STE MASSON ET Cie, ÉDITEURS ----MAI ,925----- CHARCOT ARTISTE
Charcot
a sa statue devant la Salpêtrière. Cette œuvre
te, Falguière. Iyaissera-t-elle à la postérité un souvenir exact de
Charcot
? Oui, pour ceux qui n'ont eu de sa personne qu'
ails accessoires : la position bizarrement contournée du cadavre dont
Charcot
montre le cerveau, l'exiguïté du socle, la dispro
) Elle a été inaugurée le 4 décenibre~i898, cinq ans après la mort de
Charcot
. Ceux qui ont mieux connu Charcot, ceux surtout
e~i898, cinq ans après la mort de Charcot. Ceux qui ont mieux connu
Charcot
, ceux surtout qui l'ont fréquenté dans son intimi
durs, aux contours anguleux, étrangement asymétrique : est-ce bien là
Charcot
, tel qu'on peut encore se le rappeler? N'a-t-on p
obe professorale ne fera pas oublier la grande simplicité de l'homme.
Charcot
, en effet, à l'hôpital comme à la ville, se montr
enirs moins grandioses, mais certainement plus précis. On se rappelle
Charcot
intime, très simple, cependant très grand, et com
r, dans le sens le plus esthétique de ce mot. Alors aussi on revoit
Charcot
artiste. C'est justice que l'on connaisse les d
x, avec toute la bibliothèque de son père, à cette Salpêtrière dont
Charcot
fit la gloire et à qui sa vie fut consacrée. Co
ut consacrée. Comme son œuvre de science, l'œuvre iconographique de
Charcot
ne doit-elle pas être mise en lumière? Assurément
ment d'artiste dont il était naturellement doué. =%0" --JfSff - :
Charcot
, semble-t-il, tenait ses aptitudes artistiques de
ait justifier ce choix, au delà de toute prévision. A dix-sept ans,
Charcot
dessinait donc. Il reste de lui quelques croquis
de de l'habitus humain. Envisagé d'une façon générale, le dessin de
Charcot
est toujours synthétique. C'est même, le plus sou
eux-ci seulement, au mépris de tous les accessoires, — cette faculté,
Charcot
la possédait au plus haut degré. Médecin, il en
nement? Certes, pour instruire il n'en existe pas de meilleur. Mais
Charcot
, on l'a vu, est, par nature, enclin à la synthèse
urs incorrections paraîtrait aujourd'hui aussi injuste que déplacée :
Charcot
n'était pas un dessinateur professionnel . En out
telle défectuosité de facture serait aussi absurde que de reprocher à
Charcot
telle ou telle irrégularité dans les caractères g
s-nous au temps où la Salpêtrière resplendissait de l'enseignement de
Charcot
. Sa parole était sobre et précise. Jamais, dans
qui ne trouve d'excuse que dans l'ignorance de ceux qui l'ont lancée.
Charcot
faisait comparaître à ses leçons cliniques indiff
er une loi d'exception concernant les hystériques? L'importance que
Charcot
attachait à l'étude visuelle était telle que, par
puleusement mimé. Mais, aux enseignements du geste et de la parole,
Charcot
préférait encore ceux que l'image peut ajouter d'
phie, tou jours une page imagée vient illustrer la démonstration de
Charcot
. Il ne lui suffit pas de décrire la structure d
quand on la lui rappelait. Les cours de la Salpêtrière fournirent à
Charcot
l'occasion d'utiliser de façon magistrale son goû
omme pour son enseignement, qui s'adressait de préférence aux yeux,
Charcot
sut utiliser à merveille les aptitudes de ceux qu
rnent pas les bienfaits de cette collaboration fructueuse. Un jour,
Charcot
se trouve en face d'un tableau de Rubens, représe
éressante collection de documents cliniques en images ! Ainsi pensa
Charcot
, et, de concert avec Paul Richer, il commença à
ages et des pages pour dresser le bilan de toutes les innovations que
Charcot
introduisit à la Salpêtrière, et qui témoignent d
un moulage, d'une peinture, d'un dessin... C'est ce cabinet même où
Charcot
, entouré d'un service laborieux et discipliné, ex
, défilèrent tant de lamen tables victimes des infirmités humaines.
Charcot
en passait lui-même la revue. Alors, on pouvait
étaient examinés dans le plus simple appareil. Le regard pénétrant de
Charcot
s'arrêtait sur les moindres anomalies corporelles
a révélation d'une maladie inconnue jusqu'ici. L'artiste, qui, chez
Charcot
, allait de pair avec le médecin, n'était pas étra
inusité. Si l'influence qu'ont exercée les qualités artistiques de
Charcot
sur ses études et sur son enseignement est digne
es errantes dans les rues populeuses. Quelquefois même le dessin de
Charcot
n'était qu'une sorte de calembour iconographique.
oque désastreuse que traversa la France, en 1870-1871, les lettres de
Charcot
vibrent d'un patriotisme ardent. Alors aussi ses
s impressions visuelles par le dessin. Cette mémoire des yeux , que
Charcot
avait excellente, lui était d'un grand secours po
ù, tout en écoutant d'une oreille attentive les leçons des candidats,
Charcot
couvrait le papier posé devant lui de rapides esq
miers plans sont rarement assez poussés. Ht la raison, on la devine :
Charcot
avait, par excellence, la vision de l'ensemble ;
s pour amuser son fils Jean. L'innovation artistique introduite par
Charcot
dans son milieu hospitalier, et adaptée aux besoi
son intérieur, par la part personnelle qu'il prit à cette décoration,
Charcot
n'apparaît pas seulement comme un connaisseur ins
e. Nul cadre n'était plus apte à s'harmoniser avec la personnalité de
Charcot
. Ce cadre était aussi son œuvre. Vastes pièces
dessein une synthèse, — celles de toutes les élégances décoratives, —
Charcot
se complaisait. Ceux qui restent étrangers aux pl
la voici : le luxe, ni le faste, ni le confort moderne, ne touchaient
Charcot
. Chez lui, aucun désir d'ostentation. Il apprécia
depuis le xvie siècle, n'est qu'une copie d'un original de l'époque.
Charcot
lui-même en a fait la reproduction, avec un sens
qui n'est pas une des moindres garanties des qualités artistiques de
Charcot
, il rencontra dans son entourage des auxiliaires
tait sa part à l'œuvre de décoration, sans cesse accrue et améliorée.
Charcot
donnait l'idée, y ajoutait quelques conseils : l'
œuvres d'art parfaitement authentiques, — curieux musée de famille où
Charcot
goûtait ses meilleures joies et qui réalisait son
shakspearien : Un peu de trop... » Au milieu de cette magnificence,
Charcot
gardait sa froide simplicité. Il apparaissait un
nt délaissaient leurs pinceaux pour s'occuper de sciences abstraites,
Charcot
trouvait dans l'art une diversion au labeur quoti
eur quotidien du savant. * ' * Malgré le charme de son intérieur,
Charcot
n'hésitait pas à s'en éloigner lorsque l'exigeaie
quelque confiance qu'il fût en droit d'avoir en son propre jugement,
Charcot
ne s'embarquait jamais à la légère. Sur ce qu'il
tte excursion en Morvan qui devait lui être si tristement fatale (i),
Charcot
, fidèle à sa méthode, ne voulut partir qu'après s
ssa volontiers transparaître son érudition. Ceci ne suffisait point à
Charcot
. Il n'en mit que plus de soin à recueillir lui-mê
illir lui-même sur ce sujet tous les renseignements désirables. (1)
Charcot
est mort subitement, la nuit, dans une auberge pr
e cette reproduction. Et, la veille du départ, revoyant son collègue,
Charcot
, non sans quelque malice, fit redire à celui-ci t
authentique. — Et l'érudit compagnon comprit que, sur ce chapitre-là,
Charcot
était encore son maître. Dans chacun de ses voy
re-là, Charcot était encore son maître. Dans chacun de ses voyages,
Charcot
emportait un album et des crayons de couleur. Au
s paysages linéaires, le Hollandais van Goyen excellait en son temps.
Charcot
le comptait au nombre de ses maîtres préférés.
de Galles, par une triste matinée d'août. De la fenêtre de son hôtel,
Charcot
crayonne une vue de la ville où il s'est arrêté :
stes,'quel temps morose il faisait ce matin-là. Cinq ans plus tard,
Charcot
est en Espagne, à Renteria, en plein to/fre* «f
e la vie. Ht, toujours, ce qui prédomine dans les dessins faits par
Charcot
, c'est l'immédiate perception de l'ensemble, l'
'un tout sincère et harmonieux. Nombreux aussi sont les dessins que
Charcot
fit au cours de ses visites dans les monuments ou
Rien n'est plus lugubre brement expressif que cette image funèbre.
Charcot
en fut frappé, car il ne dédaignait pas le macabr
brillait un éclatant soleil d'août ! Ht quel sujet de méditation :
Charcot
s'attardant devant ce symbole macabre pour copier
ses préférences, et même jusqu'aux détails de sa vie. Pour comprendre
Charcot
artiste, il faut avoir connu Charcot intime. Et q
tails de sa vie. Pour comprendre Charcot artiste, il faut avoir connu
Charcot
intime. Et quand longtemps on l'a vu de très près
nière d'être avait pour but d'impressionner le vulgaire. A leur avis,
Charcot
se serait volontairement entouré d'une auréole po
instantanée, de cet œil pénétrant creusé dans un masque impénétrable,
Charcot
, aux yeux d'un observateur superficiel, pouvait à
achait aucun prix aux manifestations de politesse banale. D'ailleurs,
Charcot
, même à l'apogée de sa gloire, conserva toujours
-elle à une époque où rien ne pouvait faire présager le rôle futur de
Charcot
. Ainsi doit-on faire justice d'une conception f
trop hâtive, sinon d'un sentiment malintentionné. Si le physique de
Charcot
a pu prêter à la méprise, et si, de le voir en pa
lle est la vérité. vSans jamais se départir de sa réserve mutuelle,
Charcot
n'était cependant ni trop sévère, ni trop altier.
Il citait volontiers de mémoire des passages de Rabelais. En cela,
Charcot
restait conforme à lui-même. Il affectionnait en
sée sur une étude attentive de la nature. Dans l'œuvre de Shakspeare,
Charcot
voyait un modèle d'analyse des sentiments et des
sme sincère des saillies et des bons mots. Aussi la plaisanterie de
Charcot
était-elle éminemment shaks-pearienne . Pareill
de représenter exactement la nature, ne pouvaient manquer de séduire
Charcot
. Ce furent ses maîtres de prédilection. Posséda
u Shakspeare en images. Avec son goût de la simplicité naturaliste,
Charcot
n'appréciait pas volontiers les innovations de l'
s et les notes de voyage pris au Maroc par le peintre Delacroix. Si
Charcot
avait surtout l'œil exercé au diagnostic visuel,
nt que la mode n'ait remis en honneur les œuvres des maîtres anciens,
Charcot
avait affirmé pour ceux-ci une prédilection inatt
e vue d'ensemble lui avait permis d'entrevoir la beauté de l'œuvre.
Charcot
ne goûtait guère la poésie : le langage rythmé lu
ndant longtemps. Ainsi, d'une façon générale, l'idéal artistique de
Charcot
était fait de clarté et de simplicité. Et cependa
ne scrupuleuse observation de la nature. Ce sincère regard jeté sur
Charcot
intime, sur ses goûts et ses prédilections, en fa
et d'apprécier plus exactement l'artiste. Il reste à montrer encore
Charcot
caricaturiste. Charcot caricaturiste !... Cha
ement l'artiste. Il reste à montrer encore Charcot caricaturiste.
Charcot
caricaturiste !... Charcot, le savant que l'on
montrer encore Charcot caricaturiste. Charcot caricaturiste !...
Charcot
, le savant que l'on imaginait à tort grave à l'ex
urire, volontiers indifférent aux gaîtés d'ici-bas, — oui, vraiment !
Charcot
ne dédaigna point l'art humoristique, et même il
s plus curieuses sont assurément celles qui rappellent une visite que
Charcot
, alors âgé de dix-sept ans, fit au Quartier latin
quelles facultés critiques se trouvaient en réserve dans l'esprit de
Charcot
. Une fantaisie caricaturale particulièrement éd
caturale particulièrement édifiante remonte à l'année 1853, alors que
Charcot
, âgé de vingt-huit ans, venait de terminer son in
an Bosch ou de Jacques Callot. Dans cette fantaisie outrancière que
Charcot
aimait à revoir, après bien des années écoulées,
fantastique. Mais c'est là une page exceptionnelle. Au demeurant,
Charcot
cédait volontiers au désir de croquer , en quelqu
t s'y tromper. Longue serait la liste des personnages célèbres dont
Charcot
s'est plu à reproduire les traits, mais toujour
int professeur à son tour... C'est Pierret. En voyant le portrait que
Charcot
avait fait de lui, il voulut riposter de sembla
n , avec un front énorme, un nez démesuré et un menton à l'avenant.
Charcot
s'en amusa beaucoup. Car il admettait volontiers
erne du service, — Brissaud, — s'étant permis de faire le portrait de
Charcot
en cachette, l'interne, — Raymond, — confisqua le
er que n'ont pas oublié ceux qui fréquentaient alors la Salpêtrière :
Charcot
, à l'amphithéâtre, son chapeau sur la tête, un ta
pas de grandeur. Voici encore d'autres fantaisies humoristiques de
Charcot
. Il y avait, au nombre de ses familiers, un anc
per sur un ton doctoral quelques termes barbares de grec ou de latin.
Charcot
ne lui ménageait ni les pointes ni les épigrammes
Il fit ainsi son portrait. C'est une de ses meilleures caricatures.
Charcot
professait d'ailleurs un mépris singulier pour to
satire en peignant des singes occupés à mimer les travaux des hommes,
Charcot
¦composa de semblables parodies, et même ne cra
avec une mordante ironie ! Bien sot qui s'en fût fâché. D'ailleurs,
Charcot
n'en avait cure r ces fantaisies étaient ses déla
formes les plus curieuses de l'esprit, d'observation dont était doué
Charcot
. La plus fameuse assurément de ses compositions
isé. Et rien ne saurait mettre mieux en valeur la faculté critique de
Charcot
que cette théorie professorale où lui-même s'est
st pas trop audacieux de prétendre que les aptitudes caricaturales de
Charcot
lui ont été quelquefois profitables dans son méti
loire désormais incontestée. S'il a permis de faire entrevoir que, de
Charcot
médecin Charcot artiste est inséparable, il a rem
incontestée. S'il a permis de faire entrevoir que, de Charcot médecin
Charcot
artiste est inséparable, il a rempli son but. E
venture, en ce lointain conseil de famille qui décida de sa destinée,
Charcot
eût préféré l'art à la médecine, peut-être eût-il
Dans la seconde partie, nous avons rassemblé les nombreux travaux de
M. Charcot
sur la métalloscopie, la métallothé-rapie et Y hy
Salpêtrière sur ces questions. On verra avec quelle circonspection,
M. Charcot
a entrepris l'étude d'un sujet délaissé, discrédi
UR Enfin dans la troisième partie nous avons reproduit une leçon de
M. Charcot
sur Y électricité statique, qui se rattache dans
VILLE. PREMIÈRE PARTIE Hémorrhagie et ramollissement du cerveau
Charcot
. CEuv compi. T. ix. Hémorragie cérébrale. i Dan
ques points de la pathogénie des hémorrhagies cérébrales,Paris, 1886.—
Charcot
, Leçons sur les maladies des vieillards et sur le
t d'anévrysmes qui, sans doute, se seraient formés ultérieurement ?
Charcot
. Œuvr. compl. t.ix Hérnorrhagie cérébrale. u A
es viscères n'a pas été noté. Obs. II. Salpètrière, Saint-Luc, 2. —
Charcot
. Raynié (Jeanne), 62 ans). — Cette femme dont l
es dans les circonvolutions. Obs. III. Salpètrière, Saint-Luc, a. —
Charcot
. Dreptain (Louise-Antoinette), 74 ans. — Cette
altération de structure. Obs. IV. Salpêtrière, Saint-Jacques, 15. —
Charcot
. Barbillon (Marie-Rose), 75 ans. — Attaque d'ap
iaires dont quelques-uns très volumineux. Obs. XIII. Salpêtrière. —
Charcot
. Baudois (Marguerite), 91 ans. — Attaque d'apop
is leur tissu paraît normal. Obs. XIV. Salpêtrière, Saint Luc, 5. —
Charcot
. Barthélemi (Marie Joséphine), 69 ans. — Cette
peu atrophiés pèsent ensemble 210 grammes. Obs. XV. Salpctrière. —
Charcot
. Thomas (Marie-Thérèse), 70 ans. — Attaque d'ap
'ont pas été examinés. Obs. XIX. Salpêtrière, Saint-Alexandre, 2. —
Charcot
. Buyck (Catherine), 78 ans. — Cette femme est f
reins étaient sains. Obs. XXIII. Salpêtrière, Saint-Jacques, 21. —
Charcot
. Huteau (Mathurine-Adelaïcle), 76 ans. — Cette
araît un peu atrophiée. Obs. XXIV. Salpêtrière, Saint-Jaques, 13. —
Charcot
. Borin (Thérèse), 78 ans. — Cette femme habitue
altérés dans leur structure. Obs. XXV. Salpêtrière, Saint-Luc, 4. —
Charcot
. Hubert (Joséphine-Charlotte), 51 ans. — Hémipl
vec foyers anciens. Obs. XXVI. Salpêtrière, Saint-Alexandre, 18. ?—
Charcot
, Quantin (Marie-Marguerite), 74 ans. —Attaque d'a
ues. Reins normaux. Ors. XXVII. Salpêtrière, Saint-Alexandre, 18. —
Charcot
. Fossé (Marie-Euphrasic), 79 ans. — Attaque d'a
nt pas pu être examinés. Obs. XXVIII. Salpêtrière, Saint-Paul, 9. —
Charcot
. Marazin (Victoire), 71 ans. - Cette femme qui
t anévrysme dissécant. Obs. XXXI. Salpêtrière, Sainte-Marthe, 11. —
Charcot
. Lecrique (Marie-Joséphine), 73 ans. — Cette fe
semble 225 grammes. Obs. XXXII : Salpêtrière, Sainte-Rosalie, 24. —
Charcot
. Sauné (Adèle), 50 ans. — Cette femme, qui étai
tères. Vaisseaux de la base peu altérés. Obs. XXXIV. Salpêtrière. —
Charcot
. Ilenon (Catherine), 58 ans. — Attaque d'apople
ensemble 310 grammes. Obs. XXXV. Salpêtrière, salle Saint-Luc, 2. —
Charcot
. Bertin (Marie-Adèle), 55 ans. — Première attaq
reins sont normaux. Obs. XXXVI. Salpêtrière, Saint-Alexandre, 22. —
Charcot
. Renaud (Julie), 85 ans. — Attaque subite sans
ollissement ancien. Obs. XXXVII. Salpêtrière, Saint-Alexandre, 18. —
Charcot
. Gresser (Marie-Marthe), 83ans. —Cette femme su
ues athéromateuses. Obs. XXXVIII. Salpêtrière, Sainte-Cécile, 18. —
Charcot
. Soignot (Pierrette), 50 ans. — Cette malade, q
ensemble 220 grammes. Obs. XXXIX. Salpêtrière, Sainte-Marthe, 18. —
Charcot
. Marquis (Marie-Magdeleine), 75 ans. ?— Cette f
hémorrhagie récente. Obs. XLII. Salpêtrière, Sainte-Rosalie, 12. —
Charcot
. Moreau (Marie-Eugénie), 70 ans. —Ancienne hémi
s reins sont normaux. Obs. XLIII. Salpêtrière, Saint-Jacques, 22. -
Charcot
. Evrard (Marie-Thérèse), 70 ans — Cette femme,
lcères athéromateux. Obs. XL1V. Salpêtrière, Saint-Alexandre, 15. —
Charcot
. Dupont (Marie-Louise), 81 ans. — On n'a sur ce
illot déposé sur un ulcère athéromateux. Mort le 28 septembre 1866.
Charcot
. OEuv. compl. t. ix, Hémorragie cérébrale. 4 L'
Cœur et reins normaux. Obs. XLV. Salpêtrière, Sainte-Rosalie, 14. —
Charcot
. Siper (Catherine-Joséphine), 75 ans. Les rense
ramollissement ancien. Obs. XLVI. Salpêtrière, Sainte-Rosalie, 14. —
Charcot
. Ronfand (Denise), 85 ans. — Cette femme, sur l
éromateuses molles. Obs. XL VIL Salpêtrière, Saint-Alexandre, 11. —
Charcot
. Taffin (Robertine), 80 ans. A l'autopsie de ce
eux genoux des traces d'arthrite sèche. Obs. XLVIII, Salpêtrière. —
Charcot
. Peugnet (Emmerentine), 60 ans. — Cette femme a
r la dégénération graisseuse. Obs. L. Salpêtrière, Saint-Paul, 1. —
Charcot
. Cousin (Marguerite), 81 ans. — Femme morte pen
lésions appréciables. Obs. LVI. Salpêtrière, Saint-Alexandre, 18. —
Charcot
. Denis (Marie), 70 ans. — Cette femme était dev
est un peu atrophiée. Obs. LV1I. Salpêtrière, Saint-Alexandre, 0. —
Charcot
. Briquet (Françoise), 88 ans. — Cette femme meu
le même hémisphère. Obs. LVI1I. Salpêtrière, Saint-Alexandre, 14. —
Charcot
. Lecomte (Rose-Geneviève), 09 ans. — H y a quat
t parfaitement normaux. Obs. L1X. Salpêtrière, Sainte-Rosalie, 4. —
Charcot
. Buisson (Françoise), 50 ans. —Attaque d'apople
ux, mesure 1 millimètre de diamètre environ. Obs LX. Salpêtrière. —
Charcot
. Lasnier (Jeanne), 82 ans. — Attaque d'apoplexi
'ont pas été examinés. Obs. LXI. Salpêtrière, Sainte-Rosalie, 1G. —
Charcot
. Tissier (Marie), GO ans. — Hémiplégie gauche d
n'a point été fait. Obs. LXIII. Salpêtrière, Sainte-Rosalie, 13. —
Charcot
. Yaragne (Catherine), 61 ans. Cette femme, dont
né pèse 125 grammes. Obs. LXIV. Salpêtrière, Saint-Alexandre, 15. —
Charcot
. Pellée (Julie-Sophie), 75 ans. — Présentant un
pèsent ensemble 173 gr. Obs. LXV. Salpêtrière, Sainte-Rosalie, 3. —
Charcot
. Lesueur (Louise,), 72 ans. — Cette femme était
grenu de la surface. Obs. LXVI. Salpêtrière, Saint-Alexandre, 21. —
Charcot
. Nicolas (Catherine), 68 ans. — Cette femme, qu
t pèsent ensemble 275 gr. Obs. LXVII. Salpêtrière, Saint-Luc, 10. —
Charcot
. Mannessoy t(Marguerite), 70 ans. — Cette femme é
tement athéromateuse. Obs. LXIX. Salpêtrière, Sainte-Rosalie, 17. —
Charcot
. Georges (Marie-Anne), 65 ans. — Cette femme es
et pèsent ensemble 143 gr. Obs. LXX. Salpêtrière, Saint-Augustin. —
Charcot
. Lebon (Annette), 43 ans._— On a peu de renseig
s d'assez nombreux anévrysmes miliaires. Obs. LXXIV. Salpêtrière. —
Charcot
. Jodier (Félicie) femme cle 08 ans. —Aucun rens
e dans l'épaisseur de la substance grise. Obs. LXXV. Salpêtrière. —
Charcot
. Cronier (Françoise), 01 ans. — Cette femme, at
ism of the cérébral vessels. (Guy's Hosp. Reports, 3« série, t. V.)
Charcot
. Œuv. compl. t. ix, Hémorragie cérébrale. 5 été
notre statistique. Obs. LXXXV. Salpêtrière, Saint-Alexandre, 11. —
Charcot
. Taffin (Robertinre), 80 ans. Femme morte de pn
deuxième jour érythème violacé et plaque ecchymotique : TR. 37°, 6.
Charcot
. Œuv. compl. t. ix. Hémorragie cérébrale. 6 Le
miplégie. IV. Ecchymoses viscérales chez les apoplectiques (1).
M. Charcot
, à propos d'une communication de M. Lépine, rappe
ment à la production de ces ecchymoses qui ont un signe si différent,
M. Charcot
croit qu'elles doivent être rapportées à la paral
lles manquent quand la mort survient très rapidement. Tout récemment,
M. Charcot
a observé deux cas de deux vastes foyers hémorrha
ciété de biologie, 1870, p. 39. V. Des troubles trophiques (1).
M. Charcot
fait part à la Société d'une théorie nouvelle qui
urs servent de conducteurs aux irritations jusque dans les muscles.
M. Charcot
pense donc que les nerfs moteurs et sensitifs seu
Hémorragie cérébrale du tiers postérieur de la capsule interne (1).
M. Charcot
, à propos du procès-verbal de la séance du 10 déc
espèce de valeur. La théorie des localisations, telle que la conçoit
M. Charcot
, repose donc sur des faits pathologiques, peu nom
liée à l'hémorragie cérébrale et au ramollissement du cerveau (1).
M. Charcot
fait connaître les résultats de recherches qu'il
se produit sur la fesse du côté paralysé (V. p. 73). Ainsi, d'après
M. Charcot
, dans l'état apoplectique grave lié à l'hémorragi
, p. 12, 2e édition. VIII. Nouvelle note sur le même sujet (i).
M. Charcot
fait une communication ayant pour but d'appeler l
ontrât plus, depuis plusieurs minutes, dans la colonne mercurielle.
Charcot
. Œuv. comp. t. ix. Hémorragie cérébrale 7 Les c
quelque phénomène morbide saillant. Or, nous avons vu que plusieurs
Charcot
. Œuv. corapl. t. ix, Hémorragie cérébrale. 8 mo
de manière à affaiblir encore la résistance de toutes ces parties.
Charcot
. Œuv. compl. t. ix. Hémorragie cérébrale. 9 Adm
dure-nière, au niveau des parties malades, présente une coloration
Charcot
. Œuv. compl. t. ix, Hémorragie cérébrale. xo d'
outefois il existe un tel organe, —reste encore à déterminer. J. M.
Charcot
. que cette observation est laconiquement présen
n quelques faits relatifs à ce sujet, qui lui ont été communiqués par
M. Charcot
. M. Charcot a, de plus, appelé l'attention sur
ts relatifs à ce sujet, qui lui ont été communiqués par M. Charcot.
M. Charcot
a, de plus, appelé l'attention sur une variété du
iques dans l'ataxie locomotrice progressive. Thèse de Paris, 1866).
Charcot
. OEuv. compl. t. rx. Hémorragie cérébrale. n me
— Du rhumatisme viscéral. Paris, 1866, p. 88. i. Lac. cit., p. 35.
Charcot
. Œuvr. eomp. t. ix. Hémorragie cérébrale. ia te
térieures peut, à cette période de la maladie, manquer complètement. (
Charcot
et Bouchard, obs. citée.) Elle semble n'être qu'u
rapprochés les uns des autres qu'ils ne le sont dans l'état nor- 1.
Charcot
. — Note sur la formation rapide d'une escliare à
quelconque de l'axe médullaire, une décussation analogue à celle 1.
Charcot
. — Sur les modifications de la caloriftcation et
es adhésions isolées, lorsque, dans l'été de 1876, il vint demander à
M. Charcot
l'autorisation de tenler une dernière épreuve dan
euve dans son service de la Salpêtrière. L'autorisation fut accordée.
M. Charcot
, bientôt édifié sur la réalité d'un grand nombre
mma une commission composée de MM. Dumontpallier, rapporteur, Luys et
Charcot
, président. Toutefois M. Charcot avait, dès le dé
MM. Dumontpallier, rapporteur, Luys et Charcot, président. Toutefois
M. Charcot
avait, dès le début, reconnu dans l'œuvre de M. B
, par la commission de la Société de biologie et, d'autre part, par
M. Charcot
dans ses recherches particulières faites soit iso
st la couleur qui disparaît la première et reparaît en dernier lieu. (
Charcot
, Galezowski, Landolt, Charcot et Regnard. Société
première et reparaît en dernier lieu. (Charcot, Galezowski, Landolt,
Charcot
et Regnard. Société de biologie, i 9 et 26 janvie
ce qui concerne le phénomène du transfert dans l'achromatopsie, Voir
Charcot
; Gazette des hôpitaux, n° 7, 14 mars 1878.) E.
'hémia-nesthésie. (Travail collectif de la commission, 2e rapport; et
Charcot
, Gazette des hôpitaux, 1878.) 1. Dans les ligne
. L'approche d'un seul pôle suffit. La ligne neutre est sans action. (
Charcot
, Vigouroux, laboratoire de la Salpètrière et Soc.
s et les solénoïdes agissent exactement comme les barreaux aimantés. (
Charcot
et Regnarcl, laboratoire de la Salpètrière, Soc.
n est plus énergique et moins passible des variations individuelles. (
Charcot
et Vigouroux, laboratoire de la Salpètrière, Soc.
et de date ancienne, guéris par l'application des plaques de métal. (
Charcot
, 1er rapport; Landolt et Oulmont, Progrès mécl.,
ent immédiat de la sensibilité sous l'influence d'un électro-aimant. (
Charcot
et Vigouroux, laboratoire de la Salpêtrière et So
ésultat avec le barreau aimanté. (Voy. Progrès médical, 1878., n° 29.
Charcot
, laboratoire de la Salpêtrière.) IT. Notes et
pouvait croire de prime abord, ( Du reste, MM. Dumontpallier, Luys,
Charcot
, font des recherches sur ce sujet; des physiciens
s. » A l'occasion du procès-verbal de la séance du 13 janvier 1877,
M. Charcot
ajoute (séance du 20 janvier) les remarques suiva
t de trois-quarts d'heure, une heure, que la sensibilité revient. «
M. Charcot
rend compte ensuite des recherches qui sont faite
sur la métallothérapie (1). « L'année passée, à la même époque, dit
M. Charcot
, j'entretenais, pour la première fois, la Société
e la commission qui fonctionne dans mon service à la Salpêtrière. »
M. Charcot
fait la communication suivante : « Je me propose,
de comprendre le mé- 1. Société de Biologie, 1877, pp. 405, 406.
Charcot
. Œuv. compl. t. rx, Hypnotisme. 16 MÉTALLoriIÉR
été également affectés. « Cette malade appartient à cette série que
M. Charcot
appelle série bleue. Elle est du nombre des hysté
nt, le bleu disparaîtrait après toutes les autres zones colorées. «
M. Charcot
met successivement sous les yeux de la malade des
du côté gauche et dyschromatopsie à droite. « Ces faits constatés.
M. Charcot
applique Sur le front de la malade un appareil
p. 44. .-Action des aimanjÌ sur divers trourles hystériques (1).
M. Charcot
communique à la Société le résultat de nouvelles
eintes de grande hystérie. Ces malades sont les mêmes qui ont servi à
M. Charcot
, pour ses recherches sur la métalloscopie; ce son
ue. « En consultant les mémoires de l'ancienne Société de médecine,
M. Charcot
a trouvé des travaux de Thouret et d'An-dry, rela
montrent l'action des aimants sur l'hémianesthésie des hystériques et
M. Charcot
, en faisant lui-même ces expériences, a pu s'assu
e la métalloscopie. Ainsi la jeune malade, présentée dernièrement par
M. Charcot
à la Société de Biologie, a été soumise au magnét
ceux que l'on observe après l'enlèvement des plaques métalliques. «
M. Charcot
remet à la Société une note de M. Vigouroux conce
hystériques. cM. Vigouroux a commencé, en outre, dans le service de
M. Charcot
, une série de recherches sur les mêmes malades, m
s un état de somnambulisme ou de catalepsie provoqués, qui a permis à
M. Charcot
d'étudier sur de nouvelles bases tout un ordre de
es difficultés de toutes sortes que devait présenter un pareil sujet,
M. Charcot
n'a pas craint d'en aborder l'étude ; car il pens
lle est le complément des recherches depuis longtemps entreprises par
M. Charcot
sur la grande hystérie « hysteria major. » Une co
et du sommeil dit somnambu-lique. Les faits récemment observés par
M. Charcot
ont été reproduits publiquement au cours clinique
et état spécial diffère par bien des caractères du véritable sommeil.
M. Charcot
préfère le désigner, en attendant mieux, sous le
musculaire fort, remarquable se développe immédiatement, c'est ce que
M. Charcot
désigne sous le nom d'hyper'excitabilité musculai
ou directement en bas. Le phénomène est, on le voit, fort variable.
Charcot
. Œuv. comp. t. ix, Hypnotisme. 17 dans son état
ite connexité ne paraît pas avoir été jusqu'ici suffisamment relevée?
M. Charcot
déclare ne le savoir en aucune façon. Le médecin
t d'en chercher l'explication. Quelques expériences entreprises par
M. Charcot
et répétées à son cours, permettent de serrer de
de cette étude de la catalepsie produite par l'impression lumineuse,
M. Charcot
rappelle l'expérience, bien connue, qui consiste
visse, par M. Preyer, qui l'attribue à la terreur ou au saisissemenl.
M. Charcot
, sans chercher à donner la raison de ces phénomèn
de suite, de droite à gauche et de gauche à droite, pendant environ
Charcot
. Œuv compi, r. ix, Uypnotivine. 18 une heure et
(1). Les recherches entreprises à l'hospice de la Salpêtrière, par
M. Charcot
et, sous sa direction, par plusieurs de ses élève
t en Italie (3). 1. Extrait de l'Exposé des litres scientifiques de
M. Charcot
. Voir J.-M. Charcot. Leçons faites à la Salpêtriè
rdues de physiologie et de pathologie ner-, veuses peut être, suivant
M. Charcot
, résumée très simplement ; au lieu de se laisser
able aux faits physiologiques connus. C'est en grande partie, suivant
M. Charcot
, parce que ces précautions si simples ont été tro
mptomatologie de l'hypnotisme, semblent pouvoir être ramenés, suivant
M. Charcot
, à trois types fondamentaux, à savoir: 1° l'état
é neuro-musculaire en particulier. — C'est là un phénomène sur lequel
M. Charcot
a le premier appelé l'attention dans ses leçons d
p. 310. ?. Il s'agit seulement ici des muscles de la vie animale.
Charcot
. (Euvr. compl. r. in, Hypnotisme. 20 muscles, d
table initiateur dans ce genre d'études, datent de 1843, provoquée (
Charcot
) ; — les caractères particuliers de la catalepsie
sur les mêmes tendons donne le tracé II dans lequel on voit la pre-
Charcot
. OEuv. compl. t. ix, Hypnotisme. 21 mière ondul
lication, l'adduction ou l'opposition du pouce, mais, il s'y ajoule
Charcot
. Œuvr. comp. t. ix, Hypnotisme. 23 souvent un m
émiés et n'ont pas, par là même, perdu l'aptitude à la contracture.
Charcot
. Œuv. compl. t. ix, Hypnotisme. 25 DES DIFFÉR
cataleptique véritable ; mais d'une sorte d'état cataleptique déjà
Charcot
. Œuvr. com.pl. t. ix, Hypnotisme. 2 ? décrit pa
donné ailleurs la description détaillée des trois états nerveux. Voy.
Charcot
: Note lue à l'Académie des sciences, séance du 1
bliée dans le Progrès médical, le 22 décembre 1883, p. 1034 2. J M.
Charcot
— Conférences cliniques de la Salpétrière. (Gazet
des hystériques, afin de bien nous mettre dans l'esprit les carac-
Charcot
. (Euvr. comp. t. ix, Hypnotisme. 3o tères qui l
enir. 1. Celle lettre-préface est empruntée au volume des Leçons ûè
M. Charcot
, publiées en Italie par M. le Dr Melotti. Mais
formellement toute intrusion. Croyez à mes meilleurs sentiments.
Charcot
. Paris, le 9 janvier 1887. TROISIÈME PARTIE
t. Paris, le 9 janvier 1887. TROISIÈME PARTIE Electrothérapie
Charcot
. lEuvr. compi, ò. rx, Hypnotisme. 3i De l'emp
. C'est là le phénomène dit des oscillations consécutives, décrit par
M. Charcot
. Charcot. Œuv. compl. t. ix, Hypnotisme. 32 exc
e phénomène dit des oscillations consécutives, décrit par M. Charcot.
Charcot
. Œuv. compl. t. ix, Hypnotisme. 32 exceptionnel
erve. C'est en 1878, seulement, grâce à l'initiative de notre maître,
M. Charcot
, que la question fit un pas décisif; on peut dire
tre, M. Charcot, que la question fit un pas décisif; on peut dire que
M. Charcot
est le premier qui ait donné une démonstration sc
la revue récente de M. le Dr Babinski qui résume l'enseignement de M,
Charcot
sur divers points de l'hypnotisme (B). On pouva
ue dans les discussions, et de montrer que les faits hypnotiques, que
M. Charcot
découvrait en 1878 et dont il présentait en 1882
r. 11 nous semble que les critiques qui ont été faites à l'œuvre de
M. Charcot
tiennent, en partie au moins, à ce qu'on ne l'a p
ile avant de chercher à établir l'exactitude de la thèse que soutient
M. Charcot
, d'en faire ressortir les traits essentiels, de b
ne question mal famée et marcher à rencontre de préjugés enracinés.
M. Charcot
, éclairé déjà depuis longtemps par nombre d'obser
phénomènes intellectuels ; c'était commencer par où il fallait finir.
M. Charcot
relégua d'abord au second plan les phénomènes psy
iquent aussi bien à la contracture somnambulique. En même temps que
M. Charcot
relevait l'évidence de ces précieux symptômes, il
ire que de reproduire les principaux passages de la communication que
M. Charcot
a faite à ce sujet à l'Académie (1). [Cette com
risé par les trois états que nous venons de décrire, constitue ce que
M. Charcot
appelle le Grand hypnotisme. 1. Comptes rendus
nd hypnotisme. 1. Comptes rendus de VAcadémie des sciences, 1882;
M. Charcot
, dans sa description, a laissé de côté, à dessein
'abord aux types réguliers, avant d'étudier les formes mal dessinées,
M. Charcot
ne rejette donc pas, tant s'en faut, les autres f
trière. G., âgée de 16 ans, entre à la Salpêtrière dans le service de
M. Charcot
, au mois de Juin 1885. Elle présente tous les sti
nous venons de le dire, un caractère qui est commun à la forme type
Charcot
. OEuv. compl. t. ix, Hypnotisme. 33 et aux form
e, et à mettre en lumière les traits fondamentaux de la conception de
M. Charcot
sur l'hypnotisme. Sa doctrine est contenue, croyo
nous devons maintenant chercher à mettre en lumière les arguments que
M. Charcot
et ses élèves font valoir en faveur de la thèse q
t essayer de démontrer que, malgré tant de contradictions, l'œuvre de
M. Charcot
reste absolument intacte et inébranlable. Nous al
M. Bernheim, des cas artificiels, on peut se demander, fait remarquer
M. Charcot
, pourquoi, ne fut-ce que dans le but de prouver s
maintenant mettre en évidence les arguments sur lesquels s'est appuyé
M. Charcot
pour établir l'exactitude de ses assertions. Vo
, en effet, aurait pu provenir la suggestion? Quelle raison théorique
M. Charcot
aurait-il pu avoir de supposer qu'il existait un
alade qui est restée pendant dix-huit mois environ dans le service de
M. Charcot
, à la Salpêtrière, entourée de grandes hypnotique
e que les opinions que nous soutenons appartiennent exclusivement à
M. Charcot
et à ses élèves et que jamais en dehors de la Sal
. Revista sperimentale di Freniatica (1881, t. VII, l'asc. Set seq.).
Charcot
. Œuv. eompl. t. ix, Hypnotisme. 3/j Nous extray
des caractères déterminés, tel qu'il a été décrit magistralement par
M. Charcot
. « Le type parfait de l'hypnotisme, décrit par
ement par M. Charcot. « Le type parfait de l'hypnotisme, décrit par
M. Charcot
, et observé par des cliniciens eminenti de toutes
la relation de l'expérience du transfert d'une contracture opérée par
M. Charcot
chez une hystérique, au moyen d'un aimant, en oct
de réaliser sur un hypnotique une expérience qui avait été faite par
M. Charcot
sur une hystérique et dont je n'avais eu connaiss
malade offrait très nettement les phénomènes qui ont été indiqués par
M. Charcot
comme caractéristiques des trois états du grand h
onné la peine de venir à Paris et il a pu observer dans le service de
M. Charcot
quelques grandes hypnotiques. M. Delbœuf, après a
pplique plus particulièrement aux formes de l'hypnotisme étudiées par
M. Charcot
et qui s'observent, comme nous l'avons vu, chez d
, avec une bande élastique, etc.) ; cette propriété a été appelée par
M. Charcot
la diathèse de contracture. Mais chez les hypnoti
dilatations moniliformes. Fig. 1 . 'Fig-. 2 . Î I" i f î G
Charcot
ad nal.del. ÜýñêåãÜãøåã lith. PLANCHE III.
pfeitfs. T. LA . Ft ÃÒÒ. Øò 1. ñ Fi î'. 2 . Ù3 Imo-, 4.
Charcot
ad nat. del. J ÿñêåãÜàèåã li Ih Charcot. ÜEuv
î'. 2 . Ù3 Imo-, 4. Charcot ad nat. del. J ÿñêåãÜàèåã li Ih
Charcot
. ÜEuv. compi, ò. ix, Hypnotisme. 35 PLANCHE I
ANCHE XL Etat cataleptique. Suggestion par Je geste : Etonnement.
Charcot
. OEuv. comp. ò. ix, Hrpncíisme. 36 PLANCHE XI
omas), sont loin d'être rares. (Voy. Mougeot, loc. cit., p. 38.) 2.
Charcot
, loc. cit. — Eruption particulière siégeant sur l
des muscles : a) Lésions fasciculécs ou circonscrites qui intéres-
Charcot
. Œuvres complètes, t. i H sent les cornes antér
se rattacherait elle-même à la dégénération des gaines médullaires
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. 4 au-dessous du point
sés de la moelle, souffrent directement dans leur nutrition (1). 1.
Charcot
et .Toffroy. — Deux cas d'atrophie musculaire ave
tre rattachée, suivant moi, la lésion trophique des muscles (2). 1.
Charcot
et Joffroy, loc. cit., p. 354. 2. Voir, entre a
4. Voir à ce sujet ce qui a été dit dans la présente leçon, p. 41.
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. 5 Le sang se répand su
s amyolrophies de cause spinale, ont été exposées dans une leçon qu e
M. Charcot
a faite à la Salpêtriêre, en juin 1868. — Compare
in 1868. — Comparez : Hayem, Archives de Physiologie, 1869, p. 263. —
Charcot
et Joffroy, id., p. 756. — Duchenne (de Boulogne)
révost, in Comptes vendus de la Société de Biologie, 1866, p. 215 . —
Charcot
et Joffroy. Cas de paralysie infantile spinale, a
enfance (Gaz. méd., nos il, 43, etc., 1871.) (Voir Fig. 2.) 2. Voir
Charcot
et Joffroy, loc. cil. après la brusque invasion
électriques, alors que son volume sera déjà très notablement ré- 1.
Charcot
et Joffroy, loc. cit. — Vulpian, loc. cit. 2. V
1865, p. 289. —llayem,inArchiv.de Physiologie. 1869, p. 263, pl. 7. —
Charcot
et Joffroy, in Arch. de Physiologie, 1869, p. 355
s'opé-rantsuivant lemode subaigu ou chronique, une tendance à la 1.
Charcot
. — Leçons faites à la Salpêtrîère en 1870. — Voir
oulogne). — De V électrisation localisée, 3e édition. 2. Comparez :
Charcot
. — Note sur un cas de parai, glosso-laryngée suiv
elkanal, etc., in Verbreitung des Sympaticus, p. '2. Munchen, 1863.
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. 6 à Tune des racines s
ni-feste sur certains points de la peau une ou plusieurs plaques t.
Charcot
. — Noie sur la formation rapide d'une eschare à l
hapitre intéressant dans l'ouvrage de M. Samuel. loc, cit., p. 239.
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. 8 peuvent se produire
4 ; — Grisolle. Pathologie interne, 2e édit. ,t. II, p. 257. (Noie de
M. Charcot
.); 1 Charcot.—Sur quelques arthropathies qui pa
thologie interne, 2e édit. ,t. II, p. 257. (Noie de M. Charcot.); 1
Charcot
.—Sur quelques arthropathies qui paraissent dépend
sionné par la paralysie des muscles qui enveloppent la jointure. 1.
Charcot
, — Sur quelques arthropalhies, etc., première par
Je suis porté à croire, d'après cela, qu'elles ne sont 1. Comparez:
Charcot
. — Ataxie locomotrice progressive. Ar thropathie
ité par 0 XVyss. Archiv. der Heilkunde, 1871 ; voir la note p.563 . —
Charcot
, Névralgie du nerf cubital. Éruptions de Zona sur
bw/i der Chirurgie, I. I, p. 111. 3. Vulpian, toc. cit., p. 7415.
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. 10 certain temps, une
Recherches de Par-kinson. — Travaux français : MM. G. Sée, Trousseau,
Charcot
et Vulpian. — La paralysie agitante prend droit
s accusés chez Perd..., Marie-Anne, qui est encore dans le service de
M. Charcot
(salle S t-Alexandre, n° 9). La tête, fixée en qu
inclinaison latérale existe aussi chez une autre malade du service de
M. Charcot
, nommée, Bau... (Note de la 2e édition). (Voir Pl
-ment faisait encore défaut. Enfin, M. Gowers a donné communication à
M. Charcot
de l'observation recueillie par lui à l'Hôpital n
Eh bien, il est un moyen très simple de la mettre en évidence et que
M. Charcot
a employé dans ce cas : la malade étant debout, i
ccasion de vous faire 1. Depuis que cette leçon a été laite (1868),
M. Charcot
a eu l'occasion de pratiquer trois autopsies nouv
ov. 1872). Ce mode de traitement, employé par nous dans le service de
M. Charcot
, n'a donné aucun résultat satisfaisant (Pro-grès
si prescrit le bromure de camphre chez deux malades du service de M .
Charcot
, atteintes de paralysie agitante de-puis plusieur
umon. Mais c'est principalement après l'ablation de celte membrane,
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. 13 ablation qui s'effe
Rokitansky ; Silzungs-ber. — R. M. Klasse, t. XIII, 1851, p. 136 ; —
Charcot
: Soc. de biologie, 1868; Bouchard. Soc. anal., 1
es trabécules du réticulum se sont notablement épaissies ; quel- 1.
Charcot
. — Société de biologie, 1868. quefois, elles on
ion. 2. Frommaun, 2 theil, pl. II, fig. 1. et passim. — 3. Fromman,
Charcot
. nous l'avons dit, à se substituer aux fibres o
1. Frommann, 2 theil., loc. cil., pl. IV, fig, 1, 2, 3.-2. Frommann,
Charcot
. axiles aumilieu des parties qui ont subi, au p
es sur-leurs bords de prolongements rameux; elles diffèrent enfin des
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. 14 fibres élastiques q
places des niasses globuleuses ayant l'apparence de la myéline. 2.
Charcot
. — Société de biologie, 1868. — 3. Charcot. — Ibi
arence de la myéline. 2. Charcot. — Société de biologie, 1868. — 3.
Charcot
. — Ibidem. 1868. transition. Or, sur ces points
t 1. Fi'ommann, loc. cit. — Vulpian. — Cours de la Faculté, 1868. —
Charcot
. — Soc. de biolog.. 1868. le fait initial, fond
liée dans les Archives de Physiologie (1873, p. 75), un des élèves de
M. Charcot
, M. Debove, est venu modifier les idées générale-
quelques points de la sclérose en plaques disséminées. Paris, 1869.
Charcot
. OEuvres complètes, t. i. 15 M. Vulpian, lorsqu
ure d'une malade, nom-mée Leru..., qui a succombé, dans le service de
M. Charcot
, à la sclérose en plaques. Cette femme est entrée
femme est entrée à la Salpêtriôre, le 24 septembre 1864. En mai 1865,
M. Charcot
recueillit le fragment suivant de son écriture. (
uquel bientôt vont succéder les larmes. 1. Une malade du service de
M. Charcot
, dont nous aurons à reparler par la suite, Dr...,
de men-tionner, chemin faisant, un certain nombre de symptômes que
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. 16 j'ai pris soin d'él
une malade nommée Vincent, qui a succombée à une sclérose en plaques.
M. Charcot
a observé une atrophie des muscles de l'éminence
ulpian, communiquée par M. Char-cot ; — Observation de la nommée Bry (
Charcot
) : Observation de Nicolas, présentée à la Société
ymptômes, et, de plus, il est des cas où, jusqu'à la terminaison 1.
Charcot
. —Noie sur la temp, des parties centrales dans l'
ie, t. IV, 1867, p. 92 et Œuvres eompl., t. IX, p. 91). — Voyez aussi
Charcot
. — Leç.sur la thermo. clinique, publiées par Joff
hermométriques sur les maladies du système nerveux. Paris, 1870-73.
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. 17 fatale, le tableau
té de Biologie, 5e série, t. I, p. 107. Paris, 1870. 2. Voir ce que
M. Charcot
a dit à ce sujet dans ses leçons faites à la Salp
etrouvons le plus souvent les affections terminales indiquées par Al.
Charcot
. Il ressort de la statistique que nous avons dres
vice de M. Vulpian et est morte le 7 février 1871, dans le service de
M. Charcot
(32 ans). De 14 à 21 ans, étourdissements suivis
re, bonne d'enfants, est entrée le 17 février 1871 dans le service de
M. Charcot
. Aux symptômes ordinaires de la sclé-rose en plaq
iation était peu distincte et monotone. 2° Une malade de service de
M. Charcot
, Nie... Julie, remarqua un certain degré de faibl
dicaments ont été employés sans plus de succès que ceux qu'à énumérés
M. Charcot
: tek sont l'huile phosphores, Viodure de phosphét
plaques. Comme ils ne font que confirmer les descriptions tracées par
M. Charcot
, nous nous bornerons à une simple énumération : 1
endice, a» IV.) TROISIÈME PARTIE Hystérie. — Hystéro-Epilepsie.
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. NEUVIÈME LEÇON De l'
sur les maladies du système nerveux, t. II, l''e et 2° parties. 2.
Charcot
, loc. cit., t. II, l™ partie. Parmi ces cas, il
mis-sements s'élève, d'une manière générale, quand celle des urines
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. . . 19 s'abaisse et in
question en suspens (1). 1. Depuis que cette leçon a été faite par
M. Charcot
(juin 1872), M. Ch. Fernet a communiqué à la Soci
médicale, 17 avril 1873, p. 566.) Après avoir résumé les opinions de
M. Charcot
, M. Ch. Fernet rapporte une observation intéressa
essent le 3e et le 4°. » « Voulant s'assurer, comme l'a indiqué Al.
Charcot
, si les vomissements ne pourraient pas être imput
a note, les nom-breux points de contact qui existe entre la malade de
M. Charcot
et la sienne. — Nous citerons encore une thèse
une autre J. Archives générales de médecine, 1864, t. I, p. 385.
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. 20 maladie. Son existe
ans le Progrès médical des 23 janvier et G février 1875, une leçon de
M. Charcot
sur VUémichorée post-hémiplégique. (Notede la 2"
tion clinique dans un cas que nous avons recueilli dans le service de
M. Charcot
(Progrès médical, 1873, p. 244), et dans les expé
ous, Lorry etPujol,qui ont plus particulièrement relevé l'existence
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. 21 des douleurs hypoga
re ces leçons en français par notre ami le Dr Aigre, alors interne de
M. Charcot
. (B.). 2. P.-C. Skey. — Hysteria..., Local or s
nt s'en faut, ne m'appartient pas ; peut- 1. Sur les indications de
M. Charcot
el sur les nôtres, M. Poirier a imaginé im^on)coi
uire un amendement réel dans les tourments de l'attaque hystérique.
Charcot
. Œuvres complètes, r. i. 22 X. Vous avez cert
es contorsions. (Dessin fait par M. P. iticher, d'après un croquis de
M. Charcot
). à un délire qui roule évidemment sur les évén
matérielle appréciable des fais-ceaux latéraux. (Dubois, loc. cit. —
Charcot
et Joffroy. Arch. de Physiologie 1867. p. 632 et
t. — Charcot et Joffroy. Arch. de Physiologie 1867. p. 632 et suiv. —
Charcot
. Leçons sur les Maladies du Système nerveux, 1« é
mpagnent. (Note delà 2° édition.) 1. Aux observations rappelées par
M. Charcot
, il convient d'ajouter la sui-vante, recueillie à
explicites. « Les accès d'hystérie », dit M. Tissot, « ressemblent
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. Si quelquefois beaucou
, ils apportent une nouvelle preuve à l'appui des opinions émises par
M. Charcot
dans la présente leçon. 1873. —9 février. Depui
notre ami E. Teinturier, de l'observation de Wim-derlich, à laquelle
M. Charcot
fait allusion. Observation. — Huit semaines de
ans les ovaires. (Wunderlich. — Arch. der Heilkunde, t. V, p. 210.)
Charcot
. OEuvres complètes, t. i. 25 QUATORZIÈME LEÇON
27. — Dessinée par P. Richer, d'après un croquis fait sur nature par
M. Charcot
. et le tronc, tout à fait étendus, retombent su
g. 28. —Dessinée par P. Richer d'après un croquis fait sur nature par
M. Charcot
. rieuxsur lequel jereviendrai dansun instant. L
comme nous avions commencé à le faire dans le premier volume. (B.).
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. 26 cessation d'acciden
e à la Salpêtrière le 31 décembre 1872, est entrée dans le service de
M. Charcot
, salle Saint-Alexandre, n° 3, le 12 no-vembre 187
nérale de la malade dans la station verticale, est celle qu'a décrite
M. Charcot
dans fa Leçon V (p. 169) et que représente si fid
sion est aussi évidente ; pour la constater, il suffît, comme le fait
M. Charcot
, de tirer légè-rement la malade par sa jupe. Auss
u tremblement dans la maladie de Parkinson. (Paralysie agitante).
M. Charcot
a consacré une bonne partie de sa leçon du 19 nov
sur différents points de l'histoire de cette maladie. Tout d'abord,
M. Charcot
s'est attaché à montrer que la dé-nomination de p
ostic peut être rigoureusement établi. Ces considérations ont amené
M. Charcot
à proposer d'ap-peler cette affection: maladie de
r, en 1817, a sérieusement attiré l'attention sur elle. On sait que
M. Charcot
s'est efforcé de séparer nettement la paralysie a
tous les esprits et, en particulier, on a contesté les assertions de
M. Charcot
relatives aux caractères du tremblement de la têt
Charcot relatives aux caractères du tremblement de la tête. D'après
M. Charcot
, le tremblement de la maladie de Par-kinson début
enrespectantcependantlatête(l) ». Aun autre endroit de ses Leçons,
M. Charcot
répète que, dans la règle, la tête etle cou reste
tremblement dans la sclérose en plaqueset dans la paralysie agitante,
M. Charcot
s'exprime ainsi à ce sujet à propos de deux femme
néral dans la paralysie agitante. (Loc. cit., p. 203). L'opinion de
M. Charcot
, on le voit, est exprimée d'une façon formelle. Q
ommunique sa monture. Pour prouver que cette explication est vraie,
M. Charcot
a eu l'idée défaire disposer sur la tête de ses m
mmobiles. 11 ressort de là bien évidemment que l'opinion formulée par
M. Charcot
est rigoureusement exacteetque, dans la règle, la
tète ne tremble pas, du moinsparelle-meme. Un autrepointsur lequel
M. Charcot
abeaucoup insisté, c'est que le tremblement ne co
forme fruste par excellence, pour employer les ex-pressions mêmes de
M. Charcot
, dans laquelle le tremblement est si léger qu'il
t complètement défaut. Déjà dans la première édition de ses Leçons,
M. Charcot
a parlé de cette forme fruste. Il a rapporté somm
lle le tremblement n'avait paru que quatre ans après le début du mal.
M. Charcot
a rappelé ces faits et, de plus, il en a cité deu
qui a passé ina-perçu du malade. — Caractères de l'écriture. (Obs. de
M. Charcot
). M. R..., associé d'une grande maison de tapis
t surtout marqué ta nuit, au lit : les membres ont à peine pris une
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. 27 attitude qui paraît
ne époque où, chez M. R____ tous les autres caractères assignés par
M. Charcot
à la paralysie agitante étaient présents et avaie
ture normale. — Absence complète de tremble-ment (Obs.communiquée par
M. Charcot
.) Mme G..., âgée de 40 ans environ, estattachée
acultés intellectuelles, dans la maladie de Parkinson, sont intactes.
M. Charcot
ne manque aucune occasion de signaler cette inté-
V(p. 167), nous ajouterons les suivants empruntés à la collection de
M. Charcot
et à la nôtre. L'écriture des malades diminue sou
normale au Fig. 30. premier abord. Mais, si, comme le recommande
M. Charcot
, on Fexamime à la loupe, on s'aperçoit aisément q
l'une de ses conférences cliniques de l'an dernier à la Salpêtriere,
M. Charcot
a fait voir à ses auditeurs une malade atteinte d
us allons parler maintenant et dont l'observation a été communiquée à
M. Charcot
par le docteur E. Wilson, l'amélioration a été pl
-tionnée. Cette observation vient justifier les réserves émises par
M. Charcot
(p. 271), en ce qui concerne \e pronostic àe lasc
la lésion, mêmes aux périodes avancées de la maladie, résistance que
M. Charcot
a cru pouvoir invoquer pour rendre compte de la l
r Leçon X). Dans une de ses dernières conférences à la Salpêtrière,
M. Charcot
a appelé l'attention de ses auditeurs sur quelque
re à la suite de recherches entreprises sur les malades du service de
M. Charcot
. 1. Traité cliniq. et thérap. de l'hystérie, p.
mune, en ce sens que certains malades, et le cas n'est pas très rare,
M. Charcot
s'en est assuré encore tout récem-ment, persisten
même du bleu s'est déjà éteinte; mais on peut, quant à pré-sent, dit
M. Charcot
, considérer comme une règle absolue que 1. Land
pré-senter la même ^mobilité classique que les autres manifesta- 1.
Charcot
. — Leçons- sur les localisa/ions cérébrales,]). 1
des faits exceptionnels lescas relatés par Pomme, Allègre, Landouzy.
M. Charcot
ne l'a guère observée plus sou-vent que M. Brique
. Une combinaison très intéressante au point de vue clinique et que
M. Charcot
a rencontrée plusieurs fois est la suivante: La m
t ce-pendant pas en propre à l'hystérie. C'est là un point sur lequel
M. Charcot
a, depuis longtemps, beaucoup insisté. Il a montr
surface du cerveau, soit encore sur toutes les parties à la fois. M
Charcot
, dans cette même conférence, a insisté sur un aut
que d'une grande marée nerveuse, en étatdemal, ou sort d'une crise.
M. Charcot
a présenté à ses auditeurs et interrogé devant eu
dressée par M. Galezowski et sur lequel ce dernier, à l'invitation de
M. Charcot
, est entré devant l'auditoire dans quelques dével
stéro-épilepsie, c'est-à-dire de l'hystéro-épilepsie à crises mixtes.
M. Charcot
défend depuis longtemps l'opinion qui ne voit dan
enclature, à quelle époque remonte-t-elle ? On l'ignore absolument.
M. Charcot
, contrairement à cette opinion, s'attache à dé-mo
ment du côté hémianesthésique ainsi que cela a lieu, comme l'a montré
M. Charcot
, dans les pé-riodes de calme. Il s'ajoute parfois
même se sert d'un mot qui se rap-proche beaucoup de celui employé par
M. Charcot
, puisqu'il désigne sous le nom d'expressions pass
rouvera là un puissant argument en faveur de l'opinion soutenue par
M. Charcot
qui ne voit dans l'hystéro-épilepsie que le degré
es formes frustes ou des variétés de l'attaque d'hystéro-épilepsie.
M. Charcot
admet que J'attaque d'hystéro-épilepsie peut se m
prennent un développement exagéré, et justifient la dénomination que
M. Charcot
a donnée à cette variété. Les malades, en effet,
que les choses se sont produites dans les 5 ou 6 cas, recueillis par
M. Charcot
, dans sa pratique de la ville. 11 semble, d'apr
pour le rhumatisme articulaire aigu ou chronique,la goutte, ainsi que
M. Charcot
l'a fait plusieurs fois ressortir (2). M. le prof
ves of certain local nervous affections (London, 1837(3); il est, dit
M. Charcot
, peut-être lepremierau-teurqui ait, d'une façon u
a guérison eut lieu cependant au bout cle deux ans, spontanément. »
M. Charcot
a fait allusion, dans sa leçon à un certain nombr
état le 31 mai, c'est-à-dire six semaines après l'accident, alors que
M. Charcot
vit la malade en consultation avec M. le professe
s divers, etc., persis-taient encore le 21 octobre, époque à laquelle
M. Charcot
, grâce à l'obligeance de M. le docteur Leroy des
ur ce sujet de Y hystérie locale traumatique meut se résumer, suivant
M. Charcot
,, dans les propositions suivantes : Une hyperes
s, la conclusion qui semble résulter des observations recueillies par
M. Charcot
, et, àce propos, il cite le cas d'une malade de s
as, par exemple, pour la paralysie agitante ou maladie deParkinson.
M. Charcot
a rapporté dans le temps l'histoire d'une dame qu
nt re-produites, à quelques modifications près, chez deux malades que
M. Charcot
a présentés à ses auditeurs. En 1873, une nommé
de Rubens. Dans une de ses dernières conférences à la Salpêtrière,
M. Charcot
a fait passer sous les yeux de ses auditeurs la c
nt s'en faut, bannie de ces assemblées. Dans cette même conférence,
M. Charcot
a montré un autre dessin qui concerne eucore l'hi
ion de celte malade à la page 539). Eau forte du D1' P. Richer. V
Charcot
, Œuvres complètes Tome l- pi, I •A.Delahaye a
es complètes Tome l- pi, I •A.Delahaye a- Lecrosnier, Editeurs,
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. SU PLANCHE II PARALY
ANCHE II PARALYSIE AGITANTE Attitude de la même malade en 1879.
Charcot
, Œuvres complètes Tome I, PL II A"Delahaye Le
ndue en 24 heures et la ligne rouge celle des vomissements. d p .
Charcot
, oeuvres complètes, Tome I, Pl.IX 1871. Juill
0 Vomissements looo gr. A. Delahaye et E. Lecrosnier, Editeurs.
Charcot
. Œuvres complètes, t.. i . 31 PLANCHE X isc
tement au-dessous de quelques da-tes, marquent les jours d'analyse.
Charcot
,œuvres complètes. Tome 1, Pl. X. 1872 Septemb
atement au-dessous de quelques da-tes marquent les jours d'analyse.
Charcot
, oeuvres complètes. Tome I, Pl. XI. 1872. Mar
. La ligne rouge indique la quantité d'urine rendue en 24 heures.
Charcot
, œuvres complètes. Tome I, Pl.XII. A. Delahay
Recherches de Par-kinson. — Travaux français: A1M. G. Sée, Trousseau,
Charcot
et Vulpian. — La paralysie agitante prend droit
Aura hystérique, 286, 325 ; — Ca-ractères de 1' —, 325 ; — 1"' nœud
Charcot
. Œuvres complètes, t. i. 32 ou douleur ovarie
Leçon du 12 mai 1891. —Recueillie par MM. Souques et J.-B. Oharcot.
Charcot
, t. ii. 1 gère faiblesse du membre inférieur ga
e, en 1877 (Revue mensuelle, p. 454) : « Une lésion destructive (1)
Charcot
et Pitres. —Nouvelle contribution à l'étude des l
lésions du lobule paracentral). Arch, de Neurol. 1883, p. 273. (2)
Charcot
et Pitres. — Etude critique et clinique de la doc
litique, in Bulletins de la Société anatomique, 1890, p. 339. , (8)
Charcot
. — Leçons sur les maladies du système nerveux, t.
du corps, sans jamais atteindre les membres du côté opposé, et que le
Charcot
, t. ii. 2 malade ne perdait connaissance qu'apr
xpérimenté sont des femmes hystériques du service de M. le professeur
Charcot
, que notre maître a bien souvent, depuis plusieur
lades est une nommée W...qui est à la Salpêtrière, dans le service de
M. Charcot
, depuis plus de dix ans. C'est une grande hystéri
pnotisme. Son nom revient à chaque instant dans les divers travaux de
M. Charcot
et de ses élèves sur l'hystérie et sur l'hypnotis
qui les ressent. Le fait dominant, au point de vue qui nous occupe,
Charcot
, t. 11. 3 c'est que dans le somnambulisme le ma
des passionnelles qui caractérisent, dans la nomenclature établie par
M. Charcot
, la troisième phase de l'attaque hystéro-épilepti
re. Dans la suite survinrent des maux de tête et des douleurs (1)
Charcot
. — Leçons du Mardi, t. II, p. 3*26. (2) Ségal.
nais... Tombouctou... le désert... des chameaux... » (Il y avait à ce
Charcot
, t. ii. 4 moment dans le service de M. Charcot
x... » (Il y avait à ce Charcot, t. ii. 4 moment dans le service de
M. Charcot
une jeune négresso de Tombouctou, atteinte d'hyst
erette par la fenêtre. Déjà, avant nos recherches, M. le professeur
Charcot
dans une leçon clinique avait montré qu'en s'adre
n° XXVIII.) (G. G.) ment, ainsi que le soutient depuis si longtemps
M. Charcot
. En résumé, nous pouvons conclure des faits que
s allons nous placer. (1) Revue par M. Blocq, d'après les leçons de
M. Charcot
. Extrait de la Gazette hebd. de méd. et de chir.
exposons, en premier lieu, la division clinique que vient de formuler
M. Charcot
, car il nous sera commode de la suivre dans la de
menuet, puis va se recoucher. Telle aussi, cette malade observée par
M. Charcot
, qui, au milieu d'un cauchemar où elle rêve de vo
al, cas dont M. Ribot (2) a rapporté de curieux exemples, et auxquels
M. Charcot
(3) a consacré plusieurs de ses leçons. Leur di
nt celles qui ressortent du petit mal ; c'est le petit automatisme de
M. Charcot
. Tantôt le trouble dont il s'agit ne dure que que
(2) Ribot. — Les maladies de la mémoire, p. 54, Paris, 1886. (3)
Charcot
. — Leçons du Mardi, 1887-1888, p. 165; 1888-1889,
8-1889, p. 303. pleine classe, comme s'il allait se mettre au lit. (
Charcot
). Il s'agit enfin, d'autres fois, d'actes crimi
ît considérablement dès qu'il s'agit des autres formes, de celles que
M. Charcot
a proposé de désigner sous le nom d'automatisme c
Il existe dans la science un certain nombre d'histoires analogues.
M. Charcot
les considère comme des « équivalents épileptique
e de l'attaque hystéro-épileptique, celle qui dans la nomenclature de
M. Charcot
porte le nom de phase des attitudes passionnelles
r, au cours de cette même leçon, dont nous reproduisons l'expression,
M. Charcot
a pu montrer à ses auditeurs divers malades dont
et pré- (I) Voir plus haut no XXVI et plus loin n» XXVIII. (G. G.).
Charcot
, t. il 5 lude-t-il à la scène qu'il va jouer pa
vient que des périodes normales antérieures. (Ribot.) La malade que
M. Charcot
a présentée à son cours comme type de cette catég
ui permet de se rendre compte de la place nosographique de ces états.
M. Charcot
fait remarquer, avec raison, qu'il existe une sor
lisme hypnotique nous ne dirons que quelques mots. Nous rappelons que
M. Charcot
désigne ainsi l'une des trois périodes du grand h
le noter en passant, autant d'arguments à l'appui de cette opinion de
M. Charcot
formulée autrefois, et maintenue en dépit des ass
er l'état de mal épileptique (état de mal hystérique épileptiforme de
Charcot
) (3). On peut voir aussi, et ce sont (1) Par Ge
Georges Guinon. — Travail publié dans le Progrès médical, 1891. (2)
Charcot
.—Leçons sur lesmaladies du système nerveux, 1S80,
e complète. Nous reviendrons d'ailleurs plus loin sur ce point. (3)
Charcot
. — Tribune médicale, 1885, leçon publiée par Bl.
grande attaque d'hystérie se trouvent déjà signalées dans le livre de
M. Charcot
que nous citions plus haut. Mais c'est surtout cl
r sur la forme délirante de l'attaque (1). Dans ses leçons cliniques,
M. Charcot
avait fait remarquer maintes fois combien cette a
s la catégorie du délire de la phase passionnelle de l'attaque auquel
M. Charcot
propose d'attribuer la dénomination de somnambuli
ques-uns. L'un d'eux a trait à un jeune collégien de 20 ans, envoyé à
M. Charcot
par M. Hil-lairet (2). Celui-là se promenait, par
ns visuelles. Il grimpait après le bras de son médecin, le pre- (1)
Charcot
. — Leçons sur les maladies du système nerveux. t.
ns sur les maladies du système nerveux. t. III, p. 232 et suiv. (2)
Charcot
. — Leçons du Mardi, t. I, p. 199. ¦ nant pour u
ment tel que, devant l'émoi des habitants, le maire du pays écrivit à
M. Charcot
pour demander son admission àla Salpêtrière. Nous
rse, à Bastia. Envoyé à la Salpêtrière par son médecin pour consulter
M. Charcot
, il présentait dès son arrivée tous les signes de
e quarante-huit heures à la Salpêtrière, où elle avait été amenée par
M. Charcot
, qu'elle était venue consulter la veille à sa con
euse pendant trois ou (1) Cette observation date de juillet 1889.
Charcot
, t, il 6 quatre jours. Dès le lendemain de l'ac
ue quelques cris inarticulés; alors elle cherche à mordre la jambe de
M. Charcot
, court de nouveau, passant sous la table, renvers
en tout semblable et qui avait eu lieu la veille, dans le cabinet de
M. Charcot
. Après l'attaque, rien de particulier à noter.
ant ces faits, à quelles conséquences saugrenues et folles peut (1)
Charcot
. — Des tremblements hystériques, leçon recueillie
s inutile, n'est-ce pas? Je n'y arriverai pas. » S'adressant à lui,
M. Charcot
lui demande alors : « Où sommes-nous ici ? » R. «
ractère important, et le délire hystérique. (1) Richer. — Loc. cit.
Charcot
, t. ij 3° De plus, il est à remarquer que le to
nous nous proposons d'étudier ultérieurement. Enfin M. le professeur
Charcot
, faisant allusion à ce cas de M. Pitres, affirme
rogènes et hypnogènes ; des attaques de sommeil. Bordeaux 1885. |3)
Charcot
. — Leçons du Mardi, t. II, p 326. Nous avons pu
i l'a recueillie en 1888, alors qu'il était interne de la clinique de
M. Charcot
. Nous lui adressons nos meilleurs remerciements.
de la peau du bras, de la jambe : t Voyons, Charles ! taquin '. Je
Charcot
, t. ii. 8 ne vous parle pas, Monsieur... J'aime
'est très curieux... Il y a un tas de médecins et puis le professeur,
M. Charcot
... Il me fait peur, cet homme-là. Quand il vous c
in du 10e; virgule à la fia du 118; point à la fin du dernier vers.
Charcot
, t. ii. 9 points de cette page blanche, là une
op s'aventurer, à l'aura céphalique de l'attaque normale, décrite par
M. Charcot
? Joignons à cela les caractères du délire lui-mê
ivait son livre. Quoi qu'il en soit, conformément à l'enseignement de
M. Charcot
, il adopte catégoriquement la classification suiv
s bien connus de ces dormeuses dont le sommeil dure des mois entiers.
M. Charcot
en a montré plusieurs dans ses leçons ; M. Gilles
meil hystérique. (Arch, de Neurol., 1888, t. XV, p. 93 et 266). (2)
Charcot
. — (Tribune méd., 4885). Leçon publiée par Edward
ription autrefois donnée de la grande attaque hystéro-épileptique par
M. Charcot
ne constitue pour ainsi dire qu'une sorte d'étalo
te et corrigeait des mots imaginaires sur une page blanche. (G. G.)
Charcot
, t. il 10 attaque convulsive. L'expérience avai
d'attaque. Il en était de même chez une autre malade, grande hysté-
Charcot
, t. ii. H rique, qui a de temps en temps des pé
jet, où la question est traitée dans tous ses détails. (G. G.). (3)
Charcot
.— Leçons sur les Maladies du système nerveux, t.
1891, n's 20, 21, 23, 26, 29 et 34 et plus haut no XXVIII, p. 70).
Charcot
, t. u 12 passionnelles peut, dans certains cas,
e deux nouveaux cas fort intéressants qui appartiennent au service de
M. Charcot
, à la Salpêtrière. * Ce n'est pas d'aujourd'h
ndre avec l'aide de Mlle S. Feinkind, élève du service de clinique de
M. Charcot
, seraient nécessaires pour arriver à se faire une
ntaneo, autonomo e delle suggestioni. (Giorn. di Neuropath , 1885).
Charcot
, t. ii. 13 forme un peu anormale et mélangée de
ns hypnotiques dans l'attaque hystérique n'est point très rare et MM.
Charcot
, Richer, Pitres en ont rapporté d'assez nombreux
. Bonamaison de somnambulisme spontané, et que nous appellerons, avec
M. Charcot
, attaque de vigilambulisme ou dédoublement hystér
sente toujours sous la forme typique de la grande attaque décrite par
M. Charcot
, ou bien succéder à une attaque de catalepsie. Da
i publiés de dédoublement de la personnalité d'origine hystérique, je
Charcot
, t. ii. 14 ne comprendrai pas le cas de M. Tiss
ort à l'asile de Vaucluse. (1) Voir plus haut (n° XXIX) la leçon de
Charcot
: Du vigi-lambulisme hystérique (dédoublement hys
e (1) L'observation de cette malade a été publiée dans une leçon de
M. Charcot
sur l'œdème bleu hystérique. V. t. I, n° V, page
n homme, qui s'était présenté à nous comme docteur en médecine et que
M. Charcot
avait autorisé à suivre le service. Cet homme n'é
e bristol, une hallucination visuelle, par exemple la photographie de
M. Charcot
, tel qu'il se présente le plus habituellement aux
end en souriant et la met de côté, en disant que c'est le portrait de
M. Charcot
. Si on regarde alors au verso, on y retrouve la m
normal. Disons tout de suite ici, bien que ce soit empiéter sur la
Charcot
, t. ir. 15 description de l'état A, que la mala
ue où Marguerite était liée avec notre autre vigilambule, Marie H...,
M. Charcot
les fait venir toutes deux dans son cabinet. Auss
de mal pendant cette période. (1) Voir plus haut, n° XIX, p. 168 :
Charcot
. — Du vigilam-bulisme hystérique. Je passe rapi
t Marie H... à cette époque et qui ont été décrits plusieurs fois par
M. Charcot
dans ses leçons cliniques (1) et ont fait l'objet
tats de mal, Marie H... reste dans le service. A cette époque (1885),
M. Charcot
, après ses mémorables leçons sur l'hystérie mâle
hez Marie H.., et on s'aperçut qu'elle était dans un état anormal que
M. Charcot
caractérisait en ces termes dans les leçons déliv
généralisée, complète, permanente, et, chez elle, les attaques (1)
Charcot
. — Etat de mal hystérique épileptiforme. Leçon re
CI) P. Marie et Souza-Leite. — Progr. mèd., 16 décembre 1884. (3)
Charcot
. — Leçons sur les maladies du système nerveux, t.
us normaux, quand des observateurs aussi compétents en la matière que
M. Charcot
, par exemple, ont pu passer des années à côté d'e
e cas de Marguerite D..., que nous connaissions depuis quelques mois,
M. Charcot
examina avec soin l'état mental de Marie H... et
é (25° à gauche, 30° à droite) (Fig. 7) avec dyschromatopsie complète
Charcot
, t. ii. 16 des deux côtés pour toutes les coule
sence dans la salle des cours, un jour qu'il assistait à une leçon de
M. Charcot
relative à Marie H... A la Salpêtrière même ell
f de clinique, mais point auparavant. Inutile de dire qu'elle connaît
M. Charcot
. Quant à moi, elle m'a connu, en 1885, alors que
ppelle bien la succession des divers internes et chefs de clinique de
M. Charcot
. Il en est de même pour les malades qui ont séj
omnambulique, suggestibilité. Le passage plus haut cité des leçons de
M. Charcot
montre l'existence déjà ancienne de ces phénomène
e ; qui m'a amenée ici ?... Mais je ne connais personne ici 1 » (sauf
M. Charcot
et moi, comme on le verra plus loin). Elle cherch
B sur les personnes qu'elle connaissait autour d'elle, avait désigné
M. Charcot
, moi et les élèves du service. On la place ensuit
t la même question, pensant qu'elle allait montrer, comme d'habitude,
M. Charcot
et moi. Mais, après nous avoir désignés, elle jet
tte malade est encore actuellement (décembre 1892) dans le service de
M. Charcot
, dans la même situation depuis plus de sept ans.
e méconnus. C'est ainsi que nous avons eu en 1885, dans le service de
M. Charcot
, une jeune fdle de seize ou dix-huit-ans qui étai
e, dans lequel elle n'a point à craindre de pareilles mésaventures.
Charcot
, t. ii. 17 Mais ce n'est pas tout, et cette sen
. Dufay, parce qu'elle présente, au point de vue spécial des idées de
M. Charcot
, crue je soutiens ici. un intérêt tout particulie
n faire l'objet d'une publication spéciale et les rapporter dans leur
Charcot
, t. ii. 18 ensemble. Je vous dirai simplement q
nnaissez-vous ? R. — (Après une courte réflexion)... Oui, vous êtes
M. Charcot
,.. Je suis donc à Paris ? D. — Avez-vous déjeun
ecin ; elle m'a regardé, a saisi la ressemblance et a dit : Vous êtes
M. Charcot
. Nous l'avons maintes fois obligée de faire cette
précédente, lesquels sont bien en rapport avec le pronostic porté par
M. Charcot
. Tout d'abord M. Janet put fournir, par des pro
nt le pronostic qui avait été porté dès le début par M. le professeur
Charcot
. (G. G.). Association du Tabes avec le Diabète
ges Guinon" et A. Souques. Travail de la Clinique de M. le professeur
Charcot
, publié dans les numéros 66 et 67 des Archives de
sens que nous emploierons les deux termes : diabète et glycosurie.
Charcot
, t. ii. 19 une relation de cause à effet entre
s douleurs fulgurantes mentionnées par notre maître, M. le professeur
Charcot
, et par MM. Raymond et Oui mont4, était bien de n
cliniques. Dans une leçon récente \ notre maître, M. le professeur
Charcot
, parlant des rapports du diabète avec le tabès, s
XIII, Sur un cas de paraplégie diabétique. (Leçon de M. le professeur
Charcot
publiée antérieurement dans : Arch. de Neurol., t
de tableaux que nous devons à l'extrême obligeance de notre maître M.
Charcot
; ils se passent de commentaires. TABLEAU IV g
bleau est celui du malade qui fait le sujet de la leçon déjà citée de
M. Charcot
sur la paraplégie diabétique (t, I, n° XIII, p. 2
ion; la malade qui en est l'objet a été examinée par M. le professeur
Charcot
tout récemment. ¦ Observation I (personnelle)
ontanées, etc. I Fils. Diabète. (1) Il y a déjà vingt-cinq ans,
M. Charcot
mentionnait les rapports du tabes avec le rhumati
ncolie. I Mère. Diabète. Mélancolie. I Fils. 32 ans, mu par
M. Charcot
avec M. Fournier. Tabès, s ans après la syphilis.
Mère. Tuberculose. Tan te. Hémiplégie. Cousin. Impulsif.
Charcot
, t. h. Rec .. Tabes. 20 On voit par les exe
quatorze dans la même statistique3. Nous avons rappelé plus haut que
M. Charcot
avait vu plusieurs fois coexister le tabès et le
soit à la clinique, soit dans la clientèle privée de M. le professeur
Charcot
. Observation III. A. Lem..., cinquante-neuf a
e 19 juin 1890, à Ja Salpêtrière, dans le service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires.— Son père, très obès
des Quinze-Vingts, où on lui avait dit de venir à la consultation de
M. Charcot
. Début du tabès.— En juin 1889, il a été pris d
te par les yeux est la règle dans l'espèce. Le fait a été signalé par
M. Charcot
, par Benedikt et tout récemment étudié par M. Mar
es que les autres races. C'est l'opinion de nombreux médecins, de MM.
Charcot
et Bouchard, etc.. et cette opinion contre laquel
ns symptômes tabétiques, les douleurs fulgurantes en particulier et
Charcot
, t. ii. 21 la démarche. Mais celie-ci reste enc
ue survient la seconde, n'est pas chose exceptionnelle. Notre maître,
M. Charcot
, nous a dit avoir vu plusieurs fois des faits de
douleurs fulgurantes. — Elles ont été mentionnées dans le diabète par
M. Charcot
, par MM. Raymond et Oulmont, Bernard et Féré, etc
ui, quand elle est typique, permet de faire le diagnostic à distance.
M. Charcot
, dans une leçon déjà citée sur un cas de paraplég
ans la majorité des cas de pseudo-tabes jusqu'ici observés » '. (1)
Charcot
. — Loc. cit. 3° Les troubles vésicaux. Si la ré
urie ta-bétique. Les phénomènes bulbaires observés jusqu'ici sont :
Charcot
, t. ii. 22 1° 1Janesthésie dans le domaine du t
ncore, grâce à l'obligeance extrême de notre maître, M. le professeur
Charcot
, qui s'est livré à des recherches de ce genre sys
qui a été recueillie dans le service de notre maître M. le professeur
Charcot
. Elle est tout à fait analogue à l'observation VI
si qu'il travaillait encore le 11 Janvier au soir, sans s'être aperçu
Charcot
, t. ii. 23 de sa diplopie, qui ne fut décelée q
é dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1893, n° 1). (2)
Charcot
. — Revision nosographique des atrophies musculair
té fournis en faveur de cette idée, renvoyant pour cela à la leçon de
M. Charcot
et à notre travail précédemment cité. La démonstr
morts en bas âge d'affections inconnues de lui. Une soeur est morte
Charcot
, t. il. 24 à 18 ans de la fièvre typhoïde. Il r
escence. {Arch . géh. de méd., juillet 1891). (2) Voir à ce sujet :
Charcot
. Clinique des maladies du système nerveux; leçons
athie progressive primitive. {Soc. méd. des Hôp., 20 février 1891).
Charcot
, t. ii. 25 consiste en une sorte de déplacement
les femmes épileptiques admises à la Salpêtrière, dans le service de
M. Charcot
. Nos recherches ne portent pas indifféremment s
caractéristiques de Tépilepsie. « Quand vous entendrez parler, disait
M. Charcot
, de crises convulsives se passant dans les water-
ccès, exclusivement nocturnes, ne sont plus précédés d'aucune aura.
Charcot
, t. ii. 26 Observation XV. Ren... Henriette, 16
e coucher à terre et de laisser ainsi, sans crainte, venir l'accès.
Charcot
, t. ii. 27 Observation XXXVI. Fr... Léonie, 40
ps les malades intéressants qui font le sujet des leçons cliniques de
M. Charcot
, une fois qu'il les a admis à l'hospice, afin de
malades ont commencé à emplir la salle d'attente, MM. les internes de
M. Charcot
pratiquent un premier examen. Les malades sont tr
sible une première liste de diagnostics. A son arrivée à l'hospice,
M. Charcot
trouve cette liste prête et il choisit tout de su
ue, ait pu occuper exclusivement, en 1891, l'un des trois internes de
M. Charcot
. Ce n'est pas tout. A la policlinique se rattac
sée par MM. Souques, Hallion et J.-B. Charcot, internes du service.
Charcot
, t. ii. 28 Maladies organiques du cerveau ....
me I de cet ouvrage, p. fi»5 et suivantes. par plusieurs auteurs et
M. Charcot
y fait allusion dans la leçon publiée au début de
'un malade qui présentait tous les signes classiques de la maladie de
Charcot
et de plus avait des troubles oculaires tabétique
grand des cas d'amyotrophies d'origine articulaire et abarticulaire (
Charcot
), dont la connaissance a fait de grands progrès d
linique, un total de 3.168 consultations données à la policlinique de
M. Charcot
. Sur ce total, on compte 1.255 consultations donn
ar erreur dans le troisième volume des Maladies du système nerveux de
M. Charcot
. L'une d'elles a paru récemment dans les Archives
sthésie de notre malade sur le compte d'une seule et même affection —
Charcot
, t. ii. 30 hypothèse la plus simple — on ne peu
ystérique à la —, 438 ; Associations morbides diverses à la —, 439.
Charcot
, t. ii. Pseudo-hypertrophie musculaire : — da
LITIQUES 5 vés à la Salpêtrière dans le service de M. le professeur
Charcot
et dont l'o- rigine syphilitique était incontes
l marche lente et insidieuse. Nous avons observé dans le service de
M. Charcot
chez une jeune femme une paralysie presque comp
TAINS MUSCLES Dans une leçon publiée en mars 1885, M. le professeur
Charcot
, par l'étude clinique de plusieurs cas rassembl
te pour établir des conclusions basées sur ce fait : d'une part (1)
Charcot
. Révision nosog·aplcique des a'op/tt'M musculaire
rien ne s'oppose, il me semble, à ce que l'on (1) Voir à ce sujet :
Charcot
, Clinique des maladies du système nerveux ; leçon
er à la Salpêtrière, dans le service de mon maître M. le professeur
Charcot
, et dans lequel, le diagnostic de myopathie du ty
clure, conformément aux idées émises dès 1885 par M. le professeur,
Charcot
, M. P. Marie et moi, à l'identité des formes di
qu'une plus grande facilité de leurs mouvements. M. le professeur
Charcot
est alors appelé en consultation auprès de l'enfa
s caractères. C'est précisé- ment cette étrangeté qui fit porter il
M. Charcot
le diagnostic d'hystérie ; il se basait d'aille
i va suivre justifie si largement le diagnostic de M. le professeur
Charcot
que nous ne pouvons le passer sous silence. Au bo
condaire et, plus rarement même, à'amyotrophie : les travaux de MM.
Charcot
et Babinski (1), de Féréol (2), en font foi avant
ous les doutes, c'était le dénoûment inattendu que M. le professeur
Charcot
put saisir son origine, quand la contracture co
rs phénomènes du syndrome clinique habituel. « Il peut arriver, dit
M. Charcot
(1) très ex- ceptionnellement, il est vrai, que
ttre sous vos yeux deux exemples de ce genre. » Et M. le professeur
Charcot
insiste sur ce fait que dans les deux cas, bien
'hystérie a donc copié dans ce cas les types organiques décrits par
M. Charcot
. Nous pouvons fournir, croyons- nous, un second
roduits par elle L'hypothèse de l'hysléro-traumatisme vaut bien (1)
Charcot
, Leçons sur les malad. du syst. Hère., t. II, p.
ructives de l'écorce. Telle est l'importante remarque faite par MM.
Charcot
et Pitres dans un travail déjà cité sur « les l
ant croire à une tumeur cérébrale dans un cas d'Itstéro- épilepsie.
Charcot
(Leçons sur les mal. du syst. nerv. T. III, p. 90
convulsives faisant pen- ser à une lésion organique de l'encéphale.
Charcot
(Leçons sur les mal. du syst. nerf. T. III, p.
près cette observation, que l'enfant guérit, comme M. le professeur
Charcot
l'avait annoncé, mais seulement après qu'on eût
s quand on se trouve en présence de convulsions par- tielles. (1)
Charcot
. Leçons du mardi, 1888, p. 203. maladies organi
même sujet en l'appuyant de nouveaux faits (6) et M. le professeur
Charcot
a adopté pleinement sa manière de voir, dans un
22 novembre 1883. (6) G. Ballet, loco citato, no' 23 et 24. , (7)
Charcot
, Leç. sur les mal. du syst. nerv., t. III, p. 287
nce après une attaque d'hystérie. Lorsque ces contractures sont (1)
Charcot
, Leçons sur les mal. du syst. 7zei,v., t. 11, p.
e unique ou deux centres voisins, il y a lieu de décrire, après MM.
Charcot
et Pitres, des monoplégies pures et des monoplé
it été défendue jus- qu'en ces. derniers temps par M. le professeur
Charcot
. C'est seulement 38 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
mis l'existence de l'hémiplégie faciale cite : les hystéri- ques et
M. Charcot
s'est rallié définitivement ai cette manière de v
ui sont perpendi- culaires au grand axe du membre. M. le professeur
Charcot
qualifie cette distribution de morphologique, p
s images motrices graphiques. « Lorsqu'il y a, dit M. le professeur
Charcot
(1), suppres- sion de la mémoire pour l'articul
s caractéristique : nous voulons parler du mutisme hystérique. Mais
M. Charcot
lui-même, qui a le plus fait pour la création de
ulaire. Telle est du moins l'explication que donne M. le professeur
Charcot
des paraly- sies dissociées de la 3e paire : ce
d du cas d'hystérie simula- trice du syndrome de Weber rapporté par
M. Charcot
, nous aurions pu pla- cer un autre cas de paral
it plus d'un enfant comme dans les observations de M. le professeur
Charcot
. Observation XVI. Syndrome hystérique simulat
: hémiplégie hystérique des membres et faux ptosis du côté opposé. (
Charcot
, in op. cit., p. 329). (1) Charcot, Clin. des m
et faux ptosis du côté opposé. (Charcot, in op. cit., p. 329). (1)
Charcot
, Clin. des mal. du syst. nerf. G. Guinon, t. 1, p
ra- ture, avec conservation de la sensibilité du tact. C'est ce que
M. Charcot
a appelé la dissociation syringomyélique de la
nnées. A l'époque où parut en France sur ce sujet le travail de MM.
Charcot
et Gombault (Archives de physiologie, 1873), le
nombre de myélites aiguës, expérimentales ou traumatiques (Fromann,
Charcot
, Hayem, Joffroy etc.), La forme et la distributio
r à des lésions méningiti- ques ; dans certaines circonstances, dit
M. Charcot
, des oculistes de pro- fession en on[ fait une
e jeu des paupières se fait normalement. En outre, M. le professeur
Charcot
a signalé l'abaissement du sourcil du côté sain
le; les caractères de l'inscription sont de la môme époque. J. M.
Charcot
(de l'Institut). PAUL Richer. Le gérant : Louis
ordeaux 1887. Leçons cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme 1891.
Charcot
. Leçons du mardi. (8) Babinski, Soc. méd. des l
1892. Discussion à la suite de la communication de lI. Chauffard. -
Charcot
fils. Dissociation de la sensibilité dans les t
CAS D'AHTlIROPATI11E TABÉTIQUE DES DEUX HANCHES M. le professeur
Charcot
a rapporté, dans une leçon qui a été recueillie
ille et Forestier (2), enfin celle de M. Raymond (3). Comme le dit
M. Charcot
dans la leçon à laquelle nous faisions allusion :
ean Moneg, âgé de lil ans entre dans le service de M. le professeur
Charcot
, le 8 mars 1893. Antécédents héréditaires. Père
78 ans ; elle est bien portante. (1) 01uvî-es complètes de J. 11f.
Charcot
, L. If, p. 41. (2) Observation prise dans le se
1f. Charcot, L. If, p. 41. (2) Observation prise dans le service de
M. Charcot
et publiée dans la thèse de Fores- tier (Paris,
venir se fixer à la région épigastrique » suivant la description de
Charcot
. (1) Aphonie ou dysphonie transitoire qui durai
te observation la note que M. le D'' Richer, chef de laboratoire de
M. Charcot
, a bien voulu nous remettre au sujet de Jean Mo
anon des proportions du corps humain et note in leçon déjà citée de
M. Charcot
. SUR UN CAS D'ARTHROPATHIE TABÉTIQUE DES DEUX H
renferme, nous signale- rons tout spécialement l'observation de MM.
Charcot
et Gombault (1873), la première qui ait été pub
des altérations récentes constatées du côté de l'encéphale que MM.
Charcot
et Gombault s'appuient pour conclure à la nature
res. On observe aussi ce contraste dans la ma- ladie de Parkinson ;
Charcot
l'a constaté (1). Sans entrer dans l'explication
une de ses leçons du mardi à la Salpêtrière (1), M. le Profes- seur
Charcot
rapportant l'histoire d'un nommé Klein, israélite
nce, la misère et la maladie les oilt accompagnés partout. Ils (1,)
Charcot
, Leçons du Hardi, 19 fév. 1889, p. 347 et ses.
s mentales, la pro- portion est toujours considérable. Maintes fois
M. Charcot
est retenu sur LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE
oge, car depuis cette époque, il ne se passa pas une année sans que
M. Charcot
ne vit venir à lui des Israélites du même pays, e
fourmillements, engourdissements dans les membres. M. le professeur
Charcot
dans une clinique toute récente à la Salpê- tri
ez le ma- lade W... qui fit l'objet de la leçon de M. le professeur
Charcot
(ohserv.V), la rachialgie, après avoir occupé d'
cette évolution descendante dans beaucoup de cas. M. le professeur
Charcot
faisait récemment cette remar- que, en même tem
malade a été vue en consultation et traitée par MM. les professeurs
Charcot
et Fournier. Nous remercions vivement M. Gilles d
revers de fortune. Observation V. (Communiquée par le M. le prof.
Charcot
; le malade a fait l'objet d'une leçon clinique
mmerce. Entre à la Salpêtrière, dans le service de M. le professeur
Charcot
, salle Bouvier iio 20, le 18 mars 1893. Antécéd
LA SALPETRIERE. Observation VI. (Communiquée par M. le professeur
Charcot
). Chancre induré en 1886. Cinq ans plus tard (1
us avons recueillie cette année dans le service de M. le professeur
Charcot
. Ici le traitement iodo-mercuriel.a a pu être i
urière entrée le 17 mars 1892 dans le ser- vice de M. le professeur
Charcot
, il la Salpêtrière, salle Cruveilher, iio 27. A
dent, 32 ans, journalier, entré dans le service de M. le Professeur
Charcot
, le 25 mai 1892. Salle Prus. N° 8. Le malade n'
SSÉDÉS « Nous avons trouvé il la Bibliothèque nationale, disent MM.
Charcot
et P. Richer dans leur beau livre sur les Démon
ils ne les égalent pas à notre point de vue particulier. » Et MM.
Charcot
et P. Richer ajoutent en note : « Dans le coin à
hies, qui reproduisent l'une, la gravure du Louvre signalée par MM.
Charcot
et P. Richer, l'autre, un tableau appartenant à M
econnut VI 17 242 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. dans
Charcot
un esprit d'élite et le favorisa de tout son pouv
t qui leur était proposé. Rien n'était moins dans le tempérament de
Charcot
que ces joutes oratoires où les mots ronflants
sse en éveil, qu'il portait à JEAN-MARTIN CHARCOT 243 ses élèves,
Charcot
n'aima que la science, les arts et la philosophie
pour eux un lieu de passage bien plus qu'une station scientifique.
Charcot
comprit au contraire quelle mine était à sa dispo
ffirme sa haute science dans toutes les branches de la médecine. Le
Charcot
du public n'est qu'un ' spécialiste, génial il
mi Vulpian pour lequel on crée celle de pathologie expé- rimentale.
Charcot
publie alors ses recherches sur les maladies du f
es, sont de- venues classiques. C'est là que s'affirme sa doctrine.
Charcot
a une mé- thode de travail et une méthode d'exp
foie et des reins sont publiées, est-ce que le lobule pulmonaire de
Charcot
ne reste pas debout ? Est-ce que sa conception de
fait des découvertes dans toutes ses branches, elles « cristaux de
Charcot
» restent encore la caractéristique de certaines
ole de médecine, de 1872 à 1882, son cours d'anatomie pathologique,
Charcot
, menant les deux choses de front, créait à la Sal
a- taxie locomotrice, l'atrophie musculaire sous toutes ses formes.
Charcot
marche avec lui dans cette voie féconde, et son
sclérose en plaques, la sclérose latérale amyolrophique (maladie de
Charcot
), les arthropathies des ataxiques (Charcot' s j
rollaire de la névrose. En 1862, prenant possession de son service,
Charcot
, entre le pavillon des incura- bles et celui de
usqu'alors comme incu- rables et traités comme tels. Les efforts de
Charcot
tendirent dès ce mo- ment à trouver une thérape
ivez, vous ne la guérissez pas ». Quand cela venait aux oreilles de
Charcot
, il répondait : « Pour apprendre à guérir il fa
il lui que s'adressait ce reproche de n'être pas un thérapeute ! à
Charcot
qui a donné la- vérita- ble formule du traiteme
e fut une stupéfac- tion générale dans le monde savant qnand on vit
Charcot
, cet esprit scien- tifique si pondéré, se comme
nêtes, ils étaient si rares, avaient entrevu une part de la vérité.
Charcot
, du reste, n'y alla pas demain-morte; il porta di
cidents nerveux. Établissant les lois physiques du somnambu- lisme,
Charcot
éclairait encore un coin obscur de ce merveilleux
- saient à néant. La lutte fut vive : on ne voulut plus voir dans
Charcot
qu'un « hypno- tiseur », et ses découvertes dan
es malades dormant d'eux-mêmes ! La voie scientifique dans laquelle
Charcot
s'était engagé, celle des déterminations physique
ux condamnèrent sur l'avis sollicité de magnétiseurs de tréteaux.
Charcot
fut profondément attristé d'avoir ouvert la route
ur de droit administratif intronisé expert en matière d'hypnotisme,
M. Charcot
me dit douloureusement ému : « En voilà pour di
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Ce fut en -188 que l'enseignement que
Charcot
faisait depuis vingt ans à la Salpêtrière fut o
ope à bien des créations de même ordre qui ne l'ont jamais égalé.
Charcot
resta plus de trente ans à la Salpêtrière, la mor
dans une langue toujours châtiée, on se demandait si c'était là le
Charcot
des concours d'antan, rebelle il l'éloquence. J
je crois aussi qu'il n'avait jamais su parler pour ne rien dire.
Charcot
, pour son enseignement, usait de toutes les décou
e année même, a la Salpêtrière, dans le service de M. le professeur
Charcot
, l'occasion de vérifier à plusieurs reprises l'ex
a mémoire bonne, dit-il. Il entra à la Salpêtrière dans le service de
M. Charcot
pendant le mois de février, et y fit un séjour
enre que nous avons recueillie à la consultation deM. le professeur
Charcot
à la Salpêtrière. Les symptômes oculaires ont s
enuisier, entré le 4 avril 18H2 dans le service de M. le professeur
Charcot
, salle Prus, n° 2. Pas de maladie nerveuse clan
où l'anesthésie prédomine. Depuis la publication du mémoire de MM.
Charcot
et Gombault (1), les auteurs ont signalé la fré
ées de la syphilis cérébrale, ainsi que l'a montré M. le professeur
Charcot
; à lel point qu'elle mérite- rait d'être dénomm
ervation I. Klein, israélite hongrois, 23 ans. C'est le malade dont
M. Charcot
a retracé l'histoire pleine de péripéties (2) :
misères l'attendaient dans ce voyage (1) Voir numéro 4, 1893. (2)
Charcot
, Leçons du mardi, 1889, p. 348. 278 NOUVELLE IC
alée, plaque sacrée) ; pas de confusion de l'esprit, de vertiges.
M. Charcot
conclut : « Il est remarquable que, chez notre
'urine qu'il veut faire examiner. Dès son entrée dans le cabinet de
M. Charcot
, il commence la longue his- toire de ses souffr
ulagement après lequel il courait depuis si longtemps. Il demanda à
M. Charcot
un certificat qui lui permit d'obtenir de M. Roth
r l'électricité (1). Il recommença alors ses jéré- miades, arrêtant
M. Charcot
tous les jours dans le service, ou bien le chef d
SUGGESTION SUR CES CONTRACTURES Les expériences de M. le professeur
Charcot
et plus tard celles de M. Hei- denhain, nous on
ne contracture dans les muscles du corps. Si l'on pratique disait
Charcot
des frictions sur la peau des hypnotisés, dans
tent; cette contracture peut disparaître par les mêmes excitations.
M. Charcot
et ses élèves expliquent ce fait par un réflexe
ure est bilatérale, généralisée. M. Horpes est aussi de l'avis de
M. Charcot
sur la natnre réflexe de ces contractures. Je n
développement dans les affections des centres nerveux et des nerfs (
Charcot
) où se trouvent les lésions qui déterminent les
ôpital vers la fin de l'année 1890, porteur d'une recommandation de
M. Charcot
, il s'est rendu à Vienne, dans le service de M. l
égrinations un très bon souvenir de la Salpêtrière, et qui avait en
M. Charcot
la plus grande con- fiance, se décida à faire l
nir il Paris pour consul- LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE 339 ter
M. Charcot
. Des Russes de Kicw lui avaient fait grand éloge
-clle, je comprends aujourd'hui tous les éloges qu'on me faisait de
M. Charcot
. II peut compter sur moi désormais, et tous ceu
onserver le costume national, comme chez les mala- des observés par
M. Charcot
. Ce fait avait frappé les écrivains et les des-
emier chef. La céphalée est constante : c'est la forme en casque de
Charcot
enserrant la tête comme dans un étau circulaire
e le Diagnostic. - En première ligne, il faut citer l'affection que
M. Charcot
a décrite sous le nom d'« Automatisme comitial
même que ces stigmates n'existent pas, comme chez un des malades de
M. Charcot
, le diagnostic s'impose par l'amnésie presque com
artent à la recherche de leur royaume et de leurs adorateurs. (1)
Charcot
, Leçons du mardi, 1887-88, p. 16S et Leçon du 21
toujours peut-être, sont des choses incontestablemenl très graves (
Charcot
). La neurasthénie, dit Beard, peut ouvrir la po
Dans une de ses belles leçons du mardi sur l'hystéro-neurasthénie,
M. Charcot
a fait une remarque dont l'intérêt est grand à ce
ick (1) de Vienne s'est attaché il résoudre la ques- tion posée par
M. Charcot
; pour lui les vagabonds ne seraient que des ne
rphologie des) par Schaffer, 322. Danse macabre de Bar, par J. M.
Charcot
et P. Richer, 119. t - Démence apathique. Ind
292. TABLE DES AUTEURS Bardot, 21, 102. Le Dentu, Go;. J. M.
Charcot
et P. Richer, 119. Chipault et Daleine, 292.
tanée tabéti- ques, IX, X, XI. des deux hanches, XX, XXI, XXII.
Charcot
, portrait, XXXIII. Cliapelle de Vallombrosa, di
vicissitudes diverses, a défini - 1. Notre maître, M. le professeur
Charcot
, nous a donné l'idée de ce travail et dirigé dans
âce à l'impulsion féconde donnée par notre maitre, M. le professeur
Charcot
, son domaine a été mieux exploré, ses limites m
distinctes, elles appartiennent toutes à une même famille, professe
M. Charcot
, et sont indissolublement liées par les liens d
ion et leur physiologie pathologique. « Leur symptomatologie, dits.
Charcot
, se rapproche toujours, et soit- vent très étro
ervi de lignes de démarcation entre l'hystérie et les affections 1.
Charcot
, Leçons sur les maladies du syst. nerv., t. III,
, dans ces dernières années, mise en lu- mière par M. le professeur
Charcot
. Nous en citerons, à titre de con- traste, quel
s plus vraies. Il n'y a pas d'hybrides en neuropathologie, professe
M. Charcot
. Les espèces nosologiques ont une fixité remar-
elle pas de carac- tères particuliers ? Les avis sont partagés. MM.
Charcot
, G. Guinon', ', Brissaud, etc., pensent que l'h
l'entourage et à la confusion des médecins, c'est assurément que 1.
Charcot
, loc.cil., t. III, p. il. t ÉTUDE DES SYNDROMES
rrait appliquer aux myélopathies organiques ce que M. le professeur
Charcot
dit quelque part de l'ataxie locomotrice progres-
des myélites chroniques. Il y a trente ans à peine que Vu[- pian et
Charcot
l'ont élevée au rang d'une entité morbide et en o
d'hui en voie de publication. Le 43 novembre 1880, M. le professeur
Charcot
consacrait à ces mêmes tremblements une leçon m
21 juillet 1890, salle Priiss, dans le service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires. Du côté de ses grand
évropathiques, l'absence d'nne maladie infectieuse qui, d'après MM.
Charcot
et Marie, est souvent à l'origine de la scléros
1890). n' 18 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Cas. II (
M. Charcot
, in Progrès méd., septembre 1890). Syndrome hys
juin 1889, salle I'rüss, n° 4, dans le service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires. -Le malade n'a pas c
ier et septembre 1890). - BI... a été présenté par M. le professeur
Charcot
à ses auditeurs du mardi (1889). Son observation
iI : . Elle a été résumée, avec tracés à l'appui, dans la leçon que
M. Charcot
vient de publier au mois de septembre sur les t
tracé pris par M. Dutil et publié dans la leçon de M. le professeur
Charcot
. Mais si ce tremblement est atténué il n'est pas
e. Cette dé- monstration a été faite amplement par M. le professeur
Charcot
. Ons. III (inédite). (La majeure partie de cett
gnalés ne sauraient aucunement être rattachés au mal comitial. 1.
Charcot
et 'rlpiau, Soc. méil. des hôpitaux, 18gag, p. 87
ie et rien qu'hystérie, tel a été le diagnostic de M. le professeur
Charcot
. Nous l'avons revu cette année même, le 15 juille
use traumatique, telle que nous la connaissons depuis les leçons de
M. Charcot
? » Obs. XVII (Leuch, in Correspond, sur Sclawe
uence desquelles in- siste depuis plusieurs années M. le professeur
Charcot
. Du reste, les observations citées par l'auteur
Tourette et Dutil', la première étude inspirée par M. le professeur
Charcot
sur cette question qu'il a encore récemment tra
. C'est dans le service de notre éminent maître, M. le professeur
Charcot
, pendant l'année où nous avons eu l'honneur d'êtr
dit : « C'est un hystérique, mais il n'a pas eu de crises. )) ,j Le
père Charcot
arépondu : « S'il n'a pas eu de crises, eh bien
s parties tuméfiées est en effet signalée dans deux observations de
M. Charcot
rapportées par MM. Gilles de la Tou- rette et D
érimenté sont des femmes hystériques du service de M. le professeur
Charcot
, que notre maitre a bien souvent, depuis plusie
est une nommée Witt... qui est à la Salpêtrière dans le service de
M. Charcot
depuis plus de dix ans. C'est une grande hystér
vingt-trois ans, entrée en 1886 dans le servicede M. le professeur
Charcot
. Son histoire clinique est des plus chargées. O
diverses manoeuvres qui mettent en évidence ce que M. le professeur
Charcot
a désigné sous le nom de diathèse de contrac- t
remarque formulée, il y a plus de trois ans, par M. le professeur
Charcot
touchant, le rhythme de ces tremblements. Il est
siologie , 1887), dans les leçons de notre maître lll.le professeur
Charcot
, dans une thèse récente faite sous l'inspiratio
la thèse de Maréchal, et qui plus tard a été l'objet d'une leçon de
M. Charcot
. -On pourrait citer aussi toutes les observations
la grande névrose. Dans une leçon sur les tremblements hystériques,
M. Charcot
* a for- 1. Mugnerot, Du tremblement mercuriel e
Letulle, Archives de physiologie, 1887. 3. Letulle, Loc. cit. 4.
Charcot
, Progrès médical, G septembre 1890. ÉTUDE CLINI
ses, est entré à la Salpêtrière dans le service de M. le professeur
Charcot
le 26 juin 1889. Antécédents héréditaires Mère
13 août 1889 à la Salpêtrière, dans le service de M. le'professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires. Nuls. Cet homme a
ATEURS ET DE LA SCLEROSE EN PLAQUES De l'avis de M. le professeur
Charcot
et de M. P. Marie, l'hystérie et la sclérose en
ont été mises en lumière pour la première fois par M. le professeur
Charcot
. L'hystérie est une névrose dont la fréquence e
. L'hystérie est une névrose dont la fréquence est incontestée. MM.
Charcot
et G. Guinon ont dé- montré qu'elle est souvent
ras- sante, si l'on veut se rappeler cesparoles de M. le professeur
Charcot
: « Vous n'oublierez jamais, dit-il, que dans l
de, mais n'accélèrent pas son rhythme, autrement dit, les oscil- 1.
Charcot
, les Tremblements hystériques (Progr. médical, 6
laire. Il pourrait même et c'est la un caractère, qui, de l'avis de
M. Charcot
, serait appelé à jouer un grand rôle diagnostiq
hie ressortira du tableau synoptique suivant emprunté aux Leçons de
M. Charcot
(18SS185'J, p. 103). Tableau synoptique des sym
éléments principaux de ce diagnostic ont été étudiés avec soin par
M. Charcot
dans ses Leçons sur la compression lente de la
du système nerveux. Trad. par Labadic-Lagrave, 1879, p. 8118, 5.
Charcot
, Leçons sur les maladies du système nerneux, t. I
LÉGIES HYSTÉRO-TRAUMATIQUES S31ULATRICES , C'est à M. le professeur
Charcot
que revient l'honneur d'avoir, il y a cinq ans,
observations suivantes mettront en lumière. Oss. XXVII (résumée) (
Charcot
, Des paralysies hystéro-traumatiques chez l'hom
». 141 Cette observation se passe de commentaires. M. le professeur
Charcot
montre sans peine que les nerfs périphériques,
nférieurs, etc., tout pouvait faire croire à une lésion médullaire.
M. Charcot
démontra que tous ces phénomènes relevaient de
que de l'anesthésie cutanée. Nous avons fait, suivant le procédé de
M. Charcot
, les expériences suivantes : un sujet hystériqu
sont « morpholo- giques », suivant l'expression caractéristique de
M. Charcot
. Elles ne sauraient répondre, disons-nous, à un
servé récemment, dans le, service de notre maitre, M. le professeur
Charcot
, une jeune fille atteinte d'une maladie inso- l
2 avril 1891, salle Cruvcilher, dans le service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires. Son père est un enfa
rcot, internes de la clinique des maladies du système nerveux. 1.
Charcot
, Leçons cliniques sur les maladies des vieillards
ts, est entré à la Salpêtrière, dans le service de M. le professeur
Charcot
, en juillet 1889 : Antécédents héréditaires. Le
1889, salle Duchenne, lit n° 3, dans le service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires. Grand-père pas connu
n 1889, salle Priiss, lit n° 8, dans le service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires. Père alcoolique et d
t physiologiques de ces différen- ces. » (Leçon de M. le professeur
Charcot
.) Nous reviendrons d'ailleurs sur ce point plus
aisant de justes réserves sur la possibilité de cette complication,
M. Charcot
se plaisait à espérer qu'elle ne viendrait pas et
'envisageant que les cas complets, nous trouvons dans la maladie de
Charcot
très fréquemment le même port de tête que dans
leur vigueur nor- male. Grâce à l'obligeance de M. le professeur
Charcot
, j'ai pu étudier deux nouveaux faits qui vienne
ée 1888, la malade revient à Paris, pour consulter M. le professeur
Charcot
el se confier aux soins de M. le Dr ltambault.
s périphériques de l'articulation étaient indurés. M. le professeur
Charcot
conseilla d'opérer la section des tendons et de
ortée à Paris, au mois de mai 1890, et présentée à M. le'professeur
Charcot
. M. Charcot, après un examen approfondi, pensa
is, au mois de mai 1890, et présentée à M. le'professeur Charcot.
M. Charcot
, après un examen approfondi, pensa que la myélite
es de la syringomyélie1. A son tour, notre maître, M. le professeur
Charcot
, vientd'en donner la preuve clinique, à propos
un cas de syringomyélie anormale, atypique. » Après ce préambule,
M. Charcot
établit un parallèle magistral entre les deux a
éd. expériment., 1890. Joffroy, Soc. métl. des hôpitaux, 1891. 2.
Charcot
, Sur un cas de syringomyélie avec panaris analgés
février 1891, salle Prüss n° 7, dans le service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires. Les renseignements f
s que soulève cette observation ont été magistralement exposées par
M. Charcot
. Nous y renverrons le lecteur. Il est un détail
é, nous l'emprunterons à la leçon de notre maître, M. le professeur
Charcot
. « Nous sommes, dit-il, en présence d'un cas bien
nom de paralysie bulbaire supérieure proposé par M. le professeur 1
Charcot
, qui réserve à la paralysie labio-glosso-laryngée
, dix-neuf ans et demi, entre dans le service de M. le profes- seur
Charcot
en décembre 1885. Antécédents héréditaires. Pèr
, p. 816. 30S NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. professeur
Charcot
). Mlle B... G..., vingt ans, habitant à M...y, es
. G..., vingt ans, habitant à M...y, est vue le 29 janvier 1881 par
M. Charcot
avec le Dr Charpentier (de Meaux). Antécédents
l'eau... État actuel (29 janvier 1881). A la visite non annoncée de
M. Charcot
, la malade est prise d'une crise de toux et de
. Dans l'examen de la sensibilité par le simple contact, frôlement,
M. Charcot
remarque une hyperesthésie superficielle très exq
'y ait pas rigidité au maximum, mais simplement demi- rigidité. »
M. Charcot
conseille de continuer à domicile l'emploi de l'h
se nouvelle. Notre pauvre fille s'était vue en songe en présence de
M. Charcot
, qui l'avait menacée de la séparer de ses paren
ovembre 1881, jour de la Présentation de la Vierge, elle a rêvé que
M. Charcot
était pré- sent et, avec un peu d'emportement,
ans appui. 14 décembre 1881 (Etat actuel). La malade est venue chez
M. Charcot
; elle marche sans appui, mais en frottant le pi
iste plus; cependant, sous l'influence et l'émotion de la visite de
M. Charcot
, elle a eu, à plusieurs reprises, une toux rauque
du même côté. Depuis cette époque, la malade n'a pas été revue par
M. Charcot
. Mais M. le Dr Charpentier, ancien interne des
sthésie gauche, que les mains présentaient vraisemblablement ce que
M. Charcot
a désigné depuis sous .le nom d'oedème bleu, qu
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. hystérique. M. le professeur
Charcot
en a rapporté des exemples dans ses Leçons du m
19 mai 1890, salle Prûss, n° 1, dans le service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires. Du côté de ses grand
rose' latérale symétrique primitive ou 'tabès dorsal spasmodique de
Charcot
. C'est avec ce diagnostic que j'adressai l'enfa
ique de Charcot. C'est avec ce diagnostic que j'adressai l'enfant à
M. Charcot
. » Et M. le Dr Sirot il qui nous avions annoncé
stériques, à ce mécanisme psychique sur lequel a si souvent insisté
M. Charcot
? Une idée les produit, une idée les fait dispa
nement fortuit. Nous le désignerons, à la suite de M. le professeur
Charcot
, sous le nom de diathèse de contracture-. Cet é
oit paraître très prochainement chez Doin, éditeur. N. D. L. Il. 2.
M. Charcot
, dans ses conférences cliniques (1878), a le prem
ologique de l'état d'opportunité de contracture. Th. Paris, 1883.
Charcot
et Richer, Diathèse de contracture chez les hysté
e somnambulisme, d'où les dénominations que nous avons proposées,
M. Charcot
et 1. M. P. Descubes décrit ces procédés sous l
n voyait la main se contracturer en extension. Nous avons rapporté,
M. Charcot
et moi, des faits semblables à propos du phénom
ion paradoxale. Brain, 1886, t. VIII, p. 289, et OEuvrcs complètes de
M. Charcot
, t. IX, p. 453. DIATHÈSE DE CONTRACTURE. 319
r tout l'individu. Ainsi chez une malade hystérique du service de
M. Charcot
nous avons observé ce qui suit sur tout le côté d
t à celle du facial et du même côté. L'an dernier, M. le professeur
Charcot
en mon- trait un exemple remarquable dans ses L
OMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 371-) l'observation rapportée par
M. Charcot
dans ses Leçons du, mardi, 1888-'1889, p. 175.
ataxie hystérique et en signalent les variétés et le mécanisme. MM.
Charcot
et P. Richer7 appellent l'attention sur une for
et d'aba- sie. C'est là un état morbide sur lequel M. le professeur
Charcot
est fréquemment revenu dans ses Leçons du mardi
ique des maladies de la moelle. Traduct. française, 1879, p. 85. 7.
Charcot
ct Il. Richer, Su di.una forma spéciale d'impoten
. diseases of the nervous sgstent... Philadelphie, 1885, p. 39. 11.
Charcot
, Leçons du mardi à la Salpêtrière, 1888-1889, p.
mbre 1888, salle Cruvei- lhier, dans le service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires. Du côté des grands-p
quoique ces spasmes puissent se retrouver dans le tabes, ainsi que
M. Charcot
l'a depuis longtemps démontré (Thèse de Dubois).
stérieurs chez un saturnin. » Or, le 28 juin 1886, M. le professeur
Charcot
démontra que « chez un sujet 396. NOUVELLE ICON
et une de ces associations hystéro-organiques mises en lumière par
M. Charcot
sera créée de toutes pièces. Et pour monlrer un
euvent coexister en même temps chez le même sujet. M. le professeur
Charcot
, qui a mis en lumière ces associations hystéro-ta
2. Vulpian, Leçons sur les maladies du système nerveux, p. 216. 3.
Charcot
, Leçons du mardi, 1887-1888, p. 423; 1888-1889, p
e et toujours prêts au changement, à la métamorphose ? » Ocs. LXVI (
Charcot
, Cas complexe, Tabès et hystérie. Leçons du mardi
ar quelques lignes. « Il n'y a guère d'hybrides en nosographie, dit
M. Charcot
. Il y a une centaine d'années on eût interprété
toutes les autres, c'est l'hérédité. « Il ne faut pas oublier, dit
M. Charcot
, que le tabes et l'hystérie appartiennent l'un et
des interprétations gratuites et préma- turées. Le cas rapporté par
M. Charcot
dans ses leçons de l'année scolaire 1887-1888,
e développer au détriment de la première en quelque sorte, gran- 1.
Charcot
, Leçons du mardi, ISSi-1SSR, p. 133, 1. Georges
reproduire ici le tableau synoptique suivant dû à M. le professeur
Charcot
(Leçons du mardi). TABLEAU SYNOPTIQUE DES SYMPT
roblème que nous avons énoncé. C'est en 1880 que M. le professeur
Charcot
a démontré, contraire- ment à l'opinion à laque
int de vue électrique, dans le type pri- mitivement formulé par MM.
Charcot
et Babinski. 1. Kalkoir, lleilrrrge mr ctillere
iniques du premier semestre de l'année 1889-1 890, M. le professeur
Charcot
a montré qu'on ne pouvait plus actuellement res
e irréfragable la théorie réflexe depuis longtemps défendue par MM.
Charcot
et Vulpian, en mettant à l'abri de toute contes
8 août 1890, salle Cruveilhier, dans le service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires. Pas de renseignement
fin de l'année, elle vint pour la deuxième fois dans le service de
M. Charcot
. Une fois, dans une attaque, elle se fractura l
e la pre- mière enfance, est chose exceptionnelle. M. le professeur
Charcot
en cite cependant un cas dans ses Leçons sur le
s rappelle un cas analogue étudié l'an dernier par M. le professeur
Charcot
dans ses Leçons du mardi 1. Mais en outre cet
ues doivent se tirer des caractères mêmes de l'amyotrophie : ' 1.
Charcot
, Paralysie spinale infantile; paraplégie alcooliq
là des caractères qui ressortent avec évidence des remarques de MM.
Charcot
et Babinski, de celles de Gilles de la Tourelle e
cours de la même année (juin et novembre 1889), M. le pro- fesseur
Charcot
consacrant à la gliomatose médullaire trois leçon
ngomyélique dans des cas de névrite périphérique.) Et notre maître,
M. Charcot
, nous a montré cette année même deux malades, l
- ment si on le pince ou si on le pique'. » 2° L'autre étudié par
M. Charcot
et décrit par lui sous le nom de type syringomy
e ? Sur dix-sept hystériques hémi- anesthésiques, hommes ou femmes,
M. Charcot
en a trouvé onze offrant le type anesthésique c
1. Pitres, Des anesthésies hystériques, Rordcatix, 1887, p. 12. 2.
Charcot
, Leçons du mardi, 28 juin 1889. .i·0 NOUVELLE I
? cir-llitchell, Trintignan ont étudié un type d'oedème hystérique.
M. Charcot
, l'an dernier, a mis en lumière une variété d'o
llluscoliosc hgslérique (Nouvelle Iconographie, 1888, p. 191). 3,
Charcot
, loc. cil. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SI
ntrée. Nous ne connaissons que le cas célèbre de M. le profes- seur
Charcot
, cas concernant un homme encore à la Salpêtrière
sous la rubrique gliomatose. « Et à ce propos, disait l'an dernier
M. Charcot
, je montrerai que peut-être cela est fort possi
ystérie, et l'événement est venu donner rai- son à M. le professeur
Charcot
. OBs. LXXIV (Roth, in Diagnostic de la gliomato
oir rapporté cette observation, M. Roth fait remarquer qu'avant que
M. Charcot
eût montré l'existence de la dissociation syrin-
ne sait-on pas, depuis les exemples qu'en a cités M. le professeur
Charcot
, qu'elle est loin d'être exceptionnelle dans l'
association n'est pas faite pour nous snrpcndre.111. le professeur
Charcot
, ne vient-il pas de publier, dans le Progrès mé
évrose traumatique a été suffisamment instruit par M. le professeur
Charcot
. « Il n'est point, dit-il, une seule des affect
., 1890 (Leçon recticillie par il. C,. Ciiiiioii). Ciiiiioil (,t 1.
Charcot
, Progr. méd., 1890 (Leçon recueillie par M. 1890)
vensystems (Xeumlnflisches Ce111l'alblatl, n" IG, 15 août 1890). 3.
Charcot
, Leçons du mardi à la Salpêtrière, 1888-1889, p.
t de Weir Milchell3; (b) L'oedème bleu, sur lequel M. le professeur
Charcot
a le premier l'an dernier3 appelé l'attention.
près une durée plus ou moins longue. «Il disparaît en, général, dit
M. Charcot
, avec les phénomènes locaux vulgaires, contract
2. \1'cir-1111Lclrell, The am. Jonrn. of med. se, lS8U, p. 94.. 3.
Charcot
, Leçons du mardi il la Salpêtrière, 28 juin 1889.
. 3. Charcot, Leçons du mardi il la Salpêtrière, 28 juin 1889. 1.
Charcot
, l'llsdème bleu des hystériques (proyr, mcW., 11
MENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 465 Ces résultats obtenus par
Charcot
ne pouvaient pas passer inaperçus, et la suspen
VEUX. 4G7 prenons pour témoignage que les statistiques duprofesseur
Charcot
(2). Les malades qui se sont mis au traitement
naux, l'action de la suspension sa manifeste, d'après le professeur
Charcot
, avant tout par une amélioration de la démarche
e- ment ; pour s'en convaincre, il suffira de se rappeler due le D`
Charcot
, malgré les richesses cliniques qu'il aé sa dis
es observations de ce genre ont été rapportées par Motschoutkovsky,
Charcot
, Althaus, Ilausalter et Adam. Ils font remarque
insignifiants; quelquefois, comme c'est arrive dans la pratique de
Charcot
et de Motschoutkovsky, il se développpe de la r
Friedreich s'améliore également sous l'influence de la suspension.
Charcot
, Jlausalter et Adam citent des cas où ils ont vu
onstatée dès les premières séances. D'après le Dr Popoff (52), le
Dr Charcot
, qui était tout d'abord disposé à admettre l'ex
NTS SATIRIQUES SUR MESMER Grâce à la libéralité de M. le professeur
Charcot
, dui bien voulu nous ouvrir encore une fois les
), par Séglas, 20G. Durgkmair (II.) (Quatre gravures de), par .l.
M. Charcot
et P. Richer, 407. Craniectomie (De la - chez l
-), ), par Féré, 354. Céromorphisme cutané, par Souques et .(.-B.
Charcot
, 169. Hémiplégie alterne(Un cas d ? compliquée
Guinon et Parmontier, 53, 151, 219. Pestiférés (Les de Jaffa), par
Charcot
et P. Richer, 246. , Rétractions (Traitement
otschoutkovsky, 464. TABLE DES AUTEURS nogrolf, 61. noix, 65.
Charcot
(.1.-B.), 1G9. Charcot (J.-M.), 246, 327, 4lli.
BLE DES AUTEURS nogrolf, 61. noix, 65. Charcot (.1.-B.), 1G9.
Charcot
(J.-M.), 246, 327, 4lli. Chipault, 362. Dalei
DROME TEMPORAIRE DE WEBER AVEC HÉMIOPIE PERMANENTE 7 mun, celle que
Charcot
désigna sous le nom de syndrome de Weber. C'est
e alterne qu'on décrit sous le nom de Syndrome de Weber, depuis que
Charcot
a proposé cette appellation en 1891, non parce qu
ur fonclionnement ne se trouve entravé en quoi que ce soit. Andral,
Charcot
et Bouchard, moi-même. etc. avons publié des ca
rne les fonctions qu'ils leur attribuent plus ou moins timidement :
Charcot
et Pitres admettaient en 1879, dans leurs trava
uère avec les fonctions motrices de cette région de l'écorce. Aussi
Charcot
limite-t-il dans sa publication posthume, en co
omme. La localisation capsulaire 'delà sensibilité, due à Fiürck et
Charcot
, est connue depuis longtemps, mais sa localisat
o-moteurs, si intimement liés et « engrenés entre eux qu'il est (1)
Charcot
et Pitres, Les centres- moteurs corticaux chez l'
- portance de la physiologie comparée, il convient de rappeler avec
Charcot
que « les résultats d'expériences pratiquées su
- gnées de troubles sensitifs. Et ce fait incontestable, sur lequel
Charcot
insistait si souvent, prouve, contrairement au
mps dans les 2/3 des cas, suivant les statistiques de Ferrier et de
Charcot
- ne sont point accompagnées de troubles de la se
lepsie. Et cette distinction n'existe pas davantage dans le do- (1)
Charcot
et Pitres, Centres moteurs corticaux chez l'homme
PHIE MUSCULAIRE CONSECUTIVE A LA VARIOLE Chez un Fcll.th. (1.-13.
Charcot
.) MASSONS & C'* Editeurs 118 Année N° 2 M
n antérieure. Thième (5), dans sa thèse faite sous l'inspiration de
Charcot
, a rapporté 13 faits de conservation des réflexes
t hien se reporter aux documents figurés reproduits autre- fois par
Charcot
et Paul Richer dans les Di/formes et malades dans
dans l'hémi- plégie hystérique. Tandis que Todd, liasse, Altliaus,
Charcot
la considé- raient comme rare, et même la metta
trophiques, pas de pied-bot. Légère scoliose. Diagnostic porté par
Charcot
: Maladie de Friedreich. Agénésie complète depu
iées aux amputations, elles résultent vraisemblablement, disent MM.
Charcot
et Pitres ('11), de l'inertie fonc- tionnelle d
p. 946. (10) Lwoooir, Bull. de la Soc. anat., 1877, p. 331. (11)
Charcot
et Pitres, Centres moteurs corticaux de l'homme,
la Tourette a fait revivre pour nos lecteurs cette grande figure de
Charcot
, dont Paul Richer a gravé à l'eau forte l'image
e avoir étédit, dès ce temps-là, sur l'aeuvre colossale édifiée par
Charcot
, on s'aperçoit aujourd'hui que tout est encore bo
gloires dont la splendeur s'accroît par le recul des ans. Celle de
Charcot
est de ce nombre. La cérémonie du 4 décembre 1898
oyen de la Faculté de Médecine, M. le (1) Voyez ./M)t-.1<a) ? )t
Charcot
par Gilles nE la 'l'OVRETTE. Xouv.'tconographie d
27 402 INAUGURATION DU MONUMENT Professeur RAYMOND, successeur de
Charcot
dans la chaire de Clinique des Maladies du Syst
se vénération. Elle a demandé la permission ai l'héritier du nom de
Charcot
de faire connaître les qualités artistiques de
ncères remerciements. Car, à ce recueil fondé sous l'inspiration de
Charcot
, rien de ce qui louche il Charcot ne saurait re
cueil fondé sous l'inspiration de Charcot, rien de ce qui louche il
Charcot
ne saurait rester étranger. Discours de M. le P
BROUARDEL, Doyen de la Faculté de Médecine, remettant la statue de
Charcot
ci la Ville de Paris, au nom des élèves et amis
concourent au rayonnement intellectuel de la France, le professeur
Charcot
mérite d'être placé au premier rang. Il a révél
éfet DE la Seine, Les élèves, les collègues, les amis du professeur
Charcot
ont voulu qu'un monument perpétuât leur reconna
municipal de Paris n'a pas attendu que la mort ait clos l'oeuvre de
Charcot
pour lui rendre justice, nous ne l'avons pas oubl
travaux. Mesdames, Messieurs, Des élèves personnels du professeur
Charcot
vous diront pourquoi sou nom est à jamais gravé
ntre nous n'a-t-il pas été un initiateur ? La vie scientifique de
Charcot
est facile il résumer, elle se développe dans u
chefs d'Ecole, de ceux qui furent des maîtres dans les arts ? ` ?
Charcot
n'était-il pas lui-même un artiste ? lia reconsti
s permis de remplir. Que ce monument leur rappelle les ambitions de
Charcot
: Elargir le domaine de la science, en livrer l
du Conseil Municipal de la Ville de Paris, recevant le monument de
Charcot
. Messieurs, Je remercie M. le Président du Co
ent de faire, la la Ville de Paris, du monument élevé la mémoire de
Charcot
. Le Conseil mu-. nicipal a voulu s'associer à t
se. Il ne m'appartient pas de vous exposer l'oeuvre scientifique de
Charcot
; des voix plus autorisées que la mienne vous r
e le Con- seil municipal de Paris multiplia ses efforts pour ouvrir
Charcot
le vaste champ d'observation où, tout en prodig
es nerveuses de l'obs- curité profonde qui les enveloppait naguère.
Charcot
eut raison lorsqu'il pensa que la Salpêtrière,
luence et dont il devint le chef incontesté. Elever un monument à
Charcot
, c'est célébrer le triomphe de la science et de
savoir n'était-il pas plus vivement excité encore par les leçons de
Charcot
, qui touchaient aux questions les plus intéressan
on'si ma- gistralement décrite, dans toutes ses manifestations, par
Charcot
. Si la science ne' nous a pas encore, sur ce po
ns tomber sans lutte, sans discussion, les superstitions surannées.
Charcot
a apporté sa pierre dans le grand édifice; son oe
quand la nature humaine tout entière réclame la solution définitive.
Charcot
eut cette vertu. Les héros de la science sont c
lus vivifiante ; ils les façonnent pour la grandeur de la France.
Charcot
fut au premier rang parmi ces grands éducateurs.
omplet de la raison humaine et de la justice sociale. Je salue en
Charcot
un des ouvriers de cette grande oeuvre d'émancipa
monde civilisé. Discours de M. le professeur RAYMOND, successeur de
Charcot
dans la chaire de Clinique des Maladies du Syst
re, Mesdames, Messieurs, Cinq ans se sont écoulés depuis la mort de
Charcot
. Que d'hommes s'étaient acquis, leur vie durant
dre dans l'oubli ! Rien n'a terni le lustre dont brillait le nom de
Charcot
aux yeux de l'élite de ses contemporains, aux y
loin, il la science biologique et à l'art de guérir. L'aeu- vre de
Charcot
bravera les outrages du temps ; l'artiste qui a f
emière préoccupation, lorsque m'échut la lourde tâche de succéder a
Charcot
dans son enseignement de la Salpêtrière. Ce fut
A LA MÉMOIRE DU PROFESSEUR J.-M. CHARCOT 407 de créateur, joué par
Charcot
dans l'édification d'un ordre de connaissances
nné et qui domine actuellement la psychologie. Eh bien ! Messieurs,
Charcot
a pris une part prépondérante à l'édification de
ro- voque des contractions musculaires, suivant un ordre déterminé,
Charcot
reprit la méthode qui avait guidé les tâtonneme
is ou atténués, au prix d'une opération de cette nature. Messieurs,
Charcot
a pris une part tout aussi considérable à la révo
nerveux, peuvent se présenter à l'état de névroses. C'est encore à
Charcot
et à son Ecole, que nous sommes redevables de c
ons et des maladies les plus diverses. En outre, plus que tout autre,
Charcot
a contribué à nous faire connaître les signes l
yens qui conviennent. Grâce aux découvertes et aux enseignements de
Charcot
, nous avons appris il guérir des paralysies, des
re le mécanisme des manifestations hys- tériques, et c'est encore à
Charcot
que nous en sommes redevables pour la majeure p
ination par le regard, on à d'autres pratiques analogues, avant que
Charcot
fit servir la suggestion au traitement des mani
vant d'un discrédit certain ? J'ai déjà eu l'occasion de dire que
Charcot
fit preuve d'une sorte de courage civique, lors
ontanément chez des hysté- riques. Quel fut le but que se proposa
Charcot
, quand il dirigea ses études dans cette nouvell
on qui ne répugnât pas à la raison. Voilà le programme que s'imposa
Charcot
. Il ne s'en est pas écarté un seul instant. N'emp
umer en quelques phrases. Ainsi que je vous le disais il l'instant,
Charcot
nous a révélé que les simples agents physiques
ôle tout à fait secondaire et dépouillés de leur pouvoir occulte.
Charcot
nous a initiés aux caractères objectifs fondament
os esprits à travers les parties les plus saillantes de l'oeuvre de
Charcot
. Je vous ai montré Charcot, concourant pour la
rties les plus saillantes de l'oeuvre de Charcot. Je vous ai montré
Charcot
, concourant pour la plus grosse part, il l'édif
cérébral chez des sujets hystériques. Je vous ai laissé entrevoir
Charcot
le thérapeute au sens élevé du mot dé- daignant
souvenirs qui sont présents à la mémoire de tous ceux qui ont connu
Charcot
. Sa vie peut se résumer en deux phrases ; elle
les joies du foyer domestique et les obligations professionnelles.
Charcot
mettait au-dessus de tout ce qui peut flatter e
roupa autour de lui des auditeurs venus de tous les coins du monde.
Charcot
encouragea toutes les bonnes vo- lontés qui se
ociété Anatomique de Paris. Messieurs, Les hommes de la valeur de
Charcot
jouissent de ce privilège qu'ils parais- sent d
non seulement toute la matinée, mais souvent aussi tout le jour.où
Charcot
revenait avec Vul- pian, pour prendre les obser
Raymond, a dit, Messieurs quelle avait été l'oeuvre considérable de
Charcot
dans les maladies du cerveau, de la moelle et des
es à notre admiration dans le domaine de l'anatomie pathologique.
Charcot
entrait en 1872 à la Faculté de Médecine comme pr
et la marche des maladies. Conçues dans cet esprit, les leçons que
Charcot
a publiées sur le foie, le rein et le poumon re
s tabétiques. Vous pouvez voir, Messieurs, par ce court exposé, que
Charcot
était un maî- tre de premier ordre en anatomie
ques. En même temps qu'il était professeur d'anatomie pathologique,
Charcot
suc- cédait à Cruveilhier dans la présidence de
is d'un organisme qui fonctionnait déjà avec une rare perfection.
Charcot
était activé alors à l'apogée de son talent de pr
esseur ou celle d'un prêtre. On devine que c'est celle d'un apôtre.
Charcot
fut, en effet, un apôtre par l'enthousiasme, la f
entr'ouvrit. Vous avez bien fait, Messieurs, de placer la statue de
Charcot
à l'entrée de la Salpêtrière. Cette maison, c'est
la mémoire. Cette oeuvre est une des plus surpre- nantes du siècle.
Charcot
aborda d'un coeur haut et d'un pied ferme cette r
t déposer mon témoignage de pieuse reconnaissance devant l'image de
Charcot
qui fut à la fois un grand savant et un grand ci-
essus de tout éloge, cet enseignement de l'anatomie pathologique où
Charcot
inaugura l'ère de sa célébrité. - La Rédactio
lté de Médecine de Montevideo. On doit à quelques observations de
Charcot
et Weir-Mitchell de connaître cette forme primi
culture, l'hystéro-épilepsie à crises réunies,suivant le langage de
Charcot
et de ses élèves, en particulier de M. Gilles d
éciale, très caractéristique qui a été décrite par Weir Mitchell et
Charcot
. Moi-même j'eus l'occasion de l'étudier personn
'occasion de l'étudier personnellement dans le cas qui appartient à
M. Charcot
. Cette dyspnée se caractérise par une fréquence e
nt très super- ficiels. Ils peuvent atteindre, comme dans le cas de
M. Charcot
, à plu- sieurs reprises un chiffre de 180 par m
espiratoire vraie, c'est-à-dire l'hématose. C'est ce qui a fait que
Charcot
l'ait dénommée ta- chypnée, nom qui rappelle et
pnée hystérique ainsi comprise est à ce point carac- téristique que
M. Charcot
n'a pas hésité un instant dans son diagnostic en
t déduire que Lasè- gue connaissait déjà la tachypnée hystérique de
Charcot
et Weir Mitchell. III Il nous reste à considé
st de nature hystérique et que, à côté de la tachypnée primitive de
Charcot
et Weir Milchell, il y a lieu d'inscrire la tac
t (l'un sculpteur de liait[ - à à la postérité un souvenir exact de
Charcot
? ()lli, )10111' ceux qui n'onreu de sa personn
ls accessoires : la position bizarrement contournée du cadavre donl
Charcot
montre le cerveau, l'exiguïté du socle, la disp
e professorale ne fera pas oublier la grande simplicité de l'homme.
Charcot
. en effet, il 53 490 l'hôpital commc à la v
s moins grandioses, mais certainement plus pré- cis. On se rappelle
Charcot
intime, très simple, cependant très grand, ct c
r, dans le sens le plus esthétique de ce mot. Alors aussi on revoit
Charcot
artiste. - C'est justice que l'on connaisse les
on filiale. Comme son oeuvre de science, l'oeuvre iconographique de
Charcot
ne doit-elle pas être mise en lul1lil'l'c ? Ass
dicales le tempérament d'artiste don il était naturellement doué.
Charcot
, semble-l-il. tenait ses aptitudes artistiques de
ait justifier ce choix, au delà de toute prévision. A dix-sept ans,
Charcot
dessinait donc. Il reste de'lui quelques cru- q
de l'habitus humain. Envisagé d'une façon générale, le dessin de
Charcot
est toujours synthétique. C'est même, le plus s
le défectuosité de facture serait aussi absurde que de reprocher il
Charcot
telle ou telle irrégularité dans les caractères g
oi d'exception concernant les Hystériques ? ' ! L'importance (pie
Charcot
attachait à l'élude visuelle était telle, que,
senieutmime. Mais, aux x cnseigllcmenls du geste et de la parole.
Charcot
préférait encore ceux que l'image peut ajouter
aphie, toujours une page imagée vient illustrer la démonstration de
Charcot
. Il ne lui suffit pas de décrire la structure d
omme pour son enseignement, qui s'adressait de préférence aux yeux,
Charcot
si 1 1 utiliser à merveille les aptitudes de ce
oration fructueuse. Charcuta a ln la Salpèliïèrc. 19 j Un jour,
Charcot
se trouve en face d'un tableau de Rubens, repré-
- sante collection de documents cliniques en images ! Ainsi pensa
Charcot
, et. de concert avec Paul Richer. il commença à
es et des pages pour dresser le bilan de toutes les innovations que
Charcot
introduisit Ü la Salpêtrière. et qui témoignent
n moulage, d'une peinture, d'un dessin.... C'est ce cabinet même où
Charcot
, entouré d'un service laborieux et discipliné,
inusité. Si l'influence qu'oui exercée les qualités artistiques de
Charcot
sur ses éludes et-sur son enseigneineiiL est di
désastreuse que traversa la France, en 1870-1871, les let- tres de
Charcot
vibrent d'un patriotisme ardent. Alors aussi ses
- sions visuelles par le dessin. Celle « mémoire des -yeux ». que
Charcot
avait excellente, lui était d'un grand secours
out en écoutant d'une oreille attentive les le- çons des candidats,
Charcot
couvrait le papier posé devant lui de rapides e
ers [dans sont rarement assez poussés. Et la raison, on la devine :
Charcot
avait, par excellence, la vision de 498 l'ens
intérieur, par la part personnelle qu'il prit il celle décoration,
Charcot
n'apparaît pas seulement comme u ! t connaisseu
Nul cadre n'était plus apte il s'harmoniser avec la personnalité de
Charcot
. Ce cadre était aussi son oeuvre. Vastes pièc
N JUIF DE TÉTOUAN, ATTEINT DE MALADIE DE PARKINSON Croquis fait par
Charcot
, au cours d'un voyage au Maroc, en 1889. MASS
I. PI. LUI Dessin a la plume rehaussé de cravons de couleurs, par
Charcot
MASSON & çle, Editeurs. - 1'¡¡S,lg(' fdll
puis le \v ! "siec)c, n'est qu'une copie d'un original de l'époque.
Charcot
lui- même en a fait la reproduction, avec uu se
vres d art parfaitement au- thentiques, curieux musée de famille où
Charcot
goûtait ses meil- joies et qui réalisait son id
au labeur quotidien du savant. .Malgré le charme de son intérieur,
Charcot
n'hésitait pas a s'en éloi- gner lorsque l'exig
uelque confiance qu'il fut en droit d'avoir eu son propre jugement,
Charcot
ne s'embarquait jamais à la légère. Sur ce qu'il
tle reproduction. El. la veille du départ, l'cyoyanl son l'ollèguc,
Charcot
. non sans quelque malice, lui fit redire tout c
hentique. - la l'érudil compagnon comprit. que, sur ce chapitre-là.
Charcot
était encore son maître. Dans chacun de ses voy
-là. Charcot était encore son maître. Dans chacun de ses voyages,
Charcot
emportait un album cL des crayons de couleur. A
rieuse, une maison, un Environs de llaricuLurg. Paysaâe dessiné par
Charcot
en 1881. . 50'( - - jardin, ou quelque détail
e la vie. El, toujours, ce qui prédomine dans les dessins faits par
Charcot
. c'esl l'immédiate perception de l'ensemble, l'
s préférences, ct même jusqu'aux détails de sa vie. Pour comprendre
Charcot
artiste, il faut avoir connu Charcot intime. Et
ils de sa vie. Pour comprendre Charcot artiste, il faut avoir connu
Charcot
intime. Et quand longtemps on l'a vu de très pr
ère d'être avait pour but d'impressionner le vulgaire. A leur avis,
Charcot
se serait volontairement entouré d'une auréole
tantanée, de cet oeil pénétrant creusé dans un masque impénétrable,
Charcot
. aux yeux d'un observateur superficiel, pou- va
hait aucun prix aux manifestations de politesse banale. D'ailleurs,
Charcot
. même 1 l'apogée de sa gloire, conserva toujour
Il citait volontiers de mémoire des passages' de Habelais. En cela,
Charcot
restait conforme à lui-même. ll allécliunllail eu
sur une élude alkllli\c dc la nature. Dans l'oeuvre de Shakspearc,
Charcot
voyait un modèle d'analyse des sentiments et de
sincère «les saillies eL des bons mots. Aussi la plaisanterie de
Charcot
. était-elle éminemment « shakspea- liellltc ».
ésenter exactement la nature, ne pou- \ a ienllllaJH1"er dc séduire
Charcot
. Ce furent ses maîtres de prédilection. Posséda
es notes de voyage pris au Maroc par le peintre Delacroix. ' , Si
Charcot
. avait surtout l'oeil exercé au diagnoslic visuel
vue d'ensemble lui avait permis d'entrevoir la beauté de l'anvre.
Charcot
ne goûtait guère la poésie : le langage rythmé lu
el d'apprécier plus exactement l'artiste. Il reste à montrer encore
Charcot
caricaturiste. Clrarcot caricaturiste ! ... C
ontrer encore Charcot caricaturiste. Clrarcot caricaturiste ! ...
Charcot
, le savant que l'on imaginait à tort grave Ü l'ex
e, \'olouticl's indif1ërcnt aux gailés d'ici-has, - oui, vraiment !
Charcot
ne dédaigna point l'art humoristique, el même i
plus curieuses sont assurément celles qui rappellent une isi tc que
Charcot
, alors âge de dix-sept ans, fit au quartier Lat
uelles facultés critiques se trouvaient en réserve dans l'esprit de
Charcot
. Une fantaisie caricaturale particulièrement éd
rale particulièrement édifiante remonte à l'an- née 1855, alors que
Charcot
, âgé de vingt-huit ans, venait de ter- miner so
tudiant en droit il son arri- vée au quartier latin. Aquarelle de
Charcot
(l3tu). - - : ) , noter ses impressions par é
le fameux financier. « Avec un tel docu- Cal'kallll'C faitc par
Charcot
d'uil (le 'cs ? li'lc>. NOUV, ICONOGRAPHIE D
ec un front énorme, un nez démesuré et un menton a l'avc- liait[.
Charcot
s'en amusa beaucoup. Car il admettait volontiers
I. PI. LX LA FACULTÉ DE MÉDECINE ) Caricature humoristique, par
Charcot
MASSON & CI-, Editeurs ? )- , de mulet.
fil ainsi son portrait. C'est une de ses meilleures caricatures.
Charcot
professait d'ailleurs un meprissinguticrpour tout
ire en peignant des singes occupés i, mimer les travaux des hommes.
Charcot
composa de semblables parodies, et même ne crai
formes les plus curieuses de l'esprit d'observation dont était doué
Charcot
. La plus fameuse assurément de ses compositions
é. Et rien ne saurait mettre mieux en valeur la faculté critique de
Charcot
que cette théorie professorale où lui-même s'es
é. Un pourrait multiplier les exemples. Les albums des dessins de
Charcot
en sont remplis. , Que conclure, sinon que, du
iculaire, par Achard et Ltol'OL1> Lévi (2 fig. et 3 pl.), 2G2.
Charcot
artiste, par Henry Meige (22 pliot., 2 planches
J. SABRAxÈs. Ilémihyper- trophie faciale (2 phot., 1 fig.), 343.
Charcot
(J.-B.). Amyotrophie du membre supérieur gauche
ns sur la tête (1 gravure et 4 phot.), 199, 320. Meige (Henry).
Charcot
artiste (22 phot ,, 2 pl. en couleur), 492. 1
, VI, VII. Atrophie musculaire consécutive il la va- riole (.L-B.
Charcot
), VIII. Atrophie des centres nerveux (Achard et
sseuse d'origine articulaire (Achard et Léopold Lévi), 11111 I.
Charcot
(statue de), l.lt. Charcot artiste (Henry MEicE
e (Achard et Léopold Lévi), 11111 I. Charcot (statue de), l.lt.
Charcot
artiste (Henry MEicE), LUI il LX. Circulation c
ici l'histoire ont été observés dans le service de M. le professeur
Charcot
et ont fait l'objet de ses leçons cliniques. Le
ier, est entré à la Salpêtrière dans le service de M. le professeur
Charcot
le 16 juin 1889. Un de ses frères après avoir
vicieuses, le premier principalement, décrits par M. le professeur
Charcot
. Les poignets, les coudes, les genoux et les co
des diverses parties du corps. C'est un point que M. le professeur
Charcot
, avec la haute autorité qui s'attache à son ens
ée première de ce travail appartient a notre maître, M. le professeur
Charcot
. Nous le prions de recevoir nos remerciements p
t égard. On peut lire cependant, dans les Leçons deM. le professeur
Charcot
,, plusieurs passages dans lesquels notre maître
e ses cacactères. Dans une de ses leçons sur l'hystérie de l'homme,
M. Charcot
décrit en ces termes le tremblement qui existai
r titre : Tremblements et mouvements choréiformes (t. III, p. 212),
M. Charcot
, après avoir décrit les tremblements à oscillat
Briquet. Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, p. 478. 2.
Charcot
. Leçons sur les maladies du système nerveux, 1887
présenté à la Policlinique de la Salpêtrière, par M. le professeur
Charcot
, dans la leçon du décembre 1888. Notre malade,
ment dans l'en- seignement de notre éminent maître M. le professeur
Charcot
, et que l'on trouvera éparses dans ses oeuvres,
nt beaucoup trop compréhensives dans l'espèce. ' Sous ce rapport,
M. Charcot
a, dans ces dernières années, introduit dans l'
tions, alors qu'elles semblent le plus intimement unies. . Ce que
M. Charcot
a fait pour les phénomènes physiques de l'hys-
auteurs qui, avant la période actuelle inaugurée par les travaux de
M. Charcot
, ont écrit sur l'état mental des hystériques. Hys
attaque, ou celle-ci avorte, comme chez les enfants par exemple, où
M. Charcot
a montré que l'attaque revêtait souvent la form
e période des attitudes passionnelles si magistralement étudiée par
M. Charcot
qui, chez les hystériques à attaques, va singul
onnements, par des exemples empruntés au leçons de M. le professeur
Charcot
. Ces exemples sont d'autant plus frappants qu'o
re plus de deux années. La suggestion 'traumatique, comme l'appelle
M. Charcot
, germe plus ou moins vite suivant l'état de sug
t comme base d'un traitement qui n'en est plus à faire ses preuves,
M. Charcot
, on le voit, n'avait agi qu'en parfaite connais
s moins, mais la sug- gestibilité n'avait pas abdiqué devant lui et
M. Charcot
, en présentant à ses auditeurs cette malade com
, ou mieux des déséquilibrés ainsi que les nomme, plus jus- tement,
M. Charcot
; ils peuvent être hystériques, comme J'ataxiqllc
\ » Certainement, il y a le « crime hystérique », comme l'appelle
M. Charcot
, mais lequel ? Nous allons en donner des exemples
n employant un terme vulgaire « qu'une suggestion pousse l'autre ».
M. Charcot
a parfaitement exposé ce mécanisme de la guéris
hystériques meurent parfaitement d'anorexie quoi qu'on en ait dit;
M. Charcot
a observé « au moins quatre cas » de terminaiso
vière peu profonde d'ailleurs. o Suggestion traumatique » comme dit
M. Charcot
: la voici devenue triste, inquiète, toutes les
s désireux de la puiser uniquement en eux-mêmes et en leur temps.
M. Charcot
a d'ailleurs montré que, même dans les guérisons
l'inverse des adultes, guérissent le plus sou- vent de la névrose.
M. Charcot
enseigne, en effet, que l'hystérie infantile re
gueur tout ;f fait ordinaire1. A part cela bons sujets, quand la 1.
Charcot
. Leçons du mardi, (lue. ril.), 1888-1889, p. 191.
e incomparablement plus fréquent et que les plus récents travaux de
M. Charcot
ont seulement mis en lumière. Sa place est gran
occuper que de cette dernière'. . ' Un exemple emprunté encore il
M. Charcot
- et il n'est pas un des types que nous ayions
Courges Guinou : les Agents provocateurs de l'hystérie, 1889. z.
Charcot
. Leçons du mardi 1888-1889 (loc. cil.) p. 293.
cil.) p. 293. z3. La planche IX se rapporte à Tremblay, étudié par
M. Charcot
. Leçons du mardi, 1888- 1889, p. 285. NOUVELL
RATIONS SUR LES ECCHYMOSES SPONTANÉES. G9 thénique, comme l'appelle
M. Charcot
, envisageant la prépondérance de l'élément sura
bre lorsque ce sont des individus appartenant il une classe plus 1.
Charcot
. Progrès médical, n. 3, 1878. 2. Leçons du mard
nstances. Combien de fois ne nous est-il pas arrivé, alors que .)[.
Charcot
commençait ses études sur cette question, de recu
rétrécissement du champ visuel, sur la température dans l'hystérie.
M. Charcot
, dans ses leçons, a souvent présenté à la fois
vons pu l'étudier tout particulièrement dans deux cas rapportés par
M. Charcot
1, et il nous a semblé qu'il était assez bien c
ne ici l'histoire a été étudiée dans le service de M. le professeur
Charcot
. Elle est un exemple d'une des généralisations
ement les moins fré- quentes. On l'observe cependant quelquefois et
M. Charcot
, après Cazalis, a été l'un des premiers à attir
brale cancéreuse pour se rendre compte de ce fait. M. le professeur
Charcot
a fait voir clans ses. leçons cliniques une col
eu la bonne fortune de publier plusieurs extraits, M. le professeur
Charcot
et son collabora- teur M. Paul Richer nous ont
e en valeur un petit dessin inédit de la collection particulière de
M. Charcot
que notre éminent maître, avec sa libéralité ha
a Leçon du mardi, 23 octo- bre 1888, dans laquelle M. le professeur
Charcot
présenta aux audi- teurs de la Clinique la mala
r cinq observations, y compris celle qui sert de base à la leçon de
M. Charcot
. Trois d'entre elles ont été recueillies dans l
la chorée rhythmée qui, du reste, comme l'a montré M. le professeur
Charcot
, s'entremêlent parfois avec la manifestation path
ré le 2 août 1889, salle Pruss, dans le service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires. - Nous ne relevons r
leçons à la Salpêlrière; pour-y être présentée par M. le professeur
Charcot
à ses auditeurs, suffit pour provoquer une atta
estation, bâillait pour ainsi dire constamment : « A l'origine, dit
M. Charcot
, elle bâillait environ huit fois par minute, 480
a cadence, caractères propres à nombre de phénomènes hystériques » (
Charcot
). De plus, le bâillement physiologique consiste
ordinairement observés lors delà grande attaque. On sait en effet,
M. Charcot
l'a montré, -qu'un observa- teur attentif retro
par des recherches entreprises dans le service de M. le professeur
Charcot
, que l'analyse des urines de la période des vingt
té. Par moments, il prononce quelques mots, tels que : «un duel...,
Charcot
..., un fou..., c'est; pourtant vrai..., prix d'
AUTRES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ' Depuis que M. le professeur
Charcot
a publié le résultai de ses recherches sur le t
rière, depuis le 20 mars 1889, date de la dernière communication de
M. Charcot
, et aussi d'insister sur quelques nouveaux déta
aitement. Exposons d'abord les résultats obtenus dans le service de
M. Charcot
. Depuis le 20 mars 1889, un très grand nombre d
de la méthode, portant principalement, comme l'avait déjà montré
M. Charcot
dans sa 10° Leçon du Mardi, sur l'amélioration de
ultats qui ne font que corroborer ceux obtenus par M. le professeur
Charcot
. Il nous semble préférable d'insister sur quelq
nfier lors d'une récente visite dans le service de M. le professeur
Charcot
. Cet appareil, que produit la figure 44, ressem
relatives également à de jeunes garçons possédés du démon. J. -M.
Charcot
, Paul Richer. (de l'Institut). Le gérant : ém
es de paralysie infantile) à l'appui des idées émises autrefois par
M. Charcot
. On sait que notre maître pensait que la lésion
rité. Il conclut de ses observations à la réalité de l'hypothèse de
M. Charcot
, et admet par suite formellement la manière de
expressions : « qu'il fallait un homme du génie et de l'autorité de
Charcot
pour oser faire, à l'aide d'une autopsie surven
4 à la Salpêtrière, salle Duchenne, de Boulogne, dans le service de
M. Charcot
, y est morte six mois après, en novembre. A s
l'état normal. L'aphasie hystérique est souvent précédée ou suivie (
Charcot
, I. Cli. fur, Note sur l'exploration des mouvem
myélite) Dans sa dernière leçon du semestre d'été, M. le professeur
Charcot
présentait à ses auditeurs deux malades atteint
labio-glosso-laryngée. Dans sa leçon sur le sujet qui nous occupe,
M. Charcot
insistait aussi sur ce rapprochement, d'autant pl
cornes antérieures. « Je fais allusion ici, dit M. le professseur
Charcot
, à la paralysie bulbaire inférieure sans partic
MYÉLITES ET POLYNÉVRITES Travail du Laboratoire de M. le professeur
Charcot
(Suite') 1) Examen histologique. Moelle. Régi
Salpêtrière. La malade fut mise en observation, dans le service de
M. Charcot
, et M. Brissaud, à cette époque interne du serv
Saint-Louis. L'un de nous, pendant son internat dans le service de
M. Charcot
, relatait l'état de la malade à cette époque, dan
tré le 14 juin 1890, salle Prus, n° 11, service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents hériditaires. - Son père, atteint
s mains et des avant-bras, des oreilles et du dos. M. le professeur
Charcot
nous a fait voir tout récemment un cas analogue
terons que c'est le diagnostic qui a été porté par M. le professeur
Charcot
dans la leçon clinique qu'il a consacrée à l'ex
U TRONC DANS LA SCIATIQUE I Le 5 septembre 188G, M. le professeur
Charcot
remarquait pour la première fois une déviation
e. C'est même l'existence de cette attitude signalée à l'auteur par
M. Charcot
qui le fit songer à la névralgie sciatique. Il s'
outant trois nou- velles observations aux deux que lui communiquait
M. Charcot
, faisait de cette question, dans un mémoire qui
E GUÉRISON COMPLÈTE. 231 en 1886 était restée absolument ignorée de
M. Charcot
, lors de sa première observation sur ce sujet,
europathique. ' Depuis ses premières observations, M. le professeur
Charcot
a maintes fois, dans ses Leçons du mardi, montr
, mais qui ne sau- raient infirmer la règle générale tracée par MM.
Charcot
et Babinski. Grâce à tous ces travaux, cette dé
it pas sans intérêt de le rapporter. Notre maître, M. le professeur
Charcot
, a bien voulu nous signaler un cas analogue que n
embre 188cl, salle Prüss, n° 8, dans le service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires. -Père mort de pneumo
II1. ex ? âgé de quarante-sept ans, examiné le 8 décembre 1886 par
M. Charcot
. Sciatique gauche. Début remontant àun an. Doul
érieux. C'est alors que j'appelai auprès du malade M. le professeur
Charcot
. Se basant sur l'insuccès des autres médicaments
éformation du tronc dans la sciatique. (D'après un croquis fait par
M. Charcot
.) 242 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTIUËRE.
able : semble venir confirmer la théorie pathogénique émise par MM.
Charcot
et Babinski : . '. . Au début de la sciatique
ns totalement. Néanmoins cet examen n'est pas toujours pratiqué. I.
Charcot
, Progrès wéd., 1887 ,2,t6 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
ÉLITES ET POLYNÉVRITES ' Travail du Laboratoire de M. le professeur
Charcot
- (Suite el fini) L'histoire clinique si soig
avons eu l'occasion de prendre dans le service de M. le professeur
Charcot
. Bathilde F..., âgée actuellement de cinquante
ût z1882, salle Cruveilhier, à la Salpêtrière, dans le ser- vice de
M. Charcot
. Antécédents héréditaires. - Au point de vue sp
d'un malade soigné par lui et vu plusieurs fois en consultation par
M. Charcot
, qui a bien voulu nous remettre les notes qu'il a
s qu'il avait prises à son sujet. Ons. XX111 (communiquée par MM.
Charcot
et Troisier). -Paralysie bul- baire totale à dé
antes. Pas de vomissements. Le 4 novembre, première consultation de
M. Charcot
. On note la paralysie oculaire. Pas d'autres sy
is à un faible degré tout d'abord. 12 janvier 1890. Consultation de
M. Charcot
. Copie de l'en-tête de l'ordonnance : « Persist
lté à mâcher les aliments. Le 27 mars, nouvelle consultation de MM.
Charcot
, Peter, Troisier et Mou- tard-Martin. Outre les
prouve qu'ici encore on a affaire il une même maladie systématisée (
Charcot
) et non à deux maladies indépendantes fortuitem
et P. Richer, 247. TABLE DES AUTEURS Ctocq, 137, 195, 272, 309.
Charcot
(J.-M.), 134, 217. Outil, 1, ? 7, 87. rmirzé,
Ce volume comprend les leçons, les mémoires et les ob-servations de
M. Charcot
sur les maladies des poumons, du sang, do cœur et
é- 1 Leçons publiées par Bourneville dans le Projrès médical, 1877.
Charcot
. Œuvres complètes, t. v., Poumons. 1 (FACULTÉ D
s un 1 4° édition, fig. 141. 2 Strickers Handbuch, t. I, p. 46.
Charcot
. Œuvres complètes., t. v., Poumons. 2 angle aig
dernières bronchioles. Suivant 1 Deutsches Archiv, 1874, p. 203.
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 3 M. Rindflei
ologie humaine. Buhl. — Tuberkulose und Schwmdsucht. Munchen, 1872.
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons. -j Il existe,
nulations, en un mot, à la région centrale du 1 Voir, sur ce point,
Charcot
, toc. cit., p. 391, et sutout le mémoire de M. G.
ux, à bâtonnets qui, dans l'état normal, tapisse cette partie des *
Charcot
, loc. cil., pp. 302-303. conduits urinifères, e
thélial, tendance à la reproduction des caractères de l'état fœtal.
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons. HUITIÈME LEÇO
s, tôt ou tard, son retentissement dans le domaine de la pra-tique.
Charcot
. Œuvres complètes, t. v. Poumons. 1 NEUVIÈME
; ce caractère nous 1 Traité de pathologie interne, t. Il, p. 042.
Charcot
. Œuvres complètes, x. v, Poumons. 9 semble devo
demment n'était autre chose qu'une forme de la gangrène du pou-mon.
Charcot
. Œuvres complètes, t. y,Poumons. 10 II. Évolu
ndon, 1846. 2 Veber Lungen-lnduration (Prag. Vierte/j. SI, 1856).
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons. H se montre a
ers de son volume. Le poumon droit était volumineux, emphysémateux.
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 12 LEÇONS
emploient à peu près indifféremment. Chacune de ces appellations, dit
M. Charcot
, toutes synonymes et de même valeur, ne saurait r
ans un cas, seulement au bout de quatre mois. Comme le fait remarquer
M. Charcot
(th. d'agrég., p. 148), ces cas n'appartiennent p
ns de Grisolle2, de Hardy et Béhier 3 et par la thèse d'agrégation de
M. Charcot
4. On le rencontre rarement, et dans des conditio
êtrière, où les malades ne sont jamais perdus de vue. C'est ainsi que
M. Charcot
a pu observer un certain nombre de ces récurrence
76 ans. Elle entra pour la première fois, en 1861, dans le service de
M. Charcot
, dont M. Soulier était alors in-terne, et succomb
: hépalisation grise récente de toute l'étendue du lobe supérieur.
M. Charcot
fait remarquer que toutes ces attaques de pneu-mo
fibreuse du sommet du poumon gauche. D'après ces deux observations,
M. Charcot
interprète de la manière suivante les phénomènes
tes de substance des parties exposées (peau, membrane muqueuse). Mais
M. Charcot
rap-pelle qu'autrefois on appelait aussi ulcère l
Y Encyclopédie de Reynolds 3. Mais la distinction que veut établir
M. Charcot
entre les deux grandes formes de pneumonie chroni
rrhose pulmo-naire, même celles qui se rattachent à la tuberculose.
M. Charcot
établit tout d'abord que, de même que la pneu-mon
uche (Ziemssen), quelquefois après la rougeole (Bartels), et, suivant
M. Charcot
, après la fièvre typhoïde, bien que dans ce derni
aractères histologiques ; cette lacune a été heureusement comblée par
M. Charcot
à l'aide d'observations et de pièces qui lui ont
éren-ces, l'emphysème et la tuméfaction des ganglions bron-chiques.
M. Charcot
complète ensuite cette description macroscopi-que
cutive à l'atrophie du poumon et à la rétraction du tissu conjonctif.
M. Charcot
rappelle encore, contre cette théorie, l'intégrit
altéra-tions de la pneumonie desquamative, mais avec des caractères
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 13 spéciaux q
intes à divers degrés de la dégénéralion qui vient d'être indiquée.
M. Charcot
suit pas à pas les analogies qui existent entre l
cho-pneumonie, 1878), faite avec l'aide des conseils et des leçons de
M. Charcot
, deux observations de broncho-pneumonie subaiguë
A ce degré terminadla lésion broncho-pneumonique s'accom-pagne, dit
M. Charcot
, de lésions concomitantes utiles à con-naître au
amen microsco-pique montra des lésions semblables à celles que décrit
M. Charcot
: infil-tration de leucocytes dans les parois des
s abcès du cerveau, deux fois de nature gangreneuse. En résumé, dit
M. Charcot
, il s'agit dans ces cas d'une lésion remontant à
ral, à une assez grande dislance de la cavité séreuse: est-ce là, dit
M. Charcot
, une disposition constante, ou n'existe-t-il pas
logues. Ces faits expérimentaux et pathologiques établissent, d'après
M. Charcot
, que la résorp-tion du contenu pleural se fait ai
e l'a fait voir M. Greenhow (Lancet, March JO, 1875, p. 350). D'après
M. Charcot
, on peut désigner sous le nom de pleuro-gènes ces
ervations recueillies dans le service de M. Oulmont et communiquées à
M. Charcot
, par M. Tapret, in-terne des hôpitaux, paraissent
es pneumonies chroni-ques, nous devons signaler aussi les opinions de
M. Charcot
sur la nature de la pneumonie qui accompagne l'év
Au sujet du rôle de cette pneumo-nie, nous rappellerons seulement que
M. Charcot
lui attribue une importance secondaire et qu'il r
ne présentent rien qui leur appartienne essentiellement en propre, et
M. Charcot
a retrouvé dans leur étude les principaux caractè
átiles n'est pas absolu. Expériences de Knauff (1867). Expériences de
M. Charcot
. — Faits analogues observés chez l'homme, observa
ty, t. XX, 1869, p. 41; môme recueil, t. XVII, pl. IV, fig. 3 et 4.
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 14 périphérie
ques et les plèvres *. Il en a été de même dans les expériences que
M. Charcot
a instituées sur le cochon d'Inde. Les animaux ét
es pièces de bronze, etc. Le moule est fait avec un sable très fin,
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 15 dit sable
plasie tuberculeuse: opinion de Cruveilhier, Ilérard et Cornil ; — de
M. Charcot
. Dans une série de leçons professées en 1877, à
ans une série de leçons professées en 1877, à la Faculté de médecine,
M. Charcot
a montré quelle est exactement la con-stitution d
t, seront reproduites plus loin. Dans les leçons que je vais résumer,
M. Charcot
expose les particularités anatomiques propres à l
nt le début de la formation du tubercule. — (D'après un dessin île M.
Charcot
). L'artère est à peine oblitérée. On voit que la
x de l'histoire analomo-pa- thologique de la phtisie ulcéreuse, que
M. Charcot
a réédifiée sur des bases plus solides. A. Le t
us importants de l'anato-mie pathologique de la phtisie chronique, et
M. Charcot
l'a traitée dans tous ses détails. C'est Rindfl
ture du poumon. Voici cette structure telle qu'elle a été exposée par
M. Charcot
. Le poumon de l'homme se compose : 1° De bron
circulation et de nutrition très intime. Ces détails étant connus,
M. Charcot
étudie ensuite Yanato-mie médicale du poumon. Cet
éments anatomiques, les rapports des diverses parties entre el-les.
M. Charcot
décrit donc une section du lobule pulmonaire comm
d'une gangue conjonctive commune. C'est l'ensemble de ces parties que
M. Charcot
désigne sous le nom de grands espaces. Or, les gr
riphérie du lobule, où elles occupent les espaces péri-lobidaires que
M. Charcot
appelle petits espaces. Toutes ces notions anat
deux zones : 1° une zone centrale caséeuse, percée d'un trou déchi-
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 16 quêté qui
s se passent absolument comme dans la prétendue pneumonie caséeuse.
M. Charcot
a confirmé les résultats obtenus par M. Rind-flei
tenus par M. Rind-fleisch, tout en les modifiant sur quelques points.
M. Charcot
ne croit pas à une localisation aussi étroite, au
bir la métamorphose caséeuse et contribuer à la solidification jaune.
M. Charcot
pense au con-traire que la caséification dans la
-quelle il y a mortification d'un tissu cohérent. « Quelle est, dit
M. Charcot
, la cause de la caséification du tubercule? On in
ollissement des tubercules. Formation des cavernes, pulmonaires. —MM.
Charcot
et Richer ont étudié à nouveau le mécanisme de pr
a montrant te mode de formation des cavernes. — (D'après un dessin de
M. Charcot
). — A, A, A, cavernes acineuses. — B, caverne lob
ces parois que par leurs extré-mités. La disposition anatomique que
M. Charcot
a proposé d'ap-peler les grands et les petits esp
n. Tubercules de guérison (Cruveilhier). Tubercules stationnai-res (
Charcot
). Tubercules fibreux. —Jusqu'à présent, on a vu l
voluant fatalement jusqu'à la mortification ca-séeuse. Cependant, dit
M. Charcot
, le tubercule considéré sous ses formes les plus
tir à la mortification caséeuse : c'est le tuber-cule stationnaire de
M. Charcot
. Enfin il peut se faire qu'un tu-bercule à évolut
er-sistent rend à peu près indiscutable l'interprétation proposée par
M. Charcot
. Quant aux cavernes de guérison, le méca-nisme de
ois al- véolaires ; mais tout cela est fibreux, rien n'est caséeux.
M. Charcot
fait remarquer qu'il est bien difficile d'admettr
les changements survenus dans la constitution physique de l'organe.
Charcot
. Œuvres complètes, t. X. Poumons. 17 D. Lésions
en lumière par les travaux de Yirchow, Rindfleisch, Lépine, Pon-fick,
Charcot
. Il est incontestable que, parmi les lésions tu
caséeux s'effectue dans des limiles très variables, et on peut, avec
M. Charcot
, y établir trois étapes : infection locale ou di-
ominance des lésions pneumoniques, inertie de la lésion tuberculeuse.
M. Charcot
déclare que pour beau-coup d'organes, ces proposi
sie et que les phtisiques peuvent mourir par le fait de la pneumonie,
M. Charcot
est d'avis que cette dernière cir-constance est r
ie, la pneumonie fait souvent défaut à l'autopsie. Ainsi, pendant que
M. Charcot
faisait son cours, M. Landouzy lui a communiqué d
caséeuse. — Résumé. Avant d'étudier la tuberculose dans le poumon,
M. Charcot
a cru nécessaire de présenter, en matière d'intro
ilaires. MM. Cornil et Ranvier figurent toujours un bourgeon sessile.
M. Charcot
en a vu très nettement de pédiculisés. Quelques o
près cette disposition, comment les 1 Planche VI, figures 26 et 21.
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 18 produits d
de travail exsudatif inflammatoire. « La pneumonie catarrhale, dit »
M. Charcot
, est ici, en quelque sorte, exclue du processus,
étruisent du même coup, quand survient la période de désagrégation.
M. Charcot
a été conduit par des observations personnelles à
s, MM. Grancher et Thaon, en France, et M. Wilson Fox, en Angleterre.
M. Charcot
pense toutefois qu'il y a lieu de compléter et de
ont les formes aiguës dites pneumoniques de la phtisie pulmonaire que
M. Charcot
s'est proposé d'envisager particu-lièrement dans
phtisie du poumon. Pour ce qui est d'abord de la pneumonie lobaire,
M. Charcot
pense qu'elle doit être absolument écartée du déb
i bien anatomi-quement que cliniquement, la pneumonie pseudo-lobaire,
M. Charcot
choisit deux cas concrets pour servir de base à s
l'appeler, est traversée de toutes parts par les travées la part de
M. Charcot
, le sujet d'une démonstration, dans une des séan-
ois des alvéoles, avant d'occuper leurs cavités. « Ce qui rend, dit
M. Charcot
, l'étude de cette zone encore » plus intéressante
re, dans ses études sur un cas de pneumonie caséeuse. Seule-ment, dit
M. Charcot
, à la caractéristique anatomique donnée par cet a
u-les géantes qu'il n'avait pas relevée. Après ces détails, conclut
M. Charcot
, comment méconnaî-tre que ces îlots ou nodules qu
e la région centrale des nodules tuberculeux. « D'après » cela », dit
M. Charcot
, plus radical sur ce point que ne l'ont été MM. T
labora-toire de la Faculté. En se fondant sur ces études nouvelles,
M. Charcot
se croit autorisé à déclarer que « la phtisie pne
rite et mise en lumière par M. Gran-cher. « Quoi qu'il en soit, dit
M. Charcot
, en terminant cette » série de leçons, rien ne me
a configura-lion extérieure. 1 En collaboration avec M. Gombault.
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 19 Quoi qu'il
e lobe. Dans l'épaisseur des lobes supérieurs des deux poumons, on ne
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 20 rencontre
en-ferment, au niveau de la fracture, une certaine quantité de sang à
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 21 demi coagu
nts éclatent à l'improviste, sans prodromes, tantôt ils sont précé-
Charcot
, Œuvres complètes, t. v, Poumons. 22 dés de sym
ur axe en établissant un courant dans le liquide de la préparation.
Charcot
. Œuvres complètes, t. v. Poumons. 2l et 0mm,006
ltération chimique des humeurs. Dans l'observation citée plus haut (
Charcot
et Robin), les cristaux étaient surtout en grande
analogues, sinon semblables, à ceux que nous venons de décrire2. 1
M. Charcot
.-- Ces cristaux sont généralement désignés en All
s cas, la matière contenue était plus dense et la paroi plus épaisse.
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur. 24 Da
itansky, (Lehrbuch der Pathol, anatom. 3 aufläge, band 1, p. 378, 1
Charcot
. — Cas de Tumeurs fibrineuses multiples contenont
t, in Comptes rendus et Mém. de la Soc. de biologie, 185 î, p. 105.
Charcot
. Œuvres complètes, t. y, Poumons et Cœur. 25 am
n, 183°, p. 186. — 0. Beckermann, loc. cit. — Friedreich, loc. cit.
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons. ¿6 tantôt, si
Jackson, in Medico-chirurg. Transact., London, 1846, t. XXIX. — J. M.
Charcot
, Comptes rendus et Mémoires de la Société de Biol
intense, que ces bruits avaient leur maximum au niveau de la région
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 27 moyenne du
illet 1858, à l'hôpital de la Pitié, dans le service de M. le docteur
Charcot
. Cette femme est de petite taille et de chétive a
on, et se fondant sur la connaissance de cas analogues, M. le docteur
Charcot
porta le diagnostic suivant : obturation des tron
se en juger, nous avons reproduit les deux observations in extenso.
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur. 28 Au
cet, Bd. I, p. 232, 3C6. — Kokilansky. Path. anat., Bd. II, p. 477. —
Charcot
. Mémoires de la Société de biologie, 1851, p. 189
cône tronqué, long de plus d'un centimètre, et libre de tous côtés,
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur. 29 ex
ard, s'ex-prime de la manière suivante : « On pourrait tout au plus
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur. 30 so
orte. En laissant de côté ces faits exceptionnels, les anévrismes
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur. 31 de
rismale peut s'ouvrir dans le tissu cellulaire sous-cutané ou sous-
Charcot
. (Euvres complètes, t. v, Poumo?is et Cœur. 32
tions chroniques du larynx des lésions anévrismatiques de l'aorte :
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur. 33 la
ns le Dictionnaire en 30 volumes, n'existe pas à la bibliothèque de
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur. 34 la
t ne se prêtent point à la formation de ces dépôts stratifiés qu'on
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur. 3,'i
relève, et reprend toutes les apparences de la santé. L'un de nous (
M. Charcot
) a observé, chez l'homme, une lésion semblable, a
'aorte postérieure, sic, aie. In Recueil de Méd. vêtér. prat. 1846. —
Charcot
. Sur la claudication intermittente obser-vée dans
es collections sont de véritables nids à embolies, et peuvent aisé-
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur. 35 me
devenir pédiculées, ce qui en favorise le détachement. L'un de nous (
M. Charcot
) a vu chez une femme, morte de phlhisie pulmonair
mourut à la Salpêtrière avec des symp-tômes typhoïdes très prononcés,
M. Charcot
trouva, pour toute lésion, des ulcérations athéro
ien-nent d'être décrits et dont nous connaissons le point de départ
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur. 38 an
ar la suite, et les rendraient, pour ainsi dire, moins inattendues.
Charcot
. Œuvres complètes, t. v. Poumons et Cœur. 39
les artères et dans les cavités cardiaques; elle consiste en un amas
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur. 40 de
, Bd I. p. 232, 305) ; — Rokitansky [Path. Anat., Bd. II, p. 477) ; —
Charcot
(Mém. de la Soc. de Biologie, 1851, p. 189, et 18
lard, nous trouvons la note suivante sur les pneumonies abortives. «
M. Charcot
a trouvé un point de l'étiologie de ces pneumonie
é. « A côté des pneumonies si graves dont il vient d'être question,
M. Charcot
en a observé d'autres que, en raison de leur marc
synoque péri-pneumonique. A la suite de la lecture du compte rendu,
M. Charcot
a donné l'explication suivante : M. Cuarcot : V
ire abortive, avec courbes thermiques, recueillies à cette époque par
M. Charcot
, se trouvent rassemblées dans la thèse de doctora
chon d'Inde soumis à l'inhalation du poussier de charbon de bois, par
M. Charcot
. Fig. 3. 4 et S. — Elles sont relatives à de la
átiles n'est pas absolu. Expériences de Knauff (1867). Expériences de
M. Charcot
. — Faits analogues observés chez l'homme, observa
Caséification.— Exemples: phtisie pneumonique et phtisie granuleuse
Charcot
. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur. 41 ai
oplasie tuberculeuse: opinion de Cruveilhier, Hérard et Cornil ; — de
M. Charcot
.................... 233 QUINZIÈME ET SEIZIÈME L
re, lorsque nous étions interne dans le service de M. le professeur
Charcot
, un malade atteint de maladie de Thomsen, qui p
son service à l'hôpital Saint-Antoine, a adressé à la Salpêtrière à
M. Charcot
, pour être l'objet d'un des cours du mardi (1).
re à M. Charcot, pour être l'objet d'un des cours du mardi (1). (1)
Charcot
, Leç. du mardi, 10 juillet 1888, p. 519. Nous a
la maladie de Thomsen, et quelques jours après, adresse le malade à
M. Charcot
. Étal actuel (juillet 1888). Ce qui attire tout
central. BIBLIOGRAPHIE MOTSCHOUTKOVSKY. Wratsch, p. 258, 1883. -
Charcot
. Leçons du mardi. Janvier, mars, traduc. de M.
L'ouverture de la bouche figure pour me servir d'une expression de
M. Charcot
- un point d'exclamation. La contracture du fac
s notre pays, dont nous devons la connaissance exacte aux études de
M. Charcot
et dont nous trouvons la description entre autres
a Formosa à Venise, et l'laémispasne glosso-labié hys- térique, par
M. Charcot
(de l'Institut). , (2) Je dois les photographie
m- portance grave comme phénomène hystérique. Les observations de
Charcot
(l),Fernet, Secouet, A.Fabre (2) ont démon- tré
t Blin, recueilli clans le service de notre maître M. le professeur
Charcot
, les mouvements limités d'abord au bras gauche
st arrivé, dans les faits de Barrs (5) et de Leube. Dans les cas de
Charcot
et Huet, Ku- rella (6), les mouvements athétosi
Salpêtrière, le 10 octobre 1890 dans le service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires. Père. Mort à 36 ans
presque toutes les observations et en particulier dans les faits de
Charcot
et Huet, de Déjerine. « Ici on a noté un peu de
en maintenant les deux genoux l'un contre l'autre. M. le professeur
Charcot
a très heureusement pour cette raison comparé l
che spasmodique classique et si bien décrite par Ollivier d'Angel',
Charcot
et Erb. En ce qui concerne le plus ou moins de
ètrière le 8 dé- cembre 1890, dans le service ile 11. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires. Père de 39 ans, ouvr
inte du pied, c'est la démarche spasmodique type Ollivier d'Angers,
Charcot
. Les deux sterno-cléido mastoïdiens sont assez
conséquence des mouvements y sont relativement fréquentes. Oulmont,
Charcot
et IInet, Brousse, Massalongo, Kussmaul, Audry,
rhuma- tisme déformant classique. Aujourd'hui on sait très bien que
Charcot
et son école font précisément jouer un rôle à l
t de cette fa- çon il écrit. Dans le cas d'Audry et dans celui de
Charcot
et Huet, le crayon était tenu convulsivement en
e que le malade est ob- servé ; on sait en effet que dans le cas de
Charcot
et Iluet, l'écriture de leur malade était assez
ps légers et d'un petit volume. Il en était ainsi chez le malade de
Charcot
et Huet. Massalongo, Sharkey (1), Beach (2), Audr
(Rosina). Idem. Intelligence passablement développée (Lomhroso).
Charcot
et Huet. Mémoire et intelligence bonnes. Chavan
tres et Dallidet (1), Fischer (2), Buzzard (3). 111. le -professeur
Charcot
(4) y a de nouveau insisté dans sa leçon sur le m
zzard, Two Case of Tholl1sen's Disease. Lance 1SS ï, 1, p. 912. (4)
Charcot
, Le. du mardi, l. c. (5) Bluiuerieau, Ueber die
SÉDÉS » « Nous avons trouvé à la Bibliothèque nationale, disent MM.
Charcot
et Paul Bicher, dans leur beau livre sur les Dé
, ils ne les égalent pas notre point de vue particulier ». Et MM.
Charcot
et Paul Richer ajoutent en note : « Dans le coin
e les malades ne souffrant que peu ou point continuent à marcher.
M. Charcot
donne la parole il M. Paul Bicher. M. P. Richer
r sommairement la règle de proportion dont vient de vous entretenir
M. Charcot
et que vous avez ici sous les yeux, je crois util
même la nature de la déforma- tion dont était atteint le malade que
M. Charcot
vous a présenté. Je n'ai pas à reprendre ici la
ésenté. Je n'ai pas à reprendre ici la description que vous a faite
M. Charcot
, je vous de- mande seulement la permission de r
rcis- sement de la cuisse, et par suite la diminution de la taille.
M. Charcot
nous a dit que cet homme qui mesure actuellemen
humain a pu aider au dia- gnostic et, comme vous l'a fait remarquer
M. Charcot
, vous avez là sous les yeux un exemple frappant
n'est pas sans intérêt. Nous avons entendu il plusieurs re- prises
M. Charcot
en faire observer l'importance et nous nous somme
s, entre le 21 juillet 1891, dans le service de lI. le pro- fesseur
Charcot
à la Salpêtrière, salle Prus, n° 11. ' A. H. Mè
au, entre le 31 octobre 1891, dans le ser- vice de M. le professeur
Charcot
, salle Prus. A. Il. Père hémiplégique il 50 ans
la glace fondante ? z Noire collègue Lamy, actuellement interne de
M. Charcot
, a examiné le ma- lade le 17 mars 1892. Il ne s
es, sont conformés au type gé- néral dont la connaissance est due à
M. Charcot
. Cette complication peut survenir alors que le
ans la catégorie des troubles trophiques osseux el articulaires que
M. Charcot
a le premier décrits. D'ordinaire localisés aux
ies. Cependant il y a peu de temps qu'on a appris il la rechercher.
M. Charcot
la remarquait pour la première fois le septembr
nte seule louche le sol : cela constitue une exception signalée par
M. Charcot
. Dans le premier cas l'épine iliaque est forcém
emière observation recueillie dans le service de M. le pro- fesseur
Charcot
. Depuis, de nouveaux cas ont été rapportés par Ch
tics que nous ont bien fait con- naître, dans ces dernières années,
Charcot
(1) et ses élèves, en particulier Gilles de la
ouvait très exceptionnellement arrêter leurs mouvements atbétô- (1)
Charcot
, Semaine méd., 1SS6. (2) G. Guinon, Rev. de meu
. Gilles .de. la Tourelle qui présenta la malade à M. le professeur
Charcot
Nous nous sommes enfin demandé s'il ne s'agissa
remière, on ne saurait conclure qu'elle (1) Voy. len»3, 1892. (2)
Charcot
, Progrès méd. 188 i. î. DES DÉVIATIONS VERTÉBRA
malade pen- ,dant un temps assez long. La pathogénie proposée par
M. Charcot
et développée par M. Babinski est hors de conte
découvrir à première vue l'exis- tence et le siège d'une sciatique.
M. Charcot
a montré que ce symptôme pouvait déceler une sc
aux à la coxalgie hystérique. , Signalons ici un fait, sur lequel
M. Charcot
attirait récemment notre attention et qui est i
tteints de l'hémiplégie infan- tile, appartenant soit au service de
M. Charcot
soit au service de M. Jules Voisin à la Salpêtr
ÉVIATIONS VERTÉBRALES NÉ VR 0 PATIII QUE s. 213 (Ollivier d'Angers,
Charcot
), ensellure qui parfois, chez les sujets atteints
iter de prendre place à côté des cas décrits par M. le pro- fesseur
Charcot
sous le nom de type d'extension dont deux exemple
er, est venu le 21 juin, consultation du mardi, où M. le professeur
Charcot
l'a présenté concurremment avec deux au- tres s
ie nerveuse; le diagnostic ne fut for- mulé d'une façon précise par
M. Charcot
que vers le mois de juin 1891. E. BECIIET, ..
ade de la Clinique de la Salpètrière, qui a été l'objet d'un cours de
M. Charcot
(Leçons du mardi, 1888-89, p. 84 et suivantes)
double. Chorée hystérique ou rhythmique. C'est à M. le professeur
Charcot
que nous devons une exacte description de cet éta
estion ne se pose point. Il suffira de regarder en arrière dans (1)
Charcot
, Leçons sur les mal. du syst. nerv., t. III. 25
ouble. Tabes dorsal spasmodique. Ainsi nommé par M. le professeur
Charcot
, puis étudié par Little sous le titre de « Congén
ns nerveuses. L'hystérie de la mère a été observée par Richardière,
Charcot
et Huet, par Massalongo. Un malade de J. Dreschfe
s publié sur la mé- decine vibratoire une leçon de M. le professeur
Charcot
(1). Nous ne pouvons mieux faire que de la repr
es que l'on peut retirer de la médecine vibratoire. » La leçon de
M. Charcot
suscita, avons-nous dit, la publication d'un cer-
te d'Argentai (sept, 1744), puis il tomba dans l'oubli. La leçon de
M. Charcot
donne à cet appareil un regain d'actualité ; il
vicale. 1 Nous ne reviendrons pas sur les résultats obtenus, que
M. Charcot
a si- gnalés dans sa leçon et sur lesquels M. C
ue n'incommodera plus désormais. Nous ne ferons que rappeler ce que
M. Charcot
a publié déjà en disant que l'effet de cette vi
vons dire que la méthode vibratoire ima- ginée par M. le professeur
Charcot
a donné jusqu'ici les résultats les plus encour
ccasion d'observer dans le service de notre maître M. le professeur
Charcot
un hystérique mâle qui présentait un développemen
ars 1892 salle Parmentier, service temporaire de M. le pro- fesseur
Charcot
. Antécédents héréditaires. Du côté paternel, le
que les phénomènes vasomoteurs rappellent l'oedème bleu signalé par
M. Charcot
chez les hystériques, mais à quoi pourrait-on l
à la Salpè- trière, salle Prus, dans le service de M. le professeur
Charcot
, le il août 1891. Antécédents héréditaires. S
MM. Joffroy et Achard et la leçon de notre maître M. le professeur
Charcot
ont établi cette doctrine unitaire sur des bases
sseur agrégé, dans l'article Hémiplégie infantile du Dictionnaire).
Charcot
. Sur la goutte asthénique primitive (Thèse de P
au hasard. - « Tout s'y passe au con- traire, dit M. le professeur
Charcot
, suivant des règles, toujours les mê- mes.... »
rvations personnelles. Ce pas décisif fut fait par M. le professeur
Charcot
et l'École de la Sal- pètrière, en même temps q
des raffinements de la civilisation, puisqu'on la rencon- tre, dit
M. Charcot
(3), « chez des individus bien trempés en apparen
culine ou fémi- nine, mais une seule hystérie, dit M. le professeur
Charcot
, « une et indri- visible ». Cela est très cla
e par la connaissance des lois de l'hérédité nerveuse. « Il est (1)
Charcot
, loco citato. 334 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
pourtant citer, après les leçons magistra- les de M. le professeur
Charcot
, les Recherches cliniques de Bourneville et de
répéterions volon- tiers, à propos de l'hystérie infantile, ce que
M. Charcot
disait naguère de l'hystérie masculine : « Voil
titres de nombreux mémoires concernant l'hystérie et en parti- (1)
Charcot
, Levons sur les maladies du sysl. tPTU., t. III,
antes d'hys- térie infantile, si bien décrites par M. le professeur
Charcot
(1), dans les- quelles les accès de délire alte
nt de vouloir encore généraliser ces propositions. M. le professeur
Charcot
a déjà démontré leur peu de fondement en ce qui
l'hystérie infantile de plusieurs de nos observations. Quand on (1)
Charcot
, Leçons du mardi, 1888, p. 199. (2) Gilles de l
au, mais aussi le plus ardu de la question ? C'est M. le professeur
Charcot
qui, dès 1865, a posé les termes du pro- blème
ntre les erreurs possibles de diagnostic. « Cette ressemblance, dit
M. Charcot
(6), qui désespère par- fois le clinicien, doit
clinique, en pensant anatomiquement et physio- logiquement. » (1)
Charcot
, Gazelle hebdoniad. (1865) et Leçons sur les mala
ia by ol'yanie disease of the nel'vous System, London (1891). (6)
Charcot
, Leçons sur les malad. du syst. nerveux, t. III,
de voir quelle pari considérable revenait encore à M. le professeur
Charcot
et à son école dans l'étude complexe des syndrome
cette question dans la pathologie infantile. Pourquoi ? se demande
M. Charcot
(2). « C'est, dit-il, qu'on a eu longtemps l'idée
x faire que de les renvoyer encore à ces lignes de M. le professeur
Charcot
qu'il faut citer décidément il tout propos ; il
t le moyen de prouver ex- (1) Fabre, Marseille médical, 1883. (2)
Charcot
, Leçons du mardi, 1888, p. ` ? 0,3. (3) Dufestc
e des localisations parait un peu plus avancée : M. le pro- fesseur
Charcot
a pu fournir récemment un cas unique d'hystérie s
ujet. Nous n'oserions rien ajouter après cet illustre maitre. (1)
Charcot
, Leçons sur les maladies du syst. nerv., t. III,
au contraire par des lésions li- mitées des mêmes circonvolutions (
Charcot
et Pitres) (1). L'aphasie étant un syndrome plu
es hystériques simulateurs des lésions corticales du cerveau. (1)
Charcot
et Pitres, Localisai, motrices de l'écorce cérébr
1¿do-athétose hystérique. Plus (1) Achard, Thèse Paris, 1887. (2)
Charcot
, Clinique des malad. du syst. nerv. G. Guinon, 18
L'histoire des trem- blements hystériques, conclut M. le professeur
Charcot
(9), est donc un chapitre de plus, à ajouter à
rogrès médical, 1889, et Leçons cliniques sur l'hystérie, 1891. (9)
Charcot
, Clin, des mal. du syst. ne1'v. - G. Guinon, t. I
actè- res qui permettraient de la reconnaître, et que le professeur
Charcot
a résumé en étudiant ce phénomène qui à son avi
assertion si concluante, si péremptoire dans l'étude du professeur
Charcot
auquel nous nous sommes rapporté. Après l'avoir
ssentengrande partie dans le cas que nous étudions. Le professeur
Charcot
avait émis ce propos une hypothèse à l'appui de
es que développe le trau- matisme. A ce propos, dit le professeur
Charcot
en commentant ces expériences dans une de ses l
itable suggestion ». Comme vous le voyez, l'hypothèse du professeur
Charcot
est non seule- ment brillante, mais repose égal
oie de cette explication, en se rapportant aux faits ob- servés par
Charcot
. D'autre part, dans ces observations, on ne voi
tte impression vont en se développant. Mais l'hypothèse émise par
Charcot
ne suffit pas à expliquer tous les cas dans les
. 376 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. tardive ; celle de
M. Charcot
est actuellement la plus répandue, et c'est seu
cet éminent et illustre maître que je m'occu- perai ici. D'après
M. Charcot
, la contracture tardive et due à la sclérose desc
ques ne sont pas en accord avec l'hypothèse de l'illustre maître.
M. Charcot
dit que la contracture tardive indique l'incurabi
e plusieurs mouvements étaient pos- sibles avant ce second ictus.
M. Charcot
cherche la source de la contracture de l'hémiplég
rès les auteurs fran- çais les plus éminents comme M. le professeur
Charcot
et Vulpian le tabes dorsal est au fond une myél
on féminine chez un jeune hystérique du service de M. le professeur
Charcot
, nous a conduit à faire quelques re- cherches s
Tabès ataxique (Arthropathies coxo-fémo- rales au début du -), par
Charcot
, 121. Thomsen, maladie de (Contribution à l'étu
Bo- groff, 18. Ventouseuse, la - per Quiryng Brekelen- kam, par
Charcot
et P. Richer, 199. Vibratoire (Considérations s
5. TABLE DES AUTEURS Bardol, 329. Bogroff, 18. Béchct, 223.
Charcot
(J ? L), 1` ? 1, 109. Delprat, 38. Estèves, 4
de départ d'une véritable épidémie. (La somnambule étant réveillée,
M. Charcot
fait remarquer qu'elle continue à bâiller comme t
rcot fait remarquer qu'elle continue à bâiller comme tout à l'heure.)
M. Charcot
: Qu'avez-vous donc à bâiller ainsi ? La malade
e n'y comprends rien ; j'ai probablement très mal dormi cette nuit.
M. Charcot
: Elle pourrait ainsi continuer, comme le fera l'
m'a définitivement échappé des mains, j'éprouve une grande émotion.
M. Charcot
: Eh bien, vous avez compris par là de quoi il s'a
e, son caractère irrésistible, qui constituent l'état pathologique.
M. Charcot
[au malade) : Racontez-nous, s'il vous plaît, ce
hers de fiacre plutôt que les autres, je n'en sais absolument rien.
M. Charcot
: C'est assez, je vous remercie, vous pouvez vous
e : l de : Neurasthénie Épileptique Epileptique. Hystérie 1. Voir
Charcot
: Hémianesthésie hystérique et hémianesthésie tox
lté et articulant d'une façon presque inintelligible). — Hor...tense.
M. Charcot
. — Tirez la langue. (Aux auditeurs) : Vous voye
ments? La mère. — Un mois environ, monsieur ; mais cela augmente.
M. Charcot
. — Rien de bien remarquable jusqu'ici, c'est un c
Oui, monsieur, il y a quatre mois ; cela a duré quelques semaines.
M. Charcot
, à la mère. — Àvez-vous souffert aussi, madame, d
is; ma mère également a eu les doigts des mains enflés et déformés.
M. Charcot
.— Voici la part de l'élément arthritique dans la
s qui est mort vers l'âge de 40 ans, aliéné, à l'asile de Clermont.
M. Charcot
. — Voilà certes une révélation importante. A la m
vous, madame, qu'avez-vous à dire ? La mère. — Rien dans ce genre.
M. Charcot
. — A quel âge avez-vous eu votre rhumatisme artic
re. — J'ai eu deux attaques : la première à 19 ans, l'autre à 36 ans.
M. Charcot
. — Avez-vous eu la chorée ? La mère. — Non, mon
Non, monsieur, je n'en connais pas d'autre exemple dans la famille.
M. Charcot
. —Vous avez eu d'autres enfants que celle-ci; ont
de rhumatisme. Le cœur n'a pas été pris, les autres n'ont rien eu.
M. Charcot
. — Racontez-moi l'histoire du rhumatisme de la pe
dans les cou-de-pieds surtout et dans les genoux avec gonflements.
M. Charcot
. — Qu'est-il arrivé après ? La mère.— Vers la f
cident, car son caractère depuis plusieurs jours était très changé.
M. Charcot
. — Quand la chose a-l-elle commencé? Il y a un mo
plus s'en servir du tout, et qu'elles sont tout à fait paralysées.
M. Charcot
.—Allons, vous pouvez vous retirer. Tout cela guér
tique de la moelle épinière dans sa moitié latérale. 1er Malade
M. Charcot
: Vous avez sans doute, messieurs, pour la plupar
ces lui reviennent,reprendre son métier de terrassier. 2e Malade.
M. Charcot
: Le second malade sur lequel je viens aujourd'hu
Menschlichen Bückenmarke. Leipzig. 1871. T. I, flg. 1 et 2. ?. Voir
Charcot
, Leçons sur les maladies du système nerveux, t. I
ge de Ménière; forme chronique et vertiges par accès. lre Malade.
M. Charcot
: La malade qui vient d'être placée sous vos yeux
toire des incidents qui se sont produits à la suite de cette chute.
M. Charcot
(au malade) : Veuillez mettre à nu vos jambes et
l y avait au début quelques douleurs derrière l'oreille gauche (1).
M. Charcot
: Vous connaissez nos idées relativement à la par
e avez-vous ? Le malade (en bégayant fortement) : Vingt-huit ans.
M. Charcot
: Depuis quand avez-vous cette paralysie ? Le m
quand avez-vous cette paralysie ? Le malade : Depuis onze jours.
M. Charcot
: Avez-vous ressenti un peu avant une impression
médecin qui m'a dit que ce devait être l'effet d'un courant d'air.
M. Charcot
: Eh bien, vous le voyez, Messieurs, voilà une ét
tournée en me réveillant le matin. J'avais •dormi comme de coutume.
M. Charcot
: Le pronostic de la paralysie, comme durée, ne p
lle. Mon père «st bègue, mon grand-père paternel l'était également.
M. Charcot
: Voilà, remarquez-le bien, Messieurs^une révélat
le. C'était un enfant arriéré et il avait des attaques convulsives.
M. Charcot
(aux auditeurs) : Eh bien, Messieurs, qu'en pense
ans la salle un homme de 54 ans exerçant la profession de forgeron.
M. Charcot
(au malade) : Pourquoi venez-vous nous consulter
ade : C'est que je me sens souvent menacé de tomber du côté gauche.
M. Charcot
: Avez-vous des bourdonnements d'oreille, et de q
que l'ouïe, du côté de l'oreille gauche, est fortement obnubilée.)
M. Charcot
: Avez-vous remarqué que les bourdonnements de vo
prend par un mal de cœur et par un bourdonnement dans les oreilles.
M. Charcot
: Etes-vous jamais tombé par le fait de votre ver
malade : Non, je ne suis jamais tombé; j'ai toujours pu me retenir.
M. Charcot
: Mais vous êtes sérieusement menacé de tomber?
: Si je n'avais pas une canne, je serais exposé à tomber à gauche.
M. Charcot
: Je vois que vous avez non seulement une canne,
me si j'étais pris de boisson, je titube; je n'ose pas sortir seul.
M. Charcot
: Votre étourdissement est donc permanent, incess
cipité du côté gauche, et c'est alors que j'ai des envies de vomir.
M. Charcot
: Vomissez-vous alors quelquefois? Le malade :
is? Le malade : Non, je ne vomis pas, mais j'ai bien mal au cœur.
M. Charcot
: A quoi ressemble le bruit que vous avez dans le
à droite, cela augmente aussi quand je vais avoir un grand vertige.
M. Charcot
: Et la nuit, quand vous êtes au lit, qu'est-ce q
n mer, et quelquefois les croisées me paraissent monter au plafond.
M. Charcot
: Avez-vous donc été en mer par un gros temps?
emps? Le malade : Oui, monsieur, j'ai fait la campagne de Crimée.
M. Charcot
: Vous n'avez jamais perdu connaissance au moment
monsieur, jamais ; j'ai toujours dans ces moments-là la tête à moi.
M. Charcot
: Avez-vous eu des douleurs d'oreille, des écoule
rs d'oreille, des écoulements? Le malade : Non, monsieur, jamais.
M. Charcot
: Depuis quand avez-vous ces vertiges? Le malad
ue j'ai eu le vertige, j'étais en chemin de fer et alors j'ai vomi.
M. Charcot
: Avez-vous été traité déjà? Le malade : Oui, m
endre beaucoup d'iodure et de bromure. Ça ne m'a rien fait du tout.
M. Charcot
: Je le crois bien. J'ai tenu, Messieurs, à faire
malades atteints de paralysie faciale périphérique sont introduits.
M. Charcot
. — Le premier de ces trois malades dont nous allo
as rares, exceptionnels. Un malade est introduit sur une civière.
M. Charcot
: Voici notre malade, nous allons l'examiner très
ravelle, des coliques néphrétiques? Le malade : Non, monsieur. M,
Charcot
: Je remarque en passant qu'il ne présente pas de
signe les articulations méta-tarso phalangiennes des gros orteils.)
M. Charcot
: A quelle époque la douleur était-elle surtout v
e éruption sur la jambe gauche qu'on a appelée un eczéma variqueux.
M. Charcot
: Allons, bien certainement c'est de la goutte qu
e? Le malade : Non, monsieur, jamais je n'avais connu la maladie.
M. Charcot
: Vous avez servi? Le malade: Oui, j'ai été aux
à plusieurs combats en Afrique, mais c'était presque insignifiant.
M. Charcot
: Il est attaché à la compagnie du chemin de fer
ait des Maladies du système nerveux, t. II. Œuvres complètes de J. M.
Charcot
). intéresser sérieusement la reste de l'organe
que vous avez éprouvées. La malade : Vous voulez parler de 1876 ?
M. Charcot
: C'est cela même ; vous aviez alors 46 ans je cr
t, même et surtout en frôlant, sans provoquer une douleur affreuse.
M. Charcot
: Peut être même que là une forte pression eût ét
de feu qui m'enveloppait et j'avais bien peur qu'on ne me touchât.
M. Charcot
: Dans quelle partie du dos siégeait cette douleur
rvalles de repos ; cela brûlait toujours affreusement nuit et jour.
M. Charcot
: Remarquez, messieurs, cette rachialgie avec hyp
existe toujours un peu et augmente, de temps en temps, par moments.
M. Charcot
: Veuillez remarquer,messieurs,cette « installatio
jambes d'abord, puis dans les bras et les mains, et un peu partout,
M. Charcot
: Voyons, ne mêlons pas tout, procédons par ordre
d'hui, mais je les ai ressenties encore il y a deux ou trois jours.
M. Charcot
: Eh bien ! c'est cela que je veux dire : vous le
elles étaient autrefois ? La malade : Oui, monsieur, tout à fait.
M. Charcot
: Par conséquent, vous les connaissez bien et vou
s cuisses. Quelquefois il me semble que les douleurs se rejoignent.
M. Charcot
: Vous m'avez dit que ces douleurs, vous les ress
nuit, surtout la nuit ; il y a maintenant douze ans que cela dure.
M. Charcot
: Sont-elles aussi fortes maintenant qu'autrefois
temps, je suis restée huit jours sans dormir, à cause des douleurs.
M. Charcot
: Et les coups de couteaux, sur le point où vous
iment de brûlure. Il me semble que mes jambes sont dans un brasier.
M. Charcot
: Vous êtes sûre qu'il y a des intervalles parfai
x, douze ou quinze jours, sans grande régularité, depuis douze ans.
M. Charcot
: Veuillez retenir ceci, messieurs : les douleurs
de : Oui, dans les deux mains, mais jamais dans les deux à la fois.
M. Charcot
: Et comment sont les douleurs dans les mains? son
ai dans les jambes ; du reste, ce sont aussi de grands élancements.
M. Charcot
: Ressentez-vous habituellement un engourdissemen
r, mais non constamment, je les ressens seulement de temps à autre.
M. Charcot
: J'ai eu bien des fois l'occasion d'appeler votre
et menace de choir; c'est là ce qu'on appelle le signe de Romberg.
M. Charcot
prie la malade de marcher ; elle fait quelques pa
né par sa mère qui le tient sur ses genoux et par un de ses oncles.
M. Charcot
. — On me signale ce cas comme un exemple de choré
s et il est devenu triste, indolent, depuis qu'il a ses mouvements.
M. Charcot
. — A-t-il eu des rhumatismes articulaires ; a-t-i
ée à l'âge de douze ans; elle a été toute sa vie triste, taciturne.
M. Charcot
. — C'est tout ? La mère. — Oui, monsieur, de mo
une méningite. Il déraisonnait. Il ne savait plus ce qu'il disait.
M. Charcot
. — S'est-il agi là d'une combinaisou de paralysie
ait rhumatisante: elle avait les doigts tout déformés, tout tordus.
M. Charcot
. — Tout cela, Messieurs, est singulièrement signi
de la courbure exagérée, souvent anguleuse que présente le 1. Voir
Charcot
. Leçons sur les malades du système nerveux. T. II
n'a pas ressenti ses douleurs, bien que le temps soit fort humide.
M. Charcot
, au malade : Les douleurs dont vous souffriez éta
les, et elles n'ont pas duré. Maintenant, je dors toutes les nuits.
M. Charcot
: Voilà certes un résultat intéressant. Vous n'ig
nt ; je ne suis pas tombé, je n'ai même pas fait un faux mouvement.
M. Charcot
: Voilà bien une fracture d'ataxique. Au malade
ournée dans les magasins sans être forcé de m'asseoir à chaque pas.
M. Charcot
prie le malade de se tenir debout les pieds rappr
e fois. C'est comme dans le temps, alors que je n'étais pas malade.
M. Charcot
: Il y a encore un autre résultat obtenu dont il
rg a en grande partie disparu. Réflexes rotuliens toujours absents.
M. Charcot
, s'adressant au malade : Tout ce que je viens de
vent à rien. Hier, je suis très bien descendu du tramway en marche.
M. Charcot
, au malade : Ne faites pas trop de ces prouesses-
e vous ne pouvez plus parler? Expliquez-moi votre cas... Répondez !
M. Charcot
, s'adressant aux auditeurs : Examinez avec soin t
rative sur laquelle sont écrits les mots: «. Admission d'urgence. »
M. Charcot
, s'adressant à la malade : Lisez, je vous prie, e
papier et écrit : «Admission d'urgence à l'hôpital, comme malade. »
M. Charcot
, aux auditeurs : Allons, cette fois-ci c'est parf
is se produit l'attitude en arc de cercle à deux ou trois reprises.
M. Charcot
qui n'a pas cessé pendant ce temps de maintenir l
onné autour d'elle. La malade ; Où suis-je, qu'est-ce qu'il y a ?
M. Charcot
, à la malade : Eh bien vous êtes dans la salle du
ommes-nous? La malade, avec un air de conviction : Eh bien, jeudi !
M. Charcot
, aux auditeurs : Jeudi est justement le jour où e
ce que vous avez rêvé ? La malade : Rien, je ne me rappelle rien.
M. Charcot
: Allons ! je la crois bien éveillée maintenant.
depuis longtemps pour les avoir maintes et maintes fois éprouvées.
M. Charcot
, à la malade. — Quand avez-vous ressenti pour la
s les jambes? La malade. — Monsieur, il y a à peu près trois ans.
M. Charcot
. — Dites-moi, je vous prie, où vous les ressentez
ntôt dans la gauche ; je les sens aussi aux chevilles, aux cuisses...
M. Charcot
. — Vous viennent-elles souvent ? 1. Voir à ce p
. M. Charcot. — Vous viennent-elles souvent ? 1. Voir à ce propos ;
Charcot
. De Y hypèresthésie de l'ovaire dans certaines fo
des hystériques a réellement son siège dans l'ovaire, observations de
M. Charcot
développées dans une note communiquée à la sociét
le point où j e les ressens ; là, on dirait que la peau est à vif.
M. Charcot
. — Voilà qui rappelle la description classique de
ès vifs dans le côté de la tête et de la face à gauche, à la nuque.
M. Charcot
. —Voilà qui est assez significatif. D'autres rens
son, où il fit connaître qu'il ne savait pas ce que j'étais devenu.
M. Charcot
: Ainsi, à partir du 18 janvier, 8 heures du soir
e malade : Le 26 janvier ; il était deux heures de l'après-midi. M,
Charcot
: Cela fait donc huit jours moins cinq heures, so
out droit. J'arrive à la gare et j'apprends là que j'étais à Brest.
M. Charcot
: Ainsi, messieurs, parti de la rue Mazagran à Pa
s n'étaient pas usés comme dans quelques-unes de mes autres crises.
M. Charcot
: Remarquez bien ce détail : ses habits sont prop
int de lui raconter mon affaire et de me mettre sous sa protection.
M. Charcot
: Mal lui en prit, messieurs, vous allez le voir.
dit de porter toujours avec moi pour la montrer en cas de besoin...
M. Charcot
: Ah ouil L'ordonnance que je vous ai donnée le 2
as même de paille pour se coucher; c'est là que j'ai passé la nuit.
M. Charcot
: Une dépêche avait été envoyée au patron par le
me l'a rendue en disant : « C'estbien, c'est bien; nous verrons. »
M. Charcot
: Absolument comme le gendarme! vous le voyez, ce
55 pour prendre le train et c'est ainsi que je suis revenu à Paris.
M. Charcot
: Telle est la fin de l'histoire ; mais ce n'est
malade : Monsieur, je le suppose : mes souliers étaient tout usés.
M. Charcot
: Aviez-vous de l'argent dans votre poche ? avez-
e ; je les ai retrouvés tels quels lorsque je suis rentré chez moi.
M. Charcot
: Ainsi, vous le voyez, messieurs, c'est tout com
me suis plus senti de rien absolument, pendant trois mois et demi.
M. Charcot
: Vous avez eu votre second accès le 30 juin. Il
it l'autre fois, le surlendemain à 9 h. 1/2, nageant dans la Seine.
M. Charcot
: Ah !oui, je me souviens de l'aventure, c'est la
t cela s'est passé, car, sans le savoir, j'avais remonté ma montre.
M. Charcot
: Ainsi, messieurs, automatiquement et sans qu'il
n m'a conduit, me connaissait justement, il m'a laissé partir seul.
M. Charcot
: Vous ne pouvez pas dire ce que vous avez fait p
che,et lorsque je suis sorti de l'eau j'avais encore quelques sous.
M. Charcot
: Remarquez bien ceci, messieurs, le premier accè
ît que je suis resté sans connaissance pendant près de trois jours.
M. Charcot
: Cependant vous m'avez dit qu'avant cette époque
, je bois du vin sucré, etc., etc. Je me crois guéri de ce côté-là.
M. Charcot
: Je l'espère. Je vous rappelle à ce propos,Messi
ai eu depuis. Du reste, l'opération ne m'a absolument pas soulagé.
M. Charcot
: A.quelle époque avez vous commencé à avoir la v
et basse lors de ma première crise, c'est-à-dire à la fin de 1883.
M. Charcot
: Vous le voyez, tout cela date de l'origine du m
is réveillé, couché par terre et qu'on m'a dit ce qui était arrivé.
M. Charcot
: La même chose vous est arrivée plusieurs fois d
foquer. Mais alors je ne tombe pas et je ne perds pas connaissance.
M. Charcot
, aux auditeurs : Vous venez d'entendre un récit f
39. 2. Traité de l'hystérie, p. 477. 3. Etudes, t.ïl.p. 25, 4.
Charcot
. — Lezioni cliniche dell anno scolastico 1883-84,
ail morbide (1). C'est au voisinage 1. Conformément à l'opinion que
M. Charcot
a soutenue dès l'origine, M. John Rissler dans un
fracas que feraient en tombant sur le sol des milliers d'assiettes.
M. Charcot
, aux auditeurs: Veuillez prêter, messieurs, une a
gauche, renversé à terre, et bientôt après je perdais connaissance.
M. Charcot
: Parlez-nous de ce choc que vous dites avoir res
ti le choc m'ont paru aussitôt lourdes, pesantes, comme engourdies.
M. Charcot
, aux auditeurs: Avant-hier, j'ai faitplacer le ma
née du côté de Noisy, et les pieds par conséquent du côté de Paris.
M. Charcot
: Vous avez un instant perdu connaissance? Le ma
ou dix minutes peut-être, mais je ne puis rien affirmer là-dessus.
M. Charcot
: Vous avez compris, messieurs, que l'analyse seu
r, comme un enfant. Il y a longtemps que cela ne m'était arrivé. M,
Charcot
: Il n'avait ni tremblé, ni pleuré à Puebla alors
op ce que je faisais, retourner du côté deNoisy,tant j'étais ahuri.
M. Charcot
: Le voilà donc qui se met en marche, boitant, tra
sais tout à coup sur mon lit croyant entendre le bruit du tonnerre.
M. Charcot
: G'estbien. Veuillez nous dire, actuellement comm
— E, cordons de Goll. Extrait du t. II des Œuvres complètes de J. M.
Charcot
, p. 295. spinaux postérieurs, celles surtout de
e. En présence des cas indéniables d'hystéro-traumatisme apportés par
M. Charcot
en France.par MM. Bernhardl,Leyden et autres en A
s'être cantonné le débat. L'observation recueillie dans le service de
M. Charcot
qui va être rapportée, ressortit à cette catégori
lits, est entré à la Salpêtrière, dans le service de M. le professeur
Charcot
, le 3 juillet 1889. Antécédents héréditaires. —
neurasthénique. Après quoi, conformément à une évolution sur laquelle
M. Charcot
a plusieurs fois appeié l'attention, l'hystérie e
es anesthésies hystériques. Mais cet argument ne vaut pas. Il est né,
M. Charcot
(1) l'a parfaitement dit, « de l'idée relativemen
térie. La tristesse, la mélancolie, l'apathie intellectuelle ? Mais
M. Charcot
à déjà montré que chez le mâle en particulier, la
re. dans la GazelteMédicale du samedi 23 novembre 1889. 3. Leçon de
M. Charcot
recueillie par M. Babinski, chef de clinique et p
), 32. — dans l'Hystérie, 165 et passim. — dans le Tabes, 159, 165.
Charcot
, 35, 54, 179, 277, 362, 418, 487, 501, 527, 533
nous avons reçus de toutes parts, et l'intérêt que M. le professeur
Charcot
té- moigne a notre publication est la meilleure
quarante-sept ans est entré le 17 février z1886 dans le service de
M. Charcot
. Si ses antécédents hérédi- taires et personnel
de ses dernières conférences de la Salpêtrière, M. le pro- fesseur
Charcot
, à propos d'un malade porteur d'une prétendue déf
ure du corps humain. ' Ce n'est pas d'ailleurs la première fois que
M. Charcot
soulève devant ses auditeurs cette intéressante
résentent les muscles contracturés, même pendant de longues années (
Charcot
et Cornil). La persistance et l'irréductibilité d
r cette complication rare mais non moins réelle des contractures.
M. Charcot
avait observé depuis longtemps, à l'occasion d'un
stent constamment ni dans un cas ni dans. un autre. « Pourquoi, dit
M. Charcot
, tout étant égal d'ailleurs, du moins en appare
in 1887 et occupe le lit n° 1G de la salle Rayer dans le service de
M. Charcot
. l. Antécédents héréditaires. - Son grand-père
raction fibro-tendineuse, notion qu'on ne soupçonnait pas avant que
M. Charcot
l'eût établie. Voici cette observation : Ob
Voici cette observation : Observation II. (Extrait d'une leçon de
M. Charcot
, recueillie par le docteur Babinski et publiée
che seule et sans béquilles et n'accuse aucune douleur '. ' Quand
M. Charcot
présenta cette malade à ses auditeurs elle était
pour la démonstration; elle est restée longtemps dans le service de
M. Charcot
à la grande Infirmerie de la Salpêtrière et, bi
s publiée in extenso dans le premier volume des ouvres complètes de
M. Charcot
et elle y est accompagnée de deux dessins. L'un
- ractéristique. « La roideur musculaire, devenue permanente, dit
M. Charcot
, impose à ces malades, dans beaucoup de cas, une
it le moment où j'avais l'honneur d'être interne dans le service de
M. Charcot
- un troisième dessin, où notrè malade est figu
p. 217) l'observation d'un cinquième malade qui fut, de la part de
M. Charcot
, l'objet d'une leçon sur la maladie de Friedreich
antérieurement aux quatre dernières observations, M. le professeur
Charcot
avait fait, le 15 février 1884, une première leço
nt dans son entier par M. D. Miliotti dans les Lezione cliniche (de
M. Charcot
) delL'aa2o scolastico 1883-84 sulle malallie de
é le 7 janvier 1884 à la Salpêtrière dans le service de M. le prof.
Charcot
. , Père, quarante-septans, bijoutier; mère, qua
. Dujardin-Beaumetz, puis il est entré à la Clinique de M. le prof.
Charcot
au commencement de janvier 1884. État actuel :
. âgée de vingt'ans, est entrée a la Salpêtrière dans le service de
M. Charcot
, le 28 juin 1887, et occupe le n° 9 de la salle
patholo- tique `. II n'en est rien cependant, ainsi que l'enseigne
M. Charcot
, et l'empreinte laissée par un pied tabétique s
R. Clinique des maladies du système ncrvcuz. (A suivre.) t 1.
Charcot
et Féré. Note sur les altérations osseuses et art
cture spasmodique . (Suile et fin'). Observation IV. - (Leçons de
M. Charcot
, Résumé.) Pachyménk- - gite cervicale hypertrop
dino-fibreuses. « Les productions fibro-tendineuses sont rares, dit
M. Charcot
,, dans les contractures hystériques, alors même
de déterminer rigoureusementles causes qui leur donnent naissance.
M. Charcot
ne se prononce pas catégo- riquement à ce sujet
ociation de la diathèse arthritique et névropathique qu'a démontrée
M. Charcot
rendrait mal compte de la rareté de la complica
ion pathogène d'une influence diathésique inconstante. Toutefois,
M. Charcot
nous a fait remarquer, à l'enconlre de notre hy
de contracture, c'est, selon l'indi- cation nettement formulée par
M. Charcot
, dans ces seuls cas que doit se poser la questi
e malade a fait l'objet, le 20 décembre 1887, d'une première leçon de
M. Charcot
. Leçons du mardi et la Salpêtrière, policliniqu
la Salpêtrière, policlinique 1887-1888; notes de cours de MM. Blin,
Charcot
, Coliu, élèves du service, v° leçon, p. 71. Progr
s affectés avaient repris l'intégrité totale de leurs mouvements et
M. Charcot
le présentait de nouveau à ses audi- teurs du m
ôté est tirée par en haut. Il comprend également la partie leçon de
M. Charcot
: Spasme glosso-labié unilatéral des hystériques.
précédente. Au lieu d'un pied équin, on aurait un pied talus, etc.
M. Charcot
est très affirmatif sur ce point, et voici comm
dans le 3" volume des Leçons sur les maladies du système nerveux de
M. Charcot
, 2;)" leçon, p. 100- DE L'INTERVENTION CHIRURGI
ns vu et en voyons encore des exemples frappants dans le service de
M. Charcot
. Chez tous il existe, mentalement et physiqueme
es cas d'arthropathie labliqllc, lorsque, en 1808, M. le professeur
Charcot
publia la pre- mière observation d'arthropathie
cédé, et la question a été étudiée principalement en France par MM,
Charcot
, Bail, Vulpian, Bourneville, Michel; en Alle- m
d n'était signalé jusqu'en 1883, époque à laquelle M. le professeur
Charcot
décrivit le pied tabétique. « Presque toutes le
resque toutes les observations publiées jusqu'à ce jour, disent MM.
Charcot
et Féré1, dans leur important 1. Charcot et Fér
usqu'à ce jour, disent MM. Charcot et Féré1, dans leur important 1.
Charcot
et Féré, Archives de neurologie, ISSi. 10 13t
eut faire errer le diagnostic. » On trouvera dans le mémoire de MM.
Charcot
et Féré cinq observa- tions de pied tabétique.
our et de douleur paraît être un caractère il peu près constant. » (
Charcot
.) Cependant, il est des cas dans lesquels une réa
Cette déviation du métatarse en dehors, sur laquelle insistent MM.
Charcot
et Féré, n'est cependant pas toujours de règle. E
peu exagérée, de sorte que l'empreinte des pieds est normale. » MM.
Charcot
et Féré ont, du reste, noté dàns leur travail l
e tibia et le pé- roné étaient malades. Dans l'observation Y de MM.
Charcot
et Féré il n'est cependant pas question du tibi
signe excellent qui sert à différencier les deux étals des muscles.
M. Charcot
a particulièrement insisté sur ces signes, dans
oi en )884', el qui fit le sujet de deux leçons de M. le professeur
Charcot
2. Je rappellerai rapidement les phases princip
vent trois femmes, deux appartenant auservice de M. le profes- seur
Charcot
, l'autre au service de M. Joffroy, mon collègue à
ière l'ois des pertes de connaissance et des phénomènes nerveux que
M. Charcot
rattache à l'hystérie. Ce l'il[ à celle époque
accentuée encore sur les gros 1. Observation déjà signalée par Il.
Charcot
. Leçon, l3ull. mM" 23 mai IS7, p. 102. 2. Voir
e. Au mois de juin 1887, elle vient à la consultation du professeur
Charcot
qui conseille la section des tendons d'Achille
elle ne peut plus marcher. En 1881, elle entre dans le service de
M. Charcot
qui diagnostique une paraplégie hystérique et l
Ces deux malades ont fait le sujet d'une leçon de M. le professeur
Charcot
qui compare les lésions qu'elles onf présentées
nné les observations de deux malades du ! service de M. le professeur
Charcot
; et, à cette occasion, recherché et ' reproduit
une autopsie ayant été faite dans le service de M. le pro- fesseur
Charcot
et deux nouveaux malades observés à sa consultati
venir (mai 1888) d'Espagne à Paris, pour consulter M. le professeur
Charcot
, c'était uniquement une céphalalgie persistante
Il était venu d'Espagne tout exprès pour consulter M. le professeur
Charcot
, et la seule chose qui l'avait déterminé à fair
ffère chez notre malade du type qu'a si bien décrit M.le professeur
Charcot
. Il manque un détail : le relèvement des orteils
ésumons ici la première autopsie de pied tabétique, publiée par MM.
Charcot
et Féré. Calcanéum. - La facette postérieure de
nce du grand sympathique ? Nul ne saurait le dire en ce moment. »
M. Charcot
crut tout d'abord à une lésion des cornes antérie
0, une seconde par Liouville, en 1874, semblaient corroborer ce que
M. Charcot
avait trouvé dans sa première autopsie (1869).
oir aucune altération des cellules des cornes antérieures. En 1880,
M. Charcot
abandonna sa première thégrie. M. Michel, dans
souvent très diffi- cile parce que, comme l'a montré le professeur
Charcot
, l'arthropa- thietabétique frappe souvent les m
description, aujourd'hui classique, qu'en a donnée M. le professeur
Charcot
n'est point à refaire. Elle subsiste dans toute
er aujourd'hui avec le chapitre des exceptions, et M. le professeur
Charcot
a été conduit, au sujet d'un malade de la Cliniqu
variété de l'attitude dans la paralysie agitante a été désignée par
M. Charcot
sous le nom de type d'extension (fig. 82). On v
sultation externe de la Salpêtrière, du service de M. le professeur
Charcot
. Grand'mère maternelle rhumatisante. Père et mè
Cette observation prise à la consultation externe de M. le professeur
Charcot
nous a été obligeamment communiquée par M. Bloc
partie des quatre cas observés dans le service de M. le professeur
Charcot
. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. 1. pL. XLVI1' Cli
irie Lecrosnier et Babé le livre de nos éminents collaborateurs MM.
Charcot
et Paul Richer : les Difformes et les Malades d
u pied), par Pavlidès, 133, 198. Aveugles (les - dans l'art), par
Charcot
et Richer,211. Contracture spasmodique (des r
cypho-scoliose -, par Duret, 192; hé- mispasme glosso-labié -, par
Charcot
et nicher, 87. Imbécillité (note sur un cas d
eny,100. Infirmes (les - d'une ancienne fresque de Florence), par
Charcot
et Richer, 131. Mascaron grotesque (le et l'hém
ascaron grotesque (le et l'hémispasme glosso-labié hystérique), par
Charcot
et Richer, 87. Moelle (des suites éloignées d
ar Tuffier etHallion, 217. Lépreux (sur un - d'Albert Dürer), par
Charcot
et Richer, 42. Paralysie agitante (habitude ext
elle). TABLE DES AUTEURS Blin, 75. Blocq, 28, 45, G1, lit. t.
Charcot
, 42, 87, 131, 170, : ! OU, 258. Damaye, 75. "
que j'ai eu l'honneur de passer dans le service de M. le professeur
Charcot
à la Salpêtrière, j'ai observé un certain nombr
alpêtrière, et occupe le lit 8 de la salle Prüss dans le service de
M. Charcot
. Antécédents héréditaires. - Il n'a pas connu s
ccupe le lit nez 1 salle Rayer, dans le service de M. le professeur
Charcot
. , Antécédents héréditaires. - Son grand-père m
consultation externe de la Salpêtrière, service de M. le professeur
Charcot
. Elle demande nos soins pour divers troubles su
- cembre ·1887à la Salpêtrière, dans le service.de I. le professeur,
Charcot
, Antécédents .héréditaires ? 'IL'lra : pas. con
t données les conceptions dès longtemps formulées par le professeur
Charcot
sur le rôle prépondérant de l'hérédité dans la pr
me de ménage, se pré- sente à la consultation externe du service de
M. Charcot
, le 7 décembre 1887. Antécédents héréditaires.
le hypertro- phique et de la syringo-myélie; que de plus, ainsi que
M. Charcot
l'a fait observer, dans l'ataxie locomotrice, l
casion d'en observer un exemple dans le service de M. le professeur
Charcot
, à la Salpêtrière, et nous avons pensé intéress
liniques sur la grande hystérie. 2. Les Démoniaques dans l'art, par
Charcot
et Il. lticlicr. inuitjiné Lips... NOUVELLE I
nique des maladies du sytème ner- veux, service de M. le professeur
Charcot
, salle Duchenne de Boulogne, le Il mai 1888.
nes de fort inté- ressantes ; de plus, notre mâître,M.le professeur
Charcot
, a bien voulu 60 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
est ce qu'il nous faut examiner. Nous savons par les expériences de
M. Charcot
et de ses élèves les diffé- rences profondes qu
tracé 1. Les tracés ont été pris au laboratoire de M. le professeur
Charcot
avec le concours de M. Il net, interne du senic
nstitut). 1. Depuis que cette leçon a été publiée, M. le professeur
Charcot
a eu l'occasion dans une de ses conférences du
UTRES MALA- DIES DU SYSTÈME NERVEUX). Depuis que M. le professeur
Charcot
a publié les résultats intéres- sants qu'il a o
titre de panacée. Ce que nous pouvons dire, c'est que, grâce à lui,
M. Charcot
aobtenu chez des rnalades, qui, depuis plusieur
iorer d'une façon progressive. Dans tous les cas, comme le disait
M. Charcot
, « le traitement peut être institué avec confia
rises où l'emporte le fidèle Pierrot. L'aquarelle qui appartient il
M. Charcot
et que nous reproduisons (pl. XVI) semble bien
embre 1887, nos fonc- tions de chef de clinique de M. le professeur
Charcot
, nous avons trouvé dans la salle Duchenne, de B
lpètrière, salle Duchenne, de Boulogne, service de M. le professeur
Charcot
, le 22 septembre 1887. Antécédents héréditaires
à la Salpêtrière, et elle entra daus le service de M. le professeur
Charcot
au mois de septembre 1887. On remarqua alors qu
esthésiques ainsi que la zone périorbitaire. Le 23 novembre '1 888,
M. Charcot
la présente à ses auditeurs pour une attaque de
ît la méthode expérimentale nouvelle inaugurée par M. le professeur
Charcot
. Dans ses leçons des deux dernières années sur le
uis nous la réveillons en lui soufflant sur le visage. 1..1.-itl.
Charcot
, Spasme glosso-labié unilatéral des hystériques.
rique qui l'ait l'objet de notre observation. 1. On .ait, d'après
M. Charcot
, que la parahsie hystérique n'affecle jamais les
Extrait du livre : Les Difformes et les malades dans l'art, par J. M.
Charcot
(de l'Ins- titut) et Paul Richer qui \ient de p
p. 230). ' 4, Traité clinique des maladies mentales, p. 3.t3, 5.
Charcot
et réré, Affections osseuses el articulaires du p
description aujourd'hui classique, qu'en a donnée M. le professeur
Charcot
et cette description n'est certes pas à refaire
un esprit non prévenu. Cette variété d'attitude a été observée par
M. Charcot
chez un paralytique agitant qu'il présenta, l'an
partient, elle aussi, au type d'extension. Elle a été présentée par
M. Charcot
à ses ; auditeurs dans la conférence clinique d
ssière, entre à la Salpètrière, dans le service de M. le professeur
Charcot
, le 18 juin 1889. Antécédents héréditaires. - C
du côté du spasme glosso-labié si magistralement décrit par 11111.
Charcot
, Brissaud et Marie et dont la découverte fut, a
par une zone transversale figurée dans l'observation rapportée par
M. Charcot
dans le troisième volume de ses Leçons sur les
servation suivante, et, comme à cette époque, et bien avant encore,
M. Charcot
faisait reproduire dans son service les particu
e dans l'ordre. La malade entre à la Salpêtrière dans le service de
M. Charcot
, le 27 mai 1882. Jusqu'au 18 juin, elle a des a
ises séparées, entrée à la Salpêtrière, service de M. le professeur
Charcot
, en 1878; sortie, puis entrée de nouveau en 187
nd un aspect en dos d'une et devient dure au toucher. Le 20 juin,
M. Charcot
s'exprimait ainsi en présentant la malade à sa
e fixer il gauche. La contracture de la langue est permanente. 1.
M. Charcot
a présente cette malade à sa Policlinique du 2G j
dangereux, car ils entretiennent singulièrement les contractures.
M. Charcot
n'a-t-il pas montré, en effet, que le meilleur mo
accompagnées d'hémia- nesthésie d'origine organique sur lesquelles
M. Charcot
a récemment appelé de nouveau l'attention dans
ar Brodie dans la coxalgie due à la névrose. - Précisant davantage,
M. Charcot
adcpuis longtemps montré, au point de vue de le
i eu l'occasion de voir, en 1882, avec mon maître, M. le professeur
Charcot
, une jeune malade atteinte de contracture hystéri
les applications aimantées, par l'hydrothérapie. Deux ans après,
M. Charcot
recevait du mé- decin de la famille la nouvelle
s dans les états expérimentaux hypnotiques longue- ment décrits par
M. Charcot
et par moi sous le nom de contracture léthargiq
talit morte, il y a environ deux ans, dans le service du professeur
Charcot
, mon excellent ami Marie m'a chargé d'étudier s
trouve l'hémiplégie hystérique. Todd en a donné une description que
M. Charcot
a rendue classique, en y ajoutant encore l'étud
s donner eût été impossible à fournir avant 1887, époque à laquelle
M. Charcot
décrivit pour lapremière fois le spasme glosso-
effroyable, le visage tout tourné de M.-A. Couronneau. 1. L-t ! .
Charcot
. Spasme -Iosso-lahié unilatéral des hystériques.
que cette idée préconçue de la simulation qui, ainsi que l'enseigne
M. Charcot
, a nui pendant si longtemps il la nosographie de
f de clinique, suivant en cela l'en- seignement de M. le professeur
Charcot
, rompant pour ainsi dire en visière avec la tra
lysies hystériques. Archives de neurologie, n°' : 31 et 35, 1886. -
Charcot
. Leçons sur les maladies du système nerveux, t. I
TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. -253 « , 1889-1890, M. le professeur
Charcot
nous a appris que l'atrophie musculaire hystéri
, entré le 6 juin 1889 salle Prus n° 8, service de M. le professeur
Charcot
. t. Antécédents héréditaires. - Père alcoolique
nt manifestes. C'est un point sur lequel a particulièrement insisté
M. Charcot
en les présentant à ses auditeurs. Elles sont
croit être le premier à décrire. Le 28 juin 1889, M. le professeur
Charcot
, dans une de ses Leçons du mardi4 aétudié« l'oe
89, salle Prus, n° 9, à la Salpêtrière, service de M. le professeur
Charcot
. 1. Des troubles trophiques dans l'hystérie (Ga
était f.... dedans cette fois - « Je vais te donner une lettre pour
M. Charcot
... Des lettres ? j'en avais trois dans ma poche..
nus de Paris, qui ne connaissent pas ma maladie. Je crois que c'est
Charcot
qui a raison... quand il m'a vu M. D... lui a d
i a dit : « C'est un hystérique, mais il n'a pas eu de crises. » Le
père Charcot
a répondu : « S'il n'a pas eu de crises, eh bien
t, en insistant sur chaque mot... « Me voi-là passé pensionnaire de
M. Charcot
. En voilà un certificat d'idiotie, de crétinism
des trois observations suivantes que notre maitre, IL le professeur
Charcot
, a bien voulu nous communiquer. Ons. III. - OEd
cliché). - Le fait a été noté chez deux hysté- riques du service de
M. Charcot
par MM. Bourneville et Regnard 1. Axenfeld° dan
XLV) qui, comme on le verra, fut présentée à plusieurs reprises par
M. Charcot
à ses auditeurs des-Leçons du Mardi et dont l'a
tatives des'attitudes'passionnelles, comme le faisait remarquer M.'
Charcot
, sont encore assez particulières, elles montren
ection et dans le service de notre éminent maître, M. le professeur
Charcot
. Elles sont en cours depublicationdansle Progrè
La cinquième malade (Saint-Denis, 15 ans 1/2) a été présentée par
M. Charcot
à sa Leçon du Mardi, 5 février 1889. A cette époq
à la Leçon du Mardi, 5 février, que notre maître, M. le professeur
Charcot
a consacrée, en partie, à ce cas intéressant.
hoses, le réveil se fera attendre quelques jours encore. » p Puis
M. Charcot
analyse devant ses auditeurs les divers phénomène
endant la leçon même par des salutations. « Vous reconnaîtrez - dit
M. Charcot
dans ces grands mouvements de salutation un des
ce qui a lieu dans les séries d'attaques hystéro-épileptiques. »
M. Charcot
réveille alors la malade par la pression d'une zo
vril 1888, Biz... a eu cinq états de mal léthargique, pour lesquels
M. Charcot
l'a présentée plusieurs fois àson cours. On ne
pendant tous les autres états, courbe qui mérite, comme l'a montré
M. Charcot
dans sa Leçon du 5 février, d'occuper un rang de
dans l'hystérie, entre- prises dans le service de M. le professeur
Charcot
, pendant les années 1888 et 1889, nous avons ét
t nous rapportons l'observation a été présenté par M. le professeur
Charcot
dans une de ses Leçons cliniques du mois de nov
harcot dans une de ses Leçons cliniques du mois de novembre 1889.
M. Charcot
fit alors remarquer à ses auditeurs tout l'intérê
progressive du type qui porte son nom avec la syrin- gomyélie. ,
M. Charcot
montrait encore qu'on pouvait porter dans la circ
L'ARMÉE ALLEMANDE , Depuis les derniers travaux de M. le professeur
Charcot
, le cadre de l'hystérie s'est singulièrement ag
hrift, n° 10, 11 mars 1889. Ce cas a été analysé par M. le professeur
Charcot
dans ses Leçons du mardi à la Salpêtrière, 18°
LA SALPÈTRIÈRE.. phases à la grande attaque hystérique décrite par
M. Charcot
chez ses pensionnaires-femmes de la Salpêtrière
la forme de la grande attaque typique si admirablement décrite par
Charcot
et P. Richer. Le caractère de ces attaques ra
attaques présentèrent le caractère typique de la grande hystérie de
Charcot
peu de jours après le début; les trois périodes
s séminales, ni morsures de la langue. Dans la seconde période, que
Charcot
caractérise si bien sous le nom de période des
chez les -), par Laufenaucr, 203. Malades (les - dans l'art), par
Charcot
et Richer, 146. Mélancolie cataleptique (une
locomotrice et de quelques autres maladies du système nen eux), par
Charcot
, 81 ; (de la technique à suivre dans le trait
LE DES AUTEURS nezançon, 65. Blocq, 1. Cathelineau, 290, 306.
Charcot
, 81, 146. Dutil, 165, 251. Féré, 38, 92, 130,
ependant, ajoutais-je, pour qu'on pût les mettre en pleine valeur !
Charcot
. Œuvres complètes,, t. m, Système nerveux, 1 Ce
table par les courants faradique et galvanique se contracte au con-
Charcot
. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux. 3 Dan
n sous l'étincelle électrique. Ce fait déjà signalé dans une leçon de
M. Charcot
sur l'électricité statique (Revue de médecine, 18
vue pratique, les faits analogues à celui qui vient d'être étudié par
M. Charcot
prouvent l'importance de l'électricité statique e
ion qualitative. Ces détails viennent confirmer le jugement porté par
M. Charcot
, au cours de la leçon, qu'il ne s'agit que d'une
t pas si simple que cela. En somme, le malade, sujet de la leçon de
M. Charcot
, nous a donné amplement l'occasion de justilier u
son corps se couvre d'une sueur froide et une attaque de nerfs plus
Charcot
. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux. 4 ou
s phalanges; elle épargne, au contraire, les articulations méta- 1.
Charcot
. — Traité de la goutte de Garrod, noie, p. 602. —
une déviation en masse vers le bord cubital de la main (Fig. 4). 1.
Charcot
. — Etudes pour servir à l'affection décrite sous
je vous ai présenté un exemple récemment *. 1. Depuis cette leçon,
M. Charcot
a reçu de M. Dreschfeld, professeur de pathologie
vant toute apparence, sous l'influence d'une excitation extérieure.
Charcot
. Œuvres complètes, t. ui, Système nerveux. 7 J'
iques parfaitement légitimes, et dans lesquels la volonté du malade
Charcot
. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux. 8 n'
contracture a lini par disparaître; dans sa leçon du 12 janvier 1883,
M. Charcot
a pu montrer la malade complètement guérie de sa
rant subir l'amputation que de supporter plus longtemps ses douleurs,
M. Charcot
résolut d'avoir recours à l'élongation du nerf qu
eints. En montrant le malade guéri, dans la leçon du 12 janvier 1882,
M. Charcot
a fait remarquer que, outre cette rétraction des
par Un fait que M^eeligmûller a publié et où il s'agit d'une scia-
Charcot
. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux. 9 tiq
s, soit sur les norfs du plexus brachial, soit sur les nerfs inler-
Charcot
. Œuvres complètes, t. m, Système nerveuse. 10 c
t qu'il les a d'ailleurs pour la plupart oubliés, il n'ose pas s'a-
Charcot
. Œuvres complètes, t. tu, Système nerveux. il v
ade guère et reste le plus souvent à l'état d'infirmité indélébile.
Charcot
. Œuvres complètes, t. iii, Système nerveux. 12
bservation decotte malade se trouve in extenso dans un mémoire de MM.
Charcot
et Marie : Sur une forme spéciale d'atrophie musc
es, en effet, même chez celui qui ne présente ni atrophie ni hyper-
Charcot
. Œuvres complètes, t. iii, Système nerveux. li
lin) dans un mémoire qui I. Arch. de Westpkal. Bd. XV. Heft 2 et 3.
Charcot
. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux. 17 c
ux jours après que la présente leçon a été délivrée, M. le professeur
Charcot
a admis dans son service un jeune homme de 21 ans
asse, Uandbui.h der Pathol., etc. II. Auflage. — Erlangen, 1869. 3.
Charcot
, Leçons sur les maladies du système nerveux, t. I
de paralysies psychiques, paralysies dépendant d'une idée 1. J. M.
Charcot
, Lezioni cliniche delV anno scolastico 1884-84 su
, 1763. Voir aussi T. II, L'homme plante. L'homme plus que machine.
Charcot
. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux. 22 ai
ois manifestement exagérés. 2. Voir, plus haut, la notel, p. 316.
Charcot
. Œuvres complètes, t. ra, Système nerveux. 23 a
jours plus tard, parlant incidemment des deux malades en traitement,
M. Charcot
s'exprimait en ces termes : r Je suis heureux d
, il me semblait, de ce côté, porter un poids de quarante livres. »
Charcot
. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux. 26 Le
klin. med., 1885, n° 77, p. 282 etSamm. klin. Vortraege, n° 77. 2.
Charcot
, Della claudicazione intermittente, etc. — Lez. r
qui, au même titre que le rétrécissement du 1. Voir sur ce sujet :
Charcot
, De l'influence des lésions traumatiques sur le d
rait être élucidé complètement que par l'emploi du chloroforme2. 1.
Charcot
, Œuvres complètes : Leçons sur les maladies du sy
de 24 ans emiron, avait adressé i. Le Médecin malgré lui, scène VI.
Charcot
. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux. 28 à
disposition qui, —ainsi que cela résulte des nombreuses recherches
Charcot
. Œuvres complètes, t. m, Système ?ierveux. 29 f
Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système ?ierveux. 29 faites par
M. Charcot
à ce sujet, s'observe chez les hystériques hémian
e à constituer ce que l'on appelle une autosuggestion. A ce propos,
M. Charcot
a fait appel aux arguments qu'il a présentés dans
dans les moindres détails sur les types désor- mais classiques que
M. Charcot
a fait connaître'. On se bornera donc à relever c
e, à développement rapide, a été récemment relevée plusieurs fois par
M. Charcot
, et elle a été l'objet d'un travail étendu, publi
pareil de perfectionnement. Il est vraisemblable, de plus, que dans
Charcot
. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux. 30 c
teurs fussent témoins de ce qui en pourrait advenir, M. le professeur
Charcot
fait alors, séance tenante, faradiser les muscles
ts récemment observés dans le service de mon maître, M. le professeur
Charcot
, l'ont amené à établir que ce caractère n'est pas
une loi, mais tout au plus une règle. Quatre malades du service de
M. Charcot
, atteints de paralysie hystérique, présentent en
ne autre cause que l'hystérie. Tous ces malades ont été présentés par
M. Charcot
à ses leçons cliniques. Un travail ultérieur comp
ne sera pas sans intérêt, vu la nouveauté 1. D'après les leçons de
M. Charcot
, par M. Babinski. Voir Progrès médical, 1s86, n°
gie hystôro-traumatique (il s'agit d'un des deux malades sur lesquels
M. Charcot
s'est fondé pour établir cette variété de paralys
évidemment à un phénomène de cet ordre que nous avons affaire ici.
M. Charcot
a, du reste, fait ressortir que l'on connaît déjà
rées par la généralité des médecins, conformément à l'opinion que MM.
Charcot
et Yulpian soutiennent depuis longtemps, comme re
trophie musculaire est, comme dans l'hystérie, une atrophie simple.
M. Charcot
a encore rapproché l'atrophie hystérique d'une Vi
tro- 1. Babinski. — Société de biologie, séance du 20 février 1886.
Charcot
. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux. 31 p
l'attention comme elle le mérite ; c'est le mutisme. M. le professeur
Charcot
a traité ce sujet, dans ses leçons 2, à propos de
coup sûr un plus grand nombre de faits qui 1. D'après les leçons de
M. Charcot
, par M. CARTAz.x^Voir Progrès médical, 1886). —•"
ulgaire. D'après ce qu'il m'a été donné d'observer dans le service de
M. Charcot
, je ne crois pas que l'aphasie hystérique soit si
e ; en joignant aux observations prises dans le service du professeur
Charcot
les plus importantes de celles qui ont été publ
champ visuel, etc. C'est de l'aphasie, mais comme l'a fait remarquer
M. Charcot
, une aphasie à type caractéristique qui permet, p
ait par nos confrères de Genève et de Lyon. Obs. I (communiquée par
M. Charcot
). — Ch..., âgé de 37 ans, entré, le 8 novembre 18
entré, le 8 novembre 1885, salle Bouvier, service de M. le professeur
Charcot
. Comme antécédents de famille, voici ce qu'il nou
eu de jours après, endormi dans son hôtel. Obs. II (communiquée par
M. Charcot
). — M. S... Félix, de Madrid, âgé de 26 ans. Anté
'est dans ces conditions que M. S... se présente à la consultation de
M. Charcot
. Il est muet depuis sa dernière attaque. Ces atta
circonstance, à notre avis, caractérisque, fit soupçonner l'hystérie.
M. Charcot
fit déshabiller le malade et reconnut une hémiana
nette, âgée de 21 ans, entrée à la Salpêtrière, service du professeur
Charcot
, issue d'une famille de musiciens. Sa mère est mo
arch... Sydonie, âgée de 19 ans, entrée à la Salpê-trière, service de
M. Charcot
, le 11 avril 1885. Pas d'antécédents héréditair
viation de la bouche. Cette observation peut prêter à discussion et
M. Charcot
, au moment de l'admission de la malade, n'était p
s, non guérie. Obs. V. — Gué..., entré à la Salpètrière, service de
M. Charcot
. Homme, âgé de 30 ans. La première attaque nerv
de la petite malade dans la thèse du Dr Peugniez, élève du service de
M. Charcot
. (De l'hystérie chez les enfants, thèse de Paris,
entrée à la Salpêtrière le 21 avril 1885, service de M. le professeur
Charcot
. Le père a eu des convulsions fréquentes ; le f
Nous disons que c'est là un signe caractéristique. Plus d'une fois,
M. Charcot
a reconnu la nature hystérique du mutisme à la se
l'Agraphie en particulier, d'après l'enseignement de M. le professeur
Charcot
. Par Pierre Marie1. Dans une leçon faite en d
une leçon faite en décembre 1887, à la Salpêtrière, M. le professeur
Charcot
a montré à ses auditeurs un nouveau cas à'agraphi
nnées, grâce à la double série de preuves qu'apporta M. le professeur
Charcot
(Leçons de 1883, publiées par Rummo *). En effet,
ntérieur, etc. Paris, 1886) en contiennent la substance. — Voir aussi
Charcot
: Leçons sur les maladies du système nerveux, t. I
-~Yîmage motrice d'articulation, Y image, motrice graphique du fnlîl,
M. Charcot
signalait un bien intéressant passage'¥ulivre d
là, on le sait, la base des opinions professées par M. le professeur
Charcot
sur la fonction du langage que cette multiplicité
même plusieurs espèces; d'aphasie. Comme renseigne M. le professeur
Charcot
^ l'aphasie n'est qu'une amnésie^'pl inversement,
sorte de réflexe parti des premiers. Cette théorie, M. le professeur
Charcot
la rejette presque entièrement comme beaucoup tro
gner d'aucun degré d'agraphie, à tel point même que, comme l'a montré
M. Charcot
chez plusieurs malades atteints de cécité verbale
ma suivant (Fig. 90), qui n'est autre chose que le schéma primitif de
M. Charcot
mis en place, se faire une idée de ces centres de
mots, ils expriment les connexions intimes et multiples, qui, d'après
M. Charcot
, existent entre ces différents centres et sur l'i
e notion qu'est fondée la doctrine des suppléances fonctionnelles que
M. Charcot
a exposée en 1883 et qui tend de plus en plus à p
raphique qui vient au secours du centre auditif. Souvent aussi, comme
M. Charcot
en a montré plusieurs exemples, les individus att
ou l'agraphie. La raison de ces variétés c'est que, comme l'a montré
M. Charcot
, l'appareil du langage est loin de fonctionner de
ngage intérieur a été introduite dans la science par M. le professeur
Charcot
, et si nous y insistons ici c'est que son importa
t raison i. Cette notion des variétés individuelles, introduite par
M. Charcot
, permet, en outre, de comprendre que c'est chez l
ue l'agraphie n'en reste pas moins, comme l'a montré M. le professeur
Charcot
, une forme d'aphasie parfaitement autonome. TAB
du traumatisme dans le développement de cette affection : Bailway-
Charcot
. Œuvres complètes, r. m, Système nerveux. 34 sp
e paralysie hystéro-traumatique chez l'homme; fragment d'une leçon de
M. Charcot
, recueillie par MM. Babinski et Berbez.........
Guérison soudaine d'une hémiplégie hystérique. Extrait d'une leçon de
M. Charcot
, par M. P. Marie............................. 471
hie musculaire dans les paralysies hystériques, d'après les leçons de
M. Charcot
, par M. Babinski..................... 478 V. —
............. 478 V. — Du mutisme hystérique, d'après les leçons de
M. Charcot
, par M. Cartaz.................................
l'agraphie en particulier, d'après l'enseignement de M. le professeur
Charcot
, par M. Pierre Marie. 511 TABLE ANALYTIQUE A
un symptôme physique de cette maladie'. » Dans le même ouvrage, MM.
Charcot
et Marie, rattachent également l'hystérie à un
cria : Dictionurq of psychotogical >tcclicizc, t. 1, p. 619. ;
Charcot
et .Marie. - lIyslél'o-é}11lcpsy : Dictionarij o/
cht) et de M. Bernheim, hy¡mo- tisme, suggestion, 1891, p. 191. 3
Charcot
. - )lal. du syst. nerveux, t. I, p. 278, 296. 1
s fois du côté droit'. » Il suffit de rappeler les beaux travaux de
M. Charcot
, de M. Babinski, de MM. Gilles de la Tourette e
tance de l'isolement dans le traite- ment de l'anorexie hystérique,
M. Charcot
montrait que l'élé- ment psychique joue dans ce
és et modifiés d'une façon 1 Despine (d'Aix), op. cit., p. 222. '
Charcot
.. Mal. du sysl. nerveux, t. III, p. 238. 0 3 so
Babinski3, M. Blocq0, M. Lau- rent7, développant l'enseignement de
M. Charcot
, ont énu- méré tous les symptômes hystériques q
p. 620. 20 REVUE GÉNÉRALE. semble de,, symptômes hystériques. ^L
Charcot
a donc eu rai- son de dire dès le début, que le
ture du délire, soit mieux encore par le caractère passager , - 1
Charcot
, op. ctl., t. II1, p. 228, Automatisme psycho. p.
dissimulés, chez presque tous. Ce sont même ces idées fixes, comme
M. Charcot
l'a établi autrefois, qui rendent compte des ac
écl, des hôpitaux, 11 nov. 1892.) rt Guinon, p. 136, et s. q. o
Charcot
. - Mal. du syst. nen., t. III, p. '269. Guinon, p
ologie embarrassait trop, il vaudrait mieux, comme disait très bien
M. Charcot
, modifier le mot « utérus » plutôt que le mot «
HYSTÉ- RISQUES; r Par le D' SIGM. FREUD, de Vienne (Autriche).
M. Charcot
, dont j'ai été l'élève en 1883 et l3bG, a bien
érie correspond à un élément dans l'axe gris, qui est, comme le dit
M. Charcot
, son aboutissant nerveux; la péri- phérie est p
e ce caractère important de la paralysie hystérique de la jambe que
M. Charcot
a relevé d'après Todd, il savoir que l'hystériq
ient s'ajouter au premier. En effet, comme je l'ai entendu dire à
M. Charcot
, l'hystérie est une maladie à manifestations exce
lement. La paralysie faciale hystérique est fortement contestée par
M. Charcot
et même, si on croit ceux qui en sont partisans
, de l'étendue de la lésion et de l'anatomie du système nerveux ?
M. Charcot
nous a enseigné assez souvent que c'est une lés
r de l'événement, du trauma, qui a produit cette paralysie. C'est
M. Charcot
qui nous a enseigné le premier qu'il faut s'adr
tique s'expliquent (à part les stigmates) par le même mécanisme que
Charcot
a reconnu dans les paralysies traumatiques. Mai
ystérie, telle que nous l'avons pu former d'après l'enseignement de
M. Charcot
, que la lésion dans les paralysies hystériques
une idée autosuggestive directe comme dans les cas traumatiques de
M. Charcot
, nous avons réussi à montrer de quelle nature l
d'une maladie nerveuse pour laquelle on a, sans succès, consulté le
docteur Charcot
. Bonne- foy prodigue les passes magnétiquessurt
trouve la dissociation dans beaucoup d'autres maladies, l'hystérie (
Charcot
), la névrite alcoolique, (Lancereaux), la névri
. La célèbre observation de mal de Pott donnée par M. le professeur
Charcot
, les observations chirurgicale de Ilorsley, de
spéciale et très caractéristique, ainsi que l'ont, bien montré MM.
Charcot
et Joffroy... / ',¡ j \.. ' Quoi qu'il en soit,
as de ceux qui s'ac- .compactent de symptômes nerveux légers. Comme
M. Charcot
l'a dit, l'arthropathie. est.1 un symptôme préc
de parésiêjdes muscles dû,côté coréespoydant ? 3°,L'ô i pinion, de
Charcot
d'après^ laquelle la paresie faciale hystérique e
elle-> même. Il se rattache complètement à la doctrine de 1\1.1
Charcot
et considère ces(attaques de sommeil , comme fa
névroses. Il établit que la neurasthénie est pour lui, commepourM.
Charcot
, l'expression di- recte, sans intermédiaire, d'
J.-M. CHARCOT Le mercredi 16 août, le télégraphe apprenait que
M. Charcot
, en excursion de vacances, depuis quelques jour
ttaque d'angine de poitrine. Après quelques minutes de souffrances,
M. Charcot
expirait entre les bras de ses deux compagnons
Debove et Straus, ses amis. La veille au soir il écrivait encore à
Mme Charcot
une lettre pleine de gaîté dans laquelle il se
d : De la pneumonie chronique (1860). Dans celle-ci, souvent citée,
M. Charcot
utilise des faits per- sonnels et décrit une fo
es années, cette épreuve devenir à peu près illusoire. - En 1862,
M. Charcot
revint, comme chef de ser- vice, à la Salpêtriè
En 1867, pour des motifs dont nous n'avons pas gardé le souvenir,
M. Charcot
fit son cours libre à l'École pratique : il le
s =, et faisons remarquer à ce pro- pos, que c'est principalement à
M. Charcot
que l'on doit la vulgarisation de la thermométr
e de notre«manie de la thermométrie », que nous avait inculquée JI.
Charcot
. Nous avons persisté, sur ses conseils, et nous
rre criminelle de 1870 vint les suspendre. Pendant les deux sièges,
M. Charcot
, simplement, fit son devoir comme il l'avait fa
hystériques dites non aliénées *, dont on fit un quartier spécial.
M. Charcot
étant le plus ancien des deux méde- cins de l'h
'une partie des malades qui venaient de passer sous la direction de
M. Charcot
. Il nous demanda de les mettre à sa disposition
au champ d'investigation mis à sa disposition. ' Après la guerre,
M. Charcot
reprit son enseigne- ment. Il nous avait confié
qui aurait fini par être déplacée si nous n'avions été soutenu par
Mme Charcot
, que nous eûmes enfin les leçons sur l'hystérie
en fit dans le Bulletin de Thérapeutique (1874, p. 503) : M. le pr
Charcot
est un de ces hommes qui, sachant faire grâce a
tude les travaux qui doivent les conduire à une légitime célébrité.
M. Charcot
est jeune encore ; il n'a pas dit son dernier m
e en bien des circonstances et sans l'intervention incessante- de
Mme Charcot
, sans ses encouragements, la plupart des leçons
ulant donner à son enseignement un caractère absolument pratique,
M. Charcot
avait compris que si les richesses anatomo- pat
la nzélalloscopie et \ hypnotisme. C'est pendant l'été de 1876 que
M. Charcot
fit la revision des travaux de Burq sur la méta
arti pris de ne rien voir et de ne rien entendre en ces matières,
M. Charcot
s'est tenu autant que possible éloigné de l'att
able aux faits physiologiques connus. C'est en grande partie, selon
M. Charcot
, parce que ces précautions si simples ont été t
189 nion publique, que beaucoup se figurent que les tra- vaux de
M. Charcot
se bornent à l'hypnotisme alors qu'ils ne const
soin du merveilleux l'emportent sur une saine et vraie observation.
M. Charcot
le constatait avec peine. Il craignait de voir
ne le succès toujours croissant des cours libres de la Salpêtrière.
M. Charcot
se souvenait que ses adver- * Dans une intervie
s cette résolution. » Le « pourquoi », nous venons de le déceler. «
M. Charcot
, dit la Gaz. de France (18 août), était prudent
ze ans. En effet, antérieu- rement à la consécration universitaire,
M. Charcot
avait été mis en possession, par l'Assistance p
. On a osé écrire, ignorance ou mauvaise foi, sinon les deux, que
M. Charcot
ne se préoccupait aucune- ment de guérir ses ma
ées d'internat, huit années d'assistant bénévole dans les salles de
M. Charcot
affectées aux épileptiques et aux hystériques,
certaine in- fluence qui devait contribuer au succès de l'École.
M. Charcot
, qui connaissait par expérience ce qui se faisa
faisait dans les hôpitaux de Londres, encouragea dès , « Le pauvre
M. Charcot
a été, avec M. de Bourneville, dont il subissai
sène Alexandre rappelle un article du « célèbre Ignotus dans lequel
M. Charcot
était traité de faux savant et il ajoute : « Ma
le fin du fin dans cet article... était le reproche pathé- tique, à
Charcot
, d'avoir expulsé les pauvres soeurs de charité de
dans cet établissement où tout le monde à l'heure pré- sente pleure
Charcot
comme un ami, l'ayant vu à l'oeuvre comme un ma
r, lisons-nous dans la Gaz. des Hôpitaux (25 août), l'au- torilé de
M. Charcot
n'était pas discutée, il était, sans contestation
imparfaitement, d'esquisser à grands traits la vie scientifique de
M. Charcot
. Le temps et l'espace nous font défaut pour déf
ique cabinet de travail à Paris ont été entière- ment exécutées par
Mme Charcot
sur les indications de son mari. Il aimait l'ar
dans fart, » dans lesquelles l'art et la science ont leur part '.
M. Charcot
fut certainement en ce temps-ci la personnalité
r de secrètes et étroites affinités. Toutes les préoccupations de
M. Charcot
, dans ces * « Charcot, écrit Arsène Alexandre,
affinités. Toutes les préoccupations de M. Charcot, dans ces * «
Charcot
, écrit Arsène Alexandre, était un grand artiste.
s, composés avec tout son amour paternel : « Jean, disait-il à llme
Charcot
, sera heureux de feuilleter ces volumes, et il
ses plus nobles illustrations. BOURNEVILLE. , «Les funérailles de
M. Charcot
avaient un caractère familial, dit notre ami Ch
indiquer, dans l'article qui précède, que les principaux travaux de
M. Charcot
, et encore en avons-nous certainement omis, écr
volumes parus des OEUVRES complètes et des derniers ouvrages de il.
Charcot
. 204 CHARCOT. (en collaboration avec Dulil),
hirurgie pratiques, ont publié de nombreuses analyses des leçons de
M. Charcot
. TITRES HONORIFIQUES DE M. CHARCOT M. CHARCOT
iété physico-médicale d'Erlangen, en 1878; En 1879, 1880 et 1881,
M. Charcot
a été nommé : Membre correspondant de {'Académi
ricaine. L'Académie des Sciences (Institut de France) a décerné à
M. Charcot
un prix de 2,500 francs dans le concours Montyon,
alisations dans la maladie du cerveau et de la moelle épi- nière.
M. Charcot
a été nommé : Docteur honoraire (Elarendoctor) de
SÈQUES DE M. LE P'' CHARCOT La cérémonie des obsèques du professeur
Charcot
a été célé- brée samedi matin, 19 courant, à di
chapeau et l'épée d'académicien ainsi que la robe de professeur de
M. Charcot
. Auprès du catafalque étaient assis les personn
égué de la Société anatomique ; Joffroy, représentant les élèves de
Charcot
; Legendre, repré- sentant ses amis et ses cama
l était conduit par MM. Jean Charcot, Martin Charcot, le commandant
Charcot
, fils et frères du défunt, et Waldeck- Rousseau
Rousseau. On sait que Mme Waldeck-Rousseau est la belle- fille de
M. Charcot
. Elle assistait à la messe avec Mm° et Mlle Cha
belle- fille de M. Charcot. Elle assistait à la messe avec Mm° et
Mlle Charcot
qui avaient eu le courage d'assister à cette poi-
boulevard Rochechouart. Malgré le désir qu'avait souvent exprimé
M. Charcot
de ne pas avoir de fleurs sur son cercueil, de
eté. La profession elle-même n'est pas sans influence. Ainsi ' Voir
Charcot
.- Un calculateur proche Inaudi. (Progrès mec ? 18
dit sur' le tabès soit cliniquement, soit anatomi- quement. ,. 1
Charcot
et Leyden n'ont-ils pas, dans cette affection, dé
x sont dus aux troubles respiratoires. M. GOLDSCHEIDER rappelle que
M. Charcot
a constaté en pareil cas des anomalies dans l'e
apport avec l'hémicranie. Mais il est évident, comme l'ont démontré
Charcot
et Féré, que la contracture passa- gère des vai
étudie'certains névropathes voyageurs sur lesquels M. le professeur
Charcot
a .déjà plusieurs fois attiré l'attention dans
marquable à toutes les névroses doivent toujours, d'après l'avis de
M. Charcot
, entrer en ligne de compte dans le chapitre des
pronostic est grave - non pas quoad vitam - mais on sait d'a- près
M. Charcot
combien tenaces et généralement incurables sont
Meige reprend une question d'ordre médico- légal déjà soulevée par
M. Charcot
: Les vagabonds [sont-ils tous des neurasthéniq
à'rescouss ? -mais inutilement, nos sommités' médicales ? M. le'D1'
Charcot
en tète. Les aspersions 'd'eau froide, l'éther;
n plaques : ordinairement isolés ou au nombre de deux ou trois, 1
Charcot
. Leçons sur les maladies du syst. nerveux, t. I,
à remarquer en effet que, -aucun appétit de copulation, aucune '
Charcot
et Magnan. De l'Onomatomanie (Archives de Neurolo
sse. Si nous ne pouvons pas être de taille à cela, elle ira trouver
M. Charcot
. Cette malade est manifestement une débile; ell
étant des phénomènes purement hystériques ainsi que l'a proclamé
Charcot
et son interne Blocq dans son travail sur cette a
ar- quer, comme l'a fait tant de fois mon maître M. le professeur
Charcot
, le rôle que joue la suggestion dans l'éclosion d
as la paralysie s'est produite plus rapidement que M. le professeur
Charcot
ne l'indique. Elle fut immédiate. Il est vrai que
op affaiblie 1 Voir à ce sujet le remarquable article du professeur
Charcot
: « La foi qui guérit » dans le n° du loir déce
n-8° de 220 pages. Prix : 0 fr. 40. Paris, 1893. Au Siège social.
Charcot
. - : Clinique-des maladies du système nerveux (le
' Ataxie, un cas d' - locomotrice avec maladie des jointures dp
Charcot
" par lleilhronner, 132.' Atrophie musculaire id
het; de Christian;, de Semelaigne; de La- borde : d'lsambard 1G3;
Charcot
, t par Boui'Î1eville, 177. '.1 j, ';1 Néoplas
donne 'aux malades une attitude toute spéciale que notre maître M.
Charcot
nous semble être le premier à avoir remarquée.
r à avoir remarquée. C'est sur un malade de sa clientèle privée que
M. Charcot
a observé la première fois cette déformation qu
relation de cause à effet, et depuis, nous avons plusieurs fois vu
M. Charcot
, dans ses leçons cliniques, annoncer à distance
publions sont au nombre de 5, dont 2 nous ont été communiquées par
M. Charcot
et dont les trois autres ont été recueillies pa
i suivent se rap- portent à deux malades qui ont été examinés par
M. Charcot
en consultation. L'un de ces deux cas est celui
is l'attention de mon maître sur cette déformation de la sciatique.
M. Charcot
a pris brièvement quelques notes sur ces malade
l besoin de faire remarquer que le diagnostic ayant été porté par
M. Charcot
, après examen attentif, ne peut être mis en dou
faire désormais, si l'on veut déterminer son degré de fréquence.
M. Charcot
insiste, dans ses cliniques, sur l'importance,
spinales et dans la contracture spasmodique hystérique». Leçon de M
Charcot
recueillie par M. Babinski. DE LA DÉFORMATION
d'une maladie nouvelle à proprement parler, car déjà, en 1883, MM.
Charcot
et P. Richer l'ont décrite sous le nom « d'impu
de coordination relative à la station et à la marche», et, depuis,
M. Charcot
en a fait à DE l'astasie ET DE l'abasie. 25 5
s mêmes, jointes aux notes inédites et aux documents rassemblés par
M. Charcot
sur la question, qui forment la base de ce trav
'on puisse. rapprocher de ceux que nous décrivons et les- leçons de
M. Charcot
constituent presque à elles seules les document
ments actuels sur la matière. Ce- pendant, nous trouvons, ainsi que
M. Charcot
l'a fait remarquer, la. première indication du
soit affirmée l'existence de cette affection est un travail de MM.
Charcot
et P. Richer publié dans la Medicina Contempora
uvements spéciaux relatifs à la station et à la marche'. En 1884,
M. Charcot
revient sur ce sujet dans plu- sieurs de ses Le
ion clinique rigoureuse du type morbide et à son étude approfondie.
M. Charcot
rappelle à cette 1 Charcot et Richer. Su di una
morbide et à son étude approfondie. M. Charcot rappelle à cette 1
Charcot
et Richer. Su di una forma speciale d'impotenza m
ne observation que nous reproduisons et la rapproche des faits de
M. Charcot
. Elle est, en effet, de tous points conforme à
en citant deux Leçons de l'an dernier faites à la Salpêtrière par
M. Charcot
au sujet de cette même malade Gom..., dont a ét
dont a été parlé déjà dans les Leçons recueillies par M. Miliotti.
M. Charcot
y établit formellement les ca- ractères cliniqu
ion 1. (Rédigée d'après les notes communiquées par M. le professeur
Charcot
.) MIlle L... vient consulter M. Charcot, pour s
muniquées par M. le professeur Charcot.) MIlle L... vient consulter
M. Charcot
, pour sa fille, le 8 juillet 1883. Antécédent
T.) Charles V..., âgé de quatorze ans, a été soumis à l'examen de
M. Charcot
. le 13 avril 1877. - Sa mère est migraineuse :
de la marche persistant, l'enfant fut amené à la consultation de
M. Charcot
qui constata qu'au lit, cependant, la force muscu
êtrière et occupe le lit n° 7 de la salle Pruss, dans le service de
M. Charcot
. Antécédents héréditaires. Le père est ordinair
côté. Observation VI. (Rédigée d'après les notes communiquées par
M. Charcot
). M. Ir..., du Chili, vu à l'hôtel du Louvre le
it.) 1111° G..., âgée de quatorze ans et demi, a été examinée par
M. Charcot
, le 18 décembre 1883. Le père de la malade, ban
n", entre le 28 février z1886, à la Salpêtrière, dans le service de
M. Charcot
. Antécédents héréditaires. - Père, auteur drama
la Salpêtrière en février 48SIr, où elle fut l'objet d'une leçon de
M. Charcot
. La station et la marche présentaient à à cette
cimen de l'écriture de Mistral. (Expertise foute en ISS'I- par ,nI.
Charcot
, Dl1pl'P, ricJ'I'ct et Y\cs.) RAPPORT SUR MISTR
le 12 juin 1881. Paris, 17 juin 1881. Signé : Piisuuet, rapporteur.
Charcot
, Yves. 18 juin 1881. DUPIIÉ, A la suite de
e de Boutges ' 1 (1875), inspirée par Lasègue. Il était réservé à
M. Charcot
et à l'Ecole qu'il a fondée de faire cesser tou
lyse de chacun d'eux en particulier eût été déjà poussée très loin.
M. Charcot
en montrant que cette attaque présentait presqu
la fin des attaques de convulsions. » « Le sommeil hystérique, dit
M. Charcot
', est une attaque hystéro-épileptique modifiée
leurs formes. Nous devons dire cependant que les récentes études de
M. Charcot
ont singulièrement étendu chez les hommes le do
qui distingue cette amyotrophie de l'amyotrophie cellulaire du type
Charcot
.)Tel est le complexe neuropathique survenu chez
ont le cas si typique a été l'occasion de plusieurs des leçons de
M. Charcot
. La marche a lieu avec les mêmes alter- natives
uccès dans la plupart de nos observations n'est autre que celui que
M. Charcot
applique d'ordi- naire aux manifestations hysté
ion duquel ces centres spinaux entrent automatiquement en action.
M. Charcot
rend ce mécanisme saisissant à l'aide d'une ima
e cellulaire où réside le mécanisme d'exécution. Or, précisément,
M. Charcot
a eu l'occasion d'observer un fait patholo- giq
été proposée par M. Brown-Séquart à propos du cas communiqué par
M. Charcot
. En résumé, la station et la marche s'apprennen
ignalés en particulier dans l'obser- vation de Gomp..., étudiée par
M. Charcot
. Du moment où l'astasie et l'abasie représenten
z l'homme. Or, il est vraisemblable, et c'est un point sur lequel
M. Charcot
a beaucoup insisté dans ses leçons 1, que cette
onstatation est extrêmement importante, car, ainsi que l'afait voir
M. Charcot
, les hystériques présentent au suprême degré le
ejamais ces derniers chiffres. Ce sont encore là les caractères que
M. Charcot
et M. Bourneville ont assigné à la température
es recherches ont été cependant tentées sur un malade du service de
M. Charcot
qui, sorti de la Salpêtrière, s'était endor- mi
de faire pratiquer l'analyse de l'urine d'une malade du service de
M. Charcot
en proie depuis 28 heures à une attaque de somm
odes normales de l'existence. C'est du reste l'opinion admise par
M. Charcot
dans ses Leçons sur les attaques de sommeil'. N
lles ou totales, dans la majorité des cas, comme l'a fait remarquer
M. Charcot
par de l'hémianesthésie sensitivo-sen- sorielle
gènes et la recherche ou la connaissance de ces zones inaugurée par
M. Charcot
et récemment très étendue par M. Pitres est dan
térogènes ont été expressément notées dans l'attaque de sommeil par
M. Charcot
, ainsi qu'on en pourra juger par la lecture de
; cent heures (Laufenauer)' ; plusieurs jours, cinq à six semaines (
Charcot
, Bourneville et Regnard) ; vingt- '1élpnotische
ue, / le plus souvent d'ordre convulsif. Y Nous avons déjà vu que
M. Charcot
avait observé que la pression d'une zone hystér
atteinte depuis plus de vingt ans d'une hémianesthésie observée par
M. Charcot
. Cette ma- ' Cas d'apoplexie hystérique avec au
stic, et, nous n'hésitons pas à le dire, ce sont les travaux de 11.
Charcot
et de ses élèves qui seuls ont permis de l'asse
plus haut intérêt : elle seule même donne, comme l'ont démontré MM.
Charcot
et Bourne- ville, des résultats véritablement p
anciennes hémianesthésies toxiques, alcoolique et saturnine, car
M. Charcot
a récemment montré 2 que les faits de cet ordre
arrefour sensitif. Eh bien, si celle-ci existe vérita- blement - et
M. Charcot
en a montré un fait indubitable dans une récent
lésion du cerveau. Il résulterait même d'une observation inédite de
M. Charcot
relative au malade précédemment cité, qu'on pou
autrement que dans l'hémiplégie orga- nique. Ainsi que l'a établi
M. Charcot
2, et avec lui MM. Brissaud et P. Marier ce n'e
Prix, 1 fr. Paris, 18S. Aux bureaux de la Revue de l'hypnotisme.
Charcot
(J.-11.). - Leçons sur les maladies du système 7t
. les D™ G. Lncoé et G. DE la ToupETTE. Préface de M. le professeur
Charcot
, membre de l'Institut. Un beau volume in-8° de
ombre des cas qui l'embarrassaient. Tout d'abord les travaux de MM.
Charcot
et Pierret ont démontré qu'au point de vue des
. Observation XI. H... (Julien), se présente à la consultation de
M. Charcot
le 7 février 1888; il est atteint depuis trois se
ivent néanmoins pas être considérées comme des faits exceptionnels.
M. Charcot
nous en a cité quelques-uns. Nous en avons ment
vit se développer encore une fois la paralysie faciale à droite.
M. Charcot
nous a cité le cas d'une femme qui a eu jusqu'à
che. Tout récemment le professeur Troschel (de Kiew) communiquait à
M. Charcot
l'his- DE LA PARALYSIE FACIALE. 365 toire d'u
faciale. Voici le résumé de cette observation dont M. le professeur
Charcot
a bien voulu nous donner connaissance : Obser
ntéressante observation prise dans le service de M. le professeur
Charcot
par M. Blocq, interne des hôpitaux, qui a bien
rtrand), â-é de trente-sept ans, télégraphiste, entre au service de
M. Charcot
le 24 octobre 1887. Antécédents héréditaires
a- ble observation, dont nous sommes redevable à M. le professeur
Charcot
, ne comprend pas moins de cinq cas de paralysie
puis de longues années déjà, été mis en relief par M. le professeur
Charcot
, dans ses leçons de la Salpêtrière. DE L'ÉPIL
é le fait de la catalepsie à l'état de veille chez les hystériques.
M. Charcot
dans ses leçons sur les para- lysies hystéro-tr
99. Anesthésie et ataxie hystérique. Ibid., t. Il, p. 85 et suiv. 5
Charcot
. - Leçons sur les maladies du système nerveux, t.
tique (Ieptoméningite chronique, atrophie de l'écorce, hydrocé- 1
Charcot
. - Leçons sur les maladies du système nerveux, t.
1 M. Thomsen poursuit, comme on le voit, l'idée d'après laquelle
M. Charcot
et l'Ecole de la Salpêtrière auraient formulé des
s prétentions, en regard de la netteté des mémoires et des faits de
M. Charcot
(Voy. Archives de Neurologie, t. IX, p. 258 ; X
étude des lésions destructives du cerveau. Enfin M. le pro- fesseur
Charcot
a bien voulu présenter au public l'ouvrage de M
nsi ce nouveau moyen d'investigation sur les conseils du professeur
Charcot
. Les résultats obtenus montrent qu'ils n'ont pa
les recherches de Fritz, Hitzig, Ferrier, etc., et montre, grâce à
M. Charcot
, l'intervention de la clinique qui vient confir
rbez est l'exposé de la question de Vhystéro- traumatisme dont 1\1.
Charcot
a récemment doté la pathologie. Des faits de ce
est vrai, été déjà décrits par Brodie et par Reynolds, mais c'est à
M. Charcot
surtout qu'on doit la connaissance approfondie
de vue pathogénique M. Berbez énonce la théorie pro- posée par AI.
Charcot
: le traumatisme est perçu par un cerveau déséq
simples), par Frensberg, 108. Rapport sur l'aliéné Mistral, par
Charcot
, 81. Revue critique, par Séglas et Chas- lin,
3. Bnand, 114, 303, 448. Bricon, 75, 227, 379. Catsaras, 412.
Charcot
, 81. Chaslin, 254, 420. Combe, 412. Deny,y3
res. Elle a perdu deux de ses membres honoraires, MM. les professeurs
Charcot
et Brown-Séquard. Les regrets et l'admiration de
occuper la chaire laissée vacante par la mort du regretté professeur
Charcot
. M. le Président, au nom de la Société, a exprimé
ssidûment par des élèves tels que Béclard, Gratiolet, Vulpian, Broca,
Charcot
, Potain, Dureau, Peisse, A. Maury, l'abbé Duquesn
ant. Son cas — ainsi qu'a daigné me l'expliquer l'illustre professeur
Charcot
, aussi profond philosophe que grand médecin, et,
pnotique est-il toujours dû à la suggestion ? 3° Les trois états de
Charcot
existent-ils ? 4° Quel procédé d'hypnotisation
e-t-elle ? 12° Le transfert existe-t-il ? ?) Transfert ordinaire de
Charcot
. etc. b) Transfert à l'aide des couronnes aiman
iques sur une hystérique et a développé alors l'opinion de l'école de
Charcot
sans aperçus nouveaux. Effertz dans une monograph
assuré la collaboration d'un médecin. Souscription pour le monument
Charcot
. — Une liste de souscription circule en ce moment
i veulent s'associer à l'érection du monument projeté en l'honneur de
Charcot
. Parmi ceux qui se sont les premiers inscrits et
t en France, soit à l'étranger. « Pendant des mois consécutifs, MM.
Charcot
et ses élèves,à la Salpétrière, ont hypnotisé les
nt-François-de-Sales prolongée deviendra rue Trousseau. Le monument
Charcot
. — Un comité s'est constitué en Allemagne pour l'
st constitué en Allemagne pour l'érection d'un monument au professeur
Charcot
. L'invitation à souscrire est faite au nom des pr
esquels la critique scientifique était jusqu'alors restée désarmée.
Charcot
, un des premiers, a montré que les phénomènes con
noble, où l'hystérie n'ait joué un rôle. Les recherches qu'ont faites
Charcot
, Richer et Meige au moyen âge et dans l'antiquité
à des expériences d'hypnotisme reproduisant les doctrines célèbres de
M. Charcot
. Ces expériences ont paru vivement intéresser les
effet de l'imagination; de la suggestion, dirons-nous aujourd'hui.
Charcot
et Bernheim ayant fait paraître leurs ouvrages, j
u cadre décrit par Bernheim et Richet. Le grand hypnotisme décrit par
Charcot
avec ses trois phases, m'a semblé un état artific
upercherie. F. Lawtok. COURS ET CONFÉRENCES L'œuvre du professeur
Charcot
. Leçon d'ouverture de m. le professeur Raymond,
à la Salpétrière. Vendredi, 16 novembre, M. Raymond, successeur de
M. Charcot
, a inauguré son cours de clinique des maladies ne
tement à la hauteur de sa tâche, a commencé par l'éloge du professeur
Charcot
, sa vie, son œuvre. Dans un langage aussi élevé q
ode, de ses principes. « Né à Paris le 29 novembre 1825,Jean-Martin
Charcot
commença ses études médicales en 1844; quatre ans
. Ce fut en 1862, son stage de médecin du bureau central terminé, que
Charcot
arriva comme chef de service à la Salpétrière, la
e service à la Salpétrière, la même année que son ami Vulpian. Avec
Charcot
et Vulpian, une ère nouvelle s'ouvrit dans l'hist
à laquelle Vulpian quitta la Salpétrière pour l'hôpital de la Pitié.
Charcot
resta seul et n'abandonna jamais la Salpétrière,
après de longues années sur le terrain de la clinique. C'est pourquoi
Charcot
n'hésita pas à recourir à la voie de l'enseigneme
ença ses leçons sur le système nerveux. L'enseignement inauguré par
Charcot
, en 1866, à la Salpétrière, ne tarda pas à obteni
nsécutives, en raison principalement des qualités dont faisait preuve
M. Charcot
. Sans souci de briller, sans discourir jamais i
rire sa leçon en entier de sa propre main. La leçon, une fois écrite,
Charcot
se gardait bien de la lire ou de la réciter comme
trembleurs, munis de coiffures terminées par de longues tiges et que
Charcot
présentait, dans son amphithéâtre, pour démontrer
uite de l'accession de Vulpian à la chaire de médecine expérimentale,
Charcot
fut naturellement choisi pour l'occuper. Il y dép
deux camps sur la question des localisations cérébrales, qui fut pour
Charcot
l'occasion d'assurer le triomphe de sa doctrine e
'hystérie entra dans une voie nouvelle et où les belles recherches de
Charcot
firent enfin connaître les lois qui régissent les
ce si désordonnées, de la grande névrose, dite proléiforme — où enfin
Charcot
, saisissant les rapports de l'hysté- rie avec c
science officielle. Conformément à un vœu maintes fois exprimé par
Charcot
, une chaire de clinique des maladies du système n
es perfectionnement apportés jusqu'à ce jour dans son enseignement.
Charcot
ne s'est pas contenté d'inspirer, par un nombre p
ici. Dès 1883, il ne comptait pas moins de 27 titres honorifiques.
Charcot
était doué d'un discernement qui lui a valu la qu
il suffirait de citer le grand Duchenne de Boulogne. Le professeur
Charcot
ne manquait jamais une occasion de rendre une écl
e à ce grand neurologiste dont les travaux l'avaient souvent inspiré.
Charcot
savait lui-même, mieux que personne, qu'il n'avai
arence jusqu'à trente ans, est devenu un grand médecin. Le professeur
Charcot
ne parvint à l'agrégation qu'à grand'peine; et, d
'acquiert que par un long effort. » Il faut croire que l'exemple de
Charcot
est des plus caractéristiques, car, dans sa récen
ymond ne pouvait s'empêcher d'y faire allusion en disant : « En 1860,
Charcot
arrive à l'agrégation, après avoir failli échouer
nous avons brièvement rapportées et de beaucoup d'autres semblables?
Charcot
, le neuropathologique éminent dont le monde savan
l'avantage d'etre historique. Al. Bertrand (Le magne- MM. Rîchet et
Charcot
le remirent en honneur. L'école de la Salpêtrière
ie est balancée comme tout trembleur était trépidé dans le service de
Charcot
. Le malade est assis, deux aides se placent chacu
llait s'emparer de l'humanité. COURS ET CONFÉRENCES Le professeur
Charcot
(Leçon d'ouverture du cours de pathologie inter
ture du cours de pathologie interne, par le professeur Debove) Chez
Charcot
, l'homme et le savant étalent confondus aussi bie
nt d'ordre matériel. Dans notre pays, on arrive par le concours ; or,
Charcot
n'avait pas les qualités qui permettent d'y brill
idats; du premier coup, ils distinguent le point faible d'un travail.
Charcot
fit sur la pneumonie chronique, une thèse que nou
n fût-on tenu à la lettre du concours, nous aurions pu être privés de
Charcot
comme nous l'avons été de Claude Bernard. Charc
pu être privés de Charcot comme nous l'avons été de Claude Bernard.
Charcot
enseigna d'abord (je ne parle ici que de son ense
ait! Mais, ici, je parais me contredire, je disais tout à l'heure que
Charcot
n'avait point de talent de parole. Cela était vra
leurs mains était devenue une branche lucrative d'industrie. Lorsque
Charcot
aborda ces questions, ce fut un grand émoi. On lu
t l'exposé des travaux de notre maître. Un autre titre de gloire de
Charcot
est d'avoir fait des élèves, c'est-à-dire d'avoir
orps électrisé électrise un corps neutre voisin. II en était ainsi de
Charcot
, soit qu'il parlât, soit qu'il restât silencieux,
ux, car il n'était pas bavard. Si je vous citais tous les élèves de
Charcot
qui ont un nom dans la science, leur énumération
que quelques-uns n'aient abusé du système des jachères). Faites comme
Charcot
, reposez-vous d'un travail en vous livrant à un a
vous n'avez pas cultivé les lettres. Certes, l'œuvre scientifique de
Charcot
estconsidérable, mais s'il n'eût fait œuvre d'art
a supériorité de la langue et de la plume. Je voudrais vous montrer
Charcot
dans sa famille, vous dire combien l'homme privé
de leur intelligence, à l'apogée de leur gloire. Telle fut la fin de
Charcot
. VARIÉTÉS Les miracles de Lourdes et le livre
statée par douze médecins, parmi lesquels, me dit l'abbé, étaient MM.
Charcot
, Sée et Rigal. Retourné à Paris quelques années
priori par celles des personnes qui appartiennent au type décrit par
Charcot
sous le nom de « moteur ». Le moteur parle mental
eur de votre sujet? quelle est sa formule endo-physique ? On sait que
Charcot
a découvert que tout homme lisait, entendait ou p
dans l'hystérie a commencé, comme vous le savez, avec les travaux de
Charcot
sur Us accidents traumatiques des hystériques. Da
out par Russel Reynolds (3) en 1869. « Il s'agit probablement, disait
Charcot
, d'une de ces modifications transitoires des cell
sont des paralysies qui dépendent des idées « dependent of idea. »
Charcot
insista sur l'émotion primitive au moment de l'ac
ére. le 3 mai 1893, dans le service de M Je professeur Raymond. (2)
Charcot
. — « Œuvres T. III, p. 335, 44?. (3) Russel Rey
. » Il faut reconnaître cependant que, malgré les démonstrations de
Charcot
, malgré les observations nouvelles, un doute subs
hent à interpréter autrement les accidents hystériques. D'autre part,
Charcot
lui-même et ses élèves hésitent à généraliser cet
stériques que nous sommes disposés à expliquer, suivant la théorie de
Charcot
, par des idées fixes, nous voyons que les phénomè
cription seule est intéressante pour la clinique. Il y a trois ans,
Charcot
préparait un cours que quelques-uns d'entre vous
ver d'exemples bien nets, des cas de vertige chez des hystériques, et
Charcot
avait conclu dans sa leçon que le vertige fréquen
On comprend donc que beaucoup d'auteurs aient hésité à expliquer avec
Charcot
les accidents des hystériques par des idées fixes
s études peuvent être présentées comme la continuation des travaux de
Charcot
sur les maladies par idée, par imagination, et qu
ie et de psychologie, 58. Bibliothèque circulante de médecine, 251.
Charcot
(le professeur), par Debove, 272. Charcot (l'œu
lante de médecine, 251. Charcot (le professeur), par Debove, 272.
Charcot
(l'œuvre du professeur), par Raymond, 187. Chas
part de ce mouvement revient à notre éminent maître, M. le professeur
Charcot
. Personne n'a oublié ce légitime retentissement q
iologique, dont il n'a cessé d'être le président depuis sa fondation,
M. Charcot
préparait aussi l'entrée de l'hypnotisme dans l'e
ie motrice c silencieuse » règne (1) Leçon recueillie par MM. Blin,
Charcot
, Colin, élevés du service. ici d'une façon abso
ntrer des phénomènes dont i! importe que vous soyez rendus témoins.
M. Charcot
. s'adressant là la malade : Veuillez, je vous pri
e vous ne pouvez plus parler- Expliquez-moi votre cas... Répondez !
M. Charcot
. s'adressant aux auditeurs : Examinez avec soin t
trative sur laquelle sont écrits les mots: a Admission d'urgence. »
M. Charcot
, s'adressant à la malade : Lisez, je vous prie, e
La malade examine le papier, lit et se met immédiatement à écrire.)
M. Charcot
. aux auditeurs : Je vois qu'elle a écrit les mots
apier et écrit : « Admission d urgence à l'hôpital, comme malade. »
M. Charcot
. aux auditeurs : Allons, cette fois-ci c'est parl
Congrès de psychologie physiologique, du 5 au 10 août. Président :
M. Charcot
. Congrès de l'hypnotisme expérimental et thérap
ysiologique qui s'ouvrira le 5 aoû: est ainsi constitué: Président:
M. Charcot
; vice-présidents : MM- Magnan. Th. Ribot, Taine
montré les médecins de Nany. Or, il semble injuste que les élèves de
M. Charcot
disent que les- expérimentateurs de Nancy n'aient
la salpétrière. — Clinique des maladies nerveuses. — M. le projeteur
Charcot
fait les mardis, à 9 heures 1/2. une leçon cliniq
éléon », selon l'expression pittoresque de Sydenham. Les travaux de
Charcot
(5) ont complété l'œuvre de ses devanciers, et ac
itaux, 1874);- — Art. Hystérie, du Dictionnaire Encyclopédique. (5)
Charcot
, Leçons sur Us maladies du système nerveux. Paris
e, nous adopterons la division cli-nique adoptée par M. le professeur
Charcot
et nous envisagerons successivement l'emploi de l
térisée par des attaques convulsives, magistralement décrites par MM.
Charcot
et Paul Richer (1). On sait quelle est la gravité
s les médications ? Comme l'a si justement exprimé M. le professeur
Charcot
, tout ce qui frappe vivement l'esprit, tout ce qu
sont enclins les hystériques. Traité pour tel, a la Salpêtrière, par
Charcot
, il avait, au bout de six mois, guéri tout à coup
int de départ à des observations de infime ordre. Les recherches de
Charcot
(1) sur les rapports entre la syphilis et l'hysté
Cette femme,très impressionnable, a éprouvé de grands chagrins; (1)
Charcot
, Hystérie et syphilis. Analyse d'une leçon faite
acùt au 12 août 1889) PRÉSIDENTS D'HONNEUR : MM. les professeurs
Charcot
(de l'Institut), Brown-Séqcard (de l'institut Aza
observations de Fournier (1) viennent corroborer d'ailleurs celles de
Charcot
. La syphilis, à son sens, peut fort bien stimuler
nt qu'on ne croit provoque la syphilis, ont pour Fournier, comme pour
Charcot
, un caractère essentiellement transitoire. Parfoi
èpilepsie symptomatique est au mal comitial essentiel? » Ou bien avec
Charcot
, convient-il de limiter le rôle de l'intoxication
e prévaloir cette dernière opinion. Ainsi, par exemple comme, après
Charcot
, Gilles de la Tourelle ci Berbez en citent un cas
thérapiques du docteur Burq. Les membres de la Commission étaient MM.
Charcot
, Luys et Dumontpallier. Le rapporteur se mit assi
nts les plus autorisés — nos présidents d'honneur ne sont-ils pas MM.
Charcot
. Brouardel, Charles Richel. L'Académie des scie
'empire d'une suggestion puisque, d'après mon maître M. le professeur
Charcot
, c'est précisément à celle période que les phénom
mbreuses tentatives, ni à la consultation externe de M. le professeur
Charcot
, ni dans le service M. Magnan où elle fit un séjo
rexcitabilité neuro-musculaire, si nettement mises en lumière par MM.
Charcot
et Paul Richer et qui sont à l'hypnotisme ce qu'e
mique. Mais que dire surtout des faits suivants nettement établis par
M. Charcot
. Les malades à réflexe patellaire absent, les ata
rapie expérimentale : à une époque où les professeurs Claude Bernard,
Charcot
et Béclard étaient convaincus de la valeur réelle
s nerveux provoqués par la foudre Dans une de ses dernières leçons,
M. Charcot
ayant pu étudier une série de troubles nerveux su
l'on s'efforce aujourd'hui de rattacher à une névrose spéciale et que
M. Charcot
considère pour sa part comme étant purementet sim
s la fulguration ne relèvent-ils pas directement du choc électrique ?
M. Charcot
croit qu'il y a eu d'abord chez le malade une par
les troubles nerveux divers qu'on observe chez les foudroyés. Aussi
M. Charcot
pense qu'on peut conclure ce qui suit : 1° Dans
FACULTE DE MÉDECINE —clinique des maladies du système nerveux — m.
Charcot
, professeur. mardi, vendredí, à 9 heures 1/2 à la
eur. Ces accidents, signalés par divers observateurs ci étudiés par
M. Charcot
, ne sont guère à redouter entre les mains des per
ure; condamnation en police correctionnelle ; expertise confiée a MM.
Charcot
, Brouardel et Motet ; information en appel ; 4° A
e aventure du même genre. C'était au début des remarquables études de
M. Charcot
; plusieurs savants, entre autres le regretté Par
nsi qu'on s'en rendra compte en relisant la très instructive leçon de
M. Charcot
, intitulée « Spiritisme et htstérie » (1). où il
des savants compétents et ils sont allés questionner MM. les docteurs
Charcot
, Dumontpallier, Bérillon, Bernheim. Nous savons
ès l'Echo de Paris et le Petit Parisien l'opinion de M. le professeur
Charcot
: « J'ai observé des faits très curieux de Sugg
. » A l'heure même où ces journalistes parisiens le questionnaient,
M. Charcot
communiquait à un journal de New-York : le Forum,
le entre mille : « Je présente a une femme en état d'hypnotisme dit
M. Charcot
, une feuille de papier blanc et je lui dis: « Voi
sé on l'entend s'écrier: « Tiens ! votre photographie ! » « Si. dit
M. Charcot
, je lui reprends le papier pour le retourner, ell
iqué. « Telle est prsoprement la suggestion. » En résumé, d'après
M. Charcot
, les choses se passent comme s'il existait dans l
rons aussi observer que si les paroles prêtées par les journalistes à
M. Charcot
sont exactes, il n'y aurait pas entre l'Ecole de
voila tout. En ce qui concerne particulièrement Gabrielle Bompard.
M. Charcot
voit simplement dans cette fille un être pervers
que l'école de Nancy diffère radicalement d'avis avec celle de Paris.
M. Charcot
dit qu'il n'y a pas d'exemple de crime commis sou
ique de la grande attaque hystérique si magistralement décrite par le
Dr Charcot
. Elle débute, sans autres prodomes qu'un certain
l offrent, de prime abord, tous les caractères de celles décrites par
Charcot
, Gilles de la Tourette, Grasset, etc. Elles en di
par la durée. Tandis que chez les dormeuses du grand type décrit par
Charcot
, le sommeil peut durer des semaines et même des m
de ceux que Morel a, le premier, appelé « des dégénérés » et dont MM.
Charcot
et Magnan ont si bien fait l'histoire en 1882-83
s les réponses par les signes suivants : (a) Méthode de Braid et de
Charcot
. Moyens physiques. Impression sensorielle vive (l
ore et surtout avee ce maître éminent qui est » l'illustre professeur
Charcot
. avec tous ceux qui se font un devoir de ne » jam
vertu de quels arguments .e Dr Guermonprez justifiera la pratique du
Dr Charcot
, qu'il appelle un maître éminent. » «J'ajoute q
les mains des médecins compétents, que la suggestion hypnotique. MM.
Charcot
, Du-montpallier, Bernheim, Beaunis, Liébeault, Az
ir entraîner la conviction. L'École de Paris, à sa tète mon éminent
maître Charcot
, MM. Brouardel. Gilles de la Tourette répondent p
enu à la suite d'un traumatisme du crâne —, enfin de celui relevé par
M. Charcot
chez un épileptique et dont l'observation a été p
obtenir cette guérison sont nombreux. On peut, ainsi que l'a démontré
M. Charcot
, avoir recours au transfert de la contracture au
les travaux du docteur Burq. Les membres de la commission étaient MM.
Charcot
, Luys et Dumontpallier, rapporteur. La commissi
ncy; je l'avais souvent employée à ma grande satisfaction, et Mesnet,
Charcot
, Proust, Paul Richer. Balle., Charles Richet, Gra
nfin, répondant à une question, d'ailleurs indiscrète, j'ai dit que «
M. Charcot
, loin d'être mon professeur, comme on se le figur
ommunication présentée à l'Académie des sciences par M. le professeur
Charcot
. De plus, l'élude de la courbe des excréta urin
ar des clini-ciensqui s'appellent Jules Cloquet. Azam.Broca, Laségue.
Charcot
, Demarquay Grasset, Pitres. Bernheim, G. Ballet.
velle le droit de cilé : Durand de Cros, Charpignon, Azam. Liébcault.
Charcot
, Bern-heim, Dumontpallier, Richel, Bernheim, Pitr
elle guérit de même sans aucune intervention sanglante. A ce propos.
M. Charcot
rappelle le mot d'un chirurgien anglais au sujet
ure beaucoup plus lente à disparaître. Pour revenir au cas présent,
M. Charcot
après avoir présenté deuxtypes d'œdème bleu hysté
la main opposée, de volume, de température et de coloration normales.
M. Charcot
présente à l'auditoire une grande hystérique hypn
ceux qui ont été proposés pour en être le criterium par MM. Despine,
Charcot
. Binet, etc. se rencontrent aussi dans des états
'hypnose sans distinction aucune. Aussi je pense avec les élèves de
M. Charcot
qu'on fait bien de distinguer entre une grande et
us devons l'étude scientifique de l'hystéro-hypnosc en premier lieu â
M. Charcot
. Les études ultérieures des savants allemands Rie
aleur réelle pour la science psycho-physiologique. Les trois états de
Charcot
, l'hyperexcitabilité névro-musculaire, le transfe
uisse être provoqué que chez les grandes hystériques. Les élèves de
Charcot
ne discontinuent ??? à produire toujours les huit
absurdité. Beaucoup de médecins, fidèles aux doctrines orthodoxes de
Charcot
, con sidèrent l'application de l'hypnotisme comme
: que toute hvpnose n'est pas de l'hystéro-hypnose. L'opposition de
Charcot
et de ses élèves soulevée contre l'application de
et leurs erreurs dans la question qui nous occupe. 2° Les élèves de
Charcot
qui ne connaissent qu« l'hystero-hypnose. Ils Con
nous tenons à signaler que le savant psychiatre Aug. Voisin, élève de
Charcot
, médecin de la Salpètriere, quoique admettant les
in de la Salpètriere, quoique admettant les trois états classiques de
Charcot
. préconise la suggestion 'hypnotique dans le trai
rtement lors des derniers congrès à Paris avoir abandonne les vues de
Charcot
pour les doctrines de l'ecole de Nancy. Enfin au
rès de psychologie physiologique tenu sous la présidence d'honneur de
M. Charcot
. les principes de Nancy ont été acclamés a la gra
as abolie chez lui; il ne présentait aucun des phénomènes décrits par
Charcot
: ni hyperexcitabilité neuro-musculaire, m passag
femme à la suite d'hypnotisations pratiquées par un magnétiseur, par
Charcot
. 3. Action suggestive des milieux pénitentiaire
Pierre Janet, 14. Foudre (accidents nerveux provoqués par la), par
Charcot
, 156. Fous en liberté (les). 191. Fous et l'hypno
bleu des hystériques reproduit expérimentalement par suggestion, par
Charcot
, 353 Odorat [suggestion dans le développement
19, 139. Brouardel. Burot. 55. 170, 177, 331. Cithelineau. 338.
Charcot
. 3, 137, 353 Cleisz, 350. Collineau. 29, 51, 72.
l'anesthésie circonscrite (anesthésie en segments géo- métriques de
Charcot
) : la partie anesthésique n'entre pas en contract
les figurines en terre cuite trouvées dans les fouilles de Myrina,
Charcot
et P. Bicher ont relevé plusieurs images qui répo
ructueuses jus- qu'à ce jour. 1 Dans. les Démoniaques dans l'arl,
Charcot
el P. Richer ont recueilli un grand nombre de m
u d'exorcisme, et ce recueil constitue le plus gros chapitre de (1)
Charcot
et P. Richer, Les difformes et les malades dans l
ivoire du Ve siècle, ont surtout une signification symbolique. (1)
Charcot
et P. nicher. Les Démoniaques dans l'art. Delahay
est propre, et elles ne manquent ni de sentiment ni de grandeur.
Charcot
et P. Richer ont avancé cette opinion au sujet de
e éloignée de la médecine, des éléments de diagnostic nouveaux dont
Charcot
avait si bien compris la va- leur (2) et dont,
rande similitude avec la pachyméningite cervicale hypertrophique de
Charcot
et Joll'roy. Non pas que du l'ait seul d'une sy
lyrique, entré le 8 juin 1892, dans le service de M. le professeur
Charcot
, à la Salpêtrière (Salle Prus. 10). Hérédité. M
la quatrième à Jackson (2). Citons ensuite les observations de MM.
Charcot
et Gombault (3), Vi- not (4), Berger (5), Macke
conserve son indi, idualité clinique et anatomique. Les travaux de
Charcot
et de l'Ecole de la Salpêtrière (2) ne sauraien
do-hypertrophie sur les mus- cles d'un même sujet. C'est encore à
Charcot
que l'on doit cette unification des myopathies
athie publiées jusqu'à ce jour, Erb a confirmé les conclu- sions de
Charcot
et de ses élèves (3). Parlant d'abord de la par
assiques (Duchenne de l3ouloyié `Jaccouél, Eutenburg et Cohn- heim,
Charcot
, Damaschino, Berger, Raymond, Erb). V^ ' Notre
ce groupe est la sclérose laté- mie rt1nyotrophiljue ou maladie de
Charcot
(1). On rencontre d'ailleurs incidemment des lé
myélie. 5° Atrophies musculaires d'origine articulaire décrites par
Charcot
, (2). On y observe le plus souvent une diminuti
lzzérrrl de Landouzy-Déjerine (4). Il est très vraisemblable, comme
Charcot
l'a fait observer, que toutes ces formes, y com
u sys- tème nerveux. Thomas D. SAVILL. (de Londres). (1) Voy.
Charcot
. Leç. sur les mal. du syst. nerv., t. III, 1886,
llet, 1891. LES AMYOTHOPHtQUES DANS L'ART « La médecine, écrivait
Charcot
en 1t;7 (t) au sujet d'une étude sur un buste d
critique médicale des' monuments de l'art que firent dans la suite
Charcot
et ses élèves, Paul Bicher, Gilles de la Tourel
et Déjerine ont repris et complété la description de Du- (1) J. M.
Charcot
kt A. DECIIA.\IIIIIE, De quelques marbres antique
ine, 1890, p. 3U i). Ce malade a été présenté plusieurs fois par l.
Charcot
dans ses leçons comme type de facies myopathiqu
sont mieux connues. , Dans les Malades et les Difformes dans 1'Art,
Charcot
et P. Bicher en ont signalé quelques exemples.
s parties mains difformes. Il est vraisemblable, comme l'ont avancé
Charcot
et P.' Richer, qu'il s'agit là d'une figuration
erez relatés soigneusement dans un mémoire de MM. Souques et J. 13.
Charcot
) (3) je me contenterai d'insister sur certains sy
ne aussi surprenant n'ait pas attiré l'attention des cliniciens avant
Charcot
. C'est à Charcot en effet que revient encore l'
n'ait pas attiré l'attention des cliniciens avant Charcot. C'est à
Charcot
en effet que revient encore l'honneur d'avoir fai
ent, je n'ai rien fait que paraphraser la description magistrale de
Charcot
. J'arrive à la pathogénie, et maintenant ma tâche
et, quoi qu'il n'existât cette époqueaucun plié- nomèue ll1oteur,
M. Charcot
portait déjà le diagnostic de labes. Il n'y a q
ans nos salles, et dont l'histoire a été longuement commen- tée par
M. Charcot
, vous offre un type d'arthropathies multiples lié
e le 11 août 1890, salle Cruveillicr, n° 22 (service de M. le Prof.
Charcot
). Antécédents héréditaires . Son père est mort
e du côté mater- (1) Cette malade avait fait l'objet d'une leçon de
M. Charcot
. TROIS CAS Il'ARTn110PATUlB TABÉTIQUE 225 nel
e. C'est il cette époque que le maladn va con- sulter le professeur
Charcot
qui lui remit par écrit les symptômes qu'il cons-
gnes avant l'apparition des arthropathies avaient été constatés par
M. Charcot
). Le signe d'Aryll-Robertson est très net. Aucu
tellement grande, qu'elle fit conseiller par notre regretté maître,
M. Charcot
, une thérapeutique dont il était avare en l'esp
En France, il n'y a comme travail de ce genre que la leçon de J. M.
Charcot
. Tout récemment J. B. Charcot vient de mettre e
idemment rapproché des précédents, car dans l'observa lion de J. M.
Charcot
, où il y Fig.G2.(l) avait arthropathie de l'é
ns les troubles trophiques et les signes polio-myéliques médians de
Charcot
. C'est aussi l'opinion de Morvan, pour qui elle
ans. Dans le cas de Bernhardt il s'agit d'un jeune homme de 19 ans.
Charcot
considérait la syringomyélie comme débutant dan
OMYÉLIQUES S 237 toujours évidents. Ainsi chez les malades de J. M.
Charcot
et Dutil c'est tout juste si l'on trouva une ou
nfin ce peut être des douleurs fulgurantes, exemple le cas de J. M.
Charcot
et Dutil. Leur malade avait eu plusieurs années
t gardait un peu l'em- preinte du doigt dans l'observation de J. M.
Charcot
et Dutil. L'absence de douleur explique l'étonn
qu'une deuxième arthropathie se développe. Dans l'observation de J.
M. Charcot
l'épaule droite fut prise un mois après le poigne
i ne leur semblaient pas de nature à nuire à l'harmonie de (1) Voy.
Charcot
et P. Richer, Les Démoniaques dans l'art, p. 28.
agit ici d'une forme mixte : syringomyélie type Morvan, décrite par
Charcot
. Quant à la localisation de la lésion médullair
pe médian postérieur de la classification anatomo-physiologi(jue de
Charcot
. Le côté droit est principalement atteint, il d
de chirurgie (juin 1892. c. rendu in Sem. médicale 15 juin 1892).
Charcot
: Progrès médite., 29 avril 1893. a SO¡¡ : \ERE
ne qui surviennent au cours du labes, signalés depuis longtemps par
Charcot
et plus récemment étudiés par Letulle, sont des
ence clans l'apparition de ces deux phénomènes. Dans celle de J. M.
Charcot
et Dutil, la dissociation de la sensibilité n'e
quelquefois il des fractures parcellaires sem- blables à celles que
Charcot
a décrites dans les arthropathies tabétiques. L
emporaires, récidivantes, ou bien permanen- tes. Le malade de J. M.
Charcot
offrait un bel exemple de luxation per- Fig. 76
tuméfaction généralisée. Mais à ce titre on peut distinguer suivant
Charcot
une forme atrophique rare et une forme hyper- t
- thropathie. Cependant cela se voit. Ainsi chez le malade de J. M.
Charcot
« les muscles de l'épaule droite ont subi un de
c lieu de distin- guer ici comme pour les arthropathies tabétiques (
Charcot
), une forme bé- nigne (1) et une forme maligne
istoire, c'est dans la moelle que l'on a cherché la lésion causale (
Charcot
et.JofTroy) (1). Mais on ignore encore quelle e
hermo-anesthésie cutanée être super- posée à ]'arthropathie (.J..M.
Charcot
, .1. B. Charcot). Malheureusement toutes les ob
r ici l'existence hypothétique du cenlre ni des nerfs tro- phiques.
Charcot
rejetait celle hypothèse. M. Brissaud émettait de
) qui se sont longtemps opposées à l'établissement de la maladie de
Charcot
. Il pourra être diflicile de se prononcer d'emb
. 301, n° 10. DES ARTHROPATHIES SYRINGOMYRLIQUES 295 cas de J. M.
Charcot
. Les arthropathies chez le sujet en question prés
leur invasion, l'hypéresthésie cutanée qui les accompagnait, ajoute
M. Charcot
, leur violence, leur apparition sous forme de cri
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE E coup d'autres maladie, l'hystérie (
Charcot
), la névrite alcoolique (Lance- reaux), la névr
la meningomyctiLe syphilitique (1). Ce qui permit dans le cas de
M. Charcot
de faire le diagnostic c'est l'ensemble des sig
ue sorte d'attribuer à la syringomyélie le tableau de la maladie de
Charcot
. Dans l'arthropathie tabétique on a précisément
ux et 34 indolents. La suppuration aussi a été notée dans le tabes.
M. Charcot
dès l'année 1875, le 28 mai disait à la Société
mbien elles différent du type médical et classique de la maladie de
Charcot
. Il était donc nécessaire de les décrire plus p
fort exactement celte scène en tous points comparable à celles que
Charcot
et P. Richer ont reproduites et commentées dans
s'ensuit inévitablement. Ainsi moururent quatre malades dont parle
Charcot
(1) ; ainsi mourut cette malade de P. Janet (2)
SOUQUES. Chef de clinique des maladies du système nerveux. (1)
Charcot
, Leçons sur les mal. du syst. nerv., t. III. (2
ion oculomotrice. Pierre BONNIER. DEUX CAS DE SYNDROME DE WEBER
Charcot
, en 1891, a proposé de donner le nom de Syndrome
rapporta un fait absolument analogue. Du reste, dans les leçons de
Charcot
, on peut retrouver les indicationsd'observationss
Henry Meige. (1) CIIAIICOT, Leç. du mardi, 1887-88, p. 222. (2)
Charcot
, Leçon publiée par J.-B. Charcot et Dutil, Progrè
chez une hystérique, 225. Bonnier. Le nerf labyrinthique, 336.
Charcot
(J.-B.) et A. Souques. Trois cas d'arthropathie
es, qu'on qualifiait tour à tour, d'aphasie, d'aphonie, de mutisme.
M. Charcot
, sur ce point comme sur tant d'autres, a rendu
r notamment : Cartaz. - Du mutisme hystérique d'après les leçons de
M. Charcot
, in Prog. médical, 1886. DU BÉGAIEMENT HYSTÉRIQ
hasie a fait place le bégaiement. Dans divers cas rapportés par MM.
Charcot
et Cartaz, le bégaiement s'est montré beaucoup
servir de prodrome au mutisme, ainsi que l'indique M. le professeur
Charcot
^ Les troubles de la prononciation qui constitue
ous devons rappeler toutefois qu'il a élé sommairement in- diqué.
M. Charcot
l'a positivement constaté dans quelques cas. Vo
iement, une certaine hésitation de la parole'. » Dans les faits que
M. Charcot
a eu en vue, c'est l'a- phasie qui a constitué
s aphasiques hystériques, qui sont bien connus depuis les leçons de
M. Charcot
, de même il y a des bègues hystériques. On doit
parole, qui 1 Cartaz. - Du mutisme hystérique d'après les leçons de
M. Charcot
. Loc. cit. maladie DES TICS ET tremblement. '
S ET TREMBLEMENT. 31 L Nous trouvons ensuite la chorée rythmée, que
M. Charcot
a très bien étudiée et qu'il a rattachée à l'hy
ne nouvelle contraction pathologique, tou- jours brusque et isolée.
M. Charcot
a du reste montré que la cho- rée rythmée est u
a intitulé son mémoire : « Sur la maladie des tics convulsifs. p
M. Charcot
enfin, pour donner plus d'autorité encore à ces
sisterai pas non plus sur cet autre élément sympto- matique, auquel
Charcot
a donné le nom d'échokillésie et qui consiste d
are de trouver les stigmates de l'hystérie. On doit en tirer, comme
Charcot
, cette conclusion impor- tante que la maladie d
ncours de l'auteur parle Dr Keraval. Préface de 11. le pro- fesseur
Charcot
. 1 vol. Lecrosnier et n,tué, 1889. Cet ouvrage
lie. Elle est caractérisée par la dissociation syringomyélilique de
M. Charcot
, c'est-à-dire l'abolition de la sensibilité à l
on- dant principalement sur des observations que M. le professeur
Charcot
a présentées et analysées dans son enseignement
ervice, de la clinique, soit de la policlinique de M. le professeur
Charcot
. ' Nous remercions ici bien sincèrement notre é
ercions ici bien sincèrement notre éminent maître, M. le professeur
Charcot
, des conseils qu'il a bien voulu nous donner pour
ré le 22 avril 1890, salle Prus, n° 16, service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires. - Mère violente, col
NERVEUSE. COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. l'avis de M. le professeur
Charcot
lorsqu'il présenta ce malade dans une de ses le
te affection dans la récente thèse de Huet, un interne distingué de
M. Charcot
. Voici, d'après Huntington lui-même, la caracté
omplit normalement, au moins dans les premiers temps de la maladie.
Charcot
insiste avec raison sur ce caractère, qui fait
é- sente les mêmes caractères. Il nous sera facile de l'éliminer.
M. Charcot
, qui a tracé du tremblement de la sclérose en p
nt chez des sujets dans l'âge mûr, et même chez les adolescents. » -
Charcot
établit la rareté relative du tremble- ment che
l'on tire de la ,vitesse ou du degré de fréquence des oscillations.
M. Charcot
base justement une division des. tremblements e
ultanément parus, d edeux grands neuro-pathologistes contemporains,
Charcot
et Buzzard, qui, l'un dans ses Leçons du mardi,
reconnaître que les deux conclusions sont fon- cièrement opposées.
Charcot
, qui dépiste si bien l'hystérie, et sait la ret
lez-vous le cas, aujourd'hui classique, de la vieille hystérique de
Charcot
chez laquelle on trouva, à l'au- topsie, une sc
l'hystérie chez des sujets prédisposés. Telle est l'opi- nion de
M. Charcot
' qui a récemment publié l'histoire d'un malade
our que des observations plus détaillées viennent établir d'une 1
Charcot
. - Leçon clin., in Bullet. Médical, 10 avril 1880
Médecin-adjoint des asiles d'aliénés de la Seine. M. le professeur
Charcot
a démontré par l'étude clinique et expérimental
tats qui s'en rapprochent : tels sontl'état mental des hystériques (
Charcot
), des alcooliques (Magnan), des surmenés (Todd)
déjà ébauchée en quelque sorte par le fait même de la contusion. » (
Charcot
.) Avant d'aborder le résumé de nos connaissance
tie, qui est en même temps froide, pesante et livide. Le professeur
Charcot
insiste également sur la séparation à établir e
as, il note 1 Goeningen. Uber denshock. Wiesbaden, 1885. ..r ? 1.
Charcot
. - CE.tV¡'es complètes, publiées par Bourneville,
parésie motrice plus ou moins accentuée. Ces phénomènes, suivant
M. Charcot
, n'appartiennent pas en propre à l'hystérie; on
érée, la partie postérieure de l'épaule avec la paume de la main (
Charcot
). La malade accuse immédiatement une sensation
paralysie de la main provoquée par l'action de donner un soufflet,
M. Charcot
a fait remarquer qu'il n'y a là que la reproduc
iment, cette esquisse de para- lysie hystéro-traumatique dont parle
M. Charcot
. Observation. - S..., vingt-cinq ans, infirmièr
uve la véracité de ces allégations, c'est l'hystérie traumatique de
Charcot
, si éminem- ment distincte de l'hystérie ordina
qu'elle présente réalisent le syndrome astasie-abasie décrit parM.
Charcot
, M. Blocq, etc., et par cela même, d'aprèsl'expli
particulière. Ils ne ressemblent en rien aux leçons magistrales de
M. Charcot
sur les maladies du système nerveux. Mais aussi
ique du substratum clinique. Puis, l'expé- rience encyclopédique de
M. Charcot
sait faire jaillir des idées générales éminemme
seulement, ou la compression du bulbe, à laquelle M. le professeur
Charcot
l'attri- bue 1. A. l3aooLT. XVIII. Appendice
hèse de A. Blondeau, faite avec les obser- vations communiquées par
M. Charcot
et par nous, ainsi qu'avec les notes que nous a
nnés.. 4 fr. KOVALEVSRY (P.). Myxoedème ou cachexie pachydet mique (
Charcot
). Brochure in-8° de 26 pages. Prix : 0 fr.'75.
t due principalement aux efforts ininterrompus de notre maître M.
Charcot
, qui a démontré, dans une série de travaux succ
r toutes les formes imaginables, est au contraire, comme l'a établi
M. Charcot
, constituée par une série de phases méthodiquem
cela bien à tort, l'Ecole de la Sal- 'Voir 01 ? uv,es complètes de
M. Charcot
, publiées par Bourneville, t. III, p. 249 et su
mutisme , après avoir persisté pendant ' Voir OEuvres complètes de
M. Charcot
, t. III, p. 422 et suivantes. DE LA MIGRAINE OP
1 Voir Spasme glosso-labié uni-latéral des hystériques. Leçon de
M. Charcot
(Semaine Médicale, an 1887, p. 37.) DE LA MIGRA
s producteurs. C'est, en partie, en se fondant sur cet argument que
M. Charcot
a démontré que certaines paralysies traumatique
, et j'espère pouvoir démontrer mainte- 1 Voir OEuvres complètes de
M. Charcot
,t.III, p. 315 et suivantes. Il faut remarquer q
le tabes, ont été dans plusieurs observations mises en évidence.
M. Charcot
a fait voir que la migraine ophthalmique pouvai
manifestation de l'hystérie. Cette dernière opinion a été émise par
M. Charcot
à l'occasion de l'examen qu'il fit du malade qu
fondant sur plusieurs observations recueillies dans le service de
M. Charcot
à la Salpêtrière. - 1 Voir Archives de Neurolog
vulsions apparaissent. Le malade vient à la Salpêtrière consulter
M. Charcot
le 3 mars 1886. La veille encore il a eu une at
., âgée de seize ans, vient à la Salpêtrière à la consulta- tion de
M. Charcot
au mois de décembre 1887. Antécédents héréditai
s, et enfin chaque jour et chaque nuit. La malade vient consulter
M. Charcot
, à la Salpêtrière, le 1er mars 1886. Elle est c
itive. Son observation à cet égard a été publiée dans les leçons de
M. Charcot
(t. III, p. 202) et dans un mémoire, de MM. Mar
es recherches nombreuses, fuites par M. Parinaud dans le service de
M. Charcot
, que l'hémiopie permanente ne s'observe pas dan
achidiens sensitifs au niveau de la zone radiculaire postérieure de
Charcot
; et c'est de cette surface d'étalement que part
é sur deux cents malades réunis dans le service de M. le professeur
Charcot
à la Salpêtrière (Clinique, infirmerie, bâtimen
cas intéressants qui se sont présentés à la consultation externe de
M. Charcot
. Nous ne communiquerons ici que les résultats d
ous ces malades se trouvent dans tous les registres du service de
M. Charcot
, et qu'un certain nombre de ces malades a été d
ysie motrice. Leurs observations sont consignées dans les leçons de
M. Charcot
et dans plusieurs thèses sorties ces dernières
les hystériques est surprenante. Notre maître, M. le profes- ssur
Charcot
a déjà maintes fois attiré l'attention sur ce f
énomènes de l'astasie et de l'abasie, comme l'a d'ailleurs démontré
M. Charcot
, ne peut guère se trouver que dans une disparit
ent \ » Ces points ont en particulier été bien mis en lumière par
M. Charcot
en ce qui concerne le langage et les différents
THANASSIO. Publié du Progrès médical, Paris 1890. La préface dont
M. Charcot
a honoré ce travail en exprime mieux l'idée gén
bolie chez lui; il ne présentait aucun des phénomènes décrits par
Charcot
: ni hyperexcitabilité neuro-musculaire, ni passa
utre dans la 3° classe. Hospice de la Salpètrière. M. le professeur
Charcot
a repris ses leçons du mardi le mardi 28 octobr
vreux 1890. Imprimerie E. Quettier. 4(j BULLETIN bibliographique.
Charcot
(J.-M.). -llérno1'1'hagie et ramollissement du ce
hurchill . IiOVALEVSRY (P.). - Myxoedème ou cachexie pachydermique (
Charcot
). Brochure in-8° de 26 pages. Prix : 0 fr. 75.
ES MATIERES pai'Bruhl, 129 -Leçons du mardi à la Salpêtrière, par
Charcot
, 293 ; - appareil de projection du crâne, par
95. Campbell, 107. Camuset, 57. Caspari, 217. Csatarv,416.
Charcot
, 291, 454. Charpentier, 130, 275, 276, 288. C
est tel qu'il échappe sinon au contrôle, du moins à l'influence .
Charcot
et Magnai). De Vonomatomanie. (La première partie
ch. de Neurol., net 25 et 26, janvier et mars 1885, p. 19 et 158.
Charcot
,. - Tics et liqueurs. (Trib. méd., 25 novembre 18
nous décrirons exclusivement les cas d'amnésie typiques, comme dit
M. Charcot
, en laissant volontairement de côté les amnésie
sont lrès fréquentes, presque aussi fréquentes que les anesthésies.
M. Charcot
l'a remarqué l'amnésie hystérique. 31 depuis
condamner du premier coup, sans examen plus approfondi i. Ce, que-
M. Charcot
avaitconstaté à cette époque, nous pouvons le c
; mais le lendemain 'quand il s'apprêtait à lire l'observation à
M. Charcot
, la malade amenée devant le médecin racontait '
oi de vous rappeler aussi à ce propos cette intéressante malade que
M. Charcot
nous montrait der- nièrement. G... à la suite d
sous sa forme typique. Vous savez qu'il y a ici dans le service de
M. Charcot
un cas d'amnésie probablement unique dans son g
on genre. L'histoire de M-0 D... nous a été racontée ici même par
M. Charcot
2 il y a peu de temps, elle va être reprise et an
fin du mois d'août dernier, Mme D... a eu une violente attaque que
M. Charcot
considère et à juste titre comme une attaque d'
n souvenir ; amnésie rétrograde et antérograde, comme dit justement
M. Charcot
. Encore aujourd'hui elle vous demande avec anxi
d'idées fixes. (Revue philosophique 1891, t. I, p. 258-384.) . , !
Charcot
. Sur un cas d'amnésie rétro-antérograde, probable
oments, donc ils sont toujours bien conservés. Vous savez comment
M. Charcot
s'est aperçu pour la première fois de cette conse
ci, la conservation des souvenirs malgré l'amnésie hystérique. ''
Charcot
.- Revue de médecine, 1892, p. 94. l'amnésie hys
celui qui suit les crises, celui qui est continu chez la malade de
M. Charcot
, n'est que cela, une sorte de distraction de la
ne perception personnelle très instable. Les hommes ordinaires, dit
M. Charcot
, sont des auditifs, des visuels ou des moteurs,
r somnambulisme que des modifications pure- ment morales, c'est que
M. Charcot
les a vus et m'a demandé de vous les présenter.
le 14 janvier 1891, à la consultation externe de M. le pro- fesseur
Charcot
, à la Salpêtrière. Antécédents héréditaires. So
rt le 24 juillet. Autopsie impossible, mais diagnostic confirmé par
Charcot
et Nothnagel. Obs. IL - Fruitière, de trente an
ent. Nous connaissons tous les travaux de Heidenhain, Gruetzner,.
Charcot
, Bernheim, Forel et Binswanger. Par suite, l'impo
es cordons antéro- latéraux (zones radiculaires antérieures d'après
M. Charcot
) dans le voisinage immédiat de la corne antérie
ès Médical, 14, rue des Carmes. Le tome IX des OEuvres complètes de
M. Charcot
, que M. Bourne- ville a eu l'heureuse idée de r
s périodiques. De plus qu'on veuille donc bien relire le travail de
M. Charcot
sur les néo-membranes de la dure-mère on y appr
ie courante; il serait peut-être bon de se souvenir de la peine que
M. Charcot
eût à faire accepter ces vérités qui nous parai
olume est encore toute d'actualité : elle a trait aux recherches de
M. Charcot
, sur la métalloscopie, la mé- tallothérapie et
contre la simulation : allons de l'avant et foin de tels obstacles.
M. Charcot
après avoir été un novateur trop hardi devenait
rit le plus difficile est forcé de s'in- cliner. Dans l'oeuvre de
M. Charcot
, il y a ni raisonnements vagues, ni théories cr
x prises avec l'imprévu ? Les dix volumes des leçons ex cathedra de
M. Charcot
, réunies jusqu'ici par M. Bourneville, sont, po
cal dans son essor scientifique. Ces qualités, 140 bibliographie.
M. Charcot
les possède au plus haut degré. C'est ainsi qu'il
Au sur et à mesure que les travaux des neurologistes (sur- tout de
Charcot
et de son école) ont rattaché cet ordre de trou-
formes de migraine ophtal- mique que l'on a appelées frustes (Féré,
Charcot
). D'autrepart, un grand nombre de sujets attein
férieure ou supérieure du champ visuel. Une seule observation (de
Charcot
, relaté par Féré) démontrerait la possibilité d'h
jette à des engourdis- sements d'une moitié du corps, qualifiés par
M. Charcot
d'épilepsie partielle (sensitivo-sensorielle) a
verbale, de l'alexie ou d'agraphie ; comme dans une observation de
Charcot
, rapportée par Féré (24), et dans quelques obse
'étendre à l'autre, comme le montre une intéressante observation de
Charcot
, relatée par Féré ; mais ils prédominent toujou
mi- graine ophtalmique à l'hystérie date de 1888. A cette époque,
M. Charcot
présenta à ses Leçons du Mardi un malade, qui a
bservations non interprétées, antérieures aux cas rapportés par MM.
Charcot
et Babinski, et deux nouvelles observations qui
ont été mis en évidence, plus tard, surtout par les observations de
Charcot
et Féré. Ces observations nous permettent d'aff
Raullet rapporte deux obser- vations recueillies dans le service de
M. Charcot
, dans les- quelles les attaques d'amblyopie tra
elle (sensitivo-sensorielle, ou motrice, ou mixte) M. le professeur
Charcot
a indiqué le pre- mier un trouble nerveux que n
visuelle vers l'écorce motrice. b). 11 résulte des observations de
M. Charcot
que l'épilepsie sensitive (accompagnée très sou
était nettement déclarée. J'ai pu observer, grâce à l'obligeance de
M. Charcot
fils, un cas tout à fait analogue dans le servi
s le plus strict du mot, l'aphém : é de Broca, l'aphasie motrice de
M. Charcot
, il est .bon de rappeler que sa localisation ex
émisphère gauche 1. Cependant il faut rappeler que M. le professeur
Charcot
dit avoir vu plusieurs fois l'oblitération de l
n as the of speech. Indian med. Rec., Calcutta, 1892, III, p. 80, :
Charcot
. -Leçons sur les localisations 1876-80, p. 69.
us- qu'au parfait et complet développement des quatre périodes de
Charcot
. Chez une seule et même malade on a rencontré tou
açons dont a été jugé Laënnec, notamment par MM. Cornil, Bouillaud,
Charcot
qui, souvent, dans ses Leçons, a cité Laënnec c
tue de Laënnec par Lequesne, des portraits de Dupuytren, Bouillaud,
Charcot
et Chauffard et la production du buste de Laënn
luence héréditaire qu'a tant contribué à établir M. le pro- fesseur
Charcot
, qu'il n'est excessif de prétendre qu'on la lui d
lles DE la Tour- nETTE, ancien chef de clinique de M. le professeur
Charcot
, vient d'être nommé officier d'Académie. Facu
ravail de ce genre ne pourrait être que la repro- duction de ce que
M. Charcot
a consigné dans ses leçons clas- siques ou la c
l'occasion d'étudier en fréquentant le service de 11. le professur
Charcot
a. Elles nous ont paru intéressantes par la gra
ici toute notre gratitude à notre opinent maître, AI. le professeur
Charcot
; le souvenir de la généreuse hospitalité qu'il
gée de rentrer à la Salpêtrière dans le service de M. le professeur
Charcot
. Son état de santé à cette époque était très ma
' L'amnésie hystérique est à présent l'objet dans la clinique de
M. Charcot
d'une étude très approfondie. Parmi les cas que j
qui forma l'objet d'une intéressante conférence de M. le professeur
Charcot
. Il s'agit d'une jeune femme, laquelle après un
oir : Sopra un caso di amnesia retro-antero,gradu. Lezione del Prof
Charcot
, in Riforma medica 1891, et les très intéressante
onienne. (Arch. sur Psichialrie, XXI. Observation première.) ' V.
Charcot
. Epilepsie partielle crurale et tuberculose de la
s le diagnostic d'hystérie. Cette observation nous démontre combien
M. Charcot
est dans le vrai lorsqu'il affirme que les symp
ntre le 15 juin 1892 à 1a Jalpélrière (service de 11. le professeur
Charcot
). Antécédents DE famille. Ses aïeuls maternel e
l'épilepsie, mais il peut arriver aussi dans l'attaque hystérique ;
M. Charcot
l'a observé quelquefois. Du reste, il en est de
l'épilepsie, mais seulement d'une façon transitoire. Le professeur
Charcot
L'UYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEA
rofonde que dans l'hystérie : c'est ce qu'enseigne M. le professeur
Charcot
. Contre cette manière de voir se sont élevés ré
Cette circonstance me rappelle un fait fort intéressant relaté par
M. Charcot
(Leçons sur les maladies du système nerveux, t. I
érie bien avérée, provoqués par l'éclat de la foudre. Le professeur
Charcot
, dans ses Leçons du mardi1, en rapporte un cas
fut victime. Je répondrai par les exemples cités par le professeur
Charcot
dans la leçon dont il s'agit. Le premier appart
d,Emiplegia istel'ica-allolise in Riforma medica, 1891, n° 177. *
Charcot
. - Leçons cliniques sur les maladies du système n
ique, En effet, si celle-ci est, en grande partie, comme l'enseigne
M. Charcot
, une maladie delà personnalité, il nous semble
urdité verbale ou d'autres troubles analogues. Une observation de
Charcot
(rapportée par Féré) et quelques autres de Raul
ie sensitivo-sensorielle accom- pagnés par l'amblyopie transitoire (
Charcot
, Féré, Raullet), que le plus souvent la lésion
, probablement congénitale), très bien représentée par le schéma de
Charcot
. , 432 - CLINIQUE NERVEUSE. mique donné à la
suite d'un nouvel accès. » Il nous semble que cette affirmation de
Charcot
se trouve surtout confirmée chez les hystérique
talmique. Une observation qui m'a été verbalement communiquée par
M. Charcot
, plaide dans le même sens. Un enfant migraineux,
it se rapporter à une lésion directe ou indirecte d'une bandelette (
Charcot
), il est vrai aussi que l'hémianopsie tem- pora
res observations cliniques mises de côté comme non expliquées par
Charcot
même 9, avec les observations de Gowers (hémi-
mène. Les formes dissociées de migraine ophtalmique, sur lesquelles
Charcot
a insisté, sont des cas où l'amblyopie transito
ls de la vision par lésions cérébrales. (Th. de Paris, 1882.) 27.
Charcot
. - Leçons sur les maladies du système nerveux. (P
ezowski. Traité des maladies des yeux. (Paris, 1888, p. 562.) 39.
Charcot
. - Leçons du ntqi-di la Salpétrière, ;1881-88. (P
a migraine ophtalmique avec l'hystérie. (Th. de Paris, 1891.) 53.
Charcot
. Sclérose en plaque et paralysie générale. (Leçon
appeler que je l'ai encore constaté chez deux malades du service de
M. Charcot
. Je crois savoir que M. Séglas l'a constaté aus
qui se rencontrent dans ce service, après avoir suivi les leçons de
M. Charcot
, je n'hésite plus. ' Marcelle était une hystéri
nétrer dans la médecine, ce n'est pas pour y apporter la confusion.
M. Charcot
nous a appris à étudier 470 0 RECUEIL DE FAITS.
ns d'hystérie simulant la sclérose en plaques ne soient pas rares, (
Charcot
, Rendu, Souques, Michel et Tiercelin, Cantacuzè
est-il besoin de rappeler son existence fréquente dans l'hystérie (
Charcot
, Rendu, Pitres, Dutil, Sou- ques). Ainsi donc l
antécédents personnels de notre malade aucune maladie infectieuse (
Charcot
et Marie) ; au contraire, on trouve une tare né
hie : Mémorrhagie, ramol- lissement du cerveau, hypno- tisme, par
Charcot
, 136; - Epi- tome des maladies mentales, par
me des maladies mentales, par J. Shaw, 137 ; Leçons du mardi, par
Charcot
, 138; -Clinique des maladies du système nerveux
par Charcot, 138; -Clinique des maladies du système nerveux, par
Charcot
, 139; - Troubles du langage chez les aliénés, p
ns et folie systématique, par Mercklin, 67. ON0lfA'rOivIANIE, par
Charcot
et Ma- gnan, 1, 161, 369. Oputhalmoplégie ext
. Broca, 132. Bruns, 80. Burckhardt, 488. Camuset, 55, 281.
Charcot
, 1, 136, 138, 139, 161. Charcot (J : B.),158,
hardt, 488. Camuset, 55, 281. Charcot, 1, 136, 138, 139, 161.
Charcot
(J : B.),158, 367, 516. Chaslin, 322. Chris
me que Louyer-Villermay, Tissot, Dubois (d'Amiens), Sandras, Briquet,
Charcot
, considèrent comme une forme grave de l'hystérie,
nt accessoire, sans rien changer à la nature de la maladie primitive (
Charcot
). C'est l'hystérie épileptiforme de Louyer-Viller
et,— Yhysteria major ou grande hystérie, comme la désigne quelquefois
M. Charcot
. Parmi les'maladies du système nerveux qui doiv
ladies du système nerveux qui doivent aux travaux de M. le professeur
Charcot
et de ses élèves une si grande part des progrès r
Dr Bourneville, depuis l'année 1872, a poursuivi, dans le service de
M. Charcot
, ses laborieuses et patientes recherches sur l'ép
u'en 1878 j'eus l'honneur de terminer mon internat sous sa direction,
M. Charcot
arrivait à cette conception delà grande attaque h
urq sur la métallothé-rapie, terminait ses travaux au laboratoire cle
M. Charcot
à la Salpêtrière. L'impulsion était donnée et l
ques nous conduisirent, sous les auspices et avec la participation de
M. Charcot
, à l'étude de l'hypnotisme dans l'hystérie. Ainsi
l'Institut agronomique, prit une part fort active, furent exposés par
M. Charcot
dans ses conférences cliniques de la fin de l'ann
. C'est également à ces premières recherches faites au laboratoire de
M. Charcot
à la Sal-pêtrière que l'on doit la découverte de
ant à caractériser une des phases du sommeil hypnotique, désignée par
M. Charcot
sous le nom de léthargie hystérique provoquée. La
res tentatives dans cette direction furent faites au laboratoire de
M. Charcot
par le Dr Romain Vigouroux, à l'obligeance duquel
y arrêter un instant. hallucinations Il est une loi sur laquelle
M. Charcot
a insisté et qui établit une relation constante e
certain sens, et dans une direction qui est toujours la même, et que
M. Charcot
a le premier indiquée1. Les chats, les rats, et
tout temps au ventre une douleur fixe, plus ou moins intense, et que
M. Charcot
, d'ac-cord avec Schutzenberger contre Briquet, ra
aractères en ont été parfaitement tracés, il y a long-temps déjà, par
M. Charcot
, dans ses Leçons sur les maladies du système nerv
, c'est une pression profonde sur l'ovaire ou la rég'on épigastrique (
Charcot
, Schùtzemberger) qui détermine des accidents hyst
ique qui tombe n'existe pas ici. Contrairement à ce qu'a dit Briquet,
M. Charcot
professe que l'hystérique en tom-bant ne crie pas
gaire, la période des tours de force; et ce n'est pas sans raison que
M. Charcot
lui a donné le nom pittoresque de clonisme, rappe
s invraisemblables. Parmi ces attitudes qualifiées d'illogiques par
M. Charcot
pour les opposer aux attitudes de la troisième pé
ette période se trouve parfaitement défini par le nom que lui a donné
M. Charcot
, période des attitudes passion-nelles ou des pose
s d'exposer montre bien la justesse de la dé-nomination sous laquelle
M. Charcot
désigne cette période de l'at-taque. Les divers t
inquante minutes. Un caractère clinique très important, signalé par
M. Charcot
dans ses Leçons sur les maladies du système nerve
néral conco-mitant n'est pas de nature à inspirer de l'inquiétude. » (
Charcot
). Les attaques qui composent une même série ne
ent parmi les malades hystéro-épileptiques réunies dans le service de
M. Charcot
à la Salpêtrière et que nous avons pu étudier à l
es malades hystéro-épileptiques entrées depuis peu dans le service de
M. Charcot
et dont il n'a été que peu parlé précédemment; no
d, alors que la malade était depuis quel-ques mois dans le service de
M. Charcot
. DEUXIÈME OBSERVATION. Léonore Rob... est ent
ERVATION. Léonore Rob... est entrée le27mai 1879 dans le service de
M. Charcot
à la Salpêtrière. Petite, brune, constitution peu
solide constitution, est entrée à la Salpêtrière, dans le service de
M. Charcot
, le 21 mars 1870. A part une lièvre typhoïde à on
ne intelligence bornée, est entrée le 30 juin 1879 dans le service de
M. Charcot
à la Salpêtrière. Elle a eu sa première attaque à
Pil..., dix-sept ans, est entrée le 12 avril 1879 dans le service de
M. Charcot
, à la Salpêtrière. Orpheline, elle a été élevée c
L..., dix-huit ans, est entrée le 4 septembre 1879 dans le service de
M. Charcot
à la Salpêtrière. Crises hystéro-épileptiques dep
il fut donné à la famille par un jeune médecin de ses amis, d'appeler
M. Charcot
en consultation. — Ce qui fut fait. Jugeant aus
en consultation. — Ce qui fut fait. Jugeant aussitôt la situation,
M. Charcot
affirma la nature hystérique de 1. Nous devons
s ont trait pour la plupart à des malades auxquelles M, le professeur
Charcot
avait prescrit le traitement hydrothérapique. l
nde sensibilité au genou, le plus léger contact lui arrache des cris.
M. Charcot
prescrit quelques applications électriques (coura
effrayants. C'est dans cet état de crise qu'elle se trouvait lorsque
M. Charcot
fut appelé en consultation et la vit pour la prem
ténuée dans la suite et fini par disparaître. (Communication orale de
M. Charcot
.) l'articulation du genou pût fonctionner, affi
avons indiqué. D'après les renseignements qu'a bien voulu nous donner
M. Charcot
, des crises avaient existé auparavant, dans lesqu
épétèrent et l'anémie se prononça. Madame X... fut alors adressée à
M. Charcot
qui conseilla le traitement hydrothérapique. Ch
de nom-breuses médications, on conduisit la malade à M. le professeur
Charcot
qui prescrivit l'hydrothérapie. A son arrivée à
ntracture avait duré environ six ans. Cette malade fut examinée par
M. Charcot
, et le docteur Bouyer a publié les principaux dét
trois mois. » Dans quelques notes inédites, remises par M. Bouyer à
M. Charcot
, nous trouvons quelques nouveaux détails : la dis
s malades de la Salpêtrière. HUITIÈME [OBSERVATION. Nous devons à
M. Charcot
la relation d'un fait qu'il a eu l'oc-casion d'ob
s devons les renseignements qui suivent et qui complètent le récit de
M. Charcot
. Le lor octobre 1877, madame X... venait à l'in
venue. Les crises conti-nuaient. La famille demanda que le professeur
Charcot
fût appelé en con-sultation. Après l'examen du
l'examen du malade, et sur les renseignements qui lui furent don-nés,
M. Charcot
conclut à une affection purement nerveuse, hystér
avril 4878 à l'institut hydrothérapique de Passy, sur les conseils de
M. Charcot
, appelé en consultation par le docteur Pain. La m
mois après nous revîmes la malade dans le cabinet de M. le professeur
Charcot
, les crises n'avaient pas reparu et la déglutitio
r la mère de la malade jusqu'au moment où, suivant la prescription de
M. Charcot
, celle-ci se décide à se faire soigner à l'instit
es à l'obligeance du Dr Thermes. Au courant des travaux antérieurs de
M. Charcot
et de nos études actuelles, M. Thermes a pu recue
ante des clowns que l'image des possédés. Cette attitude illogique (
Charcot
) dure trois à quatre minutes ; elle se modifie pa
t tristes : celles-ci s'accompagnent d'attitudes, déposes plastiques (
Charcot
) qui varient selon que la physionomie peint la tr
epuis peu sur la matière, édifiés par les travaux de M. le professeur
Charcot
, ne s'éloignent pas de notre description. La gran
o-épilepsie la plupart des figures qui se trouvent dans les Leçons de
M. Charcot
concernant le même sujet. La description qu'il
qu'il donne des accès d'hystéro-épilepsie, cite les paroles mêmes de
M. Charcot
, dont il approuve complètement la description *.
et des contractures. Cette période des atta-ques correspond à ce que
M. Charcot
appelle phase des grands mouve-ments; elle succéd
mais d'attitudes émotion-nelles (phase des attitudes passionnelles de
M. Charcot
), excepté cependant celle de la frayeur, qui étai
môme se sert d'un mot qui se rapproche beaucoup de celui employé par
M. Charcot
, puisqu'il désigne sous le nom d'expressions pass
Ces considérations confirment pleinement l'opinion déjà sou-tenue par
M. Charcot
qui ne voit dans Thystéro-épilepsie que le degré
u-lent nécessairement de cette conception de l'hystérie, sur laquelle
M. Charcot
a appelé depuis longtemps l'attention. L'intérêt
nes spasmodiques au moment où survient la perte de connaissance1 ».
M. Charcot
admet que l'attaque d'hystéro-épilepsie peut se m
ntérêt pratique qui s'at-tache à la distinction, que depuis longtemps
M. Charcot
cherche à établir, entre l'épilepsie et l'hystéro
nt elles que Marc... et Ler... appellent leurs lortlllemcnls et que
M. Charcot
a qualifiées de démoniaques. Première Période.
s observations. L'année dernière un docteur d(3 province écrivait à
M. Charcot
au sujet d'unejeune malade dont les violentes att
ité de faire naître à volonté le phénomène. Il a été ainsi permis à
M. Charcot
et à ses élèves d'étudier sur de nouvelles bases
t état, spécial diffère par bien des caractères du véritable sommeil.
M. Charcot
préfère le désigner, en attendant mieux, sous le
musculaire fort remarquable se développe im-médiatement, c'est ce que
M. Charcot
désigne sous le ïioïïkïhyper-excitabilité neuro-m
de cette étude de la catalepsie produite par l'impression lumineuse,
M. Charcot
a rappelé h son cours l'expé-rience bien connue,
ec succès, chez les autres malades hystéro-épileptiques du service de
M. Charcot
. Lorsque la malade est prévenue et qu'elle voit l
té entreprises, comme les précédentes, dans le laboratoire clmique de
M. Charcot
à la Salpêtrière. J'y ai été aidé par le précie
le bruit qu'ils font lui cassent les oreilles. On dit à Bar..., que
M. Charcot
est près d'elle. Elle le voit, en effet, s'avance
. Depuis quelque temps c'est la demande qu'elle ne cesse d'adresser à
M. Charcot
. Il suffît de dire à Bar... ce Écoute la musiqu
attaque. Deux observations recueilhes dans la clientèle de ville de
M. Charcot
, montrent l'accès de somnambulisme hystérique, pr
ents du docteur Hillairet,au sujet d'un jeune malade, qu'il adresse à
M. Charcot
. « Je vous adresse le jeune élève du lycéeX...,
gauche. Il y a cependant quelques exceptions à cette règle posée par
M. Charcot
. M. Bourneville en cite un exemple : chez Besch..
varienne, avec tous ses caractères les plus tranchés, siège à gauche.
M. Charcot
en a rencontré quelques cas dans sa clientèle de
n'est perçu que par les parties les plus centrales du champ visuel.
M. Charcot
a reconnu qu'il y avait de nombreuses exceptions
ons consécutives Indiqué pour la première fois par M. le professeur
Charcot
dans ses conférences cliniques de 1878 à l'hospic
s heures, à la suite d'une seule application de quelques minutes, que
M. Charcot
a donné le nom d'oscillations consécutives ^ 1.
Charcot a donné le nom d'oscillations consécutives ^ 1. Depuis que
M. Charcot
a fait connaître ce fait des oscillations consécu
utre côté. C'est bien au fond le même phénomène que celui qu'a décrit
M. Charcot
. Il n'en diffère que par une question d'intensité
es recherches que nous avons entreprises à ce sujet au laboratoire de
M. Charcot
ont été déjà consignés dans le Progrès médical (l
ne des observations déjà publiées dans le Progrès médical. Obs. I. (
Charcot
et Richer). — Maria X.., hystéro-épileptique, hém
ordre inverse à celui de l'envahissement de l'anesthésie provoquée.
M. Charcot
a fait remarquer que la facilité avec laquelle se
res sensitives destinées à une moitié du corps, même celles des sens (
Charcot
, Raymond). Dans les deux cas, les organes des s
trouvons là une nouvelle confirmation de cette opi-nion professée par
M. Charcot
, qu'il n'y a pas un phénomène dans l'hystérie qui
i^t e La contracture permanente hystérique a été, de la part de MM.
Charcot
, Bourneville et Voulct^ , l'objet d'une étude app
es. Mais sa longue durée ne change en rien son mode de terminaison.
M. Charcot
a insisté dans ses leçons sur la façon subite don
iplégique par lésion cérébrale avec contracture latente du service de
M. Charcot
. Nous avons vu alors l'excitation vibra-toire pro
Brodie,au sujet de ce qu'il désigne sous le nom à'hystérie locale -.
M. Charcot
a consacré au même sujet une leçon publiée dans l
ent maladroit ou intempestif ce L'observation démontre, en effet, dit
M. Charcot
, que, dans l'espèce, les applications de vésicato
urs de ce travail, Louise Gl..., et qui fut l'occasion delà leçon que
M. Charcot
fit sur ce su-jet. Les mouvements rhythmés occu
ptique. — Ce point, d'une impor-tance capitale, a été signalé par MM.
Charcot
et Bourneville. Je ne ferai que rappeler ici que
érent. Elle n'est pas gâteuse. 3. Sabatin, morte dans le service de
M. Charcot
au mois de juin dernier, à l'âge de 20 ans. Bonne
s 1/2 à Bicêtre. Nous pourrions facilement multiplier ces exemples.
M. Charcot
appelle les vétérans de l'hystéro-épilepsie. Deux
— COURANTS CONTINUS Pendant mon année d'internat dans le service de
M. Charcot
, il a été fait un usage fréquent des courants con
mais complètement oublié depuis longtemps, a été remis en honneur par
M. Charcot
, qui s'exprime ainsi dans ses Leçons sur les mala
» Cet appareil a été expérimenté à la Salpetrière dans le service de
M. Charcot
, sous Finspiration duquel il a été créé. Voici le
ucoup pour la guérison, ainsi que le prouve la pratique journahère de
M. Charcot
. a. Hydrothérapie méthodique. — L'éminent profe
lications répétées d'aimant, fut une première tentative dans ce sens (
Charcot
et Vi-goureux). Cette médication reposait sur la
mbreuses entreprises dans cette direc-tion au laboratoire clinique de
M. Charcot
, à la Salpêtrière, où M. Vigoureux est spécialeme
êtrière etau dehors, grâce à l'appui bienveillant de M. le professeur
Charcot
, confirment très explicitement cette vue. Le tr
avons seulement constaté chez huit hystéro-épileptiques du service de
M. Charcot
, l'influence du maintien de la sensibilité sur l'
que double. — Nous avons observé tout récemment avec M. le professeur
Charcot
un cas de guérison rapide de cette affection rare
e affection rare. Électricité statique comme moyen de diagnostic. —
M. Charcot
a au-trefois signalé la possibilité de produire l
la des-cription que nous en avons faite en suivant la voie tracée par
M. Charcot
paraît s'éloigner, par certains côtés, du type ju
e médecine rétrospective, je citerai CalmeiP, Littré^, Valentiner^ et
Charcot
*. Nous avons vu (par l'histoire de nos malades)
'hystérie, la grande simulatrice. Or il est connu, depuis Sydenham,
Charcot
et Gilles de la Tourette, que l'hystérie peut d
dans les deux cas et dans lous les deux il peut exister, ainsi que
Charcot
l'a montré, la dissociation syrin- gomyélique.
eniers de Buda- Pest. 30 Le Pédicure. (Dessin. Collection du Il
Charcot
.) Ce document a été l'objet d'une critique de G
, Brouwer aurait fait l'étude au crayon que possédait le Professeur
Charcot
. Dans une pièce rustique, aux murs nus, qu'orne
leau en miroir. (2) N° 69 du Catal., B. II, 41. L, 38.- Signalé par
Charcot
et P. HICIIEH, Les malades et difformes dans l'
res oii la fantaisie ne dé- truit pas la justesse de l'observation.
Charcot
et Paul Richer ont déjà si- hâlé ces deux eaux-
l'1'es de Têtes, loc. cit. (2) Coll. Bredius, n, 442 du Cat. - Voy.
Charcot
et PAUL Iliciiga. La Ventouseuse, Nouv. Iconogr
Raymond de retour d'un voyage en Russie, fit part à notre regretté
maître Charcot
des bénéfices obtenus par cette technique. En 188
as de tabes traités par la suspension dans le service du professeur
Charcot
à la Salpêtrière. Aucun de-nos malades n'a subi
la motilité s'était notablement amélioré. Enfin, une observation de
Charcot
(1) nous montre également le syn- drome de Brow
té intacte. Avec cela, lemaladeeracontaitdu'à droite il avait t (1)
Charcot
. Arthropathies par lésions de la moelle. Arch. de
le était moins élevée à la jambe droite qu'à la jambe gauche (2).
Charcot
(3), dans ses leçons du mardi, a raconté en terme
ainsi que de la rétention d'urine. Lorsque le sujet fut examiné par
Charcot
, huit an- nées s'étaient écoulées depuis l'atte
elle n'arrivait même pas jusque-là. En somme, cette observation de
Charcot
, à l'instar de celle d'Enderlen, non fournit de
ble en l'espèce. Mais dans quel sens : contracture ou paralysie ?
Charcot
invoquait pour les déformations du rhumatisme chr
point de départ est dans les jointures affectées ». Pas plus que
Charcot
je n'insisterai sur celle palhogénie. Pourrait-on
de cette vieille querelle et je reste jusqu'à nouvel ordre élève de
Charcot
sur ce point. Le second, de plus grande valeur, e
la Tourette CI). Elle se trouve aussi dans une autre observation de
Charcot
, publiée dans la thèse de Briilil (2), observa-
ose pro- gressive des articulations scapulo-humérales. Examinée par
Charcot
en - (t) Gilles ni, la Tourette. Nouvelle Icono
s supérieurs, à la face antérieure et postérieure du tronc. C'est
Charcot
, comme on le sait, qui pour la première fois a dé
ration ? Quant à la valeur séméiologique de la main de prédicateur,
Charcot
avait 1 déjà fait une sage réserve dans ses Leç
rroger la méthode anatomo- clinique. Depuis les premiers travaux de
Charcot
et Joffroy, on peut dire- que cette main n'a ét
saud, un adepte fervent de l'existence du type nosologique créé par
Charcot
el Joffroy, n'a pas rencontré non plus la main
type de la main de prédicateur. Même dans l'observation première de
Charcot
et Joffroy, il existait « des canaux de néoform
enseurs du poignet donne à la main une attitude spéciale à laquelle
Charcot
a donné le nom de main de prédicateur, Cette grif
exemple dans la VIF observation de Gauliez prise dans le service de
Charcot
(1) : spasme tonique du sternomastoïdien droit
le (1) en 1885 et Guinon (2) en 1886 ont décrite dans le service de
Charcot
sous le nom do maladie des tics ou de névrose t
exe ou automatique de la vie ordinaire. » C'était l'enseignement de
Charcot
(3) que Brissaud (4) rappelle et dé- veloppe cl
ent toujours les mêmes chez le même sujet; et, de plus (ceci est de
Charcot
), fort souvent du moins, en les exagérant ce- (
certaines circonstances « en les exagérant cepen- dant », comme dit
Charcot
. Donc, sans être atteint ni de chorée de Sydenh
physiologie pathologique de ce symptôme. On peut dire que jusqu'à
Charcot
et Brissaud, il n'y a pas eu grand chose de fai
et mentale du tic. Brissaud cite ensuite ce remarquable passage de
Charcot
: « Le tic est une maladie psychique ; il y a d
aralytiques aboutissant à l'hyper- trophie des papilles; d'ailleurs
Charcot
enseignait bien que les arthropa- thies du tabe
ateurs. Signalée expressément par Todd et Romberg, bien étudiée par
Charcot
et Brissaud, elle a été l'objet de nombreuses in-
.), sous trois chefs : lésions des cornes antérieures de la moelle (
Charcot
, Hallopeau, Leyden, Pitres, Pierret, Brissaud); l
ar contre on ne peut citer qu'un nombre très restreint de goitreux.
Charcot
et Paul Richer, dans leurs Difformes et Malades d
Léonard de Vinci, dans ses dessins grotesques a figuré un goitreux
Charcot
et Paul Richer ont signalé ce document (ri ? l).
cott Alison, Brown-Séquard et étudiées par notre regretté maître M.
Charcot
, Arch. de physiol., 1868, et Leç. sur les mal.
nus, ne fût-ce que pour leur réel intérêt artistique. D'ailleurs,
Charcot
et Paul Richer n'ont pas hésité à leur accorder u
é peint par Gérard Dow. Il est encore ci la Pinacothèque de Munich.
Charcot
et Paul Richer en parlent avec éloge, vantant a
LONDE Ancien Interne de la Clinique des Maladies Nerveuses. Quand
Charcot
démontra que des lésions articulaires survenaient
846 avait décrit l'arthropathie des hémiplégi- ques. Le syndrome de
Charcot
(1868) n'en fut pas moins une découverte, et, s
miplégiques : aussi donna-t-on à son syndrome le nom de maladie de
Charcot
(1). Une observation personnelle résumée plus l
est exclusivement de nature nerveuse par ses caractères cliniques (
Charcot
la décrivit d'abord sans l'aide de l'anatomie pat
arthropathie nerveuse type. On range, aussi parfois le syndrome de
Charcot
clans les arthropathies spinales ; mais il faut
ingomiétique : nous nous efforcerons de démontrer que c'est à tort.
Charcot
a bien soin de mettre dans un seul groupe les a
ut-être l'avantage de faire ressortir la spécificité du syndrome de
Charcot
, comme dit M. Talamon, et de l'opposer à la banal
ERVEUSE PURE. La description de l'arthropathie tabétique, telle que
Charcot
l'a faite, n'est pour ainsi dire aujourd'hui co
tabétiques. L'atrophie musculaire myélopathique, mise en cause par
Charcot
lui- même, sur la foi de Rosenthal (2), paraît
ingomyélie n'était pas connue encore). Patruban et Remak (cités par
Charcot
), ont décrit des nodosités osseuses aux mains et
asmodique et peut-être hémiplégie spasmodique (comme dans le cas de
Charcot
et Brissaud) (4). Si l'on joint à ces symptômes l
mps sur les arthropathies des hémi- plégiques, car depuis longtemps
Charcot
les a assimilées aux arthropa- thies spinales.
is longtemps Charcot les a assimilées aux arthropa- thies spinales.
Charcot
avait remarqué qu'elles étaient plus fréquentes
infectieuse- serait sans doute exagéré, car Scott Alison, cité par
Charcot
, trouva sur un sujet atteint d'hémiplégie droit
iété chronique a donné lieu à quelque controverse. Hilzig, que cite
Charcot
, n'avait guère été frappé que par cette variété.
curer le tra- vail original. (3) Dans un cas de tumeur cérébrale,
Charcot
trouva les synoviales très injectées, mais sans
er l'exactitude sur les rares Lépreux qui sont nos contemporains.
Charcot
et Paul Richer ont consacré quelques pages de cri
étail en rapport avec les conditions sociales de chaque pays. (2)
Charcot
et PALI. Richer, Difformes et Malades dans l'Art,
NIO YENEZIANO ou ANDREA DA Firenze par Growe et Caval- caselle. z
Charcot
et Paul Richer ont fait une critique détaillée de
retombe inerte, -- probable- ment un exemple de paralysie radiale (
Charcot
et Paul Richer). Toutes ces difformités sont re
ture, et à ce titre elle est fertile en documents pour le médecin.
Charcot
et Paul Richer ont eu l'occasion d'en parler à di
. Un autre, derrière lui, est assis par terre, tenant une béquille.
Charcot
et Paul Richer ont bien fait ressortir le réali
he que l'Art Italien en représenta- tions de la Lèpre. C'est là que
Charcot
et Paul Richer ont eu l'occasion de décrire qua
pelle Sixtine, se trouvent au South Kensington Muséum, à Londres.
Charcot
et Paul Richer ont longuement étudié ce document
question n'est pas un Lépreux. Mais il faut aussi re- marquer, avec
Charcot
et Paul Richer, qu'il existe une sorte de contrad
ce s'allie à tant de réalisme, on apprécie vivement cette parole de
Charcot
et Paul Richer : . . « Nous ne savons ce qu'i
l'Art nous a conservés (Fig. 6). Son étude scientifique a été pour
Charcot
et P. Richer l'occasion d'une description détai
ot et Paul Richer à leurs premières figurations de Lépreux (1). (1)
Charcot
et PAUL RICHER. Deux dessins de Lépreux par Hans
oeuvres des docu- ments intéressants pour les médecins. En effet,
Charcot
et Paul Richer ont signalé un fort curieux tablea
r, mais nous en avons vu une copie que possédait M. le Profes- seur
Charcot
, et malgré l'argumentation très étudiée du Dr Kel
autant de la Lèpre ; car, ainsi que l'ont fait justement ob- server
Charcot
et Paul Richer, les lésions cutanées figurées par
LÈPRE DANS L'ART 469 . de Bretagne (XVe : siècle) déjà signalée par
Charcot
et Paul Richer (1). : . Elle représente Job sur s
Lazare, patron des Lépreux, n'est pas - (1) Loc. cit., p. 83. (2)
Charcot
et PAUL 131CfiER signalent encore une gravure tir
qu'on voit sur la miniature du livre d'heures d'Anne de Bretagne.
Charcot
a noté, à Séville, au-dessus de la porte de l'hôp
épilepsie, croyons-nous devoir publier encore le fait suivant que
M. Charcot
a bien voulu nous permettre de recueillir dans
si impuissants ; nous n'en excluons pas le bromure de potassium que
M. Charcot
a, dans un cas, administré à la dose de 14 gram
MONOBROMURE DE CAMPHRE (1) Des malades épileptiques du service de
M. Charcot
,' traitées par le monobromure de camphre, nous
e de tâtonnements a duré près d'un mois. Alors, sur les conseils de
M. Charcot
, nous avons augmenté la dose de 0 gr. 10, tous
e peu vulgarisé et dont les indications nous ont été fournies par
M. Charcot
. Partant de cette donnée que les chirurgiens on
ns ont quelquefois recours à la glace pour produire l'anesthésie,
M. Charcot
nous a conseillé de mettre une vessie de glace
constituent une véritable aura. A deux malades de ce dernier genre,
M. Charcot
nous a fait appliquer la glace au niveau de la
. - Ko..., Eugénie, 25 ans, est entrée à la Salpétrière (service de
M. Charcot
) le 20 janvier 1872. - Les premiers accidents r
point spécial aucun éclaircissement. Chez les malades du service de
M. Charcot
auxquelles nous avons administré le nitrite d'a
tions sont faites au moment opportun. En second lieu, les leçons de
M. Charcot
nous ont appris depuis longtemps que la compres
compression c ca/y'c. Nitrite d'amyle. DroJ)gO ? 30 ans (service de
M. Charcot
). Le nitrite d'amyle, administré deux fois à ce
tériques. Nitrite d'amyle. . Paring..., Zélie, 25 ans (service de
M. Charcot
). 14, 16 et 17 nov. 1874 : nitrite d'amyle ; ce
ne une des- cription qui confirme pleinement le tableau tracé par
M. Charcot
: a) douleurs au niveau de la région ovarienne
nations de la vue ; - accoutumance. . Mar... C., 26 ans (service de
M. Charcot
). - '¡Si],. 15 dé- cembre. Attaque hystéro-épil
ons répétées. - Accoutumance. Genev.... B..., 3-1 ans (service de
M. Charcot
). 1874. - 14 avril. Attaque. Première inhalatio
e La- ieau,' nous pourrions citer plusieurs malades du service de
M. Charcot
qui nous en ont fourni des exemples. Mais il s'
le ou des personnes qu'elle affec- tionne (1). Li iifiii, ainsi que
M. Charcot
l'a nettement fait ressortir, elle voit des bêt
auléon, infirmière, est entrée a la Salpétrière, dans le service de
M. Charcot
, le 16 juin 1869. Elle était alors âgée de 39 a
12 octobre. Hier, en raison des modifications de la contrac- ture,
M. Charcot
a fait appliquer à la malade un bandage, afin d
lade urine spontanément. Elle meut tant bien que mal le bras droit.
M. Charcot
lui fait faire l'exercice de porter un bassin s
ssaires chez les malades de ce genre. On se rappelle sans doute que
M. Charcot
, dans sa leçon sur l'ischurie hysté- rique, a c
rares. 1 : 5 novembre. Parfois encore, légers accès d'oppression.
M. Charcot
supprime la glace parce que la malade se plaint
ièrement précédées d'une aura ayant tous les caractères décrits par
M. Charcot
(1) : hyperesthésie ovarienne gauche, noeud épi
cation. b. Aux attaques sont bientôt venues s'ajouter des hé- (1)
Charcot
. - Leçons sur les maladies du système nerveux; t.
est aujourd'hui classique, grâce aux recher- ches de notre maître,
M. Charcot
. Aussi n'insisterons-nous pas longuement sur le
alade de vomir, elle recouvra promptement son embonpoint antérieur.
M. Charcot
a in- sisté, dans la leçon qu'il fit sur l'isch
rapportons aujourd'hui. Dès le mois d'avril 1871, M. le professeur
Charcot
avait observé l'ischurie dont était atteinte Et
ux Leçons sur les maladies du systè- me nerveux de M. le professeur
Charcot
, on trouvera une suite de tableaux où sontconsi
3e,péi-iode d'anurie qui du- rait depuis le mois d'août 1874, quand
M. Charcot
nous a chargé de reprendre l'étude commencée pa
urs-là. (Voir les Plan- CHES V, VI et VII, du tome I, des Leçons de
M. Charcot
, 2° édition.) » On remarquera qu'après ces cr
its que nous avons pu observer sur la malade que M. le professeur
Charcot
nous avait chargé d'étudier. »Nous n'avons pas
é le terrain sur lequel ils prenaient naissance, à aucun moment, ni
M. Charcot
, ni les médecins qui ont observé Etc n'ont port
n- 192 HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. cées chaque année, depuis cinq ans, par
M. Charcot
lors- qu'il montrait Etch... à ses auditeurs ;
te même des leçons imprimées. Cinq ans avant la guérison d'Etch...,
M. Charcot
s'ex- primait ainsi sur son compte' et sur celu
ne (2). » , Les choses se sont passées selon les prévisions de M.
Charcot
, et la guérison soudaine d'Etch.... n'a pas causé
x scien- tifiques dont cette maladie a été l'objet. M. Littré, M.
Charcot
, Laycok, plus tard M. P. Diday, etc., ont rap-
prétendues guérisons miraculeuses, pour employer les expressions de
M. Charcot
, rentrent absolument dans la loi commune et n'o
pas contradiction entre la manière de voir de Fournier et celle de
Charcot
sur le rôle étiologique capital de l'hérédité n
^de la mère, et par ses céphalalgies fréquentes depuis son enfance.
Charcot
insiste beaucoup avec raison sur ce point. En s
ataxie locomotrice peuvent quelquefois se montrer isolément. Aussi,
Charcot
a 10 0 PATHOLOGIE NERVEUSE. décrit un tabès s
êmes conséquences étiologiques... * 38 PATHOLOGIE NERVEUSE. par
M. Charcot
des mouvements des tiqueux et se rapproche plut
olalie seule est manifeste. Quelle est la valeur de ce signe ? Pour
M. Charcot
, l'écholalie se trouve seulement dans les tics
e tableau de l'é- pilepsie partielle, c'est une chose bien établie.
Charcot
, Ballet, Crespin, Babinski 1, en rapportent des
e observée, même dans l'hystérie, si les membres sont contracturés (
Charcot
). La nature hystérique de l'hémiplégie nous ren
de l'interprétation, nous croyons que celle qui a été donnée par
M. Charcot
est très juste et conforme à la physionomie clini
il est très rare et tardif dans les lésions organiques. L'on doit à
M. Charcot
le mérite d'avoir fait connaître ce précieux mo
. La paralysie faciale, pourvu qu'elle soit bornée au facial ' V.
Charcot
. Hémispasme glosso-labié unilatéral chez les hyst
qu'il correspond à la description classique qui en a été donnée par
Charcot
, est spécifique de la névrose hystérique. Pour
ntre le 29-juin 1892, à la Salpêtrière (service de M. le professeur
Charcot
). Antécédents DE famille. Son père mourut à l'â
onjonctives et la perte bilaté- rale du goût et de l'odorat; 1 V.
Charcot
. OEUVI'es complètes, t. IX, p. 134. L'HYSTÉRIE
bres sont contractures ou dans l'état d'opportunité de contracture (
Charcot
). Du reste, - dans notre cas, Bo... alternait c
survenue brusquement à la suite d'une de ces crises, sont des 1 V.
Charcot
. Leçons sur le spasme glosso-labié. (Sem. médic,
un article du directeur des Archives de Neurologie,^, le professeur
Charcot
. Nous en empruntons la traduction il la Revue h
iculièrement après qu'il eût été expérimenté par M. le profes- seur
Charcot
. Nous n'avons ni la science, ni l'âge voulus po
bien décrite dans les travaux d'un certain nombre d'auteurs : de
Charcot
, de Leyden, de Westphal, d'Erb et de Flechsig; ma
ffections du système nerveux central et périphé- rique : maladie de
Charcot
, polynévrite, paralysie pseudo-hyper- trophique
BLOCQ et G. MARINESCO. (Travail du Laboratoire de M. le professeur
Charcot
.) Nous avons eu récemment l'occasion de pratiqu
observation constante. A de nombreuses reprises, M. le profes- seur
Charcot
la présenta aux auditeurs de la Clinique 1, comme
Comme on le verra, l'examen post-morlem a confirmé le dia- 1 Voir :
Charcot
. Leçons sur les maladies du système nerveux, Pari
plexus symptomatique hystériforme : névrose locale traumatique de
Charcot
et Slruempell (deux observations); 3° Troubles ps
dit. et 1888-80, t. II), notes de cours re- cueillies par MM. Blin,
Charcot
, il. Colin, élèves du service. Deux beaux volum
Au commencement du mois de mars de cette année, M. le professeur
Charcot
a présenté dans ses leçons du mardi quel- ques
ser- vice de M. le professeur CHARCOT), salle Prus, lit n° 2î ? 1
Charcot
. Sur deux cas de monoplégie brachiale hystérique,
eux, t. III,' p. 299-3G9. - Cette observation a été de la part de
M. Charcot
l'objet d'une leçon publiée dans la Semaine méd
lques jours après sa sortie de chez M. Terrillon, il est entré chez
M. Charcot
, salle Prus, pour se faire électriser l'épaule (s
les autres doigts ont commencé également à se mouvoir, de sorte que
M. Charcot
a pu montrer le malade, dans une leçon, en état
mitante. Expérimentalement chez les hypnotiques, M. le professeur
Charcot
a pu réaliser des monoplégies sans troubles de la
1 . , ' 1 Nous parlons de monoplégie flasque sans contracture. '
Charcot
. OEuvres complètes : Leçons sur la maladie du sys
sons qu'il faut encore s'en tenir à la remarque de M. le professeur
Charcot
et ne pas préjuger, quant à présent, ce qui adv
e l'oedème hystérique tel qu'il a été dé- crit par M. le professeur
Charcot
2. Généralement associé tan- ' f , ' L'histoi
de cette malade, au point de vue amnésique a été rapportée par )[.
Charcot
: Sur un cas d'amnésie rétro- antérograde. Revue
Essai sur l'amnésie 1'éll'o-allté- rograde. (Rev. de méd.) . 1 '
Charcot
. - Leçons du mardi, t. II, juin 1889. (Progrès Mé
oncée, quelquefois simplement lilas. Nous rappelons à ce propos que
M. Charcot
a pu reproduire le symptôme par suggestion somn
s'est développé chez un saturnin. On sait maintenant, depuis que
M. Charcot
1 a fait connaître la véritable nature des anesth
se développer des accès quotidiens de migraine ophthalmique qui '
Charcot
,. - Leçons du mardi, 26 juin 1886. (Bulletin médi
de la migraine, ou plutôt comme une ébauche du syn- drome lui-même.
M. Charcot
, en 1888, dans ses Leçons du mardi et M. Babins
o rces, il mangeait peu, mais travaillait encore régulièrement. 1
Charcot
. - Leçons du mardi. 1887-1888. Policlinique du 10
es les symptômes appartenant à chacune d'elles (M. Char- cot) ' .
Charcot
. - Leçons du mardi, policlinique, Il décembre 188
tions que nous avons pu réunir ici. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. 1-3.
Charcot
. Sur deux cas de monoplégie brachiale hystérique,
-tl'Humatique. (Archives de Neurologie, t. XX, 1890, p. 231.) 28.
Charcot
. Clinique des maladies du système nerveux, t. 1,
ose le tremblement n'occupe pas la dernière place. Les travaux de
Charcot
, de Pitres et de leurs élèves, parmi lesquels s
e moyen, suivant la classification de Dutil ou au second type .de
Charcot
. Mais un caractère tout à fait singulier acquiert
nous, à la Saipêtrièie, dans le service de notre maître commun, SI.
Charcot
. Archives, XXV. 26 402 BIBLIOGRAPHIE. publi
titulé {'Encéphale, etc. Il a également fait paraître les Leçons de
M. Charcot
sur les maladies des vieillards (1866). B. BI
mencé d'une manière précise qu'avec les travaux de M. le professeur
Charcot
, à la Salpètrière, sur les accidents traumatiqu
ndon, 1837. DÉFINITIONS RÉCENTES DE L'HYSTÉRIE. 423 de Reynolds',
M. Charcot
a montré que certains troubles graves du mouvem
plications banales. Ayant donc assuré son point de départ clinique,
M. Charcot
a pu montrer, en étudiant l'origine de l'accide
aliser objectivement sous la forme de paralysies11'... » Plus tard,
M. Charcot
applique les mêmes réflexions à des ' Reynolds.
rs disol'de7's of motion and sensation dépendant of idea, 1869. ,
Charcot
. - Maladies du système nerveux, t. III, p. 288 et
, Charcot. - Maladies du système nerveux, t. III, p. 288 et sq. 3
Charcot
. Maladies du système nerveux, t. III, p, 351. I
ve qui est pro- prement hystérique et qui caractérise la maladie.
M. Charcot
a toujours exprimé ces théories avec beau- 1 Ch
maladie. M. Charcot a toujours exprimé ces théories avec beau- 1
Charcot
, ibid., t. III, p. 375, 394. 2 Id., ibid., t. I
et auteur rend hommage de la façon la plus courtoise aux travaux de
M. Charcot
; il les a, croyons-nous, complétés d'une façon
omène comme centre de la définition. Ce sont en- core les éludes de
M. Charcot
et de ses élèves qui ont montré combien le somn
influences particulières. Mais on peut aller beaucoup plus loin, et
M. Charcot
a établi depuis longtemps une notion que nous c
tre l'état somnambulique et l'at- taque hystérique proprement dite.
M. Charcot
a montré que d'un côté l'attaque renfermait trè
ra été douloureux au moment d'une émotion, l'attention du sujet 1
Charcot
. Maul, du syst. nerveux, t. I, p. 417. Paul Riche
les du mouvement si bien résumés d'autre part par les théories de
M. Charcot
et de M. Moebius. Cette séparation de ces deux
qui devait les provoquer et les entretenir d'après la théorie de
M. Charcot
ne pouvait être exprimée par le malade, car il
, en raison de la dissociation facile de leur unité mentale, disait
M. Charcot
, ^certains centres peuvent-être mis en jeu sans
ersonnalité seconde, c'est-à-dire les accidents hystériques... la 1
Charcot
. JIal. du syst. ner., III, p. 455. . L'anesthés
ssent exister entre l'école de la Salpêtrière et l'école de Nancy ?
M. Charcot
enseigne que l'hypnotisme vrai s'accompagne de ce
rs phénomènes phy- siques indiqués dans la description classique de
Charcot
, phéno- mènes qui se perfectionnent par la prat
Tamburini, si ces phénomènes ne sont pas ceux de l'hystérie aiguë.
M. Charcot
, dit l'auteur, m'a signalé les relations étroit
l'hypnose des preuves aussi convaincantes que celles que fournit
M. Charcot
; mais il n'est guère possible de ne pas admettre
PATHOLOGIE MENTALE. somatiques de l'hypnotisme; tels que les décrit
M. Charcot
, sont le résultat de suggestions et ne sauraien
résultat de suggestions et ne sauraient apparaître spontanément.
M. Charcot
enseigne nettement qu'il ne s'attend à rencontrer
forme, noyau externe du -, par Blumenau, 106. Foi qui guérit, par
Charcot
, 72. Folie, en Famélique, par Godding, `35;-
Sclérose latérale amyotrophique ou amyotrophie hystérique ? par
Charcot
, 161. » Scoliose dans une myopathie atro- phi
409. Camuset, 379. Cmlyle Johnstone, 456. Chabbert, 10, 438.
Charcot
, 41, 72, 161. Charpentier, 17, 141. Chaslin,
scopiques, font jusqu'à un certain point préjuger la nature du mal.
Charcot
. Œuvres complètes, t. ii. 4 Je signalerai en pr
minante appréciable, il s'est produit 1 Voyez pour plus de détails,
Charcot
: Leçons sur les maladies du système nerveux, t.
ns sur les maladies du système nerveux, t. I, p. 100, 5e édition. 2
Charcot
, loc. «7., p. 101. VII. Nous devons nous arrê
ue en dehors du corps des vertèbres ; elles gagnent le périoste, la
Charcot
. Œuvres complètes, t. ii. dure-mère qui, la plu
cot. — Sur la paraplégie douloureuse et sur la thrombose artérielle
Charcot
. Œuvres complètes, ?.?. 8 M. Hawkins 1 et par M
n-cerne, je n'ai vu en semblable circonstance l'infiltration can- 1
Charcot
et Cotard. — Sur un cas de zona du cou avec altér
e. Supposons qu'il s'agisse d'une altération des vertèbres lom- 1
Charcot
. — Sur la paraplégie douloureuse qui survient dan
cer vertébral est habituellement secondaire, deutéropathique. Or, 1
Charcot
et Cotard, loc. cit. dans cette recherche, ou p
ux phéno-mènes qu'il y aurait à relever en pareille circonstance. 1
Charcot
. — Hémiparaplégie déterminée par une tumeur qui c
nt, dans ce dernier cas, du côté opposé à l'anesthésie tan- 1 Voyez
Charcot
. — Leçons sur les maladies du système nerveux, to
exactement limitée à une moitié latérale de la moelle épi-nière. 1
Charcot
et Gombault. — Note sur un cas de lésions dissémi
schr., nos 24, 25, 1864 et Canstatfs Jahresb., 1865, t. III, p. 30.
Charcot
. Œuvres complètes, t. il, 10 ou moins complètem
e, t VIII) ; de Gendrin (Ollivier, d'Angers, t. Il, p 502 et 520), de
Charcot
et Bouchard ^Bouchard, D"S dégé-nérât ions second
laire progressive spinale ; — Sclérose latérale amyotrophique, elc.
Charcot
. Œuvres complètes, t. ii. I 1 NEUVIÈME LEÇON
s ; surcharge graisseuse. — Lésions du système ner-veux : historique (
Charcot
et Cornil. Vulpian et Prévost, Charcot et Joffroy
système ner-veux : historique (Charcot et Cornil. Vulpian et Prévost,
Charcot
et Joffroy, Parrot, Lockh'irt-Clarke et Johnson,
borde, toc. cit., p. 142. f 3 Arch, de physiologie, t. II, p. 47.
Charcot
. Œuvres complètes, t. il. 12 eu maintes fois l'
ons fibril-laires qui communiquent aux doigts de légers mouvements.
Charcot
. Œuvres complètes, t. n. '8 X... ne peut lever
ons qui nous sont propres, serait donc un phénomène consécutif 2. 1
Charcot
. — Archives de physiologie, 1872, janvier-février
amlung Deutscher Natwforscher und Aerzte za Hannover, p. 251, 1866.
Charcot
. Œuvres complètes, t. h. 14 ment cités, font ab
e, relè-vent de l'atrophie aiguë des cellules nerveuses motrices. 1
Charcot
. — Leçons sur les maladies du système nerveux, t.
chives of medicine, 1863). 2 Berlin. Klin. Wochens., n° 42, 1813.
Charcot
. Œuvres complètes, t. h. 15 comme chez le malad
éraux dans les diverses régions de la moelle, dans le bulbe et dans
Charcot
. Œuvres complètes, t. ii. i Fig. 16. — Coupe tr
). Ces attitudes forcées, les douleurs produites lorsqu'on essaie
Charcot
. Œuvres complètes, ?.?. 17 dent de la prédomina
rise, — auraient pu à la rigueur échapper aux investigations Mais *
Charcot
. — Note sur fêtât anatomique des muscles et de la
e infantile spinale (Volkman, Samml. klin. Vortraege. Leipz., 1870. —
Charcot
et Joffroy, Archiv. de physiolog., t. III, 1870,
e inau? , 1s64 ; — Prévost. Soc. de biologie, 1865, t. XVII, p. 215. —
Charcot
et Joffroy. Loc. cit. — Vulpian. Arch. de physiol
t le substratum anatomique de l'affection bien distincte de celle que
M. Charcot
a décrite sous le nom de sclérose latérale amyotr
se com-muniquer au corps tout entier (Trépidation spontanée). Cette
Charcot
. Œuvres complètes, t. ii. 20 trépidation, le mé
aintes lois attiré l'attention des élèves sur ce phénomène singulier (
Charcot
, Leçons sur les maladies du système nerveux, lle
affection. 1 Sur le diagnostic de la contracture hystérique voir :
Charcot
. — Leçons sur les maladies du système nerveux, t.
nté par M. Vulpian, à la Société des hôpitaux (Union médicale, 18S5).
M. Charcot
en a recueilli quelques autres depuis lors. — Voy
d'un état vertigineux pour ainsi dire permanent 1 1874, nos 4 et 5.
M. Charcot
fait allusion à la leçon précédente. et rendue
secondaires à la suite des lésions de la zone motrice corticale, voir
Charcot
, Leçons sur les localisations dans les maladies d
870, à la Société anatomique, un exemple recueilli dans le service de
M. Charcot
, de dégénération descendante, avec hémiplégie per
tus ; il est placé sur le bord interne de cet os. Ce cal a une lon-
Charcot
. Œuvres complètes, t. ii. 2fi gueur d'environ 4
avec beaucoup de raison cette in-téressante observation des cas dont
M. Charcot
a fait l'objet d'une communication à la Société
49, p. 588), les principaux détails des observations communiquées par
M. Charcot
à la Société de biologie et les quelques remarque
la toux spasmodique et les atta-ques qui viennent d'être décrits. »
M. Charcot
a été amené à penser que, dans les cas de ce genr
au bout de quelques semaines de traitement. » Depuis cette époque,
M. Charcot
a eu l'occasion d'observer quelques faits se ratt
es dernières conférences cliniques de la Salpêtrière (décembre 1870),
M. Charcot
est revenu sur la description du composé symptoma
que dans ses crises le malade se mordait souvent la langue. 2 Voir:
Charcot
. — Leçons sur les maladies du sijstème nerveux, t
bservations qui confirment de tout point les descriptions tracées par
M. Charcot
, dans ses leçons sur Vamyotrophie deutéropathique
s leçons sur Vamyotrophie deutéropathique. Elles ont été publiées par
M. Charcot
, avec la collaboration de M. Joffroy 1 pour la pr
laté-raux. Catherine Aubel est entrée à la Salpêtrière (service de
M. Charcot
), au mois de juin 1865, présentant déjà à un degr
pro-pos des racines spinales antérieures. Seulement, le nombre des
Charcot
. Œuvres complètes, t. ii. 29 tubes nerveux rest
e la Société de biologie, année 1865, t. XVII. p. 215. Paris, 1866. —
Charcot
et Joffroy, toc. cit.—? Vulpian. — Archiv, de phy
uelque sorte comme constituant un état morbide particulier, autonome,
M. Charcot
estime qu'il s'agit là simplement de mouvements c
re et le pied sont affec-tés ; — 3° enfin, chez l'une des malades que
M. Charcot
a montrées à ses auditeurs, quelques muscles de l
Maintes fois, dans des leçons antérieures à celles que nous résumons,
M. Charcot
a fait voir les malades dont nous venons de rappo
inte d'hémi-chorée post-hémiplégique, appartenant aussi au service de
M. Charcot
, la différence ne porte également que sur l'éten-
lle-ci, les mouvements sont plus arrondis, plus festonnés. Si, avec
M. Charcot
, nous plaçons en face l'une de l'autre P... et Gr
externes envahis par la sclérose. — b, Cordon médian resté intact.
Charcot
,Syst.nerv., t.II. Oeuvres completes PL . I. 4
antérieures. a, Cellule normale. b, c, d, Cellules dégénérées.
Charcot
,. Syst nerv, t II. Oeuvres complètes. PL. IV.
rdons latéraux, c, c, Cornes antérieures. p,p, Cornes postérieures.
Charcot
, Syst .nerv., t. II Oeuvres computes. PL. y.
RICE Fractures spontanées du radius et du cubitus du côté gauche.
Charcot
, Syst.nerv.,t.II. Oeuvre- --oncleles. FL.IX.
ctures spontanées du radius et du cubitus . im», becquet. paris .
Charcot
. Œuvres complètes, t. n. 33 PLANCHE X ATAXIE
ant un fémur sain, permet de se rendre un compte exact des lésions.
Charcot
,Syst.nerv., t.II. Ûeuvrèa complètes. PL. X AT
des ; surcharge gaisseuse. —Lésions du système ner-veux : historique (
Charcot
et Cornil, Vulpian et Prévost, Charcot et Joffroy
système ner-veux : historique (Charcot et Cornil, Vulpian et Prévost,
Charcot
et Joffroy, Parrot, Lockhart Clarke et Johnson, D
tout à fait indispensable d'entrer dans quelques détails minutieux.
Charcot
. Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 2 DE
u'aux parties postérieures, parallèlement les unes aux autres, sans
Charcot
. Œuvres Complètes, t. iv, Localisations. 6 s'an
ette der- (1) De récentes recherches entreprises dans le service de
M. Charcot
, à la Salpôtrière, confirment pleinement la descr
nerfs cérébraux proprement dits, nerfs optiques (1) L. Tûrck, voir
Charcot
. — Leçons sur les maladies du système nerveux. T-
nesthésies spontanées. Thèse d'agrégation. Paris 1875, p. 27 et 95.
Charcot
. Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 8 et n
t du goût (2). Je ne vois rien à ajouter à ce qui a été dit sur (1)
Charcot
. — Leçons sur les maladies du système nerveux, lr
e-nantes du lobe pariétal et du lobe frontal. (Fig. 38). Je revien-
Charcot
. Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 11 dra
estion. Nous rappellerons seulement qu'après les travaux de L. Tûrck,
Charcot
et Vulpian, c'est dans le mémoire classique de M.
nnent leur origine dans l'écorce grise des circonvolutions rolandi-
Charcot
. Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 16 que
condaires de cause encé^ phalique ont été observés dans le service de
M. Charcot
. L'étude complète de ces observations a été publi
aduit par les symptômes de l'hémiparaplégïe spinale (d'uncôté,para-
Charcot
. Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 17 lys
igures demi-schématiques publiées dans les leçons de M. le professeur
Charcot
, sur les scléroses symé-triques des cordons latér
que les choses sont réellement ainsi. Les dégénérations fasciculées
Charcot
. Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 18 sec
(1) Voy. Revue mensuelle de Médecine et de Chirurgie, 1879, n° 12.
Charcot
. Œuvres Complètes, t. iv, Localisations. 21 laj
voulu. Il y a, du reste, des groupes élémentaires, pour les mouve-
Charcot
. Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 22 men
ssibilité des lésions intra-encéphaliques du faisceau pyramidal. Voy.
Charcot
, Clini-quedela Salpëtrière. (Progrès médical, 188
visant surtout la nature spasmodique et l'autonomie nosographique que
M. Charcot
lui a attribuée. C'est pour affirmer, une fois de
spasmodique de cette maladie, au moins dans sa première période, que
M. Charcot
, en inaugurant ses leçons cliniques de cette anné
e de son caractère paradoxal. Mais, voici le cas concret sur lequel
M. Charcot
appelle l'at-tention; il est des plus précieux au
u bout de dix-huit mois que cette femme fut admise dans le service de
M. Charcot
, à la Salpêtrière, et, alors, pour la première fo
inférieurs, et c'est ainsi, qu'aujourd'hui, la ma-lade présentée par
M. Charcot
n'offre plus, en quelque sorte, que les vestiges
aussi complète que possible, réalise dans tousses détails le type que
M. Charcot
avait signalé, en 1874, comme étant la déterminat
eur de Lorne a bien voulu conduire à la Salpêtrière, pour permettre à
M. Charcot
de faire voir la ressemblance étonnante des deux
Tels sont les deux cas, presque absolument identiques, adoptés par
M. Charcot
, comme base de la discussion qui va suivre. 11 es
, ce groupement de quelques symptômes qui, suivant la descrip-tion de
M. Charcot
, constituent un des éléments principaux de la dét
La compétence de M. Ley-den justifie les développements par lesquels
M. Charcot
a cru devoir réfuter les critiques du professeur
emble des caractères essentiels sur lesquels repose la description de
M. Charcot
. Aussi, les signes cliniques et anatomiques qui
essé le professeur de Berlin, pour en récuser formellement la valeur.
M. Charcot
a profité de la présence des deux malades dont il
rcussion de certains points de la région anti-brachiale antérieure.
Charcot
. Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 26 Mai
s, la contracture a été l'objet d'une mention spéciale. Pour sa part,
M. Charcot
a déjà fait cinq autopsies (1) ; et une fois seul
ns, car chacune d'elles est la reproduction fidèle du type décrit par
M. Charcot
. (1) Gombault. —Etude sur la sclérose latérale
instant. Il en est ainsi, par exemple, des deux malades présentés par
M. Charcot
au début de sa leçon. Et voici encore, en abrégé,
, elle concerne une malade de la province qui a été perdue de vue par
M. Charcot
, mais dont l'affection était as-sez avancée déjà,
spas-modique et éprouve de la trépidation spinale. Observation IV (
Charcot
). Mme Mont..., âgée de cinquante-quatre ans, sa
la tré-pidation spinale, surtout en marchant. Elle vient consulter M,
Charcot
, à la Salpêtrière, en avril 1879. Faciès caractér
de tous points semblables à l'observation de la malade présentée par
M. Charcot
. On peut même dire qu'ar-rivée à une période auss
is l'intérêt essentiel de ces deux faits, au point de vue où se place
M. Charcot
, consiste dans la multiplicité et la généralisati
ccasion des mouvements de progression, cette trépidation sur laquelle
M. Charcot
a tant insisté comme étant une cause de gêne cons
façon suivante : dans la sclérose latérale amyotrophique, décrite par
M. Charcot
, il ne s'agit que d'une atrophie musculaire prima
un stade antérieur de paralysie simple. C'est là une assertion que
M. Charcot
relève et réfute par les observations de M. Leyde
ffit d'énumérer. Sans compter les observations, déjà publiées, de MM.
Charcot
, (1) Loc. cit., p. 670. (2) Loc. cit., p. 675
675. (3) Tome III, p. 338. Joffroy et Duchenne, Eisenlohr, etc.,
M. Charcot
signale les cas de MM. Sabourin et Pitres, Dejeri
r ce qui est de la coexistence d'une altération du cor-don antérieur,
M. Charcot
fait remarquer tout d'abord que si on l'observe,
omo-pathologistes français, qui ont adopté sans réserves l'opinion de
M. Charcot
. (1) Loc. cit. Taf. Xlf, fig. 2, A. T. (2) Dc
istaient aussi dans le pied du pédoncule,chez une femme autopsiée par
M. Charcot
(Pick). On le voit, tout concourt à confirmer l'
n réaliser le type fondamental ; tel a été l'objet que c'est pro-posé
M. Charcot
dans ses travaux antérieurs, et dans les con-fére
ale et l'amblyopie croisée Dans une leçon toute récente (mai 1887),
M. Charcot
, re-venant sur les conditions anatomo-pathologiqu
aimant ne sont pas nécessairement, pour cela, de nature hystérique.
Charcot
, CEuvrcs complètes, t. iv. Localisations. 27 TA
Indépendance des systèmes corti-cal et central, 59 ; — Branches de
Charcot
. Œuvres- complètes, t. la sylvienne,60,61,69 ;
R. Dans ce volume qui constitue le tome VII des Œuvres complètes de
M. Charcot
, nous avons rassemblé tous les tra-vaux de notre
69, et recueillies par M. Joffroy ; —'? 3° de la thèse de doctorat de
M. Charcot
smla Goutte asthénique primitive; — 4° de ses mém
utile de reproduire en tête de cette nouvelle édition la pré-face que
M. Charcot
a écrit pour la traduction anglaise, faite par M.
te par M. W. Tuke, au nom de la Société de Sydenham, Londres, 1881.
Charcot
. Œuv. compl. t.vii. Malad. des Vieillards matér
ies et les différences qu'il présente avec la fièvre chez l'adulte.
Charcot
. Œuv. compi, t. vu. Malad, des Vieillards. 2
5 6 Fig. 2. — Pneumonie catarrhale chez une femme de 83 ans. Mort. (
Charcot
.) Fig. 3. — Pneumonie lobaire, chez un enfant d
e, chez un homme de 38 ans. Guérison (Wunderlich, cité par Aitken).
Charcot
. Œuvr. compl. t. vu. Malad. desVieillards. 3 Fi
nie lobaire traitée par la digitale, chez une femme de 71 ans. Mort. (
Charcot
). Le second tableau vous montre les effets du r
Par contre, le rhumatisme articulaire aigu (Garrod), ou chro-nique (
Charcot
), ne sont jamais liés à cette dyscrasie particu-l
des graviers. « (Prout. Stomach and rénal, diseases, 1848, p. 211.)
Charcot
. t. vu. Œuvr. compl. Malad. des Vieillards. H s
ns le cours des siècles, et rechercher, dans l'histoire, les causes
Charcot
. Œuvr. compl. t. vu. Malad. des Vieillards. 9 d
rn., 1861, p. 464. —Begbie. Edinburgh med. joum. Août, 1862, p. 128.—
Charcot
. Gaz. hebd., 1863, p. 433. (Voir plus loin). Ch
1862, p. 128.— Charcot. Gaz. hebd., 1863, p. 433. (Voir plus loin).
Charcot
. Œuv. compl. t. vu. Malad. des Vieillards. io d
ticu-lation ; et même ici, n'est-on pas autorisé à faire intervenir
Charcot
. Œuvr. compi, t. vu. Malad. des Vieillards. i3
t d'un certain temps et le malade éprouve un soulagement manifeste.
Charcot
. Œuv. compl. t.vu. Malad. des Vieillards. ig Ui
acés dans un état de demi-flexion permanente, sont gênés dans leurs
Charcot
. Œuvr. compl. t. vu. Malad. des Vieillards. a3
des mem-bres et de leurs extrémités, ne nous ont pas seulement paru
Charcot
. Œuv. compl. t. vu. Malad. des Vieillards. i\ c
s cette époque, lqs mains ont pris insensiblement l'attitude vicieuse
Charcot
. Œuvr. compl. ï.vii. Malad. des Vieillards. 20
-quable. Au bout d'un an, l'infirmité était aussi prononcée qu'elle
Charcot
. Œuvr. compl. t. Malad. des Vieillards. 26 Test
aires tout à fait semblables à ceux qu'on rencontre dans les carti-
Charcot
. OEuv. compl. t. vu. Malad. des Vieillards. 27
rmation, en un mot, était exactement celle du premier type figuré par
M. Charcot
(PL II, fig. 2) dans sa thèse sur le rhumatisme c
trique. Enfin, dans les tissus fibreux péri-articulaires, dans la
Charcot
. Œuv. compl. t. vu. Maiad. des Vieillards. 29 N
trom-pons, de nature à laisser entrevoir que de nouvelles investi-
Charcot
. Œuv compl. t. vu. Malad. des Vieillards. 3o gâ
salle Saint-Henry, n° 19, dans le service de M. Pidoux (intérimat de
M. Charcot
). Les parents de ce malade n'ont jamais été dan
863, p. i33. Y. Goutte consécutive aux accidents saturnins (1).
M. Charcot
, h propos du rapprochement fait par M. Bou-chard
xposés par leur profession. La goutte, développée dans ce cas, ajoute
M. Charcot
, peut apparaître chez les individus encore très j
à la néphrite goutteuse. Ce fait et d'autres, signalés par Garrod,
Charcot
, Bucquoy, Potain, ne permettent point de douter q
e d'une série de faits qu'il a remarqués et qu'il croit peu connus.
M. Charcot
fut appelé à voir un malade qui se plaignait de g
amais présenté le moindre symptôme d'épilepsie. Peu de temps après,
M. Charcot
vit, avec le docteur Car-rière, un malade de 54 a
mais c'est depuis un an seulement que se sont montrées les attaques.
M. Charcot
a été amené à penser que, dans ce cas, il pourrai
e, le malade a guéri au bout de quelques mois. Depuis cette époque,
M. Charcot
a eu l'occasion d'observer quelques faits se ratt
en recherchant ce qui pouvait avoir été publié sur cet ordre défaits,
M. Charcot
a trouvé dans le Berliner klinische Wos- chensc
nt mal et 1. Comptes rendus de la Société de biologie, 1851, p. 27.
Charcot
. Œuvr. comp. t. vu. Mal. des Vieillards. 3i ne
en présenté de notable. VÏÏT. Du rhumatisme génital. (Lettre de
M. Charcot
à M. le Dr Lorain) i. Dans le cours d'une intér
des causes les plus fréquentes de l'apparition du rhumatisme noueux (
Charcot
; Trastour, etc.). « Grossesse. — Formes subaigu
se. Il existe encore d'autres observations du premier ordre (thèse de
Charcot
). En général, d'après mes observations, la maladi
ré qu'elle était essentiellement consti-tuée par de l'urate de soude (
Charcot
et Cornil, Mémoires de la Société de biologie, t.
Bull, de la Soc. anat., 1852, p. 637) ; Dufour (ibid., 1853, p.358); —
Charcot
(Comptes rendus delà Soc. de biologie. 1858, p. 1
); —Charcot (Comptes rendus delà Soc. de biologie. 1858, p. 129) i; —
Charcot
et Cornil (ibid., 1863, p. 1592) (p. 251). Cara
th diseases of the kidney . 2e édition, London, 1862, pp. 205, 210. —
Charcot
et Cornil, loc. cit. — Charcot, Gaz. des hôpitaux
édition, London, 1862, pp. 205, 210. — Charcot et Cornil, loc. cit. —
Charcot
, Gaz. des hôpitaux, 2 août 1866, — S. Rosenstein,
, a eu la goutte au pied, et il en a éprouvé quelque soulagement. » —
Charcot
. OEuv. comp. t. vu. Mal. des Vieillards. 34 Tro
ou tout au moins prédo-minante de l'intoxication saturnine. — Compar.
Charcot
. L'in-toxication saturnine exerce-i-elle une infl
— Romberg, Klinisch. Ergebnisse. Berlin, 1840; p. 115, 1851, p. 98. —
Charcot
, Thèses de Paris, mars 1853. — Trasbour, Du rhuma
sénile n'est pas commun. Une visite régulière, faite l'an dernier par
M. Charcot
dans tous les dortoirs de la Salpêtrière, consacr
oins fructueuse, car elle n'a fourni que les cinq vieilles femmes que
M. Charcot
a placées sous les yeux de ses auditeurs. Souve
poëte, a su éviter. Et, pour apporter la conviction dans les esprits,
M. Charcot
cite quel-ques passages empruntés à plusieurs des
3. Ancien Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales. 1821.
Charcot
. OEuvr. compl. t. vu. Malad. des Vieillards. 3?
vains qui se sont occupés spécialement des ma-ladies de l'âge avancé.
M. Charcot
cite plus spécialement Day, Durand-Fardel, Malcom
e mûr et même chez des adolescents (1). Ainsi que le lait remarquer
M. Charcot
, le tremblement dit sénile n'est pas la seule aff
gé vulgaire. Un simple coup d'œil jeté sur cinq vieilles femmes que
M. Charcot
a montrées à ses auditeurs permet de voir en quoi
la caractérisent se reproduisant à peu près dans un ordre régulier.
M. Charcot
signale ensuite une autre variété, celle-là un pe
qu'on puisse mieux se rendre compte de la vérité du tableau tracé par
M. Charcot
et que nous avons essayé de reproduire fidèlement
us allons résumer en quelques mots les observations des malades que
M. Charcot
a présen-tées. Cas I. — Mag..., 70 ans : trembl
enfants. En passant en revue tous les vieillards de la Sal-petrière,
M. Charcot
n'a pu réunir que deux malades : Alten... et Cour
sénile n'en parlent pas. Parmi les faits disséminés dans la science,
M. Charcot
cite celui d'une femme de 83 ans, consigné par M.
1. Cette leçon fait partie du premier volume des Œuvres complètes de
M. Charcot
(p. 386.) relever, c'est la lenteur relative de
s compromise ; mais il l'est en ce sens que la maladie est incurable.
M. Charcot
déclare n'avoir vu signalé aucun cas de guérison.
as croire non plus que toujours le pronostic soit relativement bénin.
M. Charcot
a vu une vieille femme, dont les mouvements étaie
tempé-rature. La plupart des vieillards affectés de chorée ont paru à
M. Charcot
, être dans un état de démence plus ou moins prono
ent dans les hospices. Enfin, dans les autopsies qu'il a pra-tiquées,
M. Charcot
n'a pas constaté de lésions du cœur. La chorée,
chagrin et quelques jours après la chorée débutait. Tout récemment,
M. Charcot
a observé un cas de chorée chez un homme âgé. Ell
e de potassium, chez cet homme, n'a procuré qu'un peu d'amendement.
M. Charcot
a insisté ensuite sur la nécessité de ne pas con-
et qui n'est autre chose que le tremblement sénile. ( Voir p. 576 ).
M. Charcot
fait voir plusieurs malades atteintes de ce tremb
arti-culaire chronique primitif généralisé. 2: P. Lackerbauer et
Charcot
ad nat del. Imp Becquet à Paris PLANCHE III.
s après le premier accès de goutte articulaire. PL. III Lornil et
Charcot
del. Imp Becifuef.Paris. T.Lackevba.uer h'lh.
r isolément. — Maladies latentes. Les lésions les plus graves peuvent
Charcot
. Œuvr. compl. t. vu. Malad. des Vieillards. 38
riles (Maladies) chez les vieil-lards, 316; — type continu, 317 ; —
Charcot
. OEuv. compl. t. vu. M début, 317 ; — oscillati
lade ne put jamais s'habituer aux fausses dents. M. le professeur
Charcot
m'a dit avoir été appelé en consultation par M.
, la famille se décida à lui faire suivre le traitementprescrit par
M. Charcot
et son état s'améliora rapidement. En même temps
use. Tel était l'état de Mmo de X... lorsque, sur la désignation de
M. Charcot
, je fus ap- pelé à l'examiner et à donner mon a
e, plus la réaction, c'est-à-dire la contracture, était violente.
M. Charcot
qui m'a appris à connaître ce genre de malades et
entres moteurs corticaux : les cas de tics convulsifs, sur lesquels
Charcot
et ses élèves ont récemment- appelé l'attention
trouvons l'existence de ce syndroma affirmée dans un travail de MM.
Charcot
et Richer, sous le titre c Sur une forme spécia
dination relative à la station et à la marche 3. » L'année suivante
M. Charcot
revient dans plu- sieurs de ses leçons sur le m
ie du mouvement, page 653, Paris, 1864. ! Thèse de Paris, 1868. 3
Charcot
et Richer. - Sudi una forma d'impolenza motrice d
eprises sur le même sujet en 1888 et en 1889. Peu de temps après,
M. Charcot
traitait de nouveau ce sujet en 1888, à l'occas
se parriale spinale'. Brunon en relate également une observation 1.
M. Charcot
consacre une ' Paul Blocq. - Sur une affection
et de l'abasie, Paris, 1888. Archives de Neurologie, n° 43-44. 1
Charcot
. - Leçons du Mardi, 24 janvier 1888. 3 Souza Le
e le D" Bris- saud vient de parler devant les auditeurs du cours de
M. Charcot
de cette même affection. III. Nous exposons d
demi-tour. L'occlusion des yeux ne provoque pas de chutes. Elle 1
Charcot
. Leçons du Mardi à la Salpétrière, 1888-1889, 5 m
aud, à l'hôpital Saint-Antoine, fut présenté le 23 juin dernier par
M. Charcot
à la Salpêtrière. On avait constaté, le 6 novem
: «Le malade L..., lorsqu'il a été présenté par M. le professeur
Charcot
à la clinique de la Salpêtrière, n'était plus att
douloureux, tels que céphalalgie ou rachialgie. » Dans l'étude que
M. Charcot
a publié, en 1883, avec M. Ri- cher», nous liso
présenté par lui, l'année passée dans sa Leçon à la Salpêtrière 1,
M. Charcot
dit : « Les troubles neu- 1 Loco citato. , '
cot dit : « Les troubles neu- 1 Loco citato. , ' Loco citato. '
Charcot
. Leçons du Mardi, 89, 5 mars. sur l'astasie-aba
XI de Blocq 1, puis deux cas de vieillards, dont l'un a été vu par
M. Charcot
et un cas du professeur Binswanger. De plus, ci
swanger dite que son premier malade des- ' Loco citato, p. 201. *
Charcot
. - Leçons du Mardi à la Salpêtrière, 1889, 5 mars
on, Nourrit et Ci-, éditeurs. Les médecins qui suivent les cours de
M. Charcot
à la Salpêtrière ont tous remarqué ces grands t
ant les qualités si précieuses qu'il possède. En collaboration avec
M. Charcot
il a publié des études d'esthétique rétrospecti
ais trop, Messieurs, disait avec sa haute autorité M. le professeur
Charcot
dans une de ses lumineuses leçons de la Salpêtr
Vol. il]-81 de 2O pages. Bordeaux. 1889. Imprimerie G. Gounouilhou.
Charcot
(J.-M-). Hémorrhagie et ramollissement du cerveau
de l'auteur, appuyées s'il en était besoin de celles du professeur
Charcot
et de l'Ecole de la Sal- pêtrière. Les chapitre
dans notre service, la paralysie alcoolique pseudo-tabétique, dont
M. Charcot
a établi d'une façon décisive le diagnostic dif
olique, cette variété d'incoordination motrice que M. le professeur
Charcot
appelle le steppage et qui, malgré son ana- log
ut, et qui ne manquent presque jamais, ainsi que l'a fait remarquer
M. Charcot
, au cours de 174 CLINIQUE NERVEUSE. la paraly
es cas positifs, et, si, comme l'enseignait depuis longtemps déjà
M. Charcot
, la paralysie saturnine ne résulte pas du process
te à nous démontrer. Vous avez tous lu, je suppose, les leçons de
M. Charcot
sur les atrophies musculaires des hystériques,
de vue purement clinique, des notions qui nous ont été fournies par
M. Charcot
sur l'atrophie muscu- laire des hystériques. En
ont em- pêchés à des degrés variés, et que d'un autre côté, comme
M. Charcot
l'indique déjà en L883 2, le sujet couché a con-
r laquelle ils sont 'Voir Archives de Neurologie, n° 61, p. 58. '
Charcot
. - Loco citato. 212 PATHOLOGIE NERVEUSE. assi
3,4, 5) le droit d'entrer dans le cadre tracé par la définition de
M. Charcot
; les mêmes troubles de la station et de la marc
ordination ou par les mouvements cadencés (forme chorée rythmée).
M. Charcot
adopte dans sa leçon de '1889 la division sui-
divers instruments) s'organisent dans le cerveau et dans la moelle.
M. Charcot
compare volontiers ce mécanisme à celui de l'or
7. . Lasèôue. - Anesthésie et ataxie hystériques, t. II, p. 25. '
Charcot
. - Leçons du mardi, 1889, p. 359. · SUR l'astas
i du reste ne fait que développer des considérations présentées par
M. Charcot
à plusieurs reprises dans son en- seignement. E
t être cherchée dans l'encéphale ou, au contraire, dans la moelle'.
M. Charcot
a observé que le cerveau n'a besoin que de peu
e disions plus haut, où il existe des contractions des muscles, 1
Charcot
. Leçons du mardi, 89, 5 mars, p. 367. * L'autop
iques2. En somme, d'après Binswanger à l'encontre des théories de
M. Charcot
et de Blocq, il s'agirait dans l'astasie abasie d
nswanger. Loco citato, sep. abdr., p. 29. Wir sehen also, dass auch
Charcot
sich zu einer verwandten Erklarung dieser psachop
tre les paralysies psychiques « dependent on idea ', » dont parle
M. Charcot
2, qui, chez les sujets doués'des aptitudes morbi
ale, celui- ' Russe) Reynolcio. - Brit. med. jours., nov. 1869. *
Charcot
. - Leçons du mardi, 1889, p. 376. 3 Moebius. Sé
, c'est-à-dire avec déplacement d'organes. Chorée rhj Il 11111 que (
Charcot
ou grande-chorée - maladie de tics convulsifs O
(Arch. f. Psychint., XX, 3.) Monographie de la maladie décrite par
Charcot
et Marie, sous le REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIO
ui ont été observées dans les cellules de la moelle et décrites par
Charcot
, Leyden, Erb (myélite parenchy- mateuse de Char
et décrites par Charcot, Leyden, Erb (myélite parenchy- mateuse de
Charcot
);- 3° ces altérations atteignent presque sans e
obscure. Jusqu'aux recherches anatomiques faites au laboratoire de
M. Charcot
par M. Babinski1 , on admet- tait que l'atrophi
t une médaille d'or à M"° Bottard. Voici le discours prononcé par
M. Charcot
: « Je suis heureux, mademoiselle, de pouvoir a
314 FAITS DIVERS. des plus singulières qui a été examinée parM. le
docteur Charcot
. Tout à coup, il abandonne son travail, sort de
la Salpêtrière, atteint de cordes comitiales ambulatoires, auquel
M. Charcot
avait donné le certificat ae maladie, qu'il recom
e de la troisième paire. Or, 1 Ces jours derniers, M. le professeur
Charcot
demandait à M. le D' Landolt s'il connaissait q
e l'observation qui a servi de thème à la leçon de M. le professeur
Charcot
: OBSERVATION, - 1 ... Nov ? ka, âgée de dix-hu
passionnelles qui caracté- risent, dans la nomenclature établie par
M. Charcot
, la troisième phase de l'attaque hystéro-épilep
carac- tère spéciaux de ces suggestions'. Enfin M. le professeur
Charcot
, faisant allusion aux cas de M. Pitres affirmait
rogènes et hypnogènes; des attaques de sommeil. Bordeaux, 1885. '
Charcot
,. -Leçons du mardi, t. II, p. 326. ' Ségal. - D
te malade est depuis quatre ans dans le service de M. le professeur
Charcot
. C'est une hystérique typique avec tous les sti
s'agit de divers internes ou chefs de clinique de M. le professeur
Charcot
.) Ah ! là, là ! pourquoi sommes-nous venus, je
ésert... des chameaux... (Il y avait à ce moment dans le service de
M. Charcot
une jeune négresse de Tombouctou, atteinte d'hy
ferette par la fenêtre. Déjà avant nos recherches, M. le professeur
Charcot
dans une leçon clinique avait montré qu'en s'ad
ur le délire hystérique, d'après l'enseignement de M. le professeur
Charcot
. G. G. A PROPOS DU BÉGAYEMENT HYSTÉRIQUE. 365
ssent si étroitement, ainsi que le soutient depuis si long- temps
M. Charcot
. En résumé, nous pouvons conclure des faits dés
s identique au bé- gayement vulgaire. Mais le mutisme hystérique de
M. Charcot
n'est pas non plus le même que le mutisme congé
s sensitives. Les expériences de Veyssière ' et les recherches de
Charcot
sur ],hémianesthé1C cérébrale chez l'homme ont'
ue « la règle a été avec les malades hémianesthésiques observés par
Charcot
à la Salpêtrière que malgré la perte complète d
été presque toujours intact ». Sur cette question, j'en ai appelé à
Charcot
lui-même. Il m'a avantagé d'une réponse dont je
o. (Publication du Progrès médical, Paris, 1890.) La préface dont
M. Charcot
a honoré ce travail en exprime mieux l'idée gén
in-8° de 23 pages. -- Bordeaux, 1891. Imprimerie G. Gounouilhou.
Charcot
(.T. -M.). - Leçons sur les maladies des vieillar
e, par Cour- mont, 265; - simulation du S)I1- drome de Weber, par
Charcot
, 321 ; - hallucinations de l'atta- qued' -, p
453. Buchholz, 271, °8G. Buchkanlt, 282. Campbell Clark, 120.
Charcot
, 321. Charpentier, 129. Cheroiu, 361>. C
ère, soit dans la pratique privée de notre maître, M. le professeur
Charcot
. Observation I. - T..., quatorze ans. Vertiges
tent sur le même sujet et se manifestent par des crises séparées (
Charcot
) '. Les manifestations psychiques de l'hystérie
une phase de l'attaque d'hys- téro-épilepsie, telle que l'a décrite
M. Charcot
, et qui se traduit par un délire variable suiva
emière période de la paralysie générale ou de l'ataxie locomotrice (
Charcot
) '. Tous les auteurs s'en- tendent pour la cons
l'alié- nation, le suicide, les accidents nerveux bizarres, etc.
M. Charcot
professe depuis longtemps que l'hérédité 'Trous
dier avec soin, grâce à la bienveillante direction de notre maître,
M. Charcot
, nous a semblé de nature à jeter quelque jour s
mais ne saurait plus l'être aujourd'hui, car les tra- vaux de MM.
Charcot
, Bouchard, Flechsig nous ont appris que le cord
'observa- tion d'une tabétique, morte en 1880, dans le service de
M. Charcot
, à la Salpêtrière : les lésions de la moelle ch
ne faut pas perdre de vue cette particularité, relevée naguère par
M. Charcot
dans l'histoire anatomique de la sclérose en pl
ît 72 PATHOLOGIE NERVEUSE. être commune, au contraire, au dire de
M. Charcot
qui l'a étudiée le premier, au moins en France,
observation de M. Babesiu, fort analogue à la nôtre, on l'a vu, 1
Charcot
. Si»' la tuméfaction des cellules nerveuses motri
l'ataxie locomotrice pro- gressive, qui, depuis les travaux de MM.
Charcot
et Pierret, est considérée comme une cirrhose p
er et Pick expliquent cette particula- rité par certains cas de MM.
Charcot
et Pierret, dans lesquels la sclérose du faisce
e n'était appréciable, le diagnostic pouvait être incertain. Aussi,
M. Charcot
, qui observa Rosa G... dès les premiers jours d
ement si l'état de mal se prolonge plusieurs jours, la mort arrive.
M. Charcot
a relevé depuis longtemps l'absence d'élévation
d'ailleurs, à tout bien considérer, ces attaques épileptiformes 1
Charcot
. - Leçons sur les maladies du système nerveux, 4°
out le temps'; mais il ne donne aucun détail. Quant à la nialade de
M. Charcot
, elle n'avait guère qu'une centaine d'attaques
jaclcsonnienne ; et la preuve, c'est que des observateurs comme MM.
Charcot
et Legrand du Saulle s'y sont mépris. C'était d
ne jeune femmequi entrait, il y a quelques mois, dans le service de
M. Charcot
. Elle présentait les symptômes les plus nets de
ion de température) chez une hystérique ? Telle est la question que
M. Charcot
s'est longtemps poé. Le cas de M. titi Saulle
oche des précédents. Il s'agit aussi d'une hystérique du service de
M. Charcot
, qui est prise de temps en temps de spasmes du
ifs. 1 G.l3uNwmr. FAITS DIVERS AcwLwe des sciences. Election de
M. Charcot
. Dans sa séance du I novembre, l'Académie des s
a ratifié le choix de la commission en donnant quarante-six voix à
M. Charcot
, contre douze à M. Sappey. ACIDÉMIE de vi : ute
ascendante, au niveau de la troisième circonvolution frontale. 2°
Charcot
et Bail, d'après Rendu et Gombault (Revue d'Hay
Mensehenhirnes ( Wiener medic. Presse, 1878, Observ. II), cité par
Charcot
et Pitres. (Nouvelle contribution à l'étude des
derait aux mouvements des muscles innervés par le facial inférieur (
Charcot
et Pitres, « Mémoires sur les localisations »,
ler de 1837, et deux d'Oulmont, recueillis dans les services de MM.
Charcot
et Maurice Rayuaud. Depuis le mémoire de M. Lép
vfiir Psychiatrie, et celle deM.Féré, recueillie dans le service de
M. Charcot
et publiée dans la Revue de Médecine de 1882. A
ctions : mo- tilité, sensibilité générale spéciale, intelligence.
M. Charcot
fait remarquer que toutes les formes du rhumati
crises convulsives, surtout noc- turnes, avec morsure de la langue.
M. Charcot
la traita par le bromure, et les attaques ont d
ttaques de goutte articulaire$. M. Fouqué, dans sa thèse % rap- 1
Charcot
. Leçons cliniques sur les maladies des vieillards
gois- sante, dont il guérit par le ictour d'un accès de goutte.
M. Charcot
nous a montré un malade chez lequel la goutte p
fréquentation des ataxiques, qui n'en ait rencontré plusieurs cas.
M. Charcot
a insisté naguère sur les amyotrophies des tabé
d'envahissement 1 Pour les renseignements bibliographiques, voir :
Charcot
. Leçons sur lre maladies du système nerveux, t
nil). Dans le cas recueilli dans mou service par M. Pierret, ajoute
M. Charcot
, l'atrophie portait à la fois sur toute l'étend
lusion à l'anaJotoh7aie de la langue, ou plutôt à l'hémialrophie.
M. Charcot
a vu plusieurs fois l'ataxie locomotrice s'acco
é. Et déjà les faits de cet ordre, relativement assez nombreux, que
M. Charcot
a relevés, les quelques cas que, pour notre par
époque postérieure à celle ou les détails communiqués à M. Blum par
M. Charcot
avaient été recueillis. 202 2 . CLINIQUE NERVEU
ade à la Salpêtrière, lorsque le frère de ce dernier vint consulter
M. Charcot
pour une ataxie locomotrice des mieux confirmée
e nous avons rapportés plus haut, ceux assez nombreux qu'a observés
M. Charcot
, ou qu'ont relatés MM. Cuffer et Vidal, constit
cas de Leisier cité plus haut, ou même les deux membres inférieurs.
M. Charcot
dit dans ses leçons avoir vu plusieurs fois une
ons recueillie à la Salpêtrière dans le service de M. le professeur
Charcot
, est intéressante à cause du siège exceptionnel
essus pathologique. En portant le diagnostic de tumeur cérébrale,
M. Charcot
avait fait toutes réserves sur le siège et la nat
ores et caractérisées par la diminution de tous les principes ' AI.
Charcot
. - Leçons sur les maladies du système nerveux, t.
moelle, une, influence, pathogénique uon dou- teuse. On peut, avec
M. Charcot
? distinguer deux groupes de faits : a) La prop
un affaiblissement parétique que d'une para- lysie proprement dite (
Charcot
,); n'y a ni troubles sensitifs, ni troubles tro
s l'influence d'un amendement dans l'affection des voies urinaires (
Charcot
). On a expliqué ces paralysies réflexes par un
ara- plégies'se rencontrent assez souvent chez de jeunes sujets 1
Charcot
. - Leçons sur les maladies du système nerveux, t.
e secondaire (Guyon, Bazy). B. Signalés par Duchenne (de Boulogne),
M. Charcot
a fait figurer les troubles de l'excrétion urin
us et uniformes, se présentent sous formes de crises', sur lesquels
M. Charcot
a tout d'abord insisté. Ces crises offrent tous
vésicale, l'anesthésie vésicale et uréthrale,constituent autantde
Charcot
et Féré. - Affections osseu.es et articulaires du
pathie se cachait derrière l'af- fection de la peau (l3aerensprunâ,
Charcot
, Parrot, Daniellsen, Mitchell, etc.). Mais des
insistent beaucoup que leur cas confirme pleinement les idées de
M. Charcot
, sur l'existence de la sclérose latérale amyotro-
aient été reconnues et acceptées sans con- teste ? Non sans doute,
M. Charcot
, notamment, a, dès le début, résolument pris pl
i le prédispose aux troubles les plus variés ? C'est là un fait que
M. Charcot
a bien des fois mis en relief dans ses leçons,
Paris, 1883. Sous le titre : « Des paralysies chez les choréiques» (
Charcot
), M. Ollive décrit une forme de paralysie assez
remarquable observation due à notre savant maître, M. le professeur
Charcot
, et Archives, l. VU. I ! 1 foi 290 CLINIQUE m
fir- mation dans la pathologie. Voici ce qu'écrivait le malade de
M. Charcot
: « Il me semble qu'un changement complet s'est
rment, en même temps que les fibres intellectuelles, des fibres 1
Charcot
. - Leçons sur la localisation dans les maladies d
gique, celui des poliomyélites antérieures systématiques (Kussmaul,
Charcot
.) M. Jorrissen passe en revue les arguments qui
s 1 , 2°, 3e circonvolutions occipitales. Confirmation des idées de
Charcot
et Pitres sur le rôle de l'écorce occipitale. L
es folies qui s'y rattachent, grâce aux travaux de MM. Christian et
Charcot
sur les folies consécutives aux maladies aiguës
stoire est rapportée dans une des récentes leçons de M. le professeur
Charcot
. Il est vrai que c'était le spiritisme, et non l'
nous rendre compte de la nature du pacte intervenu entre les docteurs
Charcot
, Dumont pallier, Voisin et tant d'autres à qui l'
, on put observer l'excitabilité nervo-musculaire si bien décrite par
Charcot
. La durée totale de l'accès fut d'une heure et de
Court de clinique des maladies du système nerveux : M. le professeur
Charcot
. Leçons le mardi et le vendredi, à 9 heures. Co
psychologie. — Dans sa séance du lundi 25 juin, sous la présidence de
M. Charcot
. la Société a entendu une communication de M. le
r le Comt A. de ROCHAS I Les trois états de l'hypnose décrits par
M. Charcot
sont devenus classiques, malgré l'Ecole de Nancy,
jà, avec la grande autorité qui s'attache à son nom et à ses travaux.
M. Charcot
avait démontré l'existence et la nature des troub
l'espèce, et peut-être sont-ils plus nombreux qu'on ne le pense, dit
Charcot
; ¡1 semble, ajoute-t-il, « que l'état hypnotique
e la différence, a A part l'emploi extensif du mot dormir, que fait
Charcot
, ses paroles sont marquées au coin d'une haute mo
cas particuliers sur la valeur desquels il n'y a pas à discuter, que
Charcot
et ses élèves ont identifié l'hypnose et l'hystér
paraissent, grâce toujours ô la même opération mentale. Les élèves de
Charcot
croient pouvoir conclure que les second* sont dev
ar états en indiquant d'autres traits spécifiques; c'est ce qu'a fait
M. Charcot
pour les phénomènes du Braidisme. Cette classif
cidé de provoquer une souscription dans le but d'offrir un présent au
docteur Charcot
. ainsi qu'aux deux médecins italiens qui ont soig
posées tout a l'heure. f D'après M. Delbceuf, les hystériques, que
M. Charcot
considère en quelque sorte comme essentiellement
gique. C'est, si vous voulez vous servir d'une expression empruntée à
M. Charcot
. l'hypnotisme léthargique ou la léthargie hypnoti
aine d'années, on commençait i la Salpètrière à étudier l'hypnotisme.
M. Charcot
étudiait surtout les gros faits et systématiqueme
ications ne contiennent que des variations sur les expériences de MM.
Charcot
, Haidenhain, etc.. expériences lûtes sur des suje
és a la Salpétricre sont peut-être très rares, mais que la méthode de
Charcot
reste la seule juste, caractérisée par ces trois
raient essayer de corrompre les gardiens. Cours de M. le professeur
Charcot
. * M. le pni:c>>eur Charcot a recommencé
iens. Cours de M. le professeur Charcot. * M. le pni:c>>eur
Charcot
a recommencé mardi dernier, à la Salpêtru-re, en
ades dont l'examen est fait devant les élèves. Dans ce premier cours.
M. Charcot
a étudié successivement un cas de bâillement hyst
ux. u NOUVELLES Faculté de médecine de Paris. — M.le professeur
Charcot
a commencé le cours de clnique des maladies menta
s années surtout, attiré l'attention des médecins et des chirurgiens.
M. Charcot
a interprété ces observations et n fait jouer à l
eurs se jouent de 1*' santé de leurs sujets. Depuis. M. le professeur
Charcot
a signalé l'apparition,: dans un chef-lieu de dép
si nous n'adressions à MM. les professer- iï »uchard, Brown-Séquard,
Charcot
. et aux autres membres de la Section de médecine
la contracture. Du jour où notre éminent collègue, M. le professeur
Charcot
, eut tracé la description de ces trots états, on
dans de petits cercles intimes, dans les colletés, dans les pensions.
M. Charcot
a consacré l'une de ses leçons à l'exposition d'a
imprévues et temporaires, ainsi que les auteurs, et particulièrement
Charcot
, l'ont indiqué, dans la sclérose en plaques. B.
maleet pathologique, fondées il y a vingt ans par MM. Brow.i-Stquard,
Charcot
et Vulpian, viennent de se dédoubler en deux publ
teur», conserve le litre primitit. L'autre, sous la direction de
M. Charcot
et avec un comité' de rédaction compose de MM. Gr
ons se proposent de faire une large part ù la microbie, mais celle de
M. Charcot
annonce sa préférence pour tanatomie pathologique
r réaliser ce projet, un comité a été con»:itoé. Il *e compose de MM.
Charcot
, président; Joffroy, vice-président; Strauss, Pit
rillon, se conformant à la méthede d'enseignement de M. le professeur
Charcot
qui a donne à la Salpctrière de si brillants résu
oms des nouveaux membres, parmi lesquels nous trouvons MM. Brouardel,
Charcot
, Grancher, Peter, Potain. Tarnier, etc. M. Fiss
h Salpétrikre. — Clinique des maladies nerivuscs. — m. le professeur
Charcot
fait les mardis, a 9 heures 1/2, une leçon cliniq
s faites avec tant d'autorité, à la Salpciricre, par M. le professeur
Charcot
, notre éminent maître a étudié un cas de paralysi
ge de 14 ans; mais l'anesthcsie est un phénomène nouveau chez elle.
M. Charcot
cite encore un cas de paralysie du même ordre sur
la Salpêtrière. — Clinique des maladies neveuses. — M. le professeur
Charcot
fait les vendredis, à 9. heures 1/2, une leçon cl
adictoires, symbolisées, d'un côté par l'Ecole de la Salpêtrière avec
M. Charcot
, de l'autre par M. Bcrnheim et l'Ecole de Nancy,
té à reconnaître (et tous ceux qui savent combien j'admire l'œuvre de
Charcot
n'auront aucune peine à me croire) que, non seule
e à l'hypnotisme scientifique contemporain tout entier. C'est là pour
Charcot
un grand et légitime titre de gloire. Les phéno
n'était pas encore introduit dans la science vraie lorsque, en 1878,
Charcot
commença les expériences et les publications qui
e question mal famée et marcher a rencontre des préjugés enracinés. »
Charcot
a eu ce courage; malgré quolibets et critiques, q
te entreprise, dont le succès est loin d'avoir été l'œuvre du hasard.
Charcot
a compris qu'il fallait, non seulement bien étudi
ossibles à simuler, comme l'hy-perexcitabilité neuro-musculaire. Si
Charcot
n'avait pas compris cela, s'il s'était laissé tou
hypnotisme et que, sans celui-ci, celui-là n'aurait pas existé. Sans
Charcot
, les travaux de Bernhcim auraient subi le sor
ent subi le sort des recherches de Lié-beau 11. L'immense mérite de
Charcot
(je tiens à bien fixer cette notion dans vos espr
révélées à Nancy et ailleurs, il n'y aurait eu rien d'humiliant pour
Charcot
à reconnaître que les faits nouvellement découver
rouverez la magistrale description dans la note présentée en 1882 par
M. Charcot
. à 1 Académie des sciences, et l'étude détail
raphique des divers états nerveux compris sous le nom d'hypnotisme »,
M. Charcot
définit son sujet en ces termes: * Les phénomènes
es phénomènes symp-tomatiques. On doit donc interprêter les termes de
Charcot
dans le sens d'états nerveux svmptomatologiquemen
de a pu vous en convaincre) dans le grand hypnotisme, l'hypnotisme de
Charcot
et de la Salpètrière. des caractères matériels, d
tabilité neuro-musculaire, qui absorbent presque seuls l'attention de
Charcot
et sur lesquels la Salpêtrière insiste avec tant
e tout. Le côté psychique, laissé volontairement au deuxième plan par
Charcot
dans ses premières études, devient l'élément capi
alpêtrière : Les phénomènes somatiques fixes, sur lesquels l'Ecole de
Charcot
fait tant de fond, qui sont comme le pivot de tou
cela n'explique pas les premiers cas, ceux qui ont formé l'opinion de
M. Charcot
et qu'il a observés sans aucune idée préconçue. I
bservés à Nancy et les malades de la Salpétrière : les hypnotisées de
Charcot
sont toutes des hystériques: à Nancy, au contrair
e les trois états successifs qui caractérisent le grand hypnotisme de
Charcot
, avec les modes de transition qui leur sont parti
à l'observation plus fréquemment que son rival; mais l'hvpnotismc de
Charcot
est toujours et reste le grand parce qu'il est le
stibilité, que l'on rencontre à titre secondaire dans l'hypnotisme de
Charcot
. est la caractéristique de l'hypnotisme de Nancy.
nfant (l'), par Collineau. 25. 60, 89. 142. Attaque de sommeil, par
Charcot
. 216. Auteur d'une suggestion criminelle (recherc
349. Cours de M. le Dr Auguste Voisin, 316. Cours de M. le professeur
Charcot
, 157. Cours de M. le professeur Giard, 189. Dan
miroirs rotatifs, par Luys. 314. Paralysie hystêro-traumatique, par
Charcot
, 316. Perceptions inconscientes de l'hypnotisme
3. Soldat somnambule (la légende du), 97. Sommeil (attaque de), par
Charcot
, 216. Sommeil hypnotique, résultat d'une inhi-bin
2. Burckhard:. 56. Burot. 90. 132, 169, 250 Caustler, 190. 285,
Charcot
. 316, 316. Charpentier. 375. Chiltoff. 309. Col
erveuse spontanée. Chez deux hystériques bien connues du service de
M. Charcot
l'on peut tracer, avec une épingle, des caractè
, on le sait, cette analogie, notée depuis longtemps, qui a servi à
M. Charcot
pour dénommer l'affection. Les ongles sont diff
titre de curiosité parle garçon de laboratoire de la clinique de
M. Charcot
. De plus, nous donnons une figure représentant la
ites. GRAND ET PETIT HYPNOTISME. 93 l'initiative de notre maître,
M. Charcot
, que la question fit un pas décisif; on peut di
e, M. Charcot, que la question fit un pas décisif; on peut dire que
M. Charcot
est le premier qui ait donné une démonstration
11 nous semble que les critiques qui ont été faites à l'oeuvre de
M. Charcot
tiennent, en partie au moins, à ce qu'on ne l'a
avant de chercher à établir l'exacti- tude de la thèse que soutient
M. Charcot
, d'en faire ressortir les traits essentiels, de
s- tion mal famée et marcher à l'encontre des préjugés enracinés.
M. Charcot
, éclairé déjà depuis longtemps par nombre d'ob-
mènes intellectuels ; c'était commencer par où il fallait finir.
M. Charcot
relégua d'abord au second plan les phénomènes p
acture somnambulique. ET PETIT HYPNOTISME. 97 - Eu même temps que
M. Charcot
relevait l'évidence de ces précieux symptômes,
e que de reproduire les principaux passages de la communication que
M. Charcot
a faite à ce sujet à l'Académie. « Essai d'un
tomatologie de l'hypnotisme, semblent pouvoir être ramenés, suivant
M. Charcot
, à trois types fondamentaux, à savoir : 1° l'ét
que nous 100 REVUE CRITIQUE. venons de décrire, constitue ce que
M. Charcot
appelle le ' Grand hypnotisme. » M. Charcot,
ire, constitue ce que M. Charcot appelle le ' Grand hypnotisme. »
M. Charcot
, dans sa description, a laissé de côté à dessein
bord aux types réguliers, avant d'étudier les formes mal dessinées.
M. Charcot
ne rejette donc pas, tant s'en faut, les autres
re. G., âgée de 16 ans, entre à la Sal- pêtrière dans le service de
M. Charcot
, au mois de juin 1885. Elle présente tous les s
et à mettre en lumière les traits fondamentaux de la conception de
M. Charcot
sur l'hypnotisme. Sa doctrine est contenue, cro
us devons maintenant chercher à mettre en lumière les arguments que
M. Charcot
et ses élèves font valoir en fa- veur de la thè
ssayer de démontrer que, malgré tant de contradictions, l'oeuvre de
M. Charcot
reste absolument intacte et inébranlable. Nous
ade l'hallucination de la couleur bleue sur le premier carré. 1(.
Charcot
a montré qu'il faut avoir la précaution de déterm
arole. Revue de ses diverses anomalies; travaux de fussmaul, Broca,
Charcot
; utilisation du schéma de Lielitlicinil 1 Voy.
nier, Erb et Strümpell, les noms d'autorités médi- cales comme MM.
Charcot
et Lancereaux, en France, Westphal en Allemagne
s signes'. Un exemple frappant de cécité verbale est rapporté par
M. Charcot
dans ses leçons professées à la Salpê- trière ;
Ce malade était atteint d'hémianopsie bilatérale homo- nyme'. 1
Charcot
. Maladies du syslème uercetta·, 1. 111., p. 15.
ent associé à la cécité verbale. Selon les recherches récentes de
M. Charcot
, qui a étudié ce sujet très minutieusement, il
tant le siège des altérations dont relèverait la cécité des mots.
M. Charcot
cependant émet cette opinion avec une très gran
ne être considérées comme rigoureusement applicables à l'homme. '
Charcot
. Levons sur les Maladies dtt systéme nerveux, t.
mènes 'somatiques de contracture, de catalepsie, etc., observés par
M. Charcot
et ses élèves. A cette objection, M. Charcot et
, etc., observés par M. Charcot et ses élèves. A cette objection,
M. Charcot
et ses élèves se contentent de répondre avec av
Bernheim, des cas artificiels, on peut se demander, fait remarquer
M. Charcot
, pourquoi, ne fût-ce que dans le but de .prouve
intenant mettre en évidence les arguments sur lesquels s'est appuyé
M. Charcot
pour établir l'exactitude de ses assertions.
oquerons des arguments du même ordre. Les premières observations de
M. Charcot
ont évidem- ment une valeur pour ainsi dire abs
n effet, aurait pu provenir la suggestion ? Quelle raison théorique
M. Charcot
aurait-il pu avoir de supposer qu'il existait u
ade qui est restée pendant dix-huit mois environ dans le service de
M. Charcot
, à la Salpêtrière, entourée de grandes hypnotiq
que les opinions que nous soutenons appartiennent exclusi- ment à
M. Charcot
et à ses élèves et que jamais en dehors de la S
arac- tères déterminés, tel qu'il a été décrit magistralement par
M. Charcot
. c Le type parfait de l'hypnotisme, décrit par
par M. Charcot. c Le type parfait de l'hypnotisme, décrit par .M.
Charcot
, et observé par des cliniciens éminents de tout
elation de l'expé- rience-du transfert d'une contracture opérée par
M. Charcot
chez unejhystérique, au moyen d'un aimant, en o
e réaliser sur un hypnotique une expérience qui avait été faite par
M. Charcot
' llipnotivîeo y 5'ugestion, par 0. Maira et D.
de offrait très nettement les phénomènes qui ont été indiqués par
M. Charcot
comme caractéristiques des trois états du grand
né la peine de venir à Paris et il a pu observer dans le service de
M. Charcot
quelques grandes hypnotiques. )I. Delboeuf, apr
que plus particulière- ment aux formes de l'hypnotisme étudiées par
M. Charcot
et GRAND ET PETIT HYPNOTISME. 267 -1 qui s'ob
une bande élastique, etc.) ; cette propriété a été appelée par 31.
Charcot
la diathèse de contracture. Mais chez les hypno-
morrhagie et que l'artério-sclérose conduità former ces anévrysmes (
Charcot
, Bouchard, de Zenker). (Allg. Zeitschr. f. Psyc
ts ont mêmes fonctions'. Précisément à ce sujet, M. le professeur
Charcot
écrivait, en 1876 : « En présence des expérienc
calisations cérébrales est fondé sur la proposition suivante, dit
M. Charcot
: l'encéphale ne représente pas un organe homog
depuis les recherches de Fritsch et Hitzig, de David Ferrier, de
Charcot
, de Goltz, de Munk et d'Exner, est intitulée :
vre. Si l'oeuvre de François-Frank a surtout mérité les éloges de
Charcot
, par l'heureuse alliance des recherches de ' Di
, car, on l'a deviné, il s'agit du professeur ù0 1-1 PHYSIOLOGIE.
Charcot
et de ses doctrines. Si canimus sylvas, sylvp.
les immenses services rendus par l'expérimentation physiologique ,
Charcot
et Pitres ont revendiqué, on le sait, pour les
ubordination absolue; il n'existe que des rapports de coordination.
Charcot
et Pitres ont simplement pro- testé contre les
déterminer la nature et le siège des fonctions cérébrales. Exner,
Charcot
et Pitres ont naturellement une grande part dan
de Vienne, repro- duit en partie, en les citant, les objections de
Charcot
et de Pitres. Procédant à l'inverse, pour arr
eurs fran- çais et les auteurs. italiens dont nous parlons, les '
Charcot
et Pitres. Elude critique el clinique de la doctr
vères les critiques qui viennent d'être présentées, moins celles de
Charcot
et de Pitres cependant, que celles de Luciani e
dans un concile de localisateurs, s'il était permis d'un rêver un,
Charcot
et Pitres siégeraient entre Ferrier et Munk, ta
)', Exner s'est-il borné à remarquer que, quoiqu'ils le combattent,
Charcot
et Pitres se sont plutôt rapprochés qu'éloignés
ale. G'est sur ce critère, Luciani et Seppilli le rap- pellent, que
Charcot
et Pitres ont fondé leur doctrine des centres m
point la suite de dégénérations secondaires. Les cas cliniques de
Charcot
et de Pitres remplissent- ils ces conditions ?
que cela pourrait être fait sur les animaux par la méthode des '
Charcot
et Pitres, Etudes critiques et cliniques de la do
les sphères fonctionnelles sont trop étendues, avec la méthode de
Charcot
elles sont trop étroites. Il résulte de tout ce
t eu la syphilis l'avouent en général franchement au médecin. AI.
Charcot
et ses élèves, dans la question de la réunion d
paralytiques seulement. C'est ce qu'ont démontré avec raison MM.
Charcot
. (Voyez Leval-Piquechef, 457 et Bris- saud'.)
ter des préparations anatomiques de ce cas à 119. les professeurs
Charcot
, Westphal, Merziejewsky, Fuczek, etc. Il y a fo
ent interprétées et analysées.' C'est là un des secrets du génie de
Charcot
, secret qui Archives, t. XVII. 27 418 CLINIQU
s hommes ont été adressés de différents hôpitaux à M. le professeur
Charcot
qui, dans ces der- nières années, s'est particu
E OPHTHALT101,OGIQUE. 439 1161) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. il.
Charcot
. Le malade habitué surtout à lire des lettres com
, n° 2, 1887. Gowseeff. Un cas de chorée chronique progressive de
Charcot
, (sans autopsie). Arch. de Kovulewk,y, t. IX, n
ître que c'est â la méthode rigoureuse inaugurée par M. le professeur
Charcot
, que l'on doit d'avoir pu dissiper tant de té
is par certaines lois fixes dont notre éminent collègue le professeur
Charcot
s'est évertué depuis plusieurs années, avec une p
en le regrettant, que cette commission, en dehors de M. le professeur
Charcot
, ne renferme aucun homme ayant prouvé qu'il ait a
, la moindre compétence. Nous n'avons pas été surpris d'apprendre que
M. Charcot
a décliné l'honneur de faire partie de cette comm
nce de cause par un savant qui a été longtemps associé aux travaux du
docteur Charcot
, à la Salpêtrière. Dans son livre, le Dr Regnar
ontinuelle. On parvint à l'endormir en usant du procédé indiqué par
Charcot
et étudié par Parcs, qui consiste dans la compres
ue d'une affection encore mal connue. On ne sait comment la dénommer;
M. Charcot
l'appelle la maladie des tics convulsifs, et M. G
te et est incapable de continuer. Beaucoup plus tard, le professeur
Charcot
et ses élèves se préoccupèrent à leur tour de la
ves se préoccupèrent à leur tour de la question. Voici ce qu'enseigne
M. Charcot
: Il y a deux formes de l'hypnotisme, la grande
sous-jacents. Peu après la publication des premières recherches de
Charcot
, la question de l'hypnotisme fut vulgarisée en Al
ériences ne leur permettaient pas d'adopter complètement les idées de
M. Charcot
. Ils nièrent que la succession des trois phases t
uré quatre mois, j'ai trois ou quatre fois assisté aux expériences de
M. Charcot
et de son chef de clinique M. Babinski. J ai vu l
es résultats excellents qui sont pu- bliés dans son grand traité.
Charcot
n"a recours, autant que je sache, à ce traitement
ntrôler les expériences de M. Luys, ne nous apporte guère de lumière.
M. Charcot
a son siège lait d'avance, et les autres memb
oll, après avoir étudié, à Paris, dans le service de M. le professeur
Charcot
, et à Nancy, dans le service de M. le professeur
elle vraie ? En la lisant, je me suis rappelé la toile représentant
Charcot
a la Sal-pêtriere, qui fit si grande sensation au
lheureusement pour elles, c'est toujours par là qu'elles se per-dent.
Charcot
, Dumontpallier et leurs élèves ont bien mis en lu
bles d'un choc extérieur sur la fonctionnalité nerveuse, on est, avec
Charcot
. d'accord sur ce point; c'est que « pour un choc
es. Pour n'en citer que quelques-uns, mais frappants: En mars 1885,
Charcot
consacrait deux leçons de sa clinique à l'étude d
abli sûrement. La malade a été examinée et soignée dans le service de
M. Charcot
pendant plus d'une année ; elle a guéri de peur.
manie hystérique . L'année suivante, à propos d'un homme de 33 ans,
Charcot
appelait l'attention de ses élèves sur une forme,
tique chez l'homme qui, au commencement de l'année 1887, ont été pour
Charcot
l'objet d'une leçon pleine d'intérêt, viennent à
seur italien fait l'inventaire de toutes les expériences de Braid, de
Charcot
. de Tamburini, de Seppilli, de Richet, de Rieger,
ir acquis, en matière d'hypnotisme, l'autorité des savants qui, comme
Charcot
, Dumontpallier, Bernheim et tant d'autres, ont ba
A PRESSE L'attaque de sommeil hystérique. Leçon de M. le professeur
Charcot
- (recueillie par P. Mariel. — Bulletin médical d
ier 1888. En présentant à ses élèves une dormeuse, M. le professeur
Charcot
est entré dans quelques considérations spéciales
DE PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE Séance du 3o janvier. — Présidence de
M. Charcot
Les Paralysies psychiques Par M. le professeu
ence de M. Charcot Les Paralysies psychiques Par M. le professeur
Charcot
- Depuis que M. Charcot a mis en lumière l'apti
s Paralysies psychiques Par M. le professeur Charcot - Depuis que
M. Charcot
a mis en lumière l'aptitude spéciale que présente
des contractures hystériques est un fait dès à présent hors de doute.
M. Charcot
a pensé avec raison que l'étude du mécanisme de c
eu des attaques et elle présente du rétrécissement du champ visuel.
M. Charcot
a voulu rendre le phénomène encore plus évident e
initif pendant environ trente ans. Il fallait le nom et la science de
Charcot
pour imposer au monde savant l'idée que l'hypnoti
ire à ces différends et dont la principale se trouve être le fait que
Charcot
n'a opéré que sur des grandes hystériques, tandis
ent. Bien que le magnétisme animal doive sa sanction scientifique a
Charcot
, la psycho-thérapeutique n'a guère à se louer de
nose maniée avec tact et prudence ne peut jamais nuire. L'autorité de
Charcot
fut cependant si puissante, que les idées de Liéb
stes. A cet effet, M. van Eeden cite fort heureusement ces paroles de
Charcot
prononcées dans une des dernières séances de l'Ac
riée à la cure de ce genre. » Un tel aveu prouve une fois de plus que
Charcot
est un grand homme. A ce moment où la thérapeut
gereux, quand on l'emploicmal a propos. Et si, entre les mains de MM.
Charcot
, Bernheim, Liébeault e: d'autres encore, qui ont
sise vraiment scientifique. Presque en même temps que lui, l'école de
Charcot
, à Paris, étudiait l'hypnotisme au point de vue t
les objections de Bernheim ne sont pas fondées et les trois phases de
Charcot
existent réellement ; mais, pour moi. elles ne so
de Nancy est relative à !a vertu thérapeutique de l'hypnotisme ; pour
Charcot
, l'hypnotisme est à lui seul un puissant moyen cu
-BKTTictA. Londe, sous la direction de notre maître, M. le professeur
Charcot
. Nous souhaitons longue vie a cette intéressante
des Archives de Neurologie que publie, depuis 1880, M. le professeur
Charcot
. — Ecole d'anthologie. — M. Mathias-Duval a c
ies du système nerveux, publiée, sous la direction de M le professeur
Charcot
, par M.M. Paul Richer, chef du laboratoire, Gille
oir Revue de l'hypnotisme, novembre 1887, p. 141. et désignée par
M. Charcot
sous le nom de maladie des tics convulsifs. L'ann
nt d'exhiber cette « névrose expérimentale » (suivant l'expression de
M. Charcot
; devant le peuple déjà trop impressionnable de no
l. Hospice de la Salpètrière. — clinique des maladies nerveuses :
M. Charcot
a reprit ses leçons et les continuera les vendr
seurs se jouent de la santé de leurs sujets. Depuis, M. le professeur
Charcot
a signalé l'apparition, dans un chef-lieu de dépa
de que de prétendre que ces entrepreneurs de spectacles ont guidé MM.
Charcot
, Du-montpallier, Mesnet, Bernheim et tant d'autre
le somnambulisme. Ce qui est vrai, c'est qu'une seule des leçons de
M. Charcot
a plus fait pour intéresser le monde scientifique
tiques, encore bien qu'elle en ait « pris possession », comme l'a dit
M. Charcot
. Quand on voit comment les progrès réels du magné
naissances scientifiques acquises dans le domaine de l'hypnotisme par
M. Charcot
et l'Ecole de la Salpêtrière, par MM. Liébeault,
l'apparition des premiers chauds rayons du soleil. M. le professeur
Charcot
à Milan. La presse italienne, à l'occasion du r
presse italienne, à l'occasion du récent voyage que M. le professeur
Charcot
vient de faire à Milan, a publié, à l'égard de no
ques jours, sous les auspices du docteur Miliotti, qui a été élève de
M. Charcot
, à la Salpêtriére de Paris. - Cette visite a
pnotisme qui ont été pratiquées sur différents sujets, en presence de
M. Charcot
. » On sait que sous le rapport de l'hypnotisme,
sence de M. Charcot. » On sait que sous le rapport de l'hypnotisme,
M. Charcot
a une réputation universelle. La plupart des méde
e, suivent ses théories et jurent volontiers in verbo magistri... »
M. Charcot
a assisté aux expériences, en faisant de nombreus
nt sur des explications théoriques d'un haut intérêt. » En partant,
M. Charcot
a exprimé au docteur Miliotti, stari qu'aux autre
trière. — Clinique des maladies du système nerveux : M. le profeseeur
Charcot
. Leçons le mardi et le vendredi, à 9 heures. As
ession d'Oran )., 338, 364. Attaque de sommeil hystérique (l'), par
Charcot
, 27. Autopsie (la Société mutuelle d'), 193.
de du), 354. Cerveau et le surmenage scolaire (le), par Luys, 88.
Charcot
(. le professeur) à Milan, .378. Châtiments cor
42. 368. Orthopédie morale, 180. Paralysies psychiques (les). par
Charcot
. Pédagogie expérimentale (essai de), par Bérill
Bucquoy, 184. Barot. 52. 109, 141, 154. 33o. 338. Campili. 54.
Charcot
, 271, 275, 378. Chazarain, 144. Colas (Albert
ître que c'est â la méthode rigoureuse inaugurée par M. le professeur
Charcot
, que l'on doit d'avoir pu dissiper tant de té
is par certaines lois fixes dont notre éminent collègue le professeur
Charcot
s'est évertué depuis plusieurs années, avec une p
en le regrettant, que cette commission, en dehors de M. le professeur
Charcot
, ne renferme aucun homme ayant prouvé qu'il ait a
, la moindre compétence. Nous n'avons pas été surpris d'apprendre que
M. Charcot
a décliné l'honneur de faire partie de cette comm
nce de cause par un savant qui a été longtemps associé aux travaux du
docteur Charcot
, à la Salpêtrière. Dans son livre, le Dr Regnar
ontinuelle. On parvint à l'endormir en usant du procédé indiqué par
Charcot
et étudié par Parcs, qui consiste dans la compres
ue d'une affection encore mal connue. On ne sait comment la dénommer;
M. Charcot
l'appelle la maladie des tics convulsifs, et M. G
te et est incapable de continuer. Beaucoup plus tard, le professeur
Charcot
et ses élèves se préoccupèrent à leur tour de la
ves se préoccupèrent à leur tour de la question. Voici ce qu'enseigne
M. Charcot
: Il y a deux formes de l'hypnotisme, la grande
sous-jacents. Peu après la publication des premières recherches de
Charcot
, la question de l'hypnotisme fut vulgarisée en Al
ériences ne leur permettaient pas d'adopter complètement les idées de
M. Charcot
. Ils nièrent que la succession des trois phases t
uré quatre mois, j'ai trois ou quatre fois assisté aux expériences de
M. Charcot
et de son chef de clinique M. Babinski. J ai vu l
es résultats excellents qui sont pu- bliés dans son grand traité.
Charcot
n"a recours, autant que je sache, à ce traitement
ntrôler les expériences de M. Luys, ne nous apporte guère de lumière.
M. Charcot
a son siège lait d'avance, et les autres memb
oll, après avoir étudié, à Paris, dans le service de M. le professeur
Charcot
, et à Nancy, dans le service de M. le professeur
elle vraie ? En la lisant, je me suis rappelé la toile représentant
Charcot
a la Sal-pêtriere, qui fit si grande sensation au
lheureusement pour elles, c'est toujours par là qu'elles se per-dent.
Charcot
, Dumontpallier et leurs élèves ont bien mis en lu
bles d'un choc extérieur sur la fonctionnalité nerveuse, on est, avec
Charcot
. d'accord sur ce point; c'est que « pour un choc
es. Pour n'en citer que quelques-uns, mais frappants: En mars 1885,
Charcot
consacrait deux leçons de sa clinique à l'étude d
abli sûrement. La malade a été examinée et soignée dans le service de
M. Charcot
pendant plus d'une année ; elle a guéri de peur.
manie hystérique . L'année suivante, à propos d'un homme de 33 ans,
Charcot
appelait l'attention de ses élèves sur une forme,
tique chez l'homme qui, au commencement de l'année 1887, ont été pour
Charcot
l'objet d'une leçon pleine d'intérêt, viennent à
seur italien fait l'inventaire de toutes les expériences de Braid, de
Charcot
. de Tamburini, de Seppilli, de Richet, de Rieger,
ir acquis, en matière d'hypnotisme, l'autorité des savants qui, comme
Charcot
, Dumontpallier, Bernheim et tant d'autres, ont ba
A PRESSE L'attaque de sommeil hystérique. Leçon de M. le professeur
Charcot
- (recueillie par P. Mariel. — Bulletin médical d
ier 1888. En présentant à ses élèves une dormeuse, M. le professeur
Charcot
est entré dans quelques considérations spéciales
DE PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE Séance du 3o janvier. — Présidence de
M. Charcot
Les Paralysies psychiques Par M. le professeu
ence de M. Charcot Les Paralysies psychiques Par M. le professeur
Charcot
- Depuis que M. Charcot a mis en lumière l'apti
s Paralysies psychiques Par M. le professeur Charcot - Depuis que
M. Charcot
a mis en lumière l'aptitude spéciale que présente
des contractures hystériques est un fait dès à présent hors de doute.
M. Charcot
a pensé avec raison que l'étude du mécanisme de c
eu des attaques et elle présente du rétrécissement du champ visuel.
M. Charcot
a voulu rendre le phénomène encore plus évident e
initif pendant environ trente ans. Il fallait le nom et la science de
Charcot
pour imposer au monde savant l'idée que l'hypnoti
ire à ces différends et dont la principale se trouve être le fait que
Charcot
n'a opéré que sur des grandes hystériques, tandis
ent. Bien que le magnétisme animal doive sa sanction scientifique a
Charcot
, la psycho-thérapeutique n'a guère à se louer de
nose maniée avec tact et prudence ne peut jamais nuire. L'autorité de
Charcot
fut cependant si puissante, que les idées de Liéb
stes. A cet effet, M. van Eeden cite fort heureusement ces paroles de
Charcot
prononcées dans une des dernières séances de l'Ac
riée à la cure de ce genre. » Un tel aveu prouve une fois de plus que
Charcot
est un grand homme. A ce moment où la thérapeut
gereux, quand on l'emploicmal a propos. Et si, entre les mains de MM.
Charcot
, Bernheim, Liébeault e: d'autres encore, qui ont
sise vraiment scientifique. Presque en même temps que lui, l'école de
Charcot
, à Paris, étudiait l'hypnotisme au point de vue t
les objections de Bernheim ne sont pas fondées et les trois phases de
Charcot
existent réellement ; mais, pour moi. elles ne so
de Nancy est relative à !a vertu thérapeutique de l'hypnotisme ; pour
Charcot
, l'hypnotisme est à lui seul un puissant moyen cu
-BKTTictA. Londe, sous la direction de notre maître, M. le professeur
Charcot
. Nous souhaitons longue vie a cette intéressante
des Archives de Neurologie que publie, depuis 1880, M. le professeur
Charcot
. — Ecole d'anthologie. — M. Mathias-Duval a c
ies du système nerveux, publiée, sous la direction de M le professeur
Charcot
, par M.M. Paul Richer, chef du laboratoire, Gille
oir Revue de l'hypnotisme, novembre 1887, p. 141. et désignée par
M. Charcot
sous le nom de maladie des tics convulsifs. L'ann
nt d'exhiber cette « névrose expérimentale » (suivant l'expression de
M. Charcot
; devant le peuple déjà trop impressionnable de no
l. Hospice de la Salpètrière. — clinique des maladies nerveuses :
M. Charcot
a reprit ses leçons et les continuera les vendr
seurs se jouent de la santé de leurs sujets. Depuis, M. le professeur
Charcot
a signalé l'apparition, dans un chef-lieu de dépa
de que de prétendre que ces entrepreneurs de spectacles ont guidé MM.
Charcot
, Du-montpallier, Mesnet, Bernheim et tant d'autre
le somnambulisme. Ce qui est vrai, c'est qu'une seule des leçons de
M. Charcot
a plus fait pour intéresser le monde scientifique
tiques, encore bien qu'elle en ait « pris possession », comme l'a dit
M. Charcot
. Quand on voit comment les progrès réels du magné
naissances scientifiques acquises dans le domaine de l'hypnotisme par
M. Charcot
et l'Ecole de la Salpêtrière, par MM. Liébeault,
l'apparition des premiers chauds rayons du soleil. M. le professeur
Charcot
à Milan. La presse italienne, à l'occasion du r
presse italienne, à l'occasion du récent voyage que M. le professeur
Charcot
vient de faire à Milan, a publié, à l'égard de no
ques jours, sous les auspices du docteur Miliotti, qui a été élève de
M. Charcot
, à la Salpêtriére de Paris. - Cette visite a
pnotisme qui ont été pratiquées sur différents sujets, en presence de
M. Charcot
. » On sait que sous le rapport de l'hypnotisme,
sence de M. Charcot. » On sait que sous le rapport de l'hypnotisme,
M. Charcot
a une réputation universelle. La plupart des méde
e, suivent ses théories et jurent volontiers in verbo magistri... »
M. Charcot
a assisté aux expériences, en faisant de nombreus
nt sur des explications théoriques d'un haut intérêt. » En partant,
M. Charcot
a exprimé au docteur Miliotti, stari qu'aux autre
trière. — Clinique des maladies du système nerveux : M. le profeseeur
Charcot
. Leçons le mardi et le vendredi, à 9 heures. As
ession d'Oran )., 338, 364. Attaque de sommeil hystérique (l'), par
Charcot
, 27. Autopsie (la Société mutuelle d'), 193.
de du), 354. Cerveau et le surmenage scolaire (le), par Luys, 88.
Charcot
(. le professeur) à Milan, .378. Châtiments cor
42. 368. Orthopédie morale, 180. Paralysies psychiques (les). par
Charcot
. Pédagogie expérimentale (essai de), par Bérill
Bucquoy, 184. Barot. 52. 109, 141, 154. 33o. 338. Campili. 54.
Charcot
, 271, 275, 378. Chazarain, 144. Colas (Albert
s de la. Tourette, Blocq, Huet, Parmentier, Souques, Hallion, jtf.-B.
Charcot
et Meige, anciens chef de clinique, internes et i
même les plus rationnels. Le pronostic porté au mois de janvier par
M. Charcot
s'est justifié de tous points dans la suite. Au m
réciser. Quelque temps après la leçon qui précède, M. le professeur
Charcot
montrait, dans une de ses conférences cliniques (
tion involontaire pendant l'attaque. Ainsi que le faisait remarquer
M. Charcot
, dans la leçon où il a présenté cet homme, il s'a
près inconnu aujourd'hui. Premières observations de M. le professeur
Charcot
, travaux récents sur cette question. Description
tentatives thérapeutiques. Quelque temps après que M. le professeur
Charcot
eut fait la leçon qui précède sur l'œdème bleu, j
ntré le 22 avril 1890, salle Prus, n° 16, service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents héréditaires.— Mère violente, colè
et non à la sciatique. Tel était du reste l'avis de M. le professent
Charcot
lorsqu'il présenta ce malade dans une de ses leço
emme est atteinte d'une de ces sciatiques paralytiques sur lesquelles
M. Charcot
a appelé l'attention l'an passé et dont plusieurs
rtements de la moelle épinière. Evidemment, comme Fa fait remarquer
M. Charcot
dans son cours, il ne saurait s'agir là, pour ce
le pied n'en restera pas moins fixé en équin, et il faudra, ainsi que
M. Charcot
l'a souvent conseillé dans la paralysie alcooliqu
mémoire, M. Parmentier et moi avons, d'après les données fournies par
M. Charcot
, étudié cette question sous toutes ses faces et d
t d'un malade soigné par lui et vu plusieurs fois en consultation par
M. Charcot
, qui a bien voulu nous remettre les notes qu'il a
otes qu'il avait prises sur son compte. Obs. I (communiquée par MM.
Charcot
et Troisier). — Pa- ralysie bulbaire totale à d
antes. Pas de vomissements. Le 4 novembre, première consultation de
M. Charcot
. On note la paralysie oculaire. Pas d'autres symp
is à un faible degré tout d'abord. 12 janvier 1890. Consultation de
M. Charcot
. Copie de l'entête de l'ordonnance : « Persistanc
lté à mâcher les aliments. Le 27 mars, nouvelle consultation de MM.
Charcot
, Peter, Troisier et Moutard-Martin. Outre les lés
a été recueilli à la consultation particu* Iière de M. le professeur
Charcot
. Obs. V. — Polioencêphalomy élite. Homme de 60
n'envisageant que les cas complets, nous trouvons dans la maladie de
Charcot
très fréquemment le même port de tête que dans la
ente leçon et antérieurement aux travaux de M. Joffroy, dans laquelle
M. Charcot
discutait l'hypothèse contraire, qui n'avait pas
ogrès médical, février 1891, articles de MM. G. Guinon et Raïchline ;
Charcot
et Brissaud, Progrès médical, 24 janvier 1891 ; H
t, se dévoilent les caractères propres à l'affection syringomyélique (
Charcot
et Brissaud) ; on peut citer des cas dans lesquel
lrière, 1889, p. 110 et 118. 2 Ces jours derniers, M. le professeur
Charcot
demandait à M. le Dr Lan-dolt s'il connaissait qu
lique que nous rencontrons, mais la dysesthésie, symptôme qui est 1
Charcot
. — Leçons sur les Mal. du syst. nerveux, t. II, p
nique infaillible, (1) Electrisation localisée, 1872, p. 493. (2)
Charcot
, Leçons du Mardi, 1889, p. 501. puisque l'hysté
é. Observation. — M. X..., âgé de 25 ans, officier, vient consulter
M. Charcot
en 1875 pour une affection nerveuse consistant en
pas qu'il fait, sans pouvoir la diriger. Cependant, à première vue,
M. Charcot
déclare à M. X... que cette démarche n'a qu'une r
lie pas du tout. » C'est dans cet état que le malade vint consulter
M. Charcot
en 1875. De ce qui précède, il résulte évidemme
els, ni les douleurs fulgurantes, ni le signe de Romberg, rien enfin.
M. Charcot
affirme donc à M. X... qu'il y a eu erreur de dia
is chez M. Keller. Puis le malade rejoint son régiment en province et
M. Charcot
le perd de vue complètement. Voilà la première
is de septembre 1890, M. X... vient de nouveau à Paris pour consulter
M. Charcot
. Mais M. Oharcot étant absent de Paris, il s'adre
service de clinique à la Salpêtrière. Il lui raconte tout d'abord que
M. Charcot
l'a soigné en 1875 pour une maladie extraordinair
caractéristique que M. Brissaud engage le malade à se présenter chez
M. Charcot
un mois plus tard, lui affirmant que cette fois l
s tard, lui affirmant que cette fois le diagnostic sera formel et que
M. Charcot
prononcera enfin le nom de la maladie extraordina
dans la science il y a quinze ans. » Etat du malade examiné par MM.
Charcot
et Brissaud, en octobre 1890 : M. X... est atte
ive, tandis que les pointes de feu prescrites, il y a quinze ans, par
M. Charcot
, provoquaient une douleur véritable. La sensibi
s pouvez le voir sur cette figure que j'ai fait placer sous vos yeux (
Charcot
et Gombault). Ici, les conséquences sont des plus
chenne,qui en avait tracé la première description fondamentale, (1)
Charcot
. Leçons sur les mal. du syst. nerv., t. II, p. 29
e et peut-être (1) Gazette médicale de Paris, 8 janvier 1878. (2)
Charcot
. Diagnostic des formes frustes de la sclérose en
nstamment pendant plusieurs années. Ainsi que le remarque M. Uhthoff,
M. Charcot
et son école ont montré que les paralysies des mu
ter cinq observations, y compris celle qui sert de base à la leçon de
M. Charcot
. Trois d'entre elles ont été recueillies dans le
e, la chorée rythmée qui, du reste, comme l'a montré M. le professeur
Charcot
, s'entremêlent parfois avec la manifestation path
ifestation, bâillait pour ainsi dire constamment : « A l'origine, dit
M. Charcot
, elle bâillait environ huit fois par minute, 480
la cadence, caractères propres à nombre de phénomènes hystériques. » (
Charcot
.) De plus, le bâillement physiologique consiste
ordinairement observés lors de la grande attaque. On sait en effet, —
M. Charcot
l'a montré, — qu'un observateur attentif retrouve
i, par des recherches entreprises dans le service de M. le professeur
Charcot
, que l'analyse des urines de la période des vingt
in-8°, 1890, p. 42. Terminons en disant que, ainsi que l'avait dit
M. Charcot
à son cours, nous avons pu reproduire par imitati
près inconnu aujourd'hui. Premières observations de M. le professeur
Charcot
, travaux récents sur cette question. Description
—, 308. par'.s. — imp. v. goupy et jourdan, rue de ren'n'es, "i.
Charcot
. Clinique des maladies du système nerven-. T. I
Charcot. Clinique des maladies du système nerven-. T. I. IM. I.
Charcot
. Clinique des maladies du système nerveux. T. I
re- par litre d urine après traitement. (V. n° XIII, p. 2S7 à £84.)
Charcot
. Clinique des maladies du système nerveux. T. I
l’histoire de l’hypnotisme expérimental et thérapeutique (l’œuvre de
Charcot
à la Salpètrière et de Dumontpallier à la Pitié).
es sujets plus particulièrement hrpnotisables. Nous pourrions, avec
Charcot
. considérer comment les crises hystériques ont éc
trouble de la marche est la forme trépidante de l’as-tasie-abasie.
Charcot
, en 1884, dans ses leçons du mardi, a montré que,
ir ses membres. Même en l’absence de troubles sensitifs ou oculaires,
Charcot
faisait rentrer cette affection dans la grande né
t celle dé Nancy, il prit résolument parti contre certaines thèses de
Charcot
; il proclama la puissance de la suggestion et don
ant celle nouvelle marque d'estime et d'attachement, le successeur de
Charcot
témoigne hautement de la rigueur et du caractère
avait chargé le gouvernement français. Appelé, en 1894, à remplacer
Charcot
., il porte allègrement sur ses vaillantes épaules
lsion du professeur Raymond, l’hypnotisme de la Salpêtrière qui, avec
Charcot
, avait été presque exclusivement physiologique et
t d'abord, il a été solennellement ouvert par l’éminent successeur de
Charcot
. En présidant notre première séance, en prononçan
otisme. Un nom célèbre vient immédiatement sur vos lèvres, celui de
Charcot
. Incontestablement, notre maître à tous a joué le
es, et il lui a appliqué les mêmes méthodes d’étude. Bref, l’œuvre de
Charcot
, dans ce domaine de la neurologie, qui est votre
e, non pas opposés, mais, si vous le voulez bien, associés à celui de
Charcot
; je veux parler des cliniciens et des savants qui
sseur Raymond, après avoir rendu hommage à son illustre pi'édéccsseur
Charcot
, dont le génie inventif et la rigueur expérimenta
s du plus pur esprit scientifique médical ». Il a salué la mémoire de
Charcot
, qui est parvenu à mettre en évidence le détermin
eutique s'était tenu à Paris. Il avait révélé que cette science, dont
Charcot
s’était fait le courageux porte-parole, n'était p
montré que cette science, dont les illustres docteurs Dumontpallier,
Charcot
et Liébeault furent les initiateurs, était arrivé
tres de l'hypnologie auxquels fut transmis le lourd héritage du grand
Charcot
. « A la tête de cette école se trouvait, il y a
ce Congrès. Citons, d’abord, lo professeur Raymond, le successeur de
Charcot
. C’est un maître de premier ordre, dont les leçon
rences du Dr Bérillon sur l'hypnotisme expérimental et sur l'œuvre de
Charcot
et de Dumontpallier ; du Dr Vogt (de Berlin) sur
s qui, à ma grande joie, m’ont amené à des idées pressenties déjà par
Charcot
et poursuivies plus tard en Franco, surtout par s
u’elles pouvaient s’ôtre passées. Aujourd’hui, après les travaux de
Charcot
, de l'Ecolc de la Salpe-trière et de l'école de N
les à de glorieux successeurs. A ce titre, ce ne sont pas seulement
Charcot
et les hvp-notistes contemporains qui eurent Dura
nds et disparait de la périphérie. La léthargie spontanée étudiée par
Charcot
chez l’homme ne diffère en rien de la léthargie e
es sujets plus particulièrement hypnotisables. Nous pourrions, avec
Charcot
, montrer comment les crises hystériques ont éclai
ularités pathologiques qui embrouillent singulièrement les choses. Si
Charcot
avait étudié l’hypnotisme sur des personnes saine
este rien ou presque rien aujourd’hui. Et si un homme de la valeur de
Charcot
a pu se tromper, quels dangers ne courons-nous pa
iques. M. Paul Magnin*. — A mon avis, on répète trop facilement que
Charcot
s'est laisse tromper par ses sujets. Les conditio
tromper par ses sujets. Les conditions expérimentales dans lesquelles
Charcot
et DumontpalUer s’étaient placés nont jamais été
d’une manière très atténuée par la suggestion. Les faits observés par
Charcot
ne sont même pas réalisables par la suggestion. S
ravers les services du docteur Voisin Quelques cas curieux — Le musée
Charcot
. Il nous a été donné, hier matin, de visiter av
ndre, nous conduisent dans le service de M. Raymond, le successeur de
Charcot
. C’est M. Janct qui fait aux congressistes les ho
vers les portes. Nous sommes introduits ainsi d’abord dans le musée
Charcot
. On se presse devant les collections anatomiques
lièrement intelligent. Il nous montre, dans un coin, des portraits de
Charcot
; dans des cadres, un grand nombre de caricatures
e Charcot; dans des cadres, un grand nombre de caricatures faites par
Charcot
et la transcription d’un rêve que lui donna le ha
tachés les noms de Fritsch et de Iïitzig, Ferrier, II. Munk, Luciani,
Charcot
, est due a la physiologie expérimentale, à Fritsc
urs quelque droit à être constatées. SOCIÉTÉS SAVANTES L'éloge de
Charcot
& PAcadémie de Médecine. ParM. le Professeu
bre dernier. Le professeur Debove y a lu un très remarquable éloge de
Charcot
. Nul mieux que lui n'était qualifié pour rempli
ute philosophie, ?.I. Debove a mis toute son âme. Il nous a donné sur
Charcot
une page d’histoire qui perpétuera à jamais ce qu
ui, détachons-en les lignes suivantes; elles ont trait aux travaux de
Charcot
sur l’hystcrie et l'hypnotisme: « Il a fallu to
ux. Cette notion de fréquence de la forme masculine a été établie par
Charcot
. C’est encore à lui que nous devons la connaissan
our le philosophe. Pour montrer cet intérét, nous rappellerons ce que
Charcot
dit de la foi qui guérit, des miracles : il n’est
ans distinction des procédés à mettre en couvre. « La guérison, écrit
Charcot
, d’apparence particulière, produit direct de la f
scientifiques si magistralement exposées par les Claude Bernard, les
Charcot
et les physiologistes contemporains. Le titre de
tres ; ce sont ceux qui ont trait aux maladies organiques. En 1893,
Charcot
, dans un travail qu’il n’osa pas publier en Franc
fermée sans traces de cicatrices et le mamelon s’est reproduit (?).
Charcot
relève judicieusement que la plaie du sein ne fut
Quant à la repousse du mamelon, on se l’explique difficilement. Pour
Charcot
, l’œdème dur et bleu de l’hystérie pouvant s’acco
decin peut s’y tromper parfois et amputer. Depuis la publication de
Charcot
, des guérisons nouvelles et scientifiquement obse
itable, mais de tumeur qui, pour le vulgaire, en présentait l'aspect.
Charcot
a bien montré que l’œdème bleu des hystériques, p
us de titre à cette distinction. Chef de clinique et collaborateur de
Charcot
, il est celui qui a été chargé par le Maitre de p
es ouvrages, les Démoniaques dans l’art, publié en collaboration avec
Charcot
, est une véritable œuvre d'art. D’ailleurs par le
oins propres à percevoir certaines modalités psychiques » (3). Pour
Charcot
, l'hystérie était « en grande partie une maladie
ible d’amener une restilutio ad integrum. Cela est tellement vrai que
Charcot
jadis aurait dit à Mme C... « Vouloir vous guérir
l’articulation, comme cela se passe dans le « mutisme hystérique » de
Charcot
. La grande majorité des cas d’aphonie hystérique
tie sérieuse, de loyauté parfaite et de bonté profonde. Celui que son
maitre Charcot
se plaisait à nommer le solide Joffroy est, d’aut
gements contradictoires. « L'idée ou le groupe d’idées suggérées, dit
Charcot
, se trouvent dans leur isolement à l’abri du cont
ennes s’illuminent dans l'agrégat hypermnésique. Le malade fait (1)
Charcot
: Maladies du système nerveux, III, 337. (2) Co
onnés, est, depuis quelque temps déjà, grâce aux travaux de Beard, de
Charcot
, de Bouveret, de Levillain, etc., une maladie bie
e), p. 128. Calcul difficile (Un), p. 61. Centaure (Un), p. 63.
Charcot
à l'Académie de médecine (L'é loge de), par Debov
réservés. AVIS DE L'ÉDITEUR Le tome VIII des Œuvres complètes de
M. Charcot
se com-pose de nombreux mémoires, notes ou articl
anifesté. 1. Comptes rendus de la Société de biologie, 1851, p. 39.
Charcot
. Œuvres complètes, t. vin, Maladies infectieuses.
ïde et le § A de l'étiologie, avaient déjà été rédigées par l'auteur,
M. Charcot
a dû se borner aie terminer. Les nombres entre pa
hèses renvoient aux articles de la Pathologie niéd. de Requin (B.).
Charcot
. Œuvres complètes, t. viii, Maladies infectieuses
les cas de gravité médiocre, de 3 à 4 grammes dans les cas graves),
Charcot
. Œuvres complètes, t. viii, Maladies infectieuses
yeux, et qui traite spécialement de la trachéotomie dans le typhus.
Charcot
. Œuvres complètes, t. viii, Maladies infectieuses
NOSTIC En général, la mortalité varie beaucoup suivant les épidé-
Charcot
. Œuvres complètes, t. vin, Maladies infectieuses.
es ob-» servateurs doivent s'appliquer à trouver les éléments de la
Charcot
. Œuvres complètes, t. viii, Maladies infectieuses
ombilic, le long des cuisses, ou encore, par en haut, le long de la
Charcot
. (Euvres complotes, r. vin, Maladies infectieuses
. XI. Sur la température du rectum dans le choléra asiatique '.
M. Charcot
fait connaître les résultats de quelques recher-c
T. R. M' — 37, i T. R. S. - — 37,4 A propos de ces observations,
M. Charcot
présente les re-marques suivantes : Si l'on prend
osée de MM. Gosselin, Vulpian, Maret, Rert. Richet, Pasteur, Boulay ;
Charcot
, rapporteur. même parmi les gens éclairés. L'un
aits, et, dans M. le docteur Brown-Séquard a fait suivre la Note de
M. Charcot
de remarques sur le mode dinfluence du système ne
dinfluence du système nerveux sur la nutrition, remarques auxquelles
M. Charcot
a fait allusion plus haut, et que, pour cette rai
de la nutrition dans les différents organes. Les faits mentionnés par
M. Charcot
, sont des preuves de plus de l'existence de cette
lque analogie avec les précédents et avec la troisième observation de
M. Charcot
. Un cultivateur, en sautant un fossé, reçut la
tion de nutrition par action réflexe, et le premier cas de notre ami,
M. Charcot
, appartient à cette sorte de faits morbides. II
t des ganglions correspondants des racines spinales postérieures 1.
M. Charcot
a appelé plusieurs fois l'attention de la Société
trous de conjugaison. (Voir une communication faite sur ce sujet, par
M. Charcot
, à la Société médicale des hôpitaux, le 22 mars 1
verlèbres ramol-lies et affaissées. L'observation présentée par MM.
Charcot
et Cotard doit être rapprochée d'un fait publié i
affectes en pareil cas. Un des faits dont il s'agit a été publié par
M. Charcot
dans une Note sur quelques cas d'affection de la
) ; Sa- muel (Die tropischen Nerven, Leipzig, 1860, p. 148), et par
M. Charcot
lui-même dans le travail cité plus haut. Tout ré-
ie-Antoinette, de Montjoye (Paris, 1814). Elle n'est pas mentionnée
Charcot
. Œuvr. comp. t. vin, 2' pl. Affections de la peau
e hebdomadaire, 1861, p. 445. IV. Sur un cas de sclérodermie '.
M. Charcot
rappelle que récemment, lors de la présentation d
de biologie, 1811, p. 43). Voici les réflexions faites à ce sujet par
M. Charcot
: « Je n'hésite pas un instant, a dit M. Charco
tes à ce sujet par M. Charcot : « Je n'hésite pas un instant, a dit
M. Charcot
, à faire du cas présent, — le cas de M. Bail, — u
ales chez ks reptiles. VII. Purpura hemorragica symptomatique1.
M. Charcot
fait observer, à l'occasion d'une communication d
oïde des vaisseaux de la peau. Relativement à l'hémorragie cérébrale,
M. Charcot
fait remarquer que, lorsque cette lésion se renco
iques, mais de simples hémorragies capillaires ou des ecchymoses. MM.
Charcot
et Bouchard ont donc eu raison de dire que la vér
esammte Thierheilkunde, von D' Gurlt und D* Hertwig, Berlin, 1850, p.
Charcot
. Œuvres complètes, t. viii, 2° p. Affections de l
maison royale de santé, en 1826, présentait une tumeur qui remplis-
Charcot
. Œuvr. compl. t. vin, 3» partie : Kystes hydatiqu
end trop bien l'existence en pareil cas pour que nous y insistions.
Charcot
. Œuvr. compl. t. vin, 3e partie : Kystes hydatiqu
se, très friable et gorgée de sang; elle ne contient pas de kystes.
Charcot
. Œuvr. compl. t. vih, 3e partie : Kystes hydatiqu
été de biologie, 1854, p. 117. — En col-laboration avec M. Vulpian.
Charcot
. Œuv. compl. t. viii, 4e partie : Estomac. Rate.
pour 1847. Mais, à l'époque où il poursuivait ses recherches (1850),
M. Charcot
n'avait pas eu connaissance du travail de M. Baly
connaissance du travail de M. Baly. (Extrait de YEœposé de titres de
M. Charcot
, p. 168, Paris, 1883.) 1. Thèse de M. Sacher. —
présentée et soutenue à la Fa-culté de médecine, le 17 avril 1857.
Charcot
. Œuvr. compl. t. vin, 5" partie : Thérapeutique.
sition des principes de l'organisme, 2e édit., p. 215, Paris, 1846.
Charcot
. CEuvr. compl. t. viii, 5» partie : Thérapeutique
remédia. (Sydenham, cap. VI, sec. y, p. 158, Op. omn., t. h 1157.)
Charcot
. Œuvr. compl. t. viii, 5e partie : Thérapeutique.
1854), et d'Œsterlen (Handbuch der Ueilmittellehre, Tubinge, 1856).
Charcot
. Œuvr. compl. t. viii, 5e partie : Thérapeutique.
d'une autre espèce ; nous l'avons vu, par exemple, produire uneag-
Charcot
. CEuvr. compl. t. vin, 5e partie: Thérapeutique.
gtemps portée sur ce point, et dans ces derniers temps, l'un de nous (
M. Charcot
) a entrepris avec M. Tulpian des études spéciales
s pres-que tous les tissus: les méninges cérébro-spinales, le péri-
Charcot
. Œuvr. compl. t. vin, 5e partie : Thérapeutique,
eur allemand a été le point de départ de recherches que l'un de nous (
M. Charcot
) a entreprises sur ce point, en collaboration ave
ence favorable de ce traite-ment. Dans le mémoire que l'un de nous (
M. Charcot
) a publié en commun avec M. le docteur Vulpian, o
oudre mé-langée à de la gomme pulvérisée avec du sucre. Il en donne
Charcot
. GEuvr. compl. t. viii, 5e partie : Thérapeutique
er Heilkunde, 1861. — Empis. Archiv. gén. de méd., 1861, vol. II. —
Charcot
et Vulpian. Sur l'emploi du nitrate d'argent dans
ques jours, fixé sur une seule jointure Veuillez agréer, etc. J. M.
Charcot
. 1. Nous n'avons dû tenir compte, dans cette no
; — comparaison avec la relapsing fever, 81 ; — synonymie, 85 ; —
Charcot
. Œuvr. compl. t. vin, 59 partie : Thérapeutique.
à la clinique, soit dans la clientèle privée de M. le pro- fesseur
Charcot
. Observation III. A. Lem..., cinquante-neuf a
re le 10 juin 1800, salle Prus, dans le service de M. le professeur
Charcot
. Antécédents HÉRÉDITAIRES.- Son père, très obès
s Quinze-Vingts où on lui avait dit de venir à la consultation de
M. Charcot
. Début du tabès. En juin 1889 il a été pris de
par les yeux est la règle, dans l'espèce. Le fait a été signalé par
M. Charcot
, par Benedikt et tout récemment étudié par M. M
e les autres races. C'est l'opinion de nombreux médecins, de 11111.
Charcot
, Bouchard, etc.. et cette opinion contre laquel
Observation V (personnelle). M. C..., soixante ans, rentier, vu par
M. Charcot
. Pas d'antécédents héréditaires. Syphilis dan
survient la seconde, n'est pas chose exceptionnelle. Notre maître,
M. Charcot
, nous a dit avoir vu plusieurs fois des faits d
s. Jusqu'ici le syndrome présenté par Lamb. est analogue à ce que
M. Charcot
a décrit sous le nom d'astasie choréique et ne
is, 1891, librairie Pion. « Le présent traité, dit M. le professeur
Charcot
, dans la préface qu'il a écrite pour l'ouvrage
tout cas, l'état actuel de la science... » Cette appréciation de
M. Charcot
vaut certes mieux que tous les éloges que l'on po
même, il y a à la Salpêtrière, dans le service de M. le professeur
Charcot
, un ménage de morphinomanes, dans lequel c'est
bsolument sans exem- ' Voir à ce sujet la leçon de M. le professeur
Charcot
parue dans le n" G du Mercredi Médical. Archi
eurs fulgurantes. - Elles ont été men- tionnées dans le diabète par
M. Charcot
, par MM. Ray- mond et Oulmont, Bernard et Féré,
quand elle est typique, permet de faire le diagnostic à distance.
M. Charcot
, dans une leçon déjà citée sur un cas de parapl
les uiinaires du tabes; il est inutile d'insister sur ce point; '
Charcot
, loc. cit., p. 315. * Bazy. Troubles urinaires
ore, grâce à l'obligeance extrême de notre maître, M. le professeur
Charcot
, qui s'est livré à des recherches de ce genre s
vail, fait à la Salpêtrière, sous l'inspiration de M. le professeur
Charcot
, l'auteur s'est proposé d'étudier certaines forme
réserve une place impor- tante aux associations hystéro-organiques (
Charcot
). Cette asso- ciation est chose fréquente ; aus
e l'hystérie mâle, de plus en plus approfondie par M. le professeur
Charcot
, est venue faciliter la tâche. En tous cas, c'e
liniques, sur ces observations et sur quelques autres du service de
Charcot
à la Sal- pêtrière, nous pouvons aujourd'hui, s
loir; c'est mon maître vénéré, ou plutôt c'est notre maître à tous,
M. Charcot
, qui a pensé qu'une leçon de psychologie pathol
ologique ne serait pas ici entièrement dépla- cée. Cette opinion de
M. Charcot
ne vous étonne pas : vous savez qu'il n'a jamai
ler que du sujet qui doit nous occuper spécialement, vous savez que
M. Charcot
a démontré la nature morale, psy- chologique, d
ère d'autres symptômes de l'hystérie. Aussi est-il tout naturel que
M. Charcot
ait désiré entendre exposer dans l'amphithéâtre
plement conti- nuer les siennes. Quant à moi, je suis très fier que
M. Charcot
m'ait choisi pour vous exposer des questions qu
suis venu sans titre et sans raisons demander quelques con- seils à
M. Charcot
pour les études de psychologie expérimentale qu
our les études de psychologie expérimentale que je voulais aborder.
M. Charcot
l'a sans doute oublié, mais je me souviens enco
compte que p. 100 de malades sans anesthésie' ; dans le service de
M. Charcot
, je n'en connais en ce moment-ci qu'une seule q
s insisterons surtout sur celles qui ont été autrefois décrites par
M. Charcot
, sous le nom d'anesthésies en segments géométri
st pas anatomique, elle est physiologique, comme le dit justement
M. Charcot
. Mais je voudrais ajouter un mot, cette répartiti
Vous connaisse/, également ce symptôme particulier du tabes, que
M. Charcot
a été l'un des premiers à décrire, et qu'il a app
r les fils aux bornès ; . mais je me souvins à temps du conseil que
M. Charcot
m'avait donné peu de temps auparavant. « Avec l
s deux pains à cacheter, comme faisait une malade de M. Pitres '.
M. Charcot
et M. Regnard ont constaté, il y a déjà long- t
a plupart des réflexes sont conservés dans l'anesthésie hystérique.
M. Charcot
nous a montré dernièrement un homme absolument
pourrons nous servir d'un petit appareil aussi simple qu'ingénieux.
M. Jean Charcot
, qui était interne l'année dernière dans le ser
H. KRIEGER. (Arch. f. Psych., XXII, 2.) . L'hystérie traumatique de
Charcot
produit trois groupes d'acci- dents de cette so
aumatique. De cette étude clinique, M. Freund tire que, de même que
Charcot
, il ne voit pas que la névrose traumatique soit
ROFESSEUR CHARCOT. Le samedi 5 mars, les élèves de M. le professeur
Charcot
, réunis autour du Maître, au restaurant Durand,
é strictement limitées aux anciens internes et chefs de clinique de
M. Charcot
et aux chefs de services auxiliaires de la clin
voici la liste d'après l'ordre chronologique (année d'internat chez
M. Charcot
) : V. Cornil (1863); - Bouchard (1864 et 1866);
l'honneur de porter en votre nom la santé de notre illustre maître,
M. Charcot
. Le premier in- terne de M. Charcot, en 1862, é
santé de notre illustre maître, M. Charcot. Le premier in- terne de
M. Charcot
, en 1862, était mon camarade et ami M. Soulié,
ge de la vie et de la science, la plus féconde et la plus heureuse.
M. Charcot
avait ouvert et commen- çait à exploiter cette
veuses et mentales, avant de révéler leurs secrets. A cette époque,
M. Charcot
était le pré" mier arrivé dans le service qui d
rvice et son interne tête à tête. Il faut dire que, celte année là,
M. Charcot
et M. Vulpian constituaient un répertoire des A
aux de votre prédécesseur, 'Pour compléter la liste des internes de
M. Charcot
, nous donnons les noms de ceux qui, empêchés, s
fort moral, presque une famille. Que nos paroles ailées portent à
Madame Charcot
le profond témoignage de notre respect et de no
us me dispenserez aussi, Messieurs, de vous dire quel clinicien est
M. Charcot
; si je hasardais sur ce point quelques paroles,
om à tous, Messieurs, c'est la libé- ralité admirable avec laquelle
M. Charcot
nous a toujours associés à ses travaux, à ses p
rtantes. C'est ainsi, Messieurs, que tous, nous pouvons témoigner à
M. Charcot
notre profond dévouement, notre éternelle recon
otre gloire qui rayonne sur eux. M. Cornil s'est à peine rassis que
M. Charcot
, très ému, lui dit : Je suis trop ému pour vous
e. » Cette fête véritablement intime puisque, suivant le désir de
M. Charcot
, elle ne comprenait que ses anciens internes et
de paralysie, raconte qu'après avoir été soignée sans succès par le
docteur Charcot
, elle est venue au Havre consulter Bloche et qu
Ville Wolff de croire que son cordonnier est beaucoup plus fort que
M. Charcot
. Consultations électriques GRATUITES, - M. N...
On avait prévenu à tort M. Goron : l'affaire était du res- sort de
M. Charcot
. (L'Éclair, 19 mars 1892.) Ce cas n'est évidemm
e fille qui se trouvait en 1890 dans le service de M. le professeur
Charcot
. Pendant des crises somnambuliques nocturnes (h
es troubles men- taux, par Baker, 234. Banquet à M. le professeur
Charcot
, 411. 1. BASEDOw (maladie de), psychopa- th
- bral, par Lôwenfeld, 104; gé- némle à début très précoce, par
Charcot
et Dutil, 145; - urine et température dans la -
eff et Minor, 253. Toux ET bruits laryngés des hysté- riques, par
Charcot
, 69. Tumeurs- cérébrales, par Oppen- heim, 98
Buchholz, 100. Brrr, 406. Buttemberg, 438. Camuset, 157, 370.
Charcot
, 69, 145. Christian, 35. Cope, 275. Courten
ux. . Depuis longtemps déjà, dans ses leçons de la Salpê- trière,
M. Charcot
s'est attaché à faire ressortir et à mettre en
la con- DE LA PARALYSIE FACIALE. 9 sultation de M. le professeur
Charcot
(26 avril 1887), l'histoire bien curieuse de tr
parmi eux des gens à rappro- cher de ces types si bien étudiés par
M. Charcot
, qui a montré, chez l'hystérique homme, l'insen
ion médicale. ' Travail du laboratoire clinique de M. le professeur
Charcot
à la Salpê- trière. 48 PSYCHOPHYSIQUE. Malg
IBILITÉ DIFFÉRENTIELLE 49 née 1886, dans le laboratoire clinique de
M. Charcot
à la Salpêtrière, une série de recherches sur l
e profonde reconnaissance à notre illustre maître, M. le professeur
Charcot
, pour le précieux con- cours qu'il a prête'; à
en particulier, du système osseux. Il y longtemps que le professeur
Charcot
avait appelé l'attention sur l'étal pathologique
r au terme vague de sens musculaire, opinion à laquelle se rattache
M. Charcot
. Pour Ferrier aussi cette expression serait pré
ans les centres sensoriels, et les idées motrices n'existent pas.
M. Charcot
(OEuvres, t. III, p. 463) fait avec soin la part
entres moteurs. Nous avons vu quelle était à cet égard l'opinion de
M. Charcot
, qui considère les représentations motrices, pr
6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. points de vue semblables à ceux que
M. Charcot
a relevés dans les observations de monoplégie b
eu lieu en particulier chez un des malades, le nommé Porcen... dont
M. Charcot
s'est servi pour établir les caractères de la m
'intensité de l'anesthésie, la disparition de la sensibilité dans 1
Charcot
. Leçon* sur les maladies du système nerveux, t. I
e locale, ou l'hystérie mono- symptomatique suivant l'expression de
M. Charcot
. Nous résumerons notre argumentation de la faço
n et à ses agissements. » Telle est la définition que donnent MM.
Charcot
etRicher du terme « démoniaques» ; existe-t-il en
vre ne tarderait guère à les convaincre. En publiant ce volume, MM.
Charcot
et Richer ne se sont pas bornés à enrichir le d
qui lui est due à tous égards. L'ordre chronologique suivi par MM.
Charcot
et Bicher rend leur livre d'autant plus précieu
sorte encore plus grand. Quant aux appréciations que formulent MM.
Charcot
et Richer sur les différentes oeuvres soumises
s aujourd'hui à démontrer, et depuis deux ans, grâce aux travaux de
M. Charcot
et de ses élèves, la question a fait assez de p
me, mais plusieurs jours, plusieurs semaines après. Les leçons de
M. Charcot
, les thèses de Renard', de Quinqueton2, de Bata
ées à des degrés variables, y compris la sensibilité articulaire.
M. Charcot
a insisté surdeux caractères qui, à pre- mière
que le malade prépare et médite sa paralysie : l'expression est-de
M. Charcot
. Cela est si vrai, que l'intensité du choc joue
ciété médi- cale des hôpitaux (23 mars 1885) et adressé par lui à
M. Charcot
, était un cocher qui, tombant de son siège, se
de la sensibilité survint cinq ou six jours après l'accident. (Voir
Charcot
, 111° vol., 20e et 21' le- çons.) Dans le' fa
t 21' le- çons.) Dans le' fait de Mercklen également étudié par
M. Charcot
(lue volume, appendice 1, 2. p. 458 et Berbez,
ans aucun doute le rétrécissement concentrique du champ visuel dont
M. Charcot
a dé- montré toute l'importance. Les modificati
d'une paralysie plus ou moins durable. L'observation suivante que
M. Charcot
a eu l'obli- geance de me communiquer, rentre d
s et demi, entre le 9 mars 1887 dans le service de M. le professeur
Charcot
, salle Duchenne de Boulogne. Les antécé- dents
cependant un peu diminuées. Je m'adressai alors à M. le professeur
Charcot
, qui voulut bien m'aider de ses conseils et con
quence de la chute sur le poignet. De même que chez la malade de
M. Charcot
, qui n'est devenue monoplé- gique que plus de s
tel que la tumeur douloureuse du poignet, que portait la malade de
M. Charcot
, mais l'hystérie se révèle par ses stigmates ha
te, grâce aux récents travaux de 272 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
M. Charcot
; Un bon nombre de soldats qui étaient autrefois c
date du 18 mai 1887; 2° une consultation signée de M. le professeur
Charcot
, en date du 24 mai; 3° une série d'écrits du ba
u 24 mai, a été rédigée à la suite de la visite de M. le professeur
Charcot
à la maison de santé. L'état de M. Seillère, à
pelés à voir M. Seillère. De même que j'ai partagé l'opinion de MM.
Charcot
, Decaisne, Laborde et Motet à l'époque delà séq
l'hémi-spasme glosso-labié récemment décrit par M. le profes- seur
Charcot
. En somme, cette question de l'apoplexie hystériq
ibution à l'étude de la sclérose latérale amyotrophique [Maladie de
Charcot
); par M. Elouand. (Th., Paris, 4887.), La thèse
ophique, telle qu'elle est aujourd'hui connue, grâce aux travaux de
M. Charcot
, offre aussi une étude fort intéressante des ty
nneur de la découverte d'une atrophie musculaire spéciale revient à
M. Charcot
qui l'a séparée du groupe confus encore des atr
bault parue en 1877, enfin le remarquable travail inséré par MM.
Charcot
et Mario dans les Archives de Neurologie, en 188ï
out en vue la localisation bulbaire, fort de l'opinion autorisée de
M. Charcot
et de ses propres observations, prises au reste
entité morbide distincte mais seulement une forme de la maladie de
Charcot
. - C'est ainsi que l'un des symptômes fondament
ives, t. XIV. 21 322 ) CLINIQUE nerveuse. C'est incontestablement
M. Charcot
qui a inauguré l'étude de ce côté de la questio
ues fixes, indépendants de la suggestion; qui sont ceux décrits par
M. Charcot
pour la léthargie, la catalepsie et le somnambu
s nécessaire- ment, pour tous les sujets, dans le cadre tracé par
M. Charcot
pour les trois états du grand hypnotisme; 3° en
donne lieu à des phénomènes analogues : si on approche un aimant de
Charcot
à petite distance d'une partie du corps, il se
-épileptiques, on obtiendrait des résultats différents de ceux de
M. Charcot
, si on soumettait les malades à un modus operan
bital ou d'un autre nerf des membres par les procédés classiques de
Charcot
et Richer ne produit rien. L'excitation du faci
de symptômes somatiques fixes, autres que ceux qu'on leur suggère.
Charcot
, au moins au début de ses études, semblait nier
rmi les sujets de ce groupe : les uns répondent à la description de
Charcot
, les autres repro- duisent simplement et fidèle
examiné jusqu'à ce jour environ deux cents malades à la clinique de
M. Charcot
à la Salpê- trière. Afin d'éviter un démembreme
urie chez un malade atteint de sclé- rose en plaques, du service de
M. Charcot
, Allie BI. Edwards a rapproché de cette observa
deuxième frontale. On sait que d'autres auteurs (Grasset, Landouzy,
Charcot
, etc.) ont pl acé au contraire ce centre dans l
loi de l'hérédité dans les maladies du système nerveux formulée par
M. Charcot
. L'auteurénumère les diverses théories auxquell
sE. - (Th., Paris, 1887.) * L'auteur, dans ce travail inspiré par
M. Charcot
, s'est proposé d'explorer un des points de ce t
nstriction postérieure (casque neu- rasthénique de M. le professeur
Charcot
), mais fréquemment la douleur s'atténue à la pa
es cellules motrices des cornes antérieures de la moelle, comme MM.
Charcot
et Pierret l'ont démontré; il n'est que vraisembl
les Drs G. LEGUÉ et G. DE la TounETTE. Préface de M. le professeur
Charcot
, 'membre de l'Institut. Un beau volume in-8 de
rasthénique, par Lafosse, 418 ; - les démoniaques dans l'art, par
Charcot
et Richer, 126 ; re- cherches cliniques et thér
eyer et de Vogt, parait aujourd'hui être confirmée par les travaux de
Charcot
et de son école sur l'agraphie qui, d'après Exner
s Auxiliary. Chicago. (III.. 0. S. A.) NOUVELLES m. le professeur
Charcot
vient d'être nommé grand-croix de l'Ordre de la c
ne voit pas (toujours dans l'hypothèse). Rainaldi. qui a lu Ferrier,
Charcot
et Pitres, percute la région du pli courbe (P2) ,
suite de l'application du courant galvanique sur la voûte crânienne,
M. Charcot
avait décrit, en 1882, des faits véritables qui s
ovoquée des hystériques, l'hyperexcilabilité neuro-musculaire, disait
Charcot
, ne s'étend pas seulement aux nerfs et aux muscle
travers ses enveloppes a produit ici une réaction d'ensemble, quoique
Charcot
ait noté qu'elle a été quelquefois circonscrite à
'électricité. Quelques jours après la présentation de cette note de
M. Charcot
, M. Dumontpallier lisait devant la même société s
J'estime donc que la critique a le droit de dire à ces auteurs (non à
Charcot
), comme on l'a répété en Italie à Rainaldi : Vou
ns l'hystérie. Ainsi Rainaldi aurait constaté une fois de plus, après
Charcot
, l'état d'hyperexci-tabilité spécial du cerveau p
un animal suggestible, voire hypnotisable, ce serait, quoi qu'en dise
M. Charcot
, une définition et plus vraie et plus simple. M
sa propre pratique et dans celle de MM. les docteurs von Kraft-Ebing,
Charcot
et Magnan. Wetters-trau 1. Bernheim. Frauz Muller
eurasthénique et tout ce qui s'y rattache, plaque frontale, casque de
Charcot
, vertiges, ébruissements, endolorissement du cuir
és et n'en retrouve plus la trace l'instant suivant. M. le professeur
Charcot
a désigné l'altération principale de ta mémoire s
plus remarquable de cette maladie a été recueillie dans le service de
M. Charcot
. ?me D..., jeune femme de trente-quatre ans, d'
normal de cette science. L'hypnotisme, porté par le nom de réminent
Charcot
, popularisé par les exhibitions publiques, a péné
reçue avec tant de méfiance et d'inimitié. Or l'hypnotisme, tel que
Charcot
l'introduisit dans la science, fut censé être d'u
rai pas à parler de l'hypnotisme, du somnambulisme, de la doctrine de
Charcot
. Toutes ces choses sont des questions non compris
Paris. Clinique des maladies du système nerveux. — M. le professeur
Charcot
, le mardi et vendredi, à dix heures. Leçon cliniq
ur des sujets en état d'hypnotisme. Rappelons le malade du professeur
Charcot
, dont l'observation a été publiée par M. Bernard
inspirant des enseignements de notre maître d'alors, M. le professeur
Charcot
— nous avions cru pouvoir donner : l'isolement ab
re de Paris, le D' Viallc, après une consultation de M. le professeur
Charcot
, qui avait prescrit l'isolement à la campagne.
parents se décidèrent à conduire leur petite fille près du professeur
Charcot
, qui conseilla de la placer dans un établissement
la guérison. VARIÉTÉS La guérison par la foi. M. le professeur
Charcot
vient de publier dans la New Review un intéressan
tandis qu'au contraire les cas abondent de guérison de paralysies.
M. Charcot
établit tout d'abord une importante constatation
courante dans le royaume de la thérapeutique miraculeuse. Cela même,
M. Charcot
ne le conteste pas. Il reconnaît que la foi peut,
ra fini de la théorie des miracles. Que la guérison par la foi. dit
M. Charcot
. soit religieuse ou laïque, c'est une distinction
nt pas toute leur intensité dès le premier moment. Et. à ?? propos,
M. Charcot
analyse les phénomènes par lesquels passe le futu
t le résultai désiré. La cure miraculeuse devient un fait accompli.
M. Charcot
passe ensuite en revue certains cas de guérison p
fit sa première promenade en voiture. Je confesse, dit à ce propos
M. Charcot
, que, il y a seulement dix ans, l'explication des
tre» mémoires; les cas du D' Voisin, de la Salpétrière, des élèves de
Charcot
et de la clinique de M. Bérillon, rédacteur en ch
mation violente de M. Marie venait peut-êrre de e« qu'il est elêve de
M. Charcot
, tandis que M. Dejerine est élève de Vulpian. On
les symptômes a leur maximum ; l'imitation joue quelquefois un rôle ;
Charcot
en a provoqué par suggestion. Chez notre malade,
je crois, et Plicque le reconnaît, qu'il faut faire des réserves, car
Charcot
et Ba-bînski (2) ont signalé des cas d'atrophies
e arthrite du pied. (1) Gazette médicale de Strasbourg. 1870. (2)
Charcot
: Leçons sur les maladies du système nerveux, t.
es questions indiscrètes qu'ils finissent par prendre pour la vérité.
Charcot
(4) suggère à une jeune fille l'idée qu'elle a de
arle a haute voix, disant qu'elle est malade, qu'elle vent aller chez
Charcot
; elle parte de M. Vial, de sort mari, etc. Elle
a été le point de départ des deux grandes théories émises à Paris par
Charcot
et à Nancy par Bernheim. Charcot, frappé de la va
grandes théories émises à Paris par Charcot et à Nancy par Bernheim.
Charcot
, frappé de la variabilité des phénomènes hypnotiq
la transformation d'un autre état. Voilà, en résumé, la doctrine de
Charcot
, qui est basée sur l'expérimentation chez les hys
s recherches, les trois phases de l'hypnotisme hystérique, telles que
Charcot
les décrit, c'est que nous n'avons pas pu par nos
stionnable, il entend son magnétiseur. Certains adeptes de l'École de
Charcot
ont modifié ces idées premières. Ainsi, tandis qu
pporté d'imporlantes modifications au croquis hypnologique dressé par
Charcot
: il étudie un grand nombre d'états hypnotiques m
nt par quelques-uns de leurs symptômes aux états typiques décrits par
Charcot
, mais en différant par des particularités importa
senter: c'est qu'en effet, tous les symptômes principaux indiqués par
Charcot
peuvent se combiner de toutes les manières imagin
-nous penser en présence des deux grandes doctrines si différentes de
Charcot
et de Bernheim ? laquelle allons-nous admettre?
de l'observation XI, manifestent le somnambulisme véritable, tel que
Charcot
l'a décrit. D'autres malades que nous avons hypno
entôt nous avons pu nous convaincre que les trois phases décrites par
Charcot
existent réellement spontanément chez certains su
que les yeux ouverts, correspondant au véritable état cataleptique de
Charcot
. Nous avons pu depuis reproduire ces phénomènes
s. Ces faits nous ont convaincu de la réalité des phases décrites par
Charcot
. Dans les trois cas, nous n'avons rien suggéré, l
utre les états bien définis de catalepsie et de léthargie décrits par
Charcot
, il faut admettre des états incomplets sur lesque
: le somnambulisme, la catalepsie et la léthargie. Devons-nous, avec
Charcot
, considérer le somnambulisme comme le dernier sta
rapport ayant été fournis a quelques médecins et en particulier à MM.
Charcot
, Auguste Voisin. Dumontpallier, etc., il arriva q
Fils. de Bruxelles. Suite et fin (1) 11. — DES ZONES HYPNOGÈNES.
Charcot
et Richer ont observé que la pression du vertex é
ice. Dans l'étal léthargique, par exemple, le phénomène désigné par
M. Charcot
sous le nom d'hyperexcitabilité neuro-musculaire,
on hypnotique,par Krafft-Ebing 262. Guérison par la foi (la), par
Charcot
. 282._ Gustation colorée, 185. Hallucinatio
el, 379. Brown-Séquard, 91. Brunnberg (Fyko), 93. Caustier (E). 10.
Charcot
, 282. Chauveau. 161. Claretie (Jales). 121. Crocq
u l'occa- sion d'observer successivement les malades de Ord et de
M. Charcot
, publie dans le Progrès médicalune inté- ressan
e inté- ressante revue sur le myxoedème. Il nous apprend que 111.
Charcot
« avait découvert de son côté le myxoedème et a
s le titre de Cachexie pachdernai jue, l'observation d'un malade de
M. Charcot
. Il s'agit d'un homme de cinquante-sept ans, qu
euxième (avec autopsie) de Ord; la troisième est l'observation de
M. Charcot
, publiée par M. Ballet. Quelques jours après la
ns aussi mentionner la savante leçon cli- nique de M. le professeur
Charcot
que M. de Ranse a fait paraître dans la Gazette
le massage, le séjour dans un climat sec ont procuré aux malades de
M. Charcot
une amé- lioration notable. « Il semble, d'une
in. Il a pris soin de faire lui-même, sur les malades du service de
M. Charcot
, des expériences de contrôle, en vue de l'objec
pté la dénomination de « cachexie pac7aderrzz jue » , créée par 31.
Charcot
, parce qu'elle nous paraît de beaucoup la meill
la femme. Mais les observations publiées successivement par Savage,
Charcot
, Bourneville, et d'Olier, Th. Inglis, montrèren
iennent capable ? d'efforts extraordinaires, fémoince malade de 31.
Charcot
qui sou- DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 155 le
car- diaques ou rénales, la polysarcie, la sclérodermie, etc. 31.
Charcot
affirme mèmeLLque la physionomie des ma- lades
usque : la maladie s'est annoncée par des frissons violents (cas de
M. Charcot
) ou par une hématurie (cas de Ord). Presque tou
uelques faits que nous avons eus sous les yeux dans le service de
M. Charcot
, à la Salpêtrière. 1. - tulioL ii,\ue n ) ? T'r
reviendrons pas sur la description classique désormais, donnée par
M. Charcot
, de l'attaque d'hys- téro-épilepsie avec ses tr
écembre 1880 à la Salpêtrière, salle Sainte-Laure, n° G (service de
M. Charcot
). Antécédents héréditaires . V... est issue d'u
(Virginie), dix-huit ans, est entrée à la Salpètrière (ser- vice de
M. Charcot
) le 27 novembre 1880. Antécédents héréditaires.
lutions. Voir sur ce sujet : Duret, Archives de Physiologie, 1874 ;
Charcot
et Pitres, Revue mensuelle de médecine et de ch
devanciers, Tardieu, Moreau (de Tours), Lasègue, Legrand du Saulle,
Charcot
, Bourneville, etc. Les hystériques peuvent prés
On les rencontre à chaque pas dans l'histoire de l'hystérie --dit
M. Charcot
et l'on se surprend quelquefois à admirer la sa
influence produite par la volonté du médecin sur celle du malade :
M. Charcot
, qui a eu l'obligeance de me raconter ce fait,
, jambes légèrement infiltrées ? En présence d'un état si menaçant,
M. Charcot
prend' une' grave détermination : il éloigne le
était atteinte d'une paraplégie com- plète depuis plusieurs mois ;
M. Charcot
lui avait annoncé qu'il serait obligé pour la t
de tracer d'une façon sommaire. Il rappelle les expériences de MM.
Charcot
, Preyer, Heidenhain, Lépine, et les siennes pro
Wernicke, Hempel (tabes dorsal), a été l'objet de la sollicitude de
M. Charcot
. Sur quatre-vingt-deux cas relatifs au tabès et
la différencient encore des chorées rhythmiques des hysté- riques (
Charcot
) ou des épileptiques (Parrot). Mais ce qui la dis
tire surtout de son association avec d'autres troubles tabétiques.
M. Charcot
a fait remarquer qu'il peut y avoir erreur sur
maladies du système nerveux. Par un autre décret de la même date,
M. Charcot
, professeur d'anatomie pathologique à la Faculté
adie si éminemment suggestive, à l'étude des affections cérébrales.
M. Charcot
, se basant sur ce que les hystériques ne pouvai
de importance; d'autant moins que dans une cir- constance analogue,
M. Charcot
a observé un phéno- DE L'HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. 291
tats plus précis, ne pouvaient guère être mis en usage chez ces 1
Charcot
. - Leçons sur les maladies du système nerveux, 4e
1 est hystéro-epiteptique. Elle était sortie guérie du service de
M. Charcot
, au mois de juin 1880. Elle n'avait plus alors ni
s hystériques est bien l'ovaire, comme le soutient depuis longtemps
M. Charcot
. Ces deux faits sont en outre intéressants, en
ulièrement l'anesthésie. VII. Compression DE l'ovaire. Depuis que
M. Charcot
a remis en honneur la com- pression ovarienne p
er, depuis six mois que nous les expérimentons dans le service de
M. Charcot
, à la Salpêtrière, qu'ils sont sup- portés sans
à ce sujet les Leçons sur les maladies du système nerveux de 5 ! .
Charcot
(7e leçon) et le remarquable article de M. Vulp
yopie liée à une lésion cérébrale dé- terminée : une observation de
M. Charcot
concernant une hé- miplégique hémianesthésique,
localisation confirme pleinement l'opinion émise tout d'abord par
M. Charcot
. Cette amblyopie d'origine cérébrale est toujours
faits signalés pour la première fois par M. Féréol et qui, d'après
M. Charcot
, se- raient beaucoup plus fréquentes qu'on ne l
son antagoniste. Quant à la physiologie pathologique de ce spasme,
M. Charcot
pense qu'il s'agit d'une hyperesthésie de la mu
ostic, d'après les observations prises surtout à la consultation de
M. Charcot
à la Salpêtrière. 352 REVUE DE PATHOLOGIE NERVE
tômes et de ces accidents est d'être transitoires, de courte durée,
M. Charcot
a montré qu'ils peuvent , l'hémiopie, les scoto
a moelle, obtint l'épilep- sie spinale (1858) ; puis les travaux de
Charcot
et Vulpian (1866) et de leurs élèves (Bouchard,
goureusement exacte aux ter- ritoires qui ont été délimités par MM.
Charcot
et Pitres : ainsi ces auteurs placent le centre
. M. Exner localise ce centre un peu plus haut. De même, pour MM.
Charcot
et Pitres, les muscles du visage ont leurs cent
o-épileptique prises, la première sur une malade même du service de
M. Charcot
avant son entrée, les autres sur des malades de
de l'époque du début des symptômes, la haute valeur de l'opinion de
M. Charcot
en pareille matière, tranchent pour lui on fave
pnotisme chez les hystériques (contribution à l'étude de l'), par
Charcot
et Richer, L ? 9, 310. Hystériques (caractères,
géné- ralC, d'myiuo', 217. * Sens génésique (inversion du), par
Charcot
et Magnan, 53. Sclérose cliltidie (contubution
ud, 371. (Steman), 95. Bumm, 344. Buzzard,103. Causer, 345.
Charcot
, 53, 120, 310. Charpentier, 107,357, 358,359,36
es fois chez les malades que notre illustre professeur et maître M.
Charcot
, nous a fait voir pendant les dernières années
ier et Chantreuil. Traité d'accouchements, t. 1, 285 et suiv. 1882.
Charcot
. Leçons sur les maladies du système nerveux, t. I
ur le siège des localisations cérébrales chez l'homme (schéma deMM.
Charcot
et Pitres, d'après M. Féré) peut aussi être uti
nière, Le Fort. Soc. chir., 6 déc. 1877, 9 et 23 janv. 1878. Houel,
Charcot
, Desprès , Berger et Landouzy ; dis- cussion à
lret. Art..4phasie du Dict. Decle, 1876, surtout pour l'historique.
Charcot
. Des localisations cérébrales, 1880 ; heç. sur le
h. de physiologie, 1874, ii-s 1, 2, 3, t, 5 et 6. 2 Hartley et 1.
Charcot
voient une indépendance relative dans les sourc
bservation d'agraphie puredont il est.question dans les leçons deM.
Charcot
(l883) pu- bliées par Rummo en italien en 18§-Ik
pensée par l'écri- ture, ou plus simplement l'aphasie de la main. (
Charcot
. Leçons, t. 111.) = Exner. Untersuch, ! <&
. der Funct. in der Groshirn- rindo des Menschen. Vienne, 1881. 3
Charcot
. DereK<t/um : ed'o/'a. ! ta, Lezioniredalle de
l'agraphie en particulier, d'après l'enseignement de ,11. le Prof.
Charcot
(Observation d'agraphie pure), in l'tog. illéd.
qu'on pourrait appeler la mémoire visuelle des signes du langage. (
Charcot
, in Ler., t. lit, p. 166, 1887.) P. Marie. Voir
lisation de la cécité verbale. Avec ces documents, M. le professeur
Charcot
fonde une tentative de localisation de la cécit
bale (Worttaubheit, Kussmaul), amnésie verbale auditive (Hartley-
Charcot
), que l'on place la localisation corticale de la
e la lecture. (Gaz. hebd. de med. et de chir., p. 280. 1881.) · 8
Charcot
.- Leçons, t. III, 1887, p. 170. ° Vernicke. Der
ne région plus étendue d'après Hallopeau et Giro- deail que d'après
Charcot
et Pitres 3. Les premiers donnent pour centre à
de l'écorce grise cérébrale, comme le veut E ? ner5, contredit par
Charcot
et Pitres. On place le centre cortical du grand
le ascendante, d'après les faits ana- tomo-cliniques de Hitzige, de
Charcot
et Bail d'après Rendu et Gombault 7, de Verneui
t Gombault 7, de Verneuil B. de Duâout-Bally 9, derosentliallo, '
Charcot
et Pitres. Contribution à l'élude des localisatio
ns., nov. 1878.) ! Hallopeau et Girodeau. Encéph. 1883, p. 331. 3
Charcot
et Pitres. Rev. mens. 1877-78. G. Ballet. Arch. d
3. Voir la critique de la mé- thode et des résultats d'Exner dans :
Charcot
et Pitres. Etude critique e t clinique de la do
1883, p. 152.) ° Hitzig. Arch. f. Psychiatrie, Bd. III, p. 231. 7
Charcot
et Bail, d'après Rendu et Gombault (Revue d'flaem
euschenhirnes (Wiener n2edie. Presse, 1878, Observât. II), cité par
Charcot
et Pitres. Rev. mens., nov. 1878, fév. 1879. .
80, p. 132 et suiv. (centres oro-linuaux.) In loc. cit., p. 45. 5
Charcot
et Pitres.- Rev. de nzéd., 1883. Lépine. Rev. d
ial supérieur inscrit dans la région du pli courbe sur le schéma de
Charcot
et Pitres ? « Telles sont les localisations d
corticales que nous allons maintenant déter- miner. (A suivre.) '
Charcot
. Leçons, t. III, 1882, p. 173. 2 NothnageL Mala
t. In Progr. méd., 1876. Landouzy. In Arch. gén. de 2 ? zéd., 1877.
Charcot
et Pitres. / ! eu. mens, de méd. et de chir., 187
ssi le plus pos- sible à cette notion si importante, développée par
M. Charcot
, de la vulgarité de l'hystérie mâle. LA CATAT
e simple consécutive aux arthrites, fractures, etc.. Tout récemment
M. Charcot
a appelé l'attention sur elles. En Allemagne, l
as l'exagération du réflexe patellaire signalée comme constante par
M. Charcot
. En revanche, dans quelques cas, ce réflexe ava
lté de médecine de Ror- deaux, avec une préface de M. le professeur
Charcot
. Chez J.-B. liaillièi-e, Paris, 1887. Ce livr
es du système nerveux avec le traumatisme. Les récents travaux de
M. Charcot
sur l'hystéro-traumatisme, lui donnent un regain
de temps après un trauma- tisme, entre autres ceux de Horn, Leyden,
Charcot
, Lockart- Clarke, L. il. Petit, Straus. Le rôle
n. (De quelques formes anormales); par LACOSTE. Th., Paris, 1887.
M. Charcot
a fait connaître l'existence de quelques variétés
les Drs G. Lecué et G. de la TouRETTK. Préface de M. le professeur
Charcot
, membre de l'Institut. Un beau volume in-8° de
usculaire spi- nale protopathique (type soi-disant Aran-Duchenne-
Charcot
). Chez un malade- la localisation prédomi- nant
es accès épileptoïdes, cette zone répond d'après M. le professeur
Charcot
à la circonvolution frontale ascendante, à la par
quelques auteurs, sur le pied des circonvolutions fron- tales. MM.
Charcot
et Pitres dans leur plus récent travail, ont ce
au sensitif. In th. Paris, 1881, et art. Sensibilité du Dict. Dech.
Charcot
et Pitres. Rev. mens. Se mémoire (1883). 4 Du
exclusif des fibres intel- lectuelles : « d'après M. le professeur
Charcot
, le segment len- ticulo-strié de la capsule int
ux de Turk, à cause de leur importance, démontrée par LudwigTurk et
Charcot
, dans la systématisation des lésions anatomique
posant de vérifier expérimentalement les lésions que Ludwig Turk et
Charcot
avaient observé chez l'homme atteint d'hémianes
inique. Ne considérant, suivant la règle posée par M. le professeur
Charcot
, comme démonstra- tives, que les observations d
In loc. cit. ' Fr.-Franck et Pitres. Art. Encéphale du Dict. Dech.
Charcot
et Pitres, série de mémoires. Revue mens. 1877,
rtier. Des dégén. second.de la moelle. Th. Paris, 1878, déjà citée.
Charcot
et Pitres. Dernier mémoire, in Rev. nien- suell
, 188î. inloeli, Arch. f. psch. M. Nerv. Krank, Bd. XIV, H. 1. 180.
Charcot
, Leçons sur le faisceau pyramidal. (Prog. znéd.
ertrophique avec ou sans hypertrophie (\i11. Enlenher et Conheim et
M. Charcot
) ; Myorite interstitielle li- pomateuse de M. L
ne radiculaire antérieure (partie fondamentale de Flechsig). Le '
Charcot
. Leçons, t. II, 1883. Leçon IX. Grasset. Traité p
. Manuel pratique des maladies de l'enfance. Paris, 1884, p. 365. s
Charcot
. Leç., t. II. Leçon X. Grasset. Mal. dit syst. ne
latérale amyotrophique. Th. Paris, 1877. Florand, Th. Paris, 1886.
Charcot
. Leç., t. II, 1885. Leçons XII et XIII. Grasset
Leçons XII et XIII. Grasset. Mal. du syst. ncrv., 1886, p. 418. °
Charcot
. Leçons, t. I, 1880. Leçons VIII. Veyssière. Rech
e progressive (Duchenne), lésions se traduisant entre 1 M. le prof.
Charcot
(Geç., t. II, 1885. Leçon I) établit dans la sclé
Loc. cit. ' Virenque. De l'hémianesthésie. Th. Paris, 1874, n° 93.
Charcot
. Leçons, t. I, 1883. 272 REVUE CRITIQUE. se
e produit par Braid et (leidenhain sur des individus sains et par
Charcot
chez des hystériques, résulte de manoeuvres d'ord
M. Binswanper n'a cependant pu retrouver constamment les signes de
Charcot
. L'hypnose par suggestion de Liébeault et Bernh
si grande valeur. On a eu tort de mélanger les procédés de Braid.
Charcot
, Liébeault; on a ainsi embrouillé les modalités d
sés, il n'en est qu'un petit nombre ayant révélé les deux stades de
Charcot
et leur dérivation l'un de l'autre. L'hypno- ti
l'a observé. Les travaux d'IIublin : s Jackson, 1'ilrclc, Bouchard,
Charcot
, Flechsig ont tranché les deux premières questi
psie d'un sujet atteint de l'affection décrite par M. le professeur
Charcot
sous le nom de sclérose latérale amyotrophique,
ublié en 1875 dans les Archives de Physiologie par M. le professeur
Charcot
, avec notre collaboration 1. Il s'agissait ici
résence de fibres à myéline, s'interrompant brusquement pour se 1
Charcot
et Gombault. Arote sur un cas d'atrophie musculai
3 3t ANATOMIE PATHOLOGIQUE. malade observé par M. le professeur
Charcot
,'et dont voici l'histoire abrégée : une balle r
icu- larité sur laquelle bien souvent nous avons entendu insister
M. Charcot
dans ses leçons de la Salpêtrière. Ici encore,
roupe des épilepsies partielles décrites par MM. Hughlings Jackson,
Charcot
et par nous 2. La description des accès, tracée
prochant ces données des phénomènes de transfert obser- vés par MM.
Charcot
, Dumontpallier, Debove, etc., M. Brown- Séquard
s de la moelle, dont le type clinique a été primitivement donné par
M. Charcot
à propos de la compression de la moelle dans le
décrit cet état du cylindre dans la moelle épinière (Frommann, MM.
Charcot
, Joffroy, Hayem) n'ont pas hésité à le rattache
ans ce groupe d'affections, ainsi que depuis long- temps l'a établi
M. Charcot
, la lésion dominante' est celle des cellules ne
n. L'autre supposition consiste à admettre, avec M. le professeur
Charcot
, que les modifications qui se pro- duisent dans
Qu'il nous soit permis en terminant de remercier notre maître M.
Charcot
, dont les conseils nous ont été d'un précieux s
ne, 40 ans, entrée le 25 décembre 1870 à la Salpêtrière (service de
M. Charcot
) comme épileptique. Antécédents. Aucune trace d
ne, qui figure en tête de ces pages, est le nom général proposé par
M. Charcot
pour désigner tous les agents naturels ou procé
aux. Cette expérience, répétée sur toutes les malades du service de
M. Charcot
, eut toujours le même résultat. Nous en avons é
passé à l'état de curiosité historique, du moins en France, lorsque
M. Charcot
et' nous-même l'essayâmes comme' iA'lè'cé-¡ , d
ca- pables de provoquer les phénomènes dits métalloscopiques, et
M. Charcot
avait, émis l'opinion,, maintes fois justifiée de
ttaient autrefois en usage, chez quelques hystériques du service de
M. Charcot
, et que l'anesthésie de ces malades 'n'avait' p
ens, et nous, ne l'eussions sans doute pas faite, si l'attention de
M. Charcot
n'eût été éveillée par la lecture du . 1,1, mu,
er ,fJ oommeJ le e' REVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 289 professe
M. Charcot
, qu'il y a, dans le cas de tabétiques, plus que
équent, les trois périodes classiques, depuis les recherches de MM.
Charcot
et Bouchard, Bourneville, etc., mais latempé- r
e les indications précises sur ce point remontent aux recherches de
M. Charcot
en 1867'. La même année M. Lépine, l'année suiv
s par les organes des sens sous l'influence métallique. On sait que
M. Charcot
a insisté sur ce fait que l'anesthésie hystériq
REVUE CRITIQUE. · fonctionnelles les plus remarquables est l'oeil.
M. Charcot
a depuis longtemps signalé l'amblyopie qui se r
int de vue de la simulation. La méthode habituellement employée par
M. Charcot
dans l'étude clinique de l'achromatopsie est, o
thésie de retour ou le rétablissement spontané de l'état antérieur.
M. Charcot
a montré qu'après ce que l'on croyait être la f
gene employé. Le nombre de ces oscillations (c'est le nom donné par
M. Charcot
à ces transferts successifs) est très variable,
même temps plus frappant dans les oscillations de l'achromatopsie.
M. Charcot
a fait représenter par des séries de cercles co
sur des faits trop nombreux pour être ébranlée par une exception.
M. Charcot
avait d'abord donné à l'anesthésie provoquée le
sthésiogènes chez un sujet en appa- rence normal, a été utilisé par
M. Charcot
pour le diagnostic et pour le pronostic de l'hy
emble symptomatique ne réponde nullement au tableau qu'en a tracé
M. Charcot
, et que, par exemple, la rigidité musculaire, le
quelles l'auteur reproduit la plupart des conclusions formulées par
M. Charcot
sur la nature et le mécanisme des contractures
physiologique de la fibre striée est rigoureusement le même. Avec
M. Charcot
, l'auteur admet que la dégénération descen- dan
re en jeu tous les centres du côté opposé, devenus hyperexcitables.
M. Charcot
a fait voir, dans ses leçons cliniques de la Sa
po- sition toujours identique à elle-même. MM. Meynert, Flechsig,
Charcot
ont cependant démontré que cette décussation est
istoire a été racontée à plusieurs reprises par M. Ter- rier et par
M. Charcot
) qui, ayant été frappée d'hémiplégie et ayant a
poser les autopsies de Froriep et de Bright ainsi que les études de
M. Charcot
sur l'hémichorée posthémiplégique. Un jeune gar
pendues à la pie-mère par un pédicule. Enfin, trois nécrop- sies de
M. Charcot
démontrent des lésions dans le domaine de la ca
e comme le lien naturel entre les études anatomo-pathologiques de
M. Charcot
dans l'hémichorée, et l'exemple rapporté par Fro-
L'année suivante, parurent (Progrès médical, 1876) les leçons de
M. Charcot
sur le tabes dorsal spasmodique. Mentionnons en
à ces règles. Au point de vue de la nature de la maladie, Erb et
M. Charcot
admettent qu'il s'agit vraisemblablement d'une
lésion aux cornes antérieures (sclérose latérale amyotrophique de
M. Charcot
). Les auteurs sont divisés sur la question de sa^
r si, dans ces cas, la sclérose est primitive ou secondaire et pour
M. Charcot
la sclérose amyotrophique comprendrait ces deux
al triom- phe souvent des cas récents. La quinine recommandée par
M. Charcot
produit souvent les meilleurs effets ; mais, suiv
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 465 laryngobronchiques du tabes ataxique.
M. Charcot
a de nou- veau appelé l'attention sur ces faits
lui sont personnelles, les deux autres lui ont été communiquées par
M. Charcot
. Les accidents laryngés sont fort variables d'u
, quand on fait l'examen d'articulations suspectes, cette phrase de
M. Charcot
, àsavoir que «l'existence d'une lésion or- gani
se, complétant ainsi la série d'études remarquables inspirées parM.
Charcot
sur les localisa- tions et les dégénérations de
ntifique qui lui est commun avec celui de ce journal. Les leçons de
M. Charcot
et les recherches de ses élèves, sont largement
dante) sont le siège. Ce qui le prouve, ainsi que le fait remarquer
M. Charcot
, c'est que des douleurs fulgurantes identiques
it avec une explication analogue, très ingénieuse, proposée par 11.
Charcot
, pour les troubles trophiques de la peau (urti-
it nécessaire d'avoir recours à la théorie des nerfs trophiques. » (
Charcot
, loc. cit., p. 152.) 1 S. Stricker. Uzatersztcl
rs de l'ataxie. Dans les crises gastralgiques, si bien décrites par
M. Charcot
, il n'est pas rare de voir survenir des vomisse
ogènes, le résultat est en rapport avec l'étendue de l'application.
M. Charcot
emploie des aimants à pôles renflés, semblables
ns observées : chez une hystérique hémianesthésique du service de
M. Charcot
, l'aimant placé en regard de l'avant-bras insensi
ont aussi des phénomènes du même ordre; ainsi que le fait remarquer
M. Charcot
, la para- lysie hystérique est une paralysie à
me des recherches faites à la Salpê- trière sur la métallothérapie,
M. Charcot
, voulant essayer la nouvelle méthode en dehors
ctricité. Ces jours-ci même, nous venons de voir dans le service de
M. Charcot
un très bel exemple de l'efficacité du simple b
t, pour le docteurH ? '.7 ni la sclérose multiloculaire en foyer de
M. Charcot
, ni la sclérose cervicale, les cordons de Goll
HIE IX. Iconographie photographique de la Salpèlricre (service de
M. Charcot
) ; par Bourneville et Regnard. Aux bureaux du P
du succès des « leçons de choses » professées à la Salpêtrière par
M. Charcot
, MJ1. Bourneville et Regnard ont eu l'heureuse
ughlings Jackson, et on l'appelle souvent épilepsie jacksonienne.
M. Charcot
, qui en 1876, a décrit avec le plus grand soin l'
l'épigastre à la gorge, enfin les troubles céphaliques indiqués par
M. Charcot
: battements dans la tempe, bourdonnements d'or
la plus' importante, est la région. ovarienne sur e laquêlle : M. !
Charcot
a, appelé l'attentïôn,7permetdelprovôqueL .des
onsacré à ces matières, viehtrde paraître sous la 'direction del\I.
Charcot
. Le rédacteur en chef est' M. Bourneville, et l
onsacré aux maladies du système nerveux et dirigé par le professeur
Charcot
. M. Bourneville en est le rédacteur en chef il
The ¡.llienist and lYeul'ologist traduit ¡il extenso la préface de
M. Charcot
(Alienist and 11'ezcrologist, 1881, fasc. I, 2° a
ives de Neurologie, qui, sous la direction compétente du professeur
Charcot
, résumeront toutes les études faites sur les ma
les fascicules que nous avons reçus, nous lisons les noms ! de MM.
Charcot
, Debove, Gombault, Boudet, Magnan, Bour- 'nevil
t publiée par M. Bourneville, sous la direction de M. le professeur
Charcot
, et avec la collaboration de la plupart des jeu
sur l'), par Bourne- ville, Brissaud, 69. 391. Introduction, par
Charcot
, t. Ischémie cérébrale, par Bail, 340. Ivress
.), 153. Cerasi (F.), 473. Chambard (E.), 326. Channing, 327.
Charcot
, 1. Chataing, 467. Chatin (J.), 432. Chauve
Névropathiques ? du type Quincke (1). , II. OEdéme hystérique (type
Charcot
). III. OEdèmes chroniques. A. Au cours des ma
-Guy ? - . Nous connaissons, d'ailleurs, d'autres oeuvres d'art, où
Charcot
et Bicher ont pu diagnostiquer la représentatio
d'après certains cas de pachyméningite cervicale étudiées par Gull,
Charcot
et Joffroy, et quelques observations personnell
muscles et des nerfs en particulier, de M. Hallion, in Traité de méd.
Charcot
, Bouclaard, Brissaud, t. VI, p. 835 et suiv. ;
cérations syphilitiques des muqueuses ; dans leurs célèbres études,
Charcot
et Richer n'ont signalé rien de pareil et je ne
hilis et ses diverses manifestations. Rare série; en effet, puisque
Charcot
et Richer (2) n'ont pu citer que deux docu- men
nographie des maladies vénériennes. Aux deux documents signalés par
Charcot
et Richer, je puis en ajouter sept autres, que
une étude aux Pouil- leux dans l'Art (1), et j'ai fait voir, après
Charcot
et Paul Richer, que les poux avaient une histoi
a continué l'oeuvre poursuivie dans les Démoniaques dans l'art, de
Charcot
et Paul Richer. Des documents ont été tirés des
fournir aussi de tels sujets, ainsi que l'ont montré également MM.
Charcot
et Richer, et plus récemment encore M. IIenry M
iaire de Murano, con- servé au Muséo Civico de Ravenne, signalé par
Charcot
et Paul Richer (Démoniaques dans l'Art). (4)
ongue série des images de ce genre signalées antérieu- rement par
Charcot
et par Paul Bicher, et auxquelles nous avons
ignalé, il y a déjà longtemps, par M. Pierre Marie, et commenté par
Charcot
et Paul Richer (Les démoniaques dans l'Arl, pag
879, on dénomma la maladie « myxoedème ». Morvan, en 1875 (lettre à
Charcot
) montrait que cette affection n'avait point éch
croit permis -juge même nécessaire - de rappeler au- jourd'hui. A
Charcot
, son fondateur, revient l'honneur d'avoir inaugur
es présentant les caractères de la vérité pathologique, L'étude sur
Charcot
artiste, publiée dans ce recueil, a fait voir l
taque d'hystérie (1), etc. Dans cette voie, comme en tant d'aulres,
Charcot
fut un innovateur. Une fois de plus, un grand e
es oeuvres d'art intéres- sant la médecine. - Un collaborateur de
Charcot
, M. Paul Richer, publia, à la suite de ses Elud
res et aux extatiques. Bientôt après (1887) paraissait l'ouvrage de
Charcot
et Paul Bicher sur Les Démoniaques dans l'Art (
la Nouvelle Iconographie de la 6'a ? 6,pubtiée sous la direction de
Charcot
,par 1V1VI. Paul Richer, Gilles de la Tourelle e
es, les syphilitiques, les malades dans l'Art, etc.,com- mentés par
Charcot
et Paul Bicher. La Nouvelle Iconographie de la
premiers volumes ont été rassem- blées dans un important ouvrage de
Charcot
et Paul Richer, Les difformes et les malades cl
s clans l'Art, qui date de 1889 (4), et qui constitue, avec les (1)
Charcot
, OEUV1'es complètes, t. 1, 1886. (2) Paris, Del
d'art ont suscité de nouvelles critiques médicales. Aux articles de
Charcot
et de Paul Richer, sont venus s'ajouter ceux de G
, etc., chacun apportant sa pierre à l'édifice.' Après la mort de
Charcot
, M. le professeur Raymond tint à honneur de res
curieuses qu'instructives. Envers son fondateur, envers l'Ecole de
Charcot
, envers tous les tra- vailleurs, qui lui onl gé
erches personnelles de l'auteur, ses études en colla- boration avec
Charcot
, un certain nombre des publications de M. Henry
Dr Paul Bicher, une oeuvre qui, basée sur les travaux de l'Ecole de
Charcot
, contient une collection passablement ( ! ) compr
marbres antiques (1) et en particulier sur un buste d'Esope de (1)
Charcot
et A. Dechambre, De quelques marbres antiques, et
ne pas être averti de l'existence des deux ouvrages fondamentaux de
Charcot
et Paul Richer ? ... Le vo- lume de M. Paul Ric
égliger de faire la plus légère allusion aux études primordiales de
Charcot
et Paul Richer ? .. C'est qu'il semble que le nom
. 189 à 193. DE LA NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE 419 de
Charcot
soit pour lui un épouvantail. A peine ose-t-il, d
, en faisant seulement allusion aux travaux de l'école du maître.
Charcot
, et les autres auteurs français qui ont écrit sur
rmi les plus anciennement connues la belle collection que possédait
Charcot
, celle qui orne depuis plus de vingt ans les mu
t syphilitiques. Les documents figurés s'y rattachant, signalés par
Charcot
et Paul Richer, ainsi que la collection publiée
era une sorte de catalogue abrégé des oeuvres médico-artistiques de
Charcot
, Paul Richer, Henry Meige. Ne devrait-on donc p
lui saura-t-on gré d'avoir oublié de rappeler toutes les études de
Charcot
, - et la plupart de celles de ses élèves ? DE L
il s'agit des Pestiférés, il montre les images décrites en 1889 par
Charcot
et par 1Vl..Paul Richer. Pour la Danse de 6'a&l
. Pour la Danse de 6'a<Kt-GMy,comme i ! s'agit d'une critique de
Charcot
, il l'adopte et la croit trop connue pour en ra
arrive aux scènes chirurgicales, les images et les commentaires de
Charcot
et de ses élèves lui fournissent encore une imp
en- contrer chez un chirurgien de Berlin tant de ressemblances avec
Charcot
et ses élèves ! ... Comment l'Allemagne pourr
IUE DE LA NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Année 1888.
Charcot
et Paul RicuEn. .Sur un lépreux d'Albert Durer, p
et Paul RicuEn. .Sur un lépreux d'Albert Durer, p. 42-44 (1 phot.).
Charcot
et PAUL Richer. Le Mascaron grotesque de l'Eglise
L'Héanispasnxe glosso-labié hystérique, p. 81-92 (4 phot., 3 fig.).
Charcot
et PAUL Richer. Les Infirmes d'une ancienne fresq
firmes d'une ancienne fresque de Florence, p. 131- 132 (1 phot.).
Charcot
et PAUL RicnEn. Le Paralytique de Bap)zaèl, p. 11
et PAUL RicnEn. Le Paralytique de Bap)zaèl, p. 110-4 72 (1 phot.).
Charcot
et PAUL Richer. Les Aveugles dans l'Art, p. 209-2
rcot et PAUL Richer. Les Aveugles dans l'Art, p. 209-212 (2 phot.).
Charcot
et PAUL Rrcasn. - Les Syphilitiques dans l'Art, p
satiriques sur Mesmer, p. 59-64 (2 phot.), p. 103-106 (2 phot.).
Charcot
et PAUL Richer. Les Malades dans l'Arl, p. 146-15
la TounETTE. Un Dessin inédit d'Adrien Brouwer, p. 94-96 (2 phot.).
Charcot
et PAUL Rrcrrsn. - Deux Bas-reliefs de Nicolas de
L Rrcrrsn. - Deux Bas-reliefs de Nicolas de Pise, p. 134 (2 phot.).
Charcot
et PAUL RicnEK. La « Transfiguration » du Sacro m
e ! l'évêque guérissant les Ecrouelles, p. 161-168 (2 phot.). ' ,
Charcot
et PAUL Ricnen. - Les Pestiférés de Jaffa (Gras),
L Ricnen. - Les Pestiférés de Jaffa (Gras), p. 246-248 (2 phot.). '
Charcot
et Peul RICHER, Deux Dessins de Lépreux (Bans Bur
Deux Dessins de Lépreux (Bans Burglsmair), p. 321- 32S (2 phot.).
Charcot
et Peur. Richer. Qualre Gravur es de Dans B;t) ?
erdu de liaubens (Gnenson de Possédés), , ter. 119-120 (2 phot.).
Charcot
et PAUL RicHEn. La Venlouseuse (par Quiryng Breke
, où sont signales tous les travaux de critique médicale émanant de
Charcot
ou de ses élèves, avec une bibliographie détaillé
devint de plus en plus vif a mesure que nous vîmes, par l'exemple de
M. Charcot
., combien étaient considérables les bénéfices qu'
et peut-être noîis serions-nous bornés là, si notre excellent maître,
M. Charcot
, qui suivait nos travaux cliniques et nos essais
sie. L...., Th., fleuriste, est entrée à la Salpétrière (service de
M. Charcot
), le 12 août 1872 ; elle était âgée de 18 ans.
édées d'une aura, offrant tous les caractères qui ont été décrits par
M. Charcot
: a) douleur siégeant à la région de Yovaire droi
figures que nous reproduisons, L... est représentée toute nue. avec
M. Charcot
, la période des contorsions. Le bras droit s'élèv
ie et Epilepsie. C'est surtout depuis la publication des leçons que
M. Charcot
a consacrées à l'hystéro-épilepsie [hystérie épil
eine, était âgée de 17 ans à son entrée à la Sal-pétrière (Service de
M. Charcot
), le 16 septembre 1875. Renseignements fournis
chez la prétendue miraculée belge que chez l'hystérique du service de
M. Charcot
. A côté des faits que nous venons de citer et c
s.— Geneviève entrecomme épileptique, dite simple, dans le service de
M. Charcot
.C'est une femme un peu au-dessus de la moyenne, a
mouvements des bras et des jambes, comme si elle voulait se défendre,
M. Charcot
l'a fait coucher sur le parquet et a comprimé la
usqu'à l'infirmerie générale où éclatent de nouvelles convulsions que
M. Charcot
arrête par la compression ovarienne On en profite
hystérique est capable de rester de temps sans prendre de nourriture.
M. Charcot
n'avait pas encore franchi le seuil de la porte d
nous ayons eu la véritable corvée de mettre fin à ses attaques, quand
M. Charcot
nous communiqua la lettre suivante de M. Decaesse
... est rentrée le 10 mars 1877, à la Salpétrière, dans le service de
M. Charcot
. 29 mars. — G... a été prise de secousses à 11
tre-eux, et avaient les caractères classiques. Suivant la remarque de
M. Charcot
, elles étaient liées intimement aux autres symptô
nalées sont assez communes chez les hystériques. Mais il s'agit (i)
Charcot
. — Leçons sur les maladies du système nerveux, t.
7, p. 656, l'observation de Lab. . . ¦—Une autre malade du service de
M. Charcot
, nommée Cous. .. Louise, nous en fournit encore u
s constaté à la Salpétrière, chez les hystériques des services de MM.
Charcot
et Delasiauve. Presque constamment, le fond du
. Delasiauve) le 9 juin 1867 et est passée en 1870 dans le service de
M. Charcot
. Renseignements fournis par le père de la malad
). 21 février.—La malade a été prise d'attaques à 8 heures et demie ;
M. Charcot
les arrête à 9 heures 3/4 par la compression de l
ristes, se plaint de douleurs dans les dents ; redevient souriante. «
M. Charcot
ne m'a donné qu'un petit peu d'éther aujourd'hui.
ions thérapeutiques entreprises à la Salpétriè-re, dans le service de
M. Charcot
, n'ont pas encore été prolongées assez longtemps
e des régions ovariennes, a permis de vérifier l'opinion formulée par
M. Charcot
, au sujet de la pâleur et du refroidissement du c
sychomoteurs de l'écorce, au point de vue clinique, les Leçons de
Charcot
sur les localisations dans les maladies du " ce
ocalisations dans les maladies du " cerveau (1875), les articles de
Charcot
et de Pitres dans la Revue mensuelle de médecin
rocessus irritatifs qui ont déterminé des hallucinations de la vue.
Charcot
, Fer- et interprétée comme si elle était une se
on habitude les travaux français sur cette matière, surtout ceux de
Charcot
, « qui a traité ce sujet, dit Seppilli, avec sa
ement il avait pu supprimer complètement l'usage du mé- dicament.
M. Charcot
insistait à ce propos sur les difficultés considé
édé opératoire. Voici tel qu'il a été décrit par M. le ..professeur
Charcot
dans sa leçon du 'le janvier : La suspension se
L'appareil deM.Hammond 1, était, à l'origine, semblable à celui de
M. Charcot
; depuis, il l'a modifié. C'est ainsi qu'il ne p
e, sur les' troubles viscéraux et l'impuissanee sexuelle. M. le l'r
Charcot
' New-York, mtid. journal. 12 mai 1889, p. 510.
on des douleurs fulgurantes. Les cas de M. Motchoutkowsky cités par
M. Charcot
, sont au nombre de quinze. Chez l'un d'eux, la
ans les deux dernières observations. Depuis sa leçon du 18 janvier,
M. Charcot
a donné la statis- tique des faits du tabes qu'
de diminution des douleurs. Il signale ce fait, déjà mentionné par
M. Charcot
, c'est que : la sensation de soulage- ment et l
ffections médullaires; on ne peut encore qu'émettre des hypothèses.
M. Charcot
, avec M. Mot- choutkowski, compare cet effet à
t soit tou- jours confiée à un médecin, ou à un aide expérimenté.
M. Charcot
, dans sa leçon, signalait déjà un certain nombre
mortels, des phénomènes plus ou moins graves peuvent s'observer 4.
M. Charcot
en a publié plusieurs dans sa leçon : z10 un oe
z d'observations pour pouvoir se prononcer sur ce point. Toutefois,
M. Charcot
a mentionné le cas d'un malade observé par M. M
s branches, principalement l'artère de l'hémor- rhagie cérébrale de
Charcot
, sont sous la dépendance directe du courant san
rvations soit inédites, soit empruntées à la clinique du professeur
Charcot
ou à ses élèves. Toutes ces observations prouvent
bre des dissidents au début de chacune des recherches du professeur
Charcot
et aussi l'évanouissement graduel des opposants
pour promoteur scientifique réel 1\1. le- CORRESPONDANCE. 1611 iD
Charcot
. De quelques observations personnelles ayant trai
ume in-8 de \. : 30 pages. Prix : 8 fr. Pour nos abonnés : (i fr.
Charcot
(.1.-)1.). Maladies des vieillards, goutte et rhu
i peu- vent ètre la conséquence du traumatisme, comme le professeur
Charcot
l'a démontré; il en a été publié de nombreux ex
oque que l'étudia Ord, par le célèbre savant français le professeur
Charcot
, qui avait déjà étudié une quantité de cas de c
de myxoedème chez une dame qui lui fut recommandée parle professeur
Charcot
. Ne partageant pas la théorie d'Ord sur l'origi
e époque antérieure, le Dr de Ranse2 publia une leçon du professeur
Charcot
dans laquelle le célèbre professeur traite la q
adies nerveuses et l'arthritisme, déjà depuis longtemps signalé par
M. Charcot
, se remarque aussi en ce qui concerne la paraly
ions purement hystériques. Tout ceia a été autrefois établi par 11.
Charcot
et subsiste encore aujourd'hui. M. Cu, RICHET p
u dédoublement de la personnalité de sa malade. 11 pense, comme MM.
Charcot
, Binet et P. Janet que ce somnambulisme naturel
an est calqué sur celui des « Leçons du Mardi » de M. le professeur
Charcot
. L'auteur dit d'ailleurs dans sa préface que c'
ablir cette démonstration qu'a faite dès longtemps M. le professeur
Charcot
, mais pour en montrer les conséquences intéress
clinique une non moindre valeur pour le médecin. M. le professeur
Charcot
a appelé l'attention, comme nous l'avons dit, s
on, pour vraie qu'elle soit n'en est pas moins assez rare, et après
M. Charcot
qui à l'époque où il signala cette particularit
ée, présente un notable intérêt à ce point de vue, intérêt que 111.
Charcot
a bien mis en re- lief dans l'une de ses Policl
THOLOGIE NERVEUSE. L'observation qu'a tout d'abord rapportée M. -
Charcot
est particulièrement instructive, car elle pré-
érale, et de la. commune dépendance des deux manifestations. 111.
Charcot
insistait aussi sur la bénignité des dehors sous-
u'il n'existait que dans l'oeil droit; mais il est probable qu'il 1
M. Charcot
. Leçons sur les maladies du système nerveux, t. 1
entre le loir dé- cembre 1887, dans le service de M. le professeur
Charcot
, à l'hos- pice de la Salpêtrière, et occupe le
et qui s'est conformé de tous points aux descriptions classiques de
M. Charcot
. Nous avons eu depuis l'occasion d'observer de
leau clinique, donner lieu à de notables difficultés de diagnostic.
M. Charcot
a démontré, comme on sait, qu'il n'est aucun de
gne dans les esprits pacifiés. Et, comme s'exprime M. le professeur
Charcot
, « le temps, ce juge suprême, équitable entre t
sensibilité générale et du sens musculaire. Il y a la théorie de
Charcot
, pour qui les centres moteurs corticaux sont le
e Diagnostic topique des maladies du cerveau, et, plus tard encore,
Charcot
, pouvaient passer devant ces phénomènes sans êt
erveau '. Aujourd'hui Nothnagel ne croit pas encore, non plus que
Charcot
, qu'on puisse dire sans réserve que les lésions
: le siège circonscrit de la lésion, aussi limitée que Nothnagel et
Charcot
l'auraient pu sou- haiter, les a engagés à publ
re de pathologie soit bien connu depuis les leçons de notre maître,
M. Charcot
, nous croyons utile de rapporter trois nou- ' F
. (A suivre^ REVUE CRITIQUE MYXOEDÈME OU CACHEXIE PACHYDERMIQUE' (
Charcot
); Par P. KOVALEVSKI, Professeur de maladies m
s chez Horsley et d'autres savants anglais; il partage l'opinion de
Charcot
que c'est un processus pachydermique. D'abord i
xemple des observations de Eulenburg, Eichhorst, Ormerod, Schultze,
Charcot
et Marie. Il croit à l'exis- tence, dans l'espè
rophie musculaire progressive neurolique bien que, ainsi que le dit
Charcot
, la myélopathie constitue e lfac- cident initia
rtielle (1). Nous devons rappeler enfin les leçons de notre maître,
M. Charcot
, concernant Y épilepsie hémiplégique (2). En 1876
maître, M. Charcot, concernant Y épilepsie hémiplégique (2). En 1876,
M. Charcot
a décrit avec le plus grand soin Y épilepsie part
dernière, à propos des malades dont nous allons rapporter l'histoire.
M. Charcot
a émis l'opinion (1) Hughlings Jackson. — On th
us espérons pouvoir le faire, un jour, dans le Progrès médical. (2)
Charcot
. — Leçons sur les maladies du système nerveux, re
, dans le service de M.Delasiatjve et,depuis 1872, dans le service de
M. Charcot
. La malade nous a fourni, sur ses antécédents et
bord dans le service de M. De-lasiauve, puis passa dans le service de
M. Charcot
. En 1866, elle nous a donné, sur ses antécédents,
siauve. De 1871 à 1878, nous avons pu la continuer dans le service de
M. Charcot
. et bien portant. — On ne nous signale aucune m
On observe encore très-nettement chez Gr... la relation, signalée par
M. Charcot
, entre les mouvements choréiformes du pied, de la
dans la position qu'on leur imprime et par leur mouvement continuel.»
M. Charcot
a fait remarquer que cette définition était impar
s, agités de mouvements cho-réiformes (2). » Or, la malade à laquelle
M. Charcot
faisait allusion dans ces remarques n'est autre q
. — A Treatise on Diseases of the nervous System, 1871, p. 654. (2)
Charcot
(J.-M.). — Leçons surles Maladies du système nerv
t, dans son excellente monographie, inspirée par notre maître commun,
M. Charcot
: « Ils sont lents, c'est-à-dire que, sans seco
d'une manière catégorique, bien que le cas d'une malade du service de
M. Charcot
puisse nous fournir un nouvel argument en faveur
d'hui de 33 ans, est entrée àla Salpêtrière le 2 mai 1874 (service de
M. Charcot
) Elle est orpheline et ne peut donner que des ren
t nous avons continué son observation depuis 1870, dans le service de
M. Charcot
. Sur ses antécédents, nous ne possédons que les
818. X... L..., Augustine , est entrée à la Salpêtrière (service de
M. Charcot
), le 21 octobre 1875, à l'âge de 15 ans et demi.
avec les mouvements que nous avons décrits. Le nitrite d'ample (l)
Charcot
. Leçon sur la chorée hystérique rhythmique. (Prog
ujours une hémianes-thésie du côté droit, etc 24 nov. — A sa leçon,
M. Charcot
a provoqué une con- tracture artificielle des m
aucun doute à cet égard. Ce n'est pas là, d'ailleurs, un cas isolé ;
M. Charcot
en a cité d'autres dans ses leçons et nous-même a
nt menée sur ladite mu- (1) La Piété affligée, etc., p. 242. 2)
Charcot
.— Leçons sur les maladies du système nerveux, 3e
s épi leptiques et hystériques, réputées non aliénées (service de
M. Charcot
). Renseignements fournis par sa tante. — Père m
bornerons à faire remarquer qu'on y retrouve tous les caractères que
M. Charcot
a décrits dans les leçons (1) qu'il vient de fair
nt de vue des recherches sur le magnétisme, l'hypnotisme, etc. (1).
M. Charcot
lui a adressé une vive réprimande. Elle en a été
heures). Elle vient au laboratoire et, comme elle est insupportable,
M. Charcot
la renvoie. C'est, pour elle, une grave insulte;
cit., p. 30.) Les hystériques, fait souvent relevé par M. Briquet,
M. Charcot
et par nous, ont des hallucinations à peu près an
auront gré d'avoir profité des observations des malades du service de
M. Charcot
, pour leur montrer une fois de plus l'intérêt pui
Définition, 3. — Historique, 3. — Variétés selon Bravais, 5;—selon
M. Charcot
, 7. — E P. hémiplégique, 5, 7; Accès, 43, 46, 4
es. W... Marie, lingère, née à Paris, est entrée dans le service de
M. Charcot
le 6 mai 1877 : elle était alors âgée de dix-huit
. Aujourd'hui, la malade étant en 1 attaques depuis plusieurs heures,
M. Charcot
parvient à vaincre la résistance musculaire, et
eurs. (C'est, en quelque sorte, une ébauche des grands mouvements que
M. Charcot
a décrits sous le nom de clownisme). Période de
hirant le linge, brisant les vitres, mettant le désordre, etc.; aussi
M. Charcot
l'a-t-il fait passer dans la section des aliénées
er les attaques. Le 31 décembre, W... est replacée dans le service de
M. Charcot
. 1879. 10 janvier. — Sous l'influence de Y élec
contracture dans la flexion des mains et des avant-bras. (Pl. VIII.)
M. Charcot
a désigné ce phénomène sous le nom d[hyper'excita
les membres, soulevés, retombent inertes. 2° Phase cataleptique. —
M. Charcot
ouvre les paupières droites seulement : alors, le
e que des mots sans suite. 1 Les èpileptiques et les hystériques de
M. Charcot
sont réputées non aliénées, et jouissent à peu pr
ctuel, la compression échouait à l'origine; les tentatives faites par
M. Charcot
, par nous, etc., demeuraient sans résultat, et ce
manifestent les troubles céphaliques avec les caractères indiqués par
M. Charcot
: battements dans la tempe gauche, bourdonnements
ngère, était âgée de 17 ans à son entrée à la Salpètrière (service de
M. Charcot
) le 12 avril 1879. — Nous laisserons de côté se
it âgée de trente ans lorsqu'elle est entrée àlaSalpêtrière(servicede
M. Charcot
) le20janvier 1876.—Nous ne prendrons de son obser
symptômes de l'aura correspondent de tous points à la description de
M. Charcot
. Autrefois, il n'y avait rien à droite, mais la
la plus puissante semble être la région ovarienne, ainsi que l'a dit
M. Charcot
dans les leçons qu'il vient de terminer (nov.-déc
a preuve en est donnée par cette expérience, maintes fois répétée par
M. Charcot
: si l'on comprime la région ovarienne d'une hyst
nt au niveau des régions hystérogènes doivent être rangées à côté 1
Charcot
(J.-M.) — Leçons sur les maladies du système nerv
visite. Par la pression au-dessous du sein gauche (zone hystérogène),
M. Charcot
provoque quatre petites attaques; après la derniè
ences. X... L..., Augustine est entrée à la Salpêtrière (service de
M. Charcot
) le 21 octobre 1875. Elle est actuellement (1880)
de la compression ovarienne, de la fara-disation. Le lendemain matin,
M. Charcot
la retrouve après Planche XIV. LÉTHARGIE hy
s'agisse des contractures artificielles qui, comme le répète souvent
M. Charcot
, permettent de faire, en quelque sorte, la physio
e la Salpètrière. B... A... est entrée à la Salpètrière (service de
M. Charcot
;. le 2 mai 1878, comme fille de service. Son obse
ngtemps qu'on veut — inclinaison, extension, flexion latérale, etc.
M. Charcot
réveille la malade en lui soufflant à la figure ;
CATALEPSIE Planche XXV. CATALEPSIE SUGGESTION du service de
M. Charcot
et sur quelques-unes du service de M. Delasiauve,
. excite les autres malades, imagine sans cesse des projets de fuite.
M. Charcot
la fait mettre en cellule. 13 juin. —Pour occup
loisirs en cellule, elle a fait une chanson contre les assistants de
M. Charcot
. 14 juin. — S... est redevenue plus calme et pr
nosographie. C'est à la consultation externe de M. le professeur
Charcot
que nous avons eu l'occasion de voir et 16 CLIN
faut signaler entre autres les tumeurs de la base, et, à ce propos,
M. Charcot
nous citait l'exemple d'une jeune dame qu'il so
par l'étude des dégénérescences secondaires : c'est ainsi que MM.
Charcot
et Bouchard, Flechsig, Brissaud, etc., sont arr
Genève, 1878). Par contre, le fait vient à l'appui de l'opinion de
Charcot
, qu'il n'y a pas de corrélation néces- saire en
la partie postérieure de la capsule interne (carrefour sensitif de
Charcot
) était également intacte. b) En outre des lésio
au segment postérieur de la capsule interne (zone 2,olai ? dique de
Charcot
). Or, on sait que les lésions destructives cort
l'épaisseur du centre ovale, et même jusqu'à la couche corticale »(
Charcot
)2; qu'enfin la thèse de Pitres établit que les
oy. ? H '<HM<on ? e<opo)'a/t ! c du cerveau 0. Doin,1882 *
Charcot
. Leçons sur les localisations. ;1 Pitres. Reche
pelle l'anse rolandique; et il est bien démontré (Flechsig, Parrot,
Charcot
) que cette région motrice est en rapport avec l
ordinaire les lésions cérébrales qui produisent l'hé- mianesthésie (
Charcot
). Cette absence d'hérniopie ou d'am- blyopie la
fré- quentes de ce syndrome. Citons à ce sujet un travail de MM.
Charcot
et Magnan, paru dans les Archives de Neurologie
s, contraire- ment à ce qu'on observait si nettement dans le cas de
M. Charcot
, les matières vomies n'avaient aucune odeur. Il
im que, si les faits sont exacts, ils n'infirment en rien la loi de
Charcot
tout entière basée sur les rapports des perturbat
. Ces lésions, qui ont été déjà signalées par Page et désignées par
Charcot
et Féré sous le nom de pied tabétique, sont de
paroles, prononcées à la Société anatomique le 4 novembre 1881 par
Charcot
, pourraient servir d'épigraphe au présent trava
rusquement, en huit ou dix jours, la marche devient très difficile.
M. Charcot
, consulté alors, lui fait fermer les yeux, cons
Raymond') la description de la démarche des ataxiques, suivant MM.
Charcot
, Vul- pian, etc. C'est toujours la projection f
trajet des fibres optiques, la plus connue est celle du professeur
Charcot
. Son schéma bien connu des trajets des fibres o
utes les fibres desti- nées à l'oeil opposé. Ce schéma fut fait par
Charcot
pour expli- quer et appuyer sa théorie de la pr
anatomo-pathologique. Je ne connais qu'un cas qui soit en faveur de
Charcot
' tandis que les seize cas que je vous ai lus p
tre elle. A la vérité il n'y a pas lieu de croire que le professeur
Charcot
ait attaché une bien grande importance à son sc
ion avec ses idées. Grasset a récemment (1883) donné du schéma de
Charcot
une modification qui est extravagante. 11 y aur
- près que les fibres pour une rétine entière, selon le schéma de
Charcot
, ont accompli un certain trajet dans la capsule
des fibres des deux rétines. Cet effort pour concilier l'opinion de
Charcot
concernant les effets de la lésion de la capsul
rg's Centrnlbl. f. pruet. Avgezzlzeill : , t., p. 236. 1` ? , 4877.
Charcot
et Pitres, Contiil)tiLionsà l'étude des localisa-
isation cérébrale des troubles de la \ision. Cas iii (du service de
Charcot
). Archives de Neurologie, Mars 1883, p. 229.
217 la salle Duchenne (de Boulogne), service de M. le professeur
Charcot
, à la Salpêtrière. Antécédents héréditaires : m
s plus ou moins serrées; alors nous avons souvent pensé au livre de
M. Charcot
sur les « Maladies des vieillards », qui nous a
aladies dans un tableau rappelant celui qu'on voit dans le livre de
M. Charcot
, déjà cité (p. 102). MUe Arch... n'a au- cune a
importante pour le diagnostic de ces deux névroses ; sur laquelle
M. Charcot
insiste beaucoup. L'occasion se présente pour a
ction réciproque, que d'indiquer les descriptions classiques de MM.
Charcot
', Richer 2, C. Féré s, etc.; donc, malgré l'inté
ts. Dysphagie modérée; petite plaque blanche entre les amygdales.
M. Charcot
hypnotise la malade en faisant remarquer que la
rural (amyotrophie d'origine articulaire) », a dit M. le professeur
Charcot
en analysant la maladie de Porcen...', cas rich
'autre tient à l'arthritisme. Encore à sa leçon du 14 décembre 1885
M. Charcot
attirait-il l'attention de son auditoire sur la
e, quand M. Heidenhain a pu imiter les productions de Hansen, quand
M. Charcot
a pu distinguer les différentes phases, quand M
hain a cherché la solution physiologique des productions de Hansen;
M. Charcot
, avec sa pénétrante faculté d'observation et sa
». Avec ces mots, on peut beaucoup expliquer, mais peu comprendre.
M. Charcot
n'a pas fait d'hypothèse, il dit seulement dans
tabilité neuro-musculaire, lesquels sont considérés aussi par MM.
Charcot
et Richer' comme réflexes spinaux. En premier l
ême dans les cas où l'exagération de ce symptôme est très pro- .'
Charcot
et Richer. Contribution à l'étude de l'hypnotisme
opagation de l'irritation se fait selon les lois de Pflùger, et MM.
Charcot
et Richer avouent que, dans les circonstances h
on de l'augmentation de l'irritabilité, le fait mentionné par MM.
Charcot
et Richer : que c'est principalement sur les su
us tard, traitement de la syphilis des centres nerveux appliqué par
Charcot
, Fournier, Doyon (à Uriage) et Bouyet (à Amélie
s cliniques ont été plus spécialement dirigées par M. le professeur
Charcot
. L'examen eut lieu le 14 janvier 1886. Annette
e sait pas alors si elle a ou non des convulsions. M. le professeur
Charcot
essaie de l'hypnotiser en lui faisant regarder
vation offre une grande analogie avec les faits relatés d'abord par
M. Charcot
, puis par MM. Bourneville, Blon- deau etTruchet
ur penser; d'où l'exis- tence de types sensoriels, comme l'a établi
M. Charcot
. Le type visuel est le plus fréquent après le t
ne. Sur le premier, il confirme l'explication proposée déjà par MM.
Charcot
et Vulpian, mais 'que l'insuffisance des méthod
n des hôpitaux. M. le docteur Babinski, invité par M. le professeur
Charcot
, à la clinique des maladies nerveuses, à exposer
r les différences capitales qui séparent l'École de Nancy de celle de
M. Charcot
. Selon lui, l'œuvre de la Salpétrière, malgré les
n'aurait pas tenu un compte suffisant de ce fait, mis en lumière par
M. Charcot
, à savoir que l'hystérie peut revêtir tous les ca
e un agent révélateur de l'hystérie. Après la leçon de M. Babinski,
M. Charcot
, prenant la parole, a revendiqué pour l'école de
océdant, disaient-ils, des expériences faites a la Salpétrière par le
docteur Charcot
et d'autres princes de la science. Il n'y avait
ces formes morbides avec la maladie des tics convulsifs, étudiée par
Charcot
et Guinon. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Hygiène d
Hordeaus. — Ouvrage précédé d'une lettre-préface de M. le professeur
Charcot
, 9 volumes in-8* de 530 pages chacun, avec 133 li
ndications, les lacunes et les omlMtona de l'Index ;bibliographique
Charcot
et Guinon, — Documents pour servir à l'histoire d
emple un cas qui n'est pas dépourvu d'intérêt : Vous savez tous que
Charcot
et ses élèves Paul Block, Tyssen, Ladame et autre
'exposer dernièrement dans une leçon que mon maître, M. le professeur
Charcot
. a bien voulu m'inviter à faite à la Sal pétri èr
es de la Salpêtrière il aurait donc apprécié au même point de vue que
M. Charcot
et ses élèves; un an plus tard, devenu Nancéen, i
que l'École de la Salpêtrièro s'est fourvoyée, si l'on admet que MM.
Charcot
, Richer, Binet, Féré, Babinski, Gilles de La Tour
45. C'est sur la fin de 1885. à la Salpètrière, dans le service de
M. Charcot
, qu'il m'avait été donné de voir pour la première
ne sont que l'effet de la suggestion. On sait que lesdeus écoles de
Charcot
et de Bernheim se combattent arec acharnement sur
omènes, qui seraient caractéristiques des trois périodes décrites par
Charcot
, et considèrent ainsi le grand hypnotisme comme u
s établies, comme type de la phénoménologie hypnotique par l'école de
Charcot
, qui en a fait la base de toute la nosographie de
de nature à justifier la division nosographique admise par l'école de
Charcot
, des trois périodes du grand hypnotisme, qui ne c
rveux, mais représenteraient, pour me servir des mêmes expressions de
Charcot
, une série d'états différents les uns des autres,
hiques. De même, les phénomènes musculaires qui, d'après l'école de
Charcot
, seraient les seuls vraiment caractéristiques et
, soit un état intermédiaire entre la catalepsie et la contracture.
Charcot
et Richer (2) constatèrent que les contractures d
ir des influences aussi faibles que les stimulants qu'il employait.
Charcot
, lui-môme, cite plusieurs cas analogues. Chez l'h
mémo dans les cas d'hystérie chez un homme (5). Il y a plus encore :
Charcot
nous cite un cas où il a vérifié, chez la femme h
et Miuotti. — Loc. cit. Pages |ï et 18. (5) Ouvrage dté. — Leçons de
Charcot
. nerfs (contracture léthargique), Fimmobilité c
dans des conditions ideutiques d'expérimentation), comme le prescrit
Charcot
et son école, ni la suggestion elle-même, ne sont
us par divers neurologis tes, tels que Ri che t, Vizioli, Babinski et
Charcot
lui-même, comme étant deux faits de nature pres
pital Saint-Louis, ils ne paraissent guère, à en croire le professeur
Charcot
, être doués des mêmes rertus sur les tahétiques d
a. l'étude des aphasies »- (Revue de médecine, n° 5, 10 mai 1891.)
Charcot
. — « Sur un cas d'hystérie simulatrice du syndrom
ecueillie par Soucques.) (Archives de neurologie, n° 63, mai 1891.)
Charcot
(J.-M.). — « Leçon sur un cas d'hystérie masculin
rière. — Clinique des maladies du système nerveux. — M. le professeur
Charcot
a repris ses leçons du mardi depuis le 27 octobre
plus diverses. Mou émineni maître de la Salpêtrière, le professeur
Charcot
, le disait tout récemment encore: i Les types son
ois et conduire peu à peu au marasme et même à la mort. Le professeur
Charcot
dit connaître, pour sa part, quatre cas de termin
é à Caen, qui était atteinte de sitiophobie et qni avait refusé (1)
Charcot
, *ur Ut Maladie» du tytlème nerveux. Paris, 1837,
ques mois, dans une leçon faite à la Salpétrière sous les auspices de
M. Charcot
, M. le Dr Babinski maintenait que la division du
sme », comme on disait alors? Décision célèbre... Depuis sont venus
Charcot
, Liébeault, Liégeois, Bernheim, Dumontpallier, Bé
sme et l'expertise médico-légale. Banquet offert à H. le professeur
Charcot
. Les anciens élèves de M. Charcot ont fêté, le
Banquet offert à H. le professeur Charcot. Les anciens élèves de
M. Charcot
ont fêté, le samedi S mars, chez Durand, la récen
locution très applaudie, a fait l'apologie de l'œuvre scientifique de
M. Charcot
: c Mon cher maître, a-t-il dit en terminant, t
n profonde et ils sont heureux de votre gloire qni rayonne sur eux.
M. Charcot
, visiblement touché de tous ces témoignages d'aff
C'est ce qui explique pourquoi beaucoup d'élèves et d'admirateurs de
M. Charcot
, n'ayant pas été prévenu* de la date de cette fêt
t largement, —jene voudrais me placer, ni au point de vue exclusif de
M. Charcot
, ni au point de vue exclusif des Nancéens, encore
e professeur Chakcot (clinique de la Salpêtrière). M. le professeur
Charcot
a consacré récemment une de sas leçons à l'étude
. Mais ici, après le 30 août, t'e*t ouverte une période d'amnésie que
M. Charcot
appelle antérograde, amnésie qui a des caractères
non plus qu'aucun des élèves qu'elle voit pourtant chaque jour. Seul,
M. Charcot
est connu d'elle, et cela par suite d'une circons
de paralysie, raconte qu'après avoir été soignée sons succès par SI.
Charcot
, elle est venue au Havre consulter Bloche; elle e
dications, les lacunes ei las omlssiona do l'Index fimnooraptilquo.
Charcot
et Dutil.. — - Sur un cas de paralysie générale p
uckey, 136, 171. Amnésie rétrograde et antérograde (un cas d'), par
Charcot
, 334. Amnésie rétrograde (un cas d'), 62. Ane
Autographisme, par Delbœuf, 257. Banquet offert à M. le professeur
Charcot
, 286. Britisch medical association, 393. Cent
63. Brunet, 182. Brydon, 198. Carrieri, 347. Chapman, 199.
Charcot
, 286, 334. Chatelain, 263. Levillain. 29. 239
ux), il est probable qu'il en est de même chez l'homme. On sait que
Charcot
a relaté d'assez nombreux cas de mort par inani-
t., XXVI, 1.) C'est toujours la question de l'hystérie traumatique (
Charcot
) qui est en jeu; étude minutieuse des symptômes
ité, pour déjouer la simula- tion. Ce mémoire confirme les idées de
Charcot
et traite de la super- position possible de név
nalogie clinique avec la pachyméningite cervicale hypertrophique de
Charcot
et de Joffi oy. Homme de trente-neuf ans, hér
aire progressive. Cette nouvelle concep- tion synthétique est due à
Charcot
. C'est, en effet, le grand neu- ropathologiste
ées,qui neformenten réalité qu'une seule classe, comme l'a démontré
Charcot
. C'est dans le second groupe qu'on doit faire e
thies si remarquables n'aient pas été reconnues plus tôt, car c'est
Charcot
qui les a décrites le premier. Toutes les artic
ingomyélie à forme mixte, la syringomyélie type Morvan, décrite par
Charcot
. La lésion doit être localisée plutôt vers les
ype médian postérieur de la classification anatomo-physiologique de
Charcot
. CAMUSET. XVI. LES arthropathies TROPHIQUES au
chloroforme. C. - XVII. Migraine ophtalmique EU aphasie; par J. M.
Charcot
. (Nouvelle lnonog. de la Salpêtrière, 1895, n°
ntégralement d'après le texte du manus- crit original du professeur
Charcot
,. Exemple d'un cas d'aphasie transitoire, à rép
volumes. PLOrr et Ci., éditeurs. Dans la préface que le professeur
Charcot
a consacrée au Traité clinique et Thérapeutique
ment et des travaux qu'il a inspirés à ses élèves. Si le professeur
Charcot
avait pu lire la seconde partie de ce traité, i
derniers sont l'inter- prétation fidèle des opinions du professeur
Charcot
et des travaux de l'école de la Salpêtrière. Ce
aître, et ils jugeront comme nous cet ouvrage tel que le professeur
Charcot
l'aurait voulu. Fidèle aux traditions de l'écol
a Salpêtrière on n'ait pu observer la régularité de ces phases dont
Charcot
a donné la description. Cette succession des tr
MM. G. de la Tourette et de Cathelineau constituent, comme l'a dit
M. Charcot
, une « véritable découverte ». Ce sont ces rech
d'une façon irréfragable la merveilleuse intuition qui avait poussé
M. Charcot
à faire partie du même tout des phénomènes clin
miques hysté- riques. Il met bien en évidence que, comme l'enseigne
Charcot
, la chorée rythmée n'est qu'une attaque hystéri
e. M. Gilles de la Tourette y a mis tout le fruit que le professeur
Charcot
avait patiemment recueilli à ce sujet dans sa l
ssium avec le bromure d'ammonium et de sodium a paru à M. Ball et à
Charcot
produire de meilleurs effets que le bromure de
rammes de chaque par jour. Voici d'ailleurs la formule employée par
Charcot
à la Salpêtrière : DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPI
droite. En terminant son travail, l'auteur rappelle ce que disait
Charcot
de l'importance des études morphologiques humai
pes rachidiennes sont plutôt attaquées que les méninges du cerveau.
Charcot
, dans ses Leçons sur les maladies du système ne
nique de notre maître très regretté et très illustre, le professeur
Charcot
, auquel je ne puis malheu- reusement plus faire
vrier 1892, salle Duchenne de Boulogne (service de M. le professeur
Charcot
). M. Dutil a vu cette malade pour la première f
iénation mentale et, plus récemment, Duclieune (de Boulogne) et mon
maître Charcot
, ces deux génies créateurs de la neuro- patholo
tiques. Sans doute, la volonté puissante et la sage prévoyance de
Charcot
, en accumulant à la Salpêtrière tous les matériau
son successeur. Aujourd'hui donc, et ce résultat nous le devons à
Charcot
, la neuropathologie est brillamment enseignée,
ot, l'Ecole psychologique anglaise, et comme le répétait volontiers
Charcot
. C'est pour avoir un moment méconnu cette vérit
la maladie de Basedow. Mais le goitre exophtalmique, considéré par
Charcot
comme une entité morbide, est plutôt envisagé a
, il représente les deux tableaux : Pinel, délivrant des folles, et
Charcot
étudiant l'hystérie à la Salpêtrière, phototypi
rt Ballet, F. Raymond,Deny, Bourneville; le distingué successeur de
Charcot
à la Salpêtrière; Bayssellance, Bourru, Picot,
sie spasmodique de Erb, c'est-à-dire du tabes dorsal spasmodique de
Charcot
. Les considérations cliniques et anatomiques ti
n tabes dorsal spasmo- REVUE DE pathologie nerveuse. 319 dique de
Charcot
, un instant condamné et auquel on tend à reveni
à l'appui de l'opinion de Leyden et de Gowers opposée à celle de
Charcot
, sur le rapport qui existe entre la sclérose laté
s cavités de la pachyméningite cervicale hypertrophique décrite par
Charcot
et Joffroy. Dans ce cas, les cavités développées
ntéressants ont été publiés en Angleterre par Gowers, en France par
Charcot
, Oulmont, Proust, Landouzy, Grasset, Brousse, B
es autres formes de l'atrophie des muscles. . Dans ce but, M..J.-B.
Charcot
nous fait d'abord assister à l'évolu- tion hist
n font l'anatomie patho- logique que complètent Prévost et Vulpian,
Charcot
et Joffroy, Duménil, Hayem, etc. Sous l'influen
clérose latérale amyotrophique. <" ' ' ) » Mais si la maladie de
Charcot
, la pachyméningite cervicale hypertrophique de
elles occupèrent momentanément. Aussi lorsqu'en 1885, le professeur
Charcot
faisait une lumineuse revision des atrophies mu
scence des fibres des cellules de cordon déjà décrites en 1866, par
Charcot
et son élève Bouchard, sous le nom de fibres co
sie, labio-glosso-laryngée fut étudiée analomiquement par Leyden,
Charcot
et Joffroy. Erb en 1879, décrivit une forme qui t
teur rappelle les travaux de Dagonet et Magnan (1873-1874), ceux de
Charcot
, qui ont montré que certains symptômes observés
traumatiques, adoptant ainsi une position mixte entre les idées de
Charcot
et celles d'Oppenhein et autres auteurs qui sou
ckman se vante d'avoir fait des expériences avec le concours de MM.
Charcot
, Luys, Iticliet, Gilles de la Tourelle, etc. No
illoll, Moritz, ceux de Ritti, Tomassio, Lombroso, Moreau, Magnan,
Charcot
, 1'arnowsh;y, Lacassagne et ses élèves. Il rappel
P,\TIII ES tabéliqnes, bilatérales et symétriques, par Souques et
Charcot
, 71. - syrmgomyéliques, par Londe et Serrez, 71
s, par Noecke, 416. Migraine ophtalmique et aphasie, par J.-Di.
Charcot
, 74. Moelle épinière. Tubercule di, la - par
TtQUE. Arthropathie -, bilaté- rale et symétrique, par Souques et
Charcot
, 71. Thyroïde. Corps - et maladie de Basedow,
161. Buscliau, 415. Campell, 155. Challan de Belleval, 247.
Charcot
(J.-B.), 71, rf3. Charcot (J ? 11.), 74. Char
ell, 155. Challan de Belleval, 247. Charcot (J.-B.), 71, rf3.
Charcot
(J ? 11.), 74. Charpentier, 248. Chipault, 73
plus juste; mais cela ne prouve en rien l'identité des deux états.
Charcot
a, depuis longtemps, rappelé, à propos de la neur
squels on ne trouve pas ces caractères spécifiques de l'hystérie, que
Charcot
et ses élèves ont si magistralement établis. De
nous efforçons de résoudre. Nos maîtres de la première heure, Azam,
Charcot
, Mesnet, A. Voisin, Durand de Gros ainsi que notr
: Ed. BERILLON 18'An.née. — ?» 4. Inauguration du monurirënt de
Charcot
à Lamalou Octobre 1903. Le dimanche 27 septem
la ville de Lamalou (Hérault) était en fête. Elle payait à l'illustre
Charcot
, auquel elle doit sa Charcot-(1823-1833) noto
te tribut de reconnaissance en inaugurant un monument dû au ciseau de
Madame Charcot
. Un grand nombre de notabilités scientifiques ava
seur au lycée de Monte pellier a lu une ode intitulée : « Le siècle à
Charcot
», puis le maire, M. le Dr Bélugou, dans un disco
Bélugou, dans un discours très goûté a exposé l'œuvre considérable de
Charcot
: Créateur et organisateur de l'Ecole de la Sal
surnom de rénovateur de la neuropathologie. Enumérer les travaux de
Charcot
, c'est passer en revue toute la série des conquêt
le professeur Raymond retracent la vie et la carrière illustre de
Charcot
. M. Raymond rappelle en particulier comment Charc
rière illustre de Charcot. M. Raymond rappelle en particulier comment
Charcot
fut appelé à donner son puissant patronage à Lama
e ministre prend ensuite la parole. Il établit un rapprochement entre
Charcot
et Renan et dit qu'ils doivent être mis, l'un et
l'autre, au rang des hommes qui ont eu l'influence la Une leçon de
Charcot
. — Tableau de Brouille! plus profonde sur les e
sa sphère, s'est acharné à combattre l'erreur. L'honneur revient à
Charcot
, dit-il, d'avoir attaqué Terreur dans le plus sûr
II n'y a, écrivait Renan, ni miracles, ni lois intérimaires », et
Charcot
, exprimant la môme idée en termes analogues, écri
l'autre partant uniquement d'expérimentations scientifiques, Renan et
Charcot
aboutissent à des constatations rigoureuses qu'il
es, à s'associer une fois de plus aux hommages rendus à la mémoire de
Charcot
. Elle ne saurait oublier que notre illustre maîtr
à ces conséquences : l'angine de poitrine. Au moment de la mort de
Charcot
, j'avais à traiter un angineux ; c'était un vieil
e l'effrayait nullement. Un jour, il lit dans les journaux la mort de
Charcot
et apprend qu'il a succombé brusquement à une ang
on. Ce sont des accidents laryngés hystériques, comme l'a bien montré
Charcot
, des spasmes inspiratoires ou expiratoires ou à l
des diverses opinions émises, l'auteur n'hésite pas à conclure, avec
Charcot
et Magnan, par la négative. Vient ensuite la simu
scientifiques si magistralement exposées par les Claude Bernard, les
Charcot
et les physiologistes contemporains. Le litre de
remplace alors l'une quelconque des périodes classiques décrites par
Charcot
, la phase convulsive,de préférence: plus rarement
e service de notre maître le Dr Jules Voisin, et au sujet de laquelle
Charcot
fit plusieurs leçons magistrales ; c'est la dorme
osons une dormeuse anesthésique totale. Lorsqu'il présentait Eudoxie,
Charcot
disait : a Nous pouvons parler de son cas devant
ésente chez elles les mêmes signes extérieurs qui ont été décrits par
Charcot
et son école comme étant caractéristiques de la g
e, je m'occupais beaucoup, en compagnie de camarades, qui, bien avant
Charcot
, avaient entrevu cette terre inconnue : l'hypno-t
ères se rapprochent surtout de la période de l'hypnotisme décrite par
Charcot
sous le nom de léthargie. ? II est possible qu'
nce. Très modestement il a rapporté à ses anciens maîtres, Gintrac et
Charcot
, à ses amis, à ses collaborateurs, même à ses élè
seignant de la Faculté de Paris, comme chef de clinique du professeur
Charcot
. Le 12 février 1804, mourait à Kœnigsberg le cé
'hypnotisme, ce qui serait d'accord avec l'enseignement de l'Ecole de
Charcot
. REVUE DE LA PRESSE Les éloges â la mémoire d
e doit une de ses méthodes de guérison les plus fécondes, le rival de
Charcot
, le maître de Bernheim, vient de s'éteindre sans
ole de Nancy qui fut longtemps opposée à l'école de la Salpëtrîèrc où
Charcot
donnait son enseignement, le docteur Liégeois a p
Du sommeil et de quelques états analogues, antérieures aux travaux de
Charcot
sur l'hypnotisme, trouvé-rent des adeptes à la Fa
insi à Nancy une Ecole psychologique. Elle combattîi les doctrines de
Charcot
et de l'Ecole de la Salpêtrière, qui considéraien
d'annoncer à nos lecteurs que M. le professeur Raymond, successeur de
Charcot
dans la chaire des maladies nerveuses à la Salpé-
festations cutanées de la diathèse vaso-motrice, ainsi que l'appelait
Charcot
. Quand, avec le doigt, on raie la surface de la
le de Nancy. La doctrine ainsi formulée, combattue longtemps par le
Dr Charcot
et son Ecole, a fini par l'emporter tant en Franc
Miracles du Curé d'Ars devant la science (Les), p. 348. Monument
Charcot
à Lamalou (Inauguration du), p. 97. Mutisme pro
13. Wetterstrand (La méthode de), par Li-pinska, p. 74. FIGURES
Charcot
(Médaillon), p. 97. Une leçon de Charcot (Table
pinska, p. 74. FIGURES Charcot (Médaillon), p. 97. Une leçon de
Charcot
(Tableau de Brouillet), p. 99. M. le Dr Liébeau
attaques des caractères spéciaux. Notre maître, M. le professeur
Charcot
, nous a en- gagé à vérifier le fait sur les épi
et cette para- lysie est surtout marquée dans le membre inférieur.
M. Charcot
a fait la même remarque. Cette notion se trou
énible. C'est dans cet état qu'il est venu trouver M. le professeur
Charcot
qui nous l'a confié. Etat actuel, 2t janvier 18
oit se borner à les appliquer le long de la colonne vertébrale. 1
Charcot
. Leçons sur les maladies du système nerveux. T. 1
,A ? ta<OMM des centres nerveux, trad. de Keller. Paris, 4879. -
Charcot
, Leçons sur les localisations dans les maladies
c/ttde ? 'X<t<s. Ahademie des Wissenschaften zu Vte ? 4839. -
Charcot
, Leçons sur les maladies du système nerveux, 1872
ont des; faits bien connus, grâce aux recherches de Turck (1859),
Charcot
(187-2), Magnan (1873) dans le domaine de la clin
yer, etc., n'ont fait que confirmerles conclu- sions de Turck et de
M. Charcot
. On saitaujourd'huiquelalésioncapsulairequi dét
rapport avec l'opinion que nous avons souvent entendu exprimer par
M. Charcot
: à savoir que ce qui joue le plus grand rôle d
ssé guider par des questions de sentiment. Il ne faut pas, en 1 MM.
Charcot
, Magnan et Blanche ont en effet été appelés il do
e nom de sensation sexuelle contraire (inversion du sens génital de
M. Charcot
), l'amour de l'homme pour l'homme, de la femme
'étudier ces variations de résistance au point de vue pathologique.
M. Charcot
venait justement de rappeler [Société de biolog
e ce fait. C'est à la Salpêtrière, sous les yeux pour ainsi dire de
M. Charcot
et du D' R. Vigoureux, qu'ont eu lieu ces nouve
ectés. ' En terminant mon travail, je remercie M. le pro- fesseur
Charcot
et M. Magnan de leur aimable accueil et de la g
01f0-P.lTÜOLOGI(UE DE LA SALPÊT1UÈRE ; Par Cn. FÉRÉ. · Depuis que
M. Charcot
a appelé l'attention sur les affections articul
e de la Salpêtrière. Plusieurs d'entre elles ont été déposées par
M. Charcot
au musée Dupuytren, d'autres dans des musées de
e. I. La plus remarquable est le squelette de la nommée B..., que
M. Charcot
a présenté avec le moule en cire de la malade a
de Méniëre ne fut véritablement améliorée que par le traitement que
M. Charcot
faisait connaître à ses auditeurs, à la Salpêtr
l'angle interne de l'oeil jusqu'à l'occiput. 1 Depuis cette époque,
M. Charcot
a employé avec un certain succès, le salicylate
re de l'bystéro-éyilepsie, en mettant à profit les travaux de MM.
Charcot
, Bourneville et lticller ; .son but, il le dit lu
! 7epSM n'avaient observé ces zones 4lui'à la tête et au tronc, et
M. Charcot
, dans une récente leçon sur l'hystérie chez les
zones elles-mêmes. Les zones mammaires comme les zones ovariennes (
Charcot
. Féré, Baraduc) siègent dans la glande elle-mêm
de Flourens et de ses successeurs, les leçons de M. le professeur
Charcot
, les travaux des élèves de la Salpê- trière, on
de Voury, de Bonnenfarit, de Lhuissier et de Léo, les cliniques de
M. Charcot
; l'éludé récente de MM. Féré et Demars ; les le
ables dans. le vertige. Tout dernièrement encore M. le professeur
Charcot
a montré' tout le parti qu'on peut tirer de l'e
sujet mort par accident (apoplexie pul- monaire) dans le service de
M. Charcot
. Il était atteint de vertige de Ménière, dont l
point qu'un moment on a pu croire que le traitement si excellent de
M. Charcot
n'agissait qu'en hâtant la terminaison par surd
la surdité et des bourdonnements d'oreilles si caractéristiques que
M. Charcot
en fait un signe de l'affection" et que les mal
dont l'origine est exactement contemporaine; un malade observé par
M. Charcot
fut pris une nuit, sans perte de connais- sance
tes qui nous ont été communiquées par notre maître M. le professeur
Charcot
. Plusieurs sont particulièrement intéressantes
a fois incomplète et tout à fait éphémère comme chez un malade de
M. Charcot
. ' Observation VI. Le D IL ? diabétique. Faible
rieurs, comme nous le trouvons mentionné dans une note adressée à
M. Charcot
par M. le Dl Stokvis (d'Amsterdam), à propos d'un
lysie transitoire de même siège, comme le montre le fait suivant de
M. Charcot
. Observation VU. M. M..., diabétique. Épilepsie
Bien souvent, la douleur revêt la forme névralgique. Un malade de
M. Charcot
fut atteint d'une névralgie faciale 1 Lécorclié
s névralgies, il faut citer les douleurs fulgurantes sur lesquelles
M. Charcot
a appelé l'attention à plusieurs reprises dans
français et étrangers. Depuis plusieurs années, M. le professeur
Charcot
a introduit ces recherches sur la circulation de
Sens génital (inversion du), et autres perversions sexuelles, par
Charcot
et Magnan, 296. Sensitif (le faisceau), et les
swanger, 246. Bouriieville, 52. Briand, 121, 246. Burmam, 95.
Charcot
, 296. Charpentier, 93, 96, 97, 227, 230, 400.
est nourrie par des rameaux de l'artère de l'hémorrhagie centrale (
Charcot
), venant elle-même de la cérébrale moyenne. La
ard que, conduite par le nombre et la qualité des faits, l'école de
M. Charcot
, sans quitter le point de mire fixé par Broca,
s attaques cessèrent et, sous l'influence du bromure pres- crit par
M. Charcot
, ne se sont point reproduites depuis, mais elle
rvation VI. Eclampsie puerpérale ; épilepsie. (D'après des notes de
M. Charcot
.) Mmo M. de L... Juin 1868. - A l'âge de vingt-
et, en ce moment, dans le service de notre maître, M. le professeur
Charcot
, un cas qui, par bien des points, se rapproche
deuxième sujet; son observation et trois autres qui appartiennent à
M. Charcot
, seront rapportées dans un prochain travail sur
conclusions suivantes, qui concordent avec celles du travail de MM.
Charcot
et Pitres (Revue de Médecine, 1883)..1. Il exis
rexcitabilité des nerfs serait fort analogue à celle si- gnalée par
M. Charcot
dans la première de ces affections; quanta à la
hésite pas à les rapprocher des phénomènes de transfert décrits par
M. Charcot
; il pense, avec M. Vulpian, que certaines excit
d'autre part, grâce aux travaux de Briquet, grâce surtout à ceux de
M. Charcot
, que la ressem- blance dans les phénomènes symp
t alors simplement d'un état de mal épilepti forme, comme l'appelle
M. Charcot
, qui, il y a longtemps déjà, à propos d'une obs
observés par l'un de nous', dans le service et sous la direction de
M. Charcot
, d'autres relatés par différents 1 G. Ballet. D
avons été à même d'observer dans les services de nos maîtres, MM.
Charcot
et Legrand du Saulle, à la Sal- pêtrière. Les c
ef de clinique de la faculté, observait dans' le 'service1 rie - °-
M. Charcot
, une hystérique bien connue, Hab.... qui, du 16 a
c de premier ordre dans les cas embarrassants. Les travaux de MM.
Charcot
, Bouchard et Bourneville ont, depuis longtemps,
nous pouvons rappeler le cas bien connu de la femme Co..., que cite
M. Charcot
dans ses leçons sur les maladies du système ner
M. Charcot dans ses leçons sur les maladies du système nerveux '.
Charcot
. Leçons sur les maladies du système nerveux, t. I
açon tout à fait exceptionnelle et transitoire. » Et, de ce fait,
M. Charcot
rapproche l'observation d'une épileptique Cheva
é suivie pendant pies de deux ans (188t et 1882) dans le service de
M. Charcot
. M. Féré a mis obligeamment à notre disposition
du même travail recueillie, comme la précédente, dans le service de
M. Charcot
et communiquée à la Société anatomique (27 avri
limité oel'insul'a] Lës^'aulresiobsérvations/sontl de '- 1111 : 'L
Charcot
j (I)',1 GornilIôrVi (IV) ,9Sabourinl (L)n Séjû
ive à la troi- sième frontale gauche, publié par M. le professeur
Charcot
en 1874, et connu depuis cette époque par tous
que les vaisseaux de la parole ne fonctionnaient pas dans le cas de
M. Charcot
, tan- dis qu'ils étaient sains dans celui de M.
THOLOGIQUE. IRRADIATIONS CAPSULAIRES. Au moment où l'observation de
M. Charcot
a été prise par M. Bourneville, il était nature
ention en 1874. Pour ces motifs, nous demandons si l'observation de
M. Charcot
ne doit pas être mise à l'avoir de notre opinio
range à cet avis. L'idéation (Magnan), ou la faculté du lan- gage(
Charcot
) s'étale sur toute l'étendue de l'écorce cé- ré
à s'apercevoir que, malgré la clarté des Leçons do M. le professeur
Charcot
sur l'anatomie des circonvolutions cérébrales',
,. t.,...» ? jriM . -f ,< I 10 La scissure de Sylvius (Broca,
Charcot
); f Synonymie : Grande, scissure inlerlobaire,
actuellement, ne saurait être qu'une copie, a. Frontale ascendante (
Charcot
). Synonymie : Quatrième frontale ; Processi ent
tralis ou antero-cenlralis. b. Circonvolution pariétale ascendante (
Charcot
). Synonymie : Première pariétale; Processi ente
semaines, si on le soustrait à la morphine; cet état signalé parm.
Charcot
est le premier signe de l'imprégnation mor- phi
breux, selles rares, éruptions cutanées fréquentes et qui, d'après
M. Charcot
, ne seraient que des manifestations de diathèses
service de M. Legrand du Saulle, nous suivions, dans le service de
M. Charcot
, une malade atteinte d'attaques convulsives, su
e que nous ayions rencontrée est celle d'une malade du service de
M. Charcot
. Observation IV. Fore... (Camille), dix-huit an
nées entières. La malade entre à la Salpêtrière, dans le service de
M. Charcot
, en janvier 1883. Nous ne constatons pas chez e
pilepsie partielle, con- formément la loi établie depuis longtemps (
Charcot
, Bouchard, Bourneville) d'après laquelle l'hype
exemples suivis d'autopsie, à la Sal- pètrière, dans le service de
M. Charcot
. Le premier relatif à une malade nommée Laulai.
ne atro- 1 Voy. poar l'explication des signes allemands la leçon de
M. Charcot
Maladies du système nerveux, t. 111, fascia. i,
apable de s'appliquer tous les cas. L'auteur rap- pelle ici que MM.
Charcot
et Ricber, et, après eux, MM. Tamburini et Sepp
s honoraires. La France a comme représentants : MM. les professeurs
Charcot
et Pasteur. Nécrologie. Les journaux politiques
distinction somatique des trois états du grand hypnotisme décrits par
Charcot
. D'après lui, dans la période léthargique, cett
t musculaire augmentée. Cette hyperexcilabilité neuro-musculaire de
Charcot
et de l'école de la Sapètrière tient-elle réellem
musculaire subit des modifi- cations. A ces expériences négatives,
Charcot
pourrait répondre peut-être qu'elles n'ont pas ét
cubital et le péronier . j'ai ajouté le facial qui a servi souvent à
Charcot
pour la démonstation de l'excitabilité neuro-musc
nce de l'électricité (à l'occasion de l'application du gros aimant de
Charcot
), elle n'a bit que s'accentuer. Pour indemne de t
Où Grasset par exemple s'éloigne, et de la façon la plus complète de
Charcot
, c'est sur l'interprétation du mécanisme pathogén
use dan, les cas de ce genre. Depuis la classification formulée par
M. Charcot
, des variétés nouvelles ont été observées, et bie
ications de la marche De même Binswanger n'admet pas la conception de
Charcot
développée par Blocq sur la nature de l'affection
n debout qu'elle présente réalisent le syndrome astasie-abasie de MM.
Charcot
et Blocq, qui rattachent ces désordres à des trou
donné son nom ; Liébeault a pris soin de son enfance ; MM. Richet et
Charcot
l'ont présenté dans le monde ; M. Bérillon !'a fa
art des opinions sont le reflet plus ou moins fidèle des doctrines de
M. Charcot
. On n'a qu'à se rappeler son travail sur « l'ac
et l'hypnotisme. Récents travaux scientifiques de Biraid à Richet, de
Charcot
à Bernheim. 11e Leçon. — Les -eux écoles de la
tre elles sur le terrain des faits positifs. Le grand hypnotisme de
Charcot
est l'hypnotismr des grandes hvstcriques ou hysté
Parcelle conclusion, en desaccord évident avec l'opinion emise par
M. Charcot
et ses élèves, l'École de Nancy recevait une cert
directe-: ment des idées de M. Liébeault, mais aussi par un élève de
M. Charcot
. M. Botter appuyait son opinion sur les faits exp
u'il est compétent dans cette science « pour avoir reçu des leçons de
M. Charcot
». Je crains que la matière ne suit un peu plus
l'étude et 1a pratique. Le désaccord des écoles et d'hommes comme MM.
Charcot
et Beraheim en est la preuve. Quant à moi, adepte
des phénomènes que l'on observe chez les individus hypnotisés. Pour
M. Charcot
et ses élèves, l'hypnotisme est un état pathologi
rons — le triomphe des idées do nos deux maîtres, MM. les professeurs
Charcot
et Brouardel, à la défense, desquelles, depuis pl
al connues avant l'intervention de son chef. Entre temps, dès 1878,
M. Charcot
, rompant en visière avec les préjugés les plus ri
c., cit.). M. Bernheim sait pourtant bien le contraire. Pratiquement.
M. Charcot
s'est servi de l'hypnotisme pour interpréter la m
que nous avons consacré le chapitre IX de notre travail, inspiré par
M. Charcot
, '('Hypnotisme), etc. 1887, aux applications thér
s et femmes, étaient tous des hystériques caractérisés. Pendant que
M. Charcot
poursuivait le cours de ses travaux, et qu'au poi
rs, et do plus morphinomane, placée en observation dans le service de
M. Charcot
. fut reconnue comme étant réfrac-taire à l'hypnot
Charcot. fut reconnue comme étant réfrac-taire à l'hypnotisme. (I)
Charcot
. Accidenta hystériques graves survenus chez une f
d'esprit, a été très goûtée des auditeurs. Hôpitaux de Paris. MM.
Charcot
, Potain. Mesnet, Vidal, Laboulbène, Féréol, nés e
nt atteints par la limite d'âge commo médecins de* hôpitaux; mais MM.
Charcot
et Potain. qui ont leur service à l'hôpital à tit
ils seront professeurs, c'est-à-dire jusqu'à l'âge de 70 ans. et même
M. Charcot
, qui joint à ces titres celui de membre de l'Inst
vons observé un assez grand nombre. » L'opinion de M. le professeur
Charcot
, si l'on s'en tient au texte exact de ses déclara
llain (Dr fernand). — La Neurasthénie, avec une préface du professeur
Charcot
, et suivie d'une Notice thérapeutique, par le D
résultai de nos recherches faites dans le service de M. le professeur
Charcot
sur la nutrition dans l'hynoptisme. Celles-ci, no
ain, ancien élève de la Salpètrière. — Avec une préface du professeur
Charcot
et suivie d'une notice thérapeutique par le DT Vi
ours honneur au maître dont il se reconnaît l'élève, H. le professeur
Charcot
, el une richesse de détails qui dénote une grande
nd nombre, plus ou moins importants et groupés de manière diverses.
M. Charcot
a donné le nom de stigmates neurasthéniques à tou
r un succès que lui assure encore une élogieuse préface du professeur
Charcot
. Mais ce n'est pas tout : le neuropathologue cu
personnalité, par M. le professeur Chabcot (1). M. le professeur
Charcot
a examiné à sa clinique deux malades extrêmement
ien fait pour l'y amener, elle présente tous les caractères de ce que
M. Charcot
appelle le grand hypnotisme. Si, au moment où ell
ataleptique en lui soufflant sur les yeux. Elle présente aussi ce que
M. Charcot
appelle la contracture somnatnbulique, c'est-à-di
solument semblables à celui-là, s'en rapprochent à beaucoup d'égards.
M. Charcot
a pu en présenter un second cas tout à fait compa
c des faits forts intéressants, étudiés pour la première fois par MM.
Charcot
et Bouchard, en 1866, (1J et sur lesquels M. le p
esquels M. le professeur Pitres a de nouveau attiré l'attention (1)
Charcot
et Bouchard. Douleurs fulgurantes de rataxie tans
parler des crises clilori-dietmes du tabès. Dans l'observation de MM.
Charcot
et Bouchard, il survenait spontanément chez la ma
dans le tabès et dans la paralysie générale. Trousseau, le professeur
Charcot
ont signalé parmi les troubles gënito-urinaires d
Tarde, 1. Somnambulisme spontané avec double personnalité (du), par
Charcot
, 343. Somnolence (un cas curieux de), par L. S.
Bugney, 180. Burdeau. 190. Buret, 30. Cagny, 158. Cathelineau. 306.
Charcot
, 312, 313. Charpentier. 99, 180. Collineau, 82. C
emblablement peu fréquent, sur lequel notre maître M. le professeur
Charcot
a appelé notre atten- tion et qui jusqu'à ce jo
fance, et qui tout récem- ment est venu du Caire à Paris, consulter
M. Charcot
. Voici, dans ses détails, le fait dont il s'agi
de l'affec- tion pour laquelle il vient consulter M. le professeur
Charcot
que vers l'âge de dix ans ; il ne se rappelle p
aucun travail sur ce sujet; c'est notre maître, 111. le professeur
Charcot
, qui, en nous confiant le soin de prendre cette
es conjectures probables à leur égard. « Il n'est pas en effet, dit
M. Charcot
, une seule des pièces de l'appareil symptomatiq
phénomènes encéphaliques dont il fallait tenir compte. En effet,
M. Charcot
nous enseigne, qu'en pareil cas, la coexistence a
de ce genre, nous ne rapporterons que l'exemple suivant emprunté à
M. Charcot
: c'est le plus frappant modèle de diagnostic p
raduction clinique a pris le masque des formes appelées frustes par
M. Charcot
et s'est accusée pendant la vie, du côté des me
e leçon publiée récemment dans le Progrès médical, M. le professeur
Charcot
signale des cas de paralysie générale dont le d
s de nationalité diffé- rente); Par le Dr P. R1CHER. Depuis que
M. Charcot
a attiré l'attention des observateurs sur la ré
ou de l'étranger, parfaitement confirmatives de la description de
M. Charcot
. La liste pourrait en être aujourd'hui facilement
ter, dit-il, quel'hystéro-épilepsie telle qu'elle a été décrite par
M. Charcot
est assez fréquente à Saint-Péters- bourg. J'en
de l'impossibilité de la simulation. Quelques-uns, mal disposés 1
Charcot
. Introduction au livre de Paul Riclaer sur <'/
ea alors à user du procédé qu'il avait vu décrit dans les leçons de
M. Charcot
, de la compression ovarienne. La pression fut e
ous défendons ici, de l'uni- versalité du type récemment décrit par
M. Charcot
, de l'at- taque hystéro-épileptique, l'appoint
donne une analyse détaillée de tous les travaux de M. le professeur
Charcot
et de ses élèves sur la matière. Il rapporte
née de la grande attaque hystérique, à la suite de M. le professeur
Charcot
. (1 suivre.) REVUE D'ANATOMIE I. Sur les vais
ction du regard à gauche. Joseph Del..., onze ans. (Consultation de
M. Charcot
). Enfant mal développé. Microcéphalie. Agitatio
évation dans les deux yeux. M-1 Jéof..., vingt ans (Consultation de
M. Charcot
à la Sal- pètrière). Après avoir souffert penda
nviron après le premier examen, le malade, admis dans le service de
M. Charcot
, est dans un état qui ne permet pas de pratique
érieure. Le diagnostic de tumeur cérébrale porté dès le début par
M. Charcot
se confirme par cet ensemble de symptômes. Ce d
, vingt-trois ans, atteinte de sclérose en plaques (Consultation de
M. Charcot
). Symptômes oculaires. Un poudenystagmus dans l
. L'un des malades a fait l'objet d'une leçon de M. le professeur
Charcot
. Il présentait tous les symptômes d'une tumeur
vertiges semblables à celui de Ménière. Le second, soigné par MM.
Charcot
et Magnan, pré- sentait également de la titubat
neux arthritiques le salicylate de soude réussit dans les mains de
M. Charcot
. Le médicament par excellence des formes névros
e l'étude des névrites périphériques, et déjà les travaux de 111AI.
Charcot
, Joffroy, Cotard, Gombault , Westphal, Bernhard
de l'eschare est exceptionnelle ; elle a ce- pendant été notée par
M. Charcot
dans le travail où il a décrit pour la première
iplégiques.- Après avoir indiqué le mode de formation de l'eschare,
M. Charcot
ajoute : « Pendant que ces divers phénomènes se
me âgée de trente ans, morte le 15 juin 1882 d'une pleuro-pneu- '
Charcot
. -Note sur la formation rapide des eschares à la
r- che, connue d'avance, conforme àdes lois dont M. le professeur
Charcot
a indiqué les grandes lignes et les principaux tr
duta del 22 giugno 1882. ' Les auteurs confirment les recherches de
M. Charcot
qui dans l'hypnotisme distingue trois lormes pr
ennent d'un aliéné amauro- 1 Dans ses leçons de la Sallétrière, JI.
Charcot
insiste souvent sur le rôle de la syphilis dans
tion de leur premier mémoire sur les Localisations corticales', MM.
Charcot
et Pitres, ré- sumant en quelques propositions
e lumière la justesse de l'opinion si nettement' formulée' 'par MM.
Charcot
et Pitres, qu'à des lésions de sièges divers co
de cette note, ont été recueillies dans le service de notre maître,
M. Charcot
, qui, frappé de l'évidente analogie qu'elles pr
ysie au membre infé- rieur dans les premiers, temps de l'affection,
M. Charcot
ajoute : tuberculose méningée localisée au nive
précède viennent à l'appui de, l'opinion formulée 'autrefois* par
M. Charcot
, qui considérait'1'absehce des troubles sen- si
.. , ? t ' V'(|i| 11 ! t t'it) | -1. , ? ..rlllll. 13eerensprun ?
Charcot
6et-Cotard ? ,Satt)er ? Chandelux,5,- ont .décr
enrdehors de toute altération' gan- glionnaire1 (`Yerdnér ? Ka"6si
Charcot
? Rouget J1 Mit- cliell ? etc.), ! 'Noûs' sério
nts commencèrent, a; ,etret,connus ? iC'est-;a;dire, lorsque ? I.,I
Charcot
clécrivit,pou'r. la, première fois les arlhropâ
l'ordre 'des couleurs et' avec les oscillations' signalées par M :
Charcot
? M.' Rosenthal' fait ressortir le déplacement' c
pas une affection fréquente, tant s'en BIBLIOGRAPHIE. 411 1 faut.
M. Charcot
, faisant une leçon sur ce sujet, n'en a trouvé qu
istré à hautes doses pendant plusieurs années et à l'hydrothérapie (
Charcot
et Bournc- ville) comme moyen adjuvant. Les n
du phénomène de l'hyperexcita- bilité neuro-111LISCIIIiIIt'C, par
Charcot
et Iliclier, 307. Hypnotisme spontané, autonome
rosius, 397. Brunton, 234. Illicli, 352. Burghard, 12li, 266.
Charcot
, 307. Charpentier, 245, L)i6, 304, '110, si 12.
x d'origine médullaire. Dans le tome II de ses « Leçons du mardi »,
Charcot
a décrit la propagation de la tubercu- lose oss
sieurs fois à intervalles variables). On lit dans les « Leçons de
Charcot
» (1) : « Dans un cas de Liouville observé dans
le, conserva sa forme régulière. » Montrant les pièces anatomiques,
Charcot
ajoutait : Le rachis, vous le voyez, n'était ici
signalait déjà un cas qu'il avait observé douze ans auparavant avec
Charcot
, trois cas dont Strümpell avait fait une sommaire
Marie (1) a décrite avec une précision et un talent, dignes de son
maître Charcot
, et à laquelle il a donné le nom susdit. Les au
pressif que celui dont Marie s'est servi : pseudo-acromégalie. Déjà
Charcot
, Karg, Petersen, Chantemesse et Schlesinger (1) o
ayonnante. II fait usage du terme « Stratum sagittale externum ».
Charcot
(1) et Ballet (2) réunissent les deux couches sag
R WIKTOR REIS, Oculiste à Léopol (Lemberg), Depuis l'ouvrage de
Charcot
et Paul Richer intitulé : « Les difformes et le
ne. Ce fut « l'invasion de la pathologie dans l'art », comme disait
Charcot
. En ce qui regarde la pathologie spéciale de l'
ère, entrée le 21 juillet 1905 à l'hospice de la Salpêtrière, salle
Charcot
, dans le service du professeur Raymond, pour de
rieurs qu'aux membres supérieurs (Durand-Fardel (1), De- mange (2),
Charcot
(3) ), accompagné parfois d'un certain degré d'ém
s des vieillards. (2) Démange, Traité de la vieillesse, 1886. (3)
Charcot
, OEuvres complètes, Maladies des vieillards. PA
x observations d'arthropathies nerveuses, répondant bien au type de
Charcot
, sont surtout connues : celle du professeur Joffr
, du choléra (Joffroy, P. Marie, Catola), du rhu- matisme cérébral (
Charcot
), de la pneumonie et des fièvres paludéennes. E
le consacré à la sclérose, en plaques dans le Traité de médecine de
Charcot
et Bouchard, s'exprime à ce même propos de la faç
le tissu nerveux, foyers qui d'ailleurs ont été déjà démontrés par
Charcot
, Gombault, Bechterew, etc.. Gowers aussi décrit
èse a été soutenue par plusieurs auteurs, parmi lesquels je citerai
Charcot
, Leo, Liouville, Joffroy, Hirsch, Schüle, Leube,
avec tous les caractères histo- logiques classiques décrits depuis
Charcot
, il y a des foyers avec une destruction plus ou
ment de la lumière parti- culièrement dans les foyers très anciens (
Charcot
, Dejerine, Hess, Balint), la dilatation de la l
sseur à l'Université de Buenos-Aires. 1. -Premières observations de
Charcot
. On avait déjà nettement défini la psychologie
des sujets musicalement éduqués : les deux malades classi- ques de
Charcot
furent un copiste professionnel de musique et un
illaise , en prononçant normalement tous les vers. En 4883-4884.,
Charcot
posa définitivement les bases cliniques des aph
qu'on s'y arrête. Plusieurs auteurs, ignorant l'étude minutieuse de
Charcot
, attribuent à Knoblauch l'instauration clinique
ch l'instauration clinique des amusies. Blocq lui-même, disciple de
Charcot
, partage cette erreur : « il est nécessaire, en e
aphasies ». Nous verrons qu'on en savait un peu plus, grâce au même
Charcot
. Dans les leçons de 1883-84, réunies et publiée
Miliotti (4) et édi- tées plus tard en un volume portant le visa de
Charcot
(5), l'illustre maî- tre de la Salpêtrière fit
ne figurent même pas dans la collection des « OEuvres complètes de
Charcot
» éditée par Le Progrès Médical. Blocq, dans se
Miliotti. Cette omission des éditeurs des « OEu- vres complètes de
Charcot
» - et il est curieux qu'on l'ait signalée, pour
ritable créateur des amusies ou des aphasies musicales. Le 8 mars
Charcot
présenta deux malades : un jeune homme atteint d'
rument et de copier de la musique, en quoi il excellait auparavant.
Charcot
s'oc- cupa encore de ce deuxième malade dans le
rs de musique de Paris, parmi lesquels il suffit de citer Massenet.
Charcot
rapprocha cette aphasie musi- cale des aphasies
de était un paralytique général progressif à sa première période.
Charcot
, après avoir exposé le cas, analysa longuement le
et indépendant'. Ce malade, avec amusie et sans aphasie, dévoila à
Charcot
que les centres du langage musical ne sont pas
t de copier de la musique (images motrices'd'articulation) » ; d'où
Charcot
conclut qu'il - s'agissait d'un cas d'agraphie
66 INGEGNIEROS Cette longue citation de la leçon presque ignorée de
Charcot
a été faite pour rectifier l'attribution erroné
précise sur les amusies à Knoblauch ; nous ajouterons seulement que
Charcot
a établi les diverses phases de son sujet avec
aptitude pour le chant ; jusqu'à Brown Séquard exception faite pour
Charcot
on ne signalait ces particularités que comme de
n centres spéciaux; comme on voit, Kast marchait sur les brisées de
Charcot
. Son malade présentait une aphasie motrice et u
cette même conception, sans se décider à suivre le chemin tracé par
Charcot
et à cons- tituer un chapitre à part pour l'étu
cer un « cadre sans tableau », c'est l'expression même employée par
Charcot
; il créa neuf types d'amusies, fondées sur les
s, quand la vision générale et la vision des lettres est conservée.
Charcot
a relaté l'histoire d'un malade, musicien disti
tte perturbation du langage courant. Cependant, les observations de
Charcot
et Pitres induisent à l'accepter, étant corrobo-
raphies pures, sans la moindre trace de cécité verbale, publiés par
Charcot
, Bernard, Pitres, etc. Ferrand dit que « l'agra
oins rare, a été observée ; le cas- est évident chez le musicien de
Charcot
qui copiait les originaux de Massenét. Dans les
rare en sa forme pure;, fréquente dans la forme complexe. Le cas de
Charcot
est un des mieux décrits et ob- servés. ' ' : '
e la Physiologie artistiques, secondé, sous la haute approbation de
Charcot
, par le regretté Gilles de la Tourette et la comp
et soutenait une thèse sur les déformations permanentes de la main.
Charcot
présidait : il loua fort ce travail et fut émer
es vont l'imposer aussi à l'attention du monde artis- tique. Avec
Charcot
, vous publiez des études sur les Démoniaques dans
ane nouveau vous semble même nécessaire pour les centraliser ; avec
Charcot
, avec A. Londe et avec notre regretté ami Gille
ersonnages d'une vérité criante ; c'est le cas de répéter le mot de
Charcot
: « On fait le diagnostic sur ces statuettes. »
infantile, la paralysie d'origine cérébrale, l'atrophie névritique
Charcot
Marie, la myopathie pseudo-hypertrophique de Du
ées très à l'aise. Le plus souvent, comme l'ont montré Eicheverria,
Charcot
et Michaud, ALQUIEIi. QUINZE AUTOPSIES DE MAL D
tiques sur les aveugles ont été déjà présentées dans ce recueil par
Charcot
, Paul Richer, Henry Meige. Mais je ne crois pas
point de vue de la médecine dans l'art. ' Parmi les Démoniaques que
Charcot
et Faut Richer ont fait connaître, on n'a certa
-Yictorine, âgée de 49 ans, à son entrée à la Salpêtrière (service de
M. Charcot
), le 1er mai 1867, est née à Lo-rient, où elle es
a mort. Pourquoi une si grande différence? « C'est, en général, dit
M. Charcot
, à la suite d'accès répétés qu'a lieu l'élévation
Tétanos spontané généralisé. Trismus et opisthotonos prononcés ; 1
Charcot
, de VImportance de la thermometrie dans la cliniq
peu connues. Symptomatologie. Début. Les accidents articulaires, —
M. Charcot
d'abord, puis M. Bail, l'ont déjà fait remarquer,
ôté sur l'avant-bras et de l'autre jusqu'au tiers inférieur du bras. (
Charcot
, Archives de physiologie, 1868, p. 162.) Chez M.
ies. Physiologie pathologique. « C'est dans la substance grise, dit
M. Charcot
, que nous croyons avoir trouvé le point de départ
era: 1° à." arthropa-thies; 2° à'atrophie musculaire progressive. 1
Charcot
, Leçons cliniques faites à la Salpètrière en 1870
rablement connus dans la science, tels que MM. Bert, Brown - Séquard,
Charcot
, Grehant, Onimus, Babuteau, Yul-pian, etc., etc.
ulaires que l'on rencontre chez les hémiplégiques. Ou ne si- 1 Voy.
Charcot
. et Joffroy, Deux cas d'atrophie musculaire progr
ce de M. Delasuuve; nous la retrouvons aujourd'hui dans le service de
M. Charcot
, offrant à peu de chose près les mêmes sym-ptômes
la suite d'une attaque de ramollissement cérébral, dans le service de
M. Charcot
, salle Sainte-Rosalie. Cette femme fut soumise
. Delasiauve ; nous revoyons aujourd'hui la malade dans le service de
M. Charcot
. 2 A l'époque de la naissance de notre malade,
cine et de chirurgie pratiques, 1869, t. VI, p. 794. 3 Maintes fois
M. Charcot
a noté un abaissement de la température chez des
e sujet et les recueils de ta température. Une malade du service de
M. Charcot
, qui ne rend guère quune quinzaine de grammes d'u
x travaux publiés en 1869, d'un côté par M. Hayem, d'un autre par MM.
Charcot
et Joffroy, dans les Archives de physio-logie. No
ribution irrégu-liôre de la lésion des muscles... De leur côté, MM.
Charcot
et Joffroy s'expriment ainsi : « L'at-tention cle
s parties du corps. De tout ce qui précède nous conclurons avec MM.
Charcot
et Jof-froy : « Il est difficile de ne pas presse
ères années, différents auteurs et, en particulier, MM. Raerensprung,
Charcot
, Cotard, Gehrardt, Ilenle, Rouget, Rus-sell, Samu
des productions morbides, ou encore à ce cas d'éruption d'ecthyma que
M. Charcot
a observée sur le trajet de l'un des nerfs sciati
s furoncles existaient sur le parcours du nerf atteint de névral- 1
M. Charcot
, dans ses Leçons, cite encore le fait suivant: «U
e la main. — Maur..., Marie, âgée aujourd'hui de 27 ans (service de
M. Charcot
), est hémiplégique du côté gauche depuis l'âge de
is d'une accélération dans le rhylhme des mouvements de cet organe.
M. Charcot
, qui attribue la production du goitre exophthalmi
xie locomotrice, et qui ont été signalées, pour la première fois, par
M. Charcot
. Mais le cas actuel diffère, à beaucoup d'égards,
en effet, des arthropa-thies précoces et des arthropathies tardives.
M. Charcot
a vu, tout récemment, débuter un cas d'ataxie par
ais rassemblé 18 cas. En y joignant quatre ou cinq faits observés par
M. Charcot
, et quelques autres publiés à l'étranger, on arri
cellules nerveuses qui en occupent le bord externe. Cette lésion, que
M. Charcot
a déjà constatée dans quelques autres cas semblab
51.) Sée. —Bulletins de la Société anatomique, t. XXVII p. 323, 1852.
Charcot
. — Rupture de la rate chez un fœtus. (Sociétéde b
chez l'homme; on les a notées à tous les âges, et même chez le fœtus (
Charcot
). IV. Symptômes et diagnostic. — Pour la sympto
). Carville (C ), 60. Chancre phagédéniquedelà fourchette, 170.
Charcot
(J.), 193. Cheveux (Accumulation de) dans l'est
ans parler des cas où la syringomyélie était associée à l'hystérie (
Charcot
, Erb, Schlesinger, Souques) ou encore au tabès
ci encore la maladie obéit à la loi formulée de- puis longtemps par
Charcot
, développée par Benedickl. Nous en voyons la pr
bourses séreuses de la région interne du pied, ou, comme le disait
Charcot
, les bourses séreuses ont un rôle trophique, et
célèbres. Ils ont été presque tous reproduits et inter- prétés par
Charcot
et Paul Richer (1). Les Pygmées des peintures p
médullaire : telles sont les observations de Folet, d'Owen Rees, de
Charcot
et Gombault, d'IIertel ; dans aucun de ces cas il
rétréci. Kahler et Pick comparent ces lésions à celles décrites par
Charcot
et Gombault (1) dans un cas de syphilis acquise
n re- cueil plus complet publié en collaboration avec le professeur
Charcot
, les Démoniaques dans l'Art (2). Des exemples
endice, 2e partie. Paris, Delahaye et Lecrosnier, 1885. (2) J. M.
Charcot
et PAUL Richer, Les Démoniaques dans l'Art. Paris
is, Delahaye et Le- crosnier, 1887. (3) Voir iL ce sujet : J. AI.
Charcot
et PAUL Richer, La Transfiguration du Sacro Monte
iiale iiiais ne différant guère de la paralysie spastique décrite par
Charcot
et par Erb au cours de la syphilis acquise des
gues. La marche est très difficile. 11 entre alors dans le service de
M. Charcot
, à la Salpêtrière, où il est traité par l'iodur
s peu connue, nous a (1) Neurotog. Cenlmlblatt, 1893, p. 656. (2)
Charcot
et A. GOII1AUL'l'. Note sur un cas de lésions dis
plan de leur ouvrage. Ils ont. pris soin d'en faire la remarque (1)
Charcot
et Pal RICHER, Les Difformes et les Malades dans
les sont les deux statuettes en bronze de la collection Thiers dont
Charcot
et Paul Bicher ont fait la judicieuse critique (1
ze,au Louvre, représentant le dieu, Bès sur les épaules de sa mère.
Charcot
et Paul Richer observent à ce pro- (1) Ne 691 d
t Paul Richer observent à ce pro- (1) Ne 691 du catalogue; cité par
Charcot
et P. Ricuea, loc. cit., p. 46. ix 12 174 NOU
tent sur plusieurs appareils. Les nombreux spécimens publiés par
Charcot
et Paul Richer rentrent aisément. dans les caté
éritent cependant d'être ajoutés aux spécimens célèbres publiés par
Charcot
et Paul Richer. A Florence; dans le corridor qu
nombre de figurations reproduisant des difformités congénitales.
Charcot
et Paul Richer en ont publié des exemples remarqu
du mal de Pott. Un des plus célèbres a été longuement commenté par
Charcot
et Dechambre, il y a déjà près de quarante ans
e trouvent repro- duits par la statuette égyptienne de M. Cornil.
Charcot
et Paul Richer ont encore retrouvé les déformatio
grotesque assis (terres cuites de Grèce, au Louvre; sans numéro).
Charcot
et P. Richer signalent une terre cuite (n° 817),
la Sensibilité et cette opinion trouvait un appui dans le fait que ni
Charcot
ni Flechsig n'avaient jamais vu une dégénératio
t plus mystérieuses. Lasègue en a montré l'origine toute psychique;
Charcot
, Sollier, Gilles de la Tourette, Janet, Souques
naire, eh particulier dans la diminution de sécrétion connue depuis
Charcot
sous le nom d'iscl2c-ie liystérique. Cette dimi
s de Vallisneri, de Marangoni, de Mareschal, de Nysten analysés par
Charcot
(1) et par Gilles de la Tourette (2), semblent ap
la Tourette (2), semblent appartenir à la même catégorie de faits.
Charcot
, avec Laycock, établit la réalité de l'is- chur
S 249 A cet égard, Geneviève reste inférieure aux malades cités par
Charcot
qui, pendant plusieurs jours,- étaient atteints
rle, comme taillée dans un morceau de cuir suivant l'expression' de
Charcot
; les lèvres, très amincies, sont trop petites p
semble inutile de rappeler ici les opinions émises par les auteurs (
Charcot
, Joffroy, Raymond, Leyden, Condoléon, Déjerine) s
Bref, on se trouve en présence d'une luxation tabétique (maladie de
Charcot
) avec usure des extrémités osseuses et réduction
eurs qui se sont les premiers occupés des arthropathies tabétiques (
Charcot
, Bail, Bourceret, etc.). On ne trouve pas menti
réci. » Kahler et 'iclc comparent ces lésions à celles décrites par
Charcot
et Gombault dans un cas de syphilis acquise des
par V. HANOT et H. Meunier, '49. IIémart1wose tabétique, parJ.-B.
Charcot
et HENRI Diwour, 265. « Homme momie ». Scléro
cale du faisceau latéral pédonculaire (faisceau de Turck), 206.
Charcot
(J.-B.) et DUFOUR (HENRI). Hé- marthrose tabéti
ns chirurgicales de photographies de Roentgen, 92. DUFOUR (H.) et
Charcot
(J.-B.). Hémar- throse tabétique. Féré (Cil.)
e Pari ? VI Service Commun de Documentation Médicale Bibliothèque
Charcot
Hôpital de la Salpétrière 47, Boulevard de ''
s. Je porte le diagnostic de contracture et coxalgie hystériques.
M. Charcot
veut bien, sur ma demande, recevoir la malade dan
douloureux (Valleix), sur le signe de Lasègue, sur la scoliose, que
Charcot
et moi avons étudiée ('). Cependant, lorsque le r
t par Erb sous le nom de paralysie spinale spastique et dénommé par
Charcot
tabès dorsal spasmo- dique. Dans ce type, clini
clérose latérale amyotrophique, maladie découverte par mon illustre
maître Charcot
. C'est surtout dans cette affection que la recher
alysie spastique d'Erb, la surréflectivité peut, dans la maladie de
Charcot
, régresser et faire place à de la subréflectivi
que dont la réalité est le plus anciennement et le mieux établie.
Charcot
a donné de l'hémispasme glosso-labié une descript
paralysie flasque dans l'hystérie a été longtemps mise en doute et
Charcot
, après l'avoir énergiquement contestée, avait fin
de relâchement musculaire et on reconnait, soit que l'abaisse- (1)
Charcot
, Spasme glosso-labié unilatéral des hystériques,
Pierre Marie et Foix ont recommandé une manoeuvre indiquée déjà par
Charcot
et qui consiste à fléchir fortement les orteils
erre Marie et Foix ont recom- mandé une manoeuvre indiquée déjà par
Charcot
et qui consiste à fléchir fortement les orteils
a paraplégie spastique spinale d'Erb ou tabes dorsal spasmodique de
Charcot
. (Voir : Société de Neurologie, séance du 12 ja
le de parler, est en mesure d'écrire. Ce sont là des caractères que
Charcot
assignait au mutisme hys- térique. Mais dans le
s l'influence de la persuasion seule. Nous rappelons à ce sujet que
Charcot
, étudiant les mouvements anormaux caractérisant
o- dique correspond à un état anatomique particulier. Mon éminent
maître Charcot
, qui avait été frappé par l'intensité de la con
pression lente de la moelle, mais comme on le voit par cet extrait,
Charcot
déclare qu'il ignore la raison pour laquelle la
gie spastique spinale et sous celle de tabes dorsal spasmodique par
Charcot
. Sans me préoccuper ici de la place exacte que
dernier auteur, ce rétré- cissement se montrerait du côté temporal.
M. Charcot
l'a vu, dans la ma- jorité des cas, prendre la
dans les Archives de Neurologie en 1888 un travail inspiré par mon
maitre Charcot
sur la scoliose sciatique. J'en ai relaté cinq
plète de la myopathie, voir en particulier : i° Ouares complètes de
M. Charcot
, t. III, p. igo. 2° L'important mémoire de MM.
été démontrée par les recherches de MM. Eulenburg et Cohnheim et de
M. Charcot
, le début se fait par les membres inférieurs, e
ment. (') Il y a actuellement, à la Salpêtrière, dans le service de
M. Charcot
, deux malades qui sont dans ce cas. MYOPATHIE
Nous avons pu examiner avec détails dans le service de notre maître
M. Charcot
, qui a bien voulu mettre tous ses malades à notre
ter déjà en germe dans la vie foetale. C'est là un point de vue que
M. Charcot
n'a pas manqué de signaler dans ses leçons. Or, s
ITIIIA TIS21[Ë moins l'apanage du sexe féminin. Enfin, mon illustre
maître Charcot
prouva la fausseté de la conception transmise p
l'hystérie serait en mesure de se manifester de toutes les façons.
Charcot
avait dit que l'hystérie est « la grande simula
re de cette atrophie que nous avons été les premiers à décrire, mon
maître Charcot
et moi. Quoi qu'il en soit, il y a lieu de cons
scérales. J'ai insisté sur la fréquence de ces associations (') que
Charcot
avait été le premier à signa- ler, qu'il est pa
re, où j'eus l'honneur d'être de 1885 à 1887 le chef de clinique de
Charcot
, je fus, à mes débuts, imprégné des idées sur l
est là d'ailleurs une vérité qui n'est pas nouvelle et sur laquelle
Charcot
a déjà tout particulièrement insisté. Mais si p
des paroles pro- noncées pendant le prétendu sommeil hypnotique.
Charcot
, dès ses premières investigations sur les états d
membres. Le sujet donne alors l'impression d'une poupée articulée.
Charcot
estimait qu'il est impossible de simuler ces cara
e sa ténacité, je ne puis mieux faire que d'extraire d'une leçon de
Charcot
(OEuvres complètes, vol. III, p. 5,5. et suiv.)
la Salpêtrière, à phases distinctes et ordonnées. Dans la leçon de
Charcot
, dont j'ai extrait un passage relatif aux stigm
cré. Nous aussi, nous avons, sous l'influence d'un autre maître, de
Charcot
, connu une grande époque de l'hystérie, et pend
e n'en ai observé un cas sérieux dans mes salles. C'est que, depuis
Charcot
, nos idées se sont profondément modifiées, en gra
thiatiques il y a une phase intervallaire parfois assez longue, que
Charcot
dénommait phase de médi- tation, pendant laquel
me et concept de L'IIY9'fEItO-'rII : IU\fATLS\IE. C'est en 1886 que
Charcot
attira l'attention sur le rôle du traumatisme dan
es contractures dites réflexes qui avaient été si bien décrites par
Charcot
et par Vulpian. Toute paralysie ou toute contract
Son origine est déjà lointaine et remonte aux travaux de Hunter, de
Charcot
et de Vulpian. John Hunter (') appela le premie
cieux d'ordre expérimental. Dans les leçons de Vulpian et celles de
Charcot
, on trouve enfin de remarquables descriptions d
fin de remarquables descriptions des accidents de cette espèce. '
Charcot
('), étudiant les atrophies consécutives aux lésio
commun à ces divers modes de troubles de motilité. Ceux-ci, ajoute
Charcot
, sont susceptibles de se déve- lopper à la suit
hystérotraumatiques le jour où ce groupe a été créé par le génie de
M. Charcot
. Il en sera sans doute de même pour une grande
n s'étaient effacées dans certains esprits les données établies par
Charcot
et Vulpian. NOTIONS NOUVELLES ACQUISES PAR L'
rophiques et des contractures, dites réflexes, si bien étudiées par
Charcot
et par Vulpian. En outre, certains des phénomèn
vions vu nous-même à la Salpêtrière. Nos hystériques de la Clinique
Charcot
qui présentaient une hémi-anesthésie classique, o
se modifier que lentement. Il convient de rappeler à ce propos que
Charcot
et Vulpian avaient déjà été frappés par la téna
hypothèse de troubles nerveux d'origine réflexe que se ratta- chent
Charcot
et Vulpian. Mais quel sens exact convient-il d'at
motrice et trophique ou exclusivement sur la fonction trophique.
Charcot
('), prenant en considération non seulement l'amy
ujet. « Même dans les cas de paralysie amyotrophique, ajoute encore
Charcot
, du moins à en juger par les quelques observati
cutive à une irritation périphérique était admise sans conteste par
Charcot
et par Vulpian. Les résultats de nos recherches
thèse qu'ils ont sou- tenue. La surréflectivité tendineuse, dont
Charcot
avait déjà montré la fré- quence dans la paraly
état d'excitation ou de stupeur des centres moteurs spinaux, comme
Charcot
l'avait supposé, tantôt des perturbations qu'entr
attitude, se distingue radicalement du tabes dorsal spasmodique de
Charcot
et Erb, pourrait être appelée paraplégie spasmo
de l'Académie de Médecine, 23 avril 1925). " , 284. Eloge de J. M.
Charcot
(I)iscours prononcé à la Sorbonne. 26 mai 1925).
derniers temps à la Salpêtrière ont amené, en effet, mon maitre M.
Charcot
, à faire des leçons sur ce su- jet et à établir
l'exposé des observations, dont la plupart ont été ana- lysées par
M. - Charcot
dans ses leçons cliniques, et nous chercherons
t et un ans, israélite, entre le 16 février 1886 dans le service de
M. Charcot
, à la Salpêtrière. Antécédents héréditaires. -
n dans la paralysie d'origine cérébrale a été fréquemment signalée (
Charcot
, Pierret, Bris- saud) ; - le début de l'affecti
brachiale hystérique de cause traumatique chez l'homme, Leçons de
M. Charcot
, recueillies par 11111. lltarie et Guinon. Arch
ans, artiste en cheveux, entre à la Salpêtrière dans le service de
M. Charcot
le 22 février 1886. Antécédents héréditaires.-P
ous avons notées dans l'observation précédente et à celles que 111.
Charcot
a relevées dans son travail sur les monoplégies
du symptôme, se demander si ce n'est pas (comme l'admet aujourd'hui
M. Charcot
) par irritation des cellules motrices antérieur
présentera, par exemple, ce tremblement caractéristique qu'a décrit
Charcot
et qui enlèvera alors le diagnostic. . Dans l
ée de l'aphasie. Quant aux trois phases de l'état hypnotique de
M. Charcot
, ils ont le grand mérite d'avoir complété nos c
ui ont réussi à produire ces phases. De l'autre côté, au contraire,
M. Charcot
a présenté tant d'exemples, qui entre eux s'acc
nt, je saisis avec plaisir l'occasion de remercier M. le professeur
Charcot
delà libéralité avec laquelle il m'a donné la p
des contractions plus vigoureuses quoique normales. C'est bien à
M. Charcot
que revient l'honneur de la découverte de ce type
ans connaissance, est retiré 1 Voy. pour l'explication des termes :
Charcot
, Leçons sur les maladies du système nerveux, II
aibles. M. Westphal termine en s'inscrivant contre les critiques de
M. Charcot
à propos du mémoire de Thomsen et Oppenheim 1.
maxillaires. Discussion : .' M. Oppenheim combat les critiques de
M. Charcot
. 1 Voy. Archives de Neurologie, XL, p. 80 et 83
, 1886). De ce travail fait à la Salpêtrière dans le service de ni.
Charcot
et sous la direction de M. Parinaud, l'auteur t
é de quarante-cinq ans, entre le 17 février 1886 dans le service de
M. Charcot
, à la Salpêtrière. Antécédents héréditaires . R
nte ans, entre, le 18 mai 1885, dans le service de M. le professeur
Charcot
, à la Salpêtrière. Antécédents héréditaires. Gr
s), âgé de vingt-neuf ans, entre le 1° mars 1886 dans le service de
M. Charcot
, à la Salpètrière. Antécédents héréditaires. Au
ée sur les deux cas de monoplégie hystéro-traumatique publiés par
M. Charcot
et dont nous avons déjà parlé. Nous ne 182 CLIN
stéro-trauma- tique (il s'agit d'un des deux malades sur lesquels
M. Charcot
s'est fondé pour établir cette variété de paral
par la généralité des médecins, conformément à l'opinion que MM.
Charcot
et Vulpian soutiennent depuis long- temps, comm
r. Nous connaissons, en effet, grâce surtout aux récentes études de
M. Charcot
sur ce point, les ca- ractères spécifiques de c
il semble y avoir une certaine parenté entre ce cas-ci et le cas de
M. Charcot
de cécité ver- bale et hémianopsie droite ' sur
la lésion était en partie différente et plus étendue dans le cas de
M. Charcot
. Quant à l'affaiblissement de l'énergie intelle
la conservation de la sensibilité cutanée. N. Skwortzoff. 1 Voir
Charcot
, /. c. 210 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XVI.
tUnael : Maladies de l'encéphale, p. 115. = Voy. pour ces symboles,
Charcot
, Leçons sur les Maladies du système nerveux, 11
XVI, 3). Ce mémoire constitue une réponse à la manière de voir de
M. Charcot
, sur les faits déjà présentés par l'auteur en com
rpeur des pupilles, par des accidents fébriles. Conclusions. 1 Voir
Charcot
. Leçons du Progrès médical, t835. A propos de six
e. Ces deux derniers troubles ont été indiqués par M. le professeur
Charcot
, l'année passée, dans une de ses leçons sur l'h
enfin le malade qui en fait l'objet a été montré à leurs cours par
M. Charcot
et par M. Magnan. Observation VI. Idiotie et cr
la cachexie pachydermique, expression heureuse de M. le professeur
Charcot
, pour désigner le myxoedème des auteurs anglais
ment atteinte de myxoedème ; ce diagnostic avait été confirmé par
M. Charcot
. Nous ajouterons que l'observation cli- nique c
arilion, coïncide avec le temps indiqué récemment par le professeur
Charcot
. Cette parésie, à la date de la réunion, a comp
ilt,, neuro-muscu- 1 Vers la lin de cette même année, l'un de nous (
Charcot
) fit de ces re- cherches le sujet de plusieurs
a aux premières recherches de 1878, dans le service de l'un de nous(
Charcot
) à la Salpêtrivre, depuis fait paraître plusieu
ont si nombreux, vérifier l'exactitude de la description donnée par
M. Charcot
des arthropathies tabétiques et notamment sur u
férieurs en sont exempts, ce n'est pas un simple effet du hasard.
M. Charcot
a fait observer que les lésions articulaires su
e travaux, parmi lesquels il faut citer en ~ première ligne ceux de
M. Charcot
et de M. Verneuil, ont bien mis en lumière l'in
pli- qué : la tuméfaction du membre. Tous les auteurs, depuis que
M. Charcot
l'a relevé, ont noté qu'elle sur- venait brusqu
étrange : l'absence de douleur, relevée dans la descrip- tion de
M. Charcot
; elle n'existe pas spontanément, elle n'existe
indolence; 8t PATHOLOGIE NERVEUSE. mais elle n'est pas la seule.
M. Charcot
(communication orale) a vu des arthropathies da
vant simuler une fracture commi- nutive. Dans la même discussion,
M. Charcot
a rapporté un fait qui cadre admirablement avec
lidée, à cal volumineux, des deux os de l'avant-bras droit 2. » '
M. Charcot
, dans ses conférences faites à la Salpêtrière (no
dans le premier cas, ce sont les fractures qui se pro- duisent. 2
Charcot
. Leçons sur les maladies du système nerveux. T. I
peut citer à l'appui de cette remarque, le fait suivant relevé par
M. Charcot
: la plus connue des hystériques de la Salpêtri
sible, les arguments avancés de part et d'autre. Ainsi quele disait
M. Charcot
dans une de ses conférences àla Salpe- trière,
nt du même esprit ; il faudrait répéter ce que dit dans ses leçons,
M. Charcot
, sur ce qu'il y a d'antiphilosophi- que à consi
andu '. On sait que l'aimant peut être remplacé par un solénoïde (
Charcot
et Regnard); le fait physiologique vient ici conf
teur a servi, pendant quelque temps. aux expériences de contrôle de
M. Charcot
. La manière dont les choses étaient disposées v
. De ce chef, ils sont précieux pour l'expérimentation clinique que
M. Charcot
conseille de pratiquer de préférence sur des ma
e " LyoH Médical», etc. Revendications et négations, Paris, 1881.
Charcot
, Luys et DUMONT11ALLIEII, rapporteur. Deux rappor
les névroses. Quelques-uns des cas d'hysteria major, dans lesquels
Charcot
a expérimenté l'action des métaux et de l'aimant,
nt affaiblies, et c'est alors que le malade vint à Paris' consulter
M. Charcot
, qui voulut bien confier ce malade à' mes ' 1 s
ltiple à ces cas dans lesquels un plus ou moins grand nombre de 1
M. Charcot
nous apprend qu'il a observé chez un malade que l
. 1871; n° 37-39)" Clâüs (Allg 'Zéitscla. f ? ? sych."1878, p. 335);
Charcot
(lèçTclin. 187fe, n°y73 de son tableau);Sne'vou
mais sans rien ajouter ,de nouveau, les déductions tirées par, MM.
Charcot
et Duret de. la disposition de la circulationta
s'était ouvert à l'in fatigable activité de de Boyer ; lorsque MM.
Charcot
et Bournévillé résolurent de fonder les Archive
reçu son exécution et une des salles du service de M. le professeur
Charcot
à la Salpêtrière porte le nom de CLOZEL de Boye
harcot' et Richer. 32, 173. Hypnotisme (chez les hystériques) par
Charcot
et'Richer, 32, 173 ; - '(Les 'manifestations 'd
notisme et hype- rexcitabilité yneuro - musculaire chez )es),'par
Charcot
et' Richer, 32,173; (Mensonges chez les), -l
nd (M.) 138, 144, 291. Brissau , 121. Brunet, 251. Buch, 271.
Charcot
, 32, 173. Costelloe, 281. Crichton-Browne, 26
gique. La Revue de rhypnotisme, fondée en 1886 sous les auspices de
Charcot
, Dumontpallier, Mesnet, Delbœuf, Liébeault et des
core, les auteurs sont loin de s'entendre à ce sujet. Pour les uns,
Charcot
et ses élèves, « l'hypnotisme représente clinique
à la Salpêtrière, n'existe past3). Les arguments que les élèves de
Charcot
ont fait valoir pour défendre la doctrine du maît
843, trad. française par le D' Jules Siuo.s, 1883. p. 19. (t) J. M.
Charcot
: Note sur les divers états nerveux déterminés par
Progrès médical 188?, p. 121. — Expasé'det titres scientifiques deJ.
M. Charcot
, 1882, p. 172. (2) P. Richer : Etudes cliniques
f et M. Bernheim ont émis des idées radicalement opposées à celles de
Charcot
. Ils suppriment d'un seul coup l'hypnotisme; un s
ésenter un somnambulisme profond, ce qui nous amènerait à croire avec
Charcot
que les névrosés sont plus hypnotisâmes que les n
toujours exempt de difficulté ; mieux que tous autres, les travaux dé
Charcot
et de ses | élèves l'ont péremptoirement démontré
iscours prononcé à V inaugural ion du monument élevé à la mi-moire de
Charcot
. Nouvelle iconographie de la Salpùtrière, I89S, p
e second, les médecins pensent à la syringomyëlie. Depuis la leçon de
Charcot
en 1889, l'œdème hystérique est entré dans la pra
si léger que mes ; « pieds ne paraissaient plus toucher à terre ».
Charcot
a signalé, au nombre des troubles psychiques de l
sieurs, que l'œdème bleu des hystériquesalongtemps clé méconnu. C'est
Charcot
qui, dans ses leçons à la Salpëtrièrc, sut très b
sychasthénie. Est-il en même temps épileptique? C'est très possible :
Charcot
et Magnan ont bien montré que plusieurs psychoses
somme l'hystérie existe chez les animaux; Eleti, Olver et notre grand
maître Charcot
l'ont remarqué nombre de fois et nous ont transmi
e ouvrage de M. Georges Guinon, ancien chef de clinique du professeur
Charcot
, Les agents provocateurs de l'hystérie. Les age
rnée elle a de grandes et de petites crises. Alors, sur le conseil de
Charcot
, elle entre dans une maison d'hydrothérapie et el
sont chers à divers titres, en particulier ceux de Dumontpallier, de
Charcot
et de Luys.Nous n'oublieronsjamais que, soità
d'hôpitaux, Dumontpallier ne cessa d'être notre meilleur inspirateur.
Charcot
, lors de la fondation de la « Revue de l'Hypnotis
nce de complexité. Dès le début de ses recherches à la Salpêtrière,
Charcot
avait immédiatement compris la nécessité de diffé
ariés qui s'observent sur les sujets hypnotisés ne répondent pas, dit
Charcot
, à un seul et même état nerveux. L'hypnotisme r
manifestes. Telle est dans ses grandes lignes la classification de
Charcot
. (A suivre.) La vie de Jésus devant la scienc
équilibré possède à la dose normale. Si nous devons l'hypnotisme à
Charcot
principalement, la théorie et la pratique rituell
lèrent contre les renseignements et les prodiges de la Salpëtrière.
Charcot
ne voyait qu'un phénomène corporel « somalique »,
a conquis même le camp adverse. Le professeur Raymond, successeur de
Charcot
à la Salpëtrière, et son collaborateur Pierre Jan
ié dans la Revue de ^Hypnotisme en juin 1890, p. 353, l'expérience de
Charcot
pour reproduire une anormalité hystérique excessi
e grandes hystériques, moins de grandes hypnotisables que du temps de
Charcot
. Le type classique complet s'observe peut-être mo
étition. Au reste, la justesse des critiques adressées aux idées de
Charcot
, est loin d'être démontrée. Et tout d'abord, de
malgré les quelques reproches qu'on peut lui faire, la description de
Charcot
reste l'expression exacte du fait observé dans l'
et on la porte chez le pharmacien. Pendant le trajet commence ce que
Charcot
appelait la période de méditation : cette femme e
e Janet termine ses études médicales, devient un assidu du service de
Charcot
et dans sa thèse de doctorat en médecine expose m
r le Laboratoire de psychologie de la Salpêtrière, ainsi que le musée
Charcot
et leur présenta quelques malades des plus intére
t c'est le résultat de nos observations qui fait l'objet de ce cours.
Charcot
a dit avec infiniment de raison : « le miracle th
. Sujet de la conférence : Le grand hypnotisme d'après les travaux de
Charcot
et de Dumontpallier. — Les médecins et les étudia
'est pas un sujet épuisé. jf Il y a un an environ, M. le professeur
Charcot
atti- rait l'attention de ses auditeurs sur un
le et les cas de névrite. Le nouveau symptôme mis en évidence par
M. Charcot
et ses élèves, MM. Ballet et Babinski, ajoute a
s prétexte de la déviation rachidienne si- gnalée par notre maître,
M. Charcot
, pour opposer aux sciatiques névralgiques simpl
aperçue. On l'aurait constatée sans doute, comme l'a fait remarquer
M. Charcot
, si on avait pris l'habitude de faire déshabill
its les plus intéressants qu'on relève dans les observations de MM.
Charcot
, Ballet et Babinski consiste dans la persistanc
ostic. En revanche, elle permet quelquefois, ainsi que l'a démontré
M. Charcot
, de reconnaître une sciatique fruste dans certa
ar le D' LADAME (de Genève) '. En février dernier, M. le professeur
Charcot
me fit voir dans son service à la Salpêtrière u
ocq 2 sous le nom d'astasie-abasie. Le malade, qui fut présenté par
M. Charcot
dans une de ses leçons cliniques \ n'offrait au
oordination et des mouvements cadencés (à forme de chorée rythmée).
M. Charcot
propose la division suivante : 0 ,, . paralyt
Je ne terminerai pas cette note sans témoigner à M. le professeur
Charcot
tout ma gratitude pour l'ama- bilité avec laque
ienne par l'application d'un courant galvanique, comme l'avait fait
Charcot
\ ni, comme Dumontpallier, par des piqûres du c
te. III, 1882, 209 sq. 2 C. R. de la Soc. de biol., 7 janvier 1882.
Charcot
. Phénomènes qui se manifestent à la suite de l'
tion motrice. Rainoidi aurait ainsi constaté une fois de plus, avec
Charcot
, l'état d'hyperexcitabilité spécial du cerveau
vant à distinguer une lé- sion de la base d'une lésion de l'écorce.
Charcot
et Pitres (1877-1879), Maragliano (1878), CI. d
s dif- ficultés que présente l'examen de la sensibilité cutanée 1
Charcot
et Pitres. Etude critique et clinique de ta doctr
Archivio ital. per le mal. nerv., 1881, H sq. Cf. les réflexions de
Charcot
et de Pitres sur cette observation, « assurément
vations (Eu- lenburg) confirment en somme la manière de voir de MM.
Charcot
et Vigouroux : dans le goitre exophthamique, le
gré l'opinion d'Hébra et de Kaposi, - ce fait est bien établi par
Charcot
, Bichat, Deluis, Raymond et d'autres auteurs dign
nous en avons rapporté de nombreux exemples. Dans ses leçons, M.
Charcot
est revenu plus d'une fois sur cette question qui
e. Brochure in-8", de 22 pages, avec 4 figures, 1889. - Dand Scott.
Charcot
(J.-\1.)et Richer (P.).- Les difformes et les mal
isme, avec démonstrations. Les travaux de maîtres français tels que
Charcot
, Liébeault, Bernheim, Richer et autres ont atti
s sur la suspension chez les tabétiques. Les résultats annoncés par
M. Charcot
sont exacts ; M. ËRB en a cons- taté personnell
és, 4 fr. KovaLCVSSx (P.). - Myxoedème ou cachexie puchydernzique. (
Charcot
). Brochure in-8 de 26 pages. Prix : 0 fr. 75. -
érimentale de BÜcarest. (Travail du Laboratoire de M. le professeur
Charcot
.) I. L'étude de la maladie appelée par Friedr
t publiée dans cette revue en 1887, et qui fournit ultérieurement à
M. Charcot
le sujet d'une de ses leçons cliniques. Les p
teurs. Dans la clinique des maladies nerveuses de notre excellent
maître Charcot
, nous avons institué de nom- breuses expérience
ute confusion, il ne faut pas perdre de vue une maxime formulée par
M. Charcot
: les symptômes de l'hystérie proviennent de de
lle est reliée aux troubles trophiques signalés par les élèves de
M. Charcot
, Babinski, Gilles de la Tourette et Dutil. En t
ès 1886, époque où nous avons commencé à fréquenter le service de
M. Charcot
, tous les éléments de l'étude de la per- ceptio
anvier, Mueller, Erlicki - de congélation au chlorure de méthyle de
Charcot
! .) P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ lIiÉDICO
onnés, 4 fr. KovALEVSKY (P.). Myxcedènze ou cachexie pachydermique (
Charcot
). Bro- chure in-8" de 26 pages. Prix : 0 fr. 75
de la - saturnine), par Vierordt, 247. Paralysie diabétique, par
Charcot
, 30j, Perception inconsciente, par Ona- nos
lens, 243. Buttersack, 244. Campbell, 122, 210. Catsaras, 48.
Charcot
, 305. - Christian, 127. Clouston, 425. Corv
C'est d'abord dans les pédoncules que cette lésion a été observée (
Charcot
, Kahler et Pick 1), elle avait aussi été consta
assée. Elle alla à la Salpêtrière pour consulter M. le profes- seur
Charcot
, celui-ci étant absent, elle entra à l'hôpital Sa
e, envoyée le 15 novembre 1884, dans le service de M. le professeur
Charcot
, par M. le Dr Brissaud, avec le diagnostic de s
e en plaques, appelé avec juste raison polymorphe par le professeur
Charcot
. DE LA CURABILITÉ DE LA SCLEROSE EN PLAQUES. 67
ntenant un scléreux multiloculairc, pour em- ployer l'expression de
Charcot
, qui présente plusieurs symp- tômes tant spinau
ont joints à notre diagnostic. Notre célèbre 72 RECUEIL DE FAITS.
maître Charcot
, auquel nous avons envoyé l'exposé du malade en
médullaire, guérit le plus souvent, même dans les cas très avancés.
Charcot
nous a montré, à la Salpê- DE LA CURABILITÉ DE
n des nerfs, nous assistons là à une véritable réparation nerveuse.
Charcot
a démontré, par l'au- topsie d'une personne att
u milieu du segment sclérosé correspondant au point de compression,
Charcot
a trouvé que le nombre des tubes nerveux était
e en réserve; en d'autres termes, il faut qu'ils soient suppléés.
Charcot
et d'autres en admettant la possibilité de la rég
, vient après les tubes, et cela grâce à la puissante impulsion que
M. Charcot
et ses élèves, surtout son distingué chef de cl
r brusquement les convul- sions. On sait que c'est M. le professeur
Charcot
qui a découvert les zones hystérogènes. M. Pitr
rique de l'état de léthargie dans l'état de somnambulisme provoqué (
Charcot
et Richer), et de l'état de veille dans l'état
isme, de la léthar- gie, de la catalepsie, etc. Mais les travaux de
M. Charcot
ont jeté depuis quelques années une si vive lum
pasmodique, la poliomyélite, etc., font briller au premier rang les
Charcot
, Vulpian, Duchenne, Aran, Prévost, Jofiroy. Un
localisations céré- brales aujourd'hui familière à chacun de nous (
Charcot
et l'école de la Salpêtrière). La syphilis céré
; les deux observations de M. Déjérine sont purement et simple- 1
Charcot
. - Leçons sur les maladies dn système nerveux, 3"
senté par le tableau de la sclérose latérale amyotrophique, d'après
Charcot
. Mais à un examen plus minutieux, le groupement
symptômes présente de notables différences avec la description de
Charcot
. La sclérose latérale amyotrophique est, d'après
ption de Charcot. La sclérose latérale amyotrophique est, d'après
Charcot
, une maladie à début successif, continuelle- me
ifs se retrouvent exactement comme dans le type clinique décrit par
Charcot
sous le nom de sclérose latérale amyotrophique
oncule une localisation différente de la dégénération descen- . '
Charcot
. Leçons sur les maladies du système nerveux. - Sc
délire partiel, etc. Il se croit enchaîné au lit par la volonté de
Charcot
et de l'interne du ser- vice. Il s'emporte cont
basée sur une observation personnelle et sur deux obser- vations de
M. Charcot
. G. D. XXI II. UN cas DE syphilis centrale seco
sement privé de Falret et de Cotard; il a assisté aux leçons de MM.
Charcot
. Legrand du Saulle, Ball, Luys; il a suivi les
dt, Hasse, des docteurs'KnehL, Blanche, Luys, Magnan, du professeur
Charcot
, dé M. Voisin, en un mot tous les documents pub
leraient aussi les troubles de la sensibilité et de la vessie, mais
M. Charcot
ainsi que M. Erb admettent la possibilité que c
ère encore plus 1 Erb. Die Krankheitcn des Ituckenmarlcs, 1877. 2
Charcot
. Leçons sur les localisations dans les maladies d
ROSES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 32 < Par conséquent, les paroles de
M. Charcot
qui dit, au sujet du tableau clinique de la par
sthésies et anesthésies dont l'apparition, d'après l'opinion de MM.
Charcot
et Erb, ne contredit pas le diagnostic, si ces
nt atteinte, chez les diabétiques, que la sensibilité. Lasègue et
Charcot
ont signalé cependant un certain nombre de cas de
me paire, signalées chez les diabétiques du sexe masculin par Ogle,
Charcot
, Gale- zowski. . Ces diverses modifications d
-153. 2 Id. Revues analytiques. 446 SOCIÉTÉS SAVANTES. procédés
Charcot
, Richer, Richet, chez vingt-deux individus sains
ttitude imposée et l'on sait avec quelle précision M. le professeur
Charcot
a poursuivi l'étude des phénomènes de suggestio
atérale amlotrophique (doux nouveaux cas de - avec autopsie), par
Charcot
et .Marie, l, 168, Sclérose en plaques (curab
iand, 143, 116, 244, 411. Buch, 87, 96. Catsaras, 66, 225, 227.
Charcot
, I, 157, 168. " Charpentier, 131. Christian,
otisme. En 1877, nommé par la Société de Biologie, avec ses collègues
Charcot
et Luys, membre de la Commission chargée de contr
ion, il travaille pendant deux années consécutives dans le service de
M. Charcot
. à la Salpêtrière, et, après une étude minutieuse
« Quand l'hypnotisme devint officiel entre les mains du professeur
Charcot
, il ne se plia pas aux idées reçues, mais lutta a
nna raison : s'il existe une part de vrai dans cette division, encore
Charcot
l'avait-il établie trop rigoureuse sans tenir com
ire qu'une conscience peut être inconsciente. Il y a quinze ans, le
Dr Charcot
se faisant accroire à lui-même qu'il avait invent
lement, nous pouvons citer : 1° Un assez grand nombre de portraits (
Charcot
, Dumontpallier, Charles Richet, Mesnet, Liebeault
ançaise. En 1885, il eut ridée de grouper, sous l'égide du professeur
Charcot
, tous les savants français qui poursuivaient des
s attendait. » Tous ceux (jui ont eu l'honneur d'être les élèves de
Charcot
penseront que la valeur de son enseignement et la
mme il est arrivé pour la famille Pascal. DISCUSSION ET POLÉMlQUE
Charcot
jugé par le Dr Fiessinger, d'Oyonuax Dans notre
ble ; seulement elle comporte une dose de cabotinage qui répugne. «
Charcot
ne pensait pas ainsi. « Théâtral à la Salpetriô
rir ; debout sur te seuil, baigné d'une nappe de clarté éblouissante,
Charcot
, te Dieu, vous attendait. » Après avoir fait ce
s ajoutions : « Tous ceux qui ont eu l'honneur d'être les élèves de
Charcot
penseront que la valeur de son enseignement et la
récit de la mise en scène qui impressionnait les personnes reçues par
Charcot
. — J'ai vu la chose ; je maintiens la véracité tr
pour être grand homme, on n'en à pas moins ses petites faiblesses. —
Charcot
n'échappait pas à la loi. — De montrer qu'il rent
» Nous soumettons ce qui précède aux. élèves intimes du professeur
Charcot
. Nous serions heureux d'apprendre ce qu'ils pense
ssante, etc., eux qui savent au contraire que l'entrée de la salle où
Charcot
donnait ses consultations était dans une sorte de
s avait eu le mauvais goût de se faire la tête du regrette professeur
Charcot
. Ajoutons, pour être complets sur cet incident,
ion de l'Évasion à laquelle n'assistait aucun membre de la famille du
Dr Charcot
, son fils le Dr Jean Charcot était absent de Pari
lle n'assistait aucun membre de la famille du Dr Charcot, son fils le
Dr Jean Charcot
était absent de Paris. Mis au courant de la quest
ur donner satisfaction, et les nombreux et respectueux admirateurs de
Charcot
qui iraient voir l'Évasion ne seront pas choqués,
ences, alors si étranges en apparence, faites sur les hystériques par
Charcot
et ses élèves, et dont l'une surtout excitait son
trine s'oppose celle de l'Ecole de la Salpêtrière, dont le professeur
Charcot
était naguère encore le chef incontesté. Et M. Br
s plus illustres adeptes, des savants tels que Braid, Durand de Gros,
Charcot
, Liébeault, Dumontpalier, Bernheim, et bien d'aut
ectif est à noter, il permet de distinguer le spasme de la paralysie (
Charcot
). La contraction était très énergique, la peau de
r la suggestion hypnotique. (Ann. d'oculistique, Nov.-Déc. 1887.)
Charcot
. — Sur un cas d'hystérie simulatrice du syndrome
périence. On pourrait employer cette méthode dans les accès en série.
Charcot
conseillait l'application de glace sur la précord
commission spéciale, composée de MM. Darboux, Poincaré, Tisserand et
Charcot
; un rapport concernant M. Inaudi a même été lu à
ce du 7 juin 1892. Mais M. Binet, de son côté et sous les auspices de
Charcot
, au moins au début, a étudié séparément ces deux
et. — Note complémentaire sur J. Inaudi (Id., 1893, 1, 106). Binet et
Charcot
. — Un calculateur du type visuel (Zd-, 1893, I, 5
samedi rouge café. * Les noms ont aussi des couleurs : Inaudi, bleu ;
Charcot
, blanc luisant ; psychologie, noir, etc. (p. 118)
apacité civile des morphinomanes (la) ; par le Dr E. Bérillon, 230.
Charcot
jugé par le Dr Fiessinger, d'Oyonnax, 186. Circ
ui au moment où parle la voix in- térieure. Je ne crois pas, ajoute
M. Charcot
, que les voix exté- rieures, quelque intenses q
llée que celle des paralysies hystéro-trau- matiques. Le professeur
Charcot
en a décrit l'histoire en son entier, et l'on s
in l'absence de paralysie faciale, fait sur lequel M. le professeur
Charcot
insiste beaucoup, et qui offre dans notre cas u
monoplégie par névrite du plexus brachial opposé par le professeur
Charcot
en guise de contraste à une monoplégie hystériq
'ail- leurs faire remarquer que dans d'autres observations dues à
M. Charcot
et à M. Berbez, il est noté que les doigts sont v
fonctionnel sans gravité, consistant d'après M. Berlaud, en mou -
Charcot
. Maladies du système nerveux, t. III, p. 460. C
ssant pour cause une vive frayeur : « la terreur, dit le professeur
Charcot
, entraîne avec elle une véritable parésie parap
raitement, nous avons mis en pratique les précep- tes du professeur
Charcot
: à une paralysie psychique, nous avons opposé
alement échoué. Nous avons alors employé la sugges- ' Le professeur
Charcot
cite des exemples de disparition subite de pa-
ux observations vien- draient donc à l'appui de l'opinion émise par
Charcot
et Blocq, que l'astasie-abasie est un trouble d
ns corticales. Ce nouveau résultat négatif est dû aux mêmes causes.
Charcot
et Pitres ont d'ailleurs fait remar- quer que c
ulsions cloniques de l'épilepsie partielle ; il peut être d'abord 1
Charcot
et Pitres.-Etude critique et clinique de la doctr
vail est fondé sur ses recherches antérieures dans les cliniques de
Charcot
et de Westphal et une nouvelle observation prov
de stig- mates, sont : 1° La céphalée, (le casque neurasthénique de
Charcot
) contraction siégeant à la nuque, apparaissant
qui est -particulièrement fréquent dans lacompression spinale'. '
Charcot
. Leçons sur les Mal. du syst. nerveux, t. II, p.
anglaise, Munck et l'école allemande, Exiier et l'école de Vienne,
Charcot
, etc. C'est une manière sinon vraie, du moins ori
r par la nomination de M. Dutil, ancien interne de M. le professeur
Charcot
. Il entrera en fonctions le leur novem- bre 189
édant, disaient-ils, des expériences faites à la Salpêtrière par le
docteur Charcot
et d'autres princes de la science. 11 n'y avait
douleurs fulgurantes mentionnées par notre maître, M. le professeur
Charcot
, et par MM. Raymond et Oulmoutb, était bien de
iniques. Dans un leçon récente', notre maitre, M. le pro- fesseur
Charcot
, parlant des rapports du diabète avec le tabes,
a malade qui en est l'objet a été observée par M. le pro- fesseur
Charcot
,-tout récemment. . Observation I (personnelle).
Voici quelques exemples que nous devons encore à M. le professeur
Charcot
2 : - TABLEAU XV 320 CLINIQUE NERVEUSE. TAB
. 29.) 324 CLINIQUE NERVEUSE. ASSOCIATION DU TABES, ETC. haut que
M. Charcot
avait vu plusieurs fois coexister le tabes et l
t exact. Lewin ne fait nulle mention des cas de Plasher1, Story2,
Charcot
et des deux cas de Jessop et Brown'. Par conséque
t en quelque sorte le résumé d'une leçon faite par M. le professeur
Charcot
à la clinique de la Salpêtrière le 14 mars 1887
des lésions radi- culaires brachiales totales depuis les travaux de
M. Charcot
sur les paralysies brachiales hystéro-traumatiq
est allée à laSalpétrière où eileestrestée un an dans le service de
M. Charcot
; elle en est sortie il y a près de deux ans ; e
Elle fut soignée à l'hôpital Rotschild, puis à la Salpêtrière chez
M. Charcot
, pendant deux ans. Après sa sortie elle eut enc
, une hémianesthésie du côté droit. Ayant été endormi en 1881 par
M. Charcot
à la Salpêtrière, M. Bourneville essaie de l'endo
ut 15 attaques. C'est alors qu'on le conduisit à la consultation de
M. Charcot
où M. Marie lui ordonna le bromure de potassium
ainsi qu'il appert d'excellentes observations rap- portées par MM.
Charcot
et Magnan. Alors, il peut être considéré comme
tre de membre honoraire à notre éminent directeur, M. le professeur
Charcot
. Médecins morphinomanes. - Le Mercredi médical
ique, par Itossolimo, 137; Tokarski, 148. Hystérie masculine, par
Charcot
, 1, par Bourneville et Sollier, 362; épidémie
laire de la première paire dorsale simulant la syringomyélie, par
Charcot
, 161; - brachiale totale, par Ona- noff, 357
Briand, 135. Buchholz, 133. Cadéac, 240. Camuse ! , 240, 404.
Charcot
, 1, 161. Charpentier, 150, 151, 152, 239. C
on particulière de la loi générale bien connue de Broadbent et et
Charcot
: dans l'hémiplégie les muscles des mouvements
facial supérieur et inférieur. Coingt a observé chez le professeur
Charcot
un hémiplé- gique avec paralysie du facial supé
Nous rentrons ainsi dans la grande loi générale de Broad- bent et
Charcot
, qui veut que l'hémiplégie respecte relati- vem
7 dans la thèse de Surmont (Lille, 1886). Rappelons seulement que
Charcot
et Pitres, de la critique judicieuse des observa-
Très vite elles s'améliorent, conformément à la loi de Broadbent et
Charcot
. Il est exceptionnellement rare de voir la para
auguration du monument élevé à la mémoire de notre illustre Maître,
Charcot
. Malgré ces mauvaises conditions climatériques,
un hommage posthume et à assister à son apothéose. La famille de
Charcot
était représentée par son fils, le Dr Jean Char
La famille de Charcot était représentée par son fils, le Dr Jean
Charcot
et sa fille, 11 ? A. LI)WAIIDS; par son frère, M.
par son frère, M. Martin Char- cou ; son autre frère, le commandant
Charcot
, étant empêché par une grave maladie, enfin par
IOGRAPHIE. Ce mot de gloire nationale que M. Brouardel a appliqué à
Charcot
avec un noble sentiment de fierté, nous allions
'honneur de l'humanité entière. Et ceci est d'autant plus vrai pour
Charcot
que la souscription de son monument a été couve
le monument. M. le professeur RAYMOND, qui a brillamment succédé à
Charcot
dans son enseignement clinique à la Salpêtrièrs
nd neurologiste, M. Leygues a trouvé le mot juste pour caractériser
Charcot
: c'est le visage d'un apôtre et d'un apôtre de
est le visage d'un apôtre et d'un apôtre de la Vérité. La statue de
Charcot
se dresse majestueusement à gauche de l'entrée
la science médicale, celui qui sera capable de servir de pendant à
Charcot
. . A la fin de la cérémonie, M. Leygues, aux ac
ue portent comme tous les ouvrages du même auteur, le cachet de son
maître Charcot
dont M. Gilles de la Tourette, élève fidèle et
ire la différence entre l'état neurasthénique vrai et celui qu'avec
Charcot
l'auteur qualifie de neurasthénie à forme héréd
ures de strontium et d'ammonium, ainsi que cela a été préconisé par
Charcot
. Ce trai- tement doit toujours être énergique e
loureuse maladie, c'est celui préconisé par Trousseau et adopté par
Charcot
consistant dans l'administration à haute dose d
ge labyrinthique. Le traitement est entièrement dû à l'intuition de
Charcot
. Avant tout il faut faire procéder par un spéci
ilis. Dans la syphilis maligne pré- coce du système nerveux, et que
Charcot
appelait anatomique- ment la syphilis tigrée, i
raplégie spinale spas- modique syphilitique d'Erb, déjà décrite par
Charcot
, et qu'il con- viendrait mieux d'appeler forme
sse. Il fait remarquer que la zone 1 reste toute la zone motrice de
Charcot
(les ascendantes), la zone 5 constituant le ter
ui l'améliore. Généralement la maladie de Basedow est hystérique (
Charcot
), c'est pourquoi on ne trouve pas de lésions. M
de ces ouvrages. Sans remonter plus haut que 1887, nous citerons de
Charcot
et de ses élèves : Les Démoniaques dans l'Ait
la psychose polynévritique, où elle a été signalée par Korsakoff et
Charcot
et dans la psychose éclamptique 1. Une autre
ux entre l'hystérie et les émotions sexuelles. Briquet et surtout
Charcot
s'élevèrent contre cette théorie et montrèrent
La conception des causes de l'hystérie, si fortement établie par
Charcot
et son école commence cependant à paraître incomp
on scientifique, ignorante, de la maladie : c'est ce que l'école de
Charcot
a établi d'une façon définitive. Il est dorénav
e ces analyses avec les signes physiques de la maladie, établis par
Charcot
d'une façon magistrale. (The alienist and neuro
qu'un cas de tachypnée hystérique, vue par Lasègue et décrite par
Charcot
et Weir-Mitchell; mais cette tachypnée s'est mani
tachypnée hystérique secondaire à côté de la tachypnée primitive de
Charcot
. il. C. LIX. De l'analgésie épigastrique profon
e en évidence par de nombreuses observations. On s'aperçut même que
Charcot
avait entrevu cette psychose, car dans ses leço
r le métatarse. La démarche devint celle du stepper, signalée par
Charcot
. Il y avait, en réalité, paralysie des fléchisseu
t il y a cata- lepsie quand le sujet semble en état de monoïdéisme.
Charcot
attribué ce dernier état à l'isolement dans leq
rs de mémoire et d'attention; cet auteur niait les localisations.
Charcot
et ses disciples n'admettaient point d'associatio
subcorticale; le premier, il mit en évidence l'aphasie amnestique.
Charcot
négligeait les associations entre les centres,
ment prémonitoire se rencontre assez fréquemment, comme on sait, et
Charcot
en a cité plusieurs exemples. Les trois accès s
11. Blizzard, 309. Cabanne·, 3` ? G. Carr, 310. Catrm, 235.
Charcot
, 74. Claphans, 223,2-2 ? Claïke, 61. Cluich
tour du foyer intracérébral. Mais les études de Cruveilhier, Tiirk,
Charcot
et Turner, Charcot et Vulpian, Gübler, Cornil e
cérébral. Mais les études de Cruveilhier, Tiirk, Charcot et Turner,
Charcot
et Vulpian, Gübler, Cornil et enfin et surtout
lte époque d'autres auteurs comme Leubnscher, Luys (1), Cornil l et
Charcot
(2) attribuaient la contracture aux lésions des n
. Ce qui conduit M. Brissaud à admettre, d'accord avec son maî- tre
Charcot
,que la contracture est un état de strychnisme per
la contracture est un état de strychnisme permanent delà moelle.
Charcot
(2) a bien vu que la contracture, quoique coïncid
re ou à la sclérose descendante du faisceau pyramidal. Mais d'après
Charcot
, cette contracture n'est pas, si l'on peut s'expr
manifeste quand la sclérose n'existe pas. On conçoit en effet, dit
Charcot
, que l'irritation des cellules nerveuses qui pr
entre le strychnisme expérimental et le strychnisme spontané, comme
Charcot
caractérise l'état tétanique des cellules des c
xcitabilité musculaire exagérée. C'est, on n'en saurait douter, dit
Charcot
, un phénomène comparable à la con- (1) BRISSnCD
acture durable, seulement c'est une contraction durable permanente.
Charcot
et Vulpian poussent plus loin la question et reco
joue le rôle d'inhibiteur, rôle qui lui avait été attribué déjà par
Charcot
. Nous pensons que ce rôle d'inhibition existe e
la contracture, ne se demande pas d'où vient cette excitation comme
Charcot
et Vulpian ; il ne croit pas à une excitation p
a contracture, d'où un état d'excitation, ce que disaient également
Charcot
et Bouchard. Mais Hitzig ne constate pas de mou
nt pas la contracture, et pour l'expliquer on revenait aux idées de
Charcot
, Vulpian, Bouchard, Brissaud, etc., que la cont
, et qui dans la contracture a dis- paru. C'est ce que les anciens,
Charcot
, etc. ont vu aussi, et ce qui pour Marie était
Professeur de Clinique des maladies nerveuses Interne de la clinique
Charcot
. à la Salpêtrière Dans le groupe des gangrène
le Dr J... de la Haye, âgé de 48 ans ; il a été amené à la Clinique
Charcot
par le Or Rosenthal, ancien élève du service et
sayés, prescrits par des méde- cins de tous les pays. A la clinique
Charcot
le malade a été traité par le Dr Huet, chef du
ue le fruit d'une imagination d'artiste. On se rappelle que, pour
Charcot
et P. Richer le mascarona de S. M. Formosa de V
enaient à la série des- spas- mes glosso-labiés si bien étudiés par
Charcot
. ' Quelques.mois plus tard, le Dr Pol Gosset, d
8), Jappa (1888), Rosenheim (288î), Fraenkel (1891), IIeyse (1892),
Charcot
(1893), Senator (1893), Giese et Pagenstecher (18
ogue à ceux qui ont été décrits par Vierordt, Rosenheim, Se- nator,
Charcot
et quelques autres. 136 G. CATOLA Examen hist
mégatieou hypertrophie de la main décrite pour la première fois par
Charcot
et Brissaud (1) a été retrouvée depuis lors un
s noms propres sont les premiers à faire défaut. Dans certains cas,
Charcot
, Westphal ont vu la mémoire si mauvaise que la le
des psychoses dans le goitre exophtalmique, Basedow, Bruck (1862),
Charcot
(1855), Rousseau, Mac- donnal, Paul Geigel, Mor
iplégie hystérique a été ensuite ex- posée à plusieurs reprises par
Charcot
, qui appliqua à la démarche de (1) Ce travail a
,m1Jocx.ç). Le signe le plus frappant dans la démarche de Todd (dit
Charcot
) est que le membre paralysé est, pour ainsi dire,
es de cette deuxième période de démar- che hémiplégique que Todd et
Charcot
fondent le diagnostic différentiel entre les de
ien sur la démarche spéciale dans cette manifestation hystérique.
Charcot
dans ses Leçons sur la coxalgie hystérique, après
à la manière des vrais coxitiques. Peut-être aussi que la malade de
Charcot
boitait comme les individus atteints de coxalgie
e diagnostic en prononçant d'emblée le mot : hystérie. 240 NERI
Charcot
sur la démarche dans un cas de chorée rythmée dit
rhumatisme chronique : c'est un exemple du second type classique de
Charcot
: on voit en effet l'ankylose en flexion des arti
rature dont la conclusion peut se résumer dans les mots suivants de
Charcot
: « La lésion anatomique de l'hystérie échappe
nes de pithiatisme ? Est-ce que sous l'influence dela suggestion de
Charcot
et de ses élèves, l'Ecole neurologique moderne
les hystériques, soit à rejeter. Il est certain pourtant que, après
M. Charcot
, personne n'a été autant utile à l'étude de l'h
e argument par ce grand créateur de la Neurologie moderne que fut
M. Charcot
. Mais je crois que la réaction suivra encore un
e M. Valobra. N. D. L. Il. M. Valobra, tout en déclarant « qu'après
Charcot
, personne n'a été autant utile à l'étude de l'h
est mort, subitement, le 24 novembre 1908. Depuis la disparition de
Charcot
,il participait au patronage scientifique delà N
voyance.Et,par là, on peut dire qu'il était façonné à la manière de
Charcot
: pour une élude scienti- fique, comme pour tou
e et de la broncho-pneumonie. Sous l'influence de l'enseignement de
Charcot
, il se spécialisa bientôt LE PROFESSEUR JOFFROY
ans cesser de le respecter. Le Professeur Joffroy est mort, comme
Charcot
, de mort subite. De longue date il en avait le
male. - Etude physiologique sur l'acétophénone. (Note transmise par
M. Charcot
, séance du 26 décembre 1885)., 3 Mairet nt Comb
x qui nous ont servi à établir les conclusions que M. le professeur
Charcot
a bien voulu communiquer à l'Académie des scien
se à la méthode anatomo-clinique. (Voy. Localisations cérébrales de
M. Charcot
. Maladies de l'encéphale et localisations de M.
les faits cliniques. ' Voyez Kussmaul {Stoerïmgen der spreche) ;
Charcot
et Marie (Revue de médecine 1883); Notimagel (M
t à l'école de la Salpêtrière. Et, en effet, ce sont les travaux de
M. Charcot
surtout et les observations publiées chaque ann
l, Kohler et Pick, Broadbent, etc., à l'étranger ; en France de MM.
Charcot
, Magnan, Le- grand du Saulle et leurs élèves, l
t ce qui ne me semble pas contestable; on comprend en effet que '
Charcot
. Note mentionnée par C. Ballet, loc. cit., p. 110
paraît être par rapport à la surdité verbale ce qu'est le malade de
M. Charcot
par rapport à la cécité verbale ; taudis que ce
la parole ne sera pas ' Skwortzoff. Loc. cit. ; Obs. X, p. 120. 1
Charcot
. Des différentes formes de Caphasie, etc. (Progrè
, il est facile d'expliquer les faits tels que celui de H. G. de M.
Charcot
, qui «ne lisait qu'en écrivant; de même, grâce
certaine entre le paramyoclonus et la maladie des tics convulsifs (
Charcot
), le fait que dans cette dernière affection, co
rrangement tel qu'on peut les dire vérita- blement systématiques » (
Charcot
), et que « tous ou presque tous les gestes et l
à poser un certain nombre de règles générales dont notre maître M.
Charcot
avait pu constater l'exactitude et qu'il avait
tions exagérées des auteurs français et en particulier à l'école de
Charcot
, prétendant que tout accès d'épilepsie parfait
èrement les données antérieures ; c'est que notre éminent maître M.
Charcot
y est revenu maintes fois dans ses leçons. Afin
munique à la Société de médecine de Lyon une seconde obser- vation.
M. Charcot
(188'a) fait une leçon sur l'ataxie hérédi- tai
Nous n'avons pas besoin de consacrer un long discours au livre de
M. Charcot
. L'école qu'il a fondée, les ouvrages qu'il a pub
hémiplégie hystérique, etc. Les deux premiers volumes des Leçons de
M. Charcot
sont arrivés à quatre et cinq éditions; celui-c
ar G. LhGUG et Gilles DE la Tourette. Préface de M. le Professeur
Charcot
. Paris, in-8°, 4886. Aux bureaux du Progrès Médic
usions de l'appareil génital. Son autobio- graphie se présente, dit
M. Charcot
dans sa préface, entre tous les documents que n
sont en résumé trois grandes hystériques que les ensei- gnements de
M. Charcot
nous permettent de mettre au point de la nosogr
soirées de la Sor- bonne. L'ouvrage est dédié à M. le professeur
Charcot
: c'est à dire qu'il est présenté suivant l'esp
s m'être sen- siblement écarté de la méthode générale adoptée par
M. Charcot
, notre maître à tous en pathotogienerveuse, de
ées. A la suite d'une leçon sur ce sujet faite à la Salpêtrière par
M. Charcot
, leçon dont notre éminent maître voulut bien no
d'Owen's Collège, à Manchester, a eu l'obligeance de communiquer à
M. Charcot
un exemplaire du travail de .T. Jackson. Nous e
enuisier, est entré le 22 octobre 1884 à la Salpêtrière (service de
M. Charcot
). Père, mort à la guerre, pas de maladies nerve
ions au niveau des pédoncules. A l'occasion de deux cas publiés par
M. Charcot
et par moi dans les Archives de Neurologie, 188
somanie. Progrès médical, 1884. De l'oitomalomanie [en collab. avec
M. Charcot
). Arch. neur., 1885. 2 Nous ne pouvons exposer
méthode de déterminisme rigoureusement suivie par M. le professeur
Charcot
et que même, parmi les sa- vants, il en est qui
certain qu'en appliquant la méthode nosographique à cette étude, f.
Charcot
a permis de faire entrer dans le domaine des sc
ation des phénomènes rf- gardés comme à peu près inaccessibles. ni.
Charcot
a donc réha- bilité l'hypnotisme et lui a fait
en outre de pigmentation. C'est-l'atrophie pigmentaire qu'a décrite
M. Charcot
avec dégéné- rescence granulo-graisseuse. La pa
début, par Imberdts, 302 ; Alala- dies du système nerveux, par
Charcot
, 304 ;- Maladies épi- démiques de l'esprit, par
, 321. Briand, 89, 243, 4 ? 4. Bridon, 321. Charpentier, 244.
Charcot
, 304. Combemalle, 4. Cristoph, 315. Cullerr
. AVIS DE L'ÉDITEUR Nous avons réuni dans ce volume les leçons de
M. Charcot
sur les Maladies du foie, recueillies par nous et
venus ce qu'ils doivent s'attendre à trouver dans mon enseignement.
Charcot
. Œuvres complètes, t. vi. Maladie du foie. 1 I.
Fig. 4. — Schéma d'après le Mémoire nant perpendiculairement les
Charcot
. Œuvres complètes, t. fï. Maladies du fuie. 2 c
orte de se reporter au schéma que je vous ai présenté dans l'avant-
Charcot
. Œuvres complètes, t vi, Foie. 3 injection, n'a
sépare la paroi de la travée de cellules (1) Centralblatt, 1869.
Charcot
. Œuvres complètes, t. vi. Maladies du foie. 4 d
a bile et de l'hématoïdine dans les kystes hydatiques. Paris, 1869.;—
Charcot
, OEuvres compl., t. vin, p. 258, etc. moglobine
rvations recueillies par M. Brouardel et possédant, par conséquent,
Charcot
. Œuvres complètes, t. vi. Maladies du foie 7 en
e cartilage et la peau de l'oreille (1) Centralblatt, 1866, p. 405.
Charcot
. Œuvres complètes, t. vi. Maladies du foie. 8 e
t plus abondants que cette substance existera en plus forte propor-
Charcot
. Œuvres complètes, t. vi, Maladies du foie. 10
a pratiqué la ligature du canal cholédoque chez les animaux. (Leyden,
Charcot
et Gom-bault.) L'accollement des branches de la
édition, p. 65. (3) Greisenkrankhehiten, Leipzig-, 1863, p. 121.
Charcot
. Œuvres complètes, t. vi, Maladies du foie. 13
accidents très spéciaux de cette forme de fièvre intermittente. (1)
M. Charcot
a vu récemment les bactéries faire défaut dans un
asses de cellules épithé- (1) St-Bartholo?new's Hosp. Rep., 1868.
Charcot
. Œuvres complètes, t. vi, Maladies du foie. 15
nsactions de la Société pathologique de Londres (7 dé-cembre 1875).
Charcot
. Œuvres complètes, v. vi, Maladies du foie. 16
a cirrhose l'interruption plus (1) Article Atrophie, pl. n, fig. 1.
Charcot
. Œuvres complètes, t. vi, Maladies du foie. 17
centration extrême, c'est-à-dire, sous forme d'un dépôt cristallin.
Charcot
. Œuvres complètes, t. vi. Maladies des reins. 20
oire a été reproduit par nou dans le tome VII des Œuvres complètes de
M. Charcot
, p. 425-457. (B). 3° Il existe encoró une autre
rché, Lancereaux, Cornil et Ranvier, Bartels, Labadie-Lagrave, etc.
Charcot
. Œuvres complètes, t. vi, Maladies des reins. 21
s ces conditions, on ne (1) Voir le tome XI des Œuvres complètes de
M. Charcot
(p. 5 à 72). l'observe pas ; je me borne à vous
TROISIÈME PARTIE Des conditions pathogéniques de l'albuminurie
Charcot
. Œuvres complètes, t. vi, Maladies des reins PR
ulière qui filtre à (1) Journal de méd. de Bruxelles, 1867, xlix.
Charcot
. Œuvres complètes, t. vr, Maladies des reins. 27
s planches ont été dessinées par notre ami M. Gombaui.t. PLANCHES
Charcot
. (Euvr. compl. t. vi, Maladies du foie, et des re
rgis, contenant des vaisseaux sanguins et des canalicules biliaires
Charcot
Oeuvres complètes Lecons sur le fore. Combaul
s hépatiques. CHARCOT—Œuvres complètes-Leçons sur le foie Pl. I
Charcot
et Gombault del G Masson, éditeur F. Renaudot
arche de la température; — la ligne verte les variations de l'urée.
Charcot
. Œuvres completes .Leçons sur le foie. PL. IV
\ Veines des systèmes portes accessoires de M. Sappey. 4 [ 5 ]
Charcot
. Œuvres complètes. Leçons sur le foie. PL. V.
les mains des Janssen, des Marey, des Lippmann, des frères Henry, des
Charcot
et de bien d'autres un merveilleux instrument de
de la Physiologie. Placé par notre éminent maître M. le professeur
Charcot
à la tête du Service photographique de la Salpêtr
ches, exécutées d'après les clichés photographiques du laboratoire de
M. Charcot
, sont pour la plupart l'œuvre de M. Richer. Nous
graphique par l'administration de l'Assistance publique. professeur
Charcot
que l'Assistance publique de Paris créa à cette é
s mis à notre disposition soient des plus modestes, le laboratoire de
M. Charcot
est cité partout en France et à l'étranger comme
es dans les expositions françaises et étrangères. La création due à
M. Charcot
répond donc à un besoin réel et il n'est pas dout
voulu il faudrait, comme l'a si bien fait remarquer M. le professeur
Charcot
, connaître également bien le nu normal. Or on doi
et dont la fig. 16 reproduit l'attitude habituelle. Cette malade, que
M. Charcot
a montrée bien des fois Pl. I. Déviation de l
de l'acromégalique est tellement typique que plusieurs des élèves de
M. Charcot
et nous-même avons pu reconnaître à première vue
ales de la plaque photographique dans certains cas. Notre maître M.
Charcot
voulant prouver que, chez les hystériques, le poi
le marquait avec une goutte de teinture d'iode. Si les prévisions de
M. Charcot
étaient justes, comme les ovaires remontent const
l'expression de la colère et l'autre celle du sourire. D'autre part
Charcot
et Richer ont eu l'idée de procéder d'une manière
stérie, qui a été faite d'une façon si magistrale par notre maîlre le
Dr Charcot
et l'Ecole de la Salpêtrière; pour ceux de nos le
Après un court repos commence la période des grands mouvements que
M. Charcot
a appelé non sans raison la période du clownisme;
quées sur le dessin. Nous arrivons alors à la quatrième période que
M. Charcot
a admirablement définie, période des attitudes pa
otographie antérieure du sujet. Le 6 décembre i8yi. Le Médecin,
Charcot
. effet, des condensations qui seront certaineme
ourants faradiques, selon la méthode de Vigou- roux, préconisée par
Charcot
. D'après MM. Leroy et Veslin, la meilleure thér
nées pour pouvoir entrer dans le cadre habituel de la maladie de
Charcot
; il est vraisemblable de supposer que les rares c
le buste en bronze enfin qui le surmonte est dû au ciseau de 111 ?
Charcot
. Le ministre du commerce. M. TitouiL- [.Or, a p
er, qui dit une fort belle poésie de sa composition : « Le Siècle à
Charcot
». Des discours ont été ensuite prononcés par l
tisans les plus humbles de ce vallon habitués à prononcer le nom de
Charcot
avec vénération, comme celui du patron de la Ci
le sentiment public, que le Conseil municipal donna le nom d'Avenue
Charcot
à la voie principale de la station. Cette premi
rite vraiment le surnom de rénovérateur de la neuropathologie....
Charcot
manifestait pour l'action bienfaisante de Lamalou
pas encore publié la révélation. Les témoignages de la confiance de
Charcot
en Lamalou se sont produits, il ne faut pas l'o
la Salpêtrière était l'artisan le plus émiuent et le plus célèbre.
Charcot
a donc été, dans l'absolue vérité du terme, « l
ux hommages, c'est celui-là peut-être, qui eût plus vivement touché
Charcot
. Sous sa physionomie impéné- trable, le Maître
ui recouvre des trésors de sensibilité et de tendresse. Ainsi était
Charcot
. J'en ap- pellerais a ceux que je vois ici et q
c'est faire injure a leur mémoire. Le seul hommage qui convienne à
Charcot
, c'est de maintenir à son oeuvre lajuste admira
a présidence de cette fête médicale. Le meilleur hommage à tendre à
Charcot
, dit-il. est d'indiquer à quel point en était de
adies. C'est lui, dit-il, qui fit connaître Lamalou à Duchenne et à
Charcot
. « C'est a ce moment. poursuit M. Boissier, que
s stations thermales. » Le I)1' Boissier rappelle que la mémoire de
Charcot
est, aujourd'liui. plus vivante que jamais... 1
t avec intention qu'il n'a même pas effleuré la grande existence de
Charcot
. Il laisse ce soin au « professeur éminent que,
minent que, dans le monde scientifique, on appelle le successeur de
Charcot
, et qui remplit si brillamment la tâche ardue d
parole est ensuite donnée au P' B1YR0\U, l'éminent succes- seur de
Charcot
à la Salpêtrière. Messieurs, Le lendemain mêm
rcot à la Salpêtrière. Messieurs, Le lendemain même de la mort de
Charcot
, sa compagne dévouée, celle dont tous les actes
lu de l'éri- ger à Lamalou-les-Bains pour y consacrer la mémoire de
Charcot
. C'est cette pensée toute filiale qui nous réun
ur l'une le vieil hospice de la Salpêtrière, le champ de travail de
Charcot
, et les attributs de la clinique; sur l'autre, le
in, deux autres bas-reliefs nous montrent, sur la première colonne,
Charcot
faisant une leçon clinique à la Salpèlrière ; s
votre invitation. de mettre en lumière un des côtés de l'oeuvre de
Charcot
qui aie le moins frappé ses admirateurs et qui
de votre attention, je voudrais vous rappeler succinctement ce que
Charcot
fut comme thérapeute. Sans doute, c'est quand o
onnelles et des altérations anato- 400 VARIA. miques des organes,
Charcot
. dont toute l'existence médicale s'est déroulée
novateur. Or, il ne s'agit pas là d'un lait isolé. Un des premiers,
Charcot
pré- conisa et vulgarisa le traitement iodo-mer
l'emploi de la suspension dans le traitement du tabès, etc.. etc.
Charcot
ne s'est pas contenté de nous montrer la compress
r, et Combemale, de Lille. Il est intéres- sant de rappeler comment
Charcot
fut d'abord conduit à envoyer ses malades à Lam
ité certaine. Rentré à Paris, il fit part de cette constata- tion à
Charcot
. L'année suivante, ce dernier y envoya ses premie
'étendre au loin, les tabétiques qui, notamment, venaient consulter
Charcot
de toutes les parties du monde, firent connaîtr
ourquoi la station de Lamalou s'est complètement transformée depuis
Charcot
; de station régionale qu'elle était, elle est dev
trop longue épreuve, après avoir rappelé succincte- ment ce que fut
Charcot
en tant que thérapeute, et comment il a été ame
plus profonde surles esprits de leurtemps. Ce qu'a été l'cenvre de
Charcot
dans le domaine jusque là mysté- rieux de ces d
hilosophique, les résultats ont dépassé le but direct des études de
Charcot
, et, comme, en travaillant pour la santé physique
issances humaines un champ indéfiniment élargi. L'honneur levient à
Charcot
d'avoir attaqué l'erreur dans le plus sûr refuge
naturelles, il y a simplement des lois naturelles encore inconnues,
Charcot
l'a mise en indiscutable évidence, en rendant à
autre parlant uniquement d'expérimentations scientifiques. Renan et
Charcot
aboutissent à ces constatations rigoureuses et tr
charre est apparue quelques jous seulement après l'accident, mais
Charcot
n'a-t-il pas trouvé de l'hypertrophie des cylin-
ut nommé chef du laboratoire d'anatomie pathologique de la clinique
Charcot
, à la Salpêtrière, situation qu'il n'avait pas
spastique, ni choréique. C'est la démarche athétosique désignée par
Charcot
sous le nom de démarche de gallinacés. Fig. 1.
e Dl' SIGM. FREUX. L'auteur s'adresse spécialement aux disciples de
Charcot
pour faire valoir quelques objections contre la
usée par le sang épanché. Après Baillarger2, avec Hescl, Virchow 3,
Charcot
et Vulpian 1., Lancereaux 5, Piro- tais, Christ
Paris, 1817. 1 Vil'Chow. - Das hoema/om dei' dura mater, 1856. ,
Charcot
et Vulpian. &'M<' les zzéu-zneznGrcczzesrl
nnée 1894-1895. Sui- vant l'exemple de son maître, M. le professeur
Charcot
, M. Ray- mond rassemble en un volume des plus i
séparation des types cti- niques. Par sa méthode anatomo-clinique,
Charcot
contribue à séparer les diverses scléroses et é
lus saillants de ses travaux. Mais pour bien comprendre l'oeuvre de
Charcot
, pour bien saisir toute la portée de ses travaux,
avec une paralysie du moteur oculaire externe gauche. La maladie de
Charcot
fait l'objet de deux intéressantes leçons. M. l
entres et des conducteurs d'une coordination motrice défendue par
Charcot
et par Erb, on doit reconnaître avec Leyden et Ra
fait le sujet de notre première observation, est cet oedème bleu de
Charcot
qui envahit le plus souvent un membre déjà para
uses depuis l'âge de dix ans. Elle entre en 1890 dans le service de
Charcot
, qui observe sur elle l'oedème bleu, décrit par
puisque, dit Thi- bierge, il « suffit d'avoir lu la description de
Charcot
pour le reconnaître à première vue et à distanc
oublier que je parle de- vant des mailres, que l'ombre de l'éminent
Charcot
plane sur cette assemblée, que vos réunions éta
us voulons parler de la maladie de Raynaud et de l'oedème bleu de
Charcot
. Raynaud, dans sa thèse inaugurale, en 1862, a le
souvent la cause. L'oedème bleu, décrit pour la première fois par
Charcot
, en 1884, débute ordinairement brusquement, à l
loin d'être d'accord au sujet de la pathogénie de cette affection.
Charcot
la croit duc à un spasme des vaso-moteurs, Pitr
d'acl'ocyailosP n'est ni la maladie de Raynaud, ni l'oedème bleu de
Charcot
, quoiqu'elle se rapproche par certaines particu
phlyctène ou de gan- grène ; elle se distingue de l'oedème bleu de
Charcot
par l'absence d'oedème, de paralysie, de parési
ant à celle de la maladie de Raynaud et à celle de l'oedème bleu de
Charcot
, mais en diférant par plusieurs caractères impo
et ne produit aucune abolition de la sensibilité. L'oedème bleu de
Charcot
se caractérise par une cyanose avec oedème acco
leurs bien intenses. La maladie de Raynaud,-comme l'oedème bleu de
Charcot
et comme l'acrocyanose, reconnaissent toutes tr
nature propre, de réserver son jugement, et comme le recommandent
Charcot
et ses savants successeurs, de songer toujours à
de fer doux entourée d'un solénoïde, Schiff examina les malades de
Charcot
, lançant le cou- rant à l'insu des malades et.d
roubles vésicaux ou rectaux. Ce sont précisément ces caractères que
Charcot
indiquait comme les caractères distinctifs de l
in-8° de 8 pages. Extrait du Traité de médecine, volume V , par MM.
Charcot
, Bouchard, Brissaud et Silva. DortAre (J.). - Z
et état qu'elle fut transportée à la Salpêtrière dans le service de
M. Charcot
. Pendant le premier temps de son séjour à l'hos
mois, elle rentre à la Salpêtrière dans le service du profes- seur
Charcot
. Un mois après elle avait la sensation de cuirass
tier la maladie de Korsakoff a été dénommé : amnésie antérograde (
Charcot
); amnésie antérograde de conservation (Sollier);
siques et psychiques de dégénérescence, des tics entre autres, dont
Charcot
a signalé la tréquence chez les imbéciles. Et c
e se sont multipliées depuis Broca. Avec Trousseau, Duval, Jaccoud,
Charcot
, etc., la symptomatologie et la clinique de l'a
paraphasie et agraphie mais avec conservation de la parole parlée.
Charcot
admit la surdité etla cécité verbale mais en fi
euses obser- vations, combat avec de solides arguments l'opinion de
Charcot
. Il admet une seule aphasie sensorielle, caract
considérable dans le diagnostic des aphasies.Il combat l'opinion de
Charcot
et d'lxner qui affirmaient l'existence d'un centr
isée au pied de la deuxième frontale (localisation de l'agraphie de
Charcot
). Ce malade aurait dû être atteint d'agraphie p
rconstances et justifient les opinions soutenues par notre illustre
maître Charcot
, dans un de ses derniers tra- vaux : La foi qui
ne façon certaine. Par suite les assertions doivent être exactes de
Charcot
et Flayem. qm ont soutenu que le ramollissement d
e (possession des Ursulines d'Auxonne). - 81 La roi qui guérit, par
Charcot
. Prix broché, 23 fr., au lieu de 37 fr. 50 Pr
pathologie médicale. C'est ainsi que nous pouvons citer les noms de
Charcot
, Vulpian, Leyden, Hammond, Jaccoud, W. Gull,
ait l'objet a vécu jusqu'en 1884, et a été vue par M. le professeur
Charcot
, qui a contrôlé le diagnostic rétrospectif. Pas
avons nous-même, sur les conseils de notre maître, M. le professeur
Charcot
, analysé les travaux des trois précédents auteu
stent aux révolutions de l'âge. Deuxième partie. M. le professeur
Charcot
a vu à plu- sieurs reprises cette malade qui, j
première partie a été recueillie par M. Il. chef de cliniZue de 11.
Charcot
.) S. J..., né le lot juillet 1864 au Havre; emp
spice de la Salpêtrière (salle Bouvier, service de M. le professeur
Charcot
), les mouvements ne firent que s'accroître de m
oles et même des phrases brèves qu'il entendait prononcer : « Voilà
M. Charcot
». « Charcot » répétait-il immédiatement, en ex
hrases brèves qu'il entendait prononcer : « Voilà M. Charcot ». «
Charcot
» répétait-il immédiatement, en exagérant ses mou
exagérant ses mou- vements habituels. Et il ajoutait : a Ah ! voilà
M. Charcot
, M. Charcot, M. Charcot »; le tout accompagné d
mou- vements habituels. Et il ajoutait : a Ah ! voilà M. Charcot,
M. Charcot
, M. Charcot »; le tout accompagné de grimaces et
ts habituels. Et il ajoutait : a Ah ! voilà M. Charcot, M. Charcot,
M. Charcot
»; le tout accompagné de grimaces et de contors
sente en février 188t à la consultation particulière de M. le prof.
Charcot
, qui prescrit un traitement électrothérapique à
.» C'est à cette dernière époque qu'il vient à la consultation de
M. Charcot
avec sa mère. Nous n'insisterons plus sur les con
ler l'attention sur un autre symptôme. Pendant l'examen , le mot de
Charcot
, vient frapper son oreille, aussitôt il répète
le mot de Charcot, vient frapper son oreille, aussitôt il répète :
Charcot
en faisant une contorsion ; celle-ci est quelqu
résente en mai t8rt'a à la consultation externe de M. le professeur
Charcot
, hospice de la Salpêtrière. ' Son père est mo
furent essayés et échouèrent; en 1883 les parents vinrent consulter
M. Charcot
. Nous voyons Ch... au Havre. le 12 juillet 188t
is d'octobre 1884., le père amène son enfant en consul- tation chez
M. Charcot
, qui confirme le diagnostic. Etant donné l'état
ent favorable du sujet, qui n'a plus que quelques tics généralisés,
M. Charcot
conseille le retour à la ville et la reprise de
nt que les battements aux tempes pour constituer le type décrit par
M. Charcot
. Cette aura est presque aussitôt suivie des acc
- mènes en apparence sans règle et l'attaque complète décrite par
M. Charcot
? Nous pensons que les phénomènes précédents pe
erficielles et n'échappent, en réalité, pas aux descriptions de MM.
Charcot
, Bourneville, Regnard et Richer. c La malade
microscope, la méthode anatomo-clinique de notre savant maître, AI.
Charcot
. Avant d'entrer en matière, M. Kahler prend soi
n dans la diminution des déchets organiques dans l'urine, comme MM.
Charcot
et Bouchard, mais encore dans le retard apporté
urnal der praklischen lleilkuntfe, IS44. 156 pathologie nerveuse.
Charcot
admet les amyotrophies d'origine trauma- tique
s comme nous l'avons vu dans l'observation d'Itard, complétée par
M. Charcot
, et Pitres et Féré, nous ont communiqué deux ca
ôme important et carac- téristique de l'hystérie comme l'a établi
M. Charcot
. Cette analogie symptomatique de l'hémianesth
du service. 230 RECUEIL DE FAITS. chenne de Boulogne (service de
M. Charcot
), a présenté dans sa jeunesse un certain nombre
ent l'existence d'une myélite franche. Telle est aussi l'opinion de
Charcot
sur l'origine des amyotrophies qui surviennent
mené, c'est-à-dire en pleine santé men- tale. Cas de Passow, Zippe,
Charcot
et Magnan. Ce n'est cependant ni une psychose d
dans les départements. Le bureau sera ainsi composé : : Président,
M. Charcot
; vice- présidents, MM. P. JAYET et Th. RIBOT;
e au monde savant. Elle attire et retient des collaborateurs tels que
Charcot
, Dumontpallier, Mesnet, Delbccuf, Liébeault. Dura
à son larynx. L'assistant, qui avait lu récemment les expériences de
Charcot
, voulut essayer pour la première fois d'hypnotise
de ci-dessus, Gilles de la Tourette. Pitres, etc., sont des élèves de
Charcot
, qui ont continué de penser comme leur maître. Or
ontinué de penser comme leur maître. Or le procédé d'hypnotisation de
Charcot
était brutal, excitant, mauvais; je concède qu'en
nients » entre autres celui de développer l'hystérie. De plus, jamais
Charcot
et ses élèves n'ont employé l'hypnotisme comme mo
urobiologie humaine ou physio-pathologie du système nerveux. Pinel et
Charcot
, rapprochés aujourd'hui sur le parvis de la Salpê
méconnu des précurseurs et la patience des Braid, des Liébeault, des
Charcot
, des Dumontpallier, des Voisin et de leurs émules
psychologie médicale. Je fus assidu aux cours de la Salpêtrière, où
Charcot
étudiait l'hypnotisme dans ses rapports avec la g
lus d'assurance que je m'enhardis à aller rendre visite au professeur
Charcot
. Son accueil fut d'abord peu encourageant. Il dai
plus favorable. Avant la fin de l'entretien, la partie était gagnée.
Charcot
m'accorda la faveur d'inscrire son nom sur la lis
ux qui se consacrent à l'étude de la psychothérapie. Dès ce jour,
Charcot
ne cesse de s'intéresser très vivement à notre Re
pulsion (Applaudissements prolongés). Les encouragements donnés par
Charcot
à un chercheur indépendant provoquèrent quelques
it est disposée à se donner un libre cours. Je connaissais l'heure de
Charcot
. A l'Institut, dans la salle des pas-perdus de l'
us question de l'hypnotisme ». C'est à la suite de ces entretiens que
Charcot
m'a accordé son patronage pour le premier congrès
eurs n'a pas empêché plusieurs des susdites hystériques du service de
Charcot
d'aller jouer en ville, à leur sortie de la Salpé
scientifiques si magistralement exposées par les Claude Bernard, les
Charcot
et les physi3lo-gistes contemporains. Le titre de
e à ce grand neurologiste dont les travaux l'avaient souvent inspiré.
Charcot
savait lui-même, mieux que personne, qu'il n'avai
arence jusqu'à trente ans, est devenu un grand médecin. Le professeur
Charcot
ne parvint à l'agrégation qu'à grand'peine; et, d
'acquiert que par un long effort ». Il faut croire que l'exemple de
Charcot
est des plus caractéristiques, car, dans la leçon
ymond ne pouvait s'empêcher d'y faire allusion en disant : « En 1860,
Charcot
arrive à l'agrégation, après avoir failli échouer
grand metteur en œuvre de la « foi qui sauve a, selon l'expression de
Charcot
. Elles nous montrent pleinement le rôle immense
r étude est à cet égard très intéressante. L'amnésie antérograde de
Charcot
, les amnésies continues de M. P. Janet ne sont pa
iquement appliqués. Les plaques métalliques de Burq, les aimants de
Charcot
sont considérés aujourd'hui, à tort ou à raison,
'anesthésie post métallique de Burq, les oscillations consécutives de
Charcot
n'étaient pas dues simplement à des oscillations
éducation de l'attention est essentiellement française. Inaugurée par
Charcot
, employée couramment par Janet, elle est celle qu
ophie n'est pas générale; elle n'est pas au moins également répartie.
Charcot
écrit : a Par une sorte de contradiction fort rem
existence n'implique pas leur égalité. Sur ce manque de solida- (1)
Charcot
: (Buvrescomplètes. Tome VII. (2) Loe. eu. (3J
qui modifie l'aspect de l'hémianopsie. 1 - 1 L'amblyopie croisée de
Charcot
, qu'on ne constate plus maintenant, était peut-
conservation de la conscience pendant l'accès était considérée par
Charcot
et Gilles de la Tomette comme un des caractères
nifestation isolée survivant aux attaques pendant la bromura- tion (
Charcot
). H est précédé de sensations visuelles et auditi
que, dans la maladie de Basedow, au début de la paralysie agilanle (
Charcot
et Yulpian). z Dans la neurasthénie, il est, av
mais dans les affections organiques de l'estomac, cancer ou ulcère (
Charcot
1'1 Houyeret) et, d'après Lasègue, l'apparition d
ort. La crise n'est sans doute pas due seulement, connue le pensait
Charcot
, Ù l'irritation du nerf laryngé, mais plutôt à
ûrement fatale, c'est le clecztbilus aculus, decubitus nntinosus de
Charcot
. On désigne sous ce nom une escarre dépendant d
sanique se place le mutisme hystérique, magis- tralement décrit par
Charcot
. Dans ce mutisme, fréquemment intermit- tent, l
du segment postérieur de la capsule interne (carrefour sensitif' de
Charcot
), mais au contraire que les fibres sensitives s
fron- tale et pariétale et lobule paracentral) ; l'autre dualiste (
Charcot
, Ballet, Redlich, von Monakow) soutenant que .l
ie sensitivo-sensorielle totale et complète, telle que la concevait
Charcot
, nous verrons dans un instant, à propos de l'hémi
pendantes des fibres de la voie pyramidale (carrefour sensit if' de
Charcot
). Cette conception de l'hémianesthésie capsulai
ans la découverte du réflexe rotulien. Par la suite, les travaux de
Charcot
, Jolfroy, Urissaud vulgarisèrent cette ! découv
ne d'en- trée des racines postérieures, des bandelettes externes de
Charcot
et Pierret. (il convient toutefois de ne pas s'
a moelle, suivant Baslian. Telle n'était pas cependant l'opinion de
Charcot
qui pense epic. dans la section même complète,
les lèvres qui subissent la déviation en « point d'ex- ctamahou)) (
Charcot
), la pointe étant, du côté paralysé, la grosse ex
des fléchisseurs. Le malade se déplace sur la pointe des orteils :
Charcot
comparait cette allure à la « démarche des ball
uvent des douleurs atroces (paraplégie douloureuse des cancéreux de
Charcot
). Ces douleurs, liées à l'effondrement des trous
s analgésique, de main en pince de homard dans la pachyméningite de
Charcot
. et ,T 0 f1'ro y . Nous sommes amenés ainsi il
La claudication intermitlcnl1 être d'origine périphérique (Boulay-
Charcot
) 9JLIlI¡\dullairGiD¡'j ! 'rine). En d'autres term
rique peuvent être abo- lies ou seulement diminuées. Dans un cas de
Charcot
, concernant une paralysie radiculaire de la pre
a paralysie faciale dite a {'rig01'e est très fréquente. Neumann et
Charcot
ont indiqué la prédisposition héréditaire. Cette
e la gaine des tendons extenseurs et due il une synovite chronique.
Charcot
. considérait celte tumeur dorsale du poignet co
ont été publiés sur cette question depuis les premiers mémoires de
Charcot
et Krishaber, etc. Le tabes, nous l'avons vu, se
s toujours. 5" Vertige laryngé. Le vertige laryngé a été décrit par
Charcot
comme une névrose, mais on peut le comparer à l
toute lésion tangible de l'appareil d'innervation du larynx. Après
Charcot
, ce vertige a été étudié par de très nombreux o
déterminer la mort subite. Le mécanisme patbogenique reste ignoré.
Charcot
penchait pour un vertige cérébral à manifestai
t d'en dissocier successivement la sclérose latérale amyotrophique (
Charcot
. 1872), la pachyméningite cervicale hy- pertrop
ique (Charcot. 1872), la pachyméningite cervicale hy- pertrophique (
Charcot
et .Jol1'roy, 871-75), la syringomyélie (Schulize
ulize - et Kahler, 1882, Dchove. Dejerine, 1889, Jolrroy et Achard,
Charcot
), la m<"ningo-I11YI"lite syphilitique (Raymo
1a : Li-îm. Conqrès de Bruxelles, I 1103; - Id.... Traité dl' .I1M.
Charcot
, Bouchard et Brissaud, 2" édit., t. 1\, 1904. I
e frappant les muscles préalablement myotoniques). de Vigoureux, de
Charcot
, de Dana, Pelilzeus, Kornhold, Bernard, Nonnes
a dystrophie musculaire primitive de Erb, la myopathie primitive de
Charcot
. La myopathie se trouve quelquefois associée à
e elles un lien qui fait que la myopathie est une (comme le veulent
Charcot
et Erb), et qu'elle gardera son individua- lité
eu près constante ; dans quelques cas d'amyotrophie Charcot- Marie,
Charcot
et Marie ('), Dejerine (2), Reinhardt (3), Stumpf
en jarretière ») ; à titre exception- nel, il faut citer les cas de
Charcot
où le biceps était atteint, de Hoffmann où tout
éningite primitive vraie, fibreuse, telle qu'elle a été décrite par
Charcot
et Joffroy. Elle se carac- térise, quelle qu'en
nt modérée, peut prendre une importance assez considérable pour que
Charcot
ait décrit une « forme amyotrophique ». Pour Le
antérieures de la moelle [(Pierre Marie ('). Condoléon (2), Leyden,
Charcot
et Pierret, Schaffer, Raymond et Philippe (au,
ifs irrités : cette hypothèse a été émise par Vulpian, soutenue par
Charcot
, appuyée par les expé- riences de Le Fort, de V
nts, traumatisme quelconque, plaie superfi- cielle, contusion même (
Charcot
et Dulil il (s), Ballet et Bernard (3), etc.) :
e (von Lücke), rupture d'une veine intra-musculaire (coup de fouet,
Charcot
). Les caractères de l'atrophie d'origine abarti
berculeuses ou cancéreuses (paraplégie douloureuse des cancéreux de
Charcot
et Cotard), ou dans les exsudats méningés tuber-
exe, des extenseurs du pied et des orteils (paralysie diabétique de
Charcot
), etc. : elles sont généralement passagères. Da
ons aponé. Fig. 1 7. - Pieds bots tabétiques de Joffroy (collection
Charcot
). Enroulement du pied sur son bord interne. A
La réalité de l'atrophie musculaire hystérique a été démontrée par
Charcot
et Ba- binski en 1886; depuis lors les observat
vations se sont multipliées (Massa- longo, Brissaud, Blocq, Ballet,
Charcot
, Gilles de la Tourette, etc.). Mais il n'en res
ber ses^pieds par le talon, en talonnant : c'est cette démarche que
Charcot
a justement qualifiée de tabéto-cérébel- leuse.
aux sujets atteints de maladie de Friedreich un aspect spécial que
Charcot
a appelé « l'instabilité ('horéifol'llie ». La
de la prétendue incoordina- tion hystérique est l' astasie-abasie;
Charcot
, qui l'a décrite avec ses élèves P. Riche et 11
s muscles qui sont censés être paralysés. j La l'orme ataxique de
Charcot
ne diffère de la forme paralytique que par l'as
T MALADIES BULBAIRES. ' 805 Paralysie labio-glosso-palato-laryngée (
Charcot
) à marche lente. Poliencéphalite inférieure chr
Dans ces différents cas, et plus spécia- lement dans la maladie de
Charcot
, le début est lent, insidieux, progres- sif. Il
e sont guidés sur des classifications différentes : c'est ainsi que
Charcot
, et à son exemple llnibou, distingue les trembl
nt parkinsonien était provoqué par l'hystérie, tels sont les cas de
Charcot
, de Grandlllaison, de Boinet, etc. Enfin, dans
imuler tous. Ce tremblement hystérique a fait l'objet des éludes de
Charcot
(leçons de clinique). Il a fait l'objet d'une c
ne même famille il peut revêtir des types assez différents. D'après
Charcot
et surtout d'après Achard, ce tremblement aurait
é ne le sépare de ce tremblement, qui, du reste, comme l'ont montré
Charcot
, Joffroy, Bourgarcl, Leyden, Luys, Démange, Théba
La séméiologie du .tremblement mercuriel a été décrite par Letnlle,
Charcot
, Dutil, sa pathogénie a fait l'objet de nombreu
est relative à sa nature hystérique : les recherches de Lelulle, de
Charcot
, de Dulil ont montré très nettement la nature h
es recherches indiquées ci-dessus et surtout d'après l'opi- nion de
Charcot
, on admettait que le. tremblement était un trembl
travaux semblent marquer une réaction contre l'opinion exclusive de
Charcot
qui niait l'existence du tremblement mer- curie
utefois cette opinion est mise en doute, comme nous le verrons, par
Charcot
, Gille de la Tomette, ,loffroy, etc., et les re
s nombre de cas par les rhumatismes ou par une infection, cependant
Charcot
et ses élèves sont partisans des rapports de la
ns des rapports de la chorée avec les maladies ner- veuses. Suivant
Charcot
, la coexistence de la chorée et du rhumatisme s
. Quoiqu'ils aient été contestés par Raymond, ils ont été admis par
Charcot
, Sée, Féré, Huet dans sa thèse de Paris (1888),
s ont été [CROUZON.] 864 CHORÉES. mentionnés par Weir-Mitchell,
Charcot
, Lépùie,- Raymond. L'hémichorée peut précéder l
out à fait différente de l'athétose double : ce sont les travaux de
Charcot
, d'Oulmont, qui ont séparé cette affection de c
utre lésion d'hémiplégie infantile. Sous l'impulsion des travaux de
Charcot
, de Raymond, d'Oulmont et de Grasset, on a pens
econnaissable, ce n'est plus que la «caricature» de l'acte initial (
Charcot
). Aussi les mouvements du tic ont pu passer pou
formantes ou para- dovales, elles disparaissent pendant le sommeil (
Charcot
, P. Marie, Babinski, Lannois, Porot) ; ce spasm
racture avec exagération des réflexes tendineux. Dans la maladie de
Charcot
, la langue peut être pendant quelque temps librem
spects. La chiromégalie sy- ringomyélique (fig. 5), décrite par
Charcot
et Brissaud, ressemble à l'acromégalie : elle e
cas suivant les articulations, des déformations très différentes.
Charcot
a ramené ces déformations des mains à deux types
néralement symétriques et plus ou moins simultanées aux deux mains;
Charcot
a pourtant décrit une forme pendant un temps tr
e est la a main dé prédicateur » (fig. 15), qui été dé- crite par
Charcot
,et Joffroy dans la pachyméningite cervicale hy
ette arthropathie des caractères spéciaux. Le « pied tabétique » (
Charcot
et Féré) (fig. 4) est essentiellement une ostéo
[A. LÉRI.] Fig. 7. -. Pieds-bols tabétiques de Joffroy (collection
Charcot
). Enroulement du pied sur son bord interne. 1
aul RICHER Rédaction : Henry MEIGE Fondée en 1888 par le professeur
Charcot
et publiée sous le patronage scientifique de J.
ïdes du pharynx nasal. Dans ses [leçons cliniques. M. le professeur
Charcot
insiste sur la présence des stigmates de dégénére
utile à tant de médecins, mais surtout aux allenistes; NÉCROLOGIE
Charcot
Avec M. Charroi, qui vient de mourir à l'Age de
teur saguee. rliuieien prudent et avisé, innovateur hardi souvent, le
docteur Charcot
a exerce sur la médecine routemporaine une inHuen
les idées nouvelles dans ce qu'elles avaient île vrai et de pratique,
Charcot
fut un professeur incomparable. Quel silence lo
îles cliniques étrangères, qu'il se plaisait à visiter. L'œuvre de
Charcot
est trop vaste pour que nous puissions dans cette
de la pathologie nerveuse ou mentale. Quoi qu'il en soit, le nom du
docteur Charcot
évoque une doctrine ; ce nom survivra en raison d
tations de la névrose, ("est lu un point sur letpiel M. le professeur
Charcot
a fréquemment insisté dans ses leçons, et les sta
re leur maladie avec certaines autres affrétions. Le mal décrit par
M. Charcot
sous le nom d'automatisme comilitil ambulatoire r
aire dans la section de médecine et de chirurgie, en rem pincement de
M. Charcot
. Au premier tour de scrutin. M. Potain a été
u monde M vaut, à la Irîslc nouvelle de la inorl subite du professeur
Charcot
. « L'avenir consacrera l'importance durable des
Charcot. « L'avenir consacrera l'importance durable des travaux de
Charcot
en an j tomie pathologique el on nonropathologie.
on nonropathologie. Dans les dernière» années de sa vie te professeur
Charcot
avait vulgarisé, par sou enseignement à la Sa I p
les œdèmes el certaines plaies s. «Je suis doue autorisé à dire que
Charcot
à la On de sa vie acceptait en grande partie le»
rande partie le» enseignements de l'Ecole de Nancy. « Le professeur
Charcot
était membre honoraire de notre Société d'hypuulo
c admirablement réussi. « Agréez, etc. « J. Delbœuf. » Eloge de
Charcot
à, la Société de médecine de Berlin. En ouvrant
qu'avant les leçon» de notre regretté collègue et ami, le professeur
Charcot
, sur l'hystérie et l'hypnotisme, il e»t juste, di
aits, parmi lesquels nous signalerons ceux qui ont été recueillis par
Charcot
et par Grasset (3% sont venus prouver que l'hysté
surtout prédominant dans la vie religieuse dos peuples. Liebeault cl
Charcot
ont les premiers développé ce point de VUe. Il es
er, après avoir pleinement satisfait notre appétit, et que nous (l)
Charcot
a fait une tres curieuse leçon sur celle transmis
ique cel individu qui a peur d'oublier des détails importants et dont
M. Charcot
a esquissé la silhouette avec celte sûreté de mai
oute on observe chez les neurasthéniques do lïéard et les Galéati, de
Charcot
, développée jusqu'à un certain point, tantôt la p
s deux somnambulismes, le provoqué et le spontané, par Mesnet, 161.
Charcot
(éloge de), par Dumontpal-lier. 171. Charcot (n
né, par Mesnet, 161. Charcot (éloge de), par Dumontpal-lier. 171.
Charcot
(nécrologie), 63. Cinquantenaire du doctorat du
arabe et la croyance aux sortilèges (l'), par Proust, 20. Eloge de
Charcot
a la Société de médecine de Berlin. 182. Enfant
ovoqué (de la mémoire dans le), 301. Somnambulisme (un cas de), par
Charcot
, 24. Somnambulismes, le provoqué et le spontané
, 141, 175. Bremond (Felix), 277. Brunon. 127. Byrom-Bramwell. 186.
Charcot
, 33. Charlier, 64 Choteau. 248. Colas (Albe
en chromo-lithographie. Paris, 1SG7, chez Adrien Delahaye. En 1866,
M. Charcot
a inauguré, à la Salpêtrière, sur les maladies de
a répulation que de remarquables publications ont justement acquise à
M. Charcot
. Les Leçons de 1866 ont été recueillies par M.
ièvement. Après avoir dit quel était son but en instituant son cours,
M. Charcot
, dans sa première leçon, a rappelé l'organisation
r appliqué le thermomètre aux recherches de ce genre, on croyait, dit
M. Charcot
, que la température du vieillard était moins élev
quelle était celle de ces maladies qui devait venir en premier lieu?
M. Charcot
a choisi la goutte et le rhumatisme chronique, et
uent à la Salpêtrière (on le rencontre chez huit femmes sur cent)1.
M. Charcot
étudie d'abord la goutte, qu'il sépare du rhumati
laire, soit aigu, soit chronique. Dans les conférences qui suivent,
M. Charcot
passe en revue : l°l'a-natomie pathologique de la
été considérés par quelques auteurs comme des affections différentes.
M. Charcot
ne voit là que les formes variables d'une seule e
ec les caractères très-nets des ané-vrysmes miliaires décrits par MM.
Charcot
et Bouchard, dans leurs travaux sur la pathogénie
pêtrière et publiées dans le Mouvement médical (juin, juillet, août),
M. Charcot
a tracé une description détaillée, approfondie, d
phiques forment un chapitre des plus intéressants de la pathologie.
M. Charcot
les a divisés en trois catégories. La première co
raeii- 2° ANNÉE. 9-10 tionnerons, en premier lieu, un mémoire de
M. Charcot
sur quelques arthropathies qui paraissent dépendr
ée le 4 juillet 1865 à la Salpêtrière, salle Cécile, n° 6 (service de
M. Charcot
). Cette malade venait de l'hôpital Saint-Antoine,
qu'au ht juillet 1865. Elle a été alors transférée dans le service de
M. Charcot
, où nous trouvons, en ce qui concerne les années
i qu'en font foi 1 Voir le numéro de septembre-octobre, p. 193. 2
Charcot
, Comptes rendus des séances et mémoires de la Soc
artie de l'avant-bras. La planche XXV, faite d'après un dessin de MM.
Charcot
et Rosapelly donne une idée exacte de l'état du b
couchée actuellement au n° 10 de la salle Saint-Alexandre (service de
M. Charcot
) , est dans l'état suivant : aspect cachectique t
es gastriques dans l'ataxie loco¬motrice progressive, thèses, 1866; —
Charcot
, Leçons cliniques (1868 et 1870); — P. Dubois, Ét
Observations 1 et II. Sclérose antéro-latérale amyotrophique, type
Charcot
. Observation III. Sclérose antéro-latérale ayan
e de Paris. Secrétaires : MM. le D'' Bourueville, ancien interne de
M. Charcot
, médecin de l'hospice de Bicêtreysecrétaire du
omité; le D1' Georges Guinon, ancien interne et chef de clinique de
M. Charcot
, secré- taire de la Commission executive. 15G
: MM. P. Arène, homme de lettres; le D'' Berbez, ancien interne de
M. Charcot
; le Dr Blocq, ancien interne de M. Charcot; Au
rbez, ancien interne de M. Charcot ; le Dr Blocq, ancien interne de
M. Charcot
; Aug. Dreyfus; te Dr Dutil, ancien interne et c
t; Aug. Dreyfus; te Dr Dutil, ancien interne et chef de clinique de
M. Charcot
; le D'' Feré, ancien interne de M. Charcot, méd
e et chef de clinique de M. Charcot; le D'' Feré, ancien interne de
M. Charcot
, médecin de l'hospice de Bicêtre; Gasne, ancien
Charcot, médecin de l'hospice de Bicêtre; Gasne, ancien interne de
M. Charcot
; le Dr Gilles de la Tourette, ancien interne de
terne de M. Charcot; le Dr Gilles de la Tourette, ancien interne de
M. Charcot
, médecin des hôpitaux; le D'' Gombault, ancien
. Charcot, médecin des hôpitaux; le D'' Gombault, ancien interne de
M. Charcot
, médecin des hôpitaux; Guyon, ancien interne de
terne de M. Charcot, médecin des hôpitaux; Guyon, ancien interne de
M. Charcot
; le D'' Hallion, ancien interne de M. Charcot ;
on, ancien interne de M. Charcot; le D'' Hallion, ancien interne de
M. Charcot
; le D'' Hanot, ancien interne de M. Charcot, m
ion, ancien interne de M. Charcot ; le D'' Hanot, ancien interne de
M. Charcot
, médecin de l'hôpital Saint-Antoine; le Dr Huet
, médecin de l'hôpital Saint-Antoine; le Dr Huet, ancien interne de
M. Charcot
; Kaempfen, directeur des musées nationaux ; le
, directeur des musées nationaux ; le I)v Lamy, ancien interne de
M. Charcot
; le Dr Oulmont, ancien interne de M. Charcot, méd
amy, ancien interne de M. Charcot; le Dr Oulmont, ancien interne de
M. Charcot
, médecin des hôpitaux ; le Dr Parinaud, chef du
; le Dr Parinaud, chef du service ophtalmologique de la clinique de
M. Charcot
; le Dr Parmentier, ancien interne de M. Charcot
de la clinique de M. Charcot; le Dr Parmentier, ancien interne de
M. Charcot
; le Dr Pierret, ancien interne de M. Charcot, pro
ier, ancien interne de M. Charcot; le Dr Pierret, ancien interne de
M. Charcot
, profes- seur à la Faculté de médecine de Lyon;
la Faculté de médecine de Paris; le D'' Raymond, ancien interne de
M. Charcot
, médecin de la Salpâ- trière ; le Dr Richer, an
rcot, médecin de la Salpâ- trière ; le Dr Richer, ancien interne de
M. Charcot
, chef du labo- 158 VARIA. ratoire de la Salpê
commerce; le Dr Souques, ancien interne, chef de la clinique de 11.
Charcot
; Vallery-Radot, homme de lettres; Waldeck-Rousse
e rangé dans la classe des dégénérés, selon l'opinion de Magnan, de
Charcot
, de Krafft- Ebing, de Moll1. Chez lui, il y a,
versions sexuelles, aux travaux de Westphal, de Gock, de Magnan, de
Charcot
, aux leçons de notre savant maître, le professe
es' affections spinales;' elle 'est très fréquente dans l'hystérie (
Charcot
). Puis le malade n'a pas les dou- leurs et les
, , c - . 1 Quand notre illustre et vénéré maître, le professeur
Charcot
, est mort, il préparait, en collaboration avec
clinique des maladies nerveuses laissée ivacante par la mort de M.'
Charcot
, en première ligne, par, 30 voix sur 31, M. le
e médecine de Bordeaux, 27 janvier 1884. ' Blocq, cité 'par J.-51 :
Charcot
. - Le,rons du mardi, 1888-1889, p : 3é0. 412 'i
' l'homme et des.animaux. Il avait fondé en 1868, avec ses amis, MM"
Charcot
"et Vulpian, les Archives de physiologie normale
I , dans ses applications, à l'étude VI, des localisations, par,
Charcot
et Pitres, 241. - .. Anémie pernicieuse, lési
o-clinique flaiis '1, les applications à l'étude,des -, ? -T par,
Charcot
et Pitres, 241. ufilne Lypémanie avec délire de
rimental par le phosphore, par Guider, 223. lO-iUhIE,NT" J.-Al. -
Charcot
; comité pour l'érection, 155; souscription^ 7
ébrale. Ces vues prirent encore une valeur plus grande quand Turck,
Charcot
, Bouchard eurent mis la contracture secondaire
thique primilive du faisceau pyramidal croisé, invoquée d'abord par
Charcot
pour la sclérose latérale amyotrophique, puis p
e de Little. M. le professeur Raymond rappelle avec quelle prudence
Charcot
admettait la possibilité de la sclérose primiti
THOLOGIE NERVEUSE, à ï faire de doute, il s'agit de la maladie de
Charcot
, de la sclérose latérale amyotrophique. Le se
ologie. Au type Aran-Duchenne représentée par l'atrophie flasque,
Charcot
ajouta bientôt la sclérose latérale amyotrophique
mation de l'existence de ce type démontrée indubitable- ment et par
M. Jean Charcot
et par lui-même. Il est tout aussi net dans l'a
tre comme distincte de l'atrophie type Aran-Duchenne. En effet pour
Charcot
la lésion de la substance grise des cornes anté
la ne devait pas lui permettre de nier l'existence de la maladie de
Charcot
. M. Raymond n'a pas de peine à montrer d'abord
sion. Le malade avait tous les signes spasmodiques de la maladie de
Charcot
; il n'y avait pas la moindre trace de sclérose
dans son corps cellulaire dans le type Aran-Duchenne, la maladie de
Charcot
60 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ajoute d'abo
autres surtout le mode d'évolution et le pronostic. Le maladie de
Charcot
par l'envahissement du bulbe inévitable, obligato
l'année scolaire 1895-1896. Suivant la méthode si fructueuse de son
maître Charcot
, M. Raymond part de cas cliniques, rappro- chés
ite pas à symboliser clans votre esprit cette période par le nom de
Charcot
, parce que son nom est insé- parable de celui d
super- poser le syndrome à la lésion, suivant la loi établie par
Charcot
en neuropathologie. Ainsi comprise, notre étude e
certaines lois que les recherches de cliniciens tels que Duchenne,
Charcot
, Erb, Westphal, etc., ont su rigoureuse- ment é
Deuxième période. - Elle est tout entière résumée dans le nom de
Charcot
. Dans ses leçons cliniques de la Salpêtrière il e
-à-dire pour une maladie psychique par excellence. Aux travaux de
Charcot
et de ses élèves, qui traitent de l'hystérie en
ire la tare héréditaire. L'hérédité peut être directe ou indirecte.
Charcot
et Peugniez ont insisté sur l'influence de l'hé
dit qu'on la rencontre d'une façon effrayante dans la classe aisée,
Charcot
insiste sur l'influence de la misère, et Granch
on et sur la nature de l'hypno- tisme. Or, depuis les recherches de
Charcot
, les idées ont évolué et l'hypnotisme, tel que
é méconnue et est encore difficile à déceler, malgré les travaux de
Charcot
et la découverte des stigmates si utiles au diagn
ues-unes très remarquées2, malgré les belles leçons de Jules Simon,
Charcot
et les travaux de Bourneville 3, il reste ' Bes
Clopatt. Thèse Helsingfors, 1888. Coutdrie. Thèse Paris, 1896. 3
Charcot
. Leçons cliniques sur les maladies du système ner
oexistence avec les maladies organiques, si bien mise en relief par
Charcot
et ses élèves, et surtout par la remar- quable
névropathies ; on attaquerait ainsi une des causes provocatrices.
Charcot
a insisté à chaque instant dans ses remarquables
cette race ; fait mis magistralement en lumière par le professeur
Charcot
qui insistait à maintes reprises sur cette fréque
a préten- tion de combattre l'élément sclérose. C'est le mémoire de
Charcot
et Vulpian, fait d'après les travaux de Wunderl
t dans les congestions de la moelle et les myélites. Dans le tabes,
Charcot
l'employait volontiers et donnait, par exemple,
trémités permettant de faire le dia- gnostic à distance (Souques in
Charcot
). Si nous avons pensé à recueillir cette observ
e centaine seulement ont été signalés dans le-Traité de médecine de
Charcot
de 1894. Enfin l'apparition d'un accès de manie
e sclérose en plaques où l'on constate du tremblement intentionnel (
Charcot
), il y a un nombre énorme d'observations dans l
Campbell, 139. Caiswell, 164. Cavalié, 249. Channing, 156.
Charcot
(J.-B.), 323. Charon, 362, 465. Charpentier,
cription tracée par M. Hadden (no' 30, 31 du Progrès) et du cas de
M. Charcot
, rapporté par M. Ballet (n° 30), on verra de su
as de cachexie pachydermique : 5 de M. W. Gull, 5 de M. Ord, 4 de
M. Charcot
, 1 de MM. Charcot et Thaon, 1 de M. W. Hammond,
ydermique : 5 de M. W. Gull, 5 de M. Ord, 4 de M. Charcot, 1 de MM.
Charcot
et Thaon, 1 de M. W. Hammond, etle nôtre. Tous,
ns l'Iconographie photographique de la Salpê- triére, t. III. (2)
M. Charcot
a parlé maintes fois dans ses leçons des zones hy
des zones hys- térôgènes. L'un de nous, utilisant l'enseignement de
M. Charcot
et y ajoutant un certain nombre de faits nouvea
la femme (1). Il nous faut (1) Consulter sur ce point les leçons de
M. Charcot
, (t. i, 4° édition). 40 III'STl'sIio-I : PILEPS
mulation tant de fois faite à l'anes- thésie des hystériques. Comme
M. Charcot
l'a souvent répété, lorsqu'on voit des malades
rneville, soit dans son service de Bicétre, soit dans le service de
M. Charcot
à la Salpêtrière. TABLE DES MATIERES PREMIERE
4 pages. Prix : 3 fr. - Pour nos abonnés . , . 2 fr. BOUCHARD. Voir
Charcot
. BOUDET de PARIS (M.). Des actes musculaires da
rix : 2 fr.50. - Pour nos abonnés il 1 fr. 50. .BOURNEVILLE. Voir
Charcot
. BOURNEVILLE et L. GUÉRARD. De la sclérose en p
ites au lit du malade. Paris, 1878. - Prix. 60 cent. SEVESTRE. Voir
Charcot
. SIMON (J.). Conférences cliniques et thérapeut
mais simplement par certaines stimulations physiques, déterminées. »
Charcot
et Gilles de la Tourette disent : « L'hypnotisme
t fait que les métallo-thérapeutiques de Burq étaient ressuscites par
Charcot
et ses disciples et que le Dr Luys jouait encore
débats d'une façon fort heureuse en rappelant les services rendus par
Charcot
et par les diverses écoles et en démontrant que,
uction et sur la nature de l'hypnotisme. Or, depuis les recherches de
Charcot
, les idées ont évolué et l'hypnotisme, tel que l'
t les opinions soutenues à Paris, à la Salpêtrière, par le professeur
Charcot
et MM. Brouardel, Motet, Ballet, Gilles de la Tou
pratiques ne furent pas poursuivies en Angleterre. Les expériences de
Charcot
rappelèrent l'attention sur ce point, mais ses ré
ses dp Braid avec les mesméristes. Les théories de Burcq reprises par
Charcot
avaient depuis longtemps été détruites par Braid.
aintenant l'action de l'aimant et la mètalloscopie chez l'hystérique (
Charcot
, Burcq). On a, dans l'espèce, obtenu des signes p
t, de l'odorat, de la vue, de la couleur dans l'hystéro-épilepsie, de
Charcot
. Toute la sensibilité est, en ce cas, paralysée d
conférence sur : Le grand hypnotisme et l'Ecole de Paris (Ch. Richet,
Charcot
, Mesnet, Luys et Dumontpallier.) Cette conférence
, que l'Ecole de Paris a toujours été opposée à la doctrine de Nancy.
Charcot
et ses disciples (excepté toutefois MM. Hinet et
supprime les travaux de Braid, de Durand (de Gros), de Liébeault, de
Charcot
, de Dumontpallier, de la Salpètrière, de l'Ecole
ens supérieurs, nous aurons des visuels, des auditifs ; division dont
Charcot
a tiré un si grand parti. Notons que souvent la
ar le transfert dans l'état d'hypnotisme. Par M. le D' Bérrillon.
Charcot
a désigné, sous le nom de diatkèse de contracture
n amener la résolution complète, associer à la suggestion l'cm- (1)
Charcot
: De l'influence des lésions traumatises sur le dé
les initiateurs de l'hypnose etde la psychothérapie. Mais de même que
Charcot
, en expérimentant à la Salpôtrière, retrouva dans
rnélius Agrippa et Paracelse, les théories de l'hypnose formulées par
Charcot
, et la doctrine de la suggestion dont M. Liébeaul
s fait, mes amis et moi, l'erreur dans laquelle sont tombés, en 1878,
Charcot
et ses élèves, par l'ignorance où l'on était enco
uvenir, qui paraissait d'abord tout à fait aboli. Donc, le professeur
Charcot
et ses disciples, chaque jour maintenant plus cla
ette faculté suffira pour réaliser ces heureux effets. La statue de
Charcot
. Le sculpteur Falguière aété désigné, parla3- c
, parla3- commission du Conseil municipal, pour exécuter la statue de
Charcot
, qui s'élèvera à l'intérieur de l'hôpital de la S
noti -me ; il ne fallut pas moins de l'insistance et du l'autorité de
Charcot
pour que cet ostracisme rigoureux se relâchât que
Dr Leroy, 148. Causes des actes sociaux, par le Dr Regnault, 83.
Charcot
(la statue de), 320. Classification naturelle d
ce blanche sous- jacente du pli courbe, où, d'après les opinions de
Charcot
(1), Sé- rieux (2), Dejerine (3), se trouve le
recherches sur les malades et les possédés dans les oeuvres d'art,
Charcot
et P. Richer (1) se sont occupés surtout de l'éco
n'est pas douteux qu'au point de vue de l'histoire de la médecine,
Charcot
et P. Richer, et depuis Henry Meige, ont ajouté
visibles. Parmi ces mosaïques, il en est une qui a été signalée par
Charcot
et Richer (1). Elle représente la guérison du pos
u non loin de là, et qui, se précipitant dans le lac, s'y noyèrent.
Charcot
a bien montré la faiblesse de cette représentat
rs. Il en est de même dans la guérison de l'aveugle, où seul le (1)
Charcot
et P. Richer, Les démoniaques dans l'art, p. 5.
cette époque un ivoire, fragment de couverture d'évangéliaire, que
Charcot
a trouvé dans la bibliothèque de Ravenne (1). I
Zeno, de la fille de l'empereur possédée du démon (voir Pl. VI, H).
Charcot
et P. Richer (1) ont signalé toute la valeur de c
ntre est saillant, tympanisé, chose fréquente chez les hystériques (
Charcot
). Devant elle, S. Zeno mitré, la saisit par le
de là, on voit quelques diables et des pourceaux. Sur une autre,
Charcot
a noté une tendance remarquable à la figuration
de longs siècles. (1) Gnnncor et P. Richer (loc. cit., p. 9). (2)
Charcot
et P. RICIIEII (loc, cil., p. 11). LES DÉMONIAQ
ative à un exorcisme, fut signalée autrefois par M. Philippe Burty.
Charcot
et Paul Richer l'ont commentée et reproduite da
Une femme émerveillée assiste à l'exorcisme. On peut admettre, avec
Charcot
et Paul Richer, qu'il s'agit d'une crise de lét
viennent par le haut une longue théorie d'éclopés. (1) Signalée par
Charcot
et P. Richer, Difformes et Malades dans l'Art, p.
vant le moment physiologique (claudication intermittente spinale de
Charcot
). Il n'est pas nécessaire en effet, pour expliq
ue, en continuant dans l'école byzantine, les études inaugurées par
Charcot
et P. Richer, nous avons pu suivre l'évolution
rachnoïdien , sem- blable à ceux qui ont été étudiés et figurés par
Charcot
, Cornil et Ranvier,Lan- cereaux, Robm, Lebert,V
; et l'autre, soutenue par Robin, Bouchard, Ilayem (5), Potain (6),
Charcot
(7), qui nient que ces tumeurs soient formées par
ques qui figurent à plusieurs reprises dans les tableaux de Ruhens.
Charcot
et P. Richer ont fait res- sortir toute leur va
supérieure du corps. Et cependant cette figure a été très étudiée :
Charcot
et P. Richer rap- portent deux dessins de la ma
e fait pas toujours une copie parfaite du modèle. D'autre part, MM.
Charcot
et Richer dans leur ouvrage sur les Malades et
à ce point de vue d'un rachitisme familial observé à la cli- nique
Charcot
, par M. Zimmern. Nous ajouterons cependant que, d
squelles les plus importantes ont été signalées et interprétées par
Charcot
et Paul Bicher (Voy. Les mala- des et les diffo
s doigts avec flexion des premières phalanges. Dans un autre cas de
Charcot
, le plus semblable à celui que je décris, il y
cubitus supinus prolongé, chez une dame opérée de cancer du sein.
Charcot
. - Leçons de maladies nerveuses, t. 3. Raymond.
ativement aux conséquences fonctionnelles, l'on risquerait (1) Voir
Charcot
, Leçons sur les mal. dusyst. nerv., isil, t. II,
mbres inférieurs sont uniformément gros, cylindriques, en colonnes (
Charcot
). Les jambes sont grosses, oedémaliées, aussi gro
a distribution périphérique des centres corticaux soit segmentaire (
Charcot
, Déjerine) comme la distribution des centres mé
férentes, dont quelques-uns remontent à une date assez re- culée.
Charcot
et Paul Richer ont décrit et reproduit une des pl
urs il suffira de rappeler les analogies de notre cas avec celui de
Charcot
et lfichaud 1. ' L'un de nous2 a déjà rappelé d
endant, longtemps, que le fondateur de.la neurologie, le professeur
Charcot
, disait de la suspension que « les résultats ob
le Dr Motchoutkowsky d'Odessa, elle doit sa renommée et sa vie à
Charcot
, et principalement à notre maître, M. Ray- mond
la belle ville méri- ' ` dionale russe, et qui l'a fait connaître à
Charcot
; et c'est lui qui fut, par conséquent, son véri
ion dans une de ses leçons du vendredi, dans les ter- »I Professeur
Charcot
: Leçons du mardi à la Salpêtrière. Polyclinique
il vit le procédé de Matchout- kowski, le communiqua à son retour à
Charcot
. Ce dernier chargea M. Gilles de la Tourette de
. tement des ataxiques. Deux mois plus tard, furent présentés par
Charcot
d'autres cas de tabes, traités par la pendaison.
0 à 35 p. 100, et des incertains, de 35 à 40 p. 1001. L'autorité de
Charcot
et le pourcentage relative- ment élevé des amél
btint 267 améliorations et 786 cas sans mo- dification appréciable.
Charcot
publia 114 cas tabétiques, N 1 M. Gilles de l
n- sions ; Ascher alla jusqu'à 650 séances; Gaston et Ducop, 350;
Charcot
conseilla à un tabétique de faire la suspension p
sique avec boiterie intermittente. (Claudication intermittente Type
Charcot
) ; par Alfred Gonou : v. (The New York Médical
ur sont intéressées, et l'on voit un nouveau phé- nomène décrit par
Charcot
en 1891 et par Goldflam en 1896, et connu sous
iculté de marcher, nécessité de s'asseoir. Puis la crise disparaît.
Charcot
a fort bien donné la pathogénie du phénomène, q
ication intermittente est classiquement conforme au type décrit par
Charcot
, mais étiologiquement différente, la sténose ar
ieur, et compliqué de claudication intermittente du type décrit par
Charcot
. Il regrette que son malade ait repoussé une in
eux qui incriminent une lésion des cornes antérieures de la moelle (
Charcot
), où la névrite périphérique (Westphal, Pitres,
mps n'est pas étrange, une même émotion pouvant provoquer les deux.
Charcot
, Babinski et d'autres sou- tiennent entre elles
en coup de couteau d'amputation selon la doctrine jadis admise par
Charcot
. M. Long (de Genève) une série de photographies
ndaient très exactement à la magis- trale description qu'en a faite
Charcot
. C'étaient des exemples typiques de paralysies
g des 7{MM ! M) ? M'iener 1lfedic. Blciller. 1881. z z Professeur
Charcot
. Leçons du mardi à la Salpêtrière, 1888-1889. 3
donne un aperçu des différentes mensura- tions faites à la clinique
Charcot
: , TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES. 1 117 7
rothynski. Amélioration et suppression des douleurs fulgurantes :
Charcot
, Michel Clark, Gaston, Ducony, Bonjours, Danillo
spen- sion. Son amélioration est lente et par conséquent tardive.
Charcot
a fait ressortir dans sa mémorable leçon sur la s
tabétiques. Des 14 premières observations publiées dans la leçon de
Charcot
, « chez tous l'amélioration a commencé d'abord
ollectionnées dans le service de rééducation institué à la clinique
Charcot
. par M. le Pr Raymond, en 1896, et aussi les ob
moyen théra- peutique, car « la foi peut sauver et guérir », disait
Charcot
. Mais, peut-on considérer l'hypnotisme comme ét
trie, Band XXIII, 1892). 3 Dutil, Hystérie (Traité de médecine de
Charcot
, Bouchard et Bi issaud, t. VI, p. 1322). ' Cf
capables de compromettre la vie : c'est d'ailleurs ce qu'enseignait
Charcot
. L'importance séméiologique de l'anesthésie u'e
ouvoir parler, et sans comprendre ce qui se disait autour d'elle.
Charcot
, qu'elle alla consulter à cette époque, la fit ad
mporale et les attaques de petit mal datent de la même époque, car,
Charcot
, que la malade alla consulter, porta le diagnos
ui l'avait acquis dans une vente, probablement à Anvers. Un jour,
Charcot
. se trouvant chez le Dr Mesnet, remarqua.celte pe
étaire qui ne voulait pas s'en dessaisir de son vivant, fit alors à
Charcot
la généreuse promesse de la lui laisser par testa
rs à Charcot la généreuse promesse de la lui laisser par testament.
Charcot
étant mort avant le Dr Mesnet, le tableau revin
AR PAUL SAINTON Ancien interne des hôpitaux. Depuis qu'en 1886,
Charcot
et Marie ont décrit la « forme particulière d'a
ie qui porta le diagnostic du type d'atro- phie qu'il a décrit avec
Charcot
. Si cette observation n'est pas plus délai liée,
ble singulièrement aux malades d'amour d'Amsterdam et de la Haye,
Charcot
et Paul Richer, mentionnant cette peinture (1), l
ette disposition en colonnes uniformément cylindriques signalée par
Charcot
. Les images 28 et 29 affirment une fois de plus
us venons de faire nous montre que le type d'amyotrophie décrit par
Charcot
et Marie reconnaît pour subs- tra tum : - 10
nous paraisse moins justifiée parles faits que la première. Comme
Charcot
et Marie l'avaient soupçonné dans le mémoire dans
ent pour signaler un fait très particulier sur lequel avait insisté
Charcot
, c'est l'aGsence presque constante de toute rét
ysies hystériques par le mouvement attentif tel que le recommandait
Charcot
. Nous n'insistons que sur quelques détails part
poliomyélite chronique paraît unique dans la littérature médicale.
Charcot
, et après lui MM. Grasset et Rauzier, ont attri
asion d'un traumatisme unilatéral, font une amyotrophie bilatérale.
M. Charcot
(2), dans une de ses leçons à l'hospice de la S
es- seur Raymond à l'une de ses policliniques du mardi. G. G. (2)
Charcot
, Amyotrophies spinales réflexes d'origine articul
e, cuisse et fesse) ; toutefois l'atrophie prédominait manifes- (i)
Charcot
, Progrès médical, 1893, p. 227. (2) Charcot, lo
dominait manifes- (i) Charcot, Progrès médical, 1893, p. 227. (2)
Charcot
, loC. cit. 392 G. GUILLAIN ment dans les musc
endons fléchisseurs. Le membre inférieur droit s'atrophie, et quand
Charcot
le voit, le malade est obligé de s'aider d'une
n'existe pas de troubles de la sensibilité. Chez un autre malade de
Charcot
, une atrophie du même caractère s'é- tait produ
culaire, de la déchirure du muscle soléaire. Ces observations de
M. Charcot
sont absolument semblables à celle que nous avo
ération des réflexes et ab- sence de troubles de sensibilité. Quand
Charcot
publia des observations, on connaissait déjà qu
peut en déterminer l'atrophie. Mais ces observations, comme le dit
Charcot
, étaient exceptionnelles. Sans être exceptionne
ne exagé- ration des réflexes. On trouvera dans une policlinique de
Charcot
(-1) une intéressante observation de paralysie
inamovible, il y a là un fait possible. Toutefois cette théorie (1)
Charcot
, Leçons du mardi, t. 1, p. 243. (2) RAYMOND, Re
à l'articulation lésée a perdu 1/5 de son poids. Le jeune homme de
Charcot
, dont nous avons rapporté plus haut l'observation
istes. Cette théorie soutenue par Vulpian, Valtat (5), Le Fort (6),
Charcot
(7) a été expérimentalement prouvée par M. Ray-
5) VALTAT, IOC. cit. (6) LE Fort, Société de chirurgie, 1872. (7)
Charcot
, OLuvres complètes, t. 111, p. 23. (8) Raymond,
n autre tableau La Ventouseuse, au musée de la Haye, a été étudié par
Charcot
et Paul Rrcuen et reproduit in Nouvelle Iconogr
res que ne le laisse entendre Sydenham et, depuis la description de
Charcot
, (1) Rapprocher l'observation de Chauffa un et
e Congrès, ne fut admise par aucune des deux écoles en présence. Pour
Charcot
, l'hypnotisme devait être considéré comme une név
ues hypnotisablcs et l'action contraire exercée par la lumière bleuo.
Charcot
avait de même remarqué que les hystériques de son
jamais rien. C'était à une époque où les professeurs Claude Bernard,
Charcot
et Béclard étaient déjà convaincus de la valeur r
nt sur l'appareil visuel et déterminant l'état do fascination (Braid,
Charcot
, Bremand) ; 2° Le son et les vibrations sonores
s (bruits monotones ou ' bruits intenses et inattendus. — Heidenhain,
Charcot
) ; 3e Les excitations périphériques s'adressant
4° Les actions vibratoires générales (casque et tabouret vibrants de
Charcot
) ; 5° L'électricité statique (Bérillon) ; 6°
urnée. Le tic s'exagérait chaque fois que la malade était émue. Gomme
Charcot
le disait, ces secousses aboutissent à la product
Salpétriere où elle est entrée cn 1879. J'ai été chef de clinique de
Charcot
, de 1885 à 1887; c'est vous dire que j'ai vu cett
Duchenne de Boulogne, Broca, Axenfeld, Vulpian et, au-dessus de tous,
Charcot
fontde la neuropathologie ce qu'elle est encore a
u chirurgien, à analyser les névroses, à utiliser l'hypnotisme.....
Charcot
est incontestablement le chef ot la plus brillant
alpètrière, pendant que Paris sommeille, si les ombres de Pinel et de
Charcot
viennent animer leur bronze et « causer, la nuit
sseau le chef delà deuxième (séméio-logie et pathologie pratique), et
Charcot
le chef de la troisième (création et développemen
de son temps, il fut soutenu par Willis et Sydenham. Depuis, Briquet,
Charcot
, Brener, Freud ont montré qu'il n'existe aucune c
ase, et dont il pu voir l'achèvement grâce à son ami et collaborateur
Charcot
, merveilleux architecte. » Les Chemineaux Le
sympathies, il convient de citer Broca, Ver-ncuil, Mesnet, Paul Bert,
Charcot
, Iîibot, Dumontpallier. Paul Bert lui écrivait :
archait cette femme répondait parfaitement aux caractères que Todd et
Charcot
ont assignés â l'hémiplégie hystérique. . Or, com
rotatoirc des bras. Dans le môme ordre d'idées, un ancien in'srne de
Charcot
, le D' Regnard, raconte avoir connu une jeune fil
e prends les mots t léthargie c et « somnambulisme » dans le sens que
Charcot
leur donnait, sans eu discuter pour aujourd'hui l
, dans laquelle l'emploi de miroirs rotatifs avait amené la guérison.
Charcot
, d'ailleurs, ne considérait pas la maladie de Par
al : Braid, Azam, Durand de Gros, Hcidchhaîn, Charles Richet, Mesnet,
Charcot
, Dumontpallier, Luys, Beaunis, etc..... — Définit
e qu'en ont eue d'illustres précurseurs: Braid, Azam, Durand de Gros,
Charcot
, Liébeault, Dumontpallicr et Voisin.Négliger l'hy
l'histoire de l'hypnotisme expérimental et thérapeutique (l'œuvre de
Charcot
à la Salpétriere et de Dumontpallier à la Pitié).
R '. Presqu'au début de notre carrière médicale, M. le professeur
Charcot
nous envoyait, pour le soumettre à un traitemen
n de faits analogues. Toutes nos re- cherches furent infructueuses.
M. Charcot
, à qui nous nous adressâmes alors, voulut bien
x-huit ans, m'est adressé au mois de juin 1877 par M. le professeur
Charcot
et M. le docteur Bonin. La mère du jeune homme
'enfant pût reprendre ses études. Au printemps, le Dr Blache appela
M. Charcot
en consultation. Ces messieurs décidèrent qu'il
ns un récent travail' inspiré par notre' maître, M. le pro- fesseur
Charcot
, lious nous sommes efforcé de démontrer que la
es .insolites, délictueux et criminels; in-8°1883."i ? t . , 1 - r3
Charcot
. -, .Comptes rendus de l'Académie des sciences, 1
L.I nt¡' ·-,1,6J'1` '')hf[t 9n·tIJW 1,1 F "hl1l.flf ? t j j llnr "1
Charcot
et Richer ? Contribution à l'élude 'de' /'hypÍ/ot
urs de leur maladie ou auparavant des manifestations rhumatismales.
M. Charcot
nous a dit avoir souvent constaté la coexistenc
lutôt, de la parésie cérébrale, une des formes de cet état. Grâce à
M. Charcot
principale- ment,' nous avons eu l'occasion d'é
t l'avoir vus'épuiser, en général, vers la vingtième année. Selon
M. Charcot
, cette guérison s'effectuerait souvent pendant
te forme de douche, à la pro- pagation de laquelle M. le professeur
Charcot
a tant contribué, et qui pourrait être appelée
elle est placée en dernier lieu dans le service de M. le professeur
Charcot
. La température normale du sujet oscille de 37°
même temps un aspect lardacé 1. Ayant fait, d'après le conseil de
M. Charcot
, des mensura- tions exactes de la partie épaiss
ertain espace de la substance grise corticale. ' M. le professeur
Charcot
, qui, avec sa bienveillance habi- tuelle, a bie
re notre description des altérations des cellules à celle faite par
M. Charcot
(loc. cit., p. 184), on voit parfaitement que r
tge. (Virchow's Archiv , Bd. LXXIX, 1880.) 32 RECUEIL DE FAITS.
M. Charcot
, et les considérations théoriques de M. Weigert,
pas que, dans un travail très approfondi, qui nous fut indiqué par
M. Charcot
. M. Klebs a étudié la question des néoplasmes d
t pas encore entrés dans le domaine de la vulgarisation. L'école de
M. Charcot
a fait faire il la théorie de ce mal des progrè
ystérie et peuvent, en tout cas, être facilement pro- voqués. (Voir
Charcot
, Progrès médical, 1878, p. 37). Parmi les nombr
périences faites sur des hystériques hypnotisées dans le service de
M. Charcot
à la Salpêrière, expériences rapportées avec be
signes et des objets, qui a fait l'objet d'une importante leçon de
M. Charcot
. Dans les rêves, ce malade n'a plus comme autre
ue M. le Archives, t. VI. 24 370 - RECUEIL DE FAITS. professeur
Charcot
décrit sous le nom de sclérose latérale amyotl'
us plausible, car les altérations pathologiques des hémis- 1.T ? I.
Charcot
(Leçons sur les localisations cérébrales, p. 05)
ues (affections osseuses et ar- ticulaires du pied chez les), par
Charcot
et Féi-é, 303. Atropine (influence sur l'épilep
;- troubles vertigi- neux dans le), 101. t. Tabétique (pied), par
Charcot
et Féré, 305. Température dans la folie pério
412, 413. Bumm, 96. Byrom-Bramvell, 155, Chambard, 117, 264.
Charcot
, 305. Charpentier, 120, ? 79, 413. Claus, 105
à sa suite des rétractions fibro-tendineuses analogues à celles que
Charcot
a décrites chez l'homme, rétractions qui ne dis
'ai fait paraître, il y a 25 ans, un travail inspiré par mon maître
Charcot
sur la scoliose sciatique (20). J'en ai relaté ci
récente où il n'est même pas question de cette forme de paraplégie.
Charcot
, à propos de la compression lente de la moelle
gie spastique spinale et sous celle de tabes dorsal spasmodique par
Charcot
, j'ai fait connaître quelques caractères dis- t
u'on ne le pensait autrefois. Il est juste pourtant de rappeler que
Charcot
, il y a longtemps, a attiré l'attention sur la bé
I, pp. 4.87, 51o. Hémiplégie, par Pierre Marie; b. Traité de médecine
Charcot
, Bouchard, Brissaud, t. IX, p. 51. Hémiplégie,
ait reconnu la nature fictive de certaines « fièvres hystériques ».
Charcot
lui-même avait mis en garde contre les erreurs
ait l'objet de recherches si nombreuses. La revision de l'oeuvre de
Charcot
est, en grande partie, une conséquence de cette l
équence de cette loi. Or, c'est un des plus actifs coJlaborateursde
Charcot
qui a démasqué« la grande simulatrice» et fourn
hui n'était plus celle d'autrefois, celle de la Salpêtrière, celle de
Charcot
; qu'elle ne pouvait plus imiter les réactions s
é. « Nous aussi, nous avons, sous l'influence d'un autre maître, de
Charcot
, connu une grande époque de l'hystérie, et pend
en ai observé un cas sérieux dans mes salles. « C'est que, depuis
Charcot
, nos idées se sont profondément modifiées, en g
aucune des manifestations qui florissaient si aisément du temps de
Charcot
, et même un peu après lui. C'est à peine si j'a
par Braid, Durand de Gros, Liébeault, Heidenhain et Benrd. Lasègue et
Charcot
, acceptèrent également l'interprétation de l'hypn
id, Durand de Gros, Liébeault, Mesnet, Charles Bichet, Beannis. Luys,
Charcot
, Paul Kicher, Pitres, F. Baymond, Dumontpallier,
nouvelles contributions a la science de la neurologie. Successeur de
Charcot
à la chaire de clinique des maladies nerveuses il
pliquée par les trépidations qui rappellent le fauteuil vibratoire de
Charcot
. Discussion M. Bérillos. — La psychothérapie
ult ne tardèrent pas à recevoir une consécration éclatante le jour où
Charcot
(7), et Paul Richer (8) à la Salpêtrière, Dumontp
(6) Llébeanlt. Du sommeil et des étals analogues. Paris, 1800. (7)
Charcot
: Sur les divers états nerveux provoqués chez les
d'une façon efficace au point de vue thérapeutique, nous devons citer
Charcot
et Dumontpallier. Par simple affirmation nous avo
sif », quand on va s'endormir ou que l'on vient de se réveiller. Chez
Charcot
et chez Dnmontpallier, nous avons vu que dans le
it véritablement supérieur. Elevé a la forte école des Millard, des
Charcot
, des Lasègue et des Jaccoud, il était devenu, ce
le 1M Regnard qui le premier, en 1877. sur l'indication du professeur
Charcot
. a soumis à une étude approfondie la découverte d
e de cette école a provoqué l'opposition la plus vive de MM. Millier,
Charcot
. Regnard, Galezowski.Landolt. Abadie, Dujardin-Be
nsfert > de la contracture : phénomène déjà constaté aussi par MM.
Charcot
et Richer. Le sujet ayant déjà le membre supéri
ervés par l'application des plaques métalliques. Gazette mèd. 1877.
Charcot
et Regxabd. — Sur l'action physiologique de l'aim
e pareils symptômes avaient été aussi observés par Schôffer, Dôl-wen.
Charcot
. Binet et Vogt. Il publie quatre observations,
s qu'ils s'adressaient, en réalité, aux plus hypnotisés des sujets.
Charcot
est le premier qui ait bien observé ces dispositi
à ce qui a lieu dans le grand hypnotisme. » Les meilleurs élèves de
Charcot
, MM. les Dr Paul Richer et Pitres ont exposé dans
rmettent cependant de s'assurer qu'aucune des observations faites par
Charcot
. par Paul Bicher, et par Pitres, pas plus que cel
e sort nullement en rapport avec l'intensité et la gravité du choc.
Charcot
. considérait l'émotion morale comme le principal
roubles névropathiques qu'on observe si fréquemment chez les médiums.
Charcot
, dans ses leçons sur les maladies du système nerv
lle, est dans le principe nécessaire pour la production du phé- (1)
Charcot
: I-econs sur les maladies dn système nerveux. T.
ention quasi miraculeuse. Bjo-rnsljerne-BJœrnson que les travaux de
Charcot
et de ses élèves sur l'hypnotisme avalent vivemen
ose. Diverses expériences furent instituées à ce point de vue par
Charcot
et par son collaborateur M. le Dr Paul Ricber. Et
t endormis, tout en donnant les apparences de la veille. C'est ce que
Charcot
a si justement observé dans sa leçon sur le vilig
RODUCTION Placés par la confiance de notre maître, M. le professeur
Charcot
, à la tête des services anatomique et photograp
ourni nos préparations a été recueillie par nous dans le service de
M. Charcot
. Quelques-unes provenant de la même clinique nous
mas explicatifs que nous avons joints au texte, sur les conseils de
M. Charcot
, faciliteront encore la lecture des figures.
s supérieurs (Marie Bes..., salle Rayer, n° 1, service de M. le pl'
Charcot
). PLANCHE X Figure 19. SCLÉROSE EN PLAQUES.
et les jamhes, et atteignant plus lard les mains », publié par MM.
Charcot
et Marie dans la Revue de médecine (tome VI, févr
qui présenta pen- dant sa vie le tableau classique de la maladie de
Charcot
, et mourut selon l'ordinaire d'accidents bulbai
Il a été question du sujet dont cette pièce provient dans la leçon de
M. Charcot
consacrée à la Syringomyélie (Leçons du mardi,
périodiques illustrés. Fondée so-us le haut patronage du professeur
Charcot
, l'Icollo- graphie a bénéficié de la glorieuse
rospéré sous son éminente direction. Elle ne péri- clitera pas, car
Charcot
fut un chef d'École et ses élèves sauront perpé
l'égide desquels nous marcherons, deux furent les élèves directs de
Charcot
, tous étaient ses amis : .sa pensée reste vivac
est simulée par l'hystérie. J'ai eu autrefois l'occasion d'adresser à
Charcot
un malade dont l'observation figure dans les le
rotégé par une giberne. Je vous signale encore une observation de
Charcot
, qui a fait l'objet d'une très intéressante leç
acial d'un côté, les membres de l'au- tre : 2° le type connu depuis
Charcot
sous le nom de syndrome de Weber, caractérisé p
e ta- bleau ail été classée parmi les documents supplémentaires que
Charcot
et Paul Bicher avaient réunis il la Salpêtrière
d'attirer l'attention de la critique médicale est-il considérable.
Charcot
et Paul nicher en ont déjà signalé un grand nom
être donnée à une scène rustique du plus haut intérêt médical, dont
Charcot
et P. Richer les premiers ont donné la si- gnif
aire, soit à des manifestations choréiformes de la névrose. D'après
Charcot
et Paul Richer, les croquis de cette scène de pro
guéris du mal de Saint-Jean , (1) Voyez Les Démoniaques dans l'art (
Charcot
et P. Richer), p. 3. (2) Le dessin a été gravé
éum montre qu'il ne s'agit pas de cette dernière comme le pensaient
Charcot
et P. Richer (1), mais d'une cérémonie analogue
, la Para- bole des aveugles, a été également cité et reproduit par
Charcot
et P. Ri- cher, dans les Démoniaques dans l'art
escendants de Bruegel le Vieux, tout en modifiant leur peinture (1)
Charcot
et P. Bicher. Les Démoniaques dans l'art, p. 36.
Salpêtrière, on verra que, chez certains sujets atteints de ce que
M. Charcot
appelait la diathèse de contracture, on peut dé
e. Depuis 10 ans, il n'a passé à la Salpètrière, dans le service de
M. Charcot
, aucun sujet atteint de tétanie non hystérique,
raignaient de se briser en se remuant. Ils rappellent, comme disait
Charcot
(1), en paraphrasant un mot de Parkinson, « ces
inson à la forme extérieure du corps humain. Depuis le travail de
Charcot
et Vulpian paru dans la Gazette hebdoma- daire
ardi, 1881-88, p. 436 302 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
M. Charcot
a insisté fréquemment dans ses leçons sur l'habit
Salpêtrière, bien connue de ceux qui fréquentaient le service de le
Dr Charcot
(1). « Elle restait, dans l'angle de la grande
(van). Infantilisme et féminisme chez un épileptique, 225. J. M.
Charcot
. Migraine ophtalmique et aphasie, 3. J. B. CI
namique, d'une névrose. Je veux parler de la paralysie agitante que
Charcot
a eu raison de dé- nommer maladie de Parkinson,
malade présentait cet aspect spécial aux parkinsoniens, sur lequel
Charcot
a si justement insisté. J'ajoute qu'elle accusa
échis, ce qui est la- manière d'être habituelle aux parkinsoniens ;
Charcot
l'avait bien montré ; il avait bien vu, égaleme
main, en particulier, prend déjà l'attitude habituelle décrite par
Charcot
: flexion de l'ensemble des quatre derniers doigt
alade, qui vous montrera ce qu'est le type d'ex- tension décrit par
Charcot
, et dont plusieurs auteurs, Beschet et Dutil, n
ez qu'en définitive, nous ne sommes pas plus avancés qu'au temps de
Charcot
, qui, déclarant (1) Bunzio, Ann. d. fren. e soi
ement, c'est à la suite d'une grande frayeur (Ilillairet, Axenfeld,
Charcot
, Kohts, etc.), d'une discussion, d'une colère,
upposer des courbures pathologiques de sa colonne vertébrale. (1)
Charcot
et P. Richer dans Les difformes et les malades da
Mathias Grunewald, au musée de Col- mar. Aux documents signalés par
Charcot
et Richer, M. le professeur Blanchard vient d'e
888,en avait trouvé onze cas où le caractère familial avait manqué.
Charcot
(4), la même année, dans ses leçons cliniques d
n, aux figures semblables des oeuvres byzantines de la même époque.
Charcot
et P. Richei' (1) P. Richer, L'art et la médeci
nzede l'élisë Saint-Zeno,à Vérone (2), oeuvre sans doute italienne,
Charcot
et P. Richer ont signalé la guérison d'une femme,
général contre toutes les attaques ner- veuses et convulsives. »
Charcot
et Paul Richer ont donné une description de la pr
vail qui fut la sienne. Au lemps où florissail l'enseignement de
Charcot
, son entou- rage éprouva tout naturellement le
a collection d'oeuvres d'art intéressant la médecine recueillie par
Charcot
et Paul Richer, les belles images dues au crayo
ndensés en trois volumes, tous les travaux qui, sous l'impulsion de
Charcot
, ont été entrepris pour l'étude de la grande né
qu'à ces derniers temps, passé à peu près inaperçue. Erb, Gowers,
Charcot
avaient noté que le processus tabétique débutait
Ce dessin fut plus tard gravé à la Haye par Henricus Hondius en 1640.
Charcot
l'a commenté et reproduit dans ses Cliniques (t
faire à mon intention, en juillet 1895. La figure reproduite par
Charcot
et Paul Richer ne portait pas de légende ; aussi
le démon. » C'est ce qui a fait dire, non sans de bonnes raisons, à
Charcot
et à Paul Richer, que ces troupes délirantes ét
décri- tes comme une forme de manie contagieuse. Les autres, depuis
Charcot
, ont affirmé la nature hystérique de ces accide
ascu- laire, pour Virchow une névrite interstitielle, pour Vulpian,
Charcot
une névri te p3rencllyma teuse, le tissu conjon
' les fibres dégénérées formantpour ainsi dire des corps étrangers.
Charcot
, Erb,Gowers admettaient que.le processus atroph
c obnubilation passagère, et cette aphasie migraineuse sur laquelle
Charcot
a insisté, peutse répéter et éveiller l'idée d'
re eux. Cette opinion a été émise et soutenue par nombre d'auteurs.
Charcot
(1) dit en parlant de l'oedème bleu des hystériqu
s, leur esclarification, par défaut absolu de nutri- tion ? Comme
Charcot
le rappelle à propos de l'oedème bleu, la reprodu
t pas seulement à la Salpétrière le continuateur de l'enseignement de
Charcot
, il est également le continuateur des doctrines d
e retentissement et les médecins restés fidèles aux enseignements des
Charcot
, des Dumontpallier et des Liébeault lui seront re
ux qui ont eu l'honneur et l'avantage de suivre les enseignements des
Charcot
, des Dumontpallier, et des Liébeault, ont le devo
ils furent reconnus pour des représentations exactes de maladies par
Charcot
et Richer dans leur beau livre : Les Malades et l
me réouverture des cours de l'Ecole de psychologie. — La bibliothèque
Charcot
à la Salpétrière. — La volonté de vaincre. La h
uration de la bibliothèque Charcol. Obéissant à une pensée pieuse, le
Dr Jean Charcot
a offert à la clinique des maladies nerveuses de
t organisée, et dont l'arrangement reproduit le cabinet de travail de
Charcot
, la possibilité de poursuivre les études de neuro
ître et les médecins de la Salpêtrière. Dans d'éloquents discours, le
Dr Jean Charcot
, le professeur Raymond et M. Mesureur ont évoqué
de sa personnalité survivra. La Revue de l'hypnotisme s'en félicite.
Charcot
lui fit l'honneur de lui accorder ses encourageme
ui provient d'une des plus belles nécropoles de Saqqarah (Fig. 42).
Charcot
en avait fait un rachitique ; aujourd'hui que l'o
eteontrôlés. Il n'y eut aucune supercherie. M. Paul Magxin. — Chez
Charcot
, des hystériques reproduisaient par imitation les
temps classiques de la Salpêtrière ne correspondent pas à la réalité,
Charcot
faisait de l'hystérie de culture et c'est le méde
Angleterre, de Briquet en France ; vous savez quel rôle prépondérant
Charcot
a fait jouer à l'idée fixe dans la genèse de la p
expérimentale et leur disparition. C'est en étendant la conception de
Charcot
que Mœbius, que Strümpell sont arrivés à une défi
phénomènes organiques, physiologiques et deviennent une conséquence.
Charcot
a dit très justement que l'hystérie est moins une
est là précisément un fait que, plus que tout autre l'enseignement de
Charcot
a mis en lumière. Des définitions physiologique
nuit. L'auteur ne rattache ce fait à aucune émotion. Pouchet, Lange,
Charcot
, Leloir, Vidal et d'autres auteurs signaient beau
régions psycho-motrices du cerveau qui en avaient perdu l'habitude.
Charcot
a démontré que la superposition des images graphi
'hypnotisme thérapeutique contemporain il fait la part des mérites de
Charcot
, cite les noms des travailleurs de la première he
ulot, p. 43 Bégaiement guéri opératoirement, p. 159. Bibliothèque
Charcot
à la Salpêtrière (La), p. 161. Brûlures suggéré
lté très grande. Il fut conduit à la Salpêtrière dans le service de
Charcot
; là, après un examen prolongé, on conclut à un
pte où la variole fait, et surtout a fait, de si terribles ravages.
M. Charcot
incline à croire qu'ils sont la conséquence de
lbo-protubéran- tielle), hémiplégie alterne supérieure désignée par
Charcot
sous le nom de Syndrome de Weber (lésion pédonc
897. Doin, éditeur. . Pal, cité par Babinski, in Traité de médecine
Charcot
et Brissaud. Art. OUVRITES. Archives, 2c séri
èvre hystérique publiées par Debove, Camuset, Voisin, Mara- gliano,
Charcot
, etc., l'auteur conclut que : 1° son malade était
nseurs du poignet donne à la main une attitude spéciale, à laquelle
Charcot
a donné le nom de main de prédicateur. Cette gr
laccide. M. BRISSAUD (de Paris). - On admet depuis les travaux de
Charcot
que la dégénérescence secondaire des faisceaux py
tations différentes mais tendant toutes à infirmer la théorie de
Charcot
, d'après laquelle il y aurait une corrélation con
reconnaître aujourd'hui que ce cas est contraire à la théorie de
Charcot
et qu'il vient à l'appui des idées de Bastian et
e. Ce fait prouve que pour pouvoir déclarer en défaut la théorie de
Charcot
sur les relations des paralysies spasmodiques a
aire, se sont empressés de contester le bien fondé de la théorie de
Charcot
. 228 SOCIÉTÉS SAVANTES. 11 existe, du reste
s, MM. Magnan de Sainte-Anne, Brissaud, les suc- cesseurs du vénéré
Charcot
; 1M. le D1' Regnard, inspecteur général des ser
tre des phéno- mènes de claudication intermittente bien étudiée par
Charcot
; l'or- gane est en état de méiopragie d'origine
ieu de constituer une véritable entité morbide, comme . l'a soutenu
Charcot
, ne serait qu'une variété d'atrophie muscu- .la
on est en droit de con- sidérer la maladie de Duchenne et celle de
Charcot
comme de simples modalités cliniques (Leyden, K
lopathique, c'est bien là la paralysie spasmodique amyotrophique de
Charcot
, l'atrophie réflexe de cause articulaire. L'amy
terne en 1878 à la Salpêtrière, Paul Richer avait été distingué par
M. Charcot
, qui savait discerner les aptitudes et répartir à
ait un talent de dessinateur très per- sonnel que' l'âme artiste de
Charcot
eut vite fait d'apprécier à sa juste valeur, à
et M. Paul Bloch, qui ont rédigé l'article du Traité de médecine de
Charcot
et Bouchard, trouvent que les troubles de la se
se sont mani- festés qu'à l'âge de vingt-cinq ans, diagnostiqué par
Charcot
et vérifié par l'autopsie, treize ans plus tard
par la réunion d'un certain nombre de cas en un groupe com- pact,
Charcot
commença par soustraire toute une catégorie de ca
nt. S. Freud, de son côté, dans sa traduction de la policlinique de
Charcot
, raconte avoir vu un malade de vingt-trois ans
térieur, comprenant toute la région du lobule pariétal inférieur de
Charcot
(gyrus supramarginal), et du pli courbe (gyrus
4, 318. Campo, .i93. Ceikey, 57. Cestau, 309. Challl1lng, 4
Charcot
(J.), 46. Charpentier, 67, 233. Chipault, 60,
pathogénie. Elles ont été établies par les travaux de L. Clarke, de
Charcot
, de Joffroy, de Gombault, etc. Ce sont du côté de
z 1 dans la paralysie diphtérique. Dans la substance blanche, MM.
Charcot
, Joffroy, Ilayem, Gombault, etc., ont noté la t
dégénérescences descendantes. La même tuméfaction est signalée par
Charcot
et Joffroy dans l'inflammation qui suit ou préc
n symptôme y compris l'ataxie des tubes que nous considérons avec
Charcot
comme entité morbide distincte. A. M. VIII. Név
sur le fait ces véritables agents provocateurs, comme les appelait
Charcot
, et, en les réduisant au silence, obtenir un am
n effet abolie que chez deux malades. , D'autre part, Finkelburg,
Charcot
et d'autres auteurs ont rap- porté des cas où,
rétrécissement du champ visuel avec des particularités qui, d'après
Charcot
, sont caractéristiques de l'hystérie », a été o
ues par intervention des phénomènes insolites, déjà distinguées par
Charcot
, (variété hémiplégique, variété tabetique, et var
e rôle principal dans le développement de ces névroses, et celle de
Charcot
, qui ne voit dans les troubles nerveux consécut
omme très importante dans la production des accidents nerveux; pour
Charcot
et son école, c'est l'émotion morale qui est le p
la question sur l'oedème bleu ne remonte pas au delà de 1889, quand
Charcot
a pour la première fois décrit ce complexus sym
- lées d'oedème bleu. L'épithète « hystérique » que lui a ajoutée
Charcot
et qui a été conservée dans toutes les observatio
que ce complexes symptomatique a été observé avant le professeur
Charcot
, ainsi que le démontraient par exemple les observ
t notable de la température locale. Ainsi dans un cas du professeur
Charcot
la différence dans la température des deux memb
l'oedème est per- sistant et dure plusieurs années (dans un cas de
Charcot
la durée était de cinq ans, dans mon cas l'oedè
sont peu nombreux ce qui ne les empêche pas d'être en désaccord.
Charcot
voit la cause essentielle de ce complexus symptom
revue générale de l'hystérie, telle que l'ont faite les travaux de
Charcot
et de ses élèves, y compris la psycho- logie de
fen- seurs de cette théorie unitaire 2. Au contraire, MM. Morvan,
Charcot
, Déjerine3 et Bruhl*, ont soutenu qu'il s'agiss
hl*, ont soutenu qu'il s'agissait là de deux maladies distinctes.
M. Charcot
a formulé son opinion dans une leçon faite en 1
l SOCIÉTÉS SAVANTES. 489 s'agit le plus souvent, comme l'a montré
Charcot
, d'hystérie mono- symptomatique ; le rétrécisse
de grande chorée, des états qui rappellent la période de clownisme (
Charcot
), des états de somnambulisme, des cas typi- que
lysies, ni d'analgésie. La sclérodermie a bien été différenciée par
Charcot
de la maladie de Morvan. Elle ne détermine pas
rimitive des muscles du tronc et des membres par Barlow, 47. - de
Charcot
chez un tabé- tique par Witldo, 48. - spinale
notre Conseil de surveillance, à la direction, autrefois unique, de
M. Charcot
nous avons substitué un Comité de direction, co
des matériaux de ce genre, les anciens, disait très judicieusement
Charcot
, étaient trop amoureux dé l'harmonie des formes
? ? t) L , ICI Ces deux observations confirment ce que nous disait
Charcot
en 1885, à propos des différents types de, myop
e par des;troubles de la sensibilité, la rachialgie syphilitique de
Charcot
, et par des accidents cérébraux moins constants
. Le président consacre àla mémoire de MM. Cramer, HOESTERMANN et
Charcot
des paroles pleines d'émotion et de chaleureux él
ns la - paralysie générale. 168 CLINIQUE NERVEUSE. M. Arnozan ?
Charcot
et M. Féré en ont cité quelques cas. Encore la
motion morale. (Bull. Soc. méd. clin., Bordeaux, 1887, p. 588.) '
Charcot
. Sur un cas d'amnésie rétro-antérograde probablem
les ont aimés. J'évoque-' rais alors deux grandes ombres : Pascal,
Charcot
, et j'aimerais à penser que, pour toute la duré
efforts ' ` convergents des neuropathologistes et des aliénistes.
Charcot
, Messieurs, était l'un et l'autre, et j'imagine q
a Faculté, tourne pour un temps son activité dans un autre sens, et
Charcot
. - reste seul pour parachever des recherches do
rd entamée par Bou-. chard,sous l'impulsion directe et puissante de
Charcot
, est reprise par de nombreux élèves dont je ne
ion d'une maladie nouvelle : la sclérose latérale aimjolrophique.
Charcot
, Vulpian, Duchenne (de Boulogne), tels furent les
ute autre, et l'avenir prouvera que telle était la vraie manière de
Charcot
, celle qui cor- respondait le mieux à son goût
trière. Mais, messieurs, une école de la Salpêtrière existait avant
Charcot
, avant nous. L'objet de ses études était-il don
es Delasiauve,, des Trélat, des Moreau, des Baillarger, et celle de
Charcot
? A vrai dire, les deux écoles, avec des points
de per- versions (mensonge, duplicité, esprit de simulation, etc.).
M. Charcot
a tenté, à juste titre, de « réhabiliter les hy
hystérique. Tout d'abord M. Ballet a voulu, suivant l'expression de
Charcot
, réhabiliter les hystériques. Je ne crois pas q
ent, comme tous les auteurs l'ont fait remarquer, et en particulier
Charcot
pour la polynévrite alcoolique, par une perte d
occasion d'observer à la Sal- pêtrière, en 1892, dans le service de
Charcot
, un cas d'hémianopsie avec hallucinations dans
articulier dans celui qui fut étudié à divers points de vue par MM.
Charcot
, Souques, P. Janet, la présence d'une idée fixe
le. Psychopathie, surtout aiguë et passagère, soit par les accès de
Charcot
, soit par un délire transitoire, mélanco- lique
iens, et tous les autres symptômes manquent. Théorie de la névrose (
Charcot
). Cette théorie est la plus diffi- cile à comba
eux maladies, prouve également en faveur delà théorie thyroïdienne.
Charcot
a fait remarquer la fré- quence des intlanuuati
yste du-, par H. Jackson et russe),48). S34 TABLE DES MATIÈRES.
Charcot
, souscription , 147. Chirurgie, note sur deux c
e volume des Archiv. de physiologie, les observations de MM. Vulpian,
Charcot
et Joffroy, Parrot et Joffroy. 3 Laborde, loc.
des hopitaux de paris Le 24 janvier, est entrée dans le service de
M. Charcot
, à la Sal-pêtrière, une femme nommée Mahau, âgée
es doigts les uns des autres. Histologie. — M. Gombault, interne de
M. Charcot
, a bien voulu nous guider dans l'examen histologi
rf, par exemple, du nerf médian du môme côté. 11 s'a-gissait, d'après
M. Charcot
, du premier degré d'une névrite ascen-dante. Au
Leçon faite le 22 juin à la Salpêtrière par m. onimus Messieurs,
M. Charcot
, en me cédant aujourd'hui sa place, me fait un gr
car je suis dans ce moment la preuve vivante des encoura-gements que
M. Charcot
sait donner indistinctement à tous ceux qui trava
rée, le 16 février 1872, à l'infirmerie de la Salpêtrière (service de
M. Charcot
.) Les renseignements qu'elle donne sur son état a
e plus par les emprunts faits par M. Villard à des leçons inédites de
M. Charcot
sur différents points de la pathologie des voies
ar notre ami E. Teinturier, de l'observation de Wunderlich à laquelle
M. Charcot
a fait allusion. Observation. —Huit semaines de
-sement musculaire ayant lieu sous un courant plus ou moins faible.
M. Charcot
nous a rapporté, il y a quelque temps, l'observat
e. Nous avons également pu observer le fait que nous avait enseigné
M. Charcot
, à savoir qu'il y avait deux noyaux d'origine du
médullaires, l'auteur, après avoir rappelé les travaux de MM. Turck,
Charcot
, Bouchard sur les myélites par compression, se pr
, peuvent comprimer la moelle et amener la paraplégie. A l'exemple de
M. Charcot
, il les divise en : 1° Tumeurs développées dans
elle tend elle-même à se réparer. La cautérisation au fer rouge, que
M. Charcot
applique depuis quel-ques aimées au traitement de
jam-be, etc., par Poulain. 253. Uystého-épilepsie (De F), leçon de
M. Charcot
recueillie par Bourneville , 273. — Observation d
fection purulente, 521, 555. Isciiurié hystérique (De 1'), leçon de
M. Charcot
, l'ecueillie par Bourne-ville, 161. Iode (Injec
par Parrot, 25. Myopathies (Groupe des) de cause spi-nale, leçon de
M. Charcot
, recueillie par Bourneville, I, 56. m Nécrose
rysme). Ovariotomie, par Panas, 232. p Paralysie infantile, par
Charcot
, 1, 56, — par Bail et Liouville, G. — obsté-trica
al, beaucoup plus grande que celle que leur assignaient Flechsig et
Charcot
; car nos recherches démontrent qu'elles sont situ
né sous les noms de faisceau de Turck (Meynert), faisceau sensitif (
Charcot
, Ballet, Brissaud), faisceau cortico-protubéran
cordons postérieurs de la moelle au lobe occipital (Fig. 51). Pour
Charcot
, ce faisceau n'était jamais frappé de dégénéres
ua cet argument pour lui attribuer une fonction sensitive (Meynert,
Charcot
, Brissaud, Ballet). Bechterew, Rossolimo, Jelge
rgagni. Cruveilhier. Rokitansky. Turck. L'École française :
Charcot
, Vulpian. Bouchard. Les neurones cortico-médu
irmatifs parus suitout en Fiance. Tels sont les faits rapportés par
Charcot
et Turner (185`3), Schroeder FIBRES DE PROJECTI
ON DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 83 van der Kolk (18;;2), Turner (1836),
Charcot
et Gubler (1859), Charcot et Vulpian (1861 à 18
83 van der Kolk (18;;2), Turner (1836), Charcot et Gubler (1859),
Charcot
et Vulpian (1861 à 1866), Charcot et Cornil (18
(1836), Charcot et Gubler (1859), Charcot et Vulpian (1861 à 1866),
Charcot
et Cornil (1863), Leyden (1863), Lancereaux (186,
occupant non seu- lement les corps stiiés mais surtout, ainsi que
Charcot
et Vulpian l'ont montré, la capsule interne, -
Jusqu'aux recherches expérimentales de Gudden, jusqu'aux travaux de
Charcot
et de ses élèves basés sur l'étude des localisa
ral, d'après l'opinion de Meynert. (Schéma de Huguenin emprunté à
Charcot
, Localisations ceiebî,ales,p.8.) AU, avant-mur.
ment. Ce ne fut que quelques années plus tard, grâce aux travaux de
Charcot
(187G) et de Flechsig (1881), que l'origine cor
'origine corticale du faisceau pyramidal fut définitivement admise.
Charcot
montra que les lésions de la substance grise cort
La région pyrami- dale du pied du pédon- cule cérébral, d'après
Charcot
. (Localisations cérébrales, p. 200.) D, dégén
ne localisation dans la capsule interne. Dans un travail ultérieur,
Charcot
en se fondant principalement sur les recherches
de la calotte. Les trois faisceaux du pied du pédoncule d'après
Charcot
. La subdivision du faisceau interne du pied
. - Ciiahcot. Leçons sur les mala- dies du système nerveux, 1874. -
Charcot
et Turnkr. Atrophie cérébrale avec atrophie el
ns surlaphys. gen. et comparée du sysl. nerv., 1866, p. 470, et par
Charcot
in Leçons sur les localisations dans les maladi
ocalisalions motrices, il faut citer ceux de IIitziâ ()872-187), de
Charcot
(1876), de Ferrier (1878), de Charcot et Pitres
ceux de IIitziâ ()872-187), de Charcot (1876), de Ferrier (1878), de
Charcot
et Pitres (1877-1879, 1883 et 1895); puis ceux
one sensitive dans la région rolandique; d'autres auteurs, tels que
Charcot
, Ballet, Nothnagel, Ferrier, v. Monakow, localise
, et c'est cette der- nière qui doit juger en dernier ressort. Pour
Charcot
et Ballet, la zone sensitive comprend toute la
la deuxième circonvo- lulion frontale gauche, - admise par Exner et
Charcot
, ne compte plus guère aujourd'hui qu'un nombre
calisation d'une lésion dans telle ou telle région de l'hémisphère.
Charcot
localisait l'hémichorée dans la partie postérieur
e. 256 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le carrefour sen- sitif do
Charcot
. L'hémianesthésie organique capsulai ri peu
la sensibilité générale et spéciale dans la moitié opposée du corps.
Charcot
(1872-1880) adopta et développa les idées de Ti
contre dans l'hémianesthésie sensitivo-sensorielle des hystériques.
Charcot
désigna cette partie postérieure du segment pos
ces de la sensibilité générale et des sens spé- ciaux. Les idées de
Charcot
sur le carrefour sensitif, pendant longtemps ad
echerches modernes cependant n'ont pas confirmé toutes les idées de
Charcot
. Si, en effet, depuis les travaux de Tiirck et de
idées de Charcot. Si, en effet, depuis les travaux de Tiirck et de
Charcot
, tout le monde est d'accord pour reconnaître qu
ons des hémisphères cérébraux. Arch. de Phys. norm. etpatliol., 1873.
Charcot
. Leçons sur les localisations dans les maladies
azione. (9nn. di Neurol., XIII, 1895 et Brain, 1895, p. 497-5 ? ) -
Charcot
et Pitres. Contribution à l'étude des localisatio
présenté des accidents nerveux pour lesquels elle est venue consulter
Charcot
. Elle avait de l'œdème de tout le côté gauche, av
des plus éclatantes manifestations de !a faith healing, comme disait
Charcot
, de la foi qui guérit. Ces rêves sont bien co
ont été considérées par les neu-ropathologistes (et surtout par J. M.
Charcot
) comme de nature hystérique. Nous allons mainte
valeur séméiolo-gique? Dans la diathèse de contracture, décrite par
Charcot
, il y a bien des raideurs bilatérales, mais elles
ntation psychologique ont été mises en honneur surtout par l'Ecole de
Charcot
. D'après les doctrines de,ce dernier, le rétrécis
ertain nombre d'années, depuis vingt ans à peine; ce fut la gloire de
Charcot
et de ses élèves de l'étudier à fond et de la rév
eux, dans ces deux faits de guérison? Le flambeau brillant tenu par
Charcot
et d'autres médecins, a éclairé ce coin obscur de
conque. C'est parce qu'il savait la puissance de la suggestion que le
docteur Charcot
disait à un malade atteint de paralysie de nature
sujets ainsi traités éprouvaient un besoin très marqué de sommeil.
Charcot
un peu plus tard, ayant observé que certains mala
cations on construisit un fauteuil trépidant et un casque vibratoire.
Charcot
, comme Boudet de Paris, observa que la trépidatio
1903. 12 fr. Richard Harte.—Hypnotism and the doctors from Mesmer to
Charcot
, 253 pages. Fowler, éditeur, London. 1903. Fove
d'une façon efficace au point de vue thérapeutique, nous devons citer
Charcot
et Dumontpallier. Par simple affirmation nous avo
dormi. (1) Voir le n° de la Revue de l'Hypnotisme de mars 1903.
Charcot
et son Ecole ont étudié de très près ces symptôme
yperexcitabilité neuromusculaire dans le somnambulisme. Tout ce que
Charcot
a vu et décrit a été très bien vu et observé; mai
3. étant interrompues entre 0 et le polygone. C'est la pensée que
Charcot
(1) a exprimée en disant : « l'idée ou le groupe
polygone au centre 0 du magnétiseur. « Chez certains sujets, disait
Charcot
, il est possible de faire naître par voie de sugg
« subconscient et anesthésique, peut faire contracter volontai- (1)
Charcot
. Cit. Pierre Janet, Accid. mentaux, p. 45. (2)
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