. 1. - Balançoire-tremplin. Education DE la marc
nçoire-tremplin. Education DE la marche. V des barres parallèles (
Fig
. 2) ; à marcher, soit en les tenant sous les br
ont remplacés par des planches de 15 à 20 centimètres de largeur (
Fig
. 5). On leur enseigne la montée et la descente
ontée et la descente d'un escalier avec un petit escalier double (
Fig
. 6). En 1903, trois enfants ont appris à marche
rveillante du service a été malade durant le der- nier trimestre.
Fig
. ? . - Barres parallèles. VI Enfants IDIOTS COM
nt. Tous ces enfants sont placés sur les petits fauteuils spéciaux (
Fig
. 7 et 8), fauteuils de Fig. 3. - Chariot. Tra
cés sur les petits fauteuils spéciaux (Fig. 7 et 8), fauteuils de
Fig
. 3. - Chariot. Traitement DU gâtisme : résultat
ivent tardi- vement à 15, 16, et même 17 ans, idiots ou épilepti-
Fig
. 5. - Échelle plate. Traitement fÉDICO-PÉD : 1G
Lam..., (Gaston) Rogi ? - (4) Corn..., Cheyr..., Moal ? Simo...,
Fig
. 7 et Fez. Fauteuils de gâteux. Traitement rfÉD
insi que nous l'avons dit plus haut. Il en est ainsi depuis 1880.
Fig
. 9. - Fauteuil tapissé. XII I PETITE ÉCOLE.
rateur à Vitry, a sim- plement remplacéles timbres par des grelots (
Fig
. 10, il et 12) et nous avons pu nous rendre com
ant dans l'intervalles des exercices sur les fauteuils de gâteux (
Fig
. 7, 8 et 9). La seconde période du traitement m
s cartes Ù jouer, dis- posé en creux comme le tableau des surfaces (
Fig
. 13). III. Enfants propres et. valides, imbécil
rc est relative au : Vêtement pour maintenir les mains des déchi-
Fig
. 11. - Vêlement vu de dus, LX VÊTEMENT DES GR
re tourner un petit moulin. c) Exercice de la planchette à rainure (
Fig
. 16). d) Exercice de la vessie en baudruche.
les membres, sont glabres. Les seins, égaux, sont assez développés (
Fig
. 17). Leur dia- mètre transversal est de 12 cen
men, et l'existence d'une double luxation congénitale de la hanche (
Fig
. 17 et 19). Fin. 19. - inlairoi mativit de 1'ui
m- plet (marche, préhension, attention, parole nulles, gâtisme); (
Fig
. 20, 21). Peu à peu, il s'est produit une heureus
. 20, 21). Peu à peu, il s'est produit une heureuse modifi- cation (
Fig
.22) ; nous l'avons montré ensuite, à la session d
pour la première fois, on aurait porté le diagnostic d'imbécillité (
Fig
. 23 et 24). L'a- mélioration a continué malgré
de 10 cent. au-dessous de la moyenne (1 m. 65 à son âge, 19 ans). (
Fig
. 25 et 26.) Puberté (15 l11n). - Lèvre supérieu
réintégré à l'hospice de Bicêtre (5<-2e) le 27 décembre 1902.
Fig
. 25. Maz... en 1904 (19 ans). Nanisme par arrêt
les deux jours. Le 22 mai le traitement est complètement suspendu (
Fig
. 30 et 31). 1'i. 30. - Tliom... en 1898, ù.14 n
encé par l'ingestion du corps thyroïde, mais au bout d'un certain
Fig
. 31. -1'Lom... en 1898, à 14 aus. Nanisme avec
verte de vergetures. Kératose péripilaire sur la peau des membres. (
Fig
. 32, 33, 34). Membres supérieurs. D'un gros vol
s, mais cachées par un épais pannicule adipeux ferme et résistant. (
Fig
. 32, 33, 34), Bourneville. Bicêtre. 1903. 130
Bourneville. Bicêtre. 1903. 130 DE QUELQUES formes DE nanisme.
Fig
. 32. - Hus... en mars l9j3, à l'âge de 14 ans N
- Hus... en mars l9j3, à l'âge de 14 ans NANISME AVEC OBÉSITÉ 131
Fig
. 33. nu;;... en 1901, )'ag9 de 14 ans; De QUELQ
nu;;... en 1901, )'ag9 de 14 ans; De QUELQUES formes DE nanisme.
Fig
. 34. - Hus... en 1 ! )Oi, à l'Age de 15 ans. Na
'est pas aussi volumineux que l'obésité pourrait le faire supposer (
Fig
. 32). Il est garni de poils bruns moyennement l
t garçons, atteints de rachitisme, est 13S Nanisme ET rachitisme.
Fig
. 35. Fig. 36 et 37, t 140 DE QUELQUES formes
atteints de rachitisme, est 13S Nanisme ET rachitisme. Fig. 35.
Fig
. 36 et 37, t 140 DE QUELQUES formes DE nanisme.
me traitement du 1" juillet. au 30 septembre : 0 g¡'. 2;) à 1 gr.
Fig
. 3 ? . - Vib... en 1901 (17 ans). 144 De QUEL
Poids : 2-1 ]cg. 500 ; Taille : 1 m. 29. Non soud ·. Non réglée.
Fig
. 30. Vib... à 17 ans. Nanisme et rachitisme. 'i
elet coslal à peine perceptible. Bourneville, Bicêtre, 1903. 10
Fig
. 40. - Vib... il 17 ans. - 146 DE quelques FORM
dorsale. Toute la partie supérieure du tronc est inclinée à droite (
Fig
. f0) et les fausses côtes de ce côté croisent f
es pigmentées, dépassant largement les Nanisme ET rachitisme. 147
Fig
. 41.. Radiographie du pied droit de Vibert. lin
ue petite, triangulaire et très-profonde; conduit auditif externe
Fig
, 42. Nanisme mongolien. 155 très-petit ; tr
enversé en dedans ; lobule mince, adhérent, à extrémité relevée. (
Fig
. 43). Oreille gauche. Elle ne différe de la droit
e de 5 mil., et par l'hélix, ourlé largement et plus régulièrement (
Fig
. 44). L'audition des bruits, des sons musicaux
assez petites, rouges, rugueuses et froides. Doigts bien séparés,
Fig
. 13. - Oreille mongolienne. 156 DE quelques f
existe, l'enfant sait distinguer un objet poli d'un objet rugueux. (
Fig
. 45 j. Membres inférieurs normaux. Pieds très-f
lon. Rien à signaler à la colonne vertébrale. L'enfant tousse et,
Fig
. 11. - Orei/l ! 1nollgo.'it ! 1l11e. Nanisme mo
a- bres. Examen fonctionnel. - L'enfant mange seule, se sert de
Fig
. d5. - Main idiote. 158 DE QUELQUES FORMES DE n
t buvait beaucoup, surtout du lait ; elle était toujours accroupie (
Fig
. 46) ; elle ne se relevait que pour s'asseoir p
ainsi que le lobe temporalen entier. Les sillons sont peu profonds (
Fig
. 47 et 48. Hémisphère gauche : conservé pour
le, nulles ci l'entrée. - Signes classiques du MYXOEDÈME infantile (
Fig
. 47, 48 et 49). Traitement thyroïdien (1902-1
vation de la T. R. à 40°5 : suspension jusqu'au 19 fév. La glande
Fig
.4S ? llarb..., 4. ana 1/2 (mai 19J2).. Nanisme
0 gr. 75, un gramme jusqu'au 20 mars, 1 gr. 25 jusqu'au 31 mars.
Fig
. 49. 1 1 ! SU De quelques formes de nanisme.
elle a gagné trois centimètres,tandis que l'accroissement nor- -
Fig
.60. - Idiots diplégiques. 182 De quelques for
ante- deux centimètres au-dessous de la taille moyenne à son Ùge (
Fig
. 43.) Voici un tableau qui ne laisse aucun dout
nt. Les paupières sont normales, les cils naturellement implantés. (
Fig
. 51 et 5 ? ). Mesures de la tête. 190 De QU
éningée. Etant donnés les rapports des membranes avec l'endocrâne
Fig
. G0. - Coupe de crâne de Vey... (hauteur réelle 1
t, si nous avons des crânes où l'inflammation ne paraît pas avoir
Fig
. 61. 238 Anatomie pathologique. influencé,
Sur la fig. 64, on voit une anomalie assez curieuse, l'agrandisse-
Fig
. 63. 240 Anatomie pathologique. ment des trou
dans les Bulletins de la Société d'An- thropologie janvier 1902).
Fig
. 64. Atrophies cérébrales unilatérales. 241 C
ne la terre. L'enfant court rarement, et le saut lui est difficile (
Fig
. 66). Thorax régulier. Respiration costo-abdomi
ydrothérapie ; élixir polybromuré, de 1 à 3 cuille- rées ; école.
Fig
. 66. - 1-lam... en mars J 903. ' , Marche des a
oitié droite de l'occipital participe à cette hypertrophie osseuse (
Fig
. 67). Il n'y a pas de plaques transparentes sur
que la gauche; il en est de même' de la sylvienne, de la cérébrale
Fig
. 67. - Crâne de Ham... réduit de 16 cent. 5 à 10
nt plus volumineux que le gauche atrophié (.i3 gr.) (PL. VI, VII et
Fig
. 68). Voici d'ailleurs leurs dimensions : Scl
ctuelle ou un faible degré d'imbécillité, nous avons pu les faire
Fig
. 69.- Tracé de la température de l'état de mal
cet hémisphère atrophié et la partie correspondante de la calotte
Fig
, 71. - Etat de mal guéri. 268 État DE MAL épile
. A partir de l'entrée, ils sont allés en augmentant ainsi que le
Fig
. 72. - Petit]... État de mut, température. AI10
R. ; 3° période méningitique avec nouvelle éléva- tion de la T. R. (
Fig
. 7 ? ) déterminant la mort. V. Ce malade a été
ées. LO, lobe occipital. ERRATA. Page 164, ligne 11, l'indication
Fig
. 47 et 48 se rapporte au cerveau de Mai.. Elles
ches II et III des pages 165 et 166. Page 228, ligne 5 au lieu de
Fig
. 1 et des Planches I et II, il faut lire : Fig.
, ligne 5 au lieu de Fig. 1 et des Planches I et II, il faut lire :
Fig
. 60 et PL. II et III. - Ligne 11, au lieu de Fi
, il faut lire : Fig. 60 et PL. II et III. - Ligne 11, au lieu de
Fig
. 8, lire Fig. 60. Page 215, ligne 15 au lieu de
ire : Fig. 60 et PL. II et III. - Ligne 11, au lieu de Fig. 8, lire
Fig
. 60. Page 215, ligne 15 au lieu de PL. III, lir
ire consécutive ôtail exactement limitée aux membres droits. (Voir la
Fig
, 1,) — Voici maintenant l'exposé sommaire d'un ca
ctrique dès le sixième jour après l'accident. de cellules motrices {
Fig
. 2). La névroglie, dans les points al-térés, devi
s al-térés, devient d'habitude plus opaque, plus dense, parsemée de
Fig
. 2, — Coupe de la moelle faite à la région lombai
a-lysie spin. de l'enfance (Gaz. méd., nos il, 43, etc., 1871.) (Voir
Fig
. 2.) 2. Voir Charcot et Joffroy, loc. cil. ap
ane et s'étend aux parties voisines, symé-triquement, de chaque côté {
Fig
. 4). Il peut se faire toutefois qu'un seul côté s
. L'influence des attitudes joue ici un rôle important. Ainsi, il
Fig
. 4.—Eschare de la région sacrée dans un cas de my
physiologie pa-thologique et que nous aurons soin de faire ressortir (
Fig
. 4). a) Nous mentionnerons en premier lieu les
e qui avait présenté les symptômes de l'arthropathie des ataxiques.
Fig
. 5. —Extrémité supérieure d'un humérus sain et d'
éunies, si je neme trompe, dans aucune autre affection articulaire.
Fig
. 6. — A, Corne antérieure du côté droit. — A', co
laisser de traces. L'altération se montrait d'ailleurs exclusivement {
Fig
. 6) sur la corne anté-rieure correspondant au côt
ière, avait pu y étudier la maladie sur un grand nombre de malades.
Fig
. 1. La tôle et le cou, nous le répétons, resten
a por-ter en haut, adroite ou à gauche. Le tronc lui-même est pres-
Fig
. 8. — Attitude habituelle dans les cas de paralys
1 et II.) L'attitude des membres supérieurs mérite d'être relevée.
Fig
. 9. — Déformations des doigts de la main simulant
en masse vers le bord cubital(F?V/.8). Ils montrent, en outre, dans
Fig
. 10. — Déformations des doigts de la main, simula
es de déformations observés dans le rhu-matisme chronique progressif (
Fig
. 9 et 10). La distinction cependant est d'ordinai
. Le bulbe lui-même n'est pas épargné, tant s'en faut. (Voy. Pl. III,
Fig
. Iet3). Souvent aussi diverses par-ties de l'encé
de la substance grise (Couches optiques, corps striés. Pl. IV et VII,
Fig
. 1 et 2). Le cervelet ne présente d'habitude qu
es inté-rieures, occupant spécialement le corps rhomboïdal. (Pl. III,
Fig
, 1 et 2). Le bulbe, la protubérance, et les div
et les tubercules mamillaires et les pédon-cules cérébraux (Pl. III,
Fig
. 1 et 3; Pl. VIII,Fig.. 1 à 5). Nous arrivons m
illaires et les pédon-cules cérébraux (Pl. III, Fig. 1 et 3; Pl. VIII,
Fig
.. 1 à 5). Nous arrivons maintenant à la moelle.
ns s'ils ont été lésés sur leur parcours extra-spinal. (Voy. Pl. III,
Fig
. 1 et 3, a. b). Je n'insisterai pas plus longue
utrage, qu'en-fin elles secolorent àpeine sous l'influence du carmin (
Fig
. 11). Ces derniers caractères les différencient s
lent sous l'influence de l'acide acétique et forment une masse hya-
Fig
. 11. — Elle représente une préparation fraîche, p
z encore Rindfleisch, loc. cil., p. 20, § 52. quelquefois d'un re'm(
Fig
. 12). Ils offrent comme la myéline, dont ils se r
ettes ou granulations graisseuses, tantôt libres,tantôt agglomérées
Fig
. 12. — Plaque de sclérose à l'état frais. — a, ga
mai 1865, M. Charcot recueillit le fragment suivant de son écriture. (
Fig
13.) Fig. 13. A partir du mois de juin, Leru.
. Charcot recueillit le fragment suivant de son écriture. (Fig 13.)
Fig
. 13. A partir du mois de juin, Leru... fut mise
s spécimens que nous possédons, il est assez difficile de se former
Fig
. 14. une opinion sur les caractères de l'écritu
ties de l'isthme de l'encéphale et en particulier, le bulbe (Pl. 111,
Fig
. 1 et 3, Pl. VIII). Vous voyez par laque l'existe
f trijumeau, on découvre une plaque de sclérose large et irrégulière (
Fig
. 16, b, b'). Fig. 16. — a, pneumogastri que.— b
ouvre une plaque de sclérose large et irrégulière (Fig. 16, b, b').
Fig
. 16. — a, pneumogastri que.— b, petite p laque de
la partie moyenne des olives, fait voir une autre plaque de sclérose [
Fig
.il, c) paraissant intéresser le pneumogas-trique
ue de sclérose [Fig.il, c) paraissant intéresser le pneumogas-trique (
Fig
. 17, a). L'examen microscopique des nerfs a montr
hères cérébraux, immédiatement en arrière des émi-nences mamillaires (
Fig
. 18). Vous reconnaissez sur cette coupe, immédiat
e sont autres que le prolongement de l'étage inférieur du pédoncule
Fig
. 18. — Coupe transversale du cerveau. — a, couche
trois lignes en avant de l'extrémité postérieure delà couche optique (
Fig
. 18, 2') ; Il y avait, en outre, une lacune dans
2') ; Il y avait, en outre, une lacune dans le lobe inférieur droit (
Fig
. 18,2"), une autre dans le lobe anté-rieur du môm
e éleudue égale à celle d'un floiùn, jaunes, ramollies et dé-primées (
Fig
. 18, 3). Couche optique, saine. Peut-être un peti
offraient dans leurs crises les attitudes les plus ^*ayante|!) ^Voy.
Fig
. 19, 20 et 21.) L'origine vraisemblable des acc
'une femme assassinée; 3° à 16 ans, nouvelle frayeur déterminée par
Fig
. 19. —Attitude de Ler... pendant l'attaque : péri
Par-fois les phénomènes envahissent le côté gauche, et, alors, con-
Fig
. 20. — Attitude de Lér... pendant l'attaque : pér
tudes que l'histoire prête aux démoniaques. [Période des contorsions (
Fig
. 19,20 et 21.)] A ce moment de l'allaque, elle es
ns (Fig. 19,20 et 21.)] A ce moment de l'allaque, elle est en proie
Fig
. 21. — Attaque hystéro-épileptique. —Période des
ainsi mis à même de vous faire loucher du doigt les particularités
Fig
. 22. — Contracture du membre supérieur gauche.
). Du jour au lendemain, tout peut rentrer dans l'ordre; et s'il se
Fig
. 23. — Contracture hystérique du membre inférieur
e premier cas, il s'agissait de la contracture d'un membre inférieur (
Fig
. 23) datant de quatre ans au moins. En raison de
rap-pelle celle du varus équin, ne s'est point modifiée pendant le
Fig
. 24. — Contracture hystérique des deux membres in
e, chez elle, rien changer désormais à l'état des membres inférieurs (
Fig
. 24) (1). 1. X^oir l'observation complète de ce
visuel, pour les couleurs, chez les hystériques, voir la Planche XII,
Fig
, 2, qui repré-sente les phénomènes observés chez
cord sur cepoint.Ces convulsions sont parfois 1. Voir plus haut les
Fig
. 19, 20 et 21. môme tellement accentuées, que M
r ce que, pour l'épilepsie, on appel laG es s-érie^m Y état de mql£
Fig
. 25. — Température prise un peu après le 11e accè
s de Y état de mal épileptique qu'elle vient de subir tout récemment {
Fig
. 25). 11 ne faut pas ignorer que cette élévatio
usqu'à 38°,5 que d'une façon toutà fait exceptionnelle et transitoire(
Fig
.26). — Je dois ajouter que jamais, pendant ce tem
i-formes. Vous voyez le tronc s'infléchir fortement sur le bassin, {
Fig
. 27), entraînant la tête qui, à son tour, s'incli
, puis la tête et le tronc se redressent, décrivant une trajectoire {
Fig
. 29J, qui figure un demi-cercle parcouru tout à l
recommence, suivi bientôt du mouvement d'extension et ainsi de suite {
Fig
. 28). On dirait l'image d'une salutation profonde
étée, rendue ridicule par sa répéti-tion même et par son exagération (
Fig
. 27, 28, 29.) Remarquez que ces actes se reprod
ù la flexion de la tête et du tronc est aussi prononcée que possible (
Fig
. 28) ; en ce moment, le membre supérieur, tout en
est fortement appliqué sur le matelas. La flexion des deux membres {
Fig
. 28) commence à se pro-duire aussitôt que se pron
sque la révolution est accomplie, c'est-à-dire au moment où la tête
Fig
. 27. — Dessinée par P. Richer, d'après un croquis
nt le sommeil. Au momentdu réveil, il se manifeste un fait très cu-
Fig
. 28. —Dessinée par P. Richer d'après un croquis f
el-ques instants, le membre inférieur surtout, le siège d'une rigi-
Fig
. 29. — Dessiné par P. Richer. dite musculaire,
t et à la nôtre. L'écriture des malades diminue sou-vent de grandeur {
Fig
. 30 et 31) et parfois paraît normale au Fig. 30
e sou-vent de grandeur {Fig. 30 et 31) et parfois paraît normale au
Fig
. 30. premier abord. Mais, si, comme le recomman
s, particularité qui ne frappait pas à l'examen pratiquée l'œil nu.
Fig
. 31. Fig. 32. Les mêmes caractères se retrouv
arité qui ne frappait pas à l'examen pratiquée l'œil nu. Fig. 31.
Fig
. 32. Les mêmes caractères se retrouvent aussi l
s se retrouvent aussi lorsque 1 écriture n'est pas encore rapetissée (
Fig
. 32). En présence d'un cas de Caractères de l'é
quelque doute, il sera donc utile d'examiner l'écriture à la loupe.
Fig
. 33 et 34. D'après les figures 33 et 34, représ
endant le cours des xive et xve siècles (1). Le dessin en question (
Fig
. 35) nous fait pour ainsi dire as-sister à une Da
osnier, Editeurs, PLANCHE III » SCLÉROSE EN PLAQUES (ENCÉPHALE)
Fig
. 1. — Cerveau tout entier vu par sa base. — a, Pl
points restés sains. Les nerfs émergeant du bulbe paraissent sains.
Fig
. 2. — Coupe horizontale du cervelet, faite de faç
e que la coupe est laissée à l'air. Sorte de piqueté très accentué.
Fig
. 3. — Portion du cerveau vu par sa base. — a, Ner
erbauer Chromo lith. PLANCHE IV sclérose en plaques (cerveau) .
Fig
. 1. — Coupe du cerveau faite horizontalement et l
blanche, qui paraît saine à mesure que la coupe est laissée à Pair.
Fig
. 2. — Autre coupe du même cerveau, faite aussi ho
r Chromo lith. PLANCHE V sclérose en plaques (moelle épinière).
Fig
. 1. — Moelle épinière vue par la face postérieure
oir la vascularisation spéciale des plaques scléreuses elles-mêmes.
Fig
. 2.— Moelle épinière vue par la face antérieure (
empêchant de voir la vascularisation spéciale des zones scléreuses.
Fig
. 3. — Coupes horizontales, faites à diverses haut
ier Editeurs. PLANCHE VI sclérose en plaques (moelle épinière).
Fig
. 1. —Moelle épinière vue par la face postérieure
hant de voir la vascularisation des plaques scléreuses elles-mêmes.
Fig
. 2.— Moelle épinière vue par la face postérieure
irrégulièrement disséminés. v, Vascularisation méningée (pie-mère;.
Fig
. 3. — Coupes horizontales faites à diverses haute
ahaye et E. Lecrosnier Editeurs. PLANCHE VII sclérose en plaques.
Fig
. 1. — Face interne de l'hémisphère gauche. a.,
: — la couche optique, CO, la circonvolution de l'hippocampe, CH.
Fig
. 2. — Sur cette figure,le corps calleux a été enl
ye et E. Lecrosnier Editeurs. PLANCHE VIII SCLÉROSE EN PLAQUES.
Fig
. 1. — Protubérance et bulbe ; face antérieure. Fi
ROSE EN PLAQUES. Fig. 1. — Protubérance et bulbe ; face antérieure.
Fig
. 2. — Protubérance et bulbe: face latérale gauche
ce antérieure. Fig. 2. — Protubérance et bulbe: face latérale gauche.
Fig
. 3. — Protubérance et bulbe ; face latérale droit
érale gauche. Fig. 3. — Protubérance et bulbe ; face latérale droite.
Fig
. 4 et 5. — Coupes de la protubérance. Sur toute
mp. Lemercier Cie Paris PLANCHE XIII CHAMP visuel des couleurs.
Fig
. 1. — Champ visuel d'un œil gauche normal. —¦ Ces
M. Landolt. — c, point de fixation correspondant à la tache jaune.
Fig
. 2. — Champ visuel gauche dans un cas A'Hgstéro-é
e, de dehors en dedans, car, si l'on ouvrait la cavité rachidienne (
Fig
. 1), on en voyait certains qui, complètement ossi
ux, le faisceau moyen faible qui se rend au disque, étant respecté (
Fig
. 2 et 3). Les ligaments costo-transversaires ét
. Les ligaments costo-transversaires étaient presque tous ossifiés (
Fig
. 3). Le ligament surépineux formait par places
ssification des disques que du ligament vertébral commun antérieur (
Fig
. 4). Les ligaments vertébraux communs antérieurs
A. LÉRI Spondylose lihizoméligue. - (Autopsie pratiquée en 1899).
Fig
. 1. Colonne cervicale (coupe sagit- tale médian
. Soudure de l'arc antérieur de l'atlas à l'apophyse odontoïde.
Fig
. 2. Colonne dorsale moyenne. - Allongement des
ur et inférieur. Ossification des ligaments costo-transversaires.
Fig
. 3. Colonne dorsale moyenne. - Ossification cos
le (faisceaux supérieur et inférieur) et costo-transver- saire.
Fig
. 4. Colonne lombaire. Tubéro- sités osseuses au
ÉLIQUE (Autopsie pratiquée en 1905). (Pierre Marie et A. Léri).
Fig
. I. Vue d'ensemble de la pièce. - Remar- quel d
ement ankylosé des deux hanches comme s'il n'avait pas été opéré.
Fig
. a. Fig. b. Fig. a. Rhumatisme vertébral chro
losé des deux hanches comme s'il n'avait pas été opéré. Fig. a.
Fig
. b. Fig. a. Rhumatisme vertébral chronique avec
deux hanches comme s'il n'avait pas été opéré. Fig. a. Fig. b.
Fig
. a. Rhumatisme vertébral chronique avec ankylose
u peut-être la syphilis (Comparez avec la fig. 3, B de la planche).
Fig
. b. Rhumatisme chronique de la région cervicale (
nt : PSYCHOPHYSIOLOGIE DE L'USAGE DES LUNETTES . 117 118 FÉRÉ
Fig
. 1. Les deux ergogrammes de l'expérience II sépar
18 minutes de repos avec les lunettes (réduction photographique).
Fig
. 2. Les deux ergogrammes de l'expérience V séparé
qui correspond aux clavicules la peau est seulement hypoesthésiée (
Fig
. 1 et 2). Sur toute la surface de la peau où le
ds, du cou et de la tête sentent les piqûres les plus superficielles (
Fig
. 3 et 4). Légère hypotesthésie au chaud, disp
anesthé- sique. La peau qui couvre les clavicules sent normalement (
Fig
. S). Toute la surface de la peau qui était seul
os des doigts et les organes génitaux sont maintenant hypoalgésiques (
Fig
. 6 et 7). FiG. 5. - 10 novembre 1905. - Topog
e elle est insensible, au contraire les testicules sont douloureux (
Fig
. 8 et 9. OBS. IL - Le malade M... T... Le 17
eds et des orteils, la sensibilité tactile est très peu dimi- nuée (
Fig
. 10 et 11). D'après la même topographie il y a
la peau sur la ligne inter-fessière. est seulement hypoesthésique (
Fig
. 12 et 13). Les troubles de sensibilité thermique
interne de la troi- sième circonvolution temporale (Schéma n° III ;
Fig
. 4; Planche XXIX, 4, 5, 6, et Planche XXXII, 17
t aucune mention d'hémia- nopsie. Hémisphère droit (Schéma no IV,
Fig
. 5 ; Planche XXXIII, 19, 20, 21). Ramollissemen
ur de la première circonvolution temporale. Dans le lobe occipital (
Fig
. 2), la lésion détruit le pli courbe et la deuxiè
e supérieure ou inférieure (selon le cas) de la scissure calcarine (
Fig
. 5 et PI. XXXII, 13). En présence de ces faits,
diatement en dehors représente les faisceaux de Sachs et de Vialet (
Fig
. 1 et 6). Si nous faisons une application prati
qui a Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière T. XIX. Pl. XXXIV
Fig
. 2 Fig. 3 RÉGÉNÉRATION DES FIBRES NERVEUSES
ouvelle Iconographie DE la Salpêtrière T. XIX. Pl. XXXIV Fig. 2
Fig
. 3 RÉGÉNÉRATION DES FIBRES NERVEUSES /Y ATrf1
jt ! NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTRIBHE k T. XIX. PI. XXXV
Fig
. 1 Fig. 2 Fig. 3 Fig. 4 · Fig. 5 .REGEN
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTRIBHE k T. XIX. PI. XXXV Fig. 1
Fig
. 2 Fig. 3 Fig. 4 · Fig. 5 .REGENERATION D
ONOGRAPHIE DE LA SALPËTRIBHE k T. XIX. PI. XXXV Fig. 1 Fig. 2
Fig
. 3 Fig. 4 · Fig. 5 .REGENERATION DES FIBRES
E DE LA SALPËTRIBHE k T. XIX. PI. XXXV Fig. 1 Fig. 2 Fig. 3
Fig
. 4 · Fig. 5 .REGENERATION DES FIBRES NERVEUSE
PËTRIBHE k T. XIX. PI. XXXV Fig. 1 Fig. 2 Fig. 3 Fig. 4 ·
Fig
. 5 .REGENERATION DES FIBRES NERVEUSES (I N.7,
que). NOUVELLE Iconographie de la Salpêtrière T. XIX. Pl. XXXVI
Fig
. 6 Fig. 7 REGENERATION DES FIBRES NERVFi7SF'C
OUVELLE Iconographie de la Salpêtrière T. XIX. Pl. XXXVI Fig. 6
Fig
. 7 REGENERATION DES FIBRES NERVFi7SF'C NOUVEL
CONOGHAPHOE PB LA SALPÊTHItKF. T. XIX. 111. XXXVII .Fig. 8 1
Fig
. 9 Fig. 10 Fis. 1 il ? RÉGÉNÉRATION DES FIB
HOE PB LA SALPÊTHItKF. T. XIX. 111. XXXVII .Fig. 8 1 Fig. 9
Fig
. 10 Fis. 1 il ? RÉGÉNÉRATION DES FIBRES NERVE
de Biol., 12 mai 1906. Explication des planches. Planche XXXIV.
Fig
. 1. - a, b, c, coupes du 4e nerf radiculaire lomb
piens). - Méthode de Weigert- Pal. Grossissement de 10 diamètres.
Fig
. 2. Obs. IIL(tabes incipiens). Coupe de la moelle
moelle à la hauteur de la 4" lom- baire. Méthode de Weigert-Pal.
Fig
. 3. Obs. III (tabes incipiens). Photographie d'un
l. Grossissement de 75 diamètres, Planche XXXV. Méthode de Cajal.
Fig
. 1. - Obs. III (tabes incipiens). Coupe longitudi
upes représentées, Pl. XXXIV, fig. 1 (figure demi-sché- matique).
Fig
. 2. Même cas, même ganglion ; répartition des lés
es dans les racines antérieure et postérieure (état moniliforme).
Fig
. 3. Etat moniliforme des cylindraxes dans la raci
axes dans la racine postérieure au point 1 du schéma précédant. '
Fig
. 4. Racine antérieure au point 2 du schéma ; abse
ig. 4. Racine antérieure au point 2 du schéma ; absence de lésions.
Fig
. 5. Etat moniliforme des cylindraxes dans la raci
ntérieure point 3 du schéma. Planche XXXVI. - Méthode de Cajal.
Fig
. 6. - Obs. III (tabes incipiens). Trois massues d
niveau du glomérule d'une cellule. Noyaux des capsules des massues.
Fig
. 7. - Obs. II (tabes avancé). Cellule d'un gangli
jal). Planche XXXVII. Méthode de Cajal. Obs. II (tabes avancé). -
Fig
. S. - Coupe longitudinale d'un fascicule radicula
omérule d'une cellule dont le corps a été enlevé par le rasoir. ,
Fig
. 9. Coupe transversale d'un fascicule semblable ;
rois massues dont les connexions n'apparaissent pas. 238 NAGEOTTE
Fig
. 10. Portion de cellule ganglionnaire avec son cy
par des boules ; les autres envoient leurs ramifications au loin.
Fig
. 11. - a) Cellule pourvue d'un appendice naissant
its renfle- ments ovoïdes. Planche XXXVIII. - Méthode de Cajal.
Fig
. 12. - Obs. II (tabes avancé). - a, a') Massues d
ontenu en est liquide, épais, cohérent, visqueux, franchement vert (
Fig
.1, 2, 3). ' Un second abcès, beaucoup plus vast
gnées ». Ici la coloration des fibres à myéline réussit très bien.
Fig
. 3.- Métastase cancéreuse à la bifurcation d'un v
oduction de ce tic, L... contractait les muscles extenseurs du cou (
Fig
. B), et en 1896 il a deux tics : celui de la face
un mouve- ment rapide de frottement sur le front ou sur le menton (
Fig
. C et D). Son travail à l'école a été couronné
- semble l'attitude forcée et raide d'un soldat prussien (PI. XLVI,
Fig
. E). Ce tic dure deux ans. Au retour du régim
ontre l'autre ; flexion et entrecroisement des doigs de deux mains (
Fig
. F, G) ; contorsion générale du corps dans l'at
dans l'attitude rappelant celle d'un homme qui se prépare à courir (
Fig
. H) ; roulement du dos ; mouvements des hanches ;
noyaux (même technique, obj. 5, ocul. 2). 1 fit. 1. FIG. 3, 1
Fig
. 2. Fic. . Fie. 5. luu. 6. Fio. 7. SECT
y, 1897. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALFETRIERE , T. XLX, PL. XLIX.
Fig
. 2. Fic.. 1. Fig. 3. 1"10. 4. Fio. >3.
OGRAPHIE DE LA SALFETRIERE , T. XLX, PL. XLIX. Fig. 2. Fic.. 1.
Fig
. 3. 1"10. 4. Fio. >3. FIG. 6. Fig. 7.
. Fig. 2. Fic.. 1. Fig. 3. 1"10. 4. Fio. >3. FIG. 6.
Fig
. 7. 1"10.8. Fig. 9. SECTION EXPÉRIMENTALE D
1. Fig. 3. 1"10. 4. Fio. >3. FIG. 6. Fig. 7. 1"10.8.
Fig
. 9. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEU
paires, du NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XIX. Pl. LI
Fig
. 2 Fig. 3 NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtr
u NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XIX. Pl. LI Fig. 2
Fig
. 3 NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T
Fig. 3 NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XIX. Pl. LU
Fig
. 4 Fig. 5 Fig. 6 Fig. 7 Fig. 8 Fig. 9
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XIX. Pl. LU Fig. 4
Fig
. 5 Fig. 6 Fig. 7 Fig. 8 Fig. 9 SCLÉROSE
Iconographie DE la Salpêtrière. T. XIX. Pl. LU Fig. 4 Fig. 5
Fig
. 6 Fig. 7 Fig. 8 Fig. 9 SCLÉROSE EN PLAQU
phie DE la Salpêtrière. T. XIX. Pl. LU Fig. 4 Fig. 5 Fig. 6
Fig
. 7 Fig. 8 Fig. 9 SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYP
a Salpêtrière. T. XIX. Pl. LU Fig. 4 Fig. 5 Fig. 6 Fig. 7
Fig
. 8 Fig. 9 SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS (
ière. T. XIX. Pl. LU Fig. 4 Fig. 5 Fig. 6 Fig. 7 Fig. 8
Fig
. 9 SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS (Catola.)
les ca- NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XIX. PI. LUI
Fig
. 10 fig.13 Fig. 11 t Fias Fig. 12 Fig.
Iconographie DE la Salpêtrière T. XIX. PI. LUI Fig. 10 fig.13
Fig
. 11 t Fias Fig. 12 Fig. 15 SCLÉROSE EN PL
Salpêtrière T. XIX. PI. LUI Fig. 10 fig.13 Fig. 11 t Fias
Fig
. 12 Fig. 15 SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS
e T. XIX. PI. LUI Fig. 10 fig.13 Fig. 11 t Fias Fig. 12
Fig
. 15 SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS (Catola.)
latéraux. (UVELLElCOKOGRAPHIEDELASALPÊTKIÈXE. T. XIX. Pl. LIV 1
Fig
. 1 Fig. 2 i Fig. 3 t Fig. 4 4 ,1 : \
(UVELLElCOKOGRAPHIEDELASALPÊTKIÈXE. T. XIX. Pl. LIV 1 Fig. 1
Fig
. 2 i Fig. 3 t Fig. 4 4 ,1 : \ Fig. 5
COKOGRAPHIEDELASALPÊTKIÈXE. T. XIX. Pl. LIV 1 Fig. 1 Fig. 2 i
Fig
. 3 t Fig. 4 4 ,1 : \ Fig. 5 11 I i SC
LASALPÊTKIÈXE. T. XIX. Pl. LIV 1 Fig. 1 Fig. 2 i Fig. 3 t
Fig
. 4 4 ,1 : \ Fig. 5 11 I i SCLÉROSE EN PLA
XIX. Pl. LIV 1 Fig. 1 Fig. 2 i Fig. 3 t Fig. 4 4 ,1 : \
Fig
. 5 11 I i SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 1
oxyline d'Ehrlich. - Grossissement : Ocul. 6 comp., Ob. A. Zeiss.
Fig
. 13. - Augmentation des noyaux de névroglie dans
dans la NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XIX. Pl. LVI
Fig
. 1 F2 2 Fig. 3 Fig. --1 ARTHROPATHIES SÉN
LE Iconographie DE la Salpêtrière T. XIX. Pl. LVI Fig. 1 F2 2
Fig
. 3 Fig. --1 ARTHROPATHIES SÉNILES DES DOIGTS
raphie DE la Salpêtrière T. XIX. Pl. LVI Fig. 1 F2 2 Fig. 3
Fig
. --1 ARTHROPATHIES SÉNILES DES DOIGTS (Pariso
1e). Nouvelle Iconographie de la SALPCTRI·raE. T. XIX. Pl. LVII
Fig
. l' Fige Fig. 3' ARTHROPATHIES SÉNILES DES
conographie de la SALPCTRI·raE. T. XIX. Pl. LVII Fig. l' Fige
Fig
. 3' ARTHROPATHIES SÉNILES DES DOIGTS (Pnrisot
es mots. NOUVELLE Iconographie de la Salpêtrière T. XIX. PI. LX
Fig
. 1 Fixa. 2 Fia. 3 Fig. 4 PLAIES PÉNÉTRANT
phie de la Salpêtrière T. XIX. PI. LX Fig. 1 Fixa. 2 Fia. 3
Fig
. 4 PLAIES PÉNÉTRANTES DU CRANE PAR LES PROJECTI
noia). N outille Iconographie DE la Salpêtrière T. XIX. PI. LXI
Fig
. 1 Fig. 2 Fig. 3 Fig. 4 Fig. 5 PLAIES P
N outille Iconographie DE la Salpêtrière T. XIX. PI. LXI Fig. 1
Fig
. 2 Fig. 3 Fig. 4 Fig. 5 PLAIES PÉXÉTHANTE
Iconographie DE la Salpêtrière T. XIX. PI. LXI Fig. 1 Fig. 2
Fig
. 3 Fig. 4 Fig. 5 PLAIES PÉXÉTHANTES DU CRAN
phie DE la Salpêtrière T. XIX. PI. LXI Fig. 1 Fig. 2 Fig. 3
Fig
. 4 Fig. 5 PLAIES PÉXÉTHANTES DU CRANE PAR LES
a Salpêtrière T. XIX. PI. LXI Fig. 1 Fig. 2 Fig. 3 Fig. 4
Fig
. 5 PLAIES PÉXÉTHANTES DU CRANE PAR LES PROJECTI
es plus épaisses se ramifiant à plusieurs reprises sur leur trajet (
Fig
. 2) et dont les ramifications donnent parfois nai
lules émigrées constituant parfois une espèce de plexus irrégulier (
Fig
. 3). ,Dans la substance blanche latérale, on co
z peu nombreuses sont disséminées dans l'épaisseur de la cicatrice (
Fig
. 4). Les modifications des racines postérieures
'un ou plusieurs noyaux qui, suivant leur siège,en modèlent la forme (
Fig
. 5). Nous allons donner maintenant le résultat
avoisinent les ré- gions mieux conservées de la substance blanche (
Fig
.6). Par conséquent, le tis- su de nouvelle form
véritables plexus couvrant plus s ou moins les parois vasculaires (
Fig
. 7). On voit nettement que certaines de ces fib
de macrophages, m m'. 432 MARINESCO ET MINEA tour des vaisseaux (
Fig
. 7) Sur des coupes transversales, on s'aperçoit q
énètrent entre les macrophages qu'elles embrassent pour ainsi dire (
Fig
. 8). Au contraire, les vaisseaux qui sont situés
s ces cordons de jeunes axones il tous les degrés de développement (
Fig
. 9). Ces cordons sont bien visibles à un faible g
ncontre rarement et isolées possédant une gaine de cette substance (
Fig
. 12). A ce propos il est fort probable que les au
ans le septum antérieur suivant de près la direction des vaisseaux (
Fig
13). Ils ne sont pas si volumineux que ceux de
férieurs, diminue aussi ici en remontant le-long des mem- Fia. 1.
Fig
. 2. 482 DEJERINE ET ANDHÉ THOMAS bres. Le ret
pas de symptômes paralytiques nets dans le domaine du facial supé-
Fig
. 3. Fig. 4. 498 DEJERINE ET ANDRÉ-TII011ZAS
mptômes paralytiques nets dans le domaine du facial supé- Fig. 3.
Fig
. 4. 498 DEJERINE ET ANDRÉ-TII011ZAS rieur, ca
lle commence à réapparaître un peu et augmente en remontant vers la
Fig
. 5. Fig. c. 500 DEJERINE ET ANDRE-THOMAS ra
ce à réapparaître un peu et augmente en remontant vers la Fig. 5.
Fig
. c. 500 DEJERINE ET ANDRE-THOMAS racine des m
cines NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XIX. PI. LXXV !
Fig
. 1 Fig. 3 . Fig.2 '2 Fig. 4 MAL DE POTT
OUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XIX. PI. LXXV ! Fig. 1
Fig
. 3 . Fig.2 '2 Fig. 4 MAL DE POTT 'r"hJ¡,¡
nographie DE la Salpêtrière. T. XIX. PI. LXXV ! Fig. 1 Fig. 3 .
Fig
.2 '2 Fig. 4 MAL DE POTT 'r"hJ¡,¡,1't&;1
E la Salpêtrière. T. XIX. PI. LXXV ! Fig. 1 Fig. 3 . Fig.2 '2
Fig
. 4 MAL DE POTT 'r"hJ¡,¡,1't&;1 : ¡ ,;a :
l'os. Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XIX. PI. LXXVII
Fig
. 1 Zig. 2 MAL DE POTT (L. Alquier). QUINZ
toute NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XIX. PI. LXXVIII
Fig
. 1 Fis. 2 MAL DE POTT (L. Alquier). Masso
es iu- NOUVELLE Iconographie de la SALPÊTRIÈRE. T. XIX. Pl. LXXIX
Fig
. 1 ng 21t ! r. zut . mi Fig. 2 Fig. 3
ALPÊTRIÈRE. T. XIX. Pl. LXXIX Fig. 1 ng 21t ! r. zut . mi
Fig
. 2 Fig. 3 QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHE
E. T. XIX. Pl. LXXIX Fig. 1 ng 21t ! r. zut . mi Fig. 2
Fig
. 3 QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULT
e est percée de vaisseaux très dilatés et entourés de grains noirs (
Fig
. 1). Sur une coupe (Fig. 2), passant en dehors
très dilatés et entourés de grains noirs (Fig. 1). Sur une coupe (
Fig
. 2), passant en dehors de la précédente et interm
inférieure du feutrage intra-ciliaire (FIC). Enfin sur une coupe (
Fig
. 4), passant en dehors de la précédente et cor-
ences secondaires, nous les étudions successivement. Sur une coupe (
Fig
. 5) passant immédiatement au-dessous du laye/' de
. Les ventricules étaient dilatés, surtout dans l'hémisphère droit (
Fig
. 1 et 1 bis). L'examen microscopique de l'hémis
orne la lèvre inférieure de la scissure calcarine est sclérosée, la
Fig
. 1. Hémisphère droit, face externe. ANATOMIE PA
imbique. La région du ramollissement ne se sépare que par une mince
Fig
. 1 bIS. Hémisphère droit, face interne. Fig. 2.
are que par une mince Fig. 1 bIS. Hémisphère droit, face interne.
Fig
. 2. Cas I. P, pariétale. 0, occipitale. Fus, fu
Autour de cette lésion on observe la formation de tissu conjonctif (
Fig
. 3). 4° Sur les coupes, qui passent en avant du
nticulaire et sur la partie inféro-postérieure des couches systiques (
Fig
. 4). Fig. 3 et 4. - Cas I. - P, pariétale ascen
et sur la partie inféro-postérieure des couches systiques (Fig. 4).
Fig
. 3 et 4. - Cas I. - P, pariétale ascendante. - 0,
émisphère la scissure calcarine est altérée sur toute son" étendue (
Fig
. 5). Dans l'hémisphère gauche on ne peut rien r
La substance blanche du gyrus marginalis est complètement détruite.
Fig
. 5. Cas II. - Hémisphère droit, face interne. A
blanche qui se trouve près de la lésion est parfaitement intacte (
Fig
. 6). 2° Sur des coupes, qui passent à peu prè
rme, dont la substance blanche est détruite presque complètement.
Fig
. 6. Cas II. - C, cunéus. - K, fissure calcarine
on de la cir- convolution de l'hippocampe et de la corne d'Ammon (
Fig
. 7). Sur les coupes, qui passent plus en uvaw
ance blanche de la deuxième circonvolution temporale,de la deuxième
Fig
. 7. Cas H ? P, pariétale. - T, tem- porale. - F
érieur, ainsi que les fibres du tapetum dans leur partie externe (
Fig
.8). . 3° Sur les coupes horizontales, qui pas
t et des fibresdu faisceau longitudinal inférieur,surtout dans leur
Fig
. 8. - Cas II. - P, pariétale. - T, temporale. -
effort donne à la partie inférieure de la face un aspect pleurard (
Fig
. 1). Sa lèvre inférieure est assez épaisse, ell
s classiques : la malade ne peut pas siffler, elle ne peut pas gon-
Fig
. 1. UN CAS DE PARALYSIE BULBAIRE AIGUË CHEZ UNE
e les aliments avec ses doigts et, pour boire, elle prend une quan-
Fig
. 2. 14 KOLLARITS tité considérable de liquide
tions fa- radiques et galvaniques. , La sensibilité est troublée (
Fig
. 2). On trouve notamment à la lèvre inférieure
forment une légère saillie appré- ciable au doigt et an toucher (
Fig
. 1). Z) sur les t5 coupes transversales pratiqu
138 kystes. En partageant en deux une des premières tranches, , 3
Fig
. 1. - Répartition des kystes sur une coupe du l
ns la protubérance, et deux au niveau du pédoncule cérébral gauche (
Fig
. 2). Les aspects sous lesquels se présentent le
riole en présente plu- sieurs, insérées en des points très voisins (
Fig
. 3). On trouve la forme en hal- i tère (Bitot e
de 1 crochets. Il mesure environ un demi-millimètre de long. III.
Fig
. 2. Kystes de la protu- bérance. Fig. 3. - De
i-millimètre de long. III. Fig. 2. Kystes de la protu- bérance.
Fig
. 3. - Deux cysticerques appendus à une artériol
es cysticerques. La membrane propre est enkystée, à mailles larges (
Fig
. 4). La paroi du kyste est fibreuse, plus jeune
ale contenait environ quatre cents cysticerques de toenia solium.
Fig
. 4. - Coupe d'un kysle : 1. Cavité du kyste ; - 2
nérescence stéatomateuse. Dans l'hémisphère droit nous trouvons (
Fig
. 1) : 1° Au fond du premier sillon frontal, à s
la partie supérieure du pied de F2 au fond d'un sillon, et intéres-
Fig
. 1. - Face externe. Hémisphère droit. 44 SÉRIEU
pitale, à la partie postérieure du pli courbe, kyste gros comme une
Fig
. 2. - Face externe. Hémisphère gauche. 1 SURDIT
niveau de la tête du noyau caudé petit kyste dégénéré, de la gros-
Fig
. 3. - Face interne. Hémisphère droit. Fig. 4. -
e dégénéré, de la gros- Fig. 3. - Face interne. Hémisphère droit.
Fig
. 4. - Face interne. Hémisphère gauche. 46 SÉRIE
la hase de la corne antérieure droite un foyer scléreux qui se tra-
Fig
. 1. -1er segment dorsal. Fig. 2. Moelle normale
droite un foyer scléreux qui se tra- Fig. 1. -1er segment dorsal.
Fig
. 2. Moelle normale, même niveau. SUR l'état ATR
s deviennent très manifestes, en particulier dans les cordons laté-
Fig
. 3. - 2° segment dorsal. Fig. 4. - Moelle norma
n particulier dans les cordons laté- Fig. 3. - 2° segment dorsal.
Fig
. 4. - Moelle normale, même niveau. Fig. 5. - 48
g. 3. - 2° segment dorsal. Fig. 4. - Moelle normale, même niveau.
Fig
. 5. - 48 segment dorsal. Fig. 6. - Partie supér
g. 4. - Moelle normale, même niveau. Fig. 5. - 48 segment dorsal.
Fig
. 6. - Partie supérieure du 5» segment dorsal.
ée et la colonne de Clarke y est presque complète- ment détruite.
Fig
. 7. - Partie inférieure du 5° segment dorsal.
ent détruite. Fig. 7. - Partie inférieure du 5° segment dorsal.
Fig
. 8. - Moelle normale, même niveau. Fig. 9. - 6e
re du 5° segment dorsal. Fig. 8. - Moelle normale, même niveau.
Fig
. 9. - 6e segment dorsal. Fig. 10. - 7e segment
g. 8. - Moelle normale, même niveau. Fig. 9. - 6e segment dorsal.
Fig
. 10. - 7e segment dorsal. Fig. 11.-Moelfenormal
eau. Fig. 9. - 6e segment dorsal. Fig. 10. - 7e segment dorsal.
Fig
. 11.-Moelfenormale,mme niveau. SUR l'état ATROP
seule lésion qui subsiste ; elle va en diminuant progressivement.
Fig
. 12. - 9' segment dorsal. Fig. 13. - Moelle nor
va en diminuant progressivement. Fig. 12. - 9' segment dorsal.
Fig
. 13. - Moelle normale, même niveau. Fig. 14. -
12. - 9' segment dorsal. Fig. 13. - Moelle normale, même niveau.
Fig
. 14. - Renflement lombaire. Fis. 15. - Moelle n
lus diffuses que celles des vaisseaux extramédullaires. Ces lésions
Fig
. 16. - Pie-mère et vaisseaux. 2e segment dorsal.
sal, et pas ailleurs, que l'ou voit fréquemment à la périphérie des
Fig
. 17. Vaisseaux intramédullaires. 2e segment dor
rie des Fig. 17. Vaisseaux intramédullaires. 2e segment dorsal.
Fig
. 18.-Vaisseaux extramédullaires. 5e segment dor
dorsal. Fig. 18.-Vaisseaux extramédullaires. 5e segment dorsal.
Fig
. 19. - Vaisseaux extramédullaires. Gaz segment do
leur dégénérescence cellulifune se prolonge jusqu'au cône terminal.
Fig
. 20. - Vaisseaux intra-médullaires. 6e segment do
minal. Fig. 20. - Vaisseaux intra-médullaires. 6e segment dorsal.
Fig
. 21. - Substance grise du côté gauche. 6e segment
oduction d'un dessin qu'il a fait à l'1;= cole des Arts décoratifs (
Fig
. 1). Son écriture aussi est bien formée (Voir la
assez mauvaises cependant : plume défectueuse et table trop haute (
Fig
. 2). Pour écrire ou dessiner il peut tenir la p
se le crayon dans cet anneau ; il en assure la fixité en le serrant
Fig
. 1. NOUVEU1 ! Iconographie DE la SALPtTP.1t.RF
. NOUY. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T. XIV. PL. XXIV Eig.1 i
Fig
. 2. TUMEUR CÉRÉBRALE (Ernest Dupré et Albert De
intra ou extra-protoplasmique. (Obj. immers i/12; oc. i, Zeiss.)
Fig
. 6. Cellule nerveuse dont le noyau, refoulé à u
cartilagineuses entourées d'une gangue calcifiée, soit des amas de
Fig
. 1. - Schéma de l'ossilication normale. 1. Ca
aire. 4. Espace médullaire avec ostéo- blastes. 5. Os récent.
Fig
. 2. - Schéma d'un cartilage épiphysaire dans l'
gne métacarpo-phalangien et rencontrant un plan horizontal (la main
Fig
. 1. MACRODACTYLIE ET MICRODACTVL1E 307 étant
auriculaire, l'annu- laire, le médius présentent des malformations (
Fig
. 2). Ces doigts, sans présenter de stigmates de
ou trois jours il ne cesse d'y penser. Ses réflexions se résument t
Fig
. 1. 322 BERNARD à ceci : « Mais enfin qu'est-
a disparu. Il serait naïf sans doute de conclure' que ce médicament
Fig
. 2. MYOCLONIE DU TYPE BERGERON 325 excellent
RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT , . 347
Fig
. 2. zizi. Série d'ergogrammes pris au repos et un
t le plus atteint ; par endroits ces fibres ont disparu complètement (
Fig
. 1). Région dorsale supérieure et cervicale inf
sceau antéro-Iatéral jusque dans le voisinage du faisceau de Turck (
Fig
. 2). Dans les régions cervicales supérieures la
hiées sont petites, elles se colorent très intensivement au carmin,
Fig
. 1. Fig. 2. NOUVELLE Iconographie de la Salpê
petites, elles se colorent très intensivement au carmin, Fig. 1.
Fig
. 2. NOUVELLE Iconographie de la Salpêtrière.
latérale et viennent s'entrecroiser au niveau de la partie médiane (
Fig
. 1). Nous ne constatons l'existence d'aucun faisc
g. 1). Nous ne constatons l'existence d'aucun faisceau qui rappelle
Fig
. 1. - Region bulbo-protubérantielle. A. Faiscea
A. Faisceau sensitif. B. Entrecroisement des fibres nerveuses.
Fig
. 2. - Région moyenne du bulbe. A. Faisceau sens
intéresse la parlie moyenne de la région bulbo-prolubé- rantielle (
Fig
. 2). Nous remarquons le ruban de Reil médian à la
a partie antérieure immédiatement en arrière du sillon anté- rieur (
Fig
. 3). , Une zone de fibres fines forme la bordur
forment (la bordure antérieure de la région bulbaire. Ce qui semble
Fig
. 3. - Région inférieure du bulbe. A. Faisceau s
s reprenons chacun de ces cordons en particulier, voici ce que nous
Fig
. 4. - Région cervicale. D. Racine postérieure.
qui les constitue va en diminuant d'épaisseur, d'avant en arrière (
Fig
. 5). Elle s'amincit et présente une myélinisati
encore que d'une façon très nette et très évidente il n'existe pas.
Fig
. 5. - Région dorsale. E. Entrecroisement moteur
érieu- res on remarque que beaucoup de fibres n'ont pas de myéline (
Fig
. 6). Le cordon antérieur semble normalement dév
ines parties propres au bulbe normalement font ici complètement dé-
Fig
. 6. - Région lombaire. E. Entrecroisement moteu
a double colora- tion de Weigert avec le picro-carmin (Voy. Pl. Ll.
Fig
. 6). D'une façon générale les ganglions ne prés
s de 4 ergogrammes dans des conditions diverses. - Médius gauche.
Fig
. 1 b Fig. 2 6 Fig. 3 b ' Fig. 4 b Fig. 5 b Fig. 6
gogrammes dans des conditions diverses. - Médius gauche. Fig. 1 b
Fig
. 2 6 Fig. 3 b ' Fig. 4 b Fig. 5 b Fig. 6 b Fic.
dans des conditions diverses. - Médius gauche. Fig. 1 b Fig. 2 6
Fig
. 3 b ' Fig. 4 b Fig. 5 b Fig. 6 b Fic.. 1 b. -
conditions diverses. - Médius gauche. Fig. 1 b Fig. 2 6 Fig. 3 b '
Fig
. 4 b Fig. 5 b Fig. 6 b Fic.. 1 b. - Travail du
ns diverses. - Médius gauche. Fig. 1 b Fig. 2 6 Fig. 3 b ' Fig. 4 b
Fig
. 5 b Fig. 6 b Fic.. 1 b. - Travail du médius ga
es. - Médius gauche. Fig. 1 b Fig. 2 6 Fig. 3 b ' Fig. 4 b Fig. 5 b
Fig
. 6 b Fic.. 1 b. - Travail du médius gauche aprè
ns sensorielles don- nent : odorat (1), essence d'absinthe, 121,38 (
Fig
. 7); vue (2), lumière (1) Recherches expériment
L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE l'activité d'autres MUSCLES 461 rouge (
Fig
. 8), 90,78 ; l'ouïe (1), sonnerie électrique (Fig
USCLES 461 rouge (Fig. 8), 90,78 ; l'ouïe (1), sonnerie électrique (
Fig
. 9), 129,54 ; goût (2), essence de cannelle, 11
lectrique (Fig. 9), 129,54 ; goût (2), essence de cannelle, 117,07 (
Fig
. 10) ; toucher (3), sinapisme, 90,15 (Fig. 11);
ence de cannelle, 117,07 (Fig. 10) ; toucher (3), sinapisme, 90,15 (
Fig
. 11); soit en moyenne 109,78. L'excitation la p
L'excitation la plus favorable produite par l'alcool (dégustation) (
Fig
.12) a donné 98,61 (4) ; par le haschisch (5), 1
station) (Fig.12) a donné 98,61 (4) ; par le haschisch (5), 119,37 (
Fig
.13) ; par l'opium (6), 122,27 (Fig. 14); par la
; par le haschisch (5), 119,37 (Fig.13) ; par l'opium (6), 122,27 (
Fig
. 14); par la théobromine (7), 109,73 (Fig. 11`i)
par l'opium (6), 122,27 (Fig. 14); par la théobromine (7), 109,73 (
Fig
. 11`i) ; par le café (8), mastication du grain
09,73 (Fig. 11`i) ; par le café (8), mastication du grain torréfié (
Fig
. 16), 123,19, dégustation de l'infusion, 147,93
rain torréfié (Fig. 16), 123,19, dégustation de l'infusion, 147,93 (
Fig
. 17), ingestion de l'infusion, 131, 46 (Fig. 18),
de l'infusion, 147,93 (Fig. 17), ingestion de l'infusion, 131, 46 (
Fig
. 18), caféine (0,25) (Fig. 19),18,3, caféine,0,
g. 17), ingestion de l'infusion, 131, 46 (Fig. 18), caféine (0,25) (
Fig
. 19),18,3, caféine,0, ? : i à doses fractionnées,
,25) (Fig. 19),18,3, caféine,0, ? : i à doses fractionnées, 138,90 (
Fig
. 20) ; soit en moyenne 125,91. Cette comparaiso
ait à la surface plane qui limite en dedans la tête fé- morale. '
Fig
. 1. Face interne de la tète fémorale. Fig. 2. -
la tête fé- morale. ' Fig. 1. Face interne de la tète fémorale.
Fig
. 2. - Face postérieure de la tête fémorale. 524
une sorte de rebrous- lu cartilage articulaire, formant une crête
Fig
.3. - Extrémités inférieures du 'tibia et du pér
our des facettes articulaires qui répondent aux deux os sésamoïdes (
Fig
. 4). . Enfin au niveau de l'articulation phalan
auche. Cette diminution de hauteur de la face droite tient à ce que
Fig
. 4. Squelette du gros orteil et du métacarpien co
érieurs. Sans méconnaître l'importance des résultats obtenus dans
Fig
. 1. — AA, cordons latéraux. — A, faisceau de Tiïr
s de pénétration et de rigueur. J'ai placé sous vos yeux un schéma {
Fig
. 1) qui représente, en quelque sorte, « le manuel
ies distinctes. Au début, respiration régulière et normale. Dans la
Fig
. /.— Schéma de la disposition des appareils dans
réels faisant foncièrement partie de [la maladie, les symptômes si
Fig
. S. — Schéma des tracés obtenus ches un homme qui
considérer aux extrémités supérieures, peuvent être ramenées, quel-
Fig
. 4. — Représentant la déviation en masse des doig
ordinairement une déviation en masse vers le bord cubital de la main (
Fig
. 4). 1. Charcot. — Etudes pour servir à l'affec
trois ans de séjour dans une habitation humide; chez elle, la plu-
Fig
. 6. — Représentant la main gauche de la nommée D.
e M. Richer. part des autres jointures similaires sont affectées (
Fig
. 5). La même déformation se retrouve comme vous l
z la nommée M... qui, elle, a été affectée au moment de la ménopause (
Fig
. 6). Deuxième type, type de flexion. — Ici, nou
a phalangine, comme vous le voyez sur la malade que je vous présente (
Fig
. 7). Telles sont les déformations qui, suivant
mations qu'elle a produites persistent néanmoins, en conséquence de
Fig
. 6. — Main gauche de la nommée M.., Type d'extens
s dans le temps fort long, du reste, où les jointures ont été main-
Fig
. 7. — Main droite de la nommée X,,, Type de flexi
à part ; jamais il n'y a eu trace d'arthrite nulle part et en par-
Fig
. 8. — Main d'athétose rappelant la déformation du
s montre les mouvements involontaires spéciaux de l'athétose, et en
Fig
. 9. — Main de paralysie agitante, rappelant la dé
nre déformation qui rappelle notre premier type, le type d'extension (
Fig
. 8). On peut faire la même remarque, à propos d
ns le cas que je vous présente, vous retrouverez le type d'extension (
Fig
. 9). Dans cet ordre de faits encore, la déviation
de la II. C'en est assez sur les contractures spasmodiques et sur
Fig
. 10. —Attitude vicieuse volontaire rappelant le t
r. les amyotrophies de cause articulaire. Maintenant je vais vous
Fig
.11. — Attitude vicieuse volontaire rappelant le
u moins accentuées. C'est là ce qu'on appelle le scotome scintillant {
Fig
. 12). Le scotome fait place souvent à un défaut
atéral, qui ne s'étend pas habituellement jusqu'au point de fixation {
Fig
. 13). Tout cela est suivi d'une douleur dans la
e vous prononcer, regardez les choses de plus près, soyez réservés.
Fig
. IS. — Différentes phases du scotome scintillant,
puisse s'établir à l'état permanent; ainsi l'aphasie, l'hémiopie,
Fig
. 13. — Représentant le rétrécissement homonyme du
le cas de lésions cérébrales en foyer occupant la capsule interne.
Fig
. 14. — Zones hystérogèncs de la face antérieure d
rne. Fig. 14. — Zones hystérogèncs de la face antérieure du corps. (
Fig
. extraite de Ylncono-graphie photographique de la
des apophyses épineuses. Ce sont là les points ou plaques hystéro-
Fig
.iiS, — Zones hystérogènes de la face postérieure
psie, etc. Parmi les antécédents personnels de la malade, nous ne
Fig
. 17. — Contracture hystérique de la main gauche.
f analogue pour soumettre à l'épreuve la contracture de notre jeune
Fig
. 10. — Expérience destinée à vérifier la réalité
t serrés les uns contre les autres, et le pouce lui-même est forte-
Fig
. 21. — Contracture delà main gauche. (Dessin de M
t appliqué contre la face externe de la deuxième phalange de l'index [
Fig
. 21). Ici, l'analyse physiologique la plus simp
e attitude difficile à maintenir, même pendant un temps peu prolongé [
Fig
. 21). C'est ici le lieu de rappeler une ingénie
P. de transposition ; pas d'achromatopsie, pas de dyschromatop-sie (
Fig
. 22) ; 3° Toute trace de zone hystérogène fait dé
e capable d'être rattachée à l'existence d'une lésion capsulaire en
Fig
. 22 foyer, du saturnisme, de l'alcoolisme, et e
rvation de M. "Westphal et dans une observation de-Mlle Skwortzoff.
Fig
. 33. — Étendue du champ visuel de P..,, le 21 fév
ale et i'hé-mianopsie cérébrale reconnaissent le même siège dans Je
Fig
. 2ô. — Etendue du champ \isuel de P.... le 3 avri
la ligne de démarcation passait exactement par le point de fixation (
Fig
. 23). Aujourd'hui, il n'en est plus de même : la
du point de fixation et l'étendue du champ visuel augmente peu à yeu(
Fig
. 23, 24 et 25). Un amendement de ce genre est un
ire (Schul-lergûrtel), jamais parlesémi-nences thénar et hypothénar. (
Fig
. 26). Les membres inférieurs peuvent être pris à
nt, les bras d'abord, puis le tronc. Enfin, fait important à signa-
Fig
. 28 et 20. — Elles montrent le maximum d'occlusio
at de veille, la contraction la plus énergique de l'orbiculaire des
Fig
. 30. paupières ne peut suffire à produire l'occ
fait dominant et où on ne trouve, en somme, ni atrophie, ni hyper-
Fig
. 33. — Elle montré l'occlusion incomplète des yeu
e des yeux et l'asymétrie des lèvres, quand le malade veut siffler.
Fig
. 32. — Sur cette figure, ï'exophtalmie n'est pas
uscles de la face; mais dans les cas légers ces troubles ne sautent
Fig
. 34. — Elle montre l'occlusion incomplète des yeu
; on voit bien aussi que le moignon des épaules est porté en avant.
Fig
. 35. — Elle montre nettement la déviation du rach
donc, fait important au point de vue psychophysiologique, que l'act
Fig
. 37, 38, 39. soit précédé d'une représentation
les mêmes phases se reproduisent. La durée totale de l'accès varie
Fig
. 43, 44, 45. entre une heure et deux heures. On
iguée. Vous allez voir maintenant une crise fort analogue se pro-
Fig
. 46, 47, 48. duire chez une autre malade, à la
ite des périodes et le caractère épique des diverses altitudes, les
Fig
. 51. — Arc de cercle en avant. attaques, chez G
aques, chez G. ..,ne le cèdent en rien à celles que uous observons,
Fig
. 25. — Arcle de cercle de côté (en avant). chaq
ment, nous avons vu vers la fin de la crise sa physionomie exprimer
Fig
. 53. ¦— Arc de cercle de côté (en arrière). alt
insi qu'il est facile de le voir en examinant les figures ci-jointes (
Fig
. 54 et 55), avec le mode de distribution anatomiq
à divers traitements et en particulier à l'électrisalion. Celle-ci,
Fig
. 56 et î7. — Observation de De'j... a, analgésie.
le sorte que la partie postérieure du bras est libre presque partout (
Fig
. 56 et 57). Je tiens à vous faire remarquer, Me
que chez P..., la zone d'anesthésie s'arrête, par en bas, à la main (
Fig
. 5i et 55). Or, la disposition de la ligne qui, d
'est nullement en rapport avec la distribution cutanée des nerfs de
Fig
. 58 et 50. —Observation tirée du travail de M. Ro
. Le 11 mars, lors de notre premier examen, la paralysie était com-
Fig
. 58]et 59 — Observation de Greuz... plète, abso
remontât alors à près de 10 mois. L'anesthésie cutanée et profonde
Fig
. 60 et 61. — Observation de Pin .. est portée a
. Par conséquent, il ne s'agit pas là, il s'en faut, d'une guérison
Fig
. 62, 63. — Champs visuels du nommé Pin. .........
mites de cette anesthésie dont nous venons de constater l'existence. (
Fig
. 64, 65, A.) Le département insensible représente
ut, la ligne qui limite l'anesthés„ie commence au niveau de la base
Fig
. 64 et 65. — Observation de Greux... du cou; el
prend une direction presque verticale et s'étend depuis la base du
Fig
. 66 et 67. — Observation de Porcz... cou jusqu'
ance motrice des doigts, laquelle est, vous le voyez, immédiatement
Fig
. 68, 69. — Observation de Greuz... suivie de la
Pin... à la monoplégie observée chez notre deuxième malade Pin... [
Fig
. 70 et 71). Nous avons donc pu, en somme, chez no
ps, le malade semble récupérer la notion de position, au niveau des
Fig
. 72, 73. — Observ. de Porcz..., le 7 juillet. p
66. encore, au coude, en avant et eu arrière, dans une hauteur de
Fig
. 74. — Observation de Porcz..., du 5 juin au 16 j
llet. 10 à 12 centimètres environ. Il est remarquable de voir que
Fig
. 75. — Observation de Porcz..., du 5 juin au 11 j
gauche qu'adroite et que ce dernier est double, tandis que le pre-
Fig
. 76. mier est unique. Le pli interfessier est i
ume des deux cuisses et des deux jambes est le . mieux perceptible.
Fig
. 77. Pour ce qui est de la démarche claudicante
; le poignet, la main, les doigts étaient devenus très enflés ; les
Fig
. 70. mouvements volontaires étaient absolument
des doigts et de la main tout entière en cherchant à les redresser.
Fig
. 80. Il existe un certain degré d'amaigrissemen
l'impotence du membre ne sont pas ici le résultat de Tune quelcon-
Fig
. 81. que des complications d'un autre ordre qui
e qui l'a traité suivant la méthode du Dr Burcq. Il nous revient au
Fig
. 82. jourd'hui (16 octobre 1886) la main et les
ou, menaces d'étouffement, battements dans les tempes. Le plus sou-
Fig
. 84 et 85. — Distribution de l'anesthésie chez Le
membres inférieurs est la conséquence d'une lésion organique de la
Fig
. 86 et 87. — Distribution des zones d'anesthésie
s stigmates persistent au même degré. L'état général est excellent,
Fig
. 88 et 89. — Mode de distribution de l'anesthésie
ntre de l'audition verbale. On peut aisément sur le schéma suivant (
Fig
. 90), qui n'est autre chose que le schéma primiti
der Materiellen der Seele. Vortrag gehalten in Balle Leipzig, 1886.
Fig
. 90. — CVC, Centre visuel commun. — CVM, Centre v
. Sée, Op. cit., page 300.) EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE I.
Fig
. 1. -Coupe transversale de l'encéphale de l'homme
pocampe (2e circonvolution temporo-occipitale). Grossis. 3 fois.
Fig
. 2. La corne d'Ammon de la figure précédente gros
ynocé- phale (Grossiss. 12 fois). Lettres comme pour la figure 2.
Fig
. 4. Idem chez un singe cébien (Grossiss. 6 fois).
du corps calleux ou ggrus j'orzicalus; - h, bandelette du trigone.
Fig
. 5. Coupe de la moitié inférieure, et figure 6 co
ne d'Ammon du mouton. - Let- tres comme ci-dessus. planche fll,
Fig
.7. - Rat; coupe horizontale; grossiss. 8 fois; le
t; coupe horizontale; grossiss. 8 fois; lettres comme ci- dessus.
Fig
. 8. Rat; coupe verticale; idem. Fig. 9. Lapin;
; lettres comme ci- dessus. Fig. 8. Rat; coupe verticale; idem.
Fig
. 9. Lapin; coupe transversale. Grossiss. 5 fois e
nnée d'avec la circonvolution de l'hippocampe; CB, corps bordant.
Fig
. 10. Taupe; coupe horizontale, grossiss. 7 fois.
pe; coupe horizontale, grossiss. 7 fois. Lettres comme ci-dessus.
Fig
. 1t.-Chauve-souris; coupe horizontale. Grossiss.,
he ZV. Développement de la corne d'Ammon et des plexus choroïdes.
Fig
. 12. Coupe horizontale de l'encéphale d'un embryo
s strié; pm, pie-mère en voie de foirnation; P, plexus choroïdes.
Fig
. 13. Même coupe, mouton long de 21 millimètres. L
comme ci-dessus; A", lieu de la forma- tion de la corne d'Ammon.
Fig
. 13. Embryon de lapin, long de 36 millimètres; y,
esquels vont former les deux circonvolutions de la corne d'Ammon.
Fig
. 16. Lapin presque à terme, et Figure 17, lapin à
ent, au point de vue de la science. EXPLICATION DE LA PLANCHE V
Fig
. 1. 3/7 Hart. : Coupe transversale du tronc du ne
esque égale avec des cylindres d'axes larges et colorés vivement.
Fig
. 2.-3/7 Hart. : Trois tubes nerveux à myéline du
nerf auditif soumis à l'action de l'acide osmipue à 1/2 pour 100.
Fig
. 3. 3/7 Hart. : Coupe transversale du tronc du ne
pect de petits points qui ne se colorent pas par le picro-carmin.
Fig
. 4. 317 Hart. : Deux tubes nerveux à myéline dufa
nnaît pas les noyaux de la gaine de Schwann et des étranglements.
Fig
. 5. 3/4 Hart. : Coupe transversale du tronc du ne
es nerveux avec des cylindres d'axes fins qui ne se colorent pas.
Fig
. 6. 3/4 Hart. : Coupe transversale du tronc du ne
substance grise des tabécules conjonctifs jusqu'au bord du nerf. -
Fig
. 7. 3/4 Hart. : Coupe transversale semblable de l
x ilôts de la substance grise avec des cellules ganglion- naires.
Fig
. 8. 3/9 Hart ? Trois cellules ganglionnaires de l
sur vn bouc, un taureau ou un chien, tantoft sur vn cheual volant (
Fig
. i), & tantoft sur vn ballet, & fortent
tous les Sacrements de l'Ecclise & foulent aux pieds la Croix (
Fig
. 2) & les ymaiges de la bien heureuse Vierg
nce. En efchange promet le Prince des Doemons, au nouice sorcier,
Fig
. 2. 120 VARIA. d'un visaige soubriant, une pe
ement Satan contraint le Sorcier de se rebaptifer au nom du Diable (
Fig
. 3) & de prendre un autre nom, -renonçant l
gles le front pour d'illec tollir le Chrefme & signe baptifmal (
Fig
. 4). Quartement luy faiet renoncer ses parrains
ng; des naturels, les enfants, & des terreftres, les veftemens (
Fig
. 5). Sixièmement, ils preflent serment au Da ?
g. 5). Sixièmement, ils preflent serment au Da ? mon en un cercle
Fig
. 3. VARIA. 121 gravé en terre; peut eftre bie
cle est le symbole de la Divinité & la Terre l'Scabeau de Dieu (
Fig
. 6). Fig. 4. Ffg. 5. 122 VARIA. Septièmem
symbole de la Divinité & la Terre l'Scabeau de Dieu (Fig. 6).
Fig
. 4. Ffg. 5. 122 VARIA. Septièmement, demand
emoli eftre rayés du livre de vie & inicripts au livre de mort (
Fig
. 7). Ainfi eftoient les noms des Sorciers d'Avi
t les noms des Sorciers d'Avignon infcripts en unlivre très noir.
Fig
. 6. Fig. 7. VARIA. 123 Huitièmement promett
ms des Sorciers d'Avignon infcripts en unlivre très noir. Fig. 6.
Fig
. 7. VARIA. 123 Huitièmement promettent des sa
voyre par chaque quinzaine un petit enfant en luy sugcant le sang (
Fig
. ,8). Neufuiemement se rendent tributaires à le
en d'anor- mal, tant à la surface que dansles noyaux gris centraux (
Fig
9). Hémisphère droit. A travers les méninges on
n rougeâtre, sur le lobule de l'insula, de telle sorte que, entre
Fig
, 9. C , corps calleux. C. S., corps strié. 0.,
cette cavité, on voit se lever un faisceau de vaisseaux sanguins. (
Fig
. 10). Sur la coupe des masses centrales grises,
eur bleue, & puis le baifent aux parties hon- teufes darrière' (
Fig
. 7) : quelques-vns le baifent sur l'ef- paule :
ins la releuant de façon que le menton foit tourné vers le Ciel. (
Fig
. /2.)Aultres fois ilz s'approchent du Démon le do
icem ofculantur.»(Co» : pendium ilaleficarum, &c., p. 71.) .)
Fig
. 11. 254 VARIA teux y vont plus dispoftement
ilz ont vne autre inuention au mefme effed, qu est de se mafquer. (
Fig
. 7.3.) F''tg', 12. Fig. 13. VARIA. 255 Il
n au mefme effed, qu est de se mafquer. (Fig. 7.3.) F''tg', 12.
Fig
. 13. VARIA. 255 Il y a encore des Démons, écr
ouy le feit monter en vn arbre voifin & lui commanda de iouer (
Fig
. 4). Luy cependent regardoit les Sorciers dan-
: mais ilz difent leurs chanfons pefle mefle, & auec vne con-
Fig
. 14. 256 VARIA. fufion telle qu'ils ne s'ente
rcier & Magicien, il falloit naiftre de la mère & du fils. (
Fig
. 15). « Françoise Secretain aduouait que le Dia
ur qu'elles exhalent dans leurs états de mal /i))'o-<7)M. 47
Fig
. 15. , 258 VARIA. froide. Ieanne Guillemin se
la table eftoit couuerte de beurre, de froumage, & de chair. (
Fig
. 16.) L'on y boit aussi tantoft de l'eau &
e .e Diable efl toufiours trompeur puis qu'il repaiftles fiens de
Fig
. 16. 260 VARIA. vent au lieu de viandes folid
s'efleuoit vne nuée laquelle se convertiffoit par après en grefle (
Fig
. 17), & tomboit la part ou il plaifoit aux So
une certaine force & puiffance magicque pour les incantations. (
Fig
. r8.) Les Sorciers peuuent aussi ardre et confu
les defrober & les fouiller charnellement, voyre par adultère. (
Fig
. 20.) Quelques foys ilz vfent, pour prouocquer
(Fig. 20.) Quelques foys ilz vfent, pour prouocquer le fommeil de
Fig
. 17. 262 VARIA. certains cierges, ou des pied
bien de chandelles fixées à chaque doigt ou de torches enchantées
Fig
18. Fig. 19 - VARIA. - 263 & d'une cert
chandelles fixées à chaque doigt ou de torches enchantées Fig 18.
Fig
. 19 - VARIA. - 263 & d'une certaine greff
rtains pays on n'ofe mie célébrer les espoufailles en plein iour.
Fig
. 20. 264 VARIA. Il faut fçauoir encore qu'il
de la greffe propre à cela, du moins il leurs faiet ainfi croire. (
Fig
. 21). Il leurs faid encore bien folemnellement
tant oinds font tournez en loups courant d'une légèreté incroyable (
Fig
. 22), & fouuent rerhangez en loups font cou
rceut plufieurs chats sur vn arbre, il s'auance, & delafche vne
Fig
. 2 2. 266 VARIA. Quelques fois encore l'on di
def- copette en l'vne des hanches. » (Boguet, loc. cit., p. 269.)
Fig
. 23. VARIA. 267 & arrangent le dais ou ch
uelle il defifle vn temps de continuer pour prefcher les affiftans (
Fig
. 23). Il les exhorte à ne iamais retourner au C
te. On sait d'ailleurs que, s'il faut un effort de pression assez
Fig
. 25. Compresseur ovarique gauche, en place. (D'ap
er le ventre qui est généralement ballonné quand les malades sont
Fig
. 26. Compresseur simple modifié. A, Pelote mobile
rendre aussi pratiques que possible les moyens qui la produisent.
Fig
. 2% Compresseur double. A, A7, Pelotes en caoutch
LICATION DES PLANCHES EXPLICATION DES PLANCHES LANCI1E PREMIERE
Fig
. 1. Coupe Site de l'encéphale de l'homme au nirea
pocampe (2 circonvolution temporu-occipitale). Crossisc. 3 fois.
Fig
. 2. - La corne d'Ammon de la ligure précédente gr
cé- pltale (Grossiss. 12 fois). - Lettres comme pour la figure 2.
Fig
. 4. Idem chez un singe cébien (Grossis ? 6 fois).
t; coupe lioricontale; roc51se. 8 fois; lettres comme ci- dessus.
Fig
. S. Rat; coupe verticale; idem. Fy. z coupe tra
née d'avec la circonvolution de l'hippocampe; C13, coips bordant.
Fig
. 10. Taupe; cmpe horizontale, rssiss.7 7 fois. Le
1\' Développement de la corne d' luuuon et des plerus rhorniiles.
Fig
. 12. - Coupe 110li70lltllC de l'encéphale d'un em
strié; pm, pie-mcie en \oie de formation, - P, plexus choioides.
Fig
13. - Même coupe, mouton long de SI millimètres.
squels vont former les deux circonvolutions de la corne d'Aimnon.
Fig
. 16. - Lapin presque à terme, et figure 17, lapin
ec la figu, e 8.) EXPLICATION DES PLANCHES. 393 ? , PLANCHE V
Fig
. I. - 3/7 Ilart. - Coupe transversale du tronc du
esque égale avec des cylindres d'axes larges et colorés vivement.
Fig
. ? 3/711art. : Trois tubes nerveux à myéline du f
nerf auditif soumis a l'action de l'acide osmique à 1/2 pour 100.
Fig
. 3. z Hart. : Coupe transversale du tronc du nerf
nnaît pas les noyaux de la gaine de Sclmanu et des étranglements.
Fig
. 5. 3/1 Ilirt. : Coupe transversale du tronc du n
es nerveux avec des cylindres d'axes fins qui ne se colorent pas.
Fig
. 6. 3/1 Hart. : Coupe transversale du tronc du ne
ccessivement d'avant en arrière les douze paires de nerfs crâniens (
Fig
. 1). D'abord le nerf olfactif ; puis le chiasma
t dans leur trajet intra-bulbaire les faisceaux de l'hypo- glosse. (
Fig
. 2, 3, Il..) L'examen microscopique montra en e
ise l'hémiplégie alterne de Millard et Gubler, qu'on pour- Fit. 2
Fig
. 3 Fiv. 4 6 A. JOFFHOY rait appeler hémiplé
nt les rapports anatomiques de ces deux nerfs, ou de leurs noyaux. (
Fig
. 5.) Dans cette variété d hémiplégie alterne le
, hémiplégie alterne de la troisième paire, du moteur oculaire com-
Fig
. 5. P, protubérance ; B, bulbe ; G, genou du ne
ormation des mains en pinces de homard chez une épilepti- que (2). (
Fig
. 1.) (1) Voy. plus haut Loc. cit. (2) Nouvell
t. (2) Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière. T. X. Ne 6, 1897.
Fig
. 1. - Ectrodactylie et Syndactylie affectant la d
ant plus bas que l'apophyse où s'articulait le doigt surnuméraire. (
Fig
. 2.) Dans le cas actuel, on peut se ren- dre
us petit volume et de densité moindre que les autres os du pied. La
Fig
. 3 montre la configuration extérieure du pied gau
e par un rudiment d'ongle. La photographie ordinaire repro- duite
Fig
. permet d'apprécier la configuration extérieure
ndice charnu pauvrement ongulé. On voit, par cet exemple, qu'il
Fig
. 3. 4 orteil supplémentaire et rudimentaire.
ntaire et rudimentaire. (Obs. 11. A. Londe et IIe.niiy l\I¡;IGE,)
Fig
. 1. Annulaire supplémentaire à la main droite ;
rappelle plusieurs cas d'après Morel-Lavallée, Menière, Annaudale (
Fig
. 5), Gueniot (-1). On peut y ajouter pour mémoi
- ques et H. Leclerc (2) dans ce recueil, à laquelle se rapporte la
Fig
. G. Le présent travail était déjà sous presse l
les des doigts el pouce bifide. Nord médical, le, fé- vrier 1898.
Fig
. 5. - « Pince de homard », d'après Temperly, in
in traité (I'Annaudaie. (ex Die[. enc. des se. méd., art. Doigt.)
Fig
. 6. - Un cas de bidaclylie de la main droite (c
s (1). Je me contenterai de donner ici les trois ligures ci-contre (
Fig
. z ? , 3). - - . - & 0 1'10us n avons pas
i. Physiologie artistique. Doin, éditeur, 1895, p. 241. >1 5
Fig
. 1. - Ux double pas. - La jambe portante est fi
ervations faites sur la marche en avant. Dans la marche à reculons (
Fig
. 4), au mo- ment où le pied se porte en arrière
es de la marche en avant, il est aisé de relever des différences.
Fig
. t. - Marche a reculons (d'après une phot. inst
e porte en arrière arrive au contact avec le sol par les or- teils (
Fig
. 4) et ce n'est que lorsqu'il est tout entier app
s que le pied postérieur ne fait que commencer à détacher le talon (
Fig
. 15). Quant aux mouvements des membres inféri
qu'il exécute sont bien différents de ceux de la marche ordinaire (
Fig
. 6). Il ne s'agit plus seulement d'impri- mer
ointe du pied faisant effort sur le sol pour aider à la propulsion (
Fig
. 7). Puis la pointe elle-même se détache et le
du pas postérieur. Ce muscle devient alors l'agent de propulsion le
Fig
. 6. - Un double pas de la mar- che en poussant.
à la fois et de la marche avec fardeau et de la marche en poussant (
Fig
. 8). C'est ce que démontrent d'ailleurs les pho
le pied touche le sol d'abord par le talon, jamais par la pointe.
Fig
. 7.- lIJAHCIlE en poussant. Moment du double ap
Moment du double appui (d'après une phot. inst. de 111. Londe).
Fig
. 8. - MARCHE EX POUSSAIT wr MOUETTE cu.wcris.Io
lante, le membre ne se redresse qu'après le moment de la verticale (
Fig
. 9). L'effort musculaire se voit surtout à la
te sur la prolongation de la phase du double appui. Ce qui fait que
Fig
. 9. - Un double pas de la marche sur plan ascen
ue Fig. 9. - Un double pas de la marche sur plan ascen- dant.
Fig
. 10. - Marche sur PLAX ascendants Moment du dou
sur le sol, l'autre pied se soulève sur la pointe progressivement (
Fig
. 10), tandis que, dans la marche sur plan ho- r
e se montre que tout à fait à la fin de la période de double appui (
Fig
. 3). Le torse ne subit point l'inclinaison en a
s contrastes avec les diverses mar- ches que nous venons d'étudier (
Fig
. -11). En effet, le membre oscillant arrive à
rs comme dans le pas sur plan horizontal, mais avec plus d'énergie (
Fig
. 12). Il est vrai qu'à ce moment le membre port
du corps, mais ce même poids animé d'une certaine vitesse de chute,
Fig
.11.- Un double pas de la marche sur plan descen
chute, Fig.11.- Un double pas de la marche sur plan descendant.
Fig
. 12.-nLmc : uE sur plan descendant. - Moment du
d'oeil sur les figures 1 : 3 et 14 pour être complètement édifié.
Fig
. 13. Un double pas de la montée d'un escalier.
plus la marche reflétera toujours les passions du marcheur, et sui-
Fig
, 15. Un double pas de la descente d'un escalier
r, et sui- Fig, 15. Un double pas de la descente d'un escalier.
Fig
. 16. Descente d'un ESC : 1- LIER. - \Ioment du
ord un type de démarche guerrière, une démar- che d'enthousiasme (
Fig
. 17). C'est un guerrier antique au re- tour d
ître qui s'avance le poignard à la main pour surprendre sa victime (
Fig
. 18). Fig. 17. Démarche enthousiaste. Mo- men
vance le poignard à la main pour surprendre sa victime (Fig. 18).
Fig
. 17. Démarche enthousiaste. Mo- ment du double
pas antérieur. Le membre oscillant arrive fléchi sur le sol (Voyez
Fig
. 18). 1 On trouvera dans ces démarches quelques
n. Ce mouvement d'extension est déterminé par une contraction brus-
Fig
. 18. Démarche sournoise. - Moment du double appui
r, à côté d'un gamin de six ans,de santé et de croissance normales (
Fig
.1) : ils ont même taille et même allure. Ne sem
f, de par son corps, il apparaît tel qu'est son compagnon de G ans;
Fig
. 1. Infantile myxoedémateux âge de 19 ans (à droi
ux trajets du nerf frontal externe et du nerf frontal interne (Voy.
Fig
. 1). La peau avoisinante est intacte. La sensib
férieure où elle se montre bosselée, irrégulière, à fleur de peau. (
Fig
.1.) Elle se continue en haut avec celle des muscl
battements de l'artère poplitée se perçoivent sur son côté exerne. (
Fig
. 2.) Autour du genou, il n'existe pas d'autres
kylose du genou a eu pour effet une atrophie marquée des muscles de
Fig
. 2. - Radiographie du genou gauche; elle montre d
ne fissure (découpure) qui entrait dans la profondeur de la moelle (
Fig
. 1), celte fissure était plus accusée dans la rég
on a noté les particularités suivantes : les py- ramides manquent (
Fig
. 2) et comme les fibres qui d'ordinaire viennent
quefois, et il en résulte alors des cellules avec grandes vacuoles (
Fig
. 3 et 4). L'aspect des cellules est très varié,
t presque toutes privées de chromatine et ont des grandes vacuoles (
Fig
. 5). Comment expliquer cet aspect extraordinair
à 3 mois la plupart des cellules consistaient seulement en noyaux (
Fig
. 6). Le grand noyau avait une forme ronde. Il n'y
plus tard nous voyons apparaître le protoplasme d'un côté du noyau (
Fig
. 7), puis SUR LES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU C
'un autre, enfin toute la cellule apparaît entourée de protoplasme (
Fig
. 8). Le protoplasme a un aspect réticulaire. Le r
ons autour du noyau une accumulation considérable du proto- plasme (
Fig
. 9), mais la cellule est encore loin d'être formé
oin d'être formée complè- tement, sa forme est encore très bizarre (
Fig
. 10). La cellule est compo- sée d'un noyau ento
s lâche de sorte que les cellules ont un aspect spongieux (poreux) (
Fig
. 11). La chromatine manque presque totalement o
esque totalement ou bien elle est disposée d'une manière dif- fuse (
Fig
. 1`). Pourtant dans celle période, c'est-à-dire a
ns une période plus avancée la substance chromatique commence aussi
Fig
. 6. - Cellule de la corne antérieure d'un embry
les sous l'aspect de blocs informes, qui se colo- rent intensément (
Fig
. 13) ; ces masses sont disposées en désordre sur
ant sa tête, non sans en pâlir, au barbier-chirurgien de l'endroit (
Fig
. 1). Ce dernier, homme mûr, coiffé d'une calott
pare la protubé- rance du bulbe; là il se termine par deux racines (
Fig
. 1). Une racine externe appelée encore postérie
-inférieure des deux hé- misphères cérébelleux. Le dessin ci-joint (
Fig
. 3), fait par M. Vincent sur la pièce fraîche,
a donné des données numéri- ques très proches. Le dessin ci-joint (
Fig
. 1 et 2) donne seulement quel- ques indications
Le degré de sensibilité des différentes muqueuses est différent :
Fig
. 1 et 2. DE LA SENSIBILITÉ DOULOUREUSE DE LA PE
phie ci-jointe. que j'ai pu recueillir dans le service de mon père (
Fig
. 1). On remarquera sur cette photographie que l
des dimensions moitié moindres que celles du sinus latéral droit.
Fig
. 1. - Asymétrie crânienne et faciale dans un cas
e dois à M. le Dr Legrain un fort bel exemple que je reproduis ici (
Fig
. 2). Observation (communiquée par M. 1<.\ Dr
f tibial postérieur, sur une branche cuta- née du nerf couturier.
Fig
. 1. - Coupe macroscopique des tibias. Réducti
uit par une ligne sensiblement horizontale, du côté opposé, elle se
Fig
. 2. - Dessin à la chambre claire à un très faible
s mâchoires peut à peine permettre l'introduction du petit doigt.
Fig
. 1. Myosite ossifiante progressive (Cas de Zollin
tenant à l'anconé et il l'origine de l'extenseur commun des doigts (
Fig
. 2). Le biceps brachial gauche forme une masse
noyaux dans le deuxième radial ; il diminue d'étendue dans l'espace
Fig
. 2. Myosite ossifiante progressive (Cas de Munchm
t ces deux masses. Leur disposition est d'une symétrie remarquable (
Fig
. 3). Epaule droite plus haute que la gauche. L'
oplates, presque entièrement immobiles, sont fixées au tronc. Seuls
Fig
. 3. - Myosite ossifiante progressive (Cas de Nico
usqu'au creux axillaire par dessus l'angle inférieur de l'omoplate (
Fig
. 4). La direction de la colonne vertébrale est
ut aller jusqu'à 50°. L'avant-bras et la main, sauf la malformation
Fig
. 4. Myosite ossifiante progressive (Cas d'Helferi
épaisseur et finalement apparurent sous forme d'exostoses osseuses (
Fig
. 5 et 6). A 6 ans, scarlatine. A 12 ans, à la
endice xiphoïde, 3 centimètres. Abductiou des hras possible jusqu'à
Fig
. 5. - Myosite ossifiante progressive (Cas de Kuem
en une masse osseuse. L'apophyse épineuse de la 7" dorsale, épaisse
Fig
. 6.- Myosite ossifiante progressive (Cas de Kuemm
et inférieure du rachis, et surmontée de la petite courbure du cou (
Fig
. 1). Décubitus dorsal. Pour mieux apprécier les
disquela tête du péroné droitn'enest distante que de 5 centimètres (
Fig
. 2). On invite Duf... à faire reposer sa cuis
imètres. En somme le malade est assis mais non couché sur la table (
Fig
. 3). Si maintenant il vent se coucher sur son v
ou ; le corps forme un arc dont le profil de la table est la corde (
Fig
. 4). Déformation du rachis dans le sens transve
ombaire montre une première courbure latérale il concavité gauche ;
Fig
. 1. - A droite, courbures du rachis d'un indivi
e droite; la partie supérieure du rachis est inclinée en avant.
Fig
. 2. - Duf... repose sur un plan par son sacrum, s
rtie inférieure au contraire, il est légère- ment convexe en avant (
Fig
. 5). Les côtes sont peu saillantes ; elles deme
des muscles ins- pirateurs accessoires. La mensuration de la cir-
Fig
. 3. - Duf... fait reposer sa cuisse gauche sur un
soulevé et la tête est portée à 36 centimètres au-dessus du plan.
Fig
. 4. Duf... ne peut se coucher sur le ventre; il n
st portée en avant, Duf... s'appuie sur elle et redresse son corps (
Fig
. 6, A) ; au mouvement de redressement du corps
se porte sur la jambe gauche qui se met verticalement en extension,
Fig
. 6. - Dans la marche, la partie supérieure du cor
es élémentaires de l'hydrocéphalie interne, voici ce qu'on observe (
Fig
. '1). Les ventricules latéraux sont très étendu
anta la couclie optique et au noyau lenticulaire ils sont xi 1 25
Fig
. 1. - Coupe transversale au niveau de l'aqueduc d
es hémisphères qui est conservée, il existe des cellules nerveuses (
Fig
. 2). En résumé, quelles sont les particularités
édé de Pal, nous avons trouvé les cordons postérieurs bien dévelop-
Fig
. 2. Cellule pyramidale de l'écorce cérébrale (C
voit aussi un ré- seau achromatique très net, parfois des vacuoles (
Fig
. 3). En un mot ces cellules rappellent tout à f
'une petite quantité de protaplasma avec des contours peu visibles (
Fig
. 4). Mais avec ces cellules, il y a aussi des cel
tantôt elles sont très petites, tantôt très grandes et allon- gées (
Fig
. 3). Comme nous l'avons déjà indiqué ces cellul
ules nerveuses chez le foetus humain passent par certains stades de
Fig
. 3. - Cellule de la corne antérieure de forme irr
fixé Py. 4. - Cellule de la corne antérieure (Cas V, le cyclope).
Fig
. 5.- Cellule de la corne antérieure (Cas IL). D
lésions ont été remarquées pour la première fois à 4 ans et'demi.
Fig
. 9. - Myosite ossifiante progressive (Cas de Lend
ndre compte de l'alternance des contractions de ces deux faisceaux (
Fig
. 1), qui provoquent des déplace- ments anormaux
la peau de l'épaule. ¡ Le schéma que vous avez sous les yeux (
Fig
. 1 et 2), mis.en parallèle avec la préparation
mbres supérieurs et tronc d'un cadavre) disséquée M. A. Julien. 1
Fig
. 1 et 2. PARALYSIE BILATÉRALE DU DELTOIDE 19
la période latente, qui précède la perception de la douleur. Une -
Fig
. 2. , 44 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
odite figuré sur un vase grec reproduit par Fischbein (III, 21). V.
Fig
. 3 (1). Plus rarement, il s'agit d'une forme mâ
i- qué deux seins volumineux. Exemple; l'Hermaphrodite de Florence,
Fig
. 4 (Gall. real., t. 2, ser. 4, pl. 60. Clarac,
: les organes sexuels mâles n'ont pas été figurés sur le dessin.
Fig
. 3 Fig. 4 64 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
ganes sexuels mâles n'ont pas été figurés sur le dessin. Fig. 3
Fig
. 4 64 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÉTRIÈRE
aples représentant un androgyne porteur des attributs de Bac- chus (
Fig
. 5) (1).. Pour nombre de figurations antiques l
13ATTAII.Lg. .Imp. Vve Lounnor, 33, rue des 13atIgOOlleS, PariS.
Fig
. 5. j'l°UVEt..t..E JCONOGR. LA ¡;At..PLTn.JÈRC
ct d'un corps froid, de l'exposition\du membre à l'air, d'un pince-
Fig
. 6. l'1â. Î. , 68 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
vertèbre lombaire ; depuis les expériences de Longet et Cruveil-
Fig
. 8. Extrémité inférieure de la moelle épinière et
des chances de traverser la moelle vers la base du cône terminal.
Fig
. 9. z Les lignes verticales pleines indiquent la
bial an- térieur. 17, plantaire externe. 18, plantaire interne.
Fig
. 11. Territoires des nerfs cutanés du membre
cheval, ces symptômes peuvent se résumer dans ces quelques mois :
Fig
. 11. , 88 - NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE ,LA SALPÊT
membres inférieurs, sauf clans le territoire dessiné sur ce schéma (
Fig
. 30 et 31). Les limites de ce territoire anes-
dont vous connaissez le degré et les limites, par une constipation
Fig
. 30 - Fig. 31 UÉMAT0MYÉL1E DU CONE TERMINAL 1
onnaissez le degré et les limites, par une constipation Fig. 30 -
Fig
. 31 UÉMAT0MYÉL1E DU CONE TERMINAL 153 opiniât
essin, annexé au travail de Schultze et dont voici la reproduction (
Fig
. 32), montre bien comment deux lésions, situées
. Deulsclie Zeilscli. sur Neruerheilk., t. V, fasc. 2 et 3, p. 247.
Fig
.32 IlÉMe1'l'OnIIGLIL DU CONE TERMINAL 157 fér
LLE ICONOGRAPHIE DE LA SeILPL.'l'RI1311E même côté, du côté gauche (
Fig
. : 3 : ;). Culte incurvation esl plus ou moins
- lions, nous dirons que l'incurvation vertébrale 0 ([0 convexité
Fig
. 33. Nouv. ICONOGR nr LA SAfPi11H¡"Jl1- T. Vl
1 LÉGENDE EXPLICATIVE DES SCHÉMAS DE TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ £
Fig
. 34 Fin. 35 l"ig. ;36 Fig. 37 Fig. 38 F
MAS DE TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ £ Fig. 34 Fin. 35 l"ig. ;36
Fig
. 37 Fig. 38 Fig. 39 \ Fiv. '<1.) Fig.
UBLES DE LA SENSIBILITÉ £ Fig. 34 Fin. 35 l"ig. ;36 Fig. 37
Fig
. 38 Fig. 39 \ Fiv. '<1.) Fig. 41 Fig.
A SENSIBILITÉ £ Fig. 34 Fin. 35 l"ig. ;36 Fig. 37 Fig. 38
Fig
. 39 \ Fiv. '<1.) Fig. 41 Fig. 2 . Fig.
Fin. 35 l"ig. ;36 Fig. 37 Fig. 38 Fig. 39 \ Fiv. '<1.)
Fig
. 41 Fig. 2 . Fig. 43 - Fin. 44 Fie. 45
l"ig. ;36 Fig. 37 Fig. 38 Fig. 39 \ Fiv. '<1.) Fig. 41
Fig
. 2 . Fig. 43 - Fin. 44 Fie. 45 DU RAPPORT
Fig. 37 Fig. 38 Fig. 39 \ Fiv. '<1.) Fig. 41 Fig. 2 .
Fig
. 43 - Fin. 44 Fie. 45 DU RAPPORT DE L'ECZÉM
onguent de plomb et de zinc) n'out amené aucun résultat favorable. (
Fig
. 3'l et 16) II. Un étudiant de 23 ans est affec
nt fortifiant, l'eczéma, l'anesthésie et la faiblesse ont disparu. (
Fig
. 33) III. Un olliciér de 31 ans est affecté dep
que les phénomènes nerveux empirent l'eczéma s'aggrave également. (
Fig
. 3Set37) IV. Un servant d'église, âge de 32 ans
s mains. Anesthésie à la douleur des extrémités supérieures. Un , .
Fig
. 46. Rétrécissement du champ visuel dans le cas I
d'onguent diachylon ont fait disparaître l'eczéma et l'anesthésie. (
Fig
. 38) V. Une blanchisseuse de 30 ans est affecté
thésie il la la douleur des extrémités supérieures et inférieures. (
Fig
. 39) VI. Un employé de commerce, âge de 45 ans,
calmants, l'eczéma et l'iiiesiliésie ont diminué en peu de .temps. (
Fig
. 40) VIII Un marchand, âgé de 40 ans, est affec
avant-bras ; de plus, une place ronde anesthésiée sur la poitrine. (
Fig
. 41). VIII. Une^bonne, âgée de 53 ans, est affe
sie n'occupait plus que les parties inférieures de ces extrémités. (
Fig
. 42) IX. Une servante de 28 ans est affectée de
d a montré certaines variations dans la répartition de l'anesthésie. (
Fig
. 43) X. Un cordonnier, âgé de 31 ans, est affec
e il la douleur des mains, des bras, de la poitrine et des jambes. (
Fig
. 44) , XI. Un soldat de 25 ans est affecte depu
des pieds. Anesthésie il la douleur du tronc et des extrémités. (
Fig
. foi-5) XII. Cas décrits en 1887 par le 1)" Nik
nts faradiques ne provoquent pas la moindre sensation douloureuse. (
Fig
. 47) En comparant ensemble les 12 cas ci-dessus
c. Par le loucher on a distinctement l'impression de fluctua- tion (
Fig
48). Les racines de la XII0 paire gauche se com
latéral droit semble par contre être plus mince que le cordou cor-
Fig
. 1,8. UN NOUVEAU TYPE D'nEIIIPLÉGIE ALTERNE 183
; quelques-unes ont même deux noyaux ; leur protoplasma est par-ci
Fig
. 50 , 186 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
ions qui existaient déjà le onzième jour de l'ictus apoplectique.
Fig
. 51 VÊTEMENTS ET APPAREILS PROTECTEURS ÉTRANGES
pas d'une (t) N" G90 du 'canal. llredius (1891), II. 1,12. L. 1,06,
Fig
. 0,97, provient du musée de la Haye, 1808, Ache
ême difficile d'affirmer son existence. Sa topographie est variable
Fig
. : ;2. 208 Nouvelle iconographie DE La SALPÊTRI
série de centres successifs, destinés aux divers muscles des yeux (
Fig
. 3). En avant, sur la paroi du troisième ventricu
lique. Enfin vient le noyau du nerf pathétique. Le schéma de Perlia(
Fig
. 54), ainsi que vous pouvez vous en rendre compte
es transversales, venues surtout des pédoncules cérébelleux moyens (
Fig
. 55). Ces notions sommaires d'anatomie normale
silaire el que ses artères se divisent en médianes et en latérales (
Fig
. 5G). Or les artères protubérantielles médianes
et oculo-moteurs communs. Les artères protubérantielles latérales (
Fig
. 57) se perdent, à droite et à gauche, dans l'é
len, directeur du Cabinet des Estampes au Rijks Muséum d'Amsterdam (
Fig
. 58). L'opérateur, coiffé d'un turban que surmo
. Obreen a eu l'obligeance de m'en en- voyer les calques reproduits
Fig
. S9 et Fig. 60. L'une d'elles (Fig. 59) représe
eu l'obligeance de m'en en- voyer les calques reproduits Fig. S9 et
Fig
. 60. L'une d'elles (Fig. 59) représente un méde
- voyer les calques reproduits Fig. S9 et Fig. 60. L'une d'elles (
Fig
. 59) représente un médecin barbu, à longs cheveux
re du cabinet des Estampes d'Amsterdam ne prèle à aucune ambiguïté (
Fig
. 60). Là, il s'agit vraiment de « pierres de tête
de auquel on les extrait a subi plus d'une opération pour ce motif.
Fig
. 60. « Les Pierres de tête ) » gravure de Jan v
touffu, près d'un village, au milieu du va el vient des habitants (
Fig
. 61). L'installation est bien faite. Rien n'y m
i. Au musée de Bruxelles, on voit un autre Opérateur de Jean Sleen (
Fig
.ü2). Celui-ci travaille à demeure, dans son off
ue corne postérieure, prolongement plus large à droite qu'à gauche (
Fig
. 62). A mesure que l'on descend la tache s'agra
e, et une mince bordure irrégulière à la péri- phérie de la moelle (
Fig
. 63). Jusqu'à la 5e dorsale la topographie vari
un peu en avant de l'émer- gence des racines postérieures gauches (
Fig
. 64). ' A partir de la 5e dorsale l'étendue de
dorsale par une simple tache située dans la commissure postérieure (
Fig
. 65). L'ensemble du foyer de myélite forme ains
tions faites par la méthode de Pal. Les lésions vasculaires qui pa-
Fig
. 65. Coupe de- la moelle au niveau de la 8e dorsa
tendue, con- tient un, deux ou même trois rangs de corps granuleux (
Fig
. 66). Entre les vaisseaux le tissu est constitu
e superficie considérable, ainsi que le montre le schéma ci-contre (
Fig
. 67 et 68). Dans toutes les régions teintées le m
ie du' goût et de l'odorat absolue, son champ auditif est rétréci à
Fig
. 61 et (j8. 356 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
raire en avant, et celui des membres inférieurs revient en arrière (
Fig
. 69). Il en est tout autrement chez le sujet at
tombe beaucoup plus en avant près de l'extrémité digitale du pied (
Fig
. 70). Il en résulte que la perpendiculaire a ba
ée en avant. Et même, sa longueur dé- passe notablement la moyenne (
Fig
. 71). Il y a ici une exagération en sens invers
distance en question, mais dans le même sens que chez l'homme sain (
Fig
. 71). Fic;. 11. Il ne faut pas oublier cepend
ière; dans l'empiasma, ou fracture comminutive, on enlèvera le plus
Fig
. 92, 93,94. Les instruments de la trépanation, d'
représente les derniers vestiges de l'ongle atrophié et déformé (V.
Fig
. 2). Telles sont, en quelques mots, les déformati
d'anesthésie ni d'analgésie, et que toujours le tact a été parfait.
Fig
. 2. — Sclerodermie dactylique. Cette figure montr
u bout de ce doigt une apparence de griffe toute particulière (Voir
Fig
. 3 et 4). Le médius est raccourci, un peu en fuse
aussi l'extrémité, est subluxée en arrière sur l'avant-dernière (Voir
Fig
. 4). Fig. 3. — Déformations et mutilations pers
rémité, est subluxée en arrière sur l'avant-dernière (Voir Fig. 4).
Fig
. 3. — Déformations et mutilations persistantes pr
r pli digital du troisième, et dernier est différente à droite et à
Fig
. 4. _ Déformations et mutilations persistantes pr
décembre 1883, a donné les résultats suivants : œil gauche atteint
Fig
. 5. — D'après une photographie de la main de Care
ui paraissent seuls atrophiés, sont normales et identiques des deux
Fig
. 8 et 9. — Champ visuel de Care, amaurose complèt
rche pas la motilité afin de ne pas désunir la cicatrice récente. »
Fig
. 10 et 11. — Monoplegie brachiale hystero-traumat
a sensibibité profonde est abolie dans toute l'étendue de la main (V.
Fig
. 10 et 11). Le sens musculaire est perdu dans l
es iliaques. La pression profonde à ces niveaux occasionne une dou-
Fig
. 12 et 13. — Champ visuel_VJki nommé Desf... le
oche du verre, survenir dans le membre mis en mouvement un tremble-
Fig
. 14. — Tracé du tremblement du nommé B... Type du
e présente pas de signes d'alcoolisme et n'a jamais eu la syphilis.
Fig
. 16.— Tremblement hystérique vibratoire chez le n
sitôt dans le membre qui entre en action. Il est donc intentionnel.
Fig
. 17. —Tracé du tremblement de la tête chez le nom
cela, pas de déformation appréciable, pas d'amyotrophie visible (Voir
Fig
. 20). Au point de vue des mouvements, le poigne
. On éprouve une sensation d'élasticité dans la traction et dans la
Fig
. 20. — Œdème bleu hystérique de la main avec cont
gésie commençant au-dessous de la tète du péroné, et limitée ainsi:
Fig
. 21. — Zone d'analgésie chez le malade de l'Obser
térieure et les deux tiers de la face postérieure de la jambe. (V. la
Fig
. 21.) Fig. 22. — Aneslhésie à la chaleur et au
les deux tiers de la face postérieure de la jambe. (V. la Fig. 21.)
Fig
. 22. — Aneslhésie à la chaleur et au froid chez l
s de l'analgésie. La seule différence est que la bande interne sen-
Fig
. 23. — Ânesthésie au contact chez le malade de l'
ieure de la jambe est prise dans une étendue beaucoup moindre^ (V. la
Fig
. 22.) 3° Sensibilité au tact. — Elle est conser
rement dite seule est insensible ainsi que le dos des orteils. (V. la
Fig
. 23.) Nous sommes là en présence d'une sciatiqu
rmation de la colonne vertébrale avec inclinaison du tronc adroite.
Fig
. 24.— Zone d'analgésie et d'hypoesthésie thermiqu
la branche cutanée péroniôrc et de l'accessoire du saphène externe,
Fig
. 25.— Distribution des nerfs cutanés de la face a
es que nous avons données, nous paraissent parfaitement suffisantes
Fig
. 26,— Distribution des nerfs cutanés de la face p
talon ne portant pas sur le soL et lance bien vite son pied gauche
Fig
. 27 et 28. — Ancsthésie au tact et à la douleur c
mun des orteils excitable seulement avec l'anode faradique au maxi-
Fig
. 29 et 30. — Anesthésie pour le chaud et le froid
que nous allons indiquer, le malade ne sent pas le pinceau, ne per-
Fig
. 31 et 32. — Etat de la sensibilité chez le malad
hé-sique, aussi bien sur la face dorsale que sur la face plantaire.
Fig
. 33. — Rétrécissement du champ visuel chez le mal
de la cuisse à la jambe, atrophie que le tableau suivant indique :
Fig
. 34. — Points douloureux. (Les chiffres indiquent
rotule. 34 c. 36 c. 15 — — — — 44 c. 45 c. 25 — — — — 30 c. 50 c.
Fig
. 33. — Plaque d'anesthésie cutanée dans le domain
en effet localisée à droite dans celte portion du domaine du facial
Fig
. 36. — Anesthésie dans le domaine du facial infér
ût, l'ouïe, l'odorat sont affaiblis à gauche. Le réflexe pharyngien
Fig
. 37. — Anesthésie de la face et zone liystérogène
stérie et rentre plus vraisemblablement dans celui de l'alcoolisme.
Fig
. 38. — Double rétrécissement concentrique du cham
é malade, nous l'avons retrouvé, avec les mêmes caractères1, sur un
Fig
. 39. Fig. 40. Ptosis palpebral. Dans la figur
nous l'avons retrouvé, avec les mêmes caractères1, sur un Fig. 39.
Fig
. 40. Ptosis palpebral. Dans la figure 39 {pto
èpre nerveuse, Deutsch. arch. f. KUn. Med. Vol. 47., fasc. 3 et 4.)
Fig
. 41 et 42. — Hachures obliques : hémidysesthésie.
ce symptôme ne saurait caractériser à lui seul la syringomyélie, et
Fig
. 43 et 44. Br. C. I, brachial cutané interne. —
tant, lequel n'a rien de commun avec les lésions syrin-gomyéliques.
Fig
..ko. Sans doute, on peut objecter que dans l'ac
fait de précision, on ne peut guère, il me semble, aller plus loin.
Fig
. -56. — A B. Ligne horizontale de 10 centimètres
avait été, je le répète, consacré par les résultats de l'autopsie.
Fig
. 48. — Coupe à la région cervicale supérieure .
e l'autopsie. Fig. 48. — Coupe à la région cervicale supérieure .
Fig
. 49. — Coupe au niveau du renflement cervical.
e supérieure . Fig. 49. — Coupe au niveau du renflement cervical.
Fig
. 50. — Coupe à la région cervicale inférieure.
égion cervicale inférieure. Fig- Si. — Coupe à la région dorsale.
Fig
. Sï. — Coupe à la région lombaire supérieure. F
région dorsale. Fig. Sï. — Coupe à la région lombaire supérieure.
Fig
. 47. En établissant, à cette époque, les élémen
rieures), des secousses de toux apparaissent entre les bâillements.
Fig
.^l). — Respiration costale supérieure de Ler... A
l'una ou l'autre main devantgsa Douche pour masquer son bâillement.
Fig
. 54. — Respiration costale supérieure de L... (11
gnaient souvent sont devenus beaucoup plus rares. Le tracé suivant (
Fig
. 55) représente la respiration de la malade penda
iration normale. Les deux tracés suivants en fournissent la preuve.
Fig
. 55.— Respiration costale supérieure de Ler... in
nscrite pondant 5 minutes consécutives (chaque ligne reproduite ici
Fig
. 56. — Respiration costale supérieure de Ler... i
ne fraction de minute de 49 secondes (une demi-grandeur naturelle).
Fig
. 57. — Respiration costale supérieure de Ler... i
s temps est divisée oA demi-secondes (une demi-grandeur naturelle).
Fig
. 58. —Respiration costale supérieure d'une hystér
es. — Amplitude âu levier au minimum (une demi-grandeur naturelle).
Fig
. 59. — Bâillements par imitation chez une hystéri
ofondes et supplémentaires (soupirs). Nous reproduisons encore ici (
Fig
. 59), à titre de comparaison, le tracé de bâillem
nt qu'il semble que ce soit le mode habituel de respirer des suj ets [
Fig
. 55). Nous noterons aussi que les bâillements s'a
illements s'accompagnent ou même s'entrecoupent de quintes de toux (
Fig
. 54), phénomènes de même ordre. Ce qui est exag
rations assez rapprochées pour constituer un seul et même bâillement (
Fig
. 56). Il peut être avorté ; dans ce cas la mala
sme hypnotique. Dans ce cas, ainsi qu'on pourra le voir sur le tracé (
Fig
. 59), l'amplitude de l'inspiration constitutive d
Charcot. Clinique des maladies du système nerveux. T. I. Pl. II.
Fig
. 2. — Courbe des variations du sucre par litre d'
s variations du sucre par litre d'urine. (V. n° XIII, p. 257 à 284.
Fig
. 4. — Couibo des variations du sucre- par litre d
Charcot. Clinique des maladies du système nerveux. T. I. Pl. m.
Fig
. 5. — Courbe des quantités d'urée en 24 heures ap
s d'urée en 24 heures après traitement. (V, n° XIII, p. 257 à 284.)
Fig
. G. — Courbe de* qnantilé* d'urée par litre après
er l'en- .seignement de l'écriture, nous avons, d'après les indi-
Fig
. 1. Fig. 2. PETITE ÉCOLE. IX cations de Ség
.seignement de l'écriture, nous avons, d'après les indi- Fig. 1.
Fig
. 2. PETITE ÉCOLE. IX cations de Séguin, fait
obligé de s'appuyer sur un des bords internes du petit appareil (
Fig
. 1 et 2). Nous commençons par la verticale. La
le jeu ordinaire aux six, cinq, quatre, trois, deux, un et blanc.
Fig
. 3. PETITE ÉCOLE. xi C'est à dessein que nous
l est obligé de tenir à la façon d'un crayon ou d'un porte-plume (
Fig
. 3). Boîte à trous. - Nous avons fait faire éga
t des trous d'égale grandeur, soit des trous de grandeurs extrêmes {
Fig
. 4). Cette boîte constitue un nouveau moyen d'é
s portent une étiquette où figure leur nom. Ces jardins sont des-
Fig
. 5. - Tableau roulant. xiv Grande école. nés
convulsions. II. De 2 à 7 ans, l'enfant a eu des convulsions qui
Fig
. 1. 12 Idiotie et épilepsie méningitiques. on
iagnostic chez, les enfants idiots. . IV. Quant à la température (
Fig
. 1), elle ne nous fournit pas, ici, d'indicatio
rl'hagie intestinale de moyenne abondance ; la T.R. tombe à 3J°, 2 (
Fig
. 2) ; le pouls, petit, est à 120. Le poumon est
d M à ti ¡¡ : : d ti. >-3 L1 bd t7 00 M
Fig
. 2. - Fièvre typhoïde; abcès ; rechute. 84 AUTO
né par la mort au bout de cinq semai- nes. Le tracé thermométrique (
Fig
. 2) est très-inté- ressant car il indique avec
ie, les circonvolutions de l'insula sont complètement à découvert. (
Fig
3). Les méninges s'enlèvent facilement sur le r
és thermométriques) (Compte t'endtt de Bicêtre pour 1884, p. 89). -
Fig
. 4. - Rubéole. DESCRIPTION DE la malade.. 105;
me la suture métoljiCjue, bien que la malade fut âgée de 10 ans. (
Fig
. 5). V. Les lésions sont de deux espèces, les u
au-dessus de la région où siégeait la lésion attribuée au forceps. (
Fig
. 6). Après cette première opération, l'enfant s
e mem- brane élastique et résistante; sur la partie antérieure de
Fig
. 6. 122 IDIOTIE par arrêt DE développement. l
t des bords de la perforation mais ne se rencon- trent nulle part. (
Fig
. 6). La dure-mère est un peu épaissie; pas de c
une adresse et une imagination étonnantes à exécuter de nombreux
Fig
. 7. - R... à 12 ans (1880). Antécédents PERSONN
s de strangulation. 1883. 4 août. - Pas de modifications notables. (
Fig
. 8). Examen de la dentition par M. le Dr CRUET.
ions sur les bourses paraissant dues au frottement de la chemise.
Fig
. 8. - R... à 15 ans (octobre 1883). 134 DESCR
été. Peau fine, pas de cicatrices. Cheveux châtains foncés, assez
Fig
. ;). - R... à 19 ans (août 1887). abondants et
in- terne des cuisses. Poils courts, assez rares, à l'anus. Poils
Fig
. 10. - Il... il 26 ans (1895), MONSTRUOSITÉ ; C
sur ses bords jusqu'à l'extrémité supérieure du pli inter-fessier. (
Fig
. 10, 11 et 12). Réflexions. - L'observation d
s infirmités de R...-Deux aliénés du côté paternel, un ivrogne et
Fig
. 11. - R... a 2G ans (189j).. .. 144 Monstruosi
e secondaire. III. A la naissance, la monstruosité de la tête est
Fig
. 12. - R... à 26 ans (1895). IDIOTIE ET épileps
moins défectueuse. Il fait mieux les exercices de gymnas- tique.
Fig
. 13. (Août 1891). 1893. Janvier. - Aggravation.
ques années, n'existe plus aujourd'hui en raison des contractures. (
Fig
. 14). Mensurations de la tête. 154 DESCRIPTIO
- se. Pas de liquide péricardiquc. - Cano' (115 gr.), petit, mou,
Fig
. 15. 158 Rein UNIQUE. de teinte jaunâtre, san
- Per- sistance du trou de Botal admettant une plume de corbeau.
Fig
. 16. REIN UNIQUE. 159 Abdomen. - Le péritoine
r les diver- BOURNLVILLLE, Bicêtre, 1895. il 162 REIN UNIQUE. 1
Fig
. 17. - Rein en l'er iL cheval vu de face. - C., c
REIN UNIQUE. 163 ses malformations organiques que présentait cet
Fig
. 18. - Rein en fer à cheval vu en arrière. R. rei
iotie ; - 2° la double cryptorchidie ; l'absence de l'un des reins (
Fig
. 16). Il s'agit là d'un vice de con- formation
de fer à cheval, et placé en travers de la colonne vertébrale. Les
Fig
. 17 et 18, qui représentent ce rein et que nous
nt ce rein et que nous avons cru bon de reproduire, comparés à la
Fig
16, nous paraissent de nature à intéresser nos
s. Il juin. - Pas de glande .Pouls : 120. Haleine fétide, douleur
Fig
. 18. TROIS cas D'IDIOTIE myxoedémateuse. 173
qui le prennent dès qu'il se lève. Douleurs abdominales, diminu-
Fig
. 19. l'ig. 20. - 174 THÉRAPEUTIQUE. tiondes
'est plus que de 24 kil. 100. La peau devient moite. Pouls : 120.
Fig
. 21. - Deb... en septembre 1895. TROIS CAS D'ID
cre. 5 juillet. - Reprise du traitement (1/2 lobe). Deb... se met
Fig
. 22. - Debar... en septembre 1895. 176 Thérapeu
dans notre Compte-Rendu de Bicètre pour l'année 1889 (p. 57). Les
Fig
. 23, 24, 25, et 26 donnent une idée de sa situati
. Wathi...est très gaie. moins timide, répond avec plus d'aplomb.
Fig
. 24. - V;vt... à 14 ans (mai 1889). TROIS cas d
ssent bien voir les globes oculaires, les lèvres sont rosées, les
Fig
.. 2G Wat... iL 14 ans (mai 1889). TROIS cas D'I
les. Modifications de la voix. - Depuis le traitement la voix est
Fig
.27. Wat... en septembre 1895. 184 Thérapeutique
tère - sournois ; renseignements insuffisants sur lui et nuls sur
Fig
. 28. - Wat... en septembre 1895. TROIS cas D'ID
emar- qué de sueur ; on n'a noté qu'une très légère desquamation.
Fig
. 20. - Les trois malades fin septembre 1895. Tr
t : « Compte (doigts il 1 mètre, ! 1 om,50" etc. ».. [POULARD.]
Fig
. 2. - Echelle typographi- que, pour la vision a
ons faites dans le champ visuel à diverses dis- tances de l'oeil.
Fig
. 7. - Schéma représentant la projection des champ
ord horizontal..Le curseur muni à son centre d'un petit index blanc
Fig
. 8. Le périmètre. EXPLORATION DU NERF OPTIQUE E
pris pour exemple, on obtient un champ visuel rétréci. [POULARD]
Fig
. 9. - Manière de prendre le champ visuel il 1 mue
a rétine; l'ophtalmoscope ne voit pas tout. Au contraire, un examen
Fig
. 1 l. - Aspect du fond de l'oeil, A à l'image dro
es aggravations progres- sives clans l'état d'un muscle paralysé.
Fig
. '12. - Strabisme convergent (Morax). - . Pig.
e convergent (Morax). - . Pig. 15. - Strabisme divergent (Morax).
Fig
. 14. Strabisme surstim-vergent (Morax). Fig. '1
me divergent (Morax). Fig. 14. Strabisme surstim-vergent (Morax).
Fig
. '15. - Strabisme deorsl1mve¡'genl (Morax). EXP
Et l'on obtient ainsi une men- PllATIQUE ',EUROI.. 2 [POULARD.]
Fig
. Ifi. Mensuration du strabisme il l'aide du périm
Souvent la diplopie ne se manifeste qu'à la périphérie du champ du
Fig
. 18. Champ du regard .dans la paralysie du droi
: la fixation est incorrecte, il y a diplopie trans- versale.
Fig
. 22. Recherche de la diplopie avec la baguette de
n au loin reste bonne, doit faire penser il une diminution ou perte
Fig
. 24. Mesure de- l'accommodation il l'aide de verr
Une chambre noire ou obscure avec une lampe et une loupe. Le malade
Fig
. 26. Recherche du réflexe pupillaire à la lumière
main et voit la pupille se contracter sous l'action de la lumière.
Fig
. 27. - Recherche du réflexe pupillaire à- l'aidé
le second oeil (fig. 28 et 29)." '. , " , " . \ , . [POULARD.]
Fig
. 28. Recherche du réllexe lumineux i'8J'aide de l
l (réflexe hétérolatéral). Pour rechercher l'existence ou l'absence
Fig
. 30. - Examen du réllexe lumineux à la loupe. A
ur permettant à l'observateur d'interrompre à son gré la lumière.
Fig
. ? Recherche du réflexe lumineux a la loupe. A. l
ous la paupière on note le point de l'arc où se trouve la bougie.
Fig
. 53. Mensuration du ptosis à l'aide du périmètre.
une périphérique) et présenter des formes variées : lacune périphé-
Fig
. 34. Lacune centrale ou scotome central. LACU
binoculaires homolatérales. (Voir Hémianopsie.) , - - Cpoazaxn.7
Fig
. 35. Lacune périphérique concentrique ou rétrécis
ue ou rétrécissement concentrique du champ visuel t) , (Morax). -
Fig
. 58. Lacunes périphériques en encoches.; rétrécis
n encoches.; rétrécissement irrégulier du champ visuel (Morax). '
Fig
: 57. - Lacunes- intermédiaires [moraux]. 40 TR
et vous [FOULARD.] as. TROUBLES. NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE
Fig
. 41-(-.%). Hémianopsie homolatérale gauche. La li
émarcation verticale - passe exactement par le point de fixation.
Fig
, 41 (B). llcmianopsie homolatérales gauche. La li
quante en formant un petit demi-cercle autour du point de fixation.
Fig
. 41 (C). Hémianopsie homolatérale gauche. La lign
eant le méridien vertical. " LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. MI . -
Fig
. 41 (D). Hémianopsie en secteurs homolatél'al1X
ISUEL. MI . - Fig. 41 (D). Hémianopsie en secteurs homolatél'al1X
Fig
. 41 (E). Hémianopsie insulaire. Deux îlots anopsi
ues, homolatéraux; scotomes homolatéraux ou scotomes symétriques.
Fig
. 41 (F). - Hémianopsie péninsulaire. Deux pénin
itiés temporales n'est pas une véritable hémia- 4* '' [FOULARD]
Fig
. 42 (A). - Hémianopsie hétérolatérale temporale.
'' [FOULARD] Fig. 42 (A). - Hémianopsie hétérolatérale temporale.
Fig
. 42 (il). Cécité de l'oeil droit avec hémianopsie
42 (il). Cécité de l'oeil droit avec hémianopsie temporale de l'OG.
Fig
. 42 (C). Ilémianopsie hétérolatérale binasale.
un oeil regarde une bougie placée devant lui à 2 ou [POULARD.] ]
Fig
. 44. (A) Diplopie croisée. (]-'il en dehors, faus
ostic delapàralysie. PIIATIQUE JOEUIlOL. ' 5 - - [FOULARD : ] .
Fig
. 46. Recherche de la diplopie sur le mur quadri
. Fig. 46. Recherche de la diplopie sur le mur quadrillé (Morax).
Fig
. 47. Schéma sur lequel on reporte les con- stat
e ou régressive en projetant une sphère sur le mur quadrillé. 1 1
Fig
. 48. - Schémas de diplopie. PARALYSIES DES MUSC
peuvent se présenter. On conçoit, par exemple, 5* [POULARD.] ]
Fig
. 49. -7- Schémas de diplopie. 68 TROUBLES NERVE
ille dans la lésion protubérantielle supérieure : 5 ? [POULARDE
Fig
. 52. La croix indique le côté de la lésion, les h
ien plus rares que les précédents, doivent cependant être connus.
Fig
. 55. (A; Syndrome type Foville dans les lésions p
s. Les paralysies dissociées sont d'ordinaire le fait, [POULARD.]
Fig
. 55 (C). Syndrome type Foville dans les lésions
, elle aboutit souvent à l'ophialmoplégie totale. Elle [POULARD.]
Fig
. 51. - Paralysie bulbaire asthénique. 76 TROUBL
l'oeil sain se porte en adduction,, d'où strabisme convergent. «
Fig
. 55. Coupe schématique de la protubérance il sa p
éralité, d'élévation, d'abaissement, de convergence, de [POULARD]
Fig
. 50. Schéma (d'après Iilocd et Onanolf) pour mont
n du tronc M. 0. C. donne en général une paralysie de [POULARDE 1
Fig
. 60. - Ptosis myopathique. 102 TROUBLES NERVEUX
ale. Le facial contiendrait des filets sécréteurs des larmes (comme
Fig
. 61. Paralysie faciale gauche.- TROUBLES DE LA
'est une paralysie de la luette et du voile du palais. [POULARD.]
Fig
. 62. Paralysie faciale gauche. Le malade essaye v
ite ainsi les complications que provoque l'ouverture permanente des
Fig
. 65. Trajet supposé des fibres sécré- toires de
se decouvri' dans une plus ou moins grande étendue. [POULARD.]
Fig
. 64. Goitre exophtalmique (E. Boix). 108 TROUBL
ête dans le vertige voltaïque. Soc. de biologie, 25 avril 1905. .
Fig
. 48. Vertige voltaïque (d'après Zimmern, Eléments
ce est, sui- vant Bourneville, d'origine vasculaire. IGROVZQN.]
Fig
. '1. Sclérose tubéreuse. Ilots scléretix en et en
pourra entrer en ligne de compte pour la production de l'idiotie.
Fig
. 2. Idiotie myxoedémaleusc pachydei-miquc - (BO
à llarinesco. 2. Neu ? CentrvlL., 1° novembre 1905. - [RODSSY.]
Fig
. 5. - Tabès. - Topographie radiculahe des troub
phie radiculahe des troubles de la sensibilité à la pression (1).
Fig
. 4. - Tabes. Troubles de la sensibilité . à la
ur Rydel (') 1. Arch. f. Psychiatrie 1l. Nervenheilk, Bd., 57, 2.
Fig
. 5. Paraplégie. Troubles scnsitifs à la pressio
oujours plus marquée il la périphérie qu'à la racine des membres.
Fig
. 8. Schéma de pallesthésie chez un individu sain
squelles les muscles ne jouent qu'un rôle tout à fait t [ROUSSY.]
Fig
. 9. Ilmianestl : ésic profonde dans l'hémiplégie.
e mouvement actif; 4° Notion de résistance, de force et de poids.
Fig
. 10. Tabes. Abolition de la sensibilité osseuse s
um chez une ataxique âgée de quarante-six ans (d'après Dejerine).
Fig
. 11. - - Tabes. Abolition de la sensibilité osseu
dernières côtes, chez la malade précédente (d'après Dejerine). ' .
Fig
. 12. - Défaut de parallélisme entre la topographi
et du mode de la sensation, des paresthésics, de la [ROUSSI'.] ]
Fig
. 14. - Troubles de la sensibilité osseuse dans
sont des troubles fugaces, dont la cause anatomique [ROUSSI'.] .
Fig
15. Hémianesthésie gauche superficielle et profon
c différentiel reposeront donc sur les symptômes conco- [ROUSSY.]
Fig
. 17. Coupe horizontale macroscopique de l'hémisph
revêt pas le même mode de distribution que celle des filets nerveux
Fig
. 20. Territoires cutanés du membre supérieur. Sch
plu- sieurs nerfs sensitifs. PftATIQBE NEUML. ' 21 [ROUSSY.]
Fig
. 21. Distribution radiculaire des nerfs du plexus
ivant, la topographie radiculaire des troubles de la sensibilité se
Fig
. 22. Distribution des libres sensitives des nerfs
, tabès, syringomyélie, hématomyélie. Tout dcrnièrcment [ROUSSY.]
Fig
. 25. Territoires de distribution radiculaire des
Dans les compressions médullaires, nous l'avons vu, la limite supc-
Fig
. 23 bis. - Territoires de distribution radiculair
supérieure, est donc un élément précieux de diagnostic [ROUSSY.]
Fig
. 24. - Schéma dc topographie radiculaire, face an
la compression, et parlant, à quel niveau de la colonne vertébrale
Fig
. 2 Lis. Schéma de topographie radiculaire, face p
lombaires qui s'ac- croît de haut en bas. Il nous paraît donc
Fig
. 25. Schéma du rap- port entre les apophyses
s apophyses épineuses, à gauche les racines (d'après Chipault).
Fig
. 26. - Rapports des émergences des nerfs ra-
évolution du tabès, les troubles sensitifs apparaissent aux membres
Fig
. 27. - Anesthésie du bord cubital des deux bras
és douloureuses, tactiles, etc. Fréquemment aussi, on . [ROUSSY.]
Fig
. 28 et 29. Tabès. Topographie radiculaire îles tr
rmo-anesthésie), et. des troubles sensitifs profonds très prononcés
Fig
. 50. Anesthésie tactile, douloureuse et dissociat
ns (tétanos sensitif, P. Marie), allo- chirie, etc. . [RODSSY ]
Fig
. 51. Syringomyélie. -Ancsthésic (en grisé foncé)
ainsi à reconstituer parfaitement le territoire distinctif de l'in-
Fig
. 52. Topographie des troubles de la sensibilité t
u'elle peut toutefois se rencontrer, quoique beaucoup [ROUSSY.] ]
Fig
. 33. - Distribulion dos troubles sensitifs (lad,
de ce membre. 1. Presse médicale, 11 décembre 1901. [ROUSSY.]-
Fig
. 54. Disposition métamérique du renflement brachi
x, du périnée, de l'anus, de la partie inférieure et postérieure du
Fig
. 55. Paraplégie syphilitique. Hypoesthésie légère
sie de la cuisse par lésion de cette dernière racine... [ROUSSY.]
Fig
. 56. Lésion de la queue de cheval par chute sur l
syphilitique, le traitement mercuriel donnera de bons résultats.
Fig
. a7 et 57 bis. Sciatique. Troubles de la sensibil
- graphie monoplégique, paraplégique, ou segmentaire. [ROUSSY.]
Fig
. 58. Névrite du nerf médian. Topo- graphie des
e surtout aux territoires sensitifs des extrémités des membres. '
Fig
. '39. Paralysie du cubital par luxation du coude.
s oblique par rapport au grand axe du membre z (Dejerine). .. , .
Fig
. 41. Lèpre. Distribution insulaire et segmentaire
thésie ou d'anesthésie, c'est la topographie insulaire. [ROUSSY.]
Fig
. 42 et 4. Gangrène sénile. Topographie des troubl
ig. 42), au onzième jour (fig. 45)-. (Cas And..., Bicêtrc, ·1901)..
Fig
. 44. Même cas, au seizicme jour. ,) : )t) SENSI
utanée; leur forme et leur dimension sont variables. [ ROUSSY.]
Fig
. ili. lléiniaiiestliésie hystérique, plus marquée
bleau clinique; elles sont ordinairement le [ROUSSY.] fit.47. .
Fig
. '48. , Fifr. 47 et 48. Acroparestliésie. Hypoe
est distant de 4 centimètres environ de la surface [GUILLAIIV.] ]
Fig
. s. Fig. 4. Ilig. 5. Groupe des ' orifices pé
t de 4 centimètres environ de la surface [GUILLAIIV.] ] Fig. s.
Fig
. 4. Ilig. 5. Groupe des ' orifices périphérique
entrée de l'orifice profond du trou grand rond. (D'après Sicard.)
Fig
. 4. Trou grand rond. Le nerf maxillaire supérieur
palatin C et de l'artère maxillaire interne D. (D'après Sicard.) -
Fig
. 5. Trou ovale. Coupe faite immédiatement en ar
rtilagineusc inférieure de la trompe d'Eustache (D'après Sicard.)
Fig
. 5. 436 , - ; NÉVRALGIES ET ALGIES.' . ; ...
endant, il n'est point nécessaire de percuter ce point pour obtenir
Fig
. 1. Exploration du réflexe ten- dineux rotulien
ten- dineux rotulien, le sujet étant assis. (Blocq et Onanoff.)
Fig
. 2. Marteau à percussion de Dejerine. RÉFLEXES.
Soc. of Lnndon, 2 nov. 1885. Pratique 11EUROL.. 28 . caouzoiv.
Fig
. 4. Exploration du clonus du pied. (Blocq et Onan
x le réflexe du masseter, bien qu'il ne soit pas produit par per- ,
Fig
. 5. Exploration du réflexe tendineux du poignet.
Exploration du réflexe tendineux du poignet. (Blocq et Onanoft'.)
Fig
. 6. Exploration du réflexe de la mâchoire inférie
ormale des orteils.. ' z (Babinski, Gazelle des It6pîtaux.)..., .
Fig
. 8. - Pied photographié au moment où l'on excite
e des orteils existe à l'état normal ; '. Paraplégie spasmodique.
Fig
. 9. Pied au repos. - ; [Revue Neurol. 1903.)
e spasmodique. Fig. 9. Pied au repos. - ; [Revue Neurol. 1903.)
Fig
. 10. Pied au moment de l'excitation. Abduction
tandis épie les temps mesurés par Brissaud chez des sujets normaux
Fig
. 1°1. CA, corne antérieure; Cl', corne posté- r
lexion combinée de la cuisse et du tronc. Ce phénomène [CROUZON.]
Fig
. 2. - Hémiplégie gauche organique. Contraction
urs de l'articulation du PHATIQUE M1BIUII.. . 51 [CROUZON.] ] ,
Fig
.3. J. - . 482 MOUVEMENTS ASSOCIÉS. coude, dès
, extension, accom- pagnés parfois d'atrophie des muscles du cou.
Fig
. 1. Schémas radiculaires de Thorbnrn. DIAGNOSTI
de la verge ou des grandes lèvres. Il y a rétention des matières ci
Fig
. 2. Cône médullaire et épicône. Vertèbres osseuse
, pour la disparition de ce dernier, que la troisième [MOUTIER] ]
Fig
. 5. Syndrome de Brown-Séquard. Représentation s
imitées par lésion corticale sont exception- nelles chez l'homme.
Fig
. 2. Centres moteurs corticaux du 11lacaclIs sinic
Reevor et Horsley ( IS90j. . - -... (Figure empruntée il Moral.)
Fig
. 3. Centres moteurs d'après l'observation des suj
de l'orang (Simia satyrus) d'après Beevor et Horsley (1890) ; ..
Fig
. 6 cb 7. Localisations cérébrales chez l'homme, d
nt à 1 centimètre près le point de la voûte qui , [G. GüI.LLAIN ]
Fig
. R. Topographie cr11nio-cérébrnlc. Ligne rolandiq
yngé supérieur : il nous suffira de rappeler que celui-ci se divise
Fig
. 2. Centres moteurs bulbaires du larynx (d'aprè
Rev. tieurol., 15 novembre 1901. lcoh. Salpèlr., 1902. [A LÉRl.]
Fig
. 1. - Myopathie. L'affection a envahi les membr
ovemhre 1591. t. M,\mE et Cnouzoe¡. Soc. neuf., 1905. [A. LÉRIJ
Fig
. 2. Mynpatlnqlle avec a thorax en taille de guê
2. Foggie. Scott. vieil, and surg. J., décembre 1905. [A LÉRL]
Fig
. 4. - Myopathie avec pseudo-lay- perlrophie con
es premières déformations de la face sont peu gênantes [A. LÉRI.]
Fig
. 5. 31YOPalhique. Le malade ne peut se tenir de
. d'Anvers, 1897. z 6. P. Marie. Rev. neural : , 1901, p ? lE6. ,
Fig
. 6. - Myopathie facio-scapitlo-huniérale. On voit
e scapulo-humérale, en ce sens que la progression de l'atrophie est
Fig
. i. Faciès myopathique. La malade ne peut ferme
plètement les paupières ; les lèvres sont saillantes et évcrsées.
Fig
. 8. Myopnthie facio-scapulo- humerait-. /lire e
avant-bras. 1. GAl'iGIIOFEn, Pruger 11lNtic, 11'oc%cnschr., 1891.
Fig
. 10. - Pieds dans Z'amyol1'ophie Charcot-Marie.
Gesellsch-f. Psych. und 11'eriezheill : , juillet 1905. a. zsRr.7
Fig
. 11. - Névrite interstitielle hy- pertrophique
e 1. et PIIII.11-l'E. Soc. neurol., 6 novembre 1902. [A. LÉRI.l
Fig
. 12. A, main dite « de Ducheiine-Arun »; B, main
ibilité tactile), .1. Lejonne. Th. Paris, 1903. [A. LÉRI.1- ,
Fig
. -I3. - lIIai1l8 d'A1'On-Duchemze chez uu syrir
hie progressive spinale, et syphilis. 'Congrès de- Bruxelles, 1905.
Fig
. '14. 3léiiiii qa-myél7te sy- philitique ayant
ition héréditaire, 1' « infériorité originelle », dans les lésions,
Fig
. 15. - Atrophie considérable du membre inférieu
aits d'atrophie mus- 1. 11LIPPIsL. Presse médit, 3J juillet 1897.
Fig
. 16. - Atrophie des membres paralysés dans un c
PAI\IION et Porrsco. Roiiiaiiia medica., avril 1898. ' [A. LERI-1
Fig
. 17. Hémiplégie gauche acquise. Atrophie du côt
nt : c'est le pied bot tabétique de Joffroy. Des rétractions aponé.
Fig
. 1 7. - Pieds bots tabétiques de Joffroy (collect
difficulté de la décontraction, du relâchement muscu- [A, LF1R1.
Fig
. 18. Maladie de Thomsen. Remarquer le développe
nt, la face contre terre, incapables de se relever. [il. LRRI.]
Fig
. ? Incoordination ataxique. - Le ma- lade lance
us détourné et le plus irrégulier et, après avoir été [il. LÉRI.]
Fig
. ~>. Ecriture d'un tabétique. Varia- tion su
ol tantôt brusquementpar toute leur plante, tantôt par [A. LÉRI.]
Fig
. 4. Altitude cérébelleuse. Pour se tenir debout
vira de guide et traînera son pied avec plus ou moins de brusquerie
Fig
. 5. - Démarche asynergique type (figure de l3al
mbe simultanément et progressivement, comme le ferait [.A. LÉRI.]
Fig
. 6cL 7. Signe de la flexion combinée des cuisses
t étant encore dans la station debout, on lui dit de porter la tête
Fig
. et 9. Signe-du renversement en arrière. J,e suje
é de l'ataxique, les maintenir à un degré invariahle de contraction
Fig
. 10 et 11. L'équilibre volitionnel sta- tique :
antiels servira parfois à fixer cliniquement le siège de la lésion.
Fig
. 12. z Ecriture d'un malade atteint de Sclérose
r les sons : il s'exprime avec effort, avec hesi- . - . [MOUTIER]
Fig
. 1. Syndrome pseudo- bulliairc; J'acics pleurar
une affection organique du système nerveux central dont [A. LJBAT
Fig
, '13, 14, 15 et 16. Deux types de torticolis ment
i. lïémispnsme facial périphérique. Soc. de neurologie, avril 1905.
Fig
. 17 et 18. Homme atteint d'/téutÏspasme facial ga
de la figure A (figures obligeamment prêtées par M. Babinski). -
Fig
. 19.-remmeatteinterl'laénaispasne - facial droi
traîne des attitudes permanentes qui sont favorisées, d'autre part,
Fig
. 5. - Tabétique présentant. le genu recurvatum
nges.' La sclérodactylie se rencontre tout particulièrement dans la
Fig
. 1. Sclérodactylie avec mutilation des extrémités
chez un individu donné, d'une époque à l'autre de son existence.
Fig
. 5. \euro-fibromalose généralisée avec nombreuses
s spontanée et provoquée ou seulemént provoquée. Les [F. MOUTIER.
Fig
. 4. - Trophædème chronique héréditaire (Henry J
escarres de décubitus. Nous verrons plus loin de quelle façon, avec
Fig
. 5. Maladie de Dercum (d'après G. Ballet). TROU
s trajets fistuleux et suintants partent du fond de [F. MOUTIER-1
Fig
. 6. - Mal perforant plantaire, attribué il la t
, qu'elle soit médiane (affections médullaires) ou latérale (affec-
Fig
. 7. - Escarre sacrée particulière- ment profond
de noter l'atteinte de plusieurs doigts, et, dans [F. MOUTIER ] .
Fig
, 8. 1 Fig. 0. UCrOl'lI1al1on des mains dans l
tteinte de plusieurs doigts, et, dans [F. MOUTIER ] . Fig, 8. 1
Fig
. 0. UCrOl'lI1al1on des mains dans la lèpre anes
beaucoup mqins étudiées. Nous serons assez brefs sur ces différents
Fig
. 10. Griffe lépreuse : atrophie . des éminences
orbées, de l'auriculaire et de l'annulaire (d'après Jeanselme).
Fig
. 11.. Syringomyélie : usure trophique rapide- m
es hypertrophies. Dans une certaine catégorie de faits il s'agit de
Fig
. 12. Fig. 13. Hypertrophie pseudo-acnimégaliq
phies. Dans une certaine catégorie de faits il s'agit de Fig. 12.
Fig
. 13. Hypertrophie pseudo-acnimégalique segmenta
n commence par une étroite PRATIQUE NEOROL, 59 .. [F. MOBTIER.]
Fig
, '15. - Scoliose dans la syringomyélie (d'après
ig, '15. - Scoliose dans la syringomyélie (d'après Ilal- lion).
Fig
. 14. Paralysie infantile avec atrophie considér
re et simple de l'articulation par résorption des tètes osseuses. :
Fig
. IG - Iléinialropliie faciale . cas de Romberg
elles poussées d'hydarthrose. Certaines compli- \ [F. MOUTIER.]
Fig
. 17. Double arthropathie tabétique du.genou (ca
les myopathies et les amyolro- vhies étudiées en d'autres par-
Fig
. 18. Arthropathies tabétiques des deux épaules
es tabétiques des deux épaules (cas de Souques et J. B. Clarcotl.
Fig
. 1'.). - Arlliropalhie tabétique du pied gauche.
émianopsie 1]iteniporale), la glycosurie. les défor- - [A. LÉRI.]
Fig
. 2. 4c)'fM) ! e<y< ? f ! . Mains en battoir
massue » .Cette hypertrophie est souvent asymétrique . IA..LÉRI.]
Fig
. 4. OStéO-a7'thl'Opalhze fZY1Je1'tl'ophianle pneu
ls, privée de sueur et de sécrétion sébacée, hypoesthé- [A. LÉRL]
Fig
. fi. /1hztllwlisllle chronique. Type de flexion :
ques du rhumatisme chronique u. Congrès de médecine. Liège, 1905.
Fig
. 7. Rhumatisme chronique sénile. -Saillie des a
t forment de vraies cordes fibreuses au-devant des deux [A. LERL]
Fig
.. 8. Nodosités d'Heberdett. Saillies nodulaires t
ans la goutte chronique, les mains sont généralement très déformées
Fig
. 9. Rétraction de l'aponévrose palmaire A droit
a peau de la paume vers le poignet et formant des replis indurés.
Fig
. 10. Goutte., ' Déformation de la main, flexion d
toujours de l'éminence thénar donne à la main l'aspect [A. LÉRI.]
Fig
. Il. - Main succulente de la syringomyélie. Main
rveux, une névrite périphérique autre que la névrite . (A. LERl.l
Fig
. 12. Main de Morvan chez un sY1'lIlgo ? yéIÙ¡ue.
plus du domaine de la chirurgie que de la médecine.. [A. LÉRI.]
Fig
. 15. Hémiplégie et paraplégie céré- brales infa
d'une paralysie in- fantile.. Main-bote para- lytique, flasque.
Fig
. 15. ? Main de prédicateur (main gauche). Syrin
actérise généra- lement cette forme de main-bote paralytique. D -
Fig
. 16. Main eu pince de homard chez un syringomyé
cubitale s ? observe dans les lésions traumatiques du IA. LÉRI ]
Fig
. 17. - Grille de la main à la suite d'une lésion
devait être encore admise que sous certaines réserves. IA. LÉRI]
Fig
. 18. Mains d'A1'an-Dllchcllllc chez un sy1'illg
acté- ristique. P ! I.\TlQUE : OEt; ! lIH.. titi [A. LÉRI.] .
Fig
. 19. - Athétose double. - )luu\'cll1clIls spéci
noncés ; leurs causes sont les mêmes. On observe exceptionnellement
Fig
. 1. = Phocomélie. La cuisse gauche fait à peu p
ulation tibio-tarsienne est peu mobile et douloureuse. [A. LÉRI.]
Fig
. 2. - Osléo-a1'lhropalhie hycr- 11'ophianle ]Jn
de Chinoise » ) un épaississement du bord interne qui rA. LÉRI.]
Fig
. 5. -Rhumatismc goutteux. Orteils en marteau, lni
; leurs caractères aigu ou chronique, congénital ou acquis, dur ou
Fig
. 4. Pied tabétique : cubique, épais, plat et co
exagérés et l'on constate souvent du clonus du pied. ' [A. LÉRI.]
Fig
. 5. Pied-bot congénital avec malformation osseu
étiologiques qui produisent en général le syndrome de Little. ' ,
Fig
. 6 : - Pied-bot congénital spasmo- dique dans l
s deux autres par la rétraction du muscle pédieux. - [A. LÉRI.]
Fig
. 7. -. Pieds-bols tabétiques de Joffroy (collecti
rite, le pied est moins déformé; il est en équin direct, parfois eu
Fig
..8. Pieds de Friedreich. Pied-bot paralytique, hy
atiques par section ou compression du sciatique, dans {A. LÉ RI.]
Fig
. 9 et 10. Deux variétés fréquentes de déformation
une affection, presque spé- PItATIQUG NEUIIOl. 67 , , [A. LÉRL]
Fig
. 11. Talus pied-creux il la suit.( d'une ancien
l minimum-bimastoïdien = 100. - C'est le rapport du [F. MOUTIER.]
Fig
. 2. I.'ig'. ig. 5.. l'ig. 1 et 2. Points de r
de repère céphaliques (tracé imité de Duplay, Rochard et Uemoulin).
Fig
. 5. Points de repère dorsaux (tracé imité de Dupl
Jean-Pierre Mazas, géant de Montastruc (Brissaud et II. neige).
Fig
. 2. Gigantisme et acromegalic (Brissaud et Il.
st parfois précédée de crises convulsives mal définies à ce jour.
Fig
. 3. Une femme acromégalique typique (profil). D
x, durs et cassants. En Pit.%TIQUE ¡¡EUR01-, 09 . [F. MOUTIER.1
Fig
. 4. Infantilisme du type Lorain. Femme de 50 an
ns sont petites, charnues, carrées, Les doigts sont égaux, et quand
Fig
. 5. - Infantile myxoedémateux de 21 ans (d'aprè
es, aux [F. MOUTIER.] fig. 7. Achondroplasie (d'après Porak).
Fig
. 6. Achoildroplasie (d'après Pierre Marie). 1
ntelligents, mais ils ont l'air chétif, souf- freteux. Un grand
Fig
. 8. Achondroplasie (d'après Baldwyn). . 1-'iê
ur (radiographies prises sur le vivant, clichés du D teg'I'os1, .
Fig
. 1 et 2. Jambes : A) d'un nachitique, B) d'un Par
de vue de la disposition des travées osseuses, nos recherches per-
Fig
. 3. - - . A) Fémur ogléomalaciqllc. Aspect alvé
- Congrès de l'avancement des Sciences, l3eims, 1907. [A. zar.7
Fig
. 5. C) Tête de. fémur de maladie de Pagel. 1182
toutes les mesures désirables à la condition de le , - [E. HUET.]
Fig
. 2 ? llilliampi;rèmëtre. 11 9 ! k APPLICATIONS
ce de potentiel. La mesure de la résistance du corps, [F.. HUET.]
Fig
. 4, - Sdh : ma .k la dispositiOl ! à donner an vo
t plus faible. Avec le rhéostat en tension, pour certains modèles
Fig
. 6. Rhéostat de Bergonié. Fie-. 7. - Rhéostat d
t d'ajouter en tension entre la batterie et les dérivations. . ..
Fig
. 9. - Modèle courant de réducteur de potentiel.
t les applications que l'on' se propose de faire. Nous [E. HUET.]
Fig
. l 1 . - Électrodes en charbon rccomcrles de plus
mum de densité se trouve sur le plus court chemin qui les réunit.
Fig
. 12 (d'après Erb). Schémas de la distribution et
ofondeur du corps, par exemple la moelle épinière, il [E. HUET.-\
Fig
. 15 (d'après Erb). Schémas de la distribution et
(ou virtuelle); en -j- anode pri- maire ; en cathodes virtuelles.
Fig
. 17 (d'après Erb). Représentation schématique d
1 aborde dans les conditions de densité les plus favorables ; c'est
Fig
. 18. - Schéma de l'onde galvanique AF, période
rant se prolonge généralement jusqu'au moment de l'ouverture, et on
Fig
. 20.. Méthode polaire. Électrode neutre au-devant
us droits réservés. STRUCTURE DE L'ENCÉPHALE. - MICROPHOTOGRAPHIE
Fig
. i. planche a' Fi(i. S. Fi(/. 4. E. Gavoy
iie. Paris. — Glyptographie Silvestre et G'", 97, rue Ubeikanipl.
Fig
. i. — Substance grise corticale du cerveau. Fig.
97, rue Ubeikanipl. Fig. i. — Substance grise corticale du cerveau.
Fig
. 3. — Cellules géantes ou gigantesques isolées.
ale du cerveau. Fig. 3. — Cellules géantes ou gigantesques isolées.
Fig
. 2. — Substance grise corticale du cerveau. . Fig
ntesques isolées. Fig. 2. — Substance grise corticale du cerveau. .
Fig
. 4. — Formation du chiasma des fibres optiques.
ie. I)aiis. — Glyptographie Siia-estiib et C' 97, rue Oberliampf.
Fig
. 1. — Tubercule mamillaire. Fig. 2. — Mode d'émer
ia-estiib et C' 97, rue Oberliampf. Fig. 1. — Tubercule mamillaire.
Fig
. 2. — Mode d'émergence des fibres efférentes Fig.
ubercule mamillaire. Fig. 2. — Mode d'émergence des fibres efférentes
Fig
. 3. — Mode d'immersion des fibres afférentes du
ntes Fig. 3. — Mode d'immersion des fibres afférentes du tubercule.
Fig
. 4. — Substance grise corticale du cervelet. au
ule. Fig. 4. — Substance grise corticale du cervelet. au tubercule.
Fig
. 5. — Cellule de Purkinje. LIBRAIRIE J.-B. BAIL
llule de Purkinje. LIBRAIRIE J.-B. BAIL'-IÉRE ET FILS PLANCHE C
Fig
. i. E. Gavoy. — Micropholographie. Paris. — G
phie. Paris. — Giyplograpliie Silvestre et C', 97, rue Oberkampf.
Fig
. i — Substance grise centrale de la moelle épiniè
Oberkampf. Fig. i — Substance grise centrale de la moelle épinière.
Fig
. 2. Fig.3. — Cellules multipolaires isolées de
Fig. i — Substance grise centrale de la moelle épinière. Fig. 2.
Fig
.3. — Cellules multipolaires isolées de la substan
re. Fig. 2. Fig.3. — Cellules multipolaires isolées de la substance
Fig
. 4. grise de la corne antérieure. Corne antérie
ie. l'aiis. — Glyptograpliie Silvestre et G'", 97, rue Oherkampf.
Fig
. 1. — Répartition de la substance grise du névrax
e Oherkampf. Fig. 1. — Répartition de la substance grise du névraxe
Fig
. 2. dans le bulbe {Coupe cm niveau de la région
dans le bulbe {Coupe cm niveau de la région inférieure de l'olive].
Fig
. 3.— Répartition de la substance grise du névraxe
de l'olive]. Fig. 3.— Répartition de la substance grise du névraxe
Fig
. 4. dans le bulbe {Coupe au niveau de la région
sou métier de menuisier en bâtiment pour celui de doreur sur bois.
Fig
. 1. - Pseudo-hypertrophie dans la myopathie du ty
tre. Ces fils d'affronte- ment empêchent les déplacements latéraux (
Fig
. 2). La plaie est suturée au crin de Florence e
6 août, la cicatrisation du médius est complète : on enlève l'appa-
Fig
. 2. - Procédé de suture des nerfs. 76 NOUVELLE
iculation tibio-tarsienne gauche affecte la forme d'une baonnette..
Fig
. 3. Détails de l'appareil à suspension du profess
, les tubes nerveux sont détruits suivant un mode tout diffé- rent (
Fig
. 4). L'infiltration embryonnaire de la pie-mère a
nue dans la moelle aussi NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
Fig
.l. Figez. Henry Meige del. et lit] Tome VI.
. Henry Meige del. et lit] Tome VI. PI. XIII, XIV, XV. Fit, 3
Fig
. 5. Fi g. . Fig. 6. Lemercier Imp EXPLICA
et lit] Tome VI. PI. XIII, XIV, XV. Fit, 3 Fig. 5. Fi g. .
Fig
. 6. Lemercier Imp EXPLICATION DE LA PLANCHE X
Sur le tronc, l'abdomen, les fesses, les bras, les avant-bras, les
Fig
. 6. Nouvrcc IcoHOOrsnrHnr or. la SncpiranCars T
interne de l'aire de la cuisse. Toute la jambe et tout le pied sont
Fig
. J et 10. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME S
ct et à la douleur persiste, mais il y a de l'analgésie. Les sensa-
Fig
. 13 et Il. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME
xiste, dans la substance blanche de larges territoires de sclérose,
Fig
. 15. Coupe de la moelle dorsale, au niveau du foy
on des cordons antérieurs, seule a conservé sa configuration normale (
Fig
. 1S). Sur les coupes les plus inférieures de ce
calibre qui cheminent dans la pie-mère, sont plus altérées que les
Fig
. 16. - Coupe transversale de l'artère spinale ant
de vaisseaux des nouvelles formations creusés dans leur épaisseur (
Fig
. 17). Dans la moelle elle-même, les lésions son
intérieur des apparences très nettes de formations vacuo- vi. 42
Fig
. 17. Coupe d'une veinule de la pie-mère (région d
oyer gommeux, microscopique situé en plein faisceau latéral gauche (
Fig
. 18). Ce foyer, qui présente il l'oeil nu les d
en voit pas dans les racines normales, et beaucoup de gaines vides (
Fig
. 19). Vers la fin de la série, apparaît tout à
x. La pie-mère adjacente est très infiltrée par les mêmes éléments.
Fig
. 19. - Coupe transversale d'une racine antérieu
lui de l'oeil droit, tantôt celui de l'oeil gauche. (l'l. XXII-XXV,
Fig
. 1 et 2. Hormis les signes dont je viens dépari
bien visibles sur les photographies ci-jointes : Pl. XXII-XXV. -
Fig
. 3. Démence secondaire, suite d'un délire Cllro-
muscles frontaux, rudesse dans les traits du visage. PI. XXVI-XXIX.
Fig
. S. Ex-chef d'orchestre militaire. Para- lysie
la pupille gauche est plus dilatée que la droite. Pl. XXVI-XXIX.
Fig
. G. M. Genz.professenr, 38 ans, a fait abus de
du facial, contraction modérée des muscles frontaux. PL XXVI-XXIX.
Fig
. 8. 32 ans, idiot. Indifférent, ne s'occupe de
occupe ce que dé- montrent les figures 9 et 10, pl. XXX. Pl. XXX.
Fig
9. Jeune homme de 17 ans. Service pénible. Nuits
Mimique : Affaiblissement du muscle orbitaire inférieur. PI. XXX.
Fig
. 10. Garçon de 12 ans. Masturbation. Mimique :
n'y a pas démence. Voyez l'exemple suivant (Pl. XXXI). l'l. XXX.
Fig
. 13. M. Vr., 29 ans, conducteur de chemin de fer.
po1'is. zut. Bouthrays, Commentarii lzislo·ici, 1610, in-folio. -
Fig
. 20. - OE AR BOUDEDEO » le Juif-Errant breton.
uve Sara Mangin. Edité par Wilhelm Pater Zimmermann, graveur, 1618.
Fig
. 21. - Le Juif-Errant, d'après la plus ancienne g
e St-Jacques, Paris : Imprimerie de Chassilignon, rue Git-le-Coeur.
Fig
. 22. AHASVÉRUS, fac-simile d'une gravure allemand
pe des juifs allemands ou polonais. Le nez, la barbe et les cheveux
Fig
. 23. Le Juif -Errant (extrait d'une image populai
tin Zeiller. Let- tres et Écrits, Ulm, 1636, II, p. 701, ep. 587.
Fig
. 24. - Frontispice de la légende du Juif-Errant,
es communs, et avec quelle fidélité les artistes se sont attachés à
Fig
. 25. Le Juif-Errant, d'après une estampe de Desfe
te est limitée il la demi-circon- férence postérieure delà moelle. (
Fig
. 26). Les 3 méninges sont soudées entre elles e
a lumière est réduite il une fente. L'hématoxyline y colore vi 15
Fig
. 26. Méningite spinale limitée à la région postér
urs du microscope ici, pour constater l'importance des lésions : la
Fig
. 27. - Coupe transversale du nerf optique droit à
ons; a la vérité, la recherche des antécédents héréditaires n'a pas
Fig
. 28 et 29. 280 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
puis longtemps, surtout en arrière, dans la nuque et dans le cou.
Fig
. 30. - Gottlieb 11f. LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊT
ouleur, abolie au membre supérieur. Anesthésie en manche de veste. (
Fig
. 31, 32). Au toucher, abolie sur le bras gauche
roid et le chaud sentis comme un contact. (il suivre) Henry Meige
Fig
. 31 et 32. , NOTES ICONOGRAPHIQUES SUR L'HIST
il l'aide des méningophylax, insinués enlrel'os et la dure-mère,
Fig
. 33. Fig. 34. Fig. 35. NOTES ICONOGRAPHIQUE
des méningophylax, insinués enlrel'os et la dure-mère, Fig. 33.
Fig
. 34. Fig. 35. NOTES ICONOGRAPHIQUES SUR L'HIS
gophylax, insinués enlrel'os et la dure-mère, Fig. 33. Fig. 34.
Fig
. 35. NOTES ICONOGRAPHIQUES SUR L'HISTOIRE DE LA
s cercles toujours dans le même sens. Le premier mouve- Fin-. 26.
Fig
37. Fig. 38 296 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
toujours dans le même sens. Le premier mouve- Fin-. 26. Fig 37.
Fig
. 38 296 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
, soit avec un arbre excentrique comme celui des trépans actuels.
Fig
. 39. NOTES ICONOGRAPHIQUES SUR L'HISTOIRE DE LA
as de is ou bien, en perçant la couronne de trous placés à diverses
Fig
. 40. Fig. 41. Fig. 2. Fis. 43. 298 NOUVEL
bien, en perçant la couronne de trous placés à diverses Fig. 40.
Fig
. 41. Fig. 2. Fis. 43. 298 NOUVELLE ICONOGRA
erçant la couronne de trous placés à diverses Fig. 40. Fig. 41.
Fig
. 2. Fis. 43. 298 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
qu'on regardait comme d'une importance capitale. Il était même bon
Fig
. 44. Fig. 45. Nouv. Iconographie de la Salpêt
rdait comme d'une importance capitale. Il était même bon Fig. 44.
Fig
. 45. Nouv. Iconographie de la Salpêtrière. T
actuels. D'après le même auteur. L. Battaille et CI., Editeurs.
Fig
. 46. Les instruments de la trépanation en 11G, d'
Ie siècle. II. Les instruments de la trépanation au X VIIIE siècle.
Fig
. 46. - Deux siècles plus tard, on avait mis de
é temporal delà rétine droite donne une hémicon- tracture gauche.
Fig
. 47. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES RÉFLEXES INTR
e fil le premier M. llogyes les parties de la réline qui produisent
Fig
. 48. MORPHOLOGIE DES CONTRACTURES RÉFLEXES INTR
les stades cliniques de son développement. En décrivant séparément
Fig
. 49. OSTÉO-AHTliROPATllIE AIGUË CHEZ UNE ALIÉNÉ
nt concentrique à 10° des 2 côtés le 5 mars à 40°, le 7 mai à 70". (
Fig
. 11 et Fig. 12). Au commencement du mois de mai
ique à 10° des 2 côtés le 5 mars à 40°, le 7 mai à 70". (Fig. 11 et
Fig
. 12). Au commencement du mois de mai 1893, S. a
isaient sensiblement mieux. Les dou- (1) Voir numéros et 5, 1S93.
Fig
. 50. 331 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
nrent à manquer totalement. Il retourna à Hambourg dans sa famille.
Fig
. 51. LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE 835 Pend
montré un rétrécissement concen- trique il 30 degrés des 2 côtés. (
Fig
. 13). Pour l'oeil gauche, dischromatopsie pour
gauche, dischromatopsie pour le violet et le bleu. Micromégalopsie.
Fig
. 52. LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE 337 L'ou
Loki, chef des Ases, qui commit le premier crime, lW1'1ns- lang.
Fig
. 53. Le Juif-Errant, d'après une gravure de la fa
nos jours, l'imagination des artistes les a entraînés dans des fan-
Fig
. 54. - Le vrai portrait du Juif-Errant, tel qu'on
La douleur (1) F. Levillain, La neurasthénie, A. lllaloine, 1891.
Fig
. 55. - Le Juif-Errant, d'après une image populair
t neurasthéniques tentés d'exploiter la neurasthénie à leur profit.
Fig
. 56. - Le Juif-Errant, d'après une gravure d'Epin
règlement desdits pauvres... » (Brevet du 44°jour d'octobre 1612).
Fig
. 57. Allusion aux succès remportés par les França
tes de résumés des faits intéressants sur- venus pendant l'année,
Fig
. 58. - Caricature de Renaudot en crieur des « feu
le cochon, sont comblés com-me les espaces, par la gaîne conjonctive (
Fig
. 1). Fig. 1. — Espace inter-lobulaire (Dessin d
sont comblés com-me les espaces, par la gaîne conjonctive (Fig. 1).
Fig
. 1. — Espace inter-lobulaire (Dessin d'après natu
nt d'arriver à la réalité. On suppose quatre colonnes cylindriques (
Fig
. 2), plantées perpendiculairement aux quatre coin
de contact des colonnettes, se déprimera et présentera une gouttière
Fig
. 2. — Schéma"d'à- pour les recevoir. — Si, dans c
chez l'homme, une seule cellule, en général, sépare les capillaires.
Fig
. 3. — Schéma d'après Hering. En possession de c
aires. Fig. 3. — Schéma d'après Hering. En possession de ce schéma (
Fig
. 3), il nous sera facile de comprendre la disposi
ères, dont les angles sont excavés de manière à recevoir un vaisseau (
Fig
. 4). Le calibre du vaisseau doit être circonscrit
semble des contours comme un réseau dont chaque maille a six côtés (
Fig
. 5). Quand la coupe est un peu épaisse, on voit p
ng. (Schultze's Archiv). (2) Voy. la fig. 3 du Mémoire de Hering.
Fig
. 5. — (D'après Kolliker), A, A, Cellules hépatiqu
une véritable importance au point de vue de l'anatomie pathologique (
Fig
. 6) Ajoutons enfin que les gaînes lymphatiques et
une dispositionbienconnue pour les cellules adipeuses sous-cutanées (
Fig
. 7). Cette même Fin. 7.— Granulations graisseus
est indis-pensable, néanmoins, de déclarer que la démonstration par
Fig
. 8. — Réseau des canalicules biliaires inter-lobu
de rec-tifier avec un peu d'attention. (Voir „. Q Tv , „ . . , r \
Fig
. y. — D après Hering. A. A, Hering, Schultze's
mblé de cellules épithéliales cubiques. Par conséquent, il y a lieu
Fig
. 10. — Vaisseaux biliaires dans Vatrophie jaune a
dispa- dans la forme de cirrhose à laquelle je fais allusion (1). (
Fig
. 10, 11 et 12). J'avoue,Messieurs, que ce refou
posi-tion décrite par Legros était bien établie, il serait beaucoup
Fig
. il. — Canaux biliaires dessinés en a dans la fig
lle qui vient d'être relevée au sujet de la cirrhose, a été mise en
Fig
. 12 — Réseau des canalicules biliaires situés dan
a ; — «, d, cellules de tissu conjonctif, grossissement de 300 diam. —
Fig
. empruntée au Manuel d'anatomie pathologique de C
tres que les moules in-ternes des canalicules biliaires capillaires. [
Fig
. 14.) (1) Hering, dans Stricker's Handbuch, p.
es traits essen-tiels au moins, de ce qu'ils sont chez les animaux.
Fig
. 14. — D'après Thierfekler. Pré-paration microsco
udi-mentaire dans le lobule. Des procédés spéciaux et délicats sont
Fig
. 15. — D'après Henle. A, Stroma conjonctif. B, Ce
gra-nulations miliaires se voient principalement dans les espaces.
Fig
. 16. — Granulations tuberculeuses du foie: H.H, V
of the Liver. London 1872, p. 20. (4) Diseases of Liver, p. 231.
Fig
, 17. — Tyrosine. Fig. 18. — Leucine. l'urine re
1872, p. 20. (4) Diseases of Liver, p. 231. Fig, 17. — Tyrosine.
Fig
. 18. — Leucine. l'urine recueillie durant la vi
ême dans les fig. 19. garde-robes, les fragments de structure radiée (
Fig
. 19), des segments, à l'aide desquels il est faci
ticale du rein. A un moment donné, les tubuli contorti éprouvent un
Fig
. 20. — Schéma des canali-culesurinifères(d'aprèsS
der Nieren Schultze's Archiv fiirmihr. Anat., 10e Bd. 1874. S. I).
Fig
. 21. —Tubecon tourné avec, l'épithé-lium à bâtonn
ubecon tourné avec, l'épithé-lium à bâtonnets (d'à près Heidenhain.
Fig
22. — Anse de Henle (d'après Hen-le). contourné
és. Let rayons pâles se continuent dans la substance corticale sous
Fig
. 23. — Coupe horizontale du rein d'un chien dans
te région, et en partie par un certain nombre de branches des anses
Fig
. 2o. — Coupe transversale du rein au niveau de
tre les ramifications artérielles et les prolongements médullaires.
Fig
. 27. — Schéma de la struc-ture du rein(d'aprés Hi
mé-diatement sous la capsule du rein ne mettent à découvert que des
Fig
. 28. —Schéma" de la structure du rein (Rindfleisc
et l'épithélium est là directement appliqué sur le tissu conjonctif {
Fig
. 25 et 26). DEUXIÈME LEÇON Anatomie normale d
erer Berücksichtigung ihrer diagnostischen Bedeutung. Berlin, 1874.
Fig
. 29. — Coupe à travers un rein atteint de la mala
nés dans certaines conditions : ainsi, dans la néphrite parenchyma-
Fig
. 30. — Section du rein dans un cas de néphrite in
sont souvent comme entaillés. Ils résistent plus que les Cylindres
Fig
.32. — Cylindres pleins albumi- M.p m no-graisse
ts concluent à. la multiplicité des formes do la maladie de Bright.
Fig
. 33. — Coupe faite sur un rein contracté, perpend
affaissées. La partie centrale du lobule, au contraire, est restée
Fig
. 34. — Tubes uri-nifères atrophiés et contenant d
ême a subi diverses altérations dont il sera question par la suite.
Fig
. 35. — Coupe d'un rein affecté de néphrite parenc
n atteint de néphrite interstitielle, car celles-ci n'existent qu'à
Fig
. 37. — Coupe d'un rein affecté de néphrite parenc
gnaler, au préalable, une disposition du système vasculaire du rein
Fig
, 38. — Disposition schématique de Vappareil sécré
un changement dans la direction des rangées de cellules hépatiques.
Fig
. 2. — Foie du cochon d'Inde, onze jours après la
us rouges. — Les conduits biliaires sont de beaucoup plus nombreux.
Fig
3. — Foie du cochon dinde, onze jours après la li
hépatiques. — A ce niveau, la gangue conjonctive est em-bryonnaire.
Fig
. 4. — Coups montrant les modifications qui survie
s sur le fore. Combault del Karmatiski Chrîmolith PLANCHE II.
Fig
. 1. — Cirrhose vulgaire (Annulaire), — Figure sch
C, Travée de troisième ordre. D,D, Veines centrales des lobules.
Fig
. 2. Cirrhose biliaire. (Cirrhose en îlots), Figur
issures. D, Lobule entouré de toutes parts par le tissu scléreux.
Fig
.3. — Cirrhose biliaire expérimentale (par ligatur
et fortement échan-cré de distance en dislance comme en C, et en D.
Fig
. 4. — Cirrhose biliaire. — Obstruction du canal c
t ne tenant plus, au reste du tissu hépatique que par un seul côté.
Fig
. 5. — Cirrhose biliaire spontanée. — Cirrhose hyp
ult del G. Masson éditeur F. Renaudot Chromolith PLANCHE 111.
Fig
. 6. — Cirrhose annulaire. — (Cirrhose granuleuse.
. C, Travée de second ordre. D, Lobule en voie de dissociation.
Fig
. 7. — Cirrhose veineuse. — (Cirrhose à grosses gr
dre. B,B, Travées de premier ordre. C,C, Travées de deuxième ordre.
Fig
. 8. — Cirrhose biliaire. — (Cirrhose hypertrophiq
e foie. PL. V. PLANCHE VI. Gros rein blanc. — Eein contracté.
Fig
. 1. — Aspect extérieur du rein d'après la planche
ontracté. Fig. 1. — Aspect extérieur du rein d'après la planche iv,
Fig
. 1, des Reports of médical Cases, etc. de R. Brig
s of médical Cases, etc. de R. Bright. Le rein était presque blanc.
Fig
. 2. — Aspect extérieur du rein contracté. — Dimen
une couleur brillante. R. Bright. — Reports of medical Cases, Pl. IV,
Fig
. 2). CHARCOT_OEuvres completes _Leçons sur le r
n, les modifications de leur nutrition permettent de comprendre que
Fig
. 1' Fig. 1 128 BARRAQUER. - syNipro.)IATOLOGI
ifications de leur nutrition permettent de comprendre que Fig. 1'
Fig
. 1 128 BARRAQUER. - syNipro.)IATOLOGIE DU SYSTÈ
nt à la ligure 34; il prend tous les jours un gramme de morphine.
Fig
. 2' Fig. 2 130 BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU
gure 34; il prend tous les jours un gramme de morphine. Fig. 2'
Fig
. 2 130 BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NE
ladie 'progresse, elle envahit en profondeur les tissus. Fiv. 3
Fig
. 4 Fig. 4' 132 RU1RAQUER. S1111PTG\IATOLOGIE
ogresse, elle envahit en profondeur les tissus. Fiv. 3 Fig. 4
Fig
. 4' 132 RU1RAQUER. S1111PTG\IATOLOGIE nu SYSTEM
10 et 11. Il existe alors ce symptôme inflammatoire vulgaire de la
Fig
. 6 ig. 7 Fig. i 134 BARRAQUER. SS'lIiPTOniA
ste alors ce symptôme inflammatoire vulgaire de la Fig. 6 ig. 7
Fig
. i 134 BARRAQUER. SS'lIiPTOniATOLOG1E DU SYSTEM
démontrent les figures 2, 3 et 4. En outre, dans la lèpre, l'anes-
Fig
. 8 Fig 9 Fig. 10 Fig. 11 136 BARRAQUER. S
nt les figures 2, 3 et 4. En outre, dans la lèpre, l'anes- Fig. 8
Fig
9 Fig. 10 Fig. 11 136 BARRAQUER. SYMPTOMATO
igures 2, 3 et 4. En outre, dans la lèpre, l'anes- Fig. 8 Fig 9
Fig
. 10 Fig. 11 136 BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU
3 et 4. En outre, dans la lèpre, l'anes- Fig. 8 Fig 9 Fig. 10
Fig
. 11 136 BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTEME N
parler de l'étal de la sensibilité des tissus profonds chez les lé-
Fig
. 12 Fla. in Fig. 14 138 BAHHAQUER. SS'vIP'l
la sensibilité des tissus profonds chez les lé- Fig. 12 Fla. in
Fig
. 14 138 BAHHAQUER. SS'vIP'l'OW1't'OLOGIL : DU S
rocédant avec celte lenteur et celte régularité, la sensibilité est
Fig
. 15 Fig. 17 Fig 16 Fig. 18 140 BARRAQUER.
vec celte lenteur et celte régularité, la sensibilité est Fig. 15
Fig
. 17 Fig 16 Fig. 18 140 BARRAQUER. - SYMPTOM
lenteur et celte régularité, la sensibilité est Fig. 15 Fig. 17
Fig
16 Fig. 18 140 BARRAQUER. - SYMPTOMATOLOGIE D
t celte régularité, la sensibilité est Fig. 15 Fig. 17 Fig 16
Fig
. 18 140 BARRAQUER. - SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME
de lépreux, nous avons la pleine certitude qu'il existe une hypoes-
Fig
. 19 Fig. 20 Fig. 21 Fig. 22 XXVII 10
, nous avons la pleine certitude qu'il existe une hypoes- Fig. 19
Fig
. 20 Fig. 21 Fig. 22 XXVII 10 142 BARHAQ
ns la pleine certitude qu'il existe une hypoes- Fig. 19 Fig. 20
Fig
. 21 Fig. 22 XXVII 10 142 BARHAQUER. - SYM
ne certitude qu'il existe une hypoes- Fig. 19 Fig. 20 Fig. 21
Fig
. 22 XXVII 10 142 BARHAQUER. - SYMPTOMATOLOG
s peuvent se résorber, faisant cesser alors par leur résolution les
Fig
. 23 Fig. 26 Fig. 25 11 Fig. 24. 144 13A
se résorber, faisant cesser alors par leur résolution les Fig. 23
Fig
. 26 Fig. 25 11 Fig. 24. 144 13A[tRAQUER.
r, faisant cesser alors par leur résolution les Fig. 23 Fig. 26
Fig
. 25 11 Fig. 24. 144 13A[tRAQUER. SYMPTOMATO
er alors par leur résolution les Fig. 23 Fig. 26 Fig. 25 11
Fig
. 24. 144 13A[tRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTEM
uand il ferme les yeux étant debout ou étant en marche. Reg. 27
Fig
28 Fig. 30 Fig. 29 Fig. 32 14G BARRAQUER.
erme les yeux étant debout ou étant en marche. Reg. 27 Fig 28
Fig
. 30 Fig. 29 Fig. 32 14G BARRAQUER. SYMPTOMA
eux étant debout ou étant en marche. Reg. 27 Fig 28 Fig. 30
Fig
. 29 Fig. 32 14G BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU
t debout ou étant en marche. Reg. 27 Fig 28 Fig. 30 Fig. 29
Fig
. 32 14G BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME N
Tous nous voyons des tabétiques qui présentent le signe de Romherg
Fig
. 31 Fig. 33 Fig. 34 Fig. 37 Fig. 33 148
voyons des tabétiques qui présentent le signe de Romherg Fig. 31
Fig
. 33 Fig. 34 Fig. 37 Fig. 33 148 BARRAQUER
s tabétiques qui présentent le signe de Romherg Fig. 31 Fig. 33
Fig
. 34 Fig. 37 Fig. 33 148 BARRAQUER. - SYMPTO
es qui présentent le signe de Romherg Fig. 31 Fig. 33 Fig. 34
Fig
. 37 Fig. 33 148 BARRAQUER. - SYMPTOMATOLOGIE
sentent le signe de Romherg Fig. 31 Fig. 33 Fig. 34 Fig. 37
Fig
. 33 148 BARRAQUER. - SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTEME
tômes labyrinlliiclues dus soit à la compression générale intracra-
Fig
. 38 1 Fig. 39 Fig. 36 Fig. 40 Fig. 41
liiclues dus soit à la compression générale intracra- Fig. 38 1
Fig
. 39 Fig. 36 Fig. 40 Fig. 41 Fig. 42 150
us soit à la compression générale intracra- Fig. 38 1 Fig. 39
Fig
. 36 Fig. 40 Fig. 41 Fig. 42 150 BARRAQUER
la compression générale intracra- Fig. 38 1 Fig. 39 Fig. 36
Fig
. 40 Fig. 41 Fig. 42 150 BARRAQUER. SYMPI OM
sion générale intracra- Fig. 38 1 Fig. 39 Fig. 36 Fig. 40
Fig
. 41 Fig. 42 150 BARRAQUER. SYMPI OMATOLOGIE D
ale intracra- Fig. 38 1 Fig. 39 Fig. 36 Fig. 40 Fig. 41
Fig
. 42 150 BARRAQUER. SYMPI OMATOLOGIE DU SYSTÈME
l'éducation et la culture, les équiiibristes peuvent quand ils sont
Fig
. 43 Fig. 44 f'.7 iô Fig. 46. 152 BARRAQUE
n et la culture, les équiiibristes peuvent quand ils sont Fig. 43
Fig
. 44 f'.7 iô Fig. 46. 152 BARRAQUER. SYM PT0
équiiibristes peuvent quand ils sont Fig. 43 Fig. 44 f'.7 iô
Fig
. 46. 152 BARRAQUER. SYM PT0MAT0LOGIK DU SYSTÈME
ans la figure 2) il laisse voir la paralysie des deux faciaux supé-
Fig
47 Fig 48 Fig. 49. 154 UARRAQUER. SY1111'TO
gure 2) il laisse voir la paralysie des deux faciaux supé- Fig 47
Fig
48 Fig. 49. 154 UARRAQUER. SY1111'TOJIA'l'OLO
l laisse voir la paralysie des deux faciaux supé- Fig 47 Fig 48
Fig
. 49. 154 UARRAQUER. SY1111'TOJIA'l'OLOGIIs DU S
erf lui-même, au-dessus de la lésion, provoque aussi des spasmes.
Fig
. 50 . Fig. 51 51 ' Fie. 52 156 BARRAQUER. S
, au-dessus de la lésion, provoque aussi des spasmes. Fig. 50 .
Fig
. 51 51 ' Fie. 52 156 BARRAQUER. SYMPTOMATOLOG
mange, les signes propres de la parésie de l'orbiculaire labial.
Fig
. 53 Fig. 55 Fig. 54 Fig 56 Il 11 158 BA
les signes propres de la parésie de l'orbiculaire labial. Fig. 53
Fig
. 55 Fig. 54 Fig 56 Il 11 158 BARRAQUEU. S
propres de la parésie de l'orbiculaire labial. Fig. 53 Fig. 55
Fig
. 54 Fig 56 Il 11 158 BARRAQUEU. SYMPTOMATOL
e la parésie de l'orbiculaire labial. Fig. 53 Fig. 55 Fig. 54
Fig
56 Il 11 158 BARRAQUEU. SYMPTOMATOLOGIE DU SY
se propage de ces parties au centre. Dans la syringomyélie, l'asy-
Fig
.. 57 Fig. 58 16D B.11BAQUEIr. SY\1P1'OV7.1TLU
de ces parties au centre. Dans la syringomyélie, l'asy- Fig.. 57
Fig
. 58 16D B.11BAQUEIr. SY\1P1'OV7.1TLUGW UU SYSTÈ
s produisent de la douleur dans toute l'étendue jusqu'aux doigts.
Fig
. 60 a Fig. 61 162 BARRAQUER Ces contractu
e la douleur dans toute l'étendue jusqu'aux doigts. Fig. 60 a
Fig
. 61 162 BARRAQUER Ces contractures sont d'ori
Nous devrons donc nous con- tenter de reproduire ici le pédoncule (
Fig
. 1) de ce cas. On voit très dis- tinctement que
essins et de planches photographiques. Observation I (Schéma n° I ;
Fig
. 2, 3 et 4). . Ramollissement ancien de la face
. - Les trois coupes microscopiques consacrées à l'étude de ce cas (
Fig
. z, 3 et 4) intéressent à peu près les mêmes ci
me et la circonvolution de l'hippocampe. La première de ces coupes (
Fig
. 2) est prise au niveau de l'extrémité antérieu
eut-être aussi à l'extrémité du noyau rouge. Sur la coupe suivante (
Fig
. 3), laquelle passe par la partie moyenne du noya
utres détails n'ont guère changé. La dernière coupa de cette série (
Fig
. 4), prise au niveau du pôle antérieur Fic. 4.
noyau rouge est parfaitement saine. Observation VI (Schéma no VI ;
Fig
. 5 et 6). Ramollissement très vaste et très anc
usiforme et la circonvolution de l'hippocampe. La première coupe (
Fig
. S) passe par le corps genouillé externe et par l
ones marginales grises dorsale et dorso-médiane. La deuxième coupe (
Fig
. 6) traverse le tiers moyen du noyau rouge. Dans
nuellement, ne nous permet de rien préjuger de l'état des poumons (
Fig
. 1). Mars. L'état général de l'enfant s'aggrave
âteux, nous nous bornerons à signaler la marche de la température. (
Fig
. 1.) IV. A l'autopsie, nous avons constaté la p
coquet. A l'entrée, il ne pouvait tracer que des bâtons, (PL. VII,
Fig
. 1); maintenant, il commence à écrire (Po. vil,
1890. Janvier. - Traitement : élixir P013-I)rOlllUré. (V. PL.mr,
Fig
. 3). . 15 Juillet.- Puberté. Visage et menton g
ommence la multiplication. En somme, légère amélioration.. (PL. vu,
Fig
. 4). 1891. Janvier. - Le Tal... a continué les
uelque temps, il y a un arrêt dans son tra- vail à l'école (PL. vu,
Fig
. 5). 22 mat. Le T... a été pris d'accès ce mati
ents osseux lamellaires des bords de la brèche en sont une preuve. (
Fig
. 2). La base dit crâne est légèrement asymétriq
ait pu nous mettre sur la voie. Bourneville, Bicêtre, 1892. 10
Fig
. 3. - Rougeole. nE, éruption. H6' Sclérose ATRO
large de 2 centimètres 1/2. Parallèle à la coronale, elle en est
Fig
. 4. 160 Tuberculose pulmonaire. éloignée d'un
l de réparation osseuse. La plus antérieure l'e.,t beaucoup moins. (
Fig
. 4). Hémisphère cérébral gauche. Il est de cons
me et comme forme, ces doigts rappellent le médius et l'annulaire. (
Fig
. 5). Par suite d'un acci- dent, le pouce est lu
mé, elle a toujours eu une excellente santé, mais elle travaille
Fig
. 5. 236 Antécédents personnels. beaucoup et e
on est faible. La température s'abaisse maintenant progressivement (
Fig
. 6). Dans le creux poplité du côté gauche, sur
à aussi, le décollement de la peau est considérable. TEMPÉRATURE.
Fig
. 6. 244 ECARTEMENT DES OS DU CRANE. 27 novemb
si en bas des impressions digitales qui les rendent translucides (
Fig
. 7). La base est sensiblement symétrique. Le pl
térieur répond à l'insertion de la tige pituitaire. Le kyste ante''
Fig
. 7. z 246 Tumeur DU CERVELET ; hydrocéphalie.
mamelonné, de volume à peu près égal à celui du kyste du cerveau (
Fig
. 8). La décortication du cerveau se fait assez
pratiquée iL 2 centimètres environ du bord interne de l'hémisphère (
Fig
. 8), on constate de nombreux kystes cloisonnés
cette masse présente sur la coupe des sections vasculaires assez
Fig
. 8. 1\, h, kystes. - I Setis infiltration sanguin
série de foyers hémorrhagiques se présentant sous forme circulaire (
Fig
. 10). Ces caillots hémorrhagiques, durs et d'un
ation plus blanche et n'étant le siège d'aucune infiltration san-
Fig
. 0. - K, k, kystes. - is, Infiltration sanguine.
Le fragment de cervelet qui nous a été remis présente à l'oeil nu (
Fig
. 8) une poche kystique tapissée par une membran
des autres par une quantité considérable de lacunes aplaties, en
Fig
. 10. - C, C, coupe. - c, c, c, coupe des caillots
8 avril 1890, nous constations un écartement considé- rable des os (
Fig
. 12). Or, chez Marie Bais., nous avons observé
vé exactement les mêmes lésions mécaniques du côté des os du crâne (
Fig
7). Dans le cas de Marie Bais ? comme dans celu
ique aux poignets et des migraines BOUR1EVILLE, Bicêtre, 1892. 17
Fig
. 11. - Ros... en robe de gâteux (avril 1887). 2
dont un mort à treize ans de « congestion cérébrale, accompagnée
Fig
. 12. - Ros... devenu propre et mis en pantalon.
. 7 7 enfants : 6 sont vivants à l'heure actuelle : -10 une fille
Fig
. 13. 260 Antécédents héréditaires. (vingt-sep
t persuadée que l'enfant a été conçu pendant l'ivresse. La gros-
Fig
. 15. 2 ci 2 Antécédents personnels. sessse
e- ment eut lieu prématurément, à 7 mois. Il fut long, difficile,
Fig
. 16. ANTÉCÉDENTS PERSONNELS. 263 sans néces
ne à la partie postérieure. L'ourlet n'est pas très bien conformé
Fig
. 20. Description du malade. 267 surtout à d
sente quelques poils clairsemés et bruns. La verge a une longueur
Fig
. 21. 268 Description nu malade. de 8 centimèt
on- 'tinuel froncement de sourcils avec des grimaces de la bouche
Fig
. 22. Description des tics. 569 dont il abai
séole. Une enquête à son égard ne donne lieu à aucun résultat. Le
Fig
. 24. COLERE; ONANISME. 211 développement de
cyniquement. Il ne parle pas et semble n'avoir fait aucun progrès (
Fig
. 12). 1892. Avril. - Outre ce que nous avons ob
ande rapidité et cela parfois deux BOURNEVILLE, Bicêtre, 1892. 18
Fig
. 27. 274 DESCRIPTION DES TICS. minutes en f
ar- nie de poils noirs comme le périnée. La verge est assez volu-
Fig
. 29. 2711 Description" des tics. mineuse (lon
e, crâniectomisée par M. le Dr Petel(de Rouen) dont voici le crâne (
Fig
. 1). Pour les onze autres, nous nous bornerons
ce d'aucun tubercule sur la pie-mère. Celle-ci n'est pas modifiée
Fig
. 30. . TUI3GIiCULIS1'I'10\ PULMONAIRE. 303 et
ternel, excès de boisson. Grand' Bourneville, Bicêtre, 1892. 20 l
Fig
. 31. . . 'À : 7. \ 306 Sutures du crâne dan
mètres d'avant en arrière, et de 4 centimètres transversale- ment (
Fig
. 32). En arrière de cette membrane, il existe une
s et au point ou siege la suture métopique qui ma a laisse aucune
Fig
. 32. Sutures DU crâne dans l'idiotie. 309 tra
es parié- taux en arrière de la suture coronale, près de la ligne
Fig
. 33. 310 Sutures DU crâne dans l'idiotie. méd
la région- postérieure des pariétaux, surtout au niveau du lambda (
Fig
. 33). OI3S. V. - IDIOTIE SYMPTOMATIQUE DE sclér
vail synostosique, pas plus sur la table interne que sur la table
Fig
. 4. 312 Sutures du crâne dans l'idiotie. exte
fermées. (Voir l'obs. complète p. 89 et Planches VIII, IX, X, XI (
Fig
. 35). SUTURES DU crâne dans l'idiotie.. 313 O
et profondes de 5 millimètres environ, puis, changeant de carac-
Fig
. 3H. Sutures du crâne dans l'idiotie. 317 ri
sont assez durs et ont une épaisseur variant de 3 à 6 millimètres (
Fig
. 37). OBS. XI. - IDIOTIE S1'\IYTOdf : 1'fIQUE D
ication DES planches. Planche VII. (OBs. de Le T..., p. 38-55).
Fig
. 1. - Bâtons tracés par l'enfant à l'entrée (sept
Fig. 1. - Bâtons tracés par l'enfant à l'entrée (septembre 1882).
Fig
. 2. Son écriture à la fin de 1887. Fig. 3. - Re
entrée (septembre 1882). Fig. 2. Son écriture à la fin de 1887.
Fig
. 3. - Reproduit plusieurs additions et un spécime
t plusieurs additions et un spécimen de l'enfant en janvier 1890.
Fig
. 4. - Addition, soustraction et multiplication, s
plication, spé- cimen de l'écriture de l'enfant en décembre 1890.
Fig
. 5. Mêmes exercices en mai 1892. L'intelligence a
our osseux où la transformation en os la rend un peu plus épaisse. (
Fig
. 1.) La perte de substance osseuse a une forme
nne encore vers les vallées de Sylvius, etla convexité du cerveau. {
Fig
. 2.) Sur la face convexe des hémisphères, en ef
rédominent les lésions de ménin gite et même sur sa face interne.
Fig
. 2. - Base du cerveau de Dan ? (Réduction en larg
mutisme. Il était inca- pable de prccéder à aucun soin de toilette (
Fig
. g). igo3. - La compréhension semble se dévelop
Les progrès sont satisfaisants à la gymnastique ainsi qu'à l'école (
Fig
, 10). igo5. L'amélioration devient notable; l'e
7/). Décembre. - Il n'est plus' timide, devient espiègle, raconte
Fig
. Il. - .lui., il ; ans (1905.) et observe tout
lentement de la cuiller. Il ne pouvait manger que des bouil- lies (
Fig
. 12). TRAITEMENT MÉDICO-PÉDAGOGIQUE DES IDIOT
S IDIOTIES. 249 1888. L'enfant n'a subi presque aucun changement (
Fig
. 13).. - 1889. La parole semble vouloir venir,
t y arrive. Ses jambes se sont fortifiées et aujourd'hui il marche (
Fig
. 14). , TRAITEMENT MÉDICO-PÉDAGOGIQUE DES IDI
ers et se nettoie seul. Les progrès scolaires sont sta- tionnaires (
Fig
, 15). ° 1893. Les progrès sont satisfaisants. I
es surfaces,et fait très bien tous les mouvements à la gymnastique (
Fig
, 6 et 1 ) 1896. - Commence à syllaber, à mieux
e à syllaber, à mieux écrire, est envoyé à la grande gymnastique.
Fig
. 1.1. Maz. à 13 ans (1S9J;. 1897. Le caractère
nue, du raisonnement et de l'intelligence. 1899. Etat stationnaire (
Fig
. rg et 20). 254 THERAPEUTIQUE PEDAGOGIQUE.
a conduite est bonne, et il se plaît à rendre service aux employés (
Fig
. 20 et 21). igo5. - La vue- reste toujours asse
d'idiotie complète, est en- tré le 27 juin 1892, âgé de 2 ans 112 (
Fig
. 22).A son arrivée, il gâtait nuit et. jour; la
tte année (1901), ce que nous n'avions pu obtenir jusqu'à présent. (
Fig
. a.5 el 24)- Il est vrai que, grâce au traiteme
ste encore. ' 1905. - Les progrès bunt très Unis, mais continus. (
Fig
. 26). 1905, décembre. - Cet enfant a progressé
ion; il fait les quatre opérations, mais ne saurait les appliquer. (
Fig
. 3o.) 1898. - Les progrès continuent; ils sont
proches, il est pris d'une envie de rire qu'il a peine à contenir. (
Fig
. 3 1 et 32). igoo. - 11 reprend goût à la class
à l'atelier du tailleur. 1901 et in02. z Les progrès s'accentuent. (
Fig
. 33 et 3 A 1903. Cet élève continue à bien trav
ons pouvoir le présenter l'année prochaine au certificat d'études. (
Fig
. 35, 36 et 3). 194 Il a. passé avec succès l'ex
et infirmières de Bicêtre, FiG. 35. Rob ? à 16 ans 1/2 (1903).
Fig
. Rob ? à 16 ans 1/2 (1903). Fic. 37. - Rob ? à
us les symptômes qui caractérisent l'idiodie 11Z )'xoedématell se. (
Fig
. 41,'¡'2 et 43.) Elle a été mise en traitemen
TIES. 393 de propreté, ne savait ni s'habiller, ni se déshabiller. (
Fig
. 4+,45 et 46.) Fig. 40. - Lar ? à;8 ans (1901
, ne savait ni s'habiller, ni se déshabiller. (Fig. 4+,45 et 46.)
Fig
. 40. - Lar ? à;8 ans (1901). TRAITEMENT MÉDIC
395 Au point de vue intellectuel, l'enfant n'était pas plus avan-
Fig
.47.-L ? à 13 ails (1905). cée, cela va sans dir
ces et tous les nouveaux mouvements avec une très grande facilité. (
Fig
? 1 j, 48 et 49.) LXII. KRAm ? (Aline), 8 ans,
me la gymnastique et a fait beaucoup de progrès pour cet exercice. (
Fig
. 5o.) Aline se tient proprement et procède elle
. Selon notre habitude nous avons pris des spécimens de l'écriture (
Fig
. 50, Fig. 5/ . Chorée. (1) C'est grâce Il 1.
re habitude nous avons pris des spécimens de l'écriture (Fig. 50,
Fig
. 5/ . Chorée. (1) C'est grâce Il 1. le D' Clin
ysiologiques el. thérapeutiques. 416 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE.
Fig
. 52. Chorée; amélioration. . Fig. 53. - Chorée
416 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. Fig. 52. Chorée; amélioration. .
Fig
. 53. - Chorée ; guérison. 51, 52 et 53), (date,
? à 11 ; ni 1,9 HÊRT V Fit, 2. - \ ? il le¡ i 11 , 1 12 (18 q.)
Fig
. 3. - V ? il 13 ans 1/2 (1889). Fig. ? - w ? à
il le¡ i 11 , 1 12 (18 q.) Fig. 3. - V ? il 13 ans 1/2 (1889).
Fig
. ? - w ? à 19 ans 1/2 (1895.) Fig. 5. - W ? i
. - V ? il 13 ans 1/2 (1889). Fig. ? - w ? à 19 ans 1/2 (1895.)
Fig
. 5. - W ? il 19 ans 1/2 (1895.' Fig. 6. \V ? à
- w ? à 19 ans 1/2 (1895.) Fig. 5. - W ? il 19 ans 1/2 (1895.'
Fig
. 6. \V ? à 21 ans (1897.) 1 Fig. 7. V ? à 24
5. - W ? il 19 ans 1/2 (1895.' Fig. 6. \V ? à 21 ans (1897.) 1
Fig
. 7. V ? à 24 ans (1900). Fig. 8. W, .. à 25 ans
Fig. 6. \V ? à 21 ans (1897.) 1 Fig. 7. V ? à 24 ans (1900).
Fig
. 8. W, .. à 25 ans (1901). Fig. 9 ? ZV ? à 26 a
1 Fig. 7. V ? à 24 ans (1900). Fig. 8. W, .. à 25 ans (1901).
Fig
. 9 ? ZV ? à 26 ans (1902). Fig, - jo. Y ? à 2
Fig. 8. W, .. à 25 ans (1901). Fig. 9 ? ZV ? à 26 ans (1902).
Fig
, - jo. Y ? à 27 ans (1903). Fig. 11.- W.. à 29
Fig. 9 ? ZV ? à 26 ans (1902). Fig, - jo. Y ? à 27 ans (1903).
Fig
. 11.- W.. à 29 ans (1905). Fig. s. W.. 130 ans
Fig, - jo. Y ? à 27 ans (1903). Fig. 11.- W.. à 29 ans (1905).
Fig
. s. W.. 130 ans (1906). 1 Fig. r 3. -. W ? à
Fig. 11.- W.. à 29 ans (1905). Fig. s. W.. 130 ans (1906). 1
Fig
. r 3. -. W ? à 30' ans (190G). Fig. 14 - W ? a
ig. s. W.. 130 ans (1906). 1 Fig. r 3. -. W ? à 30' ans (190G).
Fig
. 14 - W ? a 30 ans (1906). Fig. r 5. - W. il 30
Fig. r 3. -. W ? à 30' ans (190G). Fig. 14 - W ? a 30 ans (1906).
Fig
. r 5. - W. il 30 ans (1906). Fit 1. Kram ? il
Fig. r 5. - W. il 30 ans (1906). Fit 1. Kram ? il 4 ans .1895).
Fig
. 2. - Kram ? à 4 ans (1895). Fig 3. - Kram .. à
Fit 1. Kram ? il 4 ans .1895). Fig. 2. - Kram ? à 4 ans (1895).
Fig
3. - Kram .. à 4 ans (18 ? 5). Fig. 4. Kram ?
2. - Kram ? à 4 ans (1895). Fig 3. - Kram .. à 4 ans (18 ? 5).
Fig
. 4. Kram ? à 5 ans (18 ? 6.) Fig. 5. Kram ? 15
3. - Kram .. à 4 ans (18 ? 5). Fig. 4. Kram ? à 5 ans (18 ? 6.)
Fig
. 5. Kram ? 15 ans (1896.) Fig. 6. Kram ? à 5 an
Fig. 4. Kram ? à 5 ans (18 ? 6.) Fig. 5. Kram ? 15 ans (1896.)
Fig
. 6. Kram ? à 5 ans 1/;2(1896.) Fig. 7. Kram ?
ig. 5. Kram ? 15 ans (1896.) Fig. 6. Kram ? à 5 ans 1/;2(1896.)
Fig
. 7. Kram ? à 5 ans 1/2 (1896.) Fig. 8. - Kram ?
. Kram ? à 5 ans 1/;2(1896.) Fig. 7. Kram ? à 5 ans 1/2 (1896.)
Fig
. 8. - Kram ? à 6 ans 1/2 (1898.) Fzg. g. - Kram
Kram ? à 6 ans 1/2 (1898.) Fzg. g. - Kram ? à 8 ans 1/2 (1900.)
Fig
. io. - Kram ? à 9 ans 1/2 (1901.) 1· ig. r r .
? à J ans 1/2 (1901. ) Flg. 1;). - Kram ? à 12 ans 1/2 (1904.)
Fig
. 13. Kram.. à 12 ans 1/2 (1904.) Fig. 14, Kram
ram ? à 12 ans 1/2 (1904.) Fig. 13. Kram.. à 12 ans 1/2 (1904.)
Fig
. 14, Kram ? à 14 ans 1/2 (1906.) Fig. 15 - Kram
Kram.. à 12 ans 1/2 (1904.) Fig. 14, Kram ? à 14 ans 1/2 (1906.)
Fig
. 15 - Kram ? à 14 ans 1/2 1906.) F ig. r 6. -
? à 14 ans 1/2 1906.) F ig. r 6. - Kram ? à 14 ans 1 /2 (1906).
Fig
. r. - Kram ? à 14 ans 1/2 (19C6.) REVUE DE PA
a fait de réels progrès au point de vue physique et intellectuel. (
Fig
. 54, 55, 56. J 7, 58 et 9.) La physionomie est
urs le sourire sur les lèvres; elle est très affectueuse pour les
Fig
. 54.- Rohe ? à 5 ans (1901.) Fig. 55. - Robe ?
est très affectueuse pour les Fig. 54.- Rohe ? à 5 ans (1901.)
Fig
. 55. - Robe ? il 5 ans (1901.) Fig. 5G. - Robe
g. 54.- Rohe ? à 5 ans (1901.) Fig. 55. - Robe ? il 5 ans (1901.)
Fig
. 5G. - Robe ? à 8 ans (1903 ) Fig. 57. - Robe
55. - Robe ? il 5 ans (1901.) Fig. 5G. - Robe ? à 8 ans (1903 )
Fig
. 57. - Robe ? à 10 ans (1905.) Fig. 58. - Robe
5G. - Robe ? à 8 ans (1903 ) Fig. 57. - Robe ? à 10 ans (1905.)
Fig
. 58. - Robe ? a 10 ans (i905. Fig. 59. - Robe ?
. 57. - Robe ? à 10 ans (1905.) Fig. 58. - Robe ? a 10 ans (i905.
Fig
. 59. - Robe ? il 10 ans (1905). TRAITEMENT MÉ
des enfants atteintes simplement d'arriération intellectuelle.
Fig
. Go. Prov ? à à ans (1894.) Fig, 61. - Prov. il
t d'arriération intellectuelle. Fig. Go. Prov ? à à ans (1894.)
Fig
, 61. - Prov. il 7 ans (1805 ) Fig. 62. - Prov
g. Go. Prov ? à à ans (1894.) Fig, 61. - Prov. il 7 ans (1805 )
Fig
. 62. - Prov ? il 13 ans (1901.) Fig. 63 - Prov
1. - Prov. il 7 ans (1805 ) Fig. 62. - Prov ? il 13 ans (1901.)
Fig
. 63 - Prov ? il 17 ans (1895.) TRAITEMENT MÉD
tie complète. - Est arrivé gâteux, ne mar- chant et ne parlant pas (
Fig
. 60). Il ne s'aidait en quoi que ce soit pour l
est satisfaisant. 1895. - Est devenu propre et a appris à marcher (
Fig
. 61). 1897. - Amélioration notable. P ? parle b
i ne se conduisent pas bien, ce qui ne lui arrivait pas auparavant (
Fig
. 62). 1905. - P ? est passé à la grande école e
lui ou au maître qui ne s'attache que médiocrement à ses élèves (
Fig
. 63.) 492 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. Les no
ain travail, de fournir l'in- terprétation anatomo-physiologique.
Fig
. 1. Schéma destiné a montrer l'état des forces da
sponfaîtées dans ataxie locomotrice. Thèse de Paris, 1881, p. 38.
Fig
. 3.-lfaaillaire inférieur avec usure du condy
ure du condyle droit. SOt i RECUEIL DE FAITS. 2° Epaule gauche (
Fig
. 4). A. Omoplate. La surface articulaire, la ca
surface est éburnée et lisse, sauf quelques petites érosions qu'on
Fig
. 1,. - lspaule gau- che, usure de la fiae de
'une fongosilé violacée à la place des in- sertions. 1;. Fémur (
Fig
. 9). Rien de parti- culici- du côté des tubéros
ndant la vie. Fracture de l'ilion. Sur la face ex- terne de l'os (
Fig
. G) on trouve un sillon profond, trace d'une fr
gueuses; en arrière on trouve une crête également rugueuse d'en-
Fig
. 6. - Face externe de l'os iliaque droit montra
nsolidation de la fracture et l'usure de la ca- vité cotyloide.
Fig
. 7. - Face interne de ['o ? ii : u]ue droit ; c
'inversion du petit fessier. Du côté de la fosse iliaque interne (
Fig
. 7), on voit, suivant la même direction que le
rapport avec l'extrémité supérieure déformée du fémur. 13. Fémur (
Fig
. 8). A l'union du quart supérieur avec les trois
s il n'y a pas de destruc- tion de cartilage. ' 6° Genou gauche. (
Fig
. 9). A. Fémur. L'extrémité inférieure du fémur
à recevoir l'extrémité supérieure déformée du tibia. ' B. Tibia (
Fig
. 10). La surface articulaire des plateaux du ti
u près un cen- timètre carré à la partie antérieure et interne `l
Fig
. S.' - Membre inférieur droit, usures des sai
l'autopsie, nous avions constaté que l'extrémité supérieure du 14
Fig
. 9. Fémur gauche. Lésions peu prononcées de l
re et déformation considé- rable de l'extrémité in- férieure.
Fig
10. Os de la jambe gauche. Usure et déformation
fre un cal un peu volumineux, mais assez régulièrement fusiforme (
Fig
. 10). La cinquième côte gauche est bifurquée à
u genou droit. 4 Articulation'coo-fémoraled1'olle. A. Os iliaque (
Fig
. 11). La cavité cotyloïde est effacée par l'usu
reux tout spécial, indiquant une raréfaction de l'os. ' B. Fémur (
Fig
. 12 La moitié inférieure de la tête fémorale est
ut servir à faire reconnaître la position occupée pendant la vie.
Fig
. Il. - Os iliaque droit, usure de la cavité cot
vie. Fig. Il. - Os iliaque droit, usure de la cavité cotjloide.
Fig
. 12. Fémur droit, usure de la moitié inférieu
ongieuses. 20 Articulation coxo-féi ? zorale gauche. A. Os iliaque (
Fig
. 13). De ce côté il n'y a qu'un point de la cav
iliaque antéro- inférieure et l'éminence iléo-pectinée. B. Fémur (
Fig
. 14). La tête et le col ont complètement disparu,
qui sont, surtout l'interne, assez notablement effondrés. (N" 6).
Fig
. 13. Os iliaque gauche. Usure de la cavité coty
que gauche. Usure de la cavité cotyloïde et de la partie voisine.
Fig
. Ki. Fémur gauche, disparition totale de la t
l'avant-bras droit, de la jambe gauche. (N° 11.) 1° Humérus gauche (
Fig
. 35). Cet os présente vers son tiers inférieur
éunis par un cal volu- mineux et irrégulier. 2° Avant-bras droit (
Fig
. 16). Les deux os sont fracturés au-dessus de
l y avait deux réu- nions par du tissu fibreux. 3° Jambe gauche. (
Fig
. 17). Les deux os sont fracturés, mais à des
existait qu'une arthropathie de la hanche.( ? 12.) Hanche gauche (
Fig
. 18). A. Os iliaque. La cavité colyloide n'est
' B. -Fémur. La tête et le col ont complètement disparu, la perte
Fig
. 96. -- Fractures des deux os de l'avant-bras d
actures des deux os de l'avant-bras droit (face posté- rieure).
Fig
. 17. - Fractures des deux os de la jambe gauche
e la hanche droite et du genou droit. (N° 13.) 1 - Hanche droite (
Fig
. 19). A. Os iliaque. Toute la demi-circon- fére
éburnée; sur d'autres elle est rugueuse et présente un aspect spon-
Fig
. 18. Os de la hanche gauche. Usure de la cavité c
d'un centimètre carré environ comprenant toute l'épaisseur du fond
Fig
. 19. Os de la hanche droite, déformation de la ca
u au-dessus de la limite de cette altération que siège la fracture (
Fig
. 20). Un peu au-dessus de l'union du tiers moye
( , , , ' 0 1 ,t j Il ,il 1111 11.1 1 . épâissie une tachè foncée'(
Fig
. ) On voyait au milieu de la corne épaissie une
ivisant la tumeur, le couteau fut arrête par un pdin't dur' osseux (
Fig
. 5). Ce 'point était situé au niv'éau de la plus'
successives (de haut en bas) de la moelle au niveau de la tumeur.
Fig
. 1. Augmentation du volume de la moelle antérieur
ieure de la corne antérieure gauche sans altération de structure.
Fig
. 2. La coine antérieure gauche offre une densité
gauche offre une densité plus grande et une moindre transparence.
Fig
. 3. Tumeur de la corne antérieure, entourée d'une
orne antérieure, entourée d'une fine capsule de tissu conjonctif.
Fig
. 4. - Développement complet de la tumeur constitu
par des pe- lotons entremêlés (coloration au violet de gentiane).
Fig
. 5. Noyau de consistance osseuse constitué par de
e consistance osseuse constitué par des concrétions cristallines.
Fig
. 6. Grossissement de la tumeur (fig. 4). Fig. 7
ions cristallines. Fig. 6. Grossissement de la tumeur (fig. 4).
Fig
. 7. Concrétions cristallines v couches concentriq
7. Concrétions cristallines v couches concentriques (de la fiq. 5).
Fig
. 8.- Représentant une portion de la colonne grise
sentant une portion de la colonne grise antérieure du côté droit.
Fig
. 9. Représentant une portion de la colonne grise
les yeux qu'une portion du vaisseau avec ses branches collatérales (
Fig
. XI V et fig. 7.Y de l'auteur) Sur des sections
successives (de haut en bas) de la moelle au niveau de la tumeur.
Fig
. 1. Augmentation du volume de la moelle antérieur
ieure de la corne antérieure gauche sans altération de structure.
Fig
. 2. La coine antérieure gauche offre une densité
gauche offre une densité plus grande et une moindre transparence.
Fig
. 3. Tumeur de la corne antérieure, entourée d'une
orne antérieure, entourée d'une fine capsule de tissu conjonctif.
Fig
. 4. Développement complet de la tumeur constituée
par des pe- lotons entremêlés (coloration au violet de gentiane).
Fig
. 5. Noyau de consistance osseuse constitué par de
e consistance osseuse constitué par des concrétions cristallines.
Fig
. 6. Grossissement de la tumeur (fig. 4). . Fig.
ns cristallines. Fig. 6. Grossissement de la tumeur (fig. 4). .
Fig
.7. - Concrétions cristallines à couches concentri
- Concrétions cristallines à couches concentriques (de la fig. 5).
Fig
. 8.-Représentant une portion de la colonne grise
sentant une portion de la colonne grise antérieure du côté droit.
Fig
. 9. Représentant une portion de la colonne grise
n correspondant aux extrémi- tés naturelles du segment de membre (
Fig
. 1). Enfin à la suife de l'éruption, se mon-
métamérique de la cuisse gauche, les troubles sensitifs et cutanés
Fig
. 1.- Les lignes obliques mar- quent le territoi
ments périphériques du système nerveux ou de l'appareil vasculaire (
Fig
. 2). Et cependant si l'on s'en réfère aux schém
des tronçons ou segments transversaux d'induration tégumen- laire (
Fig
. 3 et 4). Fig. 2. Schéma de la distribution des
segments transversaux d'induration tégumen- laire (Fig. 3 et 4).
Fig
. 2. Schéma de la distribution des lésions dans un
considérer les régions sclérosées comme des tronçons comparables à
Fig
. 3 et 4. Métamérie primitive du névraxe divisant
osées à un trajet nerveux, et ce ne peut être la l'effet du hasard (
Fig
. 5). M. 13alzer a publié un remarquable exemple d
as contribuent, chacun pour sa part, à la dystrophie hvherplasique (
Fig
. G). Or ces nerfs proviennent d'étages radi-
ment à ma disposition par M. le directeur de l'Assistance publique.
Fig
. 5.- Trophonévrose lichénoïde (cas de Balzer).
e doit être rangée parmi les trophonévroses. L'analogie que peuvent
Fig
. 6. - Lichen chronique présenter ses localisati
imordial. Considérez par exemple les eczémas chroniques des ongles (
Fig
. 7). Leurs lésions consistent soit en une infla
ueté de petites dépressions ; ces dernières altérations constituent
Fig
. 7.- Eczéma primitif des ongles. Ibid., no 1625
.- Eczéma primitif des ongles. Ibid., no 1625 (cas de Quinquaud),
Fig
. 8. - Eczéma aigu. Ibid., n 1088 (cas de Besnie
tait, dans la plupart des cas, consécutif à l'eczéma des phalanges (
Fig
. 8). Or la localisation de la dermatose aux art
cela par un argu- ment péremptoire. Voici un cas d' eczéma rubrum (
Fig
. 9) dont les limites sont exactement celles de
lorsque vous soupçonnez une localisation de métamérie spéciale, il
Fig
. 9. - Eczéma rubrum. Ibid. Dessin n° 66 (du fonds
de cette opinion (2). » Cependant si vous y regardez d'un peu près (
Fig
. 10), vous vous ren- drez compte que la topogra
nt donc se fait-il que le vitiligo, en dépit de sa nature nerveuse,
Fig
. 10. - Hydrua gestatioizis (cas de Bar et Tissier
manifestement à l'influence déjà douteuse d'un cen- tre médullaire(
Fig
. Il et f : 2). IX. Ceci nous conduit à examiner
l'action pathogène des étages spinaux reste encore problématique.
Fig
. il et 12. - Vitiligo luétanlél-isé (Professeur F
causer celui des pro- ductions verruqueuses qui les recouvrent (1) (
Fig
. 13). » Il est certain que le cas de l'angiokér
il faut l'avouer, exceptionnels s'en ajoute parfois un troisième :
Fig
. 43. -Angiokératome. Ibid., ne 1528 (cas de Ten
nneson). L'éruption a une dis- position segmentaire transversale.
Fig
. 14. - Fibromes métamérisés. elles sont réparti
reint sur les parties qui doivent lui être ultérieurement soumises (
Fig
. 14). Ici quelques explications sont nécessaire
fluence nerveuse est étrangère au développement de la monstruosité (
Fig
. 15). Il est même inutile d'invoquer l'exemple
ision la disposition métamérique de cette affection extraordinaire (
Fig
. 16). C'est le portrait d'une fillette de douze
is il est un autre fait qui touche de bien plus près à notre sujet.
Fig
. 16. Xérodermie pigmentaire chez une jeune fille
rtements dermatoméricjues. En voici un exemple qui vous convaincra (
Fig
. 17). Cette figure représente le bras gauche d'
de la vie intra- utérine. Si les frontières de ce département cu-
Fig
. 47, - Næv1ts papillomateux (Cas de Radcliffe Cro
s ; pour rares qu'elles soient, leur valeur n'est pas discutable.
Fig
. 18. - Lapin de race hollandaise à pigmentation m
ce dite hollan- daise, on retrouve la même division dermatomérique (
Fig
. 18). Je ne m'étendrai pas davantage sur ces bi
u des taches. Pas de douleurs, pas de troubles de la motricité. -
Fig
. 1. - Sclérodermie dis- séminée en plaques (Ob-
qui était absente, est à l'heure actuelle en plein développement. (
Fig
. 1.) Remarquez comme les cartilages d'accroisse
sérail impossible de montrer un crétin myxoedémateux qui ne fût en
Fig
. 1. - Radiogramme du squelette palmaire d'un infa
, rugueuse; le cuir chevelu, squameux, dépouillé en grande partie. (
Fig
. 2.) Au début de ma carrière médicale, il y a u
ème pulmonaire. En mai 1896, il ne restait plus rien de tout cela. (
Fig
. 3.) Guérie, la malade ne tarda pas à délaisser
myxoedème le rhumatisme articulaire aigu, on se met à penser qu'il
Fig
. 2. - A..., Gtj ans. Myxoedème franc; forme rhu
tj ans. Myxoedème franc; forme rhumatismale, avant le traitement.
Fig
. 3. - A... Même sujet ; après le traitement.
étude analytique et synthétique du grand myxoedème est intéressante
Fig
. 4. \Iyxcedème franc à la période de cachexie, tr
esprit, ce qui est eu contradiction avec l'enseignement classique. (
Fig
. 4.) Je ne cite cette observation que parce que
cul qui permettait l'entrée de la bile et en bloquait la sortie. (
Fig
. ">-) Je fus très frappé par cette constat
ous fournit un exemple très instructif au point de vue du foie.
Fig
. 5. - Myxoedème franc ; vésicule biliaire conte
de 0 m. 897 à 0 m. 94G. Le ventre a fondu ; la hernie a disparu. Le
Fig
. 10. - llyxaedème franc, 14 ans. Taille, 0 m. 14.
le va jusqu'à épuisement et détérioration grave de la constitution.
Fig
. il . - Même sujet que la fig. 10, après 2 ans et
euses du coeur, la congestion et la calculose biliaire, que lorsque
Fig
. 22. - Myxoedème franc. Calvitie strumiprive, ava
sur le sujet que nous montrons ici, avant et après le traitement. (
Fig
. 22 et 23.) Le résultat étonnant obtenu par la
L'analyse des caractères organiques et fonctionnels que présentent
Fig
. 23. - Même sujet, après le traitement thyroïdien
lei,eci,i71. La seconde fille n'a pas eu d'enfants et est fort ané-
Fig
. 24. - Eetromélie de la main et de l'avant-bras g
u monde avec une ectromélie de la main et de l'avant-bras gauches. (
Fig
. 24.) Cet arrêt de développement in utero recon
lutôt élevée, elle pèse 83 kilo- grammes. Les règles ont commencé
Fig
. 2;).- Radiographie du membre ectromélique (Obs
eveux sont rares, fins, minces. Le visage est plaqué de psoriasis. (
Fig
. 26.) Le père est mort tuberculeux. La mère est
kil. 800. (PI. XLVII, B.) Le psoriasis a pour ainsi dire disparu. (
Fig
. 27.) OBs IL - X2... appartient à la même catég
r. (Pl. XLIX, F.) Ceci démontre la parenté étroite qui existe entre
Fig
. 26. - Infantile type Lorain (XI). Psoriasis du
tile type Lorain (XI). Psoriasis du visage ; avant le traitement.
Fig
. 27. - Le même, après le traitement. Disparitio
n 1899, il atteint 1 m. 602 et pèse 43 kilogr. (PI. 1LVIIl, E.) ,
Fig
. 28. - Infantilisme de transition. (Observation
, Fig. 28. - Infantilisme de transition. (Observation IV, 1 ? )
Fig
. 29. -nlyxoedème franc; 40 ans. Malade de la f
gé de 14 ans, a une taille de 1 m. G12, ce qui dépasse la normale. (
Fig
. 28.) Il est incontinent d'urines la nuit. Les pi
gencives rouges et chargées de tartre. J'ai placé en regard de X4 (
Fig
. 28) l'image en [pied (Fig. 29) d'une femme att
s de tartre. J'ai placé en regard de X4 (Fig. 28) l'image en [pied (
Fig
. 29) d'une femme atteinte de myxoedème franc et
ème franc et dont l'histoire a été donnée au cours de ce tra- vail (
Fig
. 6 et 7). La photographie montre admirablement ce
la région lombaire, mais aucune lésion dans la région cervicale.
Fig
. 1. - Coupe du nerf péronier (lésion maximum).
veau des nerfs de la racine du memhre qui sont à peu près intacts. (
Fig
. 1.) Sur des dissociations on trouve (Marinesco
re-axe ; 3° des fibres minces où il est impossible de distinguer un
Fig
. 2. - Coupe musculaire. véritable cylindre-axe,
és. Les lésions au microscope se présentent sous plusieurs degrés. (
Fig
.2.) 1° Au début on constate une diminution de v
lle voulait se lever; dans l'obscurité la marche était difficile.
Fig
. 1. - Schéma du champ visuel (Observation III).
suel de l'oeil droit fait constater un rétrécissement considérable (
Fig
. 1). Les réflexes du coude, du poignet, du geno
). Sur l'ordre d'écrire son nom (Marie), elle a écrit spontanément (
Fig
. 1) : a) le na 1 sans modèle en s'aidant des de
corticale comme on peut le constater sur la photographie ci-jointe (
Fig
. 2). Nous verrons plus loin que cette intégrité
UV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T XII. SCHÉMA DE LA PL. LXXVI
Fig
. 4- Coupe 6. passant à l'union du pli coui be e
e 6. passant à l'union du pli coui be et du lobule du pli courbe.
Fig
. ¡. Coupe 7, passant par le pli courbe. MASSO
T. Xll. SCHÉMA DE LA PL. LXXV III. APHASIE AMNÉSIQUE ( Tréllet)
Fig
. 8. Coupe 2, passant à la partie postérieure du
ssant à la partie postérieure du pied de la pariétale ascendante.
Fig
. 7. Coupe ;, passant par la partie antérieure d
osant t la lésion de notre cas, nous constatons les faits suivants (
Fig
. 9) : la capsule externe est détruite dans ses
se tenir droit dans le chariot. - Aucune malformation congénitale (
Fig
. 2). 3 décembre. Abcès du cou, incision, pansem
l'iso- lement. Sorti le 25 mars. Bourneville, Bicêtre, 1112. 4
Fig
. 2. Johan.. à 7 ans (1001). 58 Tuberculose ; PN
t sclérosé et atrophié à un degré prononcé mais non vermi- celle (
Fig
. 3). Face interne. La première circonvolution f
orps strie, CS, la corne d'Ammon sont macroscopiquement normaux. (
Fig
. 4). Cou. Larynx, rien. Corps thyroïde peu volu
érébrales sont plus étendues plus profondes sur l'hémisphère droit (
Fig
. 3 et 4), aussi bien sur les circonvolutions qu
l'annu- laire sont tout à fait normaux. L'auriculaire est absolu-
Fig
. 6. - Main droite. Idiotie : main BOTTE. 73 m
it ? abaissé jusqu'à 24 kg. 100, est remonté à 25 kg. 050. Les uri-
Fig
. 9. Fig. 10. De])... en iévrier 1890. Trait
sé jusqu'à 24 kg. 100, est remonté à 25 kg. 050. Les uri- Fig. 9.
Fig
. 10. De])... en iévrier 1890. Traitement'; th
ls 70. 8 juillet. - Pouls : 70; T il. 37°,2, Urine : 525 grammes.
Fig
. 11. - Deb... en septembre 1S95. 102 Idiotie my
fissure habituelle. Les urines ne renferment ni sucre, ni albumine (
Fig
. 3. 4 et 5). ' Décembre. - Puberté. Le tiers mo
ne cigarette et mangé des bonbons. Bourneville, Bicêtre, 190. ` 7
Fig
. 13. -3Deb... en 1901. 106 MORT : Hypothermie.
es. Membre inférieur gauche : rigidité moyenne de la hanche, plus
Fig
. 14. Deb... en 1901. 108 IDIOTIE MYXOEDEMATEUSE
°-l, et Comptes rendus de Bicêtre de 1889. u. 172; 1$95, li. 169.
Fig
. 16. - Deb... en 1901'. 1. HO Absence totale de
tions d'une façon rigoureuse. (P.III). · Etude DU squelette. Ho
Fig
, 18. Squelette de Deb... 116 Idiotie MTXOEDÉMAT
attribue l'idiotie aux convul- sions. État actuel (14 mai 1890) (
Fig
. 19),-Enfant blond, lymphatique. Pas d'adipose,
pupilles symétriques, non déformées, réagissant bien à la lumière
Fig
. 19. - Lem..., ((;porges), né à Paris, le 21 mars
. -Eruption pustuleuse disséminée sur toute la surface de la tête. (
Fig
. 20). , . 1893. 16 juin. Amélioration considéra
té. Octobre. Va seul aux cabinets le jour. La parole est toujours
Fig
. 21. Lem.... (Georges) en avril 1894. 140 IDIOT
ngue dans la bouche. 1894. 16 juin.-Même état des organes génitaux (
Fig
. 21). Parole toujours nulle. Parait comprendre
toujours nulle. Parait comprendre ce qu'on lui dit. N'est presque
Fig
. 22. Lem..., (Georges) en octobre 1895. Traitem
semaine. Il est toujours méchant et sournois avec ses cama- rades (
Fig
. 22). 1896. Parler toujours défectueux dans l'a
n s'occupe de lui, est sensible aux compliments et aux repro- ches (
Fig
. 23). Il a la manie de promener sa langue dans sa
. 1898. Juin. Progrès dans l'écriture. Il lit et retient avec une
Fig
. 23. - Lem..., (Georges) en juin 1896. Traiteme
i était absolument nulle. Chaque jour il emploie des mots nouveaux (
Fig
. 25). 1900. Janvier. - Lem... prend goût à tous
er- tain nombre de mémoire, tels que les jours de la semaine, les
Fig
. 21. - Lem..., en octobre 1897. 144 Idiotie PRO
ogrès pour tous les exercices, surtout pour les leçons de choses.
Fig
. 2o. - Lem..., (Georges) en octobre 1899. Trait
se calme que lorsque l'on fait signe de le conduire en cellule. (
Fig
. 26). Puberté et organes génitaux. Sauf un peu
» qu'il soulève péniblement et tombe souvent. Réflexes naturels (
Fig
. 27). État mental. Ler.. est très turbulent ot
. Sa parole est très défectueuse; pour dire : cc bonjour madame»,
Fig
. 27. Ler.. (Félix) à 4 ans (Juin 1895). . Descr
alés, sirop d'iodure de fer, huile de foie de morue, douches, etc. (
Fig
. 28.) 1808. '1«,jazzLier. L'enfant est toujours
nulle à son arrivée, dit tout aujourd'hui, forme des phrases er,
Fig
. 28. Ler.. (F.) à 6 ans (1897). Traitement MÉDI
s colère. Décembre. Depuis que Ler.... est revenu de l'isolement,
Fig
. 29. - Ler.. (F.) à 10 ans (1901). Traitement n
nt sans cesse à son idée et lorsqu'il ne peut y arriver, il rage,
Fig
. 30. - Ler.. (F.) à 10 ans (1901). 218 Marche d
entêté, tu n'auras pas de dessertpour te punir de ta colère, etc. (
Fig
. 29, 30 et 31.) 1902. Juin. - Ler..., d'une vol
pie tous les jours un grand nombre de mots imprimés qu'il fait en
Fig
. 31. - Ler.. (F.) à 10 ans (1901). Traitement h
x leçons .orales, il est toujours le premier à répondre aux ques-
Fig
. 3. - Ler.. à 11 ans (Juin 19021. z 220 Colères
La lèvre inférieure à gauche est également coupée par une morsure. (
Fig
. 32). Cependant l'état général semble s'être am
vo- qtcS-sout limités : on obtient assez facilement- la ilexion
Fig
. 35. - René. (Juillet 1897.) André. Description
pte- màre, au niveau des circonvolutions pariétales et frontales.
Fig
. 30. - Lecl... (René) en juin 1899. 246 Atrophi
ctérisée par la proéminence de l'extrémité inférieure du sternum.
Fig
. 38 - Le Clèr... en 1902. 252 Stigmates de dégé
son âge qui est de lm169 (Quetelet). Le nanisme est bien évident. (
Fig
. 3 i J. Juillet. L'enfant se contracture de plu
- L'enfant mange moins, il maigrit depuis une quinzaine de jours. (
Fig
. 38). 1903. Janvier. L'enfant a eu une syncope
ide ; de temps en temps la prononciation des mots est gênée, xv 5
Fig
. 1 Fig. 2 66 nossouMO ce dont le malade s'a
temps en temps la prononciation des mots est gênée, xv 5 Fig. 1
Fig
. 2 66 nossouMO ce dont le malade s'aperçoit e
n, les noyaux, se multipliant dans la direction longitudinale, for-
Fig
. 3 Fig. 4 DE LA DIYOTONIG ATIIOPRIIQUE 71 m
yaux, se multipliant dans la direction longitudinale, for- Fig. 3
Fig
. 4 DE LA DIYOTONIG ATIIOPRIIQUE 71 ment des i
réaction tétanique cesse beaucoup plus tôt que dans les autres. -
Fig
. 5 72 ROSSOLIMO Excitabilité faradique. DE
certain point, cette dénomination d'affection de la queue de cheval
Fig
. 1. Les lignes verticales pleines indiquent la lo
s chiffres placés à droite se rapportent aux apophyses épineuses.
Fig
. - : \1. segment inférieur de la moelle. Q. q
e de la cuisse, et dans une zone d'hypoesthésie, qui côtoie le bord
Fig
. : 3. 88 RAYMOND externe de la face dorsale d
Fig. : 3. 88 RAYMOND externe de la face dorsale de chaque pied (
Fig
. 3). La sensibililé tactile est affectée dans u
e) des racines ou du centre qui interviennent dans sa production.
Fig
. 4. - et S', territoires cutanés tirant leur inne
la portion de la moelle, qui correspond au foyer A. Donc, les deux
Fig
, 5. - (D'après SchulLze). AFFECTIONS DE LA QUEU
isi précisément les deux plus débiles, deux filles de 18 et 20 ans,
Fig
, 1. . rig, 2. INFANTILISME DÉGÉNÉRATIF 129
r de livres. Paris, 1862, t. III, p. 656. (2) 13RuET. loc. cil.
Fig
. i. Frontispice de l'ouvrage de B.11lontagnana su
ins, les chirurgiens, les apothicaires et les médicaments, etc...
Fig
. 2.- Un urologue (Gravure du XVI- siècle. Cabinet
l lient de l'autre l'urinai qui pour lui n'a plus de mystères. Der-
Fig
. 3. Un urologue (Gravure hollandaise du XVIe sièc
rgure (pli. XXII). C'est une oeuvre d'un plus grand caractère, très
Fig
. 4. Le médecin empirique, par David Téniers (d'ap
rolongements irréguliers sur le tissu normal ; il existe même, dans
Fig
. 1. Tumeur gliomateuse (obj. 2, ocul. 2, Leitz).
ant au corps cellulaire même, il est plus ou moins renflé, et offre
Fig
. 2. Tumeur gliomateuse (obj. 76, ocul. 2, Leitz).
'au-dessous, le lobe de l'insula est très aplati et méconnaissable (
Fig
. 3). Examen de la tumeur. Détachée par section
rps de ces cellules est occupé par un noyau volumineux, qui forme à
Fig
. 3. - Sarcome. Coupe de l'hémi- sphère et de la
i- sphère et de la tumeur passant par son pédicule d'insertion.
Fig
. 4. - Sarcome. Dissociation (Obj. 6, ocul. 2 Le
rtion. Fig. 4. - Sarcome. Dissociation (Obj. 6, ocul. 2 Leitz).
Fig
. 5. - Sarcome. Coupe (Obj. G, ocul. 2 Leitz).
s antérieure avec le tiers moyen jusqu'à la partie la plus reculée (
Fig
. 6). Les deux circonvolutions frontales interne
circonvolutions frontales internes présentent également des altéra-
Fig
. 6. Gliomatose diffuse. Schéma indiquant la dispo
nfiltration abondante de petites cellules ron- des whig. 7 et 8).
Fig
. 7, Gliomatose diffuse. 1. or stade. Infiltration
te au pourtour des cellules pyramidales (Obj. 7, ocul. 2, Leitz).
Fig
. 8. Gliomatose diffuse. 28 stade. Infiltration in
2 replis falciformes latéraux. En arrière, à la partie médiane pos-
Fig
. 1. Fig. 2. Schéma de l'ossification du crâne
alciformes latéraux. En arrière, à la partie médiane pos- Fig. 1.
Fig
. 2. Schéma de l'ossification du crâne. Fig. 1
diane pos- Fig. 1. Fig. 2. Schéma de l'ossification du crâne.
Fig
. 1. Vue supérieure. Fig. 2. - Vue postérieure.
. 2. Schéma de l'ossification du crâne. Fig. 1. Vue supérieure.
Fig
. 2. - Vue postérieure. XY. Axe antéro-postérieu
ions (3) sur le schéma qui précède est le pédoncule cérébral droit.
Fig
. 3. Schéma des formations interhémisphériques.
nous avons prises. Elles ont été prises les sujets étant debout.
Fig
. 1. Le xiphopage. Liao-Sienne-Chen est le sujet d
nte avec une physionomie distincte et bien définie (fig. 2 et 3).
Fig
. 2 et 3. Types des courbes p[4tys'nographiques de
remarqué sur des tracés pris à 15 jours d'intervalle en appliquant
Fig
. 2. Fig. 3. LA VIE BIOLOGIQUE D'UN XIPHOPAGE
sur des tracés pris à 15 jours d'intervalle en appliquant Fig. 2.
Fig
. 3. LA VIE BIOLOGIQUE D'UN XIPHOPAGE 255 ains
n était assurément variable. En pareille circonstance, il est pour-
Fig
. 5. - Tracé respiratoire. 258 VASCQIDE ET VURPA
ine harmonie dans de nouvelles phases respiratoires. Il y aurait de
Fig
. 6. D. Liao-Toun-Chen ; G. Liao-Sienne-Chen. Trac
signification de l'auto- matisme de leur adaptation réciproque. -
Fig
. 7. D. Liao-Toun-Chen ; G. Liao-Sienne-Chen. Exem
tingue encore la tache claire du splenium. En avant de cette tache (
Fig
. G) le trigone a conservé sa coloration normale
Ce sont les fibres du tapetum, dont les plus internes s'appliquent (
Fig
. L) sur toute la substance grise du fond de la
de périnévrite et de endonévrite. Si l'on examine la racine posté-
Fig
. 1.. rieuresur des coupes transversales de plus
des amas de globules sanguins occupant un champ considérable (ch).
Fig
. 2. - MOLLLN ... (Observ. I). - Ganglion lombaire
on en tourbillons. A droite éléments conjonctifs jeunes. Méningite.
Fig
. 3. - Mollis... (Observ. I). - 4 Racine dorsale.
e augmente brusquement, en raison des altérations inflammatoires.
Fig
. 4. Mollis... (Observ. I). - Il- Racine dorsale.
es. - Troisième ganglion lombaire droit (coupé longitudinalement). (
Fig
, 6). La racine postérieure est très atrophiée d
les. On note quel- ques infiltrations nucléaires sur leur trajet.
Fig
. 6.- PALL... (Observ.IV).- 3° ganglion lombaire d
ns la portion sus-ganglionnaire, les coupes colorées par l'éosine e
Fig
. 7. - Four... (Observ. V). - Racine sacrée postér
lièrement laissant entre eux des vides ; d'où l'aspect aréolaire un
Fig
. S. - BAuon... (Observ. VI).- 2° Racine sacrée. C
épais, mais il pénètre entre les fibres, les écarte et les dissocie (
Fig
. 8). A mesure qu'on approche du ganglion on voi
ndraxes dénudés, mais comme la préparation est parsemée d'abondants
Fig
. 10. - LELIEV ... (Observ. X). - Fixation dans le
osseuses similaires qui hérissent les condyles fémoraux ou tibiaux (
Fig
. 1). On en trouve encore le long de la crête il
index et le médius, privés de la plus grande partie de leur 3e pha-
Fig
. 1. - Répartition des exostoses sur le squelett
ig. 1. - Répartition des exostoses sur le squelette de Louis D...
Fig
. 2. - Décalque de la radiogra- phie du bras dro
'état mental. L'émotion exagère tous ces phénomènes spasmodiques.
Fig
. 1. Fis. 2. ' 388 DESTARAC En présence de c
A et A'). Un est trappe par le volume du crâne et son asymétrie (
Fig
. 3). Torticolis. - Le torticolis est le résulta
ents les plus délicats, par exemple, celui de se boutonner. xv 26
Fig
. 3. 394 DESTAHAC C Le but est atteint sans pr
et de l'épaule, et met en évidence un spasme facial du côté droit (
Fig
. 4). Il n'y a cependant pas de crampe douloureu
le malade se tient assis, il serre son bras gauche contre le i \
Fig
. 4. LE SYNDROME DU TORTICOLIS SPASMODIQUE 395
d'ammonium et de lithium (Revue neu- rologique, 1899, p. 430). ,
Fig
. 1. - Diagramme représentant le travail normal de
cession, à en juger par les résultats de l'examen stéthoscopique.
Fig
. 1. - (3 mars 1901). Fig. 2. - (18 avril 1901).
es résultats de l'examen stéthoscopique. Fig. 1. - (3 mars 1901).
Fig
. 2. - (18 avril 1901). ' Résumé. L'histoire pat
e. Cette infiltration s'accompagne d'un certain degré de fibrose au
Fig
. 1. Coupe des méninges molles au niveau du lobule
tion de leur tunique externe et des lésions d'endartérite fibreuse.
Fig
. 2. - Coupe de la pie-mère spinale au niveau de l
stices des fibres de là pie-mère et du tissu sous-arachnoïdien. ·
Fig
. 3. Coupe de la pie-mère spinale au niveau de la
trent que la lésion est en partie ancienne, en partie récente; elle
Fig
. 4. Coupe du tronc basilaire au voisinage de son
e résultat d'une incision pratiquée sur la pièce à l'état frais.)
Fig
. 5. - Coupe du tronc basilaire dans sa région moy
uquel nous nous faisons un devoir d'exprimer ici nos remerciements.
Fig
. t. 532 SOUKHANOFF ET CZARNIECK bilité physiq
ment çà et là des épaississements à forme irrégulière, et sur les ·
Fig
. 3. Fig. 4. 534 SOUKUANOFF ET CZARNIECK ram
là des épaississements à forme irrégulière, et sur les · Fig. 3.
Fig
. 4. 534 SOUKUANOFF ET CZARNIECK ramifications
oyen sont bien plus lisses que les contours des ramifica- Fi,. 5.
Fig
. 6. CELLULES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 535 lions
.800 grammes. Autopsie approximativement 24 heures après la mort.
Fig
. 7. 536 SOUIOEANOFI' ET CZARNIECK Cornes anté
es collatéraux, on rencontre des cellules nerveuses, ayant les pro-
Fig
. 8. CELLULES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 537 7 long
van- cement des sciences. Congrès de Caen, 1894. CLICHÉ INFROIT
Fig
. 2. Le pied du géant Charles. 546 LAUNOIS ET RO
ormales. il) Extraite des Deutsch. Arch. für, klin. lIfed., 1898.
Fig
. 4 (1). Le squelette du géant Simon Botis (Buda
1EIGE, Sur le gigantisme, Arch. gén. de méd., octobre 1902, p. 414.
Fig
. 6. - Crâne d'acî,o2zégciliqtte appartenant à l'E
n membre, tantôt un autre, est comme le sceau de la grande névrose.
Fig
. 3. — Contracture du bras gauche. Un brasse tro
s'arrête subitement et l'attaque commence. Le 24 juin, les attaques
Fig
. 5. — Hallucination et contracture. ont changé
chi, la main au niveau de l'épaule et les doigts étendus, (fig. 5.)
Fig
. 6. — Contractures. Comme je l'ai déjà dit, la
e autour d'elle, mais elle ne peut parler ni faire aucun mouvement.
Fig
. 7. — Contractures. Marthe Lesp... n'est préven
, la respiration se précipite, étouffement; la sensation monte à la
Fig
. 8. gorge, strangulation. Battements très inten
point situé du côté gauche au-dessous dusein, pour provoquer les
Fig
. 10. — Principales zones hystérogènes. Face posté
ue.) 1° Phase tonique. 2° Phase cîonique. 3° Phase de résolution.
Fig
, il. — N°l. Grands mouvements N° 2. Tctanismc ou
EBUT Lorsque l'attaque d'hystéro-épilepsie survient spontanément,
Fig
. 12. — Secousses généralisées. comme par les se
tagonisme règne entre les mouvements du thorax et ceux de l'abdomen. (
Fig
. 15, nos 1 et 2.) Le gonflement du cou qui acco
et 2.) Le gonflement du cou qui accompagne constamment la convul-
Fig
14. Phase tonique. Saillie de la langue. sion é
uc-tion qui peuvent se décomposer ainsi : (fig. 16) d'abord, mouve-
Fig
. 16. Représentation schématique des grands mouvem
alter-nativement et exécutent une espèce de moulinet par lequel les
Fig
. 18. Phase tonique. Grands mouvements toniques de
e se trouve ramassée en boule et fait un tour complet sur elle-même. (
Fig
. 19.) Fig. 19. Phase tonique. Grands mouvements
ramassée en boule et fait un tour complet sur elle-même. (Fig. 19.)
Fig
. 19. Phase tonique. Grands mouvements toniques. L
ts sont contractures et immobiles. L'écume apparaît aux lèvres. Les
Fig
. 20. Phase tonique. Immobilité tonique dans le dé
le poignet fléchi, le poing fermé; parfois les deux mains, ramenées
Fig
. 21. Phase tonique. Attitude tétanique se rapproc
és; il est fréquemment courbé en arrière comme dans l'opisthotonos.
Fig
. 22. Phase tonique. Attitude tétanique. Telle e
attitude qui paraît la plus commune, mais elle peu varier beaucoup.
Fig
, 23. Phase tonique. Attitude tétanique. Le tron
qui est parfois une attitude passion-nelle de la troisième période. (
Fig
. 21.) Enfin il semble que la grande convulsion
e représentations que l'on pourrait multiplier à l'infini. Mais par
Fig
. 24. Phase tonique. Attitude tétanique. contre
en même temps que la courbe baisse vers la résolution. Dans son en-
Fig
. 25. Phase clonique. Représentation schématique d
fin suit souvent un plus ou moins grand nombre de grandes secousses
Fig
. 26. Phase clonique. Les mouvements cloniques son
nent d'un côté du corps, ils peuvent même s'y montrer exclusivement. (
Fig
. 26.) Ils surprennent la malade dans la positio
e s'écoule des lèvres entr'ouvertes et sou-levées par l'air expiré.
Fig
. 27. Phase de résolution. Il n'est pas rare de
e à la malade, pendant la période du stertor, des attitudes variées. (
Fig
. 28.) Fig. 28. l'hase de résolution. Quelques c
e, pendant la période du stertor, des attitudes variées. (Fig. 28.)
Fig
. 28. l'hase de résolution. Quelques contractures
secousses peuvent être partielles, occuper les membres ou la face.
Fig
. 30. Phase de résolution. Secousses générales.
nou-veaux types : une phase peut se supprimer pendant qu'une autre
Fig
. 34.— Tracés tris sur Gu..., — Tambour myographiq
l'attaque d'hystéro-épilepsie. 2? PERIODE___PERIODE DE CLOWNISME
Fig
"*. 1. Phase des grands mouvements 2. Phase des
plus souvent la jambe droite et ne repose plus que sur un seul pied
Fig
. 35. Contorsion. — Arc de cercle. La courbe du
sa position courbée. Quelquefois elle repose sur le côté (fig. 37).
Fig
. 3G. Contorsion. — Arc de cercle incomplet. Enf
a contorsion hystérique avec l'attitude tétanique. Et il suffira de
Fig
. 38. Véritable opisthotonos, d'après Ch. Bell. L'
r le lit que par les talons, tandis que nous avons toujours observé
Fig
. 39. Contorsion. que les genoux légèrement fléc
ettent aux hystériques de reposer sur le lit par la plante du pied.
Fig
. .40. Contorsion. —Variété de l'arc de cercle.
8 juin 1879, présente une suite d'attitudes illogiques qui à chaque
Fig
. il. —¦ Contorsion. —¦ Arc de cercle. attaque s
e la même façon. Ces alti-tudes illogiques sont au nombre de trois.
Fig
. 45. — Contorsion. Après une première période é
es attitudes passionnelles qui marquent la troisième période. Cette
Fig
. 46. — Variété de l'arc de cercle. dernière for
nditions de leur produc-tion est le relâchement musculaire complet.
Fig
. 48. — Grands mouvements. Ces mouvements sont e
nt heurter les genoux, puis le corps se redresse / : 0. : j ¦
Fig
. 49. — Grands mouvements limités à un seul membre
iller. Dans ce mouvement d'extension la malade prend un point d'ap-
Fig
. 50. — Grands mouvements du tronc. pui avec ses
la tête et les jambes participent à la fois au mouvement (fig. 48).
Fig
. 51.— Grands mouvements. — Variété remarquable pa
. Cri. — Cette phase est souvent marquée au début par un cri d'un
Fig
. 52. — Cri. caractère tout spécial. Il est perç
poitrine avec son poing, qu'on est obligé d'interposer un coussin.
Fig
. 54. — liage. La malade s'en prend aux personne
véritables cris de rage ou des hurlements de bête fauve (fig. 55).
Fig
. 55. — Cris de rage. Elle frappe son lit de la
Elle frappe son lit de la tête en même temps que des poings, ré-
Fig
. 50. —Mouvements désordonnés. pétant ce mouveme
a conjonctive, l'application d'un bandeau sur les yeux, la respira-
Fig
\ 1. Phase triste rie"- 2. Phase 6aie A.Delahî
t ces paroles lui échappent : c Au secours! Au secours ! — Ah! vous
Fig
. 57. — Attitude passionnelle. ne m'aurez pas...
sur-vient une scène de menaces (fig. 59). Elle se relève furieuse,
Fig
. 59. — Attitude passionnelle. montre le poing,
furie (fig. 60); elle crache à la figure du personnage imaginaire.
Fig
. 60. — Attitude passionnelle. Mais son courage
enu. Il est une autre scène qui, pour être une pure création de son
Fig
. 61. — Attitude passionnelle. imagination, ne l
-ment, la surprise mêlée de joie, son regard est dirigé en haut. Et
Fig
. 62. — Attitude passionnelle. si on lui demande
e ainsi, et ce qu'elle voit : ce II est à un balcon, » répond-elle.
Fig
. 63, — Attitude passionnelle. Puis elle tend le
e. Ces détails nous ont été donnés par la malade en dehors de son
Fig
. 64. — Attitude passionnelle. attaque. Dans les
ntôt accompagnées de gestes violents et de paroles appropriées1. Il
Fig
. 65. — Attitude passionnelle. faut avoir assist
un léger pli de ses traits qui ébauchent un sourire, un baiser bien
Fig
. 66. — Attitude passionnelle. discret, donné de
elle semble demander ou attendre une explication (fig. 66). Sa phy-
Fig
. b7. — Attitude passionnelle. sionomie exprime
nne (fig. 68.) Un jour nous avons recueilli les paroles suivantes :
Fig
. 68. — Attitude passionnelle. Ernest!... l'hypo
e. Ernest!... l'hypocrisie règne partout, chez toi comme chez le^
Fig
. 69. — Attitude passionnelle. autres..... Vieil
le calme de son attitude, on pourrait croire que l'attaque est ter-
Fig
. 70. — Attitude passionnelle. minée; mais il n'
it (fig. 70). 11 lui échappe des paroles comme celles-ci, qui rnon-
Fig
. 71. — Attitude passionnelle. trent que c'est l
riminels. Ou bien avec le geste et le ton du commandement le plus
Fig
. 72. — Attitude passionnelle. impératif elle s'
le ran0- des sauvages. Ernest! reste là... ne va pas te battre!... » {
Fig
. 73.) Fig. 73. — Attitude passionnelle. Mais
sauvages. Ernest! reste là... ne va pas te battre!... » {Fig. 73.)
Fig
. 73. — Attitude passionnelle. Mais ces scènes t
hants. Elle demande du punch..... Elle agite les bras en cadence en
Fig
. 74, — Attitude passionnelle. chantant et tout
ou de grosses araignées. Elle s'écrie tout d'un coup : « Oh ! ce
Fig
. 7G. — Attitude passionnelle. rat... d en le mo
aux interpellations. Elle n'en continue pas moins à être poursuivie
Fig
. 77 et 78. —¦ Attitudes passionnelles. parles v
rès l'avoir étendue par terre, je parvins à lui comprimer l'ovaire.
Fig
. 79. — Quatrième période : Délire triste. Habit
ème période. Gl... nous offre un nouvel exemple non moins frappant.
Fig
. 80. Délire de la quatrième période. On se souv
Les corbeaux apparaissent habituellement du côté gauche de son lit.
Fig
. 81. Quatrième période. Zoopsie. Gen... 26 févr
. Ler... termine son attaque par une phase qui présente à un haut
Fig
. 82. Quatrième période. Zoopsie. degré les prin
'il ne m'attende pas. » Elle crie par la fenêtre et va regagner son
Fig
. 83. Quatrième période. Ler... « souffle le feu »
ontracture générale ou partielle persiste souvent après l'at-taque.
Fig
. 84. Quatrième période. Contractures généralisées
s exacerbations de la contracture arrachent des cris à la patiente.
Fig
. 85. Quatrième période. Contractures généralisées
l-lucination, la malade a parfaitement conscience de son état; elle
Fig
. 86. Quatrième période. Contractures généralisées
ont ici dans leur plus large développement. Les figures représentées (
Fig
. 91, 92,93, 94 et 95) en donnent une idée. Les me
t sourire, appeler un être imaginaire ou lui l'aire la grimace, lui
Fig
. 9i. — Contorsion. Attaque démoniaque. FiG. 95.
-quences fâcheuses. Elle est subitement immobilisée dans l'attitude
Fig
. 96. où elle se trouve. Par exemple : la séance
resque horizontalement et elle demeure ainsi immobihsée. Au bout de
Fig
. 97. quelques instants, on lui ferme l'œil droi
uis la vision des autres couleurs reparaît dans l'ordre suivant (voy.
Fig
. 08 et 99) : A 3 m. 30 s. vision du bleu. A 5
droite; enfin le violet par des lignes obliques do droite à gauche.
Fig
. 99. — Suite do la figuro 98. bleu. A 53 m. ret
scil-lations consécutives, relativement à la notion des coideurs. Les
Fig
. 98 et 99 ensontun exemple, et se rapportent à l'
sur le bassin, et la plante du pied tout entière frotte sur le lit. (
Fig
. 100)» Ceci constitue, pour ainsi dire, un prem
-sent; X... se plaint de tiraillements dans la tempe droite et dans
Fig
. 100. la moitié correspondante du cou. Après un
s. La tête se fléchit, le menton venant s'appliquer sur la région
Fig
. m. sternale; le tronc s'incline en avant, est
llon-gent; le bras et la jambe du côté gauche demeurent tranquilles, (
Fig
. 101). La figure 102 donne une idée générale des
-rées qui relèvent de l'hystérie ne sont pas, par cela même, systé-
Fig
. 10-2. matisées. On peut voir chez une hystériq
tantôt, au contraire, elle accuse un soulagement, dont richer. 38
Fig
. 103. — ïlUCES PRIS SUR Gen..., pour montrer l'ef
rt destiné à prendre son point d'appui sur le bord supérieur de P
Fig
. 105. — Ceinture compressive des ovaires. l'os
- langette à peine un centimètre el demi. Celle-ci est légèrement
Fig
. 6... 20 PARÉSO-ANALGÉSIE DES EXTRÉMITÉS SUPÉRI
ne s'aide en rien ; selles régulières mais diarrhéiques. Gâtisme. (
Fig
. 7). ). Mensurations des membres (1). 38 MÈNI
son état antérieur. 16 août. - Revaccination ; résultat négatif.
Fig
. 7. MÉNINGO-ENCÉPHALITE. 39 28 novembre. - L'
pouls est faible et ralenti. Le poids de l'enfant est de 7 kilog. (
Fig
. 8). Fig. 8. PACHYMÉNINGITE ; KYSTE DE LA DUR
faible et ralenti. Le poids de l'enfant est de 7 kilog. (Fig. 8).
Fig
. 8. PACHYMÉNINGITE ; KYSTE DE LA DURE-MÈRE. 41
belleux. L'encéphale, débarrassé de la dure-mère, pèse 595 grammes (
Fig
. 9 et 10). Les artères de la base et les tuberc
hie considérable des deux lobes frontaux. Dans son ensemble, bien
Fig
. 9. 44 Arrêt de développement DU cerveau. que
n- tués. - Sur le lobe pariétal, on retrouve également des traces
Fig
. 10. Arrêt DE développement DU cerveau. ' 45
éja signalé l'atrophie, sont durs au toucher, arrondis et bosselés (
Fig
. 9 et 10). Cet hémisphère est un peu plus long
t déterminé en même temps une contracture des membres très accusée (
Fig
. 8). II. Nous avons trouvé dans ce cas une syno
ncomplète ; menton court, aplati, lipomateux; oreilles décolorées. (
Fig
. 11). Cou très court, gros; pas de glande thyro
, une véritable transformation, après le traite- ment thyroïdien.
Fig
. il. l. Médication thyroïdienne. 53 Il. - Apr
urs avec une seule interruption, le 5e jour, sans offrir (lesymp-
Fig
. 12. IDIOTIE avec cachexie PACHYDERMIQUE. 57
on développement est sur- monté d'une tête relative- ment énorme (
Fig
. 11). L'habitus extérieur décèle une apathie
den- taires. Elle est hypertrophiée dans toutes ses dimensions (
Fig
. 11). Sa pointe est arron- die. Le volume de la
fre plus de résistance et demande qu'on l'opère avec lenteur; et,
Fig
. 13. - Doue... en juillet 1884 (19 ans). Descri
ra- tions comparatives ci-après nous renseignent complè- tement. (
Fig
. 14 et 15). CRANE. - Il est allongé, légèrement
uche qu'à droite : 102 HÉMIPLÉGIE DROITE ; SQUELETTE. 1 i ? la.
Fig
. 15. Description DU crâne ET DU thorax. 103 A
on et à l'ad- duction. Le cou-de-pied et les orteils sont souples. (
Fig
. 19). On observe des eschares au début : l'une
e l'après-midi; aussitôt après la mort l'enfant devient violacée.
Fig
. 19. - 21 octobre 1896. 124 Autopsie. 111\I\G
e est normale. Poids des organes 128 - SPÉCIMENS DE L'ÉCRITURE.
Fig
. 21. - Février 1894. - 129 Spécimen DE l'écritu
re tracée plu- sieurs mois avant l'entrée à la Fondation Vallée. (
Fig
. 21-25). Photographies et spécimens de l'écriture
ie d'une élévation thermo- métrique (39°, 8), au moment de la mort (
Fig
. 26). IV. L'aictnpsie a montré un peu d'épaissi
pointe de hernie ombilicale. - Les .seins sont à peine dessinés.
Fig
. 27. - B... en octobre 1895. Description DE la
bondantes. Suspension de la glande thyroïde qui est reprise le ..
Fig
. 29. - B..., en juin 1896. MÉDICATION THYROÏDIE
atigner, se tire les cheveux. 1 juiltet. - Reprise du traitement.
Fig
. 30. - en mai 189G. 156 Idiotie myxoedémateuse
dans leur moitié interne, beaucoup moins fournis dans leur moitié
Fig
. 32. - Kr... en juillet 1895. Description DE la
t pas profonde ; elle est large, ogivale. - Langue hyper- trophiée (
Fig
. 32.) Cou très court : la palpation la plus min
, pousse des cris épouvantables. Elle supporte bien le traitement. (
Fig
. 33). .Juin.- Kr... comprend bien tout ce qu'on
ure extérieure que par la médication qui a été suspendue le 31 mai (
Fig
. 34). Juillet. - L'enfant exécute seule quelque
ise, ni sueur, ni tremblement. Selles régulières. Amaigrissement.
Fig
. 34. - Kr... en juin 1896. 172 IDIOTIE myxoedém
ions digestives sont régulières, le sommeil est bon. Les accès de
Fig
. ;la. - Kir ... en décembre 1890. ;, Médication
sont sales, elle vient vers les infirmières pour qu'on la nettoie. (
Fig
. 35). Les détails dont nous avons fait suivre l
c l'accroissement du nombre des globules, si manifeste à ce moment (
Fig
. 36). L'examen de préparations sèches, colorées
. Cependant, en procédant à la numération sur des chiffres impor-
Fig
. : : 0. Examen du sang. 181 tants de leucocyt
(fin juillet). La taille qui était h lm 27 s'est élevée à lm '29.-
Fig
. 37. 202 Nanisme. 182 jours; 87 'r. u5 de gla
on DES planches. Planche III. Sclérose cérébrale hémisphérique.
Fig
. 4. - Face convexe de l'hémisphère gauche. fez,
riétal inférieur. T1, première temporale. L.O., lobe occipital.
Fig
. 2. - Face interne du même hémisphère. C.C., co
couleur châtain foncé ; pupilles égales ; fentes palpébrales bien
Fig
, 2. - Ve... en août 1897. 100 DESCRIPTION DE la
méplat. Visage ovale ; prognathisme apparent, front élevé, bombé (
Fig
. 3). Arcades sourcilières peu saillantes. Paupièr
ne la réaction pupillaire. Il ne semble pas que l'enfant perçoive
Fig
. 3. - Gill... à 3 ans. 116 DESCRIPTION DE la ma
lie : crâne. 119 tendres, avec de nombreuses plaques transparentes (
Fig
. 4). Plagiocéphalie très-prononcée : frontal dr
eau. lement 5 cent. et demi et 15 millimètres d'avant en arrière (
Fig
. 4). - La fontanelle postérieure est fermée. La s
une complication. L'évolution normale est terminée le 24 décembre. (
Fig
. 5.) z 1890. 10r août. - L'enfant commenoe à se
ujours nombreux; son poids est remonté à 11 kg. 100. Pas de modi-
Fig
. 5. - Rougeole. 128 VERTIGES ET BROMURE DE camp
la T. R., prise après les accès avait progressivement atteint 42°. (
Fig
, 6). Température après décès. . Tableau des
currentes, une conjonctivite, une bronchite, une chute du rectum,
Fig
. G. - État de mal. 136 Etat de MAL épileptique.
e, sous l'action de l'accès épileptique, la température s'élève. (
Fig
. 6). Ons. II. - Epilepsie idiopathique; accès s
se rendre mieux compte de l'action de l'ictus épileptique sur la
Fig
. 8. Fia.n. 150 Température ; accès, séries, é
ut h fait inintelligent, ne semble pas comprendre ce qu'on lui dit (
Fig
. 10). L'expression de la physionomie est triste
sait assez bien se faire comprendre quand il désire quelque chose. (
Fig
. 11). Août-septembre. Ophtalmie légère il deux
ge, son nom, celui de ses parents, leur métier, leur adresse, etc. (
Fig
. 12). 1888. il m'il. '- L'amélioration continue
ise. Décembre, - D... s'applique bien et prend goût à l'écriture,
Fig
. 11. - Dup... à 3 ans (août 1884). 168 ÉTAT DU
nce il assembler les lettres, en trace quelques-unes sur le cahier (
Fig
. 13). 1890. Décembre. D... se tient bien, n'est
ent. L'enfant se scrt de la fourchette et du couteau, mâche bien,
Fig
. 12. - Dup... à G ans (août 1887). Etat du mala
nd clair, assez abondants, fins, empiètent en avant sur la région
Fig
. 13. - Du]) ? à S ans (août 18S9). 170 Descript
etc.. Sa tenue est mauvaise ; il fait du bruit le soir au dortoir. (
Fig
. 15). Décembre. Même état. 11 cherche il fumer,
- mence à savoir la table de multiplication ; il est soigneux, se
Fig
. 14. - Dup... à 11 ans (août 1892). Traitement
temps, périodes de paresse, est plutôt à l'atelier qu'à la classe. (
Fig
. 16). Puberté : léger duvet sur la lèvre supéri
antes. z1896. Janvier. - Progrès assez sensibles en classe. L'en-
Fig
. 15. - Du ! '... : 1 ? ans (juin 1893). 174 li
ns bonne. On note, au contrarie, des progrès en calcul. D... fait
Fig
. 16. - Dup... à 13 ans et demi (janvier 1895).
rt pendant quelque temps, on l'a laissé tout le temps iL l'atelier (
Fig
. 18). Décembre. Même état au point de vue scola
de pie. Quelques poils au périnée et à l'anus : - Pas d'onanisme.
Fig
. 18. - Dup... 1G ans (juin tfi9ï). Alcoolisme E
189G. Janvier : Étendue de 9 notes (ré au mi). Voix forte et juste (
Fig
. 19). En juillet, même état.- 1897. Janvier : Auc
édent 4 notes dans le grave et 2 dans l'aigu. - La voix est fausse (
Fig
. 20). Fig. 19. Fig. 20. Travaux scientifiqu
s dans le grave et 2 dans l'aigu. - La voix est fausse (Fig. 20).
Fig
. 19. Fig. 20. Travaux scientifiques faits dan
rave et 2 dans l'aigu. - La voix est fausse (Fig. 20). Fig. 19.
Fig
. 20. Travaux scientifiques faits dans le servic
es. Planche XVIII. Spécimens de l'écriture DE Dup... (p. ! G3).
Fig
. 1. Premiers essais (novembre 1888). Vigo 2. Ex
ssais (novembre 1888). Vigo 2. Exercice scolaire (novembre 1892).
Fig
. 3. Exercice scolaire (janvier 1898). a o r
olaire (janvier 1898). a o ri " ri 1 1 ri FI' 1
Fig
. L -- Début de l'écriturc de Du., (uo\'. 188t ! )
, hyduUdv* utérines, uwpFialocystis racemosay etc. (*) planche i.
Fig
. i. La figure i représente la masse expulsée vue
xtrêmement petites, affaissées, sur lesquelles nous allons revenir.
Fig
. 2 et i'. Elles représentent deux grappes vésicul
hé a y reconnaître plusieurs feuillets ; il n'en existe qu'un seul.
Fig
. 3. Si l'on écarte les vésicules représentées fig
goureusement, tellement qu'on a pu lui disputer sa qualité de nerf.
Fig
. i. Au-devant de la colonne cervicale, sur la par
ie masqué par l'artère vertébrale AV et l'artère sous-clavière ASC.
Fig
. 2 et 3. La figure 1, qui représente les objets e
récaution, et voici les altérations morbides que j'ai rencontrées :
Fig
. i. Autour du bassinet se voit un foyer purulent
ne cause prédisposante de l'inflammation du rein gauche. Néphrite (
Fig
. 3 - 4-5 ) terminée par suppuration infiltrée : d
les plus remarquables que nous a présentées l'autopsie cadavérique.
Fig
. 6. La figure 6 représente le périnée et les part
introduit par le pertuis O et parcourir toute la longueur du canal.
Fig
. 7. La figure 7 montre une coupe du bassin de l'e
lleurs aucune communication entre les voies urinaires et le rectum.
Fig
. 8. La figure 8 donne une idée parfaite du canal
les narines. Voici la description très-circonstanciée des parties :
Fig
. i et 2. Le cœur C (fig. i ), examiné à l'extérie
sidérables qu'elles n'ont coutume de l'être chez les fœtus à terme.
Fig
. 3. Le défaut de développement des artères et des
orter à la base du poumon dans lequel elle pénètre en se ramifiant.
Fig
. 4- Cette anomalie dans le système artériel du po
s l'épaisseur des valvules conniventes et des parois de l'intestin.
Fig
. i et 2. En déployant le canal mtooûudl, je fus f
surfaces articulaires correspondantes, sont parfaitement indiquées.
Fig
. 2. Elle représente la même jambe vue par sa face
ais que le plan de l'un est à peu de chose près le plan de l'autre.
Fig
. 3. Elle représente les ligamens superficiels de
tre la tête de l'astragale et la peau ^ mais bien un tissu fibreux.
Fig
. 4- Elle représente la mémo amYnlation tibio-tars
anéum; C face postérieure du calcanéum ; FP face plantaire du pied.
Fig
. 5. Elle représente le pied ramené dans sa direct
euxième et le troisième cunéiformes. (planche iv, iie livraison.)
Fig
. i (*). Elle représente le squelette du pied-bot
ition qui est presque constante chez les pieds-bots qui ont marché.
Fig
. 2 (**). Elle représente le pied-bot d'un enfant
t delà malléole interne ; C os cuboïde ; iC, 2G, 3G os cunéiformes.
Fig
. 3. Elle représente l'un des pieds-bots d'un enfa
ore à l'état de cartilage sont configurés d'une manière réciproque.
Fig
. 4« Elle représente une série d'astragales et de
téressantes sous le point de vue de l'amputation partielle du pied.
Fig
. 5 (*). Elle représente le calcanéum et le scapho
ent chronique de la rate. (PLANCHE Ire, FIGURE 4, Iï" LIVRAISON.)
Fig
. 4- La ligure 4 représente la rate d'une malade q
és que l'examen attentif de cette pièce pathologique m'a offertes :
Fig
. i. Elle représente la base du cerveau. La protub
ui ne laisse à découvert que le bord postérieur de la protubérance.
Fig
. 2. J'ai divisé la tumeur et renversé de droite e
oisième partie semblait venir de la moitié droite de la commissure.
Fig
. 3. Elle représente la face supérieure de la tume
ste, même aspect qu'à la face inférieure, mais bosselures moindres.
Fig
. 4- Elle représente une coupe perpendiculaire de
s actuel j'attribue la mort au ramollissement des couches optiques.
Fig
. 5. Les faits de ce genre ne sont peut-être pas a
ées comme par des grains de chaux placés les uns à côté des autres.
Fig
. 3. Mortaise tibio-péronière entièrement encroûté
lantes, les unes en dedans de l'articulation, les autres en dehors.
Fig
. 4. Poulie astragalienne PA entièrement recouvert
ur du tendon d'Achille, masse plâtreuse considérable non adhérente.
Fig
. 5. Rien ou presque rien dans l'articulation des
avec fusion de cinq vertebres (*). ( planche iv, ive livraison. )
Fig
. i. L'individu auquel appartenait cette colonne v
on voit la division pénétrer jusqu'à l'orifice vaginal de l'utérus.
Fig
. i et i' Utérus bifide dans son corps, col et vag
ortionnel à celui du lobe qui contient le produit de la conception.
Fig
. 3. Utérus bifide dans son corps et dans son col,
lui de Boehmer, la cloison s'étendait jusqu'à cet orifice lui-même.
Fig
. 4» Utérus cloisonné, double vagin. — L'exemple l
il n'y a ici, comme dans les cas précédens, qu'une matrice divisée.
Fig
. 5. Utérus cloisonné dans son corps seulement, co
nt été indiquées par Eisenmann dont nous avons reproduit la figure.
Fig
. 6. Utérus biloculaire, — Cette figure représente
térieure du larynx. Erosion de l'épiglotte. —Mort par suffocation. (
Fig
. 3 et 3'.) Un homme âgé de quarante ans, travai
de pus concret en petites masses ou tubercules. Observation Ire. — (
Fig
. i.) Un jeune enfant, âgé de six ans, est appor
aigus dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien. Observation II. —
Fig
. i, i, 4, Pl. il Letouzé , âgé de vingt-neuf an
a-bifida. Méningite sous-arachnoïdienne spinale et ventriculaire (*).
Fig
. i et i. Bégot (Françoise), âgée cle trois jour
Entérite folliculeuse aiguë gangreneuse, forme ataxique, perforation (
Fig
. 2, Planche m) (*). François, domestique, âgé d
e la maladie. — Traces d'une entérite folliculeuse ancienne. (Pl. iv,
Fig
. 2.) Bienavel, âgé de trente ans, menuisier, es
ropisie des ventricules et du tissu cellulaire sous-arachnoïdien.
Fig
. 2. J'ai trouvé la tumeur représentée figure 2 su
eur des facultés intellectuelles. — Affaiblissement de la myotilité (
Fig
. 3 et 3' ). Une femme, âgée de quarante-cinq an
ropisie des ventricules et du tissu cellulaire sous-arachnoïdien.
Fig
. 2. J'ai trouvé la tumeur représentée figure 2 su
eur des facultés intellectuelles. — Affaiblissement de la myotilité (
Fig
. 3 et 3' ). Une femme, âgée de quarante-cinq an
s; 20 des corps étrangers. Occupons-nous pour le moment de l'usure.
Fig
. 2. La troklée fémorale, et principalement le con
été la suite. Déchirure du col de Vutérus pendant l'accouchement. (
Fig
. 41 5. ) La fig. 4 représente la face postérieu
n corps, mais encore aux dépens de la partie supérieure de son col.
Fig
. 2. L'utérus représenté fîg 2. m'a été adressé pa
s nouveautés (xve livraison, planche l) EXPLICATION DES PLANCHES.
Fig
, 1. Caillots de sang autour du cervelet et des lo
acent CC, très injectés. Sang liquide entourant la moelle épinière.
Fig
. 2 et 3. Caillots de sang dans les ventricules du
S CHEZ LE FOETUS, (Pl. II, XVe livr.). EXPLICATION DES FIGURES.
Fig
. 1. Poumons d'un enfant nouveau-né, mort 24 heure
r de cet organe, de même qu'à la superficie, des lobules infiltrés.
Fig
. 2. Thymus très volumineux, dense et d'apparence
, sont complètement imperméables ; ils ont subi l'induration rouge*
Fig
. 5. Elle représente ïe thymus, creusé de loges ou
a fig. 8 présente une coupe du pancréas, qui a l'aspect squirrheux.
Fig
. 4. Les deux poumons, P D, PG, sont infiltrés de
au poumon droit, PD, montre l'état de l'organe dans son épaisseur.
Fig
. 5. Indurations sphéroïdes, grisâtres, demi-trans
t état semble tenir le milieu entre la pneumonie et les tubercules.
Fig
. 6*. Les deux poumons très volumineux, sont compl
Observation 1. Lobules pulmonaires infiltrés de sang, et disséminés (
Fig
. 1, pi II, XVelivr.). Enfant nouveau-né, venu nat
année.) (Planche V, XVe livraison.) (i) EXPLICATION DES FIGURES.
Fig
. 1. Le cerveau vu par sa face inférieure est parf
a protubérance. La saillie des corps olivaires est à peine marquée.
Fig
. 2. Le cerveau est également vu par sa base. Le b
postérieure du bulbe raehidien, BR; les débris du cervelet, DC, DC.
Fig
. 5. Base du crâne. Les fosses occipitales inférie
seur du placenta deux foyers sanguins volumineux, d'une date inégale (
Fig
. 1, fig. 1' F A , F'A'). La fig. 1' donne une i
le du cœur, mais que la péricardite n'avait été nullement reconnue.
Fig
. 1. Cœur de volume ordinaire. Le péricarde présen
tion. Le tissu cellulaire sous-séreux n'est ni infiltré ni injecté.
Fig
. 2. Cœur très volumineux : ce grand volume était
organe. Toutes ces plaques sont entourées d'un cercle brun ardoisé.
Fig
. 1'. Coupe de ce même lobe. On voit que les plaqu
rus que j'ai observé à la Salpêtrièré sur une femme âgée de 75 ans.
Fig
. 1. Tumeur vue de face formée par le vagin renver
ignes parallèles. Ces tubercules appartiennent à l'entrée du vagin.
Fig
. 2. La fig. 2 représente la vessie, le rectum, l'
n'entrent pas plus souvent dans la formation de pareilles tumeurs.
Fig
. 3. La fig. 3 représente l'utérus réduit et vu pa
ur et l'aorte d'un individu sur lequel je n'ai aucun renseignement.
Fig
. i. Le ventricule droit atrophié, VD A, semble n'
s les tubercules de la masse encéphalique, est d'un jaune verdâtre.
Fig
. 2. Masses tuberculeuses TO, TO occupant la face
par la substance même du cervelet, dont il ne reste que des débris.
Fig
. 3 et 3'. Tubercule sphéroïdal T, d'aspect mural,
osseux amorphe; mais nulle part je n'ai trouvé de traces de dents.
Fig
. V. La fig. 5 représente un double kyste pileux (
ar M. Gaffe, membre de la Société anatomique. xviiie livraison. 1
Fig
. 2. Elle représente un kyste pileux R accolé à l'
(XIXe livr., pl. III et IV. ) EXPLICATION DES FIGURES. Pl. III.
Fig
. 1. Main amputée par M. Blandin. Cancer mélanique
face, des lobules violacés à côté de lobules noirâtres et noirs. La
Fig
. 2 représente le cancer mélanique disséqué, isolé
et le nerf médian N intacts et libres au milieu de la dégénération.
Fig
. 3. Cancer mélanique de même nature TM, occupant
même nature TM, occupant la face dorsale du 1er espace interosseux.
Fig
. 4. Tumeur mélanique T' M', occupant la peau delà
e de la plante du pied. (Cette tumeur appartient à un autre sujet).
Fig
. 4'. Coupe de la même tumeur qui était limitée à
u ventricule droit, est remplie de caillots sanguins concentriques.
Fig
. 2. Le cœur, vu par sa face postérieure et largem
é et invagination de Vœsophage. EXPLICATION DES FIGURES. Pl. V.
Fig
. 1. Elle représente un fœtus féminin (1/2 grandeu
assez analogue à celle qui succéderait à une brûlure superficielle.
Fig
. 3. Même enfant vu de face. Sa bouche largement o
se de la Langue L, en haut par le bord adhérent du voile du palais.
Fig
. 4. Grandeur naturelle. Tête vue par la région su
x des vertèbres cervicales, lesquels représentent de petites côtes.
Fig
. 2. Elle représente le fœtus de grandeur naturell
s caractères du tissu de la rate. Je n'ai point trouvé de pancréas,
Fig
. 3. La mâchoire inférieure a été sciée et ses deu
trices du cerveau. Atrophie avec ratatinement des circonvolutions. (
Fig
. i et i'.) Les fig. i et i' représentent l'hémi
e de la substance grise et d'une partie de la substance planche, (i) (
Fig
. i.) Une jeune fille, âgée de vingt ans, domest
der ses urines. Ramollissement amaranthe et hortensia du cerveau. (
Fig
. 3. ) La fig. 3 représente la nuance rouge amar
es pyramides. - Les autres lettres comme pour la figure précédente.
Fig
. 3. Coupe du bulbe à la partie supérieure de l'en
mal vivant et soumis immédiatement à l'action de l'acide osmique.
Fig
. 1. Faisceau de tubes nerveux examiné à un faible
séries '(le 1 seg- ments interannulaires minces et courts, B, B.
Fig
. 3, 4, 5, 6 et 7. Elles représentent les principa
la phase dégénérative. " JI j " »->< ! t -,0' L JI " Il.' -
Fig
. 3. - Segment i ? ztera7nulaii,ealtez'2ztledtgé ?
ires1normaux' entre lesquels est intercalé lel segment' dégénéré. l
Fig
.,4 ? Dicnze lésion que dans la / ! yM ? jt);'ece
entant les vestiges de la gaine de myéline' envoie' de 'résorption.
Fig
: 5. Portion d'un segment interannulaire atteint
renfermant un grand nombre de noyaux colorés en rouge. : , -. · ,
Fig
. 6. Segment interannulaire au niveau duquel la ga
que. C, D, Extrémités de deux segments interannulaires normaux. -
Fig
. 7. Segment interannulaire représenté presque uni
us la gaine de Schwann. C, D, comme dans les figures précédentes.
Fig
. 8 et 9. Elles ont trait à la phase de restaurati
gouttelettes de myéline. C, D, comme dans les figures précédentes.
Fig
. 9. Deuxième étape de la Phase de restauration, l
courts et les noyaux plus abondants que du côté de D. PLAXCUE Il.
Fig
. 10 et il. - Dégénération et restauration associé
et il. - Dégénération et restauration associées sur une même fibre.
Fig
. 10.. - T, portion de fibre normale. - b, portion
e). - A,, cylindre d'axe mis à nu par un accident de préparation.
Fig
, 11. - C, portion de fibre normale. Eotre C et A
courts (phase de-restauration).' Im </\- r. - i nI ! 1 IiI r7
Fig
. 12. Segment interannulaire, en voie de dégénérat
rofonde de cette gaine. <1 ' ' " i ? 1 -1\ i > ! * , d ,f ,
Fig
. 13, 14, 15. Elles représentent les principales p
rincipales particularités des lésions segmentaires circonscrites. -
Fig
. 13. A, noyau normal d'un segment interannulair
étranglement annulaire nettement reconnaissable du seg- ment B. "
Fig
. 14. Portion d'une fibre nerveuse présentant un d
ée normale. En c, ces deux portions se réunissent de nouveau. ' '
Fig
. 15. Deux segments interannulaires limités par le
. E, extrémité du segment B, atteinte de dégénération au début. 4
Fig
. 16. -Fibre nerveuse prise au niveau d'une racine
portions minces intercalées dans la continuité de la fibre.' ' '
Fig
.' 17. Le point B de la figure précédente, examiné
grossissement. A, cylindre d'axe. B, gaine de myéline. c, noyau.
Fig
18. - La fibre nerveuse constituée par des segmen
ment interannulaire. N, N, noyau du segment interan- nulaire. ' '
Fig
. 19. 'Névrite traumatique. - A, portion mince sit
voir, en se reportant à la fig. 4, que plus on s'avancera vers la
Fig
. 4.-Schéma représentant la corne antérieure de la
remier tracé. , Voyons maintenant ce quivasepasserchez l'homme si
Fig
. G. Phénomène du tendon, chez la grenouille. - A,
e a peu : d'influence sur ce nombre; les variations qu'on observe
Fig
. 8. - Trenablement provoqué chez l'homme M : M. V
s chez un hé- miplégique, suivant le procédé employé précédemment
Fig
. 10. -Phénomène du tendon dans un cas d'hémiplégi
ovoque une petite secousse secondaire des muscles postérieurs; il
Fig
. 11. - Phénomène du pied ? P J, tremblement des m
'. , - ". f' '.n nIH : n ? 'Y'-i"'h si ? ? ltlP ! 1ff' ..... 't ?
Fig
. 12 phénomène du, pied chez un paraplégique contr
de secousse provoquée par la contraction de leurs antagonistes. '
Fig
. 13. - T,e»2blen ? eeîl sénile.- M Et tremblement
g, l'amplitude des mouve- ments recueillis doit être plus grande.
Fig
. 14.- Tremblement sénile. B, tremblement du bicep
r d'encéphalite diffuse au voisinage de la substance grise. tl,
Fig
. 1. -A, A, cellules araignées à prolongements ram
des phases encore moins avancées de la formation de ces éléments.
Fig
. 2. - Cellules araignées isolées. Fig. 3. - Un
formation de ces éléments. Fig. 2. - Cellules araignées isolées.
Fig
. 3. - Un capillaire dont la paroi consiste en une
dont la paroi consiste en une cellule à prolon- gements ramifiés.
Fig
. 4. - Capillaire dont les parois ont des prolonge
mosés avec ceux des cellules araignées situées dans son voisinage.
Fig
. 5. Cellule à prolongements traversée par une lum
. Cellule à prolongements traversée par une lumière circu- laire.
Fig
. 6 et 7. - Vaisseaux dont les parois renferment d
ent des noyaux qui proéminent tantôt en dedans, tantôt en dehors.
Fig
. 8. - Cellules nerveuses dont le noyau s'est divi
15), son cerveau, et quelques détails encore, fort intéressants.
Fig
. 45. - Attitude habituelle de Bogdanow. LOCALIS
ne un grand bain d'une heure à 25°, la température tombe à 37°, 6. (
Fig
. 18.) Fig. 18. Chaque ligne verticale répond 1
bain d'une heure à 25°, la température tombe à 37°, 6. (Fig. 18.)
Fig
. 18. Chaque ligne verticale répond 1 5 minutes. x
s hier matin 1 gramme de sulfate de quinine. P. 112; T. A. 39°,2.
Fig
. zut. A., température axillaire. - B, température
pleu- rales. a) L'isthme du gosier, le vestibule du larynx et les
Fig
. 20. - Les signes x indiquent des températures va
cloison inter-auriculaire, vers la partie antérieure de la fosse
Fig
. 21. V. Ir., valvule triscuspide. V. dr., ventric
6 millimètres d'épaisseur ' . 1. Le septum cardiaque est incomplet (
Fig
. 21). Vers la base des ventricules, il présente
n petit pilier charnu qui va se rattacher à la paroi ventriculaire (
Fig
. 22). Si on fend la paroi du ventricule droit e
sa disposition normale, mais ses bords et sa face supérieure sont
Fig
. 22. A, P., artère pulmonaire. Br. g., la branche
mal vivant et soumis immédiatement à l'action de l'acide osmique.
Fig
. 1. Faisceau de tubes nerveux examiné à un faible
s étranglements annulaires bien marqués. (Période de restauration.)
Fig
. 2. Fibre nerveuse vue à un faible grossissement
les représentent les principales étapes de la phase dégénérative.
Fig
. 3. Segment interannulaire atteint de dégénératio
laires normaux entre lesquels est intercalé le segment dégénéré.
Fig
. 1. Mène lésion que dans la figure précédente arr
ésentant les vestiges de la gaine de myéline en voie de résorption.
Fig
. 5. Portion d'un segment interannulaire atteint d
granuleuse renfermant un grand nombre de noyaux colorés en rouge.
Fig
. 6. Segment interannulaires au niveau duquel la g
mique. C, D, Extrémités de doux segments interannulaires normaux.
Fig
. 7. Segment 2-ep-éseité pi-esqee uziqzieî ? Zeïit
us la gaine de Schwann. C, D, comme dans les figures précédentes.
Fig
. 8 et 9. Elles ont trait à la phase de restaurati
gouttelettes de myéline. C, D, comme dans les figures précédentes.
Fig
. 9. Deuxième étape de la phase de restauration, l
et Il. Dégénération et restauration associées sur une même fibre. -
Fig
. 10. - l', portion de fibre normale. - b, portion
ive). .1, cylindre d'axe mis a nu par un accident de préparation.
Fig
. il. - C, portion de fibre normale. Entre C et A
egments interannulaires minces et courts (phase de restauration).
Fig
. IL). Segment intel'aIl1l1tlr¡Í1'e, en voie de dé
a dégénération n'a pas atteint la partie profonde de cette gaine.
Fig
. 13, Il,, la. Elles représentent les principales
principales particularités des lésions segmental1'es circonscrites.
Fig
. 13. A, noyau normal d'un segment interannulair
n étranglement annulaire nettement rcconnaissable du seg- ment B.
Fig
. 14. Portion d'une fibre nerveuse présentant un d
meurée normale. En c, ces deux portions se réunissent de nouveau.
Fig
. 1 Deux segments interannulaires limités par les
ts. E, extrémité du segment B, atteinte de dégénération au début.
Fig
. 16. -Fibre nerveuse prise au niveau\d'une racine
grossissement. A, cylindre d'axe. B, gaine de" myéline. c, noyau.
Fig
. 18. La fibre nerveuse constituée par des segment
nglement interannulaire. N, N, noyau du segment interan- nulairc.
Fig
. 19. Névrite traumatique. - A, portion mince situ
n foyer d'encéphalite diffuse au voisinage de la substance grise.
Fig
. 1. -A, A, cellules araignées à prolongements ram
des phases encore moins avancées de la formation de ces éléments.
Fig
. 2. -- Cellules araignées isolées. Fig. 3. Un c
formation de ces éléments. Fig. 2. -- Cellules araignées isolées.
Fig
. 3. Un capillaire dont la paroi consiste en une c
dont la paroi consiste en une cellule à prolon- gements ramifiés.
Fig
. i. Capillaire dont les parois ont des prolongeme
mosés avec ceux des cellules araignées situées dans son voisinage.
Fig
. 5. Cellule il prolongements traversée par une lu
Cellule il prolongements traversée par une lumière circu- laire.
Fig
. 6 et 7. Vaisseaux dont les parois renferment des
ent des noyaux qui proéminent tantôt en dedans, tantôt en dehors.
Fig
. 8. Cellules nerveuses dont le noyau s'est divisé
t exercés à se tenir sur les jambes à l'aide des barres parallèles (
Fig
. 1), à marcher, soit en les tenant sous les bra
sur de petits fauteuils percés d'un large trou au-dessous duquel
Fig
. 1. - Barres parallèles. - Elles peuvent être rel
une rainure. Ces fauteuils sont revêtus d'un coussin circulaire (
Fig
. 2 et 3). II. Enfants idiots, gâteux ou non, ép
ont été ins- crits dans l'année. Sur ce nombre, 11 sont décédés ;
Fig
. 5. - Ce; solides ont pour but u'aprr ? l1L\coJ a
e par jour (menui- sier, 1 ; cordonniers, 3 ; rempaillcurs, 2 ;
Fig
. fi. - Tableau dans lequel sont sculptés des cr
scolaire de l'école et nous n'y reviendrons plus aujourd'hui. Les (
Fig
. 4, 5 et 6) complètent sur quelques points les
naigrées, eau-de-vie alle- mande, sinapismes, sulfate de quinine.
Fig
. 1. 102 DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. z 8. - Pas
1. - T. R. 38°,2. - Snir : 3ï°,8. z13. - T.R. 37",8. Soir : 37°,6. (
Fig
. 1.) 13. - T. R. 38°, ? . - Soir : 38°. -Le mal
). T. prise sous l'aisselle pendant l'accès : u0°,4. Pouls, après
Fig
. 2. - 0, '1'. une demi-heure après la mort; H,'l'
: 4'lo, ; une demi-heure après : 41°; - une heure après : 39 ? 3. (
Fig
. 2). DE l'épilepsie PROCURSIVE. 105 ion de l'
rait comme un fou dans la chambre, se cognant aux personnes qui se
Fig
. 3. 138 DE l'épilepsie PROCURSIVE. trouvaient
l, cire lui-même ses souliers ; il ne sait pas très bien se vêtir. (
Fig
. 3). 30 mars. - Conjonctivite. - Affaiblissemen
ses; oreilles bien développées, détachées; lobule semi- adhérent.
Fig
. 4. 140 DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. DE L'ÉPILE
tre- rait 3 fois sur 1.000 et 858 fois du côté gauche. T-'f/.N.
Fig
. foi ECTOPIE TESTICULAIRE ; PHIMOSIS. 199 L'a
e du second, et possède un petit os libre, non articulé en Fit 7.
Fig
. 8. 214 polysarcie; myopie ; strabisme. ' arr
hauteur de la fossette de la vésicule biliaire au côlon transverse (
Fig
. 9). Notons qu'il ne s'agit pas de ce pseudo-mé
me, tandis qu'elle est constante chez certaines espèces animales,
Fig
. 9. C. Colon. - E. Epiploon cystico-cô ! ique. V.
ntrai une vésicule pour ainsi dire presque enclavée dans le foie.
Fig
. 10.-rC, Colon. -E Epiplo-cyslico-eùliquc.- V. V,
ire ; cette disposition est montrée dans une des figures ci-jointe (
Fig
. 11). Dans ce cas, le côlon trans- verse semble
e atteint d'idiotie congénitale. - Néanmoins le retard de la pre-
Fig
. 12. DE LA DENTITION DES IDIOTS. 229 mière de
etardée. Du reste, comme nous le disions tout à l'heure, les ano-
Fig
. 13. Fig. 14. Fig. 15. 230 DE LA DENTITION
reste, comme nous le disions tout à l'heure, les ano- Fig. 13.
Fig
. 14. Fig. 15. 230 DE LA DENTITION DES IDIOTS.
omme nous le disions tout à l'heure, les ano- Fig. 13. Fig. 14.
Fig
. 15. 230 DE LA DENTITION DES IDIOTS. malies p
d'autres anomalies et en par- ticulier au géantisme des molaires. {
Fig
. 14, 15, 16, 17), - Le géantisme est un peu moi
obable que dans certains cas on observe une fusion de deux dents.
Fig
. 16. rr ? m. DE LA DENTITION DES IDIOTS. 231
3 °/o)- L'implantation est aussi très souvent irrégulière (34 ? )
Fig
. 18. - 1 ig. 19. 232 DE LA DENTITION DES IDIO
(34 ? ) Fig. 18. - 1 ig. 19. 232 DE LA DENTITION DES IDIOTS. (
Fig
. 19), mais les anomalies de siège sont rares etto
, mais les anomalies de siège sont rares ettou- jours peu marquées (
Fig
. 20). - De toutes les irré- gularités des dents
80 °/0) et portent principalement sur les incisives et les canines (
Fig
. 21). Des anomalies, l'auteur passe aux lésions
ulsions, et les convulsions entraîneraient toujours des érosions.
Fig
. 20. Flg. 21. DE LA DENTITION DES IDIOTS. 2a3
persistance de ce qui existe au mo- ment de l'éruption des dents. (
Fig
. 18 et 22). Jamais on ne rencontre les sillons
éréditaire. Les sillons longitudinaux sont extrêmement fréquents,
Fig
, 22. 234 4 DE LA DENTITION DES IDIOTS. 41 0/0
ine (45 0/0). Quant il la carie et au tartre, bien que fréquents,
Fig
. 23 Fig. 24. DE LA DENTITION DES IDIOTS. 23
0/0). Quant il la carie et au tartre, bien que fréquents, Fig. 23
Fig
. 24. DE LA DENTITION DES IDIOTS. 235 ce son
de niveau entre les branches homologues de la mâchoire supérieure (
Fig
. 23 et 24). La seconde consiste dans une sorte
hancrure dont les dessins ci-dessous donnent une excellente idée (
Fig
. 25, 26 et 27). A côté des résultats statistiqu
téresse à la fois l'anthro- pologiste, le médecin et le dentiste.
Fig
. 27. FOLIE DE l'adolescence. 237 IX. Folie
ant en gros les chiffres afin de mieux frapper l'attention visuelle. (
Fig
, 1.) Fis. 1. Vient ensuite le boulier à tring
tout son possible pour se tenir debout et « éc/!a?igfer » les pieds. (
Fig
. 2). Phil.... (Geneviève), 8 ans. Entrée en oct
ature s'élève, l'état de mal est cons-titué et la mort peut arriver. {
Fig
. 1). Mais le plus sou-vent la période convulsive
es partiel-les, roidour de la nuque, injection oculaire, grincement
Fig
. 4. — Température de Mai*.. de dents, raies car
la mort avec une élévation de la température qui atteint jusqu'à 40° [
Fig
. S), 41° et même 4-2", ou bien tous les symptômes
tômes se dissipent progressivement, la température redevient normale {
Fig
. 3). Le traitement, varie. Naturellement on a r
nt une disposition spéciale sur laquelle nous reviendrons plus loin. (
Fig
. 5). Les yeux ont un iris brun foncé, des pupil
terno-masloïdicn huit cicatrices de ganglions anciennement suppures. (
Fig
. 6) Rkflexions. — I. Au point clo vue de l'héré
père, et enfin deux cas do gémellarité dans la famille maternelle.
Fig
. 5. — Tuliour..., cicatrices du cou. II. La gro
n supérieure suivant un triangle dont le sommet correspondrait à la
Fig
. 7, — Tabour.,. a l'âge de 2 ans. région fronta
âtisme. 1893. Janvier. — La teigne, qui est localisée à la partie
Fig
. 8 . — Tabour...à 6 ans 1/2, en 1894, supérieur
s très fort. — 0 juillet, un autre accès. — 15 juillet, nouvel accès (
Fig
. S). 1895. Janvier. — Corps, aisselles, pénil,
des bâtons sur l'ardoise. 1901. — Continuation du même traitement. (
Fig
. 9). 1902. Mai. — La cataracte de l'œil gai? ch
. La température oscille autour de 37°. La tension artérielle et le
Fig
. 0. — Tabour...à 13 ans, en l90i. pouls sont no
ans, en l90i. pouls sont normaux. L'examon des urines est négatif. (
Fig
. 10, Fig. 11, Fig. 1903. 7 janvier. — L'amaigri
90i. pouls sont normaux. L'examon des urines est négatif. (Fig. 10,
Fig
. 11, Fig. 1903. 7 janvier. — L'amaigrissement e
uls sont normaux. L'examon des urines est négatif. (Fig. 10, Fig. 11,
Fig
. 1903. 7 janvier. — L'amaigrissement est consid
essous de 37°, est descendue hier à 35°, 5. Elle est aujourd'hui de
Fig
. 10. — tabour... en \ 0:1. 35° G et 35° 2. Le p
de dégé-nérescence graisseuse, pas de tubercules. — Raie, de volume
Fig
. 12. — Taboiir... en 1002. normal, sans rien de
te en des lésions pathologiques acquises do l'encéphale. Fhj. 13.
Fig
. 14. V. — Mais ce qui fait surtout l'intérêt de
ux d'autre part. Le cordon latéral a la forme d'un triangle avec un
Fig
. 1, 2, 3, 4. Coupes de la moelle de Dépr... Sclér
le de Dépr... Sclérose combinée tabétique. Coloration de Weigert.
Fig
. 1. La sclérose occupe la zone avoisinant le sill
ordon de Goll. La sclérose latérale est très légère et marginale.
Fig
. 2. La sclérose latérale occupe surtout le territ
térale occupe surtout le territoire du faisceau cérébelleux direct.
Fig
. 3. La sclérose latérale occupe le faisceau céréb
térale occupe le faisceau cérébelleux direct et la zone pyramidale.
Fig
. 4. La sclérose des cordons postérieurs est surto
s cas de dilatation du canal épendymaire, dans les scléroses combi-
Fig
. 5, 6 et 7. Gor... Sclérose combinée tabétique (C
dente en ce qui concerne le faisceau pyramidal antérieur. 10 il
Fig
. 8, 9, 10, 11. Bits... Sclérose combinée tabétiqu
tales étudiées au point de vue médico-judiciaire, th. Lyon, 1891.
Fig
. 1. - Empreinte du 30 mai 1901. Poids : 59 kilo
n, 1891. Fig. 1. - Empreinte du 30 mai 1901. Poids : 59 kilogr.
Fig
. 2. Empreinte du 30 mars 1903. Poids : 52 kilog
aspect de massues, ou un aspect piriforme, ou un aspect en XVII 1
Fig
. 1. - Cellule de la partie périphérique du tuberc
rme et à dimension variables. - Outre les formations sus-indiquées,
Fig
. 2.- Cellule ner- veuse de la partie périphér
ériphérique du tu- bercule quadriju- meau antérieur du lapin.
Fig
. 3 ? Cellule nerveuse de la partie périphérique
sortie du corps cellulaire, commencent par donner un nombre assez
Fig
. 5. - Cellule des tubercules quadrijumeaux postér
drijumeaux postérieurs (V. fig. 6), où saute aux yeux surtout à un
Fig
. 6. - Cellule des tubercules quadrijumeaux postér
ando et l'on tombe sur une tumeur dure du volume d'une petite noix (
Fig
. 1). Son aspect est blanc crayeux et elle ne tr
; pas d'agglutination de l'intestin. Pas de néoplasie viscérale.
Fig
. 1. - Coupe horizontale demi-schématique de l'hém
seuses. Il n'y a pas de zone inflam- matoire en dehors de la coque (
Fig
. 2). (1) Les préparations et l'examen microscop
ns nous exprimons ici à M. Taty nos sentiments de reconnaissance.
Fig
. 2. - Coupe de la tumeur : 1, substance grise ; 2
, tissu ostéoïne. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE 115
Fig
. 3. - Insula droit : atropine et raréfaction des
15 Fig. 3. - Insula droit : atropine et raréfaction des cellules.
Fig
. 4. - Insula gauche : altérations cellulaires, in
ltrée. Infiltration leucocytaire intense de la substance blanche.
Fig
. 5. - Lobe cérébelleux gauche. Fig. 6. - Lobe c
tense de la substance blanche. Fig. 5. - Lobe cérébelleux gauche.
Fig
. 6. - Lobe cérébelleux droit. TUMEUR CÉRÉBRALE
(coupe de la circonvolution directement au-dessous de la tu- meur) (
Fig
. 3). La substance grise est diminuée d'épaisseu
sont plus déformées et au- tour d'elles il y a de nombreux noyaux (
Fig
. 4). Cervelet droit. - Cet hémisphère est le si
e visibles sont pulvérulentes; forte infiltration d'éléments ronds (
Fig
. 5 et 6). Cervelet gauche. Persistance des cell
e de la moitié droite du bulbe et atrophie nette de l'olive droite (
Fig
. 7). Moelle. - Semble avoir souffert dans tous
le avoir souffert dans tous ses éléments, mais la corne an- xvu 8
Fig
. 7. - Coupe du bulbe au niveau du tiers inférieur
ans le faisceau de Gowers, l'autre s'appuie sur la par- XVII 19 1
Fig
. 4, 5, 6, 7 et 8. - Coupes de la moelle de Luis H
SOli ellt()III',lg", cl'adlJlit, dédJll'alt SUIIIIII ? était 1'1 ?
Fig
. 1. 1-'ig. 2. Fig. 3. Fjg. 4. Fis. 5. 3
cl'adlJlit, dédJll'alt SUIIIIII ? était 1'1 ? Fig. 1. 1-'ig. 2.
Fig
. 3. Fjg. 4. Fis. 5. 310 TOPORKOFF propre.
uver la coupe d'au moins quelques fibres nerveuses isolées. Sur une
Fig
. 1. Chiasma de tabes-cécité (coupe frontale) :
e a été faite, non pas exactement perpendiculaire à la direction du
Fig
. 2. 366 LÉRI tronc nerveux, mais un peu obliq
es existent encore dans tous les faisceaux, mais assez peu nombreu-
Fig
. 3. , Nerf optique d'une atrophie tabétique env
Abolition des réflexes tendineux. Atrophie musculaire peu marquée.
Fig
.. l'et]i2. HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE ET PATIIOGÉN
uit presque entièrement (PI-LI11-A) Elle manifeste ici une tendance
Fig
. 3 à 6. - Poch..... Schémas destinés à montrer la
, car il n'y a guère de zones en voie de dégénères- A 13ESs.1)I z
Fig
. 7,- Coupe de la moelle cervic. de Poch... Grossi
spensable. Elle est malheureusement bien difficile à donner en rai-
Fig
. 9. - Pér... Cavité bordée par une fine membrane
aux autres cavités médullaires le terme de fausses syringomyélie
Fig
. z Fyé... Syringomyélie (empruntée à la thèse de
ascularisée elle est aussi plus fragile, (1) G. IIusEH, loc. cil.
Fig
. 11. - Syringomyélie (tb. de G. Hauser). En un po
lie, de caractères distinctifs suffisants pour lui valoir une place
Fig
. 12. - Névrome de régénération du sillon antérieu
ntante chez les maniaques et les para- lytiques généraux excités.
Fig
. 4. 420 JOFFROY Mais je dois aussi vous rappe
mots; comme si la plume avait eu de la peine à s'arrêter. Le papier
Fig
. 2. TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE
nnées, peu de temps après le début de la maladie. Il témoigne, tant
Fig
. 3. Fig. 4. Fi £ ". 5. . 422 JOFFROY par
de temps après le début de la maladie. Il témoigne, tant Fig. 3.
Fig
. 4. Fi £ ". 5. . 422 JOFFROY par la forme q
d'éducation tendent à disparaître ; ils on complètement disparudans
Fig
. 6. Fig. 7. TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAR
n tendent à disparaître ; ils on complètement disparudans Fig. 6.
Fig
. 7. TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAROLE El' DE
maladie. Voici par exemple une malade âgée de 33 ans et dont l'af-
Fig
. S. - Ecriture spontanée. Fig. 9. - Ecriture co
malade âgée de 33 ans et dont l'af- Fig. S. - Ecriture spontanée.
Fig
. 9. - Ecriture copiée. TROUBLES DE LA LECTURE,
ndre mot, pas même son propre nom (tig. 13). xvn 28 42b JOFFROY
Fig
. 12. - Ecriture de la malade un an environ avant
la malade un an environ avant le début de la paralysie générale.
Fig
. 13. Ecriture de la malade 18 mois après l'appari
aire pendant à ce que j'ai dit sur l'aphasie, il me reste à envisa-
Fig
. 94. Il 19. 1b. 428 , JOfFROY ger un ordre
Lv Uv VUIIW;ICIIG Ut7V1116 ensuite 0117pletepenclantquelduessecon-
Fig
. 16. Fig. 17. Fig. 19. TROUBLES DE LA LECTU
W;ICIIG Ut7V1116 ensuite 0117pletepenclantquelduessecon- Fig. 16.
Fig
. 17. Fig. 19. TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA P
V1116 ensuite 0117pletepenclantquelduessecon- Fig. 16. Fig. 17.
Fig
. 19. TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE
s généraux. Je me résume en vous rappelant que les symptômes qui se
Fig
. 19. 430 -" JOFFROY Fig. 20 TROUBLES DE LA
vous rappelant que les symptômes qui se Fig. 19. 430 -" JOFFROY
Fig
. 20 TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE
de persécution, de suicide. Améliorée par l'isolement, elle rentre.
Fig
. 1. TROUBLES VASO-MOTEURS CHEZ UNE HYSTÉRIQUE 4
enve- loppements ouatés n'arrivent pas à le réchauffer (fig. 3).
Fig
. 2. 462 GENÉVRIER Pendant que nous assistions
eler que le spasme vasculaire peut être considéré comme la cause de
Fig
. 3. TROUBLES VASO-MOTEURS CHEZ UNE HYSTÉRIQUE 4
ades de la section). Le système d'évacuation est muni d'un syphon. (
Fig
. 1, D, D.) L'once renferme le fourneau, servant
it même occasionnels. Leurs autres enfants étaient bien portants.
Fig
. 1. L'accouchement eut lieu au forceps. -A la n
sous lessterno-cléido-mastoïdiens et les clavicules. (Voir fiy. 3).
Fig
. 3. - Figure montrant la trachée, la langue, l'ab
grosse molaire manquent, la deuxième et la dernière sont cariées.
Fig
. 4. - Cette figure représente trois cas d'idiotie
é- plorables (logement humide, etc.), et la 'mère soupçonne qu'il
Fig
. 5. - Th... à l'âge de 4 ans. aurait eu à cette
de lait persistent en avant des dents définitives correspondantes.
Fig
, 7. - Cette figure représente trois cas d'idiotie
physionomie de l'enfant reflétait assez exactement ses sentiments.
Fig
. S. - Th... à l'âge de 21 ans (mai 1882). Aujou
on, mais un arrêt de développement complet; la peau y est épaisse
Fig
. 9. - Th... à l'âge de 21 ans (mai 1882). et ps
r l'érysipèle, l'état général est bon. T. R. 380 ? - Soir : 38°6.
Fig
. 10. - Th... l'ââe de 22 ans (octobre 1883). Il
e a repris son aspect habituel. Le malade est levé.' T. R. 31°,4.
Fig
. II. Th... à l'âge de 23 ans (novembre 1884). l
était glabre, ainsi que le visage et les aisselles. Pas d'onanisme,
Fig
. 22. - Le crétin des Batignolles. r pas de ti
psie, pratiquée par 11. Nauwerk, on constata les faits suivants :
Fig
. 13. - Malade opéré par M. Sick. Rigidité cadav
s. 8o Kocher. - Femme, trente-huit ans; tumeur colloïde, extirpa-
Fig
. 14. - Elle représente une opérée (cas 9) de M. K
, cette malade a été photographiée à côté de sa soeur cadette (voir
Fig
. 14). Avant l'opération les deux soeursse resse
res sont égaux, malgré l'inégalité qui semblait exister à la vue.
Fig
. 15.- Réduction d'un tiers. Protubérance. Elle
d'eux. de la dimension d'un noyau de cerise,occupe le centre même
Fig
. 16. - Réduction d'un tiers. de la protubérance
thral. ( ? ) Entre les branches du V, on trouve une saillie rosée. (
Fig
. 18, Il,) Membre inférieur droit. La hanche dro
re- ment bleuâtre, rappelant l'aspect de certaines phlyc- tènes. (
Fig
. 18, A.) L'abdomen est très large, mesure plus
la vessie et des organes génitaux, qui présentent des anomalies.
Fig
. 19. 6, Gland ; le prépuce est ramené en arrière
l est question plus haut, on constate l'existence d'un gland bien
Fig
. 20. - 1, Coupe transversale du rectum. - 2, Vess
rne du service. INCLUSION DE la VERGE. 201 en arrière du gland (
Fig
. 19).Une sonde introduite dans le canal de l'ur
uretère est très sinueux, dilaté, de la grosseur d'une plume d'oie (
Fig
. 20, 11). Les deux testicules (Fig. 20, 9) se t
e la grosseur d'une plume d'oie (Fig. 20, 11). Les deux testicules (
Fig
. 20, 9) se trouvent sur les côtés du bassin. La
eurement, montre une large communication avec une sorte de cloaque (
Fig
. 21, 5) qui lui est commun avec l'extrémité inf
202 fibro-sarcome. la vessie, se trouve une tumeur bourgeonnante (
Fig
. 21 et 22, 1,3), d'aspect sarcomateux. Cette tu
ur de plus de 3 centimètres. La tête du fémur est à peu près nor-
Fig
. 22.- 1, Rectum ouvert montrant les végétations d
par la disposition sinueuse de l'uretère droit de calibre excessif (
Fig
. 20) qui semble s'être ainsi développé en compe
ive. - , T. aussitôt après la mort.+ T. 8 heures après la mort.
Fig
. 25.-Tempéralure dans un état de mal terminé pa
firmerie. T. R. ce matin à 8 heures et à midi 38°. - Soir : 38°,6. (
Fig
. 26). 16 nov. La journéo d'hier a été assez bon
ent ; pupilles moyennement dilatées, la gauche un peu plus que la
Fig
. 26. Température dans un état de mal terminé par
à 3 et à 6 heures : 39°,8 ; - à 9 heures : 40°; à minuit : 40°,4. (
Fig
. 26). 18 nov. Malgré le traitement, le coma n'a
son ensemble nous présente une élévation rapide do la température (
Fig
. 26). Nous rapprocherons de ce tracé celui que
es sept der- nières heures qui ont précédé la mort. L'abaissement
Fig
. 27. - Température dans un état do mal épileptiqu
nerveux et névrogliques ne participent guère au processus inflam-
Fig
. 4. Circonvolutions motrices gauches, prises à le
taches, visibles sur le cerveau avant toute préparation, sont exac-
Fig
. 5. Un des foyers d'oedème de la figure précédent
e. Sur les dissociations des deux nerfs en question, ainsi que de
Fig
. G Méninge et racine antérieure (5e cervicale). A
a est-il un peu granuleux. Sur les coupes Archives, t. XXVII. 2 ,
Fig
. 7. Sillon antérieur de la moelle (région dorsale
t peu de cellules rondes ; elles ne contiennent pas de capillaires.
Fig
. 8. - Artère cérébrale postérieure. Péri-artérite
e, dans les veines, qui sont la source des hémorrhagies méningées
Fig
. 10. - Uze veize postérieure de la pie-mère rachi
noyaux arrondis, les uns appartiennent aux corps granuleux tandis
Fig
. 14. Coupe de la région inférieure du bulbe; sclé
11 n'y a que très peu de méningite comparativement à l'intensité
Fig
. 15. Moelle cervicale; lésions vasculaires dans l
l'écorce qui sont cachées dans les sillons sont absolument saines,
Fig
. 16. Une partie de la coupe représentée par la fi
la juxtaposition de deux faisceaux complètement individualisés. ,
Fig
. 2 . - 1/70. Deux gros névricules constituant le
périneuriale est plus épaisse du côté malade que de l'autre. ' ·
Fig
. 3. 1/500. Grand foyer composite appartenant au t
La gaine lamelleuse (1) est intacte. v, v, v, Vaisseaux. , >1
Fig
. 4. 1/500. Le reticulum mésoneurial (ni) avant la
au renferment de belles cellules endo- théliales granuleuses (c).
Fig
. 5. 1/150. Un petit foyer mésoneuritique composit
rmations périvacuolaires; c, formation péricellulaire. 1 , 111, 1
Fig
. 6. 1/200. Foyers mésoneuritiques à centre nucléa
s à centre nucléaire; a, foyer simple; b, foyer composé.. , 1 « .
Fig
. 7. 1/300. En a, un nodule mésoneuritique dont la
b, le reticulum initialavec ses cellules granuleuses. s' ' ' ' '
Fig
. 8. -1/250. Un nodule mésoneuritique « en toile d
« en toile d'araignée » avec bloc vitreux central (a). " ' 1 , 1
Fig
. 9. 1/250. Petit foyer mésoneuritique composé à c
soneuritique composé à centre cellu- laire (a) et hyalin (b). . ,
Fig
. 10. 1/200. Nodule à structure tourbillonnante av
tourbillonnante avec bloc central vitreux (a) fortement nucléé. '
Fig
. 11. 1/200. Un nodule mésoneuritique à noyau clav
e vitreuse (u). En m, reticulum mésoneu- rial. ' ' PLANCHE -II.
Fig
. 12. - 1/f50. Conglomérat mésoneuritique composit
he superficielle du faisceau. En b deux cellules indifférentes. ,
Fig
. 13. 1/300. Un beau nodule mésoneuritique cellulo
sièrement granuleux (lymphe coagulée ou détritus cellulaire ? ).
Fig
. 15. 1/500. Un petit faisceau nerveux aplati (f)
um s'y montre surchargé de noyaux. ? - T t .7.1 > . « -<, z
Fig
.16.- 1/500.1" Grossissement de la zone B delà fig
age bordée des deux côtes par une couche mésoneu- riale dense. - `
Fig
. 17. 1/300. Un petit bloc hyalin légèrement strié
renfermant deux cellules accolées (c) et une vacuole (v). - ->
Fig
. 18. 1/400. Un nodule isolé contenant deux cellul
v. Capillaire ectasié avec tuméfaction de ses cellules pariétales.
Fig
. 20. 1/400. Un foyer périneuritique demi-typique.
ur de ses fibres corticales..... , si - .1 -,\ v. , , ? -a '. 1 -
Fig
. 21. 1/400. Type du foyer péri)zeue,iliqte. , Il
amincis et rares. ? 1 -.14,1. lé . 1 ? t'" a.j,>>>W5 .r1
Fig
. 22. 1/400. Premiers rudiments d'un nodule mésone
paroi de cette cavité. n', noyau libre, 1 -nun -)"b <- ! 9·r,c;3
Fig
. 28. 1/400. Un dépôt hyalin creusé d'alvéoles rég
aplatis et constituant presque à lui seul la totalité du foyer, 01
Fig
. 24. 1/400. Début de la stratification autour d'u
1/400. Début de la stratification autour d'une cellule centrale.)}
Fig
. 25, 26 et 27. 1/400., Trois coupes transversales
én- Au-dessous de ce point on observe une dégénérescence, descen-
Fig
.-il. , ; r. "v ? ' ' : 1 ? Observation III. C
·aliozz de~Pal ? " (Obj.O',oc.IVf;rick.) ,. ? t "' > . ? Vf, r
Fig
. 93.t-Coupe pratiquée, au niveati, de la, sixième
solument cette ** 0 'f 1,1 n . W · Il v,tn)t11 * iUtitJttJ Ai ? l
Fig
. 20. Coupe pratiquée au niveau'de'la deuxième' ra
non;' le protoplasma est clair ? hyalin' et parsemé de petits frag-
Fig
. 22. Coupe longitudinale pratiquée dans le faisce
nne gauche. Ces artères présentent une endartérite trôs'mar-'1' ' `
Fig
. 23. Cellules des cornes antérieures/dont, deux p
Toutes les circonvolutions présentent la,même lésion ,vasculaire,
Fig
. 25 : - Vaisseaw pris- dans la' substance grise'
ES ? PLANCHES. -.i>l ""i h - tr ? 1'L1\CHE.I ? w . , , -t .r-.
Fig
. 1. -1/70. Groupe névriculaire composant'le popli
juxtaposition de deux' faisceaux complètement individualisés ? ' ,'
Fig
. 14 1 IT 1 .1, - . 1, .-l du lioplUé Fig. 2.' 1
nt individualisés ? ' ,' Fig. 14 1 IT 1 .1, - . 1, .-l du lioplUé
Fig
. 2.' 1/70. Deux coiistittiaiit le tronc du poplit
ire; bb, formations périvacuolaires; c, formation péricellulaire.
Fig
. 6 ? 1/200.' Foyers mésoneuritiques à centre nucl
, foyer simple; b, foyer composé. 480 explication DES planches.
Fig
. 7. 1/300. En a, un nodule mésoneuritique dont la
treuse. En b, le reticulum initial avec ses cellules granuleuses.
Fig
. 8. 1/250. Un nodule mésoneuritique « en toile d'
ue « en toile d'araignée avec bloc vitreux central (a). ' '3 ,.
Fig
. 9. 1/250. petit foyer mésoneuritique composé, à
mésoneuritique composé, à centre cellu- laire (a) et hyalin (b).
Fig
. 10. - 1/200. Nodule à structure tourbillonnante
c bloc central vitreux (a) fortement nucléé. -" ' ? K Iw*-» ' ? "
Fig
. 11. 1/200. Un nodule mésoneuritique à noyau clav
ES PLANCHES. 481 .. ` ' 1 & ., . I" , . · ? J' .r ? ? ) ? 1
Fig
. 12. 1/450. Conglomérat mésoneuritique composite
uche superficielle du faisceau. En b deux cellules indifférentes.
Fig
. 13. 1/300. Un beau nodule mésoneuritique cellulo
ux déve- loppé pour ainsi dire à même dans le reticulum primitif.
Fig
. 14. 1/300. Un foyer demi-mésoneuritique, demi-pé
sièrement granuleux (lymphe coagulée ou détritus cellulaire ? ).
Fig
. 15. 1/500. Un petit faisceau nerveux aplati (y)
degré d'atrophie et l'endoneurium s'y montre surchargé de noyaux.
Fig
.l6.- 1/500. Grossissement de la zone B delà figur
artage bordée des deux côtés par une couche mésoneu- riale dense.
Fig
. 17. 1/300. Un petit bloc hyalin légèrement strié
t strié renfermant deux cellules accolées (c) et une vacuole (u).
Fig
. 18. 1/400. Un nodule isolé contenant deux cellul
ente déjà ici une certaine tendance à la constitution lamelleuse.
Fig
. 19. 1/400. Un foyer intermédiaire comme position
v. Capillaire ectasié avec tuméfaction de ses cellules pariétales.
Fig
. 20. 1/400. Un foyer périneuritique demi-typique.
1, , 1 ? z corticates. ? .. - r 4r , .T. ? ;- t4 : ,tlCt'r ab ? ,
Fig
.i2l. 1/400. Type du foyer jOM' : 7 : eM ? Me. -11
· r . - . 1 ' ''*<- `'j°' '*}' nv - t "< ? . '1 ) ' ? f 1 '
Fig
. 22. 1/400. Premiers rudiments d'un nodule mésone
pliqué contre la paroi de cette cavité. ? ? noyau libre. ? "' ' '
Fig
. 28. 1/'f00 : Un dépôt hyalin creusé d'alvéoles r
- 1/400. Début de la stratification autour d'une cellule centrale.
Fig
. 25, 26 et 27. 1/400. Trois coupes transversales
e matin à 7 heures 11` ? , dans le coma. T. R. post mortem.40 ? 8. (
Fig
. 1). Les accès d'épilepsie ont eu la marche sui
d'anormal, tant à la surface que dans les noyaux gris cen- traux. (
Fig
. 2.) Hémisphère droit. A travers les méninges,
iminuée d'au moins des deux tiers de son volume et déformée. La ;
Fig
. 2. C, Corps calleux. - CS, Corps strié. z 0, Cou
nvier. La température est en plateau, à 37°,G. L'en- fant se lève. (
Fig
. 4). 14 février. L'enfant sort de l'infirmerie.
, mange un peu de viande rôtie; la température se maintient à 3s°. (
Fig
. 5.) 25 janvier. Sirop d'iodure de fer, vin de
ts iodé). La courbe thermométrique se maintient uniformément à 37% (
Fig
. 6.) 7 février. La respiration est redevenue no
e quinquina). La courbe thermométrique se maintient autour de 38°. (
Fig
. 7.) 30 janvier. La température est stationnair
a succombé aux convulsions le troisième jour après la naissance.
Fig
. ROUGEOLES SIMPLES. 107 Notre malade. La gros
la partie relative à la descente progressive de la tempéra- ture (
Fig
. 3, 4, 5, 6 et 7). II. Cas de rougeole avec com
reux râles sous-crépitants fins. T. Ho 3J°,G. - Soir : T. R. 40°.
Fig
. 8. rougeoles compliquée. 111 19 Janvier. T.
à la base du poumon gauche. La température oscille autour de 38°. (
Fig
. 8). 31 Janvier. - Le souffle s'est accentué du
nts très fins et superficiels, simulant des frottements pleuraux;
Fig
, 9. ROUGEOLES COMPLIQUÉES. 117 i A droite, l'
. La courbe thermométrique oscille de 1 ou 2 degrés autour de 38°. (
Fig
. 1». 5 février. La poitrine est sonore des deux
acultés intellectuelles. 26 mars. T. R. 37°,8. - Soir : T. R. 40°. (
Fig
. 10). 27 mars. L'enfant qui avait abondonné le
depuis ce matin. T. R. 38°,4. (Julep kermès). -Soir : T. R. 39",4. (
Fig
. 4Gj. 21 janvier. L'éruption est assez confluen
éatose. Rate, 50 gr. ; reins, pancréas, normaux. L'intestin grêle
Fig
. 12. DIARRHÉE CONSÉCUTIVE. 131 est légèrement
T. R. 39 ? ? . (Lotions vinaigrées, toniques.) - Soir : T. R. 40°. (
Fig
. 13.) 28 janvier. La voix est éteinte. La respi
aquilin ; la bouche très large ; les joues sont très épaisses ; .
Fig
. u. 138 ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. les lèvres moye
Amélioration. T. R. 39°,8. Même traitement. - Soir : T. R. 10°,4. (
Fig
. 15). 18 janvier. Depuis hier, la température q
tho- rax ; 12 ventouses sèches des deux côtés de la poitrine, si-
Fig
. 15. ROUGEOLES COMPLIQUÉES. 143 napismes aux
riasis, dont il a été question plus haut. La mère pense que l'en-
Fig
. 17. 150 ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. fant a été con
erminée, cependant la courbe thermométrique oscille autour de 39°. (
Fig
. 18.) Respiration encore légèrement rude à gauc
iode prodromique a pu être mieux suivie et plusieurs de nos tracés (
Fig
. 7, 10, 15, 17) nous mon- trent des oscillation
)'iode de défervescence. Dans quelques cas (voir entre autres les
Fig
. 37, 39, 40),elle a directement continué la chu
érup- tion et a oscillé pendant quelques jours entre 38° et 40°. (
Fig
. 5,8,9, 10, 11, etc.); mais, dans cette catégorie
s fera saisir les différences que nous cherchons à faire ressortir.
Fig
. 1. — Pneumonie catarrhale^chcz un enfant. Guéris
atarrhale^chcz un enfant. Guérison. (Ziemssen). Jours.. 1 2 3 4 5 6
Fig
. 2. — Pneumonie catarrhale chez une femme de 83 a
. — Pneumonie catarrhale chez une femme de 83 ans. Mort. (Charcot.)
Fig
. 3. — Pneumonie lobaire, chez un enfant de 3 ans.
hez un enfant de 3 ans. Guérison. (Ziemssen.) Jours 1 2 3 4 5 6 7
Fig
. 4. — Pneumonie lobaire, chez un homme de 38 ans.
par Aitken). Charcot. Œuvr. compl. t. vu. Malad. desVieillards. 3
Fig
. 5. — Pneumonie lobairc, chez une femme de 75 ans
ament est suspendue, vous voyez la température s'élever de nouveau.
Fig
. 6. — Pneumonie lobaire traitée par la digitale,
observations ont été recueillies à la Salpétrière. Jours. 2 3 4.
Fig
. 8. — Pneumonie lobaire, chez une femme de 83 ans
ujours au fond les mêmes, et obéissent à des lois identiques. Comme
Fig
. 9. — Pneumonie lobaire, chez une femme de 69 ans
femme de 69 ans. Mort avec élévation de la température. (Ghargot.)
Fig
. 10. —Pneumonie lobaire, chez une femme de 75 ans
—Pneumonie lobaire, chez une femme de 75 ans. Guérison. (Ghargot.)
Fig
. 11. — Pneumonie lobaire, chez une femme de 75 an
ormal ; 2° d'une dilatation variqueuse de leurs vaisseaux (Lebert).
Fig
. 12. — Rhumatisme articulaire aigu. Surface du ca
seule est restée normale, et renferme une petite masse cellulaire.
Fig
. 13. — Rhumatisme articulaire aigu. Surface du ca
ormer des abcès péri-phériques qui entourent l'articulation malade.
Fig
. 14. — Section perpendiculaire à la surface du ca
ques. 11 est extrêmement probable que sous cette dénomination, on a
Fig
. 15. — Section d'un cartilage goutteux, perpendic
synoviale, cependant les cartilages diarthro-diaux étaient érodés.
Fig
. 16. — Représentation, en partie schématique, de
able à celle du mucus. Telle est la première période de la maladie.
Fig
. 17. — Endocardite aiguë. Coupe de la valvule mit
la plu-part des caractères que nous avons décrits sont conservés ;
Fig
. 18. — Premier type. Dans la seconde, on voit m
alan-gette sur la phalangine, et alors le dos des doigts de la main
Fig
. 19. — Première variété du premier type. paraît
pe. paraît excavé à partir de la tête saillante des métacarpiens.
Fig
. 20. — Seconde variété du premier typ'e. Second
langes, qui se portent visiblement vers le bord cubital do la main.
Fig
. 21. — Second type. Ce type peut offrir, comme
, mais il y a en outre extension des phalangines sur les phalanges.
Fig
. 23. — Seconde variété du second type. Nous ne
e des déviations des doigts de la main; mais que devient le pouce ?
Fig
. 22, '. — Première variété du second type. C'
l n'existait aucune lésioifrécente capable d'expliquer ces accidents (
Fig
. 25). Fig. 25. Tout à l'heure, je ferai resso
aucune lésioifrécente capable d'expliquer ces accidents (Fig. 25).
Fig
. 25. Tout à l'heure, je ferai ressortir l'utili
ment à peu près constant de la température au-dessous du taux normal (
Fig
. 26). Fi/. 26. — Courbe de la température du re
s fort grossissement (200 diamètres), chacun de ces festons arrondis (
Fig
. 27, V) donnait naissance à des houppes soyeuses
e dirigeaient du côté des cellules de cartilage libres de tout dépôt (
Fig
. 27, 0). A la limite du dépôt, entre les cellules
es et les portions noires d'urates, se trouvaient des masses opaques (
Fig
. 27, N et Fig. 28, C) ayant la forme et le volume
ions noires d'urates, se trouvaient des masses opaques (Fig. 27, N et
Fig
. 28, C) ayant la forme et le volume des cellules
paraissaient toutes les formes cristallines propres à l'acide urique (
Fig
. 27, v) et lorsque tout était dissous il restait
e du cartilage en lais-sant les cellules noires et encore incrustées (
Fig
. 28, c"). Puis la membrane des cellules commençai
sauf un point au centre du noyau. restait opaque un certain temps (
Fig
. 28, c"). Bientôt les urates renfermées dans le n
ne du noyau et le nucléole qui devenait transparent, en dernier lieu (
Fig
. 28, c1"). Nous avons répété un grand nombre de f
été un grand nombre de fois, et à de longs intervalles de temps, la
Fig
. 21. — Coupe perpendiculaire à la surface articul
ux semblaient, au pre-mier abord, placés dans l'intervalle des tubes {
Fig
. 3) ; mais, par l'addition de l'acide acétique et
t siégeait manifeste-ment dans l'intérieur même des tubes urinifères (
Fig
4). Quant à l'altération des reins qui accompag
r les oreilles externes de nombreuses concrétions d'urate de soude.
Fig
. 2. — Main gauche d'une femme de quatre-vingt-qua
erbauer et Charcot ad nat del. Imp Becquet à Paris PLANCHE III.
Fig
. 1. — Néphrite goutteuse. — Segment de coupe du r
représentés à un grossis-sement de 150 diamètres dans la figure 3.
Fig
. 2. — Tube urinifère contourné de la substance co
emplies de granulations graisseuses (grossissement, 300 diamètres).
Fig
. 3. — Cristaux d'urate de soude D, formant le dép
en A, figure 1. (Coupe de la substance tubuleusc grossie 150 fois.)
Fig
. 4. — Cette figure est relative à une période de
nifères G ( coupe du rein vue à un grossissement de 200 diamètres).
Fig
. 5. — Franges synoviales de l'articulation du gen
et dont la main gauche est représentée dans la planche I, figure 2.
Fig
6. — Oreille gauche du nommé I. M..., ancien coch
PLANCHE IV FiG. 2, 4. — Déformations articulaires du deuxième type.
Fig
. 1, 3. — Déformations articulaires du premier typ
euxième type. Fig. 1, 3. — Déformations articulaires du premier type.
Fig
. 5. — Déformations articulaires du premier type.
du premier type. Fig. 5. — Déformations articulaires du premier type.
Fig
. 6. — Main atteinte de nodosités d'Heberden. Fig.
res du premier type. Fig. 6. — Main atteinte de nodosités d'Heberden.
Fig
. 7. — Doigt atteint de nodosités d'Heberden. CH
ommunication inférieure par deux petites galeries perpendiculaires (
Fig
. 1.) Le troisième bâtiment a été élevé sur le p
rolonge- ment du bâtiment des Écoles, sans solution de conti- I
Fig
. 1. - Bâtiment à usage des dortoirs pour les enfa
z-de-chaussées des dortoirs déjà faits, briques apparentes, etc. (
Fig
. 2 et 3). Dans l'axe, motif avec couronnement,
a d'augmenter le nombre des vitrines des deux musées. Les murs du
Fig
. 2. Le premier étage est affecté au musée; le rez
veillant, d'une superficie de 63 mètres, avec escalier indépendant (
Fig
. 3). Les murs do cet étage, pour le dortoir, so
tamment pour le transport du linge et du charbon aux calorifères.
Fig
. 3. Plan des musées (tracé supérieur, des dortoir
s et présentent une paroi formée par une seule couche de cellules. (
Fig
. 2). Fig. 2.-Coupe de la tumeur. Les cellules,
tent une paroi formée par une seule couche de cellules. (Fig. 2).
Fig
. 2.-Coupe de la tumeur. Les cellules, C, sont arr
s pyramides ainsi que les noyaux bulbaires ne sont nullement lésés (
Fig
. 3). L'examen histologique du nerf optique démo
u nerf optique démontre l'existence Bourneville, Bicêtre, 1890. 4
Fig
. 2. * 50 Autopsie. d'une atrophie caractérisé
r structure normales. Le corps pituitaire n'offre pas de lésions.
Fig
3 .- Coupe du bulbe et du 4 ventricule faite au n
a cause des 1 II1nl' ll/'S du cet velet, constatées à l'autopsie.
Fig
. 4. - Face convexe du crâne de Ber... 52 Réflex
56 Description dû malade. mation trico1'l.oâphalique de la tête (
Fig
. 5) . L'enfant ftit élevé au sein par sa mère j
e très accusé. C'est un beau type de déformation trigonocéphalique (
Fig
. 5). La base du prisme est constituée par la ré
s, un petit piqueté hémorragique dans l'épaisseur de la substance
Fig
. 5. nILNI\GO-P\CPH : 1LIT. 61 1 corticale. Le
sans difficulté ce qui exclut l'idée d'une pré- sentation vicieuse (
Fig
. 5). V. Le strabisme convergent constituait un
tement découvertes. Le menton est un peu pointu et porté en avant. (
Fig
. 6.) . 124 Microcéphalie. La mâchoi1'e supéri
deux sont .morts) sur lesquels on ne donne pas de renseignements.
Fig
. S. IDIOTIE myxoedémateuse. 211 Mère, 40 ans,
in- telligence se développe. Sens spéciaux normaux; rien à l'oph-
Fig
. 9. 218 IDIOTIE myxoedémateuse. thalmoscope.
terons-nous de reproduire la photographie de son sixième malade (
Fig
. 9). Dans les réflexions dont M. Stirling a fai
nus qui présente une petite hémorroïde. Les aisselles sont glabres (
Fig
. 10 et il.) Puberté. Tout a fait : \.ira part
. le poids et la taille ont subi les modifications suivantes : ..
Fig
. 13. 228 Idiotie MYXOEDÉMATEUSE. nous allons
tte planche représentent l'enfant d'Ars ? (Observation, p. 33). ,
Fig
. 1. ? D.r.s : ...i1-l'â.gc de.0 ansj il-est en ro
Fig. 1. ? D.r.s : ...i1-l'â.gc de.0 ansj il-est en robe de gâteux.
Fig
. 2. Dars... à l'âge de 10 ; il est devenu propre
.. à l'âge de 10 ; il est devenu propre et a été mis en pantalon.
Fig
. 3 et 4. L'enfant est représenté nu afin de donne
ner une idée exacte de sa paralysie. Il avait 9 ans. Planche I.
Fig
. 1. Fig.3. Fig. 2. Fig. 4, 232 Explicatio
idée exacte de sa paralysie. Il avait 9 ans. Planche I. Fig. 1.
Fig
.3. Fig. 2. Fig. 4, 232 Explication des plan
te de sa paralysie. Il avait 9 ans. Planche I. Fig. 1. Fig.3.
Fig
. 2. Fig. 4, 232 Explication des planches. .
aralysie. Il avait 9 ans. Planche I. Fig. 1. Fig.3. Fig. 2.
Fig
. 4, 232 Explication des planches. . PLANCHE I
tmosis II, que les barbares du Haut-Nil n'observaient plus les con-
Fig
. 60. — Hatshopsitou, relue de la ls* dynastie ihé
ts notre attention, c'est la représentation de la reine Hatshopsitou (
Fig
59} telle que nous la donnent deux dessins de M.
Naville ('), l'autre d'après une autre photographie de M. de Mertens (
Fig
. 60) (a). Oesfigures ornées d'une barbe, comme le
mme ceux d'aujourd'hui la préoccupation de faire des portraits res-
Fig
. 61. — La reine Ahmasi. mère de la reine Hatshops
urvue. Ce qui le prouve, c'est que ni le portrait de la reine Ahmasi (
Fig
. 61), mère d'Hatshopsitou. ni celui de la reine M
ys, dont elle ne saurait redouter ni domination, ni asservissement.
Fig
. 65. — Monnaie de Magnésie du Sipyle. Un grand
econnaître en Vénus ce double caractère sexuel, les hommes s'habil-
Fig
. 86. — Statue trouvce;dans l'ile doJCbypre, « Ath
divinité androgync dans la belle statue dont nous donnons le dessin (
Fig
. 66). Plusieurs détails de la coiffure et du co
tributs masculins et de caractères féminins. Dans la ligure votive (
Fig
. 67), trouvée à Amrit, dans un caveau funéraire,
est livré dans l'ile de Chypre à des fouilles personnelles poursui-
Fig
. 03. — Apnrodue barbue d'Ainalhonie. (M. de Cesno
e couleur qui figurerait l'existence des poils de la région pubienne (
Fig
. 68). Les nombreuses figures votives et les div
erveilleuse chevelure, ayant osé disputer a. Minerve la palme de la
Fig
.70. — Gorgone archaïque barbue (Grèce!. (Musée du
s, ces artistes grecs ne songaientqu'à produire un effet d'horreur.
Fig
. 72. — Gorgone barbue [type gréco-asiatique). D
yle gréco-asiatique en donne quatre aux Gorgones. La Gorgone gravée
Fig
. 73. — Gorgone barbue (type européen). sur une
— Gorgone barbue (type européen). sur une calcédoine de Panticapée (
Fig
. 72.) est ornée de ces ailes. La barbe est égalem
donne une très bonne représentation de ces Gorgones du type européen (
Fig
. 73.). Ce qui caractérise cette figure, c'est la
figures au nombre desquelles se trouve une Gorgone très remarquable (
Fig
. 74.). Le décorateur de ce vase a donné à son suj
us ne chercherons pas les motifs qui ont pu inspirer l'artiste dans
Fig
. 76. — Dieux lares (Musée du Louvre). la concep
lesquelles les artistes ont associé les caractères des deux sexes.
Fig
. Buste de per-onnage barbu avec un sein 'le femme
eau bénite. C'est un article de la foi catholique que les démons ne
Fig
\ 78. — Un demoo femelle. Figure du Moyen-Age. p
s figures sont entourées. Nous nous bornerons à faire remarquer que
Fig
. s3..— F.on guoslique. Femme avec do la barbe, mé
Les documents authentiques qui proviennent du procès des Templiers
Fig
. Si. — Figure de Baphomet. (de Hammcr). Fig. 85
procès des Templiers Fig. Si. — Figure de Baphomet. (de Hammcr).
Fig
. 85. — Figure de Baphomet. (de Hammen. révèlent
qui avait été donnée Fîg. 86. — Figure de Baphomet. (de Uammerf.
Fig
. 87. — Figure do Baphomet. (de ¡I i ¦¦ : de c
'est livré sur les lieux mêmes à de patientes investigations, a dé-
Fig
. SS. — Figure de Bapliomei iM. Migaardl. montré
racieuse figure de la Sainte, peinte par Lutolff, en 1673. Un grand
Fig
. 9?. Sainte Liberala. — Tableau do I.ùtoUT (1673)
DrVa WILgoforiIs, nLIlcr Llhcrata Sponsa IcsV, Virgo, et Marillr.
Fig
. 03. Sainie Wilgeforte. — Prague (XTO* siècle).
ne des images vraiment curieuses de sainte Wilgeforte est celle qui
Fig
. 94. Sainte Wilgeforte (Sainte Débarras). (Eglise
fut préservée. En 1796, lorsque Saint-Etienne fut réconcilié, on la
Fig
. 95. Sainte Affligée. — Eglise Loretto (Prague).
rrassée par le ciel d'un prétendant, elles l'implorent, elles, pour
Fig
. 96. Christ habillé de Lucques (Itallui. être d
urait la plus puissante divinité masculine des Tyriens. des Carlha-
Fig
. 98. — Idole Juive. Astar é. (Expose ca ISO/1 au
s adorateurs, sans cependant abandonner la religion de leurs pères.
Fig
. 99.— Camée romain, représentant Astarté. . Dan
nt adorée sous le nom d'Astarté. C'est ce que nous apprend le grand
Fig
. 100. — Mlle y «Iben, femme à barbe, igte de 65 a
re du visage recouvert d'une barbe symbolique en forme de croissant. (
Fig
. 99.) Dans une étud'e récente sur la Venus i;,
femmes a barbe ne sont que des individus mâles, doués d'une confor-
Fig
. 102- Mme K..., femme a barhe, âgée de 40 ans. 19
miration d'un grand nombre de Parisiens qui ont fréquenté sa maison. (
Fig
. 103.J Elle n'éprouvait aucune gêne à porter sa
ciseaux. Mme D... s'est montrée particulièrement féconde. Elle n'a
Fig
. 103. Mme D., femme à barbe, àjfOe de Mus. ISS».
lèvre supérieure et le menton. Pendant quarante ans, elle combattit
Fig
. 101. Mme Lcslienne. femme à barbe. agée de GO an
cessent que lorsqu'elles se décident à le laisser croître librement. (
Fig
. 104). Sa mère et sa sceur étaient également ag
moelleuse, le dessin est correct et le coloris d'une grande vérité.
Fig
. IdO- Margr«t HbImIxt, âgée de 75 ans, Sladl Suer
ar son puissant intérêt artistique que par sa valeur psychologique.
Fig
. 103. Madeleine Ventura, femme à barbe âgée de M
complet des phénomènes qui caractérisent l'icliotie myxxdèmateuse. (
Fig
. 1). Tète longue, avec une proéminence assez pr
arcades sourcillières, légèrement saillantes, vont en s'effaçant
Fig
. 1. - Wa... en 1887 (11 ans et demi). IDIOTIE M
ins sont nuls ; les grandes lèvres BOURIEVILLE, Bicêtre., 18S9. 5
Fig
. 2. - W..., à 14 ans (mai 1839). G6 CLINIQUE.
labre, ainsi que les aisselles et toute la peau, jamais de sueurs. (
Fig
. 2, 3 et 4). W... fait de petites commissions,
section ont pu le constater eux-mêmes, présente toujours le même
Fig
. 3. - \V..., à 14 ans (mai 1889). IDIOTIE myxoe
érieure du crâne. - Les cheveux sont peu abondants et courts à la
Fig
. 5. Y... X..., en 1889. IDIOTIE MYXOEDEMATEUSE.
ui se reproduisent sans cesse. La physionomie est sans expression. (
Fig
. 5, 6 et 7). Les paupières, boursouflées, sont
que des racines. La première dent serait sortie vers vingt mois.
Fig
. G. - ... ..., en 1889. 72 CLINIQUE. Le cou
remière dent à 13 mois. 11 aurait été bien portant jusqu'à 14 mois (
Fig
. 8), époque où il aurait eu des convulsions qui
e sa mère; en la voyant, il pleure d'une manière stridente, comme
Fig
. 8. - Bour ? 1 ? à 14 mois. IDIOTIE MYXOEDÉMATE
est couvert de petites croûtes et de squames. - Le front a 4 cen-
Fig
. 9. - l3our..., F., il ans et demi. 78 CLINIQUE
La circula- tion et la respiration n'offrent rien de particulier.
Fig
. 10. - 13our..., F., à 4 ans et demi. 80 CLINIQ
gles sont à peine formés. (Ils ne se voyaient pas à la naissance). (
Fig
. 11 et 12). Fig. 12. - Bour..., 5..., à six moi
formés. (Ils ne se voyaient pas à la naissance). (Fig. 11 et 12).
Fig
. 12. - Bour..., 5..., à six mois. 86 CLINIQUE.
nton; - pas d'otite; - plusieurs fois des furoncles un peu partout (
Fig
. 13). - Mat. - M. le D1- Briand, ayant eu l'obl
cuir chevelu, se desquamant et se reproduisant. Sourcils clairs.
Fig
. 13. - Cab..., à G ans et 10 mois.. IDIOTIE MYX
allongé et un peu relevé à la pointe, les cheveux bruns et fins.
Fig
. 14. - Cab..., à 6 ans et 10 mois. 92 CLINIQU
chez les autres malades. Le regard est vague, mais peut être fixé (
Fig
. 14, 15 et 16). ILIOTIE MYXOEDÉMATEUSE. 93
mpérature rectale prise cinq minutes après l'attaque est de 380,5. (
Fig
. 17 et 18.) 11 mai.- (10 h. 5). Attaque commenc
a poussé une courte exclamation « Ah ! » et est tombé sur le dos.
Fig
. 17. - Attitude du crucifiement. l'ig. 15. - Ar
t pas avoir de parents à Paris, car. son corps n'a pas été réclamé.
Fig
. 19 - Deb... avec sa pipe et sa canne. CACHEXIE
ceux de tous les autres malades dont nous avons publié l'histoire (
Fig
. 19, 20, 21,22). Taille, 0m,915; poids, 24 kil.
, très épaisses, l'inférieure plus que l'autre (15 millim.); celle-
Fig
. 20. CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 177 ci est en ou
les malades atteints d'une perturbation du PARAPLÉGIE SPASMODIQUE
Fig
. 1. - Pied au repos. Fil : ). 2. - Pied au moment
ce phénomène faisait défaut ; néanmoins, comme il est Badinai. 7
Fig
. 3. Hémiplégie gauche organique un an après son d
ski, l3ull. de la Soc. méd. des hôpil. de Paris, 3o juillet 1897.
Fig
. 4. Hémiplégie gauche organique un an après son d
intéressante à deux points de vue : d'une part, Fit. 5. Fiv. si
Fig
. n. Fig. 8. TUMEUR DU CORPS PITUITAIRE SANS A
te à deux points de vue : d'une part, Fit. 5. Fiv. si Fig. n.
Fig
. 8. TUMEUR DU CORPS PITUITAIRE SANS ACROMÉGALIE
n du système pyramidal ? c'est ce qui me parait fort contestable.
Fig
.9- SUR LE SPASME DU COU 261 Pour ces diverses
n doit suivre, et le but est toujours atteint. L'occlusion des yeux
Fig
. 10. Physionomie du malade au repos. Fig. 1 J
. L'occlusion des yeux Fig. 10. Physionomie du malade au repos.
Fig
. 1 J. OBSERVATION PRINCEPS 287 n'accentue pas
tenir son équilibre, un individu normal (voir fig, 15). Il tombe en
Fig
. 12. Attitude du malade sur le dos faisant effort
du malade sur le dos faisant effort pour se mettre sur son séant.
Fig
. 13. -titude d'un sujet sain faisant effort pou
mouvement des membres inférieurs se décompose d'une l3ewss,. la
Fig
. n. - Attitude du malade dans la station debout
arrière et à courber le tronc dans le même sens en forme d'arc.
Fig
. t5. Attitude d'un sujet sain dans la sta- tion
arrière et à courber le tronc dans le même sens en forme d'arc.
Fig
. 16. Attitude du malade pendant la marche, souten
faisceau longitudinal postérieur, on aperçoit des faisceaux longi-
Fig
.. 2 1. Fig. 17, 18, 19, 20. Coupes du Bulbe. Fi
gitudinal postérieur, on aperçoit des faisceaux longi- Fig.. 2 1.
Fig
. 17, 18, 19, 20. Coupes du Bulbe. Fig. 21. Coupe
faisceaux longi- Fig.. 2 1. Fig. 17, 18, 19, 20. Coupes du Bulbe.
Fig
. 21. Coupe de la Protubérance. 3oo AFFECTIONS D
est fléchi sur la jambe et les orteils sont étendus sur le pied. La
Fig
. 22. (Obs. I). Contracture des membres inférieurs
affaiblie, surtout à droite, et des phlyctènes se sont développées
Fig
. 23 (Obs. I). - La place de la tumeur est indiqué
umeur est indiquée en pointillé. Compression de la protubérance :
Fig
. 24 (Obs. I). Compression du bulbe et refoulement
ageotte que je tiens à remercier de sa précieuse collaboration. .
Fig
. 25 (Obs. I). La tumeur pénètre dans le grand sil
le à ce qu'il est au moment de l'entrée de la malade à l'hôpital.
Fig
. 26 (Obs. II). - Coupe au niveau de la 7e paire
foulée et comprimée par la tumeur, présente un aspect scléreux.
Fig
. 27 (Ohs. II)). Coupe au niveau de la il, paire
' - Elle revient dans le milieu de l'année 18g6. 13Am,sli.¡, 21
Fig
. 28 (Obs. III). Coupe au niveau de la 2e paire
au niveau de la 2e paire dorsale. Plaque de sclérose intense. 1
Fig
. ag (Obs. III). Coupe au niveau de la GB paire
nservée, qu'à la face antérieure où cette sensibilité est abolie.
Fig
. 3o. Obs. I. Tact. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 3
ces deux cas, il existe donc une anesthésie étendue qui intéresse ,
Fig
. 31. - Obs. I. Température. : . 364 P ¡1H11P LÉ
endineux sont exagérés ; la trépidation épileptoïde est forte et en
Fig
. 32. - Obs. IL Tact. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES
les phénomènes observés. La conservation des réflexes tendineux est
Fig
. 33. - Obs. Il. Froid. 366 PARAPLÉGIES AFFE
st due à leur résistance plus grande ou à leur situation spéciale ;
Fig
. 311. - Obs. III. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 367
et sur la plus grande partie du domaine de la III" sacrée gauche.
Fig
.35. - F..., 6 ans. Paralvsie médul- laire. Trou
édul- laire. Troubles de la sensibilité tactile et douloureuse.
Fig
. 36. E..., 62 ans. Paralysie médul- laire. Trou
ong supinateur. Les autres muscles de l'avant- Badinski. a5 -fi
Fig
. 07. - E..., 62 ans. Parai vsio médul- ]air(,.
go6 ; vol. XXIX, p. 6t8-6cg). Nous nous empressons de les signaler.
Fig
. 3). S..., Syringomyélie. Troubles de la sensib
g. 3). S..., Syringomyélie. Troubles de la sensibilité thermique.
Fig
. (o. S..., Syringomyélie. Troubles de la sensib
Paris, 10 février et 14 avril 19 to, in Revue Neurologique, 1910).
Fig
. 4 t. Topographie de l'anesthésie. a) Anesthési
or- male. ' , c) Bande d'hypoesthésie. d) Point douloureux. «
Fig
. (¡2. a) Anesthésie complète. , e) Régions où
(fig. li4 et 51 G) autour de laquelle s'était faite une hémorragie
Fig
. 44. Fig. 45. Fig. 46. 1 ifi. 114. Méningit
et 51 G) autour de laquelle s'était faite une hémorragie Fig. 44.
Fig
. 45. Fig. 46. 1 ifi. 114. Méningite de la bas
tour de laquelle s'était faite une hémorragie Fig. 44. Fig. 45.
Fig
. 46. 1 ifi. 114. Méningite de la base englobant
méningé qui enserre la partie supérieure de la moelle cervicale.
Fig
. 45. - Moelle cervicale (face antérieure) la dure
t blanchâtre; C. 5. 5e racine antérieure; D. l. ? e racine dorsale.
Fig
. 116. Moelle cervicale (face postérieure) ; la fu
gite, comme cela a déjà été signalé dans quelques cas; il n'y a pas
Fig
. 4. - 7e segment cervical : coupe colorée à la mé
s cordons postérieurs : A. arachnoïde; D. dure-mère; P. pie-mère.
Fig
. 48. 6e segment cervical ; la coalescence des mén
D. dure-mère; P. pie-mère; Zm. zone marginale de démyélinisation.
Fig
. 4g. 5e segment cervical, coloration au Marchi :
urs que nous avons pu utiliser pour la localisation de la lésion.
Fig
. 50. 40 segment cervical : anneau méningé complet
yramidaux ; la zone de démyélinisation marginale ZM, est intense.
Fig
. 51. - Exubérance des méninges qui englobent une
iveau la partie antérieure de la moelle est fortement déprimée. ,
Fig
. 52. Coupe du bulbe passant par la partie inférie
ète de la moelle ; et, en fait, cette forme peut se rencontrer. En-
Fig
. 53. Myélite transverse Fig. 511. Tumeur cWra-d
, cette forme peut se rencontrer. En- Fig. 53. Myélite transverse
Fig
. 511. Tumeur cWra-duremé- rienne comprimant la
arré, Jarkowski, Société de Neurologie, 10 février et 4 avril 1910.
Fig
. 55. Tumeur intra-duremé- rienne au niveau du 4
eur intra-duremé- rienne au niveau du 4 et 5e seg- ment dorsal.
Fig
. 56. Tumeur intra-duremé- rienne 5e segment dor
es sensitives, elles épargnent la substance grise, malgré leur lon-
Fig
. 57. Tumeur extra-duremé- rienne comprimant la
Babinski, Lecène et Jarkowski, Revue Neurologique, agi4, n° 12.
Fig
. 58. Tumeur intra-duremé- rienne au niveau de l
ression d'une tumeur. Un prolongement semble pénétrer dans le canal
Fig
. 5g. Obs. I. Mme B. Troubles sensitifs à tous l
es jours l'état de la malade ne fait que s'aggraver : la paraplégie
Fig
. 60. Obs. II. Mlle B. Schéma des troubles de la
bilité est conservée beaucoup mieux; au-dessus d'une ligne horizon-
Fig
61. 1. Limite de l'hypoesthésie. Limite de l'
de l'anesthésie « instable » passe à 3 centimètres et demi au-des-
Fig
. 62. Mme G... Radiographie faite le 3o mars 1926,
r l'excitation du tronc jusqu'à la limite indiquée dans le texte.
Fig
. 63. Mme G... Radiographie faite le 3o mars 1926,
« Crins sur la peau. Cicatrisation de la plaie sans incidents. »
Fig
. 64 M ? G... Radiographie faite le 3 mars L926, 3
à l'état des réflexes de défense et à l'évolution de l'affection.
Fig
. 65. Vlme G... Schéma des troubles de la sensib
vait dit la malade et ce que M. Foix a confirmé dans Babinski. 27
Fig
. 66. Mme G... Radiographie faite le 1er juillet 1
ubles sudoraux s'étendant jusqu'à la ligne mamelonnaire ont apparu.
Fig
. 67. 422, PARAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE
Babinski. Réflexe de défense. Revue Neurologique, yuQ-y5 et 1922.
Fig
. 68. 428 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELL
rs, surtout à droite ; elle s'atténue progressivement vers le haut,
Fig
. (3o. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 4g notamment à
4 logements de sous-employés. — Construction d'une petite buanderie {
Fig
. 1 et 2, p. cxv et cxvi.) qui a commencé à foncti
. Rendue à sa famille qui la réclame le 7 décembre. Amélioration.
Fig
. 1. — Buanderie. Fig. 2. — Buanderie. Sur les
qui la réclame le 7 décembre. Amélioration. Fig. 1. — Buanderie.
Fig
. 2. — Buanderie. Sur les 174 idiotes ou imbécil
normaux. — Sait lire, écrire, faire les trois premières opérations. [
Fig
. 3, 4 et 5). Traitement.-— Elixir polybromuré,
°,8 ; — un quart d'heure après, 37°,8 ; — deux heures après, 37°,5.
Fig
. 4. — Bar... Juin 1895. Juillet.— Même état (le
juin 1896 : 259 accès ; — Janvier-juin 1897: 439, soit 180 en plus). (
Fig
. 6, 7, et 8.) — Suppression des pilules. — Élixir
ir polybromuré (1 à 4 cuillerées de 2 gr, 25 chaque), douches, etc.
Fig
. 5. — Septembre 1895. 1898. Janvier. — B... s'a
demande aux infirmières : « Voulez-vous être mon père, dites ? » —
Fig
. V. — Mars 1897. accès en 1898 (432 de moins qu
oins qu'en 1897) l'enfant incline de plus en plus vers la déchéance. (
Fig
. 10.) Puberté. — Léger duvet sur la lèvre supér
qu'il vient de dire. — Sa tenue et son attitude laissent à désirer. (
Fig
. G, 7, S ct'J ). 1899. Janvier. — Malgré la dim
abiller. 1900 Janvier. —Puberté. Face, membres, aisselles, thorax
Fig
. 7. — Août 1897. etc., glabres. Poils d'un à tr
écriture est devenue à peu près nulle Le catcut est nul depuis 1897. (
Fig
. 11.) 1901. Afai. — La lecture courante est de
ise. Il est plus gai. — Août. — Physionnomie hébétée, bouche ouverte.
Fig
. 12.) 1er décembre. —B... est incapable de trav
eut plus rien faire en classe. Il réclame des cahiers bien qu'il en
Fig
. 9. — Bar,., en novembre 1807, ait un devant lu
se penchent en avant. - . / ........ .......? '........... .....—
Fig
. 11. — Écriture en décembre 1900. 1902. Janvier
i. — Le malade s'affaisse, marche la tête inclinée, le corps penché. [
Fig
. 12.) Fiq. 12. — Bar... en août 1001. Juin. —
out travail, n'arrive plus à reconnaî-tre ni son chemin, ni son lit. (
Fig
. 13.) 1903. Janvier. — Aggravation, B... ne res
es 1/2 de l'après midi. — Du 1er au Bourxeville, Dicêtre, 1904. G
Fig
. 14. — Bav... en janvier 190i. 1/2 h. - .......
t gor-gées de sang. La partie médiane de l'occipital est légèrement
Fig
. 15. — Bar... en .janvier 100i imbriquée sur la
rtour osseux où la transformation en os la rend un peu plus épaisse. (
Fig
. 16.) La perte de substance osseuse a une forme
qui s'étend en arrière sur le cervelet et les pédoncules cérébraux,
Fig
. 17. — Base du cerveau Uc Dan..., (Réduction eu l
ayonne encore vers les vallées de Sylvius,etla convexité du cerveau. [
Fig
. 17.) Sur la face convexe des hémisphères, en e
M. Monod a pratiqué (20 mai 1898) la craniectomie sur le côté droit. {
Fig
. 16.) Cette opération n'a déterminé qu'une très m
°,2 et 37°,4. Du 2 au 5 octobre, elle oscilla entre 37°,6 et 37°,8 {
Fig
. 18). C'était le début de la fièvre typhoïde qui
u tracé du 2 au 8 octobre sur laquelle nous voulons arrêter spécia-
Fig
. 18 lement l'attention. Durant les quatre premi
de trois feuillets sur lesquels nous avons fait écrire notre malade (
Fig
. 1, 2 et 3). M. Mesnet, dans son mémoire si émi
rents 11) MesneL. — Loc. cit. (Un. Mêd.), p. 20 du tirage à part.
Fig
. 1. — Écriture de Poig... pendant le somnambulism
Fig. 1. — Écriture de Poig... pendant le somnambulisme hystérique.
Fig
. 2. — Suite de la chanson commencée dans la Figur
le haut de la nouvelle page n'était pas Vierge de tous caractères.
Fig
. 3. — Accentuation el ponctuation ajoutées par le
s lignes dont nous donnons plus loin le fac-similé (Voyez planche II,
Fig
. 1). Etant dans l'état de veille, il a mis sept m
a remplacé le mot fond par celui de sein, ainsi qu'on le verra sur la
Fig
. 2 (planche II). Une fois ce sonnet ainsi écrit
rétrécissement du champ visuel, de 30° à gauche, de 50° à droite (v.
Fig
. 1) et une dyschromatopsie presque complète : la
hromatopsie presque complète : la malade ne voit plus que le rouge.
Fig
. 4 — Champ visuel de Marguerite Dia... dans l'éta
ite) et la malade distingue parfaitement bien toutes les couleurs (v.
Fig
. 5). Fig. S. — Champ visuel de Marguerite Din..
malade distingue parfaitement bien toutes les couleurs (v. Fig. 5).
Fig
. S. — Champ visuel de Marguerite Din... dans l'ét
s, c'est là un document bien intéressant. Oct. 1889. Nov. 1889.
Fig
. 6. —A. État normal, latent depuis nov. 1869, mai
gurés sur ce schéma. X. Phase de transition. La figure ci-contre (
Fig
. 6) peut servir à schématiser la vie de Marguerit
cissement du champ visuel très prononcé (25° à gauche, 30° à droite) (
Fig
. 7) avec dyschromatopsie complète Charcot, t. ii.
niveau du vertex, l'autre au niveau de la région ovarienne droite.
Fig
. 7. — Champ visuel de Marie Hab... dans l'état vi
perdus à gauche, l'odorat est simplement plus faible de ce côté (Voir
Fig
. 8!. Il n'existe, d'autre part, aucun trouble d
, aucun trouble de la motilité qui distingue cet état du précédent.
Fig
. 8. — Champ visuel de Marie Hab... dans l'état no
e, écume aux lèvres, etc.. 1853. 1884. 1884-85. 1885. 1891.
Fig
. 9.— A. État normal, latent depuis 1885, mais rep
rc de cercle. Comme chez la précédente malade, la figure ci-contre (
Fig
. 9) peut servir à schématiser la vie de Marie H..
écissement irrégulier du champ visuel (v. fig. 10). Dyschromatopsie
Fig
. 10.— Rétrécissement irrégulier du champ visuel d
e le côté gauche. On y remarque, empiétant sur la ligne médiane (voir
Fig
. 18) et la repoussant à gauche à un centimètre en
de ce nodule, montre qu'il correspond en réalité à un néoplasme (voir
Fig
. 19) situé dans le lobe droit de la protubérance,
e Mûller et le durcissement complété par la celloïdine et l'alcool.
Fig
. 11. Fig. 12. }. Olives. 1. Tubercule. 2. Noy
et le durcissement complété par la celloïdine et l'alcool. Fig. 11.
Fig
. 12. }. Olives. 1. Tubercule. 2. Noyau du fac
inaison des olives, point de jonction de la protubérance et du bulbe [
Fig
. 11) jusqu'à cette partie de la protubérance qui
s débordent un peu sur la ligne médiane, dans la partie inférieure.
Fig
. 13. pig, 1. Nerf moteur oculaire externe 1. Dé
ure apparaît très peu au-dessus du bord inférieur de la protubérance (
Fig
. 12), elle se montre sous forme d'un petit noyau
au-dessus, le tubercule acquiert déjà un diamètre plus considérable (
Fig
. 13), 1 centimètre à peu près ; il empiète à ce n
ransversales de la protubérance. Sur une coupe pratiquée au-dessus (
Fig
. 14), la surface du tubercule est d'un centimètre
au-dessus, ce seeond tubercule situé en avant et à droite du premier {
Fig
. 15) a un demi-centimètre de diamètre, ce dernier
dant n'est pas encore affectée, en raison de la forme du néoplasme.
Fig
. 15. Fig. 16. Sur les coupes pratiquées success
t pas encore affectée, en raison de la forme du néoplasme. Fig. 15.
Fig
. 16. Sur les coupes pratiquées successivement a
rs plus grandes dimensions. Ils sont d'abord séparés l'un de l'autre {
Fig
. 16), mais ils ne tardent pas à se réunir, figura
figurant ainsi la forme d'un 8 dont la longueur est de 2 centimètres {
Fig
. 17), dont la boucle postérieure atteint la surfa
'étage supérieur de la protubérance, il n'existe aucune altération.
Fig
. 17. Les masses tuberculeuses elles-mêmes sont
rendre compte, à notre avis, les détails de l'examen microscopique.
Fig
. 18. — Ce dessin et le suivant sont la reproducti
e des uns et des autres à la compression par les produits morbides.
Fig
. 19. — Vue de la coupe faite au niveau du néoplas
loppé, dans)le muscle triceps, trois gros noyaux de pseudo-hypertro
Fig
. 20. — Pseudo-hypertrophie associée à l'atrophie
ique, par des intervalles sensiblement égaux (Voir le tracé ci-contre
Fig
. 21). ^MMalgré la fréquente répétition de ces b
s bruits ou leur intensité, le^malade, chose re-marqua^e^neTôïïîTre
Fig
. 21. — Toux hystérique. Tracé de M. le Dr G. Ball
ntérieur. Sclérose marquée des faisceaux de Goll et do Burdach. '
Fig
. 2. - VIe paire cervicale. Grosse dégénération
e le membre inférieur gauche sent le froid et ne sent pas le chaud (
Fig
. 1). Un fait accidentel est venu confirmer le r
s voies centrales de la sensibilité générale, Thèse de Paris, 1899.
Fig
. 1 (ire Périodes Le chaud (pointillé) est senti à
'ressentis au pied droit. Le chaud est ressenti par le pied gauche (
Fig
. 2). Les dysesthésies primitivement localisées
ues à la normale : 1° A la face postérieure des membres inférieurs (
Fig
. 3). - 2° A leur face antérieure. Les phénomène
paraissent que de loin en loin et seulement s'il y a provocation.
Fig
. 3 (3° Période).- Les sensations de chaud et froi
s travaux antérieurs, que ceux qui s'y rapportaient spécialement.
Fig
. 1. Station droite avec relâche- ment des s
- ment des spi- aux (schéma du losange dorso-lombal- re).
Fig
. 2. Station droite avec tension des spinaux
gion dorsale soit favorablement éclairée (vuir PI. VIII, B et C).
Fig
. 3. Moment de la verticale dans le pas (jam
nt de la verticale dans le pas (jambe gauche oscil- lante).
Fig
. 4. Moment de la verticale (jam- be droite
g. 4. Moment de la verticale (jam- be droite os- cillante).
Fig
. 5. Pas antérieur (jambe droite oscillante)
cillante). Fig. 5. Pas antérieur (jambe droite oscillante).
Fig
. 6. Début du pas postérieur ou fin du doubl
gle sternal, la face antérieure du thorax se déprime en cuvette (V.
Fig
. 1). Cette cuvette s'étend en hauteur de l'an-
limitée souvent en bas par le relief plus [accusé de la 7" côte (V.
Fig
. 1). En bas le thorax semble rentrer dans le ba
rieur de la côte dans la partie supérieure de l'espace intercostal (
Fig
. 2). Nous allons maintenant envisager les rappo
aré sont, à cet égard, bien ! significatives. Voyez le Succarath (
Fig
. 1), le Pirassoipi (Pl. XIV), le Vlétif (PI. XV),
i (Pl. XIV), le Vlétif (PI. XV), le Poisson volant fort monstrueux (
Fig
. 2), etc., etc. Les animaux, d'après Paré, nous
ré emprunte à divers autenrs les histoires de monstres les plus in-
Fig
. 2. - « Poisson volant fort monstrueux. » 110 D
ous renvoie au dessin que Paré joint à sa description » (Voy. aussi
Fig
. 3.) C'est encore aujourd'hui une croyance répa
mmes peuvent accoucher de monstres tués par les médecins Vous l'en-
Fig
. 3. « Figure d'un vert jette par vomissement. »
ns Vous l'en- Fig. 3. « Figure d'un vert jette par vomissement. »
Fig
. 4. Fig. 5. AMBROISE PARÉ 111 tendrez affir
en- Fig. 3. « Figure d'un vert jette par vomissement. » Fig. 4.
Fig
. 5. AMBROISE PARÉ 111 tendrez affirmer ; on v
arin ayant la tête d'un moine et couvert d'écaillés de pois- son » (
Fig
. 4) ; « Monstre marin ressemblant à un évoque v
e marin ressemblant à un évoque vêtu de ses habits pontifi- caux » (
Fig
. 5). En terminant, je voudrais faire un peu de
t surtout supraradiaires, en même temps qu'un réticule de vacuoles (
Fig
. 5 et 5 a). Cependant il y a encore toujours des
'en sort que quelques fibres qui se perdent bientôt dans la tumeur (
Fig
. 8). Certains des phénomènes cliniques notés tr
a masse même du cervelet. Donc ici aussi perte de fibres nerveuses (
Fig
. 9). XV) H i i FiG. 9. Pcm, pédoncule cérébel
1900, p. 134, d'après P. Roy, Gigantisme, Th. Paris, 1903, p. 37.
Fig
. 1. Pituitaire normale. Dans les acini exacteme
sur la figure) sont éosinophiles, et les autres sidérophiles).
Fig
, 2. Pituitaire. Partie corticale. Dans les mail
les coupes microscopiques, on voit que ces adénomes, par leur abon-
Fig
. 3. - Pituitaire. Partie centrale. Les acini on
e penser à un processus de même ordre, d'autant plus qu'on sait au-
Fig
. 5. - Surrénale. un voit la fibreuse épaissie,
oïde on trouve une ossification du ligament thyro-hyoï dien sur une
Fig
. 6. Coupe du crâne. Profil du crâne. Coupe demi-s
ure n'aura pas la forme de l'écriture ataxique. Au début des études
Fig
. 1. - Type trémulant. Fig. 2. Type paralytique.
'écriture ataxique. Au début des études Fig. 1. - Type trémulant.
Fig
. 2. Type paralytique. Fig. 3. Type spasmodique.
des études Fig. 1. - Type trémulant. Fig. 2. Type paralytique.
Fig
. 3. Type spasmodique. Fig. 4. Ecriture d'un ter
trémulant. Fig. 2. Type paralytique. Fig. 3. Type spasmodique.
Fig
. 4. Ecriture d'un terrassier. ..... , Fig. 5.
3. Type spasmodique. Fig. 4. Ecriture d'un terrassier. ..... ,
Fig
. 5. Ecriture d'un journalier. 220 KOUINDJY l'
Meyer a obtenu deux guérisons par la faradisation de muscles exten-
Fig
. 6. - Paralysie radiculaire guérie. LA CRAMPE P
cette marche à suivre est la plus justifiée. Nous massons donc les
Fig
. 7. Crampe des écrivains (forme spasmodique). F
assons donc les Fig. 7. Crampe des écrivains (forme spasmodique).
Fig
. 8. Flexion du pouce sur le premier métacarpien,
MPE PROFESSIONNELLE . 229 Crampe DES écrivains (forme trémulante)
Fig
. 9. - Avant le traitement. IL' Fig. 10. Après
écrivains (forme trémulante) Fig. 9. - Avant le traitement. IL'
Fig
. 10. Après le traitement (écriture avec main renv
IL' Fig. 10. Après le traitement (écriture avec main renversée).
Fig
. il. - Après le traitement (écriture ordinaire).
nt (écriture ordinaire). CRAMPE DES ECRIVAINS (FORME SPASMODIQUE)
Fig
. 12. Avant le traitement. Fig. 13. Après le tra
E DES ECRIVAINS (FORME SPASMODIQUE) Fig. 12. Avant le traitement.
Fig
. 13. Après le traitement (écriture ordinaire).
le traitement. Fig. 13. Après le traitement (écriture ordinaire).
Fig
. 14, Après le traitement (écriture avec main renv
ffet du traitement et se persuader de la durée de son action. v .
Fig
. 15. - Avant le traitement. Fig. 16. - Apres le
de la durée de son action. v . Fig. 15. - Avant le traitement.
Fig
. 16. - Apres le traitement. LA CRAMPE PROFESSIO
s électifs et, dans quelques cellules, on ob* serve des vacuoles.
Fig
. 1. MÉNINGO-ENCÉPHALITE DIFFUSE ET BÉMIATROPIII
sseaux sont complètement obstrués par des cellules embryonnaires.
Fig
. 2. Lobe frontal gauche, couche moléculaire. Prol
me époque et à propos de cet article que paraît l'excel- XVI1l 21
Fig
. 1. Malade de Pinard et Varnier. (D'apres la comm
iiie, Mang. dissert. Leipzig, déc. 1902 29 p., 1 fig., 1 radiogr.
Fig
. 2. Malade de Pinard et Varnier. Dessin emprunté
moplates surtout de la droite, et les deux fragments claviculaires.
Fig
. 3. - Calque réduit au 1/4 de grandeur naturelle
s de médecine. Paris, 1900 (section d'histologie et d'embryologie).
Fig
. 4. Crâne A de Is. Geoffroy-Saint-Hilaire . N.
lace- ment, sont disposées des fibres nerveuses en nombre variable (
Fig
. 11). 1° Absence de tout vestige de tissu nerve
. Nulle part les muscles ne sont atrophiés, aucun n'est saillant.
Fig
. 1. Avant traitement (sco- liose hystéro-trauma
ig. 1. Avant traitement (sco- liose hystéro-traumatique, obs. V).
Fig
. 2.- Après guérison (scoliose hystéro-traumatiq
pourquoi la jambe forme avec la cuisse un angle ouvert en dedans.
Fig
. 4. f''oe<MS achondroplasique (Enfant, Darr.,
tion périvasculaire sous-épendymaire n'épargne absolument xvui 43
Fig
. 1. Tourbillons névrogliques sous-épendymaires.
Après la nécrops on a essayé sa perméabilité à l'aide d'une corde à
Fig
. 2. Coupe de la région frontale. Foyers d'infiltr
véritable enduit purulent ; cette infection va en diminuant vers le
Fig
. 3. Coupe de la région du noyau rouge. Infiltrati
tricule. Destruction partielle et déviation à droite du trigone.
Fig
. 4.- Coupe occipitale. Le ventricule complètement
lle à celle de l'in- filtration périvasculaire décrite plus haut.
Fig
. 5. Infiltration de la méninge périmédullaire. Pa
entre les lobules du cervelet. Pus au plafond du ventricule (P).
Fig
. 6. Obstruction de l'aqueduc de Sylvius (A. S) pa
ernières variétés de myopathies, l'affaiblissement musculaire a (1)
Fig
. 9 de Brouardel et Gilbert, t. 10, édit. 1902, p.
geant dans la neige, puis dans l'eau chaude, ou encore, imitent les
Fig
. 1. — Terrs culte antique représentant un degénér
ignorent l'infanticide. En réalité il s'agissait moins de se débar-
Fig
. 2 et 3. — Terre culte antique représentant un dé
hors de la bouche entr'ouverte, était caractéristique du myxcedème.
Fig
. 4-— Terre culte antique représentant un dégénéré
de ces types qui aujourd'hui se trouvent dans les asiles d'aliénés.
Fig
. S, 8, 7. 8. — Terres cuites antiques représentan
nous l'idée du beau idéal et classique à l'exclusion de tout autre.
Fig
. 9. — Terre cuite antique représentant un idiot o
plicité des types réunis jusqu'alors sous cette épithète de grotes-
Fig
. 10 — Figurine antique représentant un idiot aden
et de Myrina, ces figurines si variées, personnages mythologiques,
Fig
. 11.— Terre cuite antique représentant un adénoïd
P. Gaudin m'a affirmé qu'elles ne provenaient point de sépultures.
Fig
. 12. — Terre cuite de Tanagra représentant un enf
la reproduction. Le rire bestial de ce sujet prouve son état mental. (
Fig
. I). Comparons un autre sujet (fig. 2 et 3 ; qu
celte maladie amenait l'asphyxie par gonflement des voies respira-
Fig
. 13 et 14 — Terre cuite ancienne représentant un
Passons à l'espèce microcéphale. Les six figures juvéniles groupées
Fig
. 15, 16, 17, 18. 19.20. — Terres cuites représent
is figurines du n° 2l au n° 23 montrent quel parti ont su tirer ces
Fig
. 21. 22 ; 23. — Terres cuites représentant des ty
ssemblables ; pourtant les images ci-contre en prouvent la réalité.
Fig
. 24, 25, 26, 27. — Terres cuites représentant des
mandibule et de la lèvre inférieure qui s'observe chez les aliénés.
Fig
. 28, 29, 30, 31. — Terres cultes représentant des
cérébrale parait à peu près normale. La physionomie est moins stu-
Fig
. 32. — Terre culte représentant une déformation c
anière des Toulousains actuels, conserve une physionomie spirituelle (
Fig
34). Les coroplastes grecs ont reproduit d'autr
s : celles qui surviennent à la suite de soudure pathologique. Mon-
Fig
. 33 et 34. —Terres cuites représentant un scaphoc
ns la collection Fouquet cette fois, un type accompli d'idiot (35).
Fig
.35. — Terre cuite représentant un idiot (Collecti
t droit, aux maxillaires prognathes comme une bête. Si en effet les
Fig
. 36. — Terre cuite représentant un dégénéré obèse
aient pas, comme plus tard, au moyen-âge et pendant la Renaissance,
Fig
. 37. — Un nain serviteur du roi. Tombeau de Saqqa
oyés au service de la meute et des bijoux. Ils conduisent des singes (
Fig
. 37), des lévriers, malaxentl'or(Fig. 38),fabriqu
joux. Ils conduisent des singes (Fig. 37), des lévriers, malaxentl'or(
Fig
. 38),fabriquentdescolliers. Au contraire, les ser
qu'un seul bossu (mal de Pott cervico-dorsal) qui promène un lévrier (
Fig
. 39) ; tous les autres sont trapus, vigoureux, au
mbaire accentuée ; on reconnaît là les caractères de l'achondroplase (
Fig
. 40). Rapprochons de ces nains serviteurs un au
uit par Hip. Rosselîni dans les monuments de l'Egypte et de la Nubie (
Fig
. 41). Char-cotet P. Richer l'ont étudié comme la
cotet P. Richer l'ont étudié comme la plus ancienne reproduction de
Fig
. 39. — 3Ial de IV. : ccrvico-dorsal. pied bot.
sa statue qui provient d'une des plus belles nécropoles de Saqqarah (
Fig
. 42). Charcot en avait fait un rachitique ; auj
ement de la môme époque, représente un nègre au front aplati et aux
Fig
. 40. — Nains achondroploscs avec enscllure cl jam
i à une femme achon-droplase adulte, la ressemblance est frappante.
Fig
. 42. — Nam-Hoich, le chef do la garde-robe. Dan
appelant les serviteurs achondroplases des palais des rois égyptiens (
Fig
. 44). La pathologie. l'art et l'histoire doiven
re ce qu'étaient deux dieux égyptiens fort bizarres : Phtah et Bès.
Fig
. 44. — Les pygmées combaïuoi les grues. Parrot,
te. Le monstrueux dieu Bès est au contraire un crétin myxœdémateux (
Fig
. 45). Il présente un gros ventre, une face larg
e enfoncée dans le cou, des membres courts, des jambes arquées, des
Fig
. 45. — Le Dieu Dca. doigts de la main formés pa
isme hystérique, survenu à l'occasion d'un incendie. M. Podiapolsky
Fig
. t.-Brûluresuggérée, provoquée par M- Podiapolsky
suggestion, le 6 janvier 1903. L'épreuve photographique a été com-
Fig
. 2. — Brûlure suggérée, provoquée par Wettcrslran
YSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 85 EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE 1
Fig
. 1. Coupe de la moelle au niveau de la partie sup
e la moelle au niveau de la partie supérieure du cône médullaire.
Fig
. '-). - Coupe transversale à la partie inférieure
région lombaire. a, Prolongement scléreux émané de la pie-mère
Fig
. 3. - Coupe transversale à la partie moyenne de l
a région lombaire. a, Prolongement scléreux émané de la pie-mère.
Fig
. 4, 5, 6. - Coupes transversales de la région dor
5, 6. - Coupes transversales de la région dorsale. pLANcnJ : (1 1
Fig
7, 8. - Coupe de la région dorsale. a, Sclérose
sale. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du faisceau de Burdach.
Fig
. 9. Coupe de la région dorsale. Nombreux vaisseau
e la région dorsale. Nombreux vaisseaux coupés trans\ersalemen.t.
Fig
. 10. Coupe transversale de la région cervicale in
t. Fig. 10. Coupe transversale de la région cervicale inférieure.
Fig
. il, 12. - Coupes transversales de la moelle aux
Sclérose latérale. b, Sclérose du cordon de Goll. PLANCHE 111 .
Fig
. 13. Moitié droite d'une coupe de la moelle il la
ux noyaux dans la paroi de l'artère et dans la gaine lymphatique.
Fig
. l ? Coupe verticale de la région dorsale passant
stérieurs. G, Sclérose du cordon latéral. c, Corne postérieurr.
Fig
. 13. -Tube nerveux surune coupe IoniVulinale. Tul
icur, d'un demi centimètre de largeur, intéressant le segment ex-
Fig
. 1 et 2. - FOjel's ocreux symétriques. 16 PATHO
oyau lenticulaire et sectionnant le pied de la fruntaie ascendante (
Fig
. 2, A. Coupe frontale de Pitres) ; 1 2o Dans l'
de la clinique, un beau dessin que nous avons fait reproduire ici (
Fig
. 3) '. Il n'y avait d'ailleurs aucune atrophie
ain en griffe, tandis qu'à gauche la griffe commence à se dessiner (
Fig
. ). Lorsque le malade est debout, il rejette en
se dévie vers la droite et la moitié droite atrophiée représente
Fig
. z. Amyotrophie de la main gauche. 20t CLINIQ
ulté est certainement peu accusée, car nous ne la remarquons pas.
Fig
. 5. - J]('ll11atrophie ,le la langue. DE LHC11.
ntes : le champ visuel, comme on peut voir sur la figure ci-jointe (
Fig
. 6 et 7), est rétréci des deux côtés, mais surt
s {recueillies et nous eu transmettre une description et un dessin (
Fig
. 8) : « Dimensions du cysticerque intact, conse
rochets est coloré par de nombreuses granulations pigmentaires. »
Fig
. 8. - Cysticerque celluleux. - A, Scolex avec ses
ne et à huit millimètres de la face inférieure du mésocé- phale. (
Fig
. 9.) L'examen histologique des pièces durcies
n. Immobilité de la moitié infé- rieure de la face. Contractilité
Fig
. 11. Coupe f1'ansv( ! I'- sale de la protubéran
Neurologie T VII PL I EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE
Fig
. 1. -.Coupe de la moelle au niveau de la partie s
e la moelle au niveau de la partie supérieure du cône médullaire.
Fig
. 2. Coupe transversale à la partie inférieure de
égion lombaire.. a, Prolongement scléreux émané de la pie-mère.
Fig
. 3. - Coupe transversale à la partie moyenne de l
a région lombaire. a, Prolongement scléreux émané de la pie-mère.
Fig
. 4, 5, 6. - Coupes transversales de la région dor
de la région dorsale. 426 EXPLICATION DES PL4NCHES. PLANCHE Il
Fig
. 7, 8. Coupe de la région dorsale. a, Sclérose
sale. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du faisceau de Burdach.
Fig
. 9. Coupe de la région dorsale Nombreux vaisseaux
de la région dorsale Nombreux vaisseaux coupés transversalement.
Fig
. 10. Coupe transversale de la région cervicale in
t. Fig. 10. Coupe transversale de la région cervicale inférieure.
Fig
. Il, 12. Coupes transversales de la moelle aux pa
ologie T VII PL III EXPLICATION DES PLANCHES. t27 PLANCHE lit
Fig
. 13. Moitié droite d'une coupe de la moelle à la
ux noyaux dans la paroi de l'artère et dans la gaine lymphatique.
Fig
. 14. Coupe verticale de la région dorsale passant
stérieurs. b, Sclérose du cordon latéral. c, Corne postérieure.
Fig
. 15. Tube nerveux sur une coupe longitudinale. Tu
Fig. 15. Tube nerveux sur une coupe longitudinale. Tube variqueux.
Fig
. 16. A, coupe d'un cordon latéral atteint de dégé
lacée, indice des contusions dont ces régions sont l'objet. Il en
Fig
. 1. - Phototypie de Ma... M... DE LA MALADIE DE
droit sur l'abdomen, qui inaugure les contractions de ce membre,
Fig
. 2. Inscription du mouvement du bras droit projet
on bord externe est relevé, la pointe tournée en dehors, simulant
Fig
. 3. Inscription de la contraction des gastrocnémi
dans un temps relativement court (1 sec. 1/2), et .sans saccades.
Fig
. 5. La contraction, au début, simule l'explosion
e tétanie, et prend fin d'une manière progressive par saccades. ,
Fig
, 6, 7. La contraction, au début et à la fin, est
((ig. 8). Comme étendue, les mouvements ne sont pas limités à un
Fig
. 8. - Inscription des muscles du cou, lorsque la
nce suggestionnable au plus haut degré, la cause occasionnelle de
Fig
. 13. - Examen du 1" juillet 1892. 46 PATHOLOGIE
qualifier sa paralysie avec plus de précision par une paralysie .
Fig
. 14. - Examen du 16 août 1892. L'HYSTÉRIE ET LE
lors exac- tement dans l'état où nous le voyons aujourd'hui. L'a-
Fig
. 15 et 16. 'lit c,moL rLi;v ? s. trophie est
.telle sorte que l'élément se trouve divisé en un certain nombre
Fig
. 17. Coupe du nerf radial, coloré par l'acide o
existe une perte de substance assez considé- Anciuvus, L. XXV. iq
Fig
. 18. 226 recueil' DE faits. ' rable à la part
it atteint. Ce fait est un exemple des nombreuses mutilations que
Fig
. 19. gangrène DE la lèvre par succion. 227 pe
lèvres produites suivant le mécanisme que je viens d'indi- quer.
Fig
. 20. 228 8 recueil de faits. IDIOTIE CONGÉNIT
famille de la mère, rien d'intéressant, à part cela, à signaler.
Fig
. 21. - Ros... en robe de gâteux (avril 1887). 2
âge, les 2 autres sont bien portants, aucun n'a eu de convulsions;
Fig
. 22. Ros... devenu propre et mis en pantalon. i
nte d'hydramnios. Elle n'eut néanmoins aucune crise syncopale, ni
Fig
. 23. 232 RECUEIL DE faits. éclamptique, ne re
aux Raisselles et à la région anale. IL. passe à la grande école.
Fig
. 29. 238 recueil DE faits. Décembre. - Noies
truction,.mais parvient à classer les figures géométriques en bois
Fig
. 30. idiotie congénitale : TICS. 239 et color
, 22). 1892. Avril. Outre ce que nous avons observé, R... exécute
Fig
. 31. 240 recueil DE faits. de temps à autre d
âte jamais. Il s'habille lui-même, mais on doit le débarbouiller.
Fig
.'132. idiotie congénitale : TICS. 241 Actuell
uche, puis 'met ses doigts les uns sur les Archives, t. XXV. 1G ,
Fig
. 33. 242 RECUEIL DE FAITS. autres, de façon q
fixité, les yeux dans un léger strabisme convergent (fig. 26, 27).
Fig
. 31. IDIOTIE CONGÉNITALE : TICS. 21, z-1) 1,'
27). Fig. 31. IDIOTIE CONGÉNITALE : TICS. 21, z-1) 1,'iy. 36.
Fig
. 36. 244 RECUEIL DE FAITS. il met alors la ma
re, il s'assied, prend diverses positions (fig. 28, 29, 30, 31), se
Fig
. 37. IDIOTIE CONGÉNITALE : 'l'ICS. 24o lève e
e qu'à gauche. L'introduction d'une cuillère dans l'arrière-gorge
Fig
, 39. G 0 n 0 a y. m fi- V. -
Les mouvements du membre supérieur droit sont tout à fait libres.
Fig
. 42. 334 CLINIQUE NERVEUSE. L'hypoesthésie au
de dyschromatopsie pour le vert. Atrophie blanche de la papille.
Fig
. 43. - Distribution de l'anesthésie et de l'hypoe
bas que du côté opposé. Le sternum est porté de droite à gauche.
Fig
. 45. 362 CLINIQUE NERVEUSE. , L'extrémité du
- à cause de l'hérédité d'abord, et puis à cause du cachet spécia
Fig
. 16. 364 ' CLINIQUE NERVEUSE de l'atrophie qu
tient ferme à quelque chose et il ne marche Archives, t. XXV. 21
Fig
. Fi ? 11. 370 RECUEIL DE FAITS. qu'en s'app
e que le dernier symptôme est aussi dû à la né- vrose hystérique.
Fig
. "n, I' j. : 0. 37'3 RECUEIL DE FAITS. CAS SI
s pointes de feu, la gêne des mouvements s'est accusée davantage.
Fig
. 51. Reproduction d'un crcquis dû il I hulule c
enrayant, la tête comme soudée sur les épaules, on dirait un auto-
Fig
. 52. Reproduction d'un croquis fait par M. le D
reposer constamment par leur face palmaire, est cause de la diffé-
Fig
. 53. Instantané. - Le malade en marche. 444 I
due et paraissent cesser complètement si, par exemple, le maladu
Fig
. 51. . Fig. 55. Fig, 56. PARALYSIE AGITANTE
aissent cesser complètement si, par exemple, le maladu Fig. 51. .
Fig
. 55. Fig, 56. PARALYSIE AGITANTE ET HYSTÉRIE.
ser complètement si, par exemple, le maladu Fig. 51. . Fig. 55.
Fig
, 56. PARALYSIE AGITANTE ET HYSTÉRIE. 445 tien
Le rétrécissement du champ visuel est un stigmate d'une très grande
Fig
. 57. Rétrécissement. Champ visuel de Joseph G..
l/60e de millimètre d'épaisseur. légende explicative Planche A.
Fig
. I. — Substance grise corticale du cerveau {circo
la volition). c. Névroglie, vaisseaux capillaires et myélocytes.
Fig
. II. — Substance grise corticale du cerveau [circ
ette région. c. Faisceau médullaire central de la circonvolution.
Fig
. III. — Cellules géantes ou gigantesques isolées
ssociée. d. Prolongement caudal unique. e. Prolongement bifide.
Fig
. IV. — Formation du chiasma des fibres optiques.
ttes optiques. d. Substance grise du tuber cinereum. Planche B.
Fig
. I. — Tubercule mamillaire. a. Pilier antérieur
s fusiformes. d. Substance grise du plancher du ventricule moyen.
Fig
. II. — Mode d'émergence ries fibres efférenles du
e mamillaire. d. Substance grise du plancher du ventricule moyen.
Fig
. III. — Mode cVimmersion des fibres afférentes au
ntérieur du trigone). b. Substance grise du tubercule mamillaire.
Fig
. IV. — Substance grise corticale du cervelet. a
e rouillée, renfermant des cellules triangulaires de 6 ¡i à 10 p.
Fig
. V. — Cellule de Purkinje. a. Gros noyau nucléo
petites cellules rondes de 6 à 9 [/. de diamètre. Planche G. ¦*
Fig
. I. — Substance grise centrale de la moelle épini
antérieures des nerfs moteurs, émergeant de la corne antérieure.
Fig
. II. — Corne antérieure de la moelle épinière (ag
nnements que forment les prolongements issus des méninges spinales.
Fig
. III. — Cellules multipolaires isolées de la subs
prolongements ramifiés qui lui donnent l'apparence d'une araignée.
Fig
. IV. — Répartition de la substance grise du névra
s à travers la substance grise des cornes antérieures. Planche D.
Fig
. I. — Répartition de la substance grise du névrax
l'olive bulbaire. k. Substance gélatineuse de la corne postérieure.
Fig
. II. — Répartition de la substance grise du névra
ciformes. t. Substance grise du plancher du quatrième ventricule.
Fig
. IV. — Substance grise de f olive bulbaire. a.
s des apophyses épineuses. La chose saute aux yeux. Dans certains
Fig
. 1. l iy. 2. DES SCOLIOSES DANS LES NEVRALGIE
l malade, et manquent chez tel autre. C'est pourtant de leur pré-
Fig
. 5. Fit. 6. 8 CLINIQUE NERVEUSE. sence ou d
- male, la ligne des épaules restant inclinée (lit. 8). Fia. 7.
Fig
. 8. DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRALGIES SCIATIQUE
asègue qui a le premier insisté sur ce symptôme, pour en tirer un
Fig
. 9. ' * Fig. 10. DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRA
le premier insisté sur ce symptôme, pour en tirer un Fig. 9. ' *
Fig
. 10. DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRALGIES SCIATIQU
te à l'homme. Le sujet arrive donc insensiblement à appliquer sur
Fig
, 11. Fig. 12. 16 CLINIQUE NERVEUSE. le sol
e. Le sujet arrive donc insensiblement à appliquer sur Fig, 11.
Fig
. 12. 16 CLINIQUE NERVEUSE. le sol la plante d
re collègue avait pris le soin de bien obser- Archives, t. XIX. 2
Fig
. 13. Fig. 14. 18 CLINIQUE NERVEUSE. ver et
avait pris le soin de bien obser- Archives, t. XIX. 2 Fig. 13.
Fig
. 14. 18 CLINIQUE NERVEUSE. ver et de bien déc
rincipe, la scoliose sciatique résultait d'une contraction muscu-
Fig
. 15. DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRALGIES SCIATIQU
le genou gauche; il lui est impossible de s'appuyer sur sa jambe.
Fig
. 16. DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRALGIES. SCIATIQ
de son centre de gravité vers le côté sain ne Archives t. XIX. 3
Fig
.17. Fig. 18. 34 CLINIQUE NERVEUSE. peutpas
ntre de gravité vers le côté sain ne Archives t. XIX. 3 Fig.17.
Fig
. 18. 34 CLINIQUE NERVEUSE. peutpas s'effectue
du foyer se modifie encore (V. fig. 20); elle affecte l'apparence
Fig
. 19. - Coupe delà partie supérieure de la moelle
compression. Ainsi, Friedreich ', 'Archives de Virchow, t. XXVI.
Fig
. 21. É1'UDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE 165 Leyde
ceux de tous les autres malades dont nous avons publié l'histoire (
Fig
.22, 23, ` ? r, 25). Taille, 0, 915 ; poids, 24
ordons autéro-iatéraux comprennent : le fais- Aaciwcs, t. XIX. 22
Fig
. 26. 338 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ceau de TÜJ'c
est intacte, fait commun au tabes et à d'autres scléroses posté-
Fig
. 27. ]o',g, 8, Fig. 29. Fiv. 30. DE LA MA
mmun au tabes et à d'autres scléroses posté- Fig. 27. ]o',g, 8,
Fig
. 29. Fiv. 30. DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 35
n considérant non pas la totalité de la moelle, .lecumrs, six. 23
Fig
. 31. Fig. 32. Fig. 33. Fig. 34. Fig. 35.
nt non pas la totalité de la moelle, .lecumrs, six. 23 Fig. 31.
Fig
. 32. Fig. 33. Fig. 34. Fig. 35. 354 ANATO
la totalité de la moelle, .lecumrs, six. 23 Fig. 31. Fig. 32.
Fig
. 33. Fig. 34. Fig. 35. 354 ANATOMIE PATHOLO
de la moelle, .lecumrs, six. 23 Fig. 31. Fig. 32. Fig. 33.
Fig
. 34. Fig. 35. 354 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ma
le, .lecumrs, six. 23 Fig. 31. Fig. 32. Fig. 33. Fig. 34.
Fig
. 35. 354 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. mais chacun d
re du bulbe. Les faisceaux pyramidaux présentent une altération
Fig
. 36. Fig. 37. DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 35
be. Les faisceaux pyramidaux présentent une altération Fig. 36.
Fig
. 37. DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 35H uniform
es (/if), 34). La partie de la moelle qui dans la région lombaire
Fig
. 38. 356 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. inférieure co
eur, à l'union de son tiers antérieur et de ses deux tiers posté-
Fig
. 39. Coupe au niveau de la partie supérieure du r
ux apparaît encore très nettement, mais il a diminué d'é- tendue.
Fig
. H. Coupe à la partie supérieure du renflement lo
0. N'ig. 1. - Courbe des quantités de sucre excrété en 21 heures.
Fig
. Jouibe des quantités de sucre exci été en 21 heu
grammes. . 1 5 . -. . I 1 . -- xt T. XIX, Pl. 111. · 1 1 1 1
Fig
. 2 Courbe des variations du sucre par litre d'uri
urine après traitement. Archives DE Neurologie. T. XIX. PI. IV. i
Fig
. 5. Courbe des quantités d'urée en 21 heures aprè
Fig. 5. Courbe des quantités d'urée en 21 heures après traitement.
Fig
. 6. Courbe des quantités d'urée par litre d'urine
qui commencent à avoir un peu d'embonpoint, le bourrelet graisseux
Fig
. 13. Fig. 14. . Amas graisseux de la partie s
cent à avoir un peu d'embonpoint, le bourrelet graisseux Fig. 13.
Fig
. 14. . Amas graisseux de la partie supérieure e
concours précieux de sa compétence et de son habileté bien connues.
Fig
. 17. - Tracé 1. droite au repos : oscillations de
1885, p. 20). ÉTUDE PHYSIOLOGIQUE DE TROUBLES D'ARTICULATION. 175
Fig
. 53. rIG..n'4. FIO. 50. FIG 53, 51, 55, 56.
différences de volume entre elles très EXPLICATION DE LA PLANCHE
Fig
.l. - Coupe de [la moelle lombaire de polynévrite,
b, cornes postérieures; c, cordon latéral; d, cordon postérieur.
Fig
. 2. - Coupe de la moelle cervico-dorsale de polio
à la suite de la lésion du groupe des cellules antéro- externes.
Fig
. 3. - Coupe du nerf médian de polynévrite à la ré
e ; e, gaine secondaire un peu épaissie ; ? tissu périfasciculalre.
Fig
. 4. - Coupe du muscle interosseux de polynévrite
h, ses libres musculaires; /., sa gaine lamelleuse ; i, artériole.
Fig
. 5. - Région dégénérée de la corne antérieure de
ris, la malade ne peut ni les étendre, ni les fléchir complètement (
Fig
. 57). La sensibilité cutanée est conservée sur
te époque interne du service prit de ses mains le croquis ci-joint (
Fig
. 58 et 59). Le registre de la salle dans laquel
des métacarpiens,)es phalangines et les phalangettes sont fléchies (
Fig
. 60 et 61). Les mouvements du poignet (flexion
, adduction et abduction. Il en est de même aux membres inférieurs (
Fig
. 63 et 63). Réflexes rotu- liens abolis. Pas de
aire est glacée. · Troubles de la sensibilité. Sensibilité tactile (
Fig
. 64,05). - Le passage du pinceau est bien senti
s, la terre, le plancher sur lequel il marche. Tlternto-anesthésie (
Fig
. 66, 67). - Les extrémités des membres sont ins
e largeur de trois quatre travers de' doigt. L'anesthésie au froid (
Fig
. 68, 69) est complète pour les membres inférieurs
ivement qu'il n'en est pas même averti par la douleur. Analgésie (
Fig
. 70, 71). - Elle est absolue pour les mêmes segme
lle occasionne est vive sans être exagérée. Sensibilité électrique (
Fig
. 70, 71). Bobine à fil fin de l'appareil de Duboi
toires déjà mentionnés. Une électrode à doubles ni. 15 Fic. 61.
Fig
. 63. Topographie do la diminution ou de la pert
accusés chez notre malade. Curct... a, en effet, sOl1f- Fir..G8.
Fig
. 69. Topographie de la Lhernio-ancsthésie (froi
; Longuet T PARALYSIE DU FACIAL & DE L'ABDUCENS DU COTÉ DROIT
Fig
. i . La malade regardant droit devant elle ; pa
e regardant droit devant elle ; pas de strabisme appré- ciable.
Fig
. 2. La malade regardant ? gauche; pas de déviat
Fig. 2. La malade regardant ? gauche; pas de déviations anomales.
Fig
. 3. La malade regardant à droite ; strabisme in
fférente. Nous \ oyons d'abord qu'au repos le malade ne louche pas (
Fig
. 1). Il n'y a donc pas de déviation primitive.
ade ne fixe plus avec aucun oeil l'objet qu'on l'invite à regarder (
Fig
. 3), bien que l'oeil gauche puisse parfaitement
champ représenté par le schéma que j'ai fait placer sous vos yeux (
Fig
. 1 et 2).. A la partie antéro-externe de la jambe
; les sensations très intenses sont un peu perçues, mais elles don-
Fig
. 1 et 2. , SYRINGOMYÉLIE AVEC ANESTUÉSIE TOTALE
s des membres inférieurs, du pelvis, de la région clorso-lombaire. (
Fig
. 10.) Les deux jambes sont étalées symétri- que
orrespondent très nettement à la dissociation dite syringomyélique (
Fig
. 11 et 12). Sur le tronc, l'anesthésie complète
aux un peu différents, la gauche plus élevée, la droite plus basse (
Fig
. 13) ; mais elles sont assez peu dis- tantes l'
région inter- médiaire, elles apparaissent toutes deux juxtaposées (
Fig
. 15, coupe GG). Les deux tumeurs ont des caract
re gauche (décrite plus haut), on remarque la disposition suivante (
Fig
. 14. I et PI. IX, coupe 6). L'aire de la coupe
dépassant en haut et en bas l'étage des tumeurs pro- prement dites (
Fig
. 14). B. Histologie des lésions. L'examen mac
ant les rayons de la cellule, sont au nombre de 20, 30, 50 et plus (
Fig
. 15, B). Le noyau gommeux est richement vascula
gauche dans son tiers inférieur, le droit dans son tiers supérieur (
Fig
. 15). Les coupes de cet étage sont remarqua- bl
ine tout entière se montre môme privée de la totalité de ses tubes (
Fig
. 16, C). A un étage inférieur, les racines motr
n, montrent cette disposition des éléments avec une grande netteté (
Fig
. 15, C) ; certaines racines sont à ce point env
recours à une figure : dans le schéma que nous figurons ci-contre (
Fig
. 17), nous avons es- sayé, en respectant scrupu
e St Rombaut qui délivra le possédé du diable qu'il avait au corps (
Fig
. 18). L attitude du démoniaque est bien rendue.
pratiqué par St An- toine de Padoue sur un homme possédé du démon (
Fig
. 19). La figure du possédé a quelques analogies
pportée par M. Weil dans la présente livraison (PI. XXII et XXIII).
Fig
. 20. , Fig. 21. LES NAINS ET LES BOSSUS DANS
. Weil dans la présente livraison (PI. XXII et XXIII). Fig. 20. ,
Fig
. 21. LES NAINS ET LES BOSSUS DANS L'ART 185 s
étaient il peu près infructueux. J'ajoute que la description donnée
Fig
. 30. Fig. 31. Fig. 32. Fig. 33. PARALYSIE
peu près infructueux. J'ajoute que la description donnée Fig. 30.
Fig
. 31. Fig. 32. Fig. 33. PARALYSIES ARSENICAL
fructueux. J'ajoute que la description donnée Fig. 30. Fig. 31.
Fig
. 32. Fig. 33. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUB
J'ajoute que la description donnée Fig. 30. Fig. 31. Fig. 32.
Fig
. 33. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITI
des pieds, après vingt-deux mois de séjour à l'hôpital. Chez l'au-
Fig
. 34. Fila. 35. 332 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
rapprochementdes doigts et des orteils (fi.3G); ces mouvements sont
Fig
. 36. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITI
s ont été empruntées au travail de M. P. Muller. Fic. 37. 1 n .
Fig
. 38. -, - -, o. 348 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
ach /t;'sen ! Aue;'ytt/;t'7 (flahilitationsschrift, Breslau, 1889).
Fig
. 39. Fie. 40. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUB
ition de la para- lysie et des autres troubles sensitivo-moteurs.
Fig
. 41. Fig. 42. 350 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
para- lysie et des autres troubles sensitivo-moteurs. Fig. 41.
Fig
. 42. 350 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
Pulcinella napolitain. Nous reproduisons ici une effigie de Maccus (
Fig
. 43 et 44), que nous avons trouvée dans le Maga
ns )'<. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, no 3, tS9;i).
Fig
. 43 et 44. - Maccus d'après une statuette en br
. XIX. VI GYMNASTIQUE PICHERY. f ! ? .-4. P,y.5. Fit. 6. 6.
Fig
.7 7 GYMNASTIQUE PICHERY. Fig. 8. Fig. 9.
f ! ? .-4. P,y.5. Fit. 6. 6. Fig.7 7 GYMNASTIQUE PICHERY.
Fig
. 8. Fig. 9. 1"'9. lu. rcg, n. VIII ÉDUCAT
4. P,y.5. Fit. 6. 6. Fig.7 7 GYMNASTIQUE PICHERY. Fig. 8.
Fig
. 9. 1"'9. lu. rcg, n. VIII ÉDUCATION de la
e plaque, métallique, avec des saillies moitié plus petites, par-
Fig
. 1 1. Ft6.1 : 1. Fig. 14. X ÉDUCATION DU TO
vec des saillies moitié plus petites, par- Fig. 1 1. Ft6.1 : 1.
Fig
. 14. X ÉDUCATION DU TOUCHER. tant moins rugue
s différentes figures planes correspondant, comme dimensions, aux
Fig
. 15. . GYMNASTIQUE DE LA PAROLE. XI solides e
faisant face à l'avant-corps du bâtiment des gâteux. Ce pavillon (
Fig
. 16), un peu exhaussé au-dessus du sol, est pré
mpêcheront plus tard la vue du dehors. Ainsi que le montre le plan (
Fig
. 17), le vestibule ouvre sur une galerie qui co
ONTO-FACIALE. 33 BOURNE'11,Llt 1888. 3 FIg.2\ 1 34 EPILEPSIE.
Fig
, 22, ASYMÉTRIE rnONTO-rACfALE. 35 Fil}. 2 : 1
, soit aux travaux de jardinage, les malades ayant la face collée
Fig
. 24. 52 EPILEPSIE. contre l'oreiller ou enfon
t la conscience étant revenue, la température s'abaisse rapidement (
Fig
. 25). IV. Nous n'avons noté aucune lésion macro
ANNEE 188.8 92 ) TABLE DES MATIÈRES. DEUXIÈME PARTIE clinique
Fig
. 17. Plan du pavillon des cellules. Fig. 18. -V
EUXIÈME PARTIE clinique Fig. 17. Plan du pavillon des cellules.
Fig
. 18. -Vue du pavillon des cellules, du préau et d
ouble retré- cissement du'champ visuel'avec micrornégaIopsie dans
Fig
. 1. Anesthésie dans le domaine du facial inférieu
é (voir fig. 3). Rien n'est changé pour les mem- bres inférieurs.
Fig
. 3. Traits horizontaux : persistance de surdité
supérieurs produit des contractions énergiques, mais non perçues.
Fig
. 5. Fig. (5. 42 ? PATHOLOGIE NERVEUSE. 26.
produit des contractions énergiques, mais non perçues. Fig. 5.
Fig
. (5. 42 ? PATHOLOGIE NERVEUSE. 26. Traitement
ls. SEN5mILIT. - Une modification des plus importantes s'est pro-
Fig
. 7. Quadrillé : Perle de toutes les sensibilité
dynamométriques sont pratiqués chaque jour. D... remue les pieds.
Fig
. 8. Fig. 9. Vit liez PATHOLOGIE NERVEUSE. L
iques sont pratiqués chaque jour. D... remue les pieds. Fig. 8.
Fig
. 9. Vit liez PATHOLOGIE NERVEUSE. Le 27. Le t
de ' l'extrémité postérieure du côté correspondant. Pour appuyer
Fig
. 11. 56 ,ANATOMIE. ' 1 1 ce fait, on peut rap
à la fissure antérieure du cerveau était restée intacte (fig. 2).
Fig
. 12. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. , 57 Donc, dans c
ame bordante ammonique et de la branche interne de bifurcation de
Fig
. 13. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTI
nelle porte sur la première paire dorsale, d'où ce nerf émane, et
Fig
. 14 et 15. Hachures obliques : hémidysesthésie. H
mixte, qui reçoit de cette paire, suivant toute probabilité, une
Fig
. 16 et 17. Br. C. I, brachial cutané interne. A
gros, se trouve aussi un amas de poils avec adhérences nombreuses
Fig
. 18. Schéma de la face interne du cerveau droit,
même côté. Par des grossissements plus forts, on peut remarquer :
Fig
. 19. 192 - anatomie. 1). que les tissus de la
ablis, taudis que la sensibilité se restitua seulement au bout du ,
Fig
. 20. Fig. 21. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 193 te
is que la sensibilité se restitua seulement au bout du , Fig. 20.
Fig
. 21. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 193 terme cité da
n outre on observe une complèle impuissance de l'extrémité droite
Fig
. 23. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 195 postérieure e
'après les règles ordinaires, la seconde vertèbre cervicale est ou-
Fig
. 2 i. Fig.2), 198 anatomie. verte et dans l
ègles ordinaires, la seconde vertèbre cervicale est ou- Fig. 2 i.
Fig
.2), 198 anatomie. verte et dans le bout intér
entre-croisement vers le bas du côté droit de la moelle épinière.
Fig
. 26. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 199 Laquelle des
ur les impulsions motrices de l'extrémité qui reçut de nouveau la
Fig
. 27. DE LA. MOELLE ÉPINIÈRE. 201 possibilité
du sillon longitudinal; les bords de la plaie sont plus propres.
Fig
. 28. 202 ANATOMIE. La conservation des mouvem
oit. Ainsi, dans ce cas, après la destruction de la commissure du
Fig
. 29. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 203 renflement lo
mou- vement : Tous les mouvemeuts du bras, de l'avant-bras et de
Fig
. 30. Fig. 31. paralysie radiculaire brachiale
ent : Tous les mouvemeuts du bras, de l'avant-bras et de Fig. 30.
Fig
. 31. paralysie radiculaire brachiale totale. 35
mion. Il semble qu'il n'ait en effet aucune aura qui l'avertisse.
Fig
. 32. Fig. 33. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'H
mble qu'il n'ait en effet aucune aura qui l'avertisse. Fig. 32.
Fig
. 33. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MAL
mber. A la fin du mois de mai, revenant de course il s'est assis et
Fig
. 3 f. Fig. 35. 380 RECUEIL DE FAITS. aussit
in du mois de mai, revenant de course il s'est assis et Fig. 3 f.
Fig
. 35. 380 RECUEIL DE FAITS. aussitôt endormi s
puis il tombe dans un état de résolution complète. Au bout de trois
Fig
. 36. 384 RECUEIL DE FAITS. minutes secousses
ssement des paupières, pâleur marquée de Archives, t. XXII. ,. 25
Fig
, 38. 386 RECUEIL DE FAITS. la face, regard di
ent réduit le nombre. En voici rénumération : i° Le spéculum oris (
Fig
. i ), de diverses formes, imaginé comme moyen pré
garni de linge jusqu'auprès de sa pointe. 3° La clef de Garengeot (
Fig
. 2 à i 2 ), dont l'idée originale a été singulièr
ochet en z pour l'extraction des dernières molaires. 4° Le tirtoir (
Fig
. 23, 2/1, 25 ), se compose également d'un panneto
es dents antérieures et des racines des autres dents. 5° Le davier (
Fig
. 1 3 à 21 ), est une droite pince ou courbe sur l
des dents vacillantes ou des racines déjà ébranlées. 6° Le levier (
Fig
. 27 à 3o), est une tige d'acier, coudée à son ext
inte par le crochet, on peut l'ébranler préalablement avec le levier (
Fig
. 1.), et ou l'extrait avec un davier aigu. Les ra
es sont isolées et vacillantes, s'enlèvent facilement avec le davier (
Fig
. 1.). Quand les racines isolées sont fortement en
t encastrée dans les gencives, on a recours à l'élévatoire pyramidal (
Fig
. 2.). On insinue sa pointe entre deux racines, et
. 7.), et il entretient la combustion en soufflant avec un chalumeau (
Fig
. 8). Ces instrumens néanmoins ne sont pas nécessa
es modifications dans le procédé opératoire. Procédé de Dupuylren. (
Fig
. 3.) La main du malade étanc maintenue largement
en travers après qu'elles ont été isolées. Procédé d'AsUey Cowper. (
Fig
. 5.) Il glisse sous la peau, à l'un des côtés de
en avons profité pour les classer au nombre de huit. PLANCHE 14.
Fig
. 1. Bistouri tenu en première position, le dos de
de la main. Incision de dehors en dedans, et de gauche à droite.
Fig
. 2. Position verticale pour commencer une incisio
pour commencer une incision, le bistouri tenu en première position.
Fig
. 3. Action d'inciser, la main étant abaissée dans
g. 3. Action d'inciser, la main étant abaissée dans la même position.
Fig
. 4. Retour du bistouri à la direction verticale,
ur du bistouri à la direction verticale, pour sortir de la plaie.
Fig
. 5. Position des deux mains, dont l'une incise et
sion à plat. Incision de dedans en dehors, et de droite à gauche.
Fig
. 6. Incision avec le bistouri tenu en seconde pos
ent, l'autre main servant de point d'appui et tendant les tégumens.
Fig
. 7. Incision, avec le bistouri droit, sur un cond
igurés au moment où ils sortent ensemble de la plaie. PLANCHE IS.
Fig
. 1. Ponction avec le bistouri tenu en troisième p
ouri tenu en troisième position, pour l'incision de dehors en dedans.
Fig
. 2. Action d'inciser dans la même position. Fig
e dehors en dedans. Fig. 2. Action d'inciser dans la même position.
Fig
. 3, Incision sur conducteur en quatrième position
ncision sur conducteur en quatrième position, le tranchant en haut.
Fig
. 4. Cinquième position du bistouri, le petit doig
ut. Fig. 4. Cinquième position du bistouri, le petit doigt élevé.
Fig
. 5. Sixième position du bistouri tenu comme un ar
e position du bistouri tenu comme un archet, le petit doigt à plat.
Fig
. 6. Septième position du bistouri, tenu en dédola
enu en dédolant et agissant sur une pellicule offerte par la pince.
Fig
. 7. Huitième position du bistouri ponctionnant à
7. Huitième position du bistouri ponctionnant à plat. PLANCHE 16.
Fig
. 1. Incision en T, dont le bistouri trace la plai
trace la plaie verticale, l'incision transversale étant déjà faite.
Fig
. 2. Forme de l'incision en V. Fig. 3. Forme de l'
on transversale étant déjà faite. Fig. 2. Forme de l'incision en V.
Fig
. 3. Forme de l'incision étoilée. Fig. 4. Incisi
. 2. Forme de l'incision en V. Fig. 3. Forme de l'incision étoilée.
Fig
. 4. Incision cruciale, le bistouri et la pince oc
en cinquième ou sixième position relevée, le bord cubital en haut.
Fig
. 5. Incision sur un pli à la peau, le bistouri te
position. F/g. 6. Seconde position des ciseaux pour exciser à plat.
Fig
. 7. Troisième position des ciseaux, pour diviser
IONS SIMPLES. Figures 1,2,3,4. Application d'un séton à la nuque.
Fig
. 1. Un pli étant fait à la peau et maintenu avec
oir traversé le repli cutané, est retiré en prolongeant l'incision.
Fig
. 2. Elle représente le moment où l'on vient de pa
t aiguillé, la mèche à séton, la peau étant abandonnée à elle-même.
Fig
. 3. Aiguille à séton de M. Boyer, garnie d'une mè
lle-même. Fig. 3. Aiguille à séton de M. Boyer, garnie d'une mèche.
Fig
. 4. Autre aiguille à séton. Figures 5,6,7,8. Mo
séton. Figures 5,6,7,8. Moxas et instrumens de leur application.
Fig
. 5. Moxa ordinaire en combustion, maintenu sur la
que, au chalumeau par un soufflet, ou le souffle même de la bouche.
Fig
. 6. Petit moxa de M. Sarlandière. Fig. 7. Porte
souffle même de la bouche. Fig. 6. Petit moxa de M. Sarlandière.
Fig
. 7. Porte-moxa de M. Larrey ; d'un usage assez co
e M. Larrey ; d'un usage assez commode, il est néanmoins peu usité.
Fig
. 8. Chalumeau de M. Larrey. Figure 9. Perforati
la mâchoire inférieure avec la clef de Garengeot à crochet simple. —
Fig
. 1, bord alvéolaire droit; fig. 2, bord alvéolair
mâchoire supérieure avec le crochet en Z sur la clef de Garengeot. —
Fig
. 3, luxation de la dent en dehors; fig. 4, exempl
ymphatiques et les vaisseaux profonds. 2° Vaisseaux lymphatiques. (6)
Fig
. 2. Groupe principal des vaisseaux lymphatiques
fig. 2 et 3, Filet cutané du nerf cubital. 4° Vaisseaux profonds.
Fig
. 3. (10) Artère numérale : (11) Veines humerales
4. Artère tibiale postérieure, entre ses deux veines. 2° (B et B2)
Fig
. 2. Au tiers inférieur de la jambe. I. Section
nes : sous le vaisseau est engagée la sonde cannelée. 3° (C et C'2)
Fig
. 2. Au tiers supérieur de la jambe. La plaie es
mérale, au-dessus de sa bifurcation. — Détails anato-supplémentaires,
Fig
. 2. —5. Veine radiale commune. — 6. Veine médiane
(Voyez , pour P opération , pl. 41 ) (F) Figure 2 ; et planche 41,
Fig
. 1 ; et F2. — 1. Section de la peau. — 2. Section
es de la fig. 1, pour en faciliter le numérotage. OPÉRATIONS. (G)
Fig
. 1, et (G2) LIGATURE DE L'ARTÈRE HUMÉRALE, au m
(G2) Muscle biceps. — 8. (G2) Portion interne du triceps. (F et F2)
Fig
. 1, et Pl. 40. LIGATURE DE L'ARTÈRE RADIALE, a
-nateur. — 5. pl. 40. Muscle fléchisseur sublime. — 6. Nerf radial.
Fig
. I, et pl. 40. 7. Artère radiale, sur la sonde ca
pl. 40. 7. Artère radiale, sur la sonde cannelée.— 8. Ses (C et C2)
Fig
. 1, et Pl.40. LIGATURE DE L'ARTÈRE CUBITALE, a
re et, au-dessous l'indication des multiples et dos sous-multiples (
Fig
. 1) ; un appa- reil destiné à apprendre aux enf
Fig. 1) ; un appa- reil destiné à apprendre aux enfants à souffler (
Fig
. 2), Procédés D'ENSEIGNEMENT. IX exercice pré
esque pas, le lobule est détaché. Sourcils assez abondants. Fente
Fig
. 3. Etat actuel. 85 patpébrale assez grande
peu oblique, narines épaisses. Bouche assez petite. Lëvré's minces (
Fig
. 20). Dentition, Mâchoire supérieure : 14 dents
tragale et le sca- phoïde. Les réflexes rotuliens sont peu marqués [
Fig
. 21). Membres supérieurs. Ils sont régulièremen
nserve aussi le. même caractère cle simpli- cité : F1, L P, A C, C [
Fig
. 23) se succèdent sans modification notable. Le
ntraux, l'hippo- campe, etc., ont tous la même simplicité do forme (
Fig
. 23'. Hémisphère cérébral gauche [Fig.V\). Tout
la même simplicité do forme (Fig. 23'. Hémisphère cérébral gauche [
Fig
.V\). Tout on conservant t l'aspect rudimentaire
en de particulier aux noyaux gris centraux et à la capsule interne (
Fig
25'. Rien non plus à noter au cervelet ni à l'i
e l'imbécillité avec cachexie pachydermique ou myxddème congénital [
Fig
. 5, 6 et 7). La tête est volumineuse et fait co
u sail- lantes, surtout dans leur moitié interne, de sorte que le
Fig
. 7. Description DE la malade. 103 pourtour de
tées seulement par une ligne légèrement sinueuse mais non dentelée [
Fig
8). ' Les différentes cavités de la base du crâ
tout à fait superficiels. Le sillon deRolando presque rectiligne
Fig
. 8. H6> Description DU cerveau. sépare trè
I'absenGE complète de la glande thyroïde et la persistance de la
Fig
. 9. 126 RÉFLEXIONS. fontanelle antérieure. Ce
ciatus, chez des chiens. Par l'ouverture du trépan j'introduisais (
Fig
. a) : ou une aiguille avec pointe en forme de l
un examen qui devait, faire constater les lésions expérimentales.
Fig
. a. LE SIÈGE DES PROCESSUS PSYCHIQUES -CONSCIEN
stant M. le D' Owen. Je remercie ces Messieurs chaleureuse- ment.
Fig
. b. - Crus anl. fornicis. - Dessin schématique de
vec les centres d'écorce de l'hémisphère relative du grand cerveau (
Fig
. lr, x') comme je l'ai fait chez le lapin et le
9. Crus post.fornicis ad cornu Ammonii. 11. Taeniae thal. opt.
Fig
. 2. Les mêmes,5 sections de cerveaux de lapins pr
en blanc désignée X provient de ce que le coagu- lum était tombé.
Fig
. 10. Les 2 sections suivantes horizontales du mêm
e' cérébral, les fibres du segment postérieur de la capsule interne
Fig
. 9. - Coupe horizontale passant par la région sou
Fig. 9. - Coupe horizontale passant par la région sous-thalamique.
Fig
. 10. 5 5 LONG se répartissent moins régulière
que Broca n'a jamais trouvé un angle négatif supérieur à - 2o (cf.
Fig
. ci-dessous). Faute d'examens de crânes d'enfan
hirés antérieurs sont souvent élargis et incomplètement séparés des
Fig
. 1. - Section médiane du crâne dysostosique d'Hel
e fait en extension il gauche. Le réflexe anal manque. Il existe (
Fig
. 1) une anesthésie tactile, douloureuse et thermi
en arrière s'étendant en bande longitudinale jusqu'au pli fessier (
Fig
. 2). Au périnée Inc. 1. - Anesthésie tactile, d
sion du tibia droit. SYNDROME DE L'HÉMI-QUEUE DE CHEVAL 119 Sl (
Fig
. 3) l'aire anesthésique dessine une hémi-garnitur
e diagnostic d'hémiparésie gauche légère, vraisemblablement par ra-
Fig
. 2. Anesthésie tactile, douloureuse et thermique'
hyse méningo-radiculaire de la moitié droite de la queue de cheval (
Fig
. 4). Des adhérences de la partie postéro-latéra
avec hémorragies, caractérisée beaucoup plus par l'infil- Fc. 5.
Fig
. 6. FIG. 7. SYNDROME D'HEIIIIQUEUE DE CHEVAL
cette méthode ; pas une d'entre elles ne contient de boules noires (
Fig
. 1). Les choses, au contraire, ne se passent ai
scrit au point de pénétration ou de sortie des différentes racines (
Fig
. 2). Ce même contraste entre la structure de la
e la substance blanche résulte encore d'une façon très évidente de la
Fig
. 3, qui reproduit une racine postérieure de la
apparaissent colorés en noir plus ou moins foncé, à contour régulier (
Fig
. 4). Méthode de Lugaro. - La fixation qui est p
cines correspondantes ainsi que nous l'avons déjà montré plus haut (
Fig
. 2). Contrairement à ce qu'on a observé dans la m
té un nombre encore moindre de gaines myéliniques colorées en noir (
Fig
. 8). Si l'on pratique des coupes longitudinales
ément colorées en bleu après 48 heures de permanence dans l'alcool (
Fig
. 10). Si on y ajoute l'autre fait que assez sou
ibres nerveuses n'est plus colorable avec la laque hématoxylinique (
Fig
. 11). Sur les coupes longitudinales on remarque
volume variable, colorées plus ou moins intensément par le Weigert (
Fig
. 12). Méthode de Mardi. - Les différents troncs
un nombre considérable de corps granuleux irrégulièrement disposés (
Fig
. 13). Seulement par ci par là on rencontre en-
s très circonscrit d'ailleurs, des boules noires groupées ensemble (
Fig
. 14). Méthode de Cajal. Tous les nerfs périphér
ure Cp, cordon postérieur. Méthode de Marchi. Même grossissement.
Fig
. 4. Racine antérieure de la moelle cervicale, cou
au; coupe longitudinale. - Même coloration et même grossissement.
Fig
. 13. Nerf médian gauche dans le bras. Coupe longi
sail- lante, tandis que les deux tiers inférieurs sont en retrait (
Fig
. 1). L'omoplate droite est plus saillante que l
eux paternels et maternels. Elle présente des signes dis- .\Xl 22
Fig
. 1. 330 GIUSEPPE FRANCHINI ET G. GIGLIOLI tin
(1) Voy. Nouv. Iconographie de la Satpêtriere, No 2, 1905. XXI 24
Fig
. 1. 362 R. WEBER tour du néoplasme, passant m
sarcomateuses. 3° De dégénérescence colloïde ( ? ) de la tumeur.
Fig
. 2. V. Vaisseau. - Ep. Espace périvasculaire. C.
à angle obtus, ouvert en dehors et en avant, s'articule en arrière,
Fig
. 1. - Pied gauche. SYNDACTYLIE ECTRODACTYLIE CL
ers sont raccourcis, mais un peu élargis. Il ya un début de fusion.
Fig
. 2. - Pied droit. 410 régis Le premier métata
iture est suffisamment bonne. En voici un exemplaire (fig, 1.), '
Fig
. 1. NOUVELLLE Iconographie DE la SALPÊTRIERE
f Fin de l ? " 1 1\T Il éruption iiii Fin de la seconde éruption.
Fig
. 3. - Gir... + Eruption, Fin de l'éruption. 106
de la température est resté au-dessous de 39° et qu'une seule fois (
Fig
. 1), la température s'est élevée à 40 ? Presque
nsitoire. La clé/'enw8cence suit immédiatement et est régulière. (
Fig
. 3 et 4). Deux do nos malades, comme nous l'avo
érature est atteint en plusieurs jours, qu'il y a des oscillations (
Fig
. 5), qu'elle se maintient sur deux ou trois jou
rs, à un chiffre assez élevé, que la défervesceiice est plus lente (
Fig
. 5), et qu'elle se fait parfois en offrant des
ladies existeraient simultanément ( ? ). Le diagnostic ne saurait
Fig
. 5.-Juvon. -Rougeole. RUBÉOLE. 109 être, du r
prendre. ? t d a o f r-3 x c m M- 0 r t4
Fig
.. G. - V.... - Rougeole. E, début do l'éruption.
ite un nouvel abaissement (38 ? ) suivi d'une nouvelle élévation.
Fig
. 7. - Chaque ligne verticale répond à une heure,
(90 gr.) n'offre qu'un peu de périsplénite. 136 REIN UNIQUE.
Fig
. 9. - Rein en fer à cheval vu de'face. C., capsul
t en bas et sem- blant indiquer la ligne de fusion des deux reins. (
Fig
. 9,10.) La décortication du rein, qui n'est pas
remier jour de l'éruption 144 HYPERTROPHIE DE la glande pinéale. (
Fig
. 8). Les oscillations suivantes sont peut-être du
es observa- tions nombreuses sur la température dans la rougcole.
Fig
. 11. x, début de 1 éruption. y, fin de l'éruption
chématiques, gran- deur naturelle après macération dans l'alcool.
Fig
. 1. Coupe pratiquée sur l'extrémité inférieure de
aréolaire. - PM, pie-mère épaissie, limitant le pseudo-kyste, PK.
Fig
, 2. Coupe pratiquée sur le lobe quadrilatère, les
le. - TA, TA, Tissu aréolaire. PM, Coupe de la pie-mère épaissie.
Fig
. 3. - Coupe pratiquée sur le lobe occipital et ve
vexe de l'hémisphère a été aplatie par un défaut de conservation.
Fig
. 4. - CCC, circonvolution du corps calleux. - CC,
PA, Pariétale ascen- dante. T, Première circonvolution temporale.
Fig
. 5. LQ, Lobe quadrilatère. - VL, Ventricule latér
- P2, Lobule pariétal inférieur. TT, Circonvolutions temporales.
Fig
. 6. - LO, Lobe occipital. - CO, Corne occipitale.
ettres et, sur le cahier, il peut reproduire des barres et des o.
Fig
. 1. -Flacons renfermant : Eau de rose, Acide acét
r, bou- tonner et faire les deux premiers mouvements à la gymnâs-
Fig
. 2. - Flacons renfermant : Rhubarbe, Quinine, Gen
orts de 1890 à 1900 au sujet de l'habillement (mannequin spécial,
Fig
. 4). de l'éducation, de la digestion, de la res
e prévenir si elles éprouvaient des douleurs dans les reins ou le
Fig
. 4. Leçon d'habillement (mannequin). LEÇONS DE
vre externe de la ligne âpre; i, livre interne de la ligne ;lpre. -
Fig
.1,eoupe du fémur d'un gorille, ou d'un' hémiplé
hémiplégique : le développement musculaire est relativement faible;
Fig
. 2, représentant la coupe d'un fémur dont le pi
correspondant à une paralysie légère, s'en rapprochent absolument;
Fig
. 3, fémur il fort développement musculaire. La pa
e sa surface de coupe pour en faire un os atrophié. 1 . Fia. 1.
Fig
. 2. Fig. 3. 52 SQUELETTE des hémiplégiques. '
face de coupe pour en faire un os atrophié. 1 . Fia. 1. Fig. 2.
Fig
. 3. 52 SQUELETTE des hémiplégiques. ' prononc
e Coupes schématiques représentent l'humérus plusieurs niveaux. -
Fig
. 4 et 5. Tiers supérieur; a et b bords de la gout
devient sur 5 le bord antérieur, i et e faces internes et externes.
Fig
. G et 7. Tiers inférieur; - a, bord antérieur; -
g. 7 agrandissement de la partie a e (ptère sus épicondylienne) ; -
Fig
. 8 et 9. Tiers moyen ; - L'os est aplati trllusve
Sur la face externe on voit les irrégularités du V deltoïdien d. La
Fig
. 8 représente un os de nouveau-né. légèrement
influence des muscles les modifications suivantes sont survenues.
Fig
. 8. fig. 4. Fig. 6. Fig. 9. Fig. 5. Fig
s les modifications suivantes sont survenues. Fig. 8. fig. 4.
Fig
. 6. Fig. 9. Fig. 5. Fig. 7. Humérus, radi
fications suivantes sont survenues. Fig. 8. fig. 4. Fig. 6.
Fig
. 9. Fig. 5. Fig. 7. Humérus, radius et CUBI
suivantes sont survenues. Fig. 8. fig. 4. Fig. 6. Fig. 9.
Fig
. 5. Fig. 7. Humérus, radius et CUBITUS. 81
sont survenues. Fig. 8. fig. 4. Fig. 6. Fig. 9. Fig. 5.
Fig
. 7. Humérus, radius et CUBITUS. 81 La lèvre e
palatine abaissée ; la suture des apophyses palatines des deux os
Fig
. 10. 158 Description de la malade. maxillaire
adie ne soit tout-à-fait circonscrite. » Explication des figures.
Fig
. i. La fig. i représente le profil de la tête de
e déformation considérables. La surface de la tumeur est aréolaire.
Fig
. 2. La coupe représentée fig. 2 a été faite sur l
e, représentent le squelette de la moitié sous-ombilicale du tronc.
Fig
. 4- Face antérieure. Bassin vu en avant : il prés
et qui se termine en pointe mousse. Il n'y a pas vestige de péroné.
Fig
. 5. Elle représente la moitié inférieure du squel
. Le fœtus est de petites dimensions, bien qu'il soit venu à terme.
Fig
. i et i'. La figure i, planche vi, qui est de d
mblent assez bien à des mains dont les doigts seraient très courts.
Fig
, 2,2' et 2". La figure 2 représente la moitié i
, un angle extrêmement obtus, saillant à gauche, rentrant à droite.
Fig
. 3. i° Viscères. Estomac, foie, rate, intestins
uve seulement quelques faisceaux charnus impossibles à débrouiller.
Fig
. 4- La figure 4-,qui représente les deux membre
de ces muscles. Les muscles pédieux P sont parfaitement conservés.
Fig
. 5. La figure 5 représente le membre inférieur,
7, 8, représentent le squelette du bassin et des membres pelviens.
Fig
. 6. Squelette du bassin et des membres inférieu
rotation subi par les jambes et les pieds est identiquement lemême.
Fig
. 7. Bassin et membres inférieurs vus par leur f
'ailleurs, tous les autres os du tarse sont parfaitement distincts.
Fig
. 8. La figure 8 représente le bassin vu latéral
del. Imp. £emcrcier£enartL eL C (planche v, xxxixe livraison.)
Fig
. i. Parotide suppurée. La figure i représente une
ion des ganglions était identique avec celle de la glande parotide.
Fig
. a et 2'. Atrophie des muscles propres de la moit
nstration rigoureuse ces déductions de l'anatomie saine et morbide.
Fig
. 3 et 3'. Hydrophthalmie partielle avec amincisse
redevenir transparente par suite de quelque érosion superficielle?
Fig
. 4, 4' et 4-" Cancer niélanique des parties conte
livraison.) Rétrécissement et végétations polypeuses de l'œsophage,
Fig
. i et I . La figure 1 représente un œsophage co
il d'employer des sondes dont le diamètre irait toujours croissant.
Fig
. 2 et 2'. Maladies du duodénum. Ulcère chronique
et sans imminence de perforation le moindre travail inflammatoire.
Fig
. 3. Étranglement produit par une bride nouée auto
litk. Imp. Lemercier Benard et C. (PLANCHE II, XXXe LIVRAISON.)
Fig
. i. — Cicatrices d'ulcérations folliculeuses. L
canal alimentaire chez les phthisiques s'étendre jusqu'à l'estomac.
Fig
. 2. — Végétations polypeuses de l'estomac. La f
/iwxal ciel. Imp. Lemerciei^Bamrict (Planche vi, xxie livraison.)
Fig
. 1,2, 3. Chute du rectum, ou invagination du rect
ique des accidens. — Péritonite. — Gangrène de l'intestin grêle, (i) (
Fig
. 4-) Spino, 29 ans, fut pris, trois mois avant
se sont manifestées, et que l'enfant a recouvré une santé parfaite.
Fig
. 2 et 2'. Les figures 2 et 2' représentent une
es sanguinolentes par l'anus. — Grossesse. —Accouchement. — Mort. (
Fig
. 2 , Pl. 1. ) Madame Martin, 3o ans, d'une fort
cancer du foie pas plus que sur celle du cancer des autres organes.
Fig
. ii. La figure i représente une tranche du foie
Lith de Lemercier, Benard et Cie (planche V, xxxiie livraison.)
Fig
.,. Fragment non gangrené pédicule du poumon, re
et non la qualité des parois vasculaires qui détermine la phlébite.
Fig
. 2. Fistule pulmonaire cervicale, ayant son poi
VARICES. — PHLÉBITE HEMORRHAGIQUE. (PLANCHE V, XXXVe LIVRAISON.)
Fig
. i et i\ Varices. La figure i représente la vei
enait d'un abcès, et aucun phénomène de résorption ne se manifeste.
Fig
. 2 et 2'. Phlébite capillaire hémorrhagique. Le
térieures de la moelle épinière. ( PLANCHE III , XLe LIVRAISON. )
Fig
. 2 et 2'. — Anévrysme latéral de l'artère carotid
ation rouge d'une partie du lobe inférieur du poumon gauche. Cœur. (
Fig
. 1, pl. iv.) Le péricarde contenait une demi-cuil
se. L'orifice anriculo-ventriculaire gauche est un peu rétrécie, a"
Fig
. 2 et 2'.— Rétrécissement de l'orifice artériel d
tubercules TTT qui occupent la face postérieure de cette crosse. La
Fig
. i, pl. 3 montre la tumeur en place divisée perpe
nt la portion de moelle qui répond a la troisième vertèbre dorsale.
Fig
. 2, 2', 2, pl. i, xxxiie livraison. Piri, 6o an
rotubérance d'une paraplégique, que j'ai observée à la Salpêtrière.
Fig
. 1. Iles gris rougeâtre TR sur la protubérance et
'R', T'R', T'R', sur les faces antérieure et latérale de la moelle.
Fig
. i'. D'autres îles rougeâtre TR, TR, se voient su
MALADIES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. (PLANCHE V, XXXVIIIe LIVRAISON.)
Fig
. i et i\ Lesfîgures i et i' nous offrentun nouv
y a donc à-la-fois dans ce cas arrêt de développement et atrophie.
Fig
. 2. La figure 2 représente la moelle rétrécie e
s un acide, tissu qui semble entièrement dépourvu de suc cancéreux.
Fig
. 4. La figure 4 représente une moelle épinière,
attaque. Cicatrice avec déformation considérable de la protubérance. (
Fig
. 3 et 3'.j Duffet (Marie), d'une très forte con
CERVEAU ET DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. (planche iv, xxxixe livraison.)
Fig
. i l', 3 et a'. Hydrocéphalie avec diminution de
plus ou moins complète, observés chez des enfans à terme mort-nés.
Fig
. 1. Crâne beaucoup plus petit que de coutume, ave
e avec le tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la moelle épinière.
Fig
. 3, 3', 3", 3"'. Cysticerque du cerveau. J'ai o
ns épaisses ténèbres, et leur thérapeutique est encore à faire (i).
Fig
. 4- Spina bifida. La figure 4 représente un spi
luence des forces de la vie. Tumeur carcinomateuse de la dure-mère.
Fig
. a. Les tumeurs carcinomateuses de la dure-mère
rice et que le sillon vient d'être creusé à la surface du cervelet.
Fig
. 3. Apoplexie capillaire du cervelet. La fig. 3
esque indifféremment et la substance grise et la substance blanche.
Fig
. 4. La fig. 4 a pour sujet un cervelet qui a ét
n et de la portion de peau qui lui sert de support. Cicatrisation. (
Fig
. 4 et 4'-) Les fig. 4 et 4' représentent une pr
å/f/ Zita. de  cJLarJ et/reu (planche i, xxxe livraison.) » ..
Fig
. i et i'. Maladies de la prostate. Les figures
ion ordinaire, l'orifice de cette poche est plus large que le fond.
Fig
. 2. Ecchymoses de la vessie chez un enfant mort à
eur contrastait avec la couleur noire des extravasations sanguines.
Fig
. 3. Calculs prostatiques. Il m'est arrivé bien
la région prostatique, et qui peuvent acquérir un si grand volume.
Fig
. 4s Phlébite rvésicale. Le cas de phlébite vési
d. et C"? (planche v, xxxvie livraison.) EXPLICATION DES FIGURES.
Fig
. i . — Phlébite rénale. La figure i, planche v,
e séreux sont très fréquemment le siège d'un développement adipeux.
Fig
. 3. Le rein représenté figure 3 m'a paru remarq
malade était commissionnaire et menait une vie extrêmement active.
Fig
. i. La peau était mobile sur la tumeur qui présen
et la cavité vésicale ne constituaient qu'une seule et même cavité.
Fig
. 2 et 2'. Les figures 2 et 2' représentent un m
, la même absence de suc que la végétation enlevée par M. Michon.
Fig
. 3 et 3'. Les figures 3 et 3' représentent les
ité de réaliser des hallucinations hypnotiques et post-hypnotiques.
Fig
. I. — Schéma représentant les trois états du somm
blement rétrécis. La motilité et le sens musculaire sont intacts.
Fig
. 1 - Jean S... à l'état de veille. Fig. 5. — Je
s musculaire sont intacts. Fig. 1 - Jean S... à l'état de veille.
Fig
. 5. — Jean S... en état somnanbuloïde, 2e degré-
le sens musculaire «ont intacts, ses champs visucls sont rétrécis.
Fig
. 8 — Champs visuels de Celestine B... Sous l'in
de Molenbeck en février 1893, elle occupait le lit 3 de la salle 8.
Fig
. 9. — Champs visuels d'Eudoxie M... Son père es
ont bien portants. Enfin, une autre sœur a des attaques de nerfs.
Fig
. 10. — Champs visuels de Julie m (Pris par M. Ma
des deux côtés. Ses champs visuels sont notablement rétrécis. G D
Fig
. 11. — Champs visuels de Mme B Par la fixation
a-tion répétée ne parvint pas i provoquer un autre état hypnotique.
Fig
. 13. — Champs visuels de Louise T... Observatio
ux des deux côtés du corps. Les champs visuels sont rétrécis. C s
Fig
. 14. — Champs visuels d'Adrienne C... (Pris par M
entes, elles atteignaient souvent le chiffre de dix en une journée.
Fig
. 15. — Champs visuels de Joséphine D... (Pris par
le gauche: le contact, le chatouillement, le pincement, la piqûre,
Fig
. 16. — Josephine D... » l'état de veille. Fig.
ncement, la piqûre, Fig. 16. — Josephine D... » l'état de veille.
Fig
. 17, — Joséphine D... en somnambulisme la tempé
omac. Les accès présentent une période épileptoïde pendant laquelle
Fig
. 18. — Joséphine D... en état cataleptoïde les ye
e Fig. 18. — Joséphine D... en état cataleptoïde les yeux fermés.
Fig
. 19. — Josephine D... en état cataleptoïde les ye
anes des sens paraissent normaux, les champs visuels sont réirécis.
Fig
. 20. — Champs visuels de Collette ii... (Pris par
produire ces phénomènes, mais jamais la léthargie ne s'est montrée.
Fig
21. Collette H... à l'état de veille. Fig, 22 —
argie ne s'est montrée. Fig 21. Collette H... à l'état de veille.
Fig
, 22 — Collette H... en somnambulime- Fig. 23. —
H... à l'état de veille. Fig, 22 — Collette H... en somnambulime-
Fig
. 23. — Collette- H... en état cataleptique les ye
bjet virtuel et l'expression de la face prend l'aspect de l'extase.
Fig
. 25. — Alice V... en Fig. 26, — Alice V... en Fig
ion de la face prend l'aspect de l'extase. Fig. 25. — Alice V... en
Fig
. 26, — Alice V... en Fig. 27. — Alice V... à état
pect de l'extase. Fig. 25. — Alice V... en Fig. 26, — Alice V... en
Fig
. 27. — Alice V... à état léthargique les état let
clusions de Pitres qu'après avoir fait des recherches personnelles.
Fig
. 28. — Zones hypnogènes de Anna M.. Dans les qu
che, un au-dessus de la rotule gauche et un dans l'aisselle gauche.
Fig
. 30. — Zone hypnogènes de Louise T... Dans d'au
. Voisin ( Auguste), 211, 307. FIGURES CONTENUES DANS LE VOLUME
Fig
. 1. — Schéma représentant les trois états du somm
1. — Schéma représentant les trois états du sommeil hypnotique, 324.
Fig
. 2, 3, 6. 7, 8. 9, 10, 11. 12, 13, 14, 15. 20- —
. 7, 8. 9, 10, 11. 12, 13, 14, 15. 20- — Champs visuels, 328 et suiv.
Fig
. 4, 5, 16, 17, 18, 19. 21. 22, 23. 24. 23, 26, 27
7. — Sujets plongés dans les divers états hypnotiques, 329 et suiv.
Fig
. 28, 29, 30. 31. — Zones hypnogènes, 354 et suiv.
ns encombrant, j'ai fait construire ces pieds G. DEVY r joulen.1-
Fig
. 2. Appareil du Dr Bogrolf pour la suspension.
m cl'J a M t- a cn > 13 m- ? M- m fit
Fig
. 11. - A. et B. Boul... (Maladie de Thomsen) 21 a
. , cD C PL, CD 3 -T1" "S. c«" B' ^ ' CD s-" £ * O L)
Fig
. 18. Sujet normal. Fig. 19. - Malade : vue antéri
-T1" "S. c«" B' ^ ' CD s-" £ * O L) Fig. 18. Sujet normal.
Fig
. 19. - Malade : vue antérieure. Fig. 20. Malade :
* O L) Fig. 18. Sujet normal. Fig. 19. - Malade : vue antérieure.
Fig
. 20. Malade : vue postérieure. CD CD CD en M
te est comprise 7 fois 1/3 dans la hauteur du corps, du vertex à la
Fig
. 21. ARTHROPATHIES COSO-rÉlSiORALES. 133 plan
um, rencontre bien au-dessus de ce niveau les tubérosités iliaques (
Fig
. 19 et 20 et pl. 20, 21, 22). : , Si nous reche
ent gonllé comme l'indique la 1. Voir les n" 1, 2, 1893. 2. Vn3·,
Fig
. 17, page in. v 12 170 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
tions métacarpo-phalangiennes volumi- Beli. maladie de Parkinson.
Fig
. 2G. - Altitude anormale. Renversement du tronc.
'à 20 milliampères) sur notre malade atteint de maladie de Thomsen.
Fig
. 28. Excitations galvaniques du muscle droit anté
assurer en plaçant les mains sur une apophyse mastoïde. L'appareil
Fig
. 35. - Casque vibrant. Nouvelle Iconographie un
vol., Washington, 1875. CANON DES PROPORTIONS DU CORPS HUMAIN 311
Fig
. 36. Parties du corps ayant une tête comme commun
11 Fig. 36. Parties du corps ayant une tête comme commune mesure.
Fig
. 37. Parties du corps ayant deux têtes comme comm
Fig. 37. Parties du corps ayant deux têtes comme commune mesure.
Fig
. 38. Parties du corps ayant trois et quatre têtes
t d'après les données qui précèdent, se subdivise ainsi qu'il suit (
Fig
. 39) : Le milieu de la figure est situé plus ba
es dépassent un peu, par en bas, dans le canon de huit têtes. C'est
Fig
. 39. Canon de 8 têtes (Type héroïque.) (Vue ant
s subdivisions du corps en hauteur sont les mêmes, les points dere-
Fig
. 40. 322 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
ure est égale à la taille. Il nous faut néanmoins faire observer, à
Fig
. 41. Figure de Jean Cousin. CANON DES PROPORTIO
ives des diverses parties de la tête sont parfaitement obser- vées (
Fig
. 41). Appendice. Procédés pour établir la com
par les anthropologistes qui ont l'habitude de considérer la taille
Fig
. 42. - Compas. 328 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
de la contracture que des mouvements liémicloréiques du cote droit.
Fig
. 43. - Graphiques des tremblements à l'ctat de re
noeuvre on pouvait les provoquer au membre supérieur du même côté. (
Fig
. 43). Leur forme est la même, c'est-à-dire aryt
t remonté et en légère adduction pourrait d'abord faire croire à un
Fig
. 44. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LE
e dans le droit. L'acuité visuelle est normale dans les deux yeux. (
Fig
. 45). L'étude de la vue nous a en outre révélé
années» le Dr Parinaud appela l'attention sur la polyopie v ' 24
Fig
. 5. 362 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE tA'SALPÊTRI¡);
exten- sion complète, on perçoit à droite quelques craquements.
Fig
. ? . - René. André. . Juillet 1897 : sion. Da
e l'hémisphère mesurée au niveau du BOURNEVILLE, Bicêtre, 1900. 3
Fig
. 3. Lee).. (René) en juin 1899. 18 Atrophie DU
thyroïdien, interrompu plusieurs fois 36 Idiotie MYXOEDÉMATEUSE.
Fig
. Octobre 1900. Idiotie myxoedémateuse. Fig. G
otie MYXOEDÉMATEUSE. Fig. Octobre 1900. Idiotie myxoedémateuse.
Fig
. G. - Octobre 1900. 38 Traitement thyroïdien.
x et de l'oesophage, nous apercevons un corps étranger volumineux. (
Fig
. 7). C'est un os de forme prismatique triangula
veau existe une petite parcelle osseuse détachée de la principale. (
Fig
. 8). A un centimètre au-dessous, on note : in l
r s'il y avait réellement une distinc- tion ou un simple caprice.
Fig
. 9. - Pe... à deux ans. Descriptions DU malade.
assez bien développé. - Les tuber- cules mamillaires font défaut.
Fig
. 10. - Crâne : atrophie du frontal ; persistance
upé- rieure des orteils, à droite et à gauche. Les mouvements vo-
Fig
. 13. Idiotie complète. 105 loniairex paraisse
erveau (N° xxv) ainsi que celle du cerveau d'Edern. (N" XX-VI), -
Fig
. 15. Mari... Jan ... Arno... Ramba... Tabonr.
la Microcéphalie, communiqué au Congrès international de Médecine
Fig
. 16. Jan.... Mario... Ramba... Tabour. (G.) M
ou même guéris, suivant leur degré mental. Voici une photographie (
Fig
. 15) qui représente, en groupe 10 microcéphales
hales, d'âges différents vus, de face et deux autres photographies (
Fig
. 16 et 17) qui les représentent vus de profil.
e dans : Congrès de 1889, p. 397 et Comple-rendn de 1890, p. 152.
Fig
. 18. Imba... Cbaiz... SterArn... Maz... Tab..(M
était atteint d'idiotie complète. Aujourd'hui, l'enfant prononce
Fig
. 19. Imb... Chaiz... Stert... Jan... Arn... Maz
milieu desquelles furent placés les lapins de ce dernier groupe.
Fig
. 1. (2/3 de la grandeur naturelle). ALTÉRATIONS
ls qu'il a bien voulu nous donner. EXPLICATION DE LA PLANCHE I.
Fig
. 4. - Coupe transversale de la moelle épinière pa
postérieur droit, 1mm, 95; le cordon postérieur gauche, 2mm, 40.
Fig
. 2. Coupe transversale de la moelle épinière pass
n postérieur droit, tmm, 05; le cordon postérieur gauche, 1 ? 20.
Fig
. 3. Cellule nerveuse en voie de vacuolisation pro
rès une traction du nerf sciatique droit avec une force de 5 kilos.
Fig
. 4. Tubes nerveux indemnes du bout central du ner
jours après une traction dont la force équivalait à 600 grammes.
Fig
. 5. Coupe transversale passant par le renflement
postérieure droite, Omm, 90; la corne postérieure gauche, imm, 20.
Fig
. 6. Coupe transversale passant par le renflement
ostérieure droite, tmm, 50 la corne postérieure gauche, 1"'m, 55.
Fig
. 7. Tubes nerveitx lésés provenant du bout périph
e située tout à fait à gauche ne contient pas de corps granuleux.
Fig
. 2. - Capsule interne, Observation I, côté gauche
érieures, il e décontracte aussi brusquement qu'il s'est contracté (
Fig
. 4, A), et dans ces con- ditions il n'y a pour
otre malade et la courbe fournie par les muscles d'un sujet normal (
Fig
. 4, B). Les muscles des membres ne sont pas seu
vec sa main, dans leur position normale, ses AncHiVKS, t. X. Il 4
Fig
. 4. A, Tétanos musculaire dans la maladie de Thôm
ns postérieurs et du bord antéro-postérieur des cordons latéraux.
Fig
. 6. Coupe transversale 3 la limite des portions c
cordons latéraux, où elle atteint la substance grise. La localisa-
Fig
. 7. -Coupe dans la partie supérieure de la portio
atéraux et postérieurs et du bord externe des cordons antérieurs.
Fig
. S. - Coupe dans la partie inférieure de la porti
atement à la périphérie au bord externe des racines postérieures.
Fig
. 9.- Coupe dans la portion lombaire. Sclérose des
48, 207, 260, 261. EXPLICATION DES PLANCHES [PLANCHE PREMIÈRE
Fig
. 1. Coupe transversale de la moelle épinière pass
postérieur droit, Im», 95; le cordon postérieur gauche, 2mm, 40.
Fig
. 2. Coupe transversale de la moelle épinière pass
stérieur droit, L ? t, 05; le cordon postérieur gauche, 1"n", 20.
Fig
. 3. Cellule nerveuse en voie de vacuolisation pro
rès une traction du nerf sciatique droit avec une force de 5 kilos.
Fig
. 4. - Tubes nerveux indemnes du bout central du u
jours après une traction dont la force équivalait à 600 grammes.
Fig
. 5. - Coupe transversale passant par le renflemen
postérieure droite, I)im, 9G; la corne postérieure gauche, Imm, 20.
Fig
. G. Coupe transversale passant par le renflement
postérieure droite, 1mm, 50 ; la corne postérieure gauche, 1 ? 55
Fig
. 7. Tubes nerveux lesés provenant du bout périphé
de formation nouvelle. t7t EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE Il
Fig
. 1. - Circonvolution frontale ascendante droite d
e située tout à fait à gauche ne contient pas de corps granuleux.
Fig
. 2. - Capsule interne, Observation I, côté gauche
té gauche, les corps gra- nuleux y sont disposés en deux groupes.
Fig
. 3. Capsule interne, Observation II, côté gauche.
ement à leur direction. EXPLICATION DES PLANCHES. 75 PLANCHE II
Fig
, 4. Pédoncule gauche, Observation I. A, corpo â
ion I. A, corpo ârauulew - l3, cellules pigmentées du tocusuiger.
Fig
, 5. Protubérance coupée par moitié, Observation I
ndroit le plus saillant de l'épaississement de la substance grise. (
Fig
. 1 et 2.) En re- montant vers la périphérie, la
able, quant à la largeur relative de la couche de substance grise. (
Fig
. 1 et 2.) Dans la direction frontale, cet épais
le carmin, l'hématoxyline et le méthyl vert; ils ont été employés
Fig
. 1, représentant la coupe de l'hémisphère droit
s Fig. 1, représentant la coupe de l'hémisphère droit (malade).
Fig
. 2, représentant la coupe de l'hémisphère gauch
général. 236 RECUEIL DE FAITS. EXPLICATION DE LA PLANCHE III
Fig
. 1. - Cellule pyramidale géante isolée de la régi
au début, sans altération du noyau et du nucléole. (Verick. 317.)
Fig
. 2. Cellule de la même région, tuméfaction plus p
sur les prolongements qui s'amincissent rapidement (Verick, 3/7.)
Fig
. 3. Vacuolisation d'une cellule pyramidale prise
prolongements forte- ment tuméfiés à leur origine. (Verick 3/7 )
Fig
. 4. Coupe verticale par la partie tuméfiée à la b
culièrement nom- breux au voisinage des vaisseaux. (Verick, 3/2.)
Fig
. 5. Coupe verticale à travers la substance grise
longements, ni du noyau. Coloration par le carmin. (Verick, 3/7.)
Fig
. 6. Coupe identique à la précédente par le même e
même déformation, qui, toutefois, était plus prononcée à droite. (
Fig
. 3.) Le bord interne du pied était considérable
ents ni mouvements anormaux au niveau des articulations déformées. (
Fig
. 4.) Enfin, tout dernièrement, nous voyions une
Moscou, 15/27 mai 1883. EXPLICATION DES PLANCHES PLANCIIE VI
Fig
. 1. Coupe horizontale de l'hémisphère gauche immé
apsule interne. X, l'lace où ont été trouvés les corps granuleux.
Fig
. 2. Coupe horizontale de l'hémisphère droit Il 91
Lobule carré. - V, Place où ont été trouvés les corps granuleux.
Fig
. 4. Coupe horizontale de l'lténzispltère gauche à
. X, Place où ont été trouvés les corps granuleux. PLANCHE "[[1
Fig
. 5. Coupe horizontale de l'hémisphère droit il 1l
ule paracentral. X, Place où ont été trouvés les corps granuleux.
Fig
. 6.-Coupe frontale de l'hémisphère droit à traver
on épileptitlue, (Voir Progrès médical, 2 septempre 1882, p. 663.) (
Fig
. 7) '. Description des accès 1. Chez cet enfant
olutions temporales. EXPLICATION DES PLANCHES. 133 PLANCHE Il !
Fig
. 1. Cellule pyramidale géante isolée de la région
début, sans altération rlu noyau et du nucléole. (Vericlc. 3/7.)
Fig
. 2. Cellule de la même région, tuméfaction plus p
sur les prolongements qui s'amincissent rapidement (Verick, 3/7.)
Fig
. 3. Vacuolisation d'une cellule pyramidale prise
prolongements forte- ment tuméfiés à leur origine. (Verick 3/7.)
Fig
. 4. Coupe verticale par la partie tuméfiée à la b
culièrement nom- breux au voisinage des vaisseaux. (Verick, 3/2.)
Fig
5 ? Coupe verticale à travers la substance grise
longements, ni du noyau. Coloration par le carmin. (Verick, 3/7.)
Fig
. 6. Coupe identique à la précédente par le même e
capsule interne. 11-ice où ont été ti@ou\és les corps granuleux.
Fig
. 2. - Coupe horizontale de l'hémisphère droit it
, ' 1 ' Archives de Neurologie z ; ,y.l T .VI Pl. 1. Fis 1.
Fig
. 2 Archives de Neurologie. T VI. Pl VU Fier
Fier C Fin. l EXPLICATION DES l'I,ANC¡¡[';8. 159 PLANCHE VU
Fig
. 3. Coupe horizontale de C hémisphère droit à un
., Lobule carré. 1, Place où ont été trouvés les corps granuleux.
Fig
. 4. Coupe horizontale de l'hémisphère gauche it t
les corps ntanuteux. 460 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE V111
Fig
. 5. Coupe horizontale de l'hémisphère droit à 1/2
liers, bracelets, jarretières, ou plaques pour diver- ses régions. (
Fig
. 1 15). Aimants de Harsu et Filliet. Fig. 1.
r diver- ses régions. (Fig. 1 15). Aimants de Harsu et Filliet.
Fig
. 1. - Ovale brisé. Fiq. 2. - Pli-cri pour la cu
1. - Ovale brisé. Fiq. 2. - Pli-cri pour la cuisse et la jambe.
Fig
. 3. - Pièce pour l'oreille. Fig. 4. - Pièce pou
cri pour la cuisse et la jambe. Fig. 3. - Pièce pour l'oreille.
Fig
. 4. - Pièce pour la plante des pieds. 90 TRAITE
. - Pièce pour la plante des pieds. 90 TRAITEMENT DE L'ÉPILEPSIE.
Fig
. 5. - Pièce courbée pour être appliquée entre les
Fig. 5. - Pièce courbée pour être appliquée entre les deux épaules.
Fig
. Ci. - Pièce au-dessus du poignet. ËFig. 7. - P
,··"'YYGGGi ? ).f·'sL· ? srifv.;tr ? ·i - t ' : I; : jtH"Ü\;¡¡iLi ?
Fig
. 8. - Pièce pour les odontalgies (présentation).
H"Ü\;¡¡iLi ? Fig. 8. - Pièce pour les odontalgies (présentation).
Fig
. 9. - Faisceau d'aimants (présentation dans les c
d'aimants (présentation dans les céphalalgies, etc.) AIMANTS. 91
Fig
. 11 et 12. - Plaques pour la région cardiaque.
ions sur ce point que, presque toujours, elles ont été négatives.
Fig
. 1h. - Modèle pour colliers, hracelets, jarretièr
gatives. Fig. 1h. - Modèle pour colliers, hracelets, jarretières.
Fig
. 13. - Modèle pour plaques diverses. AIMANTS. 9
arynx, journal, 21 dé- cembre 1889. ' l'fiuger's Arehiu., 1883.
Fig
. 2. Arm bras ; - Head, tète ; - Leg, jambe ; -
the brachial and Lumbo saa al plexuses. (Proc. Roy. Soc., 1881.)
Fig
. L - Aires motrices de Beevor et Horsley. Aukte
des mouvements oculaires suivant l'excitation respectivement des
Fig
. 5. - Hémisphère gauche du cerveau d'un chien.
s ' Voir Expériences 111, IV, V, VI. l'lt. Trans., vol. Il, 1881.
Fig
. 6. - Hémisphère gauche du cerveau d'un chat. t
tes de la lésion de la face inférieure de l'hémisphère (p. 35). »
Fig
. 7. - Hémisphère gauche du cerveau d'un lapin.
veau environ (voir Fys la h Phil. Il-ails, 1888. B. 30, plate 49.
Fig
. 8 et 9. - Section horizontale de l'hémisphère ga
petits objets qu'il saisissait rarement avec précision, les saisis-
Fig
. 10. - Centres corticaux du chien d'après Munk.
on passait exactement par le point de fiation. Archives, t. XXI 7
Fig
. 11. - Rapports des yeux avec la zone visuelle ch
urs des affections nerveuses, particulièrement des névrites péri-
Fig
. 12. DES CENTRES TROPHIQUES DE LA MOELLE 165
uvait être douteuse. C'était un zona, représenté par deux groupes
Fig
. 1 i. 170 CLINIQUE nerveuse : r importants de
crête iliaque, sur laquelle elles empiètent légèrement; quelques
Fig
. 15, DES CENTRES TROPHIQUES DE LA MOELLE 171
arée, en effet, à deux virgules d'inégal volume accolées par leur
Fig
. 16. C. g. Corps godronné.- C. b., Corps bordan
es étaient le signal de cris perçants. Le jour suivant, les mêmes
Fig
. 18. 248 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. épreuves f
(B, fig. 19), région que j'ai complètement extirpée sans causer le
Fig
. 19. Centres cervicaux du singe d'après blunk.
' Report on the Seals, Challenger Expédition, Part. LXVIII, p. 124.
Fig
. 20. . LES LOCALISATIONS CEREBRALES. : il515
ion cérébrale, et l'état du 1 Archives of médecine, février 1882.
Fig
. 21. 254 PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE. cerveau à
édecin, vol. I, n" 6, 15 mars, 1883 (Brain, avril 1888, p. 19). 1
Fig
. 22. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 255 cérébr
comme l'homologue de cette circonvolution, le pied du coin ou le
Fig
. 31 (d'après Obersteiner). Ccll, eorpsealleuc,-
the cérébral Commissiures of the marsupial and Monotremata. 1885.
Fig
. 32. Section frontale du cerveau du kangurou (m
t le tractus olfactif paraît Archiv. sur Psychiatrie, BanrlIIX. !
Fig
. 33. Section horizontale du cerveau de la taupe
la commissure antérieure. ' Comparative analomy of the vertebral.
Fig
. 3 , Section frontale du cerveau du singe il an
nt un morceau de pomme imprégné de sulfate de magnésie par l'o- 1
Fig
. 15. 3 a, 6. c., op. cil. LES LOCALISATIONS CER
était très apprivoisé, vous léchait les doigts plongés dans de la
Fig
. 35. 39lia PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. , poudre
ontact attirait l'attention, et un pincement ou une excitation dou-
Fig
. 36. LES LOCALISATIONS CEREBRALES. 401\ loure
le ascendante et du bord adjacent de la cir- Archives, t. XXI. 20
Fig
. 37. 402 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. convolutio
sista plus longtemps que je ne l'avais observe dans aucune de mes
Fig
. 38. 420 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. expérien
e) en 1865, et qui sont restés radicalement guéris depuis ce temps.
Fig
. i. Le premier est un contre-maître maçon, qui
ier est un contre-maître maçon, qui était menacé de mort imminente.
Fig
. 2. L'autre est un garçon boucher qui avait per
dépendent ces formes, molle et dure, de l'éléphantiasis des Arabes.
Fig
. 1. Elephantiasis consécutif à un ulcère. Fig. 2.
hantiasis des Arabes. Fig. 1. Elephantiasis consécutif à un ulcère.
Fig
. 2. Elephantiasis observé en Egypte par E. Godard
et les quatre faits de Balassa autorisent une semblable espérance.
Fig
. i. Fig. 2. Fig. 3. Fig. 4. Fig. 5. Examens
quatre faits de Balassa autorisent une semblable espérance. Fig. i.
Fig
. 2. Fig. 3. Fig. 4. Fig. 5. Examens laryngo
ts de Balassa autorisent une semblable espérance. Fig. i. Fig. 2.
Fig
. 3. Fig. 4. Fig. 5. Examens laryngoscopiques.
lassa autorisent une semblable espérance. Fig. i. Fig. 2. Fig. 3.
Fig
. 4. Fig. 5. Examens laryngoscopiques. Expli
risent une semblable espérance. Fig. i. Fig. 2. Fig. 3. Fig. 4.
Fig
. 5. Examens laryngoscopiques. Explication de
nx ; e, espace sous-glottique. DES HOPITAUX N/EVUS VASCU LA! RE
Fig
. 6. Le malade au moment de l'opération. Fig. 7.
N/EVUS VASCU LA! RE Fig. 6. Le malade au moment de l'opération.
Fig
. 7. Examen laryngoscopique. Larynx vu au lary
intérieur de la cavité du larynx après complète guérison du malade.
Fig
. 8. Le polype après macération dans l'alcool pend
. 8. Le polype après macération dans l'alcool pendant six semaines.
Fig
. 9 Dessins micrographiques d'après les préparatio
midaux ; la zone de démyélinisation marginale ZM, est intense. *
Fig
. 8. Exubérance des méninges qui englobent une gom
ion de la myéline par alcool et éther, à des niveaux différents).
Fig
. 1 et 8. Même cas (Immersion ; a et b niveaux dif
seaux (fig. 10). Le premier, Composé de fibres un peu fortes, - 1
Fig
. 9. Même coupe que figure 5. Fio. 40. Section l
du tissu névroblidue embryonnaire avec celui des animaux adultes.
Fig
. 14 - Premier cas de paralysie agitante. Ecorce c
a montré aucune altération particulière dans notre premier cas. ,
Fig
. 20. Second cas de paralysie agitante. Flemming.
e trouble du sens musculaire, la diminution, perle ou perversion dé
Fig
. i. TROUBLES DE L'ÉCRITURE PAR ARTHROPATHIE DE
u'ils ont acquis une consistance plus dure qu'à l'état normal (Voir
Fig
. 4 PI. XLIII). Nous attirons l'attention surtou
rfaitement symétriques ; elles semblent évoluer parallèlement (Voir
Fig
. 2, PI. XLIII). Dans la région dorsale du poign
out spécial que l'on peut voir dans la photographie ci-jointe (Voir
Fig
. 3, PI. XLIII). Aux pieds il y a encore des pla
(position dorso-palmaire).- L'examen des épreuves (Voir PI. XLIII,
Fig
. 4 et 5), montre qu'il s'agit de véritables troub
tendineuse et la myosite interstitielle sont bien démontrées (Voir
Fig
. 7). - Pieds. Ici encore la radiographie met en
ontré l'existence d'une dilatation nette de la selle turcique (Voir
Fig
. 8) ; sur cette constatation radiographique nou
) de Virchow-Robin ; epc, cellules épithélioides (endothéliales).
Fig
. 4. - Nevroôlie atypique, forme libreuse. PLANC
ine. Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. LlVI
Fig
. 1. - Crâne normal. Fig. 2. - Crâne n° 7. Fig
ie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. LlVI Fig. 1. - Crâne normal.
Fig
. 2. - Crâne n° 7. Fig. : l, - Crâne n° 3. Fig
T. XXVI. Pl. LlVI Fig. 1. - Crâne normal. Fig. 2. - Crâne n° 7.
Fig
. : l, - Crâne n° 3. Fig. 4. - Crâne n° 4. Fig
. - Crâne normal. Fig. 2. - Crâne n° 7. Fig. : l, - Crâne n° 3.
Fig
. 4. - Crâne n° 4. Fig. 5. - Crâne no 5. Fig.
2. - Crâne n° 7. Fig. : l, - Crâne n° 3. Fig. 4. - Crâne n° 4.
Fig
. 5. - Crâne no 5. Fig. 6. - Crâne na 6. LE CR
: l, - Crâne n° 3. Fig. 4. - Crâne n° 4. Fig. 5. - Crâne no 5.
Fig
. 6. - Crâne na 6. LE CRANE DANS LA MALADIE DE P
rs. NOUVELLE Iconographie de la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. LXVII
Fig
. 1. - Crâne normal. Fig. 2. - Crâne n" 7. Fig
e de la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. LXVII Fig. 1. - Crâne normal.
Fig
. 2. - Crâne n" 7. Fig. 3. - Crâne na 3. Fige.
. XXVI. Pl. LXVII Fig. 1. - Crâne normal. Fig. 2. - Crâne n" 7.
Fig
. 3. - Crâne na 3. Fige. - Crâne n° 4. I· ig.
g. 3. - Crâne na 3. Fige. - Crâne n° 4. I· ig. 5. - Crâne nu 5.
Fig
. 6. - Crâne n° (i. LE CRANE DANS LA MALADIE DE
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP1 : 7R11`RE. T. XXVI. Pl. LXVIII
Fig
. 1. - Cas no 1. Fig. 2. Cas ilo 1, face interne
DE LA SALP1 : 7R11`RE. T. XXVI. Pl. LXVIII Fig. 1. - Cas no 1.
Fig
. 2. Cas ilo 1, face interne de la base du crâne
Cas no 1. Fig. 2. Cas ilo 1, face interne de la base du crâne.
Fig
. 3 et 4. - Le crâne no 7, vu de face et latéralem
XIX NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPtTRIÈRI : . T. XXVI. Pl. LXIX
Fig
. 1 et 2. - Crânes normaux : 1) à tendance vcrtico
e platybasique. Fiv. 3. Cr : Îl1e nI) 7 (reproduction d'un dessm)
Fig
. 4. Crâne d'un nouveau-né. LE CRANE DANS LA MAL
e myxomateuse. Mieux que toute description, les dessins ci-joints
Fig
.9 et permettent de se rendre compte des différe
a- vité du sinus. Les premiers sont ceux des vaisseaux de dégage-
Fig
. 1. 46 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
di- rectement du sinus au cou, partent des branches transversales
Fig
. 2. Fi,q.3. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
tumeur en s'étirant; elles passent les unes en dehors, les autres,
Fig
. 1. - Coupe du cône terminal; coloration de Pal.
d'elle, en repassant par conséquent dans les cordons postérieurs
Fig
. 2. Coupe pratiquée au niveau de la douzième raci
éoplasique épais, compact et nettement circonscrit sur ses bords.
Fig
. 3. Coupe pratiquée au niveau de la dixième racin
exclusivement le Joug des vaisseaux : il en résulte que, lorsqu'il
Fig
. z Un tractus vasculo-colljollctif coupé perpendi
ont limités de toutes parts par une formation très caractéristique,
Fig
. S. Un tractus vasculo-conjonclif coupé obliqueme
Mais ce n'est pas de cette façon que s'est formée la cavité prin-
Fig
. 9. - Coupe pratiquée vers la quatrième paire dor
lifération des racines centripètes, interrom- pues par la tumeur.
Fig
. 11. SP, sillon postérieur de la moelle; NR, névr
destruction très haut située dans la moelle, diffère de celle que
Fig
. 12. Coupe du bulbe au niveau de l'entre-croiseme
naire, une tache arrondie, d'aspect translucide, qui remplace la l,
Fig
. 13. La tumeur coupée sur la ligne médiane; son p
sociations à l'état frais et après l'alcool au tiers;, puis sur des
Fig
, 15. La tumeur vue sur une coupe pratiquée suivan
les plus démonstratives ont été fournies par des fragments de la
Fig
. 16. - Éléments de la tumeur dissociés. 1, 1" n
r, les éléments embryonnaires prédominent : il y a là une zone de
Fig
. 18. Coupe prise dans la même région que la précé
Des fibres nerveuses amyéliniques plus ou moins groupées en fais-
Fig
. 19. Coupe prise dans une portion névrogliques de
le en aucun point de l'écorce, mais l'étude Archives, t. XXVI. 19
Fig
. 21. Coupe transversale du la moitié supérieure d
r les faces latérales, les première et deuxième couches sont encore
Fig
. 22. Coupe de la circonvolution frontale ascend
nt pas aussi nettement sur la couche moyenne que dans la réalité.
Fig
. 23. - Même coupe que dans la figure précédente
l'écorce est relativement protégée contre la compression. Dans le
Fig
. 2L - Coupe de la dernière circonvolution frontal
a description des lésions dans le deuxième cas (fig. 25 à 31). Je
Fig
. 25. - Tumeur du cerveau vue sur une coupe horizo
upe pratiquée suivant 'la ligne B B' de la figure 25. (Loc. cil.)
Fig
. 27. Tumeur du cerveau vue sur une coupe pratiqué
us l'épendyme des ventricules chez des idiots ou des aliénés. Ces
Fig
. ` ? S. Schéma de la disposition de l'atrophie de
de la teinte grise indique le degré de l'altération. (Loc. cit.)
Fig
. 29. Schéma, de la disposition de l'atrophie des
ouvent avec d'autres anomalies; c on génitales, qui res ail. . ".
Fig
. 30. Schéma de la disposition des fibres à myélin
rescence, on n'y constate aucune espèce de maladies cachectiques,
Fig
. 32. asiles d'aliénés. 307 ni scorbut, ni ent
derie, au lavoir, à la Jégumerie et dans les ser- vices généraux.
Fig
. 33. 308 asiles d'aliénés. Joignons-y la prop
rares exceptions, que les cantons du Bocage tiennent la tête, que
Fig
. 34. PLAN D'ENSEMBLE DES BATIMENTS APRÈS SON AG
our représenter les limites antérieures de la protubérance normale.
Fig
. 35.- Coupe au niveau de la partie inférieure de
- phérie des corps olivaires, au point correspondant aux cellules
Fig
. 37. L'une des olives sclérosées, vue à un plus f
ater les dispositions que nous venons de décrire, et voir l'hypo-
Fig
. 38. Coupe au niveau de la partie supérieure de
u- leurs intenses depuis trois mois et déformation depuis cette ,
Fig
. 1. 1,'ig. 2. DE LA DÉFORMATION DU TRONC. 13
établir avec ri- gueur, au moyen des symptômes consignés, le dia-
Fig
. 3.. . Fig. t. il, PATHOLOGIE NERVEUSE. gno
ri- gueur, au moyen des symptômes consignés, le dia- Fig. 3.. .
Fig
. t. il, PATHOLOGIE NERVEUSE. gnostic de sciat
h ! je ne sais pas. D Lisez donc. - R. Mais ce n'est pas écrit.
Fig
. 11. Spécimen de l'écriture de Mistral. (Expert
plus de deux mois que la malade n'a pas eu de crises spontanées.
Fig
. 12. 102 REVUE CRITIQUE. 7 avril 1887. -Nous
yeux en haut qui se produit aussitôt qu'on soulève les paupières.
Fig
. 13. 104 REVUE CRITIQUE. Pendant ces périodes
assez fin, même sur les doigts, où l'épiderme est fort épaissi. Au
Fig
. li. '168 PATHOLOGIE NERVEUSE. bout des doi
naire, le sens de la douleur a la face redevint normal ; mais eu
Fig
. 15. DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 169 revanch
, de même que pour toute la moitié gauche du corps. Sur le membre
Fig
. 16. 1 I PATHOLOGIE NERVEUSE. inférieur droit
ne perçoit que 4° de différence. L'état général est bien meilleur.
Fig
. 17. 174 PATHOLOGIE NERVEUSE. 4887. Janvier.
plus haut et elle est normale à la partie supérieure de l'épaule. (
Fig
. 6.) Le sensde la température est abaissé dans
est rougeâtre, point de douleur, les mouvements sont peu limites
Fig
. 19. Fig. 20. 184 pathologie NERVEUSE. par
eâtre, point de douleur, les mouvements sont peu limites Fig. 19.
Fig
. 20. 184 pathologie NERVEUSE. par l'oedème; i
- lier, sauf une cyanose localisée, dès le début de l'accès, à la
Fig
. 22. - o, T. une demi-heure après la mort; H, T.
ttre T signifie : . respiration thoracique. Archives, t. XV. 26
Fig
. 23. -- Tracé de deux respirations d'un chien,
et vei tébrales comprimés. L'animal est en repos sur la table '.
Fig
. ? }. Tracé au début du balance- ment. Le chien
en haut ou en bas; enfin, les tracés du balancement soit rapide,
Fig
. 25. - Suite du balancement. Fig. `3vi. - tracé
acés du balancement soit rapide, Fig. 25. - Suite du balancement.
Fig
. `3vi. - tracé pris immédiate- ment après le ba
clinaison. Alors, la table dépassant la ligne horizontale descend
Fig
. 29. - Tracé pris sur un lapin eu repos (jeux ban
tracé suivant. l'ig. 33. - Lc lapiu esl en repos (yeux bandés).
Fig
. 3'r. - Fin de l'expérience. Balancement du lapin
ncement de quelques minutes, nous avons laissé le lapin en repos.
Fig
. 35. - Tracé d'un lapin en repos. Les pneumogas
35. - Tracé d'un lapin en repos. Les pneumogastriques sont à nu.
Fig
. 36. - B,laucemrnt du lapin. 410 PHYSIOLOGIE PA
s obtenu l'arrèt complet des respirations : Tout à fait à droite,
Fig
. 41. Ligne supérieure : fespiration diaphragmatiq
ments diapliragmatiques directes. Faradl- salin et balancement.
Fig
. 43. - Respiration diaphrag- matique directe et
Zacher, 110. Zielieti, 111. Archives de Neurologie T.XV. PI,.I
Fig
. 1 Fi¿- 2 EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE PR
ébrale gauche à l'endroit où elle se jette dans le tronc basilaire (
Fig
. 1). Le sac anévrysmal dont les parois sont trè
de l'artère vertébrale jusqu'à sa terminaison dans la basilaire.
Fig
. 1. Anévrysme de l'artère vertébrale gauche. AN
de Lucas de Leyde est une scène ;'1 la fois réaliste et satirique (
Fig
. 1). Près d'une table recouverte d'un tapis où
s voilà édifiés sur le peu de scrupules de ce charlatan dont la non
Fig
. 1. L'Arracheur de dénis, gravure de Lucas de LEY
onsidérable du thorax et du bassin. La distance des crêtes iliaques
Fig
. 1. - Obs. V (Kroenig). 262 JEAN ABADIE aux é
té droit ou le côté gauche. Il n'obéit à l'invitation de quitter sa
Fig
. 2. Obs. \1 (Kroenig). Fig. 3. - Obs. VI (Kroen
l n'obéit à l'invitation de quitter sa Fig. 2. Obs. \1 (Kroenig).
Fig
. 3. - Obs. VI (Kroenig). 266 JEAN ABADIE couc
traverse la ligne médiane du corps au niveau de la huitième wertif-
Fig
. 4. - Obs. VI (Kroenig). LES OSTÉO-ARTHROPATHIE
ance, le corps de la cinquième vertèbre lombaire. Sur son côté gau-
Fig
. 5. - Obs. VII (Kroenig). Fig. 6. - Obs. VII (K
ertèbre lombaire. Sur son côté gau- Fig. 5. - Obs. VII (Kroenig).
Fig
. 6. - Obs. VII (Kroenig). 272 JEAN ABADIE che
té possible, des épreuves photographiques démonstratives. au 18
Fig
. 7 ? Obs. VIII (Salpètrière). 274 JEAN ABADIE
ntre, ou encore lorsqu'on maintient le tronc en soulevant le malade
Fig
. 8. - Obs. X (Abadie). Fig. 9.-Obs. X (Abadie).
ntient le tronc en soulevant le malade Fig. 8. - Obs. X (Abadie).
Fig
. 9.-Obs. X (Abadie). par les épaules ainsi que
men d'écriture ci-joint : il lui a fallu dix minutes pour l'écrire (
Fig
. z) : Motilité des membres inférieurs. -Ni para
traumatisé ; on le voit par sa face inférieure et sa face interne (
Fig
. VI, PI. LU). La tige arrive obliquement d'avant
exactement la direction du trajet, nous Y@)'IiJ.¡ : ;J1S (PI. LII,
Fig
. VI bis) que la bandelette optique est embrochée
cansy=mterncst.intércss·n1'Gvrntrr,d ? tr,cr1 ? ·r ? a ? ... ? ....
Fig
. XII. Coupo de Flcchsing sur un cerveau ayant suh
respectant la carotide. Elle est peu éloignée du nerf optique. ·
Fig
. 19. Une broche passant par l'angle interne de la
t : P. Bouchez. hup, J. Thovenet. Saint-Uizior (.Haute-Marne). ~~
Fig
1. - 2. 1-\; 3. Fi{\'. 4. Fig. 5. Fig.
int-Uizior (.Haute-Marne). ~~ Fig 1. - 2. 1-\; 3. Fi{\'. 4.
Fig
. 5. Fig. G. 13e Année N° 5. Septembre-Octobre
(.Haute-Marne). ~~ Fig 1. - 2. 1-\; 3. Fi{\'. 4. Fig. 5.
Fig
. G. 13e Année N° 5. Septembre-Octobre FACULTÉ
isseaux mais sont également très nombreux à leur intérieur dont ils
Fig
. 4. - Se rapporte au même cas que la précédente.
ie depuis la simple tuméfaction des éléments chromatophiles jusqu'à
Fig
. 11. - Prolifération des cellules endothéliales d
intra-rachidienne d'un streptocoque vi- rulent. 584 MARINESCO
Fig
. 17 A. Poliomyélite antérieure due à l'injection
ent de la main gauche que de la droite. L'écriture de la main droite (
Fig
. 1)- est plus penchée que celle de la main gauc
main droite (Fig. 1)- est plus penchée que celle de la main gauche (
Fig
. 2); ce qui tient peut-être FiG. 2. - Ecriture
faire autrement, Rose copie en écri- ture droite de la main droite (
Fig
. 3) et en écriture renversée de la main gau- ch
main droite (Fig. 3) et en écriture renversée de la main gau- che (
Fig
. 4). De cette main gauche (Fig. 5) elle peut éc
ure renversée de la main gau- che (Fig. 4). De cette main gauche (
Fig
. 5) elle peut écrire en écriture droite, mais les
nt. Il en est de même des carac- tères renversés de la main droite (
Fig
. 6). Fia. 3. - Copie de manuscrit (A) et d'impr
. Vogt) par rapport à cet axe, comme le montre le tableau ci-joint (
Fig
. 8) : l'écriture aryenne .est centrifuge pour l
u musée des Offices, à Florence : Un dentiste arrachant une dent.
Fig
. 1. arracheurs DE DENTS 661 a joui, fort inju
te gravure du Xsiècle, appartenant à M. Viau, et représentant l'in-
Fig
. 2. ARRACHEURS DE DENTS 677 On pourrait multi
e étude, on peut voir sur la table de l'opérateur un paquet de vers
Fig
. 3. 678 HENRY MEIGE Autrefois, toute corporat
cilement un petit objet quelconque. Archives, 2° série, t. XVI. 3
Fig
. 1 et H. RACHITISME- CONGÉNITAL AVEC NANISME. 3
attribue l'idiotie aux convul- sions. État actuel (14 mai 1890) (
Fig
. 4). Enfant blond, lymphatique. Pas d'adipose,
té. Octobre. Va seul aux cabinets le jour. La parole est toujours
Fig
. 6. - Lem ? (Georges) eu avril 1894. IDIOTIE PR
ngue dans la bouche. 1894. 16 juin. Même état des organes génitaux (
Fig
. 6). Parole toujours nulle. Parait comprendre c
toujours nulle. Parait comprendre ce qu'on lui dit. N'est presque
Fig
. 7. Lem..., (Georges) en octobre 1893. 46 THÉRA
semaine. Il est toujours méchant et sournois avec ses cama- rades (
Fig
. 7). 1896. Parler toujours défectueux dans l'ar
n s'occupe de lui, est sensible aux compliments et aux repro- ches (
Fig
. 8). Il a la manie de promener sa langue dans sa
1898. Jmn. - Progrès dans l'écriture. Il lit et retient avec une
Fig
. 8. Lem... Georges en juin 1896. 48 THÉRAPEUTIQ
i était absolument nulle. Chaque jour il emploie des mots nouveaux (
Fig
. 10). 1900. Janvier. Lem... prend goût à tous l
se calme que lorsque l'on fait signe de le conduire en cellule. (
Fig
. 11). · Puberté et organes génitaux. Sauf un pe
uprès de la surveillante, à l'infirmerie, appuyé à la table, le dos
Fig
. 12. Deb... en 1901. tourné au foyer selon son
es. Membre inférieur gauche : rigidité moyenne de la hanche, plus
Fig
. 13. Deb... en 1901. 102 ltiteul ? 11. m : FAIT
CUI ? 11, DI ? FAITS. ri. 15. - Squelette de Deb... IDIOTIE 107
Fig
. 15. - Squelette de Deb... 108 RECUEIL DE FAITS
rondies, leur richesses en pigment est très variable; d'une façon
Fig
. 19. Coupe transversale de la rétine et de la cll
bas étroit, précocement ridé; bord supérieur des orbites, sourcils,
Fig
. 20. - Le Br... SOCIÉTÉS SAVANTES. 253 paupiè
très réduit, plutôt triangulaire est soudé (Oreilles mongoliennes).
Fig
. 20 et 21. 1,'ig. 21. Oreille mongolienne (Le B
idiote, souvent avec une malformation particulière du petit doigt. (
Fig
22). La voix est fausse, aigre. Les organes gén
)903, à l'aide du périmètre de main, présente le tableau suivant : (
Fig
. 18, dex. et sizz.) Dans l'oeil droit on n'a obte
déchiffre le 14 des tables de Jàger. La vue périsphérique de l'oeil
Fig
.-2\. 1. 390 . THÉRAPEUTIQUE. gauche est encor
'un méningite exudativesurles moteurs oculaires (chez les enfants),
Fig
. 29. 398 THÉRAPEUTIQUE. « d'user sur le champ
ion du malade par le docteur J.-H. Ileneavec le périmètre de main. ;
Fig
. 20 et 2l,dex. et sin.) qui Archives, 2" série,
. ;Fig. 20 et 2l,dex. et sin.) qui Archives, 2" série, t. XVI. 2G
Fig
. : n. 402 THÉRAPEUTIQUE. donna le tableau sui
Jâger. Plus tard les périmétrogrammes du 7 décembre constatèrent (
Fig
. 24 et 25, dex. et sin.) : Dans l'ceil gauche l'é
et le 4 janvier 1903, j'ai rédigé moi-même deux périmétro- grammes (
Fig
. 30, 31, 32, et33, dex. et sin.) à l'aide du gran
ique esttresafTaibti.Lematadequittet'hôpitat le 28 décembre 1893.
Fig
. 36 et 37. Aspect macroscopique de la moelle.
montre liÉ ? 1181 : CTION TR.W\L1TIRUid DE I.A 1110 : LLL. 41t 1
Fig
9S. -,lmas de pigments dans le tissu de sc'érose
: LLL. 41t 1 Fig 9S. -,lmas de pigments dans le tissu de sc'érose
Fig
39. - Foyer de myélite. 472 - PATHOLOGIE NERVEU
dalles en Comblanchien poli de im30 de hau- teur au-dessus du sol (
Fig
. 1). « Les appareils se composent de pots en fo
qui plongent de 75 centimètres dans BOURNEVILLE, Bicêtre, 1891. ?
Fig
. i. Cabinets D'AISANCES. XXXV' une fosse étan
mion. Il semble qu'il n'ait en effet aucune aura qui l'avertisse.
Fig
. i . fit. 2. 2. 20 DEUX NOUVELLES OBSERVATION
mber. A la fin du mois de mai, revenant de course il s'est assis et
Fig
. 3. 1 Fig. 4. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'H
in du mois de mai, revenant de course il s'est assis et Fig. 3. 1
Fig
. 4. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE
puis il tombe dans un état de résolution complète. Au bout de trois
Fig
. 5. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'üYSTÉRIE MALE
, déter- minant des troubles généraux plus graves, on est sur les
Fig
. 7. Température dans un état de mal limité à la p
es plus tard, T. R. 38° ; douze heures plus tard, T.R 370,8, etc.
Fig
. 8. - Température dans un état de mal terminé par
untées à notre mémoire paru dans le Procès médical de 1887. - . -
Fig
. 9. - Tracé de la température rectale dans un cas
couver en quelque sorte, pour cela' Bourneville, Bicêtre, 1801. 6
Fig
. 12. M RÉFLEXIONS. ter brusquement à l'occasi
rc1.1- ! 't'JJ1f'nl classique et trop habituelle. On pourrait pren-
Fig
. 13. RÉFLEXIONS. 8 : 3 dre ce cas comme type.
aillie en avant de la face antérieure prolongée delà tête du fémur (
Fig
. 12). La face antérieure de l'exostose est liss
s il n'arrive qu'avec peine à les articuler, par suite d'un trouble
Fig
. 1. Fig. 2. 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. mécaniqu
ive qu'avec peine à les articuler, par suite d'un trouble Fig. 1.
Fig
. 2. 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. mécanique dans les
Le trouble du langage est allé pendant ce temps en s'améliorant l
Fig
. 3. 8 PATHOLOGIE NERVEUSE. d'une façon progre
ulté à trouver les mots, qui viennent au contraire très bien. Mais
Fig
.5. 12 PATHOLOGIE NERVEUSE. · la prononciation
. Voici l'état de sensibilité le 15 novembre. Anesthésie complète
Fig
. 6. 16 PATHOLOGIE NERVEUSE. du membre supérie
analogues à celles qui remplissent les espaces péri- vasculaires.
Fig
. 8. - Coupe de vaisseaux situés dans les foyers d
our- vues la plupart de noyaux (voir fig. 9). Archives t. XX. 4
Fig
. 9. - Masses vitreuses delà substance grise. 50
. Les cellules des cornes antérieures présentent toutes une dégé-
Fig
. 10. à, 0, c, cellules des cornes antérieures, au
ns le cas pré- cédent. Bien qu'elle n'existe pas, on ne peut nier
Fig
. 1>. - Zone d'analgésie et d'hypoesthésie ther
la pres- que totalité du dos du pied, moins une bande étroite au
Fig
. 15. - Distribution des nerfs cutanés de la fac
moins ré- gulière et d'une localisation moins étroite. Il semble
Fig
. 6. - Distribution des nerfs cutanés de la face
gauche; elle le porte en avant, moitié en steppant, moitié en fau-
Fig
. 17 et 18. Anesthésie au tact et 3 la douleur che
- muscle tibial antérieur, néant; - extenseur commun des orteils
Fig
. 19 et 20. - Anesthésie pour le chaud et le froid
ceaux musculaires. - Sens musculaire affaibli des deux côtés. Les
Fig
. 21 et 22. - Etat de la sensibilité chez le malad
ins deux : un premier, vertical, situé en dehors du plan médian z
Fig
.28. c, ? Corps calleux. - C. g., Corps godranii
uent soit avec les fibres des troncs olfactifs soit avec la subs-
Fig
. 29. - Schéma du champ olfactif. S.I. Scissure
s degrés de l'éclairage. On peut dire que la forme générale de la
Fig
. 31.-Courbe obtenue par la méthode des ombres che
sont presque exclu- sivement en relation avec Je sens de l'odorat (
Fig
. 1, A), abolit toutes les reaclions aues a ce s
tren des Fro.sc7aes, 1869. s Physiologie des Proschlairn,s, 1885.
Fig
. 33.- Cerveau du tri chien de mer, d'a- près
the ISrain (Lallcel, 1876 et Archives de physiologie, 18ï7-1890.)
Fig
. 37 (d'après la figurc 2 : , d'Exncr.) La figur
logie. 1883. 3 Extrait dans Neurolog. Centralblatt, 1890, p. 145.
Fig
. 38. Centre du cerveau du chien, suivant Fritsch
in- NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. PL XXX\'III
Fig
. 5. 1 ? 6. 1 ri 7. 19. Jazz. ïï(h (<
la Salpêtrière. T. XX. Pl. XXIX l¡, Il. r7,'y ta. 7. /. ? .
Fig
. li. SYNDROME DE WEUEH AVEC HÉMIANOPSIE DATANT
actéristique du visionnaire à délire onirique euphorique et exalté (
Fig
. I et II). A un degré plus avant, l'excitation
avec dépression et orientation fâcheuse du courant des sensations (
Fig
. III et IV), illusions et hallucinations des dive
d'autre part, la dèmence précoce peut s'établir plus ou moins vite (
Fig
. V). Les cas d'haschichisme à rechute ne sont p
termittents à part, comme les dipsomanes distincts des alcooliques (
Fig
. VI). Le haschich agit sur la genèse de la crim
la pupille droite n'a plus qu'une légère pointe à droite. xx 18
Fig
. 1. - Pupilles le 2 avril 1904. 278 WEBER A..
un peu dilaté dans la partie frontale, il est normal au carrefour.
Fig
. 2. Vaisseaux faisant empreinte dans la substance
Fig. 2. Vaisseaux faisant empreinte dans la substance cérébrale.
Fig
. 3. - Coupe du ventricule droit. Fig. 3 bis. Co
dans la substance cérébrale. Fig. 3. - Coupe du ventricule droit.
Fig
. 3 bis. Coupe du ventricule droit. 280 WEBER
ès régulièrement dans la substance blanche. l'ig. 4. - Coupe 315.
Fig
. 5. Coupe 694. 282 WEBER Cela me fait suppose
grises basales. l'avant-mnr sont beaucoup moins altérés (fig. 7).
Fig
. 6. - Coupe 1055. Fig. 7. - Coupe 1495. DE QU
mnr sont beaucoup moins altérés (fig. 7). Fig. 6. - Coupe 1055.
Fig
. 7. - Coupe 1495. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TI
ier 1905 au matin, forte crise épileptiforme. Le malade est livide-
Fig
, 8.-Coupe 1815. 286 WEBER C'est en allant à l
se rap- proche de;l'écorce, les tissus prennent un aspect normal.
Fig
. 9. D. Diverticule; Tm. tumeur. Fig. 10. 288
us prennent un aspect normal. Fig. 9. D. Diverticule; Tm. tumeur.
Fig
. 10. 288 WEBER Il est regrettable que le durc
st normal, mais l'accessoire du brachial cutané interne est ahsent (
Fig
. 1). Le muscle biceps brachial est volumineux e
ue la couche musculaire profonde est très réduite et très inti- ,
Fig
. 2. - Avant-bras (plan superficiel). a, Long su
e une branche artérielle qui semble être l'interosseuse antérieure.
Fig
. 3. a, Biceps brachial ; b, Artère radiale sect
radius, et passe entre deux faisceaux tendineux appartenant au long
Fig
. 4. a, Nerf radial ; b, Tendon du biceps ; c, C
ntimètres, puis elle devient filiforme au moment où elle a gagné la
Fig
. 5. Vue latérale externe, a, Nerf radial ; b, H
Humérus ; c, Biceps ; d, Branchial antérieur ; e, Court supinateur.
Fig
. 6. a, Radius ; b, Apophyse styloïde ; c, Long
x et normal ; on constate que son innervation et sa vascularisation
Fig
. 7. Fi ! ? . S. 300 KL1PPEL ET BOUCHET sont
fait à un centimètre au-dessus de l'extrémité inférieure de l'os.
Fig
. 9. - Face postéro-externe. a, Longue portion d
résultant de l'épanouissement de tendons que nous avons décrits.
Fig
. 10. a. Radius; b, Cubitus ; ç, Olécrane ; d, E
lument il faux, comme l'ont montré Klippel et Rabaud. « Sans doute,
Fig
. 11. Moelle cervicale (à la 8e paire cervicale)
ec raison, ne sont ni logés ni nourris par 1 l'étab : isseinent,.
Fig
. 1. Via, '2, XVIII ATELIERS. menuiserie et
des hôpitaux, des écoles, etc. ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL. XIX
Fig
. 3. ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL XXI des viei
n épilep- tique. (Voir Progrès médical, 2 septembre 1882, p. 663.) (
Fig
. '1) '. Description des accès 2. Chez cet enfan
l du même côté est oblitérée par une thrombose ainsi que ce sinus. (
Fig
. 3, u, v). 122 HYDROCÉPHALIE KYSTE. De chaque
ince et très transparent en avant, il est plus épais en ar- rière. (
Fig
. 3, CL). Les circonvolutions cérébrales des fac
es de la scissure, aussi bien à droite qu'à gauche, sont accolées. (
Fig
. 2 et 3, S S). A la base du cerveau la région d
re, se continuant à la pé- riphérie par une dégradation insensible (
Fig
. 2 et 3, fh).L'en- semble du foyer a 8 cent. de
tes au niveau du foyer hé- morrhagique sont également thrombosécs. (
Fig
. 3, vu). Le cervelet pèse 140 gr.; ses hémisphè
ieures, obliquement en avant, les postérieures verticalement; les
Fig
. 2. - L F, lobe frontal. - L M, lobe moyen. L O,
circonvo- luttons sont assez sinueuses, mais très élargies et les
Fig
. 3. - V L, ventricule latéral. - C L, cloison. tr
âgés, il n'y a pas de confusion possible avec, l'encéphalocèle. ,
Fig
. 4. - (Empruntée aux Leçons de M. Giraldès). HY
sorte de zone intermé- diaire où les troubles sont moins marqués. (
Fig
. 2, 3.) A gauche on constate les mêmes troubles
elles aussi, aplaties. Les espaces interosseux sont très déprimés. (
Fig
. 4.) La partie interne des avant-bras parait at
e après un accès. lIe Iracé se iii de droile : , g : l1lche). 1
Fig
9. - Courbe démographique de la main gauche une d
tat normal ; b. dix minutes après un choc sur le tendon du triceps.
Fig
. 12. - Courbe myographique du biceps gauche, a. d
à l'état normal; b. sous l'influence d'une excitation auditive. ' t
Fig
. 14. - Courbe pneumographiquo et courbe myographi
Nç0 l\IédcLln-adJoilll de la Salpèll iùre * Interne des hôpitaux.
Fig
. 31. - Exemple d'un lire isolé chez la malade .\n
lades, regros curare, est un morceau exquis, d'ailleurs bien connu (
Fig
. 48). Les deux extrémités sont occupées par deux
e. C'est une scène de petite chia rurgie très finement interprétée (
Fig
. z.9). Elle se passe dans la boutique 1 duchiru
1 : 0 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. de F. Tornabuoni (
Fig
. 50). La mourante succombe aux suites d'un acco
me sujet se trouve au musée de Munich; nous en donnons la gravure. (
Fig
. 52). Un autre tableau où Jan Steen nous montre
la peau avec son bord inférieur très oblique en bas et en dehors. (
Fig
. Qg) Les attaches du pli fessier à l'ischion n'
mill. Entre les angles antero-inférieurs des pariétaux, 100 mill.
Fig
. 94. ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L'ACROMÉGALIE. :
horizontale. La dépression de la glande sous-maxillaire Il. 21 t
Fig
. 95. 332 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP1 : TR
il prend une forme triangulaire, d'où une crête antérieure, mousse.
Fig
. 08. A. Courbures présentées par la ligne des apo
rugosités de la face infé- Fic. OU. A. -Clavicule normale de femme.
Fig
. 100. - il, - Clavicule du squelette acromégalirp
la gouttière bicipitale apparaît, très profonde. (Etat du tendon du
Fig
. 101. A. Humérus du squelette acromyalüluc - rlc.
. I-VI) ; ^ 2° \ ' Epilepsie partielle tonique on avec contracture [
Fig
. L et 2); 3° L'Epilepsie partielle vibratoire (
du poignet et des doigts que nous avons mentionnée chez notre malade (
Fig
. 1). L'influence de la volonté sur les mouvem
Le bras droit se contracture clans l'extension et la pronation (
Fig
. 2) ; la main se tord et se met à angle droit sur
le bras et vient s'appliquer en travers de la région dorso-lombaire (
Fig
. 3). Au bout d'une, deux ou trois minutes, la m
u lit au milieu en criant : oue ! oue... ! Le corps se courbe en arc (
Fig
. 4), ne repose plus que sur la nuque et les pieds
alon seulement ou la plante du pied toute entière frotte sur le lit. [
Fig
. 5.) Ceci constitue pour ainsi dire un premier
allongent; le bras et la jambe du côte gauche demeurent tranquilles. {
Fig
. 6). La figure 7 donne une idée générale des deux
lus de succès. Une attaque provoquée ne modifie en rien la situation (
Fig
. 8). 1er décembre. — X... a, ce matin, une séri
Sara. C'est, aux enfers, un roi fort et puissant, qui a trois têtes (
Fig
. 9) : la première ressemble à celle d'un taureau,
eprises; » et non moins en la sœur du Sauueur que possède As-» modée,
Fig
. 9 (1), qui parmi cent étranges mouue- » heur
r le nilrite d'ample, le chloroforme, Yéther; 5° par le compresseur. (
Fig
. 8). Vi juin. — A la suite d'attaques, A... con
pied n'existe que du côté droit;' il semble inépuisable. La nuit,
Fig
. 9. - Sensibilité au contact : normale ; 4, ; sen
incre cette contracture et à étendre la jambe sur le plan du lit.
Fig
. 2. - 1, sensibilité au contact : diminuée; 2, se
sur les cuisses et l'abdomen, plus marqués du côté gauche que du
Fig
. 3. Les troubles de la sensibilité au contact (t)
se, se terminant par des accidents, allant jusqu'à l'étouffement.
Fig
. 4. 2b THERAPEUTIQUE. On a cherché à remédier
stinées à recevoir le support de l'appareil de traction. Comme la
Fig
. 5. 30 THÉRAPEUTIQUE. photographie le montre,
-dire, la série des poids doit correspondre à peu de chose près à
Fig
. 7. TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES. 33 l'e
inclinée, l'extension. Elle fut proposée et étudiée physiologi- .
Fig
. 9. . TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES. 35 q
ren- dent mieux compte de l'ensemble du procédé. Le plan incliné
Fig
. 10. TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES. 37 fo
em- ployons une large bande, appliquée autour du bassin et dont .
Fig
. il. 38 ' THÉRAPEUTIQUE. - les extrémités pas
sation de position du membre paralysé. La percussion des muscles
Fig
. 15. 106 CLINIQUE NERVEUSE. donne lieu à des
eat le 7. La lecture des observations qui précèdent montre com- .
Fig
. 16. 108 CLINIQUE NERVEUSE. bien est uniforme
23 centimètres ; il a la forme conique et la pointe en est lisse.
Fig
. 17. Fig, 1, 368 RECUEIL DE FAITS. En dedan
res ; il a la forme conique et la pointe en est lisse. Fig. 17.
Fig
, 1, 368 RECUEIL DE FAITS. En dedans, à 2 cent
nt l'ébauche de trois doigts qui sont de moins en moins saillants. (
Fig
. 18.) Sur le reste de l'ensemble du corps, on n
'ajoute qu'on oppose l'hémianopsie simple, unilatérale, limitée à
Fig
. 20. Fi[J. 21. 436 CLINIQUE NERVEUSE. un se
vec exacerbations vespérales; elle est tombée dans un état d'ané-
Fig
. 22. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 437 mie acc
en de pathologique, à cela près que, dans les mouvements de laté-
Fig
. 24. f CLINIQUE NERVEUSE. ralité, les globes
suite les bandelettes optiques : Archives. 2' série, t. XIII. 29
Fig
. 2.5. Cga, corps genouillé externe. Pul, pulvinar
é sous les noms de radiations optiques de Gratiolet, de pédoncule
Fig
. 26. Ci, capsule interne. - Vu, pulvinar. - Ne, n
nt à ce qui a lieu, quand l'aphasie est liée à la cécité verbale.
Fig
. 27. 462 CLINIQUE NERVEUSE. Indépendamment de
ha- gique, situé dans l'aire de distribution de la cérébrale pos-
Fig
. 28. - Les parties ombrées représentent le territ
our tenir ma promesse, il me reste à examiner comment se présente
Fig
. 29. - Les parties ombrées représentent la zone d
ue. Quand, suivant ce qui est la règle, l'hémianopsie est en rap-
Fig
. 30. - Cga, corps genouillé externe. - Pul, pulvi
tique, de pochynzéaziazgite et de méningo-encéphalite chroniques (
Fig
. 30 et' 31). Deux travaux démontrent aux observat
LEPSIE but que nous poursuivons à | le des différentes phases des
Fig
. 1. savoir la représentation fidè- | attaques c
lit et se tourne à gauche ; la tête ou s'incline sur l'épaule droite [
Fig
. ! et 2) ou bien demeure rectiligne {Fig. 3). Les
incline sur l'épaule droite [Fig. ! et 2) ou bien demeure rectiligne {
Fig
. 3). Les yeux regardent en haut et à gauche, à un
-dessus de la tète : tantôt les doigts sont très-allongés et écartés [
Fig
. / et 2); — tantôt deux d'entre eux sont allongés
e largement ; la langue est attirée si violemment au dehors, que sa
Fig
. 3. conserve cette position pendant des heures
; Métalloscopie. 109 ERRATA.— Page 18, col. 1, ligne 12, au lieu de
Fig
. i et 2, lisez Fig. 4 et 3 : ligne 14, au lieu de
9 ERRATA.— Page 18, col. 1, ligne 12, au lieu de Fig. i et 2, lisez
Fig
. 4 et 3 : ligne 14, au lieu de Fig. 3, lisez Fig.
12, au lieu de Fig. i et 2, lisez Fig. 4 et 3 : ligne 14, au lieu de
Fig
. 3, lisez Fig. 2. Page 122,ligne24,col. 1, au l
e Fig. i et 2, lisez Fig. 4 et 3 : ligne 14, au lieu de Fig. 3, lisez
Fig
. 2. Page 122,ligne24,col. 1, au lieu de Planche
sables. 2e Type. Fragmentation de la myéline en boules. (Pl. II,
Fig
. 5, 6 et 7.) A ce degré un peu plus avancé de l
Etat variqueux, monilifornie. Renflements fusi- formes. (PI. II,
Fig
. 8, 9, 10.) La myéline finement divisée et déjà
es avec granulations ambrées dans l'intérieur des gaines. (PI. III,
Fig
. 11, 12 et 13.) Les tubes nerveux présentant
E II. Figures 1, 2, 3, 4. Fragmentation en blocs des tubes nerveux.
Fig
. 1 et 4, nerfs cutanés an voisinage, de l'escha
oite (Obs. iI1); fig. 2 et 3, sixième nerf intercostal (Obs. IV).
Fig
. 5, 6, 7. Fragmentation en boules. Fig. 5, nerf c
nerf intercostal (Obs. IV). Fig. 5, 6, 7. Fragmentation en boules.
Fig
. 5, nerf cutané an voisi- nage de l'eschare fes
mentonnipr (Obs. V); ? y. 7, sixième nerf intercostal (Obs. IV).
Fig
. 8, 9, 10. Fragmentation en gouttelettes avec var
ormes, fibres provenant du nerf mentonnier (Obs. V). planche III.
Fig
. il, 12, 13. Atrophie avec granulations ambrées f
ions ambrées fibres provenant du 1 le nerf intercostal (Obs. IV).
Fig
. 14, 15, 16, 17. Atrophie complète des tubes nerv
Obs. IV). Fig. 14, 15, 16, 17. Atrophie complète des tubes nerveux.
Fig
. 14 et 15, atrophie avec coloration jaune prove
bres non dissociées; / : y. 17, fibres isolées par la dissociation.
Fig
. 18. Coupe transversale du ne nerf intercostal (O
comme le petit pectoral, le grand pectoral, le grand dentelé, etc. (
Fig
. 2, PP, GP, GDe), reçoivent 'des fibres-de plus
HE II Figures 1, 2, 3, 4. Fragmentation en blocs des tubes nerveux.
Fig
. 1 et 4, nerfs cutanés au voisinage de l'eschar
oite (Obs. III); fig. 2 et 3, sixième nerf intercostal (Obs. IV).
Fig
. 5, 6, 7. Fragmentation en boules. Fig. 5, nerf c
nerf intercostal (Obs. IV). Fig. 5, 6, 7. Fragmentation en boules.
Fig
. 5, nerf cutané au voisi- nage de l'eschare fes
mentonnier (Obs. V); fig. 7, sixième nerf intercostal (Obs. IV).
Fig
. 8, 9, 10. Fragmentation en gouttelettes avec var
mentonnier (Obs. V). EXPLICATION DES PLANCHES. 435 PLANCHE III
Fig
. il, 12, 13. Atrophie avec granulations ambrées f
tions ambrées fibres provenant du lie nerf intercostal (Obs. IV).
Fig
. 14, 15, 16, 17. Atrophie complète des tubes nerv
s. IV). Fig. 14, 15, 16, 17. Atrophie complète des tubes nerveux. -
Fig
. 14 et 15, atrophie avec coloration jaune prove
fibres non dissociées; fig. 17, fibres isolées par la dissociation.
Fig
. 18. Coupe transversale du il» nerf intercostal (
- riquo. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius.
Fig
. 4. - Coupe de Meynert. Tronc encé- phalique et
uvert et encadrant la partie antérieure de la ligne primitive pp.
Fig
. 15. Région céphalique de ce même embryon vue par
t elles déforment la cavité (fin. 20). Vésicules auditives.] 3.
Fig
. 19, 20, 21. - Encéphale et ganglions .' . céré
nt do la lame alairo dans le bulbe et dans la protubé- rancc.
Fig
. 33. Coupe transversale du bulbe d'un embryon hum
her. A Formations qui duo- pendent du segment t postérieur.
Fig
. 44. - Coupe vertico-médiane de l'encéphale d'un
oite et gauche. - fin. 47. Encéphale vu par la face infé- rieure. -
Fig
. 48. Encéphale vu par la face latérale gauche apr
tance parfordoi Substancoperforce antérieure. ' ' . 1 J 9
Fig
. 49. - Face interne de l'hémisphère cérébral d'un
noïdale du ventricule latéral. - Vsl, ventricule du septum lucidum.
Fig
. 52, 53, 54, 55, 56, 57. - Coupes vertico-transve
tituent la région rétro-lenticulaire de la capsule interne (Girl.) (
Fig
. 52 à 63). Les fibres de la capsule interne qui
llules de transition. - Sp, spongioblastes. -ZC, zone des colonnes.
Fig
. 82. - Jeunes neuroblastes de la moelle épinièr
es terminales (Endkorben). D'autres fois encore, les cylindres-axes
Fig
. 103. - Trois cellules de Cajal. Coupe longitudin
con- nectives embryonnaires recouvrant la périphérie du faisceau.
Fig
. 117. - fibres nerveuses (['un embryon de mouton
Rückenmark des Menschen und der Saügethiére. Braecnschweig, 1865. ,
Fig
. 120. Troisjeunes segments intercalai- res à
i que de la cellule ner- vousc. Réseau fibrillaire. ? f I
Fig
. 121. - Cellule névroglique de l'écorce cérébrale
enùothé- liale des cellules. ... Divisions en T de Ranvier.
Fig
. 124. Deux cellules nerveuses des ganglions spi
nvolution pariétale ascendante. Une anastomose verticale unit quel-
Fig
. 16,'i. - Sillon inter-pariétal et plis verticaux
intermédiaire du gyrus descendens d'Ecker (D) (fig. 174, 175, 176).
Fig
. 180. - Face interne de l'hémisphère gauche. (D'a
naître dans ce cas des fibres longitudinales du septum lucidum, de
Fig
. 183. - Face inférieure des hémisphères cérébraux
de faisceau triangulaire de l'isthme (RI, fig. 189). Dans la région
Fig
. 193. Coupe transversale de la partie supérieure
rginal. - CO, centre ovale. - Cli, couronne rayonnante. - 1 . ...
Fig
. 220. Coupe horizontale de l'hémisphère droit, n°
lingual (Lg) du pli Ctllléo-limbique (7tcl) et de l'isthme du lobe
Fig
. 227. Coupe horizontale de l'hémisphère droit, n°
(Cing) appartient au lobe limbique- (L,), et contourne le sinus du
Fig
. 242. - Coupe vertico-transversale de l'hémisphèr
66), mais ces. coupes ne peuvent pas rendre compte de la place 31
Fig
. 263. -Coupe vertico-lransversale de l'hémisphère
oïdale du ventricule latéral. at2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fig
. 276. Coupe sagittale de l'hémisphère droil, n° 3
la région rétro-insulaire. 516 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fig
. 277. -Coupe sagittale de l'hémisphère droit, no
tale (mF,). COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 1;2-1 Coupe n° III (
Fig
. 281). Coupe passant par la ligne III de la fig.
commissure antérieure (coa), limitée en dehors par les fibres de la
Fig
. 323. Coupe n° 8 x, passant par la ligne 8 x de l
leur long trajet horizontal des branches qui se dirigent toutes du
Fig
. 331. Cellules polygonales de la couche moléculai
ft) n M n m- » m > c-1 M z C3> C' CD
Fig
. 332. - Cellules fusiformes du type de Cajal. Cou
fication des cylindres-axes. tl, terminaisons libres des dendrites.
Fig
. 333. Cellules triangulaires du type de Cajal. Co
.) a, tige et branches protoplasmi- qucs.A,épines collatérales.
Fig
. 338. Cellule pyramidale type moyen de l'écorce c
(Pm) ou stratum oriens.-Alv, al- ' . 1 vous ou substance blanche.
Fig
. 362. Schéma de la struc- ture de l'écorce dans
e (L [I1J), en se portant en bas et en avant vers l'extrémité anté-
Fig
. 373. - cingulum, faisceau longitudinal inférieur
avant et en bas. Recouvert Trajot du faisceau occipito-frontal.
Fig
. 380. - Coupe lits versale d'un hémisphère pré-
n à la suite de lésions du lobe occipital, mais consécutivement à à
Fig
. 395. Ilémianolosie homonyme gauche d'origine c
. Dans ce dernier cas, le champ des fibres calleuses dégénérées est
Fig
. 396 et 397. Topographie des lésions dans un cas
lorsqu'il copiait son nom ou les quelques mots qu'il pouvait VA I
Fig
. 399. Plaque jaune ancienne occupant une grande p
'on lui présente. Il est propre et paraît susceptible d'affection. (
Fig
. 5) La tête est grosse et ronde; la face large;
u de la pre- mière enfance, le seul que nous voulons étudier dans
Fig
. 7. - FigUl'e montrant la trachée, la langue, l'a
rg. 1. - Coupe transversale 'le la moelle. (Insumesc. bracliialis.)
Fig
. 2 Coupe transversale de la moëlle (région lombai
ialis.) Fig. 2 Coupe transversale de la moëlle (région lombaire).
Fig
. i. Cellules nerveuses des cornes antérieures de
ieures de la substance grise en voie de dégénération pigmentaire.
Fig
. 4. Les vaisseaux et les cellules nerveuses des c
ans, fait une fausse couche ; en 1883, elle était bien portante.
Fig
. 95. - Th... à l'âge de 4 ans. IDIOTIE AVEC CAC
la table qu'il a l'air de présider, son regard indifférent et son
Fig
. 16. Th... à l'âge de 20 ans. 29S CLINIQUE NERV
paissis à ce niveau. Tout au plus peut-on sentir, sur le côté droit
Fig
. 18. Th... à l'âge de 21 ans (mai 1882). IDIOTI
uatre heures, n'a pas permis de doser l'urée éliminée de ce côté.
Fig
. 49. - Th... à 1 âne de 21 ans (mai 1882). IDIO
bituel, et est très gai. 4881. Juillet. - Poids : 20 kilogr. 100.
Fig
. 20. - Th... il (le 22 ans (octobre 1883). IDIO
s solide sur les jambes, mais manifeste toujours une grande répu-
Fig
. 21. - Th... à l'âge de 23 ans (novembre 1884).
per entre les arcades dentaires. V... Cri. ne possède que 19 dents,
Fig
. 22. - Le crétin des Batignolles. 342 CLINIQUE
croire peut-être à un carcinome. Le mari dit Archives, t. XII. 21
Fig
. 24. - Elle représente une opérée (cas 9) de 11.
, 233. Willett. 72. EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE
Fig
. 1. - Coupe transversale 'le la moelle. (Intumesc
Fig. 1. - Coupe transversale 'le la moelle. (Intumesc. brachials.)
Fig
. 2. Coupe transversale de la moelle (région lomba
ials.) Fig. 2. Coupe transversale de la moelle (région lombaire).
Fig
. 3. - Cellules nerveuses îles cornes antérieures
ures de la substance grise pu voie de dégénération pynen ! ;rire.
Fig
. 4. Les vaisseaux et les cellules nerveuses îles
sie ho- monyme gauche. Ce symptôme élait le seul qui indiquât une
Fig
. 2. Face moyenne de l'hémisphère droit, montrant
rmaux. La commissure grise du troisième ventricule était absente.
Fig
. 4. -Facemopenne del'hémisphère gauche (Ecker). F
par le fait de l'accident qui m'est arrivé dans la conservation des
Fig
. 5. Face interne de l'hémisphère droit (Ecker). F
l., 1884, n° 1). 1 TVcslplucl's trcle. ? Psychiatrie, XVI, 352.
Fig
. 6 - Schéma des fibres optiques, servant à expliq
sent bien. Son écriture com- mence à être régulière (/t<7. 9).
Fig
. 8. ' tig. 9. . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
, gar- diennes, d'un portier, d'un cuisinier, de serviteurs, etc.. (
Fig
. 11.) Les malades proviennent presque tous des
ES FIGURES DE LA PLANCHE Il (Dessins faits ti la chambre claire.)
Fig
. 1. Segment dont la gaine de myéline est altérée
don, 4, de myéline homogène, encore intacte; s, segments normaux.
Fig
. 2. Segment dont la myéline est réduite en une sé
n ne distingue aucune trace de cylindre-axe; s, segments normaux.
Fig
. 3. Segment où les débris de myéline sont représe
ie, plissée; aucune trace du cylindre-axe; - s, segments normaux.
Fig
, 5. Segment atrophié. a, gaine de Schwann vide, p
de cylindre-axe; s, segments normaux. 362 PATHOLOGIE NERVEUSE. '
Fig
. 6. - Altérations segmentaires successives, sépar
ntenir une matière homogène d'un jaune ambré et des noyaux ovoïdes.
Fig
. 7. Portion de segment présentant en a des lésion
ables à celles que l'on observe dans la dégénération wallérienne.
Fig
. 8 et 9. Segment et portion de segment présentant
don, b, de myéline homogène, encore intacte; s, segments normaux.
Fig
. 2. Segment dont la myéliue est réduite en une sé
ne distingue aucune trace de cylindre-axe; - s, segments normaux.
Fig
. 3. Segment où les débris de myéline sont représe
ée. &,noyaux;aucunettacedec\tindre-axe ? s, segments normaux.
Fig
. 6. Altérations segmentaires successives, séparée
ntenir une matière homogène d'un jaune ambré et des noyaux ovoïdes.
Fig
. 7. Portion de segment présentant en a des lésion
ables à celles que l'on observe dans la dégénération wallérienne.
Fig
. 8 et 9. Segment et portion de segment présentant
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